Une pierre dans le jardin à la française de l’identité nationale
On dira que venant après un éloge des livres d’Alain Finkielkraut et de Jean Clair, nostalgiques d’un ancien régime français de la sensibilité, du savoir-vivre, du savoir-écrire et de la conversation, une apologie de ces étrangers qui ont tant donné à la France ne peut relever que du calcul, mais qu’importe. Elle obéit au calendrier des nouveautés, une lecture succédant à une autre, et basta ! Le Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France (992 pages, 30 euros, Bouquins/Laffont) vient à point, et pas seulement parce que « l’étranger » sera certainement au centre de la campagne électorale pour les municipales de 2014 qui semble avoir déjà commencé. Cet ouvrage collectif, publié sous la direction de Pascal Ory avec la collaboration de Marie-Claude Blanc-Chaléard, reflète leur commun tropisme : tous deux historiens, ils sont l’un spécialiste de l’identité nationale, l’autre de l’immigration. Ils ont concocté et collecté mille deux cent notices d’inégale importance, du photographe iranien Abbas au cinéaste Andrzej Zulawski, autour de l’apport de destins individuels de gens venus de partout, à la destinée collective de ce pays. Selon la loi du genre, cela ne se lit pas en continu mais se consulte. Et se critique en râlant.
Ce livre était nécessaire car, aussi étrange que cela puisse paraître, il n’existait pas, en tout cas sous cette forme et ce double mouvement : diversité des origines, convergence vers un seul territoire. Un pays qui fut terre d’immigration, notamment au XXème siècle, sans que cela fût éclatant car il s’empressa d’intégrer les nouveaux arrivants au nom du grand principe unitaire héritée de 1789 (cette date sert d’ailleurs de point de départ aux notices)
On trouve parfois des bizarreries. Takis Candilis, producteur de télévision (TF1 puis Lagardère) né en 1954 à Paris, a droit à une colonne, alors que les Camondo, famille à laquelle les musées français doivent tant, sont absents. Plus chanceux, les Rothschild ont leur colonne mais il n’y est pas fait non plus allusion au fait qu’aucune famille française ou étrangère n’a donné autant d’œuvres d’art qu’eux aux musées de ce pays. On est pareillement étonné par la présence d’une notice consacrée à Ivan Illich, né à Vienne et mort à Brême. On se demande ce qu’il fait là. On lit donc, dans l’espoir d’en découvrir le motif. En vain : la seule allusion à la dimension française du fameux philosophe est l’écho que la revue Esprit a donné à sa pensée dans les années 70. Mais est-ce bien suffisant ? On y trouve même Julio Iglesias au motif qu’il lui est arrivé d’enregistrer des chansons en français (mais dans bien d’autres langues aussi) et que la France a beaucoup fait pour sa renommée. Ce qui ne dit pas en quoi il a pu apporter quoi que ce soit au génie français. C’est ouvrir si largement le compas que cela risque de dénaturer le projet. Aussi faut-il en revenir à la préface de Pascal Ory pour savoir au juste à partir de quand et jusqu’où on peut estimer qu’un artiste, un créateur, un scientifique, un intellectuel ou un chercheur étrangers ont « fait la France ».
Et d’abord qu’est-ce qu’un étranger ? Le critère juridique étant jugé le moins discutable, c’est celui-ci qui a été retenu : celui est né étranger, que ce soit sur le territoire français ou non. Mais entre les colonies, les protectorats et les outre-mer, ceux qui sont nés avant l’indépendance et les autres, cela se complique tant que j’avoue n’avoir rien compris aux deux pages de « raisons combinées » justifiant la qualité d’étranger accordée à Uderzo, Serge Reggiani, Azouz Begag mais refusée, si l’on peut dire, à Goscinny, Jean Ferrat, Coluche, Drucker, Sarkozy, Balladur, Mohamed Dib, Mouloud Ferraoun… Un tel dictionnaire aurait pu facilement faire mille pages de plus. Tel quel, c’est déjà une pierre dans le jardin à la française de l’identité nationale. Car dès lors que l’on évoque l’incontestable brassage dont la France fut le théâtre, le spectre du métissage est agité et parasite le débat car le mot même fait horreur.
Et qu’entend-on par « ceux qui ont fait la France » ? La part de subjectivité est plus grande encore. Le maître d’œuvre nous assure que « la pratique de la langue française » est là un critère dominant. Si c’est pour acheter le pain chez la boulangère de la rue Git-le-cœur (Paris 5ème), on comprend que James Baldwin et Richard Wright soient dans ce dictionnaire ; mais si c’est pour l’honorer en écrivain, comme Beckett, Cioran ou Ionesco, ils n’ont rien à y faire car ils n’ont jamais cessé d’être des écrivains américains. Paul Celan non plus, qui y figure pourtant, comme eux. Pourquoi Charles Denner y figure et pas Sami Frey alors qu’ils ont exactement les mêmes origines et le même parcours dans la même profession ? Parce que le premier est arrivé à Paris à quatre ans alors que le second y est né ? Absurde.
On mesure là à quel point une telle entreprise est casse-gueule dès lors qu’elle ne se donne pas un parti pris rigoureux et étroit. Joseph de Maistre y côtoie Aldo Maccione. Enfin… Même si nul ne songerait à nier l’apport des Kundera, Sidney Bechet, Godard, Kandinsky, Cossery, Bréguet au patrimoine de notre pays, il est bon que, avec ses inévitables défauts, soit élevé un tel monument à la xénophilie française. Dans un pays qui pratique la repentance et la haine de soi comme un sport national, cela change un peu.
(Musée Nissim de Camondo, photo Passou)
763 Réponses pour Une pierre dans le jardin à la française de l’identité nationale
10h45
Pas mal
Je ne veux pas être désagréable mais la photo fait très cheap, à cause de son angle de vue.
L’escalier semble mener aux chambres à coucher, et une statue de plâtre occupe un coin mort.
Regard… Soupir las… Silence.
Epilogue.
U. avez-vous atteint l’age et la maîtrise d’Alain Finkelkraut? invité il y a 2 soirs par l’ORTF avec Pierre Nora et j’ai raté les 2/3 du débat
Finkie a tapé du pied sans arrêt, il a le sens du rythme, Nora est resté impassible, la classe
La marque « le thon vieux con » concurrente des conserves « petit navire » devrait poursuivre une trajectoire ascendante calquée sur notre évolution démographique.
il a le sens du rythme
et du pathos
Pour sortir un peu du ronron, voici une question moins consensuelle.
