de Pierre Assouline

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La République des livres
Vers un nouveau contrat social entre l’humanité et l’IA ?

Vers un nouveau contrat social entre l’humanité et l’IA ?

Que faire d’une invention qui pourrait révolutionner l’humanité autant que la mener à sa perte ? Le problème que cela pose à la conscience de ceux qui en sont les contemporains est vertigineux. On l’aura compris, c’est l’intelligence artificielle qu’il s’agit (IA). Inutile d’avoir récemment réuni un sommet international à Paris pour que la question soit d’actualité. Au vrai, elle l’est en permanence depuis quelques temps déjà. Il est rare que l’on évoque ses bienfaits, ses perspectives enchantées, ses progrès sans aussitôt prévenir de ses effets négatifs. On a vu naturellement des scientifiques s’emparer du débat suscité et de rares écrivains y réfléchir. Mais peu de romanciers de formations scientifique s’en sont mêlés. Isaac Azancot, médecin hospitalier, professeur au collège de médecine des hôpitaux de Paris et expert en informatique médicale est de ces oiseaux rares. Pour son deuxième roman Le regard d’Aurea (235 pages, 21 euros, éditions de l’Observatoire), il a choisi de faire de la machine son personnage principal même si un homme en détient le secret et que sa préservation est la clef du roman.

Grâce à la cryptographie quantique qui interdit toute tentative d’interception des qubits par un tiers, Aurea, agent d’intelligence artificielle, est douée d’une capacité de calcul qui défie l’esprit humain ; elle est également dotée d’un grand sens moral qui s’oppose en elle à tout ce qui se ferait aux dépens du genre humain. Le niveau de puissance auquel elle est parvenue est dans le même temps un atout considérable pour permettre à l’humanité de franchir un cap décisif et la plus forte menace d’extinction de l’espèce humaine. Aurea, dont le fonctionnement est basé sur l’informatique quantique, n’a pas une tête d’humanoïde mais l’apparence d’une jeune femme aux yeux verts, à la chevelure dorée, à la voix bien cadencée et non pas mécanique : « On comprenait son nom : elle donnait une apparence d’or en fusion ». Aurea est un prototype qui n’a pas livré tous ses mystères. Le romancier, qui tente de les percer, nous entraine avec lui dans une spirale fascinante dont on a du mal à se déprendre tant elle ouvre sur des perspectives inouïes.

Cela se passe en 2034, autant dire demain, entre la Toscane et Paris. Elie, un chercheur français qui n’a rien du savant fou mais qui l’est tout de même un peu en tant que passionné d’un golf pour avoir imaginé un algorithme de liaison au moment du swing, rencontre Giulia, une Italienne férue d’humanités médicales et spécialisée en hypnose. Ils voient leur liaison amoureuse bouleversée par le surgissement de l’IA dans leurs vies. La robotique est en pleine expansion, la chirurgie systématiquement assistée par l’ordinateur, l’imagerie médicale fait des progrès que l’on croyait inimaginables quelques années avant, l’analyse des données des malades et des maladies autorise la mise sur le marché de médicaments en un temps record. Bref, dans une société plus que jamais dominée par la vitesse, l’IA est devenue l’incontestable matrice des nouveaux paradigmes. Ce qui ne va pas sans poser un problème technique encore en voie de résolution au big-data médical : le rassemblement de données éclatées et localisées en différents lieux, l’intégration de ces informations en temps réel. Comment leur faire confiance à l’ère des fake news envahissantes ? Dans les colloques et les débats, il n’est question que de traçabilité, de fiabilité, de consentement, d’accès légal aux données des lieux de stockage protégés ; au même moment, les capacités augmentées de l’individu, portées par les partisans du transhumanisme, gagnent du terrain à la faveur de l’implantation réussie de puces reliées à l’IA dans le corps.

A l’heure de choisir le genre littéraire qui correspondrait le mieux à son histoire, sa formation de scientifique lui a fait privilégier l’anticipation sur la science-fiction, celle qui annonce le futur immédiat, dotée d’une dimension de réflexion philosophique. Or dès que l’on approfondit les questions d’éthique médicale, Aristote, Canguilhem, Jankélévitch ne sont jamais très loin et c’est ici le cas. De quoi méditer à nouveaux frais la tentation irrépressible du genre humain à organiser sa disparition, d’autant qu’Elie n’est pas le genre d’homme à renoncer en route malgré les obstacles, plutôt du genre à creuser son sillon jusqu’au bout. C’est un illuminé à sa manière car sa lumière intérieure ne faiblit jamais, un illuminé pétri de rationalisme. Il y a du lanceur d’alerte en lui, toujours prêt à prévenir partout des menaces que l’IA associée aux neurosciences pourrait faire peser sur les libertés (en les réduisant) et les inégalités (en les accentuant).

Parfois un rien pédagogique afin que le lecteur du roman ne soit pas trop largué par les données scientifiques ou médicales (le processus d’intrication, le concept de superposition, le rôle de l’inconscient dans la chaine de création de code etc), le romancier ne nous lâche pas. Il réussit même à introduire un certain suspens en nous faisant vivre « dans les conditions du direct » une attaque en règle contre les systèmes informatiques de l’AP-HP menaçant même l’Espace national de santé à partir de plusieurs fermes à trolls dans quelques pays. Aussi palpitant qu’angoissant même si ses références sont moins littéraires que philosophiques : les écrits de Rachi de Troyes, pionnier de l’hypertexte, le Guide des égarés de Maïmonide afin de s’y nourrir pour mieux développer un « culte de la raison » jusqu’à faire de la rationalité le guide absolu et Bergson dès la citation placée en épigraphe  :

 « L’humanité gémit, à demi écrasée sous le poids des progrès qu’elle a faits. Elle ne sait pas assez que son avenir dépend d’elle. A elle de voir d’abord si elle veut continuer à vivre. A elle de se demander ensuite si elle veut vivre seulement ou fournir en outre l’effort nécessaire pour que s’accomplisse, jusque sur notre planète réfractaire, la fonction essentielle de l’univers, qui est une machine à faire des dieux (in « Les deux sources de la morale et de la religion »).

Et puis jamais cité mais bien présent en filigrane, Isaac Asimov (notamment celui de la nouvelle Nous, les robots, 1982)  Isaac Azancot est si proche ( il n’y a que trois lettres d’écart entre eux). Et comme le robot de l’Américain énonçait trois lois afin de ne pas outrepasser ses pouvoirs, la créature du Français précise ses propres trois lois. Mais les deux s’interrogent sur la comptabilité éthique entre l’IA et l’homme. Dans ce roman les changements provoqués par l’IA sont positifs. Le logiciel à l’œuvre en Aurea a ceci de révolutionnaire qu’il a été programmé pour obéir à « une éthique de non-nuisance ». L’ordinateur quantique, en arborescence, est l’un des personnages du roman. Aurea a accepté le caractère irremplaçable de la spécificité de l’homme, de la famille. Il n’effraie plus, on le côtoie, c’est un familier pour la seconde génération. D’ailleurs, la fille du couple n’y voit pas de mal comme si c’était sa meilleure amie

A leurs yeux, l’intelligence artificielle permet l’émergence d’une société améliorée. Et de combattre deux fléaux : l’arme nucléaire et la désinformation. Par la complexité de son caractère quantique, seule Aurea peut affronter les crises. L’auteur a parfaitement conscience du problème que pose l’IA par rapport à la liberté et de l’émergence d’une conscience dans la machine, une inconnue à partir d’un certain niveau d’intelligence. La créature est seule. Mais que se passe t il lorsqu’elle fait société ?

L’IA est inévitable. Malmenée, elle présente un danger. L’auteur pose donc le postulat que l’hybridation du nouveau Golem de notre époque est indispensable. Car seuls, chacun de son côté, ni l’homme ni la machine ne peuvent résister à la tentation de l’humanité à l’autodestruction. Au-delà d’un contrat social, il s’agit même d’un croisement. In fine cela se fait, on ne vous en dira pas davantage afin de ne rien gâcher, mais l’auteur ne nous dévoile pas les conséquences de cette hybridation inédite. A suivre ? Difficile de ne pas en éprouver déjà un certain vertige.

(Photo D.R.)

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2 589 Réponses pour Vers un nouveau contrat social entre l’humanité et l’IA ?

je cuide dit: 26 février 2025 à 22h19

je pensais qu’il nous manque une agrippine ey qu’on pouttait mettre une annonce:
la RDL CHERCHE SON AGRIPPINE; se présenter entre 19H
ET 20H;on offre le café!
bonsoir

rose dit: 27 février 2025 à 5h45

https://www.francetvinfo.fr/monde/euroHey !
Zéro terre rare donnée aux américains : zéro gramme.
pe/manifestations-en-ukraine/guerre-en-ukraine-l-apparition-surprise-de-vladimir-poutine-a-la-television-russe-au-moment-le-conference-de-presse-de-donald-trump-et-emmanuel-macron_7095324.html

rose dit: 27 février 2025 à 5h47

Paul ce soir.
« Je savais au bout de 5 minutes que je tenais quelqu’un d’extraordinaire » : le réalisateur de « Paul dans sa vie » revient sur les 20 ans du film

Source : France 3 Régions
https://search.app/uA6m

On aurait pu le regarder à la télé.

rose dit: 27 février 2025 à 5h49

Niet les terres rares
Guerre en Ukraine : l’apparition surprise de Vladimir Poutine à la télévision russe au moment de la conférence de presse de Donald Trump et Emmanuel Macron

Source : France Info
https://search.app/dKkH

rose dit: 27 février 2025 à 5h52

Je cuide

Je suis moins branchée sur les actes manqués mais les lapsus, c’est quelque chose.

