Vers un humanisme numérique
Convenons qu’il ne va pas de soi d’accoler deux mots a priori aussi antinomiques que « humanisme » et « numérique ». On se frotte les yeux. On doit à l’historien des religions Milad Doueihi, l’un des rares à avoir entrepris une anthropologie de l’homo numericus dès sa naissance, d’avoir répandu l’expression dans le public par ses essais et ses articles. Il y est revenu à l’occasion d’une conférence prononcée il y a un peu plus d’un an et reprise dans un bref livre intitulé Qu’est-ce le numérique ? (55 pages, 7 euros, Puf). Un titre qui sonne hélas un peu comme « Le numérique pour les Nuls » et qui, paradoxalement, réussit à être réducteur tout en ouvrant trop largement le compas. Quelques rappels y sont certes utiles : la distinction entre numérique et informatique trop souvent mêlés ; la notion de partage comme idée-maîtresse ; la conscience que la terre habitée chère à Lévi-Strauss n’est plus ce qu’elle était tant elle s’élargit désormais à une spatialité hybride et en mouvement ; l’idée que le numérique a finalement réussi là où la démocratie a échoué, à savoir exporter partout dans le monde un modèle parfaitement occidental (valeurs du document, concept de patrimoine et d’archive, icônes etc)… Soit, mais encore ?
Si ce petit livre offre matière à réflexion, c’est aussi parce qu’il revient sur l’humanisme numérique. Si nous sommes effectivement, comme l’auteur en est convaincu, dans une période de transition, et si nous ne sommes qu’au début d’une période de mutation, il est indispensable de penser cette transformation culturelle. L’humanisme numérique considère que la technique est une culture. Aux yeux de Milad Doueihi, le danger ne vient pas tant des détracteurs de la Toile, dont les raisonnements sont souvent trop archaïques pour être durablement commentés ; ils ne se rendent pas compte que Big Brother, ce n’est pas le numérique mais l’informatique, et qu’il est bêtement réactionnaire de faire tout un Golem de la lecture numérique, mais passons. Le danger, ce sont les écoles transhumanistes. Il les présente comme les prophètes d’une nouvelle humanité, partisans d’une sorte de cyber New Age, qui s’abritent derrière le concept de « Singularité » pour appeler de leurs vœux une convergence plus radicale de l’Homme et de la machine. Inutile de préciser qu’ils placent au-dessus de tout le pouvoir de la science. Doueihi nous invite à nous méfier de la dimension religieuse de ces transhumanistes américains, qui se réclament des Lumières (Enlightenment 2.0) pour mieux oublier l’Histoire et proposer un système qui n’a pas seulement le goût et la couleur du polythéisme. Même Vinton Cerf, l’un des co-fondateurs de l’Internet, allait dans ce sens il y a quelques jours dans une interview aux Echos en plaçant tous ses espoirs pour l’avenir dans l’intelligence artificielle –et l’on veut croire que son haut poste chez Google n’y est pour rien.
On voit par là qu’il est urgent de repenser nos rapports avec la mémoire, effet majeur de la révolution numérique. La conserver, l’interpréter, l’exploiter, la diffuser : il faut tout revoir. Pour y parvenir, l’auteur invite à bousculer la dualité mise en place il y a plus d’un siècle par le sociologue Max Weber entre éthique de conviction et éthique de responsabilité. Il propose une troisième voie adaptée aux nouveaux temps, mais ne l’explicite pas. Aussi, lorsque je l’ai récemment rencontré à l’occasion d’un entretien sur le sujet à France Culture, je l’ai naturellement pressé d’en dire davantage. Sa réponse tint en deux mots : « confiance sociale ».
Le phénomène de l’humanisme numérique est d’autant plus passionnant à observer qu’il est né et qu’il grandit sous nos yeux. Evoluera-t-il comme l’humanisme autrefois ? Un bel article vient de paraître dans la revue des Annales (juillet-septembre 2013, No 3) qui ouvre des pistes. S’appuyant sur une considérable bibliographie internationale, Clémence Revest (Ecole française de Rome) y raconte de manière aussi dense que lumineuse comment au tournant du XVème siècle (les années 1400-1430 en Italie), l’humanisme, aspiration à un retour de l’Antiquité, est devenu l’Humanisme. Culture alternative conquérante puis modèle dominant mis en pratique par des dominants, il ne s’est pas concrétisé à travers des institutions propres, mais dans un mouvement. C’est le mot-clé : « mouvement » avec ses corrélatifs « masse », « agrégation », « affiliation ». Tout à sa passion de l’imitatio Ciceronis, Pétrarque avait hâté la résurrection de l’éloquence. L’empreinte fut durable. On trouve d’ailleurs sous la plume de Proust épistolier, et peut-être même sous celle du romancier, le charmant néologisme « pétrarquiser ». Cela dit, Clémence Revest ne se demande pas qu’est-ce qu’un humaniste, mais qu’est-ce qu’un humaniste peut être. Certainement pas un citateur des Anciens. Non un imitateur de Cicéron mais un autre Cicéron.
En relisant cette étude sur une figure éthique de l’homme de savoir, on se dit que l’homo numericus lettré gagnerait à en méditer les leçons. « Si l’humanisme est né, c’est d’abord parce que ses partisans l’ont eux-mêmes proclamé » assure Clémence Revest. Il est permis d’en faire autant à condition de se garder des écoles, de se méfier de toute récupération académique visant à encadrer la chose, et de privilégier le mouvement. C’est déjà le cas sur les réseaux où l’entretien permanent (textos, facebook, twitter etc) est à mettre en parallèle avec la conversation épistolaire que les auteurs de la Renaissance concevaient comme « un signe visible de l’amitié ». Si ce mouvement a pris corps et s’est fait récit, c’est surtout parce que ses acteurs partageaient un même imaginaire au sein de leur aventure collective. Conservons les valeurs héritées des humanités, elles-mêmes fruit d’un plus ancien héritage, non pour les dupliquer dans un souci d’imitation, mais pour les adapter et en faire un rempart contre la religion de la science, la soumission à la technique et le culte de la machine.
(« Illustrations de R. Kikuo Johnson et de Max »)
898 Réponses pour Vers un humanisme numérique
Vive keupu
A bas bouguerau
mets plutot une chanson renfield..
Corrigé :
l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité
au docteur froid (voir plus haut , les chéris)
« Semifreddo (en français: le terme « semifeddo » signifie « moitié froid ») est le nom donné à une famille de desserts glacés typiquement italiens que l’on appelle aussi « parfaits » en français. »
De toutes façons, le chat, il va se faire râcler par le type au bâton c’est proprement évident…
Il est possible que keupu soit intelligent.
Il est probable que bouguereau soit con.
la citation 16 h 03 min est googlée après coup
« si tu parles de ton autoportrait dans l’saindoux… »
Voilà bouguereau : il a ses quelques sottises à dire et jamais qu’il y renonce…
« si la corne est la conviction et le cheval la responsabilité, la troisième voie, ma foi, risque fort de ressembler à une licorne. »
Seht gut!
Question d’un pragmatiste.
« There is no difference that doesn’t MAKE a difference », comme disait James.
