de Pierre Assouline

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La République des livres
Une amitié du roman-culte au film-cuite

Une amitié du roman-culte au film-cuite

On écoute les dialogues de l’un, on lit les livres de l’autre et on se dit que la vie aurait été vraiment injuste si ces deux-là s’étaient ratés. À ne pas croire qu’ils n’aient fait équipe qu’une seule fois. Au-delà d’un air de famille, une évidente fraternité devait lier Michel Audiard et Antoine Blondin. En théorie plus qu’en pratique car l’écrivain passait son temps dans les stades, les bars et les étapes du Tour quand le dialoguiste fréquentait plutôt les hauts plateaux. Ensemble ils n’auront fait qu’un bébé mais quel ! Un singe en hiver (1962), film-culte adapté d’un roman-cuite (prix Interallié 1959) (1) à moins que ce ne soit l’inverse. Il est vrai qu’il y en eut même pour juger que le livre avait trahi le film, c’est dire.

Sous la plume si pure et si légère de Blondin, l’intrigue importe peu par rapport au charme qui s’en dégage. Tout de même, l’histoire ? Un face-à-face qui se terminera par un côte à côte dans un bar du littoral normand entre deux leveurs de coude bien bourrés : Gabriel Fouquet, jeune publicitaire qui noie dans la boisson l’échec de sa vie sentimentale et Albert Quentin, un ancien fusilier marin qui a juré de rester sobre après avoir sérieusement taquiné le goulot autrefois. L’un rêve d’Espagne quand l’autre n’en a que pour sa Chine. Dès les premiers verres de contact, ils ne font qu’un mais lequel ? Soit, mais qu’est-ce que cela dit d’autre que ce que ça raconte ? Là, c’est du grand art, murmuré par le plus élégant et le plus courtois des écrivains et mis en musique par un virtuose de la conversation filmée.

Michel Audiard est à l’origine du projet. Nous sommes en 1961. Le temps presse car Jean Gabin doit tourner, étant sous contrat avec la Metro Goldwin Mayer. La maison de production a déjà refusé Un singe en hiver car elle n’y voit qu’une histoire de poivrots ; et après repérages in situ, l’acteur a finalement retoqué l’adaptation d’Au large de l’Eden de Roger Vercel par Albert Simonin au motif que ça pue trop la morue (le poisson, pas…). Retour à la case départ et donc au Singe, imposé avec le prometteur Belmondo d’À bout de souffle dans la corbeille. Henri Verneuil est engagé pour la réalisation, Claude Pinoteau et Costa-Gavras comme assistants, Michel Magne pour la musique, Louis Page pour la photo, Paul Frankeur, Suzanne Flon, Gabrielle Dorziat et Noël Roquevert dans la joyeuse troupe des seconds rôles, François Boyer pour l’adaptation et bien sûr Michel Audiard pour mettre des mots dans leurs bouches avec le brio qu’on lui connaît.

Le tournage se déroule sur la côte normande autour de Villerville, Trouville et Deauville. Il ne va pas de soi. Pas commode, Gabin. Du genre muet, du moins pendant la première semaine. Les deux acteurs principaux enfoncés dans un fauteuil pliant à leur nom et n’échangeant pas un regard, le vieux, 57 ans, lit Paris-Turf et le môme, 28 ans, L’Équipe. On voit par là qu’un abîme ontologique les sépare. Jusqu’à ce que leurs scènes communes les rapprochent et les lient une fois éteints les projecteurs avant de s’adopter pour la vie et se décréter meilleurs amis d’enfance malgré la différence d’âge.

Le film suit pas à pas la chronologie du roman en éliminant les retours en arrière. Nombre de répliques sont tirées ou adaptées du roman mais il y a aussi des bouts d’Apollinaire, celui d’Alcools évidemment. Michel Audiard et Henri Verneuil se veulent fidèles dans l’adaptation non du roman à la lettre, mais dans celle de son atmosphère empreinte de rêves, de nostalgies, de souvenirs. Une musique en émane qui a quelque chose de désemparé, de désenchanté. Parfois, on se gratte le cuir chevelu, on hésite : lequel des deux a trouvé ça ?

« Une paella sans coquillages, c’est comme un gigot sans ail, un escroc sans rosette : quelque chose qui déplaît à Dieu ! »

À la réflexion, ça ne peut être qu’Audiard puisque dans le roman, il s’agit de paupiettes. Il serait vain d’aller vérifier et comparer, pour ce passage ou pour tout autre :

« Je suis le plus grand matador français, yo soy unico…– Vous avez déjà entendu parler du Yang-Tsé-Kiang ? »

Antoine Blondin se plaint d’autant moins qu’il n’a pas souhaité être de l’aventure. Ce n’est pas qu’il n’ait jamais tâté de la pellicule. À plusieurs reprises, il s’est laissé embarquer dans des projets. Il a prêté la plume à des scripts pour Jean Delannoy. Plus tard, il y aura Le Dernier saut (1970) d’Édouard Luntz dont il fut le coscénariste et Cran d’arrêt (1970) d’Yves Boisset où on le retrouve comme coscénariste et dialoguiste, pour ne parler que de ceux qui ne sont pas restés dans les tiroirs des producteurs. Mais rares sont les cinéastes qui osent s’emparer de ses livres ; l’adaptation de son chef-d’oeuvre Monsieur Jadis, que Michel Polac (oui, « le » Michel Polac) réalise pour la télévision en 1975 avec Claude Rich dans le rôle-titre aurait pu les encourager tant elle est réussie.

Le problème est ailleurs avec Un singe en hiver. Malgré tout demeure une vraie querelle d’interprétation de la philosophie du roman. Le fait est que le style de l’écrivain tient une note poétique de bout en bout quand le travail du trio d’adaptateurs Boyer-Verneuil-Audiard se veut plus réaliste, par exemple dans les noms des rues de Tigreville (2). En fait, en émondant le roman pour des raisons dramaturgiques, ils aboutissent à concentrer l’attention du spectateur non sur l’alcoolisme mais sur l’ivresse. Ce qui est regrettable. Son biographe Alain Cresciucci est d’avis que le film ne rend absolument pas justice au livre, tout en reconnaissant qu’il a eu la vertu de permettre au grand public de découvrir l’oeuvre de Blondin (3). Mais selon lui, tout en restant à la surface des choses, les coscénaristes sont passés à côté de l’essentiel : non la complicité de deux imbibés mais une déchirante histoire de paternité :

« L’histoire d’un jeune père qui ne voit jamais sa fille pensionnaire et qui va essayer de la retrouver et l’histoire de ce couple d’hôteliers sans enfant qui trouve dans le personnage de Fouquet un fils adoptif. Quant à la fin, le film commet un contresens en attribuant la phrase “Et maintenant, voici venir un long hiver” au personnage du vieil homme alors que dans le roman elle concerne Fouquet, ce qui est une façon de dire la solitude définitive du héros. (4) ».

Quand on quitte une oeuvre, c’est d’abord sa fin qu’on emmène avec soi. Fouquet est le héros des dernières pages du roman, Quentin celui des dernières images du film. Deux partis pris également attachants mais qui ne disent pas la même chose en éclairant rétroactivement tout ce qui a précédé. Deux Singe en hiver : l’un est d’un romancier, l’autre d’un cinéaste et il serait vain de vouloir à tout prix les faire coïncider puisqu’ils forment un palimpseste. Blondin ne pouvait considérer la littérature que dans une perspective amicale. Mais si un livre est parfois conçu comme une lettre à un proche, c’est plus difficile avec un film, d’autant qu’il est une oeuvre collective.

La fidélité exige une certaine dose de trahison car on ne peut respecter l’esprit si on suit un texte à la lettre. Audiard l’a bien compris qui s’est parfaitement imprégné du roman afin d’en rendre au mieux le climat, ce qui lui importait par-dessus tout ainsi qu’à Henri Verneuil. L’ampleur de la trahison inquiétait fortement Blondin jusqu’à ce qu’il voie le film et rende des hommages appuyés au talent d’Audiard, son nouvel ami pour la vie. On ne peut pas dire qu’il ait harcelé le réalisateur pour intervenir dans le tournage : il refusait même ses invitations à s’y rendre. Belmondo se souvint de sa présence une ou deux fois sur les plateaux à Deauville « mais en ami bien plus qu’en auteur » (5). Sur plainte du ministère de la santé publique, la commission de censure fait des mauvaises manières au film, soupçonné d’apologie de l’alcool (quelle idée !) alors que c’est un si poétique éloge de l’ivresse sensuelle et généreuse, de l’inattendu de la vie, de l’imprévu souriant. Il est question de coupes sombres et même d’interdiction alors que franchement, il suffit d’écouter parler Albert Quentin/Gabin :

« L’alcool, c’est le salut dans la fuite, la liberté, l’état de grâce… et pour finir une belle saloperie. »

Finalement, seuls les moins de 18 ans en sont privés. Le critique de La Croix fut celui qui lui réserva le meilleur accueil avec ceux de France-Soiret du Figaro littéraire. Les autres grimacèrent ou pire encore. Le Monde regretta cette « vulgaire simplification » d’un roman sensible et harmonieux. Dans la bibliothèque de Michel Audiard, les livres de Blondin côtoyaient la collection complète de la Série noire. Fou de littérature, il l’aime couchée sur de beaux papiers en tirage limité. Les libraires connaissent bien ce bibliophile averti. Les piliers Ronsard, Verlaine, Rimbaud, Balzac, Dumas père, Stendhal, Proust sans oublier le patron, Louis-Ferdinand Céline… Audiard aurait pu être recruté par les hussards si Jacques Laurent, Roger Nimier, Michel Déon et Antoine Blondin s’étaient réunis une fois au moins mais ce ne fut jamais le cas.

Impossible d’asseoir des irréguliers à la même table. Les voyages de l’un, la mort de l’autre, les disparitions d’icelui… Pas pratique pour la photo de groupe rue du Bac devant la façade des Éditions de la Table ronde avec Roland Laudenbach pour surveiller la bande – façon nouveau-Nouveau Roman/Minuit et demi. Audiard n’aurait pas figuré parmi eux car il aurait tenu l’appareil. On peut rêver… L’amitié entre Michel Audiard et Antoine Blondin est née avec le désir de l’un de porter le livre de l’autre à l’écran. Jean-Paul Belmondo estima à l’époque que leur rencontre « ne paraissait pas tellement évidente au départ » (6). Pourtant, à la fois très français et si parisiens, ils ont en partage une certaine désinvolture mâtinée de douce mélancolie ; un sens de l’humour sublimé par l’esprit de fantaisie et une profonde frivolité ; et surtout le goût des formules joyeusement assassines souvent truffées de calembours.

