de Pierre Assouline

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La République des livres
Le Cahier bien tempéré de Pierre Michon

Le Cahier bien tempéré de Pierre Michon

On se réjouit autant qu’on se méfie lorsque pointe à l’horizon un Quarto, une Pléiade ou un Cahier de l’Herne. Non lorsqu’il concerne un classique mais un classique moderne, un contemporain. Rien de tel pour enterrer un écrivain de son vivant avant de l’embaumer en sa présence même. C’est signe que l’œuvre est achevée ce qui n’est pas nécessairement une bonne nouvelle. Ainsi Pierre Michon vient-il de subir ce traitement par la parution d’un Cahier de l’Herne (343 pages, 33 euros) à lui élevé comme on le dirait d’un mausolée. Cela dit, quel bonheur de lecture… Rarement on aura lu un tombeau pour un vivant écrit dans une langue aussi belle. A croire que le Michon est contagieux.

Comme de juste, puisque c’est la règle dans ce genre d’entreprise, les maîtres d’œuvre Agnès Castiglione, Dominique Viart et Philippe Artières ont convoqué pour la célébration nombre de spécialistes de la spécialité, des universitaires et d’autres admirateurs de passage, critiques, écrivains, amis. Mais, il faut bien l’avouer, le meilleur de ce Michon en majesté et dans tous ses états, c’est encore Michon  lui-même sous sa propre plume, qu’il s’agisse d’entretiens, de textes anciens ou de plus récents, inédits. Ici comme dans ses livres, des textes brefs qui s’engendrent l’un l’autre, l’un invalidant ou au contraire amplifiant le précédent, les uns entrant en résonance avec les autres, le tout trouvant son unité naturelle pour composer un récit ou un roman. Bien dans sa manière, ils viennent ponctuer à intervalles réguliers ce festin dont peut se régaler tout amateur de littératures. Au pluriel car l’homme est si généreux dans ses reconnaissances de dettes, hommages et gratitudes, le lecteur en lui si insatiable, que l’exercice d’admiration lui est une seconde nature. Faulkner bien sûr, le patron et « le père de tout ce que j’ai écrit »,mais aussi François Villon comme le plus intime des compagnons de route, Flaubert l’autre patron, Michelet en historien donc en écrivain, Louis-René des Forêts…

Il est incapable de parler de ce qu’il écrit sans dire ce que cela doit à ce que les autres ont écrit. Rien d’une fausse modestie. Juste la reconnaissance de ce qui est et de ce que l’on est. Au vrai, ce Cahier de l’Herne qui complète à point le passionnant recueil de ses entretiens donné il y a quelques années sous le titre Le roi vient quand il veut (Le Livre de Poche), présente sous maintes facettes, certaines des plus inattendues, le plus fascinant autoportrait qui soit. Peu importe si plusieurs se marchent dessus, de doublons en redondances, de commentaires du commentaire en paraphrase du déjà écrit. L’important, ce n’est pas telle ou telle contribution mais l’éclat du dessin qui sourd du tout. Il lui serait désormais inutile d’écrire ses Mémoires, à supposer que l’envie lui prit jamais, étant entendu avec Nabokov que la véritable autobiographie d’un écrivain, c’est l’histoire de son style.

On le lit, on le relit, on y revient. L’œuvre, grand livre des morts et chambre d’échos pleine de cadavres bavards, paraît inépuisable quand bien même croirait-on en avoir cerné les mécanismes tant elle est frappante de clarté : le topos du minuscule, la récurrence de l’apparition, le goût du récit bref, l’ivresse du minimal, la passion du point-virgule et de l’oxymore l’éternel retour de l’archaïque, l’énergie de la langue, le souci d’une exigence permanente dans la tenue de l’écriture, l’appétence pour les traces, les ombres et la fuite, la jouissance dans l’énumération des noms, l’obsédante présence des disparus auxquels le vivant donne sa voix, l’ellipse au service de la plus grande densité, la biographie comme art de métamorphoser une existence en vie et des gens de peu en autant de saints. Toutes choses qui constituent moins une technique, au sens où Michon admire la « compétence technique » à l’œuvre dans Absalon, Absalon !, qu’un art poétique où l’on voit le réel s’articuler à la langue, se démêler et halluciner la vérité.michon2

C’est l’un des rares écrivains qui communique au lecteur la touche inouïe d’une présence familière : celle d’un homme épris de fraternité. « C’est une immense jouissance que d’élire domicile dans le nombre ». Ce mot chu de la plume de Baudelaire qu’il a placé en épigraphe des Onze, lui va comme un gant.

« Je cherche à poser ma voix où Faulkner a posé la sienne, c’est à dire depuis le Royaume des morts, ou plutôt du sein de ce que jadis on appelait le Paradis- quelque chose comme le point de vue des anges (c’est à dire ceux qui chantent éternellement de l’autre côté de la mort en regardant ce côté-ci »

L’historien Patrick Boucheron, qui voit en lui un écrivain du Moyen-Âge, apprécie comme « médiévale cette manière très humble et très orgueilleuse de placer sa voix sous l’aile des anges». Il se documente comme Flaubert et noircit des carnets mais pas nécessairement pour s’en servir, juste pour que ce soit là comme un filet de sécurité, pas pour consulter mais pour mieux s’imprégner. Et comme Flaubert, il dit ses textes pour les avoir à l’oreille mais lui ne les gueule pas, il en ressasse les phrases dans l’arrière-gorge jusqu’à parvenir à la plus extrême précision des mots. Là où tant d’écrivains jugent un texte à la sonorité qu’il dégage, lui préfère dire à la Villon qu’il le juge à son alloi, jusqu’à en oublier le sens des mots pour mieux les entendre

Jamais ce grand lecteur, si fin et si aigu dans ses analyses, ne se prend pour un critique. Quand Gérard Genette résume A la recherche du temps perdu par sa fameuse formule : « Marcel devient écrivain », Pierre Michon, homme d’une intense mémoire de la chose littéraire, se laisse aller de son pas de côté : « Un type coincé devient écrivain ». Il a un tel sens du raccourci que l’on ne s’étonne plus de la brièveté de ses livres :

« Lisant Tintin, on se dit à la fois : je lis un chef d’œuvre, et : je lis une histoire de mickeys ».

On entend sa voix à chaque page, le son Michon. Dans Les Onze, les personnages s’appelaient Billaud, Carnot, Prieur & Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André. Presque tous des écrivains ratés, détail michonissime, ils constituaient le Comité de salut public de 1794. Celui de la politique de la Terreur. Depuis une quinzaine d’années que ce fantasme de récit le hantait, Pierre Michon se récitait à voix basse les noms des onze membres du Comité toujours dans le même ordre avec une régularité qui a quelque chose d’obsessionnel. Comme si le rythme, la scansion, le projeté, le bruissement de la langue, l’écriture en contrepoint serré et la sonorité de cette litanie lui permettaient déjà de laisser son livre s’écrire en lui.

Qui saura jamais dire la vertu et l’envoûtement de l’énumération ? Lui peut-être pour en avoir été l’heureuse victime. Est-ce de l’histoire ou sommes-nous dans le territoire de la fiction et donc du rêve éveillé, à moins qu’il ne s’agisse d’une fiction nourrie d’histoire ? On ne sait plus, ce qui témoigne de la réussite de Pierre Michon. Depuis trente ans il trace dans la littérature française un sillon éblouissant. On a beau le lui dire, il doute toujours. Au fond, ce que Bonaparte disait à propos de sa politique pourrait aussi bien s’appliquer à la littérature en général :

« C’était du charlatanisme, mais du plus haut ».

