Virginia met sa vieille théière au clou
A l’heure où nous mettons sous presse, nous sommes en mesure de vous révéler, à vous authentiques lecteurs de livres et non pas vulgaires consommateurs de papier, une information capitale : l’écrivain est un être vivant comme un autre. Entendez qu’il mange, boit, dort, paie son loyer et ses factures d’électricité, souffre d’hernie fiscale, connaît des problèmes de fins de mois en début de mois. Bref, lui comme vous et parfois davantage. Cela paraît évident. Pourtant, à en croire ceux qui les mettent si souvent à contribution pour faire la roue en public, il vivrait d’amour et d’eau fraiche. Au-delà même du mythe romantique de l’écrivain éclairant son manuscrit à la chandelle, il y a dans cette attitude, plus ancrée en France qu’ailleurs où l’évocation de l’argent n’est pas taboue, l’étrange conviction que l’écrivain serait au fond « un créateur incréé », comme on le dit de certains livres sacrés.
L’expression, qui est de Pierre Bourdieu (l’auteur le plus cité en référence), revient souvent sous la plume des sociologues Gisèle Sapiro et Cécile Rabot, maîtresses d’œuvre du recueil collectif Profession ? Ecrivain (368 pages, 26 euros, Cnrs éditions). Sauf qu’elles en usent non pour s’y abriter mais pour la dénoncer. Leur panorama, fouillé et documenté, met en lumière un double constat paradoxal : plus l’activité d’écrivain se professionnalise, plus leur situation se précarise. C’est d’autant plus étrange que le développement des activités connexes qui participe de cette évolution (résidences d’écrivains, présences à des débats, conférences, lectures publiques, cours d’écriture dans des ateliers, bourses) est censé augmenter leurs revenus.
Désormais, l’écrivain doit se faire violence et sortir de chez lui, accompagner son livre sur les tréteaux un peu partout, faire savoir son savoir-faire, expliquer enfin ce qu’il s’est bien gardé d’expliquer, se donner les moyens de sa visibilité, arpenter la France et le globe, se produire face aux micros et caméras. Payer de sa personne, c’est à dire paraître quand son livre paraît. Le phénomène n’est pas récent. Mais outre qu’il s’est accentué, il a été enfin pris en main pour que l’écrivain ne soit plus exploité comme avant. Car lorsqu’il est en chair et en os en face de vous pour répondre à vos questions, reprendre le train et recommencer le lendemain dans une autre ville, il n’est pas à sa table en train d’écrire et de gagner sa vie.
Cette idée selon laquelle l’auteur doit plaider la cause de son livre, Virginia Woolf y avait répondu par une formule bien dans sa manière qui sert d’ailleurs de titre à un nouveau recueil de ses articles Les livres tiennent tout seuls sur leurs pieds (214 pages, 15 euros, Les Belles lettres). Et d’expliquer :
“ S’ils ont besoin d’être soutenus par une préface ici, une introduction là, ils n’ont pas plus le droit d’exister qu’une table qui a besoin d’un morceau de carton pour être d’aplomb”.
Ce n’est pas qu’une question d’avant-textes. L’auteure d’un Lieu à soi était d’avis que la cause d’un livre n’a pas à être plaidée par son auteur. Il doit se défendre seul en librairie avec ses propres armes. On trouve à la fin du recueil un texte daté de 1939 sur les relations entre l’écrivain et le critique. En le prolongeant un peu, on voit se profiler une nouvelle activité connexe pour les écrivains encore non-répertoriée par l’enquête de Sapiro & Rabot : celle de consultant littéraire. Car s’il y a bien une constante chez les auteurs en herbe, elle consiste à solliciter l’avis empathique d’un écrivain confirmé. Le plus souvent, ils lui envoient chez lui leur manuscrit, par la poste ou par courriel, comme une bouteille à la mer, en lui demandant « cet honneur » qui a beaucoup d’un petit service, de le lire et de leur faire part de son point de vue critique. Un rapport de lecture éclairé.
On comprend leurs affres et leurs doutes, mais eux n’imaginent pas un seul instant que ce travail, car cela en est un, requiert de s’y consacrer pendant deux ou trois jours. Et quand il y en a plusieurs dans le même mois… Autant en faire une activité professionnelle :
« Lorsqu’ils auront réalisé qu’une heure d’entretien, même si elle coûte trois guinées, les aide bien plus qu’une lettre expéditive extorquée au lecteur débordé de la maison d’édition, même le plus indigent d’entre eux estimera que l’investissement en vaut la peine (…) Qui ne mettrait au clou la théière familiale pour discuter poésie avec Keats, ou roman avec Jane Austen pendant une heure ? » se demandait Virginia Woolf.
Encore faut-il ne pas tromper. Car lorsqu’on lit, qu’on voit et qu’on écoute certains écrivains, on se dit que, si on a effectivement la même profession qu’eux, on n’exerce vraiment pas le même métier.
Post-scriptum : Aux amateurs de la romancière anglaise, et même aux autres qui l’y découvriront, je me permets de recommander l’écoute de la passionnante série sur France-Culture de Geneviève Brisac « Avoir raison avec Virginia Woolf » que l’on peut (ré)écouter ici http://bit.ly/2vwZiBc )
(« Lytton Strachey and Virginia Woolf by Lady Ottoline Morrell » © National Portrait Gallery, London)
605 Réponses pour Virginia met sa vieille théière au clou
renato dit:
à
VW :
rose dit:
à
aujourd’hui nous passerons la pointe du Maroc en longeant le Sahara occidental.
Nous inaugurons sur le trajet des bancs de la liberté, en forme de livres ouverts.
Salah un jeune homme de seize ans a parlé en premier du tei sélecrif des poubelles et en second des bibliothèques pour les enfants.
Régis, artiste plasticien et Kara moscovite et photographe sont venus nous attendre sur la piste de sable qu’ils ont nivellé pour nous, axe plein nord, face à la mer et marqué la ligne d’atterrisage à la chaux.
Régis met en boîte in situ son projet Dmum.
4 mètres de long, 3m de large,2m 60 de hauteur.
Dmum pour dessine-moi un mouton.
Le musée berbère est lefruot de la sauvegarde du patrimoine des nomades. J’ai depuis hoer soir la recette de la poudre de criquets. Protéines +++ et vitamines : on tient trois jours sans manger avec cette potion.
Le musée de Saint Ex, face au fort posé sur la mer décortique toute l’aventure de l’Aéropostale.
On repart vers Al Layooun puis Dakla.
salut à tous
rose dit:
à
Alain Vircondelet raconte dans l’émission sur France Inter le temps d’un bivouac du 9 juillet 2017 : il rencontre Marguerite Duras et il a avec lui Vol de nuit de St.Ex. Elle lui dit il aurait le nommer Vol de sa nuit.
Tarfaya marque la naissance de l’écriture : il y a passé 17 mois et a écrit Courrier Sud, ici. ❤?❤
Il était aimé des autochtones.
MORASSE dit:
à
Notre époque ressemble aux années qui précédèrent la « Révolution »… Il existe tout un tas de prolétaires de la plume (ou de l’ordi) qui se bousculent aux portes des « plateaux ». La lutte est chaude… Alas, bien peu de professionnels dans cette avalanche. La plupart ont un petit diplôme en poche et exerce un autre métier. Que gagne la littérature à cette pagaille ?
renato dit:
à
William Christenberry :
renato dit:
à
« Que gagne la littérature à cette pagaille ? »
Le temps de l’évaluation viendra. Toutefois, au XIXème un tas de feuilletons, puis GF écrit Madame Bovary.
JC..... dit:
à
Je me demande s’il n’eut pas été plus profitable pour la littérature de mettre Virginia au clou ?