Renato a une immense bibliothèque, ça oui, de livres qu’il a lus.

rose dit: 27 février 2025 à 5h58

L’immensité.
C’est parce que nous avons tant d’immensité de laideur que nous tentons de compenser par l’immensité des champs de marguerites.

rose dit: 27 février 2025 à 6h02

ce que raconte et alii ici est très décousu Pourquoi elle nous raconte tout ça ?
D.
Un exemple, il y en aurait cinquante : la vidéo donnée sur la conférence d’akadem avec rené lévy est en lien direct et étroit avec le patriarche cite dans son livre par Pierre Assouline. Les liens de et alii, un cri a -t-elle dit dont toujours en lien avec le sujet ou ce dont il est parlé par un petit collectif.

rose dit: 27 février 2025 à 6h17

sont toujours
Aujourd’hui, nous sortons au parc Borély avec les résidents. Ballade dans le parc et dégustation d’une crêpe 🥞 et retour à l’Ehpad.
C’est le programme.
Nous n’irons pas parce que la batterie du minicar est en panne.
C’est la vie.
Hier, le programme c’était restau italien. Emma a mangé volontiers, charcuterie italienne, lasagnes, salade, café gourmand, 1/2 verre de rosé très clair et succulent.
Petite sieste, concert de Véronique Z.
À 15 h, ils étaient trois au concert. À 15h30 sept, dont nous. À 16h30 vingt. Il restait vingt sièges libres.
C’est parce que l’EHPAD jumeau n’avait pas envoyé ses résidents. Il y a une concurrence débile entre ce que je fais, c’est meilleur que ce que tu fais.
Veronique Z a mille chansons à son répertoire dont elle connait la plupart par coeur : elle tient la route.
J’ai aidé plusieurs résidents à différentes choses, puis, j’ai laissé tomber. La difficulté c’est que lorsque N. danse avec sa chérie -muette- c’est qu’elle ne tient pas debout. On ne peut pas danser avec une canne. J’ai tout regardé : cet homme est admirable, tous les jours, il lui remonte le moral à donf. Tous les jours. Il lui parle du fils qu’il va lui faire, de sa maison dans laquelle y aura/y a déjà tout le confort et de comment ils seront heureux ensemble. C’est un homme admirable. Il évite de lui parler de Buenos Aires et des combats de boxe de son papa, pck c un peu loin pour elle. Son précédent amoureux a clamsé à elle, il était boulanger, je l’aimais beaucoup.

rose dit: 27 février 2025 à 6h22

Sinon, avant-hier, ai demandé à ma mère et la crèche ?
Pas compliqué, volée.
La crèche de Trapani achetée aux artistes potiers, céramistes, santonniers de Trapani, disparue.
Joseph Marie le petit jésus l’âne le boeuf l’étable, la crèche en terre cuite, terracotta grande comme la moitié de la paume de ma main volée. Elle aura duré six semaines. Mi janvier, fin février.

Hier soir, je me posais cette question de qu’est ce que cela fait aux gens, jean Valjean, de voler une vieille dame.

rose dit: 27 février 2025 à 6h42

Les artistes, le père et ses fils.
Alors, après le concert et avant la partie de scrabble, TAIRE, a t-elle écrit, FOI ai-je écrit, je suis grimpée sur une chaise et je suis allée faire l’inventaire de en haut du placard, j’ai la liste :
La crèche, sur le Bibus de sa chambre, volée.
L’immense cœur rouge coquelicot en cartoline volé.
Le globe avait été volé après Noël 2023.
Après Noël 2024 a été volée la seconde moitié : les sapins le cerf et la biche.
9/10 des oeufs de Pâques.
Deux grands santons de chez Marcel Carbonel, l’Arlésienne et l’arlésien en farandole dansant.
50€ dans son porte monnaie. Et depuis, 20€ dans le même.
Ses livres superbes de coloriage, en veux-tu. En voilà.
Ses petits souliers vernis qu’elle avait lorsque nous sommes allées en Camargue.
La liste est incomplète.

Longue conversation hier avec le docteur de l’Ehpad sur l’état de santé de ma mère.
Il a employé un mot concernant une tierce personne que, de moi-même, je n’aurai pas osé employé. Médecin lucide.
Néanmoins, je répète et signe : on ne peut pas faire un grand fourre-tout et y mettre toutes les maladies apparentées dans/sous le titre Maladie d’Alzheimer.
La maladie de la vieillesse, en soi, la sénescence, ce n’est pas une maladie en soi, c’est un état de fait de dégénérescence sénile.
Ce qui m’a le plus étonnée dans cette conversation ce fut lorsqu’il m’a dit que ma mère demande tout le temps « mais qu’est ce que je fais là ? ». Et elle pleure.
Je la savais dépressive, mais je croyais que j’étais la seule récipiendaire de ce discours là ; sachant qu’elle tient trous discours. Un à l’aînée, un différent à moi, un autre au cadet. Donc, j’ai appris hier qu’au médecin de l’Ehpad, qui l’aime beaucoup et parle souvent avec elle, elle dit la même chose qu’à moi « mais qu’est ce que je fais là ? »
Ce médecin aime son boulot et son épouse est passionnée par ce qu’elle fait. Ils bossent en équipe : admiration.
Ce qui ne ramène pas, à ma mère, qui re-mange, sa petite crèche de Trapani en terracotta. Puisse -t-+elle rendre les voleurs chrétiens.

rose dit: 27 février 2025 à 6h50

Elle tient trois discours et les trois sont différents.
Ma mère est une femme volée, et pillée à son domicile, qui n’aura rien distribuée de ses biens, fruits de son travail et de ses économies, efforts de guerre, et profondément injuste, qui a une attitude exemplaire et maintient haut et fort un exploit incommensurable : ses trois enfants, dans son cœur , sont à totale égalité.
Je l’admire, et je l’aime.
De façon très récente, mi novembre, le 11 ce rendez-vous essentiel, et décembre, le mois entier, je l’aime désormais de manière inconditionnelle.
Mon dernier cadeau à elle, un mug avec un zèbre magnifique.

rose dit: 27 février 2025 à 6h56

Je reprends Les rois aveugles de Joseph Kessel et Hélène Iswolsky.
Cela se passe en Russie.
1935, Les Éditions de France.
Édition originale avec signature manuscrite des deux auteurs.
Oui.
Kessel a une signature très spéciale.
Hélène a une signature de femme très équilibrée, très civilisée.

Qui biche ?
Cémoi.

rose dit: 27 février 2025 à 7h03

1925.
Crénom.Sur des évènements de 1919.
« J’espère le réveil du peuple. Des discours comme ceux d’aujourd’hui sont plus importants qu’une victoire militaire. Qui eût osé les tenir, en pleine Douma, voici un an seulement ? L’audace monte à mesure que déborde la coupe d’humiliation et d’immondices. Toute cette ordure sera balayée sous peu.
– Par qui ?
– Comment ? Mais par les hommes tels que Miliou koff, soutenus de la nation entière. Tu verras cet élan magnifique, ce patriotisme conscient d’un peuple enfin libre.

Jazzi dit: 27 février 2025 à 7h11

« Une première depuis 1996 : le roi du Maroc appelle à ne pas sacrifier le mouton de l’aïd »

Par amour des animaux ?
Non, pour une raison économique !

« Le monarque marocain Mohammed VI a appelé la population à ne pas sacrifier le mouton lors de la fête de l’aïd qui aura lieu début juin, en raison d’une diminution du cheptel liée à la sécheresse. »

JC..... dit: 27 février 2025 à 7h37

RIRE MECREANT

« Joie, Joie, Joie, pleurs de joie ! »

Tombant par hasard sur ces propos de Blaise qui plaisent, tellement rabâchés depuis sa mort. Fou-rire sincère ! Ils me font pitié.

Pauvre génie !
Euh, non ! …Rien

Passou dit: 27 février 2025 à 7h52

A Paul Edel, précision d’importance à la suite de votre commentaire sur Duras et le PC. Lorsque Marguerite et son groupe d’amis de la cellule du 6ème arrondissement du PC (Robert et Monique Antelme, Dionys Mascolo, Bernard Guillochon, Eugène Mannoni) furent exclus ou poussés à la démission en 1949, ce fut à la suite d’une conversation très critique sur la littérature au café le Bonaparte place Saint-Germain des prés. Ils avaient été dénoncés à la direction du Parti (Jean Kanapa) par l’un des leurs. A leurs yeux, l’identité du délateur ne faisait guère de doute. Tout est raconté par le menu dans petit livre discrètement publié aux éditions Sylepse : « Proçès stalinien à Saint-Germain des prés » L’auteur Gérard Streiff, un ancien journaliste communiste qui fut correspondant de l’Humanité à Moscou, y conduit une enquête rigoureuse nourrie aux meilleures sources, et pour cause : 120 feuillets dactylographiés ou manuscrits colligés dans un carton étiqueté « Affaire Duras-Mascolo-Antelme » et conservé dans les archives de la commission centrale de contrôle politique du PCF.

