de Pierre Assouline

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La République des livres
Une amitié du roman-culte au film-cuite

Une amitié du roman-culte au film-cuite

On écoute les dialogues de l’un, on lit les livres de l’autre et on se dit que la vie aurait été vraiment injuste si ces deux-là s’étaient ratés. À ne pas croire qu’ils n’aient fait équipe qu’une seule fois. Au-delà d’un air de famille, une évidente fraternité devait lier Michel Audiard et Antoine Blondin. En théorie plus qu’en pratique car l’écrivain passait son temps dans les stades, les bars et les étapes du Tour quand le dialoguiste fréquentait plutôt les hauts plateaux. Ensemble ils n’auront fait qu’un bébé mais quel ! Un singe en hiver (1962), film-culte adapté d’un roman-cuite (prix Interallié 1959) (1) à moins que ce ne soit l’inverse. Il est vrai qu’il y en eut même pour juger que le livre avait trahi le film, c’est dire.

Sous la plume si pure et si légère de Blondin, l’intrigue importe peu par rapport au charme qui s’en dégage. Tout de même, l’histoire ? Un face-à-face qui se terminera par un côte à côte dans un bar du littoral normand entre deux leveurs de coude bien bourrés : Gabriel Fouquet, jeune publicitaire qui noie dans la boisson l’échec de sa vie sentimentale et Albert Quentin, un ancien fusilier marin qui a juré de rester sobre après avoir sérieusement taquiné le goulot autrefois. L’un rêve d’Espagne quand l’autre n’en a que pour sa Chine. Dès les premiers verres de contact, ils ne font qu’un mais lequel ? Soit, mais qu’est-ce que cela dit d’autre que ce que ça raconte ? Là, c’est du grand art, murmuré par le plus élégant et le plus courtois des écrivains et mis en musique par un virtuose de la conversation filmée.

Michel Audiard est à l’origine du projet. Nous sommes en 1961. Le temps presse car Jean Gabin doit tourner, étant sous contrat avec la Metro Goldwin Mayer. La maison de production a déjà refusé Un singe en hiver car elle n’y voit qu’une histoire de poivrots ; et après repérages in situ, l’acteur a finalement retoqué l’adaptation d’Au large de l’Eden de Roger Vercel par Albert Simonin au motif que ça pue trop la morue (le poisson, pas…). Retour à la case départ et donc au Singe, imposé avec le prometteur Belmondo d’À bout de souffle dans la corbeille. Henri Verneuil est engagé pour la réalisation, Claude Pinoteau et Costa-Gavras comme assistants, Michel Magne pour la musique, Louis Page pour la photo, Paul Frankeur, Suzanne Flon, Gabrielle Dorziat et Noël Roquevert dans la joyeuse troupe des seconds rôles, François Boyer pour l’adaptation et bien sûr Michel Audiard pour mettre des mots dans leurs bouches avec le brio qu’on lui connaît.

Le tournage se déroule sur la côte normande autour de Villerville, Trouville et Deauville. Il ne va pas de soi. Pas commode, Gabin. Du genre muet, du moins pendant la première semaine. Les deux acteurs principaux enfoncés dans un fauteuil pliant à leur nom et n’échangeant pas un regard, le vieux, 57 ans, lit Paris-Turf et le môme, 28 ans, L’Équipe. On voit par là qu’un abîme ontologique les sépare. Jusqu’à ce que leurs scènes communes les rapprochent et les lient une fois éteints les projecteurs avant de s’adopter pour la vie et se décréter meilleurs amis d’enfance malgré la différence d’âge.

Le film suit pas à pas la chronologie du roman en éliminant les retours en arrière. Nombre de répliques sont tirées ou adaptées du roman mais il y a aussi des bouts d’Apollinaire, celui d’Alcools évidemment. Michel Audiard et Henri Verneuil se veulent fidèles dans l’adaptation non du roman à la lettre, mais dans celle de son atmosphère empreinte de rêves, de nostalgies, de souvenirs. Une musique en émane qui a quelque chose de désemparé, de désenchanté. Parfois, on se gratte le cuir chevelu, on hésite : lequel des deux a trouvé ça ?

« Une paella sans coquillages, c’est comme un gigot sans ail, un escroc sans rosette : quelque chose qui déplaît à Dieu ! »

À la réflexion, ça ne peut être qu’Audiard puisque dans le roman, il s’agit de paupiettes. Il serait vain d’aller vérifier et comparer, pour ce passage ou pour tout autre :

« Je suis le plus grand matador français, yo soy unico…– Vous avez déjà entendu parler du Yang-Tsé-Kiang ? »

Antoine Blondin se plaint d’autant moins qu’il n’a pas souhaité être de l’aventure. Ce n’est pas qu’il n’ait jamais tâté de la pellicule. À plusieurs reprises, il s’est laissé embarquer dans des projets. Il a prêté la plume à des scripts pour Jean Delannoy. Plus tard, il y aura Le Dernier saut (1970) d’Édouard Luntz dont il fut le coscénariste et Cran d’arrêt (1970) d’Yves Boisset où on le retrouve comme coscénariste et dialoguiste, pour ne parler que de ceux qui ne sont pas restés dans les tiroirs des producteurs. Mais rares sont les cinéastes qui osent s’emparer de ses livres ; l’adaptation de son chef-d’oeuvre Monsieur Jadis, que Michel Polac (oui, « le » Michel Polac) réalise pour la télévision en 1975 avec Claude Rich dans le rôle-titre aurait pu les encourager tant elle est réussie.

Le problème est ailleurs avec Un singe en hiver. Malgré tout demeure une vraie querelle d’interprétation de la philosophie du roman. Le fait est que le style de l’écrivain tient une note poétique de bout en bout quand le travail du trio d’adaptateurs Boyer-Verneuil-Audiard se veut plus réaliste, par exemple dans les noms des rues de Tigreville (2). En fait, en émondant le roman pour des raisons dramaturgiques, ils aboutissent à concentrer l’attention du spectateur non sur l’alcoolisme mais sur l’ivresse. Ce qui est regrettable. Son biographe Alain Cresciucci est d’avis que le film ne rend absolument pas justice au livre, tout en reconnaissant qu’il a eu la vertu de permettre au grand public de découvrir l’oeuvre de Blondin (3). Mais selon lui, tout en restant à la surface des choses, les coscénaristes sont passés à côté de l’essentiel : non la complicité de deux imbibés mais une déchirante histoire de paternité :

« L’histoire d’un jeune père qui ne voit jamais sa fille pensionnaire et qui va essayer de la retrouver et l’histoire de ce couple d’hôteliers sans enfant qui trouve dans le personnage de Fouquet un fils adoptif. Quant à la fin, le film commet un contresens en attribuant la phrase “Et maintenant, voici venir un long hiver” au personnage du vieil homme alors que dans le roman elle concerne Fouquet, ce qui est une façon de dire la solitude définitive du héros. (4) ».

Quand on quitte une oeuvre, c’est d’abord sa fin qu’on emmène avec soi. Fouquet est le héros des dernières pages du roman, Quentin celui des dernières images du film. Deux partis pris également attachants mais qui ne disent pas la même chose en éclairant rétroactivement tout ce qui a précédé. Deux Singe en hiver : l’un est d’un romancier, l’autre d’un cinéaste et il serait vain de vouloir à tout prix les faire coïncider puisqu’ils forment un palimpseste. Blondin ne pouvait considérer la littérature que dans une perspective amicale. Mais si un livre est parfois conçu comme une lettre à un proche, c’est plus difficile avec un film, d’autant qu’il est une oeuvre collective.

La fidélité exige une certaine dose de trahison car on ne peut respecter l’esprit si on suit un texte à la lettre. Audiard l’a bien compris qui s’est parfaitement imprégné du roman afin d’en rendre au mieux le climat, ce qui lui importait par-dessus tout ainsi qu’à Henri Verneuil. L’ampleur de la trahison inquiétait fortement Blondin jusqu’à ce qu’il voie le film et rende des hommages appuyés au talent d’Audiard, son nouvel ami pour la vie. On ne peut pas dire qu’il ait harcelé le réalisateur pour intervenir dans le tournage : il refusait même ses invitations à s’y rendre. Belmondo se souvint de sa présence une ou deux fois sur les plateaux à Deauville « mais en ami bien plus qu’en auteur » (5). Sur plainte du ministère de la santé publique, la commission de censure fait des mauvaises manières au film, soupçonné d’apologie de l’alcool (quelle idée !) alors que c’est un si poétique éloge de l’ivresse sensuelle et généreuse, de l’inattendu de la vie, de l’imprévu souriant. Il est question de coupes sombres et même d’interdiction alors que franchement, il suffit d’écouter parler Albert Quentin/Gabin :

« L’alcool, c’est le salut dans la fuite, la liberté, l’état de grâce… et pour finir une belle saloperie. »

Finalement, seuls les moins de 18 ans en sont privés. Le critique de La Croix fut celui qui lui réserva le meilleur accueil avec ceux de France-Soiret du Figaro littéraire. Les autres grimacèrent ou pire encore. Le Monde regretta cette « vulgaire simplification » d’un roman sensible et harmonieux. Dans la bibliothèque de Michel Audiard, les livres de Blondin côtoyaient la collection complète de la Série noire. Fou de littérature, il l’aime couchée sur de beaux papiers en tirage limité. Les libraires connaissent bien ce bibliophile averti. Les piliers Ronsard, Verlaine, Rimbaud, Balzac, Dumas père, Stendhal, Proust sans oublier le patron, Louis-Ferdinand Céline… Audiard aurait pu être recruté par les hussards si Jacques Laurent, Roger Nimier, Michel Déon et Antoine Blondin s’étaient réunis une fois au moins mais ce ne fut jamais le cas.

Impossible d’asseoir des irréguliers à la même table. Les voyages de l’un, la mort de l’autre, les disparitions d’icelui… Pas pratique pour la photo de groupe rue du Bac devant la façade des Éditions de la Table ronde avec Roland Laudenbach pour surveiller la bande – façon nouveau-Nouveau Roman/Minuit et demi. Audiard n’aurait pas figuré parmi eux car il aurait tenu l’appareil. On peut rêver… L’amitié entre Michel Audiard et Antoine Blondin est née avec le désir de l’un de porter le livre de l’autre à l’écran. Jean-Paul Belmondo estima à l’époque que leur rencontre « ne paraissait pas tellement évidente au départ » (6). Pourtant, à la fois très français et si parisiens, ils ont en partage une certaine désinvolture mâtinée de douce mélancolie ; un sens de l’humour sublimé par l’esprit de fantaisie et une profonde frivolité ; et surtout le goût des formules joyeusement assassines souvent truffées de calembours.

Mais si elles fusent dans les dialogues d’Audiard, elles se font discrètes dans les romans, nouvelles et récits de Blondin, qui les réservait plutôt à ses articles. Car, on l’oublie tant sa réputation de leveur de coude a obscurci sa vraie nature (et le film a renforcé cette image imbibée), ce perfectionniste était un classique pétri d’humanités et un moraliste d’une pudeur qu’il ne fallait pas offusquer. Peu après la mort de son fils François dans un accident de voiture, perte qui avait anéanti le dialoguiste, Blondin avait dédié Certificats d’études (1977) « à Marie-Christine et Michel Audiard très affectueusement ». Dédié et pas seulement dédicacé.

(« Jean Gabin, Henri Verneuil, Michel Audiard, Jean-Paul Belmondo pendant le tournage du film Un Singe en hiver, 1962 » )

  1.  Les Éditions de la Table ronde ont publié  une édition collector d’Un singe en hiver enrichie d’images du film d’Henri Verneuil pour le centenaire de la naissance de Blondin.
  2. Paul Renard, « “Salut, papa !” : Un singe en hiver, Antoine Blondin et Henri Verneuil », in Roman 20-50, n° 58, décembre 2014, p. 41-48.
  3. Alain Cresciucci, Le Monde (imaginaire) d’Antoine Blondin, Pierre-Guillaume de Roux, 2016 ; Antoine Blondin, Gallimard, 2004.
  4. Interview d’Alain Cresciucci, in L’Opinion indépendante, 31 mai 2011.
  5. Témoignage de Jean-Paul Belmondo, « un fidèle parmi les fidèles » in Jean Cormier et Symbad de Lassus, Blondin, éditions du Rocher, 2016.
  6. Idem.
Cette entrée a été publiée dans cinéma, Histoire Littéraire.

