Prière de ne pas distraire la musique de son secret
Vous est-il jamais arrivé de lire en stéréo ? Ou plus précisément : deux livres en même temps ? Non pas l’un après l’autre et réciproquement mais bien l’un avec l’autre dans la mesure où ils s’éclairent mutuellement ? L’expérience vaut d’être tentée, ne fût-ce que pour voir comment ils entrent en résonance. Dans la main gauche Portrait de l’Artiste en Glenn Gould (212 pages, 22,90 euros, Pierre-Guillaume de Roux), titre joycien dont il faut bien respecter la majuscule dans le A, de l’écrivain Maxence Caron ; dans la main droite, L’Abécédaire d’un pianiste (A bis Z eines Pianisten. Ein Lesebuch für Klavierliebende, traduit de l’allemand par Olivier Mannoni, 150 pages, 15 euros, Christian Bourgois éditeur) du pianiste Alfred Brendel.
J’ai lu le premier en continu, comme il se doit pour ce qui se présente comme un « Tractatus de Musica » tout en m’interrompant pour piocher dans le second chaque fois que nécessaire, comme il sied à un dictionnaire très personnel aussi didactique, aphoristique, fragmentaire, anecdotique que technique, tout en assurant que la littérature est son second métier ( !). Un point commun : on a parfois l’impression d’écouter l’une de ses anciennes émissions de France-Musique qui ressemblait fort à un « Les pianistes parlent aux pianistes ». C’est dire que dans certaines pages, on se sent légèrement exclu si l’on n’est pas l’un des plus grands interprètes de son temps (Brendel) ou un philosophe, spécialiste de Bach. Ce n’est pas qu’un question de lexique mais de présupposé, leurs lecteurs étant manifestement censés être des familiers du clavier ou, à tout le moins, musiciens croyants et pratiquants. Ce n’est pas grave, la passion du piano étant la plus forte.
Passons sur l’exaspération provoquée par le premier quart de l’essai de Maxence Caron, non pour son contenu à l’unisson avec le reste, mais pour sa forme, ses phrases amphigouriques, ses formules boursoufflées, où l’auteur, qui se fait pamphlétaire, s’enivre de ses adjectifs et se grise de ses obscurités. Après, ça s’arrange, le fond restant le même. Le fait est que l’auteur s’identifie tellement à son héros qu’il n’en retient parfois que la radicalité, dans laquelle il se drape. Il semble partager ses inimitiés, ses haines, ses obsessions, ses choix sans la moindre distance. Et pourtant, malgré cela, ou peut-être grâce à cela, le courant passe. Quant à Brendel, il se contente d’être lui-même sans jouer à l’écrivain qu’il croit être. Voyons voir.
Pour Glenn Gould interprété par Maxence Caron, la solitude n’est pas une fin mais le moyen d’atteindre la sagesse par la contemplation. Elle s’acquiert et s’entretient, non comme un muscle mais comme une grâce. S’il avait vécu plus longtemps, qui sait si Gould, poussant sa logique jusqu’au bout, n’aurait pas renoncé également à l’enregistrement pour atteindre la sonorité la plus pure dans l’ascèse de l’isolement. La musique n’aurait plus alors besoin de l’épaisseur de la sonorité pour se manifester à l’esprit. De cette écoute intérieure de la musique enfin vécue comme un absolu tendu vers l’intemporel, il aurait fait un livre, qu’il semble d’ailleurs avoir commencé. Son art poétique eut révélé la sagesse de l’excentrique.
BAROQUEUX Difficile de dire si Maxence Caron tient de Gould le mépris qu’il leur porte. Il les tient pour des bibliothécaires, des archivistes, des antiquaires que la technologie effraie, et gêne dans l’exploitation de leur filon. A ses yeux, le souci d’authenticité au cœur de la question baroqueuse, polémique récurrente, est devenue « le pique-nique préféré des impuissants et autres esclaves ». Bien entendu, Gould ne clavecinise pas son piano car ce serait un contre-sens que de tenter de jouer une fugue de Bach dans un esprit d’époque.
Alfred Brendel : « Dans l’après-guerre, lorsqu’on livra les œuvres pour piano de Bach aux seuls clavecin et clavicorde- et cela dura des décennies- on priva le jeune pianiste de la source principale du jeu polyphonique. Que Bach ne convienne pas au piano à queue moderne est aujourd’hui, pour la plupart d’entre nous, un point de vue dépassé. Sur les instruments actuels, on peut individualiser chacune des voix et donner de la plasticité au déroulement contrapuntique d’une fugue. On peut jouer de manière orchestrale, atmosphérique, colorée et chantée. Vouloir limiter ainsi un compositeur qui fut lui-même l’adaptateur le plus résolu de ses propres œuvres et de celles des autres peut paraître trompeur, même pour certains praticiens de l’historicisme musical »
BEETHOVEN Le compositeur le plus joué par Glenn Gould après Bach.
Alfred Brendel : « Il est des préjugés tenaces contre lesquels nous devons toujours agir : par exemple l’idée d’un Beethoven constamment héroïque et titanesque, ou encore l’image d’un Beethoven dont le style tardif se serait totalement échappé vers l’ésotérique. N’oublions pas qu’à sa manière fort personnelle, il pouvait être gracieux et que son intériorité chaleureuse, sa tendresse, son dolce, le caractérisent tout autant que sa véhémence et son exubérance ».
TECHNIQUE Gould s’en sert sans y être asservi. L’art est tout sauf une technique. Il faut l’absorber pour mieux l’oublier, la technologie permettant de dissocier l’art de la technique.
CONSERVATOIRES Maxence Caron, ancien premier prix de piano à 14 ans, les désigne comme des lieux où règnent « carriérisme et gras esprit d’émulation sèche ». On y croise des « profounettes de Conservaboire ».
TRANSCRIPTION Synonyme : désorchestration.
Alfred Brendel : « Je ne suis ni un adversaire de toutes les adaptations ni un partisan de l’adaptation permanente. Mais je suis contrarié lorsque des interprètes considèrent des chefs d’œuvre comme un simple matériau brut pour leurs digressions personnelles et lorsqu’on manie la musique comme le font certains metteurs en scène contemporains avec des pièces de théâtre (…) Parmi les œuvres musicales importantes, on en trouve sans doute peu, après le baroque, qui ne produisent pas un effet plus convaincant dans leur version originale (…) Quel que soit le plaisir que l’on peut éprouver du fait de transcrire pour orchestre la Wanderer Fantasie de Schubert, pour moi le texte original continue toujours –et surtout dans ce cas-là- à triompher ; et c’est d’autant plus vrai depuis que nous disposons du piano à queue moderne qui permet, sous des mains imaginatives, de se substituer à un orchestre. »
TECHNOLOGIE Le geste de Gould tirant définitivement un trait en 1964 sur le public et sur la scène nécessairement bourgeoise par ses rituels, n’est pas seulement une dénonciation de la marchandisation de l’artiste, de la machinerie des concerts que Caron dénonce comme « un système gladiatoresque », mais la preuve de sa capacité à maîtriser la technologie contre la machine, à absorber la technologie dans l’art.
HUMOUR Chez Gould, il est aussi cruel que détaché, surtout lorsqu’il vitupère contre ses contemporains. Dans un texte de 1974 intitulé « Epître aux Parisiens » (entendez les Pharisiens, les mondains de concert) destiné à préfacer une émission, il fait preuve d’un humour que son portraitiste analyse comme un mélange de non-sens anglais et de cynisme français. Un exploit pour un Canadien.
Alfred Brendel : « L’un des grands mérites de Haydn est d’avoir introduit l’humour dans la musique absolue. Tandis que Mozart donnait libre cours à son humour dans l’opéra, Haydn et Beethoven en disposaient sous forme de transgressions à l’ordre classique. Ensuite, pour les romantiques, l’ordre ne fut plus quelque chose de donné. Ils devaient le découvrir ou le créer en eux-mêmes. La musique du XXème siècle eut en Ligeti ou en Kagel des comiques grotesques de haut niveau. (_…) On concède le soupir à la musique, on ne lui accorde pas le rire. L’ordre ancien de l’esthétique, qui plaçait la tragédie tout en haut et la comédie tout en bas, continue à produire ses effets (…) La musique impose l’ordre face au chaos et à l’absurdité de la vie ; Quand elle intègre le non-sens, par exemple dans la finale de la sonate tardive de Haydn Hob. XVI/50, elle va à l’encontre de cet ordre et le sape. On appelle cela l’humour »
BACH Le patron et le saint-patron pour l’un comme pour l’autre. Mais pour Gould, entendez-le comme synonyme de fugue, donc comme écriture contrapuntique. Hors du contrepoint, point de salut.
FUGUE Plus qu’une forme musicale, un art de vivre grâce au génie de Bach. La fugue marqua la rencontre la raison et la transcendance. Ne jamais oublier la signature SDG sous la dernière fugue du Clavier bien tempéré : « Soli Deo Gloria »
CONTREPOINT Jusque dans le montage des bandes magnétiques, dont Caron loue son grand art, Gould fait du contrepoint. On aura compris qu’il ne fait pas de la spontanéité un gage de perfection dans l’exécution.
SCHUBERT Son œuvre pléthorique, incapable de développer et d’éclore, souffrira d’avoir été étrangère à l’esprit de la fugue. Le contrepoint lui eût permis de ne pas ressasser le XVIIIème siècle et de parvenir plus rapidement à exprimer son génie.
Alfred Brendel : « Schubert est peut-être le phénomène le plus étonnant de l’histoire de la musique. L’abondance de ce qu’il a accompli dans une vie de trente et une années seulement échappe à toute comparaison (…) Qu’un compositeur n’étant pas lui-même un virtuose du piano ait eu un tel instinct pour les possibilités nouvelles, et mêmes futures, du son et de l’écriture pianistiques, voilà qui touche au miracle (…) Le style pianistique de Schubert dément l’opinion selon laquelle il n’a rien ajouté de nouveau à la composition pour piano. Il a une aura pianistique très personnelle – qui ne peut toutefois agir de façon efficace que si la pédale est utilisée à bon escient. La manière qu’a Schubert de noter les œuvres pour piano est souvent prise de manière trop littérale, et donc mal comprise ».