Si c’est vrai, quelle est la différence pratique entre possible et probable, quelle est la « cash value » de cette différenciation?
Si on ne la faisait pas, en quoi notre monde serait changé?
« ce qui distingue probable et possible tient notamment à la patience : plus on attend et plus on a des chances de voir se produire une chose peu probable mais à priori tout à fait possible »
C’est très bien.
Mais ce que j’observe dans cette action de l’homme patient, qu’est-ce que c’est? Est-ce que la patience est tout bonnement la lenteur?
Sur ce point, l’auteur « pas plus que nous, ne peut en donner aucun détail. »
J’en conclus qu’il faut mieux laisser le probable au calcul des probabilités, et que dans l’action pratique rien ne différencie de manière signifiante l’homme du possible et l’homme du probable.
Oui enfin semi-frigide c’est encore du boulot, ça…
A moins que le chat essaye de balancer un coup de mortier sur le mec… Mais il y a des calculs, des abaques… Enfin là on en est sûr c’est du numérique…
christiane dit: 27 octobre 2013 à 15 h 33
@Christiane
Pourquoi une telle gourmandise à l’idée de relever ce qui vous apparaît comme un defi dans l’agressivité qu’elle vous témoigne ?y verriez vous de de sa part la reconnaissance flatteuse en vous d’un challenger à sa hauteur ?
C’est lui faire beaucoup d’honneur et la surestimer
Que vous regardiez avec derision son agitation sterile avec cuivres et lances :OUI.
Que vous vous sentiez flattée d’etre l’elue de ses sarcasmes :NON
A mes yeux , les choses,comme je les ai observées, sont plus simples quoi que vous imaginiez .
Je dois reconnaître cependant qu’en ce qui me concerne son agressivité à mon egard n’avait pas le même panache et ,s’adaptant au niveau où elle me situait ,elle relevait plus de la condescendance que de la concurrence
« J’en conclus (…) que dans l’action pratique rien ne différencie de manière signifiante l’homme du possible et l’homme du probable. »
Message à peine codé d’U à Daaphnée ?
renato, oui c’est comme les notes et la musique. Musil dit une chose étrange sur le possible : « il nous faut accorder autant d’importance à ce qui est qu’à ce qui n’est pas », c’est comme aimer la musique au delà de tous les arrangements de notes déjà existants, aimer ce monde au delà de tous les arrangements possibles,ça a été sa réponse au livre de Spengler sur la fin de l’histoire, une réponse qui ne prend pas en compte la dimension temporelle, historique où le possible est lié à l’avenir (un autre monde est possible)comme le nombre imaginaire dans Törless, ce nombre échappant non pas à l’ordre du probable mais à celui du possible.
Il est probable que bouguereau soit con.
Il n’est pas possible qu’il soit intelligent.
« Musil dit une chose étrange sur le possible : « il nous faut accorder autant d’importance à ce qui est qu’à ce qui n’est pas », c’est comme aimer la musique au delà de tous les arrangements de notes déjà existants, aimer ce monde au delà de tous les arrangements possibles » (hamlet)
Je comprends très bien ça.
Mais ce n’est pas la différence entre le réel et le possible?
Ou est le probable?
Ce « possible », c’est un sur-possible? Un possible plus rare, un possible au-delà de l’imagination?
(J’entends Pollini jouer, et j’écoute en même temps une interprétation qui n’est ni la sienne, ni celle de Richter, mais une interprétation qui n’a jamais été donnée, et dont je suis pourtant en attente)
@DHH dit: 27 octobre 2013 à 16 h 28 min
Oh, rien de tout cela, DHH. Les êtres humains sont passionnants, vraiment, Ils font ce qu’ils peuvent… et cette toile est un échiquier. Il faut aimer le hasard.
« La vie n’est qu’une ombre qui passe ; un pauvre acteur
Qui se pavane et s’agite une heure sur la scène
Et qu’ensuite on n’entend plus ; c’est une histoire
Racontée par un idiot, pleine de bruit et de fureur,
Et qui ne signifie rien. »
Macbeth / W.Shakespeare
J’en conclus qu’il faut mieux laisser le probable au calcul des probabilités
excellent zouzou..le reste est un distingo litteraire, c’est a dire dans le particulier, toi tu crois que tu couches avec marylin et stendahl pensent que c’est josette.nous on voit bien que c’est marcel..jicé dit « je ne dirais rien ! c’est un copain »..bref le diabe probablement
introduction
» il représente également une contribution importante au débat déjà ancien sur l’universalité de la pensée rationnelle : de fait, Les mathématiques naturelles s’inscrivent dans le même mouvement que La pensée sauvage de Claude Lévi-Strauss, qui y établissait que « la pensée sauvage est logique dans le même sens et de la même façon que la nôtre » (cf. p. 210).
4De quelle nature est cette « rationalité mathématique universelle » que Marc Chemillier décèle dans les pratiques étudiées ? Pour l’évoquer brièvement, nous nous limiterons aux deux exemples musicaux, qui sembleront plus familiers aux lecteurs de la présente revue.
5Premier exemple : les rythmes asymétriques d’Afrique centrale, dont une description avait été donnée par Simha Arom et son équipe dans un cédérom consacré aux Pygmées Aka, et dans l’ouvrage classique d’Arom sur les Polyphonies et polyrythmies instrumentales d’Afrique Centrale (1985). Ces rythmes, très répandus dans ces régions d’Afrique, ont pour caractéristique de combiner des valeurs binaires avec des valeurs ternaires, un peu à la……
http://ethnomusicologie.revues.org/1311
« toi tu crois que tu couches avec marylin »
Voici un souvenir de film, vu dans l’enfance, parce que cette expression me choquait et me faisait des choses.
Yves Montand en marcel, dans le Salaire de la peur, désignant des photos de « pin-ups » (mot d’époque) au dessus de son lit de merde:
« Alors, on regarde ça… tandis qu’on pelote une négresse… »
(Diable.
