Vers un humanisme numérique
Convenons qu’il ne va pas de soi d’accoler deux mots a priori aussi antinomiques que « humanisme » et « numérique ». On se frotte les yeux. On doit à l’historien des religions Milad Doueihi, l’un des rares à avoir entrepris une anthropologie de l’homo numericus dès sa naissance, d’avoir répandu l’expression dans le public par ses essais et ses articles. Il y est revenu à l’occasion d’une conférence prononcée il y a un peu plus d’un an et reprise dans un bref livre intitulé Qu’est-ce le numérique ? (55 pages, 7 euros, Puf). Un titre qui sonne hélas un peu comme « Le numérique pour les Nuls » et qui, paradoxalement, réussit à être réducteur tout en ouvrant trop largement le compas. Quelques rappels y sont certes utiles : la distinction entre numérique et informatique trop souvent mêlés ; la notion de partage comme idée-maîtresse ; la conscience que la terre habitée chère à Lévi-Strauss n’est plus ce qu’elle était tant elle s’élargit désormais à une spatialité hybride et en mouvement ; l’idée que le numérique a finalement réussi là où la démocratie a échoué, à savoir exporter partout dans le monde un modèle parfaitement occidental (valeurs du document, concept de patrimoine et d’archive, icônes etc)… Soit, mais encore ?
Si ce petit livre offre matière à réflexion, c’est aussi parce qu’il revient sur l’humanisme numérique. Si nous sommes effectivement, comme l’auteur en est convaincu, dans une période de transition, et si nous ne sommes qu’au début d’une période de mutation, il est indispensable de penser cette transformation culturelle. L’humanisme numérique considère que la technique est une culture. Aux yeux de Milad Doueihi, le danger ne vient pas tant des détracteurs de la Toile, dont les raisonnements sont souvent trop archaïques pour être durablement commentés ; ils ne se rendent pas compte que Big Brother, ce n’est pas le numérique mais l’informatique, et qu’il est bêtement réactionnaire de faire tout un Golem de la lecture numérique, mais passons. Le danger, ce sont les écoles transhumanistes. Il les présente comme les prophètes d’une nouvelle humanité, partisans d’une sorte de cyber New Age, qui s’abritent derrière le concept de « Singularité » pour appeler de leurs vœux une convergence plus radicale de l’Homme et de la machine. Inutile de préciser qu’ils placent au-dessus de tout le pouvoir de la science. Doueihi nous invite à nous méfier de la dimension religieuse de ces transhumanistes américains, qui se réclament des Lumières (Enlightenment 2.0) pour mieux oublier l’Histoire et proposer un système qui n’a pas seulement le goût et la couleur du polythéisme. Même Vinton Cerf, l’un des co-fondateurs de l’Internet, allait dans ce sens il y a quelques jours dans une interview aux Echos en plaçant tous ses espoirs pour l’avenir dans l’intelligence artificielle –et l’on veut croire que son haut poste chez Google n’y est pour rien.
On voit par là qu’il est urgent de repenser nos rapports avec la mémoire, effet majeur de la révolution numérique. La conserver, l’interpréter, l’exploiter, la diffuser : il faut tout revoir. Pour y parvenir, l’auteur invite à bousculer la dualité mise en place il y a plus d’un siècle par le sociologue Max Weber entre éthique de conviction et éthique de responsabilité. Il propose une troisième voie adaptée aux nouveaux temps, mais ne l’explicite pas. Aussi, lorsque je l’ai récemment rencontré à l’occasion d’un entretien sur le sujet à France Culture, je l’ai naturellement pressé d’en dire davantage. Sa réponse tint en deux mots : « confiance sociale ».
Le phénomène de l’humanisme numérique est d’autant plus passionnant à observer qu’il est né et qu’il grandit sous nos yeux. Evoluera-t-il comme l’humanisme autrefois ? Un bel article vient de paraître dans la revue des Annales (juillet-septembre 2013, No 3) qui ouvre des pistes. S’appuyant sur une considérable bibliographie internationale, Clémence Revest (Ecole française de Rome) y raconte de manière aussi dense que lumineuse comment au tournant du XVème siècle (les années 1400-1430 en Italie), l’humanisme, aspiration à un retour de l’Antiquité, est devenu l’Humanisme. Culture alternative conquérante puis modèle dominant mis en pratique par des dominants, il ne s’est pas concrétisé à travers des institutions propres, mais dans un mouvement. C’est le mot-clé : « mouvement » avec ses corrélatifs « masse », « agrégation », « affiliation ». Tout à sa passion de l’imitatio Ciceronis, Pétrarque avait hâté la résurrection de l’éloquence. L’empreinte fut durable. On trouve d’ailleurs sous la plume de Proust épistolier, et peut-être même sous celle du romancier, le charmant néologisme « pétrarquiser ». Cela dit, Clémence Revest ne se demande pas qu’est-ce qu’un humaniste, mais qu’est-ce qu’un humaniste peut être. Certainement pas un citateur des Anciens. Non un imitateur de Cicéron mais un autre Cicéron.
