Trois femmes remarquables
Au fond, elles sont bien plus que trois, ces femmes remarquables. Disons six puisqu’il s’agit autant des trois auteurs des trois livres sur lesquels j’aimerais jeter un peu de lumière de ces dernières lueurs d’été qui s’attardent, que de leurs trois héroïnes. Des personnes ordinaires qui vivent des situations ordinaires mais que la littérature métamorphose et transcende en personnages extraordinaires.
Celle d’Isabelle Desesquelles dans Les hommes meurent les femmes vieillissent (224 pages, 18 euros, Belfond – le titre est inspiré d’On ne badine pas avec l’amour, la réplique de Perdican, II, 5) s’appelle Alice. Qu’importe son identité dans la vraie vie puisqu’elle existe, à Toulouse, où elle tient son institut de beauté. Pour nous, elle restera cette Alice de fiction en son Alice’s Institute sur un air d’Arlo Guthrie pour son Alice’s Restaurant – du moins est-ce ainsi que je me la suis appropriée. Chez elle aussi, on peut obtenir tout ce qu’on veut mais dans l’ordre de l’humain. Vingt ans qu’elle caresse, tripote, malaxe, pétrit des chairs. Alice masse des corps à « L’Eden ». Elle a tout entendu, tout écouté, tout conservé. Incroyable ce que des femmes peuvent se livrer dans ces moments-là. De véritables confessions, intimes le plus souvent, démentant l’adage selon lequel on se confie plus volontiers à quelqu’un que l’on est assuré de ne jamais revoir – un chauffeur de taxi par exemple. Peut-être l’esthétique y encourage-t-elle puisque l’on va dans ses salons aussi pour oublier ce que la vie a d’inesthétique. Alice tient ses fiches sur ses clientes. Chacune est une histoire. Conservatrice de leurs aveux, Alice agit comme un révélateur dans la chambre noire. Elle se demande pourquoi elles acceptent ces vies avec des hommes lâches, pingres, petits. Elles se disent « vaccinées des hommes ». Comme si c’était une maladie. La violence est dans la vérité crue. C’est un roman plus profond qu’il n’y paraît – les femmes n’y sont-elles pas traitées en surface ? Alice pourrait mettre un mot de Victor Hugo en lettres de néon dans sa boutique : « La forme, c’est le fond qui remonte à la surface ». En 90 minutes, elle fait plus de bien à une femme que son mari en trente ans.
Ce roman choral sur la féminité et la transmission a su trouver la bonne distance. Il est beaucoup plus intense que le film Vénus Beauté (Institut) auquel on pensera illico. Le regard de l’auteur est à vif, provoquant, puissant et bien orchestré dans les différents registres de voix. Les hommes n’en sortent pas grandis, mais les femmes non plus, à commencer par toutes celles qui mettent la paupière dans l’engrenage de la chirurgie plastique, car c’est tout sauf complaisant. Certains monologues du vagin sont saisissants. Lili par exemple, qui aime la vie même si ce n’est pas toujours réciproque, doyenne des cougars à 83 ans, qui exige de son amant un cunnilingus matin et soir, se fait enlever les peaux mortes mais si ça n’enlève pas les mauvais souvenirs. Ou Clarisse, la cinquantaine, bouleversée à la seule écoute de Viens m’embrasser de Julio Iglesias, qui rêve de faire chambre à part tant elle ressent le fil de fer barbelé au milieu du lit conjugal, mais qui échangerait tous les amants contre un massage avec Alice. Et d’autres encore, que des femmes car les hommes sont rares et gays à L’Eden. A la fin du livre, on se surprend à changer de musique intérieure. Et à la voix d’Arlo Guthrie se substitue celle, nostalgique et attachante à souhait, de Barbara Streisand chantant la bande originale de Nos plus belles années parce que « that’s the Way we were… »
Il y a deux ans, Petite table, sois mise ! (Verdier) m’avait enthousiasmé. Incestueux et érotique en diable, le tout en famille, exquis dans la transgression et savoureux dans l’audace, ce petit livre révélait le feu sous la glace chez cet auteur. Cette fois, avec Dialogue d’été (150 pages, 15 euros, Mercure de France) de la même Anne Serre, nous assistons à une conversation (tout le livre est un dialogue) entre un écrivain, double de l’auteur, et son interlocuteur. Un sujet : les personnages. Sylvain Germain en avait fait autant jadis à la demande de J.B. Pontalis dans Les personnages, justement. D’où lui viennent-ils ? comment naissent-ils ? de quoi sont-ils fait ? Anne Serre nous entraîne dans l’atelier de l’écrivain, mais avec le sourire, dans la légèreté. Tout sauf une prise de tête. Elle parle de la distraction et de la concentration. De l’imprégnation plus que de l’inspiration. De la capacité à se construire un roman intérieur en imaginant d’autres vies que la sienne. De l’empathie sans laquelle il n’y a pas de romancier. Et elle touche à ce point sensible : puisqu’il y a souvent un lecteur avide et abondant chez un écrivain, que ne se contente-t-il de lire ? Pourquoi ne pas se contenter de s’allonger dans un roman ? Sauf que cela ne marche pas : « je veux savoir ce qu’il y a derrière la porte ». Ainsi passe-t-on d’un état à l’autre.
Avec le temps, en une poignée de livres, Anne Serre s’est construit sa famille de papier qu’elle appelle « ma troupe ». Ses personnages l’accompagnent. Elle se sent si bien avec eux que même dans lorsqu’elle revient de l’autre côté de la vie et qu’elle se trouve parmi des personnes, elle se comporte avec elles comme si elles étaient des personnages ; elle ne peut s’empêcher de les scruter, d’interroger leur intimité et de déchiffrer le la de leur présence. Un son semblable à nulle autre. C’est quelqu’un d’étrange, une romancière :
« Je n’ai jamais pu aimer vraiment au grand jour, et je ne m’en plains pas car je ne peux me concevoir aimant que dans la nuit et le mensonge ».
Elle aime sa solitude, sa mise à l’écart, son esseulement dans la fréquentation des lacs italiens, tout en demeurant mariée ; elle les préserve, convaincue que de toute façon, les femmes ne veulent plus vivre à plein temps avec les hommes. Impossible d’être ensemble tout le temps, c’est tuant :
« Elle a besoin de respirer, de déplier ses membres, de ne pas parler. Elle a besoin d’attendre aussi. Et s’il est là tout le temps, tous les soirs ou à peu près, elle n’a plus rien à attendre ».
Bizarre tout de même, se dit-elle que les hommes ne comprennent pas que ce que l’on attend d’eux, ce ne sont pas des cadeaux mais « une alliance dans la conversation » et qu’ « ils parlent avec nous comme on danse ». N’allez pas l’imaginer blasée ou revenue de tout, au contraire. Dans sa fraîcheur d’âme, elle confesse avoir fait tardivement une découverte qui l’a remuée à l’égal d’un chagrin d’amour : l’amour feint, l’affection jouée. Idéaliste ? Mais alors de la naïveté d’une belle personne qui vit dans un monde parallèle, jamais pressée de repasser de l’autre côté du miroir.
Anne Serre se dévoile comme une femme prête à tout sauf à se laisser aller à écouter une musique qui lui fendrait l’âme, qui lui donnerait envie de faire l’amour sauvagement dans l’instant, de renouer avec son feu intérieur inapaisé, d’obéir aux injonctions de ses émotions, de peur de ne pas en sortir. Cet être de fiction qu’elle poursuivait de livre en livre, elle l’a trouvé : c’est elle.
