Thomas Mann écartelé entre l’intime et l’épopée
Cela parait à peine croyable mais il n’existe pas de biographie en français de Thomas Mann (1875-1955), malgré le statut de l’écrivain et le rayonnement de son œuvre, alors qu’on ne compte plus celles consacrées à des seconds couteaux, des demi-soldes et des personnages du second rayon du XXème siècle littéraire. On trouve en traduction des essais sur son oeuvre ou des enquêtes sur l’ensemble de la famille Mann mais pas de biographie alors qu’elles ne manquent pas en allemand (en 1996, il en parut trois dans la même semaine). Serait-ce que les Français le considèrent comme trop daté ? Qu’ils tiennent ses romans pour trop sérieux, trop pesants ? A moins qu’ils ne le considèrent pas, tout simplement, son Nobel remontant tout de même à 1929. Gardons-nous d’en tirer des conclusions trop définitives. Il suffit de se souvenir qu’il y a une dizaine d’années d’encore, on trouvait difficilement des rééditions de Bernanos en librairie. Vaste et peuplé est notre purgatoire.
Avec le Magicien (The Magician, traduit de l’anglais (Irlande) par Anna Gibson, 608 pages, 26 euros, Grasset), livre hybride à mi-chemin entre le roman et la biographie, Colm Toibin (1955) lui rend justice. Du moins comble-t-il une lacune. Ce n’est pas la première fois qu’il se livre à genre d’exercice. Il y a une quinzaine d’années déjà, l’Irlandais, qui enseigne le Ulysses de Joyce à Columbia University (NY), avait essuyé les plâtres de ce genre hybride à mi-chemin entre roman et biographie en revisitant la vie et l’œuvre de Henry James à travers le prisme de six années considérées comme une période-clé ; le résultat était assez convaincant sinon éblouissant (The Master).
Le procédé est donc par lui éprouvé qui consiste à pousser l’empathie jusqu’à restituer une vie à travers le regard du héros. Il revendique d’imaginer ce que Thomas Mann pense lorsqu’il regarde par la fenêtre de manière à ce que lecteur voie le monde par le regard du héros. Ce qui ramène son livre davantage sur les rives du roman que sur celles de la biographie. Le séjour à Davos qui déclenchera la Montagne magique ? Vite expédié. Celui à l’hôtel des Bains au Lido ? Plus largement traité, mais il est vrai qu’il est le cadre de Mort à Venise… L’œuvre est si peu analysée qu’on en oublierait parfois que c’est d’un écrivain qu’il s’agit.
Son Journal lui est évidemment très précieux. On a souvent dit que Mann était écartelé dans une zone grise d’incertitude entre l’intime et l’épopée, Mort à Venise et les Buddenbrook, toujours en tension entre ces deux pôles. Colm Toibin réussit très bien à brosser le portrait d’un personnage qui abritait deux hommes en lui en permanence, l’un prenant le dessus sur l’autre en fonction des circonstances : d’un côté un démocrate calme et mesuré, maitre de son art, passionné de musique de chambre et de poésie lyrique, solitaire comptant peu d’amis, qui aurait pu s’accommoder de la nouvelle Allemagne en choisissant comme tant d’autres l’exil intérieur ; de l’autre côté, un imprudent, un flamboyant à la sexualité débridée, qui détruisait son entourage et se laissait ronger par ses démons.
La musique, dont l’écoute le déstabilisait tant, contenait en germe sa propre destruction. Rien ne le plongeait dans le doute comme de penser que les dirigeants nazis et lui aimaient le même Wagner. Un homme sans qualités ni conviction ? Le jugement est un peu rapide même s’il a souvent l’air de flotter autant entre ses engagements qu’entre ses préférences sexuelles. Un homme plein d’incertitudes. Imprévisible, gris, froid, dépourvu d’affects, incertain, nerveux. Un homme ordinaire au fond qui aura arpenté l’Europe et le monde pour prononcer des conférences, répondre aux interviews, faire plaisir à sa femme, aider ses enfants et son frère, fuir le nazisme, mais qui ne rêvait que d’une chose : s’éloigner du bruit et de la fureur pour s’isoler du monde afin d’écrire en paix. Bourgeois conformiste et rêveur ambigu, cet ambivalent était rongé par le sentiment de son imposture.
Naïf au point de ne pouvoir imaginer que des gens aussi grossiers et vulgaires que les nazis soient capables de parvenir au pouvoir, de l’exercer et de le garder, il ne doutait pas de leur défaite alors que ses enfants Klaus et Erika prenaient tous les risques à travers leurs articles et leurs conférences pour informer les européens de ce qui se tramait et de ce qui les attendait, et que son frère Heinrich le pressait de s’engager. En ce temps-là, au début des années 30, il vivait pourtant à Munich mais passait le plus clair de son temps à écrire. Il aura assez de lucidité par la suite pour reconnaitre que, pour n’avoir pas vu ou pas voulu voir les signes avant-coureurs de la barbarie, il avait échoué à comprendre l’Allemagne. Toutes choses bien rendues par Colm Toibin qui n’a pas son pareil pour s’insinuer dans les pointillés d’une vie afin d’en débusquer le côté sombre.
Dépourvu de culture politique, Mann n’y entendait rien au fond et manquait de sens politique. Katia était plus subtile, plus fine, plus intelligente que son mari, lequel est parfois déroutant, ainsi lorsqu’il soutient mordicus lors d’une conversation avec ses enfants qu’il est en train de « lire Dante dans le texte, en anglais ». A table c’est un fantôme. Il ne participe pas. Un spectre qui est là sans l’être. Sa femme est du côté de la vie ; lui, du côté de l’absence. Contrairement à lui, d’un naturel austère, elle ne manque pas d’humour : « Si seulement tu te levais de bonne heure, tu pourrais écrire un livre qui intéressera le monde entier » lançait-elle à son fils Klaus alors âgé de 40 ans… On la voit se battre aux frontières en excipant de la qualité de prix Nobel de son mari, ce qui laisse les douaniers anglais aussi indifférents que les réceptionnistes suédois. Il aurait voulu s’installer définitivement en Suisse pendant la guerre car les montagnes lui rappelaient son pays et au moins, dans une bonne partie du territoire, il jouissait d’entendre parler allemand. Las ! Il n’obtint pour lui et sa famille qu’un permis de séjour provisoire. Plutôt qu’un sanctuaire, c’était une forteresse.
« Papa est un magicien ! » : c’était la plaisanterie de ses enfants pour le désigner tant il se plaisait à leur faire des tours de passe-passe mais le sobriquet lui restera. Ils étaient petits alors. Avec le temps, ça s’est gâté entre eux. L’auteur fait état d’une lettre terrible, signé de Michael, le plus équilibré de leur descendance, où tout est dit du couple Mann tel que leurs enfants les voyait. Elle date de 1949, année du suicide de leur fils Klaus. Ils se trouvaient alors en Europe et n’avaient pas daigné se déplacer jusqu’au cimetière du Grand Jas à Cannes :
« Je suis sûr que le monde t’est reconnaissant de l’attention que tu accordes à tes livres. Mais nous, tes enfants, nous n’éprouvons aucune gratitude pour toi, ni d’ailleurs pour notre mère, qui était toujours de ton côté.. Il est difficile de penser que vous êtes restés dans votre hôtel de luxe tous les deux pendant qu’on enterrait mon frère. Je n’ai dit à personne à Cannes que vous étiez en Europe. Les gens ne m’auraient pas cru. Tu es un grand homme. Ton humanité est universellement appréciée et applaudie. Je suis sûr que tu es couvert d’éloges en ce moment même en Scandinavie. Cela ne te dérange probablement pas que ce sentiment d’adulation ne soit partagé par aucun de tes enfants. En m’éloignant de la tombe de mon frère, je voulais que tu saches l’immense tristesse que je ressens en pensant à lui »
Son hésitation à retourner en Allemagne était à la mesure de l’immense ressentiment de la population dont ses amis lui assuraient qu’il se retournerait contre lui, l’exilé, le néo-californien. D’autant que c’est en Allemagne de l’Est qu’il voulait se rendre, ce qui le mettait au ban de la bonne société politique et mondaine de Washington qu’il avait courtisée. Mais sa véritable angoisse se situait ailleurs. Thomas Mann, qui avait a dû abandonner le manuscrit de son précieux Journal derrière lui en quittant l’Allemagne, craignait que, une fois découvert par la Gestapo, il ne soit l’objet d’un chantage eu égard aux confessions intimes qui y étaient consignées. L’idée que ses fameux cahiers soient remis un jour à Goebbels, le ministre de la Propagande, le hantait. Outre l’attirance pour tel ou tel jeune homme croisé au gré des voyages, on y trouvait consignées des pages troublantes sur la séduction qu’exerçait sur lui la beauté du corps de son fils Klaus alors adolescent.
Colm Toibin y accorde une grande importance. Il a ceci de commun avec Dominique Fernandez dans nombre de ses livres ou avec Jean-Luc Barré lorsque celui-ci a consacré trois tomes à la vie de François Mauriac : s’emparant de Thomas Mann découvert dans ses jeunes années, s’empoignant à nouveau avec son œuvre en miroir avec sa vie, il les revisite à travers le prisme dominant de son homosexualité refoulée. Que Mort à Venise soit relu sous cet angle, cela parait évident (encore qu’il s’agisse plutôt en l’espèce de pédérastie) ; mais les autres ? Avant même d’ouvrir son Magicien, il suffit de lire ses interviews pour deviner le sens légèrement orienté de sa démarche. Il revendique toujours sa qualité de gay quel que soit le sujet- et plus encore lorsque le-grand-écrivain-allemand est son centre d’intérêt. Le fait est que depuis une vingtaine d’années, le cas Thomas Mann est un sujet pour les études queer dans nombre d’universités. Lorsque Libération demande à Colm Toibin pourquoi, après Henry James et Thomas Mann il ne consacre pas un livre de ce genre à James Joyce, il répond :
« Parce que sa sexualité est totalement certaine. Il n’y a donc rien à explorer. Il n’y a pas de drame. Et aussi, peu importe ce que vous faites avec Joyce, vous devez faire face au sexe et essayer de décrire son esprit alors qu’il travaille sur Ulysse et Finnegans Wake. Cela demanderait beaucoup de travail littéraire. Mais en Joyce, il n’y a aucun secret. Il n’y a rien d’inconnu. Je ne peux pas travailler avec ça ».