Il confie ici ou là les sources de son inspiration, étant entendu qu’il les a repérées après coup. Ainsi, il lui a fallu attendre un certain temps avant de comprendre que « Mais il n’y a rien, madame, absolument rien », phrase placée dans la bouche d’un nihiliste ou d’un chaman de La Grande Beune, lui venait en fait d’une case des Bijoux de la Castafiore où Tintin s’adresse à la cantatrice après avoir regardé à travers une fenêtre ouverte sur la nuit ; dans un texte de novembre 2016 sur le héros d’Hergé, il présente Tintin comme « un obsédé du bien », à croire que c’est de lui-même qu’il s’agit. Pour les Onze, le déclencheur ne lui vint pas de tous les classiques sur la Révolution des meilleurs historiens, qu’il avait lus et annotés, mais du Tiepolo et l’intelligence picturale de Svetlana Alpers et Michael Baxandall, deux historiens de l’art ; il trouva l’allure de son héros Corentin dans la figure de l’acteur David Warrilow dans le film de Phillipe Collin Les derniers jours d’Emmanuel Kant ; et il reconnaît sans peine que le cardinal de Richelieu est le point de tangence entre les Onze et les Trois Mousquetaires

Peu d’écrivains français prennent comme lui la peine de réfléchir à ce que lire et écrire veulent dire, et plus rares encore sont ceux qui manifestent un tel goût des autres écrivains. Il parle des livres des autres en évoquant les siens –et de la vie des écrivains en répondant sur la sienne. Cela donne la plus originale des autobiographies. Le portrait qui en ressort ? Celui d’un type – pas un homme, ou un écrivain, mais bien un type- qui est né et a grandi entre un père absent et un fantôme de sœur morte, un spectre et un ange. Il a traîné ses guêtres de bistro en bistro jusqu’à 35 ans, ne fichant rien, picolant comme ce n’est pas permis, avec la ferme intention de s’y appliquer, malgré quelques tentations sans suite du côté du théâtre. Boire le sang noir des morts, ce qui revient à commercer avec d’anciens vivants, avec Michelet en embuscade.

lcaIO1U1TKm7y9d1jAOCeQ_thumb_149d2Cinq bistros pour soixante-six habitants dans son patelin de naissance, au fin fond de la Creuse : tout s’explique ou presque. Pas une fatalité génétique mais tout de même, difficile d’en réchapper. En 1981, il porte ses Vies minuscules chez Gallimard. Présenté par Louis-René des Forêts et rejeté par Michel Tournier. Représenté et accepté par Jean Grosjean. 1918 exemplaires vendus la première année. Après, il se rattrape. Tant et si bien que ce précieux petit livre mythique qui soudainement fane tant de biographies, éclipse les autres (La Grande Beune, Abbés, Corps du roi) jusqu’au triomphe des Onze. Il se pose des questions comme celles-ci : qu’est qui, d’un texte, fait une œuvre d’art ? Le roman n’est-il pas un genre exténué comme l’était la tragédie classique sous Voltaire ? Pas vraiment romancier. Ni nouvelliste. A mi-chemin : écrivain de romans courts. Non par essoufflement ou paresse, mais par aversion pour le gras et le superflu, et par goût pour le densifié et le resserré, aux antipodes de la bonne grosse Weltanschauung et des vertigineuses machines romanesques. D’accord avec Valéry :

« La postérité, c’est des cons comme nous ». 

D’un rien, il peut faire un livre : la voix enregistrée du tramway de Nantes annonçant la station « Cinquante otages », sa mère ensevelie à la minute même où deux tours sont réduits en cendres à Manhattan. Tempora pessima sunt. Il juge bien ses livres, certains shootés à la littérature, d’autres pas. Mythologies d’hiver ? Des fables de notre époque sans croyance.  Maîtres et serviteurs ? Vaut surtout pour le chapitre Watteau où l’inavouable sexuel est dit.  L’Empereur d’Occident ? Un exercice de style. La Grande Beune ? A peine un roman. Il juge aussi bien l’essentiel de la production littéraire actuelle : de purs artefacts bien bouclés. Qu’est-ce qu’il fait, Pierre Michon ? Toute la journée, il lit, se promène, parle, picole. Quand vient le roi, c’est à dire la littérature, la grâce d’écrire, alors il écrit, souvent textes à la commande, ça stimule. Son unité de mesure : « Un long matin tendu et refermé sur sa plénitude et un soir tendu vers le matin à venir ». Au bout, ce n’est pas un roman qui l’attend mais un bloc de prose, son genre, inconnu des manuels. Il veut attirer Dieu dans son livre. Il est des ambitions moins nobles. Dieu, mot-gouffre. D’ailleurs, il tient la littérature pour une forme déchue de la prière, c’est dire. Et soudain, cette phrase admirablement cadencée, qui laisse sans voix :

« Les œuvres sont les preuves de la grâce- mais sans grâce pas d’œuvre ». 

Le rythme, la période, le mètre, tout est là. Il maîtrise parfaitement la langue classique, tenue. Abhorre les points de suspension, trop débraillés. Tout ce qu’il écrit veut côtoyer le sacré. Dieu ne le quitte pas. Son christianisme est médiéval. Il tient que tout écrivain est nécessairement un imposteur puisqu’il ne s’autorise que de lui-même. Il envie Pessoa. Cherche non le rosebud mais le nigredo en tout artiste : « Sur quel intime foutoir l’œuvre jette-t-elle son masque ravissant ? ». C’est une éponge. Retient tout ce qu’il lit. Quelle mémoire… La Bovary et Booz endormi reviennent tout le temps au sommet de ce qu’il appelle « ma bibliothèque neuronale ». Mais on y trouve aussi La Chambre claire de Barthes. N’empêche, il paie sa dette à Flaubert, le premier à avoir écrit une vie minuscule avec Un cœur simple. Proust disait que les livres sont les enfants du silence et de la solitude. Michon y ajoute le secret, la patience « et les infimes stratégies de la table de travail ». Tout pour conjurer l’angoisse qu’un jour la grâce vienne à le déserter.IMG_0640

La femme est peu présente dans son œuvre, à peine son corps littéraire, celui qui jouit par les mots, bien distinct du réel. Milady fut sa première lecture érotique dans les Trois mousquetaires, suivi de près par les scènes de baisades et autres foutreries chez Flaubert, poursuivi en apothéose par Histoire d’O sans jamais oublier que tout commença par la lourde vision de la différence des sexes dans Barbe-Bleue. Invité à revenir sur ses cahiers préparatoires à La Grande Beune, Pierre Michon assure que ce n’est par pudeur qu’il a métaphorisé « je bandais » par « cela me perchait au ventre », mais parce que cela s’est imposé, tant et si bien que cela a donné naturellement le la a tout ce qui a suivi (frottements, prises, grottes et autres béances). Pas un mot de travers, une mécanique de haute précision. Mais ne vous y trompez pas. Le véritable intime n’est pas là où l’on croit.:

« Il me semble que pour un écrivain rien n’est plus intime, rien ne le constitue davantage, rien n’est plus lui-même, que cette volonté énonciative, ce désir violent qui préside à sa phrase, cet infime et décisif putsch dans son parlement intérieur, qui fait soudain la voix despotique de ce qu’on appelle, et qui est, la littérature. C’est cela que j’appelle Faulkner ».

Cette certitude est au cœur de Trois auteurs (1997) et de Corps du roi (2002) même si elle irradie toute son œuvre.Michon a été jusqu’à identifier sa propre biographie à celle de Faulkner en établissant des passerelles entre les accidents de leur vie : origines sociales, roman familial, alcoolisme autodestructeur… Il a fini par décalquer sa Creuse sur le comté de Yoknapatowpha. Il ne sait pas au juste pourquoi il a été à lui mais il y va encore, captivé par une force d’attraction qui le dépasse, persuadé avec Borges qu’on ignore ce qu’il y a au fond de ses livres même si on sait juste qu’y gisent des vérités qui nous terrorisent. Il est lui aussi l’écorché au seuil de sa maison de douleur. Lui aussi veut accepter d’être dans le mouvement du monde. Faulkner n’est pas son Dieu mais son roi, un génie dans son genre, le romancier capital, celui qui aura marqué « la » rupture littéraire de son siècle.Mais il a beau être un faulknérienabsolu, il n’en est pas pour autant dupe de la posture du grand William entweedé, moustache taillée de frais, pipe apaisante empoignée, alors que dès que le photographe a le dos tourné, il retourne à son état de pochetron lamentable. Ce qui ne l’a pas empêché de rendre compte de la totalité du monde à partir de son ilôt de Mississippi. Juste pour accéder non à l’universel mais au planétaire.