En relisant cette étude sur une figure éthique de l’homme de savoir, on se dit que l’homo numericus lettré gagnerait à en méditer les leçons. « Si l’humanisme est né, c’est d’abord parce que ses partisans l’ont eux-mêmes proclamé » assure Clémence Revest. Il est permis d’en faire autant à condition de se garder des écoles, de se méfier de toute récupération académique visant à encadrer la chose, et de privilégier le mouvement. C’est déjà le cas sur les réseaux où l’entretien permanent (textos, facebook, twitter etc) est à mettre en parallèle avec la conversation épistolaire que les auteurs de la Renaissance concevaient comme « un signe visible de l’amitié ». Si ce mouvement a pris corps et s’est fait récit, c’est surtout parce que ses acteurs partageaient un même imaginaire au sein de leur aventure collective. Conservons les valeurs héritées des humanités, elles-mêmes fruit d’un plus ancien héritage, non pour les dupliquer dans un souci d’imitation, mais pour les adapter et en faire un rempart contre la religion de la science, la soumission à la technique et le culte de la machine.
(« Illustrations de R. Kikuo Johnson et de Max »)
898 Réponses pour Vers un humanisme numérique
L’idéal bien sûr serait qu’un wagon tombe sur le toit sur le chat, mais ce salopard va l’éviter ça crève les yeux…
A lire Patrick Deville dans « Kampuchéa » etc (Leo Bloom)
Voilà des éclaircissements qui, au moins tiennent la route en fournissant un fil conducteur et qui donnent envie de lire Deville. De l’humanisme marxiste-léniniste à l’antihumanisme élaboré par les Khmers rouges, il y a quelques transmutations qui valent la peine d’examiner le contenu de la marmite des sorciers. Mais ce n’est pas à coups d’anathèmes à la JC qu’on fera avancer le schmilblick.
On compte sur toi pour ça.
mal vu: à croire que t’es payé à la ligne, pour rendre ce blog si ennuyeux , comme l’écrivait un historien des historiens d’une certaine histoire de l’Asie du sud , et dont il connaissait bien la diversité des langues pour ne pas les prendre pour « les langues du paradis »
La question qui mérite réflexion est : comment passe-t-on de l’humanisme authentique des textes théoriques de Marx, Engels et même Lénine, à des entreprises politiques monstrueusement anti-humanistes comme celles du stalinisme, des Khmers rouges ou, aujourd’hui encore du régime de la Corée du Nord ? On a pas mal de réponses, mais il reste à faire.
Le seul truc perverti, c’est l’identité. On sait même pas si les mecs des soucoupes c’est des mecs ou « de la vie ». Si on sublime l’identité, on peut parfaitement vivre dans le communisme le plus intégral, pas plus malheureux que, mettons, des enfants à l’école ou dans n’importe collectivité, et sans évidemment les camps et tutti Berluti…
à quoi joue la science : pas à se demander si P.Assouline se cherche ou s’il se prend pour le père
« http://www.slate.fr/life/79248/age-biologique-seins
Plus précisément, le bioinformaticien a décidé de comparer l’âge biologique (celui de vos organes) et l’âge chronologique (celui que vous fêtez tous les ans). En basant ses recherches sur la méthylation de l’ADN, c’est-à-dire l’évolution des cellules de notre corps, Horvath a pu prouver que notre cerveau, notre cœur, nos poumons ou notre poitrine ne vieillissent pas forcément de la même faç
la preuve par l’efficacité, rien de plus vrai
à croire que t’es payé à la ligne
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En dépit de tous les errements du stalinisme, la société soviétique comportait de nombreux aspects authentiquement humanistes. La révolution eltsinienne de 1991 a jeté le bébé avec l’eau du bain. Maintenant que l’enthousiasme est retombé, il serait temps d’évaluer les dégâts,dont on mesure aujourd’hui les conséquences.
