Une pierre dans le jardin à la française de l’identité nationale
On dira que venant après un éloge des livres d’Alain Finkielkraut et de Jean Clair, nostalgiques d’un ancien régime français de la sensibilité, du savoir-vivre, du savoir-écrire et de la conversation, une apologie de ces étrangers qui ont tant donné à la France ne peut relever que du calcul, mais qu’importe. Elle obéit au calendrier des nouveautés, une lecture succédant à une autre, et basta ! Le Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France (992 pages, 30 euros, Bouquins/Laffont) vient à point, et pas seulement parce que « l’étranger » sera certainement au centre de la campagne électorale pour les municipales de 2014 qui semble avoir déjà commencé. Cet ouvrage collectif, publié sous la direction de Pascal Ory avec la collaboration de Marie-Claude Blanc-Chaléard, reflète leur commun tropisme : tous deux historiens, ils sont l’un spécialiste de l’identité nationale, l’autre de l’immigration. Ils ont concocté et collecté mille deux cent notices d’inégale importance, du photographe iranien Abbas au cinéaste Andrzej Zulawski, autour de l’apport de destins individuels de gens venus de partout, à la destinée collective de ce pays. Selon la loi du genre, cela ne se lit pas en continu mais se consulte. Et se critique en râlant.
Ce livre était nécessaire car, aussi étrange que cela puisse paraître, il n’existait pas, en tout cas sous cette forme et ce double mouvement : diversité des origines, convergence vers un seul territoire. Un pays qui fut terre d’immigration, notamment au XXème siècle, sans que cela fût éclatant car il s’empressa d’intégrer les nouveaux arrivants au nom du grand principe unitaire héritée de 1789 (cette date sert d’ailleurs de point de départ aux notices)
On trouve parfois des bizarreries. Takis Candilis, producteur de télévision (TF1 puis Lagardère) né en 1954 à Paris, a droit à une colonne, alors que les Camondo, famille à laquelle les musées français doivent tant, sont absents. Plus chanceux, les Rothschild ont leur colonne mais il n’y est pas fait non plus allusion au fait qu’aucune famille française ou étrangère n’a donné autant d’œuvres d’art qu’eux aux musées de ce pays. On est pareillement étonné par la présence d’une notice consacrée à Ivan Illich, né à Vienne et mort à Brême. On se demande ce qu’il fait là. On lit donc, dans l’espoir d’en découvrir le motif. En vain : la seule allusion à la dimension française du fameux philosophe est l’écho que la revue Esprit a donné à sa pensée dans les années 70. Mais est-ce bien suffisant ? On y trouve même Julio Iglesias au motif qu’il lui est arrivé d’enregistrer des chansons en français (mais dans bien d’autres langues aussi) et que la France a beaucoup fait pour sa renommée. Ce qui ne dit pas en quoi il a pu apporter quoi que ce soit au génie français. C’est ouvrir si largement le compas que cela risque de dénaturer le projet. Aussi faut-il en revenir à la préface de Pascal Ory pour savoir au juste à partir de quand et jusqu’où on peut estimer qu’un artiste, un créateur, un scientifique, un intellectuel ou un chercheur étrangers ont « fait la France ».
Et d’abord qu’est-ce qu’un étranger ? Le critère juridique étant jugé le moins discutable, c’est celui-ci qui a été retenu : celui est né étranger, que ce soit sur le territoire français ou non. Mais entre les colonies, les protectorats et les outre-mer, ceux qui sont nés avant l’indépendance et les autres, cela se complique tant que j’avoue n’avoir rien compris aux deux pages de « raisons combinées » justifiant la qualité d’étranger accordée à Uderzo, Serge Reggiani, Azouz Begag mais refusée, si l’on peut dire, à Goscinny, Jean Ferrat, Coluche, Drucker, Sarkozy, Balladur, Mohamed Dib, Mouloud Ferraoun… Un tel dictionnaire aurait pu facilement faire mille pages de plus. Tel quel, c’est déjà une pierre dans le jardin à la française de l’identité nationale. Car dès lors que l’on évoque l’incontestable brassage dont la France fut le théâtre, le spectre du métissage est agité et parasite le débat car le mot même fait horreur.
Et qu’entend-on par « ceux qui ont fait la France » ? La part de subjectivité est plus grande encore. Le maître d’œuvre nous assure que « la pratique de la langue française » est là un critère dominant. Si c’est pour acheter le pain chez la boulangère de la rue Git-le-cœur (Paris 5ème), on comprend que James Baldwin et Richard Wright soient dans ce dictionnaire ; mais si c’est pour l’honorer en écrivain, comme Beckett, Cioran ou Ionesco, ils n’ont rien à y faire car ils n’ont jamais cessé d’être des écrivains américains. Paul Celan non plus, qui y figure pourtant, comme eux. Pourquoi Charles Denner y figure et pas Sami Frey alors qu’ils ont exactement les mêmes origines et le même parcours dans la même profession ? Parce que le premier est arrivé à Paris à quatre ans alors que le second y est né ? Absurde.
On mesure là à quel point une telle entreprise est casse-gueule dès lors qu’elle ne se donne pas un parti pris rigoureux et étroit. Joseph de Maistre y côtoie Aldo Maccione. Enfin… Même si nul ne songerait à nier l’apport des Kundera, Sidney Bechet, Godard, Kandinsky, Cossery, Bréguet au patrimoine de notre pays, il est bon que, avec ses inévitables défauts, soit élevé un tel monument à la xénophilie française. Dans un pays qui pratique la repentance et la haine de soi comme un sport national, cela change un peu.
(Musée Nissim de Camondo, photo Passou)
763 Réponses pour Une pierre dans le jardin à la française de l’identité nationale
Ah ben toi ils peuvent t’espionner tant qu’ils veulent, avec le langage que t’as inventé.
La nouvelle est d’importance : l’espion galactique D. est reparti sur Sirius rassurer nos petits hommes verts, affolés par les prévisions françaises pour fin 2013.
Nos amis galactiques, habitués aux manœuvres délicates dans la courbure espace-temps, étaient inquiets d’une volonté des amateurs non-scientifiques du gouvernement français qui espèrent une inversion de la courbe du chômage pour la fin de l’année.
Inversion de courbure ? Danger ! pensaient nos amis lointains, à juste titre.
Sachant l’incompétence notoire de nos élus et leur tragique façon de se gourer en permanence, ils redoutaient une mauvaise manœuvre dans ce travail d’inversion de courbure qui pouvait entrainer la disparition de la Voie Lactée toute entière. Le malheureux Ayrault excellent professeur d’allemand s’improvisant ingénieur : angoisse garantie !
L’agent D. est reparti pour Sirius les calmer : par bonheur, il n’y aura pas d’inversion de la courbure du chômage en France fin 2013. Finalement, il a été remplacé par D+, un clone parfait, qui enquête désormais sur la notion de « chômage », un mot inconnu chez les petits hommes verts dont la réputation d’excellents commerçants à travers le cosmos est bien connue…
23 octobre 2013
Dans les facs, une revue promet la mort aux « gauchistes »
C’est un seize-pages qui est diffusé, ici ou là, sur certains campus, sous le label « Action Française Universitaire » (AFU). Il se présente comme un « hebdo intelligent et violent », référence claire à la phrase de Maurras : « Nous devons être intellectuels et violents ». Le portrait du chantre du nationalisme intégral figure d’ailleurs, lui aussi en « une », à côté, notamment, du nom de Theodore Kaczynski. Ce célèbre terroriste américain, surnommé Unabomber, se réclamait de la lutte contre le progrès technologique.