Enfin, la dernière de ses trois femmes remarquables, c’est Hélène Cixous et sa mère. Elle est restée à ses côtés lorsqu’elle était mal, puis malade, enfin agonisante. Elle a tout noté tout, et elle dit tout de leur amour, pour tenter de mieux comprendre leur relation. Durant des mois, elle a entendu sa mère, Eve Cixous, née Klein en 1910 en Allemagne, pays fui dès les premiers discours de l’autre, sage-femme de son état, lui lancer sa mélopée du matin au soir « aidemoiaidemoiaidemoi » ; pas une demande mais un gouffre, un cri sans fin ; ce qui lui fait l’effet de la brève (soixante-sept vers, six minutes) tempête de The Tempest de Shakespeare où tout n’est que cris, rafales, adieux : « All lost !… We split ! We split ! » ; mais lorsqu’elle lui demande ce qu’elle peut faire pour elle, sa mère répond simplement : « Rien ». Homère est morte… (223 pages, 26 euros, Galilée), récit bouleversant dénué de pathos, car l’auteur est trop décente et pudique pour verser dans ce travers, est la mosaïque incertaine de ces riens. Cette lecture laisse sans voix.
Le livre est signé sur la couverture du nom d’Hélène Cixous mais le texte l’est in fine par la mère et la fille. Quand on connaît l’auteur, son parcours d’intellectuelle féministe, ses textes théoriques sur la littérature, ses recherches sur James Joyce ou sur le mythe de Méduse, son compagnonnage avec le théâtre du Soleil, son rapport à l’Algérie et puis ces jours à forte personnalité qui ressemblent à des sous-chapitres de L’Odyssée, on en retrouve les échos assourdis au fil des pages ; mais même si l’on ignore tout de son passé, on est touché. Construit en quelque sorte par la mère qui l’a « écrit », il est déconstruit par la fille. On est avec elles chez le dermatologue, prenant conscience des mutations d’un visage désormais hérissé de kératites ; on envisage le spectre de l’extension des escarres comme autant de cyclopes menaçants ; on est avec la fille quand, dans la moelle de son âme, hantée par les sentiments filiaux d’un parricide, s’inscrit la pensée lancinante de donner la mort à la mère à la tête intacte mais au corps rongé, qu’il faut trainer lamentablement vers les cabinets avant l’inondation. Eve n’a plus qu’une peur : s’en aller dans son sommeil, en l’absence de sa fille, laquelle a désormais une vision du lit de Gregor Samsa chaque fois qu’elle entend l’expression « lit médicalisé » et se met à rêver du déterrement de son père.
La mère s’affaiblit. Entre deux « aidemoiaidemoiaidemoi », l’allemand de sa naissance lui revient ; elle retrouve « son gazouillement de grive impérative » pour lancer comme autrefois à sa petite fille « Halt’ dich grade ! ». A 99 ans, rejoignant « sans mot dire le monde des animaux sans défense », la mère veut devenir l’enfant de sa fille, laquelle accepte en se tenant bien droite de recevoir sa maternité de ses mains. A la fin, elle n’arrive plus à la quitter. Elle voudrait tant que les restes de maman restent avec elle. Mais comment prononcer encore « maman » sans timidité maintenant que le mot est devenu orphelin ?
(« Polly Magoo » photo D.R; « Isabelle Desesquelles photo Mantovant ; « Anne Serre » photo Olivier Roller ; « Hélène Cixous » photo Léa Crespi)
1 026 Réponses pour Trois femmes remarquables
Une expérience généralisable. Une donnée anthropologique même.
abdelkaka ne sait même pas que « aube » vient de « alba »…
j’ai le latin des jardiniers…le latin le plus beau qui soit, celui qui est compris par tous ceux qui aiment les fleurs…pov’type…z’etes la a parler de femmes, et de je ne sais quoi encore dont vous savez que dalle…shut the fuck up and go to bed! dickhead!
Plus je me connais, plus je suis incapable de comprendre la femme, qui s’éloigne de Moi à une vitesse vertigineuse.
Alba et le mythe de l’androgyne…!
( Je suis homme et femme, comme un aimant.)
abdelkaka a glissé dans son kaka…
Acceptez donc la femme qui est en vous, Alba!
…
…bonne nuit,!…
…
…les femmes déjà, trop manipulées malgré elles!…pour le rendement, l’air de rien,!…
…
…et, en manque de point de repères pour se différencier les hommes entre-eux,!…,etc,!…
…
…de la brouille entre les poussins d’avec les hommes omelettes aux lardons,…etc,!…
…
Ah ! mais aucun problème à ce sujet. La femme en moi existe belle et bonne…
Mais cela ne change rien à l’affaire.
Plus je me connais, plus je m’éloigne de Moi.
Qu’il y ait en Moi une femme ou pas. C’est idem.
Acceptez donc la femme qui est en vous, Alba!
Car elle est remarquable!
Une amie intime m’a dit justement un jour à ce propos que la femme en moi était magnifique. Je l’ai pris pour un compliment. Mais en même temps, cela m’a confirmé l’idée que la femme est totalement incompréhensible à l’homme.
La femme, en l’homme, c’est évidemment son inconscient. J’ai une relation très intime avec mon inconscient, avec mon fantôme d’Auschwitz. Je vis avec lui/elle, ma grand-mère morte à Auschwitz. Donc, je sais de quoi je parle. Mon Fantôme est mon Ange.
Lire à ce propos, L’Ange et le Fantôme, Minuit.
belle et bonne…
Belle et bien, plutôt,non?
« bonne » fait évaluation fessière.
Dominique nique nique, il faut évoluer et comprendre quand votre partenaire fait des jeux de mots, sinon, biznique la nique…
Vous n’acceptez en rien la part féminine qui est en vous Alba, rien que par le fait de l’ assimiler au corps atrocement mort de votre grand-mère.
Vous l’estimez « bonne » comme un gros tas de gras, vous la déniez, lourde à porter, immangeable..
Découvrons ensemble Walter H. Sokel, avant d’aller se coucher, mes biches :
« Caractéristique de la technique narrative expressionniste et à effet de distanciation chez Kafka est la divergence entre la volonté consciente et la tendance intérieure et inconsciente du personnage principal à être le point focal de l’histoire racontée. Cette tendance intérieure et inavouée croise la volonté consciente du personnage principal et se montre plus forte et plus réelle. Pourtant, le personnage n’est jamais conscient de cette tendance intérieure irrépressible. Elle agit dans le récit sans être expliquée, et apparaît comme étrange, énigmatique, comme ce qui relève d’un destin qui vient fondre sur le héros de l’extérieur. »
(W. H. Sokel, Franz Kafka, Tragique et Ironie)
immangeable..
Prenez-la, cette part féminine, mangez-la ceci est votre corps!
Non, je joue avec mon drame intérieur, signe d’une bonne santé mentale. Vous avez tout faux.
Vous pouvez toujours mettre des gros livres entre vous-même Alba, ils n’ont que l’épaisseur d’un papier à cigarette!
Vous en aspirez que la fumée.
Là, vous avez tout à fait raison. Sauf que je ne fume plus depuis longtemps…!
je joue avec mon drame intérieur
Vous en êtes le jouet plutôt.
Sinon ce ne serait pas un drame.
Je dis il soulève un lièvre là votre Buffalo
Chacun ses réseaux, l’obtus
« Widergänger dit: 16 septembre 2014 à 23 h 05 min »,
WGG, votre culture fromagère sous votre prépuce mal circoncit, va-t-elle bien ??? ?? ?.
« Widergänger dit: 16 septembre 2014 à 23 h 56 min
Je ne sais pas comment le dire autrement. »
Pas difficile, prenez une douche !.
