Une adaptation de Simenon qui ne sera pas blackboulée
C’est de la pratique de la boule noire que nous tenons l’expression « se faire blackbouler ». Ni un jeu ni un sport mais un rituel propre aux cercles privés, aux clubs à l’anglaise, aux compagnies qui peuvent compter leurs membres sur les doigts des deux mains. Lorsqu’un candidat à l’admission se présente, chaque membre vote et exprime son accord en plaçant une boule blanche (de billard) dans la corbeille ; mais si, pour des raisons personnelles, l’un d’eux ne peut ou ne veut avoir à le côtoyer régulièrement, il met une boule noire et une seule suffit à recaler l’impétrant. Ce qui est très mal vécu, plus mal encore qu’une exclusion ; au moins, celle-ci est motivée alors qu’on ne doit aucune explication au non-admis, lequel croit se retrouver au coeur du Procès de Kafka : un châtiment à la recherche de sa faute.
Georges Simenon en fit la matrice d’un de ses meilleurs « romans américains », écrit à Mougins en 1955, La Boule noire. Le titre lui a donné l’histoire. Le producteur Jean-Baptiste Neyrac, le réalisateur Denis Malleval et le scénariste Jacques Santamaria, trio gagnant auquel on doit déjà plusieurs adaptations parmi les meilleures de l’épaisse filmographie simenonienne (Les Innocents, La mort de Belle, L’Escalier de fer, le scénariste ayant également adapté par ailleurs La Fuite de Monsieur Monde et En cas de malheur pour la télévision), se sont emparés de la Boule noire (ce mardi soir à 20.50 sur France 3) selon le principe éprouvé de la transposition.
Cet univers romanesque étant riche de toutes les émotions et de toutes les situations, il permet aux plus habiles filmeurs de ramener une intrigue exotique aux dimensions de l’Hexagone sans jamais la réduire ni en atténuer la portée. Le roman est résumé ainsi par Maurice Piron et Michel Lemoine dans la « Bible » introuvable des fans l’Univers de Simenon (1983).
Ce que cela devient à l’écran ? Une adaptation fidèle jusque dans la transposition. Nous ne sommes plus dans le Connecticut des années 50 mais quelque part en France pendant les années Giscard (le tournage a eu lieu à Rochefort, Charente-Maritime). Le héros, intensément interprété par Bernard Campan, est un Français d’origine portugaise, de parents qui avaient fui la dictature salazariste. Le metteur en scène et son scénariste l’ont voulu tel pour éviter de verser dans le cliché maghrébin.
Son origine, il la porte sur son nom : Vincente dit Vincent Ferreira. Il n’en fait pas un étendard mais ne la fuit pas. Quand le regard des autres l’y ramène, il en fait un objet de honte sociale. S’il en est encore un pour ne pas vouloir de lui au Sporting Club de la ville, c’est qu’il y a encore des notables pour voir en lui non le gérant du supermarché régional mais l’Etranger. Aux yeux des avocats, des médecins et de son ami le pharmacien, il est toujours le fils de la femme de ménage. Il a passé la ligne, il la repassera. La traversée de la Charente au moyen du pont transbordeur reliant ses deux rives en est la métaphore.
Simenon y était très sensible, non qu’il en eut jamais souffert (il se considérait comme un citoyen du monde, avait refusé d’être naturalisé français, puis américain, préférant rester belge « parce que ça ne veut rien dire ») mais il avait eu maintes fois l’occasion d’observer cette souffrance chez d’autres. Il avait, comme peu de romanciers de génération, des antennes pour repérer le sentiment d’humiliation et la secrète détresse qu’il peut engendrer chez un homme. Notamment aux Etats-Unis. De ses dix années passées là-bas, il avait ramené une conviction :
« You have to belong ! Si vous n’appartenez pas à une institution, une Eglise, un club de bridge, un groupuscule politico-philosophique, un cercle de philatélistes ou d’Amis de Dostoïevski, n’importe, vous n’existez pas. J’étais trop individualiste pour eux ».
Dans son roman, Walter Higgins se ronge de ne pouvoir appartenir. Ses réflexions font resurgir l’inévitable soumission aux règles du jeu social. La Boule noire a ceci de commun avec Le petit homme d’Arkhangelsk, roman porté à l’écran sous le titre de Monsieur Joseph avec Daniel Prévost dans le rôle-titre, de se focaliser sur le rejet de l’étranger. Celui qui était venu d’ailleurs même lorsqu’il était né ici, qui avait mis des années à le faire oublier, et qui était rattrapé par son passé à la faveur d’un incident de parcours. Alors toute son existence se trouvait remise en question, la bouche pleine du goût amer de l’échec quand bien même son parcours professionnel, sa réussite sociale, sa popularité locale le démentiraient.
Nul besoin d’insister sur l’actualisé de la thématique de l’intégration/assimilation malgré ce qui les distingue. D’ailleurs, le film ne souligne pas ; s’il est situé à la fin des années 70, c’est justement pour éviter cet écueil. Il roule sur la crête pour mieux nouer cette question à une réflexion sur la figure maternelle, l’amitié, la solitude. Souvent chez Simenon, au bout, il y a une indicible mélancolie, une envie de meurtre qui se mue en désir d’en finir avec la vie. Pas cette fois car cette fois, la femme du personnage blackboulé, consciente de sa tragédie intime, forme un rempart solide, malgré son inquiétude sur leur avenir. Ce qui est d’autant plus remarquable que sous la plume du romancier (mais pas Mme Maigret, rassurez-vous), les femmes sont le plus souvent castratrices.
146 Réponses pour Une adaptation de Simenon qui ne sera pas blackboulée
‘…Le héros, intensément interprété par Bernard Campan, est un Français d’origine portugaise, de parents qui avaient fui la dictature salazariste. Le metteur en scène et son scénariste l’ont voulu tel pour éviter de verser dans le cliché maghrébin…’
comme quoi, on évite un cliche pour tomber dans un autre…qu’est-ce au juste un ‘cliché maghrébin’?
P.S. ai-je droit a une crêpe Suzette pour avoir posté le premier commentaire (comme c’est Shrove Tuesday aujourd’hui et que les crêpes sont de rigueur ?
Mal placée, la plume de la tante empêche de saisir l’évidence d’un cliché … étrange conséquence.
En ce Mardi Gras (Shrove Tuesday pour les colonisés…), comment ne pas réfléchir ne serait-ce qu’un peu, à la condition humaine.
C’est qu’entre les individus et l’humanité, il faut des repères, famille, amis, associés, partenaires, complices. Vouloir appartenir à une association qui nous intéresse mais dont un seul membre ne veut pas de nous, voilà de quoi vouloir se pendre. Groucho Marx aurait dit qu’il ne pourrait jamais appartenir à un club qui accepterait les gens comme lui. Grand humour.
Pensez à quelqu’un qui, blackboulé partout, ferait croire à l’existence d’un cercle hyper fermé, auquel tout le monde voudrait appartenir. Quelle vengeance que de voir ces notables l’approcher, étonnés qu’il en soit, convaincus que quelques personnages illustres y soient déjà.
Pensez aussi à ceux qui font tout pour accéder au cénacle, se plaignant partout qu’il est trop restrictif, mais qui, une fois admis, ferment la porte et s’opposent à ce qu’on l’ouvre encore. Nature humaine…
Et au président Kennedy qu’un club de golf de la côte est ne voulait pas comme membre parce que sa famille était trop nouveau riche et peut-être surtout crapuleuse.
Je suis heureux, par les temps qui passent, que mon compatriote juif, Roger Hanin, ait décidé de se faire enterrer a Alger, sa ville natale…ca en bouche un coin a beaucoup de touineurs de merdre…
La chute du billet , j’imagine que c’est pour des téléspectateurs .
Ne dit-on pas de G. Simenon qu’il fut mister 10000 femmes.
L ‘intégration par le clubbing, une idée. Pas la meilleure, mais une idée qd même.
J’étais trop individualiste pour eux
passou qui se écrire cela, faut rire ?