« Une » de l’Action française universitaire. DR
Mais c’est surtout le titre principal choisi pour son premier numéro qui retient l’attention: « Tuons tous les gauchismes ». Pour la petite histoire, le titre initial était: « Tuons tous les gauchistes », rapidement amendé quand l’auteur a réalisé qu’il tombait sous le coup de la loi. Ce rédacteur perspicace n’est autre que Rodolphe Crevelle, qui déborde d’initiatives ces derniers temps. Ce vieux routier de l’extrême droite radicale au passé sulfureux s’est signalé en 2012 en lançant le Lys Noir, revue d’extrême droite « anarcho-royaliste » et en participant à la liste anti-radars pour les législatives dans l’Hérault. Plus récemment, c’est une autre publication ultra-confidentielle de son cru, la revue l’Arsenal, qui évoquait un projet de putsch militaire durant le mouvement contre le mariage homosexuel (Le Monde du 7 juin).
Par ailleurs, Rodolphe Crevelle s’était lié à Troisième Voie, l’organisation de Serge Ayoub, avant sa dissolution à la suite de la mort de Clément Méric en juin.
Dans son long éditorial, Crevelle prédit que « cela va mal se terminer pour l’oligarchie gauchiste des facs et d’ailleurs ». Avant de demander à ses ouailles d’envoyer aux gauchistes « des photos de Benito [Mussolini] et [sa maîtresse] Clara Petacci pendus à un croc de boucher… Car c’est comme cela qu’ils vont tous finir avec leurs femmes également délicieuses… »
Suit une longue liste de menaces. « C’est ‘à la vie à la mort’ si on les chope (…). Nous trouverons beaucoup d’alliés chez les immigrés pour leur faire la peau (…). Le gauchiste sait que nous avons la majorité des gens et des flics et des militaires avec nous », s’avance encore Crevelle.
Une obsession qui n’est pas nouvelle, puisque, en septembre déjà, le Lys noir titrait : « Faut-il envisager de tuer les gauchistes? »
Deux militantes de l’UNEF agressées
Comme d’habitude avec Crevelle, il y a une manip’. L’AFU dont il se réclame n’a rien à voir avec l’Action française étudiante, émanation de l’Action française (AF). Crevelle veut profiter de la proximité d’appellation pour recruter plus facilement, ce qui ne manquera pas de plaire à la rue Croix-des-petits-Champs, siège historique de l’AF. Ce d’autant plus que l’UNEF vient de déposer plainte contre l’AFU pour « incitation à la haine et à la violence ».
En moins d’une semaine, deux étudiantes parisiennes de l’UNEF (proche du PS) ont été agressées et menacées de façon quasi similaire – « On ne veut pas de vous sur les facs. On connaît ton adresse. Si tu continues, on te viole. On te défoncera, t’es qu’une gauchiste », selon un responsable national du syndicat étudiant. L’une d’elles a reçu des coups de cutter au pied de son domicile. L’UNEF juge que la revue AFU de Crevelle a théorisé ces agressions. Les deux militantes agressées ont déposé plainte, précise-t-on à l’UNEF.
Ah ! si nous n’avions plus nos gauchistes méchants et nos humanistes de l’UNEF gentils, que deviendraient ces sectes d’adversaires amoureux, tellement épris l’un de l’autre !
(suite et fin)
… car droite gauche ou gauche adroite, tous des vrais cons se sentant bon, juste, fort, de droit divin …
Rodolphe Crevelle…
Formidable.
On dirait un personnage de roman de rentrée.
Avec comme titre tendance quelque chose comme « La possibilité d’un art français de la guerre civile ».
Crevelle, ça représente combien de crevures?
—Sauras-tu identifier, en face, le futur Cambadélis?
On ne va pas faire un procès d’intentions….
je trouve qu’il n’y a pas de quoi ironiser, cela devrait plutôt foutre la trouille car il y a déjà des blessées, alors ?
se sentant bon, juste, fort, de droit divin …
c’est vrai merde..on a l’droit de se sentir méchant faible et actif pourri d’une banque de sperme..
gnagnagna, gnaniagnia…
not semblabe not frêre jicé..
http://media.tumblr.com/0119d8b7613251a43b904ae7d18ca7b1/tumblr_inline_mpzqezao6F1qz4rgp.jpg
D. s’y connait en chômage professionnel, il est expert en licenciements causés par une permanente présence privée sur internet.
alors ?
on tchope on en fait dla rillette
il y a déjà des blessées, alors ?
ça fait bien marrer le bouffon et son mentor pour eux c’est un détail, tordant et formidable de la légitime défense face aux affreux gauchos du ps
il parait que c’est sur une ile des bahamas jicé..ou y’a que des cochons..y’a d’autres photos ou tu les voit se dorer sur le sable blanc..tût tdemande ce qu’allah il fout quelquefois..non mais chte jure !
le nettoyage des cocos ? ha ya du boulot jicé..ils sont partout ! dailleurs rénato est sur le coup..un peu qu’il balance
Quoi ! des blessés ? des blessées ? mais c’est la juuungle….
t’entends zouzou..à la nsa ils ont des ouichebloweur!..en plus il jette son sifflet .. non mais chte jure !
Crevelle, c’est un faux, dans la réalité c’est « crève-la », « crève-les ».
Brimborions de nazillons.
Plus de 35 000 foyers fiscaux ont quitté la France en 2011. L’administration révèle le nombre d’expatriés. Bilan : il a fortement augmenté de 2007 à 2011. (Le Point)
—
D’où la nécessité de compenser.
bon les gars..comme ouichebloweur vous faites plutot appeau pour vieilles laies lubriques..vous voyez pas que vous êtes manipulé par « j.ch » ? (non mais j.ch ..chte jure!)
Oui ! oui ! c’est clair, Bloomie !
A MA DROITE : LES VILAINS NAZILLONS !
A MA GAUCHE : LES GENTILS BONS !
…c’est pourtant simple à comprendre …
Certain cranes rasés sont de remarquables dialecticiens.
J’aime bien ce cas (si les informations données en ligne par un fafwatch local, à Toulouse, sont exactes):
Pierre-Marie Bonneau, avocat toulousain, cadre de l’Œuvre Française sur Toulouse.
Il y a été le défenseur de sans-papiers sous le coup d’arrêtés de reconduite à la frontière.
C’est par idéologie que Me Bonneau veut plus d’immigrés en France. Il considère que plus il y aura d’immigrés et de problèmes qui leur soient liés, plus une guerre civile sera inévitable. Elle verra triompher les nationalistes qui accèderont enfin au pouvoir.
Mot codé pour ces lendemains qui chantent: le « Big clash »…
Ça fait rêver.
—Ces sites sont tellement détaillés que plus d’un romancier pourrait sans trop se fatiguer y trouver sa matière…
ha non jicé.. »car droite gauche ou gauche adroite, tous des vrais cons se sentant bon, juste, fort, de droit divin … »
boudegras est-il un congre ? OUIGRE et fameux en plus, jamais de développement sérieux, tout dans la réplique à deux balles qui ne fait rire que lui, et encore, le genre qui fait ploufffffffff
Introspection.
– As-tu eu devant toi, étudiant, des gueules à la Crevelle?
– Yes.
– Tu étais comment?