MUSIQUE Nombre de mélomanes lui demeure totalement étrangers faute de savoir y participer et s’y convertir. C’est possible ? On aurait aimer savoir comment. Mais il n’y a pas que les mélomanes :
Alfred Brendel : « Existe-t-il des musiciens qui n’aiment pas la musique ? Je crains que oui. Existe-t-il des musiciens qui n’aiment pas le compositeur ? mais certainement. (…) Existe-t-il des pianistes qui n’aiment pas le piano ? (…) J’aime le piano en tant qu’idée platonicienne- et j’aime les pianos qui s’en rapprochent »
INTERPRETATION Surtout ne jamais perdre de vue qu’elle consiste à mettre à nu sa propre singularité en la confrontant à la singularité de l’œuvre. Mais on ne saura pas ce que Caron désigne, et à qui il pense, lorsqu’il évoque avec élégance « des interprètes porcins »
MOZART Gould, et donc Caron, ont en horreur « le divin Mozart » car sa musique serait déductive. Loin de toute compromission avec la mondanité, la musique doit être une nuit transfigurée mais surtout pas « eine kleine Nachtmusik ». L’auteur a son idée sur la raison de l’inachèvement de la Grande Messe en ut et du Requiem. Rien à voir avec les explications romantiques. Pour la première œuvre, c’est le choc de la découverte de l’œuvre de Bach ; pour la seconde, la fugue. Au passage, il expédie en une formule qui est bien de lui le film de Milos Forman Amadeus sans citer le nom ni le titre : « Le très-mauvais film d’un mouvimaque tchèque égaré dans le sans-odeur des monnaies californiennes ».
Alfred Brendel : « Ses sonates pour piano me paraissent sous estimées, à quelques exceptions près (…) Mozart n’est ni en porcelaine, ni en marbre, ni en sucre. On doit soigneusement éviter le Mozart mignon, le Mozart parfumé, le Mozart extasié, le Mozart Noli me tangere, le Mozart enflé de sensiblerie et le Mozart incessamment poétique. Une clef importante pour jouer Mozart est le chant d’opéra. »
MUGISSEMENTS Ce que d’autres appelleraient les fredonnements de Gould. Caron assure qu’ils relèvent de « la glossolalie au sens mystique ». Juste des paroles inconnues que certains de ses producteurs voulurent gommer de ses disques. Les pauvres n’avaient pas compris. « Ne connaîtront que ceux qui en sont » dit-il à propos, mais on peut imaginer que tout son essai peut se ranger sous cet élitisme désignant les happy few du gouldisme canal historique.
CONCERT In fine, Caron évoque deux grandes figures par rapport à son héros : Menuhin et Rubinstein. Deux bêtes de scène. Tout ce que Gould n’était pas. Tout ce qu’il détestait. Pourtant il admirait le violoniste pour sa capacité à habiter son intériorité, à garder intacte son humanité (générosité, égalité d’humeur, ouverture aux autres) en dépit de tout ce qui fait le gâchis des concerts. Quant à Rubinstein, ce n’est pas seulement qu’il méprise en lui le bourgeois enflé, narcissique, cabotin, salonnard : il le définit avec un certain détachement comme un homme de grands hôtels quand lui se veut un homme de petits motels. Il n’est pas interdit de voir une critique de la société du spectacle derrière le ricanement que provoquent en Gould les représentations que donne Rubinstein, comme on le dirait de pièces de théâtre. Mais avant la rupture de 1964, n’en était-il pas lui-même, et pleinement si l’on songe à ses rituels ?
« Alfred Brendel : Le pianiste monte sur scène, s’assoit, bouge à droite et à gauche sur son tabouret, le règle, ouvre et ferme les yeux, pose à plusieurs reprises les doigts sur le clavier, touche ses genoux, prend un élan et commence. Peut-être vaudrait-il mieux qu’il essaie le tabouret (et le piano) avant le concert, afin de pouvoir commencer à jouer sans trop d’histoires ? »
PUBLIC : ennemi public No 1
CONCENTRATION : Excentrique par excès de concentration, on disait Gould obsédé alors qu’il n’avait au fond que de la suite dans les idées. Il était à la recherche de l’unité invisible de l’œuvre interprétée, laquelle, même s’il s’agissait d’une Fugue de Bach, ne laissait pas prévoir son déroulement et encore moins sa fin quand on en était encore qu’à l’attaquer. La révélation ne vient qu’en cours de route, à force de réorientations, ce qui est impossible en public.
Alfred Brendel : « Outre la richesse sans borne du contrepoint chez Bach, n’oublions pas le Bach audacieux et évoluant librement, celui des fantaisies et des toccatas : dans la fabuleuse Fantaisie en la mineur (Prélude) BWV 922, aucune mesure ne révèle où va mener la suivante ».
GOÛT Gould alias Caron identifie explique l’exécrable niveau des concerts par « l’effarant » mauvais goût du public, sa sensibilité stupide à la virtuosité et son pouvoir dictatorial sur les programmes – sans songer que la faute en revient à la faiblesse démagogique des producteurs et directeurs de salle qui ne cherche qu’à lui complaire en ne lui donnant à écouter que ce qu’il connaît déjà afin qu’il reconnaisse aussitôt. Or le public ne saurait par définition ni lire ni vivre une partition
Alfred Brendel : « Il est assurément inadmissible de maltraiter la dernière sonate de Beethoven, qui clôt la série de ses trente-deux sonates pour piano et mène irrévocablement au silence, en en faisant une pièce de début de programme. Pareil choix montre que l’interprète n’a pas compris la valeur psychologique de l’œuvre ».
Fin de l’expérience. On pourrait la prolonger encore en décryptant plus avant les clins d’œil de Brendel qui ne nomme pas toujours ceux qu’il désigne, surtout lorsqu’il les critique. Ainsi quand il déplore haut et fort les pianistes qui séparent artificiellement les accords finaux de ce qui les précède, n’hésitant pas à défigurer une fin énergique par un diminuendo. Cette expérience de double lecture aura été aussi le théâtre d’un moment unique de la musique pour piano : l’exécution virtuelle par Glenn Gould et Alfred Brendel d’une œuvre pour piano à quatre mains qu’ils n’ont jamais interprétée, et pour cause. Ils ne parlaient pas la même langue, bien que la musique fut leur langue commune. Dans son Abécédaire, Alfred Brendel cite nombre de grands pianistes en exemple, mais pas une seule fois Glenn Gould. Dolce, Brendel l’entendait comme « intime » après l’avoir fait passer par toutes les nuances de l’allemand süss. Gould, qui sait… Mais comme y invite Maxence Caron en une formule cette fois inspirée, gardons-nous de trop faire parler la musique, de la surinterpréter car on risquerait de « la distraire de son secret ».
Au fond, ce petit dialogue indirect entre ces deux grands pianistes trouverait à s’accorder surtout sur un point de désaccord plus fondamental que la fidélité aux instruments anciens ou la fidélité à la partition : leur rapport au silence. Chez Gould, il est l’absolu de la musique, le point de non-retour vers lequel il s’apprêtait à basculer, prêt à renoncer à l’enregistrement après avoir effacé le public, avant de se tourner exclusivement vers la grâce de sa musique intérieure, sans instrument. Chez Brendel, le silence est partout dans la musique, il la tient, comme il devrait soutenir tout concert puisqu’en anglais, l’anagramme de listen est silent, ramenant le silence à l’écoute.
(« Glenn Gould et Alfred Brendel » photos D.r;)
1 082 Réponses pour Prière de ne pas distraire la musique de son secret
Vous devriez lire le bouquin de Marty, Pourquoi ont-ils pris Sade au sérieux?
Sade est continuellement dans la prose blasphématoire, il faut tout lui expliquer. Raison principale pour laquelle on l’a enfermé puis envoyé chez les fous.
« La Philosophie dans le boudoir ou Les instituteurs immoraux est un ouvrage du marquis de Sade, publié en 1795. Le sous-titre est Dialogues destinés à l’éducation des jeunes demoiselles. »
Preuves ou pas, c’est ce que je suis, un équilibre absolument divin et rare entre deux tendances contradictoire, un penchant poétique et hypersensible qui me permet de pénétrer très loin dans les texte parce que je les sens avant de les comprendre (même Stendhal, mais ce que je sens n’est pourtant rien à côté de ce qu’on peut y sentir, que je sens ne pas sentir…) et un grand esprit très rationnel, qui aime manier les réflexions critiques sur la littérature parce qu’il n’y a pas de création profonde sans une réflexion profonde sur la création. C’est ce qui manque à la plupart de ceux qui se targuent d’écrire aujourd’hui et dont il ne restera pas grand chose à cause de ça. Flaubert comme Proust, par exemple, ont passé de longues années à réfléchir avant de pondre.
Parce que par ailleurs, Sade n’était pas plus libertins que les autres à son époque.
Widergänger dit: 23 octobre 2014 à 12 h 02 min
Un texte est toujours à comprendre et à lire comme une solution en équilibre fragile qui néanmoins se tient, entre des choses incompatibles entre elles.
[…] et qui réussit à nous le faire croire comme une évidence qui s’impose de soi, c’est d’y avoir mis un snob comme Swann. Toujours la même chose, alliance des choses incompatible
Ben oui ; on ne peut pas etre snob et vivre a la campagne. on peut etre riche ou russe ou un russe riche mais pas snob. pck la ville seule console les snobs de l’etre.
Toujours la même chose, alliance des choses incompatible
Reconnaissons toutefois que cette incompatibilite en son essence meme est la seule a nous permettre de concevoir l’existence d’une ame au sein d’un corps (cf. le concept d’entelechie chez Aristote).
salut a tous,
rose
Le blasphème présuppose l’existence de D.ieu. Sinon, c’est du bidon. Et c’est bidon chez Sade.
« Flaubert comme Proust, par exemple, ont passé de longues années à réfléchir avant de pondre. »
Oui, mais qui de la poule ou de l’oeuf a précédé l’autre ?
