de Pierre Assouline

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Prière de ne pas distraire la musique de son secret

Prière de ne pas distraire la musique de son secret

Vous est-il jamais arrivé de lire en stéréo ? Ou plus précisément : deux livres en même temps ? Non pas l’un après l’autre et réciproquement mais bien l’un avec l’autre dans la mesure où ils s’éclairent mutuellement ? L’expérience vaut d’être tentée, ne fût-ce que pour voir comment ils entrent en résonance. Dans la main gauche Portrait de l’Artiste en Glenn Gould (212 pages, 22,90 euros, Pierre-Guillaume de Roux), titre joycien dont il faut bien respecter la majuscule dans le A, de l’écrivain Maxence Caron ; dans la main droite, L’Abécédaire d’un pianiste (A bis Z eines Pianisten. Ein Lesebuch für Klavierliebende, traduit de l’allemand par Olivier Mannoni, 150 pages, 15 euros, Christian Bourgois éditeur) du pianiste Alfred Brendel.

J’ai lu le premier en continu, comme il se doit pour ce qui se présente comme un « Tractatus de Musica » tout en m’interrompant pour piocher dans le second chaque fois que nécessaire, comme il sied à un dictionnaire très personnel aussi didactique, aphoristique, fragmentaire, anecdotique que technique, tout en assurant que la littérature est son second métier ( !). Un point commun : on a parfois l’impression d’écouter l’une de ses anciennes émissions de France-Musique qui ressemblait fort à un « Les pianistes parlent aux pianistes ». C’est dire que dans certaines pages, on se sent légèrement exclu si l’on n’est pas l’un des plus grands interprètes de son temps (Brendel) ou un philosophe, spécialiste de Bach. Ce n’est pas qu’un question de lexique mais de présupposé, leurs lecteurs étant manifestement censés être des familiers du clavier ou, à tout le moins, musiciens croyants et pratiquants. Ce n’est pas grave, la passion du piano étant la plus forte.

Passons sur l’exaspération provoquée par le premier quart de l’essai de Maxence Caron, non pour son contenu à l’unisson avec le reste, mais pour sa forme, ses phrases amphigouriques, ses formules boursoufflées, où l’auteur, qui se fait pamphlétaire, s’enivre de ses adjectifs et se grise de ses obscurités. Après, ça s’arrange, le fond restant le même. Le fait est que l’auteur s’identifie tellement à son héros qu’il n’en retient parfois que la radicalité, dans laquelle il se drape. Il semble partager ses inimitiés, ses haines, ses obsessions, ses choix sans la moindre distance. Et pourtant, malgré cela, ou peut-être grâce à cela, le courant passe. Quant à Brendel, il se contente d’être lui-même sans jouer à l’écrivain qu’il croit être. Voyons voir.

Pour Glenn Gould interprété par Maxence Caron, la solitude n’est pas une fin mais le moyen d’atteindre la sagesse par la contemplation. Elle s’acquiert et s’entretient, non comme un muscle mais comme une grâce. S’il avait vécu plus longtemps, qui sait si Gould, poussant sa logique jusqu’au bout, n’aurait pas renoncé également à l’enregistrement pour atteindre la sonorité la plus pure dans l’ascèse de l’isolement. La musique n’aurait plus alors besoin de l’épaisseur de la sonorité pour se manifester à l’esprit. De cette écoute intérieure de la musique enfin vécue comme un absolu tendu vers l’intemporel, il aurait fait un livre, qu’il semble d’ailleurs avoir commencé. Son art poétique eut révélé la sagesse de l’excentrique.

BAROQUEUX Difficile de dire si Maxence Caron tient de Gould le mépris qu’il leur porte. Il les tient pour des bibliothécaires, des archivistes, des antiquaires que la technologie effraie, et gêne dans l’exploitation de leur filon. A ses yeux, le souci d’authenticité au cœur de la question baroqueuse, polémique récurrente, est devenue « le pique-nique préféré des impuissants et autres esclaves ». Bien entendu, Gould ne clavecinise pas son piano car ce serait un contre-sens que de tenter de jouer une fugue de Bach dans un esprit d’époque.

Alfred Brendel : « Dans l’après-guerre, lorsqu’on livra les œuvres pour piano de Bach aux seuls clavecin et clavicorde- et cela dura des décennies- on priva le jeune pianiste de la source principale du jeu polyphonique. Que Bach ne convienne pas au piano à queue  moderne est aujourd’hui, pour la plupart d’entre nous, un point de vue dépassé. Sur les instruments actuels, on peut individualiser chacune des voix et donner de la plasticité au déroulement contrapuntique d’une fugue. On peut jouer de manière orchestrale, atmosphérique, colorée et chantée. Vouloir limiter ainsi un compositeur qui fut lui-même l’adaptateur le plus résolu de ses propres œuvres et de celles des autres peut paraître trompeur, même pour certains praticiens de l’historicisme musical »

BEETHOVEN Le compositeur le plus joué par Glenn Gould après Bach.

Alfred Brendel : « Il est des préjugés tenaces contre lesquels nous devons toujours agir : par exemple l’idée d’un Beethoven constamment héroïque et titanesque, ou encore l’image d’un Beethoven dont le style tardif se serait totalement échappé vers l’ésotérique. N’oublions pas qu’à sa manière fort personnelle, il pouvait être gracieux et que son intériorité chaleureuse, sa tendresse, son dolce, le caractérisent tout autant que sa véhémence et son exubérance ».

TECHNIQUE Gould s’en sert sans y être asservi. L’art est tout sauf une technique. Il faut l’absorber pour mieux l’oublier, la technologie permettant de dissocier l’art de la technique.

CONSERVATOIRES Maxence Caron, ancien premier prix de piano à 14 ans, les désigne comme des lieux où règnent « carriérisme et gras esprit d’émulation sèche ».  On y croise des « profounettes de Conservaboire ».

TRANSCRIPTION Synonyme : désorchestration.

Alfred Brendel : « Je ne suis ni un adversaire de toutes les adaptations ni un partisan de l’adaptation permanente. Mais je suis contrarié lorsque des interprètes considèrent des chefs d’œuvre comme un simple matériau brut pour leurs digressions personnelles et lorsqu’on manie la musique comme le font certains metteurs en scène contemporains avec des pièces de théâtre (…) Parmi les œuvres musicales importantes, on en trouve sans doute peu, après le baroque, qui ne produisent pas un effet plus convaincant dans leur version originale (…) Quel que soit le plaisir que l’on peut éprouver du fait de transcrire pour orchestre la Wanderer Fantasie de Schubert, pour moi le texte original continue toujours –et surtout dans ce cas-là- à triompher ; et c’est d’autant plus vrai depuis que nous disposons du piano à queue moderne qui permet, sous des mains imaginatives, de se substituer à un orchestre. »

TECHNOLOGIE Le geste de Gould tirant définitivement un trait en 1964 sur le public et sur la scène nécessairement bourgeoise par ses rituels, n’est pas seulement une dénonciation de la marchandisation de l’artiste, de la machinerie des concerts que Caron dénonce comme « un système gladiatoresque », mais la preuve de sa capacité à maîtriser la technologie contre la machine, à absorber la technologie dans l’art.

HUMOUR Chez Gould, il est aussi cruel que détaché, surtout lorsqu’il vitupère contre ses contemporains. Dans un texte de 1974 intitulé « Epître aux Parisiens » (entendez les Pharisiens, les mondains de concert) destiné à préfacer une émission, il fait preuve d’un humour que son portraitiste analyse comme un mélange de non-sens anglais et de cynisme français. Un exploit pour un Canadien.

Alfred Brendel : « L’un des grands mérites de Haydn est d’avoir introduit l’humour dans la musique absolue. Tandis que Mozart donnait libre cours à son humour dans l’opéra, Haydn et Beethoven en disposaient sous forme de transgressions à l’ordre classique. Ensuite, pour les romantiques, l’ordre ne fut plus quelque chose de donné. Ils devaient le découvrir ou le créer en eux-mêmes. La musique du XXème siècle eut en Ligeti ou en Kagel des comiques grotesques de haut niveau. (_…) On concède le soupir à la musique, on ne lui accorde pas le rire. L’ordre ancien de l’esthétique, qui plaçait la tragédie tout en haut et la comédie tout en bas, continue à produire ses effets (…) La musique impose l’ordre face au chaos et à l’absurdité de la vie ; Quand elle intègre le non-sens, par exemple dans la finale de la sonate tardive de Haydn Hob. XVI/50, elle va à l’encontre de cet ordre et le sape. On appelle cela l’humour »

BACH Le patron et le saint-patron pour l’un comme pour l’autre. Mais pour Gould, entendez-le comme synonyme de fugue, donc comme écriture contrapuntique. Hors du contrepoint, point de salut.

FUGUE Plus qu’une forme musicale, un art de vivre grâce au génie de Bach. La fugue marqua la rencontre la raison et la transcendance. Ne jamais oublier la signature SDG sous la dernière fugue du Clavier bien tempéré : « Soli Deo Gloria »

CONTREPOINT Jusque dans le montage des bandes magnétiques, dont Caron loue son grand art, Gould fait du contrepoint. On aura compris qu’il ne fait pas de la spontanéité un gage de perfection dans l’exécution.

SCHUBERT Son œuvre pléthorique, incapable de développer et d’éclore, souffrira d’avoir été étrangère à l’esprit de la fugue. Le contrepoint lui eût permis de ne pas ressasser le XVIIIème siècle et de parvenir plus rapidement à exprimer son génie.

Alfred Brendel : « Schubert est peut-être le phénomène le plus étonnant de l’histoire de la musique. L’abondance de ce qu’il a accompli dans une vie de trente et une années seulement échappe à toute comparaison (…) Qu’un compositeur n’étant pas lui-même un virtuose du piano ait eu un tel instinct pour les possibilités nouvelles, et mêmes futures, du son et de l’écriture pianistiques, voilà qui touche au miracle (…) Le style pianistique de Schubert dément l’opinion selon laquelle il n’a rien ajouté de nouveau à la composition pour piano. Il a une aura pianistique très personnelle – qui ne peut toutefois agir de façon efficace que si la pédale est utilisée à bon escient. La manière qu’a Schubert de noter les œuvres pour piano est souvent prise de manière trop littérale, et donc mal comprise ».

MUSIQUE Nombre de mélomanes lui demeure totalement étrangers faute de savoir y participer et s’y convertir. C’est possible ? On aurait aimer savoir comment. Mais il n’y a pas que les mélomanes :

Alfred Brendel : « Existe-t-il des musiciens qui n’aiment pas la musique ? Je crains que oui. Existe-t-il des musiciens qui n’aiment pas le compositeur ? mais certainement. (…) Existe-t-il des pianistes qui n’aiment pas le piano ? (…) J’aime le piano en tant qu’idée platonicienne- et j’aime les pianos qui s’en rapprochent »

INTERPRETATION  Surtout ne jamais perdre de vue qu’elle consiste à mettre à nu sa propre singularité en la confrontant à la singularité de l’œuvre. Mais on ne saura pas ce que Caron désigne, et à qui il pense, lorsqu’il évoque avec élégance « des interprètes porcins »

MOZART Gould, et donc Caron, ont en horreur « le divin Mozart » car sa musique serait déductive. Loin de toute compromission avec la mondanité, la musique doit être une nuit transfigurée mais surtout pas « eine kleine Nachtmusik ». L’auteur a son idée sur la raison de l’inachèvement de la Grande Messe en ut et du Requiem. Rien à voir avec les explications romantiques. Pour la première œuvre, c’est le choc de la découverte de l’œuvre de Bach ; pour la seconde, la fugue. Au passage, il expédie en une formule qui est bien de lui le film de Milos Forman Amadeus sans citer le nom ni le titre : « Le très-mauvais film d’un mouvimaque tchèque égaré dans le sans-odeur des monnaies californiennes ».