Nos pères seraient censurés)
C’est pas mal ces métrops ils serpentent à travers la ville comme en Auvergne, seulement si jamais ils sont sur la même voie sans le savoir c’est plutôt mal barré
…
…Ah,…putain,…j’ai déjà dit mille fois,…
…
…l’ordinateur ne pense pas,…
…il classe , il répertorie,…suivant les instructions » sélectives » et programmes,…propres à réduire le temps de recherche et fonctions » robots » répéter pour un contexte d’applications et usages de recherches public / privé,…applications -sciences – commerces -,…
…un processus stérile de globaliser les décisions pour arriver à des » chiffres » de rendement,…comme sur un jeux Vidéo,…en ne tenant pas comptes des facteurs humains,…
…
…la sensibilité, l’humanisme doit rester totalement absent dans les applications de gestions par P.C. ordinateur,…
…c’est une comptabilité,…pour tout » écraser « ,…et uto-piser,…une société sans racines,…une globe-sphère sans réalités,…
…puisqu’il suffit, d’un manque dans la chaîne de la pensée, ( comme la disparition des abeilles dans une région » P.C. » ),…pour que toute la » Bio-sphère « , s’écroule,…comme un tremblement de terre,…via,…les disparitions géologiques » Atlantide ,Île de Pâques,…et tout simplement la terre à nos jour,…
…et dans le futur un cataclisme de plus sur terre avec les concurrences déloyales et autres commerces équitables,…à deux balles dans l’oignons,…etc,…
…indispensables Dieux,…Soeur Anne ne sent tu rien venir,…reçu cinq sur cinq,…l’annonciation plein » cadre « ,…en manque d’off-shore personnels,…
…genre » après-moi milliardaire, le déluge « ,…d’un trait,…
…honnit soit qui mal y pense,…là,…envoyez,…etc,…
…
Yves Montand en marcel, dans le Salaire de la peu
de trés trés loin son meilleur rôle..ha comme il joue bien les ordures..sans ce film formidable je ne pourrais pas le blairer..le diabe probabe
u. dit: 27 octobre 2013 à 17 h 13 min
on pelote une négresse…
Faut être rationnel et objectif, en cherchant un tunnel après ça fait pas trop de différence qu’on croit. Evidemment on peut pas voir la photo de Marilyn, mais alors la dynamite, elle, si on la secoue bien dans le lit, là sûrement y aura de l’efficacité…
« Alors, on regarde ça… tandis qu’on pelote une négresse… »
comme quoi on ne sait jamais son bonheur zouzou
« Alors, on regarde ça… tandis qu’on pelote une négresse… »
Mmm.. U. chéri, retirez vos lunettes noires .
tandis qu’on pelote une négresse…
Gros effort de mémoire neuronique.
Il me semble qu’il y avait aussi une surprise: la femme ou les femmes qu’on voyait n’étaient pas noires…
« – Pourquoi il dit « négresse »?
– C’est parce qu’ils sont aliénés. »
Giovanni Sant’Angelo dit: 27 octobre
la chaîne de la pensée
Justement c’est peut-être là qu’il faudrait creuser, jusqu’ici naturellement on fait quasiment rien en parallélisme sauf des évidences, ce qu’il faudrait, c’est des sortes de niveaux de présence dans la chaîne de la pensée…
« c’est des sortes de niveaux d’absence dans la chaîne de la non-pensée… »
H. Désir a la tête d’un forçat dans une BD qui s’appelait « Bobo s’évade ».
quand on que des citations comme arguments, c’est qu’on n’a pas grand-chose à dire de personnel(A. Moi)
(hamlet, faux frère, tu désertes?)
aux distingués aristes (bi&trin)
une question qui me tracassa assez lorsque je la rencontrai sculptéesur une pièce aujourd’hui dans le jardin d’un musée pour ne pas accaparer votre temps ni entrer dans vos fantasmes culministarisés
« Pourquoi une case vide n’est pas une case blanche. »
voilà mon non-secret
…
…Sergio,…à,…17 h 38 mn,…
…
…la chaîne de la pensée,…
…justement,…
…il suffit de voir fonctionner le monde entier,…pour ne pas y mettre son grain de sel a participer,…au fiasco des vessies pour des lanternes,…et autres » boson « ,…de la pensée unique,…
…da Vinci,…Non,…encore dans Bysance aux mains des alliés du finich-razzia’s à deux balles les barbares-vandales à Venise,…commerces des » après-nous le déluge « ,…
…tirer votre plan,…bandes d’abrutis de » rois régnants sur les rois « ,…à deux balles,…etc,…et le reste,…à s’éclater au boson de merlin l’enchanteur,…etc,…
…
tandis qu’on pelote une négresse…
Gros effort de mémoire neuronique.
on osait pas tle dire..ta mémoire te fait dassez sales tours que tu trouves « bon » de t’en escuser
sculptée sur
« Pourquoi une case vide n’est pas une case blanche. »
putain lui s’l’avoue même pas
Donald Judd :
http://tmagazine.blogs.nytimes.com/2011/05/05/asked-answered-flavin-judd/?_r=0
..ha ça doit stressant d’ête dans vote calçon a jamais pouvoir sfaire confiance
rénato ramène son saindoux que c’est plus fort que lui..à part le pastis51 son maitre
dégage sur ton blog boudegras, ici tu pollues grave
ou alors va chez Popol, il y a de la place, cela le ferait rire un peu
tu peux parler de pastis, toi le calva dès le lever
c’est des sortes de niveaux de présence dans la chaîne de la pensée…
sergio l’est toujours a ploter ses négresses..faudrait une police de la pensée
Nous avons compris que tu bois mal bouguereau, inutile d’en faire l’illustration chaque fois qu’une occasion se présente.
ha escuze rénato..pour le pastis c’était un tic..le saindoux en revanche je maintiens
l’alcool..l’age..le sesque..tout ça c’est des habitus comme dirait bourdieu pas vrai dafnoz
dans ces années-là, les élèves les plus hargneux et agressifs en philosophie rappelaient au maître
en chair et en chaire et en os la question du point aveugle -la con fiance qui engageait la séparation, parfois TRES violente( avec suicide à ..la clé ! en psychanalyse ).
surtout le sesque .
..tu dvrais essayer le 51 renfield si t’as pas de blog comme keupu..c’est un moindre mal
Tu maintiens ?! mais c’est déjà beaucoup si tu arrives à maintenir la station debout…
L’illustration elle irait bien pour un Butor qui se passe en Angleterre et dont je ne retrouve pas le titre ; finalement Wiki c’est comme Radio-Paris ça ment…
la position du missionnaire ? habitus..la levrette ? habitus ! c’est scientifique, zouzou essaie mais peut rien contre
si tu arrives à maintenir la station debout…
habitus rénato..habitus..
la deuxième illustration indispose, sergio..on voit ça on croit qu’on a mangé du jambon pas frais
La deuxième illustration?
On a tort de rire.
Dédé nous a assez appris que les êtres d’ailleurs faisaient passer les informations de manière sub-liminale, pour nous préparer.
Cette deuxième illustration, elle n’est pas d’ici.
blog booming you pi*°°° dit: 26 octobre 2013 à 23 h 34 min
ne dites plus « il en est », mais il y a des gens qui, « , ou « certaines personnes »
voilà qui me rappelle quelqu’un qui comme vous ferait mieux de se regarder dans le miroir..
Excellent, cette histoire d’habitus.
Tu fous une claque.
Tu es critiqué.
« Habitus ».
Tu mets la main à un cul américain.
Tu es convoqué.
« Habitus!
French.
Latin culture.
I resent your criticism ».
Daaphnée dit: 27 octobre 2013 à 17 h 36 min
Mmm.. U. chéri, retirez vos lunettes noires
Sexy il nous dit u., chacun ses goûts mais conne personne n’en doute, même pas lui.
des journées entières dans les arbres dit: 27 octobre 2013 à 7 h 04 min
web 3.37
Houston, do you copy that ?
Un erreur, je répète, une erreur.
Identifiez-vous, mal ou femelle ?
ouh là, mais ça fait très sexe hué ton truc..
bouguereau dit: 27 octobre 2013 à 18 h 20 min
la deuxième illustration indispose, sergio..on voit ça on croit qu’on a mangé du jambon pas frais
Oui, mais il n’y a pas ce chat qui se croit l’empereur de toutes les rues comme dans le Christin et Bilal…
pour moi c’était un renard enragé..alors forcément faut lui kicker sur la tête..