L’interrogation sur l' »être français » peut avoir deux réponses:
(1) Oui ou non: on est ou on n’est pas Français;
(2) Plus ou moins: c’est une qualité relative, que l’on possède plus ou moins.
La première question relève du droit (la nationalités et ses conséquences). La seconde relève de la culture (l’assimilation plus ou moins grande d’un répertoire culturel commun).
Je constate que, par la confusion de ces deux niveaux, la réponse 2 est interdite dans le discours public.
Exemple.
J’ai vu la réaction d’un Allemand aux propos d’un jeune Allemand d’origine turque qui lui parlait de son père (résident mais ne parlant pas allemand): « il est aussi allemand que vous! ».
L’intéressant était l’étouffement muet de l’Allemand: il n’était pas capable de trouver des mots pour traduire une impression qui lui semblait évidente et de simple bon sens.
En gros: comment quelqu’un qui ne connaît pas Goethe ou Bach pourrait être « aussi allemand » que moi?
Les transpositions sont faciles.
u. dit: 25 octobre 2013 à 11 h 23 min
« L’interrogation sur l’ »être français » peut avoir deux réponses:
(1) Oui ou non: on est ou on n’est pas Français;
(2) Plus ou moins: c’est une qualité relative, que l’on possède plus ou moins. »
–
Vous avez tout à fait raison, u. Et figurez-vous que c’est comme cela que raisonnent les ordinateurs quantiques utilisés par certaines civilisations avancées, des engins construits avec une structure en pelure d’oignon. Je pense en avoir déjà parlé ici un jour. Cela avait bien fait rire JC mais c’est tout simplement parce qu’il n’avait rien pigé, comme très souvent hélas. Il va beaucoup moins rire en lisant ceci :
Au centre de l’oignon se trouve le domaine du « tout probable » et plus on s’éloigne de couche en couche vers l’extérieur moins certaines choses sont probables, jusqu’à la couche externe où il ne subsiste plus qu’une seule chose probable qui est précisément la réponse à la question posée.
« Kalle :
L’Allemand a eu une histoire malheureuse (..) .La première chose qu’il ait fallu lui apprendre, c’est la différence entre un Allemand et un non-allemand. Pour ça, on s’est servi des notions de sang et de sol. Seul un Allemand a le droit de verser son sang pour son Führer et seul un Allemand a le droit de prendre à un Allemand le sol que celui-ci possède. Le détenu du camp de concentration et son tortionnaire sont du même sang et, parce qu’ils sont nés sur le même sol, ils sont de même race. J’ai toujours été opposé aux liens du sang comme à tout autre lien d’ailleurs. J’aime bien avoir les mains libres. C’est vrai : on ne choisit pas son père et c’est pour ça qu’il peut détacher sa ceinture et vous flanquer une raclée. Si on pouvait choisir son père, il ne ferait pas tant de bruit, à table, en mangeant. »
Extrait de « dialogues d’exilés » de Bertolt Brecht, écrit en 1941.
« Kalle :
L’Allemand a eu une histoire malheureuse (..)
Mais il ne s’agit pas de l’histoire de l’Allemagne, seulement celle du nazisme.
« Au centre de l’oignon se trouve le domaine du « tout probable » »
Comme me l’a appris une petite fille japonaise, Dédé, contrairement au noyau de l’abricot, ce qu’on trouve au centre d’un oignon, c’est une larme.
« une structure en pelure d’oignon. Je pense en avoir déjà parlé ici un jour. Cela avait bien fait rire JC »
« Il faut bien avouer qu’il existe une dimension sexuelle qui n’existe quasiment pas entre JC et moi. »
1/ Je pensais à l’époque que vous parliez de vous, D.&+, …structuré comme un oignon !
2/ Je ne peux me résoudre à imaginer une relation sexuelle, quelle qu’elle soit, qui ne soit en 3D, au minimum…!
En érotique, la structure en oignon doit désigner un strip’ qui se termine par une déception.
… et quelques clous de girofle en surface, non ?
u. dit: 25 octobre 2013 à 12 h 01 min
« Kalle :
L’Allemand a eu une histoire malheureuse (..)
Mais il ne s’agit pas de l’histoire de l’Allemagne, seulement celle du nazisme.
mais bien sûr…
u, arrête de jouer perpétuellement les bons élèves du Collège des Bons offices des petits oiseaux. tu n’es jamais qu’un énième moine-représentant de la vieille école religieuse occidentale qui combat à coup de balai en guimauve de moraline la moindre poussière d’ethnocentrisme. vu mille fois à la télé. au secours…
L’ethnocentrisme combattu au balai en guimauve de moraline ? Technique hollando-jospino-mitterrandienne vaticanesque vouée à l’échec !
Nous recommandons le rire, arme de destruction bien plus efficace …
Ur deutsch dit: 25 octobre 2013 à 12 h 23 min
Cher Chleuh des origines,
« u, arrête de jouer perpétuellement les bons élèves du Collège des Bons offices des petits oiseaux. »
Juste. Je suis un élève de François, je m’adresse au uccellacci et aux ucellini.
(Sauras-tu deviner dans quelle case il t’appartient de pépier?)
« tu n’es jamais qu’un énième moine »
Je t’arrête.
Le moine zen est un guerrier, demande à renato, qui connaît Dôgen.
« qui combat à coup de balai en guimauve de moraline la moindre poussière d’ethnocentrisme. »
C’est le contraire.
La moraline, c’est l’ennemi principal de mes posts.
Le recours à l’histoire ne renforce ni ne diminue l’ethocentrisme (whatever it means), il enseigne seulement à devenir un peu moins con.
Diras-tu que c’est peu ou que c’est beaucoup?
Ces représentations transmises par la mémoire et par les institutions politiques et culturelles ont une temporalité qui n’est pas celle de l’expérience vécue. Elles ont une inertie, et une stabilité relative.
La chose française nous précède et nous survivra sur une forme ou une autre. (u.)
Bien d’accord. TOUT le réel, d’ailleurs nous échappe, et, comme Schopenhauer l’a montré voici belle lurette, nous n’avons accès qu’à des représentations. Nous n’avons un (piètre) accès au réel qu’en le nommant, mais nommer le réel, c’est le rater. Toute la question est de savoir si cet effort de représentation et de nomination, de la part de l’animalcule humain ( petit stock de protéines de 1m50 et 45 kilos en moyenne), même multiplié par 7 milliards, présente un quelconque intérêt. Perso, que la chose française me survive ou non, sous quelque forme que ce soit, je m’en tamponne. Comme d’ailleurs du devenir de la chose nommée Humanité. Mais enfin, reconnaissons au savoir humain et aux innombrables formes de représentation imaginées par l’humanité au cours de son histoire, dans un cadre strictement endogène et endogame d’ailleurs, un incontestable pouvoir divertissant. On a les divertissements qu’on peut.
