La ténébreuse affaire de Félicien Marceau
Fallait-il être pervers, comme il s’en trouve parmi les membres de l’illustre compagnie, pour encourager l’essayiste Alain Finkielkraut à se présenter au fauteuil de l’écrivain et dramaturge Félicien Marceau (1913-2012) à l’Académie française. Ceux-là doivent déjà savourer le passage le plus délicat de son éloge à venir du prédécesseur, où il aura à évoquer le seul point noir de sa biographie : l’Occupation. S’il nourrit encore des doutes, un petit tour sur la Toile l’aura déjà affranchi quant à l’opinion qu’en ont certains de nos contemporains : « collabo », « fasciste », « nazi » etc Le nouveau titulaire du 21 ème fauteuil n’aura pas la tache facile : il lui faudra naviguer entre les souvenirs impressionnistes de l’auteur des Années courtes (Gallimard, 1968, repris en Folio) et les jugements sans nuances d’adversaires qui n’ont pas désarmé. Ce qui promet d’être acrobatique. Alain Finkielkraut, élu dès le premier tour mais également gratifié de huit croix noires, aura à se débrouiller avec ce passé : « J’espère seulement que les académiciens me laisseront toute latitude et que je ne serai pas confiné au panégyrique” commente-t-il. Il ne tient qu’à lui.
Lorsqu’il s’appelait encore Louis Carette, le jeune belge frayait avec les milieux pacifistes et munichois aux côtés d’Henri de Man au journal L’Avant-Garde, et avec les milieux chrétiens dans la mouvance d’Esprit et d’Emmanuel Mounier. Entré à la radiodiffusion belge au titre de représentant du parti catholique pour y tenir entre autres la chronique dramatique, il en démissionna le 15 mai 1942, à l’en croire, pour de nobles causes : horreur face à la « démence » antisémite de l’occupant, refus d’adhérer à l’ordre des journalistes etc Durant quelques temps, il se consacra alors à une petite maison de (ré)édition, se plongeant avidement dans Dostoïevski et Balzac ; de la lecture d’Une ténébreuse affaire, il tira la leçon, aussitôt appliquée, que dans la mesure où ce ne sont pas des juges mais des adversaires qui siègent dans un procès politique, il est préférable de s’exiler. Ce qu’il fit à la libération de son pays, en s’installant en France.
Le procès de la radio se tint à Bruxelles en 1946. On lui reprocha cinq émissions (quatre de l’été 1940, une de l’été 1941) sur les quelque trois cents qu’il avait signées pendant la guerre. Des interviews de prisonniers de guerre, des reportages sur des ouvriers partant travailler en Allemagne. Le dossier contenait également deux articles et un roman publié en feuilleton dans la presse. Rien de litigieux selon lui. Plutôt une affaire absurde qui avait « un fâcheux air de querelle de village ». Elle lui valut tout de même d’être condamné par contumace à 15 ans de travaux forcés, la dégradation militaire, la déchéance de la nationalité ainsi que des amendes. Dans les attendus du jugement, qu’il a tenu à publier intégralement en annexe de ses souvenirs, le Conseil de guerre lui reprochait sa « trahison » pour des articles jugés hostiles au corps des officiers belges, et son « esprit de lucre » de par son travail à la radio. Il n’eut que six mois pour faire opposition ; or, demander le recours en grâce au Roi eut été reconnaître une valeur au jugement, ce à quoi il se refusait.
Le mémorialiste évoque bien son premier roman Le Pêché de complication (1942) mais sans préciser qu’il était publié par les éditions de la Toison d’or, maison fondée avant-guerre par des neutralistes belges commandités par un trust allemand proche de Ribbentrop, le ministre des affaires étrangères. Il reconnaît bien avoir travaillé pour la radio à Bruxelles mais ne précise pas qu’à Radio Bruxelles, créée par l’administration militaire allemande après le sabordage de l’INR (Institut national de radiodiffusion), il ne s’occupait pas que de théâtre mais dirigeait aussi le service Actualité…
Ayant adopté le pseudonyme de Félicien Marceau, il fut naturalisé français en 1959. S’ensuivit une carrière à succès au théâtre à Paris (L’œuf, La bonne soupe, Le Babour), et en librairie où cet écrivain stylé proche des Hussards, fin traducteur de Pirandello et de Goldoni, fut couronné du prix Renaudot pour Les Elans du cœur (1955), et du prix Goncourt pour Creezy (1969) avant d’être accueilli en 1975 à l’Académie française. Ce qui n’alla pas toujours sans remous : son élection sous la Coupole provoqua la démission du poète et ancien résistant Pierre Emmanuel en signe de protestation ; auparavant en 1971, il avait dû renoncer à un couvert à l’Académie Goncourt alors qu’on le donnait comme élu ; il est vrai que l’ancien réprouvé de la Libération aurait eu à y siéger aux cotés de Françoise Mallet-Joris, fille d’Albert Lilar, ministre belge de la Justice en 1946…
En quelques lignes en liminaire des Années courtes, il souligne :
« Tout ici est vrai. Ou si quelque chose ne l’est pas, c’est erreur de mémoire ».
Et plus loin, au moment d’aborder les années de guerre, il écrit :
« On pourrait croire qu’en passant du roman à un récit où tout est vrai, on quitte l’incertain pour le solide. C’est le contraire. Rien n’est moins sûr que la mémoire ».
Ayant eu autrefois une longue conversation avec lui sur ses relations d’estime réciproque, sinon d’amitié, avec Hergé, je lui avais demandé in fine s’il comptait un jour retourner en Belgique. Il m’avait répondu : « Pas avant qu’on m’y ait présenté des excuses officielles », non sans ajouter dans un sourire : « Autant dire : jamais… »
(« Une ténébreuse affaire » photo Jean-Pierre Bertin-Maghit ; « Félicien Marceau » photos Thérèse Le Prat et Roger Parry)
1 212 Réponses pour La ténébreuse affaire de Félicien Marceau
Giovanni, faut sortir, aller au ciné, par exemple.
http://www.youtube.com/watch?v=xdSmjIvJ8Dc
Dr Lecter, les éloges je suis allergique.
Dr Lecter, je ne connais pas ce traitement; peut-être cela interessera-t-il quelques lecteurs qui en auraient besoin?
« Victrelis est indiqué dans le traitement de l’hépatite C chronique (CHC) due au virus VHC de génotype 1, en association avec le peginterféron alfa et la ribavirine, chez les patients adultes atteints de maladie hépatique compensée, non préalablement traités ou en échec à un précédent traitement. Voir rubriques Mises en garde et précautions d’emploi et Propriétés pharmacodynamiques. »
J’ai eu à lire récemment , cela, qui peu en intereser d’autres:
http://www.sciencesetavenir.fr/a-voir-a-faire/20140423.OBS4876/special-allergies-les-nouveaux-traitements.html
Il ne vous plait pas ce film sur l’Irlande ?
interesser, restons académiques.
Ah, Ukraine !
Face-à-face entre le politologue, conseiller spécial de l’Institut français des relations internationales, Dominique Moïsi, et Raphaël Glucksmann. (Arte)
Je me demande si nous danserons encore joue contre joue ..
Ella et Louis,
https://www.youtube.com/watch?v=GeisCvjwBMo
datura46/47/48 dit: 4 juin 2014 à 21 h 09 min
Le 20h06 c’est un peu comme prendre le train sur le quai N°9 3/4, ?
Mais quand Yan Moix écrit : « La littérature a plus à voir avec l’ek-sistence qu’avec le langage. », il a profondément raison. Ce qui fait justement la valeur des plus grands écrivains (prenons par exemple Marcel Proust), c’est qu’il nous replace dans ce lien intime qui fait sortir de soi, qu’est ce que Heidegger appelle « l’ek-sistence ». On a ce sentiment également en lisant les grands romans de Kafka.