Mais si elles fusent dans les dialogues d’Audiard, elles se font discrètes dans les romans, nouvelles et récits de Blondin, qui les réservait plutôt à ses articles. Car, on l’oublie tant sa réputation de leveur de coude a obscurci sa vraie nature (et le film a renforcé cette image imbibée), ce perfectionniste était un classique pétri d’humanités et un moraliste d’une pudeur qu’il ne fallait pas offusquer. Peu après la mort de son fils François dans un accident de voiture, perte qui avait anéanti le dialoguiste, Blondin avait dédié Certificats d’études (1977) « à Marie-Christine et Michel Audiard très affectueusement ». Dédié et pas seulement dédicacé.

(« Jean Gabin, Henri Verneuil, Michel Audiard, Jean-Paul Belmondo pendant le tournage du film Un Singe en hiver, 1962 » )

  1.  Les Éditions de la Table ronde ont publié  une édition collector d’Un singe en hiver enrichie d’images du film d’Henri Verneuil pour le centenaire de la naissance de Blondin.
  2. Paul Renard, « “Salut, papa !” : Un singe en hiver, Antoine Blondin et Henri Verneuil », in Roman 20-50, n° 58, décembre 2014, p. 41-48.
  3. Alain Cresciucci, Le Monde (imaginaire) d’Antoine Blondin, Pierre-Guillaume de Roux, 2016 ; Antoine Blondin, Gallimard, 2004.
  4. Interview d’Alain Cresciucci, in L’Opinion indépendante, 31 mai 2011.
  5. Témoignage de Jean-Paul Belmondo, « un fidèle parmi les fidèles » in Jean Cormier et Symbad de Lassus, Blondin, éditions du Rocher, 2016.
  6. Idem.
Cette entrée a été publiée dans cinéma, Histoire Littéraire.

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commentaires

1 818 Réponses pour Une amitié du roman-culte au film-cuite

Pablo75 dit: à

(0h56) Il nous fait une crise aigüe de poutinisme délirant, notre Gros Con…

rose dit: à

Il me semble, de mémoire, je l’ai vue en Avignon, qu’elle l’appelait Totoro et pas Toto.
Elle gueulait « baise-moi » et re « baise-moi », jamais deux sans trois et nous, nous sortions de là enthousiasmés.
Son partenaire de jeu était, disons le, totalement dépassé. Totalement.
Qu’est-elle devenue cette jeune fille sur les planches ? Maternité ou entrée dans l’armée ?

rose dit: à

Bonne à tout faire.

rose dit: à

Grrrrr, kkksss
Totor
C’était l’amour. Fermez les volets.
Pas retrouvé M.S. J J-J, je vous kiffe grave ; je vous enlèverai quand votre père sera en mission spéciale. Merci du portrait alléchant, y a de ça quand même, sauts et gambades, je les ai pris à Blanchette, dans la forêt, là-haut, quand le paysan criait « reviens » mais qu’elle a préféré le loup au paysan. Pauvre bichette sans cervelle. Croquée, c’est-y un avenir çà ?
(Oui).

rose dit: à

j’ai toujours pensé qu’il fallait remplacer le « HU » par un « E ». Il était l’ego de Juliette, vu qu’il avait pris toute la place. Ce n’est pas à sa gloire.

****
Moi aussi, mon cul c du poulet(te) de Loué, fermier, élevée aux grains.

rose dit: à

Ce sont nous les femmes qui mettons les femmes ds cette.position là. Que faire d’un homme que l’on n’admirerait pas ? Le clouer au pilori ?

rose dit: à

Ce sont nous les femmes qui mettons les hommes ds cette position-là.

Je ne sais pas si c le correcteur ou moi le lapsus clavii. N’empêche que, y a que deux lettres de différence : ho/fe. C’est peu.

rose dit: à

Quelle était le sujet de la conférence à la BNF et l’année ?

rose dit: à

Hier midi, repas délicieux à l’Ehpad, grande sympathie avec la cuisinière qui m’a dit « on essaye de progresser de jour en jour », ai expliqué à ma mère ce que j’ai fait sur le blog concernant les fonctionnaires.
Elle m’a dit
« Ha, tu as pris le contrepied ». C ça ai-je répondu sans lui rappeler qu’elle allait se réfugier dans la cuisine lorsque ses chéris m’injuriaient durant le repas de Noël 2016, entre la dinde aux marrons et le fromage.
C’est fi-ni.
Cela me laisse le temps de ne penser qu’à ça.

Pas blindée.

renato dit: à

Haydn symphonie 62

Nous sommes à une époque où Haydn intègre ses œuvres symphoniques à des œuvres pour le théâtre, ce qui fait que certaines symphonies écrites entre 1774 et 1781 renvoient aux œuvres théâtrales qu’il a écrites à la même époque pour Esterházy.

L’Allegro reprend des matériaux d’une ouverture * composée en 1777, également utilisés dans le final de la 53.

La barcarole qui accompagne le deuxième mouvement ne présente que des fragments mélodiques, ce qui trompe l’auditeur qui se retrouve confronté à une mélodie qui est presque toujours interrompue avant qu’elle prenne forme.

Dans le trio du menuet, il introduit l’idée du downbeat perdu, artifice qu’il reprendra dans la 92.

Le final est dans le style italien. Le deuxième groupe thématique contient des rythmes lombards ** — largement utilisés dans le développement.

https://youtu.be/DXrRMXzZuFg?si=sr1O3TsalFX2aubg

* Overture in D major Hob.Ia:7 — voir (écouter au post suivant)

** Rythme syncopé dans lequel une note courte accentuée est suivie d’une note plus longue.

(Mozart a noté le début.)

J J-J dit: à

@ Merci pour le fun du matin, RM (n° 62) ; pmp, j’essaie de ne pas nourrir les trolls, mais ce n’est pas facile, notez bien, car le plus souvent, ce sont eux qui nourrissent la rdl.
@ On a perdu SM un temps, en réalité, elle prépare ses cahiers d’école et sa nouvelle trousse au monop pour sa rentrée, et se tape les 5 nouveaux romans du jour pour le RDL (de G Faye, K Daoud, M de Kerangal, A Nothomb et O Norek).
@ D’une biquette… blanche, capricante et originale (un pléonasme au pléistocène). Peut-être jouait-elle à la marelle, « en lançant ses billes sur les figures fantasques tracées par des gamins : un pain blanc, un soupir, une livre de pois chiches, une injure, une poule au pot, une gifle polonaise, un million de zlotys, le typhus, la semaine chez les anges et le pogrome, enfin »… (André S-B, Stillendstadt in LDDJ, p. 111). Qulequ’un a-t-il connu pareille marelle juive ? Et vous, r^znette ? Bàv,
(14.8.24_8.45)

J J-J dit: à

pourtant, il n’était pas tendre avec Romain Garry, mais vous lui avez pardonné. Car vous pardonnez toujours, à la fin, c pkoi il vous kiffe gravaussi.

Chaloux dit: à

Si admirable Pourtant.

Charoulet est presque déjà un personnage de roman

renato dit: à

Dans l’hyper-roman La vie mode d’emploi il aurait sa place.

Jazzi dit: à

Anne Hidalgo retoquée par le Conseil d’Etat contre son projet anti écolo de ramblas parisienne. On est pas à Barcelone, non mais !

lmd dit: à

….c’est moins joyeux que « take five » et son splendide solo de batterie, en plein milieu, je vous le recommande !
Mais pourquoi ne pas rappeler que le compositeur de ce grand succès du Dave Brubeck Quartet était Paul Desmond et que ce solo de batterie est du à Joe Morello, batteur que n’inquiétait aucune complexité métrique. (À 4’40)
https://www.youtube.com/watch?v=tT9Eh8wNMkw

D. dit: à

renato proposant du D majeur, maintenant…

Chaloux dit: à

Oui, c’est exactement ça, ou dans un roman de Marcel Aymé.

À propos de Juliette Drouet, F. Naugrette récuse le mot « esclavage », j’en prends bonne note. Reste que, au vu de ce qu’elle dit d’autre, on était tout de même sur le chemin. Il n’en reste pas moins que Hugo est un personnage extrêmement intéressant, ce dont m’a fait prendre conscience le très beau livre de Léon Daudet.

Quel bonhomme, ce gros Léon!

renato dit: à

D majeur vaut Re majeur, mégalomane ! Pas de ma faute si vautré dans votre provincialisme, vous ne savez pas.

Jazzi dit: à

« le très beau livre de Léon Daudet »

L’un des maris de Jeanne Hugo, petite fille du poète, Chaloux !

D. dit: à

ABCDEFG

Je sais evidemment ça. Incapable d’aucun humour, le risotto milanais.

Jazzi dit: à

« Dans l’hyper-roman La vie mode d’emploi il aurait sa place. »

Reclus dans une chambre de bonne, en robe de chambre et pantoufles, au milieu de ses dictionnaires !

J J-J dit: à

brefl, à la fin des JO chez le lézard vert de Paname Mme Hidalgo reprend son service traditionnel. Faut bin remblayer la marchandise, un jour ou l’autre, hein ? 🙂

Jazzi dit: à

JJJ, je suis un spécialiste reconnu sur le patrimoine végétal parisien, notamment. Pas question de faire n’importe quoi en la matière !

Jazzi dit: à

Oui, JJJ. Fin de la trêve et retour au principe de réalité.
Autant pour Macron que pour Hidalgo à Paris.
Celui qui semble en tirer le mieux les marrons du feu des JO, c’est Darmanin, palme d’or de la sécurité !
D’autant plus que le président et le 1er Ministre démissionnaire ne se parlent plus…

J J-J dit: à

spécialiste reconnu, reconnu… euh ?… bcp de végétalistes de mes amis parisiens ignorent votre blog et vos 24 goûts du bonheur, jzmn. A quand un « dégoût de Paris » (avec du mercure dans la Seine) qui vous assurerait bien plus de célébrité, à n’en point douter ! 🙂 hein ?

J J-J dit: à

Et que le grand frère l’Alain Bauer, catastrophisé, s’est déconsidéré à jamais auprès des conseillers de l’ex futur MI et du PPP… Wouarf. Seuls rachida et nicolas lui parlent encore un brin ! Pauvr’home.