Seulement un exemple, hein.
Le « Blut und Boden », ce serait l’Allemagne.
Connais-tu la « Bubo Literatur »?
C’est un peu con-con comme l’opposition « nation civique » (vive la France!) contre nation ethnique (A bas l’Allemagne!).
Oggi, c’è un bel po’ di confusione…
Qu’il y ait qqc d’insaisissable dans ce que l’on met derrière « identité nationale » – sans doute plus que le simple fait de détenir la carte d’identité française – certainement !
Mais cette question de « l’identité nationale » posée en terme de débat à avoir, a été le vers dans la pomme introduit par le gouvernement précédent, et n’a rien apporté de constructif. Sinon d’aller se dire que – peu importe l’histoire des migrations sur le territoire et l’Histoire de ce territoire -un pays comme la France ne serait pas « multi-culturel » comme les USA ?
Et alors ?!
La belle affaire !
Perso, que la chose française me survive ou non, sous quelque forme que ce soit, je m’en tamponne.
Moi, pas du tout.
À un moment, nous sommes tous étrangers. Dernièrement je me suis senti étranger à Milan — évidemment une patrie littéraire (de Pline à Arbasino) reste, et le caractère iconique dans les arts est difficilement effaçable, mais il ne me viendrait jamais à l’esprit de chercher une identité qui ne survivrait que dans mes souvenirs.
Cela dit, je reste persuadé que parler d’identité après Musil n’est qu’un anachronisme ; et que les racines sont mises en avant là où il n’y a aucune idée quant à l’invention du présent… Bon, l’on peut toujours rêvasser sur les ruines : les Romains rêvassent sur leurs ruines depuis un millénaire et demi et ils ne se portent pas mal pour autant…
un ami de Brecht dit: 25 octobre 2013 à 11 h 38 min
« Kalle :
Le malheur, quand la liberté d’opinion existe, c’est qu’on ne dit jamais comment se faire une opinion. Il faudrait commencer par me donner la possibilité de me faire une opinion. Or si les gens qui possèdent les imprimeries, les moyens d’information, les journalistes et le papier, sont contre, ça sert à quoi le droit de dire ce que je pense ? »
(du même livre…)
Tiens, je comprends que vous citiez ceci, Christiane:
« Le malheur, quand la liberté d’opinion existe, c’est qu’on ne dit jamais comment se faire une opinion. »
Quand on a été formé chez les curés, comme vous. On ne risque pas de réfléchir par soi-même.
Nous recommandons le rire, arme de destruction bien plus efficace …
..tu vas tfoutes en l’air les zigomatiques avec ton rictus jicé..et tu plairas pus aux femmes
Ur deutsch , avez vous entendu parler du traité de versailles? et de l’état de l’allemagne dans les années 20? apparemment non..
On a les divertissements qu’on peut
..toi jean marron on l’identifie ta mimique d’agonisant dans le chalet..du temps des romains on conversait et echangeait à ce moment là..mais pour le rivaïveul tu peu t’accrocher..non pas à la lunette
…
…cours de survie,…apprendre à vivre dans le monde cosmopolite,…
…à en encadrer tout le monde heureux à vos pieds,…le lustre de l’expresso,…sans sucre,…etc,…
…à prendre des vessies pour des lanternes !.
…en passant,…quelle soupe à jour,…etc,…
…
Quand on a été formé chez les curés, comme vous. On ne risque pas de réfléchir par soi-même.
mais si..avoir une opinion c’est dabord savoir défendre une position dafnoz..hach la rhétorique c’est du nanan
« Perso, que la chose française me survive ou non, sous quelque forme que ce soit, je m’en tamponne. »
T’es qu’un égoïste, JB !
Et ta Josette ?
Et tes enfants ?
Et tes amis ?
Et tes bêtes ?
Ah ! Pardon…
Je ne pouvais pas deviner…
bouguereau dit: 25 octobre 2013 à 13 h 26 min
Laissez tomber , Bouguereau. Elle ne sait rien ! et ne comprend même pas pourquoi je cite Brecht en réponse à P.E !
D. dit: 25 octobre 2013 à 8 h 22 min
« tais-toi, quand tu parles » !
Qu’il est glorieux d’ouvrir une nouvelle carrière, et de paraître tout à coup dans le monde savant, un livre de découvertes à la main, comme une comète inattendue étincelle dans l’espace !
http://www.youtube.com/watch?v=xh986CaDy5o
(…toutes mes confuses à Xav’)
Daaphnée pensant par elle-même ?
Et tes bêtes ?
jean marron l’est comme les rois d’antan on tura ses chvaux pisque celui qui les monte ne sra pus..et on fra des monts de crânes..il a pas envie qu’on rigole et qu’on pête a son enterrement jean marron..
je cite Brecht en réponse à P.E !
Vous le voyez partout, pfff!
Comme Bernadette, Soubirous.
Mon pauvre, Jacounet !
Si c’est le portrait de votre maman, je comprends que vous en soyez resté traumatisé !
un ami de Brecht dit: 25 octobre 2013 à 13 h 14 min
Ur deutsch , avez vous entendu parler du traité de versailles? et de l’état de l’allemagne dans les années 20? apparemment non..
Cher ami, excusez-moi mais votre post est un peu grotesque. Si l’Allemagne de Weimar n’a pas pu élever une barrière d’anticorps à la hauteur de ce que nécessitait le virus nazi, c’est bien que cette dernière idéologie avait pénétré l’histoire (et plus tard l’historiographie) du pays. Dire, comme le moine-soldat combattant proclamé de la bien-pensance qui parle au oiseaux et qui lance les miettes du pain rassis de sa réflexion aux mendiants qui ne sont pas d’accord avec les paroles de son péan, que l’Allemagne n’est en rien responsable de ce qui s’est passé n’apporte rien à la tentative d’explication de ce moment de l’histoire (même envisagé comme « parenthèse »), à mon humble sens.
Je n’ai pas l’honneur d’être « l’ami d’Hölderlin », comme vous avez la chance d’être celui de Brecht, mais j’ai envie de vous dire : « Komm, ins Offene, Freund. » Un peu d’ouverture aux autres que diable.
« Or si les gens qui possèdent les imprimeries, les moyens d’information, les journalistes et le papier, sont contre, ça sert à quoi le droit de dire ce que je pense ? » (transmis par christiane)
C’est essentiel au contraire!