Les deux autres sont des livres de femmes, c’est-à-dire des livres complètement incompréhensibles pour un homme quelle que soit sa bonne volonté. WDG
Consternant! Je suggère que soit masqué le nom de l’auteur sur chaque exemplaire, une lecture à l’aveugle devrait ou pas corroborer cette impression d’incommunicabilité entre les deux sexes majoritaires.
Vous en êtes le jouet plutôt.
Sinon ce ne serait pas un drame.
A moins d’un théâtre (jouer le jeu du drame, le je du drame jusqu’à je veux du drame) , un sujet ne peut conjointement dans la même phrase prendre la place du complément ou de l’attribut et inversement, à moins d’une réclusion à perpétuité en solitaire dans un espace forclos ou bien ouvert délimité par un océan, un désert absolument dénué d’oasis, une crevasse aux parois infranchissables où par mégarde où vous vous seriez égaré, une campagne dévastée par on ne sait quel phénomène qui serait parvenu à effacer de façon définitive toutes formes de vie autres que la vôtre en proie au doute additionné du drame qui se joue de vous sans votre assentiment et sans possible secours.
l’avoir vue ici il y’a quelques années avec Derrida
C’était au moins il y a dix ans, Jacques Derrida est mort le 8 octobre 2004 des suites d’un cancer du pancréas, il est vrai que le nom d’Hélène Cixoux l’accompagna de façon régulière, une longue amitié et un compagnonnage intellectuel.
abdelkaka a glissé dans son kaka…
WGG les règles n’imposent-elles pas d’orthographier « caca »? A un K près et vous tombez dans le bien nommé parti des plus racistes d’entre tous.
Ricardo trop tard pour l’oreille absolue, je vous imagine d’un âge avancé sur les chemins de la vie l’œil vif le cheveu en bataille (avec qui quoi reste un mystère que sans doute vous éclaircirez), une personne m’a affirmé il y a peu que cette oreille bénie ne servait qu’à entendre des sons, bruits qui n’existaient que pour elle, comprendre que ceux qui en sont les bénéficiaires si on se réfère à l’ensemble des malentendants à l’ouïe « normale » sont victimes de phénomènes hallucinatoires. La santé et la norme en données relatives.
Un matin pluvieux d’octobre 86, mon copain P., en retard pour retrouver ses terminales, dut piler net devant deux copines qui traversaient à la hâte la rue Daguerre non encore piétonne. Un réflexe défaillant aurait privé ce monde’at one fell swoop’ et d’Ariane Mnouchkine et d’Hélène Cixous. Béni soit l’ami P.
« La France éternelle, guerrière tombée dans la romance littéraire et politique, ne peut s’en sortir qu’après un coup d’Etat militaire mettant fin au ridicule des deux chambres peuplées de corrompus avinés, bedonnants et incompétents. Expulsion au faciès des étrangers, procession chrétiennes dans les rues chaque jour que Dieu fait, chasse aux invertis le dimanche après-midi si le temps le permet, déportations des parisiens en province, destruction des lieux infidèles, camps de travaux forcés pour les députés et sénateurs, ça les changera, mise en pratique des éléments amoureux de Charles Fourier, les moches vont être contents, libération de la Belgique, la Hollande, le Luxembourg, Monaco, Andorre, l’Espagne et le Piémont, invasion des champs pétroliers du MO en compagnie de nos alliés fidèles, ils nous narguent depuis trop longtemps, les couscoussiers au double jeu ! »
Comment peut-on envisager de lire le BLAVIER, sans le posséder au creux de sa bibliothèque, feuilletable à tout instant … Dac ?
monde’at one fell swoop’
Pardonnez ma défaillance qui ne me conduit pas jusqu’à la traduction de votre élégante utilisation d’un idiolecte d’origine étrangère, si vous possédiez l’obligeance de vous rendre accessible au plus grand nombre
A soixante, on est plus autre chose qu’amoureux
Bref en (a)version actuelle:
qui rêve de faire chambre à part tant elle ressent le fil de fer barbelé au milieu du lit conjugal
Et si l’amour prenait trop de place dans l’espace de cette vie à quoi on tient dur comme fer, le loisir d’une retraite sera employé à enfin découvrir ce qui emprisonné par tant de sentiments manquait au vol du planeur pour qu’enfin des plans immenses s’ouvrent à nos sens.
La charge contre mémé au départ
Faire l’amour, c’est faire le con. Ne gaspillez pas votre énergie avec le sexe…
Un petit tout à l’institut, ce matin.
Je ressors sans avoir compris ce que ce livre va faire de bien aux hommes qui connaissent déjà « le Bain turc »
Merci pour la viste.
La vidéo de Desjournées montre une Isabelle Desesquelles plus vraie que l’illustration surléchée proposée par ce vil flatteur de Passou : Isabelle a une gueule de lanceur de javelot finlandais déguisé en fille… atroce !
Oh,oh, Isabelle a une grande bouche et bien belle!
Widergänger dit: 17 septembre 2014 à 0 h 27 min
abdelkaka a glissé dans son kaka…
pauvre wg devenu légume
Il y a l’homme, il y a la femme mais il y a aussi l’homme-femme, tout aussi capable de comprendre Flaubert et Kafka de l’intérieur, ML. Tout comme en matière de préférence sexuelle il existe aussi des bisexuels.
Curieux cette manière de réunir (sortir du lot des livres de la rentrée) trois auteures aussi dissemblables au seul prétexte qu’elles sont femmes, Passou !
Widergänger (16 septembre 2014 à 23 h 36 min)
« L’homme vient de la terre, de la boue, la femme vient de l’os. Ils ne viennent pas du même monde. Du tout. La femme est un os pour l’homme, un os à ronger faisant de lui son chien. »
Trop poétique ça fait chialer
franz dit: 17 septembre 2014 à 9 h 10 min
Abdelkaka a glissé dans son kaka.
Le train sifflera trois fois.
La concierge est dans l’escalier.
Amène ta moule, j’ai la frite.
Le changement, c’est maintenant.
Franz, autant en emporte votre vent de 9h10 !
Bertrand Latour est un sacré bon écrivain, et il est tellement de droite qu’il trouve que Sarkozy est un mou. (!)
Ses dieux sont Bukowski et Djian (évidemment) ; fils de bourgeois, réfractaire à l’école, il n’a de cesse que de réussir, à marche forcée. Il s’est enfermé dans la plus grande solitude pour apprendre à écrire ; il a pratiqué des « petits boulots », dont « chauffeur de limousine », où il côtoyait des gens riches et célébrissimes, et dont il a tiré la matière de son premier gros succès ; mais fondamentalement, il voudrait faire partie de ces gens qui ont « réussi » , et je suis bien sûre qu’il va y arriver.
Il est doué, ambitieux, égoïste, avec une revanche à prendre ; il n’écrit pas pour partager de l’émotion, ni pour être témoin de son temps, ni pour se prouver quelque chose à lui-même, ni pour consoler sa mort ; mais, magie de la littérature, son entreprise nous et lui procure cependant tout cela à la fois…
Hé Bé Bennamou, debout !
Jacques, Mimi comme moi est abstinent, nous sommes sexuellement en attente de la femme idéale afin de nous reproduire. Des Mimi et des Dédé pour faire de la France, un pays de haut niveau psychiatrique.
Moi aussi, je suis abstinent !
(quand on voit les thons trafiqués qu’on nous propose … uhuhuhu !)
Jacques, elles ont un point commun, ces trois femmes : leur écriture est clairement féminine. Je sais que vous refusez ce concept, d’écriture « féminine », mais pourtant je n’en vois pas d’autre pour qualifier cette littérature-là. Et notre hôte se rattrape (lui qui est plutôt chiche en la matière) en appréciant si fort, si bien et si justement, en un mot si « remarquablement », les livres issus de ces mains-là.
