de Pierre Assouline

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La République des livres
Trois femmes remarquables

Trois femmes remarquables

Au fond, elles sont bien plus que trois, ces femmes remarquables. Disons six puisqu’il s’agit autant des trois auteurs des trois livres sur lesquels j’aimerais jeter un peu de lumière de ces dernières lueurs d’été qui s’attardent, que de leurs trois héroïnes. Des personnes ordinaires qui vivent des situations ordinaires mais que la littérature métamorphose et transcende en personnages extraordinaires.

Celle d’Isabelle Desesquelles dans Les hommes meurent les femmes vieillissent (224 pages, 18 euros, Belfond – le titre est inspiré d’On ne badine pas avec l’amour, la réplique de Perdican, II, 5) s’appelle Alice. Qu’importe son identité dans la vraie vie puisqu’elle existe, à Toulouse, où elle tient son institut de beauté. Pour nous, elle restera cette Alice de fiction en son Alice’s Institute sur un air d’Arlo Guthrie pour son Alice’s Restaurant – du moins est-ce ainsi que je me la suis appropriée. Chez elle aussi, on peut obtenir tout ce qu’on veut mais dans l’ordre de l’humain. Vingt ans qu’elle caresse, tripote, malaxe, pétrit des chairs. Alice masse des corps à « L’Eden ». Elle a tout entendu, tout écouté, tout conservé. Incroyable ce que des femmes peuvent se livrer dans ces moments-là. De véritables confessions, intimes le plus souvent, démentant l’adage selon lequel on se confie plus volontiers à quelqu’un que l’on est assuré de ne jamais revoir – un chauffeur de taxi par exemple. Peut-être l’esthétique y encourage-t-elle puisque l’on va dans ses salons aussi pour oublier ce que la vie a d’inesthétique. Alice tient ses fiches sur ses clientes. Chacune est une histoire. Conservatrice de leurs aveux, Alice agit comme un article_2309-CUL-ISABELLEDESESQUELLESrévélateur dans la chambre noire. Elle se demande pourquoi elles acceptent ces vies avec des hommes lâches, pingres, petits. Elles se disent « vaccinées des hommes ». Comme si c’était une maladie. La violence est dans la vérité crue. C’est un roman plus profond qu’il n’y paraît – les femmes n’y sont-elles pas traitées en surface ? Alice pourrait mettre un mot de Victor Hugo en lettres de néon dans sa boutique : « La forme, c’est le fond qui remonte à la surface ». En 90 minutes, elle fait plus de bien à une femme que son mari en trente ans.

Ce roman choral sur la féminité et la transmission a su trouver la bonne distance. Il est beaucoup plus intense que le film Vénus Beauté (Institut) auquel on pensera illico. Le regard de l’auteur est à vif, provoquant, puissant et bien orchestré dans les différents registres de voix. Les hommes n’en sortent pas grandis, mais les femmes non plus, à commencer par toutes celles qui mettent la paupière dans l’engrenage de la chirurgie plastique, car c’est tout sauf complaisant. Certains monologues du vagin sont saisissants. Lili par exemple, qui aime la vie même si ce n’est pas toujours réciproque, doyenne des cougars à 83 ans, qui exige de son amant un cunnilingus matin et soir, se fait enlever les peaux mortes mais si ça n’enlève pas les mauvais souvenirs. Ou Clarisse, la cinquantaine, bouleversée à la seule écoute de Viens m’embrasser de Julio Iglesias, qui rêve de faire chambre à part tant elle ressent le fil de fer barbelé au milieu du lit conjugal, mais qui échangerait tous les amants contre un massage avec Alice. Et d’autres encore, que des femmes car les hommes sont rares et gays à L’Eden. A la fin du livre, on se surprend à changer de musique intérieure. Et à la voix d’Arlo Guthrie se substitue celle, nostalgique et attachante à souhait, de Barbara Streisand chantant la bande originale de Nos plus belles années parce que « that’s the Way we were… »

 Serre-Anne-1Il y a deux ans, Petite table, sois mise ! (Verdier) m’avait enthousiasmé. Incestueux et érotique en diable, le tout en famille, exquis dans la transgression et savoureux dans l’audace, ce petit livre révélait le feu sous la glace chez cet auteur. Cette fois, avec Dialogue d’été (150 pages, 15 euros, Mercure de France) de la même Anne Serre, nous assistons à une conversation (tout le livre est un dialogue) entre un écrivain, double de l’auteur, et son interlocuteur. Un sujet : les personnages. Sylvain Germain en avait fait autant jadis à la demande de J.B. Pontalis dans Les personnages, justement. D’où lui viennent-ils ? comment naissent-ils ? de quoi sont-ils fait ? Anne Serre nous entraîne dans l’atelier de l’écrivain, mais avec le sourire, dans la légèreté. Tout sauf une prise de tête. Elle parle de la distraction et de la concentration. De l’imprégnation plus que de l’inspiration. De la capacité à se construire un roman intérieur en imaginant d’autres vies que la sienne. De l’empathie sans laquelle il n’y a pas de romancier. Et elle touche à ce point sensible : puisqu’il y a souvent un lecteur avide et abondant chez un écrivain, que ne se contente-t-il de lire ? Pourquoi ne pas se contenter de s’allonger dans un roman ? Sauf que cela ne marche pas : « je veux savoir ce qu’il y a derrière la porte ». Ainsi passe-t-on d’un état à l’autre.

Avec le temps, en une poignée de livres, Anne Serre s’est construit sa famille de papier qu’elle appelle « ma troupe ». Ses personnages l’accompagnent. Elle se sent si bien avec eux que même dans lorsqu’elle revient de l’autre côté de la vie et qu’elle se trouve parmi des personnes, elle se comporte avec elles comme si elles étaient des personnages ; elle ne peut s’empêcher de les scruter, d’interroger leur intimité et de déchiffrer le la de leur présence. Un son semblable à nulle autre. C’est quelqu’un d’étrange, une romancière :

« Je n’ai jamais pu aimer vraiment au grand jour, et je ne m’en plains pas car je ne peux me concevoir aimant que dans la nuit et le mensonge ». 

Elle aime sa solitude, sa mise à l’écart, son esseulement dans la fréquentation des lacs italiens, tout en demeurant mariée ; elle les préserve, convaincue que de toute façon, les femmes ne veulent plus vivre à plein temps avec les hommes. Impossible d’être ensemble tout le temps, c’est tuant :

« Elle a besoin de respirer, de déplier ses membres, de ne pas parler. Elle a besoin d’attendre aussi. Et s’il est là tout le temps, tous les soirs ou à peu près, elle n’a plus rien à attendre ».

Bizarre tout de même, se dit-elle que les hommes ne comprennent pas que ce que l’on attend d’eux, ce ne sont pas des cadeaux mais  « une alliance dans la conversation » et qu’ « ils parlent avec nous comme on danse ». N’allez pas l’imaginer  blasée ou revenue de tout, au contraire. Dans sa fraîcheur d’âme, elle confesse avoir fait tardivement une découverte qui l’a remuée à l’égal d’un chagrin d’amour : l’amour feint, l’affection jouée. Idéaliste ? Mais alors de la naïveté d’une belle personne qui vit dans un monde parallèle, jamais pressée de repasser de l’autre côté du miroir.

Anne Serre se dévoile comme une femme prête à tout sauf à se laisser aller à écouter une musique qui lui fendrait l’âme, qui lui donnerait envie de faire l’amour sauvagement dans l’instant, de renouer avec son feu intérieur inapaisé, d’obéir aux injonctions de ses émotions, de peur de ne pas en sortir. Cet être de fiction qu’elle poursuivait de livre en livre, elle l’a trouvé : c’est elle.

Enfin, la dernière de ses trois femmes remarquables, c’est Hélène Cixous et sa mère. Elle est restée à ses côtés lorsqu’elle était mal, puis malade, enfin agonisante. Elle a tout noté tout, et elle dit tout de leur amour, pour tenter de mieux comprendre leur relation. Durant des mois, elle a entendu sa mère, Eve Cixous, née Klein en 1910 en Allemagne, pays fui dès les premiers discours de l’autre, sage-femme de son état, lui lancer sa mélopée du matin au soir « aidemoiaidemoiaidemoi » ; pas une demande mais un gouffre, un cri sans fin ; ce qui lui fait l’effet de la brève (soixante-sept vers, six minutes) tempête de The Tempest de Shakespeare où tout n’est que cris, rafales, adieux : « All lost !… We split ! We split ! » ; mais lorsqu’elle lui demande ce qu’elle peut faire pour elle, sa mère répond simplement : « Rien ». Homère est morte… (223 pages, 26 euros, Galilée), récit bouleversant dénué de pathos, car l’auteur est trop décente et pudique pour verser dans ce travers, est la mosaïque incertaine de ces riens. Cette lecture laisse sans voix.cixous

Le livre est signé sur la couverture du nom d’Hélène Cixous mais le texte l’est in fine par la mère et la fille. Quand on connaît l’auteur, son parcours d’intellectuelle féministe, ses textes théoriques sur la littérature, ses recherches sur James Joyce ou sur le mythe de Méduse, son compagnonnage avec le théâtre du Soleil, son rapport à l’Algérie et puis ces jours à forte personnalité qui ressemblent à des sous-chapitres de L’Odyssée, on en retrouve les échos assourdis au fil des pages ; mais même si l’on ignore tout de son passé, on est touché. Construit en quelque sorte par la mère qui l’a « écrit », il est déconstruit par la fille. On est avec elles chez le dermatologue, prenant conscience des mutations d’un visage désormais hérissé de kératites ; on envisage le spectre de l’extension des escarres comme autant de cyclopes menaçants ; on est avec la fille quand, dans la moelle de son âme, hantée par les sentiments filiaux d’un parricide, s’inscrit la pensée lancinante de donner la mort à la mère à la tête intacte mais au corps rongé, qu’il faut trainer lamentablement vers les cabinets avant l’inondation. Eve n’a plus qu’une peur : s’en aller dans son sommeil, en l’absence de sa fille, laquelle a désormais une vision du lit de Gregor Samsa chaque fois qu’elle entend l’expression « lit médicalisé » et se met à rêver du déterrement de son père.