JC..... dit:
à
L’épouvantable barbu dont j’ignorai jusqu’à l’existence est, aux dires de Wiki Saitout :
« Il est le fils de Jane Maria Strachey, écrivaine et militante féministe, et de Richard Strachey, haut fonctionnaire britannique. Il est le onzième de treize enfants »
Une féministe adorant les grossesses : adorable militante, sa maman…. !
bouguereau dit:
à
Bref, lui comme vous et parfois davantage
holala..ferdine il en payait des ‘termes’..et sans h attation..là serdgio srait contresensique et complotif..et là hop a la carlingue faire l’hydravion dans la baignoire..
bouguereau dit:
à
il y a dans cette attitude, plus ancrée en France qu’ailleurs où l’évocation de l’argent n’est pas taboue
..t’as pas honte lassouline? le nombe de page hoù qu’il est question de davance en rtard..gallimard rien qului c’est t’y pas un bousin toujours en rtard à lallumage..et balzac en bronze..tout dpièce jaune..y’est temps darreter de faire marcher les cliché
Lucienne dit:
à
9 heures 05 : un commentaire qui décrit bien l’ignominie de l’andouille de service
bouguereau dit:
à
Qui ne mettrait au clou la théière familiale pour discuter poésie avec Keats, ou roman avec Jane Austen pendant une heure ? » se demandait Virginia Woolf
tout un tas de gens qui savent que cqu’écrit un romancier c’est souvent sa meilleure part oubien serait ce donc que ‘s’en contenter’ que de pas chercher commerce lassouline?..les petits désirs des lecteurs sont souvent plus noble que ceux si grandiose de l’écrivain..pas toujours..écrivain mon brozeur
Paul Edel dit:
à
même profession mais pas même métier? Bien mais où situer la frontière?pas évident. il y aurait donc une noblesse et un tiers état ?
Sergio dit:
à
Boh la littérature c’est une ascèse… Naturellement vaut mieux havoir du métier sinonseplante !
Remarque Pavarotti sait pas lire une partition… Pourtant on nentend bien le moteur !
bouguereau dit:
à
fais pas ton pur sang qui piaffe polo..hon est en france..tout l’monde il est descendant dla bonne du curé..pour une poignée dpiéçette
bouguereau dit:
à
sinonseplante
sinhonseplante
bouguereau dit:
à
comme on le dit de certains livres sacrés
hon hon..vla qutu causes comme tarzoune
ce hon là faudrait lfaire profiler par un trappu du yard
keupu dit:
à
la vieille taupe de bouguereau nous ressort encore et toujours ses vieux clichés, c’est navrant désespérant
et alii dit:
à
onfray demandait à être bien payé pour passer à la télévision dans l’émission *** la télé a refusé , il est réduit à vendre ses livres dans la presse et sur la toile
Michel Onfray a annoncé qu’il ne participerait pas à « L’émission politique » à la rentrée prochaine faute « de contrat » ou de « rémunération ».
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…avec, tout çà, de très bien, écrit,…
…
…je vient de trouver, dans les déductions, de mes pensées,…
…Oui,!…juste, une projection minime, pour faire, » date « ,…
…
…comme, les symboles du pontificat de Rome,!…les deux clefs nouées par un rubans,…j’ai trouver, la solution, à tout, les problèmes de nos pouvoirs liés à notre civilisation,!…
…
…je me garderais, dorénavant, d’en reparler,…chacun, à ses passions, que les raisons ignorent, en diversions amalgamées,!…
…tout coïncide, à une technique, dans un art particulier,…
..encore, faut t’il, avoir, la sensibilité pour y relever, les liens, les similitudes,!…
…pas évident du tout,…trop heureux,…
…bonne journée,!…
…enfin, dégager de tout, comme en vacances,…un gros rien, de Paracelse, en moi,!…
…des secrets scellés,…il faut savoir, vivre,!…avec,!…etc,!…
…mais, Oui,!…la littérature, est excellente,!…
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…onfray, il a bien raison,…
…il ne peux pas pensé, pour les autres, pour rien,!…
…dans les émissions, pour guignols, au grand genre, d’abrutis cultivés,!…
…
…moi, même, très bien payer, je ne dirais, que des conneries, de première,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…
JAZZI dit:
à
« plus l’activité d’écrivain se professionnalise, plus leur situation se précarise. »
Pas bien compris le sujet et la raison de ce papier de Passou, en pleine période de course aux prix littéraires ? J’en reste perplexe et me pose tout un tas de questions.
Ecrivain, est-ce une profession ?
Le métier consiste t-il a travailler son texte ou à savoir le vendre, se vendre ?
Y aurait-il de plus en plus d’appelés et de moins en moins d’élus ?
Le but de l’écrivain est-il de parvenir en tête de gondoles ?
Les bons qu’à ça sont-ils des bons à rien ?
Faut-il absolument passer chez Ruquier pour être reconnu ou trouver son public ?
Les buveurs de café peuvent-ils mettre pareillement leur cafetière au clou ?
JAZZI dit:
à
Vendre ou pas se vendre, that’s the question ?
Passou et Paul Edel appartiennent-ils à l’aristocratie des lettres ou sont-ils des membres du tiers état ?
Janssen J-J dit:
à
Un nouveau billet qui m’inspire en valdrague les réactions suivantes :
-> Hernie fiscale ? Est-ce le nouvel humour passoulinien ? Si oui, j’apprécie.
-> « Un lieu à soi » ? Ce titre de VW est-il consacré en France (cet été, j’ai lu « Une chambre à soi », un bouquin du reste bien décevant, mais qui eut au moins ce mérite d’inspirer une très belle étude historique de Michelle Perrot).
-> Pas trop bien compris en quoi les 2 sociologues se démarqueraient de Bourdieu. Si quelqu’un peut éclairer, merci.
-> Ni, d’une manière plus générale, de quoi rend compte exactement la RDL dans ce nouveau post ?… On n’apprend quasiment rien du contenu exact de cet ouvrage codirigé publié au CNRS. On présume qu’il est un simple prétexte à démontrer la curiosité de la rdl aux SHS, alors que ce bouquin n’a évidemment pas été lu (il faut certes remplir le quota de la rubrique « entrée sciences humaines »). Et donc, trouver un prétexte à ajouter un grain de sel littéraire sur de la socio critique, en reprenant la main. En brèfle, y stigmatiser un manque de réflexion sur la nouvelle fonction de « consultant littéraire », pour pouvoir mieux y broder… Pourquoi pas ? Mais enfin, Pierre A. ne propose pas là non plus ma moindre problématisation sociologique de cette figure, et comment le pourrait-il puisqu’il n’est pas vraiment doté des outils pour cela… Alors, on s’agite autour des écrans radars de ce bon mot de Virginia, « les livres tiennent tout seuls sur leurs pieds », ce qui est en soir d’une stupidité sans nom… Edel a évidemment raison de dire que la fonction du « consultant littéraire » reste des plus « floue ». Et nous sommes alors en droit de leur demander à chacun ceci : qu’est-ce qui distinguerait l’analyse de PE et PA au sujet des consultants littéraires, vu qu’ils eux-mêmes à la fois des écrivains « consacrés par les médias ou les prix », des journalistes, des blogueurs, des conseillers d’éditeurs, et très certainement des gens amenés à être souvent « consultés » par de jeunes auteurs pas trop sûrs d’eux-mêmes. Prennent-ils du temps pour leur donner des conseils à titre bénévole ? Refusent-ils d’en donner par principe ? Acceptent-ils d’en donner et de se faire rétribuer en conséquence comme d’une fonction de coaching à partir d’un contrat clairement dealé ? etc. Personnellement, j’attendrais surtout de l’auteur de Sigmaringen et du Golem de venir plaider la cause de ses romans en 180 secondes, comme on invite désormais à tous les jeunes docteurs en sciences humaines d’entrer dans les jeux de ce cirque pour « augmenter » leur CV, même si cela se fait devant un public de connaisseurs avertis. Regardez cet exemple édifiant entre mille dans le lien suivant, et imaginez maintenant Virginia Woolf à la place de cette jeune psychologue venue « vendre sa thèse », et qui accepta que cette vidéo soit mise en ligne devant le tribunal universel de la toile. Nous voilà désormais bien ancrée dans une tendance irréversible de l’idéologie mondiale du macronisme trum.pisé. Préparons-nous alors à désacraliser définitivement tout « auteur », cet être vivant comme un autre vous et moi (ah bon ?), sachant que son écrit (virtuel) aura, pour avoir la chance d’exister 180 secondes de répit, d’avoir au moins été plaidé par lui-même ou un avocat devant les fr. bu.snel ou autres st. ber.ne pivotants de la littérature télévisualisée, stipendiés par les maisons d’éditions virtuelles les plus puissantes de la planète.