I resent your criticism ».
hum y’a pas de comuniti french en amérique..car combien de division votre habitus ? qu’elle dit le shériff..pour ça que les français carottent en amérique..mais c’est bien, on reste « exotique »
« Oui, mais il n’y a pas ce chat qui se croit l’empereur de toutes les rues »
Sauras-tu désigner le chat qui se croit l’empereur de toutes les Russies?
Sauras-tu désigner le chat qui se croit l’empereur de toutes les Russies?
Mmm.. J’hésite.. DHH? Cricri?
Cette histoire de chat noir, il faudrait en discuter, patron.
Le noir, il est jugé merveilleux par les uns, diabolique par les autres.
Les tigrés rouquins sont presque toujours bienvenus.
Le problème, c’est les noir-et-blanc, parfois appelés populairement « vaches normandes ».
Là je sens le préjugé et le mépris.
Et je m’inquiète.
kicking dit: 27 octobre 2013 à 18 h 26 min
j’en suis pas : excusez du choix (non « du peu » ni des du.
excusez du peu, les en tant que tels !
Daaphnée, je vous demande de vous arrêter.
(Les chats, quelle est la bonne couleur?)
kicking dit: 27 octobre 2013 à 18 h 26 min,
mais j’en suis pas des excusez du peu en tant que tels , vraiment pas mon genre
u. déserter ? le réel ? déserter le réel.
je crois que Musil avait été marqué par la réflexion d’un haut gradé allemand au retour de la grande guerre déclarant : « je n’ai pas voulu cela », cette phrase a été reprise par un tas de responsables si bien qu’à la fin, pour la première fois de son histoire, l’homme se trouvait face à un carnage que tout le monde avait commis mais personne n’avait voulu commettre.
c’est une réflexion qui pourrait être reprise aujourd’hui par nos dirigeants politiques face aux misères de ce monde, à l’évidence il ne veulent pas cela.
si bien que le réel semble se réduire à des faits que personne ne voudrait qu’ils ne produisent contrairement à d’autres faits dont ils voudraient bien qu’ils se produisent mais qui hélas n’arrivent jamais.
un tel monde, où les faits qui s’y produisent semblent être à tel déconnectés des volontés remet totalement en question nos grilles d’analyse qui reposent sur les deux forme de justifications : les causales (ou involontaires) et les justificatives (intentionnelles), grille sur laquelle reposait la définition du sujet donné par ce brave Kant, lui permettant ainsi de définir la notion de sujet comme étant une espèce de cause en soi pour des fins voulues, distinguant ainsi la cause et la raison (alors que Wittgenstein il y a une irréductibilité des raisons aux causes).
Davidson (et aussi Freud) avait réussi à défaire cette notion kantienne d’un sujet « actif » constant les causes de ses actes par un autre sujet totalement stupide (mais au combien tellement plus drôle) et sidérer de constater les causes inattendues de ses actions.
Je ne sais pas si un jour les lecteurs de Descartes pourront continuer de lire cet auteur en conservant un minimum de sérieux.
Demandez aux japonais qui vivent pas loin de Fukushima ils vous diront que le réel est d’une trop grande trivialité et sur la question du possible tsunami et de la probable explosion du réacteur nucléaire les responsables vous noieront sous des tonnes de chiffres, cette réalité aurait été trop triviale pour Musil, bien qu’Ulrich, pour des raisons faciles à comprendre, ait désiré devenir mathématicien pour Musil les notions de possible et de probable ne pouvaient être définies, non pas d’abord sous l’angle scientifique, mais en premier lieu sous l’angle poétique (et littéraire), pour cet auteur l’homme du possible est non pas celui qui lit (il n’aimait la lecture et les lecteurs) mais celui qui vit comme un lecteur, avec toutes les difficultés de mise en oeuvre que cela suppose, c’est une bien drôle de leçon n’est-ce pas u.? ne pas lire mais vivre comme un lecteur.
l’empereur de toutes les Russies?
..fastoche c’est canardo..bilal m’emmerde mais lui je kiffe..je kiffais..il boit ses droit d’auteur
Lou Reed 😮
kicking rôde, rien à se mettre sous la dent ?
« On ne s’emplit pas la bouche de fourmis sans savoir, au préalable où mettre sa langue «
Changez de look, kicking !
http://a403.idata.over-blog.com/0/22/55/48/ed.gif
🙁
Tiens, frappé!
t’ai sonné ?
hamlet dit: 27 octobre 2013 à 18 h 52 min
Ouaouh!
Bon, il faut aller dîner.
» ce brave Kant »
Ce brave Kant…
C’est comme quand on tape sur Finkie.
J’ai mal à ma mère.
Ensuite je réfléchis.
« Oups!!! ça me rappelle quelqu’un . » (Daaphnée)
Clopine, si vous passez par là, sachez que je n’avais pas pensé à ça.
(Clopine a un chat?
Moi non, c’est la nostalgie qui parle)
Daaphnée dit: 27 octobre 2013 à 19 h 00 min
L’autre cruche qui vole les pseudo a encore frappée!
Cricri ? DHH? La vache normande ? les cruches!!!
Et chacun continue à étaler son besoin d’avoir raison chez autrui. C’est beau l’humanisme numérique !
« sur la question du possible tsunami et de la probable explosion du réacteur nucléaire les responsables vous noieront sous des tonnes de chiffres »
c’est très interessant Hamlet.
Effectivement, si on met cela sous forme littéraire ( poétique),ça devient nettement moins dangereux.
Appeler cela une mentalité de plouc serait faire preuve d’un peu plus d’honnêteté, las, c’est considéré comme bouillie pour chats dans la course à l’éthique quéquette !
Clopine, si vous passez par là, sachez que je n’avais pas pensé à ça.
Non, mais… U. faudrait vous mettre au vert, là!!!
hamlet
Je m’absente, mais je n’ai pas compris ça:
« ce brave Kant, lui permettant ainsi de définir la notion de sujet comme étant une espèce de cause en soi pour des fins voulues, distinguant ainsi la cause et la raison (alors que Wittgenstein il y a une irréductibilité des raisons aux causes). »
Donc, les deux distinguent?
Que vient faire le numérique dans l’humanisme ? Rien … ! Vice-versa ? Rien …!
-Tu peux, et dois, être un bon pratiquant de la technique en laissant de côté un truc inutile : l’humanisme. A quoi te sert de rentrer une contrainte de plus, l’humanisme !? A rien, pour ton problème.
Si l’humanisme te passionne, car tu adores perdre ton temps en blabla philosophico-mystique, tu n’as « en rien » besoin du numérique ! Amuse toi, écris des livres qui se vendront, perds ton temps…
Rien n’a changé depuis les vieux Grecs !
u. dit: 27 octobre 2013 à 18 h 49 min
Le problème, c’est les noir-et-blanc, parfois appelés populairement « vaches normandes ».
Oui enfin si la terre se met à mentir, se détache en blocs gigantesques encore comme dans un Christin et bilal, eh bien les pauvres bêtes traverseront l’Atlantique nord à trente noeuds…
Mme Michu.. elle sort d’où, celle-là?
ah mme michu, je pense qu’aucune pensée positive ne peut plus vous atteindre.