Sauf que Michon, lui, est aussi bien du genre à se livrer à une méditation sur le langage à travers l’évocation d’un papillon, la course d’un renard, la chute d’une corneille. Du genre à se passionner pour des existences que d’autres jugent insignifiantes en les traitant non à la manière du Marcel Schwob des Vies imaginaires mais du Suétone des Vies des douze Césars. Quel autre écrivain français aurait l’esprit ainsi tourné pour remarquer que l’homme qui tenait le rôle du père dans Le Voleur de bicyclette était un ouvrier en chômage qui avait répondu à une petite annonce, avait essayé de faire d’autres films après celui de Vittorio de Sica, n’y était pas parvenu et était mort dans la misère :

 « C’est très précisément un Minuscule : quelqu’un qui dans sa trajectoire a heurté quelque chose qui le dépassait et qui ne s’en est jamais remis ».

Dans l’une des plus belles pages de ce Cahier bien tempéré, Pierre Michon se souvient de ce qu’il faisait avant d’écrire : comédien, sans pour autant tenir son activité pour un métier ou une profession. Juste un état d’âme à peine rétribué. Un soir de 1969, il joue dans En attendant Godot de Beckett. Ca se passe dans la salle de l’Essai à Clermont-Ferrand dans le cadre de l’Atelier Théâtral Riomois. Pozzo, c’est lui après avoir été le duc de Buckingham dans Richard III et le prince Philippe dans Yvonne, princesse de Bourgogne. Il était Pozzo tous les soirs. Il était même tellement Pozzo que la veille, après avoir éclusé tous les bars de la ville avec des copains, il passa brutalement à travers le pare-brise de sa voiture, ce qu’il justifia ainsi auprès des gendarmes : « Je suis Pozzo, ce nom ne vous dit rien ? ». Non, rien, au bloc ! Mais le lendemain soir, une fois dégrisé, il était toujours Pozzo :

« Cette représentation de Godot, avec la bande Velpeau et le sparadrap, est dans mon souvenir une expérience inoubliable, peut-être la plus forte de ma vie, en tout cas décisive. Je ne sais pas si j’ai bien joué le rôle ; mais je sais que je l’ai joué dans le sens antique, dans le sens qu’entendaient les Anciens quand ils parlaient de purification dramatique : je voulais plus que tout oublier la grandiloquence et l’abjection, que j’avais si vainement gaspillées la veille dans le réel ; et je savais –quelqu’un en moi savait- que c’était en rejouant l’abjection grandiloquente, en la montrant, en la jetant à la face du monde, que je pourrais l’accepter, l’embellir, la dépasser (…) Sachant cela, je savais tout ce que je devais savoir pour écrire des livres : on joue à être soi-même une seconde fois, plus abjectement, plus bellement ; on ne sait pas si c’est du destin ou du jeu, des plaies ou un maquillage : mais on donne tout en vrac à la totalité du monde… »

(« Pierre Michon au centre dans « En attendant Godot » en 1969 à Clermont-Ferrand, photo D.R.;  extrait des « Bijoux de la Castasfiore » ; photos Passou)

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 579 Réponses pour Le Cahier bien tempéré de Pierre Michon

Lavande dit: à

Les petits choristes qui chantent traduisent en même temps en langue des signes.

Janssen J-J dit: à

8.13, ce matin, avons atteint des sommets de vulgarité… Je cite : (A propos de Chateaubriand, immense écrivain abondamment évoqué ici, je ne saurais trop vous conseiller la lecture de Splendeurs et Misères des M. de Chateaubriand de Maurice Levaillant. J’avais acheté ce livre parce que Cabanis en fait l’éloge dans son petit livre sur ledit Chateaubriand. A raison. Albin Michel sur la couverture, Ollendorff à l’intérieur. 1922, je crois.

Franchement… des achats du Péteux merdeux aux pusses, conditionnés par ses non moins obscures lectures sous Canabistouille, qui s’en soucie ?… à part gwg ?… Petit Rappel, y compris même pablo casalis 57, tout le monde s’en branle assez un brin (je crôààà), les oeils rivés sur france/uruguay.

La rdl attache trop d’importance aux itw de vargas llosa, je crôààà. Ferait mieux de proposer un nouveau sujet fissa, on va friser les 1500 michons ?

Bonnes vacances, Jazzman, couvrez-vous bien en sortant.

christiane dit: à

Chaloux, merci,
vous êtes le seul à avoir touché le cœur de Jean avec ces petits mots confiants.

Jean dit: 30 juin 2018 à 21 h 19 min

« Jean, comment expliquer qu’un homme aussi fin que toi fasse aussi long sur la même mauvaise blague? (Chaloux) »

Oh, fin … Mais enfin, ton compliment me touche et ta question m’interpelle. Qui suis-je vraiment, et qu’est-ce que je veux ? Il se trouve que je traverse une mauvaise passe et que la solitude est cruelle. Comment faire pour en sortir, comment faire pour intéresser les autres à soi ? que les autres, à tout prix, réagissent, et s’aperçoivent que j’existe ? J’ai cru trouver la solution il y a très longtemps : j’allais sur mes trois ans. Opposer à la violence de l’indifférence la violence de la provocation, quitte à en payer le prix. Parvenir à se faire haïr de ceux qu’on aime : étrange et douloureux projet. Secrètement, je n’ai pas changé depuis sur ce point, je crois, et ta question m’en fait prendre conscience. Merci. Bonne nuit à tous. »

C’est bien que ces paroles nous arrivent alors que la belle cérémonie pour Simone Veil se déroule. Ces chœurs d’enfants sont d’une grande pureté, oui, lavande, « Merci madame »..

Janssen J-J dit: à

eh bien non, mon gars, moi j’ai assez donné avec l’histoire de la disparition de ta compagne après sa longue maladie dégénérative… Ce genre d’excuse à deux balles en forme d’aveu… « Parvenir à se faire haïr (NB/ en salopant tous les jours la mémoire des juifs de la Shoah), de ceux qu’on aime : étrange et douloureux projet… », désolé, mais allez raconter ça ailleurs, devant le Panthéon, prcisément.
La conn.erie a ses limites, quand le pardon au vu d’une forme d’auto-excuse du pauvre jean goebbels,… assez puante et facile, ne devrait pas en avoir. Et là, je m’adresse à Christiane, c’est clair. Chachale on s’en f., mais pas d’un mec comme ledit jean ai marre, un vrai pervers.

Widergänger dit: à

christiane a simplement une case en moins. L’inquiétant c’est qu’il y en a de plus en plus comme ça ici.

Passou se refuse à faire le ménage. Le résultat c’est que son blog est fagocyté par toute une lépre et une faune antisémite ou à vomir qui n’est pas à sa gloire.