Bonjour à toussent, et bonne digestion du p’tit déj.
Janssen J-J dit:
à
Oups, j’ai oublié le lien justifié dans le message précédent
https://www.youtube.com/watch?v=OwdOd7iefAI
et alii dit:
à
en 180secondes la thèse
Paul Edel dit:
à
janssen je refuse de lire des manuscrits mais selon ce que l auteur me dit de la nature de son texte je l oriente vers un directeur littéraire ou une directrice dont je connais le sérieux. jamais ne m est venu l idée d être consultant. en ce qui concerne une hiérarchie par exemple entre « genres littéraires »il y en a une.la preuve? les grands prix littéraires d automne ne couronnent pas le polar ou la science fiction.il y a pourtant de grands écrivains très nobles dans ce genre.mais Passou parle t il de ça?pas sûr. ..
Razoumikhine N'en veut dit:
à
C’est rare, mais parfois Pierre Assouline fait une faute de syntaxe : ici » ils lui envoient chez lui son manuscrit, ».
Il fallait évidemment écrire « ils lui envoient chez lui leurs manuscrits ».
Mais ne pourrait-on aussi écrire « ils lui envoient chez lui leur manuscrit »
?
Quelqu’un a la réponse ?
JAZZI dit:
à
Ah, alors j’aurais une autre question pour Paul Edel !
Vers quel directeur ou directrice de collection m’orienterais-tu ?
Paul Edel dit:
à
jazzi je te réponds dans 3 jours sur mon blog car je suis dans u e province magnifique de tomates de pruneaux et le soir des chauve souris immenses dignes des carpathes mais entre nous garde le mercure de France.excellente maison qui publie de bons livres depuis Leauteaud et Jouve et Leyris.Que veux tu de mieux?
la vie dans les bois dit:
à
Le billet, c’est « lettre à un(e) jeune écrivain au mieux,
ou lettre de fin de non recevoir à ceux qui sur un malentendu pourraient croire qu’écrire un roman c’est se regarder écrire, dans un bavardage inutile, ou une lettre aux fainéants signée choupinet, ou une lettre syndicale aux lecteurs professionnels dénonçant une surcharge saisonniere,
Reste que Virginia Woolf n’a rien à me dire. C’est pas la faute à ses promoteurs, quel talent !
JAZZI dit:
à
Oui, Paul, et j’en aime beaucoup la petite structure à dimension familiale. C’est aussi la plus ancienne maison d’édition en activité. Mais le problème est que tous mes manuscrits y sont régulièrement refusés. Cela dit, je viens d’en envoyer un dernier et je m’accroche, fidèlement, sans aller voir ailleurs, pour l’instant…
JAZZI dit:
à
Tiens, Paul, une nouveauté du Mercure, qui devrait t’intéresser ?
http://www.mercuredefrance.fr/livre-Le_goût_de_la_mode-9782715244887-1-1-0-1.html
Sergio dit:
à
Nhon mais arrêtez de nous mettre l’eau à la bouche ! On publiera jamais gudalle on est que des motodidactes, crénom…
JAZZI dit:
à
Un autre bon auteur maison : « La Vie devant soi est un roman d’Émile Ajar (Romain Gary) publié le 14 septembre 1975 au Mercure de France et ayant obtenu le prix Goncourt la même année. »
la vie dans les bois dit:
à
Consultant litteraire c’est un nouveau mot pour designer un agent litteraire. J’espère que nos impôts ne servent pas à financer la planque de ces sociologues, des bourrins de travail, encore et toujours.
la vie dans les bois dit:
à
Je plains les écrivains qui sont obligés de faire le show. De l’inconvénient de ne pas savoir raturer une ligne du contrat.
Bloom dit:
à
Le Brexit selon Salman Rushdie: « L’Angleterre aujourd’hui me fait penser à une famille qui serait en train de pique-niquer sur une voie ferrée. ‘C’est quoi le problème? C’est quoi ce sifflement? Une chouette?’
C’est un peu comme s’ils ne comprenaient pas ce qui va leur arriver. »
Delaporte dit:
à
Impayable ! Le Medef a trouvé un nouveau slogan, pour critiquer l’Education nationale :
« Si l’école faisait son travail, j’aurais un travail » : le slogan du Medef provoque la colère des enseignants.
Le problème, c’est que le Medef ne veut pas forcément des élèves cultivés, lettrés, humanistes, mais sans doute des esclaves économiques de la société capitalistes. C’est là où le bât blesse ! Car on peut en être sûr, malgré une certaine hypocrisie : au Medef, ce sont des enf… !
Janssen J-J dit:
à
Rappelons que 94 % des sociologues français (et des sciences humaines en général) « s’auto-éditent » aux éd. l’Harmattan qui exige des prêts à clicher et à ce que leurs auteurs s’engagent, au moins pour la première fois, à leur racheter au moins 300 exemplaires à prix coûtant. Risquent pas de rafler les impôts des consultantes pseudo-littéraires planquées dans les bois, tu peux dormir. Jazzman, ce pourrait être une solution pour vous, non ? car le mercure de france, enfin bon brèfle…
D. dit:
à
Le Medef à raison, Delaporte.
Pourquoi croyez-vous que des dizaines de milliers d’enfants sont basculés dans le privé chaque année ? Par plaisir de payer cher ?
Non seulement l’école ne fait pas son travail mais en plus elle se permet de prendre ouvertement partie sur des sujets sociétaux qui demanderaient à minima une totale neutralité.
la vie dans les bois dit:
à
Il s’agit ici du CNRS. Faut pas tout mélanger. Le dur, et les mous…
Sergio dit:
à
Achtung il y a deux privés : le pas cher qui est l’équivalent de l’éducnat et le très cher genre Ecole alsacienne où là, oui, ça marne ferme, avec des résultats qui crèvent les plafonds…
JC..... dit:
à
Delaporte n’a pas de jugement.
L’Instruction Publique remplaçée par l’Education Nationale, une merbe organisationnelle – ni éduquante, ni nationale – ne sert à RIEN !
Mettez vos gosses dans le privé, le public c’est nul !
Delaporte dit:
à
« Le Medef à raison, Delaporte. »
Vous n’avez pas lu monpost jusqu’au bout. Oui, le Medef n’a pas tort, mais il dit cela pour de mauvaises raisons. Le problème de l’Education, c’est, outre la nullité des élèves, celle des profs qui sont incapables de former les jeunes aux humanités. On voyait bien ce désastre avec un Wgg, qui était prétentieux et se croyait un bon enseignant, alors qu’il se faisait chahuter par ses élèves tous plus nuls les que les autres. Tel est le lot des profs incompétents d’aujourd’hui, qui ne savent même pas faire de leurs élèves des consommateurs formatés dont a besoin la société capitaliste. Et c’est cette dernière chose que leur reproche le Medef, bien sûr.
JC..... dit:
à
Ecrivain n’est pas une profession, tout juste une dissipation égotiste.
Tuez 1 médecin, vous faites mal. Laissez mourir de faim 100 écrivains … no problem….. uhuhu !
JC..... dit:
à
La société capitaliste, Delaporte, n’existe pas ! Les sociétés communistes sont, de facto, capitalistes !
Toute société fut, est, sera, capitaliste.
Tout autre solution sera tribale ou clanique !….REVEILLEZ VOUS !
Janssen J-J dit:
à
14.39 Delaporte, je trouve qu’il y a toujours d’énormes contradictions dans vos raisonnements, c 1 peu énervant.
« On voyait bien ce désastre avec un Wgg, qui était prétentieux et se croyait un bon enseignant, alors qu’il se faisait chahuter par ses élèves tous plus nuls les que les autres. Tel est le lot des profs incompétents d’aujourd’hui, qui ne savent même pas faire de leurs élèves des consommateurs formatés dont a besoin la société capitaliste ».