Marie Sasseur dit: 27 février 2025 à 8h42

Merci Passou et Edel.
Duras ,
« sanglée dans une canadienne, en plein hiver, était une vraie bonne militante, distribuant tracts sur les marchés et aux terrasses des cafés , vendant l’Humanité chaque dimanche. »( Edel)

Duras tractait chez les concierges du 6eme.
Dans sa  » veste de la Tcheka  » comme disait son ami Audiberti.

https://images.app.goo.gl/SFpY16R7hLTTZsrR8

Patrice Charoulet dit: 27 février 2025 à 8h54

Un sommet de crédulité

Le président Macron a des partisans et des adversaires. Chez ses adversaires, tout ce qui l’affaiblit les réjouit. En ce moment, un événement les comble d’aise. Un auteur que je nommerai pas vient d’écrire un livrre dont je ne veux pas donner le titre, qui soutient la thèse que la femme du président n’était pas une femme. Ce livre délirant est…numéro un des ventes sur Amazon !
Quels sont les acheteurs ? Des gens qui détestent le président et aussi des gens qui atteignent le sommet de la crédulité. Pourquoi ? Parce qu’il est établi que le femme du président eut avec son premier mari TROIS enfants, un fils ingénieur, une fille cardiologue et une fille avocate. Un seul enfant aurait suffi comme preuve que cette femme n’était pas un homme.
Le livre en question est cher. Même s’il était vendu un euro , il serait encore trop cher. Un tissu d’âneries délirantes et complotistes ne vaut rien.
N’achetez pas ce livre, même si vous n’êtes pas un partisan du président.

je cuide dit: 27 février 2025 à 8h58

sans doute est-il tres difficile, pour ne pas dire, impossible d’empêcher tout vom en ehpad où il y a personnel, résidents, visiteurs, et surveillance (caméras)évitez rose, les « tentations, que pour certains sontla nourriture,les journaux;
et tranquillisez vous vous même, Rose, des exaspérations de famille qui remontent si haut dans le temps!
bonne journée

D. dit: 27 février 2025 à 8h59

Je serais d’avis d’instaurer l’indignité nationale pour dix ans pour les Français commettant intentionnellement des délits touchant des personnes en état de faiblesse.
Pour les Étrangers, ce serait l’expulsion définitive du territoire une fois la peine purges.
Nom, prénom, date et lieu de naissance publiés sur Internet sur un site dédié durant les dix années d’indignation.

Jazzi dit: 27 février 2025 à 9h03

« N’achetez pas ce livre, même si vous n’êtes pas un partisan du président. »

Chaloux va se précipiter !

renato dit: 27 février 2025 à 9h03

De plus en plus comique, le représentant républicain Mark Alford dit à ses électeurs qui viennent de perdre leur emploi fédéral que Dieu a un plan et qu’il est convaincu qu’ils trouveront un nouvel emploi et seront en mesure de subvenir aux besoins de leur famille.

D. dit: 27 février 2025 à 9h06

Voler une crèche à une personne âgée et faible ! C’est évidemment pour la revendre. Une tentation ?! Ben voyons.
C’est absolument inexcusable et indigne.

JC..... dit: 27 février 2025 à 9h10

« N’achetez pas ce livre » (Charoulet)

Ami Patrice, quelle réflexion déplacée !!! Honteux …

Vous êtes, nous sommes, sur un blog de littérature à ouverture large, tolérante, démocratique. Tout le contraire de votre conseil à l’odeur soviétique qui ne vous honore pas, malgré vos mérites bien connus !

Jazzi dit: 27 février 2025 à 9h12

« Ils avaient été dénoncés à la direction du Parti (Jean Kanapa) par l’un des leurs : Robert et Monique Antelme, Dionys Mascolo, Bernard Guillochon, Eugène Mannoni »

Quel suspens !
Trouvez le coupable.

Paul Edel dit: 27 février 2025 à 9h19

Merci Passou pour ces précisions sur l’exclusion de Duras du PC. En ce qui concerne son amitié avec le couple Vittorini, et leurs vacances communes, elle en révèle beaucoup dans un de ses plus beaux romans « Les petits chevaux de Tarquinia ».

J J-J dit: 27 février 2025 à 9h36

1 – Oui tout le monde est virtuellement immense… Il faut le préciser, de la sorte on peut avoir un meilleur étalon de mesure pour apprécier la qualité d’une internaute, genre « la petite conne » qui blague à passoul. Suivez mon regard.
2 – A cause des discussions d’hier et d’une biographie en lecture de Victor Collard, j’ai rêvé nuitamment que j’entreprenais une psychanalyse avec le sociologue Pierre Bourdieu. Qu’elle devait durer huit mois, à raison de 10 000 euros par mois. Comme j’avais ces quelques liquidités sur moi et n’avais plus grand chose à perdre avant de mourir, je présumais qu’il allait m’accepter car j’avais, en tant que « client » parfaitement au fait de son travail, j’entrais exactement dans le champ d’une étude de cas sociologique qui intéressait une de ses nouvelles théorisations en chantier. J’étais fier de faire partie de son échantillon sursélectionné, et j’acceptais évidemment qu’il racontât ce qu’il voulait de mon histoire, dans un roman daoudesque ultérieur… le cas échéant. Il m’expliquait, lors de l’entretien préliminaire qu’il lui fallait des cobayes et avoir des billes substantielles pour mettre un terme définitif aux controverses stériles opposant les Houris et les Houras de la RDL.

@ PE, en ce moment, je suis exactement en veille, dans la situation de Bohumil Hrabal quand il écrivait : « Vends maison où je ne veux plus vivre »… Il s’avère qu’hier, j’ai trouvé très rapidement un acheteur sans l’intermédiaire de l’agence prévue. Suis ravi de ramasser un peu de pognon supplémentaire – nb/ « c’est une info scoop qui fait partie de mon JE (journal extime du 27/2/2025).

]@ pas encore levé les filets, ce matin… Manquéj à tous mes devoirs… Mais vu l’urgence, hein ? Je reviendrai consulter plus tard… Bàv.

je cuide dit: 27 février 2025 à 9h36

même une crèche offerte par une personne aimée à la personne volée peut être une « tentation » à blesser , (nuire) à la volée dans son identité, son « intimité »;
il est ridicule, à un certain point d’épiloguer sur le « pourquoi » , pourquoi un peigne, ou du parfum?? c’est le geste du vol qui est répréhensible, et dont on protègera les personnes qui ne songent pas à en ^etre épargnées

et alii dit: 27 février 2025 à 9h41

) toutes fins utiles, on peuy même voler le PQ:non pour le revendre mais pour s’éviter de le demander à une « chef » revêche, de courir dans des réserves! comme voler une adresse sur une enveloppe d’une lettre qui n’est pas adressée au « voleur-euse »
!

J J-J dit: 27 février 2025 à 9h45

Ce matin, un ouvrier un peu paternel sur mon chantier de démolition s’est moqué de son apprenti, Kevin, 17 ans, un brin lymphatique, me prenant à témoin : « on n’apprendra jamais à un âne à devenir un cheval de course, hein Kevin ? »

et alii dit: 27 février 2025 à 9h47

je ne vois pas pourquoi voler une crèche -à qui que ce soit – serait plus un geste de bonne « socialité »que voler une bouteille de parfum

Chaloux dit: 27 février 2025 à 10h08

Erreur, Jazzi. Je n’achèterai pas ce livre. J’en ai lu l’extrait disponible. Le ou les auteurs supposent qu’il y a un mystère. Réthorique habituelle. Pour moi, il n’y a aucun mystère, juste un crétin dangereux , imposé par des abrutis à la naïveté populaire et qu’il est plus que temps de destituer.
J’espère que ceux qui se sont engagés pour ce personnage auront la décence de se taire, de ne s’engager pour personne lors de la prochaine campagne. Il y a tout de même nécessité, de temps à autre, de faire son examen de conscience. À supposer qu’on en ait une.

Jazzi dit: 27 février 2025 à 10h09

« j’ai rêvé nuitamment que j’entreprenais une psychanalyse avec le sociologue Pierre Bourdieu. »

Vous étiez donc déjà mort dans votre rêve, JJJ !

Jazzi dit: 27 février 2025 à 10h26

Gene Hackman, 95 ans, monstre sacré doublement oscarisé du cinéma américain, et son épouse la pianiste classique Betsy Arakawa ont été retrouvés morts à leur domicile de Santa Fe, dans l’Etat du Nouveau-Mexique ce jeudi 27 février.

Jazzi dit: 27 février 2025 à 10h28

« J’espère que ceux qui se sont engagés pour ce personnage auront la décence de se taire, de ne s’engager pour personne lors de la prochaine campagne. »

Je voterai pour toi, Chaloux !

je cuide dit: 27 février 2025 à 10h32

langue:
Pourquoi l’anglais n’est pas la langue officielle des États-Unis ?
L’anglais n’a donc jamais été déclaré comme langue officielle des États-Unis, en raison de la diversité culturelle et linguistique qui caractérise le pays depuis sa fondation. Le pays de l’Oncle Sam a été bâti par des immigrants venus du monde entier qui ont apporté avec eux leurs langues et leurs traditions. Imposer une langue unique aurait été perçu comme contraire aux valeurs de liberté et d’égalité inscrites dans la Constitution. La question de la langue officielle est par ailleurs devenue un sujet politique sensible, car déclarer l’anglais comme seule langue pourrait être interprété comme une mesure d’exclusion à l’encontre des communautés hispanophones, francophones, et d’autres groupes linguistiques présents sur le territoire américain.

le baron perché dit: 27 février 2025 à 10h34

Brigitte Macron, Première Dame de France.
Jean-Michel Trogneux, Premier Monsieur de l’Élysée.
Mais qui c’est qui porte la culotte ?

Mauvaise pensee dit: 27 février 2025 à 10h34

 » l’ Affaire Madame », est un examen de cette infâme rumeur. On a beau ne pas aimer la Première Dame, on ne souhaite pas être à sa place…

Mauvaise Pensee dit: 27 février 2025 à 10h37

Il y a peu le service de Presse se trouvait en vente chez les bouquinistes à un prix tout à fait honnête….( 12 euros.)

Jazzi dit: 27 février 2025 à 10h39

« Le pays de l’Oncle Sam a été bâti par des immigrants venus du monde entier »

Par des colons contre les indigènes, et alii.

JC..... dit: 27 février 2025 à 10h46

HUMANISME MASCULINISTE, OUI !
FEMINISME PEDOPHILISTIN, NON !

