Super Mario parachuté quai Conti
Jusqu’à présent, les seuls F-18 susceptibles de défrayer la chronique étaient les avions de combat multirôle américains que l’on a pu voir survoler le cortège funéraire de Superman dans Batman versus Superman. Depuis la réunion à huis clos, qui s’est tenue le 7 octobre dernier quai Conti à Paris, il en est autrement. La discussion fut vive pour ne pas dire houleuse autour du devenir du F-18. Un véritable problème identitaire : fallait-il user de la préférence nationale et faire obstacle à une manœuvre du Grand remplacement ? Finalement, une large majorité se dégagea pour accepter la candidature d’un métèque, un certain Mario Vargas Llosa, au fauteuil F-18 de l’Académie française précédemment occupé par feu le philosophe Michel Serres. Car l’impétrant ayant dûment rédigé et adressé sa lettre à Mme le secrétaire perpétuel (92 ans) comme il se doit, on n’imagine pas qu’il soit retoqué le 25 novembre, jour du vote. Ce serait aussi absurde qu’humiliant car il a été encouragé en haut lieu à se présenter. D’autres, sans problème (la chronique des candidats manipulés et instrumentalisés est aussi fournie que l’histoire de la vanité) mais pas lui. Autant dire que c’est plié même si quelques uns, une poignée, l’accueilleront les bras grands fermés non par hostilité personnelle mais par principe. L’Académie n’a pas fini d’en débattre et cela dure depuis des semaines.
On n’imagine pas quiconque dans la République des lettres se présenter contre lui d’ici le 11 novembre, date limite de dépôt des candidatures. Qui a envie de rejoindre un peloton d’inconnus et qui le resteront (Jean-Yves Gerlat, Emmanuel Cruvelier, Michel Carassou, Yves-Denis Delaporte, Eric Dubois, Eduardo Pisani, Frédéric Vignale) dont la seule gloire sera un jour de figurer dans Wikipédia au titre de « battu par Mario Vargas Llosa lors d’une élection ». Car l’issue du vote ne fait guère de doute pour les chroniqueurs spécialisés qui observent les moindres gestes et mouvements d’humeur de la vieille dame du quai Conti avec le sérieux de ces journalistes anglais attentifs au plus insigne haussement de sourcil des royals.
Malgré son âge, l’énergie créatrice du romancier est intacte comme en témoigne le toute récente parution de Temps sauvages. (et ces vingt dernières années des livres qui le reflétaient au mieux de sa forme tels que La Fête au bouc et le Rêve du Celte). N’empêche que l’élection du grand écrivain ne va pas sans problème. Il a tout de même fallu tordre le cou à la règle. D’abord il n’est pas français et n’a pas l’intention de le devenir. Kessel, Troyat et Ionesco avaient été naturalisés bien avant de se présenter. Green, Yourcenar, Senghor, Laferrière, Serra étaient ou sont étrangers ou jouissaient de la double nationalité. Comme Mario Vargas Llosa qui est hispano-péruvien mais à qui il en manque peut-être une troisième en la circonstance. Las ! Il fut décidé de fermer les yeux sur ce détail qui n’a guère de sens pour qui évolue dans l’univers de la fiction. On fera donc une exception, une de plus, qui confirme tant l’usage que la tradition. D’autant que ce ne soit pas précisé dans les statuts de l’Académie qui remontent à 1635.
Ensuite, il a 85 ans, ce qui est jeunôt par rapport à Hélène Carrère d’Encausse, 92 ans (mais elle jouit de la perpétuité en sus de l’immortalité) et plus encore en regard de René de Obaldia, 103 ans. Mais tout de même, quatre-vingt-cinq ans, c’est dix de plus que la limite d’âge. Fermons les yeux, d’autant que « le parti des ducs » à l’Académie n’étant plus que l’ombre de lui-même, il est heureux que le 1er marquis de Vargas Llosa vienne le renforcer.
Enfin et surtout, il n’écrit pas en français mais en castillan. Toute son œuvre est traduite dans des dizaines de pays mais elle a été rédigée dans sa langue natale. Une belle langue mais ce n’est pas la nôtre. Or la mission première de tout académicien, telle que définie par Richelieu, est de « porter la langue française », de la défendre et de l’illustrer en lui rendant un hommage permanent par la plume. Là, c’est tout de même plus gênant, même si Vargas Llosa n’a jamais cessé de payer sa dette à Flaubert en particulier et à la culture française en général. Pour paraphraser Alexandre Dumas, on dira qu’il est permis de violer les statuts de l’Académie à condition de lui faire de beaux enfants. Celui-ci est de toute beauté mais l’adouber, avec épée et bicorne, c’est ouvrir la boite de Pandore. Cette triple dérogation créé un précédent. Comment après cela refuser la candidature d’un vieil auteur afghan, yéménite ou philippin à l’œuvre considérable dans son pays surtout ?
Seulement voilà : Mario Vargas Llosa est l’un des plus grands écrivains de la seconde moitié du XXème siècle. L’ampleur, le rayonnement et la qualité de son œuvre sont difficilement contestables. N’est-il pas le premier auteur étranger vivant à être publié dans la prestigieuse collection de la Pléiade ? Ne sera-t-il pas le premier lauréat du Nobel de littérature à siéger sous la coupole depuis François Mauriac ? Ses livres n’ont-ils pas été couronnés des prix les plus prestigieux dont l’acmé est certes le parchemin suédois mais plus encore, peu après, le grand prix littéraire Château La Tour Canet, grand cru du Médoc ?
Mais que va-t-il faire dans cette sympathique galère, lui qui vit à Madrid et ne peut donc même pas en faire son « club du jeudi » ? On ne peut pas dire qu’il fuit les honneurs, invitations et grandeurs d’établissement avec des fauteuils à l’Académie péruvienne et à l’Académie royale espagnole ainsi qu’une quarantaine de doctorats honoris causa à son tableau de chasse. Bien que son éloge de Michel Serres soit très attendu, et on l’imagine déjà polyphonique, foisonnant, luxuriant, épique, mythique, satirique, réaliste, folklorique et costumbriste mais dépourvu de toute violence politique dictatoriale, ce n’est pas pour demain eu égard au nombre de ceux qui attendent leur tour.
Une fois qu’il a reçu le Nobel il a déploré son principal effet collatéral : on le considérait au comme un écrivain mort réincarné dans une statue. Aussi depuis il n’a de cesse de rappeler qu’il existe encore. Et qu’est ce qu’un romancier défunt peut rêver de mieux que de que de rejoindre à une société d’immortels à seule fin de se rappeler à la mémoire de ses contemporains ? Ce n’est pas tant l’Académie que l’on offre à Mario Vargas Llosa mais lui qu’on offre à elle. Il est même assez courageux de la part des Quarante de faire venir parmi eux un romancier qui les dépasse de tant de têtes ; la photo de famille ne sera pas à leur avantage. Il suffit de comparer les oeuvres et leur rayonnement. On lui promet une élection de maréchal. Seules les mauvaises langues y verront un rapport avec l’un de ses prédécesseurs à fauteuil, un certain Philippe Pétain. Condamné à l’indignité nationale à la Libération, il fut exclu de l’Académie française. De là à confondre le F-18 non plus avec un avion de guerre mais avec son siège éjectable….
1 510 Réponses pour Super Mario parachuté quai Conti
le cookie est une espèce de truc qui permet de tout savoir sur tout le monde.
durant des siècles les états ont tout essayé pour tout savoir de la vie de leur citoyens : police, service de renseignement, stasi, boeufs carottes, jésuites, fbi etc…
jusqu’à ce qu’on invente le « cookie ». sûr que le mot « cookie » fait moins flipper que « stasi » mais faut pas trop se fier à l’apparence des mots, même le woke vient ça vient du cookie.
« enfin quelques détails de biographie intéressants de notre ami jmg, bin renvoyés dans les dentales à puckt »
»
vous pourriez plutôt me remercier d’avoir enfin permis à votre ami jmb de nous donner des détails biographiques.
j’aime pas trop ces alliances cryptos culturelles genre « entre nous on se comprend n’est-ce pas » comme kabloom et jibé, ça fait trop penser à boudieu.
normal qu’après on ne puisse pas vous empiffrer.
oui oui ils sont pour l’autodétermination des populo..sapré rénateau..tu vas trop au cinéma rénateau..malgré toi..tu fras pénitence sur le spritz ce dimanche et on en parle pus lundi
Bouguereau nous n’avons ici qu’un concentré de Michaud, et le coup de la mort de l’Art traverse bien des époques. Rien de plus. Même un Jules Verne dans l’Ile à Hélice, condamné sans appel la peinture de son temps comme décadente et névrosée. Le Musée de Milliard City vomit impressionnistes et symboliistes. Bien à vous. MC
normal qu’après on ne puisse pas vous empiffrer : pas moi bien sûr, je pense aux potazemmour.