Le libertinage a plusieurs tendances. Sade c’est la tendance assassine. Pas toute. Vivant Denon, pas du tout ! Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
..Pierre Assouline a du mérite d’avoir signalé la disparition de Claude Ollier. quel itinéraire un peu secret marginal, intéressant, attentif et marqué par l’art du cinéma. lui-même rédigea dans ses romans du « Je- camera.. » Le paradoxe de Claude Ollier, c’est que justement, dans ses meilleurs récits, comme » l’été indien »(1963 )ou « l’échec de Nolan » (1967) il raconte les aventures d’un héros(Morel dans « l’eté indien » de new york jusqu’au Mexique ) et qui disparait dans un halo mystérieux .Il prend toujours la narration avec ses incertitudes, ses reprises, des fragilités. Une coefficient d’incertitude.. dans ces récits un peu pâles dans les couleur.. écrits avec une sobriété et une construction impressionnantes .c’est un des plus étonnants et des plus personnels du « nouveau roman » .. mais feutré, décalé, marginal comme s’il avait voulu lui-même multiplié les blancs et les traces qui s’effacent.. une vibration particulière, une discipline que je trouve aussi belle que celle d’un Simenon mais marquée par Robbe- grillet, avec ce souçi que tout roman est une « enquête » menée avec hésitations, et un sens de l’effacement de tout dans le temps.. quel beau thème..retournements, et multiplication vertigineuse des sens..ça n’aboutit à aucun révélation, mais à des incertitudes.
.
.derrière cette discrétion il savait parler d’un Fritz lang(car il fut un excellent critique de cinéma) et un grand écrivain pour décrire un simple paysage du désert en algerie.. ceux qui l’ont lu ont été beaucoup marqué. Entre amis écrivains, on parlit de lui avec gfande estime car il y avait chez lui à la fois effacement, refus des effets faciles, et concentration visuelle magnifique.
Il est clair et avéré que c’est la réflexion qui a précédé la création. Chez Flaubert comme chez Proust
Sade assassin, vous avez lu ça où ?
(ben euh…comme si la methode couet marchait, je suis grand je suis beau je suis fort et je suis intelligent ?)
et c’est pour cela que le Royaume d’Emmanuel Carrere n’a rien de convaincant, ni de passionnant hormis les cent dernieres pages consacrees a Luc.
Chez JJ Pauvert ! Pauv’ buse de Baroz !
Bon, j’ai assez lu de sottises pour aujourd’hui ! Je m’en vais travailler à mon chez d’œuvre en péril.
Après Claude Ollier, je vous parlerai peut-être de Jean Ricardou, né à Cannes en 1932, le moment venu ?
« Chez moi, jamais aucune confusion. Je suis au contraire un esprit qui sait équilibrer une grande sensibilité, un esprit poétique et un esprit très rationnel »/
je suis, un équilibre absolument divin et rare »
Moi c’est pareil
Alors qu’il rêvait de devenir pianiste, Thomas Bernhard alias Weirtheimer entra un jour dans une salle de répétition et fut saisi d’effroi. Un prodige jouait comme jamais il ne jouerait : Glenn Gould.
Thème du « Naufragé » (Weirtheimer)? Douloureux monologue sur la condition humaine travaillé comme une partition de Bach (Variations Goldberg).
Gould trempait ses bras dans l’eau chaude avant de jouer
toi phil des fissfeuck avant de poster..de la supériorité de la vieille europe aurait dit morand
M’enfin! on peut employer une illusion ou la création de quelques impuissants comme on emploie un trait d’esprit, seulement les crétins s’offusqueront. Enfin, on peut l’employer sans la prendre sérieusement.
« Tout le monde comprend, sauf vous. Je me poserai des questions sur votre QI à votre place./
Vous devez avoir un pot de compote à la place du cerveau, mon pauv’ Baroz ! Consultez, vous en avez besoin. C’est Pargkinson et Alzheimer qui vous guette comme vous êtes parti ! Soignez-vous./
vous n’êtes pas capables de comprendre quoi que ce soit à ma pensée critique. Ça vous dépasse, vous n’êtes que des lecteurs primaires. »
on rigole bien aujourdhui
C pck E.M ne relie pas le corps a l’ame. Sa crise mystique d’il y a vingt ans est lie a son malaise ds son couple ds son corps etc.
Il croit en D.ieu comme un qui cranit de se noyer se precipite sur la bouee de sauvetage.
Ce faisant, il loupe toute la dimension de D.ieu.
Il l’utilise lorsqu’il en a besoin. Fini le besoin fini D.ieu.
Mais il prend soin qd meme de s’acheter sa piaule de vacances a Patmos la ou Jean a ecrit l’Apocalypse ; c’est a dire qu’il ne se lache pas des deux mains pck’on ne sait jamais : g cru, je ne crois pas, mais s’il le faut je croirai de nouveau ( et la symbolique du chas de l’aiguille et du chameau, lui riche ds l’impossibilite de passer pasr le chas) mais c bon d’etre riche souligne-t-il nombre de fois au cours des 600 pages.
Re-bof, il ne m’a pas convaincue.
Thomas Bernhard alias Weirtheimer entra un jour dans une salle de répétition et fut saisi d’effroi
comme quoi l’effroi pourrait montrer la suffisance dans le jugement..la lucidité sur soi etc..
Il est clair et avéré que c’est la réflexion qui a précédé la création.
La je suis moins sure : je pense vraiment que c parallele.
Le blasphème présuppose l’existence de D.ieu.
rhétorique de de petit séminaire..même un jésuite dodelinerait..ha t’es comme zouz tu crois pas en la puissance du verbe..peuh..disparais petit satan
Widergänger dit: 23 octobre 2014 à 12 h 27 min
L’antre fumeux antisémite de la rue d’Ulm…
Monsieur, si vous m’importunez encore une fois avec ce ragot injurieux, qui me confond avec un autre, je vous soufflète et vous demande raison sur le pré.
— Pour ce qui est de mes deux témoins, je vais les choisir en fonction de la conversation que nous aurons ensuite en buvant un canon, pour évoquer cordialement votre trop courte vie (« Pour saluer »…).
Je crois savoir déjà qui je vais choisir.
Attends voir, si je choisis le pistolet et si j’en crois bouguereau, il me suffit de me déguiser en Kro pour que la balle de ce nigaud me rate de deux/ trois mètres…
Une grande canette en plastique, avec 5 ouvertures, ça doit bien se trouver.
non, ça c’est comment l’attester, ça. Merci
Bel éloge doux, discret et sensible d’Ollier à 13h01. Ça donnerait presque envie d’être mort pour en recevoir un semblable. Et celle de le découvrir, assurément.
Ah! ueda, inutile de chercher dans le raffinement de l’oeil, ce monsieur n’est fort qu’en crachats, arme qui n’a pas une longue portée…
belle petite mort a 13h25..polo tu fais fort
arme qui n’a pas une longue portée…
ldracul n’est pas léthal qu’il dit zouz..moi chus comme dédé..j’en ai de la reconnaissance..il nous laisse en vie..c’est pasqu’il le veut bien dabord..merci dracul!
Dracul, son arme ?
La lunette de chiotte !.
« putain comment il va vous éclater la tête avec des armes et des balais »
À mon avis, renato, notre ami doit tirer en clignant de l’oeil et en tirant la langue.
Mais je peux parfaitement me tromper.
Mais je peux parfaitement me tromper.
C’est à dire que ça va le faire loucher, de l’oeil.
L’oeil qui reste.
Et avec ça, il va bien réussir à se tirer dans un pied.
Bien fait !
A propos de l’irrationnel, du divin, du magique dans nos vies, on peut aller voir le dernier film de Woody Allen, qui aborde ce thème sur un ton léger et éblouissant ! Au départ, le héros est un sceptique convaincu, comme renato, mais il va croiser sur sa route pleine de certitudes, une jeune fille en fleur, qui n’est pas à priori son genre…
http://larepubliqueducinema.com/magic-moonlight-2/
« Widergänger dit: 23 octobre 2014 à 12 h 30 min
De toute façon, vous n’êtes pas capables de comprendre quoi que ce soit à ma pensée critique. Ça vous dépasse, vous n’êtes que des lecteurs primaires. »
COMME Sisyphe, il faut imaginer WIDANGEUR heureux!
Bel hommage de Pauledel à l’œuvre de Claude Ollier.
Sans pousser jusqu’à Marienbad, l’auteur de nouveau roman est bien soluble dans la critique de cinéma.
Un grand moment la tentative de Barozzi de mettre en lumière les apories du sieur Alba !
Bon les crachats c’est tout bon, mais enfin il ne faut pas oublier de rajouter cinq noeuds si le vent est de face et supérieur à dix noeuds, encore cinq noeuds si le vent est supérieur à vingt noeuds, etc…
Ueda 13h46 Autodérision ou fruit de votre sens aigu de l’observation ? c’est un comportement rarement rencontré mais toutefois des ethnologues dont on taira la provenance rapportent qu’ils ont vu lu et entendu le bruit de la détonation.
Au départ, le héros est un sceptique convaincu, comme renato,
Pas d’accord, quand il se déguise en « fame » , c’ est une fausse sceptique!
Jacques Barozzi la plus mauvaise des critiques presse dit que c’est un film trop bavard, Est-ce vrai?
Portrait de l’Artiste en Glenn Gould
ou en jeune singe ? La photo du haut s’accorderait plutôt à ce titre.
Bon sang ça se bouscule tuot ce que j’ai à faire, du coup je n’ai pas répondu à Paul sur Salgado et les images…
D’abord, lui dire qu’il a raison, bien entendu, et tort à la fois.
Raison parce qu’il est parfaitement exact que nous sommes sursaturés d’images, et qu’elles sont de plus en plus autocentrées (les « selfies »); tort parce que si nous n’y pouvons rien, nous pouvons cependant apprendre suffisamment à regarder pour trier le bon grain de l’ivraie.
Le vingtième siècle a été le lieu du basculement de l’écrit à l’image, bien sûr. Mais doit-on pour autant, tristes comme Job, nous exposer à la déferlante sans plus de discernement qu’Icare montant vers le soleil, et s’y brûlant ?