C’est bien, t’as rempli ton quota d’elements de Langage pour l’interpretation projective.
19h16 L’énigme n’est en tout cas pas aussi captivante que dans un Polanski, Ghost Writter? par analogie à votre script
http://www.slate.fr/life/79258/graisses-saturees-coeur-ob%C3%A9sit%C3%A9
LE BEURRE EST-IL VRAIMENT SI MAUVAIS POUR LA SANTÉ?
Ce «mythe» a des conséquences néfastes sur les politiques de santé publique selon un grand cardiologue britannique.
Ces querelles internes donnent du piment à la sauce liante du blog et fait ressortir ce désir de fraternisation né de la possibilité infinie qu’offre ce genre d’outil de communication non cryptée ouverte comme une baie vitrée sur un paysage révé de beauté de tendresse universelle.
Blogogo on sait tout ça le beurre l’argent du beurre et la crémière qui meurt
On attend les revalations des philosophes. Je ne suis pas pressé.
Tu crois ,
Bonjour chez vous.
on sait tout ça?
l
on sait tout ça
la faute à D.H.H.?
@bérénice dit: 28 octobre 2013 à 19 h 30 min
Soudain quelques mots repoussent les nuages et calment la tempête…
Gonflé, Antoine Audouard. Et courageux avec cela.
moins l’auteur pour lequel ce fut thérapeutique comme diraient les zaimés et zélés de ce blog
que l’éditeur .
from the Mayo clinic, Cleveland (look out)
http://www.youtube.com/watch?v=ml1MUUeGo94
le classique de la renoncule de la RdL
« On considérait comme éternel ce regroupement par âges, inventé au XVIe siècle dans les collèges jésuites, qui a permis de dispenser la connaissance plus largement et plus efficacement ; mais l’enseignement en classe implose.
Lou Reed, j’aime pas du tout; trop de coke en stock.
personne n’a trouvé de meilleure traduction ?
http://www.youtube.com/watch?v=rbYErGTB0cA
ouf on est allé plus loin
. Pour y parvenir, Alain Connes introduit une nouvelle particule baptisée Big Broson, en référence au Big Brother qui contrôle tout.
http://www.slate.fr/life/73091/theatre-quantique-alain-connes-temps-chaleur
blogogolemite,
Merci de ce rappel.
back in the old days…
http://www.telegraph.co.uk/news/1539571/Duracell-bunny-of-French-politics-has-energy-to-break-the-old-order.html
des journées entières dans les arbres dit: 28 octobre 2013 à 20 h 37 min
c’est P.Asssouline qu’il faut remercier parce qu’il nous pousse à savoir , nous questionner , nous informer de ce qu’il y a , ce qui se fait, et à ressourcer nos rêveries et nos désirs sans mépris facile
« Il me semble que u. condamne allègrement et abusivement la théorie au nom des dérives historiques concrètes, » (Brown)
Hein?
(Observateur, tu ne m’as pas réveillé)
Brown, si tu lui dis noir, il dit blanc; si tu lui dis blanc, il dit noir.
Ça devient compliqué quand tu lui dis dit gris.
Sauras-tu trouver la couleur qui lui vient à l’esprit?
(rose?)
M’en fous, je dors.
blogogolemite,
Je ne sais pas pourquoi- ou plutôt, si, je le sais trop bien- votre message de 20h44 me gonfle, tout d’un coup. Cela dit sans mépris aucun.
Gonfler le soir dans les arbres, est-ce bien raisonnable?
Cela dit sans mépris aucun!
Ah ces dandys (Mme la ministre)
http://www.youtube.com/watch?v=nFpv1LKrA9s
uh uh, je vais vous dire quelque chose qui a une visée humaniste.
Savez-vous combien d’énergie consomment les data centers répartis dans le monde, pour stocker des données, y compris vos messages ?
Rien qu’en France ?
9% de notre consommation énergétique.
C’est pour cela qu’il faut épargner le mépris.
Mais Samson, ou Rémi, je ne me souviens plus, sait qu’il faut l’épargner, le mépris.
Ces querelles internes donnent du piment à la sauce liante du blog et fait ressortir ce désir de fraternisation né de la possibilité infinie qu’offre ce genre d’outil de communication non cryptée ouverte comme une baie vitrée sur un paysage révé de beauté de tendresse universelle. (bérénice)
Encore une que les élucubrations assouliniennes font chavirer. C’est fou le magnétisme de ce type . Ce Tite a fait tilt dans le ptit coeur de cette Bérénice.