« ose »
La traversée de la Charente au moyen du pont transbordeur reliant ses deux rives en est la métaphore.
Il me semblait que le pont transbordeur de Rochefort avait cessé de fonctionner depuis fort longtemps.
non qu’il en eut jamais souffert
Attention au circonflexe : » non qu’il en eût jamais souffert «
Il a passé la ligne, il la repassera.
Rochefort fut longtemps une ville très conservatrice. Bourgeoisie locale solidement implantée, beaucoup de militaires, beaucoup de fonctionnaires. Une ville, de surcroît, exilée de son passé maritime. une ville foncièrement terrienne. Ce serait intéressant de confronter la vision que ce film propose d’elle avec celle d’un Jacques Demy.
cette histoire de club me fait penser à une …histoire juive en amérique où le gosse juif doit remplir la fiche d’identité pour « appartenir » au club et à la case religion marque …..goy
moi, ici, je ne sais pas encore
Kamel Daoud : Espace de contradiction du régime qui enterre dignement un ami de l’Algérie mais qui fabrique dans les écoles la haine de l’autre, de l’étranger et qui efface nos Algéries pour le bénéfice morbide d’une seule. Déni de l’histoire, protocole de la sépulture. On n’est accepté dans sa différence que mort. Vous pouvez visiter l’Algérie mais dans une tombe.
Algérie plurielle donc, refusée par l’Algérie de l’histoire unique et de l’identité dite arabe. Algérie rêvée de notre guérison, refusée par l’Algérie hideuse de nos dénis et qui est inculquée à nos enfants dans les écoles, perpétuée par l’Algérie islamiste qui dessine un nouveau territoire à la place de celui de nos mémoires, histoires et martyrs. Algérie résistante face à celle qui veut tout dévorer. Algérie fragile et qui, pourtant, a survécu à toute les colonisations. Et qui survivra à la haine de soi d’aujourd’hui, aux journaux Talibans et aux écoles sinistrées, cheikhs « gynécologues » et générations « je suis n’importe quoi ». Algérie de Hannin, Assia Djebbar, Dib, Messali, Maatoub, Massinissa, l’Emir et autres morts bienveillants.
Et Daniel qui fait sa Christiane … pffff ! Hadès ! un client pour tes chaudrons !
@ le pont transbordeur de Rochefort ??? En réalité, il est situé sur la commune de Tonnay-Charente et il fonctionne encore très bien, c’est une merveille de pouvoir l’emprunter tous les jours, surplombant le rythme des marées du fleuve côtier.
Quant à l’homme aux 10000 conquêtes, rions un peu ! S’être vanté de 1000 ne serait déjà pas si mal, si ç’avait été le cas. Il y en a icitte qui prennent vraiment leurs désirs pour des réalités.
Bihoreau baron de Bellerente et Oniséphore de Prébois, est-ce la même chose ?
Le Point Groucho
a vite été atteint
et c’est bien !
Marxtronomiquement.
Je suis heureux, par les temps qui passent, que mon compatriote juif, Roger Hanin, ait décidé de se faire enterrer a Alger, sa ville natale
On vous le laisse bien volontiers, croyez-le bien. Et Enrico Macias aussi, si vous insistez. Et tous les tocards du même tonneau. Dommage que les frères Kouachi n’aient pas pris la même direction. Si cela n’avait tenu qu’à moi, j’aurais laissé leurs carcasses pourrir à l’air libre, comme Polynice.
Diagonal, je n’ai pas envie de vous faire miroiter un portrait de Simenon qui vous ferait regretter le bon temps du bromure.
Du côté de Rochefort, -ville que je ne connais pas-, j’ai bien aimé un zoo, celui de la Palmyre, et puis franchir le viaduc illuminé de bleu, la nuit, qui conduit à Oléron, les cabanes de mareyeurs aux couleurs vives, de Marennes, et aussi ce petit hôtel, aux volets bleu pastel, que l’on gagnait en bordure de plage et dont on ne distinguait plus trop la limite, le sol de la chambre étant tapis de sable.
Voyez ? tout ça n’est pas dans votre guide Michelin. Ni un soir, au club.
Pascal Campan est un acteur presque aussi minable que Roger Hanin. Même pas eu le courage de lire le billet en entier, trop déprimant.
do I?
She Belongs To Me:
She’s got everything she needs
She’s an artist, she don’t look back
She’s got everything she needs
She’s an artist, she don’t look back
She can take the dark out of the nighttime
And paint the daytime black
You will start out standing
Proud to steal her anything she sees
You will start out standing
Proud to steal her anything she sees
But you will wind up peeking through her keyhole
Down upon your knees
She never stumbles
She’s got no place to fall
She never stumbles
She’s got no place to fall
She’s nobody’s child
The Law can’t touch her at all
She wears an Egyptian ring
That sparkles before she speaks
She wears an Egyptian ring
That sparkles before she speaks
She’s a hypnotist collector
You are a walking antique
Bow down to her on Sunday
Salute her when her birthday comes
Bow down to her on Sunday
Salute her when her birthday comes
For Halloween give her a trumpet
And for Christmas, buy her a drum
Tiens, un polar ce soir ..
Bon, le premier qui dit qu’il avait tout compris depuis le début prend un gage ..
Les gagnants seront ceux qui auront trouvé les autres possibilités .
( Il est possible que j’aie qq chance .. )
Pascal Campan est un acteur presque aussi minable que Roger Hanin (Max Lampin)
Roger Hanin n’était pas un acteur minable, c’était un acteur limité, dont le jeu démontrait la fausseté de ce qui était dit sur le fil précédent, à propos des acteurs qui devraient pouvoir tout jouer. Roger Hanin ne pouvait pas tout jouer, mais il jouait plutôt bien ce qu’il était capable de jouer. Au début de sa carrière, Chabrol avait su exploiter ses dons comiques dans des parodies plutôt réussies de films d’espionnage (« le Tigre aime la chair fraîche », « le Tigre se parfume à la dynamite ») qu’on ne revoit jamais, et c’est dommage. A côté, la complaisance lourdingue d’Arcady pour le milieu sordide où il fait évoluer Hanin dans « Le grand pardon » n’a pas vraiment mis en valeur les qualités de l’acteur. Un acteur de cinéma me paraît beaucoup plus tributaire de son metteur en scène qu’un acteur de théâtre. Au théâtre, Hanin était capable de performances remarquables comme dans « la Leçon » d’Ionesco.
Lien trouvé sur Touitteure, vous laisse apprécier..
ex.rsf.org/?_escaped_fragment_=/index-details#!/index-details
sans couper le début
http://index.rsf.org/?_escaped_fragment_=/index-details#!/index-details
Bon, déjà que certains prennent du Viagra pour lever le majeur…
Par rapport à Francis Huster, l’amoureux pathétique, Bernard Campan ne peut être qu’un acteur de génie.
Sinon, c’est un bon acteur dans ce genre de registre. Maintenant, chacun ses préférences.