Et c’est là, justement, qu’un type comme Salgado prend toute sa signification. Je ne vais pas revenir sur l’expo formidable de l’année passée, mais raconter juste une anecdote bien clopinienne, pour tenter (tenter !) de convaincre Paul.
Ca se passe lors de ma dernière escapade à Paris, et Clopin a entrepris d’amadouer le métro, pour que je ne m’en détourne pas avec horreur, comme je le fais d’habitude. Aussi m’a-t-il prise par la main et plantée devant une affiche annonçant la sortie du film de Wenders. Cette affiche est constituée d’une photo de Salgado, je pense que tous les parisiens l’ont vue : c’est une scène de foule. On y voit des hommes aux jambes nues, en mouvement, et au centre un couple : un soldat armé, et un homme quasi nu en train de s’emparer, ou de tenter de s’emparer, de l’arme du premier.
Les dimensions de l’affiche sont considérables, mais c’est bien entendu une constante chez Salgado. Et la photo est dans ce « noir et blanc » qui fait grincer les dents de Paul, qui y voit maniérisme et détournement par le photographe, à son profit, de la misère du monde…
Moi j’ai vu dans cette photo tout l’inverse.
Bien sûr, on se doute bien que cette scène violente se déroule effectivement sur fond de misère sociale. Il s’agit, très vraisemblablement, de l’intervention armée d’un gouvernement sud-américain dans un camp de travail « sauvage » (l’exploitation non autorisée d’une mine ?) et les hommes aux jambes nues sont des ouvriers défendant leur gagne-pain : cruel paradoxe, que de défendre ainsi ce qui contribue à votre condition d’ opprimé, mais enfin… Les canuts, en leur temps, luttaient bien contre la mécanisation de leur profession…
Mais l’essentiel est ailleurs que dans le témoignage social, la « prise de vue instantanée » d’un moment précis. Salgado, à mon sens, touche là un des fondements même de l’art humain, de tous temps : un aspect mythologique de l’être humain, dans le couple qui s’affronte au centre de l’image. Car l’ouvrier nu est un colosse, ni plus ni moins, et il me paraît évident que n’importe quel sculpteur antique, n’importe quel peintre de la renaissance, n’importe quel artiste contemporain, aurait été obligé, comme Salgado, de s’emparer de cette scène et de la « reproduire », suivant un mode ou un autre, mais avec la constante d’en faire une oeuvre d’art : car il y a dans cet affrontement une telle part d’humanité qu’il faudrait avoir les yeux bouchés, et tous les sens en compote, pour ne pas en sentir le souffle épique et tout le soubassement mythologique – qu’on pense à la bible de David et Goliath ou à Homère, nous sommes ici devant une oeuvre qui vous fait sentir, par tous les pores, la puissance et la force, le drame et l’humain. Et pas de « parti pris » chez l’auteur du cliché, hein…
Et il faudrait se détourner, écoeurés, de cette image ? Alors qu’à elle seule, elle démontre la pertinence de l’acte de photographier, quand il est conçu de cette façon et non à la manière publicitaire habituelle ?
Ah, je voudrais tant convaincre Paul…
attendez, j’ajoute un lien pour qu’on puisse ici juger sur pièce :
http://www.avoir-alire.com/le-sel-de-la-terre-la-critique-du-film
(c’est dans la « galerie photos », la 4/5è.)
à bérénice : tous les films de Woody Allen sont bavards, un de plus… mais quel charme a ce film (voir su la RdC, lire Sophie Avon)
ueda fanfaronne maintenant. Cela ne change rien à l’antre antisémite de la rue d’Ulm d’où vous sortez comme son fleuron et sa bannière ! Vous en êtes une grosse vache…
Th. Bernhard, c’était plutôt le violon et ensuite la clarinette. Il le raconte dans L’Origine.
Comme si les images n’avaient pas existé avant le 20ème siècle…! Et les iconoclastes alors ! C’était quoi ? Toute la littérature du 19ème siècle est inondée par les images, de Balzac à Flaubert. Frédéric Moreau, au début de l’ES porte un album sous le bras, debout près du gouvernail. PH Hamon a écrit tout un bouquin critique sur l’omniprésence des images dans la littérature du 19ème siècle. Et toute le Moyen-Âge n’est rien sans les images, des porches et des vitraux d’église aux toiles des peintres et des enluminures dans les manuscrits de Chrétien de Troyes qu’analyse Stéphane Lojkine à propos du roman du Graal.
Clopine claudique à force de chopiner !
« Salgado, à mon sens, touche là un des fondements même de l’art humain, de tous temps : un aspect mythologique de l’être humain, dans le couple qui s’affronte au centre de l’image. »
Un aspect, cela ne touche pas la totalité des expériences des visions des images, non, Clopine?
Clopine, ce sont des milliers d’hommes qui travaillent dans une mine d’or du nord du Brésil. Impressionnant. L’un des premiers reportages de Salgado, qui ouvre le film. Ensuite, nous descendons sur ses pas et ceux de Wim Wenders dans les cercles de plus en plus infernaux de l’humanité ! Jusqu’à l’épuisement du photographe, suivi d’une grande dépression et de sa décision de ne plus photographier. Puis, grâce à sa femme, il va reboiser la propriété familiale de son père, totalement asséchée, et ce sera la résurrection : désespérant des hommes, il reviendra à son métier en photographiant désormais la nature. Une fin particulièrement édifiante et écologique, un peu to much à mon goût…
C’est tout?
Notre ami ennemi-du-juif (car je soupçonne que Brown a touché assez juste, il ne pense qu’à ça comme d’autres au cul), pérorant tout seul sur sa soapbox?
Hear, hear!…
Alors Chaloux?
Aux claviers!
WGG, j’essaie juste de dire à Paul que l’image PHOTOGRAPHIQUE n’est pas que la déferlante qui nous submerge, mais qu’elle peut être, comme chez Salgado et quelques autres, une oeuvre d’art : relisez-moi un peu sérieusement, s’il vous plaît. Ou bien n’en faites rien, comme il vous chante, mais en tout cas ne déformez pas ainsi mon propos… (car j’ai cité les sculpteurs grecs, les peintres de la Renaissance ou les artistes contemporains. Me prenez-vous pour une telle idiote, pour affirmer que je dis qu’il n’avait pas d’images avant le 20è ? il n’y avait pas d’images PHOTOGRAPHIQUES, voilà mon propos…)
Musique!
Prière de ne pas distraire Salgado de son portrait …
J’irai, j’irai (Salgado)
Tchousse!, comme dit l’autre.
« Contrairement à ce qu’affirme le dicton, le ridicule tue – autant que la bêtise. Simplement, ce sont les autres qui en meurent. »
Incipit (comme dirait Passou) de l’article musclé que Catherine Simon consacre dans le Monde des Livres à un livre sur un sujet grave: « Le Médicament qui devait sauver l’Afrique. Un scandale pharmaceutique aux colonies », Guillaume Lachenal, La Découverte, « Les Empêcheurs de penser en rond », 288 p., 18 €.
Voilà qui tranche avec le journalisme lénifiant qu’on nous sert d’ordinaire.
» il va croiser sur sa route pleine de certitudes, une jeune fille en fleur »
quelle époque! on aura tout vu! rien ne nous sera doncépargné!
ueda dit: 23 octobre 2014 à 15 h 33 min
C’est tout?
Notre ami ennemi-du-juif (car je soupçonne que Brown a touché assez juste, il ne pense qu’à ça comme d’autres au cul), pérorant tout seul sur sa soapbox?
Hear, hear!…
Alors Chaloux?
Aux claviers!
__________
La bête immonde a aussi ses moments de solitude…
ça cause toujours beaucoup dans les films de woody allen. Tout ce beau monde taxée à l’isf fait dans la déprimette récurrente, assez distrayant en période de crise.
Notre ami TKT avait particulièrement aimé Matchpoint, le récit d’un rastignac anglo-saxon qui décode les règles d’ascensions sociales, malgré une méconnaissance du Montrachet.
Imre Kertez a déjà dit que l’Afrique était comme un gigantesque Auschwitz. Il faudrait ajouter où on va prendre de belles photos… admirées par Clopine. C’est tout dire !
Salgado, après avoir eu un coup de déprime en voyant ce que ce sinistre Barozzi assimile à Auschwitz (une mine d’or…!), ce solopiau deSalgado va se refaire une ‘tite santé mentale en cultivant son jardin… Pour le coup, y a vraiment de quoi attraper une déprime quand on apprend ça…!
Des trucs dingues à vous donner envie de relire Candide.
« Matchpoint, le récit d’un rastignac anglo-saxon qui décode les règles d’ascensions sociales »
C’est cet acteur qui a incarné HenriY VIII dans un film sur les Tudor?
Candide était la lecture préférée de Roger Peyrefitte. Lui aussi fut accusé en son temps d’antisémitisme, entre autres perversités.
» l’Afrique était comme un gigantesque Auschwitz »
Montrer, comme Salgado, ou fermer les yeux, les oreilles, la bouche, comme votre père, ML ?
Quand Barozzi parle de Brésil, Alba rebondit sur l’Afrique. Ne nous étonnons plus de son incontinence.
En novembre 1954, dans l’est du Cameroun, dans la région de Yokadouma, le village de Gribi est décimé par des cas de gangrènes de la fesse, à la suite de piqûres de Lomidine.
__________
Un médicament préventif pour ueda et Daaphnée.
right, Guillaume.
Vous délirez, mon père n’a jamais fait tout ça, il en était bien incapable.
Ce n’est pas la mine d’or du Brésil que j’assimile à Auschwitz, ML, relisez-moi avant de déformer mes propos ou mieux aller voir le film (« miniaturiste », d’après Paul Edel), vous comprenez.
Vous comprendrez, pardon.
Montrer
oui, mais peut-être pas comme un piédestal tout de même..