Paul Edel dit: à

Oui, que l’antisémitisme s’étale ici et de pus en pus sans modération reste pour moi un truc inexplicable .
Revenons à Sollers -le-clivant.. « Centre « mélange le journal intime, la critique littéraire des classiques, des réflexions sur la Bible,le Pape, la criminalité actuelle, les « bipolaires », d’autres faits de société. Sollers fait la part belle à la psychanalyse à cause du personnage de Nora, qui est psy et ressemble assez à Julia Kristeva. Ce qui agace certains à propos de Sollers, c’est le ton détendu ,Gamin. Ses paragraphes rebondissent après une lecture de Sade, de Lacan, à propos d’un article de journal. Sollers mène une conversation enjouée avec son lecteur. Écriture gaie, rapide, pétillante d’humour devant le lourd train du monde qui grince particulièrement ces temps-ci. Il y a du Diderot là-dedans. Sollers se moque de sa mort dans l’exquis chapitre « Néant » . Cette allégresse déplait.Il a pourtant pas mal de lucidité notamment sur le Milieu littéraire et l’état de la critique littéraire. Choses qu’il connait bien. certains n’apprécient pas ,c’est leur droit.
Un passage de « Centre » m’a retenu : « Toutes ces existences réduites en cendres, se retrouvent dans une urne posée dans le coffre d’une voiture qui roule vers le lieu prévu pour la dispersion. Beaucoup choisissent l’eau, la Seine a ses stars. La vieille inhumation, écrit-il, avec curé et perspective résurrectionnelle, n’a plus cours ».
Ce passage me fait penser à cet ami, catholique, qui aurait aimé une messe et un enterrement traditionnel avec cercueil en terre, bénédiction d’un prêtre. Pour des raisons d’abord financières et comme il n’y a pas de petite vengeance , sa femme décida : »crémation ! «
A la fin de la cérémonie (ô merveilleux ronflement de chaudière) un membre du personnel vint chuchoter à l’épouse qu’il y avait davantage de cendres que prévu ; ce « surplus « de cendres fut emballé dans du papier alu. Un fils prend l’urne, la jeune veuve prend l’espèce de poche en papier alu qui ressemble à ces papillotes tirebouchonnées qui protègent un poisson cuit au four.
La famille prend le métro. Rame bondée. Dans une courbe, grosse secousse, le paquet alu tombe , se déchire , les cendres s’éparpillent sur les pieds de deux ou trois voyageurs.
Au domicile, la famille pose l’urne sur une étagère, près de babioles en céramique. Trois ans pus tard au cours de travaux dans la maison , l’urne disparait. Aucun endroit pour s’incliner ou se recueillir. Je sais, il reste le site sur le Net.

D. dit: à

radioscopie dit: 1 juillet 2018 à 10 h 45 min

D. dit: 1 juillet 2018 à 10 h 14 min
« Mgr Vingt-Trois faisaient de très bonnes homélies »

Pardi, ils étaient en nombre !

Voir Delaporte, auteur de cette faute ÉNORME.

Janssen J-J dit: à

@ Oui, que l’antisémitisme s’étale ici et de pus en pus sans modération reste pour moi un truc inexplicable.

oui oui oui, edel, c’est même incompréhensib’, et on doit vomir un peu plus tous les jours. Et passoul s’en fout, depuis des années, il tolère les horreurs de jc et jean, sans doute parce qu’il les prend au X ème degré. Or, non, point du tout, ils sont au premier ! il a jamais pensé être noyauté par la fachosphère. Il est comme ça, passoul. Il engrange du matériau, j’ai l’impression, pour son nouveau roman : « du bon usage du complot à ma rdl »…

Janssen J-J dit: à

j’arrive pas toujours à départager qui de delaporte ou de d. est le plus orthodoxe à l’égard du catholicisme romain, sous le pontificat de françois. On sent pourtant une nette et sourde rivalité leadershipale à ce sujet, mais comme le plus ultramontain des deux se laisse souvent aller à de l’humour, et que l’autre ne dévie jamais de son gauchisme vangélique, on en perd un brin son latin. Au demeurant, ça n’a aucune importance, vu notre mécréance congénitale à ce sujet. L’essentiel est d’avoir des chrétiens qui n’ont jamais rien à dire sur l’antisémitisme des autres. Tout cela est d’ailleurs médiologiquement fort instructif.

Widergänger dit: à

Heureux de voir ici un critique de Centre par Paul. Je vais la lire et y répondre plus tard.

Paul Edel dit: à

Janssen. ce qui est inexplicable et de choquant c’est le fossé qui existe entre la vraie vigilance de Passou dans ses articles, dans ses romans,dans ses interviews à propos l’antisémitisme dans les prtiodes sobres de notre histoire , sa vigilance sur le racisme en général et le fait d’accepter sans aucun état d’âme apparent des commentaires infâmes sur son blog…

christiane dit: à

@Janssen J-J dit: 1 juillet 2018 à 12 h 32 min
Oui, Jansen, nauséabonds et graves les propos de Jean qui se sont étalés sur le blog. Je l’avais écrit, Lavande aussi. Néanmoins, et ce n’est ni excuser, ni pardonner, il y a quelque chose qui m’interpelle dans ce retour-arrière de Jean. Peut-être parce que j’ai vécu avec des enfants, dans les écoles, qui devenaient des violents, vraiment méchants, voire dangereux pour les autres. Les psy restaient interloqués. Quelle était l’origine de cette violence. Une façon de se faire remarquer ? Faire le vide et en souffrir ? être ce qu’on avait dit qu’ils étaient ?
Pour Jean, je ne sais. Il semble faire et dire ce qu’il ne voudrait ni faire ni dire. C’est la première fois qu’il fait ce genre d’analyse, ici ? Pour vous c’est de la perversité. Paul et W. dénoncent aussi cet « anti.sémi.tisme qui s’étale ici et de pus en pus sans modération ».
Passou étant responsable de la modération sur son blog, oui, ça reste inexplicable.
Me dire comme W. que j’ai « simplement une case en moins » ne me satisfait pas. Je cherche à comprendre. Je souligne l’effort de Chaloux qui n’est pas rien et qui provoqua cette réaction de Jean. On peut d’ailleurs lier JC dans cette abjection car il emboitait souvent le pas à Jean et vous n’en parlez pas. La haine s’exprime souvent ici et par d’autres commentateurs, vous par exemple W., lvdb, et d’autres… sous pseudo.
« Pourquoi tant de haine ? C’est tout le mystère de l’âme humaine… »

Widergänger dit: à

Oui, c’est vrai qu’il y a de la fausse légèreté à la Diderot chez Sollers. À propos de psychanalyse, il parle à un moment de la bouleversante solitude de Lacan. C’est le sentiment qu’il m’est arrivé aussi d’éprouver en le lisant, en considérant les malentendus qu’il a suscité et sa bonté infinie qui fait de lui l’équivalent d’un saint laïc.

Widergänger dit: à

il y a quelque chose qui m’interpelle dans ce retour-arrière de Jean.
_________
Vous êtes d’une naïveté ! La naïvté poussée à ce degré devient dangereuse. Chaloux est une ordure qui s’en prend à ma grand-mère tellement il est lâche et pourri, et vous le flattez ! Vous avez le cerveau à l’envers.

Widergänger dit: à

J’aime aussi beaucoup ce qu’il dit des patients de la psychanalyse, leur profonde bêtise, leur aveuglement sans remède ou presque, l’ennui qu’ils suscitent. Tout cela est tellement vrai. Et je me rends compte que, comm Sollers, moi non plus je n’aime pas les gens. Mais il faut les aimer assurément quand on est psychanalyste comme Kristéva. Moi, je n’aurais jamais eu la patience. Les gens – je dois l’avouer – me font horreur la plupart du temps, pas un pour racheter l’autre. Ils sont absolument infréquentables.

Janssen J-J dit: à

@ Il semble faire et dire ce qu’il ne voudrait ni faire ni dire. C’est la première fois qu’il fait ce genre d’analyse, ici ?

et alhors… ? Y’a un moment où l’hypothèse de la perturbation mentale chez les enfants semblerait les excuser… Je m’attendais à vous voir établir un parallèle avec jean, mais vous préférer dire que vous ne le comprenez pas. S’il semble vouloir s’expliquer, qu’il aille jusqu’au bout, mais ne l’excusez pas par avance, merdhalors !
Quant à mes agacements que vous prenez pour de la haine, je ne crois pas les avoir jamais érigés en systèmes idéologiques anti sémiques ou autres… Par ailleurs, j’ai toujours mis goebbels (j.) et goering (jc.) dans le même panier, qu’est-ce que vous me chantez-là ? Et je déplore les propose de gwg à votre encontre. « Pourquoi tant de haine ? », c’est une jolie formule, mais elle est un peu courte, croyez-pas ? Et surtou, comme dit edel, pourquoi passoul s’en accommode-t-il autant chez lui : la même ambivalence qu’à l’égard de céline peut-être ? Aurait pas renoncé à préfacer les pamphlets chez gallim ?