Paul Edel dit: à

Chaloux,Juliette Drouet a écrit environ 22000 lettres à Victor Hugo sur près de 5O ans.  Certaines témoignent de graves crises répétées dans ce couple hors normes, comme celle du 9 février 1842, vraie e révolte,   où l’on apprend -ce qui est confirmé par les meilleurs biographes- que Hugo obligeait Juliette à lui écrire tous les jours, exercice dont lui se dispensait.
Juliette Drouet :« Mais si tu m’en croyais, tu me permettrais de supprimer ces gribouillis quotidien qui n’ont jamais été grand-chose, sinon à te donner la mesure de ma stupidité et à te fatiguer d’un amour absurde à force de se répéter et de ses multiplier sans rime ni raison.
Je sens bien que c’est par bonté que tu insiste,mais puisque cela ne peut pas me donner le change sur ce qui se passe en toi, il est inutile pour tous les deux que nous continuions ce petit enfantillage amoureux dont aucun de nous ne sera dupe.
Il vaut mieux mon aimé, m’accoutumer petit à petit à la catastrophe,peut-être plus prochaine que je ne le crains encore que de faire des efforts pour me laisser une illusion que nous n’avons plus ni l’un ni l’autre à l’heure qu’il est. »
En fait il y aura crises du couple, multiples réconciliations sur 5O ans.
Notons aussi qu’en décembre 1851, à la suite du coup d’État du futur Napoléon III, au plus fort de la traque policière pour arrêter Hugo, c’est Juliette qui prend tous les risques pour sauver la malle aux manuscrits qui contenait les dessins, les poèmes écrits depuis la mort de Léopoldine et surtout, surtout la première version des Misérables . Elle se démènera , ameutant toutes les personnalités favorables à Hugo, et réussira à le sauver Hugo de la répression bonapartiste.

Clopine dit: à

lmd, »pourquoi ne pas » ? Peut-être parce que je parlais pas des compositeurs, mais que j’essayais simplement d’exprimer que, dans une vie humaine, se succèdent des périodes ayant chacune une « couleur », et que la musique peut exprimer, à mon sens.

Je n’aurais jamais cru pouvoir identifier une période de ma vie au Texas de Cooder, mais pourtant… A l’époque, je l’avais trouvée monotone et lancinante, profondément américaine mais superficiellement cinématographique (presque « facile »,bref.) Aujourd’hui, j’y perçois de la tristesse et de la souffrance… Mais j’aurais pu prendre plein d’autres musiques : l’important était de faire contraste, et l’essentiel étant de dire combien la musique, quelque soit sa teinte énergique ou souffreteuse, peut être consolante, puisqu’elle pare de beauté aussi bien la profondeur que l’insignifiance.

(j’ai changé aussi à propos de l’érudition. J’étais dans sa piédestalisation. Mais on dirait que mes yeux se sont décillés, et que je vois l’usage auto-promotionnel dont certains l’exercent, aux fins de souligner leur supériorité sur autrui. Soupir!)

Jazzi dit: à

Un petit aperçu de ma bibliographie, JJJ ?

« BAROZZI Jacques, Trésors des musées parisiens, Massin, 2016
BAROZZI Jacques, Paris de fontaine en fontaine, Parigramme, 2010
BAROZZI Jacques, Bagatelle, Ouest-France, Rennes, 1997
BAROZZI Jacques, Guide des 400 jardins publics de Paris, Hervas, 1992
BAROZZI Jacques, Guide des Cimetières parisiens, Hervas, 1990
BAROZZI Jacques, Histoire et vie d’un jardin public, Berger-Levrault / Caisse nationale des Monuments historiques et des Sites, 1984
BAROZZI Jacques, Le Parc Floral de Paris, Ouest-France, Rennes, 1989 »

J J-J dit: à

@ l’important était de faire contraste, et l’essentiel étant de dire combien la musique, quelque soit sa teinte énergique ou souffreteuse, peut être consolante, puisqu’elle pare de beauté aussi bien la profondeur que l’insignifiance.
—–
Oui. OK., bien que le message ne me soit pas destiné, il est très beau et bien dit. Merci itou pour lmd de nous avoir aiguillé sur le solo de Jo Morello, sublime à la batterie, comme disait Langoncet, naguère… Bàv,—

Jazzi dit: à

Mais de mes…

J J-J dit: à

Moi j’uarais trop souffert de lire les 22 000 lettres de Juliette à Totor… Je me demande comment on peut, PE… J’ai souffert une foisj avec celles de la Palatine à sa fille, et promis de ne plus recommencer. J’ai laissé tomber sasn els ouvrir les Maria Casarès à Camus, ainsi que Mme Pingeot vs Fr Mitterrand…
Mes propres lettres à la RDL en live me suffisent amplement, je peux en outre les relire en temps réel durat ma courte vie, et surtout me rendre compte jusqu’à quel point elles suscitent les malentendus, me permettant de départager les fats des subtil.es. Une expérience bien intéressante de la post modernité, sous le regard des étoiles.
Bàv, @ 12.24 au JE du même jour susdit de l’année de l’ère chrétienne.

Chaloux dit: à

Oui, bien sûr Paul Edel, il y eut un grand amour, au moins de Juliette à Victor. Cela n’empêche pas de s’interroger sur la condition Juliette. Curieux tout de même qu’on puisse encore objecter à une condition particulière des sentiments. Les sentiments n’expliquent pas tout, pas plus qu’ils n’excusent tout. Je n’essaie d’ailleurs pas de condamner Hugo, n’appartenant heureusement pas à une génération de crétins uniquement occupés à condamner. Simplement, je m’intéresse à une certaine condition féminine au XIXe siècle, surtout à travers trois personnes, G. Sand, Juliette Drouot, Marceline Debordes-Valmore. Domaine d’intérêt qui m’étonne moi-même. Je ne vois pas en s’intéresser au destin de ces femmes serait ternir quoi que ce soit, ainsi qu’on l’écrit ici même.

Je suis en goguette, je ne relis pas.

J J-J dit: à

mes ouvrages ?… un brin poussiéreux, entre nous, jzmn. 1992 !… ça ne nous les reverdit pas vraiment, hein ! 🙂

Chaloux dit: à

Environ 14000 lettres sont déjà disponibles sur Internet.

J J-J dit: à

Moi, je m’intéresse beaucoup au destin en goguette de Jean-Claude Drouot (alias Thierry La Fronde), et m’en tiens à Michelle Perret et à ses vues pénétrantes sur George Sand. Elle me la fit passionnément redécouvrir tardivement, alors que jeune fille qui n’en pinçait que pour SDB, elle avait trouvé la « petite fadette » bien assommante, raconte-t-elle. Michelle, je sais que vous me lisez, sachez que je vous aime toujours aussi respectueusement en dépit de votre grand âge. Je vous souhaite une bien belle journée, rue Madame, lcé.

Chaloux dit: à

Drouot… Drouet cet iphone de m. se mêle de tout.

«  Départager les fats et les subtils »

Avec quels moyens cérébraux…

Les correspondances sont des lectures passionnantes, à condition évidemment de disposer de suffisamment de matière grise pour les affronter. Nous sommes très inégaux sur ce point.

J J-J dit: à

@ Michelle Perrot… Jean-Claude, c’était feu le mari, autre grand historien, comme chacun le sait bien et l’aura rectifié de lui-même. Bàv, jzmn & rosanette, les parisiens apaisés de l’RDL …

Chaloux dit: à

Gigi n’avait même pas vu que Sand était pianiste, alors que M. Perrot l’indiquait clairement. C’est dire avec quelle attention avait été lu ce livre.

J’avais gentiment mouché la Vi.ce.queuse sur ce point.

J J-J dit: à

@ Nous sommes très inégaux sur ce point.

Anéfé, il suffit de dire où l’on situe soi-même son « moyen cérébral ». Il sulfite de le dire, tel le primus inter pares que l’on se sent être… Bàv, et CQP

renato dit: à

Ah ! l’incomparable humour du goujat Chavillois.

Pablo75 dit: à

ce solo de batterie est du à Joe Morello, batteur que n’inquiétait aucune complexité métrique.
lmd dit: à

Étonnante, la biographie de Joe Morello:

« Né dans une famille pauvre d’immigrés napolitains, Morello, souffrant d’une cécité partielle depuis sa naissance, se consacre très tôt à des activités d’intérieur. Il entame l’étude du violon à l’âge de cinq ans, et joue trois ans plus tard en tant que soliste dans l’Orchestre symphonique de Boston (avec lequel il jouera notamment le Concerto pour violon nº 2 de Mendelssohn). Incapable de lire une partition, il apprendra tout en mémorisant ce qu’il entend.

À l’âge de 15 ans, il fait la connaissance du violoniste Jascha Heifetz et, estimant qu’il ne sera jamais capable d’égaler son jeu, décide de changer d’instrument et de se consacrer à la batterie. »

(Wikipédia)

Pablo75 dit: à

Dave Brubeck Quartet – « Blue Rondo à la Turk, » live

Circa 1959. Excellent live performance for broadcast. Time signature is 9/8 with a 4/4 swing. Paul Desmond is smooth (as always) on alto. Dave Brubeck plays a very energetic piano solo.

https://www.youtube.com/watch?v=j9GgmGLPbWU

Jazzi dit: à

Un jour, j’ai croisé sur la Croisette Manitas de Plata, Pablo75.
C’était pendant le Midem et je lui ai demandé de signer dans mon carnet d’autographe.
Il a fait une croix.
J’ai appris ensuite qu’il était analphabète et qu’il apprenait les partition à l’oreille !

Jazzi dit: à

carnet d’autographes dont je me demande bien ce qu’il est devenu ?
Le carnet, pas Manitas…

Edmond Poivre dit: à

Clopine :
Je sais deux-trois trucs. Qu’il a noté chacune de ses dépenses, je dis bien chacune de ses dépenses !