« Le Musée de Milliard City vomit impressionnistes et symboliistes. »
Scandales, vandales, art de rue bordélique
T’as reconnu notre style ou tu connais pas
T’sais qu’on est là, dégommez ça, stop les débats, étonnez-moi
Les femmes, les gars, faîtes des dégats, déconnez pas
Troisième millénaire rien qui change B-boy
Dédicassé à ceux qui rappaient sur Beatbox
Maintenant les MC veulent tous parler de la même chose
Mais ils font pas baigner leurs textes dans la même sauce
On explose, extorque, exporte, explore
Sexe, tox, excorte, vexe, porcs et fuck
Si t’aimes pas le rap, c’est quoi qui te déranges?
Tu veux peut-être nous abattre, c’est ça qui te démange?
Des petites phrases et des phases face au drames de la rue
On s’en bal’, tu te sens mal si tout crame, c’est de l’abus?
Les ordures pensent qu’on est bon qu’à prendre, vendre des drogues dures
Qu’ils s’approchent, ressentent la morsure
Le truc s’est forgé dans la pénombre, l’attente était longue
Goutte l’élixir, bois une gorgé et tombe
T’as reconnu ce putain d’art de rue, faut le suivre à la trace ou pas le perdre de vue
Dédié à ceux qui dorment pas et la Z.O.N.E, D.J.E.L, S.2.O.N, S.O.U.N.E
J’entends dire que nos hommes sont synonyme d’échecs
C’est vrai que chez nous, c’est plutôt ouvriers qu’architectes
Que nous payons en liquide et rarement par chèques
Gardons la foi dans ces périodes où tout est secs
Même au plus bas dans la merde, on lâchera pas le steak
On l’a déjà dit mec, c’est nous contre eux
Dans tous duels, Monama, il en reste jamais deux
Dans nos ruelles saignantes ne vient pas qui veut
Votre politique on l’ignore, dans nos quartiers c’est sauve qui peut
Si ça va pas, on s’en remet à Dieu
Que sa puissance exauce nos vœux
Que la gloire soit dans nos rues et dans cet art qui tue
Ça encouragerait tout ceux qui y ont cru
Pas d’autodétermination chez les jésuites, bouguereau, ils ont plutôt essayé de fonder la colonisation exclusivement sur des valeurs religieuses, ce qui ne plaisait pas aux divers rois européens.
michaud passe surment pour un journaliss vulgaire à la hector obalk..ou pire pour un jean clair et un finkie..mais il mérite d’être..parcouru?
« il faut saluer l’intelligence collective de ceux qui, « tout en n’étant rien » aux yeux du pouvoir, se mettent à compter aux yeux de qui sait les écouter ».
C’est un beau boulot d’écoute engagée, ca, il y a encore des vieilles causes à défendre, oui, précisément… Tant qu’il y aura des luttes de classe…
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2021/11/13/lutte-admirable-bertina/
il a blanchi sous le harnais meussieu courte..il donne l’impression de vouloir « faire le bilan »..comme il dise dans le rap que tu kiffes meussieu courte
https://www.youtube.com/watch?v=ambpd54ssFI
« depuis les 8 bits tout est passé si vite » c’est spécial dédicace dédé
Terminé le Conrad
ce qui est bien avec lui, c’est qu’il te dément pas, alors que tu crois l’avoir judicieusement amené à se définir… T’es un peu court de la courtepointe tirée à toi, dexter… T’as toujours été 1 brin limité… même si tu fais de + en + semblant d’adhérer à Z… ce qui ne fait enrager que toi… T’as jamais été nuancé dans la provoc même à 3 balles… C’est ce que je te reproche…
(***Si t’aimes pas le rap, c’est quoi qui te déranges ?) – Non, j’aime pas ton rap, je peux pas l’entendre ni le lire a fortiori très longtemps, tu me déranges… , mais jm’en arrangesi sam’démange, je reste 1 démocrate, serai jamais 1 facho, même si t’essaies de me convertir… Tu tournes bin mal, entre nous, ces derniers temps… T’as un grand cor malade d’aigreur… Et tu me calcules pas, hein, espèce de flobère à la noix d’veau! Et tu me vouvoies, STP, merci… Bàt.
Lumineuse évocation de Lord Jim, Soleil Vert… Et c’était pas dieu facile ! Peut-être n’était-il pas utile de citer Finkie… Mais le clin final à Lydie Salvayre va la ravir, je crois… Car je sais qu’elle vous lit.
Bien bonne journée à vous, ma foi.
3j non je n’ai pas changé, je suis toujours resté celui que j’étais…
Et toi non plus, tu n´as pas changé 3j, toujours le même parfum léger, toujours le même petit sourire qui en dit long sans vraiment le dire, non, toi non plus tu n´as pas changé, j´avais envie de te protéger, de te garder, de t´appartenir, j´avais envie de te revenir…
ps : tu peux demander à ton ami jmb d’arrêter de nous tutoyer renato et moi stp ?
qui a dit qu’il aurait aimé voir Lord Jim casser la vaisselle chez les Guermantes ? c’est Conrad ?
Soleil vert dit: à
Terminé le Conrad
»
bravo !!!
michaud passe surment pour un journaliss vulgaire à la hector obalk.
S’il ne fait que passer…ça va encore!
Mais c’est autrement argumenté qu’Obalk!
michaud passe surment pour un journaliss vulgaire à la hector obalk.
Son essai, bien sûr.
» L’art, c’est bien fini » Essai sur l’hyper-esthétique et les atmosphères, NRF essais gallimard septembre 2021.
juwstement, j’airepensé que j’avais oublié de nommer le philosophe que j’aime beaucoup:
heinz Wismann penser entre les langues
j’en ai relu des pages;
plus d’un a dit le condidérer comme « l’homme le plus intelligent qu’il a rencontré »
https://media.cultura.com/media/catalog/product/cache/1/image/1000×1000/9df78eab33525d08d6e5fb8d27136e95/p/e/penser-entre-les-langues-9782226208965_0.jpg?t=1596010341
vous aurez trouver sur la toile aussi
la première fois que j’ai entendu Heinz.W, c’était à Beaubourg qui l’avait invité
CONSIDERER
@ jmb, cessez de tutoyer puck et renato, SVP, merci… !
Sachons tenir compte de toutes les bonnes volontés de concorde en erdélie, quand elles adviennent…, c’est si rare… surtout, tant que la Parasite nous ouf… la paix. Hein !
« En dépit de ce que la thèse de Hegel peut avoir à première vue de paradoxal (« quoi, l’art est fini?), son sens est facile à comprendre.
Y. Michaud page236 opus cité supra.
VOUS SAUREZ TROUVER
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hector_Obalk
Merci jmb et pmp-rptv…, je le connaissais pas du tout.
Merci …
» Laissons de côté la réfutation simpliste au nom du fait qu’il y a toujours de l’art et des artistes, et même plus que jamais en quantités impressionnantes que Hegel n’aurait jamais imaginées. Hegel n’a jamais prétendu que l’activité artistique serait terminée, il dit seulement que le sensible et l’idée sont séparés et que l’art est « relégué dans la représentation »
Cette affirmation a reçu des interprétations assez consonantes, qui ne diffèrent que par l’évaluation négative ou positive que font les interprètes de la valeur de ce qui continue à se présenter comme l’art d’ « après la fin de l’art ».
Yves Michaud, opus cité.page 236.