La consommation des data centers n’est absolument pas un problème.
Le problème c’est l’absence d’énergie illimitée.
Or moi je sais produire de l’énergie illimitée. A partir du vide.
Lou Reed était croyant.
Et alors ?
Mais si D., ça peut devenir un problème.
Des barges flottantes.
Je vais allumer une lumière sur votre chemin obscur qui ne mène à rien.
Prenez note, avant que mon message ne disparaisse, comme tant d’autres avant, qui ont dérangé par la soudaine et dérangeante opportunité de leurs propos.
Le problème n’est pas le numérique. Le problème n’est pas non plus l’humanisme ou son contraire.
Le problème, c’est que l’homme a découvert les deux à un moment qu’il n’a pas choisi.
je commence à bien saisir pourquoi les « commentaires » des erdéliens me tapent sur les nerfs .
« Les éditions Grasset vont publier d’ici deux semaines un ouvrage déroutant, de l’artiste chinois Xu Bing, Une histoire sans mots, connu dans sa version américaine sous le titre Book from the Ground: From Point-to-Point. Le livre est entièrement composé de symboles, d’émoticones, de pictogrammes, décrivant la vie d’un employé. Bienvenue dans la journée de M. Noir. »
http://www.actualitte.com/les-maisons/une-histoire-sans-mots-le-roman-en-pictogrammes-de-xu-bing-45929.htm
alors de ce point de vue il aurait fait un bon compagnon de jeu pour D.
Je suis un crack et ça vous embête.
@ holderlin
En effet j’ai retenu une place pour cette projection mais à part ça tu peux déjà dire à l’archevêque qu’elle peu5 se brosser et si ça lui convient pas vos sbires ont qu’a me shooter on sait que c’est ps ça qui va les empêcher de dormir.
Les écrivains qui se plaignent d’être trop nombreux en librairie
et voilà la même explication que celle apportée à propos des « intellos » !
et les autres de s’en abstenir: anexou kai…. oncle picsou?
Bérénice, c’est une bonne idée les fleurs. Que diriez vous de recevoir à domicile un bouquet de roses rouges au moment où vous ne vous y attendez pas ? C’est à dire dans un certain temps ?
Par ailleurs, par ailleurs, j’aimerais votre avis sur la musique de Lou Reed. Pas terrible, n’est-ce pas ?
Maintenant je vais faire une annonce qui va sans doute ébranler pas mal d’entre vous. Donc avant de la faire, je vous demande tout simplement l’autorisation de la faire.
Convenons qu’il ne va pas de soi d’accoler deux mots a priori aussi antinomiques
remarquons que peut-être qu’il n’y a aucun mot qui aille de soi,ou comme il s’écrit parfois de mot « juste », même le premier mot prononcé par une enfant, que ce soit papa, maman, cocotte, ou dada
Lou Reed? écouté sans en comprendre aucun mot il y a très longtemps, vicious take a walk . Il a fait partie de mon paysage musical. Tous ces gens célèbres qui disparaissent sont comme des pages d’un éphéméride qu’il nous faut arracher en pensant au temps où ils furent accrochés à nos vies.
par un(e) enfant
D pour les roses n’attendez pas trop ou il vous faudra les disperser sur un fleuve et je ne m’appelle pas Christopher, hélas, peut-être aurais-je connu la chance du grantamour avant de disparaître sur l’autre rive, celle que nous partagerons pour l’éternité.
Je ne ferai cette annonce que vous attendez tous que lorsque vous me l’aurez formellement demandé.
Blogogo un enfant qui parle n’est plus un enfant, il devient un être capable de nommer la chose et nommer la chose c’est quitter le monde du silence, du mutisme, de l’autisme fondamental qui précède cet avènement souverain qui de fait va pousser l’être dans une foret dense de signes et de symboles qui nourriront renforceront cimenterons son édification et lui permettront d’accéder au marché.