…
…les clubs,…c’est plus souvent trompeurs,!…
…c’est pas, comme une auberge espagnole,!…
…
…il y a trop de club de rufians,!…
…c’est presque plus qu’une famille,!…avec ses échelons,!…un parrain en plus qui vous à recommander,!…
…quel mic-mac les clubs en ville,!…
…le plaisir, de n’avoir ressuscitez de club,…que mon syndicat du livre,!…
…les blackboulées de quoi,!…
…il n’y a rien,…du cinéma & du cirque, des prétextes pour s’empoisonner la vie,…
…pour des filles, les qu’elles,…tout le monde y a traîner ses pieds, à la madeleine,!…etc,!…
…blackboulés, qu’elles chance,!…autant en avoir des dizaines de clubs, en familles,!…alors,!…
…en gestions d’entreprises,!…
…la maison de repos,…le tennis de table & d’échecs,…des tours touristiques,!…
…c’est depuis, la loi » macaron « ,…
…allez les filles pour la république,…dépêchez,…les touristes du dimanche attendent, et font la queue,…du pain bénie des affaires,…
…
…mais, non, pas avec le voile,…faut pas rêvez un appel de la Mecque,!…un billet d’avion,…blackboulée,…un Dallas de sauvé,!…plein aux » as « ,…chocolat,!…
…etc,!…
…qu’est ce qu’on s’en fout,!…blackboulé au jeux de hasard, nos instituteurs,!…nos juges,!…pourvu que Mme Kamal est ouverte,!…Non,…arrête tu nous blackboule les c…l..s,!…
…à la corbeille, ou au poulailler du parlement anglais,!…of course,!…
…des clubs pour l’empire,!…tu bosse à froid dans le chaud,!…
…venez gentlements agreement, for gentleman paradise,…
…des madeleines aux gays, occuper à s’occuper,…diversions pour sa cour en décadence et luxe » obsolète « ,…
…vous travaillez même le jour du seigneur,!…surtout en républicain,…s’approprier ce droit à la féodalité pour le peuple,!…
…la poule au pot au profit net, de la crise nue en prière,!…
…VIVE LA LOI,!…pour deux sous,!…
…
…vous faite quoi dimanche, je travaille, je bûche,!…le pied ,! quoi, ! du touriste,!…la loi macaron,!…
…à pisser de rire,!…Stop ou encore,!…
…etc,!…
…qu’il est beau, mon village,!…Ah,!Ah,!…Nom de Dieu,!…
…la croix, La Croix, Javel net d’impôts,!…et le beurre,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…infini en Rex-publique,!…le fond de l’air est frais,!…suivant,!…
…
Un club intéressant,
celui des « étrangers ».
Où que j’aille dans le monde,
je rencontre des étrangers.
Bizarre, non ?.
PS : je ne parle point de bizarres étrangers comme certains.
Merci d’avoir rappelé l’anglais pour Mardi Gras, Bihoreau.
Ce « shrove » a une forte personnalité & une longue histoire de dérivation nordique:
shrive
(ʃraɪv)
v. shrove shrived, shriv•en shrived, shriv•ing. v.t.
1. to impose penance on (a sinner).
2. to grant absolution to (a penitent).
v.i. Archaic.
3. to confess one’s sins, as to a priest.
[before 900; Middle English; Old English scrīfan to assign, impose as a penance or sentence, c. Old Frisian skrīva to write, shrive, Old High German scrīban to write, prescribe]
Random House Kernerman Webster’s College Dictionary, © 2010
Diagonal, le pont transbordeur relie Rochefort et Echillais, mais pas Tonnay Charente et on ne peut l’utiliser tous les jours puisqu’il est fermé l’hiver. Foi de rochefortais !
Qui dira la solitude d’un directeur de supermarché qui veut s’intégrer au cercle des notables, dans une petite ville de province…
De celui qui n’a pas fait d’études supérieures, de celui qui a gardé un accent, de celui qui ne sera que de passage dans cette ville…
J’ai du éteindre la télé lorsque le directeur de magasin, soumis à la vindicte de quelques participants, n’a pas pu défendre son projet devant l’assemblée des parents d’élèves de l’école privée dont il était trésorier. Il s’est alors levé, solennel, pour dire un truc du genre: » je démissionne !, personne ne m’aime, bouh « .
Si je me souviens bien, la base aérienne de Rochefort est le lieu d’entraînement des pilotes de chasse pakistanais, ceux-là même qui risquent la confrontation avec les pilotes indiens des Rafales qui pour l’heure ne sont que des mirages…L’argent des armes n’ayant pas d’odeur, la lisibilité de notre positionnement est quelque peu brouillée…
« Un acteur de cinéma me paraît beaucoup plus tributaire de son metteur en scène qu’un acteur de théâtre. »
Plus de liberté au théâtre
(Arcady était bon comme acteur dans A »voir vingt ans dans les Aurès »
Avec le Grand pardon il a cherhé à faire une version Frenchie du Parrain?
« Avoir
« Il s’est alors levé, solennel, pour dire un truc du genre: » je démissionne !, personne ne m’aime, bouh « . »
laviedansles est trop sensible
19 h 54: …et Zeus qui se prend pour JC le Fourbe…
ma mère de ma mère
Manu le Catalan a virilement sorti sa grosse artillerie devant tout le monde hier : 49.3
Ce matin Momo, aussi, a sorti la sienne… : 6.1
L’argent des armes n’ayant pas d’odeur (Bloom)
Il n’y a pas que l’argent des armes. Voir la saga de HSBC.
Emile , votre cabinet d’analyste est à Rochefort?
Si vous avez regardé le film, ne spoilez pas svp, on veut savoir qui a mis la boule noire dans l’urne et pourquoi. À plus tard.
Emile, en plus tu sais, j’ai éteint la télé car j’avais aut’chose à faire, bouh.
le PQ de porquerolles sent des pieds, c’est bien connu pour les fourbes
Dur, ce matin….
Plus de liberté au théâtre (emile)
Forcément. Le cinéma est un art qui se rapproche beaucoup plus de la peinture que du théâtre. Le cinéaste et son équipe fixent en effet définitivement le résultat du travail des acteurs ( au montage notamment), comme un peintre fixe le résultat de son travail dans un de ses états, à l’aide d’un fixatif. On pourrait définir le théâtre comme l’art par excellence de l’expressivité du vivant dans sa variante humaine. » L’expressivité est une propriété du vivant, et elle conduit à son individuation « , écrit Dominique Lestel dans « Les origines animales de la culture ». Avec cette réserve que le théâtre n’exploite que deux domaines de l’expressivité du vivant, le domaine visuel et le domaine auditif. L’olfactif et le tactile sont exclus. Après tout, on pourrait imaginer que le public soit admis à flairer et à toucher les acteurs. Spectatrices et spectateurs se mélangeraient alors aux acteurs et actrices dans une spectaculaire orgie, à moins qu’ils ne se fritent et ne s’entre-tuent. Mais le théâtre suppose que ce qui est représenté soit mis et gardé à bonne distance des spectateurs. Reste à bien comprendre pourquoi.
…
…blackboulé,…blackboulé,!…la loi est bonne,!…
…un seul, problème de fond,!…
…elle fait tout et rien,!…
…le meilleur pour l’état,…et le pire gâcher la vie des gens,!…
…
…en réalité, il faudrait plusieurs lois, différentes…au cas par cas,!…
…
…et non pas, une loi en paquet, qui englobe » tout et son contraire « ,…
…pour s’envoyer en l’air,!…
…au suivant les présidentiels avant l’heure,!…chaud ou froid,…
…nul ne sait dire,!…si la coupe est pleine,!…
…renvoyez l’ascenseur,!…please,!…of course,!…etc,!…Ah,!Ah,!…
…à la bonne chaumière du village,!…un repos bien mériter,!…
…le beurre aux épinards,!…à la soupe,!…
…
Mais le théâtre suppose que ce qui est représenté soit mis et gardé à bonne distance des spectateurs. Reste à bien comprendre pourquoi. (moi)
Rien à voir avec le fait que le théâtre est un divertissement. Après tout, l’orgie et le meurtre peuvent être envisagés comme divertissements. Cet ostracisme de l’olfactif et du tactile a plutôt quelque chose à voir avec la dimension symbolique de la représentation théâtrale. On peut se dire que l’olfactif et le tactile sont perçus ( peut-être à tort ) comme des entraves au processus de symbolisation en oeuvre dans toute représentation. J’erre sans doute complètement mais la question m’excite et d’autant plus que je me sens quelque peu ostracisé moi-même. Je comprends mieux les regards en coin que me lancent mes voisins (surtout mes voisines) quand j’assiste à une représentation théâtrale : c’est que je suis très olfactif et tactile ; j’aime renifler et toucher mes semblables.
On pourrait envisager que flairer les acteurs au travail constituerait pour le spectateur un très sûr moyen de mesurer le degré d’identification de l’acteur à son personnage, par exemple dans les moments de jalousie exacerbée d’Othello : l’intensité et la qualité des phéromones émis par l’acteur varie forcément en raison directe du degré de son implication. Ainsi, je suis persuadé que si j’avais pu flairer Dominique Blanc au cours de son interprétation de « la Douleur », j’aurais été ébloui et grisé par la qualité des phéromones émis par le corps de l’actrice.