On sait que tout écrivain écrit par rapport à son secret. Mais que Joyce n’en ait pas eu, est-ce si sûr ? L’exactitude n’est pas son propos. « Parfois moins j’en sais mieux c’est » reconnait Toibin. Mais est-ce vraiment un compliment quand un blurb de l’écrivain Richard Ford souligne que le Magicien est « une réussite remarquable de l’imagination » ? Ca se discute.
Mann était père de six enfants. Ah, ses enfants… : deux homosexuels, une bisexuelle et deux filles qui n’aimaient coucher qu’avec des vieux (Erika était la maitresse du chef d’orchestre Bruno Walter). Voilà le tableau tel qu’il se dresse. Mais le plus important, c’était son mariage. Plus encore que le portrait d’un mariage à la Nigel Nicolson, le Magicien est celui d’une famille de la haute bourgeoisie bohème dominée par la figure de Katia Pringsheim. L’auteur imagine ce qu’elle savait des démons qui agitait son mari, lequel avouait juste une relation à 15 ans avec un camarade de lycée. Parfois, elle en fut témoin : à 75 ans, il était tombé amoureux d’un jeune serveur à Zurich, au point d’écrire dans son journal qu’il pourrait échanger sa renommée contre l’attention de cet homme. Erika et Katia avaient même organisé des rendez-vous, du moins selon l’auteur. Alors qu’il travaillait à l’écriture des Confessions du chevalier d’industrie Félix Krull (le roman demeurera inachevé), il fut en effet envahi par un coup de foudre pour un certain Franzl, serveur au Grand hôtel Dolder, près de Zurich ; l’auteur nous apprend solennellement en isolant sa révélation, que non seulement sa présence dans les mêmes murs que lui mais pas au même étage le troublait infiniment, mais que « Chaque matin, il se réveillait avec une érection ». Certes… Dans ses carnets intimes, il l’appelait « mon envoûteur ». N’empêche que de son homosexualité active, on ne sait strictement rien et c’est pour ca que cela intéresse tant Toibin. Il imagine… Mais cette insistance à faire de ce secret-là la clef de son sa vie et de son oeuvre devient de en plus pesante et de moins en moins convaincante à la longue.
Au vrai, il semble que l’incertitude que l’auteur ne cesse d’explorer au cœur de la vie de Mann l’a si bien envahi qu’il en a tiré un livre au statut des plus incertains. Brillant, surprenant, d’une lecture incontestablement passionnante même si on aurait aimé en savoir plus par exemple sur la transformation du militariste pangermaniste en démocrate, d’autant qu’il n’est pas tombé dans le piège classique qui l’aurait entrainé à imiter le style de son héros. L’ensemble souffre d’être parfois nourri d’informations, comment dire, incertaines. La loi du genre élu par l’auteur. C’est à se demander si par instants, Toibin ne se trouve pas dans la même situation que le procureur anglais au proçès de Nuremberg : celui-ci croyait citer Goethe alors qu’en réalité, il citait le Goethe und Tolstoï (1932) de Thomas Mann.
Colm Toibin s’est rendu sur les lieux de mémoire de l’écrvain, à Lübeck bien sûr, le berceau de la famille qui a inspiré les Buddenbrook, mais aussi à Pacific Palisades (Californie), au Brésil d’où venait sa mère, sur la Baltique où il s’était fait construire une maison grâce à l’argent du Nobel. Ses sources ? Outre les œuvres de Thomas Mann et celles de ses enfants, les principales biographies consacrées à l’écrivain et traduites en anglais ainsi que quelques livres sur des musiciens, sur le IIIème Reich ainsi que le précieux Weimar en exil de Jean-Michel Palmier. Il n’a évidemment pas été voir du côté des archives.
Après avoir lu son Magicien, et passé d’excellents moments en sa compagnie, on est pris d’une soudaine curiosité qui nous pousse à aller chercher ailleurs ce qu’il en est de l’exactitude de tout ce qu’il a raconté sur le grand écrivain. Pour le reste, pour l’intime vérité d’un homme, Toibin c’est encore ce qu’il y a de mieux en français. D’autant qu’il n’y a rien d’autre. Rendre passionnante la vie de cet austère qui ne se marrait pas relevait du miracle. Au fond, le vrai magicien, c’est lui.
(« Thomas Mann et sa famille sur la plage de Nidden (Nida) en 1930 » photo D.R.; « Thomas Mann » photo D.R.:; « Klaus et Erika Mann », Photographie de Lotte Jacobi ; « Thomas et Katia Mann » photo D.R.)
938 Réponses pour Thomas Mann écartelé entre l’intime et l’épopée
The New Yorker, December 20, 1941 P. 22
PROFILE of Thomas Mann. As little boys, the feindlichen brothers Mann shared the same bedroom but often did not talk to each other; when they grew up, they failed to speak even the same language. Heinrich, who took after their Latin mother, was Gallic-minded, in a pinkish, liberal way, was still cheering for the French Revolution, held Flaubert and Zola as his gods, had aimed in his half-dozen unappreciated books at being a European rather than a Germanic writer, and liked Bordeaux wine. Thomas drank Rhine wine and, in his own special fashion, Wagner, Martin Luther, and deep drafts of Goethe.
https://www.newyorker.com/magazine/1941/12/20/goethe-in-hollywood-ii
LE Dr Faustus comme Parsifal selon T.M et il le maintient
https://www.persee.fr/doc/litts_0563-9751_1951_num_0_1_912
Diable. C’est ce que Mann trouve auprès d’Adorno, son nouveau voisin, philosophe mais aussi compositeur, élève d’Alban Berg et déjà auteur d’une étude sur Wagner. Un soir, tous deux s’entretiennent de l’opus 111 pour la conférence du chapitre VIII. Deux ans plus tard (fin 1945), dans le fil d’une rédaction au long cours, la demande de Mann se précise : «Voulez-vous réfléchir avec moi à la manière dont il faudrait à peu près mettre en œuvre cette œuvre – je veux dire celle de Leverkühn ? À la manière dont vous procéderiez si c’était vous qui aviez conclu un pacte avec le diable ?»
Il faut imaginer l’effet. Thomas Mann a 70 ans, son Nobel remonte à 1929, il est devenu l’homme d’un grand combat et chacun de ses actes est commenté. Adorno, de 28 ans son cadet, lui a écrit : «La sonorité de vos phrases et le caractère de vos personnages se sont déposés au fond des années où je cessai d’être un enfant.» (3 juin 1945) Il est ravi et se met au travail. Sans proprement les composer, il invente avec un luxe de détails les œuvres de Leverkühn. Mann vient chez lui
https://www.liberation.fr/livres/2009/11/19/mann-et-adorno-se-concertent_594384/
on peut souligner d’adorno, comme il le fit , la qualité de « chrétien »
(«Vous n’êtes pas sans savoir que certains critiques chrétiens m’ont officiellement nommé votre diable»).
https://www.liberation.fr/livres/2009/11/19/mann-et-adorno-se-concertent_594384/
Ce retour triomphant de la famille, s’il est un marqueur de notre époque, est relativement inquiétant
c’est pas effet décomposé..distancié..car enfin pour hair la phamille faut il dabord qulelle exiss..sinon faut la la fabriquer..la recomposer etc..par hailleurs d’un point de vu politique on a encore rien trouvé d’autre pour « la succession »..même si des riches à la ouarène beufète ou gatez tente de « déshériter » en quelquesorte..de biologiser..organic style..un peu le kapitalisme..en gros: que veux tu dire alesquia sinon laver ton linge sale pénard?
ta geuele renfield..puisquils les faisant par procuration..par lhintemédiaire de la machine tu ne maitrises -rien- de tes propos
c’est la moindre des choses de citer les auteurs et les sources
« Il y a plus de choses qui nous font peur que de choses qui nous menacent réellement, et nous souffrons souvent plus de nos peurs que de la réalité. »
Sénèque, Lettres à Lucilius
23.10 — 6.34
comme l’apropos de ce couyon de rénateau..on dirait un commentaire de poutine collé a ses missiles dardant sur les chauffages public
c’est la moindre des choses de citer les auteurs et les sources
il faudrait qu’il y ait un amont et un aval..t’es qu’un cloaque
ET ENCORE? PUISQU’IL Y EUT UN cours de Derrida autour de Mann
Philosophie de la musique dans le Docteur Faustus de Thomas Mann
Musikphilosophie in Thomas Manns Doktor Faustus
Christian Merlin
https://journals.openedition.org/germanica/2414
On ne peut vraiment pas parler d’Adorno nègre de Mann, et al., (Adorno avait étudié composition avec Alban Berg — élève de Schönberg). Ce qui est vrai c’est que pendant des années, Mann a demandé à Adorno de précieux conseils de nature strictement musicale, et il a aussi pillé sans se gêner la Philosophie de la musique moderne, œuvre que Schönberg lui-même n’appréciait pas).
Mais voyons, le pacte avec le diable, la syphilis, la folie (vieux et usé poncif relatif aux artistes), la figure de Leverküh, gênant épigone du wagnérisme tardif, en bref anachronique, ne peut pas plaire à AS.
Pour la folie, Nuria Schönberg (fille de A et compagne de Nono) a une fois dit qu’il y a chez les commercialistes autant de fous que chez les artistes, sinon plus. Bien à part l’invention de la dodécaphonie attribuée à Leverküh, la note de Mann suite à la polémique avec AS n’a pas plu à ce dernier car ne corrige vraiment pas le « vol intellectuel ».
Enfin, ce thème de la folie est plutôt abusé, il est vrai que beaucoup d’écrivains sont d’un conformisme assommant, mais n’importe qui peut comprendre que la folie n’est pas réellement pas un moment important de la création, symptômes liés au syndrome schizophrène affectent Rainer Maria Rilke, Williams Carlos Williams, Elizabeth Bishop et autres.