Alfred Brendel : « Ses sonates pour piano me paraissent sous estimées, à quelques exceptions près (…) Mozart n’est ni en porcelaine, ni en marbre, ni en sucre. On doit soigneusement éviter le Mozart mignon, le Mozart parfumé, le Mozart extasié, le Mozart Noli me tangere, le Mozart enflé de sensiblerie et le Mozart incessamment poétique. Une clef importante pour jouer Mozart est le chant d’opéra. »brendel

MUGISSEMENTS Ce que d’autres appelleraient les fredonnements de Gould. Caron assure qu’ils relèvent de « la glossolalie au sens mystique ». Juste des paroles inconnues que certains de ses producteurs voulurent gommer de ses disques. Les pauvres n’avaient pas compris. « Ne connaîtront que ceux qui en sont » dit-il à propos, mais on peut imaginer que tout son essai peut se ranger sous cet élitisme désignant les happy few du gouldisme canal historique.

CONCERT In fine, Caron évoque deux grandes figures par rapport à son héros : Menuhin et Rubinstein. Deux bêtes de scène. Tout ce que Gould n’était pas. Tout ce qu’il détestait. Pourtant il admirait le violoniste pour sa capacité à habiter son intériorité, à garder intacte son humanité (générosité, égalité d’humeur, ouverture aux autres) en dépit de tout ce qui fait le gâchis des concerts. Quant à Rubinstein, ce n’est pas seulement qu’il méprise en lui le bourgeois enflé, narcissique, cabotin, salonnard : il le définit  avec un certain détachement comme un homme de grands hôtels quand lui se veut un homme de petits motels. Il n’est pas interdit de voir une critique de la société du spectacle derrière le ricanement que provoquent en Gould les représentations que donne Rubinstein, comme on le dirait de pièces de théâtre. Mais avant la rupture de 1964, n’en était-il pas lui-même, et pleinement si l’on songe à ses rituels ?

« Alfred Brendel : Le pianiste monte sur scène, s’assoit, bouge à droite et à gauche sur son tabouret, le règle, ouvre et ferme les yeux, pose à plusieurs reprises les doigts sur le clavier, touche ses genoux, prend un élan et commence. Peut-être vaudrait-il mieux qu’il essaie le tabouret (et le piano) avant le concert, afin de pouvoir commencer à jouer sans trop d’histoires ? »

PUBLIC : ennemi public No 1

CONCENTRATION : Excentrique par excès de concentration, on disait Gould obsédé alors qu’il n’avait au fond que de la suite dans les idées. Il était à la recherche de l’unité invisible de l’œuvre interprétée, laquelle, même s’il s’agissait d’une Fugue de Bach, ne laissait pas prévoir son déroulement et encore moins sa fin quand on en était encore qu’à l’attaquer. La révélation ne vient qu’en cours de route, à force de réorientations, ce qui est impossible en public.

Alfred Brendel : « Outre la richesse sans borne du contrepoint chez Bach, n’oublions pas le Bach audacieux et évoluant librement, celui des fantaisies et des toccatas : dans la fabuleuse Fantaisie en la mineur (Prélude) BWV 922, aucune mesure ne révèle où va mener la suivante ».

GOÛT Gould alias Caron identifie explique l’exécrable niveau des concerts par « l’effarant » mauvais goût du public, sa sensibilité stupide à la virtuosité et son pouvoir dictatorial sur les programmes – sans songer que la faute en revient à la faiblesse démagogique des producteurs et directeurs de salle qui ne cherche qu’à lui complaire en ne lui donnant à écouter que ce qu’il connaît déjà afin qu’il reconnaisse aussitôt. Or le public ne saurait par définition ni lire ni vivre une partition

Alfred Brendel : « Il est assurément inadmissible de maltraiter la dernière sonate de Beethoven, qui clôt la série de ses trente-deux sonates pour piano et mène irrévocablement au silence, en en faisant une pièce de début de programme. Pareil choix montre que l’interprète n’a pas compris la valeur psychologique de l’œuvre ».

Fin de l’expérience. On pourrait la prolonger encore en décryptant plus avant les clins d’œil de Brendel qui ne nomme pas toujours ceux qu’il désigne, surtout lorsqu’il les critique. Ainsi quand il déplore haut et fort les pianistes qui séparent artificiellement les accords finaux de ce qui les précède, n’hésitant pas à défigurer une fin énergique par un diminuendo. Cette expérience de double lecture aura été aussi le théâtre d’un moment unique de la musique pour piano : l’exécution virtuelle par Glenn Gould et Alfred Brendel d’une œuvre pour piano à quatre mains qu’ils n’ont jamais interprétée, et pour cause. Ils ne parlaient pas la même langue, bien que la musique fut leur langue commune. Dans son Abécédaire, Alfred Brendel cite nombre de grands pianistes en exemple, mais pas une seule fois Glenn Gould. Dolce, Brendel l’entendait comme « intime » après l’avoir fait passer par toutes les nuances de l’allemand süss. Gould, qui sait… Mais comme y invite Maxence Caron en une formule cette fois inspirée, gardons-nous de trop faire parler la musique, de la surinterpréter car on risquerait de « la distraire de son secret ».

Au fond, ce petit dialogue indirect entre ces deux grands pianistes trouverait à s’accorder surtout sur un point de désaccord plus fondamental que la fidélité aux instruments anciens ou la fidélité à la partition : leur rapport au silence. Chez Gould, il est l’absolu de la musique, le point de non-retour vers lequel il s’apprêtait à basculer, prêt à renoncer à l’enregistrement après avoir effacé le public, avant de se tourner exclusivement vers la grâce de sa musique intérieure, sans instrument. Chez Brendel, le silence est partout dans la musique, il la tient, comme il devrait soutenir tout concert puisqu’en anglais, l’anagramme de listen est silent, ramenant le silence à l’écoute.

(« Glenn Gould et Alfred Brendel » photos D.r;)

 

 

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commentaires

1 082 Réponses pour Prière de ne pas distraire la musique de son secret

bouguereau dit: à

le monde va à sa perte sauf le domfrontais

..et les fimes de boules

Mme Bougue-rototo dit: à

me vient à l’idée que mari copine avec le microbe Zemmour main’nant, c’est du cul et chemise

Widergänger dit: à

Ce qui manque ici c’est la matière grise. Il n’y a qu’un immense trou noir avec ueda au milieu en suspension dans son vide sidéral.

Widergänger dit: à

T’es pas seulement victime du Mal, crétin, tu y participe largement. Tu ES le Mal.

Widergänger dit: à

La buse qui parle d' »extrémisme aberrants », ce qui présuppose qu’il y aurait des extrémismes qui ne le seraient pas… le genre de buse qui croit penser et qui ne brasse que le vide de sa pauvre bêtise.

renato dit: à

Hé! merdre, les prophètes de l’apocalypse! nous sommes loin de l’an 2000 et l’époque n’est pas pire que celle des guerres de religions ou des guerres napoléoniennes; seulement nous avons les images à la place des narrations plus ou moins informées par les mythes et légendes des narrateurs, il suffit d’apprendre comment on les lit.

Mme Bougue-rototo dit: à

pourvu qu’il tourne pas genre Soral, chus pas sur à sang pour sang

boudegras dit: à

videurmachin commence à me courir sur le haricot sec

Widergänger dit: à

Jacques Barozzi dit: 22 octobre 2014 à 14 h 02 min
Ceci n’est pas une image de la Shoah
http://images.search.yahoo.com/images/view;_ylt=AwrB8p5EnEdUjVoAeJeJzbkF;_ylu=X3oDMTIzNTF1ZHM5BHNlYwNzcgRzbGsDaW1nBG9pZANlZmI3MDYyNDAwMTg5ZjdlNGQ0NjhmYmJmNjExOTQzZgRncG9zAzMxBGl0A2Jpbmc-?back=http%3A%2F%2Fimages.search.yahoo.com%2Fsearch%2Fimages%3Fp%3Dshoah%26fr%3Daaplw%26fr2%3Dpiv-web%26tab%3Dorganic%26ri%3D31&w=480&h=385&imgurl=wildeagle.blog.tiscali.it%2Ffiles%2F2011%2F01%2Fshoah2.jpg&rurl=http%3A%2F%2Fwildeagle.blog.tiscali.it%2F2011%2F01%2F27%2Fshoah%2F&size=48.7KB&name=shoah2&p=shoah&oid=efb7062400189f7e4d468fbbf611943f&fr2=piv-web&fr=aaplw&tt=shoah2&b=0&ni=21&no=31&ts=&tab=organic&sigr=11i4k1dd3&sigb=12r6mett6&sigi=11i6k7enh&sigt=10661i0g0&sign=10661i0g0&.crumb=ecyz6wynkIF&fr=aaplw&fr2=piv-web
_______________
Gros connard de Barozzi, c’est une image du camp de Buchenwald.

Ce n’est pas une « image de la Shoah », comme tu dis faussement, pauvre nullité, infâme nullité, pourriture de nullité, incarnation de la merde de ce monde.

Artémise dit: à

Vous est-il jamais arrivé de lire en stéréo ? Ou plus précisément : deux livres en même temps ? Non pas l’un après l’autre et réciproquement mais bien l’un avec l’autre dans la mesure où ils s’éclairent mutuellement ?

Cela m’est arrivé très souvent, et les résultats de ce type de lecture ne m’ont jamais paru plus productifs que lorsque, justement, les deux ouvrages lus en regard l’un de l’autre ne semblaient pas devoir s’éclairer mutuellement ; or c’est justement dans ce cas-là qu’on fait les découvertes les plus surprenantes. Parmi mes expériences de « lecture en stéréo », pour reprendre l’expérience d’Assouline, qui m’ont le plus marquée, je citerai « La Vie mode d’emploi » de Georges Perec couplée à « La cuisine du comté de Nice », par Jacques Médecin (j’avais d’emblée écarté l’association, trop convenue, avec « La vie devant soi », de Gary) ; « Sein und Zeit », de Martin Heidegger, avec « Hänsel und Gretel », des frères Grimm; « Le Nouveau Testament » par Matthieu X., avec « L’Art du contrepet », de Luc Etienne, etc. etc.

Artémise dit: à

« Le Nouveau Testament » , par Matthieu X.

Autant pour moi. Il s’agit de  » La Bonne nouvelle » , ou si l’on préfère de « La Nouvelle bonne » , sans que la lecture de l’ouvrage permette de savoir s’il s’agit d’une jeune fille au pair ou d’une Libérienne fraîchement débarquée d’un cargo à Marseille, via le Sénégal.

de nota dit: à

Quand Mademoiselle Fufu, une vieille fille malchanceuse, laide et malheureuse hérita de son oncle paternel Bruno Marchepié, elle décida d’acheter un piano, après avoir lu une réclame qui annonçait des occasions occasionissimes! à la Maison du Piano.