Il me semble en effet que la 2e phrase (ironique) plaiderait pour le bien-fondé de la première (et du personnage visé en objet, don tla nullité de son vivant pourrait avoir constitué une subversion systémique). « L’incompétence des profs » (du public ou du privé) serait-elle la dernière trouvaille (ou ruse) de cette corporation pour entraver la bonne marche expansionniste du néo-capitalisme du médéf mondialement macronisé (heureux et fier de l’être) ?
D. dit:
à
Je soutiens Philippot à 100 pour cent sur cette affaire.
Et je pense que je vais le rejoindre là où il ira. Nous devons pouvoir payer notre couscous en Franc.
Janssen J-J dit:
à
Les ‘bourrins’ sont-ils des ‘bourreaux’ de travail ? Bonne question. Réponse : pas forcément. L’inverse, en revanche, est avéré. Par ex. : la plupart ne font pas grève aujourd’hui malgré qu’is en aient, mettent les bouchées doub’ pour éduquer tous les enfants de France.
JC..... dit:
à
Dédé,
Je suis moi-même philippophile mélenchonien, la Marine ayant trop grossi, écrasée à table par son échec tactique signifiant sur sa capacité à « exister politiquement »…
Vas-y Philippot ! T’es si beau !….
Paul Edel dit:
à
jazzi vous pensez trop aux prix littéraires c est pas le problème. écrivez pour vous faire plaisir
Janssen J-J dit:
à
Toujours à soutenir les déserteurs, D. !
Bon appétit avec flipotte, l’adore le couscous alsacien payé avec des bitcoins. Mais que devient la blondasse ?…. Céti que ta cuti à réaction aurait mal tourné, girouètle ?
Delaporte dit:
à
« Les sociétés communistes sont, de facto, capitalistes ! »
Certes, mais que l’avenir nous réserve-t-il ? Ma conviction est qu’on peut sortir du capitalisme. Dans l’histoire, il y a eu des sociétés qui ont existé avant le capitalisme. D’autres existeront après lui.
JC..... dit:
à
A la limite, Dédé, plutôt que le payer en franc le couscous, pourquoi ne pas le payer dans la monnaie de l’importateur maghrébin ?
JC..... dit:
à
Pour résumer, et sans la moindre provocation, il y a deux sortes de cons :
– les Delaporte Simplex, nombreux
– les Gigi Subtilus, en voie de disparition
Delaporte dit:
à
Coluche disait, ou plutôt avait repris la blague :
« Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le communisme, c’est le contraire. »
Il dénonçait ce faisant le stalinisme, et c’est tout, ça ne va pas plus loin !
Janssen J-J dit:
à
14.45, le pb c’est que les médecins sont aussi nuls que les écrivains, voyez par ex. tous ces gars qui font dans la chirurgie esthétique foireuse ou dans livres de conseils new-age du bien-être, un carton chez les ménagères de 50 plombes se cachant dans les bois. Que cent d’entre eux disparaissent, pas grave, y’aura toujours virginia Woolf, ses livres tiendront toujours debout tout seuls, sans anti-dépressurisants, hein hein !
Janssen J-J dit:
à
Parce que la subtilité serait JC-compatib’ avec la connerie, ast’heure ? De plus en plus tordu, l’autr PQ irradié de Graveline.
Janssen J-J dit:
à
@15.19 Pass’que la subtilité serait JC-compatib’ avec la conn.erie, ast’heure ?
De plus en plus tordu dubulb’, l’autr’ P.Q irradié de Graveline.
Delaporte dit:
à
Les Britanniques, mine de rien, sont en train de sortir d’un certain capitalisme. C’est la bonne direction. Chez eux, ça s’appelle le Brexit.
Janssen J-J dit:
à
@Ma conviction est qu’on peut sortir du capitalisme.
Dont acte !… Une conviction renversante à laquelle tout le monde pense à l’approche de sa propre mort ! Mais seul Delaporte ose l’énoncer… L’est courageux, ce gars-là, et en plus, veut que personne travaille mais que tout le monde « gagne bien sa vie » avant de bien mourir sans médecins inutiles.
la vie dans les bois dit:
à
Tu as tout compris ducon. Chacun son job.
JC..... dit:
à
JJJ nous fait beaucoup de mal en disant du mal de l’homme blanc cultivé, simple, honnête et capitaliste que nous sommes tous, ici en RDL …
Protégeons ces oiseaux rares qui ne vivent que de médisance !
la vie dans les bois dit:
à
Ce n’est pas parce que Virginia Woolf faisait des tables sans cale, qu’elle n’était pas borderline.
Janssen J-J dit:
à
@Le Breixit est la bonne direction.
Suffit de l’indiquer. On est tellement bêtes qu’on avait cru que c’était la mauvaise. J’avions dû nous tromper de forêt. C’est l’autre aussi qui nous emmêle aussi avec les ménilmuches filipopovitchiés… « Chu tout mêlé ! »
la vie dans les bois dit:
à
En plus avec des métaphores aussi débiles, je vous mets au défi de trouver où mettre sa table, pour qu’elle ne soit pas bancale.
JC..... dit:
à
Il suffit de mettre sa table au clou….
Janssen J-J dit:
à
sauf que toi, tu mélanges allègrement les genres de jobs, ducognasse, t’es pas bin claire avec tes gros fagots.
Té ! épi vlà que j’ferions du mal à JC, ast’heure ! J’aurions décidément tout entendu icite. Pourtant, va bin falloir déboulonner Colbert, le père de la traite négrière comme dirait gorges-louis, t pas d’accord avec ça, toi ?
JC..... dit:
à
@Ma conviction est qu’on peut sortir du capitalisme.
Bien sûr ! Sortir du capitalisme est facile.
Surtout seul…
Il suffit d’accepter d’être esclave, pauvre, mal nourri, mal vêtu, mal élevé, mal aimé, mal lavé, mal heureux !
la vie dans les bois dit:
à
D’un autre côté si Virginia Woolf n’avait pas eu cette pathologie psy, elle n’.aurait peut être jamais rien écrit sur sa chambre d’isolement.
JC..... dit:
à
La traite négrière est un commerce de matière première de qualité !
D’ailleurs, les Arabes, gens censés, continuent à la pratiquer en Afrique de l’ouest, avec raison, sans froid et calme ….
Colbert peut reposer en paix !
Phil dit:
à
La pharmacie l’a bien fait, le prestigieux passou pourrait aussi verser ce type de notule dans la rubrique paralittérature, qui gonfle (la rubrique, pas la notule) au fil des années.
Sergio dit:
à
Houi mais si c’est le plancher qu’est pas d’aplomb, mmh ?
Sergio dit:
à
Et pi haprès tout les Nègues i font… la traite des blanches !
Sergio dit:
à
Tout le monde traite tout le monde, c’est à 2KП près, quoi…
Janssen J-J dit:
à
mais non, 15.44, cette métaphore était pas débile, l’était très subtile au contraire. Epi, « se mettre à tab' » quand on est une drôle de feukesse de la toile as you, coi de + calé hein, du-cogne dur-e ??
Des borderline comme elle, moi, j’en redemande, surtout qu’elle avait pas mal influencé GGarcia Marquez, d’après feu gwg. Mon conseil : va donc te promener au phare ou chez Mme Dalloway, pi après, tu r’viendras tte chavirée, pour l’instant, t encore trop dans les préjugés quand t’as pas lu ce qui faut lire, comm’d’hab. Finalement, t’es assez peu cultivée, tu lis beaucoup en 3e main. Tes jug’ments à l’emporte-pièce sont souvent qu’des faux semblants, dont personne est duple.
Au fait, tu t’y retrouves-t-i dans les quartiers de Northampton, ou bin t’as jus feuilleté comme ça ou dans la librairei du coin ? Virginia y avait jamais foutu les pieds, donc t’inquiète pas de rencontrer son fantôme, hein…, mais si tu le rencontres, attation, car quand des bipolaires se croisent dans les faubourgs, parfois ça peut faire des grabuges, surtout si l’sont dans la même phase d’alternance.