Mais c’est autrement argumenté qu’Obalk!
le bon temps d’arté? ses ptis spot scénarisés ménervaient..jessayais de ne pas les rater..et j’ai été faché de leur fin..total:bilan trés positif au finiche
Je me souviens d’avoir participé à l’entreprise d’Yves Michaud dans l’Université de tous les savoirs (au CNAM) dans les années 2000, et d’avoir vu mon intervention orale s’incruster dans l’un des cinq tomes des éditions Odile Jacob. Cet essayiste ne peut pas être totalement idiot… Mais j’avoue n’avoir pas très envie de lire son dernier essai, vu ce qu’en pense à juste titre MC, l’ard foutu, voilà un marronnier en éternel recommensemenencement,…
le dernier bouqin de michaud me laisse quand même perplesque..il y a comme le désamour d’une sorte de grand entrepreneur moral..spirituel..pédagogue.. comme on veut..qu’il a surment été..l’hestétisation ne me convint pas
l’ard foutu, voilà un marronnier en éternel recommensemenencement
non..il dit que l’art avec un grand cul n’exiss plus dans ses murs..pour une migration dans d’autre plaine..que là il n’est perçu comme tel..et qu’il pourrait revnir nous piétiner comme les bisons de sittingboule..comme souvent dans l’hestoire
vu ce qu’en pense à juste titre MC, l’ard foutu, voilà un marronnier en éternel recommensemenencement,…
Mais Y. Michaud vous a répondu d’avance ainsi qu’à la boutade de MC…
» Laissons de côté la réfutation simpliste au nom du fait qu’il y a toujours de l’art et des artistes, » ( voyez supra…) 😉
on a remarqué dans un test que
Les histoires racontées en français relataient plus souvent des situations de domination par des personnes plus âgées, de la culpabilité et des agressions verbales envers des pairs.
Tiens, jmb dit qq chose de positif et de personnel… Me surprendra de plus en plus, cet ani-mal léché. Pmp, j’apprécie bcp… Mais que se passe-t-il au juste ?… Les effets incorporés en chacun du terrorisme erdélien orchestré par l’SMS commenceraient à s’atténuer depuis sa mise en veilleuse ? Incroyab !… Bàv,
j’embellie..michaud parlant de paris me convint bien plus..le lézard frait bien dmette des liens dses interventions radiophonique au lieu dfaire son grün qui frait bien son vigilent dans son quartier..sil pouvait
@ des interprétations assez consonantes,
@ pmp, vous voulez dire : qui font relativement consensus chez les analystes spécialisés d’aujourd’hui ?
«… l’ard foutu… »
C’est un marronnier plusieurs fois millénaire : on peut imaginer les cris d’orfraie lorsque les passionnés de l’ordre dorique ont vu arriver l’ordre ionique.
non..il dit que l’art avec un grand cul n’exiss plus dans ses murs..pour une migration dans d’autre plaine..
Exact Bouguereau!
Il dit d’ailleurs que le grand Art est désormais dans sa ZEP ( zone esthétique protégée) et celle-ci est complètement indifférente à la grande masse de la population qui préfère les « atmosphères »,
Voyez note 16, page 303 de l’opus cité :
» Pour ce qui est du nombre des amateurs (celui des ZEP, c’est moi qui souligne ), il estr certainement moins impressionnant en dépit des apports du tourisme : la consommation de Grand Art est fort peu de chose en comparaison des autres consommations esthétique… Que représente la fréquentation record d’une exposition block-buster par rapport aux sessions de David Guetta, ou à la consommation de séries sur Netflix? Rien. »
Hegel n’a jamais prétendu que l’activité artistique serait terminée, il dit seulement que le sensible et l’idée sont séparés et que l’art est « relégué dans la représentation »
..oui..just havant que des savants calculent la quantité de charbon pour faire un soleil..et que ça collait pas du tout
Que représente la fréquentation record d’une exposition block-buster par rapport aux sessions de David Guetta, ou à la consommation de séries sur Netflix? Rien
oui.. »personne n’est plus fort qu’une fiche de police et que le marketting..je vais pouvoir vivre » qu’il a dit vautrin quand balzac a soufflé son gaz
« et les sujets littéraires englobent la philosophie » interprète H.W qui perle de la conversation du français sans « gazouiller »
https://www.youtube.com/watch?v=CDdrJERORyM
«… l’art avec un grand cul… »
Évidemment., bouguereau, Dion vend plus que Netrebko, mais cela arrivait aussi à Callas et quelques chanteuses à elle contemporaines.
qui parle
Yves Michaud analyse les différentes pensées des philosophes d’art à ce propos.
Il reprend en final notamment les réflexions de Frederico Vercellone, Dopo la morte dell’arte, Milan, Il Mulino, coll.Saggi 2013, chapitre 1, » L’ottocento et la fine dell’arte », en partie repris dans « La mort de l’art après Hegel », Klésis, Revue philosophique, 3 Imagination et performativité », n° 28, 2013
, p. 191-207.
Ainsi que celles de Paolo Gambazzi, » La fin de l’art et l’apparaître sensible de l’œuvre », Revue internationale de philosophie, 2002/3, n°221, p.389-409.
la crème des oeuvres d’une science politique digne d’être enseignée, in le dernier n° Hors Série de la RFSPo
—
Très limité, dans le temps comme dans l’espace. La Chine et l’Inde n’existe évidemment pas.
Heureusement que la science politique ne se limite pas au provincialisme de Sciences Po.
Dion vend plus que Netrebko, mais cela arrivait aussi à Callas et quelques chanteuses à elle contemporaines
certainment..il y a des domaines de clodo ou lesquellence se mesure hencore à l’oeil ou a l’oreille renateau..mais seul moi jle mesure havec l’esprit qu’il dirait mauridzio..qui a fait sa percée en france au travers du journal lire..qui s’en souvient?
n’existENT
la science politique ne se limite pas au provincialisme de Sciences Po
c’est quoi exactement la province kabloom..les « sh »..sicences po..ou la france kabloom
Sauf infos de la dernière heure, il Mulino</i< est une maison d’édition bolognaise.
opus !
il Mulinoest une maison d’édition bolognaise.
Migrants, tout le monde regarde le duo de fascistes (Belarus vs Pologne), mais la route de la Méditerranée ne s’arrête jamais : plus de 33 000 arrivées en 10 mois. En Sicile 77% des débarquements.
Soleil vert, si vous avez lu Conrad dans l’original, vous aurez certainement remarqué ces fréquents gallicismes, du type ‘he held him for an ass’, que l’appareil critique des éditions Penguin réécrit en ‘he considered him an ass’, plus ‘orthodox’…
félicie et shakespeare haussi
» Dans son livre Dopo la morte dell’arte, Frederico Vercellone comprend l’affirmation de Hegel comme celle de la séparation et l’autonomisation de l’art à partir de l’époque romantique dans la société moderne. Alors l’art devient « esthétique ». Il devient une sphère séparée dans un monde social lui aussi constitué de sphères séparées. L’expérience esthétique prend la forme d’une série de chocs et elle est coupée de la sphère éthique et religieuse : l’art n’est plus consubstantiellement lié au bien ni au divin. On a désormais affaire à un art tout enfermé dans ses domaines propres, le musée,la salle de concert, tout comme les sphères de l’existence moderne sont elles-mêmes séparées. L’art n’a plus de relation immédiate avec la communauté humaine : il est en relation avec son propre monde- communauté des artistes et des spectateurs. C’est ce que j’ai décrit pour ma part à travers la notion de ZEP. L’art d’après la fin de l’art existe uniquement dans le monde de l’art-dans les ZEP. Cela entraine une série de manifestations que nous connaissons bien.
D’un côté la recherche formaliste des artistes-Hegel parle de libération des formes. De l’autre l’esthétisation de tout le possible et même de ce qui ne le semble pas – l’art peut faire sien l’informe, le banal,le laid, l’ironique, le dérisoire, le réflexif, le conceptuel, le moral et l’immoral, l’obscène, le religieux, le naturel, l’écologique – et même pourquoi pas, le beau (on se souvient de l’énumération de Hegel : « l’arbitraire individuel, jusque dans les traits de caractère et les comportements les plus bizarres, jusque dans les évènements et complications les plus étranges en apparence »).
Yves Michaud, opus cité p.237.
En Sicile 77% des débarquements
quil les gardent ces mafieux..bodjo y dit que les français font pareil a calais..que les pays riches devraient plus payer pour les pays pauvres..donner plus de vaccins..ça s’applique pas au sujet dla reine..elle a donné langlais au monde..leffort a été tel qu’il peuvent dagazer..taxer..qu’en pense mario rénateau?
l’art n’est plus consubstantiellement lié au bien ni au divin. On a désormais affaire à un art tout enfermé dans ses domaines propres, le musée,la salle de concert, tout comme les sphères de l’existence moderne sont elles-mêmes séparées
goethe presqu’au même moment insiste trés chwere lourdement sur lart et la nature..le romantisme halleumant en sort comme un genre de diabe qui hante toute l’europe
L’art est dans la rue mais ne pas le confondre avec le street art, le boug !
ne pas le confondre avec le street art, le boug !