Une seul conseil, D., unissez-vous à Mimi et, surtout, abstenez-vous de vous reproduire !
Comment faire confiance à Passou à ce point ! Quelle naïveté ! Je suis certain que ces trois bouquins « féminins » sont à chier …
« en appréciant si fort, si bien et si justement, en un mot si « remarquablement », les livres issus de ces mains-là. »
Un rien condescendant cependant, Clopine. Je n’ai pas le goût du ghetto ni d’un quelconque communautarisme. Quand les hommes écrivains seront minoritaires, il me semble qu’ils le sont déjà, les critiques les regrouperont-ils par genre dans leurs articles ?
Tu n’avais pas annoncé ton départ définitif, JC ?
Vous connaissez le second prénom de Passou ? Non ? Et bien mais c’est Niccolò … Et oui ! comme Niccolò di Bernardo dei Machiavegli.
Pierre Niccolò Assouline est le Machiavel de la littérature.
leur écriture est clairement féminine.
Troublant, non?
Quant à la prédestination du nom, évoquée par l’Aube blanche cette nuit, que dire de Isabelle Desesquelles ?
Une écriture perturbée par les conséquences de la chirurgie esthétique ?
Et Anne Serre ?
A lire dans un jardin d’hiver ?
Mais que dire alors pour les noms propres, tel que le mien, qui ne se traduisent pas en noms communs ?
Ben, Jacques, je milite pour l’égalité entre les sexes, le libre choix de sa sexualité, mais il me semblerait réducteur de vouloir abolir les différences. Ce serait même dommage, à mon sens.
Quand j’étais petite fille, je voulais, comme tant d’entre nous, être un garçon. La lecture du « club des cinq » me confortait dans ce projet : comme la petite Annie était fade, et comme la garçonne Claude était attirante… C’est la prise de conscience politique qui m’a fait changer d’avis – et me fait revendiquer, comme Cixous, l’égalité mais également la différence fondamentale ; et le respect de cette dernière passe par une calme affirmation de soi. Enfin il me semble…
mais, Jacques Barozzi, JC n’était jamais parti, seulement dissimulé sous divers pseudos reconnaissables à la con, feintes minables
Rien ne me ressemble plus qu’une hécatombe sur la terre
Pulcinella d’amore….. dit: 17 septembre 2014 à 9 h 22 min
Votre commentaire est un roman à lui tout seul mais trop court quelle merveille c’est du jc tout crâché (devriez développer pour éduquer moderne quoi)
Ta gueule, raclure de brève !
Jacques Barozzi 17 septembre 2014 à 9 h 52 min
Tu n’avais pas annoncé ton départ définitif, JC ?
il est payé pour faire ichier scotché 24h sur 24 à son écran dans sa cellule de HP (on lui laisse l’ordinateurpendant ce temps il ne mord pas littéralement)
Jacques Barozzi dit: 17 septembre 2014 à 9 h 58 min
Mais que dire alors pour les noms propres, tel que le mien, qui ne se traduisent pas en noms communs ?
Ben si : concierge.
Monsieur Barozzi,
le camarade JC est mort : nous sommes un collectif de fascistes humanistes qui tentons d’éterniser sa pensée … en particulier contre ces connes de féministes sectaires !
JC….. dit: 17 septembre 2014 à 10 h 04 min
Ta gueule, raclure de brève !
Sans personnalité, l’invertébré de pq il plagie boug (boug va demander des droits d’auteur) un de ses maîtres (les forts en gueule impressionnent les mollusques) –
euh, Jacques, ne vous fâchez pas hein, mais votre nom me renvoie toujours à l’image de… bas résille… alors que, ça se trouve, vous n’en avez jamais portés (sourire !)
« C’est la prise de conscience politique »
Clo-Clo
Wwwwwwooooouuuuuuuuaaaaaaarrrrrrrrrrfffffff !
Le concierge est aussi appelé l’homme aux clés d’or dans les bonnes maisons, mon beau troll dont le nom se traduit sûrement par Corbeau ?
Ta gueule, Emile !
Tu ne vois pas qu’on cause « littérature féminine », espèce de bolo jetable !?
Littérature féminine « de qualité »… De qualité ! puisqu’on te le dit … Pure truie.
Concierge en bas résille,
voilà Jacky habillé pour l’hiver.
Mon nom doit se prononcer à l’italienne, Clopine, rien de moins trivial. Vous ne corrigez pas l’erreur sur votre blog ? Une faute d’orthographe est moins grave que la déformation d’un nom propre, qui est de l’ordre de l’impolitesse !
Jacques Barozzi dit: 17 septembre 2014 à 10 h 11 min
le nom se traduit sûrement par Corbeau ?
Tu écris « Corbeau » et tu penses « Corps beau »,
je suis ton fantasme ma concierge.
Zergüt,
Vous n’aurait qu’un geste à faire quand vous penserez « là je sens que je vais me marrer »
All appolo.
Pour les femmelettes, quel est le nom d’un peintre suisse?
Jacques, je vous promets de corriger l’erreur, mais depuis deux jours je n’arrive plus à me connecter à mon blog. Ca arrive de temps en temps. Pourtant, je voulais mettre en ligne l’article de Paris-Normandie, paru aujourd’hui, mais que pouic !
Perso, mon nom de famille réel renvoie juste à un probable ancêtre « enfant trouvé » : en effet, les patronymes qui prennent la forme de prénom viennent de là : les bonnes soeurs qui recueillaient les bébés « mis au tour » ou simplement abandonnés leur attribuaient souvent le nom du saint du jour. Je ne connais pas la gloire d’un patronyme significatif.
Techniquement, j’ai pas pu en placer une depuis le dernier Tarantino
Certains se prennent le pied dans la « conscience politique », comme d’autres ivrognes dans le tapis.
Contente pour vous d’avoir déclenché votre hilarité, mais franchement, je ne comprends pas ce qui la cause : le féminisme est une prise de conscience politique, c’est bien pour cela qu’il n’est pas réservé aux seules femmes, dieu merci…
6 h 32
—
ozone, panzer, aficionado, bronca, féria, flamenco, weekend, djihad, hasard, hit parade, bretzel, diktat, ersatz, building, caddie, cafétéria, cardigan, charter, chewing-gum, chips, cross-country, cyclo-cross,drible…
« With Mnouchkine, Cixous traveled to Cambodia to study a group of people that had been disinherited by their neighbors. Cixous’s and Mnouchkine’s play L’histoire terrible mais inachevée de Norodom Sihanouk roi du Cambodge (The Terrible but Unfinished Story of Norodom Sihanouk, King of Cambodia), performed in 1984, is the story of a people that had lived in happiness and who paid for their innocence with their lives(…) ».
Ce matin, elle regrette qu’un horaire surchargé l’empêche de lire (aucune nouvelle du roman de Joy qu’elle avait pourtant commencé) :
« Avec les cours j’ai même pas le temps de commencer les livres que je veux, ça me pète les couilles. » (Twitter)
Pour l’hilarité, c’est peut etresi je puis risquer une hypothèse, du au récit de l’émergence de ce féminisme à travers la lecture du Club des Cinq. Un peu comme si l’on devenait Derridien après une lecture de Oui-Oui à la plage…
MC
(Souvenir de la Tétralogie de Cixous comme d’un spectacle qu’on infligerait pas à son pire ennemi…)
Peu de noms « propres » échappent à une « traduction ».
Si ce n’est en noms communs, ce sera en adjectifs.
Qualificatifs ou attributs, la modestie empêche parfois
d’en tirer quelque satisfaction.
Il est rare en fait, sauf au départ, que le nom doive plus
à son porteur que ce dernier à son nom.
Abnominablement
Il arrive que j’arrache un mouash, mouash, mais c’est le argh qui est la visée.