En même temps, le langage est central, sans lui rien n’est possible. C’est le propre de la littérature et de la poésie depuis J. du Bellay d’avoir fait éclore à la conscience de la création verbale que la source de la poésie n’est pas l’inspiration prophétique telle qu’un Ronsard peut encore la concevoir dans ses grands hymnes comme « l’Hymne d’automne » mais le sentiment très puissamment exprimé par du Bellay d’un « lyrisme négatif », où l’échec voire l’impossibilité de parler est la substance même de son dire, comme quand dans un fameux sonnet des regrets, il peut écrire ce vers admirable :
« Et les Muses de moi, comme étranges, s’enfuient. »
Il définit là tout l’art moderne, aussi bien la poétique de Michel Deguy qui a consacré d’ailleurs un livre admirable à du Bellay qu’à la peinture d’un Bram van Velde qui peint, dit-il à Charles Juliet qui s’entretient avec lui, — il « peint l’impossibilité de peindre ».
Ce sont là de grands courants de la création que la Renaissance a initiés et que cette phrase, bien comprise, de Yan Moix, intégre tout en la dépassant dans ce mouvement d’extase dans l' »ek-sistence ». Ce sont des propos très intelligents, je trouve, de Yan Moix.
Le rapprochement qu’il fait par ailleurs entre Ch. Péguy et Heidgger n’est pas du tout dénué de fondement même s’il est toujours discutable comme toute pensée intéressante. N’oublions pas que Heidegger disait lui-même de sa pensée qu’elle était un commentaire de la peinture de Cézanne, qui n’est pas si éloignée de Péguy, au moins dans le temps.
Ailleurs, Yan Moix rapproche Francis Ponge de Heidegger. Ce n’est si mal pensé que ça non plus. Même si Francis Ponge était communiste doublé d’un adepte du priapisme comme aimait — la mauvaise langue…— à le souligner Robbe-Grillet, qui n’aimait guère Francis Ponge. Mais dans le poème « Le cageot » par exemple, on peut y lire de manière assez transparante une allusion évidente à la pensée de Heidegger quand il écrit notamment : « à la voirie jeté ». C’est tout à fait ainsi que Heidegger pense le fait de naître au monde sans un sens qui donne du sens à « l’ek-sistence » humaine.
Donc, au lieu de rejeter comme un préjugé mal pensé, le rapprochement qu’opère Yan Moix de la pensée de Heidegger, il serait plus pertinent et plus honnête intellectuellement d’aller y voir soi-même…
…
…des journées!,…
…le cinéma!,…
…croire ou ne pas croire pourquoi!,…
…être ou ne pas être,…pourquoi faire!,…
… » du cinéma » et complicités de connivence!,…vive nos inventions pour mieux vivre!,…indépendant!,…
…une logique des états d’âmes en leurs contextes!,…
…
…et du haut de notre tour!,…même les appartements sont transparents!,…Non!,…
…je ne veux pas savoir,…
…toujours imaginer le pire!,…pour chevaucher à travers les cases d’échiquiers des autres!,…
…la force du rayonnement conscient!,…etc!,…
…
Dr Lecter, je comprends que le curé qui chante en ouverture de ce film vous écorche les oreilles.
Vous l’avez-vu ?
Sinon, pour l’Irlande on peu causer de Shannon ou de la chaussée des géants; c’était bien le but de votre message de 17H, l’Irlande ?
c’était bien le but de votre message de 17H, l’Irlande ?
il ne me semble pas : mais prenez-le comme cela vous chante : maintenant qu’il est revenu à à 21 h 19 min, le professeur du champ du tangage en RdL
Au Brésil, la lecture adoucit la peine
Les autorités brésiliennes vont proposer aux détenus de quatre prisons fédérales surpeuplées une remise de peine de quatre jours pour chaque livre qu’ils liront. Les prisonniers de ces établissements pénitentiaires dans lesquelles sont incarcérés quelques-uns des plus célèbres criminels du pays pourront étudier une douzaine d’oeuvres littéraires, philosophiques, scientifiques ou classiques et réduire ainsi leur peine de 48 jours maximum par année, a annoncé le gouvernement.
http://www.20minutes.fr/ledirect/960185/bresil-lecture-adoucit-peine
« ek-sistence « , c’est breveté ?
Pas trouvé dans les dicos utilisés dans les établissements d’enseignement secondaire. En 3ème cycle, c’est un peu différent, le langage agrégé.
Une fois de plus on doit constater que le Blog a déraillé… et la faute à JC ! (naturellement)
Le but du jeu (une fois encore) c’est qu’à la faveur de la divine élection d’un Béni à la place d’un « Affreux » de souche (car le premier avoue humblement que lui effet ce truc là n’est pas son fort…), on devait donc se demander comment notre nouveau académicien (AF) s’en allait vivre ce « grand remplacement »
(l’occasion m’est donnée -trop belle-, de le dire; pour en rire même)
Or ce pauvre AF est tellement un second couteau de l’esprit (il a même pas réussi le concours pour la rue d’Ulm; école qui sombre pourtant dans les profondeurs abyssales de la notoriété)que le Blog RDL l’a très vite oublié, et même qu’avec JC en a dû en revenir à BHL(ouf!)pour maintenir le niveau intellectuel s’entend.
En bref, qql’un a cité la polémique de notre AF avec un autre zombie normalien, pour « indignez-vous » (attention, c’est du Platon…). Notre académicien aurait donc répondu plutôt le « courage », et « qu’aurions-nous fait », avec « les SS » nous « qui mimions »,… etc… etc…
Eh bien, notre courageux académicien « enfant de la République » et dénonciateur infatigable des élites françaises (se souche) qui n’auraient cessé de trahir… eut cette curieuse attitude de Mime en effet (pour songer à Marceau), face au défunt « Service Militaire »
Oui, c’est sans prendre le temps de songer à Péguy – et alors que la guerre du Vietnam était vraiment très loin d’ici-, il se fit passer sinon pour fou, du moins pour gravement dérangé, de façon à en être exempté de ce Service National ! (Sollers pas téméraire -pas Céline ou même Aragon pour deux sous-, en avait fait de même, mais là il y avait au moins le risque de se faire tuer en Algérie). Pour la petite histoire, il se fit donc passer (notre AF…) avec l’aide d’un « ami psychiatre » (il est interdit de citer le nom, dieu sait où cela nous mènerait…).
Et c’est sans doute la raison profonde de son entrée dans notre belle école ‘militaire’ : Polytechnique, où il devait pantoufler un grande partie de sa vie.
Sinon franchement comment expliquer au minimum cette première promotion ?
Hein ?
P.Assouline ayant à coeur de préciser « le jeune », que ne nous dit-il son âge à lui, passou, lors de cette mémorable conversation qu’il rappelle ? cela animerait peut-être plus son blog que les imaginations de Moix ? qui sait ?
ouf, la morale est sauve:
« Impossible pour un tueur en série de sortir de prison en enquillant les albums de l’intégrale de Oui-Oui. »
En effet, c’est breveté Heidegger.
Gisela Pankow, la grande spécialiste des psychoses l’emploie également, tiré justement de la pensée de Heidegger, pour définir « l’être-là du schizophrène » (c’est le titre d’ailleurs de l’un de ses ouvrages passionnant à lire sur la schizophrénie.
Dr Lecter, oui, oui, le livre » Hergé », 10 occurences à l’index Marceau.
48 ans, donc, Dr Lecter.
Bonne nuit.