Oui et quand il louait les services d’une péripatéticienne, il mentionnait « pour les pauvres »

closer dit: à

Je découvre seulement le magnifique entretien de Kamel Daoud dans Le Point de jeudi dernier, à l’occasion de son livre « Houris »…

puck dit: à

nous entrons dans une époque étrange et assez dangereuse, vraiment une époque très dangereuse.
je viens de relire l’articlapassou, cette époque n’était pas franchement celle d’une liberté acquise ces dernières années, par exemple la loi qui autorise les femmes à avoir leur propre compte bancaire date de 1965, et donc quand ce film « a singe en hiver » est tourné les femmes n’ont pas encore ce droit, sans parler de tous les autres droits…

voilà, on peut se dire c’est bien ! tout ça va dans le bon sens, sauf que non.
exemple au hasard : les pacifistes aujorud’hui en France sont traité de « pro russes » ou de « pro poutine » pour les faire taire afin de continuer d’aller vers toujours plus de guerre.

pedro en est un exemple, on pourrait dire quasi caricatural, sauf que traiter pedro de caricatural c’est un pléonasme. pedro est caricatural pour tout, musique, livres, politique, société etc… il répète bêtement la doxa. Et pour l’Ukraine c’est pareil : ce que dit pedro reflète la doxa.

on a vu la même chose en 1914 avec des esprits bourrins qui s’insultaient de part et d’autre de la frontière, mais là c’est autre chose parce que cela vient après avoir acquis un certain nombre de libertés, et ça c’est déjà un élément qui montre que nous entrons dans une nouvelle époque dangereuse.

un autre exempel assez effrayant : hier Elon Musk a interviewé Trump pendant 2 heure sur sa plateforme X. Trump est tout de même le type qui se représente à la prochaine élection présidentielle, ce qui peut pousser à écouter ce qu’il a à dire. et Musk c’est Musk.

ben non ! hier, avant l’interview, lors de la conférence de presse de la porte parole du gouvernement américain, un journaliste du Washington Post (là il faut mesure le niveau : le type c’est pas le pedro quelconque, c’est un pedro haut de gamme) et ben ce type a demandé à Karine Jean Pierre si l’administration Biden avait prévu quelque chose pour interdire la diffusion de cette interview !

je le redis pour Clopine : aux Etats-Unis un journaliste du WP qui n’est pas le premeir venu des pedro du coin demande si le gouvernement américain a prévu une action pour interdire la diffusion de l’interview du typer qui a été président des US et qui est candidat à la prochaine présidence !

un autre truc cette fois dans le journal anglais Guardian, il faut savoir que ce journal anglais est l’équivalent de Libé en France, il y a 10 ans c’était la référence, en qq années le Guardian est devenu un repère de pedros en tout genre : limite des fous furieux hystériques que si on les écoute il faut donner aux ukrainiens l’arme nucléaire pour raser la Russie !
hé ben dans le Guardian un journaliste a interviwé l’ancien patron de Twitter et il lui demande si à son avis il ne faudrait pas lancer un mandat d’arrêt contre Elon Musk pour avoir décidé d’interviewer Trump…

c’est là où je dis attention mes frères : nous entrons dans une époque hyper dangereuses avec des flopées de pedros à chaque coin de rue !

je ne sais pas dans quelle mesure la littérature peut nous aider à surmonter cette épreuve ?
on a des exemple avec Hugo, Flaubert et un tas d’autres, mais là aujourd’hui je me demande si cela peut être une source d’inspiration où l’on puisse aller puiser un peu de raison et un moyen de revenir sur terre ?

ou alors il faut aller chercher du côté d l’éloge de la folie d’Erasme ? ou de don Quichotte pour nous aider à soigner notre époque malade ?

B dit: à

je vous aime toujours aussi respectueusement en dépit de votre grand âge.

3J? Maladresse, l’amour et l’amitié se posent comme la misère sur le monde sans considérations pour l’age .

puck dit: à

si passou était un brin courageux, lui qui est à la fois littéraire et historien il pourrait nous pondre un article sur le pacifisme aujourd’hui en France.

parce que passou est le mieux placé pour faire le parallèle entre aujourd’hui et 1914.

en faire des tonnes sur la mémoire de Verdun c’est super bien, sauf qu’il faudrait aussi faire quelque chose pour éviter que cela se reproduise !

parce que le « mémoriel » ça sert aussi à ça : à viter de refaire les mêmes erreurs !

sinon si c’est juste pour inviter des chanteurs le mémoriel ça sert à que dalle !

B dit: à

les pacifistes aujorud’hui en France sont traité de « pro russes »

A ce moment il eut fallu pétitionner contre la guerre que Poutine inflige aux Ukrainiens, vous voudriez peut-être qu’ils tendent l’autre joue ou se soient laissés avaler sans rien faire?

puck dit: à

B. merci de confirmer ce que je viens de dire.

J J-J dit: à

@ B, vous avez raison, je suis souvent maladroit avec les femmes, mais il ne faut pas toujours leur mentir non plus. On ne va pas leur faire croire qu’elles ont leur fraicheur de 20 ans. Pa ailleurs, je ne crois pas avoir jamais été désobligeant avec vous, d’autant que j’ignore tout de votre âge, et vous imagine pourtant toujours désirable en infirmière nue, sous votre blouse seyante. Bàv, bébée 😉

puck dit: à

« j’ignore tout de votre âge, et vous imagine pourtant toujours désirable en infirmière nue »

3j le Weinstein du blogapassou…

B dit: à

Bonjour le cliché fantasmatique, les plus jolies n’ont pas besoin d’être nues sous leur tenue réglementaire pour attirer l’attention, on ne voit ça que je suppose dans les films classes comme ils doivent.J’ai 65 ans et je ne suis pas terrribol.

B dit: à

Mes rares amis sont vieux, 80, 90 ans, allez savoir pourquoi. Sûrement voient-ils en moi la jeunesse.

B dit: à

Deux rafales crashés, Un pilote en vie, deux autres recherchés.

B dit: à

Chaloux, vous aviez raison pour les canadairs, seulement 3 sur 12 opérationnels. Journal Sud-Ouest.

B dit: à

Reçu ce matin La colline inspirée, je termine de lire Un singe en hiver .

duralex said laisse dit: à

Et c’est reparti, témoignage de Médias citoyens sur X-Twitter :

« DISSIMULATIONS MILITANTES ET ÉMISSIONS PROPAGANDISTES – Grosse semaine pour l’équipe de Zoom Zoom Zen (du lundi au vendredi de 16h à 17 sur France Inter) qui enchaine 3 émissions militantes en y déclinant les thèmes des gauches radicales sans le moindre procédé contradictoire…
Lundi, il s’agissait de disserter autour de l’acronyme ACAB (All Cops Are Bastards) avec Fabien Jobard, directeur de recherches au CNRS et accessoirement proche des gauches radicales (multiples publications sur Mediapart, livres dénonçant « les violences policières »…). Comme c’est la norme sur France Inter, l’animateur de l’émission omet de préciser l’appartenance idéologique de son invité. On y apprend notamment que si l’on voit de plus en plus le sigle ACAB sur les murs du pays, c’est « la conséquence d’un durcissement général des politiques sociales en France ».
Mardi, l’émission se penche sur « le corps enceint » avec Camille Froidevaux-Metterie, figure du féminisme en France considérant que « l’expérience vécue du corps enceint est à la fois une transformation physique mais aussi politique et sociale ». Il suffit de se promener sur son fil Twitter pour constater ses accointances avec les gauches radicales (reposts de Mediapart, signataires de tribunes radicales…). Là encore, pas un mot du présentateur sur ses influences idéologiques et politiques.
Mercredi, la fine équipe de Zoom zoom zen choisit le thème de « La révolte sociale » et présente l’émission ainsi : « Les émeutes en France sont une forme de protestation et de rébellion laissant à penser que la France est au bord de la guerre civile ». L’invité de l’émission n’est autre que Michel Kokoreff, un sociologue connu pour ses prises de position radicales. Il est notamment l’auteur du livre « Violences policières, généalogie d’une violence d’État ». Il décline, durant l’émission, l’ensemble des marqueurs des gauches radicales et extrêmes (anticapitalisme, haine du socialisme vendu aux néo-libéraux, théorisation des « violences policières » comme problème systémique, légitimation des violences urbaines comme mode d’expression…). Comme lors des 2 précédentes émissions, l’animateur tait l’imprégnation politique de l’invité et cautionne l’intégralité de ses propos.
Face à ces dérives déontologiques particulièrement graves et répétées, nous adressons une nouvelle alerte auprès des directions de France Inter et de Radio France. Le service public radiophonique n’a pas vocation à être le porte-voix des gauches radicales (NUPES-LFI et NUPES EELV), à encourager les colères et la rébellion contre les institutions, à promouvoir les projets factieux de l’extrême gauche française ni à bafouer le pluralisme démocratique. »
@Arcom_fr
@AdeleVanReeth
@SibyleVeil
@cy_lacarriere

J J-J dit: à

@ un cliché fatasmatique ?… Apparemment, avec vos vieux potes, vous ne semblez pas en disposer de rechange… Désolé pour vous, dieu merci, il vous reste l’amit Thié, consuelons-nous comme l’on peut, antoine ! Hein 🙂 Bonbon, je sors, un RV avec ma grosse coiffeuse mamelue, à 16h15. Bàv, à pluss.

B dit: à

Entre entrevoir la jeunesse chez une femme de 65 ans et l’imaginer nue sous une blouse d’infirmière, excusez mais il me semble qu’il se pose la distance du vêtement et du vouvoiement de plus. Ce sont des amis, il existe plusieurs emplois au verbe aimer, aimer d’amour, d’amitié, aimer la blanquette de veau ou le saucisson, il s’agit d’amitié dans laquelle , j’ai bien peur de vous décevoir, il ne paraît pas se glisser le moindre fantasme. Ne devenez pas comme certains ou certaines qui veulent toujours avoir le dernier mot, votre déclaration à cette illustre femme est maladroite, gougeate même.

Rosanette dit: à

A propos de Kamel Daoud je pense souvent a un un roman que je voudrais lui voir ecrire, dans la même veine que sa relecture de l’Étranger j
Ce serait un roman également algerien ,« decolonial » traitant ,comme le sien, de la victime injustement innomée, ignorée et dépersonnalisée qui se trouve pourtant au cœur d’une grande œuvre, dont on n’a retenu que la gloire de son auteur, sans se soucier de ce qu’elle nous disait de regrettable de son regard sur l’autre, le colonisé ,le dominé .
Cee livre, dont on découvrirait, une face ignorée et traitée dans l’indifférence par son auteur, ce serait l’ « Immoraliste » et ce roman serait une sorte de « consentement » à la sauce coloniale .
IL s’agirait des mémoires d’un vieil arabe de Biskra , qui à la fin des années 50 évoquerait ses douloureux souvenirs d’enfant devenu l’,objet des jeux sexuels du futur grand écrivain
Elles seraient transcrites par un appelé du contingent ,prof ou journaliste dans le civil , et horrifié par cet avatar de la deshumanisante domination coloniale .
Il raconterait donc comment il a recueilli la parole de ce pauvre vieillard analphabète, et la surprise indignée de cet homme ,lorsqu’il lui apprendrait que celui qui le payait de quelques piécettes pour l’abuser de manière humiliante et à ses yeux perverse , a gagné la gloire en racontant combien cette relation criminelle l’avait épanoui, ce qui n’avait même pas choqué ses lecteurs, au contraire admiratifs du courage de ses révélations sur lui-même et indifférents au sort du malheureux qui en avait été l’instrument

Jazzi dit: à

Un peu trop dans la tendance wokiste actuelle, ce roman que vous voudriez voir écrit, Rosanette !