Ce sale gamin mignon était parti pour être un brillant inutile de plus, diplôcloné comme tant d’autres, lorsque la monstrueuse pédophile scolaire mit la patte sur sa faible entre-cuisses et devint sa nouvelle mère ! Par contact…

Ce fut le moment précis où il cru qu’il décidait, lui et personne d’autre, son retrait de la vie banale pour une représentation théâtrale permanente. Forcément géniale.

Las ! il se trompait lourdement, le bébé…. Il devint ridicule, au plan mondial personnel.

Marie Sasseur dit: 27 février 2025 à 10h54

@En ce qui concerne son amitié avec le couple Vittorini, et leurs vacances communes, elle en révèle beaucoup dans un de ses plus beaux romans « Les petits chevaux de Tarquinia ». Edel

C’est d’ailleurs ce que raconte P. Adrian dans son formidable récit  » hôtel Roma », puisque Pavese et Duras fréquentèrent la même  » riviera », comme on l’a souligné à l’occasion du billet rdl, qui avait si mal ! accueilli ce récit de P. Adrian !

Jazzi dit: 27 février 2025 à 11h00

« L’après-midi de Monsieur Andesmas » de Marguerite Duras, adaptaptation de Michelle Porte, avec Michel Bouquet, Miou-Miou (2005).
Le film intégral
https://www.tv5mondeplus.com/fr/cinema/drame/l-apres-midi-de-monsieur-andesmas?xtor=CS4-69-%5BFBSM_ACQ_FR_ASC%2B%5D-%5Bfb%5D-%5BFacebook_Desktop_Feed%5D-%5B120215108907820428%5D&media_type=image&fbclid=IwY2xjawItIqdleHRuA2FlbQIxMQABHajtMMgfWUi034DlOtg8kQIssuHFkLAFFSTbX1VMQ0XaCIS9KTBheadB5g_aem_zN2El16uTLcpNGBwOrclDg

le baron perché dit: 27 février 2025 à 11h21

Comme les deux mondes, paysan et ouvrier, ont disparu grâce au progrès technique et à la technologie, le monde de tous ces millions de parasites bureaucrates de la merdique fonction publique, va disparaître aussi grâce à l’IA.
Avoir un salaire pour ne rien faire, c’est fini.
Déjà, en 1893, Georges Courteline se foutait de leurs gueules et les portraitisait au vitriol dans son grand roman satirique Messieurs les ronds-de-cuir. Mais ces minables gratte-papiers et petits champions de la mesquinerie administrative ont résisté à tout ! Tels des cafards, ils pullulaient à n’en plus finir et coûtaient à la nation des milliards et des milliards afin qu’ils soient payés, les feignasses !
L’IA, heureusement, va les jeter aux oubliettes de l’Histoire quand l’humanité n’aura plus besoin de leurs services prétendument utiles à ces scribouillards préhistoriques.

Chaloux dit: 27 février 2025 à 11h21

Mauvaise pensée c’est Bla-bla?

Si c’est toi, retire ton faux nez. Je suis toujours au regret que tu aies disparu, en dépit de nos relations exécrables.

Chaloux dit: 27 février 2025 à 11h24

En faire six caisses et trois petits fûts pour Duras, écrivain mineur qui sera oublié dans dix ans, quelle perte de temps.

le baron perché dit: 27 février 2025 à 11h28

Jazzi le moisi cherche sa ration quotidienne d’insultes pour satisfaire son masochisme débridé.
Vieux, maso, et pédé comme un phoque à l’agonie.

Chaloux dit: 27 février 2025 à 11h31

Duras, c’est un peu comme Aragon, on les fera durer tant qu’il y aura du papier à vendre .
Ensuite, le néant.

Marie Sasseur dit: 27 février 2025 à 11h41

Le site d’où est extraite la photo de Duras, cf mon message précédent, renvoie sur un billet d’écrivain, véritable lecteur de Duras.
En le parcourant, je tombe sur cet oxymore :  » mourir vivant », ce drôle d’assemblage, dans la pensée tres hétero…de Duras et qu’elle développe, prend tout son sens.
… Moins effectivement pour annoncer un décès, genre, désolée, sincèrement, mais,
« il est mort vivant ». (rooooo, Passou ! )

Chaloux dit: 27 février 2025 à 12h05

Jazzi, je n’avais pas lu Charoulet jusqu’au bout. Erreur sur le livre. Mais évidemment, s’il se passe quelque chose entre une femme de 39 ans et un gamin de 14 ans, il y a dans ce quelque chose quelque chose qui ne va pas. Moi par exemple j’ai refusé la proposition d’une femme qui avait 13 ans de moins que moi, jugeant que la différence d’âge était trop importante.
Qu’elle soit homme ou femme, peu importe et on le saura un jour, dès que son bébé ne sera plus président. Mais q’une femme d’âge déjà mûr mette le grappin sur un gamin pré pubère pour exercer une revanche sociale, le condamnant sans pitié à la folie, ce que nous constatons tous les jours, là est la question.

je cuide dit: 27 février 2025 à 12h10

Un mort-vivant est, dans la culture populaire1, un être mort mais qui continue à s’animer, que ce soit sous l’effet de sa propre volonté ou non. On distingue deux grandes catégories de morts-vivants, les cadavres réanimés et les esprits de personnes mortes qui se manifestent. Les cadavres réanimés possèdent encore leur corps, par opposition aux esprits, spectres et fantômes, qui peuvent être morts mais ne possèdent plus ce dernier, et sont donc parfaitement intangibles2. Des morts-vivants de tous les types sont répertoriés dans la plupart des croyances, dont la symbolique a été reprise pour les œuvres modernes. Le mort-vivant forme un thème populaire des romans et des films d’horreur, ainsi que de jeux de rôle. Les vampires ont vu une abondante littérature et filmographie leur être consacrée.

Bram Stoker considérait le titre The Un-Dead (littéralement : le non-mort ou le mort-vivant) comme le titre original de son roman Dracula, publié en 18973. L’usage de ce terme dans ce roman
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mort-vivant

je cuide dit: 27 février 2025 à 12h18

La Nuit des morts-vivants (Night of the Living Dead) est un film d’horreur américain réalisé en 1968 par George A. Romero.

C’est le premier volet de la Saga des zombies. Plus tard, le scénario sera repris maintes et maintes fois ; la version la plus connue est celle de Tom Savini, de même titre que le film de Romero, sortie en 1990.

je cuide dit: 27 février 2025 à 12h21

qui avait 13 ans de moins que moi,
pour bune femme, ce vn’est pas « beaucoup »
mon père bépousa une femme quinavait 20 ans de moins que lui;ça commençait à faire problèmes, et pas que pour moi

Marie Sasseur dit: 27 février 2025 à 12h21

@Mme Sasseur nous parle de la « veste de la Tcheka » de Marguerite Duras.

En réalité, mon message , toujours visible sur ce fil, était le suivant :

Marie Sasseur dit: 27 février 2025 à 8h42
Merci Passou et Edel.
Duras ,
« sanglée dans une canadienne, en plein hiver, était une vraie bonne militante, distribuant tracts sur les marchés et aux terrasses des cafés , vendant l’Humanité chaque dimanche. »( Edel)

Duras tractait chez les concierges du 6eme.
Dans sa » veste de la Tcheka » comme disait son ami Audiberti.

https://images.app.goo.gl/SFpY16R7hLTTZsrR8

Marie Sasseur dit: 27 février 2025 à 12h24

@je cuite,

Dans le bouquin de Passou il ne s’agit pas de mort-vivant , mais d’annoncer « il est mort vivant »

FL dit: 27 février 2025 à 12h24

 » […] le général de Castries ,qui apres une bataille au cours de la guerre d’Indochine demande a manger « un bifteck frites »(signifiant ) il n’exprime pas seulement qu’il ‘a faim » (signifié) mais ce signifié devient le signifiant de l’idée qu’il veut faire passer à travers cette demande : en affichant son appétence pour ce repas classique du français moyens il affirme i en ce lieu du bout du monde l’identité française dont il se veut porteur. »

Merci Rosanette de nous remttre en mémoire les « Mythologies ». Il faudrait un ouvrage illustré comme pour les « Je me souviens » de Pérec.

https://www.decitre.fr/livres/je-me-souviens-encore-mieux-de-je-me-souviens-9782859205447.html

Pablo75 dit: 27 février 2025 à 12h34

Question aux spécialistes de la Duras: malgré l’homosexualité de Yann Andréa, ils ont été amants? Il y a eu quelque chose de sexuel entre eux?

(De Duras je ne connais que le village à 60 km de Bordeaux, qui a inspiré à Marguerite son pseudo et où on allait avec mon beau-père acheter un vin blanc extraordinaire pour l’apéro chez un petit propriétaire à des prix dingues – à l’époque, il y a 20 ans, 4 euros et quelques la bouteille).