Widergänger dit: à

Bérénice, écoutez plutôt la sublime Barbara Hannigan dans Girl Crazy Suite de Gerchwin, et elle dirige même l’orchestre avec sa voix sublime dans cette magnifique interprétation qui a remporté un beau succès, et il y a aussi du malher dans cette suite :
https://www.youtube.com/watch?v=ZHvOTaxRwNA

Mais elle est sublime aussi dans la Suite de Lulu d’Alban Berg.

Widergänger dit: à

Bérénice, écoutez plutôt la sublime Barbara Hannigan dans Girl Crazy Suite de Gerchwin, et elle dirige même l’orchestre avec sa voix sublime dans cette magnifique interprétation qui a remporté un beau succès, et il y a aussi du malher dans cette suite :
https://www.youtube.com/watch?v=ZHvOTaxRwNA

Mais elle est sublime aussi dans la Suite de Lulu d’Al.ban Berg.

Widergänger dit: à

pourquoi passoul s’en accommode-t-il autant chez lui
________
C’est pourant facile à comprendre. Mais la réalité vous passe au-dessus de la tête tellement vous êtes naïf vous aussi. Se faire du fric sur le dos des antisémites, c’est le pied, non ?

Bérénice dit: à

Wgg merci je suivrai vos indications cependant j. Apprécie particulièrement le contenu des liens que je confie à ceux qui comme moi seront à même d,en entendre la beauté.

christiane dit: à

En fin de compte, W. ce qui ne vous plait pas c’est que je félicite Chaloux pour la question qu’il a posé à Jean. Vous êtes prompt au mépris, regardez-vous vous même, vous êtes plein de mépris, d’arrogance et de haine. Chaloux vous insulte, soit. Vous ne vous privez pas d’en faire autant. Toutes les violences verbales sont graves. Vos propos envers les peuples du Moyen-Orient sont aussi emplis de haine.
JJJ, encore une fois, je n’excuse pas, je m’interroge.
Pourquoi écrivez-vous : « Quant à mes agacements que vous prenez pour de la haine, je ne crois pas les avoir jamais érigés en systèmes idéologiques anti sémiques ou autres… » Où ai-je écrit cela ?

Un dernier point sur la modération de Passou. Il y a une moyenne de 1000 commentaires par billet sur ce blog. Pour les modérer convenablement il faudrait soit qu’il soit devant son écran 24h sur 24, soit que TOUS les commentaires soient en attente et qu’il ne les mette en ligne qu’après les avoir lus ce qui supprimerait toute conversation entre les uns et les autres et toute spontanéité. Je crois qu’il les vérifie une fois par jour et dit en effacer pas mal. Avez-vous une préférence ?

Bérénice dit: à

De plus je ne goute pas trop à l’ œuvre de Gershwin . Elle me laisse froide.

Widergänger dit: à

Comment pouvez-vous rester froide devant une musique pareille, qui est une chanson d’amour !

Widergänger dit: à

Je ne suis pas du tout prompt au mépris, c’est complètement faux. Je méprise ce qui est méprisable. Ce qui est tout autre chose. Mais comme vous n’avez guère le sens des nuances ni l’intelligence pour ls comprendre, vous participz vous-même de cette hystérie antisémite qui s’est installée sur ce blog depuis quelque temps et qui a fait passer les esprit faible comme chaloux de la menace à l’exécution ! Vous êtes complètement irresponsable.

Janssen J-J dit: à

@ C’est pourant facile à comprendre.

… puisque vous avez rien du gros naïf de service, gwg, soyez dhonc plus explicite pour une fois, qu’on vous voie venir avec vos gros sabots sur vos prétendues explications de vénalité passoulinienne. C’est 1 brin plus compliqué, à mon avis, mais ç’a pas l’air de vous encombrer, la complexité séfarade vs ashké, hein ? Allez, crachez vos lumières aux goys qui comprennent rin !

Bérénice dit: à

En revanche j’ aime beaucoup Gustave Malher

Janssen J-J dit: à

Vous aurais-je mal lue, ch. à @ 14.27 ?
« La haine s’exprime souvent ici et par d’autres commentateurs, vous par exemple »

Widergänger dit: à

Mais enfin, vous ne comprenez donc pas (vous êtes vraiment bête !) qu’il existe tout un arsenal de moyens informatiques automatiques pour empêcher que ces abrutis viennent faire chhier le monde avec leurs insultes et leur menace de procès bidon pour des causes infamantes.

Et je n vois prsonne ici faisant la leçon à cet abruti de chaloux. Vous êtes tellement pourris et minables que vous m laissez me dépatouiller avec cette ordure débile.

Widergänger dit: à

Janssen J-J dit: 1 juillet 2018 à 15 h 14 min
Non, je ne serai jamais plus explicite. Vous ne méritez pas qu’on vous explique les choses. Vous êtes né pour être aveugle et vous le resterez, hélas, toute votre vie.

Bérénice dit: à

Débat éternel s’agissant de la gaine de Chaloux envers wgg qu’il accuse de charlatanisme culturel ce à quoi répond Wgg en invectives de diverses qualités. Chacun des deux s’arrogent la version de la vérité unique et accusant l’autre de crétinerie prononcée. Je passe pour ma part ces commentaires inutiles. Une joute rasoire à la longue et que je classe dans le rayon des échanges pathologiques. Une obstination rare . c’est

Bérénice dit: à

La haine.

Bérénice dit: à

C’est de l’ordre de la chronicité .

Widergänger dit: à

Bérénice dit: 1 juillet 2018 à 15 h 14 min
En revanche j’ aime beaucoup Gustave Malher
____________
Écoutez, vous entendrez qu’il fait des allusions à Mahler (4ème symphonie notamment).

Janssen J-J dit: à

@ Vous êtes né pour être aveugle

au moins, vous me reconnaissez être né pour quelque chose… c’est déjà ça … et permettez moi de ne pas poursuivre sur une réplique logique, risquerait d’envenimer la situation…
NB/ J’aime beaucoup les liens musicaux de B., tjs un grand plaisir à revisiter les classiques.

Janssen J-J dit: à

@ que vous m laissez me dépatouiller avec cette ordure débile.

… arrêtez de jouer avec lui, wgw, il sortira de son bac à sable tout seul… Z’êtes né pour êt’sourdingue, ou quoi ?

christiane dit: à

Oui, vous avez mal lu JJJ
J’ai écrit : « La haine s’exprime souvent ici et par d’autres commentateurs, vous par exemple W., lvdb, et d’autres… sous pseudo. »
Cette phrase est pour W. (d’ailleurs nommé par cette lettre suivie d’un point). Vous n’êtes nullement concerné. Vous n’êtes jamais haineux, JJJ.

christiane dit: à

@Widergänger dit: 1 juillet 2018 à 15 h 13 min
Vous racontez n’importe quoi vous croyant supérieurement intelligent ! Et bien sûr, vous m’accusez d’anti. sémitisme. Qui ne l’est pas ici, selon vous ? Vraiment, à part la littérature vous êtes un gros nul.

Passou dit: à

A WGG de 14h 56 : Combien ?

A Paul Edel de 14h22 : Mais sais-tu que j’ai effacé quinze commentaires par jour, certains en modération d’autres déjà passés à travers le filtre des mots bannis, ces derniers jours ? Sais-tu que deux vieux fidèles de la RDL, commentateurs quasi quotidiens, ont vu leur adresse et leur IP rajoutés à la liste noire ces derniers temps ?

D. dit: à

C’est pas moi, c’est pas moi !

Widergänger dit: à

Passou dit: 1 juillet 2018 à 16 h 01 min
Combien ?
Oui, c’est une vraie question ! Mais c’est vous qui avez la réponse, pas moi !

Jean-Claude Goering dit: à

Rendons hommage au Connétable Assouline qui ne censure qu’au dernier moment, faisant confiance au discernement des membres du Select Club RDL, souvent blanchi sous le harnois !