La mère s’affaiblit. Entre deux « aidemoiaidemoiaidemoi », l’allemand de sa naissance lui revient ; elle retrouve « son gazouillement de grive impérative » pour lancer comme autrefois à sa petite fille « Halt’ dich grade ! ». A 99 ans, rejoignant « sans mot dire le monde des animaux sans défense », la mère veut devenir l’enfant de sa fille, laquelle accepte en se tenant bien droite de recevoir sa maternité de ses mains. A la fin, elle n’arrive plus à la quitter. Elle voudrait tant que les restes de maman restent avec elle. Mais comment prononcer encore « maman » sans timidité maintenant que le mot est devenu orphelin ?

(« Polly Magoo » photo D.R; « Isabelle Desesquelles photo Mantovant ; « Anne Serre » photo Olivier Roller ; « Hélène Cixous » photo Léa Crespi)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

1026

commentaires

1 026 Réponses pour Trois femmes remarquables

JC..... dit: à

Vous n’y êtes pas du tout, « en passant » !

Je suis un féministe convaincu et actif, viscéralement pour l’égalité des droits homme-femme dans notre société et, bien entendu les machistes sont des cons, étriqués du bulbe.

Par contre, je suis absolument contre le communautarisme sectaire des intégristes féministes, au moins aussi connes que ceux qu’elles insultent. Ces minables n’aiment pas les hommes par principe … c’est une maladie chez elles ! Beurk !

abdelkader dit: à

Widergänger dit: 17 septembre 2014 à 0 h 22 min

abdelkaka a lu un peu de latin, mais peu d’espagnol, encore moins de portugais…

euh…aube donne :
en portuguais (c’est mon pote Pedro qui me l’a confirme): amanecer/madrugada
en espagnol: amanecer aussi
en latin: matutinus
en algerien: NTM

alba par contre, en dehors du latin qui veut dire blanc, dans toutes les autres langues, ca veut dire un pov’type qui porte, sous ordre de son assistante sociale, des couches anti-incontinence et des gants de boxe au lit, a cause de cette tendance chronique qu’il a, a se frotter la nuit…

JC..... dit: à

Pour le bac à Gibert :
– elles y auront droit toutes les trois
– ce sera peut être moins d’un euro, crise aidant
– ça ne mettra pas 6 mois, mais 3 …

kicking dit: à

se payer la planète pour hurler un manque

Les Newtoniens dit: à

(ici, ici) Dîtes :
– J’avais bien besoin de le Daigo

Vivant Denon dit: à

Clopine dit: 17 septembre 2014 à 14 h 27 min
Tout est dans « Beaubec Production », il suffit d’être attentif !

des journées entières dans les arbres dit: à

le jardinier de 14h55 me cherche ?
il étrille les noisetiers de Porquerolles… Il devra repasser au salon d’Alice car il y a encore un truc qui va pas au niveau des sourcils, s’il veut se faire belle comme cendrillon.

Les Newtoniens dit: à

C’était le dernier contre-appel de Sarkozy, cette salope

kicking dit: à

il suffit d’être attentif

il « suffit » aussi d’être gros lourdingue très très très très très très très très très très insistant..

ça s’appelle comment ce genre déjà ?

la binette à tutu dit: à

quel gros lourdingue ce JC de mes deux…

Les Newtoniens dit: à

J’en étais tranquillement à me contrôler l’addition

JC..... dit: à

Plus c’est gros, plus c’est lourd, meilleur c’est ! Sauf si on a les lèvres gercées.

bouguereau dit: à

qu’est ce que j’apprends..tu corrobores clopine maintenant jicé..?

bouguereau dit: à

ma parole..ha on peut compter sur baroz

hamlet dit: à

très bel article, la discussion aussi aussi est passionnante.

désolé de déranger je voulais juste répondre à Clopine sur la question du désespoir…

Clopine !!! vous êtes là ???
concernant votre réponse sur le désespoir je voulais vous dire qu’il y a quelques années, pas mal d’années en vérité, je travaillais dans un laboratoire de physique. Les collègues avec qui je travaillais ont voulu se livrer à l’expérience du chat de Schrödinger, vous connaissez c’est juste un chat qu’on enferme dans une boite et son état quantique fait qu’il est dans deux états parfaitement superposables : il est à la fois là et pas là.
bon, pourquoi pas, après tout nous étions là pour ça.
donc mes collègues me demandent de jouer le rôle du chat, et comme mon problème est ne jamais savoir refuser, j’accepte !
voilà que je me retrouve enfermé dans cette boite, tout de même assez grande pour pouvoir allonger les jambes et j’attends. J’attends un temps assez long, j’entends les autres à l’extérieur en train de discuter, sur l’équation, sur la constante de Dirac, franchement au bout d’un temps assez long je n’en menais pas large. Je me suis demander pourquoi Schrödinger n’avait pas prévu, au lieu d’un seul chat, un couple de chats de sexe différent, déjà ça nous aurait permis de prendre notre mal en patience, mais comme l’expérience était déjà bien avancé je n’ai pas voulu demander de modifier des paramètres. Un chat seul c’est le nombre 1, qui est le premier des nombres premiers, donc non divisible par 2, malgré cette indivisibilité ce chat peut avoir 2 états quantiques différents, et 2 ce n’est plus un nombre premier, vu qu’on peut le divisé par 2, introduire à ce niveau de l’expérience un deuxième chat aurait bousculer l’ordre des nombres premiers, vu que la dernière n’aurait arrivée n’aurait pas pu être considérée comme premier, vous me suivez ? du coup j’ai préféré ne pas moufter. Je les entendais discuter de ce qui allait se passer quand il ouvrirait la boite. Je sais pas vous mais moi j’adorais les numéros de cirque quand le prestidigitateur enfermait sa moitié la malle, et quand il ouvrait hop ! sa moitié avait disparu, tout le monde sait que dans ce tour la malle a un double fond et on joue sur l’effet d’optique, le problème est que le laboratoire de physique qui s’occupait d’optique était à l’étage du dessus et là où je travaillais les effets d’optiques c’était tout sauf une priorité. Plus le temps passait et plus une espèce d’inquiétude qu’on aurait pu dire existentielle me gagnait, je veux dire m’envahissait, en fait pour être précis l’inquiétude ne me gagnait pas du tout, elle me perdait complètement. Je me rassurais en me disant que ce type, Schrodinger, il n’aurait pas fait de mal à une mouche, mais cette idée ne me rassurait pas parce que je me disais que c’était peut-être pour cette raison qu’il avait pris un chat pour son expérience : parce qu’il n’aurait pas fait de mal à une mouche, sinon il aurait tout aussi bien prendre une mouche, je veux dire l’expérience marche pareille qu’on prenne un chat ou une mouche, je me demandais s’il aurait fait du mal à un chat ? De plus je sentais les deux états quantiques m’envahir, j’étais à la fois là et pas là. Pour faire plaisir à mes collègues je me serais bien couper une main, mais dans ce cas j’aurais au moins gardé le reste, le problème de cette expérience quantique ne concernait pas une patte du chat mais le chat entier, je les entendais dire qu’ils allaient ouvrir la boîte, ils n’étaient pas d’accord entre eux, entre ceux qui pensaient que je serai et les autres que je ne serai pas, j’avoue que jusque là, être ou ne pas être est une question qui ne m’avait jamais vraiment tourmenté. hein ? mon histoire vous gonfle ? attendez le meilleur est à la fin ! vous ne voulez pas en savoir plus ? non ? ah bon. tant pis.

bouguereau dit: à

Bravo, renato, vous être très fort !!!

ha évidemment rénateau joue les gros bras en tapant sur les petits..

bouguereau dit: à

ho toi ta gueule keupu..

bouguereau dit: à

ses pinsome de merde qu’il sert aux femmes..de telle pratique c’est sexiss épicétou

bouguereau dit: à

Je vous plairais Clopine, je fais 1.99 x 8×4, 58 kg

sinon à karlos nu avec un gilet orange a qui tu peux plaire dédé?..c’est pas les canons de navaronne

la binette à tutu dit: à

les « commentaires » de ce bouguereau sont aussi désespérants que ceux de ce JC… votre gueule, bouguereau !

Clopine dit: à

Ben si, moi je l’attends la fin de votre histoire. Quand vous êtes sorti de là, vous aviez une moustache et des yeux fendus, c’est ça ? Ou bien, comme le chat de Cheshire, il ne restait plus que votre sourire, flottant quantiquement en l’air ?

J’en donne ma langue au chat, bien entendu.

(mais vous savez, moi, la physique quantique, euh.)

DAVID CROQUETTE dit: à

« LES FEMMES DE GAD SONT POUR LA PLUPART ILLETTRÉES…. »

Salaud de fils de pute de soce ! Ces gens ont définitivement tombé le masque.

bouguereau dit: à

Plus c’est gros, plus c’est lourd, meilleur c’est ! Sauf si on a les lèvres gercées.

non mais dis donc jicé c’est trop criant de vérité..on dirait que t’as essayé..il faut toujours intraoduire ce genre de propros par « elles m’ont dit »..ou « j’ai entendu dire »..ou alors « baroz m’a confié que »..fais gaffe!