« le théâtre suppose que ce qui est représenté soit mis et gardé à bonne distance des spectateurs. Reste à bien comprendre pourquoi. »
Oui, c’est louche
Ainsi, je suis persuadé que si j’avais pu flairer Dominique Blanc au cours de son interprétation de « la Douleur », j’aurais été ébloui et grisé par la qualité des phéromones émis par le corps de l’actrice. (moi)
Je comprends mieux à présent l’état de sidération dans lequel Assouline nous dit qu’il fut plongé lors d’une représentation de « La douleur » : c’est que, probablement assis au premier rang et côté Jardin, il se trouvait plus directement exposé aux effluves de l’interprète. Je garde moi-même le souvenir d’une représentation où l’interprète principale souffrait manifestement d’un problème de rétention intestinale. L’inconvénient était d’autant plus sensible qu’elle jouait généralement de dos. Déjà qu’on n’entendait pas ce qu’elle disait… Mais nous nous écartons là de la question des phéromones stricto sensu.
probablement assis au premier rang et côté Jardin (moi)
Côté Cour ! A force de lire Finkielkraut, je finis par confondre ma gauche et ma droite.
A Rochefort, du temps des Demoiselles, Jacques Demy aspergeait la place centrale avec du Rexona pour y séparer le miasme populaire des effluves corporelles des deux jonquilles. Depuis ces temps odoriférants, on y respire de l’Hermione à la Ségol aseptisée, car depuis, tout à foutu l’camp : les cabinets de psy s’y font rares, les bases militaires sont parties, les jumelles ne chantent plus, le pont transbordeur s’arrête l’hiver et durant toues les arrière-saisons, il n’y a toujours pas de clubbing ni d’escort girls dans les parages. bref, ça n’y sent pas très bon. Heureusement, il y a encore la mémoire de monsieur Bégon qui surnage et le parfum de ses célèbres tubéreuses. Certes, cet illustre Michel n’aurait jamais pu rencontrer monsieur Loti aux clubbs de jadis, si l’on en croit le guide de Mame Micheline, mais enfin, on peut tout imaginer de la rencontre de leurs mânes. D’après qu’ils aimaient chacun le lapin chaud au fumet faisandé qu’ils n’assaisonnaient jamais de bromure.
La déesse de la Justice du Club, THEMIS, vient de me poser trois jours de congés pour le Nouvel An chinois ! Bon ! Pourquoi pas …
A la question, bien naturelle, que je lui pose « Qui te remplace ? », elle me lance comme un défi « Taubira ! ». A moi ! elle me répond ça à moi, ZEUS !!!
Je l’ai blackboulée vite fait…
Et une librairie de moins à Saint-Germain-des-Prés ! Et quelle ! « La Hune », légende du quartier : de feu le quartier.
—
L’avait déjà pas mal divagué, La Hune, du coin du Bd St Germain et de la rue St Benoît direction anciennement Le Divan (relocalisé à une époque rue de la Convention). C’était plus pareil, moins chaleureux, trop blanc, trop propret…Reste Galignani, ailleurs, mais diablement classieuse & utilement bilingue.
J’ai trouvé plus fort que moi dans la fourberie quotidienne : le PQ de Porquerolles
les cabinets de psy s’y font rares,
sûrement parce que les habitants à part les psys eux-mêmes, sont tous guéris, depuis
10 h 49 min
aux premiers rangs lors de représentations à la Comédie française et d’autres théâtre on recevait des senteurs de poudre(maquillage) et d’étoffes neuves
@ Léopold. Pas grave…, il paraît qu’elle va être transbordée à la Hune de Rochefort, et que l’intelligentsia germanopratine qui l’a aimée l’y suivra bien volontiers. Ça fera d’ailleurs un peu d’air à Paname d’autant que nous saurons tout mettre en œuvre pour bien mieux les y accueillir. Car pour nous, voyez, les parisiens ne sont plus des têtes de veaux ni les parigots des têtes de chiens. Tout ça, c’est du passé blackboulé, il faut aller de l’avant maintenant : l’avenir est dans les marais (poitevins ou rochefortais), pas dans ceux du 75-3, 4 ou 5.
au premier rang lors de représentations à la Comédie française de Don Juan, on recevait des giclées de foutre tant le jeu de l’interprète était vrai ! Le lendemain, les cirés bretons étaient enfilés et le premier rang éblouissait de jaunasse.
Nous comprenons mal, vu de chez nous tout là-haut, en quoi un bon plombier qui s’installe en lieu et place d’un piètre libraire en faillite, serait une mauvaise nouvelle …
Je me demande si notre simplicité n’est pas la conséquence de notre sagesse, ou l’inverse.
En tout cas, depuis le temps qu’on voit la gueule de profil de Simenon à droite, on se dit que c’était pas 20 dieux possible qu’il ait pu se taper 10000 vierges con sentantes.
La demande, pour n’importe quel pipard y compris Simenon, est certaine d’être satisfaite tant l’offre des vierges expérimentées est importante.
Vous voulez faire de la quantité ? Ne tenez pas un langage moral…allez-y sans vergogne. Vous voulez faire de la qualité ? Travaillez… pied à pied…. c’est pas gagné.
une femme que P.Asouline avait blackandeckerboulée de la RDl m’a dit qu’elle avait regardé le Simenon ….Elle avait connu le fils d’un fondateur de supermarché , et patron d’un magasin ; j’en ai rien à castrér que je lui ai dit en erdélien bien tempéré qui aime la paix dans son ménage à 49.7/6/5
Bonne journée
Zeus toujours aussi fourbe et impuissant, ceci explique cela, c’est JC
Emiste, le replay permettant désormais de gérer son temps, j’ai pu un peu avancer dans l’intrigue. Parallèlement, je viens de lire une préface de M. Carly aux romans américains de Simenon, et notamment concernant la « boule noire » qui retrace une expérience de vie américaine des 50’s.
« L’Amérique ce n’est pas une dizaine de grandes villes, ce sont des dizaines de milliers de petites villes’
Peut-être ajouter aussi dans ce contexte, que le lien social passait par l’appartenance , to belong to.
Dommage que la version télé, outre la valise en carton de L. De Souza, tombe dans des clichés bien franchouillards.
Il ne faut jamais se moquer des valises en carton. Marceline Loridan-Ivens en parle également dans un témoignage récent, « Et tu n’es pas revenu », encensé par notre Croc-Blanc national du jeudi soir. J’ai perdu au moins une heure sur deux, l’une à écouter la vieille dame, l’autre à lire la vieille dame. L’histoire des petites cuillers de S. V. m’a ému. Sinon, il vaut mieux s’atteler à l’Ultime Auberge d’Imre Kertesz, ou alors prendre son temps de bien changer l’eau du poisson rouge, car il le mérite. Ou encore, s’atteler au Dernier journal d’Henry Bauchau, formidable leçon de vie avant d’en partir. Actes Sud publie de très bonnes choses en ce moment, je trouve, n’est-ce pasSoul ?
@Vous voulez faire de la quantité ? Ne tenez pas un langage moral…allez-y sans vergogne. Vous voulez faire de la qualité ? Travaillez… pied à pied… c’est pas gagné.
Et DSK, objet d’un non lieu commun, il était plutôt dans quel registre ?
D.G.L je n’ai pas le coeur à m’en moquer, d’ autant que la valise de cette dame est encore vide à l’heure où je vous écris..
Mais what about this American way of life vu par Simenon in Lakeville ?