C’est en général un diagnostic de dépression.
C’est très fréquent en automne.
Il faudrait regarder la météo; il fera p’têtre beau demain chez vous.
une contributrice, assez abondante, de ce blog écrivit un jour que les contributeurs ne pensaient rien de ce qu’ils écrivaient : une manière de dire qui me choqua pas surtout de sa part eu égard à ses commentaires.
les professeurs qui dénigraient leurs éminents collègues me surprenaient moins, et d’eux j’ai appris beaucoup plus sur ce que je ne comprenais pas et dont je ne cherche pas la réponse dans les échos d’un blog à l’autre.
trente noeuds…
Mmm.. ça fait rêver, Sergio!!!!!!!!!!!!!
Le chat Béhemot, dans le Boulgakov, je pense…
pauvre des journées, j’en ai plein sans aide et de bien meilleures que celles dépendant de la négation d’autrui, enjoy !
« Non, mais… U. faudrait vous mettre au vert, là!!! » (Daaphnée)
Duflot?
Placé?
Plutôt crever.
C’est bien ce que je vous disais mme michu, aucune pensée positive ne peut plus vous atteindre.
ça ronfle souvent dans vos scéances diapo ?
qui me choqua surtout de sa part , elle qui avait déjà cru bien m’expliquer …(elle me rappelait une femme que j’
Me Michu les pensées appartiendraient au domaine de l’engagement ou à celui de la compromission? Est-ce ce que vous vouliez écrire? Dans un cas comme dans l’autre elles nécessitent une dose de courage.
D Les persans mais seulement si vous détenez un excellent aspirateur ainsi qu’une brosse ou un adhésif à vêtements à moins que vous le tondiez auquel cas il ressemblerait à un pelé malheureux, aucune solution à votre quête du Graal en matière de chat.
au domaine de l’engagement ou à celui de la compromission?
Ah mais faudrait savoir de quoi on parle, mauvaises pensées ou manipulation ?
mais qui vous parle de manip? Vous peut-être à vous y essayer et remplacer un mot par un autre, il est possible de se compromettre sans entraîner quiconque à la suite, non?
et sur l’engagement aussi quelques brillantes lumières nébuleuses ?
Si penser est un acte et si vous répondez de vos actes comme attestant de votre pensée, il se pourra que vous soyez loin de vous percevoir comme un public si vous en avez un vous reçoit et perçoit qui pourra émettre une critique positive ou négative
Daaphnée dit: 27 octobre 2013 à 19 h 21 min
ça fait rêver
I doit rester le bagad de Lann-Bihoué… Des artiss !
faudrait pas voir des engrenages partout non plus
pas fini de piquer le « faudrait savoir à P.Assouline » ?
moi quand on me dit « il faut pas croire »,sûr que je suis depuis longtemps dans une autre aventure que celle dans laquelle on se demande comment m’embarquer dont je ne dis pas que je la connais déjà, (on en vous pardonne jamais d’être un peu dans une aventure- moi ce fut un moment la case blanche de ce monument où ils avaient fini par prétendre que la sculpture était un faux, un hoax d’artiste pour les occuper à se ridiculiser à coup de philosophies !
pardon « faudrait savoir »
on ne vous pardonne jamais
« on ne vous pardonne jamais »
Heureusement !
comme « il en est » sur ce blog qui auraient écrit
Sapere aude ! s
ils en auraient même fait tout un one posters’s show en bilingue
Je ne comprends pas pourquoi je suis censuré de la sorte. C’est inique…
Par exemple où est passé mon chat tabby ?
Et mon poulet froid ?
Et mon blues du dimanche soir ?
Et mon secrétariat ?
Et mon pelotonnement ?
C’est comme ça qu’on refait l’Histoire. En gommant des sources et des citations. En élaguant ce qu’on veut comme on veut.
à la shootée aux moumouttes je rappellerai au besoin que mon « il en est » faisait référence à certaines comédies et non pas à des comédiennes
pour le reste, on laisse volontiers le monopole des soucoupes aux dames pipi
Lou Reed est mort. Je n’aime pas trop ce genre de musique. Je n’ai rien contre le bonhomme, je ne le connais pas, mais je n’aime pas sa musique.
se ponger (l) ds es sous-couches ;
Qu’est-ce que vous insinuez par « monopole des soucoupes » ? C’est à moi que vous parlez ?
l’ il en est d’RdL n’est pas sur Sorgues la philosophique
les ples fiblissent
jo stik
lisa est un joli prénom, mais souvent porté par des filles qui ne le méritent pas. C’est de la faute des parents, pas des enfants.
…
…J.C.,…19 h 19 mn,…
…
…que vient faire le numérique dans l’humanisme,…
…tout dans un sens plus profond,…
…
…quand l’individualisme n’est pas connecté a l’intérêt général des convivialités,…
…
…vous arriver à une dislocation des forces de la raison humanitaire,…
…
…le choix » libre « ,…si vous êtes un bon » général humanitaire « ,…avec d’excellents officiers du renseignement dans l’état actuel des enjeux en cours,…sans les ( avec des Si, Si,…mettre Paris en bouteille ),…
…
…le choix, une tactique, dans l’espace temps,…
…exemple,…Mac Arthur dans le Pacifique,…le choix vite/efficace,…prendre des îles du Pacifique en filière, pour se pointer devant le Japon,…
…
…un choix,…impossible en d’autres contextes,…toujours avoir le génie avant les ordinateurs et obscurantismes,…
…l’ordinateur et Dieux,…même combat contre l’humanisme,…bien jouer là,…
…sûr, cette position en embroche plus d’un,…etc,…
…
La commune de Sorgues, située dans la zone d’influence du climat méditerranéen, est soumise à un rythme à quatre temps
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sorgues_(Vaucluse)
Merci Jean pour cet éclairage.
D. dit: 27 octobre 2013 à 21 h 12 min
Je n’aime pas trop ce genre de musique.
D. arrache les dents sans aucune douleur.
Ça devient carrément n’importe quoi ici. Un vrai défouloir pour détraqué.
Moi je vous le dis si ça continue je vais me barrer, parce que j’ai plus la force d’endurer ça.
hey honey take a walk on the wild side
http://www.youtube.com/watch?v=0KaWSOlASWc
mon Lou,
Oui mais, Rose, je me doutais que aimeriez. Je me doutais bien. Vous ne me ferez pas aimer. Et pour moi ce n’est ni une idole ni un repère qui meurt, mais un homme tout simplement.
Souvenirs
Sergio, c’est le troll voleur de pseudo qui s’occupe, laissez courir ..
Tiens, Bourdieu dans arrêt sur image
c’était pas mal ..