Téléscopiquement, polémikoeur
Court,
Le hasard fait parfois bien les choses. Derridien après la lecture de Oui-oui ? Hollandais après les pantalonnades sarkozyennes ? Pourquoi pas, après tout ? Je suis bien devenu bouddhiste après une nuit agitée, passée avec une bonzesse de toute beauté.
« le féminisme est une prise de conscience politique »
Le féminisme est une volonté de communautarisme, comme le sionisme, l’islamisme, l’hindouisme, le brayonnisme, le proustisme, le..,…… et le crétinisme.
Il est de mon ressort de le faire taire
Il est de mon assise de l’encadrer
« par une calme affirmation de soi » Clopine
Toute la note féministe de l’expression vient de l’horrible mot « calme ». Un calme presque bourgeois, assis sur ses certitudes, des certitudes souvent ineptes comme celles des bigotes (le féminisme à ses bigotes, avec lesquelles on ne rigole pas, mais alors pas du tout !).
…
…il nous manque Niki de Saint-Phale,…en lecture,!…et ses secrets en famille,!…les plus courants,!…
…
…déjà, très jeune, moins de dix ans, le bain entre garçons et filles,…
…mais,!…en plus gymnastique par ailleurs, en d’autres circonstances à deux par deux,…
…l’interdit nous interroge,!…
…même,!…pourquoi, avec une telle,!…je restait déjà trop émus et de peurs inexplicables,…
…alors que les autres me laissaient sans » réactions « ,…Oui,!…trop bizarre,!…enfin, c’est passé,!…et forcé de laisser tomber,…ce mystère,!…
…
…retrouvons nos préférés sur papier kraft,!…
…comme quoi,!…
…une femme n’est pas une autre femme,!…le psy’s n »y est pour rien,…
…
Ignoble
Gondrysme
Retribué
Extasyvement
Allez faire comprendre à une adepte du « féminisme à la con » qu’elle fait du « machisme sans couilles » …!
dégagez et dégazer vite, JC l’insupportable que tout le monde déteste (ce qui doit le faire jouir)
Bosse, mais pas là. Fais, mais pas ici.
Soupirs… (je crois)
Court, êtes-vous vraiment stupide ou faites-vous semblant ?
…
Quand on est une petite fille, on apprend « naturellement » (rien de moins naturel en réalité, mais bon) à mépriser son propre sexe. Et la littérature enfantine, à mon époque, décalquait tous les préjugés à ce sujet : par exemple, chez Enid Blyton, la seule héroïne intéressante était celle qui reniait absolument sa féminité : elle raccourcissait son prénom de Claudine en Claude, elle avait les cheveux coupés court et des manières garçonnières. Et moi, comme toutes les petites filles, je voulais m’identifier à elle (l’autre fille, Annie, « féminine », elle, était d’une fadeur ahurissante, et elle dépendait entièrement de ses frères).
De plus, ma mère pratiquait un dimorphisme éducatif d’une telle rigueur que je n’ai, durant toutes mon enfance, jamais planté un clou, pendant qu’aucun de mes frères n’a jamais lavé une assiette…
La prise de conscience féministe a bel et bien été politique : la lecture de Beauvoir à 15 ans, celle de Woolf à 20, puis les féministes américaines comme Kate Millet ou Friedman, et aussi les différentes féministes françaises comme Halimi, Adler, Victoria Thérame (et je mets aussi Elisabeth Badinter dedans), la lutte pour la légalisation de l’avortement, l’engagement dans un groupe femmes, la participation à un café femmes qui s’appelait « Adèle Blanc-sec », les discussions et les dérives, les manifestations pour le droit de circuler dans la rue, même la nuit (l’affiche était magnifique, elle représentait une femme bras tendu, portant un croissant de lune, et disait sobrement : la rue la nuit femmes sans peur) : non, mon engagement ne provenait pas de la lecture du club des cinq, mais de ma volonté de ne pas subir la phallocratie dont vous êtes, sans même vous en apercevoir, un splendide représentant.
Amusante, votre théorie, ML :
« C’est pareil chez les écrivains et chez les lecteurs.
Il y a deux sortes d’écrivains et deux sortes de lecteurs, qui sont étrangers les uns aux autres.
Il y a les écrivains qui sont du côté du père et les écrivains qui sont du côté de la mère.
Kafka, Pascal, Flaubert sont des écrivains qui sont du côté du père, de l’homme.
Stendhal, Simenon sont des écrivains qui sont du côté de la mère, de la femme.
Qui comprend Stendhal de l’intérieur ne comprendra jamais rien à Pascal, Kafka ou Flaubert. Quels que soient ses efforts. Ce n’est pas intellectuel, c’est métaphysique. Une incapacité métaphysique à comprendre. Et réciproquement. »
Je serais plutôt comme vous, je n’ai jamais adhéré à Stendhal (Julien Sorel va t-il saisir la main de madame de Rênal !). Mais en revanche, je goûte Simenon. Et bien sûr Pascal, Kafka et Flaubert. Quoique séduisante, cette hypothèse ne tient pas la route, notamment avec la poésie. De quel côté placez-vous Baudelaire, Rimbaud et Verlaine ? Plutôt de celui de la mère et de la femme ? Et pourtant, du moins pour Baudelaire, il semble que vous l’appréciez de l’intérieur !
Prochaine étape pour l’abruti au long cours « brève » : gazer l’aimable, le doux, le tendre JC, bouddhiste, comme un vulgaire sémite !
Brève ! Sale raclure naziforme…
brève dit: 17 septembre 2014 à 11 h 14 min
dégagez et dégazer vite, JC l’insupportable que tout le monde déteste
Ben non, il est sympa JC, outrancier parfois, mais est-ce un vrai défaut.
C’est comme bouguereau, un mec avec qui on peut boire une bière sans se faire chier.
Pas comme ………. et…..
Court, êtes-vous stupide ?… la réponse est dans la question
Le signe du phœnix à 3:03 : )
Clopine Trouillefou dit: 17 septembre 2014 à 11 h 16 min
Mélanger la légalisation de l’avortement et la participation à un café de femmes !
Conscience politique elle appelle ça.
Mindieu.
JC, vraiment malade, en phase terminale le pauvre
« non, mon engagement ne provenait pas de la lecture du club des cinq, mais de ma volonté de ne pas subir la phallocratie… »
Le résultat est le même : quel échec !
Plus classiquement
https://www.youtube.com/watch?v=OwySKkyZ2xo
Non, bien sûr
Ce n’était pas « un café de femmes », mais un café femmes ; et nous avons gagné. Nous avons bousculé les préjugés, à tel point que les reportages des années 70 et leur machisme primaire semblent désormais appartenir à la préhistoire. Certes, il reste encore bien du chemin à parcourir, et les victoires féministes sont toujours fragiles. De plus, l’islamisation est une véritable tragédie pour les femmes. Mais enfin, ma génération aura au moins contribué au mouvement général d’émancipation et de conquête de nouveaux droits, et je suis fière d’avoir contribué, dans la mesure des mes forces, à ce combat-là.