Un detail: le metier de directeur de supermarket est « significant’
sur psy et appartenance
la psy eliane amado levi valensi a justifié son départ en israel par son besoin de se sentir appartenir
Zeus/JC.PQ de Porquerolles toujours dans l’usurpation de pseudos, son sport favori
@16.29 Mais on croyait qu’elle était partie à Jérusalem en 2006, EALV. Je ne pense pas que MLI mettra une menace similaire à exécution, quand même. Il ne faut pas partir, voyons, on ne va pas capituler, mes frères. Ici, les choses sont sous contrôle, on s’appartient bien. Et notre chef d’Etat l’a rappelé au cimetière : l’appel de Benjamin n’est qu’un piège grossier pour tester la détermination de l’oncle Sam à abattre le Daech (dit ETA islamique). Restons calmes.
@15.22 http://www.trussel.com/maig/match53f.htm
Un ‘style de vie’ pareillement réglé avec (bo)Bonne Denise (Bombardier ?), mais c’est une véritable horreur, un vrai enfer sur terre US !… Mais c’est quoi, au juste, le lien avec le directeur du supermarché ‘significant’ casher ? J’y comprends rien à toutes ces sautes d’humeur. Les internautes sont pas toujours faciles à suivre dans leurs divagations mentales, et pourtant ils voudraient bien qu’on les suive, mais à quoi bon ? Ils ne savent pas toujours eux-mêmes où ils en sont dans leur tête tourneboulée. Parfois, on croit en capturer quelque chose, en attendant que notre hôte mette un autre billet pour les faire repartir dans une autre direction. Et puis non, très vite, on n’y comprend plus rien. Même le Saint-Ange a l’air de baisser les bras d’impuissance, lui qui cherche à tout comprendre. Bonjour celui ou celle qui devra décrypter tout ce matériau pour aider à la future thèse HDR de doctorat de notre hôte : « Intertextualités en ligne : les nouveaux défis de l’écrivain journaliste face à son lectorat », sous la direction de Francine Chandernagor.
tremble vile carcasse de Zeus, ma vengeance arrive et elle sera terrible, comme pour ton pote JC le Fourbe !!!
Il serait peut-être temps de nous replonger dans les fondamentaux, et notammen les écrits de Jacques Ellul. Par exemple ceci : « L’homme n’est pas du tout passionné par la liberté comme il le prétend. La liberté n’est pas chez lui un besoin inhérent. Beaucoup plus constants et profonds sont les besoins de sécurité, de conformité, d’adaptation, de bonheur, d’économie des efforts… et il est prêt à sacrifier sa liberté pour satisfaire ces besoins. Certes, il ne peut pas supporter une oppression directe, mais qu’est-ce qui cela signifie ? Qu’être gouverné de façon autoritaire lui est intolérable non pas parce qu’il est un homme libre mais parce qu’il désire commander et exercer son autorité sur autrui. L’homme a bien plus peur de la liberté authentique qu’il ne le désire ». C’était en 1973, dans Ethique de la liberté, p. 36, je crois. Ellul était une sorte d’anarchiste chrétien inclassable. Pas de sa faute, la foi l’avait visité à 17 ans à son insu et n’avait plus voulu le quitter. Or, tout le monde n’a pas cette chance, Houellebecq pas plus que Carrère, et évidemment ce défaut biaise un peu la pensée par rapport à celle de l’athée moyen. Mais enfin, le parpaillot qui était resté en Ellul rendait néanmoins sa dialectique lucide, elle savait rester matinée d’autocritique (« quand je rencontre quelqu’un avec qui je suis spontanément d’accord, je commence par rechercher les points de désaccord », aimait-il à répéter durant ses cours d’histoire des institutions à science po et fac de droit de Bordeaux I). Il avait osé soutenir que « le christianisme était la pire trahison du Christ, depuis notamment la trahison du marché passé entre l’Eglise et l’Etat sous Constantin ». Même pas peur ! Pro-israélien de la grande époque, il considérait encore que l’Islam avait tendance à réclamer pour lui-même tous les droits tant qu’il était minoritaire et de les refuser aux autres quand il était ou en passe de devenir majoritaire (Islam et judéo-christianisme, 1994). Pourtant, il se démarquait d’un islamophobe de la trempe de son ami Louis Massignon qui ne craignait pas d’assurer, de son côté que « Mahomet [était] un prophète négatif, au sens il avait prétendu se situer après le judaïsme et le christianisme et les dépasser, alors que dans aucun domaine, il n’avait strictement rien apporté de nouveau par rapport au judaïsme et au christianisme » (sic, Réforme, 15 juillet 1989). Dur, quand même, non ? Enfin, tout ça est bien vieux et obsolète, maintenant. On ne peut plus en faire grand-chose. Mourir pour des idées d’accord, mais de mort lente, comme on dit par chez nous, dans les marais de Rochefort ou de Pessac, pas vrai ?
Petit extrait de ce film O Salto (Le Saut) de Christian de Chalonge de 1967
http://www.youtube.com/watch?v=q9XVDWILLck
Je suis désolé de te l’apprendre, ô Zeus/JC le Fourbe mais il y a un contrat littéraire contre toi car par ta méchanceté légendaire tu as détruit des commentateurs vénérés sur ce blog comme les Christiane, Clopine, Jacques Barozzi, Lucien Amont et Tata Yoyo qui nous ont demandé de sévir et de te faire disparaître d’ici où tu as semé haine et discorde depuis trop longtemps… le contrat prend effet maintenant, tremble Ô Zeus/JC le Fourbe et bientôt on pourra dire ENFIN !
et oui Diago, c’est le gros problème de la littérature quand elle se sécularise complètement.
merci pour cet extrait d’Ellul.
non seulment la liberté n’est pas souhaitée mais en plus elle n’est pas souhaitable, c’est pour cette raison que les nietzschéens sont des irresponsables qui nous gonflent.
L’homme n’est pas fait pour être libre parce que la nature de l’homme le pousse vers l’égoïsme, l’ambition, la cupidité…
C’est l’éternel équilibre entre sujet et individu, aujourd’hui nous vivons une époque qui a desassujettisé les hommes, pour aller vers l’individu, c’est tout du nietzschéeisme à deux balles.
l’homme n’est pas libre parce que pour que son humanité se déploie il doit être sujet : sujet politique, sujet familiale, le bnoheur de chacun devrait dépendre de celui des autres, il ne devrait être permis à personne d’être heureux dansx ce monde tant qu’il subsiste une once de malheur, c’était le message du Christ mais les hommes n’ont jamais étaient capables de l’entendre, come l’écrit Dostoïevski dans l’Idiot le surgissement soudain de cette humanité véritable effraie les gens, ils préfèrent en rire, au mieux s’en moquer, au pire sacrifier celui qui la porte.
aujourd’hui tous ne jurent que par la liberté et la vérité, comme les écrivains : ce livre est inattaquable car il dévoile la vérité… tu parles qu’est-ce qu’on en a ciré de la vérité dans un monde injuste !!!
tous ces crétins qui nous bassinent avec leur vérité, leur liberté et leur beauté dans ce monde où règne la pire des injustices !
mais s’ils préfèrent nous bassiner avec leur vérité » et leur liberté c’est que l’injustice ils ne veulent pas la voir !
un monde d’hommes libres et un monde de loups où tous les coups sont permis.
et un monde qui ne jure que par la vérité est un monde de sourds et d’aveugles qui refusent de vboir la réalité du monde !
>Déméter dit: 18 février 2015 à 18 h 55 min
On se dirait dans un roman de Jasper Fforde. Règlements de comptes à OK La république des Livres.
Tant qu’il restera des points de suspension pour Giovanni, ça va.
mais les hommes n’ont jamais étaient capables de
l’orthographe n’est paas libre ,non plus, hamlet
Simenon a eu beaucoup de maisons. Et tant qu’à faire il a semble-t-il mieux connu La Rochelle que Rochefort.
J’ai repensé à ça, en lisant cette étude sociologique menée par des déménageurs dont ils ont parlé à la radio.
» dans ce moment de perte de repère familiers, les déménageurs n’ont d’autre choix que de se transformer en diffuseurs de calme essentiel »
http://www.lemonde.fr/m-moi/article/2015/02/16/les-francais-vus-par-les-demenageurs_4577181_4497945.html
Sa maison in Lakeville was named « shadow rock farm », pretty » I had a dream » , isn’t it ?