Clopine, merci pour votre développement.Il ne me convainc en rien. interrogez vous plutot surles causes de la dépression qui a saisi la dépression du photgraphe jusqu’à ne plus vouloir photographier les êtres humains. je crois qu’il faut s’interroger sur ce malaise ,cette perturbation assez forte pour que ce photographe décide de ne plus photgraphier des humains..ce qu’il a dû ressentir dans son métier et par rapport à son métier. Voyeur salarié? Artiste de l’esclavagisme ? .. j’espère que Wim Wenders en parle,dans son film , de cette rupture capitale dans sa carrière photographique. car la marchandisation et le commerce artistique haut de gamme des malheurs de populations entières s ‘inscrivivent pas dans un unique souçi d’ information ,c’est plus trouble que cela..mais exprime et souligne jusqu’à la nausée, notre bien- pensance médiatique et l’industrie des loisirs (genre film de Wim Wenders..), nos Idéaux Elevés, à bon compte, puisque nous ne faisons rien que de nous extasier trois secondes en passant dans le métro ou une heure et demie devant un film.. et que le filet,la toile ,le réseau envahisseur d’images continues et quotidiennes, aboutit à une bouillie surinformée , aboutit à un demi- sommeil de la conscience sur l’appuie- tete de notre fauteuil de télévision.quel confort et quelle dérision..
J’aime bien quand le gens se grattent la chose qui prennent pour leur conscence.
Phil dit: 23 octobre 2014 à 16 h 10 min
il n’a pas la carrure du personnage H VIII
reste extérieur à l’époque (des Tudors)
ah c’est moins risqué que la mémoire sélective, c’est sûr..
(quoique)
C’est bien, Paul Edel, d’émettre un jugement définitif sur un cinéaste à partir d’un film que vous n’avez pas vu !
La fin de la critique de Sophie Avon sur la république du cinéma :
« En 1991, la guerre du Golfe éclate. Sebastiao photographie les puits de pétrole auxquels Saddam Hussein a mis le feu au Koweit. Les fumées sont si épaisses que les rayons du soleil ne passent plus. Les pompiers canadiens qui tâchent d’éteindre les foyers mugissants sont semblables à des gladiateurs argentés. Un peu plus loin, un jardin d’Eden, refuge déserté d’un émir, a été transformé en géhenne. Couverts de pétrole, des chevaux errent. Ils sont devenus fous et les oiseaux, ailes collées, ne peuvent plus fuir.
Salgado est prêt pour ses « Exodes » qui vont de 93 à 99 et qui seront les années les plus terribles de sa vie. De l’Afrique à l’Europe, du Rwanda au Congo en passant par la Yougoslavie, il suit infatigablement les déplacements de populations et fixe ce qu’il voit sur les routes. L’horreur, le néant, la mort, la violence et parfois, au milieu de la haine et de la souffrance, le sourire d’un petit qui regarde sa mère avec une infinie confiance. Il dit que sans cesse, il posait son appareil pour pleurer. Ses clichés sont inouïs. Insoutenables mais forçant le passage, témoignant pour cette humanité qui se déchire et dont il constate, « on est un animal féroce, notre histoire, c’est celle des guerres ». Qu’ajouter de plus quand un cadavre emporté dans la pelle d’un tracteur semble demander grâce de ses bras désarticulés? Quand trois petits enfants sous une couverture, les yeux écarquillés par l’effroi interrogent l’objectif ? Quand les églises et les écoles sont des cimetières ?
Pour lui, c’est le noir, la dépression. Il ne croit plus en rien. Il remet tout en question. L’humanité, son travail, le droit de vivre. Sa femme l’aidera à reprendre goût à la vie en décidant de replanter la forêt de son enfance pour que reverdisse leur pays. C’est « Genesis » le chapitre clair d’une vie et la dernière partie d’un film bouleversant qui est bien au-delà d’un documentaire. C’est le miroir d’un homme qui a donné sa vie aux autres. »
..j’crois qut’as pas bon quand une cherche une raison exogène au cycle de vie des images ausquels tu penses polo..bien sur il y a une raison sociale au kitch et au bidermeyère..mais il y a aussi une logique interne de la consommation de image elle même comme il en est du tesque : s’étonnait on de trouver des poulbots dans les maisons bourgeoise, c’est du même tonneau
Usurpation à 16 h 32.
la misère est photogénique polo..c’est ça l’probloc..quoi de plus pathétique pour l’homme moderne qu’un éléphant en colère noir et blanc façon dieu le père avec en plus la mention ‘espèce en voix de disparition’
Usurpation à 16 h 44.
quand cette image est dans la salle d’espo d’une médiathèque en plus..où l’on sfait chier la mort..rapport que le photographe mandate un sous curateur de merde pour le représenter..si en plus le vernissage est sans alcool mais avec coctel de merde à la mangue de chiotte..sale journée polo
De nouveau complètement en accord avec P. Edel. Il y a quelque chose de malsain à produire ces images de la misère, de même qu’il est malsain d’aller faire du tourisme aux alentours. Clic clac, bonne lumière – le soleil est généreux dans ces coins d’infortune, bonne photo, on remonte dans le 4×4 climatisé, on s’envoie un scotch au bar du 4 étoiles, etc.
c’est là qutu sors ton pad comme phil et qutu postes à la rdl fastoche vu qut’as passé tes bras sous l’eau chaude des lavabo des toilettes..pasque maintenant dans les médiathèque y’a pus d’eau froide comme dans les bouics et les clandés..
y m’énerve ce gould à montrer ses chicots ultrabrites..car j’ose un truc..l’est pas élégant du tout au piano..mfait exactement penser à ben jonson sur le 100m..bon allez vous faire enculer
« Sergio dit: 23 octobre 2014 à 14 h 50 min »,
Cracher face au vent était réservé à ceux qui avait passé les Trois Caps.
bonne photo, on remonte dans le 4×4 climatisé, on s’envoie un scotch au bar du 4 étoiles, etc.
même pas..jamais tu frais un bon curateur toi..faut savoir interioriser..t’es un commercial qui vaut pas un caramel..t’es viré
on remonte dans le 4×4 climatisé, on s’envoie un scotch au bar du 4 étoiles, etc.
pas toujours. c’est arrivé: un éléphant a retenu un photographe et l’a écrabouillé contre un arbre, manière jonny weissmuller. y’a pas eu de photos, l’appareil était cassé et les autres photographes ont pas osé dérangé l’éléphant.
„“il n’y avait pas d’images avant le 20è ? il n’y avait pas d’images PHOTOGRAPHIQUES, voilà mon propos…)“ affirme Clopine Trouillefou:
La photographie existe depuis la première moitié du 19ème siècle
„j’ai commencé d’ailleurs par faire des études de maths et de physique, où j’étais un brillant sujet“:
D. se cacherait-il derrière Albakaka ?
Michel Alba, si vous étiez brillant en maths et physique, pourquoi avoir bifurqué sur des études de Lettres ? Pour vous, un capés, être prof pour les 5ème, ne représente pas du tout ce que vous espériez, vous le génie ?
„Le Voyage de Céline est aussi un roman de mœurs, de même La Recherche, ça vient déjà de Lesage qui a su tirer profit du roman picaresque du 17ème siècle, et plus lointainement du Don Quichotte, pour l’adapter à un tableau de mœurs de l’époque de la Régence.“:
Style typique du pseudo-homme-de-Lettres-Albagans, le gargarisme est récurrent chez Widergansgänger.
„Je dirais au contraire que chez Sade, il y a trop de pensée“ nous dit Michel Alba génie-autoproclamé:
Wallis Simpson Duchesse de Windsor, disait on n’est jamais trop riche ou trop mince. Nous pourrions ajouter „il n’y a jamais trop de pensée“.
Michel Alba écrit très vite, une sorte de musique automatique faites de mots qui forment des phrases……sans vraiment penser.
les autres photographes ont pas osé dérangé l’éléphant
comment qu’il l’aurait fumé dracul avec son uzi! une croix de saint andré à travers sa grande gueule de dieu le père 600 coup minute..
……sans vraiment penser.
600coups minute tête de fion..ça te dépasse
bon je mattarde et vous avez l’air con a patienter a vous faire enculer..
Nous prions Monsieur Widergansgänger de renoncer à son pseudo.
Nous lui proposons de devenir un canard qui ne se casse pas les pattes ou les burnes de ses contemporains.
Non, mais… vous le dérangeriez un éléphant, vous?
Pourquoi parle-t-il d’éléphant, l’autre, quand il est question de photographier la misère. Humaine, la misère.
…
…les images,!…les comptes et résultats,!…
…la comptabilité un art des politiques de chiffres & grotesques,!…
…
…globaliser,!…les systèmes,!…faire les pitres pour connivences aux gains extorqués,!…
…
…déjà, de vivre sur les chômeurs,…payer pour être contenu en victimes des patrons qui licencient pour les laisser en socialistes des mendicités,…en plus de supprimer ainsi les pensions, puisque sans travail plein, mais en consommant autant,!…en déshérences par abrutissements en dix-versions,!…etc,!…
…les héritiers du systèmes un autre Bourre-Dieu,!…
…
…les ouvriers en victimes management,!…rapportent plus,!…à l’état,!…en chômeurs,!…qu’en plein emploi au travail, jusqu’à l’emploi à vie,!…
…conclusions, tous complices de systèmes à chaque tour de vis,!…des chaises en moins,!…
…
…grâce aux automatismes,!…
…les ouvriers un prétexte, pour masquer des industries à productions automatiques,!…donc,!…
…nationalisables,!…
…tout ce qui créer des productions sans un % important d’employés hormis le personnel d’entretient des machineries peut appartenir à l’état,!…et appartenir à la collectivité,!…
…
…des progrès,!…dans la gestions des comptes des liens entre industries et gouvernements,!…
…et mon %,!…l’avenir dans ton cul,!…Ah,!Ah,!…
…adieu mon pourboire pour pisser de rire,!…à nos magestés capitalistes,!…des liasses aux beurres d’entretiens,!…mes huiles aux châteaux & domaines,!…
…attendez, j’ai des employez,!…Ah,!Oui,!…des lèches-culs d’universités,!…
…qu’est ce qu’il dit,!…il baise en classe,!…c’est pas trop tôt,!…encore Charlemagne,!…nos soeurs sont les vôtres, les vôtres, les leurres,!…en Choco-rêves ,!…
…etc,!…envoyez en relecture,!…
…la chorale et ses acteurs,!…etc,!…le bide,!…
…
Robert Fenton est probablement le premier photographe de guerre (Crimée 1855).