Le street art est une ZEP, Jazzi! 😉
«… qu’en pense mario… ? »
On sait que dans le spritz, il préfère le Campari à l’Aperol, pour le reste on verra.
Bloom dit: à
Soleil vert, si vous avez lu Conrad dans l’original,
Non, j’ai suivi la traduction d’Odette Lamolle. Est ce que La Pleiade mentionne ce fait ?
Le mystère de Conrad c’est cette rugosité de langue alliée à des narrations sophistiquées. Comment a t-il pu passer de l’état de marin à celui d’écrivain « avant gardiste ». Wolf citait Proust, mais lui, qui l’a inspiré ? Henry James ?
Encore un dans sa ZEP!
Un portrait de Marcel Duchamp. 1950
par son frère Jacques Villon
« qui l’a inspiré ? Henry James ? »
Peut-être Herman Melville, SV ?
Conrad, en revanche, à inspiré Gide, qui le traduisit, et avoue s’être inspiré d’Au cœur des ténèbres, pour son Voyage au Congo. Idem pour Céline et son Voyage au bout de la nuit.
Et vous Jazzi, vous aviez lu « Le Pur et l’Impur » de Colette ? Une idée pour votre série : « Le goût de l’Impur ». Cela se vendrait comme des petits pains. Les plaisirs démodés, comme chantait Aznavour…
que l’appareil critique des éditions Penguin réécrit en « he considered him an ass »
Penguin corrige donc les impropriétés de Conrad, dear Bloom ? What for ?
Gide s’est un peu perdu dans des traductions à sa sauce. Martin du Gard écrit dans une lettre à sa fille : « Conrad est vendu à Neels ».
Se souvenant que Paris et Rome sont jumelés, le léZard s’est offert, et vous propose, une escapade en Italie !
#une escapade en Italie !
Non merci, moi j’y vais pour de vrai.
Pour en revenir à Yves Michaud :
» En termes hégéliens, toutes les formes et tout le sensible sont également à disposition, toutes les formes de la subjectivité, de l’invention et de la sensibilité.? Même la « désartialisation » fait partie de l’art : dénier les qualités esthétiques est encore une manière de les produire.
Les inconditionnels de « l’Art contemporain » ne peuvent être que parfaitement à l’aise avec cet art de la fin de l’art qui ouvre le champ de l’auto-réflexion, du conceptuel, d’un cannibalisme artistique boulimique pouvant s’emparer de tout pour « faire art ». De Duchamp à Serrano, de Morris à Hirst, de Cattelan à Hockney même (pour la beauté rescapée, tout passe, tout va,tout vaut : « anything goes ». En revanche, il est tout aussi vrai que les temps de la rencontre harmonieuse de l’idée et du sensible sont morts et les classiques comme Hegel et beaucoup d’autres peuvent considérer que cet art d’après sa fin n’est pas de l’art et même pas grand chose – disons un sujet de réflexion pour professeurs d’esthétique en quête d’exemples à discuter dans leurs colloques.
Opus cité p. 237.
hé ben voilà ! 10 commentaires à la suite de greubou sans un « ta gueule pouffiasse » si gode ceinture, ni d’aller se faire hanculer…
c’est pas beau ça ? bravo greubou !!!
ne me remerciez pas je l’ai fait surtout pour vous parce que je vous aime bien, moi j’ai d’autres trucs à penser.
Pour lecteurs chevronnés :
https://larepubliquedeslivres.com/dans-le-labyrinthe-avec-mohamed-mbougar-sarr/
Ciao.
même qu’il est capable de causer de l’esthétique chez Hegel, Kant et Platon, on dirait Enthoven, c’est magnifique…
Sasseur !!!!!!!! te barre pas ! tu veux pas nous jouer le rôle d’Adèle van Reeth ? je t’ai dégotté un Raphaël que ton passou à côté c’est du pipi de chat.
Je reviendrai le 25 novembre, pour l’intronisation du futur Immortel, d’ici là j’aurai lu les « Temps sauvages ».
Ciao.
https://www.lesechos.fr/2009/07/united-fruit-la-mere-des-republiques-bananieres-474488
« Pour en revenir à Yves Michaud »
Michaud c’est bien, Hegel aussi c’est bien, mais le top du top pour parler de l’art c’est d’être pote avec des commissaires priseurs pour faire partie des personnes à qui on refile les bonnes combines avant les ventes aux enchères.
c’est moins philosophique mais c’est vachement plus mieux bien si on veut se payer une baraque en Corse, parce que vue sous cet angle Michaud et Hegel ils sont complets à la rue.
« pour l’intronisation du futur Immortel »
on a dit qu’on parlait plus de gode ceinture sur le blogapassou !!!
l’art il y a ceux qui le crée, ceux qui le pensent, et ceux qui l’achètent.
après chacun choisit son camp.
Dans la riche collection d’anecdotes recueillies par Cage on en trouve un très instructif : concert de musique contemporaine dans l’auditorium d’une université américaine ; un prof se plaint, car la pièce jouée lui semble dépourvue de signification ; une élève lui dit : « Taisez-vous et écoutez ».
Est ce que La Pleiade mentionne ce fait ?
Soleil vert
—
Je ne sais pas.
Il est rare que les commentateurs français de Conrad, en général excellents, mentionnent le fait qu’il est considéré par nombre d’anglophones comme un piètre styliste.
Ce que perso je conteste très vigoureusement, car ses gallicismes, mais aussi l’usage de sens rares de certains termes (comme « crazy » pour signifier ce qui est irrégulier, cf. le début du ‘Secret Sharer) donnent à la langue anglaise, idiome souple et caoutchouteux, un tour inventif qui lui va bien au teint.
« musique contemporaine dans l’auditorium d’une université américaine »
question musique les universités américaines ont des ressources inépuisables, limite y’a qu’à Edmonton au Canada qu’on fait mieux :
les universités américaines ont su trouvé un équilibre entre héritage culturel et woke, c’est le truc que Finky il a pas bien compris, y’a qu’à Edmonton au Canada qu’on trouve mieux :
après chacun choisit son camp.
Mais ils ont chacun leur ZEP!
( Il vous faut lire Michaud, tout cela est très clairement expliqué, puck.)
pour parler de l’art c’est d’être pote avec des commissaires priseurs, puck.
Là encore, dans un de ses chapitres Michaud nous explique la parcellisation ( la ZEP, nom de dieu! 😉 ) de ces micro mondes où l’art, du moins ce qui en reste se joue à lui même sa fin. On sait que les commissaires priseurs cherchent dans toutes les catégories d’art ce qui fera faire de l’argent, ( un des buts principaux de l’art, je ne développe pas..) ces peintres, sculpteurs, céramistes, designers, etc., peu connus, sous évalués, avec lesquels ils pourront faire de substantielles plus values.
( un des buts principaux de l’art, je ne développe pas..)
Mais Yves Michaud en parle abondamment dans son essai. 😉
Japans’s largest cat cafe…
@ BL, anéfé vous m’interrogiez sur « ma régio »n (ie mes spécialités, mon domaine … de prédilection en SH, la socio politique et le droit) après votre topo sur Lippman (qu’il vous reste à traduire)… Je vous répondais sur le provincialisme de la science po française uniquement située à Paris I et Paris II, laquelle passe par la méconnaissance de la plupart des œuvres étrangères et surtout pas à Lyon, ni Lille ni Rennes ni Bordeaux…. Ne faites pas semblant de ne pas comprendre ce que jmb a tout de suite pigé.
Merci à vous…, parfois, quand je reviens d’Italie le dimanche soir, je vous trouve un brin lourd à l’All. Fr…, Mais bon, on trouve bin plus pire, hein !…
« Mario Kart a bercé votre enfance, votre adolescence et anime encore votre vie d’adulte? Vous vous êtes déjà imaginé affronter Luigi, Yoshi ou Peach dans la vraie vie? Il suffit d’attendre la fin de la pandémie pour foncer au Japon transformer votre rêve en réalité en vous rendant dans le parc à thème Super Nintendo World. »
@ (dimanche soir 14.11.21@19.39) DHH… Vous qui avez vécu toute votre vie dans la grande capitale, vous souvient-il de ce qui s’est exactement passé le 23 juin 1975, au 11 rue Simon-Crubellier, dans le 17e arr ?…
Bàv,
Pour lecteurs chevronnés :
Chevillée? Encore un livre que je n’ai pas su lire à sa juste valeur. En tout cas Pynchon c’est sans conteste beaucoup mieux. MMS devrait écrire aussi bien qu’il s’exprime oralement, work in progress, espoir de la littérature. La fin du bouquin parvient à racheter ce qui a précèdé.
