de Pierre Assouline

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La République des livres
Une amitié du roman-culte au film-cuite

Une amitié du roman-culte au film-cuite

On écoute les dialogues de l’un, on lit les livres de l’autre et on se dit que la vie aurait été vraiment injuste si ces deux-là s’étaient ratés. À ne pas croire qu’ils n’aient fait équipe qu’une seule fois. Au-delà d’un air de famille, une évidente fraternité devait lier Michel Audiard et Antoine Blondin. En théorie plus qu’en pratique car l’écrivain passait son temps dans les stades, les bars et les étapes du Tour quand le dialoguiste fréquentait plutôt les hauts plateaux. Ensemble ils n’auront fait qu’un bébé mais quel ! Un singe en hiver (1962), film-culte adapté d’un roman-cuite (prix Interallié 1959) (1) à moins que ce ne soit l’inverse. Il est vrai qu’il y en eut même pour juger que le livre avait trahi le film, c’est dire.

Sous la plume si pure et si légère de Blondin, l’intrigue importe peu par rapport au charme qui s’en dégage. Tout de même, l’histoire ? Un face-à-face qui se terminera par un côte à côte dans un bar du littoral normand entre deux leveurs de coude bien bourrés : Gabriel Fouquet, jeune publicitaire qui noie dans la boisson l’échec de sa vie sentimentale et Albert Quentin, un ancien fusilier marin qui a juré de rester sobre après avoir sérieusement taquiné le goulot autrefois. L’un rêve d’Espagne quand l’autre n’en a que pour sa Chine. Dès les premiers verres de contact, ils ne font qu’un mais lequel ? Soit, mais qu’est-ce que cela dit d’autre que ce que ça raconte ? Là, c’est du grand art, murmuré par le plus élégant et le plus courtois des écrivains et mis en musique par un virtuose de la conversation filmée.

Michel Audiard est à l’origine du projet. Nous sommes en 1961. Le temps presse car Jean Gabin doit tourner, étant sous contrat avec la Metro Goldwin Mayer. La maison de production a déjà refusé Un singe en hiver car elle n’y voit qu’une histoire de poivrots ; et après repérages in situ, l’acteur a finalement retoqué l’adaptation d’Au large de l’Eden de Roger Vercel par Albert Simonin au motif que ça pue trop la morue (le poisson, pas…). Retour à la case départ et donc au Singe, imposé avec le prometteur Belmondo d’À bout de souffle dans la corbeille. Henri Verneuil est engagé pour la réalisation, Claude Pinoteau et Costa-Gavras comme assistants, Michel Magne pour la musique, Louis Page pour la photo, Paul Frankeur, Suzanne Flon, Gabrielle Dorziat et Noël Roquevert dans la joyeuse troupe des seconds rôles, François Boyer pour l’adaptation et bien sûr Michel Audiard pour mettre des mots dans leurs bouches avec le brio qu’on lui connaît.

Le tournage se déroule sur la côte normande autour de Villerville, Trouville et Deauville. Il ne va pas de soi. Pas commode, Gabin. Du genre muet, du moins pendant la première semaine. Les deux acteurs principaux enfoncés dans un fauteuil pliant à leur nom et n’échangeant pas un regard, le vieux, 57 ans, lit Paris-Turf et le môme, 28 ans, L’Équipe. On voit par là qu’un abîme ontologique les sépare. Jusqu’à ce que leurs scènes communes les rapprochent et les lient une fois éteints les projecteurs avant de s’adopter pour la vie et se décréter meilleurs amis d’enfance malgré la différence d’âge.

Le film suit pas à pas la chronologie du roman en éliminant les retours en arrière. Nombre de répliques sont tirées ou adaptées du roman mais il y a aussi des bouts d’Apollinaire, celui d’Alcools évidemment. Michel Audiard et Henri Verneuil se veulent fidèles dans l’adaptation non du roman à la lettre, mais dans celle de son atmosphère empreinte de rêves, de nostalgies, de souvenirs. Une musique en émane qui a quelque chose de désemparé, de désenchanté. Parfois, on se gratte le cuir chevelu, on hésite : lequel des deux a trouvé ça ?

« Une paella sans coquillages, c’est comme un gigot sans ail, un escroc sans rosette : quelque chose qui déplaît à Dieu ! »

À la réflexion, ça ne peut être qu’Audiard puisque dans le roman, il s’agit de paupiettes. Il serait vain d’aller vérifier et comparer, pour ce passage ou pour tout autre :

« Je suis le plus grand matador français, yo soy unico…– Vous avez déjà entendu parler du Yang-Tsé-Kiang ? »

Antoine Blondin se plaint d’autant moins qu’il n’a pas souhaité être de l’aventure. Ce n’est pas qu’il n’ait jamais tâté de la pellicule. À plusieurs reprises, il s’est laissé embarquer dans des projets. Il a prêté la plume à des scripts pour Jean Delannoy. Plus tard, il y aura Le Dernier saut (1970) d’Édouard Luntz dont il fut le coscénariste et Cran d’arrêt (1970) d’Yves Boisset où on le retrouve comme coscénariste et dialoguiste, pour ne parler que de ceux qui ne sont pas restés dans les tiroirs des producteurs. Mais rares sont les cinéastes qui osent s’emparer de ses livres ; l’adaptation de son chef-d’oeuvre Monsieur Jadis, que Michel Polac (oui, « le » Michel Polac) réalise pour la télévision en 1975 avec Claude Rich dans le rôle-titre aurait pu les encourager tant elle est réussie.

Le problème est ailleurs avec Un singe en hiver. Malgré tout demeure une vraie querelle d’interprétation de la philosophie du roman. Le fait est que le style de l’écrivain tient une note poétique de bout en bout quand le travail du trio d’adaptateurs Boyer-Verneuil-Audiard se veut plus réaliste, par exemple dans les noms des rues de Tigreville (2). En fait, en émondant le roman pour des raisons dramaturgiques, ils aboutissent à concentrer l’attention du spectateur non sur l’alcoolisme mais sur l’ivresse. Ce qui est regrettable. Son biographe Alain Cresciucci est d’avis que le film ne rend absolument pas justice au livre, tout en reconnaissant qu’il a eu la vertu de permettre au grand public de découvrir l’oeuvre de Blondin (3). Mais selon lui, tout en restant à la surface des choses, les coscénaristes sont passés à côté de l’essentiel : non la complicité de deux imbibés mais une déchirante histoire de paternité :

« L’histoire d’un jeune père qui ne voit jamais sa fille pensionnaire et qui va essayer de la retrouver et l’histoire de ce couple d’hôteliers sans enfant qui trouve dans le personnage de Fouquet un fils adoptif. Quant à la fin, le film commet un contresens en attribuant la phrase “Et maintenant, voici venir un long hiver” au personnage du vieil homme alors que dans le roman elle concerne Fouquet, ce qui est une façon de dire la solitude définitive du héros. (4) ».

Quand on quitte une oeuvre, c’est d’abord sa fin qu’on emmène avec soi. Fouquet est le héros des dernières pages du roman, Quentin celui des dernières images du film. Deux partis pris également attachants mais qui ne disent pas la même chose en éclairant rétroactivement tout ce qui a précédé. Deux Singe en hiver : l’un est d’un romancier, l’autre d’un cinéaste et il serait vain de vouloir à tout prix les faire coïncider puisqu’ils forment un palimpseste. Blondin ne pouvait considérer la littérature que dans une perspective amicale. Mais si un livre est parfois conçu comme une lettre à un proche, c’est plus difficile avec un film, d’autant qu’il est une oeuvre collective.

La fidélité exige une certaine dose de trahison car on ne peut respecter l’esprit si on suit un texte à la lettre. Audiard l’a bien compris qui s’est parfaitement imprégné du roman afin d’en rendre au mieux le climat, ce qui lui importait par-dessus tout ainsi qu’à Henri Verneuil. L’ampleur de la trahison inquiétait fortement Blondin jusqu’à ce qu’il voie le film et rende des hommages appuyés au talent d’Audiard, son nouvel ami pour la vie. On ne peut pas dire qu’il ait harcelé le réalisateur pour intervenir dans le tournage : il refusait même ses invitations à s’y rendre. Belmondo se souvint de sa présence une ou deux fois sur les plateaux à Deauville « mais en ami bien plus qu’en auteur » (5). Sur plainte du ministère de la santé publique, la commission de censure fait des mauvaises manières au film, soupçonné d’apologie de l’alcool (quelle idée !) alors que c’est un si poétique éloge de l’ivresse sensuelle et généreuse, de l’inattendu de la vie, de l’imprévu souriant. Il est question de coupes sombres et même d’interdiction alors que franchement, il suffit d’écouter parler Albert Quentin/Gabin :

« L’alcool, c’est le salut dans la fuite, la liberté, l’état de grâce… et pour finir une belle saloperie. »

Finalement, seuls les moins de 18 ans en sont privés. Le critique de La Croix fut celui qui lui réserva le meilleur accueil avec ceux de France-Soiret du Figaro littéraire. Les autres grimacèrent ou pire encore. Le Monde regretta cette « vulgaire simplification » d’un roman sensible et harmonieux. Dans la bibliothèque de Michel Audiard, les livres de Blondin côtoyaient la collection complète de la Série noire. Fou de littérature, il l’aime couchée sur de beaux papiers en tirage limité. Les libraires connaissent bien ce bibliophile averti. Les piliers Ronsard, Verlaine, Rimbaud, Balzac, Dumas père, Stendhal, Proust sans oublier le patron, Louis-Ferdinand Céline… Audiard aurait pu être recruté par les hussards si Jacques Laurent, Roger Nimier, Michel Déon et Antoine Blondin s’étaient réunis une fois au moins mais ce ne fut jamais le cas.

Impossible d’asseoir des irréguliers à la même table. Les voyages de l’un, la mort de l’autre, les disparitions d’icelui… Pas pratique pour la photo de groupe rue du Bac devant la façade des Éditions de la Table ronde avec Roland Laudenbach pour surveiller la bande – façon nouveau-Nouveau Roman/Minuit et demi. Audiard n’aurait pas figuré parmi eux car il aurait tenu l’appareil. On peut rêver… L’amitié entre Michel Audiard et Antoine Blondin est née avec le désir de l’un de porter le livre de l’autre à l’écran. Jean-Paul Belmondo estima à l’époque que leur rencontre « ne paraissait pas tellement évidente au départ » (6). Pourtant, à la fois très français et si parisiens, ils ont en partage une certaine désinvolture mâtinée de douce mélancolie ; un sens de l’humour sublimé par l’esprit de fantaisie et une profonde frivolité ; et surtout le goût des formules joyeusement assassines souvent truffées de calembours.

Mais si elles fusent dans les dialogues d’Audiard, elles se font discrètes dans les romans, nouvelles et récits de Blondin, qui les réservait plutôt à ses articles. Car, on l’oublie tant sa réputation de leveur de coude a obscurci sa vraie nature (et le film a renforcé cette image imbibée), ce perfectionniste était un classique pétri d’humanités et un moraliste d’une pudeur qu’il ne fallait pas offusquer. Peu après la mort de son fils François dans un accident de voiture, perte qui avait anéanti le dialoguiste, Blondin avait dédié Certificats d’études (1977) « à Marie-Christine et Michel Audiard très affectueusement ». Dédié et pas seulement dédicacé.

(« Jean Gabin, Henri Verneuil, Michel Audiard, Jean-Paul Belmondo pendant le tournage du film Un Singe en hiver, 1962 » )

  1.  Les Éditions de la Table ronde ont publié  une édition collector d’Un singe en hiver enrichie d’images du film d’Henri Verneuil pour le centenaire de la naissance de Blondin.
  2. Paul Renard, « “Salut, papa !” : Un singe en hiver, Antoine Blondin et Henri Verneuil », in Roman 20-50, n° 58, décembre 2014, p. 41-48.
  3. Alain Cresciucci, Le Monde (imaginaire) d’Antoine Blondin, Pierre-Guillaume de Roux, 2016 ; Antoine Blondin, Gallimard, 2004.
  4. Interview d’Alain Cresciucci, in L’Opinion indépendante, 31 mai 2011.
  5. Témoignage de Jean-Paul Belmondo, « un fidèle parmi les fidèles » in Jean Cormier et Symbad de Lassus, Blondin, éditions du Rocher, 2016.
  6. Idem.
Cette entrée a été publiée dans cinéma, Histoire Littéraire.