– Aussi con et violent. Mais je lisais de meilleurs livres.
l’entrisme est une invention de droite zouzou..faut rende a césar
qu’est ce que tu causes bien..si que j’avais été juge à nuremberg..cht’aurai acquitté zouzou
on voit bien de quel côté se penche l’omniprésent et fétide JC… un poste de moussaillon sur le bateau de la Marine
Atroce ! Atroce ! c’est Bagdad, ici ! c’est Kandahar ! c’est Bobigny ! c’est Vence ! c’est l’enfer, des brutes ! des brutes !… les crânes rasés sont là, à nos portes ! Les chevelus trotskystes sont là, dans nos caves, à boire notre Petrus…! Help ! Help !
10 h 08 min
Incroyab’, vous êtes me’veilleux.
keupu a nurembère, les enfants lui jettent des cailloux telment qu’il est bête..un con ordinaire..vdqs
APPEL AU GENOCIDE
Mort aux cons !….
« Les chevelus trotskystes sont là »
Finie la guerre du poil, JC.
C’est le crâne ras pour tout le monde.
Dans le look, quelques différences: sauras-tu les remarquer?
Ces frittages chez nous remontent au 17ème siècle.
La boule à zéro, en latin, ça se disait tabula rasa.
On n’a rien inventé.
« l’omniprésent et fétide JC… »
A partir de quel moment le nauséabond devient fétide?
« vous faites plutot appeau pour vieilles laies lubriques » (b)
On veut des noms et des liens.
Les menaces de mort, attaques et blessures à l’arme blanche par les fascistes, font tant rire les petits malins ces monuments d’intelligence, qui, dès qu’une de leurs idoles blesse et tue, ou menace de tuer, s’empressent de minimiser, de mettre les victimes dans le même sac, de dire les victimes l’ont bien cherché/mérité, elles valent pas mieux, on croirait entendre
Rectification
… les crânes rasés sont là ! Ensemble ! dans ma cave ! les fachos boivent le Petrus ! les gauchos boivent du beaujolpif !
Ah ! on la voit, là, terrifiante la différence politique … Petrus ou Beaujolais !
@incroyable
ils se distraient comme ils peuvent
LECON D’HUMANISME
Leçon 1 : A mort les fascistes de droite !
« elles valent pas mieux, on croirait entendre » (jean)
J’avais laissé ouvertes mes esgourdes, je n’entend rien.
Tu connais le jeu de Martin sur « hören » et « Gehörigkeit »?
Jean, tu moralises.
Tout à trac.
Tu cherches donc à prendre le pouvoir.
jc tu devrais sorir de ton île de temps en temps
10h24
les fascistes t’inspirent
le blanc c’est l’plus con jicé..des preuves ! :
10h24
les fascistes t’inspirent
Que faut-il pour t’inspirer, Gilou?
Une femme?
« Un lézard timide découvert en Amazonie » (Le Monde)
C’était le totem de JC.
Il arrive qu’on commence mollo.
voir un dessin de Philippe Geluck : je connais un type qui est tellement con qu’il ne comprend même pas ce qu’il dit (et écrit, hein, boudegras)
Monsieur Gilou,
Quitter mon île ? Vous devriez changer de thon …
les gens de gauche sont cons mais cons!
GROUPE « AMITIE GAUCHOS-FACHOS » Ile de France
Vous êtes intelligent.
Vous avez votre bac littéraire, votre certificat d’études, rien
Vous habitez chez vos parents.
Vous avez du muscle.
Vous vous sentez inutile ?
Rejoigniez nombreux notre association !
Apprendre à vous connaître, à vous respecter, à vous estimer, à vous foutre sur la gueule.
Samedi soir : boxe en groupe, battes de baseball autorisées
Dimanche matin : messe œcuménique célébrée par l’Abbé Philippot et le Père Mélenchon, suivie d’une bagarre générale, les armes blanches seront affutées par le maitre d’armes, Pierre Laurent.
Pensez peu !
Venez nombreux !
Cotisation 10 euros, réduction aux trolls…
@incroyable
oui, même pas drôle, la bande des trois ivrognes
Peu après que le Japon se soit ouvert, Gilou, Nakae Chômin a écrit ses « Dialogues politiques entre trois ivrognes ».
C’est maintenant accessible en Français.
C’était un sacré blagueur, Chômin.
C’était un sacré blagueur > C’était un sacré blogueur
(Korrektor = SS)
Tiens, U., je viens de regarder très rapidement sur wouikiki et je vois qu’on attribue cette phrase « « Au Japon, il n’a jamais existé de philosophie, les Japonais sont un peuple sans philosophie. » à Nakae Chômin … Aussi qu’il a traduit Rousseau (?)..
Je me demande ce qu’en dirait un fin connaisseur de Confucius. Vous me direz que Confucius était chinois, certes.
Bon, mais tout de même ..
« Au Japon, il n’a jamais existé de philosophie, les Japonais sont un peuple sans philosophie. »
On oublie toujours le préheideggérien Dōgen… (1200-1253) :
http://blogfigures.blogspot.fr/2010/03/dogen.html
pfiou heureusement qu’y a heidegger et dogen et dafnoz pour nous rappeler le poushblog de rénato
un fin connaisseur de Confucius
haaa confucius..lui aussi il en a fait des trucs pour le pays des lois hin zouzou..chus sur que sergio il croit qu’il est auvergnat
Jacques,
je vais découvrir Heimat I et II. Je vous dirai mes impressions.
oui..si ça te chatouille ou ça te gratouille qu’il dirait jicé
Korrektor = SS
c’est trés vrai..moi quand je tape rien qu’un « g » il écrit goering..de son propre chef.. phil quand il tape « p » sur son smartphone ça fait « promenat matmasselle? »..vivement le correcteur nsa qui mettra zieg heil partout..qu’on en finisse
Pauvre garçon, il doit mettre un accent pour lire une voyelle !
Moi, Christiane, je vais découvrir le nouveau multiplexe de la porte d’Aubervilliers (166, bd Mac Donald, 19 arr.), qui ouvre ses portes aujourd’hui, car Paris reste la capitale du cinéma :
« La capitale va passer entre 2000 et 2015 de 369 à 431 écrans. En Octobre 2012, le 20e gagnait un multiplexe baptisé Etoile Lilas. En avril 2013, la capitale retrouvait une salle mythique et rénovée, le Louxor au décor inimitable. Malgré quelques complications, les cinémas d’art et d’essai le Méliès à Montreuil (93) et la Pagode dans le 7e devraient retrouver leurs séances dans les prochains mois. Ce jeudi 24 octobre, UGC inaugure son nouveau multiplexe Ciné Cité 19, dans le 19e arrondissement, donc. Tandis qu’à l’autre bout de la capitale, ce mercredi 23 octobre, le nouveau centre commercial Beaugrenelle accueille également un nouveau multiplexe, de la maison Pathé. »
Comment ça, mon Boug’ préféré, .. le quoi ? Le « poushblog de rénato » ?
Mais non, Renato, n’alimente pas son blog en pédalant, tssssss !
(je sens que vous l’aurez vexé!)
Puisque le rêve d’habitat de Passou semble être le palais Camondo, je ne résiste pas à vous présenter le mien, en piteux état il y avait encore quelques années et restauré en partie par celle qui fut ma mère de substitution à mon arrivée à Paris, et que l’on voit ici à l’image et à l’oeuvre…
Est-ce de l’espionnage, je suis fiché en Chine !?
http://webcatplus.nii.ac.jp/webcatplus/details/creator/1244932.html
Jacques ! Où êtes-vous encore allé vous fourrer ??
Tiens, « coopération bilatérale » entre France et Etats-Unis …
C’est peut-être un nouveau jeu:
– tu me dis tes secrets, je te dis les miens
– on tire à pile ou face, celui qui commence ..
un multiplexe boulevard macdonald..ça tombe bien pour les hamburgers de l’identité nationale.