Pour s’en rendre compte, il suffit d’aller voir où c’est interdit (totalitarismes fasciste, nazi, communiste ou islamiste).
« Dire, comme le moine-soldat combattant proclamé de la bien-pensance qui parle au oiseaux et qui lance les miettes du pain rassis de sa réflexion aux mendiants qui ne sont pas d’accord avec les paroles de son péan »
Bigre, quel morceau.
On ne peut pas couper cette phrase en deux?
(Sinon, c’est bien)
Teuton aus dem Neandertal (13h46):
« dire que l’Allemagne n’est en rien responsable de ce qui s’est passé »
Marrant, j’ai regardé autour de moi pour voir qui pensait ça.
Pas réussi!
Jacques Barozzi dit: 25 octobre 2013 à 13 h 37 min
Daaphnée pensant par elle-même ?
http://tantasimagenes.files.wordpress.com/2011/05/rust.jpg
T’AS PAS HONTE, JACQUES ?
Cette image transmise par Jacques Ba. sollicite le ressenti.
C’est un peu comme ça que hamlet voit la philosophie.
Certains feraient mieux de commencer par lire ce livre de Brecht Dialogues d’exilés (L’Arche – Travaux 22 traduit par J.Baudrillard et G.Badia). Le mien est de 1972. Il doit en rester quelques exemplaires chez les bouquinistes.
Ces dialogues entre Ziffel et Kalle ont écrits en 1940-41. Brecht en dit : » J’étais en train de lire Jacques le fataliste de Diderot lorsque m’est venue à l’esprit une nouvelle possibilité de réaliser mon vieux projet concernant Ziffel. (…)En outre, j’ai encore dans l’oreille le ton de Puntila. A titre d’essai, j’ai rédigé deux courts chapitres et intitulé l’ensemble Dialogues d’exilés« .
Qui d’autre que Paul Edel pourrait les citer ici !
Quant à une formation chez les « curés » mes écoles républicaines s’en étouffent de rire. La foi ou l’athéisme sont des mûrissements trop importants pour les téter au biberon ! Ce sont des cueillettes de l’âge adulte. Pauvre petite Daphnée… A vouloir faire de bons mots , elle s’enlise…
Ah, ce Jacques !
Le vieillard regardait le soleil qui se couche , le soleil regardait le vieillard qui se meurt..
Ce sont des cueillettes de l’âge adulte (Christiane)
Pas du tout. J’ai opté pour l’athéisme à onze ans, au terme d’une méditation à l’arrière de la 4cv des parents, dans une descente, sur la route de la Mure, je m’en souviens comme si c’était hier. Mes raisons sont les mêmes qu’autrefois, et toujours aussi solides.
Christiane,
vous qui avez tant de qualités !
Lorsque je parcours ma prison divine à scooter rose, en pensant à ce refus de votre part de monter en croupe, je rêve encore de ce rendez-vous raté …
Vous êtes tout amour !
Aimez Daaphnée, Christiane, c’est une sainte, une grande dame, une sœur à nulle autre pareille, un monstre de perspicacité, un jugement sûr, une âme généreuse, une fleur divine… !
(C’est pas comme Clopine qu’est rien qu’une hyène écologique !…)
Qui d’autre que Paul Edel pourrait les citer ici !
Décidément, votre univers n’est pas plus étendu que la surface d’un confettis !
Enfin quelle efficacité à venir étaler le contenu d’un sac Vuitton pour les meilleurs d’entre vous, ici? (ceci à propos de l’affreuse plaisanterie interrogative de JB)
Jean Rustin. Ah Jacques, quel grand peintre de l’innocence liée à la folie.
daaphnée
Christiane parle du blog (« ici »), pas de l’univers (qui, comme chacun sait bien sûr, n’a aucun secret, ou si peu, pour vous), Certes elles aurait dû préciser, en majuscules » DAAPHNEE SEULE » et donc son commentaire aurait été nettement enrichi grâce à vous (une fois de plus) : « Qui d’autre que Paul Edel pourrait les citer ici !DAAPHNEE SEULE! »
Espérons que Christiane va vous supplier de lui pardonner sa faute infinie
Cher JC, l’amour inconditionnel n’est pas dans ma panoplie ! Elle juge à l’emporte-pièces rien que pour se montrer. Lamentable ! Elle me fatigue. Beaucoup de bruit pour rien… Parfois elle ressemble à un canular, genre mec à problèmes qui aime jouer les travestis. Basta ! passons à autre chose…
(A priori elle ne connaît pas les livres-références de Paul Edel. Et celui-ci en est un dont il a donné le goût sur son blog.)
John Brown dit: 25 octobre 2013 à 14 h 14 min
« J’ai opté pour l’athéisme à onze ans »
Cher JB,
La plupart de tes idées gauchistes multicultis, lamentables et infantiles datent-elles de cette époque enfantine où ta pensée a basculé dans le champ des certitudes mensongères ?
J’avoue que ça m’épaterait !
« Cher JC, l’amour inconditionnel n’est pas dans ma panoplie ! »
Soit ! Posez vos conditions, Christiane !
On en discutera, pied à pied …
Voulez-vous que j’implore le pardon de Popaul de lui avoir reprocher son goût immodéré pour la censure, son côté Anastasie psychorigide ?…
Non, cher JC, lisez ce livre exceptionnel. Toute l’évolution de l’Allemagne en ces années-là y est disséquée et mise à distance avec un humour dévastateur.
Paul Edel suit son chemin, tranquille, loin de toutes ces billevesées. Tenez, je le vois par ce temps très doux, s’arrêter sous un arbre ou assis sur un banc dans quelque jardin et y savourer Dialogues d’exilés
Amitié.
les livres-références de Paul Edel
C’est une idée fixe?
« Toute l’évolution de l’Allemagne en ces années-là y est disséquée et mise à distance avec un humour dévastateur. »
Pas en ce moment : je n’en éprouve guère l’envie… un jour peut-être, rien ne presse !
un ami de Brecht dit: 25 octobre 2013 à 13 h 14 min
l’état de l’allemagne dans les années 20?
En tous cas les brasseries là ça tournait, einmal !
Daaphnée dit: 24 octobre 2013 à 23 h 49 min
et avec un petit chocolat ..