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commentaires

1 818 Réponses pour Une amitié du roman-culte au film-cuite

Jazzi dit: à

Puisque JJJ insiste et persiste, une présentation suivie d’un extrait !

EMILE ZOLA

L’appel de la nature provençale

Quelle est donc la faute de l’abbé Mouret, qui donne son titre au roman éponyme d’Emile Zola (1840-1902) ? Celle, consistant, pour ce prêtre de vingt-six ans, qui rêvait, jeune séminariste exalté, d’être envoyé comme missionnaire dans le désert, et qui se contenta finalement de choisir pour premier sacerdoce un village perdu de la montagne provençale, de succomber à l’amour charnel dans les bras d’une belle sauvageonne ! Si, comme le médecin ou l’instituteur, le curé de campagne était déjà un personnage récurrent de notre littérature, celui que mit en scène le chantre du naturalisme, provoqua, à l’époque de sa parution en 1875, des réactions particulièrement virulentes. Telle celle du catholique monarchiste Barbey d’Aurevilly qui dénonça dans sa critique du Constitutionnel, une manifestation de l’anticléricalisme de Zola : « C’est l’apothéose du rut universel dans la création. C’est la divination dans l’homme de la bête, c’est l’accouplement des animaux sur toute la ligne ». Là où le romancier s’insurgeait surtout contre le célibat des prêtres. Zola, qui passa les premières années de sa vie à Aix-en-Provence, choisit pour cadre du roman les paysages pittoresques de son enfance. Des lieux édéniques, qui seront tout à la fois le témoin et la cause de la faute du bel abbé.

« La façade de l’église, toute nue, rongée par les soleils et les pluies, était surmontée d’une étroite cage en maçonnerie, au milieu de laquelle une petite cloche mettait son profil noir ; on voyait le bout de la corde entrant dans les tuiles. Six marches rompues, à demi enterrées par un bout, menaient à la haute porte ronde, crevassée, mangée de poussière, de rouille, de toiles d’araignée, si lamentable sur ses gonds arrachés que les coups de vent semblaient devoir entrer au premier souffle. L’abbé Mouret, qui avait des tendresses pour cette ruine, alla s’adosser contre un des vantaux, sur le perron. De là, il embrassait d’un coup d’œil tout le pays. Les mains aux yeux, il regarda, il chercha à l’horizon.
En mai, une végétation formidable crevait ce sol de cailloux. Des lavandes colossales, des buissons de genévriers, des nappes d’herbes rudes, montaient sur le perron, plantaient des bouquets de verdure sombre jusque sur les tuiles. La première poussée de la sève menaçait d’emporter l’église dans le dur taillis des plantes noueuses. A cette heure matinale, en plein travail de croissance, c’était un bourdonnement de chaleur, un long effort silencieux soulevant les roches d’un frisson. Mais l’abbé ne sentait pas l’ardeur de ces couches laborieuses ; il crut que la marche basculait et s’adossa contre l’autre battant de la porte.
Le pays s’étendait à deux lieues, fermé par un mur de collines jaunes que des bois de pins tachaient de noir ; pays terrible aux landes séchées, aux arêtes rocheuses déchirant le sol. Les quelques coins de terre labourable étalaient des mares saignantes, des champs rouges où s’alignaient des files d’amandiers maigres, des têtes grises d’olivier, des traînées de vignes, rayant la campagne de leurs souches brunes. On aurait dit qu’un immense incendie avait passé là, semant sur les hauteurs les cendres des forêts, brûlant les prairies, laissant son éclat et sa chaleur de fournaise dans les creux. A peine, de loin en loin, le vert pâle d’un carré de blé mettait-il une note tendre. L’horizon restait farouche, sans un filet d’eau, mourant de soif, s’envolant par grandes poussières aux moindres haleines. Et, tout au bout, par un coin écroulé des collines de l’horizon, on apercevait un lointain de verdures humides, une échappée de la vallée voisine, que fécondait la Viorne, une rivière descendue des gorges de la Seille.
Le prêtre, les yeux éblouis, abaissa les regards sur le village, dont les quelques maisons s’en allaient à la débandade, au bas de l’église. Misérables maisons, faites de pierres sèches et de planches maçonnées, jetées le long d’un étroit chemin, sans rues indiquées. Elles étaient au nombre d’une trentaine, les unes tassées dans le fumier, noires de misère, les autres plus vastes, plus gaies, avec leurs tuiles roses. Les bouts de jardin, conquis sur le roc, étalaient des carrés de légumes coupés de haies vives. A cette heure, les Artaud étaient vides : pas une femme aux fenêtres, pas un enfant vautré dans la poussière ; seules, des bandes de poules allaient et venaient, fouillant la paille, quêtant jusqu’au seuil des maisons, dont les portes laissées ouvertes bâillaient complaisamment au soleil. Un grand chien noir, assis sur son derrière, à l’entrée du village, semblait le garder.
Une paresse engourdissait peu à peu l’abbé Mouret. Le soleil montant le baignait d’une telle tiédeur qu’il se laissait aller contre la porte de l’église, envahi par une paix heureuse. Il songeait à ce village des Artaud, poussé là, dans les pierres, ainsi qu’une des végétations noueuses de la vallée. Tous les habitants étaient parents, tous portaient le même nom, si bien qu’ils prenaient des surnoms dès le berceau, pour se distinguer entre eux. Un ancêtre, un Artaud, était venu, qui s’était fixé dans cette lande, comme un paria ; puis sa famille avait grandi, avec la vitalité farouche des herbes suçant la vie des rochers ; sa famille avait fini par être une tribu, une commune, dont les cousinages se perdaient, remontaient à des siècles. Ils se mariaient entre eux, dans une promiscuité éhontée ; on ne citait pas un exemple d’un Artaud ayant amené une femme d’un village voisin ; les filles seules s’en allaient parfois. Ils naissaient, ils mouraient, attachés à ce coin de terre, pullulant sur leur fumier, lentement, avec une simplicité d’arbres qui repoussaient de leur semence, sans avoir une idée nette du vaste monde, au-delà de ces roches jaunes entre lesquelles ils végétaient ; des poules ayant disparu, les poulaillers, la nuit, étaient fermés par de gros cadenas ; un Artaud avait tué un Artaud, un soir, derrière le moulin. C’était, au fond de cette ceinture désolée de collines, un peuple à part, une race née du sol, une humanité de trois cents têtes qui recommençaient les temps. »

Phil dit: à

Si Green a vraiment été le modèle de l’Alexis d’une jeune Yourcenar

plutôt André Fraigneau, il semble.

Jazzi dit: à

Erratum : ce n’était pas dans le jardin de la princesse Bibesco, qui était sa rivale littéraire, que Colette courait nue, mais dans celui de Natalie Barney.

Phil dit: à

Colette courait nue, mais dans celui de Natalie Barney.

puisque l’heure est aux Journaux, Léautaud parle de gougnottes.

Chaloux dit: à

Jazzi, Yourcenar s’est aussi fâchée avec Matthieu Galey.

Son Journal, j’en relis environ 200 pages chaque année, dans la version non expurgée de Bouquins.

Chaloux dit: à

Clopine ne semble pas savoir que sur cette photo Audiard regarde peut-être un garçon

Chaloux dit: à

Pour Anticor, je suis d’accord. Excellente nouvelle.

Pablo75 dit: à

« Ce qui a disparu de l’horizon d’une certaine critique, c’est le lecteur pris dans le fil de sa lecture, le lecteur en émoi et en mouvement, désirant, exigeant, appréhendant, attendant. La lecture qu’elle propose est le paradoxe d’une lecture arrêtée, immobilisée : « un champ d’investigations », comme elle dit, c’est-à-dire la substitution au voyage de la carte routière. »

Julien Gracq. Noeuds de vie (Corti, 2021)

Chaloux dit: à

Je ne savais rien des Héroïdes d’Ovide (alors que nous savons tout des hé.mor.roïdes de la Gigi!). La grande Marguerite a dû lire ça avant de rédiger Feux.

Chaloux dit: à

Noeuds de vie, c’est vraiment un chef-d’oeuvre. Un de ces livres qu’on lit avec ce qu’on appelait autrefois « des transports ».

Phil dit: à

Merci Chaloux, les postulants au titre d’Alexis semblent légion. Seul son père, mort un an avant la publication, n’y aurait pas vu mystère.

Pablo75 dit: à

Tiens, ce matin on parlait de Rinaldi, de Hugo et Chaloux m’a donné envie de lire « Noeuds de vie » de Julien Gracq (que j’ai depuis des mois ans dans la bibliothèque des livres à lire déjà – payé 2 € dans un dépôt-vente de la rue des Rigoles – les livres n’ont pas de prix, on donne ce qu’on veut).

Je profite du fait que la canicule (37º à Paris aujourd’hui, 30º chez moi) m’invite à ne pas bouger du tout pour le lire, et je tombe sur ceci:

« Le centenaire de la mort de Hugo fait pousser, comme il convient, des chrysanthèmes dans les écritoires des journalistes. Parmi lesquels un article, d’Angelo Rinaldi, qui fait remarquer que Hugo, depuis le Panthéon et les funérailles impériales que lui a faites la Troisième République, est resté bien moins en fait le noyau irradiant de notre littérature que plutôt l’écrivain français dont la mention, tout comme l’apparition du président de la République, n’en finit pas de déclencher mécaniquement la Marseillaise. Et il figure assez bien, en effet, un président de la République des Lettres, type Troisième, un officiel de la littérature préposé aux chrysanthèmes laïques et aux solennités démocratiques, mais débranché de toute influence vraie : une forme évacuée de la grandeur, sans pouvoir sur les esprits et les cœurs.

Toujours, et abondamment, cité mais jamais sans un sourire à demi parodique, comme si on citait un témoin attardé d’une époque fabuleuse et un peu farce, où la langue était dégoisée sur un mode plus vaticinant, plus tonitruant : Isaïe ou Ézéchiel insérés soudain en encart exotique entre Stendhal, Voltaire et Baudelaire. Par ailleurs, le seul élu du suffrage universel de notre littérature, ce qui l’y installe — au milieu d’un paysage littéraire fondamentalement clanique, où seules les chapelles particulières sont réellement desservies — dans un porte-à-faux perpétuel et majestueux.

La langue chez lui, comme chacun sait, est superbe : parfaitement centrée, parfois miraculeusement timbrée. Malheureusement, la pensée n’évoque, le plus souvent, que le violent courant d’air qui traverse une trompette : tout l’effort, strictement calibré par l’instrument, porte sur le rendement sonore maximum. »

Pablo75 dit: à

Noeuds de vie, c’est vraiment un chef-d’oeuvre.
Chaloux dit:

C’est de la « haute-littérature » comme on dit la haute montagne.

On attend avec impatience ses « Notules »…

« Dans le fonds Julien Gracq au Département des Manuscrits de la Bibliothèque Nationale de France se trouve une série de 29 cahiers intitulés « Notules ». Julien Gracq a interdit toute divulgation de ces textes pendant une période de vingt ans après sa mort. Sans doute par respect des contemporains égratignés ici et là au fil de la plume. Nous devrons donc attendre l’année 2027 pour que le contenu nous en soit dévoilé. »
Bernhild Boie. Avant-propos

Chaloux dit: à

Je crois que Gracq exagère un peu, qu’il se laisse aller à son propre génie. Il y a des choses, comme Choses vues, qui dépassent infiniment ce cadre. Et il y a des ridicules. Léon Daudet a évoqué plusieurs fois dans ses livres la reprise du roi s’amuse vers 1882, moins un four qu’un gouffre sans fond. Hugo est certainement moins sollicité qu’en 1985 où il figurait pour la gauche l’équivalent du test du genou frappé avec un petit marteau. De la même façon, on entendait encore assez souvent, vers la même époque, des français s’exclamer qu’on n’avait tout de même pas fait la révolution pour rien. Sur ce point, le citoyen de 2024 semble beaucoup plus circonspect.

(Hugo a été odieux avec Juliette Drouet qu’il a traitée comme une esclave. Interdiction de sortir, de voir qui ce soit, obligation de recopier ses textes etc. Etonné que le féminisme clopinien ne s’en émeuve pas davantage et ne décide de jeter les Misérables aux ordures).