Et ne pas mentionner le nom de Schoenberg est pour celui-ci un crime impardonnable…🤫
faut être sensible au dialogue entre les zarts et les moyens d’espression meussieu courte..diderot se trompe selon son gout si joli..et zola torturant cézan c’est plutôt drolatique..aujourdhui ça frait aussi incongru quun rénateau filosofan
Le grand n’importe quoi de bouguereau, il y a de bon que sa parole est tellement pourrie que l’on peut vivre sans son estime… au fait il serait salissant qu’un de cet acabit nous estime.
on peut néanmoins rappeler que SCHOENBERG se convertit, mais non par conviction et que sa musique reste considérée comme d’implication religieuse
https://leducation-musicale.com/index.php/paroles-d-auteur/9706-arnold-schoeneberg-1874-1951-compositeur-religieux-et-mystique
Mais derrière cela, c’est une crédulité naive et magique en la médecine qui est en cause, dénoncée par la cérémonie finale.,,
si meussieu courte fait dla tournante avec bonne clopine pour faire causer bruno latour c’est pour rende jaloux polo..la science n’a rien a voir lanedans
je note que quand même, SCHOENBERG 2CRIV IT/
3 car je n’ai jamais encore pris ce que j’ai trouvé sur les tables d’autrui »,
CE QUI AUTORISE à supposer certaines « réflexions » d’expérience dans son « milieu »
A.S. écrivit
Deux infirmières lui ont fait une super fellation sous le regard d’une troisième durant qu’il était total dans le coltar. A même pas eu conscience d’avoir été violé. Saisj point quelle morale en tirer sur les mœurs hospitalières, mais moij si ça m’était arrivé, j’aurais fait emblant de dormir
par contre ces hestoires de succubes sont scientifiques..on l’sent bien qu’il dirait dirfilou
Moi, je, je me pose la question de comment à, respectivement 81 et 87 ans, tu peux encore te trimballer des souvenirs d’enfance tellement traumatisants que tu as rayé les légumes de ta vie. Où les hommes
..en lisant rosy j’ai l’impression d’être un dessin de clodo à l’ancienne avec son crochet..mais parmi les trognons de choux la femme blanche jette des trucs pas mal
je ne veux pas déranger le mélocuistre bourreau et gueuxerdélien:
« c’est au Ou bien ou bien de Kierkegaard que Mann emprunte directement cette idée selon laquelle la musique est un « art chrétien de signe négatif »
Bonsoir Vegas, good morning America
And at last , all this » comédie mondaine « , would just be told « Hollywoodienne », if this misery remained unknown:
« Mann hated school and never went to university. But his popularity and respect in America were confirmed by the seven honorary doctorates »
la citation S.K. est de
. Martin Huber : « Musikalität und Nationalsozialismus in Thomas Manns Doktor Faustus », in : ders (…)
dans le lien déjç envoyé
Selon beaucoup de liturgistes et d’historiens de la musique l’origine du chant grégorien, qui fut la première manifestation de la musique classique européenne, est la musique chorale juive du temple et de la synagogue.
MICHEL FAU ET MICHEL BOUQUET
Je signale à ceux qui apprécient les deux très grands comédiens de théâtre Michel Fau et Michel Bouquet qu’ils pourront les admirer ce dimanche 23 octobre sur France 4 à 21h1O.
Aussi incertain dans ses convictions sexuelles que dans ses genuflexions, TM.
Mais toujours du bon côté.
« Dans le discours L’Allemagne et les Allemands, tenu le 29 mai 1945 à l’occasion de son soixante-dixième anniversaire à la Bibliothèque du Congrès11, Thomas Mann s’attarde longuement sur le rôle selon lui funeste que le Réformateur a joué dans l’histoire de l’Allemagne. Comme l’ont noté Joachim Fest et à sa suite Manfred Görtemaker12, Thomas Mann reprend des développements de ses Considérations d’un apolitique de 1918… en inversant la polarité, Luther, cette fois figure négative, demeurant l’Allemand par excellence. Parlant en tant que citoyen des États-Unis, en tant que cosmopolite, l’auteur déplore d’abord le provincialisme et le retard intellectuel d’un pays dont le héros, entre Moyen Âge et humanisme, n’est autre que ce Faust qui pactise avec le diable. N’est-ce pas le diable, celui de Faust comme celui de Luther, qui emporte en ce moment l’Allemagne ? La relation de l’Allemagne au monde est musicale, c’est-à-dire, poursuit Thomas Mann, mystique, irrationnelle et se voulant profonde par rapport à un monde que l’on juge superficiel sans le connaître. Martin Luther, cette incarnation démesurée (riesenhaft) de l’âme allemande possédait une sensibilité au plus haut point musicale : « Je ne l’aime pas et le reconnais volontiers. » En rompant avec Rome, en s’opposant au reste de l’Europe, cet Allemand par excellence, sensible et profond, mais grossier, colérique et superstitieux, ne peut que susciter l’aversion. »
(…)
« Thomas Mann interrompt la rédaction de Doktor Faustus pour écrire le discours qui vient d’être résumé. Le roman paraît en 1947. Son héros, le compositeur Adrian Leverkühn, entame à l’université de Halle-Wittenberg des études de théologie luthérienne. Si l’auteur s’inspire des nombreux détails concrets que lui a communiqués Paul Tillich15, le grand représentant d’une théologie luthérienne antinazie, il compose une satire plutôt cruelle du luthéranisme universitaire du début du XXe siècle. Au chapitre XIV, les étudiants de la corporation Winfried se distinguent par des discours idéalistes, où, malgré la présence d’opinions contraires, semblent dominer les tendances nationalistes. Au chapitre XII apparaît Eberhard Kumpf, une caricature de Luther, inspirée à Thomas Mann par le personnage de Martin Kähler, tel que son ancien étudiant Paul Tillich l’a décrit. Kumpf emploie des expressions, voire des jurons, du XVIe siècle et manifeste un goût plutôt grossier pour les plaisirs du corps, selon la formule injustement attribuée à Luther « Aimer, boire et chanter » (Wein, Weib und Gesang)16. Comme Luther à la Wartburg, il jette un objet sur le diable, mais c’est un petit pain qui a remplacé le pot d’encre de la légende. Adrian Leverkühn finit par abandonner ses études de théologie, mais, jusqu’à la fin, il continue de singer la langue de Luther-Kumpf. Le chapitre XIII de Doktor Faustus est consacré comme il se doit au diabolique Schleppfuss – littéralement « celui qui traîne des pieds » – un curieux théologien protestant, professeur sans chaire (Privatdozent), qui parle volontiers du Malin et de l’« humanité émouvante » manifestée par l’Inquisition. »
Pour les apports de la musique juive, et. al., voyez Oxford History of Music.
Alexia, bien d’accord avec vous. Enfin, ce que Thomas Mann dit de son tourment à propos de l’homosexualité dans son » journal « à propos de Gide, de son fils , de ses pulsions personnelles par rapport à tel ou tel serveur dans u n hôtel, est assez clair, et aurait dû inciter Toibin à éviter de naviguer à vue dans ses propres fantasmes pour remplir « les blancs » d’une biographie.. il est évident que si vous allez trouver un éditeur en lui disant que vous avez des révélations à faire sir la sexualité de Ravel, de Mann ou de Brecht, il y aura toujours un éditeur pour sortir le carnet de chèque.
Quel est le titre du concours ? Etali turbine comme trois sous-marins australiens mais les Tagesbücher de Mann vaincront. Certes, il y a du bon dans le Pfeffermühle de commentaires, pour la partie incestuo-littéraire, crème de la crème, la « Confidence africaine », ressortie par un lien à miss sasseur. I confess.
bouguereau dit:
« ..par hailleurs d’un point de vu politique on a encore rien trouvé d’autre pour « la succession » »
Chassez le petit bourgeois, il revient au galop.
voilà polo..que ne cochonnes tu quelque pages sur les émois derrière les piliers de notre dame à mauriac..hau lieu de ça qu’est ce tu fouts de tes soirées malouines sinon copier le grantome derrière les remparts
Chassez le petit bourgeois, il revient au galop
..c’est quon a vite fait d’accuser danton de parrainage lébensborn alesquia..ne divertis point
Bon produit de déchetterie, le TM
Amateurs d’ordures y trouvent leur compte
Il y a la récupération gaye, tendance pederaste
Et puis, on voit ça sur la rdl ,la récupération de qui confessent avoir couché avec leur père ou de pères qui veulent coucher avec leur fils.
ressortie par un lien à miss sasseur. I confess
..on sait comment ça phinit..t’es sur la pente savonneuse dirfilou
badaboum..t’es fait comme un camembert un quinzou dans les mains du grapin qu’il disait le curé d’ars
TM a les lecteurs qu’il mérite.
Jacques-Marie Bauer tousse un peu, après cette cure.
Bonne suite, et continuez de respecter les gestes barrière.
est la musique chorale juive du temple et de la synagogue
entrautre mille autre choses..en sommes ce que tu désires c’est la succession à dracul..de son « hénaurme kapital qui dort » qu’il dirait chréstien de troille
Indeed dear Bougreau, I confess, film raté du gros Hitchcock qui rêvait du Monty.
Martin du Gard s’envoyait les matelots du Hambourg postmannien, son tribute à la neneref pour malvoyants.
Bougereau, derrière le pilier de Notre Dame, c’est Claudel, pas Mauriac. Marie Sasseur, la toupie folle. Hilarante. En super forme.
Schoenberg s’est rêvé, une lettre de lui existe et a été produite de l’universite americaine ou elle dormait, Directeur Musical de la Musique du Reich…ceci en dit’ beaucoup sur son ego…
C’est vous Edel qui tournez bourrique, avec votre mannschaft.
C’est pas toujours les schleuhs qui gagnent à la fin.
Je sors,
Rideau.
Sous vos applaudissements !
Hilarante 😳
Boogie
Plus de pot au feu le dimanche.
Terminé.
Réglé.
Pas eu le temps de prier.
Boogie (bouguereau)
zola torturant cézan
C exagéré : il l’assomme, certes, mais ne le torture pas. Zola sadique non.
prend du recul et tu te verras qu’il le met sur lestrapade ce lui même..lecteur fais ton office..non bourreau! tu ne seras jamais mon frère
Bougereau, derrière le pilier de Notre Dame, c’est Claudel, pas Mauriac
sinon qu’il est chiant claudel et au dessus de tout soupçon qu’il dirait gide..a un ange au chapiteau faut un pendant..c’est mauriac..ta mission: il faut qu’il en reste quelquechose
ceci en dit’ beaucoup sur son ego…
je crois que la prétention de cheunberg est une espèce de scie musicale
salman borgne et manchot..c’est bien cher payé pour nous autres lecteurs de nimporte quoi et pas que de litterature
Beaucoup de divagations inutiles et débiles de la part de cet obscène énergumène de bouguereau.
Divagations d’ivrogne.
Disparition d’une amie à l’âge de 88 ans.
Effectivement, Boug-rot. Voilà Rushdie maintenant devenu un composé de Cendrars et de Borges.
« Salman Rushdie has lost sight in one eye and the use of one hand after the attack he suffered while preparing to deliver a lecture in New York state two months ago, his agent has confirmed.
(…)
“[His wounds] were profound, but he’s [also] lost the sight of one eye,” said Wylie. “He had three serious wounds in his neck. One hand is incapacitated because the nerves in his arm were cut. And he has about 15 more wounds in his chest and torso. So, it was a brutal attack.”