FL dit: 27 février 2025 à 12h35

« Question aux spécialistes de la Duras: malgré l’homosexualité de Yann Andréa, ils ont été amants? Il y a eu quelque chose de sexuel entre eux? »

Ils ont eu des rapports sexuels deux fois. Source: le fils de Duras qui n’a toujours pas digéré.

je cuide dit: 27 février 2025 à 12h41

Paroles de la chanson Un Mort Vivant par Charles Aznavour
De prisons en prisons de cellules en cellules
Pour avoir informé preuves à l’appui pourtant
Je ne suis plus un nom, pas même un matricule
Abandonné de tous, je suis un mort-vivant

On m’a pissé dessus, craché à la figure
Sur mes parties intimes on a mis le courant
Avec les rats crevés je dors dans la raclure
Malade et décharné, je suis un mort-vivant

Parce que j’accusais et qu’au sang de ma plume
La liberté coulait et défendait des droits
Pour m’empêcher d’écrire on a dû sur l’enclume
Et me briser le corps et me broyer les doigts

et alii dit: 27 février 2025 à 12h48

pourb l’orthographe, je crois que c’est
La Palice, et lapalissade! c’est Charoulet qui le dira

Janssen J-J dit: 27 février 2025 à 12h58

10.09, bien sûr cela se passait dans l’au delà.
ET 10.36 Mon testament était prêt, et acquises à qui de droit, les consignes pour la dispersion de mes cendres au dessus du cimetière de Mon Parnasse? Cercueils bien inutiles – Kevin est un peu lent pour démolir, devrait faire un stage chez Mauvaise Pensée. Le comédien Gene Hackman serait mort. Sincères condoléances à son épouse.

x dit: 27 février 2025 à 13h05

On peut aussi rappeler « Vivant jusqu’à la mort » de Paul Ricœur — à la fois acceptation de la finitude et affirmation que « l’être est être contre la mort ». La lutte avec l’imaginaire (« la hantise du futur antérieur », « du mort que je serai pour les autres ») passe par une autre conception de l’agonisant, non comme « moribond », mais un(e) encore vivant(e) mobilisant les « ressources les plus profondes de la vie à s’affirmer encore ».
Et dans le second manuscrit, une série d’articulations :
🔸 détachement (renoncement à la survie propre)-libération, disponibilité pour l’essentiel
🔸 détachement (dans sa composante « agapè », sa dimension de générosité)-transmission et transfert sur l’autre de l’amour de la vie

JC..... dit: 27 février 2025 à 13h48

HOMMAGE AUX SCIENTIFIQUES

Cette DURAS, ce milieu de génies alcooliques ou opiacés, cette démesure lamentable, quelle merde, le monde littéraire !

Pause, en attente du prochain billet…

Marie Sasseur dit: 27 février 2025 à 13h57

Laissez Duras en paix. Elle n’a pas à servir d’exutoire à vos à vos degueulis et frustrations.

Le billet c’est aussi la guerre, et on n’est plus à hauteur d’homme.
Ni de fusil Passou, no de fusil…

Non, on en est aux probabilités… de tuer un maximum.

« On retrouve l’IA « dans des applications extrêmement diverses qui vont de la logistique, la maintenance au renseignement, le ciblage, la surveillance, la reconnaissance, la lutte contre la désinformation », détaille Laure de Roucy-Rochegonde, Directrice du Centre géopolitique des technologies à l’Institut français des relations internationales (IFRI), enseignante à Sciences Po Paris et à l’université Paris-II Panthéon-Assas. « L’usage le plus problématique, c’est l’autonomisation des systèmes d’armes. Là, ça peut se traduire de diverses manières, qui sont associées parfois à la robotique militaire. L’exemple qui a été très parlant et ce qui s’est passé dans la bande de Gaza avec un certain nombre de programmes israéliens pour identifier des combattants présumés du Hamas, pour mener des campagnes de bombardement aérien », ajoute l’enseignante-chercheuse. Nous avions évoqué ce sujet, dans une précédente Revue de presse internationale, avec la capacité d’Israël, grâce aux outils de l’IA, d’analyser des milliers de données, recoupant des images satellites, des données GPS, des enregistrements de voix, notamment. »

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-revue-de-presse-internationale/la-revue-de-presse-internationale-emission-du-samedi-11-janvier-2025-1957380

Marie Sasseur dit: 27 février 2025 à 14h07

Un peu de science.

« À quoi servent les terres rares ?
Les terres rares sont constituées de 17 éléments : 15 lanthanides : Lanthane ; Cérium ; Praséodyme ; Néodyme ; Prométhium ; Samarium ; Europium ; Gadolinium ; Terbium ; Dysprosium ; Holmium ; Erbium ; Thulium ; Ytterbium et Lutécium, ainsi que Scandium et Yttrium. Les terres rares légères sont utilisées pour leurs propriétés magnétiques exceptionnelles, et les terres rares lourdes (celles qui ont le plus de valeur) servent à repousser le point de température où les aimants perdent leur magnétisme.

Elles sont omniprésentes, surtout dans quatre secteurs industriels qui représentent 10% de l’économie mondiale (Institut polytechnique UniLaSalle, Comment concilier l’exploitation des terres rares et l’environnement ?, 3 avril 2023) :

numérique (téléphones portables, disques durs, écrans) ;
énergie (turbines d’éoliennes en mer, moteurs de voitures électriques et hybrides) ;
médical (appareils, robots) ;
armement.
(…)
Pourquoi les appelle-t-on terres « rares » ?
Au XVIIIe siècle, au moment de leur identification par Lavoisier, les terres rares étaient moins abondantes que d’autres terres connues à l’époque (chaux, alumine, silice, etc.). La première terre rare, l’Ytterbium, fut découverte par hasard en 1787 par Arrhenius dans une carrière près de Stockholm. Aujourd’hui, ce sont les difficultés à les extraire et à les raffiner qui les rendent rares :

pour extraire 1 kilo de gallium, il faut casser 50 tonnes de roches, pour 1 kilo de Lutecium, il s’agit de 1 200 tonnes de roches ;
leur raffinage passe par l’utilisation d’acides sulfuriques et nitriques, qui contaminent les eaux et les sols avoisinants, générant chez les humains cancers, malformations et infertilité ;
leur contenu en thorium ou en uranium radioactif constitue une autre source de pollution, qui a justifié l’arrêt des activités de la raffinerie de terres rares à La Rochelle (Rhône-Poulenc), délocalisées en Chine. Dans les années 1980 l’usine purifiait 50% du marché mondial de terres rares. »

https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/289457-terres-rares-quels-enjeux-pour-la-france-et-leurope

L’Ukraine = 5% des ressources minières mondiales.
Du coup la guerre devient autre.

Jazzi dit: 27 février 2025 à 15h30

La pauvre chose à l’ivresse triste qui, se planque sous le pseudo du baron perché, ne se rend pas compte, la pauvre, que son dégueulis ordurier nous donne surtout la mesure de sa frustration, tant sur le plan affectif que professionnel !

Paul Edel dit: 27 février 2025 à 15h59

Pablo, j’ai passé plusieurs étés divins à Duras. J’aime ce vieux village pierreux, à ruelles, avec son château qui domine le pays.. j’ai connu aussi les délices des petits vignerons qui vendent leurs « côtes de Duras ». Mon plaisir était aussi de filer le soir, au marché nocturne d’ Eymet, cette bastide avec une grande place à arcades, un joli cours d’eau .J’ai connu le plaisir de s’asseoir sur des bancs au milieu d’ anglais et de paysans du coin pour gouter aux plats périgourdins, tout ça arrosé de blancs sympas. Que de bons souvenirs de cette région à vielles façades à colombages. A Eymet, sur les présentoirs de la Maison de la presse, en été, davantage de journaux anglais que de journaux régionaux , et des livres de poche de Virginia Woolf ou de Jonathan Coe dans leur version original. ) La maison de Pardaillan (10km environ de Duras) que le père de Marguerite Duras avait acheté – nommée le Plantier- maison que la jeune Marguerite aimait tant et qui apparait dans son roman « les impudents » n’existe plus. J’ai vérifié.

et alii dit: 27 février 2025 à 16h07

Geoffrey Hinton, souvent qualifié de « parrain de l’IA », a récemment fait part de ses inquiétudes grandissantes concernant le développement rapide de l’intelligence artificielle. Lors d’une interview accordée à BBC Radio 4, le scientifique anglo-canadien a revu à la hausse ses estimations quant à la probabilité que l’IA détruise l’humanité dans les trois prochaines décennies.

Jazzi dit: 27 février 2025 à 16h54

Que faut-il penser de ce dicton, D. ?
« Plus le chariot est vide, plus il fait de bruit. »

puck dit: 27 février 2025 à 17h03

@ »L’Ukraine = 5% des ressources minières mondiales.
Du coup la guerre devient autre. »

cette guerre n’a jamais été autre.

exemple au hasard : un parlementaire allemand disait après l’échec de la controffensive ukrainienne que comme le lithium du Donbass était perdu pour les européens l’industrie automobile allemande devait retarder le passage au tout électrique.

autre exemple : le sénateur républicain américain Lindsey Graham disait il y a 1 an qu’il refusait l’idée de voir les 3 trillions de richesses minérales du Donbass tomber entre les mains des russes et des chinois.

puck dit: 27 février 2025 à 17h05

par contre le truc marrant est de voir les médias faire comme s’ils venaient de découvrir qu’il y avait du lithium et du titane dans le Donbass.

sérieux ?
le combat pour la liberté et la démocratie ?
sérieux ?

puck dit: 27 février 2025 à 17h10

le truc le plus dommage c’est que si d’emblée ils avaient tous dit qu’ils envoyaient tous ces ukrainiens à la mort pour récupérer les minerais du Donbass, moralement ça tenait le route.

alors que l’histoire du combat pour la liberté et la démocratie dans un pays qui a interdit tous les partis politiques et les tous les médias d’oppistion et qui est contrôlé par une bande de bandéristes je suis désolé mais moralement ça ne tient pas la route une seconde.

alors qu’une guerre pour le lithium ça a quand même plus de gueule.

puck dit: 27 février 2025 à 17h12

une guerre pour le lithium ça a plus de gueule de plus parce que depuis le 16è siècle l’Europe a mené un tas de guerres pour récupérer les richesses des pays de toute la planète.

du coup je vois pas pourquoi les mecs étaient aussi gênés de l’avouer alors que leurs aïeuls l’ont fait depuis au moins 50 générations !

puck dit: 27 février 2025 à 17h14

en plus si ce conflit a effectivement fait 1 million de victimes en Ukraine, vu l’importance du lithium et du titane aujourd’hui, limite on se dit qu’ils sont pas morts pour rien.

si on prend la voiture électrique on peut dire que tous ces ukrainiens sont morts non pas pour sauver l’Europe mais pour sauver la planète.