Je reviendrai vous lire lors du débarquement.
le fil à Passou ?
http://www.thisiscolossal.com/2014/05/moving-on-stop-motion-ainslie-henderson/?src=footer
le temps carcéral
M. Delarue, contrôleur général des prisons et de la privation des libertés qui s’exprimait tout à l’heure a quant à lui évoqué la notion de « prison industrielle » ou quelque chose comme ça; qu’il ait fait l’amalgame entre incarcération pénitentiaire et internement psychiatrique ne fut pas le ‘aspect le moins étonnant de son intervention.
http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/20140604.REU5231/alerte-du-controleur-general-sur-les-conditions-de-vie-en-prison.html
l’aspect.
En 68, Finky était soixant-huitard et savait sans doute à peine qui était Péguy. Evidemment qu’il a tout fait pour éviter le service militaire comme tous les jeunes qui avaient partagé la même expérience et les mêmes idées.
Mettre en contradiction le Finky d’alors avec celui d’aujourd’hui est complètement idiot.
où l’on retrouve tintin,( parce que je crois, sauf erreur de mémoire , non vérifié sur internet) que A.F était plutôt babar (dans le monde mais quelle année , je ne sais plus)
http://www.rhuthmos.eu/spip.php?article1205
selon Henri Vincenot. Dans toutes les compagnies de chemin de fer, alors dirigées par des polytechniciens saint-simoniens, qui croyaient que le train allait donner au monde une paix universelle en unifiant le temps et l’espace (alors qu’il a fourni la logistique de la première grande guerre moderne : la guerre de Sécession), il y avait un employé préposé à l’heure. On l’appelait le « Père l’Heure » et même le « Perleur ». Ce personnage, d’une extrême importance, allait tous les matins, muni de son « régulateur », « prendre l’heure » à l’horloge de l’Observatoire de Paris. L’Observatoire, qui héberge maintenant le Bureau des Longitudes et le Bureau International de l’Heure, déterminait jadis le temps universel et le temps civil par des méthodes d’observation astronomique. Cette horloge est toujours accessible et on peut toujours y régler sa montre de visu sur le rythme même du système solaire.
Babarbiturique : tranquillisant assez fort pour endormir un éléphant.
Petit fictionnaire illustré
Read more at http://www.dicocitations.com/citations-mot-babar.php#msTjDHkamUIPylby.99
des journées entières dans les arbres dit: 4 juin 2014 à 20 h 50 min
Dr Lecter, les éloges je suis allergique.
Vos références aussi ?
http://grandmamamouchi.blog.lemonde.fr/2010/05/16/le-petit-fictionnaire-illustre-extraits/
Euh, entre « Heidegger comparait sa pensée a du Cézanne », et « Péguy vivait à l’époque de Cézanne », on ne voit rien, mais rien, qui relie Péguy a Heidegger.
Dans le paragraphe « Le langage est central », on peut s’amuser à changer les noms et titres des poètes cités comme de leurs œuvres, c’est suffisamment général pour paraitre tenir debout. Je dis paraitre , car la Renaissance française et Du Bellay comme déclencheur de la modernité, ça sent son poly.Mais défendu avec conviction, ça peut passer. A un oral…
Qui parlait d’ancêtres et d’érudition de carton, déjà?
MP
PS
Le brillantissime critique du Figaro prend 2 n à Yann
une petite question en passant,
vous n’êtes pas obligé de rire:
« Cela fait longtemps, en effet, que le pétainisme n’est plus le ciment de la France grégaire mais l’alibi dont les maîtres de l’heure ont besoin pour s’apparaître à eux-mêmes comme des parias ou des insurgés. Et il a fallu, en l’occurrence, moins de courage que d’opportunisme pour se joindre à la curée. Quant à ceux qui, très sincèrement et sans s’être donné la peine de lire autre chose que descitations, ont cru faire acte de résistance en dénonçantdans la prose de Renaud Camus le rugissement de la bête immonde, ils confondent l’exercice du devoir de mémoire avec la soif d’une politique absolue vouée à l’éradication duMal. Depuis qu’il s’enchante de penser si bien, ce pays fait peur.
Alain Finkielkraut
Alain Finkielkraut est professeur à l’Ecole polytechnique. «
prophétiques images
une petire question en passant, les références:
L’écrivain Renaud Camus condamné pour provocation à la haine contre les musulmans
petite question, j’espère que vous avez eu de grandes réponses.
Je vous conseille de jouer avec oui-oui.
http://www.mon-ludo.fr/oui-oui/site/enquete-klaxon/
petite question, tout est bien qui finit bien; je ne m’en lasse pas:
« Le philosophe faisait ses adieux à l’École polytechnique à Paris. Des jeunes en ont profité pour lui lancer une tarte à la crème dans la figure. »
Sinon je pense que cette histoire de bourrée auvergnate odieuse est une pure invention dans le but de flinguer BHL. Je ne pense pas un instant qu’il ait pu penser et dire une pareille énormité.
Conseillez vos amis
Entre les commentaires des petits trous du cul incultes qui veulent péter plus haut qu’ils ont le cul perché et la condamnation de Renaud Camus, on a une image assez crade de la France d’aujourd’hui : à mi-chemin entre la dictature type Orweil 1984 et la prise du pouvoir intellectuel des blogs par les trous duc.
Il faudrait l’ajouter à l’article remarquable de Michel Wieviorka sur l’obscénité de notre époque qui dépasse de loin le couple politiques-médias classiques.
« Youth according to old farts »
20h28: reçu de la part d’un qui ne manque pas de courage, le mot « fiotte » qui servirait à désigner une personne qui perd sa consistance au moindre aléa, je ne sais s’il est homologué par l’académie, ce n’est terrible non plus.
Je me disais aussi que Renaud Camus allait faire un tabac chez les agrégés comme ML.
Une petite fiche de lecture ?
Lire la note du blog La République des livres : Renaud Camus tombe le masque
Essais
Michel Wieviorka et le Sujet globalisé
Article paru dans l’édition du 09.01.09
Le sociologue analyse les effets de la mondialisation sur l’individu contemporain
autant le dire d’emblée, le nouveau livre de Michel Wieviorka n’est pas un manuel d’initiation à la sociologie. Ces neuf « leçons » n’en forment en fait qu’une seule. Chapitre après chapitre, les objets fétiches du sociologue français – le racisme, la violence terroriste, la mémoire et l’identité – sont convoqués dans le même but : tirer les leçons scientifiques et politiques des transformations qui affectent, dans nos sociétés « globalisées », la fabrique de l’individu comme Sujet.
Michel Wieviorka, président de l’Association internationale de sociologie, tire une partie de son inspiration de l’appel à mettre fin au « nationalisme méthodologique » des sciences sociales lancé depuis quelques années par Ulrich Beck. Ce livre placé sous l’égide d’une analyse transversale et subjective de la modernité s’en inspire largement, comme il le fait des thèses de Richard Sennett ou Samuel Huntington.
« La subjectivité des acteurs, nous dit en effet Wieviorka , la façon dont ils se construisent mentalement, dont ils produisent leur imaginaire personnel et collectif, doivent beaucoup à leur exposition à la modernité la plus globale, à leur appartenance, mais aussi à leur errance dans l’univers de la globalisation qui les fascine et les rejette tout à la fois. »
C’est autour de ces deux couples conceptuels (appartenance et errance d’un côté ; fascination et rejet de l’autre) qu’est construit ce livre. Tout en réaffirmant la pertinence du modèle d’analyse par lequel Alain Touraine s’est efforcé, depuis les années 1950, de réintroduire la question du « Sujet » dans la sociologie française, Michel Wieviorka propose en effet de l’arpenter par sa « face d’ombre ». L’humanisme tourainien s’en trouve battu en brèche.