JC..... dit: à

Hamlet,
votre interprétation réaliste d’une expérience de pensée vaut, euh, disons son pesant de mou !
Bonne soirée ! avec chattes naturellement.

Les Newtoniens dit: à

Comment s’en référer à Islamâbad?

hamlet dit: à

greubou tu connais la chanson que Boris Vian aviat composée : ah si j’avais 1 franc cinquan-ante j’aurais bientôt 2 francs cinquan-ante, ah si j’avais 2 francs cinquan-ante j’aurais bientôt 6 sous !
et ben c’est en hommage à Hélène.

tu le savais pas ? greubou t’es trop nullos !

bouguereau dit: à

(mais vous savez, moi, la physique quantique, euh.)

..arrête de faire ta dédé en coroborant mes propos clopine..

JC..... dit: à

Y en faut des illettrées : ça fait triquer les cultivés qui adorent fricoter avec l’inculture…

morceau choisi dit: à

« Une amie intime m’a dit justement un jour à ce propos que la femme en moi était magnifique. »

Sergio dit: à

Clopine dit: 17 septembre 2014 à 17 h 20 min
la physique quantique, euh.)

Mais si, c’est très bien. C’est le seul truc qui avance ! Ca havance dans la panne, mais c’est déjà ça, attendu que les arts libéraux, eux, sont pour le moins bloqués dans la station…

bouguereau dit: à

l’amie intime était de dos avec un gode ceinture..t’es un inculte

Polémikoeur. dit: à

Au fait, trois est un nombre remarquable !
(Il y en a beaucoup mais tous ne le sont pas).
Mataimatiquement.

Mme Michu dit: à

Comique, la libération sexuelle du voisin !

bouguereau dit: à

ho ma mère mon nestor en tenue !
larbinement!

bouguereau dit: à

c’est vrai kiki..hon ne se voit pas..dmande a sergio tu ris trop et c’est la panne qui avance..faut rester pape!

la binette à tutu dit: à

tiens, il ressort son gode ceinture usagé… dans quelques minutes ce sera Goering en pleine forme… ça radote sec comme dirait JC

un jardinier dans un arbre dit: à

j’ai perdu mon chat au mont saint aignan l’été dernier, hamlet, il s’était retrouvé dans une expérience de bruit qui lui a dévissé les tympans le pauvre, je l’avais pourtant confié prudemment à cet honorable institut de matheux. Ce que c’est que de vouloir oeuvrer pour la science.

sniff.

ci-joint le protocole de l’expérience

Un résumé exhaustif calculable numériquement de façon récursive est présenté pour le test entre deux hypothèses. Le signal et le bruit satisfont chacun des systèmes différentiels stochastiques. L’observation est également bruitée. La méthode consiste à estimer le bruit puis à estimer le signal et le bruit suivant les techniques du filtrage linéaire.

très drôle votre histoire vous arrivez à sortir de votre double schuss ?

bouguereau dit: à

justement keupu..tu ne cesses de le copier..tu es l’inculte avec lequel il aime fricoter..ha c’est du joli pour les voisins comme dirait kiki

Clopine dit: à

Mais au fait, Hamlet…
Hamlet ! Vous êtes là ?

Vous savez, notre petite discussion de l’autre jour : j’en ai trouvé comme une résonnance dans un très beau film anglais, touchant et cruel : an another day.

Connaissez-vous ce film ? Il s’agit de héros de la classe moyenne, âgés d’une soixante d’années. Mais c’est surtout une chronique sur le bonheur : voici un couple heureux, mais qui semble avoir besoin d’attirer autour de lui des personnes désespérées : de celles qui vous font prendre en horreur toutes les philosophies positives, parce que justement ce genre de personne demandent elles aussi à participer au bonheur, et qu’elles ne pourront jamais y arriver. L’image finale du film est bouleversante, et j’y pensais en vous lisant l’autre jour. Votre sévérité témoigne peut-être de votre lucidité, et vous ne partagez peut-être pas le cynisme que vous attribuez aux philosophes -gourous du bonheur, mais du même coup, vous condamnez toutes les Mary du monde, celles qui s’asseoient timidement à table, qui regardent le bonheur des autres, et qui ne comprennent pas pourquoi le leur leur est si impitoyablement refusé… Si une philosophie peut remplir l’assiette vide d’espoir de l’affamée Mary, pourquoi voulez-vous le lui refuser ?

(j’espère que vous avez vu le film, sinon vous risquez de ne rien comprendre du tout !)

Clopine dit: à

Non ! Another YEAR ; ça se passse en quatre saisons, avec jardinage à la clé…

keupu et quelques autres dit: à

l’inculte ? ah pasque toi t’es cultivé ? ah bon !

des journées entières dans les arbres dit: à

Trois femmes remarquables bientôt ici sur la RDL ? le jardinier et ses copines de blog ?

Attention, c’est du puissant. Ce salon est professionnel.( il faut que cette jeune ado, dont on apprend qu’elle est collégienne et non pas lycéenne, s’abstienne de cliquer, mais elle devrait théoriquement en être à faire ses devoirs…)

http://www.canal-u.tv/video/canal_u_medecine/transformation_d_un_homme_en_femme.2474

Deneb dit: à

Clopine : « Et voyez : nous avons gagné… »

Ouarffffffffffffffffff !

des journées entières dans les arbres dit: à

3 femens du blog meetic, évidemment, chère amie, ne vous offusquez pas; ce sont des choses qui arrivent aussi.

Bouddha dit: à

« Si une philosophie peut remplir l’assiette vide d’espoir de l’affamée Mary, pourquoi voulez-vous le lui refuser ? »

…parce qu’il est vain de mentir…

keupu et quelques autres dit: à

trois hommes remarquables:
bouguereau le cultivé hors paire, bouguereau l’énervé du bulbe, bouguereau le dégodé de la ceinture

Sergio dit: à

la binette à tutu dit: 17 septembre 2014 à 17 h 37 min
Goering en pleine forme

4/3 Pi r^3

Clopine dit: à

Deneb, le salaud pour qui nous avions porté plainte a perdu son procès…

la tête à toto dit: à

Paresse et manque de foi, bien vu :

« j’ai pas la foi de faire mes devoirs niksamer » (Twitter)

Deneb dit: à

Ah pardon Clopine. Désolé.

Rôôô dit: à

Deneb, le salaud pour qui nous avions porté plainte
Clopine

le salaud CONTRE qui t’es ach’ment trop pour ta consssience polistque clocloche epiténouille

'tain y'a du boulot! dit: à

le salaud pour qui nous avions porté plainte a perdu son procès…

elle voulait qu’il le gagne.

keupu et quelques autres dit: à

bougue Rôôô aime pas quand on porte plainte, hihihi

Deneb dit: à

Ce soir je me fais des petites galettes de pommes de terre au Cantal. je m’en lèche les babines d’avance. C’est une recette de ma tante que je vous donne :

Pour deux personnes environ :

– 10 grosses pommes de terre à purée
– 1 kilo de vert de poireaux
– 1 gros oignon
– 1 gousse d’ail
– 4 œufs
– 450 g de lard non fumé
– le même poids de tomme fraiche
– 1 bouquet de persil
– sel, poivre.

Épluchez les pommes de terre, hachez-les comme pour faire des carottes râpées.
Hachez vos verts de poireaux ben fin
Pareil pour votre oignon, ajoutez l’ail écrasé dans le lard haché après l’avoir fais cuire 5 minute, rappez la tomme, ajoutez le persil haché comme le reste, assaisonnez avec justesse, formez une petite galette que vous ferez cuire à feu moyen dans une poêle préalablement enduite de saindoux le temps qu’il faudra pour qu’elle dore des deux côtés.
Ces galettes ne se conservent pas une fois cuite et doivent être mangées ou à la limite congelées.

Deneb dit: à

Mimi, tu peux remplacer le lard par du bifteck haché et le saindoux par du beurre. Seulement parce que c’est toi.

un jardinier dans un arbre dit: à

Pour moi ce sera de la tarte fondante poireaux, roquefort et poires au cumin et graines

1 pâte feuilletée pif
4 jeunes poireaux paf
150 g de roquefort pouf
1 belle poire zou
3 cuillers à soupe de graines torréfiées et broyées (amande, tournesol, potiron, sésame)
2 cuillers à soupe de crème d’avoine
1 cuiller à soupe de cumin entier torréfié hips i

conseils de préparation :

couper les poireaux en fines lamelles et faites compoter doucement avec une bonne cuiller d’huile d’olive. Retirez du feu.
Ajoutez la crème d’avoine et le roquefort en petits morceaux pour qu’il fonde avec la chaleur résiduelle.
Mélangez bien avant d’ajouter le cumin et les graines en poudre.
Epluchez la poire et coupez-la en fines lamelles puis en petits morceaux. Ajoutez-les à la préparation.
Préchauffez le four à 200° (th.6-7).
Étalez-la pâte finement et piquez-la à la fourchette. Foncer un moule à tarte (ici un carré)
Répartissez la préparation sur le fond de tarte et enfournez pour 30 minutes environ. Baissez la température à 180° (th.6) après 10 minutes.
Démoulez délicatement sur le plat de service et régalez-vous.

hamlet dit: à

Clopine, posez la question à greubou et vous verrez : ds que dans une société donnée le taux de surhommes dépassent les 80% ça commence à m.rder.