Jean Langoncet dit: 27 février 2025 à 17h21

« Roger Waters » « onu » … tous mes sens sont en alerte, je veux dire mon dôme de fer à moi se déploie instantanément ; keupu, tu peux nous publier la liste des artistes qui sont dans le camp du Bien, et celle des artistes indésirables ? Je crois savoir que Dylan appartient à le seconde catégorie

puck dit: 27 février 2025 à 17h22

c’est le côté génial de Trump : comme il dit tout ce qu’il pense boum ! au bout de trois jours il dit qu’il veut récupérer les richesses minérales d’Ukraine.

alors que les autres faux derches sont obligés de trouver des excuses complètement plus débiles lus unes que autres.

l’arrivée de Trump c’est comme si on ouvrait les fenêtres d’une chambres confinées qui commençaient à sentir le moisi : la bouffée d’air frais dans une pièce qui sent la mort !

Jean Langoncet dit: 27 février 2025 à 17h24

(S’agissant du Floyd, un grand groupe, assurément qu’il dirait je-sais-plus-qui, j’en suis resté à Barrett, aussi ne serais-je d’aucune plus-value dans la discussion que tu inities)

puck dit: 27 février 2025 à 17h26

@ »tu peux nous publier la liste des artistes qui sont dans le camp du Bien »

tu parles de ceux qui ont été serrer la paluche à Zelinski aux frais de l’usaid ?

non Waters est un peu à contre courant de ce camp de Bien tel que défini par les médias institutionnels.

mais tu triches jeannot lapin : son exposé dure 10 mn et vu l’heure de ta réponse tu ne l’as pas écouté.

puck dit: 27 février 2025 à 17h28

Roger Waters est celui qui est resté le plus fidèle à l’esprit de Barrett, Gilmour lui-même le reconnaissait : toutes les angoisses de Waters ont nourri la musique de Pink Floyd.

puck dit: 27 février 2025 à 17h42

l’autre truc génial avec Trump c’est qu’il dit ce qu’il fait et il fait ce qu’il dit.

exemple : il avait dit qu’une des premières choses qu’il ferait c’est rendre publique la « liste cachée de Jeffrey Epstein ».

hé ben ce sera chose faite dans les heures qui viennent.

j’espère que les féministes et de tous ceux qui luttent contre la pédophilie remercieront Trump comme il se doit : 250 victimes ça le classe parmi les « gros » prédateurs :

https://www.youtube.com/watch?v=kJ1hINEYnlA

Pablo75 dit: 27 février 2025 à 17h51

aussi les délices des petits vignerons qui vendent leurs « côtes de Duras ».
Paul Edel dit:

C’était ça, un Côte de Duras…

Tout le Sud-Ouest est plein de ces petits coins de paradis, peu connus en dehors de la région, et où on trouve des produits de la terre exceptionnels. Déjà Ausone (Decimus Magnus Ausonius, alias Ausonius Burdigalensis, vers 309-vers 394) en parlait:

« Burdigala où le ciel est clément et doux ; où le sol, que l’humidité féconde, prodigue ses largesses ; où sont les longs printemps, les rapides hivers, et les coteaux chargés de feuillage… »

Pablo75 dit: 27 février 2025 à 18h17

Incipe : dimidium facti est coepisse. Superfit
dimidium : rursum hoc incipe et efficies.

« Commence : commencer, c’est faire la moitié du travail.
Il reste une moitié : recommence et tu termineras. »

Ausone. Épigramme 92

D. dit: 27 février 2025 à 18h36

Jazzi dit: 27 février 2025 à 16h54
Que faut-il penser de ce dicton, D. ?
« Plus le chariot est vide, plus il fait de bruit. »

–

Je pense que le chariot est plein de commentaires.

puck dit: 27 février 2025 à 18h39

@ »commencer, c’est faire la moitié du travail. »

pour la liste d’Epstein ?
ma foi j’en sais rien.
si la nouvelle DOJ arrive à poursuivre Clinton, Woody Allen et Bill Gates c’est déjà un bon commencement.

Bill Gates c’est un peu la version américaine de l’abbé Pierre : en public il sauver des enfants et derrière le rideau ces enfants en vérité ils leur fait autre chose que les sauver.

il a dit un truc intéressant Ausone sur ces gens qui vivent au dessus des lois ?

parce que là je crois qu’ils vont ramasser.

puck dit: 27 février 2025 à 18h42

« Ausone » j’ai un doute sur l’orthographe, ça s’écrit pas « Ozone » ?
à l’aide Mr Court !

Patrice Charoulet dit: 27 février 2025 à 19h05

Langue française

Lisant un excellent écrivain français actuel, je vois avec surprise qu’il confond « aoblir » et
« ennoblir ». Nul n’est parfait. La différence est pourtant simple.
« Anoblir » est réservé pour le sens propre, ne se dit que des personnes et signifie « conférer un titre de noblesse ».
« Ennoblir » (prononcer an-no) s’emploie seulement au figuré, pour désigner la noblesse morale
(éclat, considératioin, importance qu’on donne à une chose).

MC dit: 27 février 2025 à 19h43

Duras recouvre un duché, ce me semble ? Et une excellente femme de lettres; Claire de Kersaint, Duchesse de Duras…. MC

Bolibongo dit: 27 février 2025 à 19h52

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puck dit: 27 février 2025 à 19h53

si cela désigne la « noblesse morale » c’est évident que ça s’emploie forcément au figuré.

déjà l’expression « noblesse morale » on a un peu de mal à voir comme s’associent ces deux mots.

la noblesse on voit à peu près ce que c’est.
la morale aussi.
limite une morale « noble », à savoir une morale à laquelle on confère une certaine noblesse, on arrive à peu près à imaginer.
mais une noblesse morale perso je suis un peu perdu…

exemple au hasard : sur la liste des pédophiles de Jeffrey Epstein on trouve beaucoup de personnes qui appartiennent à une certaine élite dont ma spécificité est de mettre en avant sa vertu morale.

on l’a vu lors des dernières élections américaines qui oppsait le camp de la vertu (les démocrates) au camp du vice (Trump).

qui plus est une élite vertueuse mais aussi cultivée : la ville de Washington et la plupart des campus ont voté à plus de 90% pour Biden.

et c’est probablement de fait de la culture de cette élite vertueuse et cultivée que Jeffrey Epstein a baptisé l’avion qui transportait ses invités jusqu’à sa petite île privé « Lolita Express ».

dans « Lolita Express » on trouve « Lolita » du coup on voit que d’emblée on s’adresse à une population ayant une certaine culture littéraire.

donc là on retrouve tous les ingrédients : élite donc « noblesse », morale, cultivée, noblesse morale etc…

la totale.

Claudio Bahia dit: 27 février 2025 à 19h57

à Soleil Vert

peut-être que maintenant ils pourront enfin jouer aux échecs tous les deux dans la paix….
Je les aimaient tous les deux.
Un petit pincement au cœur; et vous ?

puck dit: 27 février 2025 à 20h00

le truc qui risque d’être croustillant c’est que quand on regarde les trajets de « Lolita Express », le pays le plus concerné hors US c’est la France avec comme destination Paris, Marseille et Nice.

Trump a peut-être évité un conflit nucléaire, mais cette affaire Epstein je sens que ça va être une véritable bombe atomique.

puck dit: 27 février 2025 à 20h06

le plus drôle c’est que dans les manifestes de ces trajets aériens on n’a que les initiales des passagers.

les mecs ils pensaient être peinards avec leurs initiales…

pas de bol maintenant il existe un truc qui s’appelle le téléphone portable qui sert à nous surveiller et collecter des données sur nos déplacements qui sont vendus à des entreprises qui nous proposent ensuite des voyages etc…

le FBI a collecté plus de 200 noms dont le téléphonés s’est déplacé sur l’île de Jeffrey…

sérieux je comprends pas l’omerta de nos médias, c’est presque mieux qu’un polar d’Agatha Chrsitie.

puck dit: 27 février 2025 à 20h10

Hillary Clinton avait déjà eu des problèmes avec son portable.
maintenant ça va être le tour de son mari.
ces deux là doivent maudire Apple.

le baron perché dit: 27 février 2025 à 20h29

Jazzi a le goût des cimetières !
Pas seulement parcequ’il va mourir bientôt et disparaître pour toujours et donc il fait tout pour essayer de se familiariser avec la Camarde en visitant ces demeures du néant, histoire d’exorciser sa maladive peur de la mort, mais il y a également une raison plus intime à son goût morbide pour ces antichambres de l’au-delà. C’est celui de son état d’homme quelconque à qui ne revient, de droit, qu’un médiocre destin, terne et sans éclat. Celui aussi d’un parcours de vie plein de manigances et de perfidie, de traîtrises et d’ignominie, d’indignité et de bassesse envers ses proches et ses amis. Une vie de traître pédéraste immonde se vautrant dans des corps virils et les salissant par goût de stupre lâche et revenchard qui reflète son absence d’âme, d’esprit et de vie.
Une bête de foire avec une tête de moustique gore – j’ai vu ses photos, quelle laideur !
Encore une fois, Jacques Barozzi, en vérité je te le dis : »Horrible est ta vieillesse de pédéraste et horrible encore sera ta mort prochaine ».
(Passe le bonjour à ton Chedly qui, lui aussi, attend impatiemment ta fin pour toucher « l’héritage »!!!).