The agent declined to say whether Rushdie was still in hospital, saying the most important thing was that the writer was going to live. »
-The Guardian
Raison supplémentaire, s’il en fallait, pour continuer de le lire goulûment, et lutter pour défendre modicus la liberté d’expression & de création.
Selon T. Mann, « d’un point de vue strictement artistique », Wagner « pouvait peut-être être perçu comme le génie absolu de toute l’histoire de l’art ».
Il aurait dit aujourd’hui la même chose?
Mais il faut reconnaître que l’ami Richard était un « envouteur » de premier ordre:
Wagner – Lohengrin – Prélude
Royal Concertgebouw Orchestra – Bernard Haitink
https://www.youtube.com/watch?v=_aIp3KvJ5is
(On peut difficilement faire plus « simple »… Et pourtant c’est sublime et d’une puissance inouïe, obtenue on ne sait pas très bien comment – il y a des compositeurs qu’en faisant beaucoup plus de « bruit » donnent au contraire une impression de beaucoup moins de puissance, voire carrément d’impuissance).
moRdicus.
Un livre de la tribu Mann dont on n’a pas encore parlé ici et que j’ai aimé : « Quand les lumières s’eteignent’ » d’Erika Mann.
Ce recueil de nouvelles toutes écrites à partir de situations réelles présente avec finesse , sur le mode anecdotique ,et sur un ton volontairement distancié des histoires vecues ,recits banals du quotidien,,montrant comment des l’installation du pouvoir nazi , et insensiblement , le régime devient de plus en plus étouffant ,et bientôt menaçant ,pour les gens ordinaires qui voient de jour en jour se restreindre insidieusement leurs espaces de liberté ,
Une oeuvre , qui sous une autre forme rappelle dans son projet « L’histoire d’un allemand » de Sebastien Haffner
Coiffe
https://i.etsystatic.com/11397434/r/il/da613e/1398563796/il_fullxfull.1398563796_cqxv.jpg
Arnold Schoenberg à Thomas Mann
Berlin, 1 Novembre 1930
Estimé Monsieur,
Malheureusement, je n’ai pas l’honneur de Vous connaitre personnellement, mais je m’adresse de quand même à vous avec la prière de signer l’appel que je vous joins. Je le fais parce que je sais que c’est le désir le plus fervent d’Adolf Loos que six ou sept des meilleurs contemporains, à travers cet appel, s’engagent pour lui, afin que son rêve de pouvoir enseigner puisse se réaliser.
Ce serait assez pour m’engager à Vous importuner avec cette demande de savoir que Loos est si malade que peut-être ce service est rendu à un mourant.
Mais j’ai aussi un autre argument. S’il est vrai que les gens d’un certain rang en ont un sentiment qui leur permet de distinguer leurs pairs de ceux qui ne le sont pas, Vous me croirez quand je dis que Loos est l’un des plus grands – au cas où Vous ne le sauriez mieux que moi !
Arnold Schoenberg à Thomas Mann
Berlin, 8 Novembre 1930
Cher Monsieur,
Je comprends Vos doutes et les ai même anticipés. Et aussi je dois avouer qu’à votre place, moi non plus, je n’aurais pas pu me comporter autrement. Cet écart dans nos positions n’est ni mon mérite ni Votre faute. Ce que Loos qui a œuvré en faveur de tant d’artistes a cependant négligé de faire même le minimum pour ses œuvres ce qui font même les plus indifférents aux choses du monde : il n’a fait ni expositions ni publications photographiques, et seulement ici et il y a parfois quelque chose qui fuit sur lequel un jugement pourrait être fondé. SI je n’avais pas été son ami depuis trente-cinq ans, moi non plus je n’en saurais pas plus que les autres.
Hier, alors que j’essayais de ranger ma bibliothèque après le déménagement, presque en signe du destin, un volume d’Adolf Loos, InLeere gespochen, 1897-1900, est tombé entre mes mains. Je ne veux pas l’influencer, je n’arrive pas à une telle présomption, mais seulement faciliter ma mission dans la mesure du possible. C’est pourquoi je me permets de Vous envoyer ce volume. Comme il s’agit d’un exemplaire dédicacé, je m’excuse pour la gêne occasionnée pour vous le retourner. Je serais très heureux si vous pouviez vous faire une idée de Loos : de ce qu’il avait déjà deviné avant 1900 !
Je vous adresse mes respects les plus dévoués,
Dans sa réponse à cette lettre TM convint : « Un esprit fort, remarquable, il n’y a aucun doute ! »
Arnold Schönberg à Adolf Loos
Berlin, 10 Novembre 1930 (anniversaire d’AL)
Au service d’une idée majeure et mineure, ils atteignent le sommet de leur mérite lorsqu’ils indiquent à leurs contemporains la voie à suivre. Mais il ne sera pas facile d’en trouver un autre comme toi, AL, dont il portera le nom dans cent ans, ce qui survivra aux hommes futurs, ce que ceux-ci diront de lui, en mille références à ta parole, à ton œuvre, à votre vie. Avec une fervente admiration et une amitié fidèle, meilleurs vœux.
Pardon,
10 Novembre 1930 > 10 Décembre 1930 !!!
Rien à voir avec la tribu Mann, mais tout avec l’Allemagne, le Journal de Viktor Klemperer, fameux analyste de la LTI.
Chaque page témoigne d’une force d’âme exceptionnelle. Un livre de combat pour vaincre l’adversité sous toutes ses formes.
Interessante letter de Schönberg à T.W. Adorno
Berlin 6 Décembre 1930
Je voudrais vous suggérer la préparation d’un dictionnaire de théorie musicale et d’esthétique. D’une manière à peu près analogue à un dictionnaire philosophique (ou autres ouvrages du genre), n’importe quel sujet pourrait y être traité à la lumière de l’histoire et de son développement sémantique.
Avec un travail certes pas facile mais pas impossible, la partie historique, éditée par des spécialistes sur la base de fausses biographies, pourrait servir de plate-forme à l’exposition des concepts les plus modernes. Et à cet égard, il me semblerait très profitable de laisser s’exprimer les différentes tendances et conceptions des représentants directs du même, afin que les diverses opinions à son sujet puissent être trouvées sous le même sujet. P.e. (par exemple !!!): Schenker, Howard, Mersmann, Schömberg, Wiesengrund, Stein, Wellesz, Hauer, etc.
Vous devrez probablement d’abord trouver un éditeur, un éditeur ou un abonné ; peut-être faudrait-il aussi un comité de rédaction, pour s’occuper de la structuration, de l’exécution et de l’uniformité de l’ouvrage, mais manquant de matière pratique.
Qu’est-ce que vous en pensez ?
Oups!
sur la base de fausses biographies > sur la base de sources biographique
J’ai perdu mes jolis rêves à cause de ma vie. Mes cauchemars m’en remercient. Et les aiguës de ma voix s’éraillent. J’aurais dû recommencer à fumer avant d’avoir encore envie de chanter.
Pour PA:
https://www.hocr.org/
Et les aiguës de ma voix s’éraillent
bonne clopine a trop rayé les légumes de sa vie ou les hommes..enfin ça fait des copeaux qu’elle dirait rozy
cette raclure de keupu suçe
Qu’est-ce que vous en pensez ?
vas donc tfaire enlécu qu’il a répondu adorno..tout lmonde sait ça mais on le tait..mais cétait sans compter sans ma liberté despression
Coiffe
un chapeau cloche..ça va pas a toulmonde..c’est un galure connoté qu’il aurait dit bartez
Wagner « pouvait peut-être être perçu comme le génie absolu de toute l’histoire de l’art »
en plus du noeud pap..de la photo grotesque de victoire grecque sur le pti rocher..voilà résumé lidée que jme fais de mann..pourtant y’a des trucs..mais voilà..c’est un calssicisme un peu bidon..un peu faux..comme tousles nitchéens à mon cul..je parle des poses..reuzment nitche a été malade..pour le look ça a foiré pour lui..la maladie le sauve de la conrie historique..un djizeus en choucroute mais un djizeus..un peu dédé..j’ai dit un peu..
dans le genre look germain je préfère les longue gueule dalemand a héguèle..à gueuteu..chileur..schopenhauer y fait un peu toiletteur pour chien..mais on lui en veut pas trop
n’oublions pas que même NIETZSCHE a aussi écrit de la musique et dit « jamais un philosophe n’a été, en substance, un musicien autant que je ne le suis » tout en avouant qu’il était « un musicien parfaitement manqué ».
« Avant de s’engager pleinement dans la philosophie, il a créé une importante production en tant que poète et compositeur » explique le label de musique Albany Records.
. Mes problèmes philosophiques, avouera tardivement Nietzsche, c’est cela que j’entends dans la musique de Wagner.
https://journals.openedition.org/leportique/210
qu’est ce que ça fout renfield..il a phini par conchier wagner et pour les bonnes raisons..c’est à dire « d’un point de vu strictement artistique »..non mais tu lentends causer comme ça? non..il a dessoulé..videmment c’est pas cqu’il dit..qu’il a préféré aller au bal du coin dla rue..mais presque..me souviens de zouzou qui en parlait bien de wagnère
Nietzsche: Complete Piano Music
Jeroen van Veen, piano
c’est cela que j’entends dans la musique de Wagner
..si renfield smet a traduire litlère..netaniaou nous voilà
Pendant plusieurs jours toute la presse française nous a dit que la meutrière de Lola s’appelait Dahbia B.
J’apprends qu’elle ne s’appelle pas ainsi, mais Dahbia Benkired.
Pourquoi a-t-on voulu ne pas dire son nom ?
»
Thomas Mann a connu Parsifal en 1909, trop tard dira-t-il dans une lettre (il a alors 34 ans), « car ma passion pour Wagner a nettement diminué dans les dernières années », et c’est peut-être l’opéra dont il parle le moins, sa préférence allant à Lohengrin. Il le replace néanmoins admirablement dans l’œuvre de Wagner, par le biais d’une comparaison pour moi tout à fait inattendue, une comparaison avec Tolstoï : »
http://www.entretemps.asso.fr/Wagner/Parsifal/Vodoz.htm
bonsoir
@pourquoi a-t-on voulu ne pas dire son nom ?
C’est le syndrome Johnny Hallyday mon p’ti loup, qu’il te dit El Kabbach (toi aussi tu es présumé innocent, mais depuis quelques temps tu sembles surjouer)
Purée de pommes de terre contre un tableau de Monet au Musée Barberini de Potsdam…
Le Monet : Meules, 1891.