le problème est de savoir où mettre le curseur : avoir juste un surhomme comme Onfray passe encore, si on rajoute Enthoven ça fait 2, avec greubou on arrive à 3, vous Clpine qui êtes une surfemme ça fait 4, à ça vous rajoutez les écrivains, les acteurs de théâtre et de cinéma, les musicien du philarmonique de Toulouse, les experts comptables, les joueurs de foot, les chanteurs de rap et de raggae, les chirurgiens dentistes, on arrive facile à 50 millions de surhommes, dans un pays de 75 millions d’habitants je trouve que ça fait 49 millions de trop.

après chacun voit midi à sa porte, mais compte tenu des problèmes sociaux, économiques et politiques qui nous attendent il faut pas trop jouer à faire les malins avec notre volonté de puissance.

c’est sérieux Clopine, le monde de demain aura plus besoin de solidarité, il arrivera un jour où il faut mettre Nietzsche en veilleuse si on veut que ce monde continue à marcher.

même Delerm il le sait, dans un monde totalement ravagé et dévasté la première gorgée de bière elle passe toujours de travers.

vous ne pouvez pas imaginer à quel point les hédonistes me gonflent. au point que si j’en vois traverser la rue un devant moi je ne suis même pas sûr de pas l’écraser avec mon solex, on croise si peu de nietzschéens dans les hôpitaux.

hahahaha! dit: à

e salaud pour qui nous avions porté plainte
Clopine

pour le saindoux, contre le gras

Deneb dit: à

Non mais vous êtes sérieuse, djedla ? Vous ne mangez pas l’avoine tout de même ? C’est bon pour les bêtes, comme le maïs.

un jardinier dans un arbre dit: à

la crème d’avoine c’est bien plus digeste et délicatement délicieux

Deneb dit: à

Je n’ai aucun problème de digestion. Je fais beaucoup de sport : du Kung-fu et un peu d’Haltérophilie. Vous croyez peut-être que je vais carburer à l’avoine ? Et pourquoi pas au son tant que vous y êtes ? Tomme fraiche patates lard et saindoux. J’ai dit.

un jardinier dans un arbre dit: à

je plains votre compagnon deneb, moi je pratique la réflexologie plantaire, je vous laisse à votre agressivité, mon ami vient de s’annoncer.

des journées entières dans les arbres dit: à

D. eneb, allons allons, mettez vous à la diète ethique, vous verrez ça va vous changer; vous n’avez pas supporté cette idée tout à fait réjouissante de devenir avec votre copine de Porquerolles, une femen remarquable, après être passé dans des mains expertes?
même pas en songe ?
__________________
Aux derniers siècles du Moyen Âge, les soins de beauté semblent occuper une place croissante dans la pratique médicale, et les auteurs de traités de médecine ou de chirurgie accordent de plus en plus d’importance, sous le nom d’ornatus ou de decoratio, à ce que nous appelons aujourd’hui cosmétique ou cosmétologie. L’Antiquité avait certes légué un certain savoir en matière d’embellissement, mais le haut Moyen Âge s’avère pauvre en traces d’un tel souci, et la cosmétique n’apparaît pas dans la littérature médicale d’Occident avant la fin du xiie siècle, ou sa deuxième moitié. De cette entrée en scène des soins de beauté, les premiers témoins se trouvent à Salerne, et, à l’origine de ces productions latines d’un genre nouveau, il y a de nouvelles sources, principalement Rhazès et Avicenne, traduits à Tolède par Gérard de Crémone († 1187)
http://medievales.revues.org/869

Deneb dit: à

Je préfère m’en aller définitivement que de lire pareilles inepties.
Adieu à tous.

Et inversement dit: à

bouguereau dit: 17 septembre 2014 à 17 h 14 min
ho toi ta gueule keupu..

hamlet dit: à

Clopine !!!
redites-moi comment le film finit ? ceux qu’on croyait des bobos sympas se révèlent être des gens ignobles ?
en fait on a fait plein de films sur les bobos ignobles.

on a trop misé sur les bons sentiments.
j’ai pas raison greubou ?
on a fait tenir l’édifice social sur les bons sentiments.
faut dire qu’il y avait énormément de bons sentiments, parce qu’on était une génération sympa et hyper généreuse.
une espèce de société hyper chrétienne.
à tel point qu’on s’est imaginé que les bons sentiments allaient suffire pour faire marcher la machine.

et comme ça à force de générosité et de bons sentiments nous sommes arrivés à un monde où 2% de la population possède 98% des richesses.

le problème est que les riches sont vachement moins généreux que les pauvres.

résultat des courses on l’a tous dans le baigneur.
pas vrai greubou qu’avec nos bons sentiments on a fini par se faire entuber ?

il disait pas un truc Derrida à ce sujet ? faudrait poser la question à sixfransixsous.

kicking dit: à

manque plus que Cheloux jouant les pères la pudeur..

Clopine dit: à

Eh bien, pour bien comprendre la fin du film, il faut, à mon avis, voir le début : l’héroine principale est spychologue dans un centre social, elle est près de la fin de carrière, et elle tente de soigner une personne qui aurait tout pour vous plaire, Hamlet, tant elle est récalcitrante à l’idée même de reconnaître avoir un problème ou pouvoir se soigner, (elle n’est là que pour une chose, obtenir une ordonnace lui délivrant des somnifères et basta) ; voici notre psy, du coup, avouant le soir à son mari aimant qu’elle a passé une journée « déprimante »…

Heureusement -ça, c’est moi qui le dis- elle peut se satisfaire avec une secrétaire du centre social : une parfaite élève, celle-là, qui répète en boucle combien elle va mieux, combien elle aime sa vie, combien elle fait des progrès, et combien elle aime son amie-collègue psychologue. Evidemment, on comprend tout de suite que c’est de la méthode coué. En vrai, Mary l’alcolique est dévorée de solitude et de souffrance.
Mary tombe amoureuse, à 50 balais, du fils de son amie très chère – mais le jeune homme de 30 ans ramène à la maison une jeune femme « bien sous tous rapports », et là Mary ne peut se retenir et « lâche ses chiens » en rabrouant la jeune femme. Evidemment, la psychologue va fermement l’exclure dorénavant de sa vie familiale.

La dernière scène (en présence d’un autre délaissé de la vie, frère du héros principal, bref) est bouleversante parce que Mary, qui a compris l’intensité de son erreur, se comporte comme un chien battu et accepte l’humiliation de devoir sourire à sa rivale, en échange d’une place à table.

Le dernier plan est le regard de Mary sur la famille heureuse, « normale », « apaisée » de son amie psychologue. Ce regard est bouleversant parce que Mary doit jouer le jeu social si elle veut sa place à cette table. Et ce jeu nie tant sa souffrance, son besoin si absolu d’affection et de bonheur, sa solitude et son malheur, l’écart est si grand, qu’on se prend à vouloir qu’elle pète tout sur cette table, qu’elle donne une grande claque à sa rivale, qu’elle se mette à pleurer – tout plutôt que cette résignation triste de l’affamée qui doit prétendre, en plus, qu’elle a de quoi manger…

des journées entières dans les arbres dit: à

Et vous amlet,l’odeur derrière le rideau ne semble pas non plus vous incommoder outre mesure. On sent tout de suite en vous l’envie de devenir patronne du salon, à la place d’Alice. De mémoire, il semble que vous soyez également bien founi en fiches…

des journées entières dans les arbres dit: à

fourni en fiches, amlet.

Widergänger dit: à

Abdelkaka a encore glissé dans son kaka. Décidément il aime ça…

Mme Michu dit: à

Ah le bonheur visible et démontrable, quel grand soucis…

des journées entières dans les arbres dit: à

Amlet, je ne voudrais en aucun cas que vous pensiez que je vous tiens pour un sinistre crétin, mais je viens d’entendre aux infos que le banquier qui gère l’économie en hollandie a qualifié d’illéttré le personnel féminin d’un abattoir, vous vous imaginez en chef de labo ? Vous arriveriez peut-être à faire illusion ?

Jacques Barozzi dit: à

Pas autant que vous, M L, déplorable !

Deneb et Nollet dit: à

« le salaud pour qui nous avions porté plainte a perdu son procès… »
Vous voulez dire, Clopine, que la victime pour laquelle vous aviez porté plainte, contre une tierce personne, a perdu son procès ? Pourquoi aidez vous un salaud ? La personne « contre » qui vous aviez port plainte devrait être le salaud.

kicking dit: à

où on en est tout le monde peut bien crever dans une pose ridicule..

Les Newtoniens dit: à

qui pense donc à Cousin Cole (fourchette + stylo)

la tête à toto dit: à

La question du jour :

« vous avez pas du rap psyché ou acid rap à conseiller? » (Twitter)

la tête à toto dit: à

Un twitt avec un peu de philo lycéenne (il y en a comme cela cinq ou six) en ce milieu de semaine :

« L’envie a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. » (Twitter)

la tête à toto dit: à

J’ajouterai que la médiocre philosophie professorale de M. Widergänger doit avoir fort à faire avec celle de ses élèves à qui on ne la fait pas, comme on voit !

la tête à toto dit: à

« Sondage : François Hollande, le président le plus nul de la Ve république » W

Nous, on le savait déjà !

Mme Michu dit: à

Chacun ses réseaux

Oh ça… même le réseau électrique n’est pas sans faux jetons…

Mme Michu dit: à

« L’illégitime »…

L’il est jetable

évidence dit: à

Défense d’ivoire !

Court dit: à

Clopine, 19h 46

L’enfer (cinématographique) est pavé de bonnes intentions. Je crois que vous allez faire faire des économies à pas mal de monde.
Merci.
MC

rose dit: à

est-ce que je peux remplacer la crème d’avoine par une poignée de flocons d’avoine ?

rose dit: à

Moi je reviens de Sils Maria.
Binoche bouleversante.
Quand elle crie (elle piaille) qd elle entre dans l’eau de Silvaplana, c’est passque l’eau est à 14.