Ha oui ça la Donau elle est feucht… Faudrait essayer avec l’Ouverture de la cavalerie légère ou le concerto d’Aranjuez… Ou alors la cinquante-trois héroïque là ça collerait bien…
@Ur Deutsch dit: 25 octobre 2013 à 13 h 46 min
Les troubles politiques et économiques des années 20 et 30, menaçaient l’ordre industriel, économique, établi – il fallait avant tout éviter un nouvel octobre 17, ou qu’il s’étende à l’Allemagne, enjeu également pour les pays voisins
@Ur Deutsch
il est certe splus simple de s’envoyer les nationalités à la g.eule (se croire supérieur)
Christiane
« cher JC, lisez ce livre exceptionnel. »
il ne lit que ses propres commentaires
« Quand on a été formé chez les curés, comme vous. On ne risque pas de réfléchir par soi-même. »( Rustine de la pensée)
« Avoir la vocation » pour le métier d’ enseigner, dans le public comme dans le privé, c’ est kif kif.
Si l’ école publique donnait à tout un chacun les moyens de réfléchir par soi-même, ça se saurait!
arthur dit: 25 octobre 2013 à 15 h 01 min
Marxisme pas mort…
Avec de tels outils, nous voilà parés pour la prochaine vague politico-religieuse!
Si l’ école publique donnait à tout un chacun les moyens de réfléchir
Avec Chrichri, c’était foutu d’avance.
u.
« Marxisme pas mort… »
?
« Avec de tels outils, nous voilà parés pour la prochaine vague politico-religieuse! »
aha comme c’est drôle – au moins autant que les jacasseries de votre crétin insulaire l’idiot utile de marine, qui rêve de se faire des immigrés du sud (pour changer de ses blancs biquets )
Mais avec votre sens de l’humour, vous allez peut-être évoquer l’opposition des gros industriels allemands ainsi que de leurs homologues et des gouvernements des pays voisins de l’Allemagne aux gesticulations d’Hitler
« Si l’ école publique donnait à tout un chacun les moyens de réfléchir par soi-même, ça se saurait! »
Réfléchir par soi-même, c’est un acte personnel ! Rien à voir avec l’école publique… On a pas besoin, même tout jeune, des encalminés syndiqués d’E.N. : il y a les parents, les amis, les amies, les copains, les copines, le sport, les réseaux sociaux, Internet, le ciné, la TV et … les livres, j’oublie toujours les livres !
Ne soyez pas méchant !
Arthur, c’est un cerveau… dans un bocal de formol !
Faut pas jouer les gros bras sous ton marcel, Marcel!
Les curetons de la laïque ça a existé et ça existe toujours, les défroqués mentaux, il y en a plein les classes de la République.
Pas plus tard qu’ hier, au bistrot (ce sont les vacances)un conseiller municipal PS, prof d’ histoire me disait son effarement devant les réflexions « extrémistes » de ses élèves.
Que leur répond t-il?
L’ école est-elle un » sanctuaire »?
Rien que l’ emploi de ce mot devrait faire réfléchir toutes les Dafnôse quand à notre » formation chez les curés »!
u.
à propos de » vague politico religieuse » , les fanatiques intégristes aussi bien catho qu’islamistes, très peu pour moi, de plus la politique est un domaine à gerber – et l’Europe a eu sa dose d’atrocités commises au nom de valeurs nationalistes
son chemin, tranquille, loin de toutes ces billevesées. Tenez, je le vois par ce temps très doux, s’arrêter sous un arbre ou assis sur un banc
Juste avant son enterrement.
Aaaaargh! mais qu’a-t-il fait pour mériter çaaaaaaaaaaaa ?????????
les classes DE L’ ECOLE de la République…
« sanctuaire » a pris un sens plus large cf lle Robert
Arthur, tu manques d’humour : tu ne vas pas fêter avec nous la rigolade festive du Centenaire de celle de 14 ?
je suis certain qu’on va se marrer comme des bossus… J’entends déjà ça, la glaire humaniste : « Gnagnagnana… »
Lâcheeeuuur !
Réfléchir par soi-même, c’est un acte personnel ! Rien à voir avec l’école publique…
..avec l’éducation donc l’école en général..quant à cette grandes diversité de source que tu cites jicé..elles sont toutes bien sponsorizées
au fait lassouline..pour l’école camondo..update tes infos
« à propos de » vague politico religieuse » , les fanatiques intégristes aussi bien catho qu’islamistes, très peu pour moi, »
Mais bien sûr, Arthur, vous voudriez bien oublier tout ça, c’est humain.
La religion et l’église, on a déjà donné, hein.
Ce n’est pas vous, c’est eux qui vous désignent.
Vous serez forcé un jour de réagir.
Ça commence par l’oreille (propos), puis par la vue (l’espace urbain), enfin le toucher.
Question sur ce futur toucher: castagne ou caresse?
Laissons la question ouverte.
Sens par extension, Marcel.
De sanctus…
D’ un lieu Saint vous en avez fait un lieu sain.
Quel hygiénisme quasi totalitaire ce détour par la sécularisation!
« au fait lassouline..pour l’école camondo..update tes infos » (b.)
Je vais compléter ta pensée:
Ça fait un jour que je fais des recherches sur ce point, lassouline.
En tous cas les brasseries là ça tournait, einmal !
l’october fess est un succés.. »dans la bière, grosse malheur » disait déjà cicéron
Ça fait un jour que je fais des recherches sur ce point, lassouline
non j’viens juss daller sul’site de l’école..jme suis pas cassé l’élastique du calçon tu vois zouzou
« et l’Europe a eu sa dose d’atrocités commises au nom de valeurs nationalistes »
Bah, Arthur, c’est peut-être l’effet d’un mauvais pseudo.
À trop lire Schopenhauer et Gobineau…
tiens mon zouzou..je viens dlire des commentaires ricains sur le bigophone à merkeul..chte traduit « tfaçon les allemands on leur a mis la paté et les français dans 2 jours ils surrendeurent »..j’ai cru que c’était signé « u »..u comme urkurkurkurk
Comme si la pensée se portait propre sur soi. Oh que c’est péché les strates successives de notre histoire!
N’ est pas curé celui que l’on croit!
quand je lis un commentaire de boudegras mon écran devient tout rouge et ça sent la vinasse, normal ?
les français dans 2 jours ils surrendeurent »
Cheese-eating surrender monkeys, c’est ça?
Ils ont oubliés nos pères, ces héros.
« quand je lis un commentaire de boudegras mon écran devient tout rouge et ça sent la vinasse, normal ? »
C’est parfaitement normal.