(et pour reprendre la formule, le Boug’, je ne crois pas que les conditions soient réunies pour que je vous explique pourquoi je suis passée de ce dernier à MH, en gros Houellebecq annonce en quelque sorte une démarche « la carte et le territoire » prometteuse mais qui s’effondre comme un soufflet alors qu’on s’attendrait presque à une reflexion à la Bourdieu – audelà qu’ils ne soient pas du bord ni qu’ils aient les mêmes compétences ! – sur la représentation du réel .. Ce n’est pas le cas. C’est « La possibilité de .. » qui m’a fait penser à MH, alors qu’en fait je pensais/j’observais la façon dont les discours se construisent quand même, quand on ne cherche pas nécessairement le concensus )
Bref,
Bourdieu dans Arrêt sur image
http://www.youtube.com/watch?v=eNJWGDMxGOs
aussi
La Sociologie est un sport de combat
http://www.youtube.com/watch?v=aukfnAfFZ7A
et
Pierre Bourdieu et Fernand Braudel
http://www.youtube.com/watch?v=xPYH7g0-bLs
Si on ne peut pas discuter ..
Si vous voulez me situer avec précision, considérez que c’est au antipodes de ma sensibilité. La musique, l’atmosphère, la voix, le genre. TOUT. Aux antipodes.
aussi
La Sociologie est un sport de combat
http://www.youtube.com/watch?v=aukfnAfFZ7A
et
Pierre Bourdieu et Fernand Braudel
http://www.youtube.com/watch?v=xPYH7g0-bLs
moi qui ne suis ni sociologue, ni historienne .
Oh bon sang ce qu’elle me gonfle, celle-là avec Bourdieu.
De l’air ! de l’altitude !
tant de blogueurs choisissent toujours des billets en écho avec celui de P.Assouline et qui en sont leur commentaire, que l’on se sent peu engagé à « commenter »
Tout à fait.
poulet-mayo, D ?
http://www.youtube.com/watch?v=xTlsSXNT2bg
Je suis pas blogueur pour cette raison. Je serais trop tenté de faire pareil et je sais que c’est pas joli-joli.
Oh bon sang ce qu’elle me gonfle, celle-là avec Bourdieu.
J’en suis tout à fait ravie.
Pourtant tout gonflé que vous êtes, vous ne volez pas haut …
Mince alors !
Bon yaourt.
J’ai dit ça de façon impulsive, Daphnie, ne le prenez pas mal. Ce n’est pas vous que je visais mais Bourdieu.
Alors, DHH, pas de réaction ? Je vous ai relu. Vous avez un rapport trop naïf, trop vulnérable aux commentaires des uns et des autres. Ce que j’essayais de vous dire c’est qu’aucun des commentateurs n’est réel. Aucun ne fait partie de votre vie réelle. Daaphnée la méchante, D l’extra-terrestre, U et Hamlet les jongleurs abstraits, même clopine, même Paul Edel, même bouguereau le rabelaisien et JCH. et sa pirouette : fictifs, tous sont fictifs, même moi… et je passe sur les pseudos changeants comme le temps ou ceux qui prennent le vôtre pour vous faire dire ce que vous n’avez ni dit ni pensé. Alors pourquoi prendre tant au sérieux une pique blessante ? Répondez avec humour,ignorez, foncez dans le tas, lâchez-vous. Au pire votre commentaire tombera dans les oubliettes et alors ? Voilà bien longtemps que les billets de Pierre Assouline malgré leur diversité et leur sérieux sont comme un chapeau qu’un vent de folie emporterait au loin, laissant un espace commentaire devenu une scène de théâtre où des ombres se croisent – acteurs désœuvrés – , se perdent, se quittent, se retrouvent, se tapent dessus comme dans un castelet de guignol.
Aussi, prendre un échange pour un tournoi où il n’y a rien à gagner sauf le divertissement n’est pas inconcevable.
Tenez, faites une expérience : sauriez-vous dire quel va être le signataire du prochain commentaire et de quoi il va être question dans ce commentaire ? non, n’est-ce pas ?
C’était drôle de jouer avec ce rapprochement saugrenu de ces deux concepts : « humanisme » et « numérique ». Ça valait le coup d’entrer dans la dérision pour gripper la machine. Charme de la contrebande…
Il y a dans notre théâtre-off, d’autres rendez-vous où nous sommes plus sincères. Cherchez-les sur la toile mais plus ici !
juste une information
SCIENCE-FICTION / Livres en promotion chez Charybde
Afin de soutenir une librairie un peu particulière dans la lignée d’Alain Echegoen.
Voici un lien vers un peu plus de 7 000 livres d’occasion en promotion à – 40 % chez Charybde ! Pensez à les classer par auteur ou par collection (en cliquant en tête de colonne) pour faciliter vos recherches et vos découvertes.
http://www.charybde.fr/pages/promo
Je suis désolé de vous contredire, Christiane, mais je suis parfaitement réel.
Je ne sais pas ce qu’elle ont toutes ce soir à se payer tous les platanes les unes après les autres. Rose, Daaphnée, Christiane. A qui le tour ?
>D. je ne tiens pas à vous convaincre d’aimer, tit’hommage tout simplement, j’lui mets un peu de musique avec ses potes pour le voyage
http://www.youtube.com/watch?v=W4VEXl4vsq4
La superman de Lou Reed, c’est Laurie Anderson, sa compagne, superwoman, D.!
>christiane
bien cordialement à vous
D. dit: 27 octobre 2013 à 21 h 51 min
Alors une grosse bise sur votre nez de clown !
Daaphnée dit: 27 octobre 2013 à 21 h 44 min
« vous ne volez pas haut »
Et l’autruche s’y connait.
C’était drôle de jouer avec ce rapprochement saugrenu de ces deux concepts : « humanisme » et « numérique ». Ça valait le coup d’entrer dans la dérision pour gripper la machine.
ce n’est pas tout à fit ainsi que je l’entends parce qu’il s’y agit quand même d’une occasion de se questionner ave et à propos d’un livre et sur ce livre et cet uter et son travail .
Lorsque les jeux sont trop répétitifs, ils perdent tout attrait , a fortiori dans les manipulations psychologiques . et ne croyez pas que je veuille introduire des mots comme
blasé, et moins encore nihiliste
« Et l’autruche s’y connait »
C’est surtout les plumes qu’elle sait où se mettre.
tout à fait
avec
Mon souvenir c’est que les distingués erdéliens n’ont pas su conseiller DHH sur la manière d’envoyer un lien ou de copier coller(je ne connais pas les mots appropriés): donc pour ce qui est de l’encouragement à la participation, ce blog n’est pas exemplaire
…
…il faut arrêter de casser du sucre sur le dos à,…D,…,il est dans la passion de la vie,…
…
…une position difficile à tenir,…se donner en privé,…se donner en public,…tenir tout les rôles du matin au soir,…et faire un théâtre à lui tout seul,…
…comment, peut-on manquer de sensibilité à ce point,…
…il en reste désarmer, et hésite à se défendre face à ces réflexions indignes de laisser pour compte d’un autre âge,…
…un rôle de plus, l’acteur meurtri , qui s’excuse de sa réussite en quête d’humanisme du mérite,…sa vie, une chance, un exemple à suivre,…
…encore, merci de vos interventions pétillantes d’humour,…n’en déplaises à nos extra-terrestres de service encore ébahis par la concurrence auquel ils doivent faire face,…
…je n’en ajoute pas plus ce soir,…et demain sera un autre jour,…etc,…
…
d’autant que je me souviens de billets de P.Assouline dans lesquels il écrivait (et non disait) on y apprend quelque chose
il me semble important de repérer que P.Assouline
fit appraraître comment il se questionne et les mots qu’il met en partage, , y compris lorsqu’il signale la vie érotique des hommes politiques leur….. technique pour l’assouvir ?
fait apparaître
le fait que P.Assouline propose des mots et des concepts signale parfois de quel auteur il les tient ne fait à personne une loi pour n’utiliser que ces mots, questionner exactement sur son modèle .