J J-J dit: à

@ nous savons tout des hé.mor.roïdes de la Gigi!

On se demande ce qu’elle vient foutre ici, parmi nos trois pédales s’entre-suçant la gorge des ragots de leurs habituels journaliers,

Chaloux dit: à

Je crois que Pierre Assouline avait évoqué un carnet que Gracq avait offert à sa femme de ménage, et qui s’était trouvé sur le marché des autographes. Je me souviens d’un jugement sur Echenoz « quelle gratuité ». S’il y en a beaucoup comme ça, ce sera bien amusant. A propos de Yourcenar, dans En lisant en écrivant, Gracq parle des Songes et les sorts comme d’un recueil « honorable », ce qui sent un peu tout de même son concours agricole. Quel beau navet, quelles belles carottes!

x dit: à

Paradoxe imposé : le texte qui suscite des transports s’efforce de les prévenir.
Imparable — il nous tient. Quoi que fasse l’admirateur étroitement ligoté, il resserre ces nœuds-là.

« Le sentiment de gêne, et même d’éloignement marqué, que me donnent souvent, quand j’en reçois, les lettres des lecteurs. […] « Je sais, pour le faire, ce que c’est qu’écrire, et, croyez-moi, les points d’exclamation se gaspillent. La littérature n’est pas tant. »
S’y ajoute, avouons-le, la connaissance, par expérience aussi, de l’instabilité des ferveurs adolescentes. […] La courbe de nos relations affectives avec un livre reproduit, en l’étirant seulement et en l’aplatissant, la courbe ordinaire des relations amoureuses, et les deux viennent confluer dans le même point d’orgue terminal : Tendre-sur-Désir, puis Tendre-sur-Estime, et pour finir Estime-sur-Abstention. »

J J-J dit: à

@ Hurkhurkhurk !
attention quand même aux lapsus et menaces de projets (avortés) des blogs du même pseudo usurpé @ WGG d’Alba ou @ puckt/JC… On sait trop comment ça peut re-finir à la rdl, en dépit des repentances post opératoires déshonorantes faites au maître de céans, à la fin du premier bannissement et de sa levée d’écrou dans les CDBF du CDF de Moucheron. (Ernest Chausson, bàv), –

Pablo75 dit: à

Je crois que Gracq exagère un peu, qu’il se laisse aller à son propre génie.
Chaloux dit:

Tout a fait. Il est souvent injuste. Et il cède souvent à l’envie de faire un bon mot (comme dans les dernières lignes du texte sur Hugo). Mais c’est le jeu de ce genre de notations: il décrit des impressions, des mouvements d’humeur, il résume de relectures. Et il est suffisamment libre pour se permettre le luxe de ne pas être toujours exact, juste, rigoureux. Mais on sent partout sa lucidité à toute épreuve et sa connaissance profonde de la littérature dont il parle.

Le texte que copie partiellement X je l’ai copié aussi, parce qu’il me paraît d’une lucidité terrible et très rare:

« Toutes les passions s’éloignent avec l’âge. » Sans en excepter, bien loin de là, la passion de la littérature. Ce dont je trouve la preuve, non dans une ardeur faiblissante envers les écrivains que j’aime, mais plutôt dans le sentiment de gêne, et même d’éloignement marqué, que me donnent souvent, quand j’en reçois, les lettres des lecteurs. Gêne qui n’a aucun lien avec la modestie, mais qui puise seulement sa déconvenue dans l’expérience personnelle du métier : « Je sais, pour le faire, ce que c’est qu’écrire, et, croyez-moi, les points d’exclamation se gaspillent. La littérature n’est pas tant. »

S’y ajoute, avouons-le, la connaissance, par expérience aussi, de l’instabilité des ferveurs adolescentes. « Dans dix ans… » La courbe de nos relations affectives avec un livre reproduit, en l’étirant seulement et en l’aplatissant, la courbe ordinaire des relations amoureuses, et les deux viennent confluer dans le même point d’orgue terminal : Tendre-sur-Désir, puis Tendre-sur-Estime, et pour finir Estime-sur-Abstention.

Il me semble quelquefois que la musique, elle, échappe à cette érosion. Dans le mariage d’inclination qu’on conclut avec une œuvre musicale, contrairement à ce qui se passe pour un livre, il n’y a pas consommation, rien qu’une chasteté constamment à la fois enflammée et déçue : c’est le divan de Mme Récamier. »

Chaloux dit: à

Gigi, il est l’heure d’aller te coucher.

MC dit: à

Puck, votre tirade sur Dostoïevski ne nous explique pas en quoi Flaubert serait un nouveau Cousin. Et pourquoi chez lui, selon vous, le Beau produirait le Vrai qui serait le Juste. J’ai l’impression que la volonté de créer un repoussoir à Dostoïevski (en l’occurrence Flaubert) vous emmène trop loin. Non, Flaubert n’est pas, et surtout ne pense pas, comme l’auteur de « Du Vrai, du Beau, du Bien ». MC

MC dit: à

« Hugo a été odieux avec Juliette Drouet qu’il a traité comme une esclave ».
Une esclave qui a eu avant l’exil ses petits bonheurs annuels (Voyages payés par Monsieur, et d’une certaine ampleur). Ce qui explique qu’elle soit avec lui à Bordeaux quand il apprend par le Journal la Mort de sa Fille.
Une esclave qui obtient pendant l’exil un domicile décoré par son Dieu, Hauteville-Faerie.
Une esclave qui est présentée à la famille, femme comprise, avant d’être invitée au pique-nique de Serk. Il y aura avec Madame Hugo une brève et amusante Correspondance.
Une esclave qui reçoit des Manuscrits , un exemplaire particulier des Travailleurs de la Mer, des dessins, dont un vient d’entrer au Louvre.
Pour le reste, elle l’aimait. Elle lui a immolé sa carrière, et fit très bien vu les témoignages qu’on a sur l’actrice. Il faudrait peut-être savoir, quand on parle d’esclave, ce que parler veut dire.

rose dit: à

Je préfère les transports aux vapeurs.

Loin, loin, loin, tout ça de horresco referens.

rose dit: à

Pas tout lu les Heroides
Pénélope et Ulysse
Phèdre et Hippolyte
Médée et Jason pas fini

x dit: à

(Gracq, Nœuds de vie) De mon côté, j’avais aussi copié le passage sur la disparition du « lecteur en émoi et en mouvement »… Mais également celui-ci :

« La confusion que fait naître, introduite dans l’art, la notion de vérité qui lui est étrangère (la notion de beauté […] n’a pas été moins perturbante). Il n’y a pas dans la fiction d’autre « vérité » que la justesse du rapport des parties à l’ensemble, la constante ouverture à la communication du tout aux parties, et des parties au tout, qui fait qu’un roman “fonctionne” comme le sang circule.
Maintenu dans l’être par sa seule cohésion interne, plutôt que par la « force du style » flaubertienne (mais peut-être Flaubert veut-il signifier par là la même chose). Par la seule cohérence des connexions qui le constituent et le conservent, suspendu dans une sorte de vide isolateur. Mais non pas pour autant un roman “sur rien” comme le rêve Flaubert. » (138)

Pablo75 dit: à

L’Ukraine rate son coup et la Russie arme l’Iran.
D. dit:

Tes deux complotistes poutiniens (Aberkane et Galactéros) contredisent la gouverneur de l’oblast de Koursk, que je viens de voir à la TV faire le point sur l’incursion, jusqu’à 40 kms dans la Russie (les Ukrainiens, qui ont fait des centaines de prisonniers russes – des conscrits- et de tchétchènes, qui se sont rendus tout de suite, sans combattre, sont en train de détruire tous les points importants de logistique en direction de Belgorod). Du point de vue de l’image de la Russie c’est un désastre pour Poutine, qui n’ose toujours pas s’attaquer à Guerassimov, le chef de l’armée, visiblement incompétent en plus d’alcoolique chronique, parce qu’il a une peur bleue d’une révolte de l’armée, dont aucun général voulait la guerre. Guerassimov avait dit à Poutine que envahir l’Ukraine était une connerie du point de vue militaire. Poutine se rend compte maintenant et il de plus en plus discuté dans le noyau dur du pouvoir russe.

et alii dit: à

Leone Ginzburg naît à Odessa le 4 avril 1909, de Tanchun Notkovich Ginzburg et de Vera Griliches. Après Marussia et Nicola, il est le troisième enfant de cette famille juive. En 1910, il vient en Italie pour la première fois. Il passe l’été avec sa mère, son frère et sa sœur à Viareggio en compagnie de Maria Segré, leur préceptrice pour l’italien et le français. En 1914, alors que la famille est à Viareggio, la guerre éclate, la mère de Leone le laisse à Maria Segré. Il passe les deux premiers hivers de la guerre à Rome. Entre 1916 et 1920, il est à l’école primaire à Viareggio. En 1919, la famille Ginzburg quitte la Russie pour s’installer à Turin. En 1921 Leone est à Berlin où la famille suit le père. Il y passe deux ans.
https://www.cairn.info/revue-poesie-2018-1-page-77.htm

renato dit: à

Haydn symphonie 61

Probablement écrite en avril 1776 à la suite de l’entrée dans l’orchestre du prince Esterházy d’un flûtiste virtuose ¬— suite à l’usage de la flûte que Haydn avait prescrit dans la Symphonie 41, composée vers 1768.

https://youtu.be/Ysuz6PZPHFk?si=Dvj4VdMdYBfhsptP

Damien dit: à

Pablo, un dictionnaire, ça part des mots et ça en donne une définition, et non pas l’inverse. Tu as pigé ? Donc, je ne peux pas encore répondre à ta question, qui est plutôt du ressort de la psychiatrie. Bonne journée !

Damien dit: à

Je viens de lire le livre « Le Mage du Kremlin », je n’y ai rien appris de spécial. le propos m’en semble confus, et la conclusion débile (la machine devenant Dieu !). Je ne comprends pas le succès de ce livre, tous les prix qu’il a eus. Ce sont des élucubrations prétentieuses et fallacieuses. Pire : l’auteur justifie Poutine et la guerre en Ukraine. Je mets à ce navet la note de 2 sur 20. Vous l’avez lu, Paul Edel ?

Chaloux dit: à

Pour moi, je l’avoue, je manque de complaisance envers l’esclavage féminin, même supposé consenti. Pour se faire une idée du degré d’esclavage subi par Juliette Drouet, peut-être faut-il avoir la vie de George Sand en tête, même si elle aura été elle aussi très contrainte (dans La liaison Musset-Sand, Henri Guillemin qui la déteste, fait semblant de ne pas la comprendre mais l’explique très bien). Présentée à la famille, oui, pour finir gouvernante de Hauteville House, c’est à dire Domestique, après le départ d’Adèle à Bruxelles. Certes, une promotion.

la troisième partie des Nœuds de vie consacrée à l’écriture m’avait moins convaincu que les deux premières. Gracq voit mal qu’on puisse procéder tout autrement que lui et réussir aussi bien.

J J-J dit: à

*- Il est l’heure d’aller TE lever et TE laver (feignasse) !

**- Sa tirade sur Dostoïevski ne nous explique rien, (comme d’hab) –

*** Deux bouts, en cette matinale (13.8.24_8.13)
-< Gracq, Tiberius (LTDC) : "l'idée assez subtile qui se dégageait de ses remarques -très allusive, et d'un tour volontairement dégagé, presque amusé-idée qui m'a frappé, est que la maladie d'une ville assiégée réside dans l'excès de contact, dans une surface impressionnée trop grande par rapport à la masse (p. 130)" ///sic///
– => Ca va le faire, Céline !!!! (NDLR)

**** Merci pour la 61ème, R. Belle journée à vous-j

J J-J dit: à

(oups) le deuxième fragment du message précédent a sauté :

-> Gracq, Caïus (NDV) : « Toutes les passions s’éloignent avec l’âge ». Sans excepter, bien loin de là, la passion de la littérature. Ce dont je trouve la preuve, non dans une ardeur faiblissante envers les écrivains que j’aime, mais plutôt dans le sentiment de gêne, et même d’éloignement marqué, que me donnent souvent, quand j’en reçois, les lettres des lecteurs. Gêne qui n’a aucun lien avec la modestie, mais qui puise seulement sa déconvenue dans l’expérience personnelle du métier : « Je sais, pour le faire, ce que c’est qu’écrire, et, croyez-moi, les points d’exclamation se gaspillent. La littérature n’est pas tant » (sic) (p. 86)
=> Ca va pas le faire, Céline !!!! (NDLR)

Chaloux dit: à

« Il est l’heure d’aller TE lever »

On ne va pas se lever. (la phrase de la Gi.gi semble supposer qu’il faudrait avoir changé de pièce avant de se lever effectivement). On se lève. Seule Gigi fait pousser son lit dans l’antichambre avant de consentir à lever sa considérable personne. Une vraie cocotte de province. Cet usage continuel d’impropriétés ne l’empêchera pas de dispenser des leçons de français à la moindre faute de frappe, dès le bord du lit.