Ce qui l’est moins, c’est de gerber son pinard sur son ordi, au lieu de se protéger par des moyens pas difficile: vomiting bag, barboteuse…
Ils ont oubliés nos pères, ces héros.
sapré zouzou..
u. dit: 25 octobre 2013 à 15 h 58 min
ça sent la vinasse
Et quand on n’aura plus que des machines vocales ça voudra plus démarrer du tout faudra taper dedans avec application et une certaine férocité…
u.
vous dramatisez vous écoutez trop les politicards qui ont intérêt à faire peur
(et c’est pas méprisant ce que vous dites pour tous ceux qui ici en ont marre de n’être perçus que par leur religion d’origine?!
et qui veulent qu’on leur fiche la paix
« elles sont toutes bien sponsorizées »
Maudit Bougboug !
parce que tu ne crois pas qu’après avoir été sponsorisée par les gardiens de zoo marxistes de Moscou, l’E.N. , elle est pas sponsorisée par les fafs de gauche, les voyous trotzkiss, les mélenchoniens fous et les féministeuses casse-burnes ?!!! Tu délires, ou quoi ?
Bises à tes proches et bon week-end !
Arthur, il se s’agit pas d’une religion, mais, au sein de cette religion de groupes idéologiques.
Leur but est explicite, il suffit de les lire.
Vont-ils réussir?
Je crois que non, mais j’ai peut-être tort.
n’empêche que les fleurs déversées par tombereaux entiers par Christiane à l’ami Popaul, ça finit par faire suspect cette dévotion perpétuelle
Curiosa,
Vous pensez à une liaison platonique torride ? vous avez l’esprit mal placé….!
la surface d’un confettis !
Et alors encalaminé faut pas, ça prouve qu’on est sorti de la zone rouge donc le moteur aime pas ça y a qu’à voir le cycle Beau de Rochas une véritable asphyxie ! Il faut vraiment, ami entends-tu, se réfugier placidement vers le haut de cette zone salvatrice…
Dernière nouvelles du parc d’Attractions Solferinoland : il semble que pour sauver le brave soldat Harlem, on sacrifie le harki normalien, fourbe, méchant et autoritaire …
Ô tempora, ô mauresque !
Curiosa dit: 25 octobre 2013 à 16 h 16 min
par tombereaux entiers
Oui vaut mieux des remorques Erka c’est pliant pour rentrer…
christiane dit: 25 octobre 2013 à 14 h 29 min
… genre mec à problèmes qui aime jouer les travestis
En somme, Daaphnée, c’est Chouchou : écorche pareillement la langue française, mais bcp moins drôle.
La rène de l’ipocalypse, j’t’y jure dit: 25 octobre 2013 à 16 h 35 min
écorche pareillement la langue française
La littérature est une écorchure qui a réussi…
avouez, JC, qu’on peut se pose des questions comme la vôtre, Paul par ci Paul par là, j’en suis toute émoustillée wouh
C’est vrai que, Daaphnée, c’est le maillot faible de ce blog.
« Pour certains commentateurs, Harlem Désir aurait volontairement commis ce faux pas : « Mieux vaut être viré pour insubordination que pour incompétence ».
C’est plus viril.
Puis, Daaphnée, ses commentaires, c’est… très personnalisé.
Heureusement que, Daaphnée, derrière son écran placenta, on peut pas voir sa tête parce que sinon on lui demanderait : « t’es en travaux ? »
Belle réponse, Sergio …
Et si vous ajoutez qu’en même temps, la littérature ne poursuit d’autre fin qu’elle-même …
Enfin, il y aura bien toujours quelques prix littéraires pour jeter quelques miettes à ces corneilles .
Oh !
« christiane dit: 25 octobre 2013 à 14 h 29 min »
Disparue !
Virée comme une malpropre !
Pauvre femme, quand même. pfff ..
« Pour certains commentateurs, Harlem Désir aurait volontairement commis ce faux pas : « Mieux vaut être viré pour insubordination que pour incompétence ».
C’est plus viril
Si on fait l’état des lieux:
-UMP, par terre
-Borloo-Bayrou, ça lambine
-Au PS, démissions en chaine (?),
Marine doit sentir pousser ses petites canines ..
Christiane virée.
Daaphnée maintenue.
Manifestement les modérateurs sont analphabètes.
C’est bien ce que je me disais à la lecture de votre pauvre prose trollesque.
Au-delà de deux lignes un commentaire daaphnéen est illisible.
Bonheur, elle ne s’aventure que très rarement à cet exploit personnel.
Allez, allez, vous nous lassez et si j’épiloguais sur le sujet, j’en serais morte d’ennui avant d’avoir fini.
Alors votre petit trollisme revanchard ..
Baste ! Epargnez-vous le ridicule de venir vous répéter.
Daaphnée, c’est la con-ique du blog.
Jeu de cache-cache sous un pseudo féminin pour draguer des mecs, flirt avec l’inter-dit, protection pour se livrer en secret à une folie un peu perverse, un peu masturbatoire… en laissant les femmes -détestées- à l’écart ou en les rabaissant comme dans le bus andin à un rôle dégradant. Vous jouissez de votre propre néant, chèr(e) daphné(e)…
18H11 un jeu de mot lacanien?
« … si j’épiloguais sur le sujet, j’en serais morte d’ennui avant d’avoir fini. »
Exemple de prose daaphnéïque qui ne signifie STRICTEMENT RIEN.
Ma pauvre Christiane !
Vous voilà bien gagnée par l’aigreur.
Quelle hargne !
Voyez-vous, chez les libertins du XVIII° – allez, que cela vous instruise un peu .. – on écrit avec une certaine inquiétude. Il ne faut ni déplaire, pire ennuyer .
Vous, au moins, sans possédez une telle plume et nous ne sommes pas au XVIII°, vous ennuyez tellement et sans risque aucun qu’il n’y a bien qu’à moi (et quelques autres ..) que vous pourrez, au pire, déplaire .
Je vous en plaindrais, presque.
« Vous, au moins, sans possédez une telle plume… »
Aïïïe ! C’est Vaugelas que Daaphnée assassine.
Un meurtre anachronique, pourquoi?
Pfff ! Vous manquez de vocabulaire, je vous laisse une coquille.
C’est déjà beaucoup.
De grâce, laissez Vaugelas reposer en paix !
et si , « haine de soi » mise à part,il y avait un rapport entre
ce qui est dit « xénophilie »
l’homophobie que C.Danzig reconnaît dans le mag litt et dn le même numéro spécial coq, notre amour (ou amateurisme) de ce que nous appelons concept?
bonsoir
Vous auriez pu introduire une faute certifiée XVIIIème avec cette élégance que chacun vous connait pour remplir la coquille!
Que voulez-vous, l’inspiration finit par manquer . On s’ennuie, on s’ennuie !