Kartoffelsuppe, c’est dans le sujet dirait…Mélenchon
S’opposer aux activistes qui s’en prennent aux oeuvres d’art.
Grande grande nouvelle. J’ai décidé ce matin de partir en vacances. Pas encore loin. Pas encore longtemps.
Ce sera Berlin en hiver.
Moij. ai lu Théodore Loos.
Tout le monde peut pas s’appeler Durant
https://www.youtube.com/watch?v=iAn172kdL9A
ouij il surjoue à faire le couillon avec les arabes, c d’un lourd’ingue, et ça le fait rire
quand on pense que sa femme était réunionnaise, càd de race inférieure à celle des arabes ! t’imagines-tu
Ah, les chrétiens d’Orient
(imaginons les réunions de famille)
(@il surjoue à faire le couillon avec les arabes
Sous le billet précédent, au-dessous de tout et confondus en approximations et amalgames en ces circonstances – suiveurs du mot d’ordre lancé par l’union des zombies et leurs petits soldats -, Charoulet, Closer, D. et deux trois autres)
Langoncet, de toutes manières quand on ne suit pas on est souvent suivi. Ce n’est pas forcément une situation enviable. Il faut aussi savoir par qui et pourquoi.
Quand je prendrai, j’écouterai Wagner.
« S’il a pu sembler que Tolstoï dans sa vieillesse avait été victime d’une sorte de délire religieux, c’est qu’on n’a pas vu que la fin de sa vie était préfigurée dans son début. »
En lien avec les multiples occurrences des pressentiments de Ferdinand ?
En tout cas, article hyper-arci-extraordinairement intéressant.
Pas compris grand-chose mais la bonne femme est passionnée par son sujet et m’a entraînée dans son enthousiasme.
Et puis, quel bonheur de rencontrer des amoureux normaux, chastes et mesurés, à l’envers des scènes orgiaques de Londres, qui, pour moi, ne sont ni érotiques, ni pornographiques mais témoignent d’un tel déséquilibre patent.
Enfin, au moins, j’aurai appris que maquereau c’est un métier. Pas encore compris le lien avec le poisson, mais je ne désespère pas. Y reste des aventures, bordel.
Je pense retourner à 10 000 ensuite.
Quand je peindrai, du verbe peindre
Abdelamhid de son côté a usé d’un argument malheureux pas très loin de la rente mémorielle, comme si l’horreur des crimes d’état de 1961 pouvait éteindre l’ignominie de celui-ci. L’Algerie, la Tunisie et le Mali refusent de reprendre leurs ressortissants en situation irrégulière sur le sol français . C’est un problème. Que faire, auriez vous une idée?
B, puissiez-vous vous comprendre (quelque chose de Char chez vous ; affirmations cinglantes à première vue, qui ne veulent rien dire après réflexion – la lucidité, la blessure la plus rapprochée du soleil, tout ça, voyez – cela n’enlève rien au courage et à l’esprit de résistance du redoutable capitaine Alexandre que fut ce cher René, au moment où d’autres « théorisaient »)
@Abdelamhid de son côté a usé d’un argument malheureux pas très loin de la rente mémorielle, comme si l’horreur des crimes d’état de 1961 pouvait éteindre l’ignominie de celui-ci
Extinction des feux
Ce cher René
Euh.
Si détesté dans son village.
Se dit que, y prêter foi ou pas ? c en repartant d’une visite chez lui, Char, Gallimard et Camus, que celui-ci a trouvé la mort contre un platane.
Venue à bout de la partie I.
Avec la chance que Purcell se calme.
(Quelle sorte d’amour faudrait-il donc avoir pour être content que les voyous rentrent à la maison ?)
@celui-ci a trouvé la mort contre un platane
Jean Bugatti est mort autour d’un platane. selon l’expression consacrée par les essayistes, il a fait un noeud de cravate ; c’est plus distingué qu’un choc frontal et c’était en 1939
Y a pas écrit platane. G lu arbre.
Je me pose là. J’en suis au 15.
Commence à avoir quelque bienveillance envers vous.
La vie que vous meniez pendant que nous brodons des coquelicots.
« Plus je vis, plus je suis convaincu que cette planète sert d’asile de fous à l’univers. »
G.Bernard Shaw
24.10 ¬ 7.55
« Nous craignons la bombe sale de Kiev »
Voilà l’une des manières dont le criminel de guerre s’offre à la vue : accuser l’autre de ses propres intentions.
Merci Vedo !
ETHNOGRAPHIES DES MONDES À VENIR
Un lundisoir avec Philippe Descola & Alessandro Pignocchi
https://lundi.am/Ethnographies-des-mondes-a-venir
UNE MAISON D ‘EDITION
Lettres sur la peste – Olivier Cheval
En librairie le 20 octobre
Liste des discussions et présentations à venir
Vous l’avez certainement lu dans nos éditions précédentes : lundimatin lance sa maison d’édition. Le premier livre, les magistrales Lettres sur la peste d’Olivier Cheval sera en librairies le 20 octobre. Des présentations, des discussions et même une fête de lancement sont prévus un peu partout en France.
Wo stecken Sie denn, lieber Baroz ?
Mandez-nous des pix de Klaus Mann au cimetière de Cannes.
« …lu livre posthume de Karl Kraus sur le Troisième Reich. Du réchauffé, dépassé, moi-je et un allemand pas fameux, comme son école le dispensait. » Journal TM, occurence du 17 décembre 1952 (que Toibin n’a pas lue)
A vous les toupies
Souvenir, Ana Mendieta, Imágen deYágul, 1978/2018 :
Pierre Assouline vient de s’expliquer a la radio sur la defection de quatre membre du Goncourt dont lui –même a la ménifestation consacrée au livre français , organisée par les services culturels de l’ambassade de France ,et qui va se tenir prochainement au Liban
Leur refus intervient après une declatration du ministre libanais de la culture ,un personnage tres engagé dans la mouvance proi anienne , qui a fait officiellement savoir que les écrivains favorables au sionisme n’’étaient pas les bienvenus .
Puis ,sans doute suite aux reactions des organisateurs il aurai tmodifié son propos dans un sens qu’il voulait « moderé » en précisant qu’il ne visait que les « sionistes » Un mot pour un autre apparemment
Ce qui est le plus choquant dans cette affaire ,où en définitive le point de vue de ce ministre ,sinon son audace de l’exprimer, ne sont pas une surprise, c’est que l’ambassade de France maintienne la manifestation
Beyrouth
« Initialement, l’annonce quatre finalistes du prix Goncourt 2022 devait avoir lieu durant ce festival. Toutefois, Tahar Ben Jelloun, Eric-Emmanuel Schmitt, Pierre Assouline et Pascal Bruckner, les membres du prestigieux jury, ont boycotté l’événement. «
BEN JELLOUN/
« Ce lundi j’aurais dû être à Beyrouth avec l’ensemble de l’Académie Goncourt pour apporter un soutien au peuple libanais et participer à la foire du livre.
L’Académie devait aussi faire sa réunion pour établir la dernière liste des romans retenus pour le Prix Goncourt et l’annoncer demain à partir de la capitale libanaise.
Voilà que le ministre de la Culture de l’actuel gouvernement, Mohammed Mortada, proche du parti chiite Amal, lequel est dans le giron du Hezbollah, parti et armée installés au Liban et financés par l’Iran, publie un communiqué où il ne nous souhaite pas la bienvenue.
Il accuse certains membres de l’Académie Goncourt, sans les nommer, «d’embrasser les projets sionistes dans la presse et dans la politique». Il écrit ensuite qu’il «ne permettrait pas à des sionistes de venir parmi nous et de répandre le venin du sionisme au Liban».
Nous aurions pu traiter ce genre d’accusation par le mépris, mais nous sommes dans un pays où règne un grand chaos, où il n’y a pas de sécurité et où des écrivains et des journalistes, sans parler d’un président de la République ont été assassinés en plein jour.
Je rappelle que trois écrivains et journalistes importants ont été froidement assassinés ces dernières années: Samir Kassir, Hassan Hamdan et Lokman Slim.
Samir était mon ami. Il avait la double nationalité, vivait entre la France et le Liban.
Il était critique. Il prenait au sérieux le rôle de l’écrivain. Témoin et citoyen concerné. C’était une belle intelligence, subtil, cultivé et généreux. Il était encore jeune; il venait de se marier. Mort assassiné.
J’aime ce pays blessé, meurtri, pillé et laissé dans une grande solitude. Mais tant qu’il n’a pas le pouvoir, les moyens et les hommes qu’il faut pour se débarrasser d’un corps étranger sur son sol, le Hezbollah, il ne pourra pas se relever.
On se demande pourquoi avoir voulu aller au Liban.
Beyrouth-sur-Seine, de Sabyl Ghoussoub (Stock), n’est plus d’actualite !
Il s’agit d’un précédent, cette volonté d’aller proclamer une sélection Goncourt, ailleurs qu’au resto de la rue Gaillon ? m’enfin !
Bref, encore une mauvaise idée de notre ministre des affaires étranges.
Si c’est une idée de M. Ben Jellloun, de faire du Goncourt un prix de géopolitique, c’est très mauvais !
T’imagine que les finalistes nommés demain,
vont se croire OBLIGÉS d’être mêlés à cette galère ?!
AU Liban : Le français, , reste tout de même mentionné dans la Constitution : c’est une langue secondaire, toujours employée au niveau officiel, comme sur la monnaie nationale et sur les bâtiments officiels, ainsi que dans l’éducation7
DHH : « Ce qui est le plus choquant dans cette affaire […] c’est que l’ambassade de France maintienne la manifestation ».
Ce serait une terrible erreur, précisément. Diplomatiquement, la pratique de la chaise vide, ne conduit qu’à donner raison, justifier les va-t-en-guerre de cet acabit. Puis ce serait abandonner à leur malheureux sort tous ces Libanais que pareilles ignominies révulsent.
J’espère que les finalistes Goncourt vont se désolidariser de cette mascarade, qui se joue dans un pays qui n’est pas celui le mieux placé pour la culture et la liberté !
Surtout si on aime bien Wajdi Mouawad au théâtre, et pas ailleurs.
La directrice adjointe de la bibliothèque Doucet s’est suicidée au lendemain d’un long article du Monde la mettant gravement en cause
Elle y est accusée, de manière, certes solidement argumentée, d’avoir clandestinement commercialisé à son benefice des ouvrages rares prélevés sur les collections dont elle avait la responsabilité
L’issue tragique de ces investigations, ainsi portées à la connaissance du public par l’article très détaillé du Monde, amene à s’interroger sur le rôle de la presse, qu’on voit de plus en plus fonctionner comme le grand manitou d’une justice médiatique .