« Là encore, dans un de ses chapitres Michaud »
là ça devient limite chiant.
je suis sûr qu’il parle pas d’un truc : l’autorité du discours autoritaire de l’expert expert dans l’art du discours visant à enfumer les plus naïfs qui se laissent enfumer par la notoriété de l’expert acquise au fil des enfumages de ses discours d’autorité.
« En tout cas Pynchon c’est sans conteste beaucoup mieux. »
»
yesssssssssss !
Bloom, an ass dans mon esprit c’est un con, deepl donne un âne. Il le tenait pour un âne, êtes vous d’accord?
an ass dans mon esprit c’est un con
instalation cérébrospinal qui peut faire causer le lézard..mais faudrait un peu plus de gras
MMS devrait écrire aussi bien qu’il s’exprime oralement
là ça fait trop cunilingus..ou pas hassez qu’il dirait dirfilou
là ça devient limite chiant.
Pas plus que vous dans vos approximatives virevoltes et brimborions de pensées ici! 😉
Pourmapar, je suis certaine qu’il a raison, c’est de l’enculage de mouches, voilà. Après il faut bien tenter de comprendre le monde, en plus ça occupe les dimanches et jours fériés.
« foncer au Japon transformer votre rêve en réalité en vous rendant dans le parc à thème Super Nintendo World. »
pourquoi pas le parc Asterix ?
non l’avenir c’est le METAVERS !
fini le bitcoin : aujourd’hui il faut placer toutes vos économies dans l’économie du Metavers ! le monde de demain sera virtuel ou ne sera pas. Zuckerberg sera le Einstein du 21è siècle.
..si rénateau que ton saint djone quêdge lui fait une imposition des mains à keupu..et que ça le rend moins complétment con idiot à bouffer du foin comme un ass dans son esprit..jme fais néodada
« Pas plus que vous dans vos approximatives virevoltes »
ah bon ? bien sûr que Michaud ne parle de l’enfumage des discours d’autorité des experts parce que ce serait se tirer une balle dans le pied puisqu’il en fait partie.
il faut placer toutes vos économies dans l’économie du Metavers !
ma k7 ma k7 qu’y dit keupu
Bah, Stevenson a bien fait une balade avec un âne dans les Cévennes et – Jazzi nous l’a rappelé – Francis Jammes en a fait un poème.
puisqu’il en fait partie.
Oui et non, puck. Il s’est mis tout le « monde de l’art » à dos déjà avec son bouquin sur Koons ( et ses « culipes »), il fait preuve d’un certain courage assez rare en ces temps d’unanimité de bons sentiments.
c’est de l’enculage de mouches, voilà.B.
Vous nous en parlez de toute évidence en spécialiste.
Merci.
..et sul terrain tout un biznèce avec ass..grün..ha grün..refait le feldgendarm..met moi tout ça au balllon..on meurt de trop de tragédies..de shakespire..de morts himbéciyes!..plusse que keupu..ha la vie c’est une mauvaise comédie..ha mon précieux..mon précieux..
https://www.youtube.com/watch?v=6QN_I41oaXQ
Vous nous en parlez de toute évidence en spécialiste.
Non hélas, simple provocation . C’est quoi ce bouquin ? Je verrai si je le déniche à la bibliothèque municipale. Il doit être d’une importance primordiale en ces temps dénués de priorités vitales.
L’Art parviendrait-il à sauver le monde? En est-il question?
SV, je suis en possession de la même traduction. Langue rugueuse? A quoi correspond pour vous une langue soyeuse, quels auteurs pour illustrer au cas où je les ai lus aussi
@JJJ
je l’ignore mais je peux essayer de vous repondre si je recherche dans « la vie mode d’emploi »
Comme vous connaissez la reponse c’est en une colle que vous me posez
et j’ai perdu
» L’univers se t aisait, la nuit répandait sur eux son souffle; c’était une de ces nuits faites pour abriter la tendresse, et il y a des moments où l’âme semble évadée de son enveloppe obscure, où elle brille de tout l’éclat d’une sensibilité si délicate que certains silences sont alors plus chargés de signification qu’un long discours. »
Il le tenait pour un âne, êtes vous d’accord?
—
Yep, B. (to hold s.o. for sth n’est pas une tournure recevable en anglais, contrairement à l’inverse, to hold sth for s.o.).
B > La folie Almayer est écrit dans une langue très épurée
Dn 12, 1-3
Du livre du prophète Daniel
En ce temps-là se lèvera Michel, le chef des anges,celui qui se tient auprès des fils de ton peuple.Car ce sera un temps de détressecomme il n’y en a jamais eudepuis que les nations existent,jusqu’à ce temps-ci.Mais en ce temps-ci, ton peuple sera délivré,tous ceux qui se trouveront inscrits dans le Livre. Beaucoup de gens qui dormaientdans la poussière de la terres’éveilleront, les uns pour la vie éternelle,les autres pour la honte et la déchéance éternelles. Ceux qui ont l’intelligence resplendirontcomme la splendeur du firmament,et ceux qui sont des maîtres de justice pour la multitudebrilleront comme les étoiles pour toujours et à jamais.
Glané sur le web : Zermati chez les blancs-becs de Gonzaï mag
J’ai écouté Marc Zermati.
Réflexions :
La musique qui me va est celle du générique de fin
Vahinés et ukulélés.
Entre 2mn 47 et 2 mn 57 il dit La « France c’est ça ».
Ai entendu la même chose d’une bosniaque hier soir, « c’est la France ça » : les mal immigrés.
Au début Marc Zermati dit « mais nous, c’était la guerre. »
Leur guerre.
À la Maison des potes, lorsqu’un parle des évènements d’Algerie, une se dresse et clame « mais nous étions en guerre, ce ne sont pas des évènements, c’est une guerre ».
C’est leur guerre. Attention. Ne touchez pas à leur guerre.
Les hippies étaient de vraies révolutionnaires, je plussoie. Les babas cool d’aujourd’hui en forment la suite.
Mais, hormis la rébellion contre la famille et le culte de l’amour libre, n’était-ce pas la mise abba du travail le but réel ?
Bilan provisoire :
Les algériens sont des gens mal intégrés.
Les bosniaques, n’en parlons pas.
Ce sont des gens dangereux.
Vivent les nénets.
Nota bene en passant comme ça : les nénets, s’ils ne coupent pas du bois, sous leur tente ils ont froid.
Mes nénets.
Des nouvelles de la reine mère :
Je sais, fruit d’un apprentissage féroce, écarter mes doigts de pied en éventail.
Bouger le lobe de mes oreilles, non. Pas encore.
Délicieuse journée à Marseille hier.
Délicieuse.
Hier à Marseille, les flics ont recherché un type qui a été enlevé en étant poussé dans le coffre d’une voiture : c’est une première. D’habitude, ils attendent l’épave, carbonisée.
Ma maman.
Avons été au marché de Noailles. Fermé le dimanche. Je ne le savais. Mais tte la rue Longue des Capucins était ouverte. Elle a cherché son marchand de pâtes, le magasin tenu par un arménien. Mais sa fabrique était à Mauron.
Elle a retrouvé. Elle a retrouvé aussi le magasin où travaillait sa soeur Jacqueline, l’épicerie à l’angle de rue.
Ai cherché pour ma part du papier azyme, pour le nougat noir, en vain.
Elle m’a dit ne pas reconnaître le quartier, l’a trouvé sale et ne ressemblant pas à celui de son jeune âge.
Marseille c’est Alger.
Le bas de la rue Longue des Capucins. Le haut démarre à Saint Charles.
Puis, nous avons été manger au restaurant tenus par les nonnes asiatiques et africaines à la Bonne Mère. Plein à craquer.
On n’avait pas réservé et pas le pass de ma maman.
Une de l’Ehpad me l’a envoyé.
On a mangé le menu du jour.
Mardi y a nems. Faits maison.
On ira un mardi.
Mercredi filets de rouget au safran.