Delaporte dit:
à
« Mais seul Delaporte ose l’énoncer… »
Je ne suis pas le seul. A une époque, je lisais beaucoup de livres sur ce sujet, notamment la fameuse « décroissance ». Maints auteurs la soutiennent, et récemment le pape dans son encyclique (remarquable) « Laudato si' ». Anticapitaliste, mon nom est légion…
Delaporte dit:
à
« Il suffit d’accepter d’être esclave, pauvre, mal nourri, mal vêtu, mal élevé, mal aimé, mal lavé, mal heureux ! »
C’est précisément les maux engendrés par le capitalisme. Henry Miller, obligé de travailler, s’en plaignait en disant qu’il n’avait même pas le temps d’aller aux cabinets. Le capitalisme, c’est la misère formatée pour tous, le même mode vie appauvri, la faillite sociale et le reste.
la vie dans les bois dit:
à
J’ai déjà trop insisté pour exprimer ce ras le bol d’être harcelée par un pervers ici; qu’il manifeste en plus des velléités de cogneur, devrait alerter ceux qui participent à la mascarade de ce délinquant du commentarium.,
Delaporte dit:
à
Dans certaines grandes surfaces en Europe, notamment en Allemagne, les caissières ne sont pas autorisées à faire des pauses pipi. Elles doivent porter des couches. Le rendement capitaliste est là à son maximum, pour le bien des exploiteurs, mais sûrement pas pour celui des populations. Et on s’étonne après ça que Le Pen fasse 21 % au premier tour de la présidentielle ! Les capitalistes scient la branche sur laquelle ils sont confortablement installés…
Delaporte dit:
à
Le véritable visage du capitalisme, sans foi ni loi, ni raison, révélé aujourd’hui par le Canard :
« Un ex-dirigeant de Lafarge reconnaît des versements d’argent à Daech en Syrie »
La procédure judiciaire est ouverte depuis juin, et le Canard a pu avoir accès aux auditions des dirigeants de Lafarge. Une affaire typique du capitalisme dominant.
D. dit:
à
J’ai des actions chez Lafarge, Delaporte. Me conseillez-vous de vendre au plus vite ?
Delaporte dit:
à
Si on n’en sort pas volontairement, de toute façon le capitalisme va s’effondrer tout seul. La capitalisme, ça ne marche pas. C’est un géant aux pieds d’argile. Un jour, cela fera comme en Urss. Du jour au lendemain, pschittt !
JAZZI dit:
à
« il y a eu des sociétés qui ont existé avant le capitalisme. »
Lesquelles, Delaporte ?
Delaporte dit:
à
« J’ai des actions chez Lafarge, Delaporte. »
Vous auriez dû déjà être informé de ces choses, si vous étiez rigoureux dans la gestion de votre patrimoine. A mon avis, on a toujours tort de donner de l’argent à ces ordures. Achetez-vous plutôt une Rolex, que vous revendrez dès le lendemain avec 5 % de bénéfice !
Delaporte dit:
à
« il y a eu des sociétés qui ont existé avant le capitalisme. »
Lesquelles, Delaporte ?
Houlala… Un élève de 6e saurait déjà répondre à cette question !
christiane dit:
à
Il est bien ce billet, très percutant le jour où les travailleurs sont dans la rue à g… contre « la loi travail » car sait-on au juste ce qu’est un écrivain ? J’entends, un écrivain qui ne fait que ça : écrire et vivre de la parution de ses livres. Sont-ils des « travailleurs » ?
Les petits élèves à qui je demandais de deviner tous les métiers nécessaires pour qu’ils aient des livres dans les mains, tâtonnaient, remontaient jusqu’à l’imprimerie, oubliaient au passage, les éditeurs – pas les libraires, mais avant ? ils ne savaient pas. Ils ne savaient pas, n’imaginaient pas qu’on puisse être écrivain, « pour de vrai ». Garagiste, pompier, policier, « bureau » pour gagner des sous, conducteur de bus, de métros pour emmener les parents au boulot, ça ils savaient. Kiosquier aussi, cuisinier aussi, dame de cantine et instit, aussi. Mais écrivain ? Ils demandaient : mais ils font quoi d’autre ?
Un ami « écrivain » confiait que ses enfants ne le voyaient jamais travailler (car il écrivait la nuit quand ils dormaient). Son travail c’était celui d’une maman : les repas, la toilette, les conduire à l’école. Mais à l’école, ils devaient dire : « mon père est écrivain » et en être fier car les autres ne savaient pas plus qu’eux en qui ça consistait…
Quant aux émissions de télé genre « La grande Librairie », « Apostrophes » ou de radio « Les mots de minuit », « l’heure bleue », etc…, elles réunissent un bon public, mais pour quelles raisons ? Bien sûr que ce qu’ils « diront » est différent de la chair du livre. Alors, on cherche sur leur visage, dans leur voix, la trace des mots comme si on allait toucher du doigt un grand secret.
Je n’ai toujours pas trouvé car entre eux et nous, il y a le livre. Le livre c’est un ogre. Il dévore l’écrivain, passe devant lui, le terrasse. Le livre devient notre possession, notre chose et gare à celui qui voudrait contredire la façon dont on l’a aimé, compris !
Les écrivains, nagent là-dessous, comme des hommes-grenouilles, sous la surface des livres qu’ils ont écrits avec un tuba pour respirer. Heureux, je crois, quand une émission ou un prix les rendent importants comme une étoile filante de cinéma sous les sunlights mais leur territoire est inconnu, rien qu’à eux : leur lieu d’écriture, leurs heures d’écritures, le plaisir d’écrire, la force d’écrire, l’inspiration, le travail d’écriture (comme celui d’une femme qui accouche). Ce sont des invisibles et qui le restent malgré radio, télés, salons de dédicaces et… livres parus.
JAZZI dit:
à
« Houlala… Un élève de 6e saurait déjà répondre à cette question ! »
C’est une réponse par prétérition ?
christiane dit:
à
@rose dit: 21 septembre 2017 à 8 h 25 min
Rose, c’est extra votre voyage ! Quand vous aimez, vous allez jusqu’au bout… Cueillez donc une rose des sables…
Delaporte dit:
à
« C’est une réponse par prétérition ? »
Oui. Je ne viens pas ici pour donner des cours de rattrapage.
Sergio dit:
à
@JJJanssen
Message perso pour toi dans mon gourbi.
(Non urgent)
bouguereau dit:
à
Cueillez donc une rose des sables…
dgravier tant quty es cricri
bouguereau dit:
à
C’est une réponse par prétérition ?
baroz le capitalisme c’est pas ‘si t’étais à ma place tu frais pareil’..c’t’un système complesque..hassez récent..donc havant ça existait pas
Sergio dit:
à
D. dit: 21 septembre 2017 à 16 h 57 min
des actions chez Lafarge
Ha ben ça halor c’est du béton…
bouguereau dit:
à
Et on s’étonne après ça que Le Pen fasse 21 % au premier tour de la présidentielle ! Les capitalistes scient la branche sur laquelle ils sont confortablement installés…
dlalourde même le consanguin du nord y sait que marine n’est pas une antilibéral hanticapitaliss..tu t’es fait cocu pendant tes cours du soir et t’es vénère..vdqs et dsq
bouguereau dit:
à
“ S’ils ont besoin d’être soutenus par une préface ici, une introduction là, ils n’ont pas plus le droit d’exister qu’une table qui a besoin d’un morceau de carton pour être d’aplomb”
y’a même pas bzoin d’henvoyer l’manuscricri..ha la rigueur un max et un tuba..pour ceux qui savent pas faire du sous l’eau
bouguereau dit:
à
la rubrique paralittérature
et hencore havec accés handicappé..sinon couic..mais t’économises la préface faut voir le positif
bouguereau dit:
à
« Avoir raison avec Virginia Woolf »
c’est mieux d’avoir tordu havec lagité plein d’amphète..
bouguereau dit:
à
Autant en faire une activité professionnelle
havec sa fille secrétaire ça fait pas fraudeur de polemploi minab
JAZZI dit:
à
Le boug, je crois au contraire que le « capitalisme » existe depuis l’origine des sociétés humaines, même si Marx l’a conceptualisé plus récemment.