Je ne commente pas le reste.

closer dit: à

Par le hasard du zapping je suis tombé hier soir sur l’émission de LCP consacrée à Simon Leys…
J’ai cru halluciner en voyant le défilé de jeunes connards, aujourd’hui moins jeunes, mais toujours célèbres et toujours arrogants, qui ont craché sur Leys en le traitant comme un chien (ça fait penser à l’affaire Kravchenko). On voit Sartre et Beauvoir brandissant La Cause du Peuple…

Une anecdote que je ne connaissais pas sur la famine de la Révol Cul: des parents échangeaient leurs enfants morts pour ne pas avoir à manger les leurs…Le communisme adore la famine; c’est presque sa marque de fabrique, parce qu’il hait les paysans (le paysan, ça pue le futur propriétaire et donc le futur bourgeois, plutôt crever!). Même quand elle n’atteint pas des dimensions génocidaires (Ukraine, Chine), le problème de la nourriture quotidienne pour tous s’est toujours posé dans les régimes bolchos.
(merci, un million de fois merci, à feu Bernard Pivot pour avoir invité Simon Leys et l’inénarrable Maria Antonietta Macciochi ensemble à Apostrophes!).

Un des clous de l’émission a été l’apparition du dernier des mohicans, Alain Badiou! Cette crapule intellectuelle a affirmé de l’air suffisant que l’on connaît à tous ces gens, que « des millions de morts, ça ne disait rien sur le phénomène lui-même…la guerre de 14 aussi a fait des millions de morts; il aurait pu ajouter la grande peste de 1340… » Cela ne dit rien en soi certes, mais il est très facile de faire parler ces massacres avec un minimum de bonne foi.

On va chercher des poux dans la tête de journalistes « d’extrême droite » sur CNews ou le JDD et une bonne partie de cette racaille d’extrême gauche a pignon sur rue dans les medias main stream.

J J-J dit: à

@ pmp, blbg, rptv, « je manque de complaisance envers l’esclavage masculin, même supposé consenti » (p° / SF).

« Car enfin, ôtons le freudisme et -hors du monde des mots, et des fantasmes qu’ils nourrissent- qu’y aura-t-il de changé, sinon un krach prévisible dans l’industrie des lits de repose ? Comment ne pas être en défiance devant un mage dont les prestiges créent, dans une si large mesure, les énigmes qu’il explique » (Michel Au frais, 🙂 op. cit, p. 65.

J J-J dit: à

@ Gigi, il est l’heure d’aller TE coucher (sic).

Il ne commente pas le reste, dieu merçic !

Dans la séquence « la marquise sortit (de son lit pour se lever) à cinq heures, si » – p. 164 –
Pouick !
(@ Jean Forton, bàv)

Chaloux dit: à

Oui, « on va se coucher » et « on se lève ».

« Aller coucher », ou « Allez! Couché! » ce n’est pas la même chose.

Chaloux dit: à

« Il est l’heure d’aller te lever? »

Hurkhurkhurk!

J J-J dit: à

Fable à Cl., robin wood :
« quand on veut, on peut »… que disait Manuel. Anéfé, il te suffit de traverser le chemin forestier pour trouver du bouleau 🙂
nb / Armand Duplantis a récemment pulvérisé le score du saut à la perche en franchissant une hauteur de 6,25 m. Julien G en est resté baba.

Chaloux dit: à

Le sabir jijissois qu’on parle à la maison doit être bien amusant.

Sans compter ce ton effet minet!

HHH!

Chaloux dit: à

Merci de m’avoir fait tant rire, dès le lever!!!

J J-J dit: à

@ aller baiser ou allez, baisez en paix ! mon brav, si Tu le peux, dans Ton CDBF, ouij, vas-y et après, LAVE toi.
***Zaho de Sagazan -> Il fait toujours beau au dessus des nuages.
***** @ Christiane et Paul : Pourquoi « Eté, roche d’air pur » est-ce poétique – et « Mon âme est une infante en robe de parade », apoétique ? (p. 98).

J J-J dit: à

Les messages pour rire matutinalement étaient surtout destinés aux autres erdéliens qui, seuls, méritaient de goûter son sabir.
(p. 66) un quantum de souffrance aboli
(p. 67) mon grand-père, frappé de stupeur et de lèse-majesté par cette ESCAMPATIVE (sic !), s’alita pour une semaine ou deux.
**** C’est quoi, une escampative, rozanette ? Bàv.
@ Ce soir…, du Pierre Boulez sur la chaine Mezzo.

Bon, je sors pour ma baignade journalière dans la Charente
@ CT, j’espère que vous allez de mieux en mieux, en dépit des quolibets qui vous assaillent de temps à autres, mais déshonorent leurs lanceurs de scud (ery) -> Madeleine, hein ! ah ah ahah 🙂

J J-J dit: à

Va chiner ?… Un message subliminal pour Ton Pablo Q75 ?

J J-J dit: à

@ ce thon effet minet!
ou, la confusion des genres chez les poissons (S. Zweig)

Chaloux dit: à

N’oublions pas que si Juliette Drouet, qui n’était même plus une petite actrice de seconde zone, avait rompu son contrat avec Hugo, elle était bonne pour l’asile de Saint-Denis, comme Jeanne Duval.

Qui peut assurer que ça n’a pas compté dans la balance?

Bolibongo dit: à

J J-J dit: à

@ pmp, blbg, rptv, « je manque de complaisance envers l’esclavage masculin, même supposé consenti » (p° / SF).

? ? ?

Mais à quoi bon la formation de ce trio d » enfer!?

Bolibongo dit: à

Édition du L’abbé Mugnier de Ghislain de Diesbach dans la collection « Tempus ».
Ou la littérature hors du confessionnal! 🙂

JC..... dit: à

@ Ce soir…, du Pierre Boulez sur la chaine Mezzo.

Ce matin, c’est du Pierre Bourdieu sur la chaine RdL

D. dit: à

Pablo, pourquoi tes informateurs seraient plus crédibles que les leurs (parce qu’ils font allégeance à l’Otan ? Argument d’autorité ?)

D. dit: à

Tu sais où je me le met, Boulez ?

J J-J dit: à

@ jissée… et l’AB Pierre, c’est à tout moment…
(nb/ L’abbé C., c’était mon fils ma Bataille, Georges – l’histoire du clin d’oeil) !

@ Dédée,… où je me le METS ?… Au boulodrome de Chaville, sans doute, pas à celui de Metz ni de Mazametz ? hein !

J J-J dit: à

Madame Edwarda ?

J J-J dit: à

Juliette Minou Drouet ?

Chaloux dit: à

Toujours pas compris qui est le troisième.

La pauvre G. en plein délire ce matin… FALLAIT PAS ALLER TE LEVER! Fallait aller rester couchée!

(Je lui parle sans son idiome, pour qu’elle plus facilement).

J J-J dit: à

(térélama…, sur le concert de Lucerne, 21 h) :
Son aura de démiurge de la musique sérielle a tendance à la faire oublier, mais Pierre Bouboule à l’aise était aussi (et surtout ?) un prodigieux chef d’orchestre. Précision, transparence, direction méticuleuse, à mains nues, « pourquoi aurais-je une baguette ? J’en ai déjà cinq au bout de chaque main », disait-il.
Cet homme fort modeste avait bien raison de vouloir rester près de ses sous, dédée. Il rechignait à s’acheter une baguette de pain par jour. Hurkt, Bàvj,

Chaloux dit: à

…pour qu’elle comprenne plus facilement…

J J-J dit: à

@ pour qu’elle plus facilement (sic)

No COMPRENDO, senorita querida mia,…

J J-J dit: à

rptv /// raconte pas Ta vie, -> l’est pas intéressante quand Tu vas te lever pour te laver.
Fallait pâques elle sente l’ail (danielle bat l’avoine, hein ?). Fouchtra.

J J-J dit: à

Soyons sérieux, soyons sérielles…

Chaloux dit: à

J’ai connu dans mon enfance (véridique), une dame qui travaillait à l’IRCAM. Je la voyais de temps en temps chez des amis de mes parents. Elle était très contente, mais elle ne savait pas la clef de sol. Ceci explique peut-être cela.

Boulez est tout de même un très bon chef. C’est ce qui restera de lui, avec cette remarque ou la bêtise la plus crasse le dispute à la vanité la plus sale: « Si Schubert n’avait pas existé, l’histoire de la musique n’en serait pas changée. »

MC dit: à

Le lien avec l’asile de St Denis est des plus ténus pour ne pas dire inexistant. Supposons plutôt qu’elle se soit tournée vers un autre protecteur. Oui, mais voilà, non! Elle l’aimait son « Toto. » mot de Frédéric Lemaitre a son sujet , malgré sa vacherie, n’est pas dénué de lucidité. « Elle l’ a pris en lui disant tu es le plus beau, elle le gardera en lui disant tu es le plus grand! ». Ainsi fit-elle. Ainsi le voulut-il. À sa mort, il n’en reviendra pas. C’est je » La Terre m’appelle « cite par Léon Daudet, à quoi Alphonse Daudet répond: « c’est qu’il le sait ». MC

Chaloux dit: à

Juliette Drouet. Un autre protecteur? A cinquante, à soixante ans? Même à quarante?

M. Court, vous avez certainement beaucoup lu mais vous ne savez rien de la vie.

Les doctes conférences, même en chemise à carreaux, ne sauraient constituer une expérience suffisante.

J J-J dit: à

Je rigole, mais j’ai ri, mais j’ai ri, ce matin… mes saintes géries, … avec tous ces ploucs !
(Le dernier des justes, d’André Schwartz-Bart, LDP n° 2486, mon éd. 1968 / au Seuil, 1959)…. Transition certes pas très drôle. M’enfin, soyons sérieux.
(add. au JE du 13.8.24_11.33) Le temps est gris, le s’est rafraichi (22°C, nuageux). C’en est fini. L’eau était certes un peu sale, mais tiède comme il sied au fleuve d’Henri IV, et grâce au courant vers l’aval, tout s’est bien passé en brasse et dos crawlé, finalement. Merci pour votre inattention).

Chaloux dit: à

La Gigi est très mauvaise perdante.

Déci-dément!

B dit: à

Par hasard après la cérémonie de clôture des JO, j’ai regardé sur Public sénat ou LCP, un second reportage sur le sort que réservent les Hans aux Ouïghours, 400 camps répartis en camps de travail, camps de formation ou rééducation et camps prisons où sont enfermés, tortures, battus, violés des hommes et des femmes, 400 centres visibles par satellite pour 1 millions de prisonniers qui n’ont rien fait d’autre que d’être nés Ouïghours, turcophones, musulmans soit un peu plus de dix pour cent de la population de la province, avec un programme de stérilisations forcees, d’avortements non consentis, de viols de femmes avec matraque électrique quand elles ne servent pas de paillasson aux gardiens. Avec en plus un programme de surveillance hors norme de la population « libre », caméras par milliers, contrôle de l’électricité, fanghuijuqui consiste à envoyer des milliers de fonctionnaires chinois dans les familles afin de contrôler leur obéissance, leur soumission, l’éducation des enfants.

J J-J dit: à

C à votre tour, Marc. Ne vous laissez pas faire… Par celui qui a l’expérience de la vie, notamment dans les culs de basse fosse où sa jalousie native atteignit des sommets himalayens dont il n’est jamais redescendu, hormis de son extirpation par le charitable passouline (cf. Pétula Clark). Bàv,

J J-J dit: à

Croit-elle avoir gagné, la démente ?