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commentaires

1 818 Réponses pour Une amitié du roman-culte au film-cuite

puck dit: à

pedro : « Moi je n’ai jamais compris comment pouvait-on être communiste français et pacifiste quand les nazis ont envahi la France. »

le monde simpliste construit à la hache selon pedro : les bons sont les bons, les méchants sont les méchants, à partir de là moi je suis pour les bons parce que je suis un mec bien….

pedro ton monde est simpliste parce que tu es toi-même un type extrêmement simpliste, pour le pas dire simplet.

pedro tu vois la photos des ces hommes sur la photos de passou, tu sais ce qui a changé ? c’est que s’il y avait encore des hommes de cette trempe dans notre monde il n’y aurait jamais eu de guerre en Ukraine.

on dit que la différence c’est le wokisme en fait non la différence elle est de l’ordre de la politique.

pedro je vais te dire un truc que tu ne sais peut-être pas : tu sais grâce à qui la Chine a obtenu son siège de membre permanent au conseil de sécurité de l’onu ? grâce à de Gaulle !

cela faisait-il de De Gaulle un communiste ? non !

avec de Gaulle c’est certain, mais même jusqu’à Mitterrand, Chirac et même Sarkozy il n’y aurait jamais eu de guerre en Ukraine.

pourquoi ? parce que ces types étaient des hommes ! des vrais ! pareil pour Merkel qui était une femme, une vraie !

maintenant ces vrais hommes et femmes ont été remplacés en Europe par des simples d’esprit, des gens comme toi à l’esprit pauvre du genre ouai Poutine c’est un gros naze même que je vais casser la tronche…

cette photo de l’article de passou est belle, touchante, émouvante, mais aussi assez triste.

D. dit: à

Je suis très en colère de ce feuilleton estival sur Haydn.
Né 50 ans avant lui, un musicien nommé Jean-Sébastien Bach a écrit, lui, une musique géniale dans tous les sens du terme, une musique réellement transcendentale, impressionnante, émouvante, qui inspire un profond respect.

renato dit: à

C’est un moment, JC. Un moment comme tant d’autres. Moins drôle que les Olympiens et aussi bête que le catholicisme, mais si vous l’aimez tant mieux pour vous.

JC..... dit: à

APPEL SOLENNEL

Le Monastère Woke de l’Isle du Levant que nous contrôlons totalement, spirituellement, et gastronomiquement, prie Messire Pierre Assouline de clamer la vérité, sans retenue, sur son blog prestigieux puisqu’il en est maître !

Le WOKISME, c’est le Mensonge, donc la Vérité !

Clopine dit: à

Puck, y’a pas de femme sur la « belle » photo mise en ligne par notre hôte.

Mais on pourrait imaginer que la brochette testostéronée regarde une femme… Enfin, trois d’entre eux… Notamment celui à l’extrême droite (hihihi), car il a « ce type de regard » auquel toute fille a déjà eu droit. Et ce type de « petit sourire » qu’on pourrait qualifier de « dominateur », non ? Un peu tout de même ?

Bon. Je me disais ce matin, que vous, Puck, et comme quelques autres de la erdélie, veniez ici juste pour y rajuster vos masques. Et que votre problème était celui de la sincérité (bien sûr, je ne suis pas objective !). Alors que les Rose, Rosanette, B. et… moi-même, nous vous posons un peu problème, puisque nous venons ici, et que nous parlons, justement avec cette sincérité qui semble vous manquer.

Enfin, je dis ça, je dis rien.

Clopine dit: à

… Quand je dis « toute fille », enfin, moi, tout du moins. Même s’il y a très longtemps de ça !

CéCédille dit: à

Vieux livres, vieux films, c’est dans les vieilles marmites qu’on fait les meilleures soupes… Merci Passou de ces chroniques savoureuses !

renato dit: à

Le wokisme rappelle le pantalon à patte d’éléphant : il valait mieux ne pas l’avoir dans sa garde-robe.

B dit: à

Je n’ai pas compris « la chute » de ton message…

auto-dérision, cher Pablo. Pour le reste, oui je me suis cassé la figure malgré ma tentative de ne pas et j’ai regardé furtivement s’il se trouvait des témoins , je me suis sentie un peu ridicule.

J J-J dit: à

@ Un point commun avec JJJ (désolé de le compromettre avec un vieux réac)

anéfé, c un peu gênant pour ma réputation de jeune progressiste. Bàv, claudio.

J J-J dit: à

@ CT, je ne sais pas pourquoi vous oubliez toujours de mentionner la fille Sasseur, dans votre plaidoyer pour une sincérité de genre. Quelque chose défaille dans votre objectivité, je trouve. Tt j’aimerais que vous y remédiassiez en m’incluant de temps à autre en votre sympathique compagnie sororale, ce qui vous honorerait et grandirait. Merci.
@ J’apprécie très fort cette symphonie n° 56 qui a l’élégance de son merveilleux classicisme. Cet été est somptueux, chaque jour avec Haydn plutôt qu’avec les histoires de Mme Pourchet sur la vie de l’ennuyeux Romain Gary.
@ ENFIN, que la France repart la queue un peu plus basse qu’elle l’avait en figure de proue au début. Sixième au tableau des breloques, c’est sa place, celle d’une petite Macronne eutrophisée.
A noter qu’on a surtout gagné l’estime de JB pour la propreté de Mme Hidalogo. Une victoire à l’arrachée à inscrire dans les annales des JO, pour sûr. Pour le reste, hein, franchement… Jolly Boucheron… ils ont fait grincer les vieux réacs, et c’était dans leur mission.

(nb/ Maurice Genevoix a publié en 1924, un petit livre intitulé VAINCRE A OLYMPIE. Il ne manque pas d’intérêt, tout compte fait, à le re-découvrir en toute fraicheur).

10.8.24 _ 12.28

closer dit: à

S’il y avait eu comme témoin un bel homme sympathique dans tout l’éclat de sa maturité, il serait venu à votre secours, B.

J J-J dit: à

Toutes mes félicitations à notre ami l’Ethiopien Tamirat TOLA.

closer dit: à

6 ième par ordre de médailles d’or, mon cher JJJ. En moyenne pondérée or/argent/bronze, la France est 5ième, car le Japon perd plusieurs places. Les rosbifs nous coiffent sur le poteau pour la 4ième place. M’enfin avec toutes les emmerdes qu’ils ont en ce moment, on ne peut pas leur en vouloir…

Clopine dit: à

JJ-J, d’après moi, la brutalité de Marie Sasseur, son caractère revêche, son absence de « partage » de ses goûts et de ses opinions, sa violence, ne démontrent qu’une seule chose : c’est qu’elle veut « battre les hommes sur leur propre terrain ». Je veux dire qu’elle fait comme les autres (sauf vous, peut-être), revêtir un masque, une posture, quand elle vient ici. Se construire un personnage, une ligne de conduite, n’y point déroger, et ainsi recueillir le fruit de la posture de « celle qui brise les codes » pour contredire l’envie de… De… D’une simple conversation ? Ah.

(alors que dans la vraie vie, va savoir, c’est une femme aimable, empathique et généreuse ?)

Bref, elle a jugé que pour apparaître sur le petit théâtre de la rdl, fallait se carapaçonner. Elle n’a pas forcément tort, et surtout, si elle n’arrête pas de lancer des scuds à tout va, ben elle sait où elle les envoie. (par exemple, elle me fout une paix royale).

Quant à vous, je vous ai déjà exprimé ma reconnaissance de n’être pas, à mon égard, dans le mouvement général ici de me mordre les mollets, d’utiliser la moindre des indications sur ce que je suis « dans la vraie vie » derrière « Clopine » (a contrario d’un Jazzi qui balance, qui balance à Paris, mais ce n’est pas la chanson de France Gall, c’est juste mesquin), et je vous ai déjà dit que je vous distingue ici de la majorité des participants. Voulez-vous que je me répète ?

JC..... dit: à

« pour apparaître sur le petit théâtre de la rdl » (Clopine)

Tu vas arrêter de médire sur le blog prestigieux de Maitre Passou, immonde fermière bourdieuzzène ?!

puck dit: à

Clopine effectivement vous dites ça vous ne dites rien.

ces hommes étaient testosronés et les femmes étaient oestrogènonées, ma foi ils n’y étaient pour pas grand chose : la nature les avait faits ainsi.

hélas je sais bien que la nature a quelque chose de conservateur réactionnaire limite fasciste.

mais bon je ne faisais pas le procès de la nature.

car en dehors de ces considérations endocrinologiques il y a aussi d’autres considérations d’ordre « politique ».

encore que ces derniers temps la politique a envahi le champs hormonal comme par exemple en Californie où le gouvernement a fait passé une loi permettant de modifier les hormones des gamins limite à l’école primaire pour que ces derniers soient en phase avec leur véritable genre, mais bon c’est un autre problème.

je regardais plus l’évolution sur le plan politique en disant par exemple que bien que n’étant pas communiste De Gaulle avait permis au chinois d’obtenir leur place de membre permanent au conseil de sécurité de l’onu.

je sais pas pourquoi vous me faites répéter 2 fois la même chose, mais bon passons…

quand on y pense ce n’est pas rien qu’un type comme De Gaulle plutôt à droite reconnaisse la Chine et les aide aller obtenir ce siège.

je veux dire c’est courageux parce que je peux vous dire qu’en faisant ça il ne s’est pas fait que des amis, même que le type qui a fondé l’union européenne (Jean Monnet) avait discuté avec les américains en disant que De Gaulle pouvait être un obstacle à la construction européenne et qu’il fallait peut-être penser à s’en débarrasser (là encore c’est un pan de l’Histoire qui a été complètement mis sous le tapis).

mais bon, ce n’est pas le problème, le truc c’est de dire que malgré tous leurs défauts de mâles ces types étaient tout de même courageux et surtout c’était des hommes de parole. ils faisaient ce qu’ils disaient et ils disaient ce qu’ils faisaient contrairement aux néoconservateurs américains et leurs armes de destruction massives qui passent leur temps à nous enfumer avec leur propagande à 2 balles…

avec ce genre de bonhomme il n’y aurait jamais eu de guerre en Ukraine !

parce que cette guerre était évitable il suffisait d’avoir des gouvernants un peu couillus et nous nous n’aurions pas eu cette hécatombe inutile !

sérieux pourquoi me faire réécrire 2 fois les mêmes trucs ? pourtant ce que je dis est hyper simple à comprendre…

Clopine dit: à

En tout cas, merci, Puck, de partager mon opinion sur la « belle » photo qui surplombe l’article superfétatoire de notre hôte.

La nostalgie, celle « du temps d’avant », où l’on pouvait faire dire à un Gabin, à propos d’une Suzanne Flon « tu es restée physiquement telle que je pouvais l’espérer » (sous-entendu, comme exprimé clairement dans une chanson d’Aznavour : « tu ne t’es pas laissée aller », summum, à mon avis, d’un discours dominateur) dans le film « un singe en hiver », a le droit de s’exprimer.

Mais…

Par exemple, le monde de Scarlett O’hara a disparu. On peut, grâce à la nostalgie, le parer de vertus … Mais il vaut bien mieux, à mon sens, s’atteler à la réalité. Qui dit la perdition du capitalisme. Excusez-moi de remettre ça encore sur le tapis !

puck dit: à

De Gaulle avait compris un truc simple que limite un gamin de 6 ans peut le comprendre : quand on parle de bouclier nucléaire américain en Europe en fait c’est du flan.

déjà en cas d’attaque le temps nécessaire pour prendre une « bonne » décision est de 4 minutes. si on met des missiles nucléaires à la frontière russe les russes ne disposent plus de ces 4 minutes ce qui rompt avec le principe de dissuasion nucléaire et augmente le risque de guerre nucléaire.

l’autre point (hyper évident) que De Gaulle avait compris c’est que si un missile nucléaire américain part d’Allemagne vers la Russie les russes vont riposter en envoyant un missile nucléaire non pas sur le territoire américain mais en Allemagne !

du coup le parapluie c’est l’Europe qui sert de parapluie aux américains !

et c’est pour ça qu’il y a eu des manifestations importantes dans les années 80 contre l’installation des missiles Pershing en Allemagne !

sauf que là les américains refont le même coup et il n’y a que quelques dizaines de milliers personnes pour manifester à Berlin dont les médias ne parlent bien sûr pas !