…
…Ricardo,…les cinq doigts de la main,!…Ah,!….c’est court,!…pour se protéger des planètes,!…
…etc,!…
Admettons que vous auriez une moustache fine, je vous la raserais.
on va dans un centre de beauté parce que s’épiler seule en faisant fondre la cire dans un micro – ondes c’est un art difficile et qu’on se brûle souvent et on ne va pas partout.
moi j’aime changer d’institut car cela me fait voyager et c’est rigolo, en bas de chez moi il y a un institut polonais les femmes de ménage s’y donnent rendez – vous pour se redonner un peu de dignité, il y a tout sorte d’appareils bizarres qu’on ne voit pas ailleurs, on y boit du jus de bouleau ..
ma préférée est une brésilienne qui vous épile partout avec une cire rose dans laquelle elle trempe uniquement son index, elle a un diplôme d’enseignante qu’elle a passé pour moitié à sao polo pour l’autre ici à bruxelles, elle a beaucoup d’humour ..
il y a aussi une onglerie très marrante où ce sont unique quement de jeunes hommes asiatiques qui à l’aide de fraises et d’appareil à résine font des ongles d’un gout très kay pop pour un prix ridiculement bas, mais le plus exotique est le quartier africain avec ses perruques tout styles et ses onguents capillaires. Les coiffures sont très élaborées de véritables chef – d’oeuvres de patience.
Les bains turcs il n’en manque pas ici, peeling intégral au savon noir, et seau d’eau froide. On entend les conversations des femmes entre elles,
leurs préoccupations.
je ne sais pas si les hommes sont sur un autre mode que les femmes, mais c’est dommage qu’ils ne passent pas si facilement du grave au léger, du rire aux larmes, je les trouve beaucoup moins attachants, très repliés sur leurs habitudes. On ne vit qu’une fois, pourquoi courir en tout sens après des honneurs et des médailles ? Cela me stupéfie toute cette énergie dépensée à se préparer un escabeau pour se déclarer mieux que les autres, vraiment .. vanité.
Clopine Trouillefou dit: 17 septembre 2014 à 11 h 31 min
Je ne sais pas si Clopine a une conscience politique mais elle en a bien le discours (politique)
Une langue de bois superbement peaufinée entre arrières-salles de bistros et salles mal chauffées de la MJC.
Une merveille.
…
…souvent, c’est pas de la vanité,…
…c’est un système,…pour ne pas se faire tondre comme un mouton de ses aspérités trop tôt,…
…
…protéger la famille, la nation, un art corporatiste,!…s’il en est,!…
…rien à voir avec l’escabeau,…des vanités,…
…etc,!…
On ne vit qu’une fois, pourquoi courir en tout sens après des honneurs et des médailles ?
Mais pour séduire les femmes.
J’aimais surtout la rue ; je nous trouvais superbes, nous avancions bras dessus bras dessous, nous défilions rue Jeanne d’Arc, devant le palais de justice où se déroulait le procès d’un des plus sinistres gynécologues de ce temps-là (les femmes qui arrivaient dans son service après une tentative d’avortement ratée étaient curetées sans anesthésie, et c’est arrivé à ma meilleure amie de ce temps-là) : nous étions portées par l’espoir et la solidarité, et nos fous-rires résonnaient plus forts que les remarques des machos qui nous traitaient de « mal-baisées » (miroir mon beau miroir !)
à commencer par toutes celles qui mettent la paupière dans l’engrenage de la chirurgie
et la peau du zob à dracul dans l’engrenage..ouyouyouye
poly magou avé le beau sami..ça c’est de l’engrenage pop à la frankreich..on entend nico pis tout
Un, dos, très
(Souvenir de la Tétralogie de Cixous comme d’un spectacle qu’on infligerait pas à son pire ennemi…)
voyons les chose positivement meusieu courte et disons que c’est à se faire pédé..dans mes bras meusieu courte !
Elles se disent « vaccinées des hommes »
c’est dun gout franchement lassouline..ça fait piqure de rappel pis tout..baaa c’est vulgaire aussi les femmes
C’est ma retraite spirituelle
c’est leur avancée médiatique
après c’est de l’interpolation
j’ai un grand bienfait à vous livrer
je ne jouis pas avec elle
Clopine Trouillefou dit: 17 septembre 2014 à 11 h 54 min
UN défilé rue Jeanne d’Arc.
Quelle conscience féministe !
Les hommes meurent les femmes vieillissent
faux..ça picole ça sniffe ça stresse ça prise de risque autant que les gaziers et voilà..ça vieillit quoi..6mois de plus maintenant?..pas davantage. les femmes c’est à la ramasse de la statistique..les hommes c’est la science sergio..dailleurs on dit raymond la science..pas raymonde..l’onomastique est a des années lumières comme dédé
Oui Giovanni , j’ai compris que c’est un système, qu’il faut rentrer dans les bonnes cases : distributeur de médailles et spécialiste en discours d’introduction c’est un métier .. j’ai dessiné des coupes et des médailles, et fabriqué des prototypes en cire perdue, mais les discours honorables ce n’est pas pour moi, protéger la nation si on y est sensible.. on m’a proposé, de fréquenter les bustes sévères en marbre, même de faire chauffeur secrétaire avec un habit de nestor, je me débrouille très bien pour ce genre de tâches.
Petite table, sois mise ! (Verdier) m’avait enthousiasmé. Incestueux et érotique en diable,
dis voir lassouline..y’avait une toile cirée hin?..haa on lit chez toi à livre ouvert
secrétaire avec un habit de nestor,
escellente idée chantal ! ha je le vois d’ici le mien..t’as des idées?
son esseulement dans la fréquentation des lacs italiens
ha c’est beau..plein de lac et ça se dépeuple des trouducs..enfin!..ha c’est aristocratique lassouline
je veux simplement dire que ma ville semble avoir mauvaise réputation ici parce qu’elle représente les institutions européennes, et qu’il y a des eurocrates déconnectés. Moi j’y vais de temps en temps à la cafétéria des communautés, cela n’a rien de palpitant ni de très luxueux, on y mange pour environ 11 euros ..
l’extension des escarres
fallait oser lassouline..un spectre hante l’europe!
je ne peux me concevoir aimant que dans la nuit et le mensonge
la tête coincée dans le tiroir de la commode?..enfin hon hentend pas bien..bonnap les aminches
…
…@,…chantal,…à 12 h 1O mn,…
…
…c’est pas çà, que je voyais,…vous n’y êtes pas,…
…mais plutôt protéger, déjà en garder les imaginations des autres précédents,!…
…
…du bélier sur l’escabeau,!…le mythe,!…
…
… » Bélier dressé sur ses pattes – Tombes royales d’Ur ( vers 2650 av. J.C. )
…
…j’allait voir ailleurs, si j’y suis,!…etc,!…sans rancunes,!…
…
11h53: J’ai moi-même un escabeau qui sert en cas d’ampoule à changer et c’est à peu près tout, le mobilier avec cette tendance zen propagée à nos intérieurs occidentaux requiert une souplesse qui pour s’entretenir s’y accorde comme la corde à la branche de noisetier qui la transmue en arc.
m’a enthousiasmé incestueux et érotique en diable.
mais pourquoi pas ? ce doit être libérateur que de pouvoir l’écrire quand on a des femmes chez soi .. quand au barbelé invisible dans le lit .. hu hu , même alba fait pâle figure avec son fantôme ..
tweet d’ado pas mâle dans sa peau.
« si ça continue de marcher çakom, je vais ouvrir mon institut : » tout neuf à l’est d’Eden » »
Le mot esthétique est dérivé du grec αίσθησιs signifiant beauté/sensation. L’esthétique définit étymologiquement la science du sensible
http://fr.wikipedia.org/wiki/Esth%C3%A9tique
Bouguereau la nécrose la névrose il n’y a qu’un grand pas qui les sépare que nous franchirons si Dieu ne nous achève pas assez tôt pour escamoter les affres de l’existence finissante dans un système qui lui sera exsangue.
Les ados ont du talent et du bon sens, vous avez raison des journées de vous y mettre :
« Il faut arrêter les délires genre le matin il fait froid et l’après-midi c’est canicule. Je m’habille comment moi ? » (Twitter)
incestueux et érotique en diable
Non mais là le diable est convoqué à chaque élément de langage pour redoubler d’effet en se signalant à la fin au cas où il ne soit pas aisé d’identifier sa signature. Pourquoi ne pas interroger Eros sans l’inceste et couvrir tout ceci d’un chapeau usé jusqu’à la trame.