En 1862 Matthew Brady organisa la première agence de photographes pour couvrir la Guerre de Sécession américaine.
« Jacques Barozzi dit: 23 octobre 2014 à 15 h 31 min
Une fin particulièrement édifiante et écologique, un peu to much à mon goût… »,
Recommencer à photographier, c’est une autre histoire,
mais arrêter la photographie…
Un photographe américain chevronné l’a fait après avoir été un des premiers à rentrer dans un camps de concentration, en 1945.
Lequel, qu’elle importance,
tous n’étaient que des charniers.
…
…les vôtres, les nôtres, les leurres,…
…après relectures,!…Ah,!Ah,!…
…le capitalisme d’états aux €uros-Center du perron à orphelins d’esprit à du gains à clin d’oeil,!…etc,!…Ah,!Ah,!…
…
Jacques B,je ne suis pas maso..laissez moi avoir des gouts differents des votres,merci. j’ai vu « pina » pas emballé, ,je me suis ennuyé à « the soul of a man » sur le blues.. et le pathétique « the million dollar hotel » donc ça suffit, ce n’est plus un cinéaste qui m’interesse ,désolé Jacques, trop ennuyé dans ses dernièrs films…il est devenu si fashion papier glacé ..il s’écoute filmer . Pour moi, sa carrière s’est cassée en deux. la tres bonne partie s’achève avec « paris texas » qui est loin d’être son meilleur; ensuite ce qu’il fait c’est du travail de reportage télé. Son meilleur reportage était peut-être son film pèlerinage à propos de Ozu. Ozu, une autre pointure.
„il n’y a jamais trop de pensée“.
En prolongeant pour atteindre à l’universel, pourra-t-on affirmer qu’il n’y a jamais trop de trop et donc jamais trop de trop peu ? Ce ne serait jamais trop beau ni trop nul? il ferait jour pour pas assez, toujours pas assez, pas assez d’esprit, à compléter.
on est tous partis se faire enculer, boudemoumou, et toi t’es tout seul dans ton coin avec un bonnet d’âââne, normal, t’es nullos
« Trop de pensée »
pourrait être mis en parallèle aux « trop de notes chez Mozart »
KF vous corroborez ma théorie, vous vérifiez empiriquement que ce raisonnement est valide, je m’en vais le faire agréer par la commission pour en faire profiter le monde entier.
Mozart sans ses notes sera-t-il encore Mozart pourquoi voudriez-vous le soumettre à une reconversion? C’est une spoliation au patrimoine inacceptable, avec qui voudriez-vous négocier ces notes extorquées et qui valent de l’or peut-être pas celui du Rhin mais enfin…
Pina Bausch de Wenders, fallait les lunettes en relief pour apprécier. Comme la grotte de Chauvet par Herzog, seulement avec les lunettes 3D, qu’a dit la direction. Polnareff économise deux iouros à chaque film relief.
« il n’y a jamais trop de pensée »
C’est une saine stupidité qui fait cruellement défaut, elle est pourtant nécessaire à la pensée.
Le film de Wenders n’est beau que de la beauté des photos de Salgado. La longueur morbide de la séquence africaine est insupportable. Que veut prouver Wenders? Qu’il compatit à toute la misère du monde? Veut il nous donner mauvaise conscience? C’est probable…Mais nous étions venu voir un film sur tout le travail de Salgado, pas une leçon de morale. Du coup il saute complètement les photos du monde du travail et de l’industrie, dont on ne voit pratiquement rien…Pourquoi? Pour passer directement des horreurs des famines et massacres africains à la rédemption écologiste…Lourd et démonstratif. Laborieux le Wenders.
Quant à « l’Auschwitz africain », c’est encore une de ces facilités rhétoriques qui ne reposent sur rien. Qui sont les nazis dans cette affaire? Ceux qui s’en approchent le plus sont évidemment les Hutus qui veulent rayer une ethnie de la surface de la terre. Mais les autres drames? On ne peut leur coller une étiquette aussi simpliste.
WW au Texas, à Lisbonne, à Tokyo…
C’est assez pour le saluer.
Pina?
« Pina oui.
Wim… »
Ecoutez, c’est un film qu’il faut revoir.
Et puis, citez moi un grand film sur une troupe de danse, pas une troupe de fiction, une troupe qui existe déjà, suffisamment forte pour avoir utilisé magnifiquement les arts qui ensuite prétendent parler d’elle.
(Comment ça, je ne suis pas clair?)
Oui Baroze, le dernier Woody Allen est charmant et charmeur…Je le recommande pour se rafraîchir les yeux après le Wenders (quel dommage que Woody ne puisse plus jouer le rôle de Colin Firth…je riais intérieurement de l’imaginer dans la scène de la demande en mariage, hilarant!)
Widergänger dit: 22 octobre 2014 à 0 h 46 min
» Mort à la peste verte islamique ! »
Nous sommes le 23 octobre; il est plus de 19 heures, et le « commentaire » indigne du sieur Widergänger continue de figurer en bonne place sur le fil de ce blog. Ou bien Monsieur Assouline ne l’a pas vu passer, et dans ce cas il fait pas son travail de modérateur, ou bien il est d’accord avec le »propos » de Widergänger . Je préfère penser que la première hypothèse est la bonne; dans l’autre cas de figure, j’en serais affligé pour lui.
Que diraient en effet le sieur Widergänger et Monsieur Assouline s’ils lisaient ici la déclaration suivante : « Mort à la peste brune judaïque » ? Ils n’ont pas dû se poser la question.
En ce qui me concerne en tout cas, je persiste à considérer cette déclaration de Widergänger comme une agression caractérisée contre la religion musulmane et comme une insulte à la croyance et à la dignité des Musulmans, et d’abord des Musulmans français, et qu’à ce titre elle est en infraction avec les lois françaises réprimant les incitations à la haine inspirées par des préjugés raciaux et religieux.
En conséquence, j’ai pris contact avec un avocat spécialisé dans ce genre d’affaire et avec le service juridique d’une célèbre association reconnue d’utilité publique. J’attends leurs conclusions. Si elles sont favorables à mon projet, je déposerai une plainte en justice :
1/ contre le sieur Widergänger / Michel Alba, pour incitation à la haine pour des motifs religieux.
2/ contre le sieur Pierre Assouline pour complicité de diffusion de propos incitant à la haine pour des motifs religieux.
Je considère mon projet comme une initiative citoyenne et j’espère qu’en cas de succès en justice, cette affaire fera jurisprudence.
En attendant, tant que Monsieur Assouline n’aura pas effacé le propos scandaleux du sieur Widergänger, je me refuse à accorder le moindre sérieux et le moindre respect à son blog et à sa personne.
Jeanbrun est capable de nous faire un AVC… Si seulement ça pouvait être vrai…!
En plus, il est rudement bien armé, le jeanbrun : toute la police de la pensée, une véritable armure de glace neuronale…
En attendant, tant que Monsieur Assouline n’aura pas effacé le propos scandaleux du sieur Widergänger, je me refuse à accorder le moindre sérieux et le moindre respect à son blog et à sa personne. (jeanbrun)
___________
Comme s’il lui avait jamais accordé quelque respect que ce soit… y a pas plus odieux personnage et fou à lier que ce jeanbrun… Bon pour le cabanon. La police, la vraie, celle de la République, c’est elle qui va demander aux services psychiatriques compétents d’intervenir pour une petite cure de jouvence en HP…
bouguereau dit: 23 octobre 2014 à 9 h 19 min
Mon avis est :
– Que notre ami Jean-Philippe Odemichet prend des bains de siège trop longs.
– Que notre ami Jean-Philippe Odemichet ne devrait pas écrire pendant ce temps-là.
– Que notre ami Jean-Philippe Odemichet poste des régurgitations biliaires d’hyper sanguin à bout de souffle sans queue ni tête.
– Que notre ami Jean-Philippe Odemichet à la mémoire courte. Que si quelqu’un couine et pleurniche ici c’est bien notre ami Jean-Philippe Odemichet, si déconfit certain dimanche qu’il en appela au pauvre Eumolpe de Céans qui n’en peut déjà mais.
– Que notre ami Jean-Philippe Odemichet n’a jamais ouvert ni Proust ni Morand, ce dont nous nous doutions déjà, et ce dont « les mânes » de ces deux grands écrivains lui savent gré : deux pattes sales en moins.
« Bonne soirée »,
Quant à « l’Auschwitz africain », c’est encore une de ces facilités rhétoriques qui ne reposent sur rien. Qui sont les nazis dans cette affaire? Ceux qui s’en approchent le plus sont évidemment les Hutus qui veulent rayer une ethnie de la surface de la terre. Mais les autres drames? On ne peut leur coller une étiquette aussi simpliste. (Sirius)
__________
Encore un qui n’a jamais lu Imre Kertez, qui lui sait de quoi il parle quand il parle de l’Afrique comme un gigantesque Auschwitz ! Le volonté de ne pas voir ! Comme si Imre Kertez ne voyait que le massacre des Tutsis. La médiocrité de Sirius c’est la médiocrité qui ruine ce monde et conduit à cette France qui se suicide. Une médiocrité à la fois morale et de pensée. Les petits esprits qui prétendent donner des leçons aux grands en les prenant pour des imbéciles avec des arguments évidemment de merde. Voilà ce qu’est la France devenue !
TKT est drôle par son énorme sottisier qui ne le lâche jamais même quand il n’ose pas se montrer tellement il en a honte, le bougre. Le pauvre homme ! Une couille molle avec un cerveau en forme de pois chiche de Vuitton…
Je considère mon projet comme une initiative citoyenne et j’espère qu’en cas de succès en justice, cette affaire fera jurisprudence. (jeanbrun)
___________
Le niveau bac à sable de la jurisprudence. Il lui manque plus que le sceau et le ratelier…
jeanbrun est un djihadiste qui s’est radicalisé tout seul comme le Canadien d’Ottawa. Il va falloir le mettre hors d’état de nuire en le signalant aux services secrets avant que le pire ne se produise comme au Canada.