Mama mia.

rose dit: à

un jardinier dans un arbre dit: 17 septembre 2014 à 14 h 55 min
[…] Je vois les jeunes dans leur insouciance mais aussi meurtris de la séparation des parents,[…]

Moi aussi je les vois très meurtris, très blessés, très pas envie de répéter et ayant très peu vécu une enfance insouciante => donc finalement pas insouciants du tout (ils ne seront pas adultes de bonne heure, ils l’auront été de manière précoce, volés par maman, kidnappés par papa, cachés par mémé au bled bab el oued.).
Bref, il leur reste chanter.

rose dit: à

Ki sé six francs six sous ?

Mamadou dit: à

Deneb et Nollet dit: 17 septembre 2014 à 20 h 03 min

Mais que vient faire Nollet dans cette histoire ?
Je n’ose imaginer.

rose dit: à

pour deux personnes environ :

– 10 grosses pommes de terre à purée
– 1 kilo de vert de poireaux
– 1 gros oignon
– 1 gousse d’ail
– 4 œufs

Non : c’est pour quatre gourmands ou six à l’appétit moyen. Pour deux tu meurs.

Les Newtoniens dit: à

C’est vraiment la plus grosse balance que j’ai trouvée

rose dit: à

Bof, plutôt que l’os à ronger, (c pask vs savez pas vous y prendre) penser plutôt à ce dicton africain qui dit que l’homme est sourd et la femme aveugle.
La femme dit à l’homme ce qu’il faut faire pck’il n’en sait strictement rien, mené tel qu’il l’est par sa protubérance molle, espérant un durcissement passager et aléatoire, parfois mondain.
Et l’homme dit à la femme où aller pck’elle n’en sait strictement rien ; son envie étant d’aller partout, mais plutôt nulle part, à Anvers chez sa tante ou à Honfleur chez sa mère.
Mais pourquoi pas chez son coiffeur ou non l’esthéticienne.
En tout cas pas chez sa belle-mère pckeu là elle aura face à elle un béni-oui-oui mon chéri.

Voili, voilou.

Si vous me répondez pas, no problem, je vais faire tremper mes flocons d’avoine ds du lait ça fera d’la crème et ce sera meilleur que d’la crème d’avoine.

Le pire c s’il est sourd et aveugle.

Là, lire le Royaume, en faire son miel.

Je vous aime bcp : plus c de loin, plus c bien.

rose dit: à

Ouaip : sur trois est un nombre remarquable : trois soeurs, trois nièces trois mécaniciens et cela n’arrête pas. Ici et là.

> nota : Widergänger vous pensez trop. Même si c bien. Débranchez parfois : le mieux, les femmes aiment rire. Et subséquemment, danser.
C pas sorcier.

un jardinier dans un arbre dit: à

je me disais aussi que la recette pour deux loup!

la crème d’avoine c’est cher, je passe des flocons au mixer, comme les graine de lin dans un fond de yaourt maigre.

demain je vais cueillir des prunes et des poires pour mes conserves et confitures, je me lève tôt, à dans quelques jours peut – être .

rose dit: à

Widergänger dit: 16 septembre 2014 à 23 h 58 min

L’incompréhension est inscrite dans la nature de l’une et de l’autre.

Sur ce point précis je suis d’accord.

Mais on s’en fout.
L’important est de s’apprécier réciproquement.

Crois pas du tout par contre à votre théorie sur les écrivains du père et les écrivains de la mère : les deux sont constitutifs.

Kafka c psk son père le méprisait était extrêmement dur avec lui.

rose dit: à

hamlet dit: 17 septembre 2014 à 17 h 13 min

moi je veux savoir la fin

rose dit: à

sexiste on le savait depuis longtemps

Clopine dit: à

Vourt de 21 h et quelques : pas un mot d’excuse pour votre lamentable erreur sur mes propos de ce matin – vos « bien à vous » ne cachent donc pas votre grossièreté froncière…

Sergio dit: à

hamlet dit: 17 septembre 2014 à 17 h 13 min
l’expérience marche pareille qu’on prenne un chat ou une mouche

Non non non non hune mouche c’est parfaitement satanique un chat c’est beau et mouvant…

Ils y a des développements terribles sur cette petite bête par Philippe Forest, c’est pas mal. Le chat, bien sûr.

rose dit: à

OK

cette manière de copier les twitt de qui que ce soit est déguelasse ; vous avezl’art et la manière d’être dégueulasse.

Cela me fait penser
1/ à la fille très grosses habillée de noir assise par terre qui relace une chaussure que un mec puis une fille commenceà bourrer de coups de pieds.
j’arrivais : pas de cul.

2/ à la fille très grosse habillée de noir etc qui en voulant faire cap petite enfance s’est retrouvée aux pompes funèbres à préparer les morts. Jusqu’à ce que son salopard de patron lui fasse faire le taf sur des enfants.

Ce que vous faites avec les twitts de cette jeunef ille, avec les ipé que vous volez avec les gens que vous virez de ce blog, de votre blog c’est en tous points ordurier.

Pourquoi, mais je refuse de m’inquiéter -et inutile de demander pardon, vous recommencez illico, c’est style pisser dans un violon, quel massacre !, lorsque vos collègues de travail demandent si vous êtes d’accord pour faire le chat, acceptez-vous ?

Gravissime.
J’entends que l’on puisse aimer/adorer être maso et en jouir.

J’entends aussi que l’on ne puisse jouir qu’ainsi.

Je ne comprends pas comment l’on devient maso.

Je n’ai pas encore compris : mais je vais le comprendre.

rose dit: à

>une foultitude d’erreurs orthographiques : je ne corrigerai pas, singulier, pluriel du comme d’hab.

Pardon, toutefois ; je ne me suis pas relue.

Sergio dit: à

rose dit: 17 septembre 2014 à 22 h 10 min
pour deux personnes environ :

– 10 grosses pommes de terre à purée
– 1 kilo de vert de poireaux
– 1 gros oignon
– 1 gousse d’ail
– 4 œufs

Je me demande si on pourrait pas ouvrir un stand sur le gonflage des moteurs…

rose dit: à

>Clopine sur grossièreté foncière, tout à fait d’accord.

rose dit: à

>Vulgarité même.

rose dit: à

>Retranscrire ici les twitts de qui que ce soit qui s’exprime ds son intimité avec ses potes/potesses c’est d’une indécence inouïe. Ici, nous baignons salement dans le pornographique.

rose dit: à

>Clopine

sur le feuilleton en quatre parties que vous racontez : Mary, qd elle va se réveiller, elle va être anéantie. Pour l’instant, elle ne pige rien.

Sa manière de vivre sa vie est, de manière métaphorique, l’équivalent d’une fouille archéologique : toutes ses tentatives de mise à jour révèlent des couches enterrées et anciennes qui mettent en exergue des choses enfouies.

Elle ne réalise pas qu’elle est manipulée.

Sur la fouille ds sa chronologie, au tout début pelleteuse, puis pioches puis à la main, délicatement, puis pinceaux.

Connaissez-vous les potes de Grimsby trouvés dans une ZAC près d’Arras en 2001 ? J’aime bcp ces potes de Grimbsby, des britanniques. Article ds le Monde, sur la toile accessible rapidement.

cordialement,

Les Newtoniens dit: à

Qu’il est amer, mais qu’il est amer

Clopine dit: à

Rose, internet m’a livré d’un clic l’histoire des potes de Grimbsy : touchante histoire ; je crois qu’on n’a pas assez conscience, en France, des sacrifices anglais lors de la première guerre mondiale.

Je partage aussi votre analyse sur l’archéologie de Mary ! dans le film, les éléments sont donnés petit à petit, l’abandon de l’homme qu’elle aimait, les jeux avec l’enfant de son amie qui expliquent qu’elle tente de se raccrocher à lui, la « cabane à secrets » : ce très joli film, n’en déplaise à cet infatué de lui-même de Court, est fortement dessiné. Pas étonnant qu’il ait reçu de multiples récompenses…

rose dit: à

>Clopine another year je ne l’ai pas vu.

Mais j’ai compris pensé-je qu’elle tente d’échapper au massacre mais qu’elle n’y échappe pas.

j’ai lu ce soir que Diane Dufresne avait appris de Maxime Le Forestier la douceur d’un homme pour une femme ; cela m’a fort réjouie. Plus tard, elle se lança ds la cosmologie quelle drôle d’idée et parlait aux anges et rencontra Langelvin. Inouï mais vrai.

Tout ça pour dire qu’au début elle fut incomprise mais qu’elle rencontra des gens qui la comprirent fort heureusement pour elle car elle était très saine d’esprit.

Mary pourra comprendre qu’un homme de trente ans est fait pour une femme trentenaire et elle pour un homme ouvert tolérant et pacifique cinquantenaire.
Tous les secouements qu’elle a vécus lui ont servi à comprendre l’histoire, comme en archéo. Elle a ses chances. Foutre la soupière par terre ne résoudra rien.
Mais il ne faut pas qu’elle s’accroche à ses gens heureux pour construire : il lui faut son propre bâti, individuel et autonome.

rose dit: à

Pardon : à ces gens heureux grmmblll.

kicking dit: à

s’il y a des moitiés ici je plains sincèrement les autres..

Les Newtoniens dit: à

merdàouil

rose dit: à

G une sacrée envie soudaine et impétueuse de la jouer La mariée était en noir .

D’aller trouver ces cinq collègues d’un laboratoire de physique et de les dégommer un après l’autre.

Je vais tâcher de retrouver la paix intérieure.