J J-J dit: à

@ gougeate, Olympe de … ?
Ce sera mon dernier mot. J’aurais aimé poursuivre, mais comme vous le prenez, cessons là, vous avez eu le dernier…
Il y aurait en revanche beaucoup à dire sur le roman de Kamel Daoud, mais ce ne serait pas correct, ici, nous sommes toujours sommes de nous taire ou de nous suicider, tel Ernie Levy, le dernier des Justes. Bàv,

B dit: à

Sur Babelio, des commentaires dont un assez fourni pour renseigner sur le dernier Daoud.

Paul Edel dit: à

Gide passé à la tondeuse du politiquement correct? Bof.

Pablo75 dit: à

Puck-Puck jouant au sage effrayé par la folie du monde, quand on connait sa « pensée » bolchevico-poutinienne, c’est un sketch hilarant.

J’adore quand les putes essaient d’être crédibles dans le rôle de vierges effarouchées…

J J-J dit: à

@ DSL, inutile de monter des pétitions de protestation contre la chaine du service public, prétendument vendue aux partis d’extrême-gauche.
Il se trouve que Jobard, Froidevaux-Metterie et Kokoreff sont des gens parfaitement honorables et connus dans leurs domaines de connaissances spécialisées. Et que s’ils ont été invités par une chaine ayant besoin d’expertises en des temps rapides, c’est précisément faute d’avoir trouvé des alternatives crédibles parmi les « spécialistes » de chez Bolloré sur les mêmes sujets d’actualité, comme par hasard tous partis en vacances aux frais de la princesse.

***Votre prise de position politicienne sur la présente chaine littéraire de la rdl est inconvenante, sinon proprement inepte et ridicule. On s’étonne qu’elle n’ait pas été robotisée. Elle prouve au moins sa tolérance pour le pluralisme des opinions, celles notamment envahissantes issues de la fachosphère extrémiste. Bàv,

J J-J dit: à

@ J’adore quand les putes essaient d’être crédibles dans le rôle de vierges effarouchées…

pmp, je plussoie un brin sur ce coup-là.

Jean Langoncet dit: à

… et dire que ce cul de basse fosse, le harem à passou, prétend tenir tête aux gonzes à l’affiche … mais en plus distingué … salut salut les sinistres colons (la longévité, c’est relatif, même si sur le web, 19 ans, c’est une éternité. On se maintient comme on peut ; chapeau bas)

Jean Langoncet dit: à

salut salut les pignoufs

FL dit: à

Rions avec les classiques.

Le comte Hugo sur Louis Veuillot c’est bien. C’est bien. Mais Saint-Simon c’est pas mal non plus.

Donc sur le chevalier de Riom, amant de la duchesse de Berry, fille du duc d’Orléans, régent de France de la mort de Louis XIV à l’avènement de Louis XV, ami d’enfance de Saint-Simon, sur le chevalier de Riom donc, le duc écrit donc qu’il ressemblait « pas mal à un abcès ».

FL dit: à

* le duc écrit qu’il ressemblait « pas mal à un abcès ».

FL dit: à

Très bon article dans Le Figaro de ce jour sur le dogme de l’Assomption.

Le fait n’est pas raconté dans le « Nouveau Testament. Quelqu’un sait-il où on le trouve dans la littérature de l’Antiquité ?

J J-J dit: à

@ Jean Langoncet dit: à … et dire que ce cul de basse fosse, le harem à passou, prétend tenir tête aux gonzes à l’affiche
_____
Une traduction plus explicite, SVP, merci… on ne sait plus trop à qui s’adresse ce libelle elliptique, qui risque de générer un sursaut de malentendus pro palestiniens et anti poutinistes.
Bàv JL,

renato dit: à

Il s’agit d’un culte ancien, mais le dogme date des années 1950 (Pape Pacelli). Le premier témoignage du culte remonte au 4ème siècle.

FL dit: à

* Le premier témoignage du culte remonte au 4ème siècle.

Et la source ?

renato dit: à

Liber Requiei Mariae… mais… n’avez-vous pas un ami prêtre ?

Jean Langoncet dit: à

Marie et les garçons ?

FL dit: à

Merci cher Renato. Non je n’ai aucun ami prêtre.

renato dit: à

Il est l’un des amis nécessaires, FL.

closer dit: à

DSL a parfaitement raison JJJ. Il est tout de même extraordinaire que le Service Public n’ait pas pu trouver d’autres « experts » que trois militants de l’ultra gauche et sans signaler leur militantisme politique!

rose dit: à

Rosanette

Il rajouterait un chapitre sur l’épouse bafouée,

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/L'Immoraliste

Mais il me semble que Kamel Daouda a bien d’autres choses à écrire.
Je n’en sais rien de facto, mais je l’imagine.

Marceline, ce prénom merveilleux.

rose dit: à

Kamel Daoud

closer dit: à

Le livre de Kamel Daoud présenté dans Le Point sort demain 15 Août…Des gens ici ont l’air de le connaître et prennent des airs mystérieux.

Pourraient ils s’expliquer un peu plus clairement?

Pour mémoire Daoud est né en 1970. Son livre « Houris » est centrée sur la guerre civile des années 90, qui a fait 200 000 morts, thème qu’il est interdit d’évoquer en Algérie. Il avait 20 ans et commençait une carrière de Journaliste.

Rosanette, JJJ, qu’est ce que c’est que ces remarques insinuantes qui m’ont tout l’air plutôt malveillantes.

MC dit: à

Oui, dans les Carnets il y a des choses amusantes. Leonie Biard y devient Théophile de Blaru, pour ne pas rendre Juliette jalouse, par exemple….et la même stratégie de dissimulation est à l’œuvre pour Blanche Lanvin après 1870…

Chaloux dit: à

Même Minc appelle à la démission voire à la destitution de Macron. C’est dire. Quel flair ont eu tous ces gens!

Chaloux dit: à

J’ai quelque part dans ma bibliothèque le « Hugo et la sexualité » d’Henri Guillemin dont je garde un souvenir amusé (lu il y a une quinzaine d’années); je serais curieux de le relire.

Chaloux dit: à

Pauvre Juliette.

Ce serait un beau titre.

(Peut-être certains se souviendront-ils de « homéopathie, pove Juliette »!).

Rosanette dit: à

@closer
je ne vois pas de quelles insinuations malveillantes de ma part vous parlez; a l’égard de qui?de Gide?dans ce cas je pensais ne pas me contenter d’insinuations
@Rose
A l’égard de la femme bafouée Gide fait part de sa mauvaise conscience et reconnaît le chagrin qu’il lui cause; en revanche son partenaire de Biskra n’a d’autre identité pour lui que d’être un objet de plaisir ,ce qui lui dénie toute personnalité et toute humanité

Chaloux dit: à

Pauvre Madeleine. Morte vierge.

(MC, SVP donnez-nous les précisions nécessaires, je suis au bout du rouleau).

On va finir par croire qu’il n’y a guère qu’Agostinelli qui ait su tirer son épingle du jeu!

(Je possède les deux volumes consacrés à Gide par Jean Delay. J’avoue jamais ouverts. Gide, entre le moment où j’en avais fait l’acquisition et celui où j’aurais eu le temps de les lire, avait sans doute cessé de m’intéresser).

On connait le mot magnifique de Colette.

Julien Green (il me semble) disant à Colette, à propos des Faux monnayeurs:
-C’est vraiment très mauvais.
Réponse de Colette:
oui, c’est très mauvais mais ça n’a aucune importance.

rose dit: à

Rosanette

A l’égard de la femme bafouée Gide fait part de sa mauvaise conscience et reconnaît le chagrin qu’il lui cause.
C’est tout à fait vrai !

D. dit: à

C’est bon la blanquette de veau.

D. dit: à

B dit: à

Deux rafales crashés, Un pilote en vie, deux autres recherchés.

Rafale avec une majuscule et sans s.

J J-J dit: à

c’est fou le nb des gens d’icite qui disent posséder des livres qu’ils n’ont jamais lus… Avec çà, la république de macron est bien avancée… Bàv,

***je sors d’un film chinois, un polar un brin glauque, l’tat d’esprit un peu sceptique… only the river flows de Wei Shujun, j’ignore s’l fut chroniqué ici. Je n’en ai pas pigé l’intention de de l’auteur citant Camus en exergue : « on ne comprend pas le destin et c’est pourquoi je me suis fait un destin. J’ai pris le visage bête et incompréhensible des dieux »… BN à tous.tes, et à jzmn peut-être ?

rose dit: à

Adolescence, relecture, désamour.
Viens de lire ce com. ne le retrouve pas, pas plus que Marie Sasseur.
N’empêche que.
En ce qui me concerne, relu, relativement récemment Fortune Carrée de Joseph Kessel et La Nuit des Temps de René Barjavel.
Ai retrouvée intacte la même passion totalitaire et incandescente que lors de ma première lecture adolescente : le bonheur fou dans son absolu.

En ai parlé avec Emma aujourd’hui de lorsque tu as vingt ans dans ton cœur, Madame, vingt ans tu as, ad vitam aeternam.
E dans l’A, ligature ou pas.
C l’éternité ou la conception que nous en avons, nous. Emma a plussoyé joyeusement.

rose dit: à

c’est fou le nb des gens d’icite qui disent posséder des livres qu’ils n’ont jamais lus…

1/3 en ce qui me concerne.
Sur quarante cartons, dix plus un tiers.
Dont Bachelard.
Espère vivre suffisamment longtemps pour les écluser au fur et à mesure que je serai capable/à même/en mesure de les lire, comme Saint Augustin.
La chair est encore trop vive.

rose dit: à

Ne me suis pas encore attelée à relire les Misérables.
Mais, j’ai re-mangé une fois de l’andouillette et cela s’est bien passé.