Tant de cons nous influencent outside !

Passou, lui, fait appel à la lucidité, tolère les faux pas, gère humainement son bac à sable d’or ….

Seigneur, protégez notre seigneur des castrateurs imbéciles !

Widergänger dit: à

Sais-tu que deux vieux fidèles de la RDL, commentateurs quasi quotidiens, ont vu leur adresse et leur IP rajoutés à la liste noire ces derniers temps ?
____________________
C’est très bien. Je m’en félicite.

Mais on ne sait pas. Vous devriez adopter une procédure d’alerte pour prévenir les gens qu’ils dépasse la ligne rouge. C’est insupportable d’être obligé de se battre comme un diable dans un bénitier pour défendre ce qui ne devrait jamais avoir besoin d’être défendu dans un monde sain d’esprit.

Widergänger dit: à

christiane dit: 1 juillet 2018 à 15 h 55 min
Ça va pas non ! Je ne vous ai jamais accusé d’antisémitisme. Faut vous faire soigner.

Je n’ai aucun esprit de supériorité. Je critique la bêtise avec virulence, c’est tout autre chose. Et je la critiquerai que ça vous plaise ou non. Vous faites des contre-sens sans arrêt quand vous me lisez les commentaires, j’y peux rien. Dites des choses intelligentes comme ça vous arrive de temps en temps et vous n’aurez jamais à lire de ma part la moindre critique, au contraire. Il nous arrive parfois d’échanger quelques amabilité quand vous êtes bien lunée. Mais comme je crains vos sautes d’humeur et vos contre-sens, je m’abstiens de commenter vos propos la plupart du temps.

Jean-Claude Goering dit: à

Pierre Assouline est profondément humain ! Il connait ma souffrance de porter des gênes, et le nom d’Hermann Goering, mon cher papa !

Je suis ici comme l’autre qui s’allongeait chez Lacan et racontait sa saison en papier relié : pour me délivrer d’une malédiction nationale et socialiste qui me ronge trouble mon esprit et m’empêche de vivre la vie confortable d’un bisounours crétin ….

Lacenaire dit: à

Et JC, pauvre bisounours crétin, passe au travers des mailles du filet ; comprenne qui pourra, me souffle Arnold émoustillé

P. comme Paris dit: à

Les sautes d’humeur et WGG,
du pur Kyravi*****.
!-!.

Jean-Claude Goering dit: à

Tiens ? Un peu après l’heure du thé arrive le fada de service….

Passou dit: à

Mais WGG, c’est vous qui avez écrit à propos de ce blog  » Se faire du fric sur le dos des antisémites, c’est le pied, non ? » donc vous devez savoir avant d’écrire une telle immondice ce qu’il rapporte et surtout ce qu’il coûte de tenir depuis près de quinze ans un tel blog en accès libre et gratuit

christiane dit: à

Dites donc, relisez-vous !
Widergänger dit: 1 juillet 2018 à 15 h 13 min
Mais comme vous n’avez guère le sens des nuances ni l’intelligence pour ls comprendre, vous participz vous-même de cette hystérie antisémite qui s’est installée sur ce blog depuis quelque temps et qui a fait passer les esprit faible comme chaloux de la menace à l’exécution ! Vous êtes complètement irresponsable. »
Et puis, vous me fatiguez avec votre mépris. que voulez-vous je ne suis pas assez intelligente et vous le phénix de ces bois.
Allez au diable.

christiane dit: à

@Janssen J-J dit: 30 juin 2018 à 9 h 38 min
Je commence le roman de Yoko Ogawa.

Jean-Claude Goering dit: à

Cher Passou,

De même qu’il y a eu une libération sexuelle dans ces années finales des Septante, nous vivons en ce moment une merveilleuse période d’excitation expressive :

La libération numérique !

Ce que nous pouvons dire dans ce schéma procédural nouveau est SANS IMPORTANCE …. sans aucune importance !

closer dit: à

Marc André Hamelin coiffe l’incontournable Alicia de Larocha sur le poteau pour l’interprétation d’Iberia d’Albéniz…Très belles versions toutes le deux. Qui connaissait Hamelin ici? Chaloux, Pablo sans doute…

Widergänger dit: à

Oui, mais justement tout ça est laissé dans le mystère le plus total. On participe à la petit entreprise depuis longtemps (une dizaine d’années) sans être informé de rien.

Quand on est prêt à préfacer et publier les immondices de Céline, il ne faut pas s’étonner que les autres deviennent soupçonneux du pire. Je n’ai aucune confiance en personne.

J’imagine que les publicités qui fleurissent sur votre blog que nous faisons vivre par nos commentaires ne sont pas gratuites. Moi, je le fais vivr gratuitement depuis dix ans pour rien. Vous admettrez quand même une certaine dissymétrie dans l traitement de l’information.

Widergänger dit: à

vous participez vous-même de cette hystérie antisémite (christiane)
________
Oui, et alors ? Replacez cette phrase dans son contexte et elle aura perdu toute accusation d’antisémitisme. Je vous disais que vous flatiez chaloux qui me poursuit de sa haine jusqu’à s’en prendre à ma grand-mère, et l’autre malade de Jean. Ça n’a jamais voulu dire que vous soyez antisémite !

Widergänger dit: à

Oui, c’est un peu facile, christiane, de se défausser de toute responsabilité en envoyant les autres, qui vous critiquent, au diable !

Paul Edel dit: à

Merci Assouline pour votre réponse. Je suis en train de découvrir l’admirable travail de François Rouquet et Fabrice Virgili avec leur Folio histoire « Les Françaises,les Français et l’Epuration ». La diversité des situations (et l’empire’ colonial français) , ou des chapitres sur l »obsession montante de Vichy » sont vraiment des études impressionnantes.Beau travail .Maintenant vous avez 380 romans francais en jeux d’épreuves ou déjà reliés sur votre table en vue Goncourt . Courage et bonnes lunettes..

christiane dit: à

@Widergänger dit: 1 juillet 2018 à 18 h 33 min
C’est déjà mieux mais je ne flatte pas Chaloux, je l’ai remercié et lui ai dit qu’il avait su touché le cœur de Jean. On verra bien si Jean continue à déverser ici ses commentaires antisé.mites. Je ne le crois pas sans pour autant excuser ce qu’il a pu écrire.
Et puis votre grand-mère là-dedans…
Je crois que vous oubliez l’obscur, le monstrueux, l’incompréhensible, l’opaque des pulsions, la solitude qui peut conduire un être qui se sent mal aimé au mal. Vous êtes trop rationnel. Les gens ne sont pas de blanches colombes ou de sombres prédateurs, ils sont aussi vertigineusement complexes. Il suffit que la promesse d’amour initial n’ait pas été tenue, qu’ils aient été humiliés et ils basculent, deviennent des anges exterminateurs, des paumés, des salauds. Nous sommes loin de l’amour courtois et de Chrétien de Troyes. Le monde est irrationnel, particulièrement celui du net et des blogs. Jean est un personnage de l’univers métaphysique Dostoïevski.
Oui, moi aussi j’aime bien discuté avec vous de littérature mais dans les rapports humains vous avez des réactions incontrôlables.
Bon je retourne au roman que j’ai commencé sur les conseils de JJJ.

christiane dit: à

toucher

christiane dit: à

discuter

Widergänger dit: à

Mais non ! Je suis très contrôlable. Je suis professeur, donc contrôlable parce qu’en permanence contrôlé. Faut bien vous mettre ça dans le crâne.

C’est un peu facile de toujours accuser son chien de la rage !

Widergänger dit: à

Et le monde n’est pas du tout irrationnel. C’est vous et d’autres qui le rendez dingue. Et le pire, c’est que vous ne vous en rendez même pas compte. Mais le monde social des hommes est rationnel s’ils le veulent bien.