Sergio dit:
à
« On comprend leurs affres et leurs doutes, mais eux n’imaginent pas un seul instant que ce travail, car cela en est un, requiert de s’y consacrer pendant deux ou trois jours. »
Houi, oui… Ce qui est espéré, c’est surtout que la star présente l’ours à un éditeur… Alles klar Kommissar !
Sergio dit:
à
JAZZI dit: 21 septembre 2017 à 17 h 57 min
le « capitalisme » existe depuis l’origine des sociétés humaines
Houi c’est dommage on tue pour de l’argent au lieu de le faire par esthétisme…
Le pèse pourrit tout !
JAZZI dit:
à
Paul, franchement, ce qui me motive à écrire ce n’est pas de décrocher un quelconque prix.
JJJ, j’ai en horreur le concept de l’auto édition. Je n’écris pas pour satisfaire mon ego personnel et m’offrir un bel objet sur lequel serait écrit le mot « roman ». Trop masturbatoire à mon goût. L’écriture c’est comme l’amour, un plaisir partagé, et sans cesse démultiplié, entre un auteur et un lecteur. En l’occurence, ça commence avec un éditeur…
la vie dans les bois dit:
à
La plusgrande capitaliste du monde vient de nous quitter. Liliane est morte.
JAZZI dit:
à
« Liliane est morte. »
Et que dit son testament, LVDLB ?
la vie dans les bois dit:
à
Il y a plein d’écrivains qui ne participent pas au show. Et ce ne sont pas les moins lus, il y en a meme comme E. Ferrante qui préfèrent le pseudo. J’en ai rencontré un comme cela il n’y a pas tellement longtemps. Mais pour lui, le pseudo était une vraie protection.
la vie dans les bois dit:
à
Il y avait J. Andras aussi pour dire non.
JAZZI dit:
à
J’ai retrouvé son testament, LVDLB. Quelle belle écriture !
http://referentiel.nouvelobs.com/file/15428066.jpg
Sergio dit:
à
Le problème n’est ni l’édition ni l’impression, mais la diffusion : un diffuseur qui accepte, c’est une autre paire de manches…
Qu’est-ce qu’on attend d’un éditeur ? La diffusion…
la vie dans les bois dit:
à
« Passou » a du recevoir trois manuscrits pour relecture ce mois-ci. Pour rire, bloom, chaloux, et le prof de 5eme.
JAZZI dit:
à
La femme la plus riche du monde ne pouvait pas dépenser son argent comme elle le voulait, contrairement au dernier des clochards. Misère !
la vie dans les bois dit:
à
bas rosis, faites pas votre blonde.
JAZZI dit:
à
Pour la diffusion, il suffit de choisir le bon éditeur, Sergio.
C’est comme pour le cinéma. Vois l’exemple de Godard. Depuis qu’il s’auto produit, ce n’est plus tout à fait comme du temps où il avait un producteur…
JAZZI dit:
à
Oui, mais décoloré grâce à l’Oréal, LVDLB !
JAZZI dit:
à
Le Mépris, film franco italien produit par Carlo Ponti, doit son succès non pas à Godard, mais aux co-producteurs américains !
« La première version du film n’a pas du tout plu aux producteurs américains ; en effet, la présence de Brigitte Bardot étant un atout majeur pour la production américaine, il était dès lors incompréhensible et inacceptable que le montage définitif de Godard ne comprenne pas de scènes de nu de l’actrice française. Jean-Luc Godard, furieux, revoit alors sa copie.
Raoul Coutard, directeur de la photographie :
« Ça a été un drame parce que Jean-Luc a été obligé de retourner un certain nombre de plans pour que les Américains finissent de payer le dernier versement et c’est Alain Levent qui les a tournés parce que moi j’étais sur un autre film à ce moment-là. Cela s’est passé complètement à la fin, c’est-à-dire qu’on avait fait l’étalonnage du film. On avait envoyé le film à Sam Levine et ensuite il a dit : “Non, non, ça ne va pas, je veux voir le cul de Bardot”. »
bouguereau dit:
à
“Non, non, ça ne va pas, je veux voir le cul de Bardot”
en amerloque dans l’tesque baroz? anelyz va trouver a y redire
bouguereau dit:
à
La femme la plus riche du monde
de france baroz..et pourtant son cul valait pus hun caramel
bouguereau dit:
à
Qu’est-ce qu’on attend d’un éditeur ? La diffusion…
hau sens trés élargie..pour ça que bézoss..enfin ‘la diffusion’ c’est pas hun mot qui fait industriel..c’est pas hassez segmenté
la vie dans les bois dit:
à
@Oui, mais décoloré grâce à l’Oréal, LVDLB !
Tant que ce n’est fritzé comme le paternel…
Janssen J-J dit:
à
@16.37 mdr
maîtresse, maîtresse, i m’a traitée !!!
bouguereau dit:
à
La plusgrande capitaliste du monde vient de nous quitter
capitaliss c’est à la rigueur hun état d’esprit..pas une slipingue partnère tarzoune
JAZZI dit:
à
Oui, le boug, disons la Française la plus riche du monde.
« A la tête d’une fortune estimée à près de 40 milliards de dollars par le magazine Forbes en 2017, Liliane Bettencourt occupait la 14e place des personnes les plus fortunées au monde. »
la vie dans les bois dit:
à
ducon, pauvre crétin. T’aimerais bien savoir, hein, hein, comme ce lourdaud de serdgio, pourquoi il y en a un un qui a dit « je cogne d’abord, je réfléchis ensuite » ?
Ben twas, il en es mort. D’avoir réfléchi.
JAZZI dit:
à
Son mari était un copain intime de Mitterrand, LVDLB…
bouguereau dit:
à
Je n’écris pas pour satisfaire mon ego personnel et m’offrir un bel objet sur lequel serait écrit le mot « roman ». Trop masturbatoire à mon goût.
..tu préfère tfaire henlécu..’hon’ le sait
la vie dans les bois dit:
à
le papa de Liliane était un copain d’adolf. Quelle famille …
bouguereau dit:
à
Houi c’est dommage on tue pour de l’argent au lieu de le faire par esthétisme…
djeust biznèce chtement..rien d’perso
JAZZI dit:
à
« ..tu préfère tfaire henlécu..’hon’ le sait »
L’amour, c’est à double sens, le boug. Toi tu préfères te servir du poignet ?
Janssen J-J dit:
à
Pour ma part, j’ai jamais compris comment on pouvait ainsi « sortir du capitalisme » avec autant d’argent dans ses tiroirs. Faudra qu’on messsplik ce mystère.
D’autres Lilianes ont fait leur valise pour visiter les joies du communisme dans un seul pays, et en sont revenues éblouies, saines et sauves et bien vivantes ! ça prouve quand même la supériorité d’un système sur l’autre, pas vrai delaporte du paradis ?
bouguereau dit:
à
Le boug, je crois au contraire que le « capitalisme » existe depuis l’origine des sociétés humaines, même si Marx l’a conceptualisé plus récemment
tu naturalises baroz..vieille combine des vipères lubriques
bouguereau dit:
à
jmautoédite pas baroz..cependant..cependant..je crois qu’envoyer un manuscrit par la poste pour faire idéaltype c’est le rubicon
Janssen J-J dit:
à
@ ducon, pauvre crétin.
maîtresse, maitresse ! a fait que d’marceler c’te grognasse de martine !
bouguereau dit:
à
tes distinguos de classe et de genre sont en fait que des poses de dandy baroz..et virginia oulf tel que jla connais et chus pas lseul pour sur veut pas dire cque lassouline rapporte..hévidemment
JAZZI dit:
à
Mes ancêtres vénitiens, tu crois qu’ils faisaient du tourisme, le boug ?