Chaloux dit: à

Certains prétendent avoir été chercheurs; ils n’ont pas dû trouver grand-chose.

renato dit: à

L’OMS déclare que la variole du singe est une urgence sanitaire mondiale.

Pablo75 dit: à

« J’étais en très grande détresse »: un nouveau témoignage accable l’abbé Pierre.

L’abbé Pierre est l’objet d’une nouvelle accusation de violences sexuelles datant de la fin des années 80. La fille d’une femme – aujourd’hui décédée depuis 5 ans – révèle une lettre écrite en 2019 par sa mère à l’Église catholique dans laquelle elle témoignait des abus dont elle avait été victime alors qu’elle dépendait matériellement de l’homme d’Église.
[…]
« Je suis choquée que l’abbé Pierre passe pour un saint alors que je n’ai connu que sa nature d’obsédé sexuel », écrivait cette femme aujourd’hui décédée, racontant « des masturbations devant elle » ou « des fellations » imposées.
[…]
« L’abbé Pierre me disait qu’il voulait me rendre heureuse et remplacer le mari que je n’avais plus », poursuit-elle. « Il est passé rapidement de l’aide charitable à des faits d’abus sexuels. Il m’emmenait dans un appartement parisien dont il avait la clé pour passer des nuits avec lui. » La sexagénaire raconte aussi que l’abbé Pierre lui aurait demandé de le « fouetter avec sa ceinture », et qu’il aurait proposé qu’une deuxième jeune femme les rejoigne afin qu’il puisse assister à des ébats lesbiens.
[…]
L’un des historiens spécialistes du fondateur d’Emmaüs confirme au journal que le prêtre avait effectivement une obsession pour le lesbianisme et que sa bibliothèque personnelle comportait une poignée d’ouvrages à ce sujet.

https://fr.yahoo.com/news/j%C3%A9tais-tr%C3%A8s-grande-d%C3%A9tresse-nouveau-164206059.html

C’est beau la sainteté médiatique…

Pablo75 dit: à

Des sondages ont désigné l’abbé Pierre 17 fois «personnalité préférée des Français» de 1989 à 2003.

rose dit: à

Avec Emma, nous avons classé dans l’ordre catastrophique : la jalousie, l’alcool, l’argent.
Je ne sais pas où mettre la concupiscence, ni les dominicains.
On a encore rien.
Son RV avec un dermato a été reporté jusqu’l’an que ven. Sa verrue sur le bras est devenue énorme. Qu’il ne faille pas, grands dieux, lui couper le bras. Alleluyah, amen.
On lui a volé ses 50€. Ses pastilles d’Akiléine pour les bains de pieds. Je lui ai dit « tu as de la corne ». Elle a éclaté de rire en répliquant  » vaut mieux là que sur la tête » et elle m’a fait les cornes sur la tête.
On le sait que la chair est faible. Comment le sachant peut-on ne pas y échapper ?
Rencontres passionnantes. Il est libanais. Me dit être né en 1978 et que depuis 1972/1973, il y a la guerre incessamment. Je le questionne sur la corruption et il me répond oui. La corruption.
J’alpague XY tu hablas espanol. Yo tambien pour pratiquer mes cours à l’oral. Argentin de Buenos Aires vivant à Prague. On blablate un moment sur le port d’attache et j’affirme péremptoirement Marseille pour moi.
Jusqu’à ce qu’elles arrivent toutes les deux et me branchent sur Jérusalem et je vire vite fait ma curie, ben oui, c’est Jérusalem chez moi. Au dessus au-delà et de grande envergure de Marseille.
Son novio d’une a été juif
Leurs conversations furent passionnantes. Cela n’a pas duré ; je ne crois guère aux multi-confessions dans le couple. Cela nécessiterait un niveau de tolérance immense, un amour infini, une entente des corps émotionnellement incomparable.
De mendiante hier, me voici reine aujourd’hui
Entendu ce matin me concernant « elle fait partie des murs, » C’est chez moi, mon château à Marseille. Le jour du mariage, je serai foutu dehors, ce sera privatisé. Pour le mien. j’ouvrirai grand les portes.
Les activités des tourterelles turques dans le jardin de ma mère, embauchées par Freud, Sigismond. Deux. Puis une. Et trois.

rose dit: à

sur Jérusalem et je vire vite fait ma curie, ben oui, c’est Jérusalem chez

Ma cutie aussi. Je vire tout d’un coup. Schblang. Schbloung. Et en number one le Burkini.

rose dit: à

Je serais foutue, crénom.

B dit: à

Rafale avec une majuscule et sans s.

Merci 3J, je sème les fautes d’orthographe dans le jardin de mon illettrisme, j’en suis désolée. Veuillez les excuser, pour les Rafales , comme ce sont des objets, je présume que mes fautes ne leur causeront pas plus de peine que le prix de la perte de malheureux pilotes et quelques millions.

B dit: à

Rafale, décidément !

rose dit: à

En rafales, tchac, tchac et tchac.

rose dit: à

Le lucre et la fornication.
Comment l’abbé Pierre se retrouve dans de sales draps. Comme s’il y avait une impossibilité liée à la nature humaine. Et que déchoir de notre piédestal,

Impédimentation.

Chaloux dit: à

C’est beau la sainteté médiatique…

Comme le talent littéraire médiatique, l’intelligence politique médiatique, etc.

renato dit: à

RIP Gena Rowlands

renato dit: à

Haydn symphonie 63, La Roxelane

Il y a plusieurs explications à ce titre : personnage d’une pièce de théâtre ou femme de Soliman le Magnifique… à voir !

Ici aussi, l’œuvre pour le théâtre et la symphonie s’entremêlent – le premier mouvement est tiré du « Monde de la Lune » ; le second de « La Roxelane » que nous avons vu.

Il existe deux versions, la seconde avec une instrumentation réduite, et les troisième et quatrième mouvements plus légers.

Version 1
https://youtu.be/MZkUKWPxNms?si=CN3PnB0QTG9JmKxC

renato dit: à

Les sales draps de l’abbé Pierre.

Rien d’étonnant quand on sait que les deux premières préoccupations de leurs « patrons » sont de mettre la main sur les plus beaux garçons romains et sur les plus beaux appartements de la ville.

Ce qui laisse pantois dans le cas précité, compte tenu du fait que les saints ne se lavent pas ou peu (d’où la fameuse odeur de sainteté), c’est la fellation. Enfin !

J J-J dit: à

@ EAN, pour saluer le somptueux et impressionnant dossier en ligne consacré à de récentes lectures de Franz Kafka, https://www.en-attendant-nadeau.fr/dossiers/litterature/franz-kafka/
@ pour saluer la mémoire de Gena Rawlands, qui enchanta naguère notre cinéphilisme d’un mirage doré (Gloria)
@ Pour saluer l’Assomption de Marie Sasseur, cette internaute chrétienne devenue difficile depuis son accouchement rocambolesque par l’opération du st-esprit
*** Bàv, les xi-cons du jeudi, à os tirailleurs sénégalais sans lesquels nous ne serions plus là avec Enrico Macias, petit bambino ; bàv à tous nos amis palestiniens qui résistent au Hamas et à l’actuel Israel ; aux courageux Ukrainiens qui n’accepteront jamais de se laisser envahir par la lèpre poutiniste ; aux femmes afghanes qui n’accepteront jamais de subir le terrorisme talibanesque ; et bàv, à tous les autres opprimés de la terre, CT et moij notamment, qui, n’accepteront jamais de subir icite et ailleurs les dégâts ravageurs du délirant néo capitalisme macroniste paupérisannt l’immense majorité de la population et enrichissant sans vergogne une minuscule caste de monstrueux parasites…
(JE/15.8.24, 7.59).
Merci cher ami RM, pour la 63e, nouveau havre de fraicheur primesautier.

J J-J dit: à

ils n’ont pas dû trouver grand-chose.

une formule souvent attribuée à tort à De Gaulle, et sans cesse reprise par les gardes chiourmes de la grande conciergerie lepéniste.

or que beaucoup ont trouvé sans chercher, ma sérendipité, dans les bas-fonds des bibliothèques oubliées.

J J-J dit: à

@ B… Je n’y suis pour rien, ma chérie… Rendez à Dédé ce qui appartient à Chaville. Moi je suis juste charentais et je fais autant de fautes que vous autre, à cause des rafale de vents qui Massaï en ce moment – Bises, SVP… c férié !
—————
D. dit: à
B dit: à Deux rafales crashés, Un pilote en vie, deux autres recherchés. – Rafale avec une majuscule et sans s.
—————-
Merci, rien de bien frave. Le « fun », koi… 🙂

J J-J dit: à

le journal matinal de forcalquier à l’écoute de Haydn est un enchantement extraordinaire de chaque matin. Quelle joie de vivre, quelle intelligence, quelle gaieté, quel allant, quel humour, quelles modesties, quelle générosité. Abasourdi par le charme, des larmes de bonheur aux commissures des yeux… merci infiniment pour ce moment qui chasse la haine, toujours tapie et suintant dans un coin, hélas prête à surgir à la moindre.

Chaloux dit: à

« la haine, toujours tapie et suintant dans un coin »

Encore un résultat d’analyse médicale.

Confondre la RDL avec la sécurité sociale, un des nombreux symptômes de l’épandage cérébral.

Ce n’est pas ici qu’il faut constituer son dossier.

La direction (Hurkhurkhurk!).

Clopine dit: à

JJ-J,vous savez, on pourrait jouer à un jeu ici… Dans le prolongement de mes périodes colorées d’ hier : associer les pseudos erdéliens à des musiques. Enfin, une musique (une seule pour commencer).

Vous, tenez, je vous verrai bien habillé en Coltrane : https://www.youtube.com/watch?v=qWG2dsXV5HI

(attendez, je vais en pêcher d’autres et je reviens.Je crois avoir ce qu’il faut pour. Rosanette, Rose, Jazzi bien sûr,mais aussi Pablo75,Bloom, JC ou PUck…(hihihi) ).

J’espère que les liens vont marcher !