Jeudi couscous royal
Vendredi aïoli.
On y mange bien.
C’est un havre de paix pour les pélerins et une source de revenus pour la basilique.
Avons visité les entours.
Découvert :
Elle est bâtie sur un roc.
Un des angles (côté Endoume) est tel l’étrave d’un immense bateau : n’avais jamais vu cela.
Au pied des grandes marches, deux dédicaces en maj :
-Aux enfants de Marseille morts pour la patrie.
-À tous les naufragés ensevelis dans le linceul des flots.
Dans la basilique, des dômes successifs magnifiques, trois je crois d’or doré, le quatrième au-dessus de la Vierge, vert doré avec deux paons qui encadrent une barque, et deux oiseaux blancs comme des grues de chaque côté au milieu.
Au monde fou.
C’est notre Bonne Mère.
Elle est immensément bonne.
À tous les naufragés ensevelis dans le linceul des flots.
Ça c’est très magnifique.
Ma maman a admiré.
Ensuite, sommes partis en voiture, difficile de se garer. Avons trouvé mini place pour mini voiture au pied du Panier.
Avons descendu les grands escaliers pour arriver au Vieux Port.
Avons tourné à gauche.
Deux chansonniers, un à l’accordéon. L’autre au flamenco.
Les santonniers sont en train d’installer leurs baraques.
Ils ouvriront le WE prochain.
On ira à Aubagne.
Ce sera trop génial.
Arrivées au bas de la Canebière, avons vu un spectacle d’artistes de rue.
S’appelaient « nous sommes végétariens, un black et un arabe ».
Des acrobates.
La puissance physique, c le black qui l’avait.
Les contorsions, l’arabe.
Avons donne dans l’écuelle. À l’hidalgo du flamenco aussi.
Avons repris notre Vieux Port jusqu’au fort Saint Jean.
Cet espace sublime rendu dans son entier au public.
Ma maman a trouvé l’ascenseur. Passerelle.
Hop.
Église Saint Laurent, si belle, byzantine ? en avant de la Major, derrière le fort Saint Jean, sur un promontoire rocheux.
Hop, à plat jusqu’au bas du Panier.
Nombre de bateaux dans la douve jouxtant le MUCEM.
Ma maman m:a demandé ce que c’était cet entrepôt, là. Rudy Ruccioti 🤯.
Retour à l’Ehpad.
Rue Paradis.
Cours Pierre Puget.
Baille.
La Plaine.
La Conception. Arthur, mon bébé.
La Timone.
Saint Pierre, longer le cimetière.
Pont de Vivaux.
Saint Loup.
Le 10 ème.
Là où les dealers vendent leur came sur internet.
Elle a pleuré. Je suis partie.
Le matin, j’avais demandé à l’infirmière si la piqûre de vendredi soir était la grippe ou la dose trois du vaccin.
La grippe.
La responsable à l’accueil m’a dit Emma est une warrior.
N’a pas expliqué pourquoi mais a redit Emma est une warrior.
La honte que je vis d’avoir ma mère jetée dans cet EHPAD.
Un monde fou.
C’est notre Bonne mère que nous invoquons « Ô Bonne Mère ».
Rudy Ricciotti, né à Alger en Algérie. Cet arabe.
Français.
Arabe.
Son truc de béton coulé à la verticale, cerné de dentelles. Ses cubes. Son stadium sur la route de Marignane.
Avons parlé du voile.
Toutes ces femmes portant le voile à Marseille.
Lui ai parlé de la chevelure, part de la séduction.
Elle m’a répondu « les cheveux, les cheveux, si tu es bossue hein ? ».
Avons rencontré face à la mairie ses voisins de son appartement à Saint Just qui étaient super émus de la voir.
Béton coulé à la verticale montante.
Que le lieu soit magique.
L’acoustique géniale.
L’architecte aussi.
N’empêche, le cube est laid.
Laid.
Laid.
rose, fan des nénets
https://www.instagram.com/p/CWSXXG5oca5/?utm_medium=share_sheet
Bon lundi.
Pourmapart, dentiste : bouche amère.
Les temps sauvages de Joseph Kessel. Son premier voyage en Sibérie, il avait vingt ans. Mon Joseph.
Jazzi
Dans le dernier Moretti, dit-il encore « Ma femme m’a quitté » ?
Comme nous, Christiane et Jacques et Anne-Lise et Michel etc.
Joseph Bologne de Saint-Georges
Ma mère.
Non mais ma mère.
Devant le spectacle un grand rond, qu’ils font se resserrer.
Quatre cabrioles.
Ils font intervenir le public, qui biche. Qui biche.
Un.
Deux.
Un groupe.
Sept garçons pour deux filles *.
Je regarde ma mère, à ma droite.
Je lui demande « tu y vas ? ».
Elle me répond « non. Je baisse les yeux pour qu’il ne me choisisse pas. »
Il. Le petit black musclé.
Heureusement hein.
Il les met à genoux et leur fait ployer la tête.
Ma mère à genoux et ployant la tête ?
*Deux filles.
Une des deux alcoolique au dernier degré.
Un chien en laisse de garde.
Vit dans la rue.
Un mec à distance l’attend.
Un chien.
Attend de pouvoir baiser.
Non, dans le dernier film de Nanni Moretti, les femmes ne quittent pas leurs maris, à l’exception d’une Pénélope qui, lassée d’attendre indéfiniment le sien, décide de prendre le large à son tour et de partir en voyage, seule, désertant son foyer…
La relation de votre expédition à Marseille, rose, c’est beau comme une voyage de noces !
Diurne et chaste, le voyage, sans la nuit…
LUNDI 15 NOVEMBRE 2021, 9h28, 14°, pluie fine
« Un monde fou. C’est notre Bonne mère que nous invoquons « Ô Bonne Mère ». (Rose)
–> ça c’est Marseille, la merveille des Merveille
A Paris, ville pourrie, ils disent :
« Un monde fou. C’est notre Bonne maire que nous invoquons « Ô Bonne Maire ». (les rats)
Est-elle, dixit Winnicott, suffisamment bonne, votre Maire ?
Jazzi,
C’est la seconde expédition.
Je fais choisir ma mère, entre plusieurs options.
La première était cimetière pour visiter sa mère ou marché aux fruits et légumes de Noailles.
M’a dit ah non les cimetières ça suffit.
L’aprem l’option c’était Les Illusions perdues à L’Alhambra à Saint Henri ou le tour du Vieux Port.
L’a choisi le tour de Vieux Port.
Elle s’accroche à mon bras et hop, nous déambulons.
Le matin, elle a même regardé les vitrines de la rue de Rome, mais dimanche tout est fermé.
la reine mère
–
Préicsion: titre qui renvoie à la mère de la Reine, The Queen Mother, et non à E II R (Elizabeth II Regina)
précision
Dans la rubrique « Musées », nouvellement créée, le lecteur retrouvera le guide complet et en bon ordre des « Trésors des musées parisiens »…
@rose
Descendant la Rue de Rome, un soir au siècle dernier, pour aller me taper « Nuit et Brouillard » dans un cinéma d’Art et Décès, film qui avait bonne presse, une péripatéticienne m’interpelle d’une insoutenable invite :
» Eh gamin, viens ! Je te la mangerai toute ! »
Quelqu’un de culcultivé pourrait il me dire si j’ai raté quelque chose ?….
Pas « Les temps sauvages » de P. Manoukian, non.
» Temps sauvages » de Mario Vargas Llosa , recit sociopolitique » fruité « , sur une base historique, là :
https://www.lesechos.fr/2009/07/united-fruit-la-mere-des-republiques-bananieres-474488
Tweet: A l’occasion de la remise du prix Albert Londres ce 15 novembre, retour sur l’un des reportages les plus importants de l…
M’en vais farfouiller dans la bibli, voir ce qu’en disait l’homme de Londres… lol.
closer dit: à
Rose, ce n’est pas sa maman qui vient de mourir, c’est son papa…Et elle dit quelque chose comme: « ça ne lui aurait pas plu que j’annule »…Evidemment, vous me direz que c’est facile de faire parler les morts.
(pour info, la mère enterre son mari et son gendre et vit jusqu’à 93 ans après avoir eu 14 enfants. Une belle santé!)
Jazzi a écrit
Céline Dion vient de perdre sa maman.
Il n’a pas écrit son père. C koi ce schbinz, Closer ?