Vuitton…le lukche a toujours la cote, Widergg. Tout le monde aime ça, tkt, Wenders, baroz, passou
A zuriche airport, on se lave les paluches au champagne
WGG, j’ai toujours voulu vous demander : cette maladie de la personnalité, c’est un jeu ou c’est vrai?
et la tienne raclure
Le jour ou on s’habillera pour obéir la loi, perso je me baladerais a poil sous le burnous…des politiciens ont introduit cette loi, et franchement la France a d’autres problèmes plus urgents que de poursuivre en justice des femmes qui, a tort ou a raison, ont décidé de se couvrir ainsi…on peut ou pas aimer, mais ce n’est pas a la justice de dire au citoyen comment s’habiller …en Coree du Nord, tous les hommes sont tenus, par la loi, d’avoir la même coupe de cheveux que leur leader bien-aimé… …quant a obéir la loi, juste parce que c’est la loi, c’est une argumentation facile…le monde ne change que lorsque quelqu’un décide de désobéir a la loi du jour… ceci étant, si j’étais dictateur , comme le gros poupon de Coree, je forcerais certains mecs a se mettre en burqua, pour raisons d’hygiène pubique…
Et la tienne, Odemichet, gros raté ignare. c’est joué ou c’est vrai?
t’as pas peur du blitz en disant du mal de vontraube dracul..ratatata..et la machineguévère c’est ote chose que ton uzi
dring ha quand qu’on lui sonne la cloche..alors quand c’est qutu viens et qutu tfais minabe..tu tardes lambine trouille..larbine!
Quant à « l’Auschwitz africain », c’est encore une de ces facilités rhétoriques qui ne reposent sur rien.
pourtant isabelle de fontenay parle bien de la shoa des cochons chez finky..et ça passe
Ce n’est pas non plus aux chanteurs d’opéra de décider qui est admis et qui ne l’est pas a leur show…ce n’est pas ecrit dans le cahier de charges de l’opera mundi…
Pauvre Odemichet sans queue ni tête… Qu’est-ce qui t’arriverait ? dans ton état…
A zuriche airport, on se lave les paluches au champagne
aprés le fist ça va de soit dirait morand..l’europe va recoloniser le texas ! et va leur retaner leur peau de sales prots a ces petits cons!
fais comme tu as dit mon larbin..de la suite dans les idées..viens..le ridicule tu disais..tu te souviens de ce que tu dis..hier ?
perso je me baladerais a poil sous le burnous
comme les scots gaga!
Parfaitement right, l’Abdel. Hary Poteur a joué à poil au théâtre, le premier rang était ravi, les autres ont sorti les jumelles de competition de dssous la burqua.
Jeanbrun est capable de nous faire un AVC… Si seulement ça pouvait être vrai…!
ha t’es sport comme mec..yavé va pas kiffer
Tu sais, gros ignare d’Odemichet, suffit pas de dire le mot pour créer la chose… Et puis les flèches qui m’intéressent, c’est pas celles qui se comptent ici, c’est celles que tu prends vraiment. Et tu en prends, mon jean-Philippe… Et puis t’as pas fini…
mais viens donc..mythomane velléitaire et lache
paroles, paroles, mon jean-Philippe, ton cœur tiendrait pas…
Artémise de 19h17, Franchement, ce ne serait pas une bonne idée de me poursuivre en justice pour complicité d’apologie de la haine raciale car je serais alors forcé de produire vos propres débordements postés à partir de la même adresse mais sous différents pseudonymes . Et, bien qu’ils aient été depuis par moi retirés, ce ne serait pas à votre honneur. Aussi la sagesse nous conseille d’en rester là.
Aussi la sagesse nous conseille d’en rester là.
ya que nous qui sommes propes ici lassouline..
t’es congédié cheuloux..ta répute de larbin fourbe qui tape dans les fouilles est faite..
bouguereau dit: 23 octobre 2014 à 20 h 30 min
ya que nous qui sommes propes ici lassouline..
seulement si on TE lave, jean-Philippe.
C’est ce que je fais en ce moment.
C’est ce qui me fait marrer tout doucement sur l’état actuel de la France et de son sens des priorités: les éructions racistes et criminelles d’un Alba sont tolérés sur un blog littéraire prestigieux et une musulmane enburquee se fait éjecter d’un lieu publique, pour avoir offensé la sensitivité d’un castrato…
bouguereau dit: 23 octobre 2014 à 20 h 32 min
t’es congédié cheuloux..
Fais pas chier Jean-Philippe ou je fais monter ta tension à 22.
petit deibler de carnaval..indic..balance..et lâche..faut qutu vives avec ça baltringue
Pierre Assouline, je pense faire partie des commentateurs « inattaquables » au point de vue des propos racistes, antisémites, machistes, homophobes et autres gracieusetés de ce blog. Cela me permet de vous interroger sérieusement, aux côtés pour une fois d’Artémise, sur les dérives et pratiques douteuse, c’est le moins que l’on puisse dire, de ce blog, comme avant-garde de tous les autres. Il y a à mon avis, d’évidence, un problème de dérive et de déontologie, que les modérations « bricolées » et la sacro-sainte « liberté d’expression » ne sauraient atténuer. Et dont hélas vous portez une partie, plus ou moins grande, de responsabilité. Maintentant, comment et que faire – votre renvoi dans les cordes d’Artémise n’illustre qu’une partie de votre intelligente postion : à savoir votre art certain de l’esquive. Mais d’autres, qui vous sont sincèrement attachés et dont je suis, attendent plus de vous…
(encore que la réponse la plus évidente, et la plus immédiate, qui serait de fermer les commentaires, serait la plus radicale, et la plus décevante aussi !)
Jean-Philippe, la morale arrive toujours très tard chez toi, juste au moment où tu sais plus comment t’en sortir. Encore un point commun avec celui que tu n’es pas, ça finit par en faire beaucoup.
Tu remarqueras que je n’ai jamais cette bassesse-là. (De plus, c’est WGG qui a cafté. Merci WGG).
M. Assouline, comme disent les anglishes: two wrong don’t make a right…si vous zappez les propos injurieux, vous devriez zapper TOUS les propos injurieux…et les antécédents de votre interlocuteur n’ont aucune importance par rapport a la question par lui posée sur les propos injurieux tenus par l’autre fêlé de la cafetière…la question que perso, je vous pose est: les propos de ML sont-ils acceptables en France, en 2014, sur votre blog ou pas ? si oui, on saura tous à quoi s’en tenir, si non, qu’attendez-vous pour prendre vos dispositions en tant que proprio de blog ?
c’est vrai gaga..mais lassouline est chez lui..il t’a pas viré..il a le droit a ses chouchoux..va savoir ce qu’il font
Pierre Assouline, je pense faire partie des commentateurs « inattaquables »
..lassouline il a pas de chouchoute..ça frait jaser
Chaloux dit: 23 octobre 2014 à 20 h 39 min
juste au moment où tu sais plus comment t’en sortir.
Comment une outre pleine de vide se prend pour James Bond ou la vie de Chaloux sur la rdl.
bouguereau dit: 23 octobre 2014 à 20 h 44 min
c’est vrai gaga..mais lassouline est chez lui..il t’a pas viré..il a le droit a ses chouchoux..va savoir ce qu’il font
ceci n’est pas un club privé, a ce que je sache…chez lui ou pas, il y’a une déontologie et une éthique de blogs, et même des lois, qui doivent être observées…ceci dit, il m’a déjà viree il y’a quelques années de ca…pour avoir dit un truc a Alba que Assouline n’avait pas apprécié…j’étais interdit de séjour pendant 3 mois, je crois, pour avoir dit a ce connard de se mettre le désert du Neguev dans son trouduc…2 poids et 36 mesures…
bouguereau dit: 23 octobre 2014 à 20 h 36 min
petit deibler de carnaval..indic..balance..et lâche..faut qutu vives avec ça baltringue
Je n’ai pas de morale avec un Jean-Philippe qui n’en a pas (ou seulement pour son usage personnel).
viré
Ce que Chaloux signifie dit: 23 octobre 2014 à 20 h 50 min
Voila que Microcéphalo, le célèbre invertébré qui sert de monture à jean-Philippe, s’en mêle…
Sapré passou. veille au grain comme le gould qui fait ventriloque pour effrayer les méméres mélomaniaques. Et la clopine qui veut le prix mère térésa du blog.
Clopine dit: 23 octobre 2014 à 20 h 37 min
je pense faire partie des commentateurs « inattaquables »
Comment une vide pleine d’outre se prend pour Nadine Morano ou la vie de Clopine sur la rdl.
Clopine dit: 23 octobre 2014 à 20 h 37 min
qu’une partie de votre intelligente postion
viré
j’y étais pas gaga et tu as tes raisons..je ne les discute pas..moi aussi il m’a puissamment énervé ce dracul..je ne suis pas son pote, ni le mac que tu crois, je t’en donne ma parole..
comme preuve tu as ce pauvre cheuloux qui fait dans son froc..ça doit sentir jusqu’a london
Et la parole de boumou, ça pèse…comme une tonne de bouse…
Widergänger:
« Encore un qui n’a jamais lu Imre Kertez, qui lui sait de quoi il parle quand il parle de l’Afrique comme un gigantesque Auschwitz ! »
Pourriez-vous me préciser dans quel contexte et sur quelles bases Imre Kertez a parlé d’un « Auschwitz africain »? Je me trompe peut-être, mais je croyais qu’Auschwitz était le symbole d’une tentative d’extermination d’une population entière sur une base ethnique (réelle ou supposée). Je ne vois pas comment on peut globaliser tous les problèmes de l’Afrique sous ce symbole, même si les conflits ethniques sont en très importants, avec un paroxysme au Ruanda (qui lui en effet peut être rapproché d’Auschwitz).
Pierre Assouline, je pense faire partie des commentateurs « inattaquables »
Clopine
Une couche de connerie inattaquable même au marteau piqueur!
..évidemment ça ne te console de rien mais n’oublie pas que sous ton burnou t’es angliche..sportif !
Et la parole de boumou, ça pèse…comme une tonne de bouse…
viens..