@ sent’ angello ,oui je comprend mieux, sauver l’immatériel d’une culture, là je vous rejoint.
On en concluera très vite, à contrario, que inesthétique, c’est très masculin.
si c’est pour redoubler l’effet qu’il est placé à la fin le diable d’accord.
quand à la suite .. convoquer Eros sans le tabou, c’est votre envie de l’écrire et de le signaler, je n’en dirais pas plus ..
je n’ai pas envie de tortiller pour des prunes.
« En 90 minutes, elle fait plus de bien à une femme que son mari en trente ans. »
ça aussi, c’est l’art consommé du tripotage, du tripatouillage.
L’art du massage, c’est pas forcément ce qui relève de la caresse.
Penser soins.
la tête à toto dit: 17 septembre 2014 à 12 h 35 min
Les ados ont du talent et du bon sens, vous avez raison des journées de vous y mettre :
« Il faut arrêter les délires genre le matin il fait froid et l’après-midi c’est canicule. Je m’habille comment moi ? » (Twitter)
Va demander à daaphnée
En 90 minutes, elle fait plus de bien à une femme que son mari en trente ans. »
Pfff! nimporte quoi
Par exemple, c’est le premier qui me vient en tête, je pense qu’un écrivain comme Reinhardt va des fois se faire tripatouiller les paupières et le reste, au salon.
Très drôles vos twists d’adolescentes, la tête à toto, mais c’est du réel ou de l’inventé ?
il ne faut pas le croire ce livre, on rencontre beaucoup plus d’hommes qu’on ne le croit qui suivent des cours de massage pour faire plaisir à leur compagne et vice versa .. c’est générationnel. Bon je vous laisse, du courrier, et un ami ce soir.
…
…à 12 h 37 mn,…bien reçu,…je passe à ma table,!…mon diner en cour,!…etc,!…
…
…sur ce, qu’est ce que c’est stupide ces guerres d’endoctrinés d’aujourd’hui,…
…loin du respect de la vie en groupe, faire des enfants pour les immolés nus en guerres entre soumis – abrutis qui s’ignorent,!…contre les supers-puissances,!…et la vie dans tout cela,!…
…
…qu’elles horreurs,!…quels stades intello’s,!…incroyables les cultes à deux Baal,!…etc,!…
…
ça fait beaucoup de crôa, ça, Chantal.
« Très drôles vos twists d’adolescentes, la tête à toto, mais c’est du réel ou de l’inventé ? »
Merci Barozzi, mais c’est évidemment du réel, du véridique parfaitement vérifiable ! C’est ça qui est formidable. Comme est vrai le fait que cette lycéenne a tenté de commencer la lecture de « La Peau de l’ours », qui l’a choquée. Comment ce livre est-il arrivé entre ses mains ? C’est un mystère.
La copine déjantée ne se voit pas encore mère de famille :
« si jamais au grand malheur j’ai des gosses jleur ferais ça et jles ferais chier tout les jours » (Twitter)
Clopine : alors, comme ça, votre ancêtre « trouvé » est né un 11 Juillet !
Merci Barozzi, mais c’est évidemment du réel
..mais du rabache de vieille truie sénile..
..bon baroz remets un peu d’ordre c’est l’bordel ici dèçe..
Bouguereau la nécrose la névrose
assez de slam dauteuil neuilly passy baroz..du hard core!..t’es responsabe!
chantal dit: 17 septembre 2014 à 12 h 54 min
« un ami ce soir. »
Merci d’avance pour le compte-rendu en attendant le roman
En effet un certain nombre de noms en prénoms correspondent à des enfants « trouvés ». Mais c’est très loin d’être systématique. D’une part beaucoup de ces noms viennent simplement de lieux « Chez Laurent, à Laurent, de Laurent etc.. » —> Laurent, « Saint-Julien » –> Julien etc..
A l’inverse, beaucoup d’enfants trouvés ont pris par légalisation le nom de leur famille adoptante, ce qui était fréquent même il y a deux siècles.
Donc attention aux généralisations malheureuses et aux fantasmes existentiels pré-délirants.
Des Journées, 22h 25
Je n’ai pas mis Balzac et Darwin dans la meme phrase, mais ils se côtoient dans la bibliothèque. Laquelle n’est jamais qu’une somme d’apports hétérogènes plus ou moins rationalisés.
Les hasards de l’ordre alphabétique sont souvent cocasses. Ils donnent aussi à réfléchir sur nos gloires. On se souvient d’un rayon CD ou Messiaen était précédé de Massenet et suivi par Meyerbeer! Bel exemple d’œcuménisme et d’humilité musicale.
Bien à vous.
MC
artiste ou artisan ? génie ..
http://www.etudes-litteraires.com/philo/art-et-esthetique.php
curetées sans anesthésie
On est en plein dans l’ ambiance gynécée!
Chantal, n’oubliez pas votre épilation avant ce soir…!( Celle au doigt de rose…)
Ensuite, le coiffeur et vous faire les ongles.
n’y comptez pas trop, ce que j’écris est choral, j’ai 4 soeurs , plus jeunes que moi et une huitaine de nièces ..
toute ressemblance etcet …
Marinière, je n’en ai pas loupé beaucoup, et nos défilés se sont déroulés un peu partout (même à Paris, tenez)
… Je me souviens de celui de la rue Jeanne d’Arc parce que les crs ont chargé, avec gazs lacrymogènes et tout. J’en ai perdu mes godasses et j’ai marché sur du verre de vitrine : j’avais les pieds en sang, et j’ai gardé une cicatrice qui trverse mon talon (d’Achille, donc). Je n’ai pas besoin de madeleine ni de fermer les yeux pour revoir la barre de crs avançant, planqués derrière leurs boucliers transparents ; il me semblait vraiment que c’était les chiens de garde du vieux monde qui tentaient de nous mordre. Et voyez : nous avons gagné…
abdelkader dit: 17 septembre 2014 à 0 h 25 min
des jardiniers
C’est une Chance…
Clopine dit: 17 septembre 2014 à 14 h 15 min
nous avons gagné…
Gagné quoi ?
Le combat est donc terminé !
J’ai chiné ce vendredi.
Trop sotte pour faire une vanne
.
Clopine dit: 17 septembre 2014 à 14 h 15 min
nous avons gagné…
Sur le moment, oui ; quarante ans haprès, même Vichy c’est la libertad…
Vivant denon, on n’abandonnait pas les bébés forcément le jour de leur naissance, vous savez…Mon ancêtre a pu naître n’importe quand. Seule certitude : c’était un garçon !
Bien sûr que non, le combat n’est pas terminé. Reportez-vous à mon premier post là-dessus, et arrêtez de troller comme ça, vous n’avez en réalité rien dit, ni rien à dire !
vous alors, gros babas que vous êtes
Clopine dit: 17 septembre 2014 à 14 h 28 min
vous n’avez en réalité rien dit, ni rien à dire
Et vous ?
Vos défilés !
Vos VICTOIRES !!!!!