« ERE DE VICTIMES »
« En acceptant de ne pas être seulement une sociologie du bien, en s’ouvrant à cette dimension de l’anti-Sujet, la sociologie, propose l’auteur , peut s’éviter une sorte de romantisme qui fait du Sujet un personnage nécessairement sympathique, parfois heureux, généralement malheureux. »
Nous entrons pour Wieviorka dans une « ère de victimes ». Les individus modernes, à l’âge des « différences dans les différences » (nomadisme, diasporas, etc.), ne peuvent plus être « réconciliés » dans un même « mouvement social ». Le furent-ils un jour autrement que par l’effet du modèle d’analyse des mouvements sociaux lui-même ? A cette question l’auteur ne répond pas vraiment. Il préfère anticiper sur les effets de l’errance du Sujet moderne et notamment sur le terrorisme de masse qu’elle prépare. Sombre présage.
Après lecture tardive des interventions de l’après-midi je suis abasourdi par les propos de Bloom et TKT.
Jusqu’où peut aller se nicher l’abjection pour défendre une « opinion » ou des « fantasmes ».
Deux pauvres types (de la part de Bloom c’est une nouveauté pour moi)
datura 23h, votre commentaire renvoie à Hugo Cabret, très belle réalisation en 3D.
citron, datura, djedla.
Heureusement qu’ils(elles) sont là pour nous éviter de lire les deux tiers des commentaires.
Widergänger dit: 4 juin 2014 à 23 h 40 min
la prise du pouvoir intellectuel des blogs par les trous duc.
…
…citron,…à 23 h 51 mn,…
…
…un Bonus en poudre à lessiver!,…
…
…Michel Wieviorka ,…genre Mac Carthysme ,…prussien-tout çà!,…pour réinventer le bénéfice social!,…persécuteurs-victimes !,…
…l’état au service des intérêts privés!,…genre Buch’s C° Trusts!,…
…
…autrement dit aussi!,…garantir l’intérêt privé!,…dans la subjugation publique,…qui nous amène au syndrome de Stokholm !,…
…les collabo’s vite soumis les premiers par intérêts sous les occupants!,…
…
…ou est la nation!,…le patriotisme!,…t’a gueule!,…et rame!,…souris et montre tes fesses!,…
…Oui!,…elle est » bonne » l’€urope » des nations culpabilisée, déchirée, & anti-hébraïque_ MADE OF U.S.A,…of plan Marchall,…etc,…
…
…çà vient ce syndrome de Stockholm!,…Nom de Dieu!,…Ah!,…Ah!,…à la balistique!,…
…etc!,…
…Alors, ces bombe à neutron c’est à quel heure!,…etc!,…séduisant! quels charmes !,…nos écrivains courtisans soumis!,…du Nobel!,…à s’en foutre!,…etc!,…
…
A mon ami bouguereau
Rêve mon enfant, rêve
A peine étais-tu né que tu voulais du rêve,
Toucher ce beau soleil là-bas quand il se lève,
Commander aux nuées, être maître du vent,
Et croire que le ciel est reflet d’océan.
Tu voulais des chemins sans goudron ni barrière
Crevant les horizons au-delà de la terre,
Cueillir des fleurs des champs dans des déserts vivants,
Et croire que la lune est un poisson d’argent.
Tu voulais le frisson, la peur et l’aventure,
Voir des yeux te fixer sous les sombres ramures,
Combattre les bandits, affronter les géants,
Et croire que la vie n’est qu’un jeu pour enfants.
Mais tu vois ici-bas un monde de termites
Figé dans le béton, la routine et les rites
Ne crois pas, mon enfant, ce que l’adulte dit,
Fuis sa cage dorée aux barreaux d’interdits,
Botte-toi de sept lieues, fais poudroyer les routes,
Fonce chez mère-grand, et le gros vieux leu boute,
Plonge-toi tout entier dans la magie des mots,
Savoure la féerie des contes de Perrault.
Jean Calbrix, le 04/01/99
Poème néoclassique avant d’avoir sérieusement étudié les règles de la prosodie.
Toujours la même histoire…pour produire de l’abomination façon Tuam:
« Brahma set to thinking of ways to create living beings. He appealed to Vishnu to fashion humankind. Vishnu meditated to call up his yogic powers to create a number of beings modeled on his own form, carrying like him the four distinguishing items: a conch, a discus, a mace and a lotus. But Brahma deemed these creatures to be useless. He didn’t want anybody like Vishnu. Vishnu abashedly withdrew into himself the ones he had made.
Now Shiva sat in meditation and brought forth the Rudras, one by one. They were massive in size and incredibly fierce-looking, and like their maker had ruddy-brown matted hair and bodies smeared with ash. “Oh no, these are no good,” interjected Brahma. “Their wild behavior will spell ruin for the universe.” Shamed by these words, Shiva at once ceased producing the terrible giants… »
Kaiser H.
Marcel dit: 5 juin 2014 à 3 h 15 min
A mon ami bouguereau
Rêve mon enfant, rêve
c’est beau
le tout
merci
je dors pas depuis deux heures du mat. J’ai la rage.
» l’essayiste Alain Finkielkraut »
J´ai beaucoup aimé
» le talmudiste polonais »
, dans la derniere production d´Alain Soral, d´avant-hier.
– Soral, ne vois-tu rien venir?
– Bloom, Bernard et Vlad, en grande forme. Simple.
– Que nenni, cire de chez Grévin. Une révolution, et un miracle cent fois recommencé: la multiplications des pains dans la gueule.
Bloomy le caniche voyageur devrait prendre un témesta.
Texte non expurgé:
– Soral, ne vois-tu rien venir?
– Bloom, Bernard et Vlad, en grande forme. Simple révolte.
– Que nenni, cire de chez Grévin. Une révolution, et un miracle cent fois recommencé: la multiplications des pains dans la gueule.
–
6 h 41 min,
là où le soleil ne brille pas
est la place de ton témesta
Bloomy le caniche voyageur croit que le soleil ne brille que pour lui-même.
Sa petite misère.
« Nos nuits sont plus belles que vos jours »
J’ai lu dans le train, hier, qu’Henri Cartier-Bresson n’a consenti à raconter sa vie à notre hôte qu’en échange du récit de la sienne. Evidemment, j’ai divagué là autour : je me suis demandé comme Pierre Assouline a-t-il commencé à parler de lui à HCB. Par quoi, précisément, a-t-il commencé…
Classiquement, par un rappel de ses origines méditerranéennes, la situation sociale de sa famille, son histoire ?
Ou bien s’est-il défini d’abord par son identité religieuse (ou non) ?
Ou encore a-t-il tout de suite parlé de ses goûts, littéraires, artistiques, se plaçant d’emblée dans ce registre d’intellectualité qui est comme sa signature ?
Je n’ose espérer qu’il ait attaqué en disant « je suis quelqu’un qui vient de garder des dindons en Israël ». Ce serait chouette, évidemment, mais on s’imagine mal notre hôte parlant de lui avec la formule « je suis quelqu’un »…
Non, il a sans doute cité en premier ses envies biographiques, et parlé de Simenon par exemple. Mais là, ça ouvrait le champ à la question : pourquoi les biographies des autres avant même de construire sa propre vie ? Vous me direz qu’on aurait pu retourner la question à HCB lui-même : pourquoi photographier les autres, si c’est pour finir sa vie en dessinant obstinément, jour après jour, son autoportrait, mmh ?
Ou alors il a d’entrée parlé bouffe. Dîners en ville, gastronomie, mondanité. Milieu parisien. Snif, quoi.
Non, je sais : il était jeune, l’Assouline, devant le vieux HCB… Ca se trouve, ses premières phrases ont décrit ses amours… Ou ses obsessions (mais non, ce n’est pas Bouguereau quand même !).