Comme ne subsistent entre deux set que quatre pelés et trois tondus…
bérénice, je me souviens d’avoir lu que P.Assouline apprenait le grec, alors qu’il le parlait sans le savoir, et de même pour le latin.
tout ne me fait p
oui? j’écrivais cela car vous savez bien sur que l’enfant c’est celui qui ne parle pas après en tirant l’idée on peut arriver à des choses drôles qui ne sont pas justes, pas fausses non plus l’enfant constitue un marché dés sa conception.
il échappe à beaucoup que l’on ne lit pas a priori ce blog pour « commenter » quoi ou qui que ce soit.encore moins du blabla psychologique
Le blog de P.Assouline avec ses coins (pourquoi n’y en a-t-il pas 4 comme le jeu?)est des mieux pensés , et son travail bien suffisant pour un lecteur commun qui n’est pas dans une démarche impériale
22h36 Mais il est vrai aussi que JB s’intéresse à la linguistique et possède un savoir non négligeable.
surenchère de la formule, démarche impériale pensez-vous qu’il soit nécessaire de se coincer le manche à balai pour assurer un maintien suffisant à l’apparat?
Ben va te faire voir chez les Grecs et tu pourras nous annoncer le résultat.
Ha !
il est certainement difficile de dater « la conception » d’un enfantemps et il y a un autre paradoxe dans le fait que dans notre temps si passionné de techniques psy, la mortalité maternelle des mères reste si importante(sur slate
La honteuse histoire de la mortalité maternelle
Au début du XXe siècle, le médecin était le plus grave danger qui menaçait les femmes en train d’accoucher.
Que voulez-vous dire par Ha ?
Ha ! Et Ha !
22h54 couplée à un taux de mortalité infantile élevée, rien que nous ne sachions. Les antibiotiques.
Ha non! Vous simplifiez alors que vous devez vous expliquer
La maison Christian Dior n’a pas pris beaucoup de risques en prenant comme ambassadrice la sublime Natalie Portman. Certes, c’est un choix sûr, mais c’est aussi une décision qui ravit ceux qui la croisent dans les créations de la prestigieuse marque, puisqu’elle est impériale. Cumulant les tenues Dior pour la promotion de Thor – Le Monde des ténèbres, elle est une fois de plus parfaite sur le tapis rouge de l’avant-première berlinoise, le 27 octobre. Avec ses allures de princesse – comme on a pu le voir à Paris – elle parle du film, mais aussi du fait de venir bientôt s’installer en France.
Sans l’ombre d’un doute y aurait-il davantage de femmes qui posteraient si elles n’avaient pas trouvé que la psychologie de ce blog relevait d’une
relevait d’un psychologisme assez « archaïque », si fraternelle soit l’obnubilation qui l’aveugle .
« Les antibiotiques. »
Déjà le simple fait de se laver les mains…
à défaut d’explication sur le mot réducteur
http://www.lesgrandsdebats.fr/Debats/Ou-sont-passes-les-intellectuels
Déjà le simple fait de se laver les mains…
Oui voilà et puis une bonne camomille par dessus si la fièvre ne passe pas.
inutile de vous frotter les yeux avec des mmmmm -oignons
« Oui voilà… »
Faites une petite recherche autour du mot « hygiène »…
les journalistes qui racontent: « expliquez-nous vos motivations » ! rien que ça !
Faites une petite recherche autour du mot « hygiène »
En effet le comptage qui se limite à deux guillemets n’appelle pas une prescription lourde. Une camomille suffira.
tiens, des réducteurs de tête et cliniciens hors-pair (on n’en fait plus des comme ça ; rassurez moi)
http://www.youtube.com/watch?v=vRTuarR_SmE
okay Passou: rembobinez !
Je vois que Badiou sévit sur FC…Ne jamais oublier qu’il a longtemps applaudit des deux mains le régime khmer rouge. Il a ensuite fait maende honorable et reconnu qu’il s’était trompé car il ne possédait pas toutes les données…On peut rester sceptique quant à la probitié intellectuelle de ce fils de grand bourgeois toulousain qui joue la carte « fils du peuple (nouveau) ». De quoi est-il le nom?
—
u. je reviendrai un peu plus tard sur votre commentaire sur les 2 bouddhismes.
Badiou est un étron putride : marcher dedans ne porte pas bonheur … préférer les déjections canines, plus saines, moins empoisonnées que les dires de cet « intellectuel » représentatif de l’imbécilité théorique des penseurs de l’époque…!