Tiens, ce sont les ennemis gauchistes de J.C. qui vont être content…
14h23
ces clichés ne peuvent que plaire aux beaufs, aux provinciaux cloîtrés dans leur chaumière
(en plus les verts, avec leurs 2% ..!!)
gilou dit: 24 octobre 2013 à 11 h 08 min
@incroyable
« oui, même pas drôle, la bande des trois ivrognes »
Faut sortir de ton îlot, mon gilou ! A la Closerie de Passou, il n’y a que de grands buveurs…
à 14h30
Au-secours, au-revoir reviens!
Vous voulez dire les beaufs et les provinciaux cloîtrés de gauche?
des veaux comme toi
Lebendig die Abende Kastanie in der Kerze(Chandelle), dem galoches, den Väter, die torgnoles, der bobinards in Deckchen, der Respekt in der Fahne, der Messe hinter not schmißen(flankierten) ‘ Scheck, die ist maitre und der cathé beim Dienstmädchen des Pfarrers, das Glück, Wald(Holz) unter dem Hof im tiefsten Winter, lange Verlobungen, Kühe nicht zerbrechen zu gehen, die in ihren Wiesen, den alten Hospizen in klebrigen Gerüchen verrückt und ganz niedlich sind, mit Schwestern es cornette, Cayenne, von der Krätze, den morpions Wahrheiten, den Familien, die Suppe um sieben Uhr essen, zerstampfe, die Typhus und die Kinderlähmung, die Sous off der Kolonialtruppe, der Peitsche, der Volksstämme Kannibalen, der Karren in Mist, dem clope im Schnabel vor der Schale begossenen Kaffees(Cafés), der Verletzungen(Vergewaltigungen) im Stall, dem Husten in den Krankensälen, die in vierzig Jahren zusammengeschrumpften Arbeiter und die Bauern in dreißig
Ce texte de Jean-Pierre Le Goff relève du simple bon sens.
Il mériterait d’être massivement signé à gauche, pour pousser dehors les poussahs inutiles, de Placé à Duflot, de Désir à Mélanchon.
Au trou!
De toutes manières c’est pas grave, de pas naître noir… Du moment qu’on l’est tous les soirs !
Jean-Pierre Le Goff relève du simple bon sens
pêpêpe..viens pas nous faire du jicé qui fait des sociologues et philosophe des produits parfait d’un système idéal..des parangon du sens bon qu’il faut suivre les noeils fermés!..certes les avis de jicé sont des lumières dans la nuit nouarte..mais gardons notre esprit critique que diable!
Du moment qu’on l’est tous les soirs
et les matins difficile tu maudis ta mère sénégalaise sergio..ha elle a bon dos l’afrique
Placé
encore un ! n’est il pas « notre chinois à nous » dixit un uèmpiss..chais pus l’quel
die Suppe um sieben Uhr essen
le petit français ne mange plus de soupe.. et ça se paie
par celle qui fut ma mère de substitution à mon arrivée à Paris
ma mère..quand baroz substitue, il se gratte pas
Jacques Barozzi dit: 24 octobre 2013 à 13 h 40 min
je suis fiché en Chine
Ils ont des camps aussi, mais on n’a pas les indices de satisfaction ; de toutes manières personne n’en revient…
Est-ce de l’espionnage, je suis fiché en Chine !?
rénato se consume en jalousie comme un soleil noir
..pas de nouvelles, bonnes nouvelles sergio
Possible qu’on y trouve encore quelques Popovs, patron.
– « Pourquoi il est là, Ivan?
– Il avait prétendu que les oreillettes, c’est pas une invention chinoise ».
bouguereau dit: 24 octobre 2013 à 16 h 17 min
..pas de nouvelles, bonnes nouvelles
Faut passer par l’Himalaya normalement ça raccourcit… Ou alors y a l’évasion par le Байкал…
u. dit: 24 octobre 2013 à 16 h 23 min
les oreillettes, c’est pas une invention chinoise
Si mais elles ont voyagé par le transhibernien comme dirait l’immense James. D’ailleurs c’était le vrai casuel de Corto…
Comment s’appelle la vieille dame en toge blanche qui pose pour incarner modestement la Liberté guidant le Peuple ?
Il ne faut vraiment pas avoir peur du ridicule pour faire l’imbécile en ce moment…
« La circoncision est « un acte rituel instauré par la Tradition prophétique, qui est un devoir essentiel des parents envers leurs enfants mâles », rappelle aujourd’hui dans un communiqué le Conseil français du culte musulman. »
L’excision, aussi, bordel …
(ah ! ils sont bons les gars du coin !!!)
bientôt cinq cents commentaires
Ma chambre est située sous le quarante-cinquième degré de latitude, selon les mesures du père Beccaria ; sa direction est du levant au couchant ; elle forme un carré long qui a trente-six pas de tour, en rasant la muraille de bien près. Mon voyage en contiendra cependant davantage car je la traverserai souvent en long et en large ou bien diagonalement, sans suivre de règle ni de méthode. Je ferai même des zigzags, et je parcourrai toutes les lignes possibles en géométrie, si le besoin l’exige. Je n’aime pas les gens qui sont si fort les maîtres de leurs pas et de leurs idées, qui disent : « Aujourd’hui je ferai trois visites j’écrirai quatre lettres, je finirai cet ouvrage que j’ai commencé. » Mon âme est tellement ouverte à toutes sortes d’idées, de goûts et de sentiments ; elle reçoit si avidement tout ce qui se présente !… Et pourquoi refuserait-elle les jouissances qui sont éparses sur le chemin difficile de la vie ? Elles sont si rares, si clairsemées, qu’il faudrait être fou pour ne pas s’arrêter, se détourner même de son chemin, pour cueillir toutes celles qui sont à notre portée. Il n’en est pas de plus attrayante, selon moi, que de suivre ses idées à la piste, comme le chasseur poursuit le gibier, sans affecter de tenir aucune route. Aussi, lorsque je voyage dans ma chambre, je parcours rarement une ligne droite : je vais de ma table vers un tableau qui est placé dans un coin ; de là je pars obliquement pour aller à la porte ; mais, quoique en partant mon intention soit bien de m’y rendre, si je rencontre mon fauteuil en chemin, je ne fais pas de façon, et je m’y arrange tout de suite.
C’est un excellent meuble qu’un fauteuil ; il est surtout de la dernière utilité pour tout homme méditatif. Dans les longues soirées d’hiver, il est quelquefois doux, et toujours prudent de s’y étendre mollement, loin du fracas des assemblées nombreuses. Un bon feu, des livres, des plumes ; que de ressources contre l’ennui ! Et quel plaisir encore d’oublier ses livres et ses plumes pour tisonner son feu, en se livrant à quelque douce méditation, ou en arrangeant quelques rimes pour égayer ses amis ! Les heures glissent alors sur vous, et tombent en silence dans l’éternité, sans vous faire sentir leur triste passage.
renaud,
Ils sont fadas, ces pauvres croyants orientaux et moyens…
« … comme un soleil noir »
Tu ne fais que transférer tes petits problèmes sur les autres… il faut grandit, mon garçon…
@TKT (17.17), Je crois avoir lu ça sous la plume de Xavier de Maistre, le frère du type qui côtoyait Aldo Maccione. Je propose une association d’idées comme une autre sur les processus d’imitation de ces étrangers qui ont fait la France… Xavier se roulait des mécaniques devant les miroirs de sa chambre, Aldo, en son souvenir, a voulu en faire autant devant les caméras des plages… Une hypothèses à vérifier auprès de lui, il est encore là… Peut-être pas si idiot que ça, ce dictionnaire, tous comptes faits…
Circoncision !