« Mll Fufu se rendît à l’adresse portée dans l’annonce et déclara qu’elle souhaitait acheter un piano. de ce vœu, elle fit part à la première personne sur qui elle tomba à la Maison du Piano, un employé très jeune, presque un gamin, qui paraissait manquer de toute autorité commerciale. Ce commis pria Mlle Fufu d’attendre et disparut.
c’était une longue enfilade de salles froides et bien lustrées, comme dans les musées que Mlle Fufu visitait dans sa jeunesse, les dimanches matins, en compagnie de son père: on y respirait une odeur de vernis. On entendit au loin l’écho de notes répétées, d’accords insistants, d’arpèges recommencés à plusieurs reprises: la voix d’un piano en traitement, la poitrine probablement ouverte et les viscères à nu, où l’accordeur raccordait les cordages.
Du fond de cette écurie pianistique, dans un crissement de chaussures neuves, un monsieur arriva, qui était vêtu rigoureusement d’un noir onctueux et affichait une onction ecclésiastique. Mlle Fufu exprima à cet homme le souhait qu’elle venait de manifester au jeune et irresponsable commis, et elle fit comme si elle confessait un péché à son confesseur.
« Mâle ou femelle, demanda l’onctueux personnage.
-Plaît-il? » répliqua Mlle Fufu, en écarquillant les yeux.
L’onctueux personnage se ravisa et, chassant d’un geste mou de la main son propos distrait, il précisa: « Excusez-moi, je suis en train d’employer notre jargon de facteurs de piano…Je vous demandais si vous vouliez un piano droit ou un piano à queue?
-Le meilleur, dit Mlle Fufu, qui n’y connaissait rien. Vous êtes un technicien et je vous fait confiance.
-Une queue alors, déclara l’onctueux personnage. J’ai justement une queue qui vous conviendrait tout à fait. C’est une occasion extraordinaire. »
Ils traversèrent les salles brillantes et sentant le vernis. Les pianos, à l’état sauvage ou groupés, étaient comme de paisibles, de silencieux animaux, droits ou à queue, de toutes tailles et dimensions, certains très grands, d’autres tout petits, ceux-ci les enfants, était-il à présumer, ceux-là les parents.
D’aucuns, en passant, l’onctueux personnage découvrait la denture; à d’autres, il caressait les flancs ou la croupe brillante. Tout au fond, l’accordeur invisible se taisait à présent, et, en lieu et place des accords et des arpèges, on entendait la petite trompette insistante du « la » perpétuel.
Dans une salle, entouré de piano noirs pareils à des serveurs en habit, se tenait un piano haut sut pattes et entièrement blanc, cygne parmi les corbeaux. « Notre albinos »,dit, le doigt tendu, l’onctueux personnage, et il sourit avec une mélancolie infini. Mlle Fufu ne comprit point et regarda son interlocuteur avec quelque appréhension.
L’occasion extraordinaire se trouvait dans la dernière salle: un piano à queue long comme une baleine, accroupi sur ses pattes musclées et trapues. L’onctueux personnage y plaque quelques accords péremptoires, avec une force insoupçonnable chez un individu d’une apparence aussi molle: après quoi il demanda la permission d’aller dresser le contrat de cession.
Restée seule, Mlle Fufu posa sa main sur une touche et, aussitôt, dans tout son corps elle éprouva comme un fourmillement de plaisir. S’armant de courage, elle pressa deux touches à la fois, et, à cet embryon d’harmonie, subitement, l’or resplendit à nouveau tout autour d’elle, celui-là même qui l’avait enveloppée l’avant-veille au Teatro della Pergola, durant la représentation du Don Juan de Wolfgang Amadeus Mozart.
Et maintenant, Mlle Fufu est heureuse, profondément heureuse. Elle a payé la note, donné leur pourboire aux livreurs, refermé sa porte et remis le tapis en place, sous les pieds du piano long et noir installé au milieu du salon et qui transforme la vie tout entière en clarté et beauté, qui chasse de sa voix d’or la laideur, la douleur et la mort.
Semblablement herculéen étaient les quatre livreurs qui, à l’aide de leurs sangles et de leurs jurons, avaient fait monter quatre étage au piano de Mlle Fufu: semblablement chargés de sombres menaces et exhalant semblablement une âcre puanteur de vin aussi bien que de transpiration moisie.L’un d’entre eux ressemblait au voyageur gigantesque qui, entre Arezzo et Chiusi, se trouvait assis auprès de Mlle Fufu et, sans le moins du monde s’en douter, avait donné à cette dernière quelques notions obscures er imparfaites au sujet de la cohabitation conjugale: c’est justement à lui que Mlle Fufu donna le pourboire de cent lires par quoi elle espérait soustraire aux sombres menaces contenues dans ces quatre corps colossaux; mais, sur le front sillonné de rides et emperlé de sueur d’icelui, elle ne remarqua pas une ombre de gratitude, pas plus qu’elle ne vit s’allumer la moindre lueur de connivence dans ses yeux enterrés sous des plis de chair rouge. Et lorsque, à la fin des fins, Mlle Fufu se retrouva toute seule chez elle et s’approcha du piano à pas comptés et en tremblant, comme elle eût fait d’une créature vivante mais assoupie et que le moindre bruit, le plus petit geste inconsidéré peut réveiller, elle souleva le couvercle sur la denture légèrement jaunie, caressa deux touches afin de retrouver l’or de l’harmonie, mais retira aussitôt sa main avec horreur: le clavier était chaud et mou.
Mlle Fufu se hasarda à toucher la queue de l’instrument: elle était tout aussi chaude et molle.
« Les pianos auraient-ils de la température? »
Une fois effacée sa première et plus grande peur, Mlle Fufu s’avisa que ces mots n’avaient pas été prononcés par le piano mais par elle-même, à voix haute, seule au milieu de son salon, devant l’instrument mystérieusement fiévreux. Elle eut également l’impression que le piano était plus gros qu’il n’était à la Maison du Piano, plus gras, plus enflé, et qu’il s’aplatissait sur ses pattes trapues.
Mlle Fufu ne ferma pas l’œil de la nuit. Pénétrer dans son salon, elle n’osait pas, mais elle croyait entendre, à travers la porte, le halètement du piano qui avait de la peine à respirer. Elle s’enferma à clef dans sa chambre. Elle se rappela le jargon de l’onctueux personnage:
« Mâle ou femelle? » Sous ses draps , elle frissonna. Pour la première fois de son existence de vierge quinquagénaire, Mlle Fufu se sentit seule chez elle, la nuit, en compagnie d’un homme.
A sept heures du matin, Marta, la femme de ménage, frappait comme une forcenée à la chambre de Mlle Fufu, mais refusait de donner des explications à travers la porte. Pieds nus, ses affreux pieds en forme de fourchette, Mlle Fufu courut au salon: le piano gisait sur le tapis, respirant grassement dans l’ample palpitation de ses flancs, et tout autour de lui s’agitaient quantité de tout petits pianos, certains droits, d’autres à queue, qui répandait des sons subtils et dorés.
Mlle Fufu s’empressa de se rendre à la Maison du Piano, son toupet de travers et sa robe à l’envers. L’onctueux personnage écouta sa réclamation avec une douce condescendance et, de même que l’autre fois, il fit un geste mou de la main, comme pour mettre fin à une nouvelle petite erreur.
« Un malentendu dit-il de sa voix mielleuse. On a livré par erreur à Mlle Fufu un piano femelle: une pianesse, telle que les facteurs en conservent pour la reproduction et qui sont donc plus appréciés. Mais si Mademoiselle préfère ne pas le garder…
-Elle m’a rempli le salon de pianinos nouveaux-nés! Comprenez-vous, pour une demoiselle qui vit toute seule…
-Erreur déplorable! s’exclama l’onctueux personnage. J’en conclue que la pianesse que nous avons livré hier, par distraction, était bourrée d’œufs.
L’onctueux personnage ne parlait pas comme quand on a qu’un interlocuteur, mais comme s’il y avait là tout un public à l’entendre. Après ces paroles, il pressa le bouton d’une sonnette et, au tout jeune commis qui surgit à la suite de cette pression, il dit d’une voix sévère:
« Comment se fait-il que nous ayons ici, en magasin, une pianesse bourrée d’œufs?
– Je…je ne comprends vraiment pas, monsieur le professeur » s’exclama le tout jeune commis, en rougissant jusqu’à la racine des cheveux et en entrouvrant ses bras comme s’ils étaient des ailes.
L’onctueux personnage s’exclama d’une voix sans appel: »Convoquez M.Ciseaux! »
Rentrée chez elle, Mlle Fufu découvrit que les pianinos avaient déjà quelque peu grandi: elle fut heureusement surprise de voir la rapidité avec laquelle grandissent les pianos. Quelques uns se déplaçaient en tanguant, d’autres grinçaient des dents: un petit piano à queue , en voyant Mlle Fufu sur le seuil, courut à sa rencontre en remuant sa queue, et le cœur de la vieille demoiselle stérile s’emperla de tendresse. Quand la Maison du Piano s’enquit par téléphone de l’heure à laquelle on pourrait envoyer les livreurs reprendre pianesse et pianinos, Mlle Fufu répondit qu’elle avait changer d’idée et qu’elle garderait la mère et ses petits. Tout était possible et un soupçon atroce lui traversait l’esprit: ce monsieur rigoureusement vêtu de noir, onctueux avec elle mais tout à fait dur avec le commis infantile, était parfairement capable de noyer quelques-uns de ces nouveau-nés, par exemple celui-là même qui avait accouru à sa rencontre en remuant la queue.
« Vous aurez du mal, chuchotta la voix douce à l’autre bout du fil, il faut les alimenter.
-Je me débrouillerai, dit Mlle Fufu. Je suis tellement seule!… »
Quelques jours suffirent pour que les pianinos deviennent des pianos adolescents. C’était une joie de les voir circuler dans l’appartement, grimper sur les meubles, se cacher derrière les rideaux, jouer entre eux comme de jeunes chiots. Quelques petits pianos à queue se plantaient au milieu du salon et, dressant leur petite patte, soulevaient leur couvercle à la façon d’un poussin qui se gratte sous l’aile.
Ul arrivait que, au cours de leurs jeux, une dispute éclate entre deux pianos droits ou entre deux pianos à queue, et Mlle Fufu était obligé d’aller les séparer. En revanche, il n’y avait jamais de dispute entre un piano droit et en piano à queue, du fait de l’absence de combativité entre un sexe et l’autre, qui empêche un petit chien de chercher noise à une petite chienne, encore qu’il n’en aille nullement ainsi entre hommes et femmes. Quant à la pianesse, qui avait bien surmonté les relevailles et le sevrage, elle se tenait à nouveau debout sur ses pattes trapues et musclées, à peine un peu pâlotte. Seul un lecteur superficiel et dépourvu d’imagination se figurera que les pianos se nourrissent de croches et de doubles croches: les jeunes pianos de Mlle Fufu dévoraient d’énormes quantités de viande, de légumes, de salades, et, pour la pianesse, il fallait ajouter trois litres de lait par jour. Les petites rentes de Mlle Fufu n’y suffisant plus, il fallut qu’elle entame son capital. Quelle importance? Sa vie avait désormais un but.
Toujours est-il que, habitée par ses jeunes cordes, par ces claviers neigeux, la maison de Mlle Fufu est désormais pleine d’une harmonieuse musique d’or, qui ne s’épuise jamais au cours de la journée, et qui, la nuit, se condense dans le ronflement délicat des rêves. Mlle Fufu, qui est à la fois Zerlina, Donna Anna, Donna Elvira, et qui, en ces trois femmes diverses, reçoit l’amour de Don Juan, lequel est devenu grâce à elle l’amant le plus fidèle du monde, se réjouit de la stérilité désormais éliminé de son appartement: elle songe à unir les nouveaux pianos droits et les nouveaux pianos à queue, c’est-à-dire les pianos mâles et les pianos femelles, en des accouplements féconds.
Jusqu’alors seule au monde, Mlle Fufu se voit à présent entourée d’une vie luxuriante et sonore,et, à l’abri de sa laideur qui constitue sa protection la plus efficace, elle est angéliquement heureuse.
N’empêche que Mlle Fufu est seule au monde. Et comme elle n’a plus de famille, fût-elle éloignée, c’est avec son gérant qu’il fallut s’occuper d’elle, avec l’aide du concierge.
Tant et si bien qu’un matin deux jeunes femmes sobrement vêtues de gris se présentèrent chez Mlle Fufu, pour l’inviter , avec une douce détermination, à les accompagner à la Maison du Piano, pour question la concernant: on pense bien que Mlle Fufu ne se le fait pas répéter deux fois.
Devant l’immeuble, il y a un taxi, qui emmène Mlle Fufu et les deux dames de gris vêtues jusqu’à une villa de banlieue, mise au milieu d’unparc fort riant. La chambre où on installe Mlle Fufu est gaie et blanche, mais la fenêtre est obstruée par des barreaux solides.
Au milieu du salon de Mlle Fufu, le piano est resté bouche bée: sur son pupitre la partition de Don Juan est ouverte, page 83, là où Don Juan invite Zerlina: « Là ci darem la mano, la mi dirai di si… » Cette partition que Mlle Fufu ne parviendra jamais à lire; ce piano dont Mlle Fufu n’arrivera jamais à jouer.