@ B -> merci de faire un brin diversion icite. c devenu un brin irrespirab’… Mais pourquoi diab’nous proposer ce difficile sujet propre à nous plomber le moral, au juste ? vos joyeuses vakances seraient-elles finites ? Bàv, –

B dit: à

Chaloux, quand vous ne chercherez plus de noises à ceux qui vous dérangent ou dont le discours ne vous convient pas où encore que vous soupçonnez de fraude, les poules auront des dents. Je ne comprends pas vous ne changez pas de trottoir ou pourquoi vous n’adhérez pas à la formule le permis par le silence, bon c’est vrai, nous nous ennuierions un peu sans tous ces match de catch. Ainsi, il faut se résoudre à vous encourager à continuer de vous battre contre les moulins à vents.

Chaloux dit: à

J’apprécie souvent M. Court. Mais son érudition, le temps passé à lire, l’éloignent parfois un peu trop des réalités de l’existence.

Rien à voir avec la vieille pou.belle insu.ltante, probablement aussi fardée que ses cab.inets, qui ne cesse d’agiter son couvercle nauséabond et refuse de me f.outre la paix.

B dit: à

Parce que les palestiniens qui constituent un point de fixation pour certains ne sont hélas pas les seuls à souffrir de politique injustifiable.

J J-J dit: à

oulàh, RM, elle est salace votre photo ! ça va gicler !

B dit: à

Le mépris. Ne changiez, n’adhériez.

J J-J dit: à

et refuse de me f.outre la paix

Pkoi se gênerait-on à soulever régulièrement le couvercle de l’extirpé du CDBF qui pue toujours à ce point sur cette chaine, quand il n’a de cesse de harceler tous.tes les erdélien.nes par ses insultes incoercibles, sous une apparence de vernis culturel littéraire, analogue à celui de MS (son double), contrôlant en permanence les effets compétitifs de sa banale perversion narcissique ?

Clopine dit: à

JJ j, merci pour vos souhaits et de « ahaha » qui a dû vous coûter un petit effort, quand même !

Je vais mieux, mais je suis quand même passée d’une vie, comment dire ? Avec un rythme à la « take five », à une existence disons un peu longue et monotone, comme une de ces routes du « Texas »…

Ou de Brubeck à Ry Cooder si vous préférez.

Chaloux dit: à

Je ne comprends pas qui est MS?

Ce que je vois, c’est que l’irascible Jiji avec sa bonne conscience de gauche, ne parle, tout comme son double Bloo.mie, qu’exclusion, violences, condamnation, prison etc… Fascis.me bon teint, bien popu, auprès de quoi le RN n’est qu’un club de vacances pour jeunes innocents. Faut-il la laisser dire?

B., ne vous corrigez pas, je ne vous lis pas.

B dit: à

oulàh, RM, elle est salace votre photo ! ça va gicler !

Le porno du 16 ème avait tout de même plus de panache et nécessitait quelque talent . Mais sûrement la destination première de la toile tient elle en la dénonciation d’une hypocrisie, celle de l’Eglise qui prêchait ce qui dans ces rangs n’était pas observé, le péché de chair . L’oeuvre est une provocation transgressive, renato sait-il de sa réception à l’époque ?

https://museeprotestant.org/notice/le-protestantisme-aux-pays-bas/

J J-J dit: à

@ CT – heureux de vous lire… J’ai vu Dave Brubeck pour sa dernière apparition en public à Montréal, il y a quelques années. Mais ne connaissant pas Ry Cooder, je ne saurais vous suivre sur une pente musicale déclinante, apparemment. Proposez-moi un lien de ce que vous préférez chez ce jazzman ? je vous en saurais gré. Merci par avance, Bàv.

Chaloux dit: à

Après des centaines de millions dépensés à n’importe quoi, il n’y a en France que trois Canadairs en état de voler.

Vite, mettons fin à la Macronie!

Samuel dit: à

La gigi n’a rien dans sa vie de néant et de merde et au lieu de se suicider et de disparaître pour de bon, elle traîne sa misérable existence corporelle de vieille traînée sans âme ni esprit.
Même la mort ne veut pas de la gigi, c’est dire…

Pablo75 dit: à

Pablo, pourquoi tes informateurs seraient plus crédibles que les leurs (parce qu’ils font allégeance à l’Otan ? Argument d’autorité ?)
D. dit: à

Mon informateur est le gouverneur de l’oblast de Koursk. Le problème des complotistes poutinistes c’est qu’ils n’écoutent même pas les autorités russes, à commencer par Poutine, qui est une excellente source d’information.Ils n’ont même pas lu ou entendu ses discours. Et après les blogueurs nationalistes russes (souvent des militaires) sur Telegram, qui sont très durs contre Poutine et contre l’État Major de l’armée russe.

Jazzi dit: à

« Vite, mettons fin à la Macronie ! »

Pour la remplacer par quoi, Chaloux ?

B dit: à

Alors j’ai vu les trois il y a quelques jours au dessus d’ici, ils sont basés à Nîmes.

Depuis, la situation semble s’être améliorée puisque 9 Canadair sont à disposition des pilotes. Un nombre considéré comme suffisant, «seulement si la France ne revit pas la saison des feux de l’été 2022», nuance Benoît Quennepoix, également pilote de Dash 8.15 juil. 2024

L’Espagne dispose de 25 canadairs, l’Italie 19. La France pourrait donc prendre exemple puisque notre climat est peu de choses près devenu identique, de toutes façons ça crame au Groenland, en Sibérie, et aujourd’hui encore de nouveau en Grèce.

Pablo75 dit: à

Après des centaines de millions dépensés à n’importe quoi, il n’y a en France que trois Canadairs en état de voler.
Chaloux dit:

Dont un a été prêté hier à la Grèce, où les incendies menacent Athènes et qui a demandé de l’aide à l’UE.

Jazzi dit: à

« Même la mort ne veut pas de la gigi, c’est dire… »

Le veinard, j’aimerais bien aussi qu’elle m’oublie !

B dit: à

Jazzi, avec en projection ce  » sympathique » X Bertrand qui en rêvait, je suppose qu’il sera maniable et modelable.

Chaloux dit: à

Sur 5 Canadairs, trois sont opérationnels.

Il y a des gens qui additionnent la somme totale de Canadairs avec ceux qui sont encore opérationnels.

Euh, non…

Ceux qui fonctionnent c’est bien trois.

D. dit: à

C’est beaucoup plus intelligent de filer des milliards à l’Ukraine que d’acheter des Canadaur, enfin.
Demandez à renato et à pablo.

B dit: à

Ceux qui fonctionnent c’est bien trois.

donnez la source de ce qui précède.

renato dit: à

B, ce tableau est quand même au Frans Hals Museum de Haarlem… et je ne parlerai pas de pornographie, mais plutôt de documentation de la corruption de mœurs.
Au fait, bien que parfois présentée avec le titre Le moine et la béguine le titre dal le catalogue du musée est Le moine et la nonne.

Jazzi dit: à

700, c’est un bon chiffre !

Pablo75 dit: à

C’est beaucoup plus intelligent de filer des milliards à l’Ukraine que d’acheter des Canadaur, enfin. Demandez à renato et à pablo.
D. dit: à

C’est infiniment plus important stopper les Russes en Ukraine et leur donner une bonne leçon politico-historique en démantelant la Russie actuelle qu’arrêter le feu à la campagne (et cela d’autant plus que le feu est bon pour elle, ça la régénère, comme tu le sais très bien). Sauf pour les amoureux de Poutine et sa clique d’oligarques mafieux. Va demander aux Polonais, aux Roumains, aux habitants des Pays Baltes, ce qui le plus important.

L’essentiel est de dire aux dictatures (Russie, Chine, Corée du Nord, Iran, etc) que la démocratie, même pourrie, est mille fois mieux que les autocraties criminelles qui ne dominent les peuples que par la corruption et l’assassinat. Si à ton âge tu n’as pas compris cela, mon pauvre, je te plains sincèrement.

Et il y a quelque chose qui invalide totalement ta passion pour les dictatures et les éloges que tu les dédies: les milliers de km qui te séparent d’elles.
Le jour où tu quitteras Chaville et tu iras t’installer en Russie, tu seras un peu plus crédible, mon pote.

Quant à la France, elle dépense beaucoup plus d’argent à des conneries, des frivolités et des stupidités idéologiques que ce qu’elle donne à l’Ukraine (c’est l’un des grands pays qui donnent le moins, d’ailleurs – et en plus récupère une partie de l’argent en faisant une grande pub du matériel militaire qu’elle leur donne; les canons Cesar, par exemple, se vendent maintenant comme des petits pains; sa production a été multiplié par 10).

renato dit: à

Il y a 18 Canadairs italiens car un s’est écrasé sur l’Etna en octobre 2022. Des nouveaux seront livrés en 2027, si je ne fais erreur.
Il y a également 56 hélicoptères, dont 6 Ericksonn s64.
Les hélicoptères sont exploités par les pompiers, les avions par la société Avincis Italia.

B dit: à

Nonne / béguine

Religieuse de Belgique ou des Pays-Bas soumise à la vie conventuelle sans avoir prononcé de vœux.

Sa tenue laisse penser qu’elle n’a pas renoncé à toutes les coquetteries et puis il y a ces fruits, ce verre de vin qui ne mènent pas non plus à la plus stricte austérité.

B dit: à

la corruption de mœurs, plutôt luxure de qui elle ne devait pas à l’époque être attendue. C’est pour cela que j’y voyais une critique des moeurs d’une Eglise, le moine pourrait-il renseigner sur le courant religieux à un moment où la religion n’a pas d’unique chapelle?

B dit: à

La beguine du tableau semble attendre un enfant. Les physiques évoluant, ce n’est peut-être qu’un peu d’embonpoint.

Paul Edel dit: à

En relisant « Noeuds de vie » dont nous a entretenu Chaloux, je tombe sur ces lignes de Gracq à propos de Stendhal: » Pourquoi Stendhal est-il le moins physiquement mort de tous les écrivains du passé ? Une espèce de carburant social immatériel fait brûler et pétiller de part en part cette prose qui est comme un mouvement d’amitié adressé dans le vide : on dirait que l’ « ami lecteur » des préfaces, au lieu de rester confiné décorativement de l’autre côté de la vitre, a par exception sauté à pieds joints dans le laboratoire central, pour y jouer auprès de l’écrivain le rôle de partenaire et de faire-valoir direct.  »
voilà, Gracq met toujours dans le noir de la cible en parlant de Stendhal,toujours. mais je me demande qui a pu,en parallele, nous entretenir avec cette perfection concise des romans de Balzac? je ne vous pas trop.Si quelqu’un a une idée..

MC dit: à

Vous faites semblant de ne pas comprendre? Pour être très précis, Elle aurait pu ne pas prendre comme une oblation le fait de rendre le rôle de la Princesse Negroni, ou la Jane de Tudor.Et a l’époque, elle n’a pas cinquante ou soixante ans. Plutôt trente. Or c’est à ce moment là qu’elle en fait son Dieu, plutôt que de se tourner vers un Dumas de rencontre, et finir par jouer au naturel la Dame aux Camélias de Dumas Fils. Hugo et Juliette auront des points communs , ne serait-ce que la perte de leurs filles respectives, également célébrées dans les Contemplations . Voyez à Claire P. Toutes deux mortes à peu de distance dans les années 1840. Cela les soude. Et le faux passeport de l’ Exil, au nom de Gauvain, son nom à elle, qui donc l’a procuré à Victor?Il faudrait peut-être parfois ne pas se contenter de survoler des biographies calamiteuses en prêtant à l’auteur de ces lignes le même niveau! MC

Chaloux dit: à

M. Court, personne ne dit qu’il n’y a pas eu de lien entre Hugo et Juliette Drouet, ce serait absurde. Je dis simplement qu’elle a été son esclave. Consentante ou pas. Consentante à quelle époque? Et moins, et même résignée, à quelle autre? Il l’a beaucoup fait souffrir, et ne lui a offert qu’une pension assez chiche avec laquelle elle a bien dû se débrouiller (en rognant, il me semble, même sur les frais de bouche). « En voyage », elle était également sa domestique, c’est une évidence. Tout cela pour vous va de soi. Je n’ai survolé aucune « biographie calamiteuse », je ne suis pas plus naïf que vous et je sais évaluer ce que je lis. Je dis que vous ne savez pas de quoi est faite une vie. Peut-être une certaine pauvreté de votre expérience ? Sans doute n’avez pas eu à réfléchir à la condition féminine, faute de raison de le faire. C’est en tout cas ce qui se lit dans vos posts.

closer dit: à

LCP aurait-il un compte à régler avec la Chine? Hier les crimes de Mao; aujourd’hui la persécution des ouïgours…

puck dit: à

pedro dans les négociations de mars 2022 entre russes et ukrainiens tous les territoires (en dehors de la Crimée) restaient à l’Ukraine.

ces accords prévoyaient la mise en application des accords de Minsk + neutralité de l’Ukraine (non entrée dans l’otan).