Excision !
La bonne question : pourquoi ?
La mauvaise réponse : traçabilité de l’animal…
à force de ressortir indéfiniment ses vieilles idoles, Popol se retrouve bien seul sur son déblog, heureusement que la fidèle cricri veille ; se consolera-t-il avec Christoph Ono-dit-Biot qui vient d’avoir le grand prix 2013 de l’Académie Française des vieux croutons ?
JC
Faut leur demander pourquoi, s’ils se souviennent
(ça existe en Afrique depuis des millénaires)
..mais ta gueule keupu
Ha Biot ça c’est bien c’est comme Vichy plein de bulles… Ca remonte le moral ! On a toujours envie d’inventer des cocktails extraordinaires…
Il n’en est pas de plus attrayante, selon moi, que de suivre ses idées à la piste, comme le chasseur poursuit le gibier, sans affecter de tenir aucune route.
dze journey is dze reward
Ta gueule le petit célinien !
..ceci dit c’est toujours bizarre de prendre ses images dans le fantasme..comme s’il était la chose la mieux partagée..la chasse est un fantasme n’est ce pas ?
rooo rénato l’était posté..
essaie de vivre de ta propre vie rénato..prends des initatives..
Respire bouguereau, respire, tu ne partages tes fantasmes qu’avec toi-même.
forcément rénato..sinon on fait un poushblog
dégage boudegras, le bistrot d’à côté est ouvert
le fantasme avec toulmonde..plus petit commun déno..bref on fantasme pas du tout on fait du markettingue rénato..dla soupe
Écoute bouguereau, ce n’est pas la faute aux autres si ta vie est un désastre. Essaie voir si au bistrot quelqu’un est d’humeur à prêter oreilles à tes exercices de littérateur du dimanche.
rénato et keupu s’aidant..bref terminus charenton
« … terminus charenton »
Quoi, t’es déjà arrivé à destination ?
on s’amuse même si t’es pas joueur rénato..mais le journey vaut pas lreward longtemps..t’es une grosse bête nourri à la croquette..lent lour..allez chte laisse encore 10 metres! cours!
tu fais le poids, boudegras, juste bon le vomi
Dis-moi, bouguereau, c’est quoi « être joueur » ?
holala..un rabateur pétomane et un tireur bigle..
et toi un solitaire bourré la qéquette en bandoulière
Plus on lit bouguereau et plus il se définit comme le « brave gars qui végète dans son pavillon de banlieue chic en cultivant un fantasme pop »… c’est la magie du postmoderne…
Ça sent la soupe choux-carottes! Avec un gros bout de pain blanc, du fromage bleu et un litre de rouge, on mangera français!
Il reste même de la tarte aux pommes. Avec de la crème…
… et les œuvres complètes de Gérard de Villiers sur la tab’ de nuit
là, il accuse le coup, il est parti se plaindre à sa mémé snif snif
ayant beaucoup bagarré avec moi-même à propos de psychisme et fractales , ji pensé pouvoir et devoir raler que le livre de Vincent Debaene-qui n’escamote pas les questions françaises, « l’adieu au voyage » n’ait pas d’index du tout.Ni pour les noms , ni pour les « notions » .
J’informe aussi que alors que j’avais imaginé un blog avec cinq colonnes à la Hune, j’ai renoncé
bonsoir
Les pavillons de banlieue maintenant ils sont en 3D sous Googleearth… Que de chemin parcouru ! D’un autre côté, pour pas trop en parcourir, de chemin, c’est pas mal pour pas se gourer en rentrant bourré le soir… Mais bien sûr il faut un I. quelque chose, avec des piles, tout se transforme…
Etrange cet extrait du Voyage autour de ma chambre, TKT, vous, que l’on a connu si voyageur !
Le dernier Luc Besson, Malavita, coproduction normando-hollywoodienne, c’est nul à chier !
En plus, je n’en ai vu que la moitié, non sous-titrée, car le projecteur est tombé en panne, à l’occasion de l’inauguration du nouveau multiplexe du boulevard Mac Donald !
Pas de doute, on est bien en France…
Ce nouveau dictionnaire ouvre la voie à d’autres entreprises similaires : par exemple un « dictionnaire des Français qui ont défait la France », un « dictionnaire des étrangers qui ont défait la France », un « dictionnaire des Français qui ont défait la France avec l’aide d’étrangers », un « dictionnaire d’étrangers qui ont défait la France avec l’aide de Français » (ce ne devrait pas être le même que le précédent) et, bien entendu, un « dictionnaire des Français qui ont refait les Français », qui devrait prendre rapidement place dans la liste des best-sellers.
J’envisage de m’atteler à une entreprise d’un genre totalement inédit et d’un ton proprement balzacien : « Illusions perdues : dictionnaire des étrangers qui ont surfait la France « .
Jacques Barozzi dit: 24 octobre 2013 à 19 h 22 min
le projecteur est tombé en panne, à l’occasion de l’inauguration du nouveau multiplexe du boulevard Mac Donald !
C’est le problème avec les projos à incandescence, ceux à arc sont plus stables… Il y a un film là-dessus (Wenders ?) dans le Mecklembourg de l’immédiat après-guerre, le héros fait ses tournées tout seul avec son camion et son matos, la lande de la Baltique, etc…
Je proposerais un dictionnaire des étrangers qui ont voulu violer la France avec son assentiment.
C’est toujours impressionnant et hilarant de voir comment ça part en vrille entre l’renato et l’bouguerau, excités par un outsider qui leur fout sa mârde…
On le sent pas venir et ça arrive, c’est d’1 drôle, suffit d’attendre le grand défouloir de la récré du soir… c jubilant.
Bonsoir Jacques. Merci pour ce chemin tracé vers Heimat. quatre heures de pur Bonheur… Il m’a fallu du temps – et je l’avais – pour quitter mes repères, traverser l’écran et m’installer dans ce petit village de Schabbach et dans ces paysages, du temps pour entrer dans le regard et les pensées de Jakob et de la famille Simon, plus de temps encore pour comprendre cette absence de liberté, ces impôts, la misère, la faim de ces années-là. Pas de difficulté, par contre , pour ces gris somptueux et ces éclats de couleur. (En rentrant le métro et ces voyageurs, c’était trop coloré, criard. alors je l’imaginais en gris et je me demandais quels éclats de couleur j’aurais choisis.)
Ce film est très proche pour moi du « Septième sceau » de Bergman. On y joue pas mal avec la mort… On y reçoit aussi des êtres d’une telle innocence, d’une telle pureté. A commencer par Jacob le rêveur, mais pas seulement.
Il y a de la paille, de la terre, de la boue,L’osier des paniers, le bois, le fer rougi sur l’enclume… des herbes. Des intérieurs éclairés à la bougie, si sombres comme dans « Les mangeurs de pomme de terre » de Van Gogh.
Et des rêves, des rêves à fracasser la réalité. Bien sûr les utopies des émigrants. Le Brésil … la douleur aussi des départs sans retour.
Quatre heures denses… Merci, Jacques.
Quand on pense à tous ces étrangers qui ont fait la France et qui ne figurent même pas dans ce dictionnaire, on se dit que les auteurs auraient eu plus vite fait d’écrire un dictionnaire des étrangers qui n’ont pas fait la France.