http://www.e-venise.com/marine-commerce-venise.htm
la vie dans les bois dit:
à
ducon, je t’ai mouché, ne m’en veux pas. C’est comme ça. Pense à tes gosses qui doivent avoir bien honte…
JAZZI dit:
à
Virginia Woolf s’éditait elle-même, en effet, le boug. Une exception qui confirme la règle…
D. dit:
à
« Comment l’Allemagne a géré l’accueil d’un million de réfugiés
Comment l’Allemagne s’y est-elle pris pour accueillir, sans drame, un million de candidats à l’asile depuis 2015? Pourquoi le sujet n’est pas au cœur de la campagne électorale? Explications. »
… titre en ce moment l’Express.fr…
Les assassinés, violées et très nombreuses victimes de violences sexuelles, ainsi que leurs proches, apprécieront.
bouguereau dit:
à
Mes ancêtres vénitiens
chtement..préhistoire capitaliss..c’était pas des néanderthals baroz..en vrai ça srait mieux qutu sois un rejton dla mère loréal baroz..un moment de honte est vite passé chez le notaire
la vie dans les bois dit:
à
Le cas Viginia Woolf n’est pas nécessairement un exemple pour les jeunes écrivains. Surtout pour ceux qui ne savent pas nager.
http://www.ac-sciences-lettres-montpellier.fr/academie_edition/fichiers_conf/Pouget1999.pdf
Janssen J-J dit:
à
n’empêche qu’il s’est fait la marilyn pendant quelques temps, le mec, et que ça y a porté chance : il a vécu plus vieux que liliane b.
Il a eu du temps pour réfléchir, pas comme toi martine, t’as pas eu d’chance, tu réfléchis trop sur ton marcèlement, et quand tu te cognes à la porte, tu viens t’chialer comme une teigne à tarzoune. Allez retourne dans tes forêts, tu vas p’têt tomber sur un dahu ou un yéti, ouv bin les yeux… Eux i sautent sur tout c’qui bougent, sont pas r’gardants, t’as ta chance.
bouguereau dit:
à
le bild s’est excusé pour cette fausse hinformation dédé..et dont il avait été à lorigine..mais pas le figaro
JAZZI dit:
à
Les Woolf ont édité du beau monde mais ils ont refusé le « Ulysses » de James Joyce !
virginia wool presse
JAZZI dit:
à
le bon lien
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hogarth_Press
Nicolas dit:
à
C’est K Dick qui disait quelque comme quoi avant de devenir écrivain il faut être noveliste pour apprendre à écrire. Il s’appuyait sur l’exemple de Woolf. Pour K Dick une nouvelle c’est une idée, un roman c’est une tranche de vie ou l’art de ne parler de rien.
la vie dans les bois dit:
à
L’Allemagne par la voix de sa chancelière a essayé d’expliquer cet afflux de réfugiés, sans distinction, par un truc » rationnel ». Mais pas comme le pape François. C’est un dû de l’Allemagne en contrepartie de la mondialisation, à laquelle elle participe très activement, das auto, das teknologie.
bouguereau dit:
à
c’est trop dense cque t’écrit nico..
la vie dans les bois dit:
à
Pauvre toquard de ducon. Ta femme s’est barrée et tu la vois partout sur le net ?
bouguereau dit:
à
ils ont refusé le « Ulysses »
y fallait un gros fachiss..dmande a kabloom
la vie dans les bois dit:
à
Jamais pu lire un KDick. C’est de la science-fiction prise de tête psychédélique, sans aucune référence scientifique. En revanche les films qui ont été faits de ses bouquins, un régal.
Janssen J-J dit:
à
@ tes gosses qui doivent avoir bien honte
non, ils ont pitié de moi, vu mon job, que je te laisse la vie sauve dans les bois, je fais tout pour les dissuader de pas aller te buter, je leur apprends la tolérance vis-à-vis des malades mentales, c pas facile pour eux, sont encore un peu djeunes. Parfois, ils comprennent, mais pas toujours, voudraient bin en découd’ …
la vie dans les bois dit:
à
ben voilà ducon, t’es au bout, Tu n’as plus rien sous le pied. Tu fais pitié, c’est cela, au bout du compte.
Janssen J-J dit:
à
@Ta femme s’est barrée et tu la vois partout sur le net ?
Céti qu’en + tu t’prendrais pour ma femme, par hasard, martine ?
la vie dans les bois dit:
à
ducon, je pense que tu devrais de nouveau « consulter »…
JAZZI dit:
à
Depuis la nuit des temps, les sociétés humaines s’organisent, se structurent autour de la cellule familiale et de la propriété, le boug : le pater, le patrimoine, le patronat…
Un film qui vient de sortir, pour te rafraîchir les idées
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19572845&cfilm=235590.html
JAZZI dit:
à
Sylvia Beach, une grosse fasciste, le boug !
https://www.google.fr/search?client=safari&rls=en&q=sylvia+beach&ie=UTF-8&oe=UTF-8&gfe_rd=cr&dcr=0&ei=m_zDWcu2FLL_8AeBpBU
JAZZI dit:
à
JAZZI dit:
à
Le problème, Nicolas, c’est qu’en France, il faut d’abord s’imposer avec un roman pour pouvoir publier ensuite des nouvelles, contrairement aux pays anglo-saxons.
Jean Langoncet dit:
à
Le « capitalisme de papa » c’est fini, me dit-on, JAZZI ; la financiarisation du capitalisme serait la cause de nos misères (tjrs rien compris à la parabole des talents – sans doute trop mystique)
Sinon, une punaise met sa théière au clou ? Fort heureusement elle a aussi laissé une oeuvre
JAZZI dit:
à
Ouverture du journal de 20 heures sur la Une :
1/ La mort de Liliane Bettencourt
2/ Les manifs contre la loi travail
3/ Le tremblement de terre au Mexique
4/ La démission du FN de Florian Philippot
C’est tout dire…
Jean Langoncet dit:
à
Avec les moyens de « diffusion » qui sont à la portée de n’importe quel « écrivain » aujourd’hui – des centaines de millions de lecteurs potentiels -, on peut se demander pourquoi la mainmise les éditeurs « traditionnels » semble toujours omnipotents.
JAZZI dit:
à
Les grands éditeurs sont leurs propres diffuseurs…
Jean Langoncet dit:
à
Cocksucker Blues
https://www.youtube.com/watch?v=X4XPHfxhWWM
Jean Langoncet dit:
à
omnipotents > omnipotente
JAZZI dit:
à
5/ Les seniors français consomment trop de médicaments
6/ Le bon des achats sur internet
7/ Baisse du budget des communes
JAZZI dit:
à
Le bond
JAZZI dit:
à
8/ Confessions d’un repenti de la mafia corse (promotion de son livre)
9/ Manif des indépendantistes catalans à Barcelone
10/ Les élections des députés en Allemagne
la vie dans les bois dit:
à
ce n’est pas la diffusion le problème. C’est la réception.
Il y a des lecteurs, au bout de la chaine.
Et ceux qui sont plutôt papier, n’ont aucune raison de consommer plus que leur envie, devant une offre pléthorique. On en revient toujours au même point.Faire le tri.
christiane dit:
à
Bouguereau – 17h24
Bonsoir,
avez-vous lu La Femme promise (Gallimard), un roman ambigu de Jean Rouaud ? Goncourt 1990. Le héros de ce roman sort d’une mare, avec palmes et combinaison de plongée. Il n’est pas écrivain, il est chercheur en physique nucléaire. C’est un peu la même eau… C’est aussi la grâce éblouissante d’une rencontre avec Mariana dans une gendarmerie de Basse-Normandie. C’était un peu avant Les Champs d’Honneur . A l’époque, il était kiosquier, inconnu, jusqu’à ce livre.