Clopine dit: à

Rosanette, bien sûr, on pense a priori à de la musique klezmer, de la clarinette jouée comme chez Apollinaire, vous savez : « mon verre s’est brisé comme un éclat de rire », mais on ne peut la réduire à cette identité-là, à cause de sa rigueur intellectuelle, de son expression toujours si précise et mesurée, et de sa retenue. Alors, moi je l’entends plutôt comme cela :

https://www.youtube.com/watch?v=KjsQTQu7J_Q

closer dit: à

Désolé Rosanette, j’ai lu trop vite votre commentaire et je n’ai pas compris que vous faisiez allusion à Gide (pourtant vous mentionnez « L’Immoraliste »)…
Vous comprendrez facilement que KD a autre chose à faire que de dénoncer pour la énième fois le tourisme sexuel des riches occidentaux chez les peuples pauvres, même s’il s’agit ici de Gide et de l’Algérie.

Encore une fois, il avait 20 ans en 1990 et il a été personnellement témoin d’horreurs dont il est aujourd’hui interdit de parler dans son pays. Des dizaines et des dizaines de « 7 octobre »…
J’ai compris que son livre n’était pas « sur la guerre civile » mais situé dans son contexte et centré sur le regard d’une jeune femme qui a survécu.
Il sort aujourd’hui.

Chaloux dit: à

La reine Marie,

Bien sûr.

Jazzi dit: à

Je ne savais pas que Gena Rowlands était encore en vie !

D. dit: à

renato, si vous avez été vacciné contre la variole du homo sapiens milanensis, vous n’avez rien à craindre de la variole fu singe.
Parce que je vous sens inquiet.

JC..... dit: à

RELIGION, DISTRACTION

Un truc fabriqué de toute pièce pour échapper à ce que l’animalité commande, chez l’homme, la femme, et les indécis. Le Bien, le Beau, le Culte !

Tu parles, Charles !
Echec absolu ! Des branleurs de monastère et des putes de couvent

Cher Abbé ! Ô Pierrot, cher ami tu as tout notre soutien ! Une soutane, ça se retrousse ! n’importe où, n’importe quand ! Tes successeurs prennent le relais, sans mot dire. L’humain est un animal, Dieu l’a voulu ainsi….

Damien dit: à

Voici un morceau de la chanteuse Lio, écrit en hommage à l’abbé Pierre. le morceau est rebaptisé, c’est le cas de le dire : « La balade de l’abbé ». Tout un roman interdit au moins de 18 ans, et qui ouvre sur le Code pénal :
https://youtu.be/sJZ1G0e5bWU
Bon 15 août à tous, malgré tout !

closer dit: à

Finalement l’Abbé Pierre a eu bien tord de s’emmerder à aider les pauvres et les sans logis. Il aurait dû rester peinard à baiser les paroissiennes d’un patelin quelconque de la France profonde.
Il serait resté inconnu, aujourd’hui oublié, sauf de quelques vieilles dames de Trifouillis les Oies évoquant le passé en faisant du tricot.

JC..... dit: à

Cher Closer,
Notre Pierrot est oublié depuis longtemps : ces Saints ne sont pas sains…

Rosanette dit: à

@clopine
je n’ai pas de culture musicale ;il y seulement des choses que j’aime bien , comme la musique klezmer ,mais la seule musique qui m’émeuve vraiment. c’est la musique arabo-andalouse ,ce qu’on appelle le chaabi ,et mieux vaut, en cas de portrait chinois, m’identifier a elle plutôt qu’a la musique klezmezr
j’ai eu la chance il y â tres longtemps d’approcher l’homme qui a théorisé cette musique, de transmission jusqu’alors orale ;
C’était le pére de ma meilleure amie rencontrée en ‘hypokagne;il s’appelait El Boudali Safir ,il était un ami de Camus et d’Emmanuel Robles ,avec qui i avait fondé une revue littéraire. la Forge

closer dit: à

Le grand père (ou arrière…) de Nathan Devers, juif pied noir, a débarqué en Provence. Un proche, espagnol pied noir, y était aussi…
On dit que de Gaulle n’aimait pas trop ce débarquement, trop de pieds noirs giraudistes…Il n’aimait pas trop non plus le débarquement en Normandie, trop d’anglo saxons…
J’ai beau admirer de Gaulle, j’aurai toujours du mal a me définir comme « gaulliste ».

J J-J dit: à

tout compte fait, CT, vous avez l’imagination empathique pour l’herdélie musicalement associée. Belle idée…, qui montre votre bonne santé… Je suis-j OK avec moi-même, d’autant qu’un collègue il y a longtemps, Philippe B., m’avait associé à John Coltrane… Assurément, la RDL est une sécurité sociale, tout à son honneur…
La Queen Mary n’a pas eu l’heur, ni l’homme de Chaville, ni nos amis Bérénice, Langoncet ou Petits Rappels de Vaccins… Peut-être attendent-ils un signe de vous, ou de la guérison commune… L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents, on fait de pareils dévouements…
Amitiés aux trouilles et fous ! 🙂

J J-J dit: à

@ Je ne savais pas que Gena Rowlands était encore en vie !

Eh bé non, elle ne l’est plus, ballot !…

J J-J dit: à

non, personne n’a jamais pensé que vous fussiez gaulliste ou eussiez pu l’être, de près ou de loin. Non. Chevènementiste, non plus. Charouliste alors ? peut-être bien !

J J-J dit: à

J’i lu un roman pamphlétaire du jeune Nathan Devers qui évoquait tous les effets pervers possibles d’une trop forte addiction aux résultats sociaux, euh, réseaux sociaux… Je ne me souviens plus du titre, mais il ne me semblait pas y évoquer de ses liens ancestraux avec des juifs pieds-noirs.
Je crois devoir m’équiper du dernier Kamel Daoud… Ses chroniques journalistiques tirées du quotidien oranais, rassemblées parles ed. Actes Sud, avaient démontré @ satiété qu’il était l’intellectuel algérien engagé (et menacé) le plus intéressant de sa génération. Quasi plus encore que le grand Boualem Sansal… Bàv,

J J-J dit: à

@ La direction (Hurkhurkhurk!).

On le savait depuis longtemps qu’il était candidat à une succession anticipée de la direction de l’RDL. Mais le patron du moment est toujours en vie et pas encore sorti de ses gonds, l’et toujours en capacité de le réexpédier ad patres en son CDBF. Juste à fleurets mouchetés, bien sûr, comme il sied aux gentlemen élégants,…

Rosanette dit: à

« trop de pieds noirs giraudiistes dans le débarquement de Provence « ce qui aurait désolé de Gaulle de Gaulle
c’est peut être exact mais en tout cas ce giraudisme n’était pas le fait des juifs pied noirs qui participaient a cette opération et qui avaient Giraud en horreur
Giraud qui avait remis en vigueur le décret Cremieux et dont le premier souci avait été de se debarraseer en les envoyant en relégation les membres du petit noyau de juifsAboulker et autres) qui avaient rendu possible le débarquement américain en Afrique du Nord

J J-J dit: à

Pierre Senges (d’EAN) vous a expédié le Lagasnerie et la Veinstein en deux coups de cuillère à pot, avec cette élégance amusée qui sied aux sachants à l’endroit des jeunes ignorants présomptueux cherchant à se « mesurer » à l’univers d’une humble immensité qu’ils ne comprendront jamais, faute de pouvoir y pénétrer.

FL dit: à

Le documentaire sur Leys signalé récemment par Closer.

La carrière de Mao, celle de Leys, les tribulations des intellectuels et journalistes français (Sollers léger comme la cendre de sa cigarette), quelques opinions d’intellectuels et journalistes contemporains.

Le dernier ouvrage de Leys, « Les Naufragés du Batavia », a l’air bien intéressant. Une réflexion sur la manière dont un groupe humain plonge dans la tyrannie.

https://www.publicsenat.fr/emission/documentaire/leys-lhomme-qui-a-deshabille-mao-e0

FL dit: à

Manque tout de même les dates des documents présentés.

Clopine dit: à

Et pour moi, entre Brubeck et Cooder, y’a eu ceci,pas forcément folichon mais qui me renvoyait aux romancières anglaises bien-aimées,comme des soeurs Brontë déportées en Nouvelle-Zélande…

https://www.youtube.com/watch?v=TCJB9mIlFBs

FL dit: à

La manière dont le monde intellectuel et universitaire s’est débarrassé de Leys fait songer à la manière dont il s’est débarrassé de Gilles Kepel.

Il y a un parallèle très net entre Simon Leys et Gilles Kepel. Ils connaissent très bien les société dont ils parlent. Ils n’en sont pas les ennemis. Ils en maîtrisent la langue. Ils en maîtrisent les codes. Ils en lisent la presse. Ils ont des contacts nombreux avec sa population. Mais ils ont le malheur d’avoir un discours pas suffisamment suave aux yeux d’une gauche qu’on va qualifier au minimum d’aveugle, pour rester poli.

Galilée est toujours seul.

FL dit: à

* les sociétés

Clopine dit: à

Jj-j, moi je trouve le com’ de Jazzi particulièrement méchant : comme s’il proclamait avoir depuis longtemps enterré Rowlands, de son vivant…

Chaloux dit: à

Certains traitements médicaux sont susceptibles de transformer un cerveau en un moulin sclérosé, broyant toujours le même grain.

Prudence !

closer dit: à

Je ne dis pas que l’aieul de Devers était giraudiste, Rosanette! Mais de façon générale les pieds noirs étaient réputés être plutôt pour Giraud; ceci dit (pardon, cela dit, Charoulet surveille), je n’ai pas de statistiques.

Nathan Devers, JJJ, est surtout connu depuis qu’il a sorti « Penser contre soi-même », récit autobiographique de sa « conversion » du judaïsme orthodoxe à la philosophie (en commençant par les Sceptiques). Très intéressant.

Rosanette dit: à

@clopine
-merci deux fois
d’abord de m’associer dans votre imaginaire t a l’élégance abstraite et épurée de Debussy
-et aussi pour tous ces liens vers la musique qui m’émeut

J J-J dit: à

@ prudence /… et ça gêne qui, en réalité, le dosage mal dosé de lithium pour faire face (de rat) ?
@ non, jzmn a fait une erreur d’inattention, c tout, il n’y a pas vraiment de méchanceté augurale chez lui,
@ apparemment, FL est un homme au masculin, vu la concordance des temps, on avait cru comprendre le contraire avec FLorence. Encore un droitiste, donc, vilipendant « la suavité d’une certaine gauche » (szic) qui aurait eu le pouvoir de faire taire un Gilles Kepel !… décidément, elle est trop forte celle-là, résistant à ce point à l’emprise de bol-aurée-hanounache, c à désespérer de la « clause »- hair !
Bàv, les amiches d’église, c’est l’heure du bain !