ça c’est une évolution grave qui dit bien des choses sur ce que nous sommes devenus !

puck dit: à

je me souviens bien de ces manifs dans les années 80 contre l’installation des Pershing en Allemagne (la crise des euromissiles).

tout le monde dans ces manifs avaient compris que les américains se servaient des européens comme bouclier.

et là les américains viennent de refaire exactement la même chose que ce qu’il s’est passé dans les années 80 et il n’y a aucune réaction.

je crois que c’est Lavrov (ou je sais pas quel russe) qui a dit que les dirigeants européens étaient devenus des « simples d’esprit », des « simplets ».

en fait tous nos gouvernants sont des pedro.

et ça c’est un truc hyper flippant.

surtout quand on quand on a des enfants.

le problème est que dans le « fameux » couple franco allemand ni Scholz ni Macron n’ont des enfants !

en fait le couple franco allemand est un couple sans enfant ! et ça ce devrait être interdit : il devrait y avoir une loi l’interdisant.

Clopine dit: à

… et je serai toujours du côté d’Ashley Wilkes que de celui de Scarlett. Mais autant en emporte le vent, pas vrai ?

Clopine dit: à

Puck, la phrase « ça, c’est un truc hyper flippant » , ben vous en avez usé et super-abusé depuis des années ici. Faudrait vous renouveler un peu, mon petit père.

Clopine dit: à

Les éléments de langage ! Ceux de Puck, de JC, de D., de Bloom, de Jazzi, de MC, de Marie Sasseur, de Pablo75, de Closer, de notre hôte (et mêmes des miens), ben, ouf…

J J-J dit: à

@ alors que dans la vraie vie, va savoir, c’est une femme aimable, empathique et généreuse ?

c bien charitable, mais je peux vous dire que non, je la connais bien, et je peux vous dire qu’elle n’a aucune distance entre ce qu’elle écrit et ce qu’elle se comporte avec le « genre humain » en général. Ce que vous dites d’elle, vous devriez plutôt le dire de MC, que je connais bien aussi… Mais là, ça vous serait trop difficile à avaler pour vous..

Je dis ça je dis rien, notez… Un peu plus de miel à mon égard ne serait pas de trop… même si je comprends bien que l’apiculture soit en plein naufrage… Bàv, en bas de la barre. Pile-poil, j’aime bien ce nom de chien, il vous va Pluto bien. –

Jazzi dit: à

Un feuilleton de l’été en forme d’annonce de fin de (première) partie ! Préparez les mouchoirs…

D. dit: à

Puck, je ne sais pas si tu es au courant, mais la majorité des ICBM russes en silos se situent du côté du détroit de Bering. Pour quoi faire, à ton avis ?

Marie Sasseur dit: à

Gold medal match en cours.

Le petit fonctionnaire à la retraite du ministère de l’intérieur, assez insignifiant en réalité, et que l’on connaît que trop bien maintenant grâce à Passou, a l’ambition de gaslighter les deux ou trois vieux crétin-e-s en thérapie sur ce blog.
Grand bien leur fasse.
______
Il est bien votre blog, cecédille, cool.

Marie Sasseur dit: à

Balle de match pour les handballeurs, énorme.

Marie Sasseur dit: à

Énorme, l’équipe française de handball championne olympique. L’exploit.

Marie Sasseur dit: à

Bravo aux volleyeurs en attendant.

Rosanette dit: à

Deux questions
1) »gasligther » qu’est ce que ça veut dire?
2)@Jjj
vous qui connaissez Marie Sasseur, dites nous si, dans la vraie vie , elle se situe vraiment intellectuellement et professionnellement sur ces hauteurs d’où elle jette un regard hautain méprisant et dévalorisant sur certains RDLien-ne-s ,avec une prédilection pour les femmes qui postent ici

Jazzi dit: à

« Les éléments de langage ! »

On croyait qu’elle avait du style mais elle n’a plus que des tics : « ahahahahaha », « Je dis ça, je dis rien », « Bon OK, je sors ! », le tout agrémenté de quelques jurons patoisants normands…

Devrait aller voir « Tigresse », un premier long métrage roumain.
L’histoire d’une vétérinaire du zoo de la ville, qui après avoir surpris son mari en train de brouter l’entrejambe d’une étudiante, en oublie de refermer la grille du redoutable félin qui donne son titre au film et dont elle a la garde.
Acte involontaire ou vengeance…
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=287332.html

Pablo75 dit: à

[Sur la Sasseur] elle fait comme les autres, revêtir un masque, une posture, quand elle vient ici. Se construire un personnage, une ligne de conduite, n’y point déroger, et ainsi recueillir le fruit de la posture de « celle qui brise les codes » pour contredire l’envie de… De… D’une simple conversation ? Ah. (alors que dans la vraie vie, va savoir, c’est une femme aimable, empathique et généreuse ?). Bref, elle a jugé que pour apparaître sur le petit théâtre de la rdl, fallait se carapaçonner. Elle n’a pas forcément tort, et surtout, si elle n’arrête pas de lancer des scuds à tout va, ben elle sait où elle les envoie. (par exemple, elle me fout une paix royale).
Clopine dit:

Tu es vraiment naïve. La Sasseur est une vraie Connasse, et antisémite par dessus-le marché. Comment comprendre sinon qu’elle s’acharne depuis des années sur DHH-Rossanette, la doyenne du blog et la personne la plus gentille qu’a écrit ici depuis toujours (et très compétente dans son domaine, en plus de cultivée)? Seule une Parfaite Pouffiasse antisémite dans la vie peut faire cela (attaquer systématique le seule participant qui n’a jamais attaqué personne ici).

Si elle vient aboyer sa haine ici c’est parce qu’elle est profondément lâche, parce qu’elle peut le faire impunément ici, parce que dans la vie elle se recevrait des torgnoles si elle le faisait.

puck dit: à

D. ça m’étonne de toi cette question, limite je la trouve flippante venant de toi.

Béring se situe à 7 ou 8000 kms des grandes villes américaines.
les missiles américains en Europe sont à quelques centaines de kms de Moscou et St Petersbourg.

là encore si les américains lancent leurs missiles depuis l’Europe les russes riposteront sur l’Europe et pas sur les US, du coup le territoire américain sera épargné par un éventuel conflit nucléaire.

D. je trouverai hyper flippant si tu me dis que tu ne comprends pas ça.

puck dit: à

pedro : « La Sasseur est une vraie Connasse »

Clopine je veux bien faire évoluer mon langage à une seule condition : que vous demandiez à pedro de faire pareil.

à moins que le mot « connasse » vous soit familier et ne vous dérange pas ?

en tout cas moi cette grossièreté je trouve ça assez flippant.

J J-J dit: à

— gaslighter ??? moinonplusj, connais pas…
Elle ne nous répondra pas…

@ rosanette, J’ai déjà expliqué son aigreur extrême à l’égard de tous les « intellos » de ce blog qui ont des diplômes desquels ils « vivent », qu’elle estime usurpés… depuis qu’elle rata notamment son agrég de littérature au début des années 2000, après une thèse de 3e cycle sur huysmans… et son échec au capes… Elle en imputa la cause à une « cooptation » injuste des pairs de sa corporation, qui aurait favorisé un de ses rivaux masculins. A la même époque, elle fut plaquée par mon mec…
Depuis plus de vingt ans, ainsi « rétrogradée » dans des vacations d’enseignement professionnels divers et variés, parfaitement honorables eau demeurant, elle n’a de cesse de vouloir apparaitre comme la plus super intelligente et cultivée sur tous les sujets de l’rdl proposés par passoul (qui le lui rend mal), un blog où elle s’est durablement incrustée, au point d’être devenue totalement paranoïaque, à l’égard des erdéliens & erdéliennes qu’elle poursuit de sa haine autodestructice. Une aine enragée urbi et orbi, parfois tempérée par qq gentillesses de circonstance éphémères, si on lui adresse un message de « reconnaissance » de temps à autre. Haine des nanas ressenties comme des rivales auprès des mecs, haine des « profs » de droite et de gauche, et justicière prétendument « droit de l’hommiste » du genre facho… etc, Elle ne changera jamais, sa psychose fondamentale n’ayant jamais été correctement « soignée », faute pour le sujet de vouloir bien faire reconnaître son aveuglement fanatique.
Voilà ce que je peux vous en dire… Et je suis parfaitement à l’aise avec ses attaques sempiternelles à l’égard du vieux keuf…
J’essaie de ne jamais rompre le contact, et suis rassuré quand elle me répond par son fiel, ce qui veut dire qu’elle reste bien vivante… C’est le principal à mes yeux. Je ne souhaite nullement sa mort, pas plus qu’à quiconque du reste, ni le droit de répandre son venin comme elle le ferait de son sperme asséché.
Pour le reste, je suis désolé de constater qu’elle blesse encore beaucoup d’erdélinens.nes, insuffisamment cuirassés par ses attaques, dont elle jouit de l’impact depuis des années, comme chacun s’en rend bien compte, en réagissant comme iel le peut
Voila ce que je puis vous dire, @ rozanette, une fois de plus et en toute connaissance de cause.
Bàv,

puck dit: à

les hommes qu’on voit sur la photo à passou eux au moins ils savaient respecter les femmes.

en plus à l’époque il existait un truc qu’on appelait la « galanterie » genre on tenait la porte en disant à la susdite meuf « après vous madame que je puisse contempler votre popotin »

et c’était pas un truc réservé qu’aux rupins, mais chez les prolos on connaissait les bonnes manières et on savait parler aux dames.

maintenant les bonnes manières ça s’est complètement perdu d’où le risque de plus en plus sérieux d’un conflit nucléaire.

Pablo75 dit: à

Les arguments poutiniens sur les armes nucléaires de Puck-Puck sont à mourir de rire. Il ne dissimule plus qu’il appartient au FSB-Section extérieure et qu’étant un agent vraiment nul malgré sa si bonne volonté ils l’ont mis dans la Division Désinformation des blogs français-Secteur littérature.

Dans ce qu’il écrit il y a toute la panoplie de la parfaite manipulation bolchevique de toujours (y compris l’énorme mensonge de dire que s’il est pour Poutine c’est parce qu’il a un fils à Londres et un autre à New-York et qu’il craint pour leur vie – le coup du père exemplaire qui craint pour ses enfants habitant dans l’épicentre du danger!!!).

Ce serait comique si à son âge une telle foi dans l’avenir du néo-communisme du poutinisme n’était pathétique.

rose dit: à

Un briquet, Rosanette.

Pablo75 dit: à

néo-communisme poutiniste

rose dit: à

Eau demeurant.
Je crois rêver.

puck dit: à

l’autre truc hyper flippant c’est le perte de la mémoire.

exemple au hasard : un responsable américain s’est pointé à Hanoï, il a été bien reçu, ils se sont serrés la main, ils ont signé des accords diplomatiques et commerciaux. Sur CNN ils parlaient de l’entente entre les US et le Vietnam, tout allait au mieux.

2 mois plus tard il y a le Poutine qui débarque à Hanoï, et là changement d’ambiance, à la descente de l’avion tapis rouge, musique, danseurs, avec le président vietnamien ils ne se serrent pas la main ils se prennent dans les bras comme si c’était leur premier rv amoureux.

et là sur CNN ils disent ah bon ? pourquoi ? comment ? c’est quoi ces histoires ?

pourquoi ? parce que les américains n’ont pas de mémoire ! ils se disent allez on efface tout et on recommence, sauf que non, ça ne marche pas comme ça ! les vietnamiens ils se feraient tous couper un bras si les russes leur demandent parce qu’ils savent ce qu’ils leur doivent ! même si ça s’est passé il y un demi siècle !

Rosanette dit: à

@jjj
merci
triste porterait d’une personne qui aurait du apprendre , comme nous autres, à orangedigérer ses échecs

puck dit: à

pedro : « néo-communisme poutiniste »

pas la peine de corriger j’avais à peu près compris ce que tu voulais dire.