Y aurait aussi le dictionnaire des étrangers qui ont fait sur la France
19.22 on s’en branle des pannes du multiplex du mcdo bld… jamais content de ses retours de mondanités, qu’à pas y’aller JiBi… j’y veti, moi qui suis en panne à Dangoulême ? j’emm. pas la terre entière avec mes soucis de province, hein, mancrépuc …
Comme les étrangers qui ont fait sur la France sont très nombreux et qu’on risque d’en oublier, on pourrait envisager un recensement moins ambitieux mais plus pointu, du genre « dictionnaire des étrangères fessues qui ont fait sur la France »
Et, pourquoi pas, un « dictionnaire des étrangères fessues qui ont fessé la France »
Christiane, nous étions plus d’une douzaine au départ et plus qu’une demie douzaine à l’arrivée, mais j’étais sûr que vous seriez du dernier carré…
Ah, le bleu des fleurs de colza dans ce double champ panoramique !
Ce nouveau multiplexe est superbe Rubimprêt, je ne regrette pas le voyage, en plus on a tous eu droit à une invitation gratuite sur l’ensemble des UGC, valable jusqu’en 2015 !
Christiane, avez vous lu ce que Sophie Avon en a excellemment dit sur sa République du cinéma voisine ?
Le lien
http://larepubliqueducinema.com/heimat-la-patrie-dedgar-reitz/
C’est quoi le sujet?
Les pierres jetées dans le jardin à la française?
Comme quelqu’un a donné le lien à l’article de JP Le Goff, qui dénonce à bon droit le faux « gauchisme » culturel, voici le son de cloche d’un adversaire, le sociologue E. Fassin, ou son frère.
Ce sont des chercheurs complètement isolés dans leur microcosme idéologique (New York-Paris) qui ne comprennent littéralement plus la société dans laquelle ils vivent.
La sociologie sans société? On y est.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/10/24/triste-droitisation-du-ps_3501774_3232.html
qui ne comprennent littéralement plus la société dans laquelle ils vivent
> qui ne comprennent littéralement plus la société dans laquelle ils vivent de temps en temps!
Merci Jacques. quel délice ce billet de Sophie Avon.
(Un champ de colza « bleu » . Je pensais à du lin… Mais oui, image dont on se souvient de toute beauté.)
C’est quoi le sujet?
Les pierres jetées dans le jardin à la française?
si c’est cosmique..une grosse météorite..on en fait des grandes perspectives..
« dictionnaire des étrangères fessues qui ont fessé la France »
..et bien vas y jean marron..amorce la pompe
On le sent pas venir et ça arrive, c’est d’1 drôle, suffit d’attendre le grand défouloir de la récré du soir… c jubilant
..y’en a toujours pour confisquer les surprofits..mais c’est du boulot dafnoz, c’est du boulot!
le « brave gars qui végète dans son pavillon de banlieue chic en cultivant un fantasme pop »… c’est la magie du postmoderne…
..ha c’est du surgelé chez rénato le soir..on se casse pas..bah mange rénato mange..et bon appétit
Il reste même de la tarte aux pommes.
..j’adore la tarte aux pommes..si si t’es devin
Bonjour les Amis,
ne manquez pas de regarder ce soir sur Antenne 2 « Envoyé Spécial » et le reportage réalisé – et présenté – par la journaliste Elise Menand – un reportage sur les 4 Français empêchés de sortir du Qatar
d’autant plus intéressant à regarder qu’Elise partage la vie de mon fils Thomas…
Le premier reportage à 20h45!
Cesz Français qui font le Quatar?
( Mon Boug’.. C’est Renato qui ne veut pas partager la tarte aux pommes ?
Hein ?
Oh, je vous manquais …
Tiens,
un bouchée pour son adorée (c’est moi),
une bouchée pour son zouzou
une bouchée pour Sergio ..
Pour les autres contrariants, rien du tout.
Juste les pépins.
( D. si vous commencez à reluquer toutes les filles qui passent, je ne donne pas cher de votre vertu ..)
…probablement parce que vous n’êtes pas journalistes et que vos émissions ne passent pas à la télévision, contrairement à celles d’Élise – que je salue de nouveau au passage.
La sociologie sans société? On y est.
Remarquez même avec la société, on se demande ce que les sociologues comprennent véritablement.
Enfin, quand on en lit certains …
On ne peut pas dire qu’ils rendent limpide et lumineux ce qu’ils ont observé.
( D., tsss ! En tête à tête avec votre biscuit ..)
volée (d’escalier) prémonitoire-plongée -du prix de l’Académie !
« par la journaliste Elise Menand » sur Antenne 2
Remarquable et impressionnant reportage!
Merci du renseignement.
« ha c’est du surgelé… »
Tu vois, bouguereau, que tu ne parle que de ton expérience ?
Une pensée terrible me vient. Et si TKT faisait partie de ces quatre Français retenus à Dubaï ?
Bien cher Barack
J’ai été enchantée d’apprendre l’interêt que tu portes à ma personne et à mes activités. Afin d’eviter de peser sur le budget de ton administration que je sais fragile alors que notre situation économique est florissante, j’ai décidé de faire transmettre dorénavant une copie de mes courriers à tous les membres de ton administration et à tous les employés de la NSA dont nous avons une liste tenue très à jour, ainsi que de mettre en copie de tous mes mails ces mêmes personnes. Ne me remercie pas, je suis heureuse de te rendre service. A ma demande les 10000 personnalités et fonctionnaires les plus importants feront de même. Bien à toi.
«Le contraire m’aurait humilié»
des comme ça on n’en fait plus
Daaphnée dit: 24 octobre 2013 à 21 h 00 min
une bouchée
Oui mais faut pas voir ça en topologie, en dimensions réelles, hein ! Comme les poissons qui flottent dans l’eau, là, dans Hemingway… Ou alors dans le grand fleuve Limpopo mais pas les crocos les autres, là, énormes, avec la gueule toute plissée tant ils l’ouvrent avec obstination…
caprices à nounous caprices des neuneuneuneus
la voici face
http://www.lesartsdecoratifs.fr/local/cache-gd2/65c110002f39f08672253e21c3795033.jpg
puisque je ne comprends rien à ce blog .
sans excuse ,
de face et encore
http://3.bp.blogspot.com/-tBAeIWqrYVw/UeP9t3uixJI/AAAAAAABAqI/aIo_cxb_A7k/s640/musee+camondo+paris+habituallychic+406.jpg
« DES NOMS FAMILIERS. Ils sont 90 dans la rubrique « Sciences, mathématiques, médecine, psychanalyse » à apparaître dans ce Dictionnaire bien particulier qui vient de sortir « des étrangers qui ont fait la France » (1). Et les lecteurs de Sciences et Avenir y retrouveront bien des noms qui résonnent à leurs oreilles de manière familière : Marie Curie, Hubert Reeves, Georges Charpak, Benoît Mandelbrot, Alexandre Yersin, Anatole Abragam, Boris Ephrussi, Alexandre Grothendieck, Pierre Deligne, Miroslav Radman etc. Des pionniers (radioactivité, lutte contre la peste et autres maladies…) et des Nobel, prix Abel, médaille d’or du CNRS, conteur d’histoires du cosmos hors pair… Toutes personnalités qui avaient un « statut d’étranger à la naissance » (2). Des vivants et des morts, selon un choix difficile qui fera forcément des jaloux (et des regrets), absents des 1186 articles que compte le Dictionnaire. Nonobstant… quatre ans de travail pour couvrir la période remontant à 1789. »
source: Science et avenir
(merci BB You Pi*°°°)
Et puis il y a Georges aussi, Georges Charpak.