Jacques Ellul
Grand plaisir de lire le nom de cet homme infiniment libre, ce que la citation donnée prouve. Il a écrit à la fin de sa vie un livre magnifique sur l’Ecclésiaste.
Voilà ce qui me gène dans le billet, il ne fallait pas dire: » principe éprouvé de la transposition », mais: tentative télévisuelle éprouvante de déménagement. De la carte, du territoire et des dates.
Le meilleur film que j’ai vu concernant le billard américain, ce sont les yeux de Paul Newman, in « the color of money »
Bonsoaaar, comme disait un ancien critique cinéma, devenu ministre; je dois voir la fin de ce téléfilm, si je veux comprendre le jeu du pharmacien ( excellent Antoine Duléry) et l’abnégation de Mme Ferrara (excellente Virginie Lemoine, dont on regrette le duo avec Laurent Gerra, ah, Laurent!).
Michel TOURNIER (à une journaliste italienne) : « Je vais vous apprendre quelque chose. Savez-vous ce qui s’est passé le 23 Avril 1616 ? C’est formidable ! Le 23 Avril 1616 c’est le jour de la mort du plus grand écrivain anglais, Shakespeare et le jour de la mort du plus grand écrivain espagnol, Cervantès. Le même jour ! Il n’y a que moi qui le sais. Et maintenant, nous sommes deux.
Shakespeare est mort à 52 ans et Cervantès à 69 ans. Le même jour ! C’est incroyable, incroyable ! »
Vous êtes sûr de ça ? Parce que si c’est vrai, ça change tout, vraiment du tout au tout, on va être tout pleins à le savoir.
Sinon…, à propos du reportage sur les déménageurs comme « diffuseurs de calme essentiel », il est épatant, ce papier, moi il m’a fait penser à la nouvelle hilarante d’Allan Bennet, « La mise à nu des époux Randsome », des déménagés dans un autre genre d’azimutés, mais calmes tout de même… Lisez ça : vous verrez, une fois les zigomatiques déridés, on pense plus du tout aux chacals puants de la RDL, croyez-en mon expérience. moi.
Sissi est bien morte le même mois que Mallarmé. Faudra informer la journaliste italienne de Tournier. Dsk eût-il eu une belle plume, Simenon pouvait se rhabiller.
…
…il y a, à mon avis un petit détail à souligner,!…
…
…le genre à Simenon, Oui,!…le genre à Simenon,…bon,…çà reste,!…disons dans des » stratifications coincées « , dans le genre littéraire,…çà vole,!…au ras des chaumières,!…de la chimie cintrée,…pour le prestidigitateur,!…le vertige, tenez vous aux balustrades du conformisme,!…
…
…alors,…chérie,!…qu’est ce qu’il sort,!…un lapin ou un pigeon,…il tient déjà le chapeau,!…t’a du feu pour ma pipe,!…etc,!…
…quel foutoir,!…çà vaut le déplacement,!…
…Non,…arrêter le,!…j’explose,!…Ah,!Ah,!…
…
Aujourd’hui c’était les Cendres. J’ai mangé du riz blanc, excellente nourriture au demeurant, à laquelle je suis habituée du fait de mon intense entrainement de Kung-Fu.
Mon goût pour le Kung-Fu m’est venu après avoir visionné un chef-d’œuvre cinématographique de 1972.
…
…le riz au lait,…avec du miel,!…avec chicon-jambon sauce béchamel,!…
…
…trouvez des diversions pour ne pas y rester !
…steak frites salade,…bière ou vin,!…
…
…la bonne table,…un plus de trop,!…
…ma soupe aux épinards,!…régulation top -là,!…etc,!…
Ce n’est pas que la fatigue gagne,
mais je ne suis plus aussi courageux.
Ou que la lassitude à ressasser devient épuisante ou inepte !.
(Lors certains s’y conchient avec bonheur),
Non,
la belle affaire :
c’est « se faire blackbouler »…
De la boule noire à la liste noire …
Combien de distance ?… .. .
Shakespeare et Cervantes étaient contemporains- (re)lire Le Roi Lear et le Qijote
DGL, @17h12, le principe du billard est une anticipation de la trajectoire. C’est mathématique. Le plus dur c’est quand le tapis est rond.
http://images.math.cnrs.fr/Quand-les-matheux-jouent-au.html
Dans le blackball, la partie se gagne quand la boule noire finit par être empochée. Eh oui.
Finalement, la scène la plus triste, qui ne devrait pas faire rire, c’est quand bourré, M. Ferrera rentre à la maison et que madame endormie se lève du canapé au bruit du freinage au frein à main 😉
>Diagonal dit: 18 février 2015 à 21 h 42 min
Michel TOURNIER, etc..
L’Angleterre et l’Espagne n’avaient pas le même calendrier, donc Cervantes et Shakespeare ne sont pas mort le même jour, même si c’est le 23-4-1616. Cela m’étonne de Michel Tournier, cette petite erreur.
8 h 50 min
1616 était une année bissextile aussi dans le calendrier grégorien.
Je suis conscient que cela va faire de la peine au Connétable Pierre Assouline mais je lui dois, nous lui devons, la vérité : Simenon ne tient pas le coup vis à vis de nos poètes éternels !
Hésiode ! Homère ! Eschyle ! Sophocle ! Euripide ! Montherlant ! Courteline ! Tsipras ….
George Gordon, dit Lord Byron le boiteux, grand héros de l’indépendance grecque, flanque une torgnole olympique à zeus l’hémiplégique.
Bloom, nous avons ici, le respect le plus grand pour le Don juan de Byron, poème en 16 chants….
Pour ses actions politiques ? distractions nobles et amusements d’époque !
Que dieu, qui règne au Quai, vous lave de la crasse des idées reçues …
@23.10 « à laquelle je suis habituée »
D. est une femme maintenant ? Voilà aut’chose ! Faut dire qu’à ct’heure là, tous les travestissements sont permis.
@19.01 Malgré vos sympathiques emportements, on sent chez vous un type de bonne volonté… Donc, moi je pense qu’il faut arrêter avec les « nietzschéens » par ci par là. Friedrich id dead depuis plus de 100 balais, et « la pensée 68 » depuis 40. Bon alors… il est temps d’aller de l’avant. Seriez-vous ou non d’accord avec la question du jour (ou l’enjeu d’aujourd’hui ?): comment et avec quoi reconstruire le monde athée que nous aimons, de façon à y transformer « l’individu » en « sujet libre », sans jamais oublier dans le même temps de nous attacher sans relâche à diminuer les inégalités mondiales. Et je suppose qu’ici, tout le monde -en dehors de JC- a commencé par sortir et déclarer ses biftons planqués en Suisse ou aux Asséchelles. Donc moi je suis prêt… à vous suivre (d’)ailleurs, étant très allégé de ce point de vue. Mais comme je n’oublie pas qu’on est aussi chez Passoul, -nousa y avons des droits, mais aussi des devoirs-, je pense qu’une « littérature » vraiment désécularisée (ie : déchristianisée, déjuivée, démusulmanisée) nous montre aussi les voies à suivre. Elles sont plurielles : donc, à nous tous de savoir les décrypter sans nul besoin de nous pâmer devant des gourous ou des mandarins ou de nous complaire à l’infini dans le narcissisme stérile du miroir des autres inconnu-e-s du blog. Ni de nous insulter à longueur de temps, car ça nous en fait perdre beaucoup. Je persiste donc à penser qu’un Houellebecq sait nous dire quelque chose d’important. Non, il n’est pas Piketty, comme le disait chépuki, mais le regard de B. Maris, un autre décrypteur du monde à venir, sur son économisme » n’était pas con ou totalement inintéressant non plus.
Bon, assez jacté : à vous maintenant, Stoke on Trent !
Nous avons sur vous, Diagonal, l’avantage du recul temporel : Bernard Maris, RIP, était un gros nul en économie, et, comme disait Fernand Contandin, Piketty aussi ….
Ceci dit, nous n’avons rien contre la mode, ici aussi !
le Don juan de Byron, poème en 16 chants….