L’irrationnel c’est autre chose, c’est l’inconscient, c’est le monde des dieux, c’est la tragédie d’Eschyle, de Sophocle, ou d’Euripide. Il ne devrait pas y avoir d’irrationnalité sur un blog. L’irrationnalité naît d’un manque d’information, d’incompréhension réciproque, de contre-sens de lecture, résultats de la puissance du désir.

Mais vous comprendrez aisément que dès l’instant où on touche à ma grand-mère, je devienne furieux.

Widergänger dit: à

Ici, on est sur un blog, une plateforme d’échanges à propos de la littérature et de ce qui y touche. Il n’y a pas d’ange exterminateur. On n’est pas à Auschwitz, ok ! Raison garder.

closer dit: à

 » Moi, je le fais vivre gratuitement depuis dix ans pour rien. »

C’est vrai WG, c’est profondément injuste. Toute peine mérite salaire. Donne nous tes coordonnées bancaires, nous t’enverrons des sous pour rémunérer ton travail depuis dix ans. Je suis prêt personnellement à envoyer un euro, voire un euro cinquante. Le riche Passou enverra beaucoup plus.

Tu pourras te payer un été à Sitges ou à Kiev.

Widergänger dit: à

Et Jean n’a rien à voir avec Dostoïevsky. Vous êtes comme Madame Bovary, vous lisez trop sans rien comprendre. Pauvre Dostoïevsky ! Que ne lui met-on sur le dos ! Jean est simplement un petit con, un provocateur débile. Bon vent ! Il aurait voulu saccager le blog à Passou qu’il ne s’y serait pas pris autrement. Et vous, vous tombez dans le panneau. Faut réfléchir avant d’agir !

Janssen J-J dit: à

En effet, CH., je vous avais lu un peu trop rapidement, cela m’avait étonné. Mille excuses. On devient un peu oufs sur cette chaine. Je suis impressionné par la réponse de Passoul aux erdéliens. Et rassuré. 2e excuse et remerciement à lui.
Contrairement à ce que pense JC,… il y a des gens qui se délectent de la « non importance de la libération numérique » (sic). Tu viendras pas chialer quand le bâton te sera retourné dans la tronche, tel le blacklisté qui l’avait bien cherché depuis des plombes.

Widergänger dit: à

Pour Sitgès, t’es encore loin du compte ! Et Kiev, c’est trop dangereux, ce n’est pas une ville pour les touristes, trop de voleurs dans la rue. Ils s’y sont mis à trois pour m’accoster dont un déguisé en flic. Heureusement mon porte-feuille était quasiment vide, et au vu et nez de tout le monde. Je n’ai rien pu faire. Ils ne m’ont pris que cinquante euros. Mais quelques jours auparavant, comme le système de carte bleue ne fonctionne pas dans l’hôtel où j’étais, j’avais tout mon fric en liquide sur moi. Mais à Sitgès faut faire gaffe aussi, j’ai failli me faire piquer mon porte-feuille dans le train juste en sortant de l’aéroport pour m’y rendre. Heureusement un jeune homme a vu le volur opérer à temps. Ce qui m’a permis de parler un peu en espagnol pour le remercier. Mais à Barcelone sur la Rembla, faut faire très gaffe aussi.

Chaloux dit: à

J’aimerais bien que l’on me trouve ici une phrase écrite depuis dix ans qui puisse me faire soupçonner de la moindre velléité d’antisémitisme, de racisme, etc. C’est un plaisanterie.
Mais le menteur professionnel commence à avoir chaud aux mi.ches. Je peux le comprendre.

Pour Gigi la vis.queuse, qui fabrique des mots d’esprit avec ses écou.lements, visiblement très abondants, qu’elle ne compte pas sur moi pour ramasser. Je la laisse à ses fla.ques.

Quant à Larrocha, je ne vois pas qui pourrait la coiffer sur la musique espagnole et au-delà. Sonorité, sens de l’accentuation, legato, interprétation etc. En tout cas certainement pas Hamelin qui est, si l’on veut, un phénomène technique, mais que je n’ai jamais entendu aller au-delà.

Pierre Assouline, est-ce que Pablo est interdit?

Levaillant est un grand commentateur littéraire dont il convient de célébrer la mémoire.

Jean-Claude Goering dit: à

Gigi devient folle !

Hélas ! il y a des suites logiques à l’irrationnel manipulé avec des mains sales….

Jean-Claude Goering dit: à

Concluons sur une réalité incontournable. Lorsqu’on est pas juif, en bon goy, on se fout des problèmes juifs.

A aucun moment, la Shoah n’a pesé sur ma vie….

Les autres génocides, massacres, épurations ethniques ta mère, ne m’ont jamais éloigné de mes études et de mes objectifs : m’amuser avec ce cadeau extraordinaire, vivre, penser, boire, bouffer et baiser, que je m’efforce de gaspiller du mieux possible !…

closer dit: à

Quand je dis que Hamelin a « coiffé » Alicia, c’est le verdict final de la Tribune acquis de justesse…Je ne l’ai pas écoutée suffisamment pour me prononcer sur l’ensemble. Néanmoins, je dois reconnaître que l’extrait passé à la fin, joué par Hamelin, était très beau…

Chaloux dit: à

Closer, la tribune c’est bien quand on ne connait pas la clef de sol. Par-delà, beaucoup moins.

closer dit: à

« Evasion spectaculaire du braqueur Redoine Faïd d’une prison de Seine-et-Marne 23
L’opération « de quelques minutes » par hélicoptère n’a fait aucun blessé au sein de la prison, selon l’administration pénitentiaire. »

Ya eu aucun blessé, ah ben on est content!
Beloubet devrait être virée illico…

Ahurissant.

christiane dit: à

W. – 19h40
« Ange exterminateur » – je pensais à Luis Buñuel (incapacité de sortir d’un enfermement. Pulsion de mort qui anéantit le temps . Vernis se fendillant pour laisser apparaitre la barbarie)

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…quand, les gens, n’existent plus,…

…les seuls gens, qu’on rencontrent, des simulacres d’humains, tout juste des  » robots « ,…
…la gâchette sur la langue,  » intelligence service « ,…tous à leurs  » micro et portable « ,…à la chasse au naturel,…
…toutes les relations, à des jeux et critères de robots de putes,…

…la vie de châteaux, rester avec soit-même,…etc,..

Chaloux dit: à

Quant à Boucheron, il faut lire ce qu’en a écrit, entre autres historiens, Pierre Nora. Je ne vois pas ce qu’il y a de réactionnaire dans ce débat. Et s’il n’y avait que de petits réactionnaires face à d’immenses progressistes, cela se saurait. A moins d’être déjà en chemin vers le cime.tière avec des préjugés vieux de quarante ans qui nous ont menés là où nous sommes, il y a aussi matière à de plus sérieuses interrogations.

Janssen J-J dit: à

@ Pour Gigi la visqueuse, qui fabrique des mots d’esprit avec ses écoulements, visiblement très abondants, qu’elle ne compte pas sur moi pour ramasser …

Pas me genre. Tais-toi dhond, pauv’tache… bien pâle copie de ton doub’, sans arriver à la ch’ville de ton « menteur professionnel ». Songe d’abord à te laver de tes insultes qui masquent mal ton antisémitisme larvé, t’es tombé bin bas, et j’sais pas si tu vas pouvoir t’en relever. On va dire que t’es qu’une ordure sucrée. Ça te va, chachale ? Paux guère faire mieux.

Passou dit: à

WGG : » J’imagine que les publicités qui fleurissent sur votre blog que nous faisons vivre par nos commentaires ne sont pas gratuites. Moi, je le fais vivr gratuitement depuis dix ans pour rien. Vous admettrez quand même une certaine dissymétrie dans l traitement de l’information »

A hurler de rire, WGG. La majorité des lecteurs de ce blog ignorent les commentaires, mettez-le vous bien dans le crâne. Vous ne faites rien vivre du tout. A en juger par certains courriels de lecteurs égarés dans l’espace du commentarium, vos billets les feraient plutôt fuir parfois par leur violence gratuite et vos insultes. Donc pour reprendre votre logique, je serais plutôt fondé à vous réclamer des dommages et intérêts !