ça ou rien,
mieux vaut rien.
le livre d’Hélène Cisoux je ne me sens pas encore de le lire, je me suis occupée de ma vieille tante malade l’an dernier, et ce n’est pas fini d’aller la visiter, cela me ramène à l’époque entre mes 15 et 20 ans où j’ai perdu plusieurs femmes de ma famille, une tombée d’un escalier, l’autre d’une maladie rare des globules rouges ( je ressemble à un vieux faisan disait -elle lors de la dernière visite ) et une autre d’un cancer généralisé, sa fille s’étant suicidée quelques années plus tard en pleine défonce, abandonnée par son père algérien. Cela m’a fort marquée et j’aurais du mal à prendre la plume ce serait revivre la douleur. Je vois les jeunes dans leur insouciance mais aussi meurtris de la séparation des parents, ou devenus hermétiques dans un monde à venir qui se reconfigure dans des poussées extrémistes dangereuses, je ne sais pas en tant que citoyen si c’est de la com l’intervention des états, le durcissement des positions et les errements des révisionnistes.
Clopine Trouillefou dit: 17 septembre 2014 à 10 h 09 min
euh, Jacques, ne vous fâchez pas hein, mais votre nom me renvoie toujours à l’image de… bas résille… alors que, ça se trouve, vous n’en avez jamais portés (sourire !)
Clopine, vous oubliez le bichon, les chemises et les pantalons de couleur vive, les moumoutes, la voix haute et les cils maquillés. Je vous aime Clopine, vous venez de rejoindre le groupe JC-Mimi-D.
Cassons du pD. !
Je vous plairais Clopine, je fais 1.99 x 8×4, 58 kg et un QI de 999 vers 03:15. Sur mon ventre, vous repéreriez les plaques de chocolat Poutain
RICARDO quelques difficultés rencontrées dans la compréhension de la suite pourtant logique de vos communiqués mais sûrement ne manquerez-vous pas de poursuivre afin de consolider ce raisonnement éloquent qui éclaircit sans conteste les voies de la rationalité discursive qui nous est chère et indispensable.
Clopine, je comprends pas votre âge, née dans les années 50 ?
plut au ciel, j.d.n.a
c’est très beau
POILODO, merci, moi aussi, je vous ai compris dit: 17 septembre 2014 à 14 h 58 min
RICARDO quelques difficultés rencontrées dans la compréhension de la suite pourtant logique de vos communiqués mais sûrement ne manquerez-vous pas de poursuivre afin de consolider ce raisonnement éloquent qui éclaircit sans conteste les voies de la rationalité discursive qui nous est chère et indispensable.
bein non, je prends la peine de rien
Si, POILODO, en quoi en fait-on état?
14h55 Une toile de fond à éveiller les soupçons et inviter Agatha Christie à prendre le thé. Tant de drames…quelle vie me direz-vous n’en conditionnerait-elle aucun, quel temps historique ne porterait-il aucun courant ou évènement plus ou moins durable et fâcheux, les trente glorieuses?
« ils parlent avec nous comme on danse ».
Oui enfin y a des rackaineraules c’est Desert storm… Ou halors Sang viennois qui se termine par un arrondi sur la table avec six cents coupes de tokay…
Deneb, j’ai déjà répondu il y a quelque temps, en traçant ici même mon portrait, le plus objectif et ressemblant possible ! Que voulez-vous donc de plus, à la fin ?
D., non, ce n’est pas l’homosexualité de jacques Barozzi qui me conduit aux bas résille, mais la sonorité de son nom de famille, voilà tout. Ne me mettez pas dans le même sac que les homophobes machistes de ce blog, merci.
18ans en 68 mettons plus tout ce temps jusqu’en 2018= 54
bein non, je prends la peine de rien
Ce qui vous évite bien des fatigues, ainsi irez-vous longtemps mais où? That’s the question.
Seuls visiteurs « uniques », les autres se font hacher menu.
POILODO dit: 17 septembre 2014 à 15 h 14 min
bein non, je prends la peine de rien
Ce qui vous évite bien des fatigues, ainsi irez-vous longtemps mais où? That’s the question.
Août atterrit, Septembre décolle, tu ne dépasseras OCTOBRE. Baisé pour un dernier tour de piste /
Certains élèves ont des tenues spéciales sur lesquelles on les juge tout de suite :
« y’a un 6e ds mon bahut il a sac du barça + trousse + agenda + il avait mis le maillot du barça floqué Luis Suarez il est sur la bonne voie » (Retwitt)
Là, je ne sais pas si c’est un garçon ou une fille, mais c’est également du lourd :
« on en parle du fait que j’ai rêvé que freddy de koh lanta m’avait tapée le front avec un bambou ? ON EN PARLE OU PAS ? » (Twitt)
Apparemment, c’est une fille (j’avais pas vu l’accord sur le twitt précédent), et ça continue de plus belle :
« j’suis à bout de mon cerveau » (Twitter)
Perdue dans l’immensité :
« ok j’veux aller en français mais j’sais pas où c’est » (Twitter)
Bon, je vais aller dessiner des crotillages
Arribat & salute
Ce matin, elle avait pourtant pris une bonne résolution (un peu comme si les cours n’étaient pas obligatoires pour elle) :
« j’fais un effort aujourd’hui je bouge mon cul de chez oim pour aller en français » (Twitter)
On apprend aussi qu’elle est boursière, et qu’elle n’a pas fait ses devoirs d’espagnol (très dilettante, la fille). La suite, ce soir :
« j’ferme le pc, à ce souaaaar » (Twitter)
ma! ime, votre ado, tête à toto, a trouvé ça : « Il faut arrêter les délires genre le matin il fait froid et l’après-midi c’est canicule. Je m’habille comment moi ? », chez AlyBiancucci et elle l’a retwitté.
Sur les chemins où les hommes déroulent, les féministes clopinent …
En effet, renato, mais elle ne l’indiquait pas.
Queue de ploucs ici !
« … mais elle ne l’indiquait pas. »
Pas besoin, tw fait ça automatiquement.
…
…il y a beaucoup de choses, même de trop, qui me laisse froid,!…
…mais, en plus,…je dis pas,!…il y a de quoi rester geler la vie entière,!…
…
…avec, ou sans fortunes,…il y a intérêts à mieux se connaître,…pour rester chez-soi,!…entre-soi,!…s’il en reste,!…
…
…trop de réalités à déplumer les gens, pour un vote, à Oui,! ou Non,…à les divisés,!…et se les dégrossir sans discernements,!…Top là,!…
…etc,!…trop de strates à deux Baal’s,…
…à rien foutre,!…en plus des gens errants,!…
…
…préférable vivre un rien, en Clan,…les Mac Machin et les Ô’Truc’s,…le Moyen-Âge moderne,!…
…
…au lieu d’errer d’une entreprise à une autre,…à mendier un emploi,!…l’urgence est sociale pour l’histoire,!…
…
…l’individualisme est abscons,!…trop privé,!…au dessus des individus, aujourd’hui,!…
…
…les représentants du peuple, ne représente que leurs intérêts-privés,!…c’est trop clair,! Merci!
…etc,!…
…trop de connivences qui ne conviennent qu’aux grosses fortunes,!…Ah,!Ah,!Bip,!Bip,!,etc,!…
…les peuples en otages des industriels et du capitalisme,!…tourner- moteur,!…replay,!…
…
cqfd : les quolibets machistes nullissimes d’un jc corroborent le propos féministe de clopine.
prochain titre du prochan best seller de laprotégée à jc: une grande auteure est née
Laquelle des trois belles va se retrouver dans le bac à Gibert dans six mois, à un iouro le volume ?
M’est avis que la Cixouxe va pas se lasser faire pour les deux impétrantes.
607 livres pour cette rentrée. Un mauvais chiffre. la peugeot n’a jamais atteint les objectifs (qu’étaient de tailler des croupières aux berlines allemandes. hurkhurk). Résultat, les Chinois sont dans le fromage. dites-nous passou, la rentrée littéraire chez les Chinois, ça vous dit pas ?
J’ai vérifié, c’était effectivement indiqué comme retwitté, avec la source que vous indiquez. Bravo, renato, vous être très fort !!!
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