Je viens de faire un beau voyage avec G. Clooney, Blog Blooming You Pi*°°°
« beau » n’est pas le mot. Il n’y a pas de mot, je pense.
Ou alors pascalien.
http://www.penseesdepascal.fr/C1-C2/C1p101-C2p129-Transition7.pdf
caprice à eux caprice des yeux
et avec un petit chocolat ..
http://vitaminl.tv/video/179?fb_action_ids=544729602268121&fb_action_types=og.likes&fb_source=other_multiline
« Il n’y a pas de mot, je pense. »
comme je le disais aux passagers de l’escale yeah!:
c’est bon, c’est beau, c’est black et d’équerre
Steve Hart de Johnathan et Jennifer dit: 25 octobre 2013 à 0 h 23 min
oui, enfin, autrement dit, Steve Hart, vous préférez les palourdes ?
Mais,spécialement pour vous, en référence à une certaine » gravité »; celle que vous comprenez mieux, je pense, et sans lunettes 3D :
http://hortimail.over-blog.com/article-bernique-brennig-patelle-115766850.html
La série télé, dont on ne se lasse pas, qui passe tous les jours sur toutes les chaines ?
« L’irrésistible ascension de François Hollande et sa risible chute ! »
FABLE INEDITE de La Fontaine 1671
Le chien et les chacals
Du coquin que l’on choie, il faut craindre les tours
Et ne point espérer de caresse en retour.
Pour l’avoir ignoré, maints nigauds en pâtirent.
C’est ce dont je désire, lecteur, t’entretenir.
Après dix ans et plus d’homériques batailles,
De méchants pugilats, d’incessantes chamailles,
Un chien estoit bien aise d’avoir signé la paix
Avecque son voisin, chacal fort éclopé
A l’allure fuyante, que l’on montroit du doigt,
Qui n’avoit plus qu’un oeil, chassieux de surcroît,
Et dont l’odeur, partout, de loin le précédoit.
Voulant sceller l’événement
Et le célébrer dignement,
Le chien se donna grande peine
Pour se montrer doux et amène.
Il pria le galeux chez lui,
Le fit entrer, referma l’huis,
L’assit dans un moelleux velours
Et lui tint ce pieux discours :
« Or donc, Seigneur Chacal, vous êtes ici chez vous !
Profitez, dégustez, sachez combien je voue
D’amour à la concorde nouvelle entre nous !
Hélas, que j’ai de torts envers vous et les vôtres,
Et comme je voudrois que le passé fût autre !
Reprenez de ce rôt, goûtez à tous les mets,
Ne laissez un iota de ce que vous aimez ! »
L’interpellé eut très à cour
D’obéir à tant de candeur.
La gueule entière à son affaire,
Il fit de chaque plat désert
Cependant que son hôte affable
Se bornoit à garnir la table.
Puis, tout d’humilité et la mine contrite,
En parfait comédien, en fieffée chattemite,
Il dit : « Mais, j’y songe, mon cher,
Nous voici faisant bonne chère
Quand je sais là, dehors, ma pauvrette famille :
Mes épouses, mes fils, mes neveux et mes filles,
Mes oncles et mes tantes que ronge la disette,
Toute ma parentèle tant nue que maigrelette.
Allons-nous les laisser jeûner jusqu’au matin ? »
« Certes non ! » répliqua, prodigue, le mâtin,
Qui se leva, ouvrit, et devant qui passèrent
Quarante et un chacals parmi les moins sincères.
Sans tarder cliquetèrent les prestes mandibules
Des grands et des menus, même des minuscules.
Ils avoient tant de crocs, de rage et d’appétit,
Ils mangèrent si bien que petit à petit
Les vivres s’étrécirent comme peau de chagrin
Jusqu’à ce qu’à la fin il n’en restât plus rien.
Ce que voyant, l’ingrat bondit :
« Ah ça, compère, je vous prédis
Que si point ne nous nourrissez
Et tout affamés nous laissez
Tandis que vous allez repu,
La trêve entre nous est rompue ! »
Ayant alors, quoi qu’il eût dit,
Retrouvé forces et furie,
Il se jeta sur son mécène,
Et en une attaque soudaine il lui récura la toison,
Aidé de toute sa maison.
Puis, le voyant à demi mort,
De chez lui il le bouta hors.
Et l’infortuné crie encore
« La peste soit de mon cœur d’or ! »
Retenez la leçon, peuples trop accueillants :
À la gent famélique, point ne devez promettre.
Ces êtres arriérés, assassins et pillards
Marchent en rangs serrés sous le vert étendard.
Vous en invitez un, l’emplissez d’ortolans,
Et c’est jusqu’à vos clefs qu’il vous faut lui remettre.
(… bien entendu, il s’agit d’un faux grossier, d’un fort mauvais poète, mais qui plaira aux rustres de la RdL, j’en connais ….)
le bouffon se mord la queue, tourne en rond dans sa cage, n’est pas assez lourd : doit faire encore un effort pour tomber dans le gâtisme total
L’exil fiscal, les paradis fiscaux, faire des « étrangers » des bouc-émissaires, c’est moderne ça au moins (ce que je peux être marrant à faire ch …ah ah ah )
« De même la vertu vaut mieux que l’innocence, et qu’il y a plus de mérite à ensemencer un désert qu’à butiner avec insouciance dans un verger fructueux, de même il est vraiment digne d’une âme d’élite de se purifier e de purifier la prochain par son contact. Comme il n’est de trahison qu’on ne pardonne, il n’est pas de faute dont on ne puisse se faire absoudre, pas d’oubli qu’on ne puisse combler; il est une science d’aimer son prochain et de le trouver aimable, comme il est un savoir bien vivre. Plus un esprit est délicat, plus il découvre de beautés originales; plus une âme est tendre et ouverte à la divine espérance, plus elle trouve dans autrui, quelque souillé qu’il soit, de motifs d’amour: ceci est l’oeuvre de charité, et l’on a vu plus d’une voyageuse désolée et perdue dans les déserts arides du désillusionnement, reconquérir la foi et s’éprendre plus fortement de ce qu’elle avait perdu, avec autant plus de raison qu’elle possède alors la science de diriger sa passion et celle d la personne aimée. »
Carte Bleue.
Quand passe-t-on à l’actualité académicienne pour plonger au pays qui leur ressemble? Je vois toute une série d’archers préparant flèches et carquois pour viser au plus juste dans le mille et pas une nuit de plus, Hélas le cœur va sans raison et le corps désespère, la chair est triste mais il reste des livres
JC à ce train vous risquez d’épuiser votre ressource anti-gouvernementale sans d’ailleurs proposer de plans ou d’anti-plans, trois ans à maintenir votre position, retranché couragueux dans cette citadelle assiégée à feu à sang et cris hurlements chuchotements pour dire en faillite! rendez-vous littéraire à l’heure qui vous ira mais rendez vous!
« vous risquez d’épuiser votre ressource anti-gouvernementale »
Vous plaisantez, Bérénice, la source hilarante des pélucres parisiens coule à gros bouillons d’incompétence… et trois ans sont si vite passés !
On a pas fini de rire, et de toutes nos forces !
J’ai autant d’humour que JC, comment avez vous trouvé mes commentaires (dont je rappelle le contenu hilarant) ?