Rosanette dit: à

post corrigé

@JJJ
merci
triste porterait d’une personne qui aurait du apprendre , comme nous autres, à digérer ses échecs

puck dit: à

sûr qu’on ne mesure pas l’écart qui nous sépare de ces types sur la photo en noir et blanc à passou.

les bonnes manières avec les dames, le respect de la mémoire, le respecter de la parole donnée etc… des trucs d’hommes qui se sont perdus au fil des ans.

c’est pas si vieux et on a l’impression que c’était il y a 3 siècles.

J J-J dit: à

La seule chose dont je sois absolument certain, moi qui la connais et étudie ses réactions depuis des plombes, c’est qu’elle n’a rien d’antisémite en elle. Et c’est une grave erreur que de s’en persuader et de bêtement la quereller sur ce point. Cela l’arrange bcp en ce moment de ne point en démentir la rumeur, sinon de l’activer avec sa rouerie habituelmle… De la sorte, elle peut préserver son besoin de tranquillité pour faire ses « recherches » sur la toile et édifier les gens de ses faux copiers-collés qui n’auront jamais bluffé que les baliourd.es.

Avez-vous remarqué que dès qu’un nouvel internaute arrive sur la chaine (cf. genre Cécédille), elle essaie de se le « capturer » d’emblée par une astucieuse flatterie de chienne en mâle de reconnaissance. Hélas, cela ne dure jamais très longtemps. Nous aimerions tellement la voir heureuse et épanouie sur ce plan, filant enfin à l’anglaise et en parfait coton.
Bàv,

puck dit: à

en fait ces types on les connait parce que c’est la génération de nos pères.
moi mon père en 41 il avait la possibilité de remonter sur son bateau pour revenir en France ou de monter sur le bateau anglais d’à côté pour aller en Angleterre, il a choisit de ne pas rentrer en France et tout son équipage la suivi, j’ai croisé certains de ces types quand j’étais gamin, chacun aurait donné sa vie pour chacun des autres, jusqu’à leur mort, et quand ils sont morts leurs enfants auraient la même chose pour les enfants des autres.
sûr que c’était pas tous des saints, mais c’était juste des hommes simples.

Marie Sasseur dit: à

@Voilà ce que je peux vous en dire…

Damned, je suis refaite.
Mais de ta connerie maladive, on en apprend tous les jours un peu plus . A 70 balais, t’as pas honte ?

______

Passou, a ma courte honte je n’ai pas- toujours pas- lu votre  » flaneur de la rive gauche « .

A priori, le vieux chameau non plus.

puck dit: à

en fait on ne devrait même pas se plaindre de ce monde tel qu’il est devenu, ni des hommes tels qu’ils sont devenus, parce que ce monde c’est nous qui l’avons fait tel qu’il est.

Marie Sasseur dit: à

Et puisque ce biographe est adoubé par Passou, autant aller y voir.

Un auteur sérieux (?)
Alain Cresciucci

https://www.cairn.info/revue-roman2050-2014-2-page-9.htm#re51no51

Ce qui est dit du Singe en hiver est plus complexe que c’en a l’air.
En particulier sur le personnage de Gabriel.
Blondin aura-t-il rencontré ce type d’ « ange », qui au prétexte de le  » réveiller  » l’aura fait plonger, un peu.
Mystère

Jazzi dit: à

Une tigresse en liberté, gare au fauve qui sommeille en tout un chacun, foi de Roumain !

renato dit: à

Dans l’histoire locale, c’est l’âne qui a laissé sa peau sur la chaussée.

rose dit: à

Pas vu, pas lu Un singe en hiver.
Extrait magnifique.

rose dit: à

Va la voir à Amiens, Jazzi.
Elle est royale.
Tu peux loger à la caserne.

rose dit: à

puck dit: à
en fait on ne devrait même pas se plaindre de ce monde tel qu’il est devenu, ni des hommes tels qu’ils sont devenus, parce que ce monde c’est nous qui l’avons fait tel qu’il est.

Ben oui.
Plein pot.

rose dit: à

Trie, range, jette.
En suis à 2014.
Comme d’hab.des pépites.
Vais à la déchetterie.
Ensuite, j’attaquerai mes cours.

Maman Mia.

rose dit: à

Mama Mia, qué dolor, qué dolor, qué pena.

rose dit: à

Quand on file c un mauvais coton.
Jamais vu nulle part filer un parfait coton.

J J-J dit: à

@ t’as pas honte ?______ Passou, a ma courte honte (sic)
La courte honte commence à poindre, c bon signe…
(69, pour l’instant). La tigresse rôde à Scott.
Du balai, joachim. – Bàv,

rose dit: à

De là à se couper un bras.
Un petit phò partagé, non ?

Jazzi dit: à

« je peux vous dire qu’elle n’a aucune distance entre ce qu’elle écrit et ce qu’elle se comporte avec le « genre humain » en général. »

Phrase un peu bancale, JJJ.
Vous pensez à celle qui jadis signait Daaphnée ?

Clopine dit: à

Bon, ben allons-y sur la
conversation glauque de ce blog…

Un, Jazzi : tu pousses des cris d’orfraie « Clopine pointe les éléments de langage des autres, alors qu’elle en utilise elle-même à l’envi ».
Ben, si tu relisais le commentaire qui a suscité ta réaction, tu verrais que je le reconnais d’emblée,d’avoir moi aussi des « éléments », en ce qui me concerne plus des « tics » que des « éléments » de langage, d’ailleurs. Vu que je l’avoue humblement… Entre parenthèses, c’est vrai. D’ailleurs, voilà deux autres de mes tics : les parenthèses. Et les guillemets. C’est un des trucs qui me font préférer le langage écrit au langage oral. Les parenthèses et les guillemets, d’après moi, sont très difficiles à utiliser quand on parle en présence physique de son interlocuteur (à moins de le connaître bien). Alors qu’à l’écrit… Doit y avoir quelqu’un, dans le genre savant, qui a dû écrire quelque chose là-dessus, non ?

Deux, JJ-J : ben merde, vous venez de faire ce que précisément je reprochais à Jazzi, à savoir utiliser des connaissances biographiques privées pour en faire état sur un espace public, comme celui de ce blog, pour nuire à quelqu’un. Ou, sinon « nuire », disons démolir la posture. Donc, nous savons désormais qu’un lien étroit vous lie à Sasseur : elle était la compagne de votre actuel compagnon. Ne vous rendez-vous pas compte que ce seul lien, d’une part enlève toute objectivité à ce que vous pouvez dire d’elle, et d’autre part obscurcit encore ce blog ? Le rendant comme une arrière-salle de restaurant, là où les serveurs se retrouvent pour se moquer des clients ?

trois. Rosanette. Je suis entièrement d’accord pour la célébrer, mais pas tout-à-fait sur le même plan. Ce ne sont pas ses qualités intrinsèques ( « la gentillesse », par exemple) qui font qu’elle est ici un exemple, mais juste sa lucidité. Elle est une grande bourgeoise, avec tout ce qui va avec, de la richesse culturelle à la domination bien comprise, mais au moins, elle, elle le sait et l’exprime. C’est en ce sens-là qu’elle est une grande dame. Pas parce qu’elle serait « particulièrement gentille ».

quatre. Pile Poil. Celui que j’appelais « Clopin » ici, je vais continuer parce que c’est plus facile ainsi, Clopin, donc, est quelqu’un qui ne supporte pas de perdre quoi que ce soit, ni un objet ni un être. Quand notre si brave chien, Ti’punch, est mort, moi j’aurais eu besoin de quelque temps pour faire mon deuil, tant j’avais du chagrin. Mais pour Clopin, vivre à Beaubec sans chien est inconcevable. Très tôt, (trop tôt pour moi donc), quinze jours à peine après la mort de Ti’Punch, il était déjà question de le remplacer. Bref, j’ai cédé, bien sûr, je cède tout le temps…

Nous sommes donc allés chez un voisin, qui avait un chiot à donner. Et le Clopinou s’est exclamé « voici un chien qui tombe pile-poil ».

le nom était trouvé.

Jazzi dit: à

« Trie, range, jette. »

N’hésitez pas rose et conservez le moins possible !

Jazzi dit: à

Et la nouvelle compagne de Clopin, elle est tombée pile à poil dans son lit ?
C’est quoi cette histoire glauque de compagnon de JJJ ?

Jazzi dit: à

La gentillesse, qui est la forme première de l’intelligence, est le plus beau des compliments.

Jazzi dit: à

Mais c’est un chat, ou plutôt une chatte, rose !

rose dit: à

Jazzi
Il est parti aau Danemark il y a peu.
Le petit tigron devenu adulte.

Jazzi dit: à

« Immense figure du cinéma français des 50 dernières années, indissociable des Films du Losange – dont elle fut la directrice – elle a été la productrice de Wim Wenders, Lars Von Trier, Agnieszka Holland, Barbet Schroeder, Éric Rohmer, Jean-François Stévenin ou encore Michael Haneke.
Margaret Menegoz vient de nous quitter à l’âge de 83 ans… »

Paul Edel dit: à

A propos de ce titre « Un singe en hiver » on dit qu’il lui fut soufflé par sa compagne d’alors, Claude Maupomé, longtemps productrice sur France Musique (qui avait une voix aussi ensorcelante que celle de Delphine Seyrig). Elle le vit sortir du café Le Courrier de Lyon, à l’angle des rues du Bac et de Verneuil à Paris, et lui lança, avec ce vouvoiement si caractéristique : « Mais regardez-vous donc ! Un vrai singe en hiver ! »

Marie Sasseur dit: à

Ondike, un fameux journaliste qui aura fait ses armes au festival singe germain ( copyright )

D. dit: à

Ce nom de pile-poil est ridicule et prétentieux. Je n’en démordrai pas.

Marie Sasseur dit: à

Pour finir, et pour quelques uns, une analyse remarquable de la notion d’amitié dans le roman de A. Blondin.

« Solitudes de l’amitié
Les alcools romanesques d’Un singe en hiver »
Par Michel P. Schmitt
Il indique que toute comparaison entre le roman et le film est bien vaine, avec in ps sans appel

« À dessein, cet article n’envisage pas les questions touchant à l’adaptation filmique du roman par Henri Verneuil. D’une façon générale, la comparaison narratologique d’un texte littéraire et de sa transposition imagée nous paraît assez vaine. Mais surtout, les deux œuvres ne sont pas du même rang. Le film, qui tient par l’écrasante présence à l’écran de Gabin et de Belmondo, voire de Suzanne Flon, Noël Roquevert ou Paul Frankeur, est de qualité très moyenne. On peut en outre s’étonner que sa fin diverge aussi radicalement de celle du roman, en induisant même un contresens rétrospectif sur sa diégèse. »

https://www.cairn.info/revue-roman2050-2014-2-page-49.htm

C’est Schopenhauerien, c’est désespéré.

rose dit: à

Vu Charulata de Satyajit Ray, 1964.
« Le scénario est tiré de la nouvelle Nastanirh (The Broken Nest) publiée en 1901 par Rabindranath Tagore, »

rebaptisée plus tard Charulata, il s’agit d’un drame romantique.
Le film se termine sur ces mots LE NID BRISÉ qui est le titre initial de la nouvelle de Tagore.
La politique est l’essentiel des occupations de son mari, et Charulata est une âme sensible et passionnée.
À son corps défendant, ita est, sans passage à l’acte, elle tombe amoureuse d’Amal qui est là malencontreusement.
Son mari, réalisé bien tard, sur la plage, il a son premier cheveux gris qu’,elle lui arrache, la place qu’il pourrait donner à sa femme, toit en pensant déjà embaucher un autre homme.
Puis, il réalise cruellement l’ampleur de ce qu’a vécu sa femme et sa vie s’écroule.

Très beau film.
Beauté constante des femmes indiennes. Saris. Tikka sur le front. Des bracelets en nombre. Charulata, elle, brodé de plus. À Bayeux sans doute a-t-elle coopéré nuitamment.

Jazzi dit: à

« ce vouvoiement si caractéristique »

Fais gaffe, Paul !
Clopine va nous encore ressortir son déterminisme bourdieusien.
Déjà quel a traité cette pauvre Rosanette de bourgeoise dominante…
Elle en tient une sacrée couche !