J J-J dit: à

@ FL, merci
J’avais manqué cela …
https://www.youtube.com/watch?v=aLZQkI5TPFI
Je pensais aux « liens artificiels », surtout…
Penser contre soi-même, c’est vraiment banal pour moij. Evidemment, c’est pas la pratique dominante de la meute en « rdl ».

renato dit: à

Merci Clopine pour le choix ce Milanais. Nous avons étudié dans le même conservatoire, et bien que rénovée plusieurs fois, naturellement, dans la même salle de classe (lieu physique). Comme le chef qui dirige ici, d’ailleurs :

https://youtu.be/mCT76PrdCQw?si=bv5lcoO8noirZ30y

et alii dit: à

La langue française peut-elle s’inscrire dans une signature ADN ?
Le « gene silencing », que l’on peut désigner en français par le blocage de l’expression d’un gène, désigne un « ensemble de mécanismes épigénétiques qui aboutissent à l’absence d’expression d’un gène, indépendamment de sa propre régulation », lequel peut être assumé par des ARN, justement…

Jazzi dit: à

Tout amateur de cinéma connait les films de John Cassavetes, chef de file du cinéma américain indépendant, dont l’actrice Gena Rowlands,était la femme et la principale inspiratrice.
Des films incontournables, tournés souvent à domicile, par souci d’économie de moyen, avec la bande des fidèles amis acteurs : Peter Falk, Ben Gazzara, Seymour Cassel…
Tous morts à la suite de la disparition du cinéaste en 1989.
Pour ceux qui ne connaissent pas, je recommande tout particulièrement « Gloria » (1980), où Gena Rowlands est au sommet de son art…
https://www.youtube.com/watch?v=12ql7orFSgQ

Jazzi dit: à

Non, JJJ, aucune erreur d’inattention.
Juste une manière humoristique de dire d’une personne dont on nous annonce la mort, que l’on avait oublié qu’elle était encore en vie.
ça ne vous arrive jamais ?
Moi, ce n’est pas la première fois !
Faut être malveillant pour y voir là de la méchanceté…

Chaloux dit: à

Le petit Nathan est pour moi un bavard saoulant, narcissique au possible, qui s’écoute parler à longueur de journée (du reste plus radioteur qu’écrivain), mais qu’on peut très bien se passer d’écouter. Ses liens avec la « revue » de Béchamel (sic) , dont un des la Tourette d’ici est également collaborateur, renforcent ma méfiance à son égard.

Pour « radioteur » qui connaît la référence ?

La revue en question est bien évidemment « La pègre du vieux »

Clopine dit: à

De rien, Renato, j’en suis déjà à deux « bons » (JJ j et vous), plus une « presque bonne » (Rosanette, parce qu’elle ne rejette pas Debussy qui lui ressemble au-delà de son appartenance à son identité culturelle), et comme je sais que j’ai bon à 100 % pour Charoulet et Puck, reste à connaître l’opinion de Rose, Bloom, et Pablo75. Je ferais remarquer à Pablo75 qu’au-delà du piaffement de chevaux cabrés de son morceau, l’oeuvre s’intitule tout de même « fantaisie pour un gentilhomme ».
Et à Bloom qu’il y a une jolie promenade, avec une bonne mélodie de saxo, d’un homme distingué dans une métropole étrangère.

Bref, il me reste le gros morceau, notre hôte. Allez, je l’habille pour l’hiver, le printemps, l’été et l’automne, avec ceci, qui me fait penser à lui, pas à cause de sa vie dont j’ignore tout, mais parce que c’est sa position ici… (Je veux dire, parmi nous qu’il surplombe, qu’il le veuille ou non, il n’a pas d’autre choix que la suave solitude…)

https://www.youtube.com/watch?v=-ZQ_1Mp_QTc
https://www.youtube.com/watch?v=-ZQ_1Mp_QTc

Clopine dit: à

(zut ça n’a pas l’air d’avoir marché, faut que je recommence, donc je disais 🙂

Merci Renato, jusqu’à présent j’ai deux « bons » (vous et Jjj), plus une « presque bon » (car Rosanette ne rejette pas mon choix de Debussy, qui lui ressemble en dehors de ses choix identitairement culturels), comme en plus j’ai bon à 100 % pour Charoulet et Puck, il ne reste plus que pablo75 et Bloom et Rose pour confirmer mes intuitions.

Je ferais remarquer au premier que, derrière le piaffement des chevaux carapaçonnés piaffant façon guardia civil que je lui dédis,le morceau s’appelle « fantaisie pour un gentilhomme »…

Et au second qu’il s’agit de la déambulation d’un « gentleman » dans une ville étrangère (ce qu’il a déjà, à mon sens, dû vivre).

Rose, je suis moins sûre de moi. J’avais d’abord, pour elle, pensé à une chanson française du si joli répertoire populaire, un truc genre « j’ai descendu dans mon jardin », ou bien « auprès de ma blonde »…

Bon, il me reste le gros morceau, notre hôte veux-je dire. Vu sa situation surplombante ici, et mon ignorance absolue de sa vie, je propose de l’habiller pour l’hiver, l’automne, l’été et le printemps de ceci, car il est bien seul parmi nous, et que cela lui va bien, en fait :

https://www.youtube.com/watch?v=-ZQ_1Mp_QTc

Clopine dit: à

Pour Jazzi, oui, il ressemble en cela à ma défunte belle-mère. Même quand elle essayait d’être gentille, dès qu’elle ouvrait la bouche elle était blessante « sans le vouloir » pour quelqu’un… C’était un art chez elle. (par exemple : « oui, le Clopinou a bien mangé chez moi ce midi, ça le change du reste de la semaine… » Comme c’est moi qui le nourrissais hors les déjeuners du mercredi chez elle, vous voyez d’ici mon sourire un peu crispé… D’autant que les méthodes employées pour « faire bien manger » le petit étaient proprement hallucinantes, si vous saviez !)

closer dit: à

Je ne suis pas en complet désaccord avec vous Chaloux sur ND. Néanmoins sa description des milieux juifs sépharades du 16ième avec sa sous stratification sociale, le haut du pavé (Passy) et le bas (Auteuil) est très pittoresque et savoureuse. De même que son récit d’élève dans un Lycée confessionnel juif qui n’a pas peu contribué à la perte de sa foi.

Sa perte de foi en la religion est d’autant plus intéressante que Devers ne peut pas vraiment l’expliquer; il a été frappé par la philosophie grecque comme par la foudre. Un peu comme une conversion à Dieu, mais à l’envers…

D. dit: à

Quand je serai Roi, seules les fêtes catholiques seront chomées, et uniquement pour les croyants pratiquants, avec contrôle biométrique. Les dimanches seront néanmoins accordés à tous types de travailleurs.

D. dit: à

Il n’y a aucune raison que des gens bénéficient du 15 août en s’en faisant un viaduc de 5 jours et en remerciement aillent chier sur la Sainte Église et son berger temporel.

D. dit: à

Seront supprimés : 1er mai, 14 juillet, 8 mai, 11 novembre, 1er de l’an, lundi de Pâques.

Seront ajoutés : jeudi saint, vendredi saint, mercredi des Cendres, Saint Joseph, Saint Pierre et Saint-Paul, Saint Jean-Baptiste.
Avec contrôle biométrique de participation aux messes. Sinon, déduction sur salaire ou reliquat de congé.

clopine dit: à

Tout ceci me ramène au pauvre Jim. Même quand il était déjà bien attaqué par la maladie, il avait le chic pour offrir aux uns et aux autres des musiques qui « leur correspondaient ». Deux seuls de ses copains ont remarqué le fait, et m’en ont fait part… J’en ai été émue aux larmes plus tard, quand Jim a cessé d’offrir de la musique aux autres, car il n’était plus capable de graver les cd. Et que j’avais été la première bénéficiaire de ses partages !

Chaloux dit: à

Pablo, si tu passes par-là, voudrais-tu avoir
La charité d’expliquer au nécessiteux pourquoi une bibliothèque est partiellement constituée de livres qu’on n’a pas encore lu?

renato dit: à

« Un jour ou l’autre, nous finirons par prendre ces livres en main et réaliserons que nous les connaissons déjà »

Umberto Eco cité de mémoire

Clopine dit: à

Ca ne marche toujours pas, ça m’énerve ! Bref,ce que dédie à D;, c’est ça :

https://www.google.com/search?q=fashion+week+au+vatican+Fellini&client=firefox-b-d&sca_esv=5a54ede1e073dd21&sxsrf=ADLYWIKNW0cAkWu8cUzUuzMHzLyflRASeQ%3A1723721053635&ei=XeW9ZpO6JuetkdUPpf304A0&ved=0ahUKEwjT3N-o8faHAxXnVqQEHaU-HdwQ4dUDCA8&uact=5&oq=fashion+week+au+vatican+Fellini&gs_lp=Egxnd3Mtd2l6LXNlcnAiH2Zhc2hpb24gd2VlayBhdSB2YXRpY2FuIEZlbGxpbmkyBRAhGKABSIlwUIsIWMpscAJ4AZABAJgBvgGgAYITqgEEMjIuNLgBA8gBAPgBAZgCHKAC2RPCAgoQABiwAxjWBBhHwgIEECMYJ8ICExAuGIAEGBQYhwIYxwEYjgUYrwHCAgUQABiABMICBRAuGIAEwgIOEC4YgAQYsQMY0QMYxwHCAggQABiABBixA8ICERAuGIAEGLEDGMcBGI4FGK8BwgILEC4YgAQYsQMYgwHCAg4QLhiABBixAxiDARiKBcICCxAuGIAEGMcBGK8BwgILEAAYgAQYsQMYgwHCAgQQABgDwgIdEC4YgAQYsQMYgwEYigUYlwUY3AQY3gQY4ATYAQHCAgoQABiABBgUGIcCwgIaEC4YgAQYsQMYgwEYlwUY3AQY3gQY4ATYAQHCAgYQABgWGB7CAggQABiABBiiBMICCBAAGKIEGIkFwgIHECEYoAEYCsICBRAhGJ8FwgIEECEYFZgDAIgGAZAGCLoGBggBEAEYFJIHBDIyLjagB5ajAQ&sclient=gws-wiz-serp#fpstate=ive&vld=cid:772c76ab,vid:XPgwr9snRJI,st:0

(dommage d’utiliser tant de place pour un si triste personnage, pardon !

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