(j’ai ouvert un livre qui évoque « la texture du temps ».)
@ blogogolemite de la dernière heure dit: 27 octobre 2013 à 21 h 58 min
Voir 12h18 (et ce qui a suivi…)
ce billet de P.Assouline s’inscrit assez dans l’ordre « pédagogique » . c’est un billet de professeur « assez classique ».
Nul n’est tenu de se sentir obligé de le redupliquer .
Line dit: 27 octobre 2013 à 22 h 01 min
C’est surtout les plumes qu’elle sait où se mettre.
Line c’est la fille qui a un gros problème avec son cul.
@christiane
je ne sais plus collection à quand remontent la collection « pour les nuls », ni la familiarité de dire de quelqu’un ou quelque chose q’il est ou que c’est nul.
de même l’expression « se lâcher » . jusqu’à quel point ?
re-coucou 😉
http://www.youtube.com/watch?v=8KYj7ItbxzY
hey d’georges
hey hey
merci 🙂
au milieu des liens donnés ci, là Marguerite Duras, Jeanne Moreau and so on, on se demande le lien avec Lou Reed
L’Humanisme est né à la Renaissance
Après des débuts de vie difficiles, né à Rotterdam et parti à Gouda (misère de fromage)
C’est dans cette école qu’il apprend le grec et le latin et, à l’âge de 17 ans, fabrique son nom sur un jeu de mots : Geert signifiant en hollandais « le désiré », il le traduit en latin par Desiderius et y ajoute Erasmus, « aimé » en grec, ainsi que Roterodamus pour rappeler son origine de Rotterdam.
Pas de lien apparent avec Monsu Disiderio (tu peux nous le dire, s’il te le plaît cela ?).
Par contre lien d’études avec Thomas More, britannique et écrit de l’Éloge de la folie en 1500 et quelques poussières.
euh pardon il s’agissait d’Érasme.
et la mesure de toutes choses
Didier ERASME (1469 env.-1536)
Éloge de la Folie, LV (1511)
[Dans ce traité, le philosophe hollandais utilise une prosopopée qui donne la parole à la Folie. On n’oubliera pas que c’est elle qui s’exprime dans ce faux éloge qui condamne la superbe et la corruption des princes.]
Depuis longtemps, je désirais vous parler des Rois et des Princes de cour; eux, du moins, avec la franchise qui sied à des hommes libres, me rendent un culte sincère.
À vrai dire, s’ils avaient le moindre bon sens, quelle vie serait plus triste que la leur et plus à fuir ? Personne ne voudrait payer la couronne du prix d’un parjure ou d’un parricide, si l’on réfléchissait au poids du fardeau que s’impose celui qui veut vraiment gouverner. Dès qu’il a pris le pouvoir, il ne doit plus penser qu’aux affaires politiques et non aux siennes, ne viser qu’au bien général, ne pas s’écarter d’un pouce de l’observation des lois qu’il a promulguées et qu’il fait exécuter, exiger l’intégrité de chacun dans l’administration et les magistratures. Tous les regards se tournent vers lui, car il peut être, par ses vertus, l’astre bienfaisant qui assure le salut des hommes ou la comète mortelle qui leur apporte le désastre. Les vices des autres n’ont pas autant d’importance et leur influence ne s’étend pas si loin; mais le Prince occupe un tel rang que ses moindres défaillances répandent le mauvais exemple universel. Favorisé par la fortune, il est entouré de toutes les séductions; parmi les plaisirs, l’indépendance, l’adulation, le luxe, il a bien des efforts à faire, bien des soins à prendre, pour ne point se tromper sur son devoir et n’y jamais manquer. Enfin, vivant au milieu des embûches, des haines, des dangers, et toujours en crainte, il sent au-dessus de sa tête le Roi véritable, qui ne tardera pas à lui demander compte de la moindre faute, et sera d’autant plus sévère pour lui qu’il aura exercé un pouvoir plus grand.
En vérité, si les princes se voyaient dans cette situation, ce qu’ils feraient s’ils étaient sages, ils ne pourraient, je pense, goûter en paix ni le sommeil, ni la table. C’est alors que j’apporte mon bienfait : ils laissent aux Dieux l’arrangement des affaires, mènent une vie de mollesse et ne veulent écouter que ceux qui savent leur parler agréablement et chasser tout souci des âmes. Ils croient remplir pleinement la fonction royale, s’ils vont assidûment à la chasse, entretiennent de beaux chevaux, trafiquent à leur gré des magistratures et des commandements, inventent chaque jour de nouvelles manières de faire absorber par leur fisc la fortune des citoyens, découvrent les prétextes habiles qui couvriront d’un semblant de justice la pire iniquité. Ils y joignent, pour se les attacher, quelques flatteries aux masses populaires.
Représentez-vous maintenant le Prince tel qu’il est fréquemment. Il ignore les lois, est assez hostile au bien général, car il n’envisage que le sien; il s’adonne aux plaisirs, hait le savoir, l’indépendance et la vérité, se moque du salut public et n’a d’autres règles que ses convoitises et son égoïsme. Donnez-lui le collier d’or, symbole de la réunion de toutes les vertus, la couronne ornée de pierres fines, pour l’avertir de l’emporter sur tous par un ensemble de vertus héroïques; ajoutez-y le sceptre, emblème de la justice et d’une âme incorruptible, enfin la pourpre, qui signifie le parfait dévouement à l’État. Un prince qui saurait comparer sa conduite à ces insignes de sa fonction, rougirait, ce me semble, d’en être revêtu et redouterait qu’un malicieux interprète ne vînt tourner en dérision tout cet attirail de théâtre.
Read more: http://www.site-magister.com/humanis.htm#ixzz2ixhhlNou
kicking dit: 27 octobre 2013 à 21 h 11 min
le monopole des soucoupes
Je me demande… Ils en ont peut-être aux Domaines… On mettrait la photo ici à la place des pubs…
et la mesure de toutes choses, l’homme est la mesure de toute chose.
merci -:)
too strong ?
http://24.media.tumblr.com/a643e70c9b95986f5ce3785ce0b2f3a0/tumblr_mvcanuYt5I1qz6f9yo1_1280.jpg
et zut
🙂
pas too strong too young, truc de gamin. Quand tu grandis ?
Mon François Rabelais : vanter les mérites de l’éducation, prôner des méthodes qui balayeront les normes en vigueur, jouir, péter, rire, se moucher dans les jupons de la nourrice, lui pincer les fesses, jouer à hue et à dia, l’insolence requise, la démesure rabelaisienne, en parallèle avec l’étude.
et puis Michel de Montaigne.
Là MàC siérait.
Hey MàC ?