Extrait de « La pianesse » Alberto Savinio, traduit par Nino Frank

emile dit: à

« un immense trou noir avec ueda au milieu en suspension dans son vide sidéral. »
Ça c’est marrant ! Pauvre ueda il est pourtant bien sympa malgré

« On finit par avoir un regard de varan a force d’être rivé devant son écran de cinéma ou de tv..  »
Non, en fait gavé comme on est, on zappe au bout de deux secondes les trucs chiants ou éteint

« Wim Wenders est devenu un maniériste dans ses récentes productions. ses premiers films ne laissaient pas prévoir ça. »
Bizarre depuis ses anges là pff f.. mais à l’exception du superbe Buena Vista Social Club !

« Wenders permanenté  »
Il a pas besoin de perruque et alors ? ! Jaloux !
(Luc F berk..)

emile dit: à

« pas pire que celle des guerres de religions ou des guerres napoléoniennes; »
sans parler des invasions romaines ((!) et toutes les autres guerres. On peut pas toutes les mentionner, tellement l’Europe a toujours été un champ de batailles jusqu’à récemment quoi

D. dit: à

pauvre nullité, infâme nullité, pourriture de nullité, incarnation de la merde de ce monde.

Paix en ton âme Mimi !
Je vais prier pour toi, es-tu prof ce français ou prof en argumentations bancales ?

Widergänger dit: à

D’abord ueda n’est pas un type sympa, c’est une couille molle propalestinienne, qui sort de ce repère antisémite qu’est devenue la rue D’ulm.

jean françois dit: à

widerganger exagère toujours beaucoup- ah les jeunes!

bof dit: à

suite au décès brutal de widangeur, d’un accident de mobylette retour du Carrefour où il était allé acheter sa caisse de rosé journalière, gérard Filoche vient de tweeter:
« c’était un vrai révolutionnaire le Mimi, l’avant garde du l’intelligence. on ne t’oubliera pas! Alba la bourgeoisie »

Artémise dit: à

Je vais prier pour toi, es-tu prof ce français ou prof en argumentations bancales ? (D.)

Ah, moi, je trouve qu’on respire dans ce style comme un parfum de Léon Bloy, mais modéré ; ce doit être celui dont usent les modérateurs de la RdL pour s’asperger le… la…, avant de partir pour leur dur travail.

proverbes et maximes chinois dit: à

« Regarder le ciel du fond d’un puits et affirmer que le ciel est étroit. » Han Yu (Tang)

J.Ch. dit: à

merci de nota pour cet extrait malicieux de Saviano qui ajoute une note musicale dans ce tourbillon sidérant; je pars de ce pas tâter quelques touches…

Daaphnée dit: à

D’abord ueda n’est pas un type sympa, c’est une couille molle propalestinienne, qui sort de ce repère antisémite etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc etc ..

Bon, là on atteint le point Goldwin.
Notre Wiwi, frustré et acariâtre, est mur pour rejoindre les rangs des empâtés du bulbe de Soral-Dieudindonneau !

Ah ! La frustration des sans cervelle !

renato dit: à

Evidemment, emile, on ne peut pas chaque fois remonter aux origines de l’humanité, j’ai donc mentionné les première dont je me suis souvenu en ce moment là.

Cela dit, un tas de gens réagissent à l’actualité (toute) sans tenir en compte le fait que nous avons vécu depuis 45 dans un état de paix relative car l’information a été jusqu’à il y a peu le privilège d’un minorité et elle était savamment filtrée, mais sans compter les guerres que l’on connait (décolonisation, Corée, Vietnam) plus ou moins bien traitées par la presse, songez au conflits locaux qui ne méritaient que quelques ligne par-ci, par-là; pour ne rien dire de la chronique et des faits divers nationaux. Enfin, vous voyez ce que je veux dire.

Maintenant nous somme submergés par l’information car elle rapporte en audience, mais à qui la faute? seulement à ceux qui proposent ou aux spectateurs aussi? Benjamin parle, à propos de l’invention de l’allumette, de geste choc, c’est à dire d’un geste qui nous permet d’arriver à un résultat sans en avoir les compétences car, avant l’invention de l’allumette, allumer un feu n’était pas donné à tout le monde. Nous sommes dans la même situation, au prises avec un geste choc encore plus simple que frotter une allumette pour voir le feu… il suffit maintenant d’appuyer sur un bouton pour avoir accès à l’information, et pas toujours dans les conditions idéales pour y réfléchir. Enfin, cela ne m’étonnerait pas s’il s’agissait de cadres, employés, ouvriers, les difficulté de la vie étant ce qu’elles sont (enfants, école des enfants, fins de mois difficiles, etc.). Mais des intellectuels, des artistes, des écrivains pour lesquels l’image du monde est la matière de travail, et bien, ceux-là m’étonnent; leur superficialité, leurs poncifs relatifs à une légendaire âge d’or, leur peur du futur, bien tout cela m’étonne, et à vrai dire m’effraie aussi car si eux n’arrivent pas à lire le présent avec la sérénité nécessaire, qui saura le faire?

Je profite du passage pour remercier de nota pour Savinio.

Et pardon pour les inevitables et habituels erreurs…

Daaphnée dit: à

suite au décès brutal de widangeur, d’un accident de mobylette retour du Carrefour

Saperlipopette !
Il y était, au carrefour de Saint-Michel !
Au moment où les forces de l’ordre désamorçaient une bombe (?) , colis plus que suspect ..

– Je sortais de chez Gibert quand il a fallu nous éloigner d’un périmètre salutaire pendant que les démineurs intervenaient ..Nous avons entendu la détonation finale, notre Wiwi s’est tout pris en pleine tête.

On portera en terre quelques rayons de roue de bicyclette, en hommage à sa personnalité ultra-rayonnante que nous avons bien connue ici ..

Ceux qui le veulent pourront jeter qqs petits cailloux ..

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 22 octobre 2014 à 9 h 18 mi
tu vas tla mettre profond en cautère.

boumou, étant donné le local qui concentre tes obsessions, j’ai l’impression que tu aurais beaucoup plus besoin que moi de ce cautère… Je t’en fais cadeau pour ton petit Noel… Soigne-toi bien.

Isaïe dit: à

« La buse qui parle d’ »extrémisme aberrants », ce qui présuppose qu’il y aurait des extrémismes qui ne le seraient pas… le genre de buse qui croit penser et qui ne brasse que le vide de sa pauvre bêtise. » W

En voilà un qui prend ses désirs (aberrants) pour des réalités. Il a tout faux !

Isaïe dit: à

Le plus drôle est que s’il y a bien un extrémiste ici c’est l’aberrant Widergänger lui-même.

Isaïe dit: à

« L’Ami américain » était encore un excellent film de Wenders, mais par la suite ce cinéaste s’est tari. Je rejoins complètement les propos de l’attentif Paul Edel.

renato dit: à

« Wenders maniériste ? »

Il a toujours entretenus de relations ambiguës avec le pouvoir (à ce propos voir la définition de maniérisme par Arnold Hauser).

renato dit: à

Pardon, pour Hauser :
« Histoire sociale d’art et de littérature » ;
« Maniérisme: La crise de la Renaissance et l’origine de l’art moderne ».

renato dit: à

Maniérisme… au moins que vous n’entendiez « affecté », ce qui serait assez déprimant.

Artémise dit: à

Le plus drôle est que s’il y a bien un extrémiste ici c’est l’aberrant Widergänger lui-même. (Isaïe)

Il me semble que, sur ce blog, Widergänger s’est présenté lui-même à plusieurs reprises comme Juif . Or son discours le plus habituel, où cohabitent les injures les plus grossières, les plus scatologiques, les menaces à peine voilées, les accès pathologiques de mégalomanie, le tout marinant dans un fond de sauce à base de clichés d’extrême droite — ce discours en évoque irrésistiblement un autre : le pathos nazi. Je m’étonne que personne ici n’ait encore fait le rapprochement, à commencer par l’hôte de ces bois, qui ne semble pas bien se rendre compte que certaines déclarations de l’énergumène engagent sa responsabilité,pénale comprise. Par ailleurs, personne ne semble avoir relevé que le comportement du Widergänger est typiquement celui d’un troll, dont presque toutes les interventions visent à pourrir la discussion, à la faire dériver vers des affrontements stériles à coups de sorties haineuses et méprisantes.
J’ai soumis les propos du Widergänger sur ce blog à des amis Juifs. Ce sont gens courtois, mesurés, sensibles. Ils ont tous été consternés par ce qu’ils ont lu. Pour eux, la chose ne semble faire guère de doute : l’infâme brouet touillé par le Widergänger a pour effet principal de déconsidérer les Juifs; son discours est un discours antisémite à peine voilé. Ils ne sont pas loin de partager l’hypothèse que j’ai formulée sur ce fil : Widergänger est peut-être une marionnette manipulée par un groupe fasciste et antisémite.

D. dit: à

On portera en terre quelques rayons de roue de bicyclette, en hommage à sa personnalité ultra-rayonnante que nous avons bien connue ici ..

Ceux qui le veulent pourront jeter qqs petits cailloux ..

et quand ce sera le tour de Jacques, on portera quoi en terre ?

ueda dit: à

Artémise dit: 22 octobre 2014 à 21 h 38 min
Ce sont gens courtois, mesurés, sensibles. Ils ont tous été consternés par ce qu’ils ont lu.

Cette consternation est désormais partagée.

Le blogueur sous alias « Widergänger » joue savamment avec des souvenirs douloureux.
Ses messages apparemment inoffensifs, le ton papelard avec lequel il égrène ses horreurs, évoquent pour moi les heures les plus sombres de notre histoire.

Je me suis longtemps refusé à envisagé le pire, j’ai toujours été disposé à faire confiance.
Désormais, je pense que le temps est venu de faire barrage à l’irréparable.
Fort des leçons de courage de l’historienne Lacroix-Riz, je pose publiquement la question:
« Widergänger » est-il un cagoulard?

Jacques Barozzi dit: à

Dans « Tirez sur le pianiste » (1960), la fraîche Marie Dubois porte la même gabardine que la belle Fanny Ardant dans « Vivement dimanche » (1983) !
Un fétichiste des femmes en gabardine, François Truffaut ?

Jacques Barozzi dit: à

et quand ce sera le tour de D., on portera qui en terre ?

Jacques Barozzi dit: à

Ne comptez pas sur moi pour tirer sur le Widergänger !

Artémise dit: à

Dans « Tirez sur le pianiste » (1960), la fraîche Marie Dubois porte la même gabardine que la belle Fanny Ardant dans « Vivement dimanche » (1983) !
Un fétichiste des femmes en gabardine, François Truffaut ? ( Jacques Barozzi)

Et le Modiano en gabardine de l’autre jour, c’était aussi une photo de Truffaut ! Mais alors Modiano… ? Patrice, c’était Patricia ! Tu imagines le tête du Jury Nobel quand il l’ouvrira (la gabardine) : avec rien qu’une étoile à la place de l’obélisque de la Concorde… non, qu’est-ce que je dis… à la place du trou des Halles !

Artémise dit: à

la fraîche Marie Dubois (Jacques Barozzi)

Moi qui lui ai toujours trouvé une dégaine de morue avariée… C’est fou, tout de même, ce que, des fois, les goûts peuvent être antinomiques

Artémise dit: à

Ne comptez pas sur moi pour tirer sur le Widergänger ! (Jacques Barozzi)

c’est de la compassion ou vous n’avez pas votre permis de chasse ?