Tiens, je vous laisse le flambeau ..
dernières phrases de C.Simon dans le livre de sa biographe –et amie : ce qu’elle ne cache pas
Virginia Woolf : une emmerdeuse (sic!)
et « les hommes »: « vaches »
Daaphnée dit: 25 octobre 2013 à 18 h 45 min
De grâce, laissez Vaugelas reposer en paix !
Quel toupet ! Et qui c’est qui le fait se retourner dans sa tombe ?
La rène de l’ipocalypse j’t’y jure est TRES con.
Il ne manquerait plus que ML revienne pour nous parler de l’identité juive et ce serait le bouquet !
Quel boulet! dit: 25 octobre 2013 à 18 h 56 min
La rène de l’ipocalypse j’t’y jure est TRES con.
Youpi! dit: 25 octobre 2013 à 19 h 09 min
Et qui c’est qui C’est kiki!
Les flammèches du « flambeau » !
Daaphnée, vous semblez avoir beaucoup de temps à perdre !?
Phaanée est une nullarde prétentieuse et ennuyeuse.
mais ce qui est impossible pour la RdL
« D’un côté, on pousse jusqu’au bout la logique de ce que permet la technologie et de la place qu’elle a dans la vie des élèves ;
mais ce renversement produit paradoxalement une disparation de la technologie puisqu’elle sort totalement de la classe, qui devient le lieu de la discussion, des questions. »
sur le monde
Géographie sans peine pour journalistes : je viens de voir (infos télé) le nom ‘Sicile’ écrit sur l’île de Sardaigne !
Bon, c’est vrai que l’on ne compte que soixante et quelques millions de Français pour quelques milliards d’étrangers, mais est-ce une bonne raison pour patauger dans les eaux du Mare Nostrum comme si c’était de l’eau-de-vie ?
Coucou Lévidence! ça boum?
Géographie sans peine pour journalistes : je viens de voir (infos télé) le nom ‘Sicile’ écrit sur l’île de Sardaigne !
Bon, c’est vrai que l’on ne compte que soixante millions de Français pour quelques milliards d’étrangers, mais est-ce une bonne raison pour patauger dans les eaux du Mare Nostrum comme si c’était de l’eau-de-vie ?
C’est un jardin,
Extraordinaire,
Il y a des canards qui parlent anglais,
J’ leur donne du pain,
Ils remuent leurs derrières,
En m’disant «Thank you,
very much Monsieur Trenet»
On y voit,
Aussi des statues,
Qui se tiennent tranquilles,
Tout le jour dit-on,
Mais moi je sais,
Que dès la nuit venue,
Elles s’en vont danser sur le gazon,
Papa c’est un jardin,
Extraordinaire,
Il y’a des oiseaux,
Qui tiennent un buffet,
Ils vendent du grain ,
Des p’tits morceaux d’gruyère,
Comme clients ils ont :
Monsieur le maire et l’sous-prefet.
Il fallait bien trouver,
Dans cette grande ville maussade,
Où les touristes s’ennuient,
Au font d’leurs autocars,
Il fallait bien trouver,
Un lieu pour la promenade,
J’avoue qu’ce samedi là,
J’suis entré par hasard,
Détection d’un doublon : il semble que vous avez déjà envoyé ce commentaire !
Il y a un drôle bruit de ferraille…
Douce France
24/10 23H49 et avec un petit chocolat
Toutes les personnes ayant un jour mangé du chocolat reconnaîtront sans peine l’acuité de la perception extra sensorielle.
Why Men Should Always Carry Chocolate!
pour parler de xenophilie, il faudrait que les touristes qui traversent la France aient aussi l’impression d’une xenophilie « consubstancielle » au « génie » français » : or ce n’est pas le cas
ou encore lorsque les français sont eux-mêmes touristes dans des pays étrangers, qu’ils soient perçus comme « xénophiles » par leurs hôtes
remarques qui n’ôtent rien à l’intérêt du dictionnaire présenté par P.Assouline
et puis quand même une date d’entrée du terme xénophilie dand un dico
Att. ds Ac. 1935. − 1reattest. 1907 (Nouv. Lar. ill. Suppl.); de xénophile,
excuses :dans un dico
21hoo Comme vous êtes si définitif alors même qu’aucun point ne se pose pour fermer votre phrase, vouliez-vous ajouter quelques éléments de langage pour achever de développer votre activité?
autrement dit , c’est sur la remarque de P.Assouline que l’on pourrait s’arrêter longuement : il n’est pas possible que ce soit seulement parce qu’une vogue de dictionnaire peut appeler ce genre de présentations que ce dico a été accueilli
création du besoin.
transformation en produit
diffusion de l’idée
Blog Blooming Youpi*°°°
J’ai lu récemment à propos de xénophilia.
C’était juste différent de cette alternative trop facile: xénophobie ou xénophilie.
A moins que ce ne soit plus sûrement philoxénia.
Depuis un petit bout de temps je m’interroge sur le choix de votre pseudonyme, des journées entières dans les arbres. Que faut-il comprendre exactement ? J’aime bien les cachotteries, mais à condition qu’elles ne durent pas trop longtemps. Je pense qu’il est grand temps que vous vous expliquiez devant tous.
Si vous faites partie d’un mouvement, d’un courant, d’une tendance, sachez qu’avant d’entrer ici on dépose tout au vestiaire. C’est un blog littéraire et on y parle littérature au sens pur du terme.
Moi par exemple, je ne suis pas créationniste contrairement à Philippe Régniez et à renato, je crois. Eh bien ce n’est pas pour autant une revendication dont je viens rebattre les oreilles à tout le monde ici.
Donc si vous vous comportez en évolutionniste plus ou moins bien déguisé, cela ne va pas aller longtemps.
Vous avez l’impression de pouvoir exister en dehors de ce blog mais en réalité ce n’est pas vrai. Vous vous êtes fait piéger comme bien d’autres ici. Comme presque tous.
Bon, D. j’ai tout posé chez l’ouvreuse, celle qui distribue des confiseries « c’est beau la vie » à l’entrée des salles obscures.
Elle s’appelle Sophie; j’vous raconte pas ses malheurs !
«J’ai par exemple été frappé, depuis quelques années, de la popularité des traductions des œuvres de Roland Barthes en Chine, au sein, il faut le reconnaître, d’une minorité intellectuelle. A en juger par les tirages de certains de ses livres, dont des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers, se sont vendus, il se pourrait que certains de ses titres comme les Fragments d’un discours amoureux se soient vendus à davantage d’exemplaires en chinois qu’en français et en anglais réunis».