—
Kikipedia oublie de spécifier « en anglais démotique », mâtiné de gouaille « arberdonienne ».
le QI , c’est fini, voyez nouv obs génie et créativité ,même avec la valise de Newton: parano, ne vous abstenez pas , paparazzi non plus
« en anglais démotique », mâtiné de gouaille « arberdonienne ».
Quoi c’est ? Domotique, on connaît, démotique, c’est populaire ? Arber… quoi ? Ne pouvez vous pas libérer vos propos de ces oripeaux prétentieux, mon brave forgeron ?
…
…rien, n’est moins sûre,!…
…
…un réveil dosé, d’une France à la grecque,!…les positions de gauche, un signe avant coureur,!…
…faut voir, si la droite, vaut la chandelle,!…à température » normale « ,…à long terme à l’heure,!…un parfum de cire d’abeille,!…
…quoi de plus normal,!…le pouvoir de s’en remettre aux Dieux,!…à mon tour,!…la cage dorée aux folles,!…le fût matelot en deh’ors de grâce,!…Ah,!Ah,!…
…ne nous mélangeons en France de velours,…enceinte, comme machine à laver au ballon,…des serviettes et des chiffons,…
…l’obélisque des motions, en place Bastille,!…
…c’est pas de saison,…sentinelle,!…etc,!…
…allez tes deux lignes d’appoint,!…
…
ma mère de ma mère quel couilong cong que ce PQ de Porquerolles JC/Zeus
>emile
Cervantès et Shakespeare sont morts le même jour, le 23 avril 1616, mais à onze jours d’intervalle. Toutes les sources semblent d’accord sur ces onze jours. (En revanche, il y a un doute pour le décès de Cervantès entre le 22 ou le 23 avril).
15:06, tiens revoilà bouguereau, youpire
Fervantèf a écrit don quirote en algésira. à l’époque on rigolait bien avec les pépés dans la casbah.
tout àl’heure, j’ai bavardé avec les jardiniers: une pseudo plainte d’absence de fleurs dans la bibliothèque , histoire de parler de ma chère bibliothèque ?ou de mes chères fleurs? j’ai donc dit aussi que j’aimais beaucoup le fragile begonia rose !
, on est relié à quelque chose de très ancien, on est dépassé. Il y a un autre rapport à l’innovation. »
et le jardinier m’a promis de m’apporter un begonia!
« Fervantèf a écrit don quirote en algésira. »
Non il l’a écrit après
(« Algeriras » est une ville d’Efpagne. Alger se dit/s’écrit « Argel »)
burntoast dit: 19 février 2015 à 15 h 21 min
erreur! une histoire d’année bisextile d’un des deux calendriers
(de toute façon ça change quoi? ils ont écrit à une époque de bouleversement gigantesque de leur monde, de sa société et ses valeurs ..)
« à l’époque on rigolait bien avec les pépés dans la casbah. »
je sais pas j’y étais pas
Non il l’a écrit après
c’est sûr. ferfantèf était au cachot à alger. pas de bic à portée de main. seulement des idées. a lot of grete ailldieuze.
Diagonal !!! et la transcendance ? vous aimez notre Droopy national, je le vois bien, vous êtes prêt à lui donner toutes les qualités que vous aimeriez trouver chez un écrivain, c’est n’en parlons plus.
l’athéisme d’accord, l’immanence passe encore, encore qu’avec nos philosophes nous en bouffons à volonté comme dans les buffets des restos chinois.
quel dommage que welbec et onfray ne soient homos nous aurions pu les marier, ils auraient fait un couple parfait, idéal, de leurs deux grands esprits seraient nés… nés quoi ? un esprit encore plus grand ! ils se seraient donnés des conseils, mutuellement, le soir, sur l’oreiller, les deux Michel : – Michel tu sais, je ne trouve pas assez nietzschéen dans tes livres – ah bon Michel ? tu ne me l’avais dit, tu aimerais que je le sois plus ? – oh oui Michel soit-le plus, comme je t’aime – Michel si tu le veux alors je le serai, je serai encore plus nietzschéen que le plus neitzschéen des nietzschéens parce que je t’aime Michel – moi aussi, partons, en bateau, toi z’é moi, sur la mer Michel !
alors oui, la transcendance ! vous croyez Diago que je n’ai pas vu la queue de trois kms devant l’expo Picasso ?
l’Art et la Culture comme substitut pour calmer nos besoins de transcendance, et la déception de ces gens devant une poupée gonflable de jeff koons, qui est à l’art ce que les Michel sont à la littérature et à la philo.
Diagonal, souvenez-vous d’Yvan Karamazov !!! lui aussi pensait pouvoir s’en passer : Dieu tant qu’une larme coulera sur la joue d’une enfant… je ne refuse pas Dieu mais je lui rends mon billet….
Je lui rends mon billet Diagonal, voilà la pensée qui l’a perdu, c’est là tout le génie de Dostoïevski, parce qu’il a perçu cette larme sur la joue de cette enfant et à partir de là il était piégé par sa prédisposition morale ?
comment ne pas sombrer dans la folie Diagonal? regardez donc autour de vous : tout n’est que démesure, je ne vous demande pas d’être accablé par les malheurs du monde mais de voir cette démesure, vous en connaissez la cause ?
je vais vous la dire : c’est la liberté !
quand il n’y plus rien au dessus des hommes alors il ne peut y avoir qu’une alternative : la démesure ! et cette démesure nous fera tous sombrer dans la folie.
le problème est que nos deux Michel adorés n’ont pas d’enfants.
quand on a pas d’enfants, comme dirait Cloche on ne devrait s’autoriser qu’une chose : fermer sa gue.le sur ces questions.
parce qu’aujourd’hui nous sommes tous des Yvan Karamazov !!!
Miguel de Cervantes mène d’abord une vie aventureuse de soldat et participe à la bataille de Lépante en 1571, où il perd l’usage de la main gauche. Cette main paralysée lui vaut le surnom de « Manchot de Lépante ». Le 26 septembre 1575, à son retour vers l’Espagne, il est capturé par les barbaresques avec son frère Rodrigo et, malgré quatre tentatives d’évasion, reste captif à Alger. En 1580, il est racheté en même temps que d’autres prisonniers espagnols et regagne son pays.(Wiky).
La rançon était de 500 écus.
Ce sont les frères trinitaire qui s’en occupèrent.
William quel est l’intérêt de votre commentaire ? Je parlais de l’erreur de Michel Tournier, point barre. C’est tout. Des vrais zombies sur ce blog…
Le Père Hugo tenait lui aussi,et par erreur, que Shakespeare mourait le jour de la naissance de Corneille. A trop aimer les antithèses…Il est vrai qu’il tenait cette information de Shakespeare himself par la Table tournante. Il est vrai aussi qu’il s’est rendu compte plus tard de l’erreur en piégeant sounoisement la Table!
Bien à vous.
MC
William quel est l’intérêt de votre commentaire ?
Y’en a pas.
…
…et, pour les autres,!…
…
…tout ceux, qui ne sont pas allez, aux fonds d’eux-même,!…pour avoir le choix de ne pouvoir devenir,…ni Degas, ni Matisse, ni Picasso, ni Modigliani, ni Monet, ni Manet, ni Braque, ni Gauguin, ni Van Gogh, ni Toulouse-Lautrec,!…
…quelle vie,…de citoyen au talent d’être soumis, endoctriné,…en fantasmes & cinémas,!…les aux codes déontologiques recyclés en profits,…la loi,!…
…les lois à détournées,!…pour ses paradis,… » mais , c’est bien sûr,!… », rappelez-vous,!…
…donc, la gauche et ses » francs-tireurs,!…quels cinéma,!…c’est clair,!…
…les caricatures des lois,…Oui,!…pour s’y trouver toujours du bon côté,!…
…la politique de la chaise vide, en manque,!…à la langue de bois,!…à je vois,!…etc,!…Ah,!Ah,!…au pinacle,!…
…
Vous êtes prothésiste sur commentaires ?