Widergänger dit: à

Quand je chat n’est pas là, les souris dansent… Attention au retour du félin, mes petits chéris.

Mais je vois que la police de la pensée est bien organisée comme dans tous les services de police, qui élisent selon leur bon plaisir qui est fasciste et qui ne l’est pas. Heureusement ce monde est en train de changer et jeanbrun porte bien son nom.

En attendant, il s’agit de méditer sur le silence. Toutes sortes de silence, depuis « das feine Schweigen » (le silence distingué) de Gœthe repris par Nietzsche jusqu’au silence de ceux qui laisse jeanbrun publier ses horreurs ici et qui sont coupables de non assistance à personne lâchement attaquée et calomniée par ce nazillon de jeanbrun qui se drape maintenant dans les jupons d’Artémise (pas peur du ridicule, le bougre) et participe de l' »éloquence du diable », au « Braunwelsch » ne permettant que d' »affirmer » et d' »obéir » comme l’écrit Jaspers à propos du langage des nazis.

Isaïe dit: à

Goethe, Nietzsche et Jaspers : il n’en faut pas moins à W pour se justifier !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…sans en être un spécialiste,!…puisque dans les  » liens  » imaginaires des esprits,!…

…l’idée de maîtriser la musique,!…avant le solfège,…

…je crois dans  » l’accorder  » des instruments déjà privés ,!…en cela,!…que les plaisirs des ondes sonores,…sont liées en parallèles aux dressages par parcelles sur le même instrument à contenir,!…
…que se soit la guitare, le piano, la flûte,!…

…tout les instruments se prennent à exister comme des divinités soumises et régler par les humains,!…

…cela fait penser,!…a la liberté de tirer partis des gens,!…en les formant à être comme dans un instrument et comme dans une corporation,!…

…cela va s’en dire,!…que de ne pas être instrumentalisable,…est question de caractères, partie de meuble de bois ou élément au bâtiment de pierre,…

…et d’écrire,!…qu’elle musique ses femmes, ces instruments à donner la mesure,!… » préétablie de concert en connivence « ,!…

…l’être à réviser l’harmonie des ensembles,!…ma musique mathématique aux ouvertures-fermées,!…pisser de rire,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!,…Go,!…etc,!…

…les doigts aux instruments,!…essayons cette bonne aux mains jointes,!…la pose, livrée neuve encore blanche,…à y posé les pinceaux à ondes et couleurs,!…
…qu’est ce qu’il dit,!…il bande,!…encore,!…
…etc,!…elle est plus longue la bonne-étoile à poils,!…c’est la touche à bec fatale,!…
…c’est pas fini,!…obsédé aux pierres de lune,!…encore une,!…
…envoyez,!…

Widergänger dit: à

isaïe a droit à un bonnet d’âne ce soir. Au coin !

en passant dit: à

Vous savez, Widergänger, l’ histoire du trublion pervers scato usurpateur Jeambrun est écrite sur ce blog.
Nous savons lire…

bérénice dit: à

« le local qui concentre tes obsessions » Chaloux

Le bocal dans lequel flottent ses idées fixes? un peu docteur Frankenstein votre image Chaloux qui laisse d’ailleurs Bouguereau aréactif, le formol et ses effets pernicieux.

en passant dit: à

…Ce qui ne vous exonère en rien de vos propres conneries!

Sergio dit: à

Le Pen, Le Pen… Hon dirait du breton… Un marin-pêcheur ?

Sergio dit: à

Widergänger dit: 22 octobre 2014 à 23 h 00 min
un bonnet d’âne

Chez Brighelli !

bérénice dit: à

En passant, comme si les conneries pouvaient être crasses, n’importe quoi! je vous donne raison, entre deux bornes il faut choisir son centre.

Widergänger dit: à

Il est mignon, le petit trou du cul. Quelles conneries, mon chéri, dis-moi tout…

Artémise dit: à

jeanbrun porte bien son nom. (Widergänger)

@widergänger

Tu as raison de te convertir au silence, mon coco, mais c’est un peu tard.

Ce n’est pas moi qui ai écrit sur ce blog ( ce jour, à 0h48 ) :

 » Mort à la peste verte islamique !  »

Comme tu es (je crois) prof de lettres, je ne vais pas te faire une explication de texte de tes insanités : « peste verte » est, il faut le reconnaître, une trouvaille bien digne de l’ordure que tu es.

Tu as dû oublier que la photocopieuse est un outil efficace, que les relais sur les réseaux sociaux sont des moyens d’action non moins efficaces. En raison de circonstances que tu ignores, figure-toi que j’ai beaucoup d’amis musulmans, des jeunes et des moins jeunes, mais surtout des jeunes. Ils ont eux-mêmes beaucoup d’amis, ici et dans d’autres villes que la nôtre. Je leur ai passé le mot, ils vont le relayer. Les moyens de te faire passer le goût des messages qui sont des appels à la haine et au meurtre, pour des raisons religieuses ( ce qui, je te le rappelle, dans notre pays, tombe sous le coup de la loi) ne manquent pas, je leur en laisse le choix. A toi la surprise.

en passant dit: à

Je veux parler des miennes, des vôtres, des leurs.
A chacun son lot.

bérénice dit: à

Entre Artémise qui n’entrevoit pas d’autres issues que la disparition à court terme de l’état d’Israël et la souhaite? et WG qui fait la peau à tous les palestiniens, l’espace d’un débat sans fin.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la destitution,!…des français jaloux,!…

…savoir choisir ses amis,!…pas s’empêtrer de sa famille polissonne,!…hisser vers le haut ,!…les liens aux  » bond-âges « ,en scooter,!…

…le pouvoir,!…quelle caisse de résonance,!…à mon presse-bîtter, mon gays en silence,!…
…combien,!…encore,!…la ruine des crises,!…
…Joker,!…peux mieux faire,!…Ah,!Ah,!…etc,!…

que fait la police? dit: à

Voilà que Jeanbrun joue au Chaloux des expéditions punitives inversées mais sans se déplacer lui-même, le lâche.
Un vrai méga-anal-plug!

renato dit: à

Pourtant l’on nous dit que nous sommes sortis des cavernes!

rendons à César... dit: à

WGG parle des islamistes, pas des palestiniens, nous savons lire, Bérénice..

Mais que fait la police!!! dit: à

Jeanbrun, le pire de tous, au gnouf!

bérénice dit: à

Giovanni vous savez l’autre soir je me disais que manger résolument me coupait l’appétit tout en entrevoyant mourir m’ennuie comme titre à un roman dont je me demande encore s’il n’a pas été écrit, vous lire souvent m’attriste car je ne vous comprends pas mais peut-être Est-ce du ce soir à ces quelques mesures du quintette opus 57 entendues.

pluggez, nous ferons le reste! dit: à

Pourtant l’on nous dit que nous sommes sortis des cavernes!

Mais oui renato, ils connaissaient déjà les olisbos, ceux des cavernes!

Artémise dit: à

WGG parle des islamistes, pas des palestiniens, nous savons lire, Bérénice.. (Rendons à César…)

Widergänger a écrit :

 » Mort à la peste verte islamique ! ».

Islamique, pas islamiste. Toute la différence est là.

Comme il ne manque pas, en France, d’institutions et d’associations reconnues d’utilité publique ( Conseil français du culte musulman, Ligue des droits de l’homme etc. ) à la connaissance desquelles c’est un acte civique de porter ce type de dérapage, il suffit de leur adresser un courrier suffisamment détaillé, accompagné de la photocopie du corps du délit). C’est ce que j’ai fait. Ensuite, à eux de jouer. L’inacceptable dérapage (si on peut parler de dérapage) du Widergänger se produit dans l’espace des commentaires d’un blog très connu, très fréquenté ; on ne comprend pas que son animateur tolère plus de cinq minutes la présence de pareilles éructations ; or elle dure déjà depuis près de vingt-quatre heures.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…@,…bérénice,!…

…c’est normal,!…de ne pas me comprendre du premier coup,!…faut voir venir,!…
…c’est liér,!…aux  » en chacun de nous, nos priorités « ,!…
…ma forme d’expression et mon expérience du graphisme,!…me donne une sérénité à me déplacer sur les échiquier,!…c’est presque une  » doxa-libre « ,!…chacun son modelage,!…etc,!…

renato dit: à

« … ils connaissaient déjà les olisbos, ceux des cavernes! »

Mais ce machin l’obsède!

Widergänger dit: à

jeanbrun va finir au cabanon à mon humble avis, fêlé comme il est.

Widergänger dit: à

Israël devrait adopter le plan de paix du monde arabe qui est une zone de guerre ?

Les récentes discussions sur « l’Initiative de paix arabe » laissent pantois.

Le monde arabe est une véritable zone de guerre. La Syrie est ravagée par une guerre civile qui dure depuis trois ans. L’Irak et la Libye ont implosé et sont fragmentés en fiefs belligérants. La souveraineté du Liban est entre les mains de l’Iran et du Hezbollah. Le groupe État islamique (EI) se propage en dépit des frappes aériennes occidentales et pourrait s’emparer du faible royaume hachémite. L’Iran contrôle à présent quatre capitales arabes : Bagdad, Damas, Beyrouth, et Sanaa.

Et Israël devrait saisir des deux mains cette offre de paix promise par la région la plus violente, la plus dysfonctionnelle et la plus belliqueuse du monde ?

L ‘ »Initiative de paix arabe » est un oxymore. Elle appelle à un retrait israélien du plateau du Golan afin de parvenir à la paix avec la Syrie. L’ennui est que la Syrie n’existe plus. Israël serait censé signer un accord de paix avec Bachar al-Assad, qui contrôle à peine un quart de son pays virtuel, ou avec l’EI?

Au sujet de la question palestinienne, le texte de l’initiative appelle à « parvenir à une juste solution au problème des réfugiés palestiniens conformément à la Résolution 194 de l’Assemblée générale des Nations Unies ». Le sens de cet article est qu’Israël doit accepter le soi-disant droit au retour. En d’autres termes, une fois qu’Israël sera devenu un Etat binational avec une majorité arabe et qu’il aura donc cessé d’être l’État-nation du peuple juif, il pourra être reconnu par ses voisins.

En 2008, le Premier ministre israélien Ehoud Olmert proposa au président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas un retrait complet d’Israël, mais sans la pleine acceptation du « droit au retour » palestinien. Abbas n’accepta pas l’offre, affirmant qu’il ne pouvait pas abandonner le « droit au retour ».

La Ligue arabe ne peut pas « offrir » la paix à Israël au nom d’un leadership palestinien qui refuse de transiger sur le « droit au retour ». C’est précisément la raison pour laquelle l ‘ »Initiative de paix arabe » défend le « droit au retour » en se référant à la résolution 194 de l’ONU.

Si Israël avait des doutes sur la sincérité de ses voisins et sur ​​leur capacité à livrer la marchandise, alors, nous dit-on, il peut certainement compter sur les garanties européennes. Aucun diplomate européen, bien entendu, ne tombera dans un piège à touristes ou acceptera de faire des compromis sur la sécurité d’Israël. La récente conférence des donateurs pour Gaza en est la preuve.

La conférence a promis 5,4 milliards de dollars. Le ministre norvégien des Affaires étrangères Borge Brende a déclaré que la moitié de ce montant sera consacré à la reconstruction de Gaza. Il n’a pas expliqué à quoi servira l’autre moitié. La reconstruction de la bande de Gaza et « l’autre moitié » vont coûter 568 millions de dollars au contribuable européen. Heureusement que les gouvernements européens se sont engagés à ce que l’argent soit versé « uniquement » à l’AP. Il n’y a aucun risque à ce que cet argent se retrouve entre les mains du Hamas, même s’il fait partie du gouvernement d’union qui dirige l’AP depuis juin 2014, et même s’il contrôle la bande de Gaza depuis juin 2007.