En Angleterre, parmi les livres les plus vendus figurent en revanche les trois tomes de Fifty Shades et ceux des Hunger Games. Idem pour les Etats-Unis. A croire que la démocratie nuit fortement au bon goût littéraire.«J’ai par exemple été frappé, depuis quelques années, de la popularité des traductions des œuvres de Roland Barthes en Chine, au sein, il faut le reconnaître, d’une minorité intellectuelle. A en juger par les tirages de certains de ses livres, dont des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers, se sont vendus, il se pourrait que certains de ses titres comme les Fragments d’un discours amoureux se soient vendus à davantage d’exemplaires en chinois qu’en français et en anglais réunis».
En Angleterre, parmi les livres les plus vendus figurent en revanche les trois tomes de Fifty Shades et ceux des Hunger Games. Idem pour les Etats-Unis. A croire que la démocratie nuit fortement au bon goût littéraire.«J’ai par exemple été frappé, depuis quelques années, de la popularité des traductions des œuvres de Roland Barthes en Chine, au sein, il faut le reconnaître, d’une minorité intellectuelle. A en juger par les tirages de certains de ses livres, dont des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers, se sont vendus, il se pourrait que certains de ses titres comme les Fragments d’un discours amoureux se soient vendus à davantage d’exemplaires en chinois qu’en français et en anglais réunis».
En Angleterre, parmi les livres les plus vendus figurent en revanche les trois tomes de Fifty Shades et ceux des Hunger Games. Idem pour les Etats-Unis. A croire que la démocratie nuit fortement au bon goût littéraire.«J’ai par exemple été frappé, depuis quelques années, de la popularité des traductions des œuvres de Roland Barthes en Chine, au sein, il faut le reconnaître, d’une minorité intellectuelle. A en juger par les tirages de certains de ses livres, dont des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers, se sont vendus, il se pourrait que certains de ses titres comme les Fragments d’un discours amoureux se soient vendus à davantage d’exemplaires en chinois qu’en français et en anglais réunis».
En Angleterre, parmi les livres les plus vendus figurent en revanche les trois tomes de Fifty Shades et ceux des Hunger Games. Idem pour les Etats-Unis. A croire que la démocratie nuit fortement au bon goût littéraire.«J’ai par exemple été frappé, depuis quelques années, de la popularité des traductions des œuvres de Roland Barthes en Chine, au sein, il faut le reconnaître, d’une minorité intellectuelle. A en juger par les tirages de certains de ses livres, dont des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers, se sont vendus, il se pourrait que certains de ses titres comme les Fragments d’un discours amoureux se soient vendus à davantage d’exemplaires en chinois qu’en français et en anglais réunis».
En Angleterre, parmi les livres les plus vendus figurent en revanche les trois tomes de Fifty Shades et ceux des Hunger Games. Idem pour les Etats-Unis. A croire que la démocratie nuit fortement au bon goût littéraire.«J’ai par exemple été frappé, depuis quelques années, de la popularité des traductions des œuvres de Roland Barthes en Chine, au sein, il faut le reconnaître, d’une minorité intellectuelle. A en juger par les tirages de certains de ses livres, dont des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers, se sont vendus, il se pourrait que certains de ses titres comme les Fragments d’un discours amoureux se soient vendus à davantage d’exemplaires en chinois qu’en français et en anglais réunis».
En Angleterre, parmi les livres les plus vendus figurent en revanche les trois tomes de Fifty Shades et ceux des Hunger Games. Idem pour les Etats-Unis. A croire que la démocratie nuit fortement au bon goût littéraire.
slate
des géologistes jettent et des théologistes jettent,
des archéologues jettent et des voyous d’archéologie jettent
les reins jettent et des vésicules biliaires jettent,
Des pierres pour la tête et des pierres pour le front et le cœur dans une pierre,
pierres modelées en bouches hurlantes
et des pierres s’encastrant dans vos yeux
comme une paire de lunettes,
le passé jette des pierres au futur,
et tout cela tombe dans le présent.
Des pierres en larmes et des graviers riants,
mais Dieu dans la bible jetait des pierres,
même la révélation et la vérité sont jetées
et se figent dans la nature bestiale du plateau de la justice,
et Hérode jetait des pierres et ce qui en sortit fut un temple.
Ô, le poème de la tristesse des pierres
Ô, le poème jeté sur les pierres
Ô, le poème sortit des pierres jetées.
Y a t-il là sur cette terre
une pierre qui ne fut jamais jetée
et jamais construite et jamais retournée
et jamais hurlée hors d’un mur et jamais écartée par les bâtisseurs
yehouda Amihaï
http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/amihai/amihai.html
bérénice dit: 25 octobre 2013 à 21 h 27 min
création du besoin.
transformation en produit
diffusion de l’idée
ne parlez pas d’amour -> j’en rougis
des journées entières dans les arbres dit: 25 octobre 2013 à 0 h 46 min
..
celle que vous comprenez mieux, je pense
toujours aussi glaire, des journées (mais pensez donc ce qui vous convient..)
…
…le droit de dire ce que l’on pense,…
…
…Ah,!,…c’est bien connu,…
…
…le droit de » Foutre le Bordel « ,…
…
…mais, c’est bien sûr,…et » con » n’en parle plus,…
…Oui,!,…au suivant,…elle est bien bonne à tout faire l’€urope des origines,…en inquartation,…
…
…ce mariage à l’€uro,…et avec,…châteaux , domaines & industries,…
…Non,…voit tu,…tout dépens du personnel,…les bonnes à tout faire, bien dresser aux Ô ,…encore sur la peau à Stallag 13,…
…Oui,…bien attachés aux corporatismes des sectes aux diversions du pouvoir en plus-valu,…les aux strates sinon rien,…de génies,…en gamelles d’A.D.N.,…etc,…
…
Steve Hart de Johnathan et Jennifer dit: 25 octobre 2013 à 23 h 40 min
J’ai déjà dit ici ce que je pensais: je n’aime pas que l’on s’accroche à mes lacets, kicking. Le fait est que les berniques je les aime sur leur rochers :
http://hortimail.over-blog.com/article-bernique-brennig-patelle-115766850.html
christiane dit: 25 octobre 2013 à 18 h 14 min
Jeu de cache-cache sous un pseudo féminin pour draguer des mecs, flirt avec l’inter-dit, protection pour se livrer en secret à une folie un peu perverse, un peu masturbatoire… en laissant les femmes -détestées- à l’écart ou en les rabaissant comme dans le bus andin à un rôle dégradant. Vous jouissez de votre propre néant, chèr(e) daphné(e)…
oh! ça c’est bien envoyé !
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