Ces accusations sont sans doute fondées. Mais c’est à la justice qu’il revient d’etablir des culpabilités, en prenant en compte les doutes ou les éventuelles circonstances atténuantes, et d’apprecier les sanctions requises ; et cela selon des procedures rigoureuses relevant de l’obligation de mettre en evidence tous les elements à charge et à décharge ;
Condamnée par avance par les revelations unilatérales de l’article,cette dame a préféré se donner la mort
. C’est horrible
Je pense au désarroi de sa mere une ancienne collaboratrice, perdue de vue depuis très longtemps, pour qui j’avais beaucoup d’estime et qui doit se sentir encore plus désespérée, si comme l’indique l’article, elle a également trempé dans l’affaire et porte une part de responsabilité dans cette fin tragique
Dommage que le livre de Tillmann Lahme « die Manns Geschichte einer Familie“ n’existe pas en français (mais comme par hasard il existe en version italienne ou espagnole) – Die Manns: Geschichte einer Familie, Frankfurt am Main, Verlag S. Fischer, ISBN (Print) 978-3-10-043209-4, car ce livre est peut-être le guide céleste pour comprendre l’univers de Thomas Mann et les siens ….
SE SUICIDER N’est en aucune façon « se faire justice »;
et les révélations médiatiques ne devraient pas se substituer à « la justice des hommes » ;
@ »Je pense au désarroi de sa mere une ancienne collaboratrice, perdue de vue depuis très longtemps, »
Deachach, vous devriez lire plus attentivement cette enquête parue dans le monde libre et le lire attentivement jusqu’au bout.
Je crois me souvenir que votre » ancienne collaboratrice » est aussi dans le journal…
Prochainement à Zürich, – pour les amis de l’ouvre de Thomas Mann et de Hermann Hesse –
« Thomas Mann und Hermann Hesse pflegten einen jahrzehntelangen Austausch: Mann schätzte Hesses «Der Steppenwolf» und sah «Das Glasperlenspiel» in Verbindung mit seinem eigenen Roman «Doktor Faustus». Jan Assmann geht in seinem Vortrag auf die weniger etablierten Bezüge zwischen den Werken beider Autoren ein und zeigt die Zusammenhänge zwischen Hesses «Glasperlenspiel» und Manns Josephsromanen auf.
Die Thomas Mann Lecture findet in diesem Jahr wieder in Präsenz statt. Jan Assmann hält seinen Vortrag mit dem Titel «Thomas Manns ‹Morgenlandfahrt› – die Josephsromane» am 30. November 2022 um 18.00 Uhr, im Audi Max der ETH Zürich. Gleichzeitig kann die Veranstaltung online verfolgt werden. »
International renommierter Kulturwissenschaftler
Jan Assmann forscht seit Jahrzehnten gemeinsam mit Aleida Assmann zum kulturellen Gedächtnis. Ihre kollaborativen Arbeiten prägen die Kulturwissenschaften weltweit. Mit seinen Beiträgen über Thomas Manns Verhältnis zur altägyptischen Kultur ist Jan Assmann auch aus der Thomas-Mann-Forschung nicht wegzudenken.
Die Thomas Mann Lectures der ETH Zürich
Im Rahmen der Thomas Mann Lectures sind im Jahresrhythmus international renommierte Persönlichkeiten der Literaturwissenschaft an die ETH Zürich eingeladen. Die Vortragsreihe wird vom Thomas-Mann-Archiv gemeinsam mit der Professur für Literatur- und Kulturwissenschaft an der ETH Zürich angeboten. Sie zielt auf grundlegende und aktuelle Fragestellungen, die vom Werk Thomas Manns ausgehen und richtet sich sowohl an die interessierte Öffentlichkeit als auch an ein wissenschaftliches Publikum.
Prochainement à Zürich, – pour les amis de l’œuvre de Thomas Mann et de Hermann Hesse – (diesmal ohne Fehler)
« Thomas Mann und Hermann Hesse pflegten einen jahrzehntelangen Austausch: Mann schätzte Hesses «Der Steppenwolf» und sah «Das Glasperlenspiel» in Verbindung mit seinem eigenen Roman «Doktor Faustus». Jan Assmann geht in seinem Vortrag auf die weniger etablierten Bezüge zwischen den Werken beider Autoren ein und zeigt die Zusammenhänge zwischen Hesses «Glasperlenspiel» und Manns Josephsromanen auf.
Die Thomas Mann Lecture findet in diesem Jahr wieder in Präsenz statt. Jan Assmann hält seinen Vortrag mit dem Titel «Thomas Manns ‹Morgenlandfahrt› – die Josephsromane» am 30. November 2022 um 18.00 Uhr, im Audi Max der ETH Zürich. Gleichzeitig kann die Veranstaltung online verfolgt werden. »
International renommierter Kulturwissenschaftler
Jan Assmann forscht seit Jahrzehnten gemeinsam mit Aleida Assmann zum kulturellen Gedächtnis. Ihre kollaborativen Arbeiten prägen die Kulturwissenschaften weltweit. Mit seinen Beiträgen über Thomas Manns Verhältnis zur altägyptischen Kultur ist Jan Assmann auch aus der Thomas-Mann-Forschung nicht wegzudenken.
Die Thomas Mann Lectures der ETH Zürich
Im Rahmen der Thomas Mann Lectures sind im Jahresrhythmus international renommierte Persönlichkeiten der Literaturwissenschaft an die ETH Zürich eingeladen. Die Vortragsreihe wird vom Thomas-Mann-Archiv gemeinsam mit der Professur für Literatur- und Kulturwissenschaft an der ETH Zürich angeboten. Sie zielt auf grundlegende und aktuelle Fragestellungen, die vom Werk Thomas Manns ausgehen und richtet sich sowohl an die interessierte Öffentlichkeit als auch an ein wissenschaftliches Publikum.
Il y a peu, un conservateur de musée -et non des moindres- s’est trouvé soupçonné de trafic d’antiquités. Le gouvernement français lui a retiré sa mission « d’ambassadeur chargé de la coopération dans le domaine du patrimoine », qui revenait notamment à… lutter contre le trafic de biens culturels. Un exemple de pompier pyromane, en somme. L’amour de l’art n’immunise pas contre celui du fric. Ou plus.
« l’article très détaillé du Monde, amene à s’interroger sur le rôle de la presse, qu’on voit de plus en plus fonctionner comme le grand manitou d’une justice médiatique . ».
No way, madame !
Décidément est-ce que cette commentatrice comprend bien ce qu’elle lit , c’est à se le demander.
Cette affaire demande à s’interroger sur le secret de l’instruction. Car une plainte a été déposée en septembre 2022, pour le vol de biens à la BL Doucet.
Il y a déjà longtemps j’ai trouvé que j’aime lire les livres de Thomas Mann et du coup j’en ai lu pas mal :
Les Buddenbrook, La Montagne magique, Joseph et ses frères et L’Élu, qui est un récit superbe complexe et surprenant.(Et pour ne pas me priver, aussi, La Mort à Venise, Confessions du chevalier d’industrie Félix Krull, Tonio Kröger, Altesse Royale , Traversée avec Don Quichotte et d’autres petits recueils ).
Je n’ai jamais lu de biographie de Thomas Mann mais aucun des détails biographiques présentés dans le billet de Pierre Assouline ou dans les commentaires ne m’étaient vraiment inconnus. Les préfaces, des extraits à l’occasion d’autres lectures, etc. croisent ces informations et je me suis fait une idée globale de Thomas Mann et de sa relation avec sa famille sans me soucier de savoir si elle est bien complète. L’idée globale, c’est que les livres (que je lis) me sont bien plus proches que le bonhomme, assez éloigné. (j’observe qu’il avait, le soucis d’une élégance vestimentaire conformiste,un peu surplombante).
Je me suis réjoui lorsque j’ai appris que les jurés Goncourt allaient s’exprimer depuis le festival Beyrouth Livre. Voilà quelque chose d’utile, l’expression d’une solidarité avec des auteurs et des lecteurs bien isolés. On ne vas pas maintenant le leur reprocher sous le prétexte d’une opposition à la venue de certains jurés.
@ Marie sasseur
Effectivement c’est ce que j’ai indiqué et que vous auriez lu si vous etiez allée jusqu’au bout de mon post
Mais ce que je voulais dire c’est que, complice du délit, elle vit une double peine, subir la douleur de perdre son enfant et s’en sentir responsable
Ses fautes sont sans doute graves mais ce qu’elle vit est atroce et m’emeut
DHH : « L’issue tragique de ces investigations, ainsi portées à la connaissance du public par l’article très détaillé du Monde, amene à s’interroger sur le rôle de la presse, qu’on voit de plus en plus fonctionner comme le grand manitou d’une justice médiatique . »
Dans une démocratie, le rôle de la presse est de porter « à la connaissance du public » des faits de cette nature. Il s’agit de patrimoine, de patrimoine de l’Etat. On ne peut demander à des journalistes dignes de ce nom de passer sous silence de telles activités criminelles. Accuser le quotidien Le Monde de s’être substitué à un jugement de justice ou, pire, d’avoir poussé au suicide cette personne relève de l’aberration.
DHH dit: à
@ Marie sasseur
Effectivement c’est ce que j’ai indiqué et que vous auriez lu si vous etiez allée jusqu’au bout de mon post
Mes excuses, deachach. C’est vrai que le » désarroi » prêté à la mère de Sophie Lesiewicz, votre ancienne collaboratrice, paraissait disproportionné dans votre post, eu égard à sa responsabilité supposée dans l’affaire ! Rien ne dit par ailleurs qu’elle n’a pas servi de prête-nom, à l’insu de son plein gré, dans ces « ventes privées », pour être tout a fait exhaustive !
La compassion ne semble pas faire partie de l’arsenal sentimental de Marie Sasseur et sans reproches, inutile de vous en formaliser, DHH !
Mieux qu’une quelconque biographie, les deux tomes du « Journal » de Thomas Mann et le livre de souvenirs de sa femme nous en disent plus long sur la vie de ce ménage singulier…
Un exemple de pompier pyromane, en somme. L’amour de l’art n’immunise pas contre celui du fric. Ou plus
l’état..-nous-..cherchons aussi a « blanchir » ou bétonner des acquis..des positions commerciales..des savoir faires bi to bi..hors qu’il y ait des malins pour se faire du blé la collection dart est passablement « plombé » dinteret nationaux..privés..politique c’est telment feuilleté que le sénat serait pour ce que meussieu courte aplrait wokisme en dautres point de vu..en somme l’art na jamais immunisé de rien..non seulement on npeut être et avoir été mais le feu est dans ta peau alesquia
J’ai été la première à annoncer le suicide de S. Lesiewicz sur ce blog. En tout discrétion, faisant part d’une sale affaire.