Monop, ce qu’on fait c’est pour surpasser tes anciens traumatismes.Et il est vrai qu’on pratique l’humanisme seulement nombreux. Notre humanisme est simple : ce qu’on ne connaît pas n’existe pas et se nomme pfhrhrhfbnduruebdbrhrhehdhrhrh. Évidemment l’hypothese de non-associativité qui préside à notre adaptation du traitement ludovico (on est à la fois l’etat et l’alex) est d’une logique assez subtile, moins efficace qu’opporthune. Mais tu ne pourras pas dire que tu n’avais pas été prévenu par tous. La faute t’en incombe donc seul.
Fort bien. Allez racontez ça aux hellénistes qui donnent des leçons gratuites d’humanisme et à l’archeveque humaniste et au gouvernement humaniste et à l’humanite humaniste.
Jeudi 21 / 10 à l’odeon, « repenser l’humanisme ». Venez nombreux.
Quelle retape indécente ! Ah ! ces humanistes-nés …!
Vous allez pouvoir argumenter en vainqueurs car je dois partir.
Et autre rendez-vous des humanistes à Monp ce soir.
L’imprécation et l’insulte demeurent le degré zéro de la pensée.
Imprécation et insulte sont méritées. Cet infâme Badiou, complice de criminels, est à vomir !
L’imprécation et l’insulte demeurent le degré zéro de la pensée.
Entièrement d’accord
9 h 38 min
avec JC ça décolle jamais de l’insulte
« avec JC ça décolle jamais de l’insulte »
Mais non !
Propos tout à fait exagéré …
Une rumeur !
nota bene : « va te faire enfiler chez les singes, Jean-Pierre ! »
JC un conseil: tu devrais faire gaffe avec tes insultes et obsessions racistes qui polluent le blog de M. Assouline
jean-pierre c’est le type que envoie des lettres de dénonciation anonymes.
@Bérénice
« Dans une ville des montagnes, un étranger demanda à rencontrer le maître du monastère. Le disciple du maître le fit entrer et asseoir.
L’étranger demanda aussitôt : « Je viens d’arriver dans cette ville que je trouve très jolie. Je voudrais m’y installer, mais avant tout j’aimerais savoir comment sont les gens ici. Vous êtes un moine, vous me direz la vérité, je vous fais confiance ». Le moine demanda « Comment étaient les gens dans le village où vous étiez avant ?». L’homme se confia : « Ils étaient rudes et voleurs, certains se liguaient pour piller les autres ». Le moine, désolé, lui dit alors : « Je vais vous décevoir, mais ici, ils sont pareil, ils volent et se liguent. Certains tuent aussi ». L’homme, satisfait devant tant d’honnêteté, poursuivit son chemin pour un autre village. Quelques temps plus tard, un autre étranger demanda à voir le moine. Le disciple le fit entrer et asseoir. L’homme demanda aussi « Je viens de loin, j’ai vu votre village du haut de la colline, c’est un bel endroit, j’aimerais y vivre, mais avant tout, j’aimerais savoir comment sont les gens. Vous êtes un moine, vous me direz la vérité, je vous fais confiance » Le moine demanda : « Comment étaient les gens dans le village où vous étiez avant ? ». L’homme se confia : « Ils étaient gentils et solidaires. J’ai passé de bons moments avec eux, le partage était équitable et on trouvait la chaleur dans tous les foyers » Le moine lui dit alors « Je suis content d’entendre ça, parce qu’ici les gens sont pareils, ils accueillent et partagent ». Au départ de l’homme, le disciple semblait choqué ; il dit au maître : « Cet homme vient vous demander la vérité ! Pourquoi vous lui mentez ? La dernière fois, vous avez dit que les gens du village étaient voleurs et méchants ». Le maître lui dit qu’il n’y a pas de vérité sur les gens, il y a une vérité sur notre façon de les percevoir. C’est cette vérité qu’il a vue chez ces deux hommes, et celle qu’il a dite. »
La France a peur dit: 30 octobre 2013 à 9 h 23 min
« jean-pierre c’est le type que envoie des lettres de dénonciation anonymes. »
Exact !
mais, connaissant personnellement le singe intérieur et la guenon juste, je ne crains rien ….!
JC c’est le type qui supporte pas les conseils en gros nostalgique de pratiques si bien connues de lui qu’il les attribue à ceux qui le trouvent pas drôle
a France a peur dit: 30 octobre 2013 à 9 h 23 min
jean-pierre c’est le type que envoie des lettres de dénonciation anonymes.
jc c’est le frustré juqu’à la moëlle qui s’amuse à se faire peur pour avoir l’impression d’exister
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