Si j’aurais été là, j’aurais pris un cuter -peut-être deux t non à cutter ?- et je t’aurais fait sortir par par la fenêtre en catimini. Ensuite, j’aurais piaillé en disant il s’est sauvé par la porte vers là et j’aurais indiqué la direction inverse à celle que tu aurais prise ; tu aurais eu le temps d’aller jusqu’au canot et de descendre la rivière.
Je t’aurais retrouvé que dix ans après ; le temps que tu piges pourquoi tu leur as pas dit non à ces connards de merde.

J’espère bien qu’il ne vont jamais rien trouver comme découvertes capitales.

D. dit: à

rose dit: 17 septembre 2014 à 21 h 54 min

est-ce que je peux remplacer la crème d’avoine par une poignée de flocons d’avoine ?

Ben non. Par de la tome fraiche : oui.

Les Newtoniens dit: à

ça c’est ce que Colombo comprendre

D. dit: à

renato, j’ai une question sérieuse à vous poser, si vous acceptez d’y répondre.
Tout d’abord, bonsoir.

Voilà : s’il fallait de nos jours investir environ 100 000 euros dans une œuvre d’art d’un artiste en pleine ascension, lequel serait-ce-t-il ?

kicking dit: à

ce que Colombo comprendre

sous influence ?

Les Newtoniens dit: à

kicking dit: 17 septembre 2014 à 23 h 57 min

ce que Colombo comprendre

sous influence ?

chais plus, un prétendant à la couronne je crois

Les Newtoniens dit: à

Willipping my kingdom down, ballot.

kicking dit: à

l’amer royaume faudrait vraiment vouloir..

Les Newtoniens dit: à

Ah ! Voilà qu’il penche légèrement sur la gauche

B comme BERLIN dit: à

« la tête à toto dit: 17 septembre 2014 à 20 h 16 min
ou acid rap à conseiller? »,

Un demi monstre vert,
effet minimum : 48h,
dont 8h de descente…
avec résurgence, pendant les 15 jours qui suivent.
(évitez de prendre le volant).

B comme BERLIN dit: à

J’oubliais :
fabrication suisse.
Comme pour les horloges !!! !! !.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…encore rien, pour s’éclater de rire,!…Oui,!…
…il faut trouver le filon entre deux lignes,!…

…attendre l’écho,!… » il y a quelqu’un,… »,!…
…etc,!…si c’est pas du muscle, qu’est ce que c’est,!…
…Non,…le comble,!…je dis pas, sur cette facette,!…çà peut être plus profond,!…etc,!…

kicking dit: à

les arts libéraux, eux, sont pour le moins bloqués dans la station… (sergio)

alors ça, ça doit sûrement être la faute à l’illettrisme dans les cités dortoir plus qu’à la neige

enfin, du moment qu’y a l’ozone (et les soupirs..) qui voyagent pour rien..

JC..... dit: à

Trois femmes remarquables :
– Rose
– Clopine
– Djedla
– Chantal Goya

Zut ! ça fait quatre ….

JC..... dit: à

Trois hommes remarquables :
– W.
– Hamlet
– Court
– Cambadélis

Zut, j’ai encore fait une erreur …

JC..... dit: à

Le modèle social français doit perdurer ! Même si les sans-dents ont aussi des culs-de-plomb …

hahahaha! dit: à

ce très joli film, n’en déplaise à cet infatué de lui-même de Court, est fortement dessiné.
clopine

Au crayon de couleur?

casoaràcasque dit: à

Trois chiens remarquables :
– Lassie
– Blondi
– Snoopy
– Cambadélis
Attention il y a un piège.

kicking dit: à

c’est rester fidèle à qui s’est tapé tout le monde qui pourrait être la pire des erreurs..

des journées entières dans les arbres dit: à

Pour celles, remarquables, qui pratiquent le ressourcement sur des rivages italiens, le film Villa Amalia, (beau roman de P.Quignard) est peut-être dispo en replay.
http://www.arte.tv/sites/fr/olivierpere/2014/09/11/pas-de-scandale-et-villa-amalia-rencontre-avec-benoit-jacquot/

tweet d’ado lycéenne
« tro nulle à ièche, la prof du PCC, nous raconte sa vie en long, en large et en travers, on dirait çakom q keelle fait la morale en étendant son linge intime- taille XXL- sous les fenêtres des voisins, doit pas trop fréquenter les salons de soins esthétiques »

la tête à toto dit: à

Cet après-midi, conférence de presse de François Hollande, enfin de ce qu’il en reste. L’Elysée espère faire de l’audience. Ce n’est pas gagné d’avance :

« Les conditions ne sont pas réunies pour qu’il y ait de l’audience. Seule l’hypothèse d’une clarification sur l’affaire Trierweiler et sur sa vie privée pourrait créer une attente », analyse un spécialiste. (Figaro)

JC..... dit: à

Trois hommes d’Etat remarquables :
– Ming Hongwu
– Charles de Gaulle
– Winston Churchill
– François Hollande

Zut ! encore raté….

touet dit: à

@7 h 13 min

trop sympa l’abonné du fig

acm7 dit: à

Je cherche des lectoures

Alba est... Ecossais, si ! dit: à

Je lis un article sur des farceurs qui ont placé une frontière entre Angleterre & Ecosse avec panneau bilingue : Welcome in Scotland / Fallte gu Alba. Oui, vous avez bien lu « Alba ». Enfin la vérité sur les origines de notre Michel sont révélées. Exit la Silésie et le Périgord noir, exit Tel Aviv et la Virgen de la Cabeza, la torah et la kippa,désormais Michel descendra acheter sa baguette en kilt.

acm7 dit: à

Quelque chose de fleur-bleue et d’extraverti, qui change de notre quotidien d’acier et de gens tourneboulés.

bouguereau dit: à

c’est rester fidèle à qui s’est tapé tout le monde qui pourrait être la pire des erreurs..

tant que tfiler des coups dlatte en entrant ça porte bonheur on te pardonne tes anneries kiki..

bouguereau dit: à

…encore rien, pour s’éclater de rire,!…Oui,!…
…il faut trouver le filon entre deux lignes,!…

tant que tu trouves la force en toi personne peut t’atteinde qu’il dit jcvd

bouguereau dit: à

tout ce qui demande deux ligne est fait pour t’embrouiller q’uil dit jcvd djiovanni

bouguereau dit: à

Zut ! encore raté….

t’es le méchant je suis le gentil

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…une main propre qui en dit long,…une note d’artiste,!…

… » mon abyme, mon gouffre, mon précipice,…putains de femmes,!…mes 100.000 €uro,…n’y suffisent pas,!… »

…travaillez moins pour gagner plus,!…des pizzas aux anchois pour deux paires de cornes à fesses,…Alors, cet oeuf çà se monte en block,!…
….
…elle à du chien la communiante, à l’horizontale la planche à Pizza’s,!…un bon coup de bistrot,…

…tient bon le vent,…tient bon la barre, hissez-haut,!…Tonnerre de Brest encore la mer,!…
…un saindoux d’artiste, c’est la fritte assurée,!…double cuissons,!…bien cuite au Bordeaux,!…etc,!…
…forcé le rire , forcer l’outre-âgée,…buvons un coup du temps,!…etc,!…
…vraiment rien à foutre celui-là,!…de la cosmologie,!…restons en là,!…Ah,!Ah,!etc,!…
…envoyez le bide,!…

bouguereau dit: à

dis donc clopine y’a rose qui te demande si t’es la grosse en robe noir qui se met a quatre patte pour faire le chat..une question mérite réponse

JC..... dit: à

Trois Arabes remarquables :
– Muʿāwiya
– Ibn Khaldoun
– Al-Hajjaj ibn Yusuf ibn Matar
– Abdelkaka al City of London

Par les selles du prophète ! un intrus…

bouguereau dit: à

…envoyez le bide,!…

un super titre de polar djiovanni..tu mets une grosse en noir qui fait le chat quand ses collègues de travail lui demande..l’ours baltahzar peut aller se rabiller et rtounrer en sibérie

JC..... dit: à

acm7 dit: 18 septembre 2014 à 9 h 07 min
« Quelque chose à lire de fleur-bleue et d’extraverti »

« Merci pour ce moment » ? ….

bouguereau dit: à

Par les selles du prophète !

je me frais pas gouteur mais ça balise le territoire

acm7 dit: à

pardon, j’avais pas vu les tarés

Clopine Trouillefou dit: à

Je suis d’accord avec Rose pour le détournement et la moquerie attachés au tweets de la collégienne. Ca me paraît basé sur la mysogynie la plus vulgaire (« qu’elles sont connes ces petites pouffes ») ; la Tête à Toto, à 13-14 ans, devait évidemment être déjà un puits de savoir supérieur à sa classe d’âge, ben tiens, et non pas un ado ordinaire occupé à se percer les boutons. Que la jeune fille en question, comme des milliers, voire des millions d’autres, utilise son portable pour commenter sans fin ses journées de collégienne, franchement, je trouve la tête à Toto bien culotté de s’en moquer : sa vacuité à lui n’est-elle pas telle qu’il passe sa journée à poster des commentaires, ici, tout comme elle là-bas, et encore, en ne disant rien ? Sinon retweeter les propos de la collégienne, dans l’impunité et le voyeurisme, propos certes sans intérêt mais sans rien de pervers ? Le rdélien tente de trouver une connivence, ici, pour mépriser la tweeteuse, qui n’a rien demandé. Ce sont en réalité des pratiques trollesques, tout-à-fait digne d’un Bergeret qui ne comprend pas que, vu sa bassesse, c’est finalement la jeune fille qui le rend ridicule !

touet dit: à

8 h 57 min
En effet- L’origine remonte à l’antiquité pompéienne, alba pompeia, dont les habitants eux-mêmes venaient de mars (alba patera) (certains descendants actuels sont vivement invités à y retourner pour leur santé mentale)

JC..... dit: à

Il est évident qu’il FAUT partager le point de vue fermier de Clopine, et INTERDIRE totalement à Lucien Bergeret, à La Tête à Toto, ces deux salauds, de troller des tweets cons d’adolescente ou de se moquer de nos héroïnes à sabots vernis !