à partir d’avril 2022 quand les anglais et les américains ont demandé aux ukrainiens de ne pas signer cesd accords comme ils étaient sur le point de le faire cette guerre est devenue celle des anglais et des américains.

résultat : les dépenses militaires des pays de l’ouest ont atteint les 3.000 milliards d’euros en 2023.

ces 3 mille milliards auraient pu être mis dans la santé et l’éducation, mais pour ça il aurait fallu que les américains laissent signer ces accords comme ils en en avaient l’intention.

je te redis le chiffre :

3 mille milliards de dépenses militaire !

à partir de là essaie de faire fonctionner tes 2 neurones pour comprendre le pourquoi du comment.

sérieux pablo comment veux-tu que je te prenne au sérieux quand tu parles de musique et de littératrue alors que tu n’es même pas capable de compter jusqu’à 3 sans tes doigts ?

les autres peuvent te prendre au sérieux, mais avec moi ça ne marche pas…

MC dit: à

Avez-vous lu ses Lettres, Chaloux? croyez-vous que l’on puisse feindre cette adulation là? Surtout quand on a Hugo en face de soi? En voyez-vous une qui, suite à l’affaire Blanche Lanvin, aprés 1870, soit capable de prendre un temps ses cliques et ses claques et de laisser Victor -c est bien son tour,- mortellement inquiet? Avez-vous réfléchi, à ce qu’était à l’époque l’Amour Romantique? La mythologie de la Femme qui tombe et qu’il faut relever,(« comme une potiche » dirait Barbey) elle la vivait au jour le jour. Sans doute ne demandait-elle pas plus. Quant à Juliette bonne de Victor, je vous invite a relire leurs voyages. Il n’y a pas de trace là dedans ou ailleurs du moindre esclavage. Pour les biographies, il est paru enfin un livre magistral il y a deux ou trois ans sur la question. Bien à vous. MC

Chaloux dit: à

A propos des correspondances dont je suis grand lecteur, j’ai toujours en tête ce propos de Michaud: »« Quand je songe qu’il y a deux ou trois ânes qui se sont imaginé avoir reconstitué la vie de Rimbaud d’après sa correspondance ! / Comme si des lettres à sa sœur, à sa mère, à un pion, à un copain, livraient quoi que ce soit.»

Je ne dis pas que Juliette Drouet soit aussi complexe que Rimbaud, mais il doit y avoir une marge. De plus, il s’agit de la correspondance de personnages qui ont été réunis presque chaque jour donc la plupart du temps une fausse correspondance, qui d’une certaine manière fait système. Il faudrait voir dans quelle mesure Drouet use ou non d’un langage imposé par Hugo, comme il impose tout le reste. Comment dans tout cela faire le compte immense de ce qui a été tu entre ces deux êtres? L’argument de l’amour romantique ne tient pas. Il faut être d’une naïveté sans nom pour le placer. Quant à la femme qu’on relève, que pensait-on en fait de cette convention? Qu’en pensait-on surtout au bout de vingt ans, lorsque la vie avait fait son oeuvre? Vos arguments ne me semblent pas sérieux. Du moins ne le sont-ils que dans l’espace d’une bibliothèque que l’on n’aurait jamais quittée. Pas dans la chambre.

Chaloux dit: à

Michaux.

Les noms propres n’ont pas d’orthographe… dit-on.

Jazzi dit: à

Je ne suis pas un inconditionnel du père Hugo, mais sa relation avec Juliette Drouet est exceptionnelle.
Pourquoi vouloir la ternir ?

puck dit: à

« Hier les crimes de Mao; aujourd’hui la persécution des ouïgours… »

et demain l’invasion des voitures électriques…

Clopine dit: à

Jjj, j’ai essayé de vous mettre le lien, ça ne passe pas. Alors faut aller sur Google, taper « youtube » dans la barre de recherche, puis taper « cooder Texas » dans la seconde barre de recherche, et vous y êtes. Mais je vous préviens : c’est moins joyeux que « take five » et son splendide solo de batterie, en plein milieu, je vous le recommande !

renato dit: à

Ne nourrissez pas les trolls.

puck dit: à

la question n’est pas tant de savoir si Hugo était raciste, mais plutôt de se demander s’il aurait été défenseur du wokisme…

la réponse est oui !!!

si Hugo vivait aujourd’hui il enverrait chaque jour, voir plusieurs fois pas jour des messages sur X et sur Tic Toc pour défendre la cause woke !

ça c’est sûr…

par contre Voltaire c’est pas la même chose…

puck dit: à

« Il y a 18 Canadairs italiens car un s’est écrasé sur l’Etna en octobre 2022. »

et pourtant c’est bien écrit sur le mode d’emploi du Canadair que cet avion n’a pas pour fonction d’arrêter les éruptions volcaniques.

puck dit: à

« D’autant plus que Juliette Drouet avait déjà été immortalisée dans le marbre par le père de sa fille »

« connaitre le père de ses enfants c’est déjà plutôt pas mal, cela montre une certaine forme de communication au sein du couple, et ça c’est plutôt pas mal… » (Julia McPherson psycho-sexologue américaine 1882-1954)

B dit: à

Puck, le fait estqu’en France nous sommes un peu démunis, les appareils sont vieux et il manque du personnel qualifié à leur maintenance, les coupes budgetaires s’ajoutent au problème. Le constructeur, unique, relance les chaines de production, il est unique et les délais de livraison sont longs. Face aux sinistres qui touchent tous les paus, d’autres industriels devraient s’y mettre à moins que la perte de massifs grands comme des départements, des pays avec la détresse humaine ne comptent pour rien dans les priorités et les projets. Cela parait tout de même insensé qu’il n’existe qu’un seul industriel capable de fabriquer ces engins et que de plus en France nous attendions la vétusté et les incendies pour enfin songer à renouveler et agrandir la flotte..

puck dit: à

« son splendide solo de batterie, en plein milieu »

à l’époque c’était l’usage assez courant dans le jazz de faire les solos au milieu des morceaux.

il a fallu attendre les années 90 et l’usage des drogues dures pour trouver des musiciens qui faisaient leur solo une fois le morceau fini ou avant qu’il commence.

MC dit: à

Certes, entre Rimbaud et Drouet, il y a de la marge. Mais ou Diable avez-vous lu qu’Hugo lui ait imposé une lyrique amoureuse? Le Toto, etc, c’est bien d’elle. Pour ce qui est d’une « pension chiche », veuillez lire , paru sous Guillemin, « De quoi vivait Victor Hugo? » lequel montre que, avant l’exil, la fortune hugolienne a connu des hauts et des bas. C’est après 1851 et les oeuvres de la maturité qu’il devient « le premier actionnaire de la Banque Belge » comme le lui reprochera un Lafargue qui lui, ne fit pas grand chose.; Que voulez-vous qui ait été « tu » entre ces deux êtres? Un très problématique batard de Victor? quand à la Femme qui tombe, l’exemple des Hugolâtres, et même, selon Guillemin, in Zola Legende et Vérité, celui du très jeune Zola tentant, lycéen, de « relever une prostituée », ce qu’il appelle « l’épisode Berthe, » montre bien qu’elle a pu porter sur une ou deux générations. (On pourrait dire la même chose des poèmes du meme, de sentiment tres hugolien, miséricordieusement disparus vers 1920.) Je vous signale aussi qu’ils ne se voient pas tous les jours, ne serait-ce que parce que Victor est occupé, et pas toujours à son travail. En tirer argument pour argumenter sur une fausse correspondance me parait des plus spécieux. Quand A écrit à B un billet, c’est une correspondance. Si A écrit dans son style, et B dans un autre, il y a échange, ce qui se produit dans le cas de Juliette D. On a pas à sortir de là. Je n’ai ^pas dit non plus que l’amour romantique jouait la dedans le principal rôle. J’ai seulement dit qu’il le jouait aussi. Tant de lettres sur le thème de la Femme Tombée et Rachetée ne sortent pas de rien. Et de fait, Juliette sera beaucoup plus fidèle à Victor que Victor vis-à-vis d’elle, tout en lui demeurant indispensable. Pour plus d’éclaircissements, voyez la Bio-Thèse de Florence Naugrette récemment parue. C’est un peu indigeste, mais c’est au moins informé.
Bien à vous. MC

puck dit: à

B les canadairs c’est pas grave nom d’une pipe !

l’important est qu’on puisse acheter des avions de chasse et des bombardiers pour nous protéger au cas où les russes nous envahissent…

d’ailleurs entre combattre le feu et l’armée russe vous êtes bien la seule à choisir le feu.

Chaloux dit: à

Tout de même pas la chanson du bonheur.

Propos de Florence Naugrette, dernière biographe de J. Drouet.

« Très vite dans leur relation, Victor exige de Juliette Drouet, qu’il entretient, de lui rendre compte jour par jour de son emploi du temps. Il la surveille, et veut donc vérifier qu’elle ne le trompe pas (il est très jaloux), qu’elle reçoit uniquement les amis ou connaissances qu’il l’autorise à fréquenter, qu’elle ne dépense pas inconsidérément (il faut dire qu’il rachète une dette énorme qu’elle avait contractée avant de le connaître). Ces comptes rendus journalier portent le nom de « restitus »: c’est ainsi que Juliette Drouet les nomme elle-même, et cela signifie qu’elle lui « restitue » son emploi du temps et son état d’âme. Dans cette mesure, on peut dire que les lettres participent de sa soumission. »
(…)
« L’écriture des lettres à Hugo occupe une place centrale dans son existence: ce rituel journalier structure sa journée, comme l’indique l’heure des lettres, soigneusement notée. Elle lui permet, je crois, de ne pas sombrer dans une dépression qui la guette parfois, tant sa vie est solitaire, et de meubler l’absence de Hugo, qui, surtout dans les années 1840 où elle est particulièrement malheureuse, ne vient pas la voir tous les jours, et la délaisse quelque peu, tout en continuant de la maintenir sous sa coupe. »
(…)
« La distance est dans l’étonnement, voire le scandale, que l’on peut ressentir, en constatant dans quel état de dépendance extrême (matérielle, morale, sociale et sentimentale) se trouvait cette femme par rapport à l’homme qui l’entretenait. »

puck dit: à

« Je n’ai pas dit non plus que l’amour romantique jouait la dedans le principal rôle. »

connaissant la pudeur légendaire et l’esprit de retenue non moins légendaire de Mr Court je confirme : il n’oserait jamais dire un truc pareil, c’est juste pas possible.

Pablo75 dit: à

« En voyage », elle était également sa domestique, c’est une évidence.
Chaloux dit:

Elle était aussi sa secrétaire:

« Victor Hugo s’était décidé à faire paraître la nouvelle série de la « Légende des Siècles ». Il nous en avait lu quelques pages. L’ouvrage n’avait pas été copié, et il a l’habitude de conserver ses manuscrits qu’il n’envoie jamais a l’imprimerie. Je lui offris de copier les deux volumes, et le fis assez rapidement, malgré l’exactitude absolue qu’il exige de ses copistes. Ce travail fut contrôlé par Mme Drouet, point à point, virgule à virgule. »

Richard Lesclide. Propos de table de Victor Hugo (1885)

puck dit: à

« La distance est dans l’étonnement, voire le scandale, que l’on peut ressentir, en constatant dans quel état de dépendance extrême (matérielle, morale, sociale et sentimentale) se trouvait cette femme par rapport à l’homme qui l’entretenait. »

wow! alors ça c’est une accusation très très grave !

actuellement si un type abuse de sa position dominante pour harceler et abuser d’une femme c’est 10 ans minimum plus castration chimique.

l’idéal serait d’avoir l’avis de Sandrine Rousseau.

puck dit: à

10 ans ferme !