Quand deachach a réagi au tweet de Passou, relayant cette enquête journalistique, elle s’était bien gardée de dire » sa compassion « ,
Bande de bouffons !
..c’est pas mann qui me contredirait..ça non..dailleurs il ne dit rien..il conssent
disons qula compassion on en fait pas état quand quelle est private..si elle ne l’est pas elle cherche et trouve un biais politique..que la presse etc et une meute de iench qui faut muzler etc..enfin pour certaines catégorie etc..vieux clair de lune classique à maubeuge qu’il dirait aquitator
Et le vieux prostitué qui arrive la gueule enfarinée avec ses 2 tommes de la mannschaft. Comme si ses » amis », qui regardent les fils des autres avec concupiscence, n’avaient pas déjà lu pour lui, lol.
et qu’est ce tu renchéris de bave de crapeau buffle térezoune..le pire lanedans c’est le commentaire
baroz n’est pas mort et enterré..il cause..mais dirfilou se demande si c’est pas un fèque qui mangrait au fond dun caveau..c’est bien toi baroz?
La RDL est un confessionnal, rien n’y est privé, le boug !
Littérature oblige…
La vieille pute de Sasseur essaie de se faire remarquer à tout prix, en montrant son cul, si nécessaire…
Dix jours de randonnées dans le Var, ça vous remet en forme, le boug !
en montrant son cul, si nécessaire…
elle a qu’ça en magazin baroz..chacun il aldroit a ce pti biznèce là qu’elle dirait bonne clopine
jaime la ballade mais je suis pas un marcheur baroz..pasqu’on est obligé de rgarder ses pieds pour pas svautrer..je veux avoir l’oeil a tout sauf a mes tiag..sauf quand je vise dans l’fion a keupu..et même c’est element naturel que je fais ça sans y penser
Les quatre jurés ont eu tout à fait raison de balancer un doigt de Galilée, à ces fondus du chîîsme duodécimain.
L’événement aurait dû être purement et simplement annulé par l’ambassade et le Département, « quoi qu’il en coûte ».
Le vieux prostitué du blogapassou prend son cas pour une généralité, on devrait lui donner le Nobel a lui comme à TM, et à Ernaux. Le Nobel pour ses « collages » de vieux pornographe, pas pour ses pillages » libres de droit « .
la paix est himpure quil dit macron..bodjo a perdu la clef du frigo..kabloom est plus catholique qule pape..et rénateau est con
« Comme si ses » amis », qui regardent les fils des autres avec concupiscence, n’avaient pas déjà lu pour lui, lol. »
Sur ce sujet, voir un de mes anciens feuilletons aux archives LGBTQI de Paris : « Article : texte imprimé Thomas Mann et les garçons… / Jacques Barozzi in GAI PIED, 220 (Du 17 au 23 mai 1986) »
Thomas Mann et les garçons
dirfilou irait havec lui derrière l’église..et toi baroz?
Le lien, le boug !
http://www.bibliotheque.centrelgbtparis.org/opac_css/index.php?lvl=author_see&id=4551&page=1&nbr_lignes=112&l_typdoc=a
Indeed dear Baroz, only deux tomes pour Mann ? En traduc ou Finland.. le « ménage Mann », ça sonne années cinquante et toile cirée. Excès de « rando » sans doute.
Dear Bloom, bientôt bollywood sur tamise, Johnson repart aux caraïbes.
« et toi baroz ? »
Pour la bagatelle, plutôt Klaus que Thomas, le boug, mais pour la littérature, je préfère le père…
Ces deux tomes publiés par la NRF au milieu des années 1980, Phil.
https://www.amazon.fr/Journal-1918-1921-1933-1939-Thomas-Mann/dp/2070703673/ref=sr_1_1?adgrpid=1355698774497671&hvadid=84731595230315&hvbmt=be&hvdev=c&hvlocphy=126407&hvnetw=o&hvqmt=e&hvtargid=kwd-84731702024292%3Aloc-66&hydadcr=27714_2264643&keywords=thomas+mann+journal&qid=1666623008&qu=eyJxc2MiOiIxLjM1IiwicXNhIjoiMS4yOSIsInFzcCI6IjEuNTIifQ%3D%3D&sr=8-1
Les pederastes se sont donnés rendez-vous sur ce fil.
Passou les gâte.
A demain.
Excès de « rando » sans doute
zouzou il aurait dit tant que c’est pas havec grosses chaussettes à pompon on peut y trouver un bonheur pas trop vulgaire
D’un côté ceci
» […] »C’était un bordel innommable. Et il a été pris dans cet engrenage, en raison des amitiés factices de certains, d’un appât du gain et d’un sentiment de toute-puissance. » »
mais pour la littérature, je préfère le père…
un écrivain a un corps mystique baroz..y a des correspondances cachées havec le vrais
hon dirait un cul plein de dents rozy..
« A demain »
Jazzi revient et la crasse s’en va !
Vu Accatone de Pasolini, dans la Naples de 1961.
Trois remarques :
1/lorsqu’il dit à Stella « ici c’est la crèche ».
2/ lorsqu’il demande à son frère « ici c’est Buchenwald ».
3/ comment on sort tout fondu parce que a la fin, ce type infâme, on le trouve sympathique. Attachant serait trop fort.
Et nota, en exergue « vergogne » signifie la honte en italien. Là, y’a un blème.
Nota bis : Accatone, c’est la suite de Londres de Louis Ferdinand. Des maquereaux qui font bosser les filles pour eux.
Y a des restes.
D’un côté ceci, et de l’autre cela :
https://www.20minutes.fr/justice/3180739-20211124-marseille-jean-noel-guerini-autorise-rester-senateur-malgre-condamnation
Le vieux prostitué des cimetières, ce parichien a quitté le sud, on respire plus sain. Et les jeunes peuvent sortir tranquilles.
24/10/2022, 17h10, 24°C, plein soleil sur la mer.
A demain, disons vers 13h, en direct de Biroute. 😁
Accatone, 1961, Pier Paolo Pasolini
Nous fêtons en 2022 le centenaire de sa naissance.
Accattone
Double c et double t
Son premier long métrage.
Pendant sept mois, on va se taper sept films de Pasolini.
Que veut le peuple ?
Vérifié
Vergogna en italien se traduit la honte.
Re nota, le sentiment de toute puissance que personne ne freine, c vraiment le truc qui se termine toujours mal.
Toujours.
@Bloom
avec votre post je constate que je ne suis pas seule a penser que l’ambassade aurait du annuler la manifestation
Si ,comme vous l’avez fait en d’autreslieux dans votre vie professionnelle antérieure, vous vous étiez trouvé en situation d’avoir a organier cette manifestation, il est vraisemblable que vous auriez fait une note a l’ambassadeur pour lui recommander cette annulation.
Mais qu’auriez-vous fait s’il avait refusé d’aller dans votre sens ?
Pour DHH
DHH dit: à
La directrice adjointe de la bibliothèque Doucet s’est suicidée au lendemain d’un long article du Monde la mettant gravement en cause
S’il y a ici une seule personne digne de respect, c’est bien DHH, la seule qui pourrait racheter les autres.
Quand donc Passou se décidera-t-il enfin à fermer cette écurie d’Augias. DHH et quelques autres, Et Ali et Jazzi s’en remettraient sans problème, quant ‘aux autres, tous les autres, ne sachant plus où déposer leur laideur, leurs aigreurs, ne sachant plus que faire de leur temps, eh bien ils se décomposeront tranquillement dans leur « savoir », leur bêtise, leur fiel….
en faisant une recherche, je me suis avisée que l’on avait oublié une ukrainienne venue en FRANCE.BONSOIR/
Marie Bashkirtseff, née Maria Kostiantynivna Bashkirtseva (ukrainien : Марі́я Костянти́нівна Башкірцева) en Ukraine, à Gavrontsi (uk), près de Poltava (dans le gouvernement de Poltava de l’Empire Russe), le 11 novembre 1858 et morte dans le 17e arrondissement de Paris, le 31 octobre 1884, est une diariste, peintre et sculptrice.
Mais qu’auriez-vous fait s’il avait refusé d’aller dans votre sens ?
—
Difficile à dire, DHH. J’aurais certainement obtempéré. L’alternative est ‘le grand avion bleu’, comme on dit.
Notre représentante sur place a-t-elle eu son mot à dire? J’aurais tendance à penser que c’est à l’Elysée que cela se joue. Surtout pour le Liban. Surtout ces temps-ci. Et surtout avec un conseiller diplomatique spécialiste du Moyen-Orient.
On ne « recommande » pas à un ambassadeur de faire ceci ou cela. S’il requiert l’avis d’un conseiller sur un sujet, celui-ci lui fera part de son sentiment. Par ailleurs, la première qualité d’un ambassadeur est le sang froid, la maîtrise de ses émotions, l’application sans état d’âme des directives de son ministre.
CHIENS
Je n’ignore pas que des millions de gens aiment leurs chiens
J’imagine toutes les raisons qu’ils ont de les aimer.
Mais les chiens mordent, les chiens aboient, les chiens marquent leur passage au bas des murs et les chiens salissent tous les trottoirs.
@alexia
vous ecrivez
On ne « recommande » pas à un ambassadeur de faire ceci ou cela…….
Vous êtes probablement plus avertie que moi du fonctionnement d’une ambassade .
j’observe, à vous lire, qu’elles fonctionnent différemment des administrations centrales, où observations remarques et suggestions et mises en garde partent très souvent de la base…. ce qui ne veut pas dire qu’elles soient suivies d’effet /
@DHH
Vous ne pouvez pas, en effet, extrapoler à partir d’us et coutumes de l’administration française ce qui fait la spécificité de sa représentation diplomatique à l’étranger.
Mais les chiens mordent,
Le génie génétique pourra mettre au point des chiens sans dents, fini le nonoss à son pépère . Pour la vessie c’est pas sûr.
A la relecture les propos si peu diplomates de T. Ben Jelloun, cité plus haut, ce qui est devenu une crise diplomatique pose plus de questions qu’on a de réponse .