Au final, il faudra SUPPRIMER totalement la fonction « Commentaires » de la RdL ou, a minima, CENSURER, comme on le fait dans les meilleurs blogs !

Sinon… ce sera la fin des idées soixante huitarde, à savoir :  » La liberté d’expression mais dans une seule direction, la nôtre » !

keupu et quelques autres dit: à

trois andouilles remarquables:
bouguereau
bougue-rot
Rôôô

JC..... dit: à

Penser à raccourcir Court, méthode du Docteur Ignace Guillotin dite « normande, à la Sanson »…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…mademoiselle aux bides,!…

…inutile de repayer,…détails de la commande,!…
…vous avez déjà finalisé cette commande,…

…en attente, par rupture de stock,!…vous pouvez surenchérir,!…aux choix d’anchois,!…
…le plateau amovible à pizza,!…mode d’emploi,!…Non,…pas en public,!…enfin,!…
…les recettes secrètes du Père La Queue,…
…à l’encre invisible,!…
…vous tremper, vous agiter bien, comme cela,…
…mon Dieu, plein d’écriture,…à lire avant queue çà sèche,!…
…attention au plafond, le bide,!…déjà sur la station spatial,!…il y a Ô Truc, avec Mac Machin, un peu la Cage aux Folles aux bas résilles,…
…à nos attachés-cases,!…nos papiers Craft vernis,…elle est  » fraîche  » celle-là,…etc,!…
…envoyez,!…of course,!…

Clopine Trouillefou dit: à

… Ce qui est le plus déplaisant, c’est que la tête à toto-Bergeret s’attaque à la jeune fille parce qu’elle a osé entreprendre de lire un livre, dont elle n’est pas a priori une lectrice attendue. Encore un trait trollesque bien précis : toute atteinte à ce qu’ils considèrent comme leur pré carrés, (ici, une littérature intellectuelle insolite chez une collégienne, ce qui fait que le troll se demande « comment elle a bien pu avoir accès à ce livre », mais oui, il va jusqu’à lui dénier le droit d’entrer dans une librairie ma parole) cette « atteinte » déclenche chez eux une telle panique, porte un tel coup à leur certitude de supériorité, qu’ils sont obligés de « répliquer » en tentant d’ôter toute légitimité à celle qui a « osé » : d’où le mépris, et l’obsession, qui conduit à ne plus voir la trollée que sous l’angle de l’appel à connivence dans la moquerie. Pratique trollesque qui ne fait que dévoiler une inquiétude pathétique sur la vacuité du troll, et sa recherche éperdue d’asseoir une soi-disant légitimité, qu’il cherche à imposer en s’arrogeant le droit de la refuser à d’autres…

Jcé, où voyez-vous que je demande à ce qu’on censure les pathétiques « retweets » du troll la tête à Toto ? Je les condamne moralement : m’en dénieriez-vous le droit ?

la tête à toto dit: à

Je n’ai évidemment pas reproduit des twitts de collégiennes pour me moquer à bon compte de ces jeunes filles, que d’ailleurs je respecte complètement. Il faut être idiot(e) pour avoir cru le comprendre, et n’avoir pas su lire les commentaires que j’y apportais. J’ai au contraire essayé de mettre en valeur leur art du langage (qui aurait plu à Queneau) et aussi faire découvrir un peu leur univers quotidien. Quand Philippe Labro avait écrit son roman sur une gamine de quatorze ans, je ne me souviens plus du titre, on n’avait pas crié au scandale ! A la pornographie ! Le DELIRE !!

(Ces lycéennes savent bien sûr que leurs twitts peuvent être retwittés ou reproduits, et d’ailleurs elles comptent méticuleusement leurs abonnés, grâce à un compte spécial. Leur plus grande joie est d’être lue et appréciées, pas seulement par leurs potes.)

JC..... dit: à

« Je les condamne moralement : m’en dénieriez-vous le droit ? »

En tant que fasciste humaniste, je suis partagé ! Côté « obsession », vous nous gâtez, ma bonne

bouguereau dit: à

tête a toto bergeret..tes ptis problocs toujours :..rose dit que voler son ipé pour le virer serait en « tout point ordurier »..la grosse en noire a quatre patte qui fait le chat quand on lui dmande, lit bien, rose elle dit que c’est toi..toujours a faire le tri et a cafouiller hin clopine..baaa à chacun sa livrée de nestor..t’as la tienne et t’es mignonne

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…le droit de frapper monaies, chacun sa pièce,…
…à l’en droit,…et revers,…
…tient un défaut,!…une refrappe,!…sur le même droit,!…Ah,!Ah,!…etc,!…

bouguereau dit: à

que d’ailleurs je respecte complètement.

t’es une menteuse on meritrait au moins que tu portes plainte pour nous..mais t’es trop faignasse

bouguereau dit: à

le droit de frapper monaies

j’ai celui de frapper les culs..je suis la main de dieu

Clopine Trouillefou dit: à

la justification de la tête à toto : il ne cherchait pas à se moquer de la jeune fille en question, au contraire, il l’admirait. Non mais, n’importe nawak ! Pourquoi passe-t-il du singulier (« elle fait ci, elle fait ça ?) au pluriel ? et pourquoi pollue-t-il ce blog littéraire avec les tweets on ne peut plus banals s’une collégienne ?

Le cerveau des trolls est décidément complètement détraqué. Profitant de l’impunité, asseyant leurs pratiques perverses sur une posture cynique soi-disant « libertaire », ils ne manipulent en réalité que le mépris d’autrui, destiné à les rassurer eux, alors qu’ils n’existent que dans l’impuissance créatrice (et peut-être l’impuissance tout court). Ah, ce doit être délicieux, du haut de l’olympe où le miroir déformant de leur ego délirant les asseoit, de rire « finement » en accumulant tant de messages (faudrait les compter, rien que la journée d’hier le troll a retweeté ainsi plus d’une trentaine de messages sans aucun intérêt, sinon pour celle qui les envoie à ses copines…)de son procès en légitimité… La jeune fille en question, je vous le rappelle, a attiré l’attention perverse du troll parce qu’elle a osé acheter un LIVRE. Ce qui évidemment, chez Passou, est un crime de lèse-majesté envers les gardiens du temple, qui ont décrété depuis longtemps qu’ils sont seuls légitimes, et seuls en position de délivrer, ou non, la légitimité…

la tête à toto dit: à

Le plus consternant dans ce que vous écrivez, Clopine, la preuve de votre bêtise insondable, est que vous ne compreniez pas que ces twitts de lycéennes n’étaient pas du tout sans intérêt. C’est aussi la preuve, excusez-moi de vous le dire, de la pauvre femme que vous êtes et de votre totale imperméabilité à la vraie littérature.

Votre « ami » Barozzi, par exemple, lui, avait apprécié, ainsi que renato.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…monnaies,!…O.K…et pas l’abbêsse – monacal,!…une contrepètrerie,!…de trop,!…etc,!…

JC..... dit: à

Mon facho-humanisme machisto-libertaire m’interdit de penser que les lycéennes ne puissent plus acheter des livres !!! … Surtout des livres de cul …

C’est formateur, les livres de cul : ça prépare les femmes à une vie professionnelle de carriériste-canapé. Dame ! Soyons réalistes…

Le commentaire brayon tourne en boucle dit: à

Clopine Trouillefou dit: 18 septembre 2014 à 10 h 19 min

Quinze lignes supplémentaires (après des centaines sinon des millers) pour exposer son fantasme, rien que son fantasme,
alors que quelques mots suffisent :
« Je suis géniale, pourquoi refusez-vous de l’admettre ? »

Clopine Trouillefou dit: à

J’aime beaucoup un « fantasme » causé par des déclarations très précises d’un troll qui tranquillement a pris la décision de me troller, et a continué pendant des années, pour « s’amuser » bien entendu, pour voir d’une part comment j’allais réagir, et d’autre part parce qu’il ne supportait pas que j' »ose ». Pur fantasme, bien entendu !!!

Jacques Barozzi dit: à

Je trouve intéressants ces twits de collégiennes, Clopine. Par eux l’on peut avoir une idée d’à quoi rêvent les jeunes filles d’aujourd’hui. Pour certaines d’entre elles, issues d’une plus ou moins lointaine culture musulmane, on découvre qu’elles n’hésitent pas à partir rejoindre le djihad en Syrie ! Ce qui pourrait poser problème c’est qu’ils soient rediffusés ailleurs que sur leur compte sans leur autorisation ?
Ces twits ne s’inscrivent-ils pas dans une longue tradition d’écriture féminine : le journal intime, propre aux filles plutôt qu’aux garçons ?

DAVID CROQUETTE dit: à

… Ce qui est le plus déplaisant, c’est que la tête à toto-Bergeret s’attaque à la jeune fille parce qu’elle a osé entreprendre de lire un livre, dont elle n’est pas a priori une lectrice attendue. Encore un trait trollesque bien précis : toute atteinte à ce qu’ils considèrent comme leur pré carrés, (ici, une littérature intellectuelle insolite chez une collégienne, ce qui fait que le troll se demande « comment elle a bien pu avoir accès à ce livre »

REMARQUABLE..mais ce Bergeret est sans doute pétri de la même fiente que Macron: un insondable mépris de la « populace ». Ramassis de bobos. En 2017, ils vont souffrir.

renato dit: à

Bon, rose a mis un pied sur une peau de banane et Clopine l’a suivie dans la chute… en l’amplifiant… enfin : tanto rumore per nulla !