Donc, un homme-grenouille peut révéler un écrivain… D’ailleurs l’auteur se balade entre deux lignes : « L’auteur a son interprétation, qui en profite évidemment pour combler les manques du récit, comme un restaurateur de fresque endommagée ». C’est sous la surface du roman une interrogation sur l’importance de la littérature. Le poids de l’Histoire (Collaboration -Résistance…) et du hasard sur chaque vie…
« la poésie est un mode de connaissance du monde, qu’il n’y a pas de monde sans poésie, que le monde s’est structuré autour de ces faits poétiques que sont, entre autres, le récit et le dessin, que le monde vient de là. Et donc que la poésie, c’est du sens. » J.R. aime l’Histoire autant que la poésie. Et puis, Bouguereau, si vous n’aimez pas ce héros, peut-être aimerez-vous cette madame Moineau, si drôle et les pieds bien sur terre qui devine infailliblement la suite des événements…
Janssen J-J dit:
à
martine oualdène, y’a l’Onfray qui cause de toi chez ton cop’ aux dents blanches, tu devrais consulter ta télé, c’est sur la 5.
Jean Langoncet dit:
à
la vie dans les bois dit: 21 septembre 2017 à 20 h 24 min
ce n’est pas la diffusion le problème. C’est la réception.(…) On en revient toujours au même point.Faire le tri.
Les envois précédents sont au purgatoire …
Ne finassons pas SVP ; la diffusion emporte la réception.
S’agissant de faire le tri, que ferions-nous sans une critique éclairée et éclairante ?
DIFFUSION, subst. fém.
B.− P. anal. Action de se répandre d Action de transmettre, de propager et résultat de cette action.
1. Action de propager une idée, des connaissances, des techniques ou de distribuer un bien dans un large public et résultat de cette action. Diffusion de la culture, du français à l’étranger; diffusion de la richesse.
JAZZI dit:
à
Abondance ne nuit pas, LVDLB. Le tri, c’est les critiques et les clients, en bout de chaîne, qui le font…
Nicolas dit:
à
La SF n’est qu’une excuse, un moyen, une forme de casuistique dystopique et pas toujours, une interrogation, un dépassement ou une réaction, la science dans tous ca est si peu ou tout, faites votre choix.
Giovanni Sant'Angelo dit:
à
…
…il y avait, longtemps, que je n’avait pas, repris, cet éternel, goût, de fumer du tabac,…
…
…qu’elle journée, avec, tout ce qui s’est passé ,…
…oublions-nous, dans nos pensées,!…
…
…mais, alors, avec ce Bordeaux supérieur,…Oui,!…
…
…le capitalisme, c’est bien, quand, on sait, ce que sait,…
…
…avant tout, avoir, un potentiel colossal, de liquidité,…et toujours se faire, prier, pour le rester, sans le placé,!…
…
…c’est vrai, qu’une fois placé, on ne revoit, plus sa couleur,…
…
…que, des couleurs, sur d’autres » capitalismes »,!…
…des liquidités, pour oncle Picsou,!…
…des liquidités, et jamais, en cale sèche,!…un Robinson, à son Crusoé,!…
…déjà, vendredi,!…of course,!…
…des tableaux, sur le vif,…plein de billets,!…encore, des collections,…
…etc,!…
JC..... dit:
à
La Camarde met la vieille Liliane au clou.
Bloom dit:
à
L’Oréal m’a tuer….Bettencourt botte en touche.
JC..... dit:
à
« Si l’école faisait son travail j’aurais un travail » (Medef)
Exact …
« Si les parents faisaient leur travail j’aurais un travail » (X)
Encore plus vrai !…
la vie dans les bois dit:
à
@21h10
Jouer sur les mots ?
Sûr que ceux qui écoutent de la musique sur youtube, finissent par aller chez le disquaire…
« Dans cette bibliothèque de Babel qu’est Internet, les textes d’anonymes risquent de se perdre dans la masse et de rester aussi peu visibles que dans un tiroir. Très rares en effet sont les livres numériques autoédités à émerger et à trouver un lectorat. D’après une enquête publiée en 2012 par le site Taleist, 10 % des auteurs autoédités cumulent 75 % des revenus du secteur. Et ces gros vendeurs finissent par signer des contrats mirobolants avec des maisons d’édition. Les autres comptent sur leur famille et leurs amis les plus dévoués pour espérer écouler une poignée d’exemplaires. Le monde du livre est décidément injuste. »
http://www.lesinrocks.com/2013/03/14/livres/tous-ecrivains-grace-a-internet-11371066/
_____________________
à 21 h 11 min
bas rosis, je n’ai pas dit autre chose. L’offre pléthorique.
Cette situation extrême, en appelle une autre: Comment choisir un livre est une question qui ne se pose pas dans les pays régis par une dictature, comme s’est employé à le démontrer hier Ultrabright, dans son émission « la grande librairie ». Ecrivains dissidents, et lecteurs qui se terrent…
Encore un petit mot en colère:
Cet extrait de V.W. à propos de la théière au clou,et à contre-emploi dans le billet, je le trouve parfaitement odieux.
la vie dans les bois dit:
à
mettre au clou ?
http://www.expressio.fr/expressions/le-mont-de-piete-chez-ma-tante-le-clou.php
JC..... dit:
à
Sous la toise, la monstrueuse Virginia atteignait 1,7m : un grand écrivain.
(Ne me remerciez pas, no charge….)
la vie dans les bois dit:
à
Dans l’émission de la grande librairie, il y avait Kaouther Adimi venue présenter son livre sur Charlot…
Un vrai livre à concours littéraire de la rentrée, pour premiers de la classe.
Je préfère les joueuses.
http://www.tulisquoi.net/comme-neige-colombe-boncenne
renato dit:
à
« La plupart ont un petit diplôme en poche et exerce un autre métier. »
Un petit diplôme ?! l’on parle de la seule discipline artistique praticable par n’importe qui ait suivi avec suffisante application l’enseignement donné à l’école élémentaire — un poète de Tel Quel a dit que deux livres suffisent pour écrire, un petit diplôme c’est déjà beaucoup, donc. Il y a quelques années de là j’ai lu un livre — plutôt bien construit — écrit par un paysan breton qui avait appris le français lors de son service militaire dans les tranchées de WWI.
Exercer un autre métier serait un handicap ?
Nicolas dit:
à
« certains écrivains » qui? On veut des noms!
Nicolas dit:
à
Philippe Besson à La grande librairie : »L’écrivain joue le rôle d’un dieu libérateur »
Nicolas dit:
à
J’en rigole encore…
renato dit:
à
Stephen Shore :
JC..... dit:
à
Tirons les commentaires vers le haut ….
« L’écrivain joue le rôle d’un dieu libérateur »(Nicolas)
François Rabelais parle lui plutôt de « pet libérateur »
renato dit:
à
« L’écrivain joue le rôle d’un dieu libérateur »
Le monde est plein de comiques mal fichus et de défroqués sans épaisseur.
JC..... dit:
à
Oscar Wilde est un plus grand écrivain que l’horrible Virginia Woolf : 1,91m
renato dit:
à
Théâtre dada :
http://blogfigures.blogspot.fr/2013/06/sophie-taeuber-arp-costumes.html
keupu dit:
à
la principale occupation de l’andouille et de chercher (sans trouver) ce qui va pouvoir choquer un maximum ; aujourd’hui c’est l’incomparable Virginia Wolf ; quelle pitié ce cuistre
keupu dit:
à
EST de chercher
renato dit:
à
Flannery O’Connor
bouguereau dit:
à
ça manque cruelment de cul rénateau..’hon’ souffre
bouguereau dit:
à
keupu dit: 22 septembre 2017 à 8 h 46 min
EST con
bouguereau dit:
à
‘hon’ lui laisse son mégot à calamity halors qu’on le rabote à luke
keupu dit:
à
9 heures 21 : réveil de la vieille taupe bourrée en fanfare
bouguereau dit:
à
Le monde est plein de comiques mal fichus et de défroqués sans épaisseur
mauvais parents mauvais prof mais voilà zont un boulot qu’il dit l’médef
bouguereau dit:
à
J’en rigole encore…
nico par exempe
bouguereau dit:
à
La SF n’est qu’une excuse, un moyen, une forme de casuistique dystopique et pas toujours, une interrogation, un dépassement ou une réaction, la science dans tous ca est si peu ou tout, faites votre choix.
au repos c’est keupu
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