Bref.
Et au fait, mise au pied d’un pareil mur, comment attaquerai-je, moi ?
…
Je me vois bien commencer par : « eh bien, j’aurais surtout passé mon temps à lire, et à caresser les chats ». Mais j’ai peur que cela ne fasse pas très sérieux. D’un autre côté, je n’ai jamais prétendu l’être. Sérieuse…
Bon, allez, ceux qui veulent jouer le peuvent, hein : d’après vous, comment Pierre Assouline s’est-il raconté, quelles furent ses premières phrases, quand il a rencontré HCB ?
Cette succession de billets m’ont ôté toute curiosité à l’égard de leur auteur notamment et de la compagnie de la RdL.
Kevin Birmingham, professeur d’histoire et de littérature à Harvard, affirme dans son prochain livre que Joyce est devenu aveugle, justement à cause de la maladie vénérienne. L’ensemble des symptômes évoqués par l’écrivain ne pourraient avoir qu’une seule cause : que ce soient les abcès à la bouche, le bras droit handicapé, les évanouissements ou les insomnies… Inutile de recourir au Dr. House, la syphilis est la principale responsable.
En 1975, une biographie suggérait que l’on avait plutôt affaire à une maladie congénitale, bien que l’hypothèse de la maladie honteuse n’ait alors pas été complètement écartée. Le scientifique de Harvard promet qu’il a retourné toutes les pierres de ce mystère, mais une double référence à des injections d’arsenic et de phosphore, qu’il raconte dans deux lettres de 1928, lui ont mis la puce à l’oreille
Voici la première psychanalyse de la fantasy et du fantastique dans une série de chroniques totalement inédite (promis, j’ai cherché), à suivre avec Le cas Jack Spark…
Eragon est si proprement massacré par les critiques que je me contenterai de rappeler les lieux communs : l’auteur n’a aucun style d’écriture, le scénario est pompé sur Star Wars, le système de magie est celui d’Ursula K. le Guin, les personnages sont plats, et les noms issus de divers autres ouvrages SFFF, notamment de chez Tolkien.
un mot peut-être pas tout à ait nouveau : elficologue
ne pas mettre l’s du pluriel au premier bout : cela ferait selfi!
tout à fait
ML, Sartre, en 1944, saluait la méthode phénoménologique de Ponge qui venait de publier « le Parti pris des choses » avant de lui reprocher plus tard ne pas aller assez loin dans ce sens.
Il est cocasse de vous voir enfoncer cette porte ouverte depuis maintenant 70 ans …les gens qui fréquentent ce blog ne sont pas toujours aussi incultes que vous vous plaisez à le croire.
en anglais ?
. Her work was « openly ridiculed » by the medical doctor JB Lyons (who knew Joyce), and the issue « faded away », according to Birmingham, who added that « to this day there are prominent Joyceans who haven’t even heard of the debate ».
He himself stumbled across the pieces of the jigsaw which led him to his diagnosis while reading of Joyce’s symptoms in Richard Ellmann’s biography of the author. « There are very few ailments that cause decades of recurrent anterior uveitis (the current term for ‘iritis’). Syphilis was by far the most common at the time, and yet Ellmann doesn’t even mention the possibility that syphilis caused it, » said Birmingham, whose book is published later this week by Head of Zeus, in time for Bloomsday on 16 June, the annual celebration of the day on which Ulysses’ protagonist Leopold Bloom wandered the streets of Dublin.
http://www.theguardian.com/books/2014/jun/03/james-joyce-syphilis-study-ulysses-drug-sight
Nos nuits sont plus belles que vos jours »
il y a un tableau de Tobiasse pour les rappeler
Heureusement qu’ils(elles) sont là pour nous éviter de lire les deux tiers des commentaires
Oui mais comment trier, à la proue du navire quand tout semble vain, ni mensonge ni erreur, sans usage, palissade pour abriter défections et lâcheté dans un paysage dévasté qui cherche un vernissage pour nouvelle exposition, en dix versions.
4 juin, journée mondiale de lutte contre la contrepèterie.
Ils n’ont que ça à foutre?
Inquiet par ce mauvais grain en mer, j’ai joint le camarade JC.
Je lui ai demandé in fine s’il comptait un jour retourner en Rdl. Il m’a répondu : « Pas avant qu’on m’y ait présenté des excuses officielles ».
Il se fout du monde.
Il court tant de buts divers qu’il en perd sa belle mine.
Bonne journée,
une jeune femme trans de 25 ans incarcérée dans une prison pour hommes (évidemment) pour avoir tué l’un de ses agresseurs lors d’une attaque transphobe et raciste en 2011. Cox a activement soutenu les groupes trans à l’origine de la campagne internationale Free Cece qui ont obtenu sa libération en janvier dernier. A la sortie de prison de Cece, devinez qui était là?
http://www.slate.fr/monde/87951/laverne-cox-en-couverture-de-time-encore-un-effort-transamerica
« It’s Better Not to Argue With Women »
En voilà un qui n’est pas encore sorti du XIXe siècle… bon, c’est aussi vrai que le déclin amène la connerie dans son bagage…
Pas de colère, soyez patient, P.Assouline,
http://www.liberation.fr/medias/2004/03/26/syphilis-muse-maudite_473800
le père de Arendt aurait contracté la syphilis .
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/roman_0048-8593_1996_num_26_94_3161
Qu’Est-ce que vous faisiez dans le train hier Clopine? Et d’abord le train pour où?
Hmmmm…
pour patienter
http://sfhd.chez.com/musee/musee.htm
le musée des moulages
à fleur de peau
en philo, je ne crois pas avoir entendu le nom de freud ; par contre notre professeur nous paaarla de Lesenne- pas la scène-: ainsi ai-je appris qu’il y avait des « colériques »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Caract%C3%A9rologie
sans erreur de mémoire
Evidemment, j’ai divagué là autour
Clopine Trouillefou
Et vous imaginez que vos divagations nous intéressent? Vous vous croyez sur votre blogounet?
Clopine, pour l’avoir croisé, c’était un homme d’une grande culture. Alors Ils ont peut etre tout simplement commencé par parler littérature. Les écrivains qui ont traversé la vie d’HCB étaient si nombreux. Meme s’il jugeait les bibliothèques « mortuaires ».Ma
mais il y avait peut etre un peu de coquetterie là-dedans?
Ce « Pas avant qu’on m’y ait présenté des excuses officielles » m’amuse .. cette position à rester sur son quant-à-soi comme s’il y avait qqc devant lequel il y aurait à abdiquer !
Ridicule, ce ton contrit.
Tiens, un peu de hauteur,
» O gentilshommes, la vie est courte… Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des rois. »
Shakespeare
citron dit: 5 juin 2014 à 0 h 12 min
datura 23h, votre commentaire renvoie à Hugo Cabret, très belle réalisation en 3D.
–
plus ‘a de D. plus c’est beau de toutes facçns.
Pierre Assouline, n’acceptez pas un week-end chez notre amie Clopine!
Sanglé sur un divan, et nourri au compte-goutte tant que vous n’aurez pas laisser chanter librement votre inconscient.
Misery in Normandy.
« Je n’aime pas votre nouveau manuscrit, Pierre, et je vais le brûler pour votre bien, afin que vous nous en fassiez un autre. Vous allez me le dicter.
You naughty boy. »
n’acceptez pas un week-end
déjà qu’il répondait pas à ses mails quand elle se prenait pour un écrivain
La diplomation de la fourchette, typical French!
« President Obama plans to have dinner on Thursday night with his French counterpart, François Hollande, at a Paris restaurant. Then, as soon as he is done with the American leader, Mr. Hollande will race back to the Élysée Palace, where he will dine again, this time with President Vladimir V. Putin of Russia » (INYT) ».