Jazzi dit: à

qu’elle a traité…

Jazzi dit: à

C’est bien, rose.
Il vous faudra aussi voir ou revoir les grands classiques du cinéma japonais d’après-guerre !

closer dit: à

Ce film est plus que beau, Rose, il est absolument bouleversant, humainement et esthétiquement. Charulata (« Charou… ») est sublime; l’évolution de ses sentiments est montrée avec une grande finesse, son chemin vers la poésie également.
Le mari est formidable lui aussi; il comprend peu à peu ce qui se passe. Sa passion pour la politique l’aveuglait mais il découvre littéralement sa femme.
Allez voir aussi « Le Salon de Musique » si ce n’est déjà fait. Tout aussi magnifique dans un style plus aristocratique et plus tragique. Un peu le monde du Guépard au Bengale. Superbe dénouement tragique avec l’aide d’un cheval, son dernier cheval, le préféré.
Les deux films sont en noir et blanc. Evidemment aucune impudeur, aucune vulgarité.

rose dit: à

Oui le mari est tout a fait formidable. Émouvant.

rose dit: à

Les deux films sont en noir et blanc. Évidemment aucune impudeur, aucune vulgarité.

Cela fait un bien fou.

rose dit: à

Le seul que je n’ai pas supporté, c’est Amal.
Je ne l’ai trouvé ni écrivain, ni poète mais paresseux en diable.
Un feignant de première catégorie.
En ce moment, je pense beaucoup aux paresseux.
Un pote de il y a plus de vingt cinq ans m’a dit ce matin « tu as toujours cru en moi ».
C’est vrai.
Un autre m’a dit avant midi « tu n’es pas du tout compétition toi ? ».
Ah ben non ai-je répondu. Il s’est penché vivement vers moi et m’a dit en criant « je suis un compétitionnaire, moi ».
Et je me suis souvenue illico d’un des meilleurs souvenirs de ma carrière, où, lors d’une course, un gosse a attendu un autre qui courait moins vite, pour partager la victoire avec lui.
Gros moment de bonheur.
Je l’avais compris depuis un moment, il est commercial et payé au prorata du chiffre qu’il fait faire à son entreprise. Le truc incompréhensible.
On n’a pas le prénom du bébé hippo.
Yannick Noah a souffert d’être le noir de service. C’est derrière lui. Aujourd’hui toutes nos médailles d’or sont remportées par des noirs. C’est mon pote en qui j’ai cru depuis toujours qui l’a dit à un autre avant hier. Qu’ils se reposent un peu après avoir autant bossé.
Moi aussi j’ai plusieurs althéa dans mon jardin, sans taekwondo.
La politique est un truc qui te bouffe. Le mari de Charulata aussi.
Moi après les législatives, j’ai tout laissé tomber pour passer un bel été
Et que Jazzi ne vienne pas me chercher des poux dans la tonsure avec les noirs.

rose dit: à

Le mot est compétiteur.
On ne peut pas être marchand et cultivé.
J’aime beaucoup l’analyse sur la guerre entre l’Ukraine et la Russie.
Néanmoins, j’ai beau me triturer les neurones et réfléchir (avant d’agir), en 2014, je n’ai pas suivi.
J’étais en train de me battre pour que me soient comptées toutes mes annuités pour la retraite, et j’ai obtenu gain de cause face à l’administration.
Alors le coup d’état de 2014 m’est passé au-dessus du crâne.

D. dit: à

Je ne comprends pas bien, Rose, pourquoi il faudrait « se battre » pour que ses « annuités » soient prises en compte.

Déjà l’unité prise en compte n’est pas l’annuité, mais le trimestre. On cotise donc pour des trimestres, on conserve la preuve de cette cotisation. Dans d’autres cas (enfants, armée…, validation de services titulaires), d’autres trimestre sont ajoutés.
Il n’y a aucune bataille particulière à mener. On remplit des conditions ou pas et si besoin on en apporte la preuve.

renato dit: à

« On ne peut pas être marchand et cultivé. »

Un bon préjugé, au passage…, ne peut pas faire du mal… du bien non plus.

D. dit: à

Par contre, la première pension est souvent versée avec un retard considèrable. C’est un fait connu et il vaut mieux l’anticiper sur six bons mois par prudence.

Petit Rappel dit: à

« On ne peut pas être marchand et cultivé »??? Ceci étonnerait beaucoup un Maeght ou un Durand-Ruel, pour ne citer que ces marchands là
MC

rose dit: à

Je ne l’expliquerai pas ici. Mais je me suis battue plus de dix huit mois.
En autres parce que l’Éducation Nationale a vendu les résultats au concours École Normale d’Instituteurs (passé et réussi alors que j’avais seize ans à une entreprise privée).
Eh non, zéro retard sur le paiement de la pension. Par contre gros étonnement sur son montant. Les dix huit mois qui ont précédé impossible de savoir combien j’allais toucher. Jamais vu un bordel pareil.
Et n’insistez pas. N’allez pas chercher les collectionneurs, Lambert etc.. Etc.
Un me l’a expliqué l’été dernier chez Matisse.
Un marchand reste un marchand.

D. dit: à

Charoulata, ça n’a rien à voir avec Charoulet ?

rose dit: à

Déjà, j’ai changé de métier à 44 ans. Puis, il n’y avait plus de preuve nulle part que j’avais réussi ce putain de concours à seize ans. Ni les parents. Ni moi. Ni L’ Éducation Nationale. Ensuite, on m’a court-circuité mes vingt cinq premières années de travail dans tel corps. Là, cela s’est plutôt rapidement reconnecté. Lorsque l’on a relié le primaire et le secondaire.
Enfin, j’ai du décidé si je prolongeait de deux ans et demi ou pas.
Et après question posée à Emma, cela a été ou pas.

rose dit: à

Rien.
Charulata.

rose dit: à

Enfin, j’ai du décider si je prolongeais de deux ans et demi ou pas.
Donc, j’ai pu prendre ma retraite à taux plein à 59 ans et six mois.

Kilékon dit: à

Un marchand reste un marchand.

C’est comme :  » une fonctionnaire reste une fonctionnaire »? 🙂

rose dit: à

Du coup, je cherche seule.
« Le 22 février 2014, à Kharkov, en Ukraine, l’opposante Ioulia Timochenko a été libérée de prison. À Kiev, le président Viktor Ianoukovitch a été destitué par le Parlement. Vitali Klitschko, leader du parti d’opposition UDAR, justifie cette destitution. »

D. dit: à

Elle avait pas de dictionnaires, Charulata ?

maestri dit: à

Si rose le dit cela doit être vrai… c’est comme le fait que chez les éditeurs l’orientation sexuelle prime sur les compétences, même si cela ne correspond pas à l’expérience que j’ai de divers marchands et des éditeurs.

rose dit: à

Kilékon dit: à
Un marchand reste un marchand.

C’est comme : » une fonctionnaire reste une fonctionnaire »?

J’allais dire je passe, mais non.

Oui, je n’ai rien branlé de toute ma vie.
Mes deux concours, je les ai passés les doigts dans le nez.
Toute ma carrière, j’ai travaillé quatre mois pour huit mois de vacances.
Je ne me suis jamais investie auprès de mes élèves. Je n’ai jamais bossé et j’en ai fait le moins possible. C’est un métier de glandeur, prof.
D’ailleurs, c’est drôle, mais, à la déchetterie cet aprem, mon WC avait été récupéré et merde, par un mec intelligent, lorsque j’ai voulu jeter la pochette contrôles et que je l’ai ouverte, je suis tombée sur des notes sur Marguerite Duras et le vice-consul, d’autres choses encore et je n’ai rien jeté du tout, sauf les cartons.
Si je dois rajouter une couche sur la vie de fonctionnaire, je peux le faire facilement.
En attendant de savoir le salaire d’un correcteur automatique Monde.fr., ma cantine.

renato dit: à

Haydn symphonie 59 (Feuer-Symphonie)

« La forme du premier mouvement est classique avec exposition, développement et réexposition, mais dans le premier thème apparaissent déjà, comme à contre-jour, les deux principes dont Beethoven parlera un demi-siècle plus tard, le principe d’opposition et le principe d’imploration. Des principes dramaturgiques. Et en effet, le premier mouvement rappelle irrésistiblement les caractéristiques de l’ouverture d’opéra. La parenté avec l’opéra est également évidente dans le deuxième mouvement, cantabile, confié en grande partie aux cordes mais avec une apparition inattendue des cors vers la fin. Le menuet, de caractère martial, crée un fort contraste avec la douceur et la mélodie du deuxième mouvement, mais le trio est mystérieux, insaisissable. Le final s’ouvre sur l’éclat des cors et le gazouillis des hautbois, qui joueront un rôle décisif tout au long du quatrième mouvement. Musique de chasse, évidemment : les cors des chasseurs, les gazouillis des oiseaux. Mais il fut un temps où l’on pensait que les sonneries de cor avaient un rapport avec le titre apocryphe, à savoir les signaux d’alerte d’un incendie. »
Piero Rattalino *

https://youtu.be/MvetAvYOSX8?si=uD3kStFViCe62D8a

* Pianiste, musicologue et critique. Titulaire de la chaire de piano principal au Conservatoire de Milan de 1964 al 1996. Parmi ses Œuvres l’intéressant Il concerto per pianoforte e orchestra: da Haydn a Gershwin.

rose dit: à

Automatique ou pas. Le correcteur.

Chacun a ses expériences de vie qui ne sont pas toutes les mêmes.
Comme chacun a ses conceptions du genre, la boxe féminine en est témoin, qui je sont pas toutes les mêmes non plus.

En général, c’est vrai, le temps me donne raison, plein pot. Souvent, même s’il n’y a pas de systématique.
Par contre, j’aime beaucoup quand de bons vrais potes me disent des choses étonnantes sur moi :
-tu as toujours cru en moi.
-toi tu n’es pas compétition.
Cela correspond intimement à qui je suis, et fière de l’être.

rose dit: à

Si tu en veux encore une couche sur les fonctionnaires, ces gens payés à rien foutre, je suis dispo.hein !

JC..... dit: à

JO 2024 PARIS CIRCUS

« Boxe: l’Algérienne Imane Khelif, au cœur d’une controverse sur son genre, survole la finale olympique des -66 kg » (Le Figaro)

Bravo, mec !
C’est toi le meilleur des femmes qui cognent ! Profite bien de l’ambiance WOKE de ce monde décevant, hésitant à faire simple et naturel.

Marie Sasseur dit: à

@Bravo, mec !

Cette boxeuse algérienne à déposé plainte pour cyberharcelement.

Souvenir au passage du lointain temps des nageuses est-allemandes , simples et naturelles aussi, lol.

J J-J dit: à

@ Donc, nous savons désormais qu’un lien étroit vous lie à Sasseur : elle était la compagne de votre actuel compagnon
————

Ouarf CT, je viens de relire mon topo sur la sasseur à la lumière de votre incompréhensible message… Et je suis halluciné par la bévue liée à une faute d’orthographe non encore aperçue jusqu’à présent… lL est écrit MON compagnon, à la place de SON compagnon… Bjr le kiproko ! Trop drôlissime !… Et ma Clopine T. qui se met à se faire son film… GENIAL :… avec en plus, une petite leçon de morale à la clé sur les révélations de la vie privée de la gente erdélienne… GEANT ! 🙂 Ah mais celle-là, c’est la meilleure de l’année !!!!
Et l’autre « bancal » qui nous parle de daafnaée… On aura tout vu icite !… depuis AD, tarzoune et walden débranchée des journées entières, j’en passons et des meilleures !…

vraiment GENIAL, cette histoire de MON compagnon que j’aurions volé à ma soeur !… Et pourquoi pas MC/PR pendant qu’on y est ?…
J’en suis encore sur le cul et croisj bin que j’vas pas m’en remettre… ah aha ah ahaha ah, comme vous diriez… Hein ?

Eh bé, CT, si avec un matériau pareil vous n’avez pas de quoi composer un vrai roman, c’est vraiment à douter de votre Proust, hein !… 🙂 🙂
Allez, bon courage en cette caniculique jouréne historique du blogàpassoule,
11.8.24_7.45@orange.fr Bàv

JC..... dit: à

« Souvenir au passage du lointain temps des nageuses est-allemandes » (Marie)

Et oui ! Souvenir des entraineurs est-allemands foutant enceinte des athlètes mises à leur disposition afin d’améliorer leurs résultats, puis les épreuves terminées…les faisaient AVORTER !