Aucun des pays donateurs n’a exigé du Hamas de désarmer, de s’engager à ne pas attaquer Israël à nouveau ou de ne pas reconstruire de tunnels vers Israël. Le Hamas peut raisonnablement en conclure que sa décision d’attaquer Israël s’est avérée un investissement rentable.

Mais si Israël a des doutes quant à la fermeté de l’Europe, sans doute peut-il compter sur la fiabilité de l’Amérique, n’est-ce pas? Après tout, l’administration Obama sait être dure envers l’Iran. Elle vient de donner un préavis à Téhéran sur les frappes aériennes qu’elle compte mener contre l’EI en Syrie. Le guide suprême iranien Ali Khamenei a récemment révélé que le secrétaire d’Etat américain John Kerry avait contacté son homologue iranien pour coordonner la lutte contre l’EI. L’ancien secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, a admis dans son livre récemment publié (Worthy Fights) que le départ précipité des forces américaines d’Irak a coûté aux Etats-Unis son rôle de rempart contre le sectarisme chiite et contre l’influence iranienne.

L’administration Obama a perdu la partie d’échecs avec l’Iran. Le président turc Recep Erdogan a conditionné sa participation à la coalition anti-EI par un engagement des Etats-Unis de renverser Bachar al-Assad. Un tel engagement, cependant, porterait atteinte à la coopération entre l’administration Obama et Téhéran contre l’EI. D’ailleurs, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères a récemment averti que toute tentative américaine de renverser Assad mettra Israël en danger. L’attaque du Hezbollah contre Israël le 7 octobre dernier était sans soute une mise en garde sur le sérieux de l’Iran.

Les « processeurs de paix » qui affirment que les Israéliens devraient prendre leur destin en mains en acceptant « l’initiative de paix arabe ». Ils voudraient que nous comptâmes sur les intentions pacifiques des djihadistes, sur la sincérité des Européens et sur compétence des Américains.

Avec un pareil sort entre ses mains, il faut de bonnes jambes pour courir.

Emmanuel Navon dirige le département de Science politique et de Communication au Collège universitaire orthodoxe de Jérusalem et enseigne les relations internationales à l’Université de Tel Aviv et au Centre interdisciplinaire d’Herzliya. Il est membre du Forum Kohelet de politique publique.

http://www.navon.com

le petit scientifique dit: à

on apprend que la copulation chez nos ancêtres les poissons remonte à 400 millions d’années, et ça durait pas plus de trois secondes…400 millions d’années plus tard, ça dure en moyenne 7 minutes, chi va piano…

kicking dit: à

chi va piano…

oui oh, n’évoquons scientifiquement surtout pas les espèces d’ordures à couverture et rallonge pour leur planification antédilluvienne de l’éloignement du coeur..

Chaloux dit: à

que fait la police? dit: 22 octobre 2014 à 23 h 35 min

Les pires punitions sont rhétoriques.

Deneb de La Tour Mamelles, Vilaingrenelle dit: à

Jacques Barozzi dit: 22 octobre 2014 à 22 h 03 min
et quand ce sera le tour de D., on portera qui en terre ?

C’est une pieuvre que nous porterons en terre, une pieuvre qui se prend pour Beethoven. Attaché à ses ventouses, JC alias anal-plug sera lui aussi porté en terre.

Dr. med. psychiatre Feuerstein dit: à

Monsieur Michel Alba, prof de 5ème a.d., fait partie de nos patients.
Nous le traitons depuis des années, il se sent poursuivi par la terre entière, mais spécialement par la peinture de Rembrandt. Il entend des fantômes qui font la conversation, moitié en yiddish, moitié en Davoserdüüütsch. Il passe ses journées en clinique et le soir, il rentre chez lui, frais comme un gardon enligné.
Nous lui cherchons un autre appartement, il ne supporte plus les gens de son quartier. Il est coincé entre la place Château Rouge et Saint-Ouen, quartier coloré et plus prolétaire que le Blvd Arago. il rêve d’hôtel-particulier dans le Marais. Il voudrait un quartier habité de Français de souche ou de juifs-espagnols-issus du Shehtl, ayant dans le passé été des juifs-de-cour du sud de la France.

jean françois dit: à

« Je m’étonne que personne ici n’ait encore fait le rapprochement, »

faudrait déjà avoir du temps à perdre en lisant les posts de wg

bouguereau dit: à

Un fétichiste des femmes en gabardine, François Truffaut ?

la gabardine c’était quelquechose de vraiment cosmic baroz..ça a a voir avec les météores..

bouguereau dit: à

n’écoute pas cette ventriloque de baltringue dracul..son psy au dessus de son épaule se tort de ses petites lettres anonyme à son papa..et les officier à la commandantour se fatiguent de sa trop lache rondelle de caricature d’indic..cependant je te rappelle que yavé n’aime pas qu’on se réjouisse des plus pire que soi

bouguereau dit: à

Les pires punitions sont rhétoriques.

alors mon couillon un peu plus ridicule chaque jour s’il était possibe ?..allez vas voir ton chef mon scrétaire et reviens ici pleurer..comme tu sais faire

bouguereau dit: à

Mais ce machin l’obsède!

il s’interresse à la science et à l’archéologie rénateau..et ça te fait tout drôle

bouguereau dit: à

Quand je chat n’est pas là, les souris dansent… Attention au retour du félin, mes petits chéris

ma mère de ma mère..

bérénice dit: à

anal-plug sera lui aussi porté en terre. Deneb.

L’idée de porter en terre, poétique, souffre tout de même d’obsolescence s’il fallait allouer un espace sous terrain à tous les morts nous irions vivre en terre vermoulue quand il existe des dispositifs allégeant la charge des gens du métier, à présent tout se passe sur des roulettes, fréquentez les funérailles ou vous y laisserez quelque chose de votre fraiche contemporanéité.

bouguereau dit: à

D’abord ueda n’est pas un type sympa, c’est une couille molle propalestinienne, qui sort de ce repère antisémite qu’est devenue la rue D’ulm.

ça fait bombe a sousmunitions..

keupu et quelques autres dit: à

bougue-rototo dit encore et toujours : « ma mère de ma mère, bastringue, yavé »… et vous trouvez qu’il ne radote pas… malgré le bavoir

bouguereau dit: à

le post de 21 h 29 min est un faux (usurpation).

dommage..comme un flash d’éclair fulgurant rénateau..un genre de selfie cosmic

bérénice dit: à

Le lavoir (de bavoir à lavoir…) a depuis tous temps exercé une aimantation ouvrant aux discours les plus variés, de nos jours ces lieux sont soumis aux technologies qui feront de l’archéologie une science sans issue à moins d’un grand fracas, les traces trop nombreuses enchevêtreront le chercheur dans sa recherche et le condamneront aux travaux forcés à perpétuité sans espoir d’ordonner l’archive mise à jour.
(Ceci est une boutade, bien évidemment.)

bérénice dit: à

Glenn Gould sur sa chaise d’enfant, un sujet de thèse pour pédopsychiatre. Il l’a échappé belle, quand le génie sauve jusqu’au bout. Il s’est absenté finalement définitivement trop tôt et truffé de médicaments si mes souvenirs sont exacts.

Joachin Du Balai dit: à

(de bavoir à lavoir)… glissade pour glissade, de bérénice à Brice de Nice, à Braïce de Naïce, c’est le même surf sur la vaguelette. Bref, glissons !

Widergänger dit: à

Nous vivons les derniers moments du PS.

En 2017, sinon avant, nous allons vivre les derniers moments de la 5ème République.

Après moi le chaos…!

Widergänger dit: à

Ravi de déplaire à certains, mes chéris. Votre rage est ma récompense.

Daaphnée dit: à

dans la salle et une ou deux femmes enfoulardees…et personne n’a songé a les mettre dehors pour autant…
Abdelkader

La loi inclut le voile intégrale – visage masqué – Abdel, pas le turban, le foulard, la calote ou le bérét !

Comme le rappelle le Figaro, par exemple:
« La loi du 11 octobre 2010, parfois appelée loi sur la burqa, interdit de «dissimuler son visage» dans l’espace public, notamment à l’aide d’un masque, d’une cagoule ou d’un voile islamiste intégral. Sont concernés la burqa – qui cache entièrement le corps, y compris les yeux derrière un tissu à mailles – et le niqab – qui couvre le visage pour n’en montrer que les yeux. Ici, ce n’est pas le signe religieux qui est mis en cause par le législateur, mais bien la dissimulation du visage qui en découle. Le «hijab» (qui masque la chevelure mais laisse le visage dégagé) ne rentre donc pas dans le champ d’application de cette mesure. »

Et comme nul n’est sensé ignorer la loi:

JORF n°0237 du 12 octobre 2010 page 18344
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000022911670&categorieLien=id

kicking dit: à

la gabardine c’était quelquechose de vraiment cosmic

la lourdeur des clichés et les mots des croquants ?

Daaphnée dit: à

intégral ..

Jacques Barozzi dit: à

« Ravi de déplaire à certains, mes chéris. Votre rage est ma récompense. »

Seriez-vous sadique, ML ?

kicking dit: à

perverse mémère doit cacher son sexe passque sinon ça fait esclave de la dictature du porno.. d’tout’façon comme elles ont pour habitude de regarder ailleurs.. aucun risque de passer pour narcissiques chez les bolos avec ça..

kicking dit: à

ah tiens, baroz commence sa journée, je vous laisse.. .. ..

Daaphnée dit: à

Sadique ?

mmm .. Tant qu’il s’imagine qu’on s’intéresse à lui, plaire ou déplaire ne peut que lui convenir ..

bérénice dit: à

Vous avez tout à fait raison Daaphnée, je porte le béret dans ce pays venté où je suis et je peste contre ces femmes qui ressortent cette mode vestimentaire encodée n’y lisant que soumission et volonté de se démarquer d’une mode européenne codage laïc pour affirmer leur appartenance, revendiquer une identité religieuse alors même que ces familles ont choisi de s’installer en des lieux ou les pouvoirs sont séparés comme si ces femmes regrettaient la liberté offerte et construite aux femmes ici, je déplore toutefois de me confronter à ma réaction me disant chaque fois qu’après tout pourquoi critiquer le foulard quand on porte un béret qui en premier usage protège du vent du froid d’une mise en danger de la coiffure.

Widergänger dit: à

Barozzi, (re)lisez Sade avant de causer… de ce que vous ne comprenez pas.

Widergänger dit: à

süss en allemand, c’est un peu trop sucré.

Widergänger dit: à

Daaphnée dit: 23 octobre 2014 à 10 h 24 min
Sadique ?

mmm .. Tant qu’il s’imagine qu’on s’intéresse à lui, plaire ou déplaire ne peut que lui convenir ..
_____________
Dit-elle, alors qu’elle me harcèle, cette pétasse, de son innommable sottise… Une vraie pétasse, celle-là.

Widergänger dit: à

De toute façon, Abdelkaka y confond tout. La tête d’Abdelkaka est chaos de sens et de nonsens.

Deneb dit: à

Mimi-mon-héros, D’JC et moi D.lapieuvre, nous t’adorons.
Ta vision politique, ton regard sur le monde, sur la France pourrie, tout cela nous rapproche. Parles nous un peu plus de ta mère, vraie Française de souche. Dis, Widderwidergansgänger, au moins, ta maman, ne viens pas dire qu’elle était nueguenotte ? Ce serait l’horreur, une protestante !

Jacques Barozzi dit: à

Oui, un sadique de pacotille, il brandit le fouet, mais tout le monde rigole…
Sade, est l’un de mes auteurs préférés, ML, spécialement pour la beauté de sa langue et l’infinie liberté de sa pensée.

Bloom dit: à

nul n’est sensé ignorer la loi:

censé, avec un « c » , non?
Pas moi le prof de français, c’la dit.
Sur le fond, les époux Balkany connaissent la loi mieux que tous les rdliens réunis. Toujours se méfier des légistes.

Widergänger dit: à

Pauvre Barozzi.