Pablo75 dit: à

dans les négociations de mars 2022 entre russes et ukrainiens tous les territoires (en dehors de la Crimée) restaient à l’Ukraine.
puck dit:

Comme ton maître Poutine, tu ne fais que mentir systématiquement. Pas la peine de perdre son temps à discuter avec un menteur pathologique comme toi. Lis ce que dans ses Mémoires raconte F.Hollande de Poutine.

résultat : les dépenses militaires des pays de l’ouest ont atteint les 3.000 milliards d’euros en 2023.
puck dit:

Résultat de la connerie monstrueuse de Poutine, que, pensant que ce qu’on lui a dit de son armée est vrai, la croit redoutable et se fourvoie en Ukraine, où elle perd les premiers jours ses meilleurs bataillons (envoyés à la conquête de Kiev où les ukrainiens les attendaient, les piègent et les massacrent) et en deux ans et demi la moitié de ses hommes et de son matériel militaire. Conclusion: l’économie, les finances et l’armée russes sont en train d’être détruites, l’inflation monte dangereusement, 2 millions de jeunes russes (la plupart diplômés, souvent en informatique) partent du pays et travaillent maintenant dans des pays occidentaux, l’Otan compte avec 2 nouveaux pays et comptera bientôt avec deux autres (Moldavie et Ukraine, en attendant la Géorgie), les pays occidentaux s’arment fortement et les États-Unis se lancent dans une nouvelle « guerre des Étoiles » qui va ramener la Russie au XVIIIe siècle.

Tout cela est le résultat de la mégalomanie des nationalistes russes en général et de celle de Poutine en particulier, des crétins qui avec un PIB inférieur à celui de l’Italie et un peuple d’alcooliques, se prennent pour des impérialistes du XIXe, en se permettant le luxe de mépriser l’Occident qui les dépasse en tout.

Et il y a des connards à des milliers de km de la Russie qui prennent tout cela pour un triomphe…

Chaloux dit: à

« Soumission, solitude, malheur, dépression, dépendance extrême ».

MC, je ne sais pas avec quel œil vous avez lu le livre de Mme Naugrette. Manifestement, ce n’était pas le bon.

puck dit: à

« Gracq met toujours dans le noir de la cible en parlant de Stendhal »

le rouge ou le noir ?

parce que dans le noir ça fait bien moins de points que dans le rouge.

je le sais je me suis tapé toutes les épreuves de tir à l’arc pendant les JO de Paris.

MC dit: à

Oui, Sardine Rousseau, avec les arguments de Chaloux, pourrait faire passer Hugo pour le dernier des hommes et, pourquoi pas, l(interdire de programme. MC

Chaloux dit: à

Il est évident qu’une correspondance entre deux êtres qui se voient quasi tous les jours, même s’il y a des creux, ne peut prétendre au même statut que celle d’épistoliers réunis sporadiquement. C’est souvent le principe de la correspondance de Proust avec sa mère. Un certain nombre des billets qui la forment, sont remis d’une pièce à l’autre.

Je crois qu’il suffit d’avoir un peu de jugeotte pour en convenir.

puck dit: à

pedro je te rappelle aussi que 3 mille milliards c’est le montant de la dette française.

pedro tu sais en 1914 il s’est passé exactement la même chose : avec des hystériques dans ton genre les marchands d’armes se sont faits les c.uilles en or…

après la question est : comment fabrique-t-on l’hystérie collective ?

il faut déjà des crétins comme toi, mais ça ne suffit pas.

sauf pour toi parce que ta crétinerie se suffit à elle-même : tu es aux crétins ce que Léon Marchand est à la natation.

Chaloux dit: à

« Oui, Sardine Rousseau, avec les arguments de Chaloux etc. »

N’importe quoi. Si c’est votre dernier argument… je le trouve indigne d’un chercheur, même s’il donne ses conférences en chemise à carreaux. Vous ne semblez pas chercher grand-chose dans ce que vous lisez.

puck dit: à

en 1914 la France et l’Allemagne étaient remplies ras bord de pedros.

puck dit: à

je suis le Jean Jaurès d’aujourd’hui…

d’ailleurs si pedro m’assassine je suis sûr qu’il sera acquitté comme celui qui a tiré sur Jaurès.

Chaloux dit: à

Tu es surtout le Blabla d’hier.

Pablo75 dit: à

Quand Poutine déclenche en 2022 l’Opération Militaire Spéciale censée nettoyer de nazis l’Ukraine, Puck-Puck applaudit des deux mains. Quand la Russie, en 2024, et après la destruction de la moitié des soldats et du matériel de son armée invincible, doit évacuer 130.000 russes de la région de Koursk, Puck-Puck devient pacifiste.

Jazzi dit: à

« Puck-Puck devient pacifiste. »

Oui, mais à partir de quel moment va t’il baisser sa culotte, Pedro75 !

Avant ou après avoir retourné sa chemise ?

Chaloux dit: à

Juliette a 74 ans, elle ne tient plus debout, mais continue d’assurer la gouvernance de l’avenue d’Eylau. Malade, elle demande à être déchargée de cette tache.
Paris, 27 juillet [1880], mardi matin, 8 h. ½

« Cher bien-aimé, comme le pourpoint de Don César [1] « je lutte », ce qui ne m’empêche pas de sentir la trame de mon gilet s’amincir de plus en plus et toutes les loques de ma vie s’éparpiller aux quatre vents de l’horizon. Ce matin je suis lamentablement patraque, je croyais même ne pas pouvoir me tenir debout car je me suis recouchée deux fois sans pouvoir parvenir à me lever tout à fait. Sérieusement, mon cher bien-aimé, tu dois songer à me remplacer dès à présent si tu ne veux pas te trouver dans les embarras de charrettes du ménage, ce qui, modestie à part, ne te seras pas difficile. Je t’en avertis honnêtement sans amertume, mais non sans regret, car Dieu sait que j’aurais voulu te servir jusqu’au bout ; mais puisque la nature s’y refuse il faut bien me résigner. Quant à toi, mon cher bien-aimé, tu trouveras bien vite des dévouements plus effectifs et plus aimables que le mien qui n’a jamais été autre chose que l’amour d’un cœur à présent bien malade. « 

Clopine dit: à

Puck, wouarf. Y’en a même qui font des solos mais alors là, vraiment tout seuls vous savez, de la crème de solo, du plus que solo comme pour Coluche la lessive qui lave blanc plus que blanc, je veux dire sans avoir besoin des autres, de personne, par exemple dans le Köln Concert, ben Jarret il s’émancipe vachement de son groupe. Par contre, vous, euh, comme vous z’êtes juste réactif, ça veut dire que vous en avez a’chement besoin des autres, pour tenter d’exister…

Jazzi dit: à

Ni Adèle Hugo ni Juliette Drouet n’étaient des connes, Chaloux.
Hugo ne devait pas être facile à vivre, mais l’une et l’autre, à sa manière, l’ont aimé et en ont été aimé.
J’ai dans ma bibliothèque la biographie d’Henri Troyat, « Juliette Drouet », Flammarion, 1997.
Si tu ne l’as pas lue, je te l’offre.

Pablo75 dit: à

Juliette a 74 ans, elle ne tient plus debout, mais continue d’assurer la gouvernance de l’avenue d’Eylau. Malade, elle demande à être déchargée de cette tache.
Chaloux dit:

C’est aussi clair que l’absence pathologique de génie stratégique de Poutine.

Clopine dit: à

… Même qu’on se demande si vous avez une vie hors de ce blog. Je veux pas dire « une bonne vie », y’a objectivement des vies de merde et je sais de quoi je parle, m’enfin des vies, tout de même, hors de votre penchant à donner à voir l’inanité de « toutes choses », enfin… De vous, quoi.

Jazzi dit: à

Hugo, il a enterré ou fait enfermer tous ses enfants et ses deux femmes.
Où son génie passe tout trépasse !

Clopine dit: à

Hugo était un père (même si perso je n’ai jamais su ce que cela pouvait bien vouloir dire, excusez, j’ai pas les références), et un grand’père empathique, c’est sûr, les mains pleines de pots à confiture. Mais par rapport « aux femmes de sa vie » (sans compter les femmes juste « de son lit », paraît qu’il y en avait plein qui « y passait », à la casserole « romantique », mon cul c’est du poulet), j’ai toujours pensé qu’il fallait remplacer le « HU » par un « E ». Il était l’ego de Juliette, vu qu’il avait pris toute la place. Ce n’est pas à sa gloire. Mais il est vrai que sa gloire ne se situe pas dans sa vie privée, et qu’on a vu tellement pire !

Jazzi dit: à

Dans la famille Hugo il y a aussi la mère, Chaloux.
J’avais aussi la biographie décapante de Geneviève Dormann, « Le Roman de Sophie Trébuchet », Paris, Albin-Michel, 1982.
J’aurais pu aussi te l’offrir mais je ne la retrouve pas dans ma petite bibliothèque.
J’ai dû la donner à l’HPP…

B dit: à

»

et demain l’invasion des voitures électriques…

non Taiwan , pour le moment il est question d’un genocide lent et les chinois sont du genre patients. Cela dit, il semble aussi menteurs que les russes et je n’aimerais pas vivre dans cette société au permis de conduite sociale avec tous ces dispositifs de surveillance de masse. Il parait que dans certaines entreprises, ici, commence l’ère d’un nouveau type de managment, où l’on estime que la courtoisie envers les clients, les collègues, avec sourires qui s’imposent et un discours fluide sans agressivité est bénéfique au rendement. Les vertueux seront récompensés par des points, une prime, une récompense en tout cas ils sont sous surveillance et peuvent suivre la courbe de leur notation et la comparer à celle de leurs collègues. Cela fait penser à un des épisodes de black mirror, les implants en moins.

B dit: à

ils semblent.

Jazzi dit: à

Empathique, empathique, vous avez dit empathique !

Hugo, quatre enfants, deux filles et deux garçons.
L’une s’est noyée, l’autre il la faite enfermer à l’asile et les deux fils il les a enterrés au Père-Lachaise.
Quant aux petits enfants, malgré l’art d’être grand-père, c’est encore une autre histoire…

B dit: à

« romantique », mon cul c’est du poulet

Vous n’y pourrez rien, Clopine, le romantisme est ce que le décorum est à la gastronomie, il faut finir par goûter ce qui se présente dans l’assiette. (Je n’ajouterai pas ce que les gamins disaient dans mon quartier: fume, c’est du belge.)

Clopine dit: à

Bon, pas la peine de monter au créneau, les mecs, là ; j’avoue humblement n’être qu’une passable lectrice de Victor Hugo, éblouie de la richesse de son vocabulaire, de sa culture « humaniste », et relevant qu’il a placé toute son oeuvre dans la dichotomie entre l’ombre et la lumière (il n’écrivait que des oppositions, et celle-ci, l’ombre et la lumière, est absolument constante dans chacune de ses pages), mais pourtant je ne suis qu’une lectrice « du premier degré », face au déversement d’études littéraires qu’il a suscitées. Donc, pas la peine de m’attaquer à coup de « mais d’où parlez-vous, Clopine ? Comment osez-vous ? Quelle impudence est la vôtre ? »

Je sais deux-trois trucs. Qu’il a noté chacune de ses dépenses, je dis bien chacune de ses dépenses ! Scrupuleusement… J’ai toujours le projet d’aller voir Hauteville- House avant de mourir, même si je sais qu’elle ne fait que témoigner de l’ambition d’un démiurge délirant… Je regarde parfois un de ses dessins, ceux à l’encre noire, je me dis que c’est bien beau, en fait, d’être Victor Hugo.

Donc, pas la peine de me clouer au pilori au motif que j’aurais l’audace de parler de lui. D’autant que lui tentait de parler de nous.

Pablo75 dit: à

Quant aux petits enfants, malgré l’art d’être grand-père, c’est encore une autre histoire…
Jazzi dit:

Les petits enfants de V.Hugo l’appelaient: « papapa ».