Donner la « bonne » parole à vos toutous robots y’a que ça qui vous intéresse…
@18.40 C’est la dernière fois que je fais l’effort de vous répondre. On pressent trop de douleurs intimes dans vos propos, quelque chose qui s’apparente au drame de Fedor lors de la perte du petit Aliocha, un ressort transposé dans les Frères, et on le respecte. Cela dit, pourquoi ne pas vouloir aussi essayer de comprendre celles et ceux qui ont cru devoir exercer leur liberté d’athées (la plus difficile qui se puisse vivre) en refusant d’engendrer, tout en respectant néanmoins l’angoisse de l’immense majorité de celles et ceux qui se reproduisent pour atténuer la peur de leur finitude dans leur descendance, et de ces quelques autres qui savent éduquer leurs enfants sans leur raconter d’histoires sur la mort et après ? Mais pourquoi vous sentez-vous obligé de tenir des propos homophobes aussi indignes, pas drôles du tout et finalement bien peu spirituels ? Chacun dans leur catégorie, les deux Michel épinglés méritent mieux que ce à quoi vous les réduisez (la mère Michel ? franchement si c’était pour cette facilité). Peu importe : finalement, désolé, je ne suis pas prêt à partager votre révolte si elle est seulement dictée par la question de savoir ce que nous aurions fait de la « transcendance », laquelle correspondrait pour vous à un prétendu besoin vital propre à l’espère humaine et que Nietzsche aurait prétendument pulvérisé ?… Avec cette conséquence que les masses l’ayant perdue, elles iraient en purger maintenant le manque en se prosternant devant les musées ou que sais-je. Franchement, si vous ne voyez pas là dedans un simple conformisme culturel pour bobos parisiens dont vous vous sentez exclu pour on ne sait quelle raison, la rage de votre mauvaise conscience vous aveugle. Je connais tellement de gens qui aiment le bon dieu et le peintre Picasso. So what ? Cela n’a vraiment plus rien à voir avec le sujet que vous avez vous-même engagé. Or, vous valez beaucoup mieux que ce que disent vos lignes raccourcies, nous en sommes tous convaincus !… Cela dit, assez. On ne va pas monopoliser la place, le sujet était Simenon, je le rappelle. Hélas, un sujet bien rébarbatif, je vous le concède. Allez, la RDL : proposez-nous vite autre chose pour en finir avec cette horrible photo d’illustration, SVP.
La seule chose qui reste à se demander étant doivent-ils, ces braaaaaaaves gens, faire leur coming out de scientologues après en avoir appliqué les méthodes ?
Et la combinaison méthode de l’église de scientologie + méthode de pervers narcissique, c’est de la bombe…
…
…diversions, diversions,…diversions,!…Ah,!Ah,!…
…les alliances contre les conditions humaines,!…
…s’en remettre aux chiffres,!…et ses reliefs,…du volume encore frais à se mettre,!…etc,!…
…
Ce lieu est devenu une décharge.
Nous avons, ici dans nos nuages, le même sentiment : le monde est une décharge !
Quoique nous fassions, nous les dieux, votre monde reste décharge humaine : je ne sais pas comment vous faites pour supporter votre télévision… vos élus, vos élites, vos zélotes … et la gueule de Martine Aubry, et celle de Morano, et celle de Taubirate, et celle de NKM l’excitée, et celle de Duflot la pétasse … par HADES, vous manquez de discernement, les ploucs !
Comment faites vous pour ne pas devenir cinglés ?!
Je ne vous apprend rien : j’aime les femmes ce qui m’a fait commencer par elles dans la liste des horreurs terriennes et des faces de larves qui s’offrent, en vain, à votre respect, à votre estime ….
La liste des têtes de Qons mâles est bien plus longue. Désespérance de la bouffissure !
Le Maître de Drouant, l’Empereur de la Critique, le Guide Suprême de ces lieux républicains et décadents, le Connétable Assouline, Commandeur des Terres du Couchant Littéraire, promu Gardien de Décharge !!!
Bloom ! Avez vous perdu l’esprit ?…
NOUVELLES DU TROUPEAU METROPOLITAIN
Trois supporters anglais de Chelsea viennent d’être lourdement sanctionnés pour acte raciste à Paris : ils ont empêché un Nègre de monter dans un wagon de métro réservé aux Blancs (pour cause d’apartheid français).
Privés de stade, les gros méchants pleins de bière … !!!
Humains, votre justice est parfaitement obscène.
D,
Votre louable tentative vers Oh32 d’intéresser vos contemporains au nombre Pi ne doit pas être entachée d’approximation !
Là où votre valeur de Pi se termine par un 6, vous auriez pu affiner !
Votre 6 est en fait une approximation, louche, de 58701570226103101916603887064661438897736318780940711527528174689576401581047016965247557740891644568 ! Soyons précis, voulez-vous ?
Notre bibliothèque olympienne, livrée, enrichie par Amazones, est largement fournie.
Après avoir cheminé dans les terres du dernier inédit de Gracq, j’ai repiqué par curiosité hasardeuse dans le Dard « l’Histoire de France vue par San Antonio ».
Qu’est ce que cette pochade a vieillie ! Effroyable ruine moisie… Me suis lavé les yeux immédiatement à l’Ambrose Bierce.
La gueule de Campan, en illustration, etriqué dans l’imperméable de Valls : à vous dégouter d’être un Humain. Bonne journée !
« La gueule de Campan, en illustration, etriqué dans l’imperméable de Valls : à vous dégouter d’être un Humain. »
jc illustré : http://img.over-blog.com/404×500/4/32/93/01/DIVERS/cabu-militaire.jpg
Bernard Clint, tout est dit de ce qui pourrait être dit sur cette Une de Charlie Hebdo dans le merveilleux « Trésors des racines pataouetes » de Roland Bacri.
De mémoire : « Il est tellement petit, que même quand il est tout près, on dirait qu’il est loin… ! »
Diagonal dit: 19 février 2015 à 22 h 28 min
non seulement ça nous dicte les bonnes règles de vie que chacun doit suivre mais en plus ça veut se la jouer victime.
Le prophète Alba a été entendu, Jacques Attali annonce ce matin sur BFMTV son programme présidentiel !
à lire les éructations de JC, on comprend la fuite des commentateurs comme christiane, Clopine, Jacques Barozzi et tant d’autres, bientôt il ne restera ici que ce minable personnage… quel dommage !
Ce lieu est devenu une décharge. (Bloom)
« le Monde.fr » signalait récemment un site de Juifs orthodoxes israéliens où l’on exposait les techniques propres (c’est le cas de le dire) à réprimer la pente coupable à la masturbation. J’en ai personnellement fait mon profit, étant malheureusement exposé, depuis l’adolescence, à cette vilaine tentation, et je ne saurais trop en conseiller la consultation à ceux qui envisageraient de répandre leur semence à tort et à travers , contrairement au précepte biblique.
>Willy dit: 19 février 2015 à 21 h 20 min
Bon, on arrête là, ça va, c’est bon. Vous avez gagné, je le reconnais. Bébé est content ? Areuh, areuh ?
« bientôt il ne restera ici que ce minable personnage… »
Enfin seul !
burntoast
usurpation de pseudo le 19 février 2015 à 21 h 20 min
Le prophète Alba a été entendu, Jacques Attali annonce ce matin sur BFMTV son programme présidentiel !
enfin sauvés
JC nous a tuer !
… chapitre piratage.
C’est dommage de ne pas pouvoir donner ici l’intégrale du chapitre 14, » Au bord du lac. 1950-1952″
Je vous dis cela, car je range ma bibliothèque, c’est un travail de titan. Et que, ce faisant, j’ai pris la » bible » au chapitre interessant.
Une impression, LE biographe a légèrement modifié l’angle de vue de cet épisode ( de la période » coca-cola ?) 23 ans plus tard…
Et tout cela rend bien dérisoire, cette » transposition » télévisuelle de petite facture, et des commentaires à l’heure du numérique.
Merci pour cette histoire de « Shadow Rock Farm » !
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