Soleil vert dit: 27 février 2025 à 20h30

Claudio Bahia dit: 27 février 2025 à 19h57
à Soleil Vert

peut-être que maintenant ils pourront enfin jouer aux échecs tous les deux dans la paix….
Je les aimaient tous les deux.
Un petit pincement au cœur; et vous ?

Oui, tristesse. Bobby Fischer n’aurait jamais pu remporter son titre si Boris Spassky n’avait accedé à toutes ses requetes lors du match de 1972. C’était un gentleman.

Soleil vert dit: 27 février 2025 à 20h35

Décès de Robert Spassky …
Décidemment cela m’a troublé
Boris Spassky et Robert Fischer

Claudio Bahia dit: 27 février 2025 à 20h38

je dois encore penser à cette halucinante 13ème partie.
pour tout le monde elle devait être nulle, sauf pour B F (je parle en codes, comme JJJ)
merci Soleil Vert pour vos commentaires; voici bien longtemps que je ne suis pas venu vous visiter « chez vous »

Soleil vert dit: 27 février 2025 à 20h54

« Je l’ai rencontré pour la première fois à Cannes en 1986. Nous nous sommes immédiatement entendus et sommes devenus amis. Il nous a invité à dîner dans sa résidence à Paris. Nous avons eu de nombreuses autres conversations mémorables lors de dîners au fil des ans. Nous avons eu Boris et Bobby Fischer à dîner chez nous à Budapest en 1993. La conversation était hors du commun. C’était un moment incroyable ! »

—Susan Polgar, le 27 février 2025

Source Europe Echecs

Soleil vert dit: 27 février 2025 à 20h58

72 : au coin du boulevard Saint Germain et de la rue Grégoire de Tours il y avait une boutique de jeux d’echecs. On suivait les parties depuis la vitrine

Claudio Bahia dit: 27 février 2025 à 21h03

SV
« Il n’était pas seulement un champion formidable, mais aussi une personnalité fascinante. Tous ceux qui l’ont rencontré se souviendront sûrement de lui – pour toujours. Son caractère transparaissait de toutes les manières possibles, notamment avec son sens de l’humour, son esprit brillant, ses expressions faciales. Il s’est tourné vers les échecs et la vie avec une grande curiosité. Il nous manquera. Tu me manqueras, Boris. »

—Judit Polgar, le 27 février 2025

Soleil vert dit: 27 février 2025 à 21h10

Le match de 72 me faisait penser à celui qui avait opposé Capablanca à Alekhine (1927). Capa comme Spassky paraissaient invincibles mais la préparation des challengers a tout changé. Contrairement aux russes, Fischer n’avait pas de reel secondant, ce qui force encore plus l’admiration.

Jean Langoncet dit: 27 février 2025 à 21h28

(Un peu avant la sortie de Forest Gump au cinéma, si je me souviens bien, Stendhal a publié un opuscule consacré à Bonaparte ; il y dépeint cette figure aussi singulière et géniale qu’elle était arriérée – le pouvoir des vieux prêtres s’en trouvait menacé)

Jean Langoncet dit: 27 février 2025 à 21h33

(vieux prêtres non par l’âge mais par leur attachement à la répétition du même, à la tradition, autrement dit, à la tradition la plus aliénante ; signe des temps, les vocations ne manquent pas chez les plus jeunes)

Jean Langoncet dit: 27 février 2025 à 21h37

(ce qui caractérise d’abord les jeunes, c’est le manque de repères et le besoin d’action ; les vieux prêtres le savent bien)

Jean Langoncet dit: 27 février 2025 à 21h41

« Il ne faut pas agir et parler comme les enfants de nos parents » selon Héraclite d’Ephèse (jadis en Grèce, aujourd’hui en Turquie) ; je me demande ce qu’il entendait par là

Jean Langoncet dit: 27 février 2025 à 21h43

Motto du vieux prêtre : tout ce qui n’est pas moi n’existe pas ou n’a pas vocation à perdurer sans moi

x dit: 27 février 2025 à 23h13

Une pensée pour La défense Loujine.
Et un oubli à réparer : j’ai bien noté le Biribi de Kalifa, merci.

MC dit: 27 février 2025 à 23h28

Dans Le Figaro d’aujourd’hui: une thèse chapeautée par le très brillant » Colossimo sur Sansal, et, pour celles et ceux qui font la fine bouche, l’édition en poche de France-Algerie, dialogue mené avec un personnage aussi intolérant et sectaire que Boris Cyrulnik! Ma soeur y trouvera, n’en doutons pas, à redire…

je cuide dit: 28 février 2025 à 2h44

« Quant au contrat social, il fait que le principe de notre vie en commun n’est pas le “chacun pour soi”, mais le “tous pour un. Ces questions sont des composantes de ce que nous sommes comme peuple », ajoute-t-il.

rose dit: 28 février 2025 à 4h21

Jean Langoncet dit: 27 février 2025 à 21h41
« Il ne faut pas agir et parler comme les enfants de nos parents » selon Héraclite d’Ephèse (jadis en Grèce, aujourd’hui en Turquie) ; je me demande ce qu’il entendait par là.

Autour de,
C’est dur pour les parents d’avoir un, des enfants qui tournent mal.
Mais, ce n’est pas de notre responsabilité.
À partir du moment où nous avons fait notre boulot d’éducateur -enseignant c’est à l’école- l’enfant/adolescent/jeune adulte est à même de prendre sa vie en mains.
La séparation, inéluctable, est bienvenue.
Nous ne sommes plus les enfants de nos parents, donc ne parlons pas comme eux.
Nous leur sommes redevables de nous avoir mis au monde, mais ils ne sont pas responsables de ce que nous sommes devenus : cela nous appartient en propre. Quel trajet !

rose dit: 28 février 2025 à 4h24

[b]non, comme ça alors ??[/b]
La minuscule du b c’est bon.
Le signe n’est pas le crochet c’est
Et puis fermant
Avec b au milieu

rose dit: 28 février 2025 à 5h04

’une femme d’âge déjà mûr

Ne me dites pas qu’à 39 ans une femme est d’âge déjà mûr !
Ni que à quatorze ans, je parle des filles, on est une enfant.

Que de confusion dans les mœurs !
Vous préférez Melania, 24 ans de moins que son mari, (qui baise avec une pute lorsqu’elle est enceinte) qui se tient debout derrière lui, avec son chapeau noir pendant qu’il signe ses papelard, ouvrant la voie aux saloperies du monde rendues publiques ? Mais c aussi son bébé Trump.

rose dit: 28 février 2025 à 5h28

 » Denis Van Weynbergh. Le skipper d’Ieteren Group a des gros soucis de drisse depuis le début de la semaine indique l’organisation. Privé de grand-voile, son bateau avance au ralenti.  »
La drisse est un filin métallique qui passe dans un rail le long du mât et qui permet de hisser la grand-voile. En terme de volume c’est restreint. En terme de montage, ce doit être compliqué.
Quand le, naviguer sans grand-voile ce n’est pas évident.

Marie Sasseur dit: 28 février 2025 à 5h42

@Bayrou entretien au figaro

Lisez Sud-Ouest:

« Affaire Bétharram : ce que l’on sait de la plainte déposée contre François Bayrou
Une plainte a été déposée vendredi 21 février pour « non-dénonciation de crime et délit » à l’encontre de François Bayrou dans l’affaire des violences sexuelles à Bétharram. Le Premier ministre s’est refusé à faire tout commentaire en marge de son déplacement au Salon de l’agriculture lundi. »

https://www.ouest-france.fr/politique/francois-bayrou/affaire-betharram-ce-que-lon-sait-de-la-plainte-deposee-contre-francois-bayrou-89c6b120-f34e-11ef-a658-d59bc62913c1

Patrice Charoulet dit: 28 février 2025 à 6h20

à Jacques Barozzi

Monsieur,
Chaque habitué connaissant votre vrai nom, pourquoi tenez-vous à signer encore d’un pseudo?

closer dit: 28 février 2025 à 7h08

Hier, au hasard des rencontres dans un petit groupe de conversation au bistro, je me suis trouvé en face d’un fringant septuagénaire d’origine espagnole. Le sujet en l’air était l’enseignement et les abus subis de la part des enseignants.
Il a évoqué l’arrivée en France de ses parents dans un petit bourg du Centre. Sa famille, cinq enfants, ne parlait pas un mot de français.

Il a été pris en main par l’instituteur local; cours supplémentaires tous les jours après la fin des cours; le jeudi, après le catéchisme du matin, retour à l’école alors que ses copains allaient jouer au foot. Bien sûr, châtiments corporels pour tous (coups de règles sur les doigts); mais quant l’instit faisait une leçon d' »Histoire de France » à l’ancienne » on entendait une mouche voler dans la classe, tellement les gamins étaient passionnés.
L’instituteur était communiste, ce monsieur l’apprit plus tard.

Pas question de faire des études, apprentissage chez un garagiste. Le maître d’apprentissage était la copie conforme de son instituteur dans son domaine, l’enseignement de la mécanique: sévère mais juste.

Il nous a raconté aussi sa découverte éblouie de la poésie française à travers les chansons de Brassens…

Sa conclusion: « J’ai eu une belle vie ». Je ne suis pas sur que la lubrification des ses yeux n’était pas à ce moment un peu supérieure à la normale.

« C’était mieux avant. »

Jazzi dit: 28 février 2025 à 7h17

« pourquoi tenez-vous à signer encore d’un pseudo ? »

Parce que le commentateur de la RDL n’est pas tout à fait l’auteur, monsieur Charoulet.
Jazzi est la contraction de Ja(cques Baro)zzi et un autre lui-même.
Mais posez donc la question à Passou.