« Eh gamin, viens ! Je te la mangerai toute ! »
Peuchère, elle ne savait pas qu’il n’y avait déjà pas grand chose à manger à l’époque et qu’aujourd’hui il n’y a plus rien !
Quelqu’un de culcultivé pourrait il me dire si j’ai raté quelque chose ?….
JiCé
Vous n’avez rien raté.
@Bloom
et moi qui suis plus agée que la plupart d’entre vous je me souviens qu’il y a eu une fois ,qui restera sans doute , la seule fois dans l’histoire une reine mère douairière ,la reine Mary femme de Georges V ,grand mère de la tout jeune reine Elizabeth qui venait en 1952 d’acceder au trône
je revois ces pages de Match avec les trois reines qui suivaient l’enterrement de Georges VI
Pas mal à mettre dans une liste de « je me souviens!
un cinéma d’Art et Décès
fumer tue..surtout du tendron dveau
closer parle du film et nous de la réalité, rose.
Vous devriez avoir voir « Aline » avec Emma : une histoire d’amour absolu entre une mère et sa fille ! Amour aussi avec le père, les frères et les soeurs…
JiCé
Vous n’avez rien raté
c’est que le cucultivé cest du boulot qu’elle dit rosy
une histoire d’amour absolu
..c’est par tous les trous?
je revois ces pages de Match avec les trois reines qui suivaient l’enterrement de Georges VI
Pas mal à mettre dans une liste de « je me souviens!
..par les oreilles et ça tsort par les trous dnez
« pour aller me taper « Nuit et Brouillard » dans un cinéma d’Art et Décès »
Espèce de nécrophile !
Mario Vargas Llosa , recit sociopolitique » fruité «
asturiasse haussi lui a foutu sur la gueule?!..vargas va faire son discours avec un oeil au beurre noir et les lunettes nouarte cassées..’c’est un coup de ce cochon de raoul qu’est ce qu’on attend pour le nuker’
pour aller me taper « Nuit et Brouillard » dans un cinéma d’Art et Décès »
et les zombies triples vaccinés, bientôt dans les mk2 ! Freaks en direct, révisez votre Browning.
jacques tourneur dirfilou..le zombi
« ..c’est par tous les trous ? »
Je préfère l’expression « amour absolu » à « amour fusionnel », le boug. Cette dernière étant trop connectée à la psychanalyse…
…ce qui s’est exactement passé le 23 juin 1975, au 11 rue Simon-Crubellier, dans le 17e arr ?…c’est l’instant même de La Vie mode d’emploi.
Yves Michaud, je n’ai lu que L’Artiste et les Commissaires : quatre essais non pas sur l’art contemporain mais sur ceux qui s’en occupent, Paris, édition Jacqueline Chambon 1989 . Le titre dit tout. Juste après (?) Yves Michaud a été nommé directeur de l’École nationale Supérieure des beaux Arts.
Mais il n’a toujours pas compris que ce sont les artistes qui disent, en petit comité, quels sont les artistes qu’ils reconaissent.
Je vois qu’il est officier de la légion d’honneur et chevalier des arts et lettres. (Bien fait pour lui).
https://www.alamyimages.fr/photo-image-image-deces-du-roi-george-vi-londres-106499837.html
une histoire d’amour absolu
..c’est par tous les trous?
Non, ça ça doit être une histoire de c.l ordinaire. Pour ces raisons, 3 je crois, préférer l’extraordinaire.
dear Bougreau, Browning et Romero pour les effets du faillezeur. Laisson Tourneur, rolls frenchie d’olihoud, aux esprits clairs. Österreich assigne à résidence les non-vaccinés, qu’en pense radiofrance ? du lard ou du waldheim
En effet, je parlais du film Rose et je croyais que vous aussi… D’où tenez-vous votre information ?
Juste après (?) Yves Michaud a été nommé directeur de l’École nationale Supérieure des beaux Arts.
Et alors? 😉
ce sont les artistes qui disent, en petit comité, quels sont les artistes qu’ils reconaissent.
C’est à mourir de rire, il n’y a pas plus d’objectivité entre eux!
Österreich assigne à résidence les non-vaccinés, qu’en pense radiofrance ?
si c’est à la cave ça reste fusionnel qu’il dirait le herr doktor
Je vois qu’il est officier de la légion d’honneur et chevalier des arts et lettres. (Bien fait pour lui).
Quel rapport avec son dernier essai sur l’hyper-esthétique et les atmosphères?
« le lundi c’est histoire de cul ordinaire »..mais ça rime pas..tu sais que c’est un blog littéraire ici? quil dirait jicé
Croyez-moi, lmd, lisez son ouvrage ( celui de Yves Michaud ) et après on en parle.
Bien à vous.
Mais il n’a toujours pas compris que ce sont les artistes qui disent, en petit comité, quels sont les artistes qu’ils reconaissent
toutafé!..rénateau et toi keupu font et défont les zétoiles dans le ciel
Phil, êtes vous vacciné? A vous lire, vous témoignez d’une certaine réticence, les chinois nous ont bien eu avec leur P4 français, quel beau bordel ils ont fichu. Quelle autre parade que ce vaccin imparfait mais malgré tout efficace. J’espère que les médecins font remonter tous les effets indésirables aux ARS s’ils en constatent.
Je préfère l’expression « amour absolu » à « amour fusionnel », le boug. Cette dernière étant trop connectée à la psychanalyse…
j’approuve ton désir..et je dirais même qu’il honore platon..apulée..spinoza..kant..et surtout tous les bons et mauvais peintres sculpteurs..mais faut scasser un peu plus le cul baroz qu’elle dirait bonne clopine
Je me répète mais peu importe car rien de mieux a été fait depuis : Dwight Macdonald, Masscult and Midcult.
Ah, ses Hommes-Chats et sa Feline, bien incarnée ce me semble par Simone Simon…
Je ne fais ni défais rien, bouguereau, faudrait sortir de la mythologie.
êtes vous vacciné
et tatoué sur la fesse, ça fait plaisir aux vérificateurs dear bb. Les ars n’ont pas l’abs, too late, nous irons dans le mur, kiss me deadly.
Voyez…, Georges P?, qu’on a le mes mêmes souvenirs de mars 1975 à Paris, et donc que l’âge ne fait rien à l’affaire… c trop réconfortant, dhh+lmd. -… « C ’est notre Bonne Mère…. immensément bonne ». Oui elle est bien bonne, celle-là… Elle a eu un très beau dimanche et en aura bien d’autres, c’est son nouveau mode d’emploi, de la vie, même… Sa chance d’avoir une fille aimantée, parmi ses enfants… Radieuse et irradiante elle est. –
Ce matin, en attendant la bagnole au garage, achevé… « Sidérations » avancé sans relâche dans la nuit… Elle était prête, la caisse, mais comme je pleurais trop de bonheur,,, ((sont si rares les bons romans qui parlent de nos préoccupations urgentistes à partir d’un gosse difficile de 9 ans qui donne néanmoins de la force et de l’espoir à son papa, grâce au Neurofeedback)). Le garagiste mécano…, les mains encambouissées, a bin compris qu’il devait respecter mon émotion et la fin de ma lecture, me donner un peu de temps pour me remettre.
@ Je souhaite à l’herdélie (pro ou anti SF -< le genre, on s'en ouf), d'éprouver pareil bonheur régressif… Est devenu si miraculeux de pouvoir imaginer re-habiter des exoplanètes analogues à notre petite Terre grouillant de vie, alors que dans l'ancien monde, c'était totalement impossible….! Tt c'est un romancier astrobiologiste de grand talent qui nous le dit…,il nous parle aussi d'emma-michelle, car il y a toujours plein de téléscopages en nous autres, les terriens veules… Il nous prévient juste des conséquences funestes et heureuses d'avoir évité d'écraser un opossum sur une route du Wyoming.
Bàv aux bons erdéliens (sentimental toij – 15.1.21 @ 11.49)
Riccioti. Pas Ru.
Une sacrée pointure, le bonhomme.
Je vous le dis.