Pas belle, la vie ?

Marie Sasseur dit: à

@je viens de relire mon topo sur la sasseur

_____

Te fatigue pas, connard, après des usurpations de pseudo, ton usurpation de la réalité est tout au plus médiocre.

J J-J dit: à

merci ma soeur d’opiner !… Bàv, j’en attendais pas moinsss,

Marie Sasseur dit: à

@Pas belle, la vie ?

S’agissant de manipulations hormonales, je ne savais pas pour la grossesse utilisée comme moyen de dopage. Cette  » possibilité  » avait été mise scène dans un téléfilm de la série Cassandre , laquelle nous change agréablement de la flicaille qui zone sur ce blog h24.
Non, moi je pensais aux « stéroïdes anabolisants androgéniques (hormones mâles) « , car sérieux ça faisait plus que leur faire pousser des poils sous les aisselles, lol.

renato dit: à

Donc, si je comprends bien, un pot est un « vrai bon pot » quand il gratifie ! Est-ce un hasard s’il y a une allusion à la marmite ?

J J-J dit: à

@ PE / Claude Maupomé, longtemps productrice sur France Musique (qui avait une voix aussi ensorcelante que celle de Delphine Seyrig).
Ah la grande Claudia Chauchat Ma Paumée ! tout un poème

@ CT – pour mettre vos mots entre parenthèses quand vous parlez, le truc très simple qu’on apprend aux écoles, consiste à clignoter l’index et le majeur de chaque main, les bras un peu surélever à la hauteur des yeux… Et même que les sourdingues le comprennent… Evidemment, il faut pas être trop cul de jatte… pour ce faire.
Mes amitiés au grand Thomas Quasthoff !
https://www.youtube.com/watch?v=_Zfuxu4mTlM
@ et merci RM pour le lien sur la 59e !

rose dit: à

Le quiproquo au théâtre est la clé du comique de répétition.
À force, d’être caché dans l’armoire lorsque le mari rentre à la maison, d’être un homme une femme, une soubrette, Arlequin, mais surtout Scapin, on finit par se prendre les pieds dans le tapis.

J J-J dit: à

@ MON COMPAGNON… (Antoine)
les ravages de la thalidomide mentale chez MS, parlons-en un brin, CT, c pilpoil préoccupant dans sa vie privée, hein !

rose dit: à

des athlètes mises à leur disposition afin d’améliorer leurs résultats
Mais qui améliorait ses résultats, les entraîneurs ou les athlètes ?
Maintenant, le choix est aux femmes.

rose dit: à

@ CT – pour mettre vos mots entre parenthèses quand vous parlez, le truc très simple qu’on apprend aux écoles, consiste à clignoter l’index et le majeur de chaque main, les bras un peu surélever à la hauteur des yeux… Et même que les sourdingues le comprennent…

Clopine,

Ce que vous explique J J-J, très usité, je l’emploie pour ma part pour les guillemets.
Pour les parenthèses je ne sais pas.

rose dit: à

Quant à sourdingue, ai constaté, comme la mémoire, que l’évolution ne se fait pas toujours vers le bas. Et que la clé, une fois de plus, est le travail.

Clopine dit: à

Jj-j, je suis contente de vous avoir fait rire, et vous savez, je lis soigneusement vos messages. Une simple faute de frappe a effectivement fait basculer ma lecture vers un truc totalement invraisemblable (mais pourtant pas à 100%), d’autant que m’y proposiez des « révélations du même tonneau sur MC, et que désormais plus rien ne m’étonne. Mais c’est vrai que la méprise est rigolote ! En même temps, cela prouve que votre portrait était crédible !

(La vie privée de MC ne m’intéresse pas. Par contre, ses activités de harceleur, notamment à mon égard pendant toute la durée de mon blog, seraient sûrement à décortiquer. J’en subodore la cause : ayant des opinions politiques radicalement différentes des siennes mais osant par exemple revendiquer mes lectures d’Anatole France, je ne pouvais que lui être odieuse et provoquer son mépris de classe. Mais de là à être obsédée par moi comme il l’a été, et n’avoir en tête que de m’empêcher de m’exprimer, il y a là une énigme pour moi. Si vos talents de limier psychologique vont jusque là, je suis preneuse )

J J-J dit: à

COMIQUE TROUPIER
ce n’est pas exactement ce que nous racontait Bergson. Quant à l’image dans le tapis, elle n’est pas toujours des plus drôles, sous la plume de grand machin.

@ Ah au fait, r^z, en vidant ma bibli, hier, je suis tombé sur les Mémoires d’Hadrien et j’ai pensé à votre lecture. En feuilletant le roman, j’avais en mémoire qu’elle l’aurait écrit à 19 ans. J’ai lu le roman à 20 ans, en 1975, c’est écrit dans mon exemplaire en livre de poche, d’où un papier jauni s’est détaché. Voilà ce que j’avais recopié à l’époque du texte, c’était ma 2e année de fac en droit… Ce passage emblématique m’explique bien des choses de ma trajectoire ultérieure de juriste dégénéré en sociologiste. D’un propos qui n’a jamais pris une ride, voici ce que Youyou faisait dire à Hadrien :
« Il faut l’avouer, je crois peu aux lois. Trop dures, on les enfreint et avec raison. Trop compliquées, l’ingéniosité humaine trouve facilement à se glisser entre les mailles de cette nasse trainante et fragile. Le respect des lois antiques correspond à ce qu’a de plus profond la piété humaine ; il sert aussi d’oreiller à l’inertie des juges. Les plus vieilles participent de cette sauvagerie qu’elles s’évertuaient à corriger, les plus vénérables sont encore le produit de la force. La plupart de nos lois pénales n’atteignent, heureusement peut-être, qu’une petite partie des coupables, nos lois civiles ne seront jamais assez souples pour s’adapter à l’immense et fluide variété des faits. Elles changent moins vite que les mœurs ; dangereuses quand elles retardent sur celle-ci, elles le sont davantage quand elles se mêlent de les précéder. Et cependant, de cet amas d’innovations périlleuses, émergent çà et là, comme en médecine, quelques formules utiles. Les philosophes grecs nous ont enseigné à connaître un peu mieux la nature humaine ; nos meilleurs juristes travaillent depuis quelques générations dans la direction du sens commun. J’ai effectué moi-même quelques-unes de ces réformes partielles qui sont les seules durables. Toute loi trop souvent transgressées est mauvaise, c’est au législateur à l’abroger ou à la changer, de peur que le mépris où cette folle ordonnance est tombée ne s’étende à d’autre lois plus justes. Je me proposais pour but une prudente absence de lois superflues, un petit groupe fermement promulgué de décisions sages. Le moment semblait venu de réévaluer toutes les prescriptions anciennes dans l’intérêt de l’humanité ».
Bàv, merci…

Clopine dit: à

Jjj, et au fait, afin de dissiper tout malentendu, puis-je vous demander pourquoi vous citez le nom de Thomas Questhoff ? Je veux dire… Faites-vous allusion à ce que j’ai écrit sur lui, et qui avait été, à l’époque, mis en ligne sur Radio France Musique ? Je n’y crois pas, car je n’avais pas signé mon texte « Clopine Trouillefou », mais d’un autre pseudo. A moins que vous ne le connaissiez aussi ?

J J-J dit: à

Merci CT, j’apprécie votre généreuse réaction et touchante attention. En effet, vous m’avez fait beaucoup rire. Je pressens que vous allez beaucoup mieux depuis quelques temps…, et cela me fait vraiment plaisir. Belle journée à vous, hein !

J J-J dit: à

Mais non, CT, je ne me souviens pas de cela. J’ai parlé de Thomas Questhoff dont j’aime beaucoup la voix de baryton dans ses lieder de Schubert, comme je l’ai mis dans le lien… à la suite d’une association d’idées sur les guillemets avec les doigts, … sauf si on est « cul de jatte », aij précisé… Suis allé consulter dans la foulée la biog de Questhoff d’où j’ai appris le handicap de la naissance qui serait lié à la prise de thalidomide de sa maman. Voilà tout. Je ne retiens pas tout de vos propos, CT… loin de là, et désolé. Bàv,

J J-J dit: à

@ Si vos talents de limier psychologique vont jusque là, je suis preneuse

Non, je ne sais pas quoi penser du harcèlement de MC à votre égard. Un jeu avec vous, peut-être ?… lui qui ne joue jamais avec les femmes (celles qui osent écrire ou vouloir écrire surtout) dont il n’a pas grande opinion et estime en général. Et vous seriez devenue comme sa bouc-émissaire préférée ?

renato dit: à

Dans le lointain 1983, un brin de postmoderne désormais ancien
(Si Claudio B. passe par ici il reconnaitra le monsieur silencieux)

https://youtu.be/h7s3D6vwaao?si=jZlBegz24V0FAD7n

txt
Cinzia said
(Cinzia a dit)
Je voudrais changer de robe
Vieille maintenant
Ne me va plus
Tony said
(Tony dit)
Le poisson a un goût étrange qui ne va pas
Mais pourquoi ?
Si c’est du turbot et pas du poisson
Square et les invités
Alors aussi
Ils ont fini avec leur bon café
Tony non, il a pris une bonne glace
Électrochoc parce que
Tu vois comme tu es
Un autre choc
Pour ce que tu ne seras pas
Électrochoc parce que
Tu n’apprendras jamais
Un autre choc
Pour ce que tu ne seras pas
Électrochoc parce que
Tu ne parles plus
Un autre choc
Si les autres ne t’aiment pas
Flossy said
(Flossy a dit)
J’aimerais aller à la mer à Hollywood
Une mer qui
Qui est rouge et pas si bleue que ça
Johnny said
(Il dit)
Laissez-moi me tranquille un moment
On ne peut pas nager dans la mer rouge
Plus et tout
Alors ainsi
Ils ont laissé les chaises autour de lui
Johnny non
Il ne peut pas se réveiller maintenant
Électrochoc parce que
Voyez comment vous êtes
Un autre choc
Pour ce que tu ne seras pas
Electrochoc parce que
Tu n’apprendras jamais
Un autre choc
Pour ce que tu ne seras pas
Electrochoc parce que
Tu ne parles plus
Un autre choc
Si tu ne tombes pas

Clopine dit: à

Je crois que ce « jeu » était aussi le fait de l’incroyable orgueil de cette personne… Oui, pour Radio France Musique, ça me semblait curieux. J’avais juste écrit un courriel à l’attention de la réalisatrice de l’émission où j’ai entendu pour la première fois Questhoff, et cette réalisatrice m’avait demandé la permission de lire mon texte à l’antenne : j’avais bien entendu dit « oui », mais ça n’a évidemment duré que dix minutes, dans le recoin d’une émission tôt le matin. J’ai oublié l’anecdote depuis belle lurette, mais de revoir ce nom de Questhoff l’a fait ressurgir dans ma mémoire ! Bien à vous de même !

Jazzi dit: à

Pourquoi avez vous choisi de faire des études de Droit, JJJ ?

Montesquieu

De l’Esprit des lois, II

« Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois ; qu’on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l’on se trouve ; je me croirais le plus heureux des mortels.

Si je pouvais faire en sorte que ceux qui commandent augmentassent leurs connaissances sur ce qu’ils doivent prescrire, et que ceux qui obéissent trouvassent un nouveau plaisir à obéir, je me croirais le plus heureux des mortels.

je me croirais le plus heureux des mortels, si je pouvais faire que les hommes pussent se guérir de leurs préjugés. J’appelle ici préjugés, non pas ce qui fait qu’on ignore de certaines choses, mais ce qui fait qu’on s’ignore soi-même.