Clopine Trouillefou dit: à

C’est que vous êtes bien curieux, Jacques, et sincère. Mais le troll, lui, est vicieux : c’est parce qu’elle a osé lire un livre « intello » qu’il a commencé à tenter de se moquer d’elle. Maintenant, bien sûr qu’en général, cette pratique de tweets qui commentent toute la journée les moindres faits et gestes d’une personne donnée peut receler, je suis d’accord avec vous, un intérêt certain…

Mais aussi des nuisances sont générées par ces pratiques. J’ai un ami qui, depuis qu’il garde en permanence son portable à portée de main, est désormais « avec nous-sans nous » (Hamlet apprécierait cette notion quantique !) : il est présent physiquement, autour de la table, « avec nous », mais il est aussi en retrait, car sa copine l’appelle environ vingt fois en un quart d’heure et, fasciné, il ne peut s’empêcher de regarder son écran et d’envoyer un sms… Et il a cinquante deux ans…

Bien sûr, on peut qualifier cette attitude d’impolie, et ne pas chercher plus loin. IL y a pourtant, dans cette relation « à flux tendu », comme l’expression d’un besoin humain d’une communication infinie : une manière d’assouvir le vieux rêve d’ubiquité ?

Le commentaire brayon tourne en boucle dit: à

Clopine Trouillefou dit: 18 septembre 2014 à 10 h 36 min
Pur fantasme, bien entendu !!!

Oui,
tout ramener à Bergeret (ce « troll » bien utile) est un pur fantasme, comme celui de TKT de tout ramener à D.
Il vous permet de refuser la réalité.

Jacques Barozzi dit: à

Ce qui m’aurait épaté toto, c’est que ces twits, comme pour la Zazie de Queneau, tu les aies inventés. Mais en te contentant seulement de les copier/coller, d’un point de vue documentaire, ils n’en sont que plus intéressants !

keupu et quelques autres dit: à

bouguereau 10 h 10 : « je suis la main de dieu »
attention de ne pas la prendre sur ta tronche en retour de manivelle, ce serait mérité comme le pense JC sans le dire bien sûr

Jacques Barozzi dit: à

La différence entre le journal intime, livré le plus souvent avec un cadenas, est qu’il est écrit pour soi-même, sa profanation par autrui étant considéré alors comme un viol. Alors que le twist par essence est public. On passe de l’introspection à l’extériorisation de sa pensée et de ses sentiments.

keupu et quelques autres dit: à

c’est vraiment dégueu de machisme ambiant, toutes y passent : Rose, Clopine, Barozzi, brève, chantal… elles y passent toutes

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…per nulla,!…un plan de discutions pré-établis modelisés,!…en cours,!…merci,!…patrons,!…la coupe,!…ce matin,… » chevaux courts « ,…taille garçons,!…Ah,!Ah,!…
…la bataille du jour,!…la défaite en cours, la poudrière à sauter,…
…retraite précipitée,!…à la Courreneuve plage,!…etc,!…

Jacques Barozzi dit: à

Je n’ai aucun problème avec ma virilité et ma féminitude, cela ne semble pas être le cas de certains ici même ?

Clopine Trouillefou dit: à

… Peut-être est-ce parce que, ces dernières années, j’ai vraiment pas mal cotoyé d’adolescents-adolescentes que ces tweets ne m’apparaissent pas si « intéressants » que cela. Parfois, une expression un peu obscure, mais surtout beaucoup de banalités. Se plaindre d’un prof qui raconte sa vie. Paumer des objets. Ne pas savoir comment s’habiller (car il fait froid le matin, chaud l’après-midi). Penser à son apparence. Déclarer haut et fort que tout coûte un effort, comme de venir au collège. Bon sang, je viens d’en sortir : alors non, je ne vois pas trop ce qui est remarquable là dedans, sinon la pratique : quotidienne, continue, contractée. Mais ne faisons-nous pas tous de même, ici, sur ce « prestigieux » blog pollué par d’infects trolls ?

Jacques Barozzi dit: à

Certains grands adolescents sont très fiers de leurs twits, Clopine. Alain Veinstein a publié les siens adressés à sa fille. Un nouveau genre littéraire est-il en voie d’éclosion ?

Miroir, mon beau miroir dit: à

Clopine Trouillefou dit: 18 septembre 2014 à 11 h 05 min
blog pollué par d’infects trolls ?

où est la différence ? dit: à

Je ne vois, ontologiquement parlant, aucune différence (outre stylistique) entre un tweet d’adolescent et les posts d’une Clopine, d’un M. Court, d’un Bouguereau ou d’un Chaloux.

renato dit: à

Ah! « les infectes trolls »! « Demain photo de classe à thème », dirait ma! ime.

Lucien Bergeret dit: à

@ La tête à Toto

Je crois comprendre que Clopine vous prend pour moi (ou moi pour vous).
J’espère que vous n’en avez pas été dévasté…
Les tweets de la collégienne m’ont paru intéressants.

JC..... dit: à

Historiquement, la main de Dieu est passée dans les années 1 avant J.-C. par la culotte de la Vierge Marie, sinon comment expliquer la livraison du Fils de Dieu, neuf mois plus tard ?

C’est pas François Delpla qui me contredira, par Maradona ! C’est histéorique …

Clopine Trouillefou dit: à

Bien sûr, Jacques, et à juste titre : la concision n’est-elle pas un exercice à part entière ?

Vous savez, Hemingway aurait tweeté son célèbre défi (écrire en roman en 6 mots) : « à vendre, chaussures bébé, jamais portés. »

Un tweet bien écrit peut devenir une citation, un jugement lapidaire, un objet littéraire comme un autre. Mais il ne m’intéresse que si son sujet m’attire. Et franchement, le contenu des têtes d’adolescentes, pour curieuse que je sois, j’ai un peu trop pratiqué ces dernières années pour ne pas avoir comme une très légère lassitude à cet égard. Disons que, cependant et comme vous, je suis a priori bienveillante; et .prête à être étonnée. Mais de là à passer ma journée à ça… je pense cependant que c’est notre bienveillance qui nous différencie d’un seul coup d’un seul d’une tête-à-Toto-Bergeret (qui intitule une rubrique de son blog « pourquoi je n’écrirai jamais », exactement comme Françoise dans la Recherche prend bien soin de dire que, si ses patrons n’ont pas de voiture, c’est qu’ils n’en veulent pas. Tu parles que l’astuce est un peu grosse : le troll est troll justement par impuissance, et on s’en tape qu’il n’arrive pas à écrire tout en prétendant que c’est par choix personnel. Va donc, eh, petit crapaud qui veut te faire plus gros que le boeuf !)

Gnondpom dit: à

Il est sûr que le vrai troll de cette matinée est la dénommée Clopine Trouillefou et elle seule.
Totozéro nous a posté des dizaines de twitts sans que personne ne s’interesse au sujet (sauf 2 petits commentaires de JB et renato)
Il s’amusait, on zappait, il se lasserait, règle de bon fonctionnement.
Mais comme Zorro, rose est arrivée et dans son sillage le troll Clopine qui nous en fait une tartine en rameutant Bergeret, son copain débile et sa compétence sur les twitts d’adolescents.

Mais Clopine, on s’en fout de vos histoires, allez troller ailleurs, vous avez un blog pour cela.

bouguereau dit: à

(sauf 2 petits commentaires de JB et renato)

pépèpe..

bouguereau dit: à

c’est bien d’une raclure de nitchéin de prende dieu pour une manivelle..

bouguereau dit: à

Les tweets de la collégienne m’ont paru intéressants

nan..1 ou 2 mettons..mais là ad nauzéam c’est d’un joli puant..pas été foutu de dire aute chose que ‘ je rappelle que oui elle a lut tel live » ma main de dieu sur sa tête a toto..quand qu’on la cherche on la trouve! dmande à lassouline..bien sur derrière job..l’a les foi lassouline

bouguereau dit: à

et toi aussi clopine, tu kiffes la fessée que c’est un péché je te préviens de la chercher de la main de dieu..l’a d’ote chat en grosse femme en noir a fouetter chte frait dire..jalouse en plus

bouguereau dit: à

Ce qui m’aurait épaté toto, c’est que ces twits, comme pour la Zazie de Queneau, tu les aies inventés. Mais en te contentant seulement de les copier/coller, d’un point de vue documentaire, ils n’en sont que plus intéressants !

épaté dévalué..passe aprés « interessant » et tout ça en citant zazie..non mais tu te rends compte de combien c’est le bordel dans ta tête baroz ?
honte sur vous..vous savez même plus quel bout qui va devant..alors vous l’avez dans l’cul le fleau de dieu épicétou

JC..... dit: à

« le troll est troll justement par impuissance »

Faux ! le Troll, dans sa plénitude est un créatif, un imaginatif, un prospectif, un pervers astucieux, une libellule sadique, une grosse salope de fourberie, un pourri du cénacle, un enculé mondain ! …

Bref un troll, c’est le sel d’un blog.

Les autres bolos, scotchés à leur identité, c’est des HASBEEN à l’ancienne : des proutproutiens…!

keupu et quelques autres dit: à

la manivelle c’est digne d’une roulure à la goering, dugland

JC..... dit: à

Quand vas-tu la fermer, raclure de keupu !!!

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