S’agissant d’une manifestation littéraire franco-française publique, un salon du livre francophone au Liban, dans lequel s’inscrit cette année l’annonce d’une décision pour un Prix littéraire tout à fait de droit privé…
« Mais les chiens mordent, les chiens aboient, les chiens marquent leur passage au bas des murs et les chiens salissent tous les trottoirs. »
L’homme (le primate du genre Homo, j’entends) est beaucoup plus sale, il vous suffit de regarder l’état de notre environnement. Par ailleurs, il ne mord que rarement, certes, mais sa violence n’a pas de pareil dans le règne animal.
Colette Cosnier, dans le « Silence des filles », de l’aiguille à la plume (Fayard 2001) a consacré de belles pages à Marie Bashkirtseff et à ses « métamorphoses pothumes »…
pasdex a un clavier de fonctionnaire.
Cette solidarité du mammouth est remarquable.
– Ritchie?
– Non, Rishi!
– Ah, le Saint…
– Non, le Riche.
Les parents du nouveau premier ministre britannique (‘the first PM of colour’, ‘the first Asian PM…’) faisaient partie de ces Indiens établis dans les colonies de la Couronne (comme les Pondichériens en Indochine pour la France), en particulier en Afrique de l’Est. A. Gurnah, originaire de Zanzibar, en parle très bien dans ses romans. Industrieux, ils étaient considérés par les Africains comme des agents du colonialisme britannique et ont été expulsés manu militari à l’époque des indépendances. C’est pourquoi on les appelle ‘twice migrants’en GB. Même s’ils n’ont jamais vécu en Inde, ils gardent des contacts avec les familles sur place, notamment pour les mariages, toujours arrangés. La famille de R. Sunak est issue d’une caste de riches marchands pendjabis, les khatri, des kshatriya (même étymologie), qui occupent une position élevée dans hiérarchie des castes, juste en dessous des brahmanes, qu’ils peuvent épouser sans souillure aucune. C’est ce qu’a fait le petit Rishi en convolant en justes noces avec Akshata Murthy, la fille d’un des fondateurs d’Infosys (géant de l’IT indienne), liée par sa maman à la famille Tata, laquelle s’est payé le luxe de fonder une ville industrielle qui compte aujourd’hui 2 millions d’habitants, Jamshedpur, dans le Jarkhand. En Inde tout est soit Tata, soit Godrej, les deux grandes familles parsies de Bombay/Mumbai…Nous n’avons pas idée de la richesse des riches indiens…
« L’homme (le primate du genre Homo, j’entends) est beaucoup plus sale, il vous suffit de regarder l’état de notre environnement. Par ailleurs, il ne mord que rarement, certes, mais sa violence n’a pas de pareil dans le règne animal. »
Belle définition de l’homme, renato.
Comparé à la fidélité légendaire du chien, ça ne pèse pas bien lourd !
Merci pour le portrait du nouveau premier Ministre britannique, Bloom.
Il va dynamiser l’économie du pays.
Au profit ou au détriment de la culture ?
A nouveau Roi, nouveau PM !
Nous n’avons pas idée de la richesse des riches indiens…
On a l’idée des maharadjah quand même ; on connaît leurs tigres et leurs pierres précieuses, leur musique et leurs danses, leur nourriture et leur art.
Et puis, on écrit les familles parsis.
Sans e.
Et encore, la fille a demandé à son père l’autorisation pour ce mariage. Lui a dit « il est droit honnête et courageux ». Alors le père a consenti.
@ BLOOM
LES KSHATRIYA que vous évoquez sont-ils ceux de DUMEZIL?
3 En d’autres termes, les « catégories sociales » que sont les Brahmanes, Kshatriya, Vaishya et Shudra ne sont pas à proprement parler des « castes ». La division de la société en quelques groupes de statut, plus ou moins endogames et hiérarchisés, est un phénomène universel ou du moins largement répandu. Les auteurs qui voient des systèmes de castes un peu partout dans le monde prennent uniquement le modèle des varna en considération. La fragmentation de la société en une myriade de groupes fermés est par contre un phénomène unique, propre à l’Inde.
https://books.openedition.org/septentrion/14145?lang=fr
bonsoir
chiens:
« Si certains opposants avaient dressé leurs chiens pour se moquer d’Hitler, les nazis, eux, plaçaient beaucoup d’espoirs dans le meilleur ami de l’homme.
Les allemands espéraient utiliser les animaux pour aider les officiers SS, sur le front comme dans les camps de concentration. Les chiens ont été recrutés dans toute l’Allemagne en fonction de leurs prétendues capacités supérieures.
Ainsi une école nommée « Tier-Sprechsdule ASRA » et basée près d’Hanovre recevait-elle des élèves canins afin de les éduquer dans ce sens.
https://wamiz.com/chiens/actu/le-projet-fou-des-nazis-creer-des-chiens-surdoues-pour-faire-la-guerre-1495.html
« les nazis, eux, plaçaient beaucoup d’espoirs dans le meilleur ami de l’homme. »
En abusant à l’extrême de leur fidélité…
Et puis, on écrit les familles parsis.
—
Non. Cf. le TLF, ci-dessous.
PARSI,-IE, subst. et adj.
II. Adj. De ce peuple asiatique. Langue, religion parsie.
Donnez-moi des leçons sur l’Inde, koi baat nahi, mais pas en grammaire vrounzaise, yaar.
—
Baroz, la culture n’est que très peu financée par le public au RU. Le premier ministre de la culture fut nommé par John Major en 1991, David Mellor, un excentrique sympathique. Il fut immédiatement surnommé The Minister of Fun, ce qui en dit long sur le peu de prestige de la fonction.
« The Department for Digital, Culture, Media and Sport (DCMS) » (nom du Ministère de la culture) a vu son budget réduit de 48% l’an dernier.
Les industries culturelles, la musique surtout, sont frappées de plein fouet par le Brexit. Je prépare un document là-dessus.
Sunak risque de na pas rester bien longtemps en poste, sa légitimité est pour le moins contestable.
‘He’ll have to go to the country’, comme on dit, ce qui n’est pas une référence à sa résidence secondaire à la campagne, mais se présenter devant les électeurs à l’occasion d’une élection générale.
Moij.écrirais bien les parsi, quand même.
CE N4EST PAS UNE EXCUSE.La » lettre terrible, signé de Michael, le plus équilibré de leur descendance (billet)
m’a renvoyée à « un » texte que je connaissais et qu’était venu réveiller en moi un explication laconique d’une vieille dame aujourd’hui « je ne me prépare plus qu’à partir »
voici le texte
« »Die Welt ist fort, ich muss dich tragen », un événement dans la scène d’écriture derridienne (2002-2004)] »
https://www.idixa.net/Pixa/pagixa-1908042253.html
venue réveiller
@ »avec votre post je constate que je ne suis pas seule a penser que l’ambassade aurait du annuler la manifestation. »
En comptant bien, vous êtes 7 (5+2)
Et Al, il faut vous rendre ce qui vous appartient, tant ce message que je viens de lire, et reposte, est emblématique de la manipulation à l’œuvre, de quelque côté que l’on tourne ces lettres « persanes « , auxquelles les orientaux sont rompus.
Voici votre commentaire, probablement du 19 octobre, il y a donc presque une semaine :
« et alii dit: à
Si la Foire de Francfort attire tous les regards, au Liban, le festival Beyrouth Livres entend bien faire l’actualité littéraire. Ouvert ce 19 octobre, l’événement a bénéficié d’un coup de projecteur, mais pas forcément le bienvenu : cinq auteurs, dont des membres de l’Académie Goncourt, ont en effet annulé leur participation, évoquant une « dégradation générale de la situation au Liban ». »
Pas de lien permettant de situer le propos.
Une » généralisation » de la dégradation, qui pose question.
« » lettre terrible, signé de Michael, le plus équilibré de leur descendance (billet)
m’a renvoyée à »
A ce que vous voulez Et Al.
Cette lettre aux parents, pas comme une autre.
« Brillant, beau et surtout honnête. »
Mes amis britano-finlandais sont très inquiets concernant le marasme dans lequel plonge l’Angleterre.
Pmp, je regarde avec curiosité ce couple d’immigrés, fortuné, dont le mari accèderait à un poste politique de pouvoir sur sa terre d’asile.
Ce qui me questionne étant l’alliance de l’intelligence et de l’argent en vue d’un changement sociétal bondissant vers l’amélioration des conditions de vie des plus pauvres.
J’observe avec grand intérêt.
De l’Inde, me souviens des chiffonniers qui marchent le long des chemins de fer pour glaner, des laveurs de linge à Bombay/Mumbaï, et des enfants qui s’agglutinent sur le toit des trains pour quitter la campagne et aller vers l’Eldorado des villes.
Mais les deux premières images gravées datant de 1978 sont celles de l’immensité des bidonvilles, agglutinés eux aussi aux alentours des villes et des mendiants, lourdement handicapés se déplacant en rampant avec les mains sur des planches de bois pour te gratter quelques roupies.
A 7 vous pouvez jouer au handball.
à « un » texte que je connaissais et qu’était venu réveiller en moi une explication laconique d’une vieille dame aujourd’hui « je ne me prépare plus qu’à partir »
venue réveiller
Oui, à lecture rapide, ai d’abord cru que c’était un texte ; le sujet inversé une explication.
Comment vérifier ? En mettant le sujet devant
« une explication laconique d’une vieille dame était venue réveiller en moi »
Vous avez bien raison.
un texte le sujet du verbe.
Le Liban.
Un pays en ruine en lien avec la corruption des élites.
Le sionisme semble être l’idée maîtresse du vous n’êtes pas bienvenus sur nos terres.
Pour construire un monde de paix, il s’agit, non pas de faire bloc, quatre ! en boycottant, mais de faire bloc en y allant, en s’exprimant, en parlant et en assurant ce pays de tout son soutien.
Et regarder en face que la posture d’Israël face aux Palestiniens, chez elle, pose des problèmes d’éthique gravissime.
« » lettre terrible, signé de Michael, le plus équilibré de leur descendance (billet)
Le plus équilibré, et l’équilibre mesuré à quelle aune ?
Celle-ci pâtit sans doute d’un déséquilibre, aussi, à ce compte-là.
» sa préférée »
« Aventure. Sur la Baltique, dans le sillage d’Elisabeth Mann Borgese »
Sept, c’est moins de quarante.
Et sept fois sept quarante neuf.
Croisé mon ami Pierre hier à qui g présenté ma maman (et sa compagne). Il était tout tourneboulé par Pasolini.
Ma maman se réveille. Je la ramène dans son EHPAD, rencontré mon avocate, pas vue depuis cinq mois, le temps d’émerger haut et fort de la dépression avec mes petits bras puissants.
Avons regardé Appels d’urgence hier au soir, en parlant.
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