C’est en cherchant à instruire les hommes, que l’on peut pratiquer cette vertu générale qui comprend l’amour de tous. L’homme, cet être flexible, se pliant dans la société aux pensées et aux impressions des autres, est également capable de connaître sa propre nature lorsqu’on la lui montre, et d’en perdre jusqu’au sentiment lorsqu’on la lui dérobe. »

Clopine dit: à

Et au fait (après j’arrête !), oui, je vais « mieux ». Je me souviens, il y a quatre, les deux trois personnes qui me restaient proches me promettaient que la souffrance allait s’arrêter un jour, mais je ne les croyais pas (oh, je sentais bien leur sollicitude et je les en remerciais mais je me disais qu’une femme bafouée et mise à la porte d’une vie qu’elle avait eu tant de mal à construire, dont la vie « ne tenait désormais qu’à un fils », ne pouvait récupérer l’estime d’elle-même, d’autant plus que ça a toujours été un problème pour moi, cette estime de moi qui m’a toujours fait défaut, et ça continue d’ailleurs. Mais elles avaient pourtant raison : le temps atténue la peine au point où vous pouvez recommencer à prendre des décisions « qui vous font du bien ». Pour moi, ça a été la décision de venir garder les animaux de mon ancienne demeure, en l’absence du maître des lieux. Échapper un peu à mes barres HLM et revoir mes champs. Car certes, avec le temps va tout s’en va, mais mes animaux, eux, ne m’ont jamais trahie. J’ai replongé l’année dernière, à cause de Diego bien sûr, mais cependant il semble que j’ai pu surmonter ça aussi.

JC..... dit: à

RENE DESCARTES
« Je pense donc je suis »

Certes ! mais moi je préfère
« Je doute donc je suis »

Et, pour les cons,
« Je ne pense pas donc je ne suis pas. »

Direction : Horrible ! Le goulag, le Lao gai, la Sorbonne, Bercy… !

Damien dit: à

J’ai reçu mon Delamare. Vous vous rappelez, c’est le dictionnaire des termes médicaux. C’est fabuleux. 30 000 mots inconnus. Autant de maladies, ou presque. 30 000 raisons de mourir. Mère Colpine, c’est pour vous ! J’ai acheté, non l’édition actuelle, à 45 €, mais l’édition de 1995, la 24e, tant ce livre a eu de succès. Sur Internet, je l’ai eue à moins de 5 €, et dans un état quasi neuf. Il y a même un cahier avec des planches en couleur, par exemple de l’appareil génital de l’homme. C’est utile, non ? La langue française est très riche, quand même. Il y a des mots inconnus de moi, dont la définition donnée demande de rechercher chaque mot. Donc, cela permet de rêver un peu sur les mots, et par conséquent sur les maladies. Par exemple, « érysipèle du littoral ». Non, ce n’est pas un terme de météo. Cela veut dire : »Variété d’onchocercose cutanée. « Il faut aller voir à « onchocercose ». C’est la maladie de Robles. Elle touche l’oeil. Je vous laisse découvrir cette merveille. Pascal aurait apprécié ce dictionnaire, lui l’auteur de « Du bon usage des maladies ». C’est l’occasion de s’instruire et d’augmenter son vocabulaire (pour les mots fléchés, ou le scrabble — Mère Clopine, aimeriez-vous faire une partie avec moi ?) — baroz, j’ai vu hier « Comme le feu », superbe film, non sans défauts. Vous l’avez vu ? Bonne journée les mal portants !

renato dit: à

Let me think…

JC..... dit: à

Cher Damien,
il est grand temps pour toi de consulter….ton dico.

Chaloux dit: à

Dire que PA devra lire tout ça, sans en omettre un seul mot…

Chaloux dit: à

« J’ai replongé l’année dernière, à cause de Diego bien sûr, mais cependant il semble que j’ai pu surmonter ça aussi. »

Et lui?

Clopine dit: à

Damien, le scrabble… Disons que je n’y suis pas mauvaise, mais sur le site que je fréquente, il y a un « esprit compèt » qui m ‘est particulièrement étranger : les gens cherchent à accumuler, de parties en parties, le plus de points possibles. Or, moi j’ai une tendance à abandonner la partie, si je m’y ennuie, que le sort m’est trop défavorable dans la distribution des lettres, ou que j’entends une musique sur TSF Jazz et que je me lève pour relever le titre du morceau, bref, je ne suis pas sérieuse !!! Mais sinon, Damien, avec plaisir… (j’aime bien les échecs, aussi. Même si … Il n ‘y a plus de rois sur mon plateau, ahaha.)

rose dit: à

J J-J

Par chance, auriez-vous la page ?
@ Ah au fait, r^z, en vidant ma bibli, hier, je suis tombé sur les Mémoires d’Hadrien et j’ai pensé à votre lecture. En feuilletant le roman, j’avais en mémoire qu’elle l’aurait écrit à 19 ans. J’ai lu le roman à 20 ans, en 1975, c’est écrit dans mon exemplaire en livre de poche.

À vingt ans !
Je vais l’acheter.
Chacun de sa lecture retient selon son prisme à lui. Ai plus noté l’aspect architectural que l’aspect légal, dans ce qu’il s’est donné à accomplir : c’est passionnant de vous lire.

J J-J dit: à

sans oublier la grande Annette Messager, qui a beaucoup souffert : « je suce, donc je suis »… etc.

J J-J dit: à

avez de la chance, rôz : en livre de poche, n° 221, 1972 ***, pp. 167-168. Bàv,

Clopine dit: à

Chaloux, Diego est mort car je n’ai pas bien fermé une barrière, il s’est échappé et a été tué par une voiture (sans conséquence pour ses occupants). Alors, oui, Diego n’a rien « surmonté », parce qu’il était définitivement trop tard pour lui. Et je m’en voudrais jusqu’à la fin de mes jours, mais quand je dis que j’ai « surmonté », cela signifie que j’ai mis quelque temps à souffrir d’une culpabilité si intense que j’ai dû, bien malgré moi, retrouver le chemin du cabinet du psy. Mais j’ai réussi à émerger. Cela vous choque à ce point ?

rose dit: à

Sabbione
Ai-courageusement-dépassé les 30 premières secondes, et les quatre hommes à table => Génial
Espère chaudement qu’elle sait faire les pâtes à la carbonara, et aime faire l’amour. L’été aussi.

D. dit: à

Le numéro vert « Canicule » mis en place par l’Etat est :

0800 06 66 66

Comme par hasard, on y trouve le chiffre du Malin.

J J-J dit: à

@ Pourquoi avez vous choisi de faire des études de Droit, JJJ ?

Parce que c’était la seule fac à laquelle je pouvais prétendre, à l’époque, état peu doué pour les sciences exactes, et incapable de justifier d’un futur gagne pain avec les sciences molles de la littérature… Parce que je voulais absolument faire des études supérieures pour me sortir de ma « condition sociale » ; parce que je pouvais être boursier et ne serais alors pas une charge pour mes parents, etc… Ils ne purent m’en empêcher… Mais en découvrant et cotoyant désormais le monde des héritiers des Chartrons de Bordeaux I qui « faisaient leur droit », je me mis à haïr leur univers et le droit prescriptif qu’il fallait bien ingurgiter péniblement… J’ai beaucoup souffert jusqu’à l’obtention de mon doctorat en droit public, bien que j’eusse eu le temps de bifurquer par équivalence en licence de socio à Bordeaux II, puis d’achever un nouveau 3e cycle cycle par la socio politique à la Sorbonne. J’eus la chance de fuir un métier du « droit » (genre avocat, notaire ou conseiller fiscal), tout en restant un militant critique du droit (associatif), et surtout un amateur de la sociologie des normes dont j’eus la chance de pouvoir faire mon métier par la suite. Etc. Est-ce assez clair, jzmn ?… pour vous, qui avez également abandonné vos études juridiques niçoises bien plus tôt, pour vous conforter dans de la salade journalistique parisienne, à ce qu’il semblerait de votre CV public.
Bàv 🙂

D. dit: à

Pôv Gigi qu’il avait beaucoup souffert… prfftt…

MC dit: à

Mon intervention sur Anatole France doit se limiter au blog de Paul Edel, un jour qu’il nous avait mis en vacances. Elle porte sur le Procurateur de Judée, ou, dans la première édition, France avait introduit par un hapax chronologique l’éruption de Pompéi: « Le Vésuve fumait ».il mentionnait drolatiquement ailleurs les réactions par courrier de ses lecteurs: « Non, Monsieur, il ne fumait pas ». J’ai l’impression que certaine lectrice acariâtre fume à son tour. Il n’y a pourtant pas là de quoi fouetter un chat. Et quand on a reçu soi-même sur ce blog le démenti de « Lucien Bergeret » attestant qu’il était lui, et non pas moi, poursuivre dans cette voie de dénonciation d’une hypothétique persécution bloguesque de ma part tient de la bêtise ou de l opiniâtreté mal placée. Ce que dit JJJ de mes variations à votre égard n’est pas si mal vu. Encore faudrait-il que vous vous en rendiez compte. Le monde n’est pas manichéen, avec d’un coté la petite Clopine-Cosette, de l’autre, MC , forcément Thénardier! MC

Rosanette dit: à

@clopine
j’avais répondu a une question personnelle que vous posiez par un mail puis je vous avais adressé un autre mail pour nuancer ce que vous dites de mois dites de moi.l
il semble qu’ils ne vous sont pas parvenus ;
spam?,indésirables ?
A propos de l’effet du temps sur les chagrins, ce dont vous avez parlé ce mot de Colette : »ils a eu dans ma vie un chagrin que le temps loin d’atténuer a aggravé: Ma première ride
une boutade qui repose sur les deux sens du mot chagrin :le chagrin qu’on éprouve et que le temps atténue d’une part, et la cause du chagrin d’autre part ,qui selon sa nature peut être affectée ou non par le temps

renato dit: à

Qu’une fille sache faire des pâtes est une question archaïque : on s’en fout. Qu’elle aime faire l’amour est une affaire personnelle (voir : public, privé, intime), cela dit, elle-même donne une trace (« tu m’aime ou pas ? ») :

https://youtu.be/sKsuLrNjAJM?si=1cG3HEFtP4i9YkV_

Incidemment, « sabbione » est le nom de l’éditant.

rose dit: à

J J-J

Le lien est n°921.
Pas de pages 167-168.
Serait-ce la fin de Tellus stabilita ou le début de Saeculum aureum ?
L’édition que je lis est une ré de 2003 1er dépôt légal ds la collection mars 1977.

Jazzi dit: à

Réponse très claire,JJJ.
Merci.
Moi je ne me suis jamais posé le problème de comment gagner mon pain mais plutôt de celui de vivre ma vie.
Dans le Droit, je n’ai aimé que le droit constitutionnel.
Et à Nice, j’avais cumulé avec les sciences économiques, plus vivantes et dynamiques.
Mais je ne rêvais déjà que d’amour, de littérature et de cinéma…
Et à 17 ou 71 ans je ne suis toujours pas sérieux !

renato dit: à

(Incidemment 2, elle est l’une des rares chanteuses de variété à pouvoir se vanter d’avoir une tessiture de quatre octaves. Alors, si elle ne chantait que l’annuaire téléphonique, je l’écouterais avec plaisir.)

rose dit: à

C nous qui mettons les rois sur nos plateaux et ce.sont eux qui changent de plateau.

Jazzi dit: à

On ne tire pas les rois, c’est eux qui vous tirent et se tirent !

Chaloux dit: à

Malheureusement pour vous, Clopine, cette histoire de loquet mal fermé achève encore plus lamentablement qu’il n’avait commencé le portrait que je me fais de vous. Moi, je ne vous pardonnerai jamais cette étourderie, pas plus que la mort du dindon. Quoique vous en disiez, vous êtes bien plus bourreau que victime.

rose dit: à

Comment c’est que la vie est un miracle,.dès.lors que l’on ouvre un oeil.et.le bon.
Passer des Chartrons à Bordeaux aux Chartreux à Marseille.

(J’évite les cœurs mais ils y sont).

D. dit: à

Chaloux plaisante, Clopine.
Il ne le pense pas.

rose dit: à

Dans la galette pour ceux qui la mangent, on tire les rois, chez moi.

Jazzi dit: à

étourderie et surdité, avec Pile-poil qui hurlait à la mort en pleine nuit !

rose dit: à

Faire des pâtes à la carbonara, cela n’a rien d’archaïque. Et après on met.des.carottes ds la soupe au pistou.

Jamais aimé le droit. Mais le prince des mots tordus, ah ça oui, j’en ai pincé pour lui.