Aura besoin de sa julie pour é-li-mi-ner.
« vous imaginez que vos divagations nous intéressent? »
celles de daaphnée non plus
Bha, je voulais juste jouer…
Bon, d’accord, je sors.
mmm … remarquez bien, Bloom, la facilité avec laquelle le journaliste ironise sur d’éventuels maux d’estomac quant il serait plus judicieux d’observer que FH pose une carte de médiateur ..
Ce qui me semble tout à fait pertinent.
C’est là que l’Europe à travers la France doit prendre sa place, non ?
compagnie?
ueda (Il se fout du monde.)
mais qui le lit ?! pour qui il se prend ce brêle votre camarade rance et con ?!
t’es contrite du soutien-georges cloclo épicétou
contrite du soutien-georges cloclo
toujours aussi con le boug
pom pom pom pom, message matutinal : « Georges a raison et le glou glou glou radote »; je répète : « Georges a raison et le glou glou glou radote ».
Bourrée de complexes
Elle a bien changé
Faut la faire psychanalyser
Chez un docteur pour la débarrasser
De ses complexes à tout casser
Sinon elle deviendra cinglée…
message matutinal
le vocabulaire c’est comme la cuisine, faut connaître
là où on parle de HERGE, une femme devrait se souvenir de S.Tisseron, et les hommes ne pas tomber dans le piège de jouer au plus psy
Après avoir longtemps inspiré la méfiance, les émotions apparaissent aujourd’hui comme un ultime refuge et un gage d’authenticité : il faut « faire ce qu’on ressent » et « ressentir ce qu’on fait ». Soit…, mais si nos émotions nous trompaient ? Il y en a que nous nous cachons à nous-mêmes, d’autres que nous nous interdisons d’éprouver parce que nous en avons un jour reçu l’ordre, et d’autres encore que nous croyons les nôtres, mais qui ont été introduites en nous comme un corps étranger. Ainsi, lorsque nous sommes anxieux, tristes ou effrayés par la vie, ce n’est pas forcément « nous »…
En connaissant mieux l’histoire de notre famille, en interrogeant nos proches et en nous posant les bonnes questions, nous pouvons nous défaire des émotions qui ne nous appartiennent pas et accueillir celles qui correspondent à notre propre façon d’être au monde.
tisseron
Ténébreux :quel mot (outre la leçon)
donc pour un peu de lumière, sur le blog sibony
Retenons simplement que la lumière étant symbole de la parole de l’être, on distingue l’acte où elle se donne et l’acte de la restituer ; l’acte de rendre lumineux l’objet porteur de lumière ; l’acte d’éclairer un texte par exemple. L’être nous parle, et il importe de lui parler en retour ; y compris en interprétant ses paroles.
La lumière qui nous éclaire doit aussi éclairer le rapport à l’être. Lorsqu’on fait du rapport à l’être quelque chose d’antropomorphe, qu’on y met un Dieu personnel, on se complaît à répéter que : Dieu n’a pas besoin de notre lumière. Mais du point de vue de l’être, c’est différent : le lieu de l’être a besoin d’être éclairé; à partir de la lumière qu’on y a prélevée. Révéler la lumière d’être, c’est révéler la parole de l’être par l’interprétation créative. Les Hébreux ici n’en sont pas là.
Isaïe le dira en quatre mots, en parlant du peuple sauvé de sa détresse : « Debout, illumine (fais-toi lumière, rayonne ta lumière), car ta lumière est venue ». Et l’on voit bien la dualité, le va-et-vient entre la lumière que l’on porte et celle qu’on reçoit; »
Blancheur et ténèbres,
http://blog.stylesight.com/wp-content/uploads/2012/05/peggy-moffitt-william-claxton.jpeg
ça c’est pour tous et toutes
http://www.magazine-litteraire.com/actualite/breve/concours-ecriture-03-06-2014-123485
si vous êtes théâtre
http://www.magazine-litteraire.com/actualite/prix/11e-prix-ecriture-theatrale-guerande-06-09-2010-32452
pour votre grain de sel
il y a aussi un concours de photo »:le plus bel arbre »
http://www.ville-guerande.fr/evenements/concours-photo-%C2%AB-le-plus-bel-arbre-%C2%BB
hr et keupu..what else
t’es contrite du soutien-georges cloclo épicétou
..et t’as la ficelle en chanvre du string enduite de tabasco
pom pom pom pom, message : « hr et keupu sont dans un bateau et glou glou glou prend l’eau »; je répète : « hr et keupu sont dans un bateau et glou glou glou prend l’eau ».
ha clopine..souvenir terribe d’avoir été pisser aprés avoir epluché des habanero..j’ai du me faire une piqure de morphine dans la jugulaire
..j’ai failli attende le larbin
A l’occasion du 70e anniversaire du Débarquement allié, à propos d’un autre débarquement, le 26 septembre 1914, à Marseille.
« Ces étrangers d’une terre lointaine nous stupéfient à se tenir épaule contre épaule avec nous dans la défense du sol français ».
Qui débarque? Qui parle?
mais les médecins estiment que sa survie s’est jouée à « un millimètre ».LE MONDE
un millimètre ?
et combien mesure une plume, une touche de clavier, une gélule, docteurs ?
« Blancheur et ténèbres »
Enfin, il s’agit du monokini de Rudi Gernreich, plus connu par la photo de Paul Schutzer pour le Time magazine…
Ma photo est bien plus belle que la vôtre, Renato!
Du coup je la mets de nouveau.
Blancheur et ténèbres,
http://blog.stylesight.com/wp-content/uploads/2012/05/peggy-moffitt-william-claxton.jpeg
ses relations d’estime réciproque, sinon d’amitié, avec Hergé,
distinguons tant que le mot d’ordre des écoles n’est pas encore « il n’y a pas de relation «
Géographie.
Au menu: « mettez du ragoût »
On va bientôt causer de la Normandie ?
http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/06/04/fusion-des-regions-un-coup-mediatique-selon-herve-morin_4431989_823448.html
On va bientôt causer de la Normandie ?
Aaaaarght, non !
Pas la Normandie !!!
Pitié !
et comment Sollers en remet une louche
Enfin, voilà, donc il y a une telle exagération, un tel emballement dont la simplification. C’est ça le problème. On vit à une époque médiatique, que vous palpez constamment, où le simplisme, la réduction devient pratiquement pavlovienne. Et donc comme ça il y a des réactions qui sont extraordinairement falsificatrices.
Géographie, suite.
Le dessert
Où il est question de « rouerie ».
Pitié,
faites que les folles s’arrêtent.
Pière d’insérer dit: 5 juin 2014 à 13 h 08 min
Vous préférez nous exposer un peu de la géographie irlandaise ?
vous pouvez toujours retourner à Skildy en phiblogZophe
Pitié,
faites que les folles s’arrêtent
La folle journée d’HR
46/47/48, c’est pas de la pointure de nain!
Le pied, c’est bon
aprés avoir epluché des habanero..
sur les les cuisses, les seins, les fesses des femmes,
Faut choisir, bon dieu!
« Paris au petit matin est l’une des rares villes où l’on a l’impression qu’il peut vous arriver quelque chose qui en vaut la peine »
Franchement, quelle médiocre cette Daaphnée ! Elle a UNE réplique qu’elle croit spirituelle , du coup, elle nous la sort dès qu’elle le peut, ça fait au moins cinq ou six fois qu’elle nous fait le coup : ah oui, que c’est drôle, huhuhu, d’étendre l’exécration qu’elle éprouve à mon endroit à toute la Normandie…
La pauvre, en fait, démontre ainsi l’indigence de son imagination et la pauvreté de son expression, mais que voulez-vous, elle ne s’en rend même pas compte.