Tout ce qui est né c’est parce que cela a été auto-proclamé : le romantisme aussi, le symbolisme le réalisme le naturalisme. En général un mouvement en naissant a chassé celui qui précédait parce qu’il ne convenait pas à l’évolution des mœurs et de ce qu’il était impératif d’exprimer. Un mouvement se construit beaucoup en opposition sur un autre, en rébellion. En désir de changement mais d’amélioration pour le mieux-être de chacun.
Puis les gens nomment leur mouvement, et il y a le mot qui reste et ceux qui s’évaporent dans les limbes de l’oubli.
Sur les façons de procéder, ai lu récemment que les équipes étaient à l’honneur : mise en relation des compétences (surtout chez les scientifiques) sur un projet commun.
Sur le ressassement, ai écouté ce soir, sur FC, Jean Paul Sartre qui disait qu’il s’éloignait de ce qu’il avait écrit, qu’il ne le niait pas mais qu’il avançait ailleurs, et qu’il évoluait sur le domaine pré-étudié. Il citait comme exemple L’être et le Néant.
C’est ce qui semble devoir être lorsqu’on étudie : non pas un renoncement en ce à quoi on a cru, mais une manière d’étoffer, d’étayer ses dires, de les développer. Sans nécessité de grands virages violents où tu te retrouves éjecté du véhicule.
Une courbe harmonieuse.
Jean Paul Sartre, pfff! un sous Heidegger..
rose dit: 27 octobre 2013 à 23 h 21 min
grands virages violents où tu te retrouves éjecté du véhicule.
Non mais en surveillant bien avec le genou on n’est pas éjecté du tout…
en même temps ça dure pas … un cours de maintien pour Sergio:
http://www.youtube.com/watch?v=z6Xae9jsqxU
Pour saluer Lou Reed, l’animal rock de Biélorussie, de Brooklyn,de la Porte de Versailles & de la Villette et de la Ville Close de Concarneau, en route pour son ultime Walk on the Wild Side:
In Berlin, by the wall
you were five foot ten inches tall
It was very nice
candlelight and Dubonnet on ice
We were in a small cafe
you could hear the guitars play
It was very nice
it was paradise
You’re right and I’m wrong
hey babe, I’m gonna miss you now that you’re gone
One sweet day
—
Gonna miss you now that you’re gone…No more giving head, Lou my boy…Rock In Peace.
Lou Reed mort des suites de ses blessures de vie, il nous reste par bonheur, Rihanna, Justin Bieber et le merveilleux Julien Doré !
Dieu a tout prévu pour nous épargner tristesse et chagrin…
Hiromi Omura, hier en matinée à l’Opéra de Toulon, port de guerre, fut splendide dans le rôle difficile de NORMA de Bellini marqué à jamais par d’autres divas, Callas et Caballé en particulier.
Ce fripon, ce sale rital de metteur en scène, Massimo Gasparon, s’amusant à représenter les farouches Gaulois en bouddhistes maladifs, devrait être jugé pour blasphème identitaire et sacrilège national …
Naturellement, les terrasses des cafés devant l’Opéra étaient ensoleillées et ombrées à merveille, chaudes, agitées de calmes savamment construits, bruissant des conversations des ploucs en chemisettes légères attendant l’ouverture des portes.
Comment peut-on ne pas être Varois et vivre dans des territoires pluvieux, où règnent des dieux contrariants, où sévissent des tempêtes atlantiques et sur route des portiques à écotaxes pur porcs ?!
Passou,
On laisse tomber cette foutaise d’humanisme numérique ? Déjà qu’humanisme ne veut rien dire… alors… « numérique », tu te rends compte !
rose dit: 27 octobre 2013 à 23 h 21 min
…
« Sur le ressassement, ai écouté ce soir, sur FC, Jean Paul Sartre qui disait… »
Ecouter cette vieillerie de Jean Sol, ce ne serait pas « un peu » ressasser, Rose ?
Punaise, on en est à 600 comm! chapeau! Reconnaissons que pour les amnésiques, le numérique, c’est bien pratique. Mais il rend la mémoire paresseuse. C’est une mémoire prothétique! Arriver à ne pas trop s’en servir peut eviter d’avoir sa memoire à l’exterieur de son corps.
Humanisme, bof bof, comme Philippe Régniez. c’est bien le pb. L’humanisme est aussi une religion. L’homme se prend pour Dieu , et s’idolâtre au point d’oublier de penser avec ses pieds, c’est à dire de toucher le réel. (P)rions. Une différence de taille entre les 2 dieux? « Dieu » est supposé avoir créé le monde. L’Homme humaniste le détruit… car il se croit tout s/permis pour sa jouissance. Tout se perd, tout se sperme, puisque tout est sexuel, merci Freud. Alors, la question qui peut se poser c’est : en quoi le numerique fait jouir? Peut etre parce que ça cause.
Levi strauss s’en désespérait. il avait dit à Guillaume Durand: je suis pessimiste du fait de l’humanisme exaspéré de l’homme.
SOS (pour une fois que je demande quelque chose…) : Je cherche une traduction en allemand de « Douce France ». Charles Trenet l’a-t-il jamais chantée dans cette langue ? Il y en a une qui traîne sur Google, mais calamiteuse, probablement faite avec le translateur made in google.
Yeah !
Jo nous manquait.
On va enfin pouvoir s’en payer une tranche bien saignante.
Tartare pour tout le monde.
L’homme humaniste ne détruit pas plus que l’homme religieux. Simplement, il ne se trouve pas des excuses ni rêve d’agir en nom de quelques “raisons supérieures”.
Cela dit, s’il y a une manière sotte de définir l’espèce, c’est bien de la garnir d’un adjectif : l’homme détruit son environnement et c’est tout ; pourquoi, c’est à chacun de voir.
Jo n’aime pas l’Homme qui casse tout, JC celui qui ne casse pas assez.
Deux visions de notre pauvre humanité.
Comment peut-on ne pas être Varois et vivre dans des territoires pluvieux, où règnent des dieux contrariants, où sévissent des tempêtes atlantiques et sur route des portiques à écotaxes pur porcs ?! (JC)
Les Varois, c’est comme les cochons, plus ça devient vieux…
Nous partageons avec Jo l’amour des animaux, à condition qu’ils n’exercent pas un pouvoir politique indécent …
Jo et Phiphi déplore l’humanisme.
Je me demande si je ne vais pas avoir une petite tendresse pour lui.
Un machin qui se fait cracher à la gueule par les intégristes tous poils confondus ne peut pas être fondamentalement mauvais.
son cri on sait pas qu’en faire mais tu nous le fais bien jicé..mais son indécence c’est trop conceptuel
Oh non, mais c’est la fin de tout ce blog !
L’autre rose débile, niveau classe de 5°… et même pas je pense vu le QI, qui copie-colle une définition sur l’humanisme et qui va trébucher sur Erasme !
Non, mais comment peut-on être aussi inculte ???
Elle n’a pas autre chose à faire, cette crétine, que de faire la bécasse sur le Web et squatter ce blog avec ses niaiseries ?
Sans compter son trollage hystérique de pauvre bonne femme engluée dans sa misère sexuelle …
Tant de bêtise !
Insupportable.
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