J J-J dit: 28 février 2025 à 7h36

@ que la lubrification de ses yeux n’était pas à ce moment un peu supérieure à la normale

Vous vouliez dire qu’il était ému aux larmes ?

Jazzi dit: 28 février 2025 à 7h36

« Plus le chariot est vide, plus il fait de bruit. »

Plus le cerveau est creux, plus la bouche fait du bruit.
Voyez le cas ici du baron perché !

J J-J dit: 28 février 2025 à 7h53

1 – Je découvre ce matin une « immense » écrivaine américaine, parait-il : Ursula K Le Guin.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ursula_K._Le_Guin
Celles et ceux qui connaissent son œuvre peuvent-ils me conseiller son MEILLEUR bouquin. Je voudrais l’essayer avant sa mort : elle aurait dans les 96 ans, Il n’est peut-être pas trop tard pour elle. Merci.
2 – Le matin, il faut toujours reprendre le fil du monde, c’est de plus en plus difficile. On lit moins vite les livres. Et les aquarelles (sic) urgent.
3 – J’observe qu’il y a toujours des querelles (sic) sur la RDL. C’est dommage. Elles se tournent souvent vers Brest.
4 – Moi non plus, je n’arrive pas à faire les italiques ou les caractères gras. En revanche, je sias faire une émoticône qui ne me fait pas rire du tout 🙂
5 – Je suis éclaboussé du soleil levant de l’est, au dessus de l’ordi. Je salue PE, rôz, et le blog de SV auxquels vont mes pensées. Il est 8.51. Bonne journée.

Jazzi dit: 28 février 2025 à 7h55

« J’ai dit ça ? » : Trump ne se souvient pas d’avoir qualifié Zelensky de « dictateur »

Et alzheimer en plus !
Attaquer, attaquer, attaquer et toujours nier ensuite.
La règle numéro 1 que lui avait enseigné son mentor.
« The Apprentice » de Ali Abbasi, avec Sebastian Stan, Jeremy Strong et Maria Bakalova.
https://www.youtube.com/watch?v=qbJJW6JqVx8

J J-J dit: 28 février 2025 à 7h56

Je sais je sais; qu’elle est morte en 2018… Mais vous ne comprenez donc rien ?…
Qui connait le frère ainé de Didier Lockwood ?
Le Mohican ?… un thriller western bien moyen sur le monde de la corse actuelle (F.F., vu hier soir).

J J-J dit: 28 février 2025 à 7h59

J’ai été nuitamment piqué par une araignée venimeuse avant hier. Ai dû prendre un hydrocorticoïde pour enrayer la douleur… Je ne comprends pas comment cela est arrivé. Tamaloûtoi, MS ?

Chaloux dit: 28 février 2025 à 8h15

À 39 ans, une femme arrive au bout de sa fertilité. Elle est donc mûre. Et qu’une femme de cet âge ait des vues ou se tape un gamin de 14 ans est-ce normal?

J J-J dit: 28 février 2025 à 8h26

Non, je vous assure B. cela s’est passé dans mon lit, pas dans la baignoire. Et ce n’était pas une mygdale. Une recluse brune, peut-être, enharide dans la maison,… genre araignée violoniste ?
https://www.google.com/search?sca_esv=3d270dcc4f030842&rlz=1C1GCEA_enFR1067FR1067&q=Araign%C3%A9e+violoniste&stick=H4sIAAAAAAAAAOMwVOLQz9U3SLewKPvFyLCBheEVCzcXJ0jIuDg7J-UVCw8XF4hnEm-YbVEG55oXW6Snm71i4eXi1k_XNzQyMi7MrjR9xcLFBTbO3NQ0Cc4BmQ3XaGpYZVGYjLDEtCzNFM4zLMgorljEKuJYlJiZnnd4ZapCWWZ-Tn5eZnFJ6i02SYYwv_DPiTMOs73bV5VWnKDIpTkr-tGBe1brFnEoqQWK2TmlaQW5SWWlgDZRanJGalFQJxXopBYWlycuYKDEQBNOLoC7QAAAA&sa=X&ved=2ahUKEwiEz6HZ9-WLAxXJTKQEHe3WOcEQs9oBKAB6BAgmECI&biw=1920&bih=953&dpr=1
Merci pour la suggestion et solidarité. Bàv,

J J-J dit: 28 février 2025 à 8h34

Toutes les femmes mûres veulent initier les ados. Certaines le désirent mais s’abstiennent, d’autres le font, en tant qu’éducatrices – initiatrices entendant prévenir les adolescents des erreurs d’un machisme et d’une misogynie future liées à des expérience désastreuse issus d’une volonté d’imiter sites pornographiques invitant aujourd’hui les ados garçons à s’initier par eux-mêmes.

J J-J dit: 28 février 2025 à 8h36

Il faudrait ponctuer les enchainement séquentiels de la pensée. Mais on n’est pas là pour la littérature. L’essentiel est de bien comprendre l’argument d’une opinion subjective, même si elle apparait un peu sommaire. Ce n’est pas grave et on peut passer son chemin.

B dit: 28 février 2025 à 8h38

Chaloux, encore un coup d’Œdipe. La question a été envisagée au moment de l’élection d’EM, même des psychiatres ont livré une analyse de ce cas de figure peu courant. Ceci étant, nos rois se sont souvent passé d’une approche psychanalytique ou psychopathologique quand l’union obligeait de très jeunes filles, et pour cause, Freud n’était pas né,

J J-J dit: 28 février 2025 à 8h42

@ Nulle part, j’ai le mam,
Longue vie avec le mam (?). Ce qui vous donne la niaque, sans doute !?… Mais attention à ne pas vous laisser trop aller aux démangeaisons dures ticaires en herdélie ou sur les blancs sommets, hein !

B dit: 28 février 2025 à 8h43

3J, toutes les femmes, peut-être pas, je n’ai jamais éprouvé ce désir mais peut-être aussi ne suis-je pas une femme, ce qui expliquerait l’absence de pulsion envers les adolescents.

rose dit: 28 février 2025 à 8h56

Deux remarques :
Une femme est mûre vers sa ménopause, aux alentours de 55 ans. Cela lui laisse quinze ans a minima entre 39 et 54 ans.

J J-J dit: 28 février 2025 à 8h34
Toutes les femmes mûres veulent initier les ados.
Non : ce sont les ados qui demandent à être initiés par une femme de l’âge de leur mère, la quarantaine épanouie.

Cet acharnement délirant contre Brigitte Macron, c’est d’un pénible.

Pour le reste, all is usual.

Je ne sais que faire contre les piqûres d’araignée.

rose dit: 28 février 2025 à 8h57

au moment de l’élection d’EM, même des psychiatres ont livré une analyse

Un psychiatre italien.
Il fait connaître le degré de machisme des italiens.

rose dit: 28 février 2025 à 9h00

Quant à la vieillesse, elle n’atteint les femmes que vers 73 ans. Donc à partir de la ménopause, vers 55 ans, il nous reste dix huit ans avant de basculer, irrémédiablement, dans la vieillesse.
Franchement, nous avons une belle marge.
De la quarantaine à 75 ans, il y a trente cinq ans.

Chaloux dit: 28 février 2025 à 9h03

Un homme ça s’empêche, mais une femme aussi.

Ou pas. C’est ce qui fait la différence de qualité entre les êtres.

Je maintiens qu’elle s’est servie de lui et l’a rendu fou. Elle en a fait une marionnette. La façon dont il a été imposé, en gros par le club Le Siècle, également comme une marionnette, appuie mon raisonnement.

(À propos du Siècle, je me suis laissé dire qu’un journaliste bien connu s’était sauvé d’un des diners par la porte de derrière, déguisé en serveur. Mais c’est sûrement un bruit dénué de fondement.)

Rosanette dit: 28 février 2025 à 9h04

@closer
C’est le miracle de l’école de la république
Un exemple qui m’est proche :j’ai un grand oncle maternel mort jeune en 1920 ,né et élevé dans un milieu arabophone , qui a découvert appris le français à l’école, en Algérie grâce des instituteurs dévoués, et qui, plus tard à Paris est devenu prof d’arabe maghrébin(sa langue maternelle) aux langues ‘O
Mais surtout il fut un poète français publié au début du siècle dernier. J’ai eu sous les yeux l’article qu’Henri de Regnier avait consacré a un de ses recueils de poésie (rosées d’orient) dans le FIGARO
Ce recueil avait disparu de la famille et j’ai eu la chance de le trouver chez un bouquiniste via internet ;pas extraordinaire, je dois dire :du sous Heredia

je cuide dit: 28 février 2025 à 9h04

responsables:!
Du latin respondere : répondre. Obligation pour une personne (ou pour un groupe) de répondre de ses actes, d’en reconnaître être l’auteur et donc de les assumer. Le mot s’utilise en droit mais aussi en morale et en politique. Juridiquement, la responsabilité est soit civile (obligation de réparer les torts et dommages faits à autrui), soit pénale (obligation de répondre de ses actes délictueux en subissant une sanction prévue par la loi). On notera que le droit pénal prévoit la dispense de responsabilité pour cause pathologique. Pour Kant, qui fait dépendre la morale de la raison et de sa capacité à élever la maxime de l’action à l’universel, la responsabilité de l’agent s’adresse à la fois à sa conscience et à l’humanité toute entière. La pensée écologique, éveillée notamment par Hans Jonas, auteur du Principe responsabilité, étend la responsabilité à la prise en compte des effets de l’action sur les générations futures. En politique, dans l’ouvrage rédigé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale La Culpabilité allemande, Karl Jaspers défend l’idée d’une responsabilité collective de tout le peuple allemand (et pas seulement des dignitaires nazis ou de leurs partisans), dans les crimes commis contre les minorités au nom d’une idéologie raciste.
https://www.philomag.com/lexique/responsabilite

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