Où?
chez..bordel je sais pus son blaze..mac?..puisque je suis lui mon cheuloux..non?..tu sais pus ou il habite
Faudrait savoir, Jean-Philippe. T’es en pleine crise schizo…
Chaloux dit: 21 octobre 2014 à 19 h 28 min
fouiller dans les archives c’est bien du boulot de larbin
bouguereau dit: 23 octobre 2014 à 21 h 09 min
Chaloux dit: 21 octobre 2014 à 19 h 28 min
fouiller dans les archives c’est bien du boulot de larbin
La guerre de 100 ans, ça demande des archivistes, mon gros. Tu dis ça parce que tu te sens – à raison – globalement vaincu…
D’ailleurs, c’est exactement ce que tu viens de faire. Tu baisses, Jean-Philippe…Et tu trouves ça très bien… pauvre boumou…
Chaloux dit: 23 octobre 2014 à 21 h 02 min
ne peut pas me faire peur…
Persuade-toi Chaloux, il ne te reste plus que ça.
Va dodo, Microcéphalo, pas besoin de pot de chambre.
Chaloux dit: 23 octobre 2014 à 21 h 14 min
tu te sens – à raison – globalement vaincu…
Mais quelle burne, même TKT n’oserait jamais.
la république des livres est une pétaudière, et le taulier un hypocrite de première
Chaloux dit: 23 octobre 2014 à 21 h 18 min
Va dodo, Microcéphalo, pas besoin de pot de chambre
Bravo Chaloux, quel niveau.
Chaloux est un génie dit: 23 octobre 2014 à 21 h 20 min
Ni de bassin… Va plutôt chez boumou…
Artémise de 19h17, Franchement, ce ne serait pas une bonne idée de me poursuivre en justice pour complicité d’apologie de la haine raciale car je serais alors forcé de produire vos propres débordements postés à partir de la même adresse mais sous différents pseudonymes . (passou)
Je vous mets au défi de produire un seul de mes commentaires qui contrevienne aux lois existantes. et puis, vous éludez la vraie question, la. La phrase « Mort à lapeste verte islamique !
Artémise dit: 23 octobre 2014 à 21 h 27 min
Jean Brun se croit inattaquable, preuve qu’il écrit ses petites phrases putassières en pesant ses mots, tel le Soral moyen.
Mais en est-il si sûr ?
Alors, merde ! Comment dire ? Tenez, Daaphnée ; tout le monde ici sait que je ne lui pardonne pas ses quelques solides défauts. Et pourtant, nous avons, elle et moi, ce socle commun : je ne lui ai JAMAIS entendu dire le moindre mot raciste, homophobe, antisémite… Donc, s’il vous plaît, honorez-moi au moins de cette honnêteté-là : quand j’interpelle notre hôte, c’est de lui qu’il s’agit, pas de moi. Comprenez-vous ?
Clopine dit: 23 octobre 2014 à 21 h 37 min
Donc, s’il vous plaît, honorez-moi
Clopine…
bouguereau dit: 23 octobre 2014 à 21 h 02 min
..évidemment ça ne te console de rien mais n’oublie pas que sous ton burnou t’es angliche..sportif !
qu’est-ce que tu viens me faire chier avec tes conneries a 2 balles? qui t’as parle de consolation? t’as fait la meme ecole que Phil?
Artémise de 19h17, Franchement, ce ne serait pas une bonne idée de me poursuivre en justice pour complicité d’apologie de la haine raciale car je serais alors forcé de produire vos propres débordements postés à partir de la même adresse mais sous différents pseudonymes .
@ passou
Je vous mets au défi de produire un seul de mes commentaires qui contrevienne aux lois existantes. Vous pouvez chercher, vous ne trouverez pas. Et puis, vous éludez la vraie question, la seule à laquelle vous nous devez une réponse. A nous, pas seulement à moi. La phrase « Mort à la peste verte islamique ! « , est-ce que vous trouvez, oui ou non, qu’elle est digne de figurer dans les commentaires de votre blog ? Est-ce que, oui ou non, vous la trouvez anodine ? Est-ce que, oui ou non, cette phrase vous paraît respecter la législation française réprimant les incitations à la haine pour des raisons religieuses ou raciales? Si vous éludez de répondre à ces questions, on va finir par croire que vous seriez prêt à reprendre à votre compte un cri de haine aussi foncièrement dégueulasse. Cela fait des mois que vous laissez sans réagir le dénommé Widergänger pourrir la moindre esquisse de débat en déversant un déluge d’injures ordurières sur ses interlocuteurs. Pourquoi cette indulgence ? Ayez au moins l’élégance d’effacer ce propos injurieux pour la communauté des musulmans, notamment les musulmans français. Ce serait la moindre des choses, sinon, je ne serai pas le seul à m’interroger sur les solidarités inavouables qui vous incitent à ménager ce Widergänger. Faites ce geste d’effacer ce commentaire, vous l’avez déjà fait pour des raisons bien moins graves. Et vous retrouverez mon estime, et pas seulement la mienne. Sinon, il y a des chances pour qu je ne sois pas le seul à porter l’affaire en justice. Vous vous retrouverez devant un collectif de citoyens indignés. Les indignés, ça vous dit quelque chose ? En hommage à Stéphane Hessel.
zallez voir, quand tkt sera de retour du sushi
Si Ml, pauvre minable, avait lu Imre Kertezs, il ferait montre de moins de fascination morbide et pathologique, pour les cadavres.
« quand j’interpelle notre hôte, c’est de lui qu’il s’agit, pas de moi. »
Vous n’interpelez pas, vous fayotez comme une gamine de six ans pour avoir son bonbon.
Vous êtes lamentable et ne vous en rendez mêmepas compte.
Triste constat.
abdelkader dit: 23 octobre 2014 à 21 h 51 min
(A bouguereau)
qu’est-ce que tu viens me faire chier avec tes conneries a 2 balles?
Il en a pas d’autres…
Hello Abdel, ce soir en Europa League c’est suspense, les Verts contre l’Inter de Milan. J’espère que l’Inter va aller se rhabiller.
http://www.youtube.com/watch?v=1VuGrZV2ai0
Et voilà, promesses de météo ! ils annoncent – 6, tempête de neige, et j’ai du me contenter d’un – 1, temps clair. Enfin, pas de tempête… Bon, il a neigé à 1000 mètres, c’est déjà ça de gagné.
Chaloux dit: 23 octobre 2014 à 21 h 56 min
Il en a pas d’autres…
Tiens, causons littérature. Suis en train de lire un bouquin absolument passionnant. Le Satyricon, Pétrone, de René Martin, collection « les textes fondateurs », Ellipses, 1999.
Version petite ou grande musique, execration du public : abasourdi par l arnaque de la lecture ( pitoyable) du » jardin de l ogre » de Leila Slimani. Entte Foenkinos, joy Sorman et elle, Gallimard en train de fondre les plombs, tuer toute reputation d excellence. Tout en venerant les ventes, le public pris pour des cons. Et ca marche ! Une jeune et jolie Marocaine, non voilee, pseudo pudique, discours ultta bien leche, emballage cadeau rutilant et coquille vide, paroles bien consyruites de khagneuse rodee, essentiellisee plein pot, journaleuse, mettant en scene une heroine/double qui libere son corps, suce du ministre entre deux poubelles!! Youpi!! Vachement subversif!! Deneuve et Luis bunuel parodies sans scrupule vont se retourner dans leur tombe!! Ca va aider a faire reculer Daesh!!
Entre porno racolo pour cinquantenaires qui bandent mou et ados prives d occasion de sortir la nouille, Gallimard nous repasse les Cinquante nuances de connerie pour bofs. Je deteste zemmour mais ce genre de merdes lui ouvrent des boulevards en donnant des arguments. On va vraiment dans le mur.
Pas bon, berlin a battu Naples.
http://www.youtube.com/watch?v=F5LcRIcZEnE
Bonsoir a vous aussi, j’ai toujours eu un faible pour St Etienne depuis le temps de Mekhloufi, Herbin & Co …Allez les verts !
L’artiste shubertienne:
À 17 ans, cette native de Tunis quitte Paris à l’invitation du Conservatoire de Moscou et part étudier en URSS. Selon Stanislas Neuhaus, qui a été son professeur pendant cinq ans : « Brigitte Engerer est l’une des pianistes les plus brillantes et les plus originales de sa génération. Son jeu se caractérise par son sens artistique, son esprit romantique, son ampleur, la perfection de sa technique, ainsi que par une science innée d’établir le contact avec l’auditoire »3. Les leçons de ce grand maître et magnifique pianiste la marquent de façon indélébile et influencent toute sa carrière et sa pensée musicale. Une partie d’elle-même est devenue russe à jamais.
« Le contrepoint lui-même a une âme, en ceci que le parallélisme de ses voix a été expressément réglé note pour note par une volonté musicienne qui fait chanter ensemble ou converser plusieurs parties mélodiques également expressives, et pourtant l’une sur l’autre brodées dans le colloque vivant de la polyphonie. » Jankélévitch, Le Je-ne-sais-quoi et le presque-rien,1957, p. 175
Bon, il a neigé à 1000 mètres
Ne dites plus « c’était un coup de bluff »
mais « c’est un coup de moufle »
Tous les propos sont admissibles.
Sauf s’ils calomnient nominalement des personnes singulières.
Regardez-vous mes amis:
vous êtes un peu ridicules, tous autant que vous êtes, avec votre dispositif juridique portatif.
Vous me donnez l’impression de ne plus coucher seuls, mais entourés de succubes: my mother, my lawyer, my shrink, my rabbi, my trader…
An American dream.
Intéressant usage du mot « bluff », apparemment déterminé par une information obsolète, un jugement pré-fait, ou plus banalement par le besoin de taper quelque chose.
Cela dit, le lien imaginé par l’écrivant entre le mot « mufle » et le fait que l’on puisse apprécier un phénomène météorologique, reste obscur.
Double la dose, Odemichet, ça a pas l’air de suffire.
On te demande : »où ». tu réponds : chez quelqu’un d’autre.
« Le mythomane, lâche et velléitaire » n’est pas toujours celui qu’on croit…
boumou, t’es ren qu’un bout mou…
Va dodo.
Bonne nuit, ma mie m’appelle… Comme dit la belle chanson…
1082
commentaires