Chaloux dit: à

@Pablo. tant que la rosse a marché, Hugo l’a laissée au turbin. A sa décharge, il ne se rendait peut-être plus très bien compte de ce qui se passait, après l’accident cérébral de 1878.

Merci, Jazzi, comme première approche, j’ai commandé ce matin pour une somme ridicule la biographie des deux biographes qui ont intenté un procès à Troyat pour plagiat, procès qu’ils ont gagné et qui explique que Troyat soit passé ensuite chez Grasset. C’est toi il me semble qui a évoqué M. Galey. Je crois que c’est dans son Journal qu’on apprend que Charles-Henri Flammarion n’en pouvait plus de servir à Troyat une énorme mensualité qui ne correspondait plus à ses ventes. Juliette Drouet, en quelque sorte, a résolu le problème.

Troyat était âgé, c’est un bon romancier, je ne le juge pas sur cette mésaventure. A la fin de sa vie, il a publié un roman, pas toujours très bien corrigé, mais assez puissant, qui s’intitule la traque. L’histoire d’un type qui cherche à venger Pouchkine de son assassin.

Patrice Charoulet dit: à

Cher Pierre Assouline,

Je retrouve mon ordinateur qui était chez le réparateur.
Je lis, avec retard, votre texte sur « Un Singe en hiver ». Remarquable! J’avais vu le film. Je ne savais pas tout ce que vous savez.
Abstème, j’ai du mal à saisir le distinguo que vous faites entre ivresse (qui serait louable) et l’alcoolisme (que vous ne vous ne louez pas).
J’en reste à ceci : « L’alcoolimse est une conduite de désespoir. » (Françoise Dolto)
Je ne recherche aucune ivresse et le conseil de
Baudelaire me laisse froid et sceptique. Pourquoi diable s’enivrer ?

Patrice Charoulet dit: à

Errata
Veuillez lire  » que vous ne louez pas »
et « l’alcoolisme »

renato dit: à

Socrate et Platon en faisaient usage, car dans l’Antiquité, on pensait que le vin pouvait ouvrir les esprits.

Patrice Charoulet dit: à

Vincent Bolloré est un milliardaire peu banal. Il a décidé de s’offrir Canal Plus, ,CNews, C8, le(nouveau) JDD (en changeant les journalistes), Paris Match, et diverses maisons d’édition. Partout il recrute des salariés en exigeant qu’ils favorisent l’extrême droite en dézinguant non seulement la gauche, l’extrême gauche (cela peut se comprendre quand on est milliardaire), mais aussi le président Macron(si admirable pourtant ),son gouvernement et ses partisans. C’est méthodique et de grande ampleur. Le but est l’élection de Le Pen fille à la prochaine présidentielle, qui se fera, implacablement. Je ne suis pas, moi, l’un de ses salariés et vois les choses comme elles sont.

puck dit: à

j’ai un pote il a demandé à ses petits enfants de l’appeler « papé » du coup maintenant ils l’appellent « m’papé »

puck dit: à

« pedro m’a tuer » (J. Jaurès)

puck dit: à

« C’est aussi clair que l’absence pathologique de génie stratégique de Poutine. »

la grosse erreur stratégique de Poutine c’est de n’avoir pas pu imaginer que les européens plomberaient leur industrie en achetant leur gaz 4 fois plus cher.

surtout les allemands : toute l’industrie allemande est partie aux US ou en Chine à cause du prix de l’énergie et pour le reste leur productivié a tellement augmenté que leur compétitivité a chuté du coup ils n’exportent plus rien.

du coup si l’Allemagne s’effondre comme elle était le moteur de l’Europe c’est l’Europe qui s’effondre avec (même l’Italie est en train de passer devant les allemands)

et ça, je veux dire être c.n pour se tirer une balle dans le pied au point de flinguer son économie pour un conflit au départ régional qui pouvait se régler en 1 mois, même Napoléon il ne l’aurait pas prévu.

puck dit: à

comme voir les ukrainiens partir à la conquête de la Russie 1 mois après avoir été voir les chinois pour mettre au point les négociations (les chinois sont les plus furax sur ce coup) ça c’est pareil : aucun stratège, même Napoléon à sa meilleure forme, n’aurait pu le prévoir.

puck dit: à

avec ce coup des ukrainiens ceux qui ont intérêt à prendre une assurance vie ce sont tous les américains qui sont dans une des 800 bases militaires.

en fait il faut juste imaginer les US avec une incursion militaire dans leur pays : là ils vont l’avoir pareil dans leurs bases militaires.

et pour Israël le meiux qu’ils puissent faire c’est prier.

en fait personne n’a encore compris que les types aux manettes en Ukraine sont des extrémistes nationalistes totalement hors contrôle : on pense que ce sont des défenseurs de la démocratie et de la liberté…

puck dit: à

je ne pense pas que ce soit juste le matraquage médiatique qui nous ait fait perdre les pédales.
j’y vois un truc plus grave et plus profond genre crise civilisationnelle.

Jazzi dit: à

« « pedro m’a tuer » (J. Jaurès) »

Ton agonie n’en finit pas de durer, puck !

rose dit: à

puck dit: à
j’ai un pote il a demandé à ses petits enfants de l’appeler « papé » du coup maintenant ils l’appellent « m’papé ».
🤣

Pablo75 dit: à

C’est intéressant d’avoir ici un type qui expose les éléments de langage pathologiquement délirants de Poutine avec une touche marseillaise d’exagération comique.

« toute l’industrie allemande est partie aux US ou en Chine à cause du prix de l’énergie » (alors que tous les investisseurs étrangers partent de la Chine en courant).

Il est drôle Puck-Poutine !! Il n’invente pas des choses vraisemblables, mais des choses carrément drôles, pour qu’on ne voit pas les images des soldats russes fuyant dans l’oblast de Koursk et attrapés comme de lapins…

D. dit: à

Moi je trouve ça grave, Rose.

MC dit: à

Ou Diable trouvez-vous ces conférences en chemise à carreaux, Chaloux? Mais c’est un détail ! Pour le reste, je ne vous ai jamais dit que j’admirais Naugrette, mais que son travail, malgré ses présupposés et son manque d’empathie, ce côté on étudie Juliette Drouet comme un animal rare, avait de bonnes bases ou des bases scripturaires autres que les travaux existants. Bref qu’il fallait compter avec. Ce manque d’empathie explique pourquoi je ne suis pas encore venu à bout de ses quatre cents pages. ( Visiblement, vous lisez bien plus vite que moi!) Ce que j’ai dit de la Sardine et du Pere Hugo avait pour but de souligner les défauts de votre argumentation dans l’absolu par ces temps de wokisme, et je remercie Puck de m’avoir tendu la perche ! Bien à vous en espérant qu’une enieme justification de Juliette ne sera pas nécessaire. En finissant, juste un mot sur l’Antithese. Dans le Journal d’ Adele ( sa fille) , Hugo dit bien que cette figure est pour lui le seul moyen de cerner le double visage de toute chose.

D. dit: à

D’accord, Pablo. Merci de me donner sous 2 heures le lien des vidéos de soldats russes fuyant dans l’oblast de Koursk. Il est 21h 36, heure de Chaville.

Pablo75 dit: à

La rigueur, toute soviétique, de Puck-Puck:

« l’Allemagne s’effondre […] (même l’Italie est en train de passer devant les allemands) »
Puck-Puck dit:

Au premier trimestre 2024, l’Allemagne voit ainsi son PIB progresser de 0,2% (comme la France)
L’endettement public de l’Allemagne serait ramené à 64 % du PIB en 2024

Au premier trimestre 2024, l’Italie voit ainsi son PIB progresser de 0,3%
L’endettement public de l’ l’Italie: 137,3 %

PIB de l’Italie: 2 158 910 millions de dollars
PIB de l’Allemagne: 4 082 000 millions de dollars

« toute l’industrie allemande est partie aux US ou en Chine »
Puck-Puck dit:

L’économie allemande se caractérise par une forte industrie : l’industrie manufacturière représente, en 2023, 20,8 % de la valeur ajoutée brute (VAB) et emploie 16,3 % de la population active.

D dit: à

les types aux manettes en Ukraine sont des extrémistes nationalistes totalement hors contrôle : on pense que ce sont des défenseurs de la démocratie et de la liberté…

Ça me paraît être un parfait résumé de la situation, en effet. Sans même évoquer la culture nazie bien affirmée d’une partie de la population, qui se satisfait de nommer ses avenues du nom de nazis patentés.

D. dit: à

Voilà les gens bien qu’il faudrait soutenir et intégrer à cette putain de salope d’UE.

MC dit: à

Jean Hugo est un bon mémorialiste, mais un peintre pitoyable ..Un mot courait chez les hugoliens du temps de sa seconde épouse. L’Americaine. Quand il s’ agissait d’ accéder aux manuscrits du grand Oncle.: «  il va encore falloir acheter un tableau! ». MC

Pablo75 dit: à

D’accord, Pablo. Merci de me donner sous 2 heures le lien des vidéos de soldats russes fuyant dans l’oblast de Koursk. Il est 21h 36, heure de Chaville.
D. dit:

Au lieu de regarder tes poules en extase, regarde les TVs qui donnent les images des soldats russes attrapés dans leur fuite, se couchant par terre en pleine route et mis à bord d’un camion de transport, mon Gros Con.

(Je ne sais pas si D. et Puck-Puck sont la même personne mais en tout cas ils ont le même degré de désinformation et la même naïveté – pour le dire poliment).

Pablo75 dit: à

Voilà les gens bien qu’il faudrait soutenir et intégrer à cette putain de salope d’UE.
D. dit:

Comme tous les complotistes paranoïaques et hystériques qui disent les mêmes choses (écrites à Moscou) que toi, tu es en train de devenir fou. Bientôt tu vas voir Poutine sonner à ta porte pour demander des nouvelles de tes poules…

D. dit: à

mais aussi le président Macron(si admirable pourtant)

…au moins. Macronus mirabilis. Comme Proteus mirabilis, un bacille admirable. En boîte de Pétri, il fait sensation.

D. dit: à

Je veux un lien, Pablo.

J J-J dit: à

@ CT, merci pour ry cooder, j’avais oublié le nom mais pas la musique de paris texas…, aux vertus dormitives comme on s’endort après un bon joint au coin d’un feu de la 66 – bonne nuit avec juliette et victor, si vous tenez le coup, ouh ouh …

Pablo75 dit: à

Je veux un lien, Pablo.
D. dit: à

Et moi je veux un million d’euros.

rose dit: à

D.
Les enfants rient. Leur faire confiance.

Chaloux dit: à

@ M.C. Le lien n’est pas bien difficile à trouver. Il concerne une conférence donnée par vous à la BNF. Vous y portez une chemise à carreaux. On peut également y remarquer que vous ne portez pas d’alliance, ce qui explique peut-être votre point de vue sur J. Drouet, et n’a peut-être pas de signification,- je n’en porte pas non plus.
Pour le reste, vous êtes un érudit véritable, tout à fait estimable, je suis tout prêt à le reconnaître, même si je ne suis pas toujours de votre avis.

B dit: à

(si admirable pourtant )

Il porte d’élégants costumes, ses pantalons restent une énigme pour moi,un tombé impeccable. A votre avis, Charoulet, quel couturier?

B dit: à

Chaloux, quelle femme aimerait vous épouser et à quelle(s) femme(s), si ce désir d’épousaille vous tenaillait, adresseriez vous cette demande? Quelles seraient les conditions subsidiaires?

B dit: à

Et moi je veux un million d’euros.
je vous comprends mais c’est un peu cher, aidez-vous et le ciel vous aidera.

Chaloux dit: à

Je n’ai pas d’aspiration particulière. Ma situation présente me convient parfaitement. Je n’ai pas l’intention d’y changer quoi que ce soit.

B dit: à

Oui, vous n’êtes pas à plaindre et je ne doutais aucunement de votre formule bien-être choisi, je vous taquinais.

D. dit: à

Jazzi, sais-tu lire ?
MA demande est simple, un lien vers :
les images des soldats russes attrapés dans leur fuite, se couchant par terre en pleine route et mis à bord d’un camion de transport, mon Gros Con.

C’est pas compliqué. J’attends. Il reste 20 minutes.

D. dit: à

Expiration de l’ultimatum à 23h 36, heure de Chaville.
Bravo les gars.

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