Ma chambre est située sous le quarante-cinquième degré de latitude, selon les mesures du père Beccaria ; sa direction est du levant au couchant ; elle forme un carré long qui a trente-six pas de tour, en rasant la muraille de bien près. Mon voyage en contiendra cependant davantage car je la traverserai souvent en long et en large ou bien diagonalement, sans suivre de règle ni de méthode. Je ferai même des zigzags, et je parcourrai toutes les lignes possibles en géométrie, si le besoin l’exige. Je n’aime pas les gens qui sont si fort les maîtres de leurs pas et de leurs idées, qui disent : « Aujourd’hui je ferai trois visites j’écrirai quatre lettres, je finirai cet ouvrage que j’ai commencé. » Mon âme est tellement ouverte à toutes sortes d’idées, de goûts et de sentiments ; elle reçoit si avidement tout ce qui se présente !… Et pourquoi refuserait-elle les jouissances qui sont éparses sur le chemin difficile de la vie ? Elles sont si rares, si clairsemées, qu’il faudrait être fou pour ne pas s’arrêter, se détourner même de son chemin, pour cueillir toutes celles qui sont à notre portée. Il n’en est pas de plus attrayante, selon moi, que de suivre ses idées à la piste, comme le chasseur poursuit le gibier, sans affecter de tenir aucune route. Aussi, lorsque je voyage dans ma chambre, je parcours rarement une ligne droite : je vais de ma table vers un tableau qui est placé dans un coin ; de là je pars obliquement pour aller à la porte ; mais, quoique en partant mon intention soit bien de m’y rendre, si je rencontre mon fauteuil en chemin, je ne fais pas de façon, et je m’y arrange tout de suite.
C’est un excellent meuble qu’un fauteuil ; il est surtout de la dernière utilité pour tout homme méditatif. Dans les longues soirées d’hiver, il est quelquefois doux, et toujours prudent de s’y étendre mollement, loin du fracas des assemblées nombreuses. Un bon feu, des livres, des plumes ; que de ressources contre l’ennui ! Et quel plaisir encore d’oublier ses livres et ses plumes pour tisonner son feu, en se livrant à quelque douce méditation, ou en arrangeant quelques rimes pour égayer ses amis ! Les heures glissent alors sur vous, et tombent en silence dans l’éternité, sans vous faire sentir leur triste passage.
Lebendig die Abende Kastanie in der Kerze(Chandelle), dem galoches, den Väter, die torgnoles, der bobinards in Deckchen, der Respekt in der Fahne, der Messe hinter not schmißen(flankierten) ‘ Scheck, die ist maitre und der cathé beim Dienstmädchen des Pfarrers, das Glück, Wald(Holz) unter dem Hof im tiefsten Winter, lange Verlobungen, Kühe nicht zerbrechen zu gehen, die in ihren Wiesen, den alten Hospizen in klebrigen Gerüchen verrückt und ganz niedlich sind, mit Schwestern es cornette, Cayenne, von der Krätze, den morpions Wahrheiten, den Familien, die Suppe um sieben Uhr essen, zerstampfe, die Typhus und die Kinderlähmung, die Sous off der Kolonialtruppe, der Peitsche, der Volksstämme Kannibalen, der Karren in Mist, dem clope im Schnabel vor der Schale begossenen Kaffees(Cafés), der Verletzungen(Vergewaltigungen) im Stall, dem Husten in den Krankensälen, die in vierzig Jahren zusammengeschrumpften Arbeiter und die Bauern in dreißig
D+,
Puisque vous êtes là, et votre connaissance littéraire universelle avec vous, une question : quel est le livre le plus lu dans la Galaxie ?
« sans d’ailleurs proposer de plans ou d’anti-plans, »
ça serait trop ennuyeux (has been)
@On a pas fini de rire, et de toutes nos forces
c’est que, en bon ‘deschiens’, tu es si fort et si marrant devant tes écrans de TV et d’ordinateur à râler et te tenir les côtes
Plans ? anti-plans ? … ça nous changerait des rantanplans du chenil solférinien …
Le glandeur de pq a raison, avec nico tout irait tellement mieux
Mardi 22 octobre, les astronomes ont dépassé la barre des 1.000 planètes découvertes hors du système solaire. Le site qui les référence, Exoplanet.eu, en dénombre désormais 1.010.
http://www.maxisciences.com/exoplan%E8te/1-000-planetes-decouvertes-hors-du-systeme-solaire_art31150.html
D Pas envie de chercher dans les cendres du feu un oracle en dialecte trafiqué, à voisiner seule à seule sur le rivage je m’étonne du pouvoir hypnotique de la mer semblable à celui du feu sauf surement à subir l’incendie ou le naufrage, un pouvoir en siphon qui arrête tout les heures les problèmes, comme il serait bon d’alterner l’un l’autre et ne plus exister comme lavé rincé essoré pour sécher enfin au coin d’un âtre nouvellement designé.
Ceci dit je suis d’accord avec vous en déplorant le coté franchement franc de « l’allemand » de TKT mais il était question d’identité au départ, il prouve ainsi sa double voir triple appartenance ainsi fragmenté il sera difficile de le confondre avec un autre qui serait lui.
Excellent JC, excellent!
De plus ce trait vaguement poilu sur sa lèvre(TK) auquel il tient puisqu’il l’exhibe est rébarbatif, loin de la pub pour rasoir avec cet homme jeune affolant de séduction.
JC n’est vraisemblablement pas d’accord avec cette décision d’accueillir 500 syriens, passer l’hiver…
9:25 est un faux, lui aussi …
9h25 est un faux
Ce titre, « Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France », procède d’une vision de l’Histoire particulièrement stupide : elle amène à considérer la France comme une entité stable à travers le temps, qui correspondrait une introuvable identité concrète et conceptuelle, quelque chose comme la « France éternelle » de l’imbécile De Gaulle. Mais, comme tous les phénomènes ethniques et sociaux, la France est une réalité instable, mouvante, qui se fait et se défait sans cesse. Ainsi, la France de papa crève de sa belle mort à chaque instant, et ce qui, approximativement, occupe la place de la morte porte le nom de France uniquement par commodité et par paresse.
Ohlala, que de lourdeur !
Cet incessant et stupide trollage est vraiment pénible.
chenil solférinien
comme il est courageux le jc ! -il faut qu’il fasse gaffe quand même à force de radoter ses propos orduriers, comparaisons animalières, il frise l’acv
« il est bon que, avec ses inévitables défauts, soit élevé un tel monument à la xénophilie française »
Xénophilie est une relations à deux termes et l’adjectif français peut s’entendre au sens objectif et subjectif.
La xénophilie des français envers les étrangers, ou la xénophilie des étrangers envers la France?
J’imagine deux dictionnaires.
Tome I: L’amour des Français pour la Grèce, l’Allemagne, la Chine…
Tome II: L’amour des Japonais, des Allemands, des Russes pour la France.
Hypothèse pessimiste: dans les deux livres, les entrées sur la génération des vivants se raréfient, comparées aux générations précédentes.
9h37 Rien, j’attends le prochain James Bond, que voulez-vous…
« Ainsi, la France de papa crève de sa belle mort à chaque instant, » (Brown)
Malgré tout la « France » ne relève pas du réel mais des représentations.
Ces représentations transmises par la mémoire et par les institutions politiques et culturelles ont une temporalité qui n’est pas celle de l’expérience vécue. Elles ont une inertie, et une stabilité relative.
La chose française nous précède et nous survivra sur une forme ou une autre.
— J’écris ça négligemment en sirotant mon café, et je suis surpris par la facilité avec laquelle on est envahi par le ton vieux-con dès qu’on se met à parler de « la France ».
C’est un thème qui finkielkrautise, c’est sûr.
À consommer avec une certaine modération.
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