Je n’ai jamais rien pensé de l’art en général, que je lui ai dit, ni philosophiquement, ni esthétiquement…, car pmp/tptv c’était une catégorie conceptuelle qui n’entrait dans aucune de mes cases… Puis-je alors commencer à colmater la vacuité de l’une d’entre elle, avec cet essai Yves Michaud annonçant la mordelare…, sous la pression b-herdélique du moment ?… Ou me faut-il plutôt attendre le 4e tome à venir de l’immense saga de Michel Orfraie ?…
Dites-moi, le k. échoyant. avec une fiche résumé… Merci, d’advance,
Pourmapar, vous avez raison, je devrais lire le dernier livre d’Yves Michaux mais je ne suis pas sûr d’en avoir envie ; je me suis fait de lui une idée, un philosophe qui marronne que d’autres que des spécialistes d’esthétique et d’histoire de l’art aient de l’influence sur ce qui se passe, ce qui est montré, ce qui s’achète, le marché, etc . Il s’en prends aux artistes qui ne se conforment pas à son modèle de ce qu’est une « œuvre d’art» . Il dénonce.
Qu’il ait été directeur de l’École nationale supérieur des beaux arts le tire du coté de l’académisme et qu’il soit décoré le confirme.
L’audience des artistes est, bien sûr, façonnée par les commentateurs, les acteurs du marché, etc, mais je sais aussi que ce sont toujours des artistes qui découvrent les artistes, regardent les premiers ce qu’ils font, vont dans les ateliers, aident les très jeunes et leur donnent les pistes espérées. L’art c’est d’abord les artistes.
Pour JJJ et lmd :
Non pas lmd, il ne dénonce pas, il décrit une situation et analyse cette situation.Ce n’est évidemment pas la même chose!
L’art c’est d’abord les artistes.
Il s’agir là d’une affirmation péremptoire qu’il s’agit bien sûr de tempérer, lmd.
Depuis la grotte du Pech Merle, il a fallu des circonstances diverses et multiples pour qu’un homme ou des hommes que l’on peut appeler « artistes », accomplissent leurs gestes.
une catégorie conceptuelle qui n’entrait dans aucune de mes cases…
mais « l’art » de michaud n’est autre que lobjet de l’hestoire de lart..son dernier tronçon faisant vocabulaire « autodesignation »..vaguement surplombant le présent..comme dla sh dans les sh plutôt que dla fraise de veau..c’est pas un téméraire du concèpe et c’est vraiment tant mieux..il est trés -abordable- malgré son agrèg philo..il a un lourd passif sur le sujet..il en parle..et ceux qui s’interesse à l’art peuvent pas ne pas le prende comme un bon témoin de ces 40 dernières années frenchie..voilà tout..on peut le prendre simplement comme ça
@JJJ
je ne suis pas allée chercher la réponse .
donnez la moi
Dites moi ce qui se passe en ce jour de 1975 dans « la vie mode d’emploi »
@« c’est la France ça »
Vous avez mal écouté
Entré, 1
Entrée, 2
https://lesempio.blogspot.com/2019/02/giuseppe-pinot-gallizio-la-caverna_11.html
Entrée, 3
https://artslife.com/wp-content/uploads/2017/11/X9A4726.jpg
Lucio Fontana, Environnement spatial en lumière noire,
1948-49 / 2017, vue de l’installation à Pirelli HangarBicocca, Milan, 2017.
© Fondation Lucio Fontana
Photo: Agostino Osio
@ DHH, c’est dans le dernier chapitre de LVMD’E, où Winkler annonce la mort de Percival Bartlebooth…, (ce faisant, il boucle la boucle du roman immobile de sa vie)…
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« C’est le vingt-trois juin mille neuf-cent-soixante-quinze et il va être huit heures du soir. Assis devant son puzzle, Bartlebooth vient de mourir. Sur le drap de la table, quelque part dans le ciel crépusculaire du quatre cent trente-neuvième puzzle, le trou noir de la seule pièce non encore posée dessine la silhouette presque parfaite d’un X (…) », etc.
Bàv
Non.
C’est la France ça c’est ce qu’a dit la bosniaque.
Les mal-immigrés parlent comme ça de la France, qui a tous les maux. Face à leur perfection.
Et ne comptez pas sur moi pour vérifier.
@JJJ
merci
@ merci jmb (///et ceux qui s’interesse à l’art peuvent pas ne pas le prende/// pour une foik vous essayez d’argumenter !)… Bien vu… Je crois bien que c’est là tout mon pb… j’y arrive pas, »à m’intéresser » comme vous dites, ai jamais eu la motiv d’y faire entrer dans mes neurones ce que Michaud décrivait comme étant… Du reste ce « mot » m’a toujours fait fuir à couilles rabattues… Mais s’il n’y en a plus, parce qu’il est mohrt, eb ben tant mieux…, vas-j commencer à aller voir là dedans en subreptice, sans plus êt’en-travé par la glose autour de l’inventivité de certaines planètes solaires pour produire de la vie an-artistique… Car c’est bin là qu’est l’art, le lard, le lare, de l’artiste…, pas vrai ?
Pourmapar – oui, dénonciation – je ne peux parler que de ce livre dont je me souviens (L’artiste et les commissaires) ; il y a des illustrations, noir et blanc, de mauvaise qualité ; et pas une n’illustre un commentaire positif, ni sur un artiste, ni sur une exposition.
«Il s’agir là d’une affirmation péremptoire qu’il s’agit bien sûr de tempérer» (L’art c’est d’abord les artistes). Ce n’est pas péremptoire, c’est une simplification qui entérine une réalité, ceux qui créent les idées formalisées ce sont les artistes, les musiciens, les écrivains, pas les commentateurs ; et la qualification d’artiste est récente . Quant aux images pariétales préhistoriques, il (me) reste à les classer dans telle ou telle ontologie…
Viens d’aller écouter l’oiseau, finalement…
https://www.youtube.com/watch?v=H4TB-9giO_I
Franchement ! Y’a de quoi nous faire une AVC erdélienne… Donc l’art est fini… l’Art, chez Michaud, ce sont les arts des musées, les arts visuels et plastiques…. Il y en aura d’autres, dit-il, ceusses là n’ont pas été dominants au cours de l’histoire occidentale… mais les trois critères qui définissaient l’esthétique qui les contenait jadis et naguère (le critère financier, le critère événementiel (mondain ?), et le critère de correction politique et morale), ne seraient plus opératoires au 21 e S., ces trois composantes étant désormais pulvérisées au profit (?) de nouveaux univers artistiques sonores approfondis chez les nouvelles générations…
Bof, bof…! pourmapar, je n’y vois guère plus qu’un essai nostalgique et désabusé d’un type faisant partie d’une élite qui pensait détenir les clés de l »interprétation des critères de légitimité esthétique… un type qui s’aperçoit avoir désormais perdu toute maîtrise sur le prétendu ‘n’importe quoi’ artistique où… en l’occurrence, tout se vaut et se vaudrait…
Bref, pas de quoi fouetter un châs…, me semble-t-il.. Évidemment je comprends bin que ça nous fout en l’air 80% de la passion des erdéliens branchés sur cet essai, dans la mesure où on les sent associés au bien fondé des gestes d’apprentissages promotionnels ds z’arts plastiques à l’EN…, alors qu’il y aurait tant d’autres urgences pour eux à convaincre leurs successeurs en poste à se reconvertir fissa dans la compréhension et l’accompagnement d’autres besoins de transcendances, de suppléments d’âme et d’espoirs, parmi les jeunes générations (à éduquer ?)…
https://blog.artsper.com/fr/la-minute-arty/petit-guide-de-lart-conceptuel/
Qu’est-ce qu’ils disent, qu’écrivent-ils, que donnent-ils à voir
Bérénice, c’est vous ? !
https://www.cairn.info/revue-essaim-2011-2-page-119.htm
« 3Toujours en 1966 et les années suivantes, Graham publie dans des revues scientifiques une annonce invitant un journaliste d’information médicale à décrire les phénomènes éprouvés par un homme après l’orgasme : « On avait pu constater qu’il n’existait aucune description dans la littérature, car c’est un aspect “antiromanesque”. C’est peut-être un refoulé culturel, un “trou” inhérent au conditionnement psycho-socio-sexuel du comportement. Je voulais que l’“œuvre” soit simplement ce “trou” psycho-socio-sexuel, découpé sur la page sous forme d’imprimé [2]
[2]
D. Graham, Selected Works, 1972, cité dans Dan Graham, Œuvres…. » Graham ne reçut aucune réponse. Il intitula l’écrit témoignant de son projet et de sa mise en acte Detumescence. »
D, oui ce n’est pas encore mon fantôme!
Ah bon. Vous devez vous rappeller que vous êtes l’un de mes rares, réconfort dans cette existence. Alors vous devruez être contente et me le dire.
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