Bon, perso, ce n’est pas parce que je la juge égocentrique, limitée intellectuellement, snob socialement, coquette, sèche de coeur et incapable d’ouverture aux autres que je m’en vais croire que tout Paris lui ressemble. Encore que.
« Blancheur et ténèbres » #2
Puisque vous invitez à causer « esthétique »…
faudrait déjà faire un petit effort afin de comprendre la nature des choses… En tout cas, cette photo de W. Claxton est plutôt banale, et ne vaut pas ses photos habituelles…
renato dit: 5 juin 2014 à 14 h 23 min
Puisque vous invitez à causer « esthétique »…
Pardon ? Hé là, renato, l’esthétique c’est mon job..
datura 11h59, Les guérandais outre l’exploitation du sel qui comme tout le monde sait est encore utilisé comme conservant, cultive un sens de l’humour à ne pas négliger, trouver un arbre à Guérande relève presque de la discipline sportive ou de la psychiatrie, y’a qu’à halluciner, un peu de champignons et hop! le tour est joué, vous vous retrouvez en face de l’église ou bien cadré dans les ruelles toutes en murs de pierre et de granit mais vous tenez là une photo!
Et puisque ça cause politique et réforme territoriale, quelqu’un sait-il qui quoi, pour faire 10 milliards d’économie, va se voir supprimé? Je trouve que ce n’est pas bien clairement explicité.
Marceau s’éloigne…le mime du blog reprend ses droits, c’est de bonne guerre.
Gageons qu’aucun journaliste, bien intentionné of course, ne déterre un article antisémite produit pendant la tutelle Ribbentrop. Ce fut le cas après la mort de Henri de Mann, quand l’on disputait la paternité de ses concepts avec Derrida. Le jeune homme avait vingt ans et toutes ses dents.
Que fera graver Finkielkraut sur son épée ?
Je reviens tout à l’heure relever ma ligne . Peut-être devrai-je pousser un peu plus dans l’exploration des articles de presse qui sont consacrés à cette réforme mais comme nous attendons tous les uns des autres des efforts informatiques et informationnels, je cultive l’espoir de cueillir quelques simplifications aux discours qui iront à l’essentiel, j’ai lu que les CCI par exemple allaient devoir renoncer à certains crédits et ainsi supprimer des emplois entre autres choses.
citron dit: 5 juin 2014 à 14 h 54 min
va se voir supprimé?
Ha oui nous l’Auvergne on est zigouillé… On pourra plus vous prêter Vichy !
Je reviens tout à l’heure relever ma ligne .citron
Bof, on a tout le temps…!
Daaphnée dit: 5 juin 2014 à 14 h 40 min
renato dit: 5 juin 2014 à 14 h 23 min
Puisque vous invitez à causer « esthétique »…
Pardon ? Hé là, renato, l’esthétique c’est mon job..
Laisse tes tics, Daaph, et fais-nous ton plus beau sourire enjôleur.
Bon, perso,
tu fayes ta teste de veau clocloche épicétou
Cette Daaphnée 5 juin 2014 à 14 h 40 min n’est pas Daaphnée.
des journées entières dans les arbres dit: 5 juin 2014 à 13 h 35 min
Quel con sut là ?
Clopine dit: 5 juin 2014 à 14 h 21 min
Il vous faut consul thé, cloclo.
Jean fait le Marcel, Clopine la tête de veau.
Daaphnée dit: 5 juin 2014 à 12 h 57 min
On va bientôt causer de la Normandie ?
Aaaaarght, non !
Pas la Normandie !!!
Pitié !
Le nord mendie ta pitié, Daaph.
datura46/47/48 dit: 3 juin 2014 à 17 h 15 min
village global (en anglais Global Village)
N’est-ce pas une traduction un peu osée ?
Daaphnée dit: 5 juin 2014 à 14 h 40 min
Daaphnée est esthéticienne ?
ueda dit: 5 juin 2014 à 8 h 59 min
4 juin, journée mondiale de lutte contre la contrepèterie.
Ils n’ont que ça à foutre?
Et alors qu’est-ce que t’as contre les pets, toi le spécialiste ?
Daaphnée dit : 5 juin 2014 à 14 h 40 min – Pardon ? Hé là, renato, l’esthétique c’est mon job..
daaphnée est esthéticienne
mmm .. il est vrai que notre normande n’a rien ni de l’éblouissante blancheur, ni des troublantes ténèbres et rien encore d’une énigmatique composition des deux ..
Pfffffffff !
la chirurgie esthétique elle y pense tous les jours
ueda dit: 5 juin 2014 à 8 h 59 min
4 juin, journée mondiale de lutte contre la contrepèterie.
ueda, je te confie la chasse !
rose dit: 5 juin 2014 à 5 h 27 min
Bien heureux, Rose, de meubler vos insomnies. Bises.
Dernier bar avant le désert dit: 5 juin 2014 à 15 h 42 min
ueda dit: 5 juin 2014 à 8 h 59 min
4 juin, journée mondiale de lutte contre la contrepèterie.
ueda, je te confie la chasse !
La chiasse eut été plus judicieuse, à cause des pets foireux.
Il vous faut consul thé, cloclo.
En effet, Marcel, je me demande si elle ne nous fait pas une petite méningite ..
Pauvre femme !
arthur dit: 5 juin 2014 à 15 h 39 min
la chirurgie esthétique elle y pense tous les jours
Normal, pour une esthète de l’art.
Joyce et la syphilis…Les fantômes du Docteur Cabanes et de Binet-Single,prononcer cinglé si le clavier n a pas d accents , ressuscitent du côté de Harvard.’….MC
La chiasse eut été plus judicieuse (Marcel)
mais ça n’aurait pas fait une contrepèterie.
pom pom pom pom, message : « le larbin ne lâchera pas le morceau »; je répète : « le larbin ne relâchera pas le morceau ».
« ..ta gueule raclure de dafnoz.. »
Pardon ? Hé là, renato, l’esthétique c’est mon job..
Ce « Hé là » de mon dévoué troll, m’évoque le grand air des prairie normandes ..
On nous communique de la part d Anthony Beevor cette lubie de Roosevelt, qui , quoique non réalisés, suffit à mettre en l air le beau raisonnement de Madame Lacroix Riz. ´Il ne voulait pas que les lignes de communication passent par la France’ il aurait voulu que les anglais prennent le sud de l Allemagne tandis que les Américains auraient pris le nord
ta gueule dafné
On signale une épidémie de vache folle en Normandie.
épicétou
Une épidémie de vache folle
faut lui couper les pattes épicétou CQFD VDQS
aaphnée dit: 5 juin 2014 à 15 h 46 min
Il vous faut consul
Le fils ? Ou le vice ?
Daaphnée 15 h53 : CQFD, cette Daaphnée, mauvaise comme une teigne, jaune de jalousie, prête à mordre quiconque s’approcherait des objets de ses désirs, à savoir les hommes, les hommes, les hommes, n’importe lesquels, tout est bon, ces hommes devant lesquels aucune danse du ventre, aucun aplatissement, aucune coquetterie servile ne seront évités, Daaphnée quoi, la parigote snobinarde suintant le mépris pour le monde entier, Daaphnée n’a donc pas trois sous de vocabulaire… Il est vrai qu’à ce stade d’ignorance de soi-même, sous la couche de vanité épaissie par les années, on peut être aveugle devant ses limites et vaniteuse, fière d’un ego démesuré, a contrario de la personnalité étriquée qui le porte pourtant si vaniteusement…
« Et alors qu’est-ce que t’as contre les pets, toi le spécialiste ? »
C’est ce que Marchais aurait appelé un anti-anticommunisme « primaire », Marcel.