Jacques Barozzi dit: à

Paul Edel, à propos de « maniérisme », il me semble que ce mot définit bien votre écriture impressionniste actuelle : sur les nuages, le scintillement de la mer, la pluie bretonne, les façades aux crépis ocres des rues de Rome, les nuques des femmes, la vivacité des matrones, les pâtes à l’ail ou la rudesse enivrante de la grappa et du chianti.

Daaphnée dit: à

de pacotille

Disons qu’à force de vouloir étaler une science, qu’en réalité, il ne maîtrise pas toujours .. l’effet en est parfois risible, parfois désolant !

Daaphnée dit: à

Oui, Bloom … cela dit, il est bien regrettable qu’elle ne fasse sens pour certains ..

tata yvonne dit: à

« Après moi le chaos…! »

Ciel! ML se prend our le Générââââl!

Jacques Barozzi dit: à

ML et D., présentés par le divin Marquis, au début des 120 jours de Sodome :

 » Le duc de Blangis, cinquante ans, fait comme un satyre, doué d’un membre monstrueux et d’une force prodigieuse. On peut le regarder comme le réceptacle de tous les vices et de tous les crimes. Il a tué sa mère, sa soeur et trois de ses femmes.
L’évêque de … est son frère; cinquante-cinq ans, plus mince et plus délicat que le duc, une vilaine bouche. Il est fourbe, adroit, fidèle sectateur de la sodomie active et passive; il méprise absolument toute autre espèce de plaisir; il a cruellement fait mourir deux enfants pour lesquels un ami avait laissé une fortune considérable entre ses mains. Il a le genre nerveux d’une si grande sensibilité qu’il s’évanouit presque en déchargeant. »

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la gauche  » passéiste « ,!…

…( Man Ray ). Mother Eaeth. New-.New-York,numéro 6 d’août 1914. In-12 agrafé, couverture illustrée.
…revue éditée par Emma Goldman.

…figurant un monstre à deux têtes: Capitalisme et Gouvernement, dévorant l’humanité,…( poème anarchiste d’Adolf Wolff )

la plus insigne rareté.
7000 / 8000 €

…( Magritte Renée. Marien Marcel ). des 3 pamphlets
L’Enculeur et L’Emmerdeur

…sans opinions,!…un collecteur,!…Ah,!Ah,!…les taxes d’intelligences en partages,!…petits,!…petits,!…petits,!…des poulets à la casserole,!…la belle-vie grillée au four-bordel bien au chaud,!…
…allé des volontaires,!…un clin d’oeil,!…
…Ah,!Ah,!…aux châteaux & domaines,!..Ah,!Ah,!
…etc,!…

renato dit: à

« Après moi le chaos…! »

Je m’attendais à mieux venant d’un intellectuel de la qualité que l’on connaît, un vertigineux « Après moi le déluge ! », par exemple.

Phil dit: à

la vivacité des matrones, les pâtes à l’ail

dear baroz, pauledel fait pas dans l’Italie gay friendly

kicking dit: à

et les ménopausées qui mouillent encore.. à côté de leur sècheresse..

Jacques Barozzi dit: à

Non, Phil, mais le divin Marquis, oui.

Deneb dit: à

Je vais me reconvertir, je vais devenir courtier en indulgences.
je vais faire les marchés, Mimi-mon-héros peut me rencontrer à 03:15 précises place Château Rouge. Je lui vendrais volontiers des indulgences, en plus j’offre le Guide de l’indulgence, le Doumi de DD.
Mimi est connu dans son quartier, il se promène en Jellaba beige et foulard orange. Une fois pare semaine il va prendre un bain pour se purifier, dans un club privé « À L’ARBRRE DE NOËL VERT ».

Pampers dit: à

mets ta couche, kiki!

Widergänger dit: à

Ah ! quand même ! Y en a un qui a reconnu les paroles du général. Mais ça fait peu sur le tas.

Dummergansgänger dit: à

« Après moi, la sereinité ! » ?

kicking dit: à

oh pampers, passe donc toute ta vie couvert par maman si tu y tiens..

Widergänger dit: à

Oui, mais on ne va pas très loin avec simplement des impressions. Quelques poèmes en prose qui manquent de nerfs, qui manquent d’une colonne vertébrales, ce qui en fait des mollusques sans vie, très fragile, qui ne vivent que d’une vie courte. Il y manque la profondeur psychologique ou métaphysique, l’intrigue. Une impression ne fait pas une méditation sur le monde tel qu’il va. Ce ne sera jamais qu’une chose légère, trop légère pour durer. Le sens, quel qu’il soit, c’est tout de même, quoi qu’on dise, ce qui fait l’intérêt et la réalité de la littérature. On ne fait pas de la littérature avec simplement des impressions, on s’amuse, on est irresponsable, on galvaude ce qu’on prétend honorer, on se fourvoie. La littérature ce n’est pas le chaos des sensations.

Dummergansgänger dit: à

une colonne vertébrales
Je fais des fautes de frappe, mais pour le reste, mon texte est la quintessence du génie qui coule de mes intestins.

Jacques Barozzi dit: à

Parmi les personnages des 120 journées de Sodome, on trouve Artémise, sous le pseudo de Fanchon !

« Fanchon, âgée de soixante-neuf ans, a été pendue six fois en effigie et a commis tous les crimes imaginables. Elle est louche, camuse, courte, grosse, point de front, plus que deux dents. Un érésipèle lui couvre le cul, un paquet d’hémorroïdes lui sort du trou, un chancre lui dévore le vagin, elle a une cuisse brûlée et un cancer qui ronge le sein. Elle est toujours saoule et vomit, pète et chie partout et à tout instant sans s’en apercevoir. »

Jacques Barozzi dit: à

Pour de la prose poétique qui fait sens, ML, (re)lisez Sade !

Widergänger dit: à

Un grand écrivain se reconnaît au fait qu’il invente des procédés de langage pour transformer le sens profond qu’il veut imprimer au monde, en impressions. Et pas des impressions en vision du monde. Tout grand écrivain a la démarche exactement inverse de celle de Popaul. Proust dogmatise en nous communiquant des impressions fabuleuses, c’est ce qui fait la puissance de son écriture. Si bien qu’il réussit à nous faire oublier qu’il dogmatise. Il révèle d’ailleurs tellement de lois (sociales, esthétiques, etc.) qu’elles participent elles-mêmes des impressions générales qui se dégagent du texte de Proust. Cette foison d’intelligibilité fictive et de connaissance du monde forme comme un nuage d’inconnaissance très proche d’un effet mystique. L’art consiste à allier les contraire dans une dynamique de sens, pas à cultiver de pures sensations qui ne mènent nulle part.

Widergänger dit: à

Les goûts ne se discutent pas. Pour ma part, Sade m’ennuie, sauf les courtes nouvelles.

Artémise dit: à

« Ne connaîtront que ceux qui en sont » dit-il à propos

C’est de Gould ou c’est de Barozzi ?

Jacques Barozzi dit: à

On cherche en vain ce qui se discute avec vous, ML !

Widergänger dit: à

Le génie n’est d’ailleurs pas dans l’invention des procédés, mais dans le dosage. Et ça, le dosage, la raison ne peut pas l’appréhender. C’est trop subtil pour la raison. Seul le cœur le peut, la sensibilité. C’est pourquoi le grand art sera toujours illisible aux bœufs. Et ce n’est que justice. La vraie justice, celle qui bannit la médiocrité des sans-cœur, des minables.

Widergänger dit: à

Je ne discute avec personne, je pense par blog interposé. Personne ne peut me comprendre, de toute façon. Trop minables, les autres, pas assez de cœur.

renato dit: à

Pauvre garçon, toujours prêt à s’emporter face à la médiocrité d’autrui, opposée à sa propre grandeur insuffisamment reconnue.

Widergänger dit: à

Mais une grandeur qui chercherait à se faire reconnaître ne serait pas une grandeur. La grandeur d’âme s’impose d’elle-même, sans effort. Elle est.

renato dit: à

Justement, et donc : « opposée à sa propre grandeur insuffisamment reconnue ».

Jacques Barozzi dit: à

« je pense par blog interposé »

Moi j’ai beaucoup discuté de Sade avec Jean-Jacques Pauvert et Annie Lebrun. D’ailleurs, cette dernière a trouvé un joli titre pour votre oeuvre introuvable, ML : « Soudain un blog d’abîme ! »

ueda dit: à

Certes, notre ami est un rustre mais faut-il pour autant l’obliger à se mettre à table?

Surtout ne pas distraire le moujik de son secret!

Widergänger dit: à

Les meilleurs procédés en littérature ont toujours leur excès, leurs travers, leur perversion.

L’exaltation du langage parlé chez Céline, par exemple, l’exaltation qui est un effet du langage parlé qu’in réinvente, noyée dans la somptuosité des images, des réflexions diverses, le rythme, les jeux sonores, tout ce qui est du corps, on en retrouve la perversion dans les pamphlets, comme on en trouve une version meurtrière dans la propagande nazie, où, ce qui comptait, c’était l’atmosphère exaltée, rehaussée par le décorum, créée de toute pièce par une mise en scène calculée, équivalent d’une structure narrative cellulaire chez Céline avec la masse des mots qui avancent dans une loghorrée pathétique, avec les poses, le langage des corps qui remplace l’argumentation ou toute pensée, assimilant le texte à un rituel de la transe où il s’agit d’annihiler l’autre.

bouguereau dit: à

mais ta gueule rénateau..t’es pire que keupu

Widergänger dit: à

Oui, le titre est magnifique. Mais Sade l’est beaucoup moins. L’anecdotique ne remplace pas la pensée, contrairement à ce que présuppose ce que vous écrivez, Barozzi.

bouguereau dit: à

ML : « Soudain un blog d’abîme ! »

tlé joli..dracul fait mieux que karlos quinto..il cause yiddih a son raton laveur..hébreux à ses nain de jardin..en blog à son cul

bouguereau dit: à

pète et chie partout et à tout instant sans s’en apercevoir.

ma mère de ma mère..mais qu’est ce qu’ils ont fait du blog de lassouline..ha il est prope!

B comme BERLIN dit: à

« Surtout ne pas distraire le moujik de son secret! »,

La moujike adoucie les morses.

émile dit: à

Barozzi, votre citation de 11h21 peine à relever de la définition donnée par ML « allier les contraire dans une dynamique de sens « 

Widergänger dit: à

E. Jünger a très bien compris ce rituel de la transe chez les nazis. Il y fait indirectement allusion dans des scènes des Falaises de marbre, qui relatent sur le mode de l’esthétique de la cruauté des scènes de meurtre rituel.

bouguereau dit: à

Je ne discute avec personne, je pense par blog interposé. Personne ne peut me comprendre, de toute façon. Trop minables, les autres, pas assez de cœur.

arrête de faire ton lassouline ‘tépaonivo’ qu’il va t’envoyer dans les dents..et t’aurais l’air con dracul..tu prends des risques inconsidérés

boudegras dit: à

mais ta gueule boudegras… t’es pire que bouguereau

Jacques Barozzi dit: à

Pas de pensée chez Sade, relisez « La philosophie dans le boudoir », ML :

« Au-delà de la crudité du texte et de son thème libertin, on y trouve une diatribe philosophique, presque un appel aux armes, mettant en lumière les idées du Marquis par rapport à la liberté, la religion, la monarchie, et les mœurs. Intitulé « Français, encore un effort si vous voulez être républicains », l’appel public qui s’insère avant le cinquième dialogue présente les mêmes idées que celles qui figurent dans les onze « opuscules politiques » de Sade publiés entre 1790 et 1799.
La réflexion de Sade s’inscrit parfaitement dans celle de son époque. Elle prolonge les débats philosophiques sur le concept de Nature et sur le rôle de la société par rapport à cette Nature ainsi que sur l’influence de cette dernière sur les comportements humains. »

bouguereau dit: à

qui relatent sur le mode de l’esthétique de la cruauté des scènes de meurtre rituel

c’est une vieille lune de toutes les guerres dracul..spécialement de religions..pour celle de la guerre de trente ans y’a des tesques comme ça..