Petit Rappel dit: à

Retour du vieux fonds anti-Clopinien…Remonter au Dindon! MC

Chaloux dit: à

Il y en a bien qui remontent à la Crucifixion!

lmd dit: à

Je sais que je n’ai pas lu le livre Un singe en hiver. Je me souviens qu’en 1962 j’ai été déçu que Belmondo, après la révélation d’À bout de souffle aille travailler avec ce vieux con de Verneuil (celui qui faisait tous les films de Fernandel) et en plus avec Gabin qui n’était bon qu’en truand taiseux, avec un pardessus en poil de chameau et un costard croisé en fil à fil ; dès qu’on lui mettait un caban ou une canadienne il devenait exécrable, il roulait des yeux pour annoncer qu’il se mettait en colère.

renato dit: à

Se demander si elle sait les faire ou pas, voilà le problème archaïque !

pourmapar dit: à

« On ne peut pas être marchand et cultivé »

Très drôle! 🙂
Je pense au catalogues – deux tommes énormes – de la galerie M. Fleiss à propos de la vente André Breton et du surréalisme en tant que mouvement littéraire.
Une mine iconographique et textuelle de tout premier ordre qui a fait pâlir d’ envie tout universitaire spécialiste de cette période littéraire.
Un puits de culture vivante!

Jazzi dit: à

lmd, retourne au premier commentaire, qui a finalement paru !

pourmapar dit: à

lmd, merci pour vos remarques.
Cela m’a fait rire avec plaisir!

renato dit: à

« André Breton et du surréalisme »

Et que dire d’Arturo Schwarz ?

Jazzi dit: à

« pardessus en poil de chameau et un costard croisé en fil à fil »

Dans « Le Président » (1961) du même Henri Verneuil, il est excellent, en effet, lmd !

pourmapar dit: à

Deux tomes.. 🙂

pourmapar dit: à

Arturo Schwarz ?

Il a eu le mérite de remettre commercialement sur pied son ami Marcel Duchamp.
Vision intéressante mais partiale et particulière du surréalisme en ce qui le concerne.

renato dit: à

«… partiale et particulière du surréalisme… »

Mais partagée par Breton ¬— sa maison d’édition le publie en 52. Cela dit, le catalogue raisonné de l’œuvre de Marcel Duchamp bien à part, voir les monographies sur les surréalistes et Dada à partir de 75.

Samuel dit: à

Quand Oskar est mort l’année dernière, mon regretté ami Labrador, je fus inconsolable et je le suis toujours.
Et quand je vois cette c.onne de Clopine et son indigne et méprisable comportement avec les animaux, je comprends parfaitement pourquoi son mari l’a quittée et son fils ne la supporte plus. Qu’elle crève…

Samuel dit: à

…et son fils qui ne…

rose dit: à

Deux tommes énormes, de chèvre emballées dans des feuilles de châtaignier.

Jazzi dit: à

Une nouveauté de la semaine, plébiscitée par la presse, mais à la problématique datée, qui n’a pas vraiment convaincu le léZard…

closer dit: à

On peut avoir des surprises avec le droit, JJJ et JB!
Moi aussi j’ai commencé par là avant de bifurquer. Le cours a priori le plus ennuyeux pour moi était le Droit Civil…Eh bien je suis tombé sur un prof tellement exceptionnel que je n’aurais manqué aucun de ses cours! Il présentait une situation juridique entre deux parties en parlant de « primus » et de « secundus ». Quelqu’un l’a-t-il reconnu?

Il s’agissait de Jean Carbonnier, qui, sauf erreur, a fait aussi de la sociologie juridique; auteur d’un manuel Thémis jaune…

Exceptionnel vous dis-je!
Il y a plus de profs ennuyeux que de matières intrinsèquement ennuyeuses.

J J-J dit: à

@ r^z -> 28e page de TELLUS STABILITA dans mon édition du LDP de 1972 ou 1er tiers du chapitre, grosso modo – guy. La couverture représente la tête d’Hadrien d’un musée de Rome, sans doute. La première édition parut en 1951, chez Plon… !
———
Dans la décharge de ma bibli, je tombe sur ce passage émouvant des chroniques de François Mitterrand en date du 17 février 1974 (in La paille et le grain, Flammarion, 1975, p. 268) –
« Berrichon par mon père, Saintongeais par ma mère, je n’entends et ne parle que le français. Né au point de rencontre exact des pays d’Oc et d’Oil, mon oreille incertaine n’a pas su retenir le chant de la langue voisine. Je le regrette à mesure que vieillir m’ouvre l’esprit. Mon grand père maternel racontait, dans un patois irréprochable, de succulentes histoires charentaises qui faisaient la joie des soirées familiales. La petite réputation qu’il en tirait le flattait plus que n’importe quelle décoration. L’hérédité aidant, j’ai à mon tour été visité par l’orgueil lorsque, lisant une biographie de Burgaud des Marets, le barde saintongeais (et traducteur d’Adam Mickiewicz), j’appris que mon ancêtre direct, Beupré Lorrain, avait été non seulement le compagnon préféré du grand homme, mais aussi son diseur de fables et de poèmes. L’une de mes sœurs a reçu ce don en partage. Quand je vais la voir dans la maison des Baronnies, entre Dauphiné et Provence, un voyageur égaré s’étonnerait de nous entendre rire aux accents d’un parler inconnu. Récemment chez un bouquiniste, j’ai acquis une liasse de papiers manuscrits provenant de la succession Goulbenèze (sic), notre dernier chantre local, ou plutôt notre avant-dernier, car je n’oublie pas Odette Commandon (sic) et ses « contes de la Cagouille ». J’y ai goûté une saveur liée à la vie du peuple qui est le mien »…

@ Bihoreau de Phalanstère -> Miracle de la rose au poing ! Dans mon estafette de vieux bouquins partant à la déchetterie, à côté de ce bouquin de FM, je trouve le petit opuscule d’Odette Comandon cité par Mitterrand. Incroyab ! – Paru aux éditions Delmas en 1946 avec des dessins de Max Dunesme, 89 p.
Bon, celui-là, j’ai décidé de me le garder, car un hommage de Mitrand à GB et OC, bihoreau de phalanstère, n’est-ce pas proprement incroyable ?… Hein ! Ou alors, vaisj le mettre en vente auboncoin@org à 35 euros. Car il n’est pas en excellent état, il faut bien l’avouer. Bàv.

J J-J dit: à

Quelle chance avez vous eu de le connaître, ce monsieur Jean Carbonnier… J’ai découvert dans son Flexible Droit la manne qui réussit à ne pas me faire détester le droit définitivement. Et je l’ai rencontré un peu avant sa mort, et eus l’occasion bien tardive de lui raconter mon admiration pour ce livre… Il me fit un très beau sourire de gratification ou de gratitude. Merci Cl d’avoir honoré a juste mémoire.

rose dit: à

Pour moi c page 127. Ai trouvé.
La couverture représente trois oiseaux fins, comme des tourterelles turques sans collier dont une boit dans un grand récipient en or.

Edmond Poivre dit: à

Ah au fait, r^z, en vidant ma bibli, hier, je suis tombé sur les Mémoires d’Hadrien et j’ai pensé à votre lecture. En feuilletant le roman, j’avais en mémoire qu’elle l’aurait écrit à 19 ans.

Yourcenar n’a pas cessé de le réécrire

closer dit: à

Avec l’histoire que tu nous résumes, JB, ce film ne pouvait avoir que de bonnes critiques! Qui aurait osé en dire du mal ? Tu es courageux…
Cela fait des semaines que je n’ai pas mis les pieds au cinéma, à part pour un reprise de Pagnol, « César », qui m’a agréablement surpris; ça n’a pas si mal vieilli si on pense qu’il date de 1936.

Raimu, c’est un peu comme Gabin, une « gueule »; on leur reprochera toujours leurs mimiques prévisibles, leurs rôles toujours semblables…Mais on pourrait en dire autant de bien d’autres: de Funès, Ventura, Maillan, Flon, Azéma, Lucchini, Noiret…Les deux « vieux » ont été sans doute encore plus omniprésents que les plus récents.
Mais que voulez vous, c’est comme ça qu’on les aime.

A voir: Santosh, mais il y a toujours un empêchement et le futur japonais « Mélancolie ».
Deux films asiatiques comme par hasard.

closer dit: à

Vous n’avez pas de boîte à livres près de chez vous JJJ?
J’en ai mis régulièrement dans un joli jardin. Comme ce n’était pas des merdes, ils disparaissaient tout aussi régulièrement.

MC dit: à

De mémoire, de Yourcenar a propos d’Hadrien « Ces ébauches ont été détruites, et- méritaient de l’être ». On ne lit nulle part qu’elle ait commencé ces Mémoires à 19-20 ans.
En revanche, ce mot d’un académicien (Green?) au sujet dudit Hadrien conserve lui, sa pertinence: « Ce qui vous a paru du marbre se révèlera du saindoux. »

MC dit: à

lui aussi

Clopine dit: à

La haine d’un Samuel m’aide, en fait. Car ça conforte mon opinion qu’il y a quelque chose d’abject dans le manque de l’empathie la plus élémentaire, à savoir le reniement de son appartenance à l’humanité. Or, moi, je n’y renoncerai jamais.

Jazzi dit: à

De qui est-ce ?

Que vous soyez fier comme un coq
Fort comme un bœuf
Têtu comme un âne
Malin comme un singe
Ou simplement un chaud lapin
Vous êtes tous, un jour ou l’autre
Devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche
Vous arrivez à votre premier rendez-vous
Fier comme un paon
Et frais comme un gardon
Et là … Pas un chat !
Vous faites le pied de grue
Vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin
Il y a anguille sous roche
Et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard
La tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon
Vous l’a certifié
Cette poule a du chien
Une vraie panthère !
C’est sûr, vous serez un crapaud mort d’amour
Mais tout de même, elle vous traite comme un chien
Vous êtes prêt à gueuler comme un putois
Quand finalement la fine mouche arrive
Bon, vous vous dites que dix minutes de retard
Il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard
Sauf que la fameuse souris
Malgré son cou de cygne et sa crinière de lion
Est en fait aussi plate qu’une limande
Myope comme une taupe
Elle souffle comme un phoque
Et rit comme une baleine
Une vraie peau de vache, quoi !
Et vous, vous êtes fait comme un rat
Vous roulez des yeux de merlan frit
Vous êtes rouge comme une écrevisse
Mais vous restez muet comme une carpe
Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez
Mais vous sautez du coq à l’âne
Et finissez par noyer le poisson
Vous avez le cafard
L’envie vous prend de pleurer comme un veau
(ou de verser des larmes de crocodile, c’est selon)
Vous finissez par prendre le taureau par les cornes
Et vous inventer une fièvre de cheval
Qui vous permet de filer comme un lièvre
C’est pas que vous êtes une poule mouillée
Vous ne voulez pas être le dindon de la farce
Vous avez beau être doux comme un agneau
Sous vos airs d’ours mal léché
Faut pas vous prendre pour un pigeon
Car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie
Et puis, ç’aurait servi à quoi
De se regarder comme des chiens de faïence
Après tout, revenons à nos moutons
Vous avez maintenant une faim de loup
L’envie de dormir comme un loir
Et surtout vous avez d’autres chats à fouetter.

Clopine dit: à

Et je pense aux Palestiniens, aujourd’hui, sans oublier les Israéliens du 7 octobre. Le sang peut gicler de plus d’une plaie à la fois.

Edmond Poivre dit: à

avec ce vieux con de Verneuil (celui qui faisait tous les films de Fernandel)

C’étaient les débuts de Verneuil, il faisait ses classes. Remercions le d’avoir débarqué à Marseille plutôt qu’à New York

closer dit: à

Drôle ton poème, JB. Queneau, Prévert?

renato dit: à

d’Ormesson

Jean Langoncet dit: à

@« On ne peut pas être marchand et cultivé »

Qu’elle dirait Lulu la nantaise

Jazzi dit: à

Bravo, renato.
N’étant pas lecteur de d’Ormesson, je n’aurais jamais trouvé, sans tricher…

Clopine dit: à

Ben, le poème de d’Ormesson est juste nul à chier, tant n’importe quel.ll.e élève de seconde subissant une colle aurait pu le composer, mais si c’est sur ce niveau de littérature qu’on doit célébrer sur la rdl… Et ron, et ron, petit patapon.

D. dit: à

Edmobd Poivre ! Encore un pseudonyme qui ne manque pas de sel.
C’est toi, JC ?

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