Espèce de brute stalinienne!
Il y a tellement de manières gaies, généreuses, humaines, fraternelles, élégantes d’être anticommuniste (ou anti-islamiste pour ne pas faire de jaloux)…
Halte à l’amalgame!
Paix…
– J’ai rime à pet
(c’est pas Hugo?)
dafné
C’est à ces petits détails qu’on sent le souffle court .. une bile échauffée ..
« Espèce de brute stalinienne! »
Combien cette apostrophe est datée.
Les jeunes ne connaissent plus Koba.
Autant dire:
« Vous n’êtes qu’un muscadin »
« Espèce de modérantiste »
« Aux chiottes, les guelfes! Toi même, eh gibelin! »…
Clopine dit: 5 juin 2014 à 16 h 18 min
les hommes
Les zoms ? (Sollers)
« J’espère seulement que les académiciens me laisseront toute latitude et que je ne serai pas confiné au panégyrique” commente-t-il. Il ne tient qu’à lui.
P.Assouline commente A.F.
il y a un côté « voyez comme je suis pro(f)psych….o que je trouve pénible chez les grands profs qui disent « mon élève » (ainsi Vidal Naquet de G.Didi) ou les restos qui afichent les photos dédicacées et vous font savoir « on les a tous eus » et l’écrivent parfois au comptoir..)
O.K. P.Assouline les a tous et toutes lu-e-s , rencontré-e-s et de tous appris .
et si ce n’est lui qui est/ devenu /tendit vers le côté pervers (d’Ulysse?) c’est dans le dispositif
« une bile échauffée .. »
Pèpèpe, Daaphnée.
Et la journée internationale de lutte?
Clopine dit: 5 juin 2014 à 16 h 18 min
CQFD, cette Daaphnée, prête à mordre quiconque s’approcherait des objets de ses désirs, à savoir les hommes, les hommes, les hommes, n’importe lesquels, tout est bon, ces hommes devant lesquels aucune danse du ventre, aucun aplatissement, aucune coquetterie servile ne seront évités
Hihihi…
Pour les mecs, Clopine, c’est quand même un peu ego-boosting.
Je crois bien, U., que notre normande est sur le point de rendre les armes dans un dernier râle .. je ne dirai pas porcin, non non ..
Dites donc, Marcel, comment avez-vous eu mon mail ? C’est Barozzi qui vous l’a refilé ?
Felicien Marcel.
(Ignore cela, camarade
C’est naturellement n’importe quoi,
Je n’écris jamais que d’un pied)
ueda dit: 5 juin 2014 à 16 h 25 min
Pèpèpe, Daaphnée.
mais ta gueule à la fin !
affichent
assez de tous ces « aimer » même si je ne crois pas qu’aimer, ou être amoureux de(paysage, visage, personne, livre, blog,genre ) soit, en soi, une… idéologie( c’est un effet, non?) ni peut-être même une question nécessaire
tu sais pus où qu’t’a la tête clochonne épicétou
Eh, oh, prout, hein !
datura46/47/48 dit: 5 juin 2014 à 16 h 34 min
je ne crois pas qu’aimer, ou être amoureux soit, en soi, une… idéologie
Intéressant.
Je me demande vraiment pourquoi tout le monde vous prend pour un con, HR.
Le communisme et l’islamisme, c’est du reste exactement la même chose.
Une question d’impatience.
Tout tout de suite ou tout demain?
@ Rôôô
toi, tu m’as l’air aussi con que ton pseudo.
une idée comme ça.
autrement dit: P.Assouline fait , selon moi, un travail splendide et sans doute permet que se fassent des travaux -sinon oeuvres- intéressants pour tous.
ueda dit: 5 juin 2014 à 16 h 33 min
Ce post n’est pas de moi.
Un alter-ego ?
datura46/47/48 dit: 5 juin 2014 à 16 h 39 min
P.Assouline fait , selon moi, un travail splendide
Que nous admirons tous à genoux, c’est ça ?
aucune danse du ventre,
Faut dire qu’t’es achment costaud en ventre clocloche épicétou
Le plaisantin insiste.
Après un rapide survol, ne sont pas de moi :
ueda dit: 5 juin 2014 à 16 h 25 min
ueda dit: 5 juin 2014 à 16 h 41 min
aucun aplatissement, aucune coquetterie servile
t’es fortiche aussi t’aplatir servilité not’maître, clocloche refais-nous le
» trouver un arbre à Guérande relève presque de la discipline sportive »
A l’intérieur des remparts, hors dans une ou deux propriétés, non bien sûr.
Mais le long des remparts, au sud, vous avez les ormes du Mail…
Merci, Dédé, d’absoudre ainsi d’avance mes conneries.
Je ne revendique que les bonnes!
@ zouz dit: 5 juin 2014 à 16 h 38 min
c’est vrai je vole bas.
j’ai l’air con mais c’est qu’une impression, en fait j’essaie d’être méchant
la parigote snobinarde suintant le mépris pour le monde entier
Clo-Clo
Petit racisme de base ?
usurpation de pseudo à 16 h 44
Daaphnée n’a donc pas trois sous de vocabulaire etc etc
Clopine Trouillefou
Venant de Clopine, ce trait des plus fins est absolument exquis … je ne relèverai pas le reste, encore plus savoureux ..
pour le monde entier
Il faut croire que Clopine se prend pour le monde entier ..(!) L’amère solitude face à son évier nous l’achèvera .
Pauvre femme !
ueda, « ego-boosting », je ne comprends pas… J’imagine que vous croyez que toutes les filles sont dans la rivalité – mais voilà, Daaphnée et moi n’habitons pas la même planète. Vous avouerais-je que j’en suis soulagée, quand je la vois dans ses éructations fébriles, ces admonestations (« Clopine, taisez-vous ! », celle-là je ne l’oublie pas, il s’agissait évidemment de déplorer le sort de DSK, wouarf quand on y repense), la pauvreté de ses analyses, et puis ce fiel à peine dissimulé sous le maquillage. J’espère de tout coeur que ce n’est pas une pédagogue, ou une femme de pouvoir – qu’est-ce qu’elle doit en faire « baver » à quiconque est en-dessous d’elle, dans ce cas. Je l’imagine aussi en plate révérence devant un type comme Sollers, toute transie humide en dedans et en-dehors, tentant de convaincre de son « intimité » avec le grand homme (et vous pouvez remplacer le nom de Sollers par n’importe quel nom connu, ça le fera pareil).
Finalement, la Normandie se passe très très bien d’elle, de son snobisme et de ses préjugés. Et pour de vrai, je crois bien que c’est cette haineuse foldingue de Cousine Bette qui lui ressemble le plus…
Je vous quitte ..
Pfff ..
Il fallait bien que le dernier râle de la brayonnante nous fît bailler ..
Daaphnée, de la Normandie au bus andin, ça ne fait pas le monde entier peut-être, m’enfin ça englobe pas mal de vos « rivales » (puisque vous n’êtes pas capable d’apprécier l’une seule d’entre nous)…
Heureusement, Daaphnée n’a pas le monopole de la parisienne ; rien que sur ce blog, il ya des grandes dames qui démontrent tous les jours qu’on peut être cultivée, diplômée, dans l’aisance financière, dans l’épanouissement familial, et ne pas mépriser autrui – et pratiquer l’égalité et la tolérance. Daaphnée, j’en ai bien peur, ne le comprendra jamais !
Si la contrepéterie « ueda et Daaphnée circulent dans le sang » est une proposition vraie, alors :
A, Daaphnée est une femme à barbe (de cirque)
B, Daaphnée se sert d’un instrument
1212
commentaires