Widergänger dit: à

Un texte est toujours à comprendre et à lire comme une solution en équilibre fragile qui néanmoins se tient, entre des choses incompatibles entre elles.

Chez Proust, le dogmatisme revendiqué et les impressions de la mémoire involontaire.

De même à Combray, la campagne avec tout ce que cela implique et la présence dans ce lieu d’une présence improbable, un snob comme Swann, au nom suranné et poétique. On imagine très bien à Combray un roman à la Giono ou à la Genevoix. Le truc de Proust, et qui réussit à nous le faire croire comme une évidence qui s’impose de soi, c’est d’y avoir mis un snob comme Swann. Toujours la même chose, alliance des choses incompatible. C’est au fond la même structure de l’imaginaire que la définition de l’image surréaliste qui n’a rien inventé.

Main Theme, Bang ! dit: à

faux-renato de 11:47 : ah pardon, c’est positionnel?

Widergänger dit: à

J’ai jamais dit qu’il n’y avait pas de pensée chez Sade. Ils ne comprennent jamais ce que j’écris ces pauvres diables…!

Je dirais au contraire que chez Sade, il y a trop de pensée, il y a toute la pensée hyperconventionnelle de la philosophie des Lumières devenue une sorte de nouveau dogmatisme rigide de la Nature sous la forme des instincts. Sade ne peut se lire sans se référer constamment à la pensée des Lumières.

Jacques Barozzi dit: à

Pour Sade, Dieu est une idole parmi tant d’autres, ML. Chez Proust, il n’existe pas.

bouguereau dit: à

tu sais ce qu’elle te dit ma mère de ma mère ?

bouguereau dit: à

Toujours la même chose, alliance des choses incompatible

tatata..proust causait javannais aux pots..et ça les cassait..comme de juste..sincérement t’y connais qu’dalle à la province dracul..tu confond le suréalisme avec un âne en bénart

Jacques Barozzi dit: à

« L’anecdotique ne remplace pas la pensée, contrairement à ce que présuppose ce que vous écrivez »

Comment faut-il le comprendre, ML ?

bouguereau dit: à

tu sais ce qu’elle te dit ma mère de ma mère ?

fais gaffe..faut être à la hauteur

ueda dit: à

« On doit soigneusement éviter le ML mignon, le ML parfumé, le ML extasié, le ML Noli me tangere, et le ML incessamment poétique. »

Je ne veux pas être désagréable mais il n’y a pas de danger!

Widergänger dit: à

Ce qui révèle aussi le génie d’un écrivain, c’est qu’il se sert de toute la littérature qui l’a précédé pour s’en approprier les formes de manière très personnelle.

La forme par exemple du roman picaresque se retrouve mais métamorphosée aussi bien chez Céline dans Le Voyage que chez Proust où son héros, Marcel, traverse des épreuves de l’interprétation des signes du monde, qu’il les racontent à la fois du point de vue de Marcel jeune et les juge du point de vue de l’adulte qui raconte son histoire, exactement comme Gilles Bals de Santillane par exemple que Gille Blas adulte regarde agir non sans humour, une fois achevées l’ensemble de ses expériences du monde. Deux façons fort différentes et personnelles de s’approprier les vieux trucs du roman picaresque.

Widergänger dit: à

Jacques Barozzi dit: 23 octobre 2014 à 12 h 10 min
« L’anecdotique ne remplace pas la pensée, contrairement à ce que présuppose ce que vous écrivez »

Comment faut-il le comprendre, ML ?
____________
Je parlais de toi, mon pauvre Barozzi…!

Jacques Barozzi dit: à

« Sade ne peut se lire sans se référer constamment à la pensée des Lumières. »

C’est très réducteur, ML :

 » Dieu n’existe que dans l’esprit des hommes. Il n’est qu’une idole parmi d’autres. Ce retour à la Nature comme seul principe suprême semble puiser ses origines dans la philosophie antique. Cette hypothèse est confortée par la brochure du cinquième dialogue où il est fait notamment l’apologie de l’athéisme. Le seul culte toléré serait un retour au paganisme romain : « Puisque nous croyons un culte nécessaire, imitons celui des Romains. » »

Widergänger dit: à

Gille Blas de Santillane est déjà en soi une métamorphose du roman picaresque en roman de mœurs.

Le Voyage de Céline est aussi un roman de mœurs, de même La Recherche, ça vient déjà de Lesage qui a su tirer profit du roman picaresque du 17ème siècle, et plus lointainement du Don Quichotte, pour l’adapter à un tableau de mœurs de l’époque de la Régence.

Widergänger dit: à

Ce n’est pas réducteur du tout, c’est élémentaire !

Michel Odiard dit: à

« mon pauvre Barozzi » … je ne savais pas qu’il était sur la paille quand même

Widergänger dit: à

Mais justement, le culte de l’Antique au 18ème siècle, c’est à la mode ! Il n’y a pas plus 18ème siècle, mon brave Barozzi ! Vous manquez d’histoire littéraire.

bouguereau dit: à

Je ne veux pas être désagréable mais il n’y a pas de danger!

tu ne crois pas en la puissance du verbe zouz..tu déçois

bof dit: à

et si seul Widangeur était un con (type pavillon de Breteuil) un vrai, répondant à la célèbre définition d’Audiard, nous serions tous sauvés même Barozzi et renato

bouguereau dit: à

arrête d’enfiler les poncifs pour meubler dracul..le verbe doit être rare et précis..necessaire..sinon tépaonivo

renato dit: à

Surtout pas me sauver!

bouguereau dit: à

était un con (type pavillon de Breteuil) un vrai

c’est pas les plus cons qui vont en enfer..jamais saint paul il aurait dit ça

Widergänger dit: à

L’antre fumeux de ueda a parlé. Pour ne rien dire, comme d’habitude. Sinon des invectives, de pauvres invectives, inanes comme lui ! L’antre fumeux antisémite de la rue d’Ulm…

bouguereau dit: à

..tu vois dante et son dernier cercle..la vie aprés la mort n’est pas une farce..ça se saurait

Widergänger dit: à

De toute façon, vous n’êtes pas capables de comprendre quoi que ce soit à ma pensée critique. Ça vous dépasse, vous n’êtes que des lecteurs primaires.

Jacques Barozzi dit: à

ML, quand je vous réponds, je ne m’adresse pas qu’à vous. A moi, d’abord, et aux autres. Et, en bon pédagogue, il convient de toujours préciser. Vous voulez toujours trouver (dans les écrits) ou en mettre (dans les vôtres) du sens, un sens qui ne peut être que d’ordre divin.
Pas vraiment de sens chez Proust, où Dieu est totalement absent, mais seulement des lois psychologiques…

Widergänger dit: à

Jamais parlé de divin. C’est vous qui passez votre temps à en parler. Je suis pas du tout religieux.

kicking dit: à

Pour Sade, Dieu est une idole parmi tant d’autres, ML. Chez Proust, il n’existe pas.

et c’est positionnel ?..

Widergänger dit: à

Jamais parlé de Dieu chez Proust non plus. Vous devez avoir un pot de compote à la place du cerveau, mon pauv’ Baroz ! Consultez, vous en avez besoin. C’est Pargkinson et Alzheimer qui vous guette comme vous êtes parti ! Soignez-vous.

Jacques Barozzi dit: à

De quel sens parlez-vous, alors, insensé que vous êtes !?

Widergänger dit: à

Relisez mes commentaires. Je ne peux pas vous dire mieux.

Jacques Barozzi dit: à

Et le D.ieu dont vous nous bassinez depuis tant d’années, c’était du pipeau, ML ?

Widergänger dit: à

La littérature construit du sens là où règne le chaos de la vie. C’est élémentaire. Tout le monde comprend, sauf vous. Je me poserai des questions sur votre QI à votre place.

Widergänger dit: à

D.ieu, ça n’a rien à voir avec ce que vous appelez dans votre pauvre tête la religion, mon pauvre Barozzi. Vous ne pouvez pas comprendre.

Jacques Barozzi dit: à

J’ai parlé de religion ?

Widergänger dit: à

Je crois en D.ieu, je prie tous les jours ou presque. Mais je ne suis pas du tout un esprit religieux. Vous, en revanche, mon pauv’ Barozzi, vous êtes un esprit religieux avec votre dogmatisme et vos idées bornées…

renato dit: à

D.ieu n’est qu’un crétin qui n’a jamais commis une action cohérente, si dans ce bas monde il n’y avait pas des crétins du même niveau on l’aurait oublié.

Widergänger dit: à

Evidemment ! Vous projetez sur moi l’idée que vous vous faites de la religion juive, qui n’a rien à voir avec vos préjugés d’occidental décadent et arriéré. Le Judaïsme c’est une pensée d’avant-garde. Mais vous êtes trop con pour le comprendre. Comme Pascal, qui est un penseur d’avant-garde. Mais tout ça vous dépasse, ça n’a jamais traversé votre pauv’ cerveau de Brozzi !

Jacques Barozzi dit: à

Soudain un bloc d’abîme, ML ou les infortunes de la vertu !

Widergänger dit: à

renato dit: 23 octobre 2014 à 12 h 42 min
D.ieu n’est qu’un crétin qui n’a jamais commis une action cohérente, si dans ce bas monde il n’y avait pas des crétins du même niveau on l’aurait oublié.
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Et il s’y connaît le renato en matière de crétinisme… C’est le plus beau crétin de la Rdl qui parle par ses mots !

Widergänger dit: à

Oui, oui, je connais, vous fatiguez pas.

Jacques Barozzi dit: à

Euh, je ne voudrais pas vous contrarier, renato, mais dire que « D.ieu n’est qu’un crétin » c’est déjà une marque de reconnaissance ?

Phil dit: à

Gould trempait ses bras dans l’eau chaude avant de jouer.

Widergänger dit: à

Jacques Barozzi dit: 23 octobre 2014 à 12 h 45 min
Euh, je ne voudrais pas vous contrarier, renato, mais dire que « D.ieu n’est qu’un crétin » c’est déjà une marque de reconnaissance ?
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Mais c’est exactement ce que fait Sade sans arrêt. Lisez Clément Rosset, il a écrit un chapitre sur Sade dans un de ses bouquins où il le montre avec beaucoup de drôlerie d’ailleurs.

Jacques Barozzi dit: à

Vous ne sentez pas comme une grande confusion dans votre sublime tête, ML ?

Widergänger dit: à

Sade, comme le dit si justement Clément Rosset, c’est le style grandiloquent. Le genre à la mode dans une civilisation en pleine décadence comme la nôtre depuis la fin du 18ème siècle. On pourrait en repérer les expressions dans toute période de décadence marquée.

Widergänger dit: à

Chez moi, jamais aucune confusion. Je suis au contraire un esprit qui sait équilibrer une grande sensibilité, un esprit poétique et un esprit très rationnel (j’ai commencé d’ailleurs par faire des études de maths et de physique, où j’étais un brillant sujet).

Jacques Barozzi dit: à

Le blasphème est une forme de croyance, ML, pas besoin de Clément Rosset pour le comprendre !

Jacques Barozzi dit: à

C’est sans doute la raison pour laquelle Sade a été qualifié de divin…

renato dit: à

Dites-moi, Jacques, quelle images des crétins peuvent se faire de quelque chose qui les dépasse?

Widergänger dit: à

Mais Clément Rosset ne vous parle aucunement de blasphème. Vous ne comprenez donc rien ! Vous les cumulez.

Jacques Barozzi dit: à

« Je suis au contraire un esprit qui sait équilibrer une grande sensibilité, un esprit poétique et un esprit très rationnel »

Nous en avons d’ailleurs la preuve quotidiennement ici.

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