A part ça, non Pablo 75 n’est certainement pas interdit de blog, au contraire, il est toujours le bienvenu

Chaloux dit: à

Là encore, il faudrait lire Compagnon.

Chaloux dit: à

Pierre Assouline, merci de votre réponse.

Chaloux dit: à

Le Blabla est décidément impayable.
Heureusement, les vacances arrivent, de quoi s’aérer les Rois de la vie, les trois mages, le cœur, l’âme, l’esprit.

Petit Rappel dit: à

oh dur!

Petit Rappel dit: à

ceci pour 20H 53.

Widergänger dit: à

Chaloux dit: 1 juillet 2018 à 20 h 03 min
J’aimerais bien que l’on me trouve ici une phrase écrite depuis dix ans qui puisse me faire soupçonner de la moindre velléité d’antisémitisme, de racisme, etc. C’est un plaisanterie.
Mais le menteur professionnel commence à avoir chaud aux mi.ches. Je peux le comprendre.
__________________________
ST-CE QUE CE CORNARD VA CONTINUER ENCORE LONGTEMPS À ME FAIRE CHHIER AVEC MA GRAND-MÈRE ???????????????????????????????

JE COMMENCE À EN AVOIR PLUS QU’ASSEZ DE CET IMMONDE SALOPARD.

Widergänger dit: à

Passou dit: 1 juillet 2018 à 20 h 53 min

Pourquoi alors avoir publié un livre sur votre blog avec nos commentaires si ce n’est pas pour vous faire de la publicité sur notre dos ? Car vous n’allez quand même pas nous fair croir que c’était pour nos beaux yeux…

Que les commentaires ne soient pas lus, j’en suis prsuadé depuis longtemps. Mais votre blog sans commentaires ne seraient pas un blog.

Widergänger dit: à

Il n’y a aucun violence gratuite de ma part sur ce blog. Ma violnce n’est que la réponse de celle qu’on m’inflige. Vous êtes malhonnête. Vous n’avez qu’à reprendre les fils ds commentaires pour vous en assurer. Je vous trouve sacrément gonflé de me dire ça !

Chaloux dit: à

Gigi, pauvre amas de sa.nie, et son style aux relents de vie.ux pan.sement. Il n’est pas raisonnable de s’exhiber ainsi.

Blabla, je veux juste savoir si tu as dit la vérité, et jusqu’où tu es capable de mentir. Vuider d’affaire, comme dirait molière. Sache également que j’ai mis un de mes meilleurs amis, digne représentant de la bonne noblesse de province, grand spécialiste en héraldique et généalogie, sur les traces de ta famille périgourdine. La rentrée -disons aux alentours de novembre- risque d’être assez amusante.

Widergänger dit: à

En tout, Assoulin, je dois vous dir qu vous avez bien changé dpuis que vous avz publié le livre sur votr Rdl, où vous ensenciez les intrvnants du blog dans un préface dithyrambique… Aujourd’hui, vous ^ts à lur cracher dessus; belle mentalité, belle évolution en l’espace de dix ans.

Je vous l’ai déjà dit, je viens ici pour parler de littérature, le reste je m’en fous. Je pux très bien me passer du blog. Je l’avais d’ailleurs quitté. C’est vous qui êtes venu me relancer quand j’étais en vacances en Italie à Naples. Étais-je donc alors si indispensable à votre blog ? pour en relever le niveau??? Vous êtes pour le moins un homme fort ambigu.

Janssen J-J dit: à

chachale, tu n’es vraiment pas raisonnab’ sous ton onctuosité baveuse. Continue à faire enrager ton pote, t’es guère bon qu’à ça, apparemment. Tes sbires ont pas vraiment l’air d’avoir été très efficaces jusqu’à présent, ni à Kiev, ni à Janson, ni en Périgord, ni au mémorial… T’aurais pas un truc qui cloche du côté du cortex gauche et d’la main droite, par hasard ? Je peux te filer de meilleures adresses d’agences de détectives privés, un petit monde que je connais bien, sûr… Et pi, waldène cherche à se recycler dans ce domaine, rends lui au moins service, toi qu’es si délicat avec les dames.

Widergänger dit: à

C’est toi qui es comique par ton obstination et ta bêtise. Tu pux aller voir dans ls archivs du Mémorial si le parchemin n’y est pas. C’est moi, avec l’autorisation écrit de ma mère qui a n fait don au Mémorial avec tous les papiers d ma grand-mère t de mon grand-père. C’st accessible aux chercheurs, tu pux aller fouiner. Mais je prévindrai le Mémorial que tu es un homme dangereux pour ces documents. Déjà mon grand-frère voulaient les reprendre, le Mémorial a failli fairt intervenir son avocat.

T’es simplmnt une énorme merde; une crevure ; tu mérites simplement une bonne raclée.

Chaloux dit: à

La question n’est pas là, Blabla, tu l’as très bien compris. Si tu as dit vrai, je le dirai. Attenter à des documents, pour qui me prends-tu?
Mais le fait que tu détournes sans cesse la question que je me pose (antisémitisme, destruction de documents etc.) tendrait à me faire croire que mon intuition ne me trompe pas.
Quant à toi, ma pauvre Gigi, tu es tellement mi.nable, violent quand tu t’adresses aux femmes, quelconque et ver.beux que cela décourage la réponse. Tu dois être un cousin de bouguereau, et franchement je me suis assez amusé avec la famille. Lâche-moi un peu les baskets.

Widergänger dit: à

Tas juste l’intuition que ton crâne d’œuf t’autorise à avoir, c’est-à-dire le degré zéro de l’intellignce. T’es just un cinglé sorti de l’asile, ou bon à enfermer.

Chaloux dit: à

« tu mérites simplement une bonne raclée ».

Je t’en prie. Après toi. Malheureusement, je pars demain matin, mais reparlons-en dès mon retour! (Sache tout de même que je ne mesure pas 162 cm et que je n’ai pas 63 ans).

Widergänger dit: à

David contre Goliath… Pauvre cornard !

Jean dit: à

Jean-Claude Goering (20h12)

J’aurais pu signer ce post sans rien y changer !

Jean dit: à

Que les commentaires ne soient pas lus, j’en suis prsuadé depuis longtemps. (Widergänger)

Si j’en juge par les réactions furibardes qu’ont suscitées quelques uns de mes commentaires, pourtant bien anodins, ils sont bel et bien lus.

Chaloux dit: à

Blabla :« C’est vous qui êtes venu me relancer quand j’étais en vacances en Italie à Google-Naples. »

C’est vrai?

Jean dit: à

A propos de retour obsessionnel au nazisme et à ce qui s’en est suivi, vu à la télévision quelques moments d’une mise en scène particulièrement crétine du « Macbett » de Verdi, où tous les personnages étaient fringués dans des tenues de SS ou de gestapistes noir c’est noir. C’était d’un lourdingue achevé, et ça tuait complètement la poésie de la musique de cet admirable opéra.

Delaporte dit: à

« Donc pour reprendre votre logique, je serais plutôt fondé à vous réclamer des dommages et intérêts ! »

C’est pas faux du tout, quand on pense à la contre-publicité permanente qu’est wgg.

Delaporte dit: à

« Voir Delaporte, auteur de cette faute ÉNORME. »

Si j’avais à plaider devant un tribunal, au moins je prétendrais que je l’ai fait exprès…

Chaloux dit: à

« David contre Goliath… Pauvre cornard ! »

Seul, Hic, Blabla, je ne peux pas te garantir que tu auras toujours, après l’opération, la si curieuse face de mér.ou que tu arbores aujourd’hui.

Et si tu devenais… beau…

Delaporte dit: à

C’est presque aussi drôle que l’invention de Ed sur un certain « George Perrec » !

Chaloux dit: à

Ne te justifie pas, Jean. Il y a toujours eu en toi un expressionniste effréné et légèrement abusif.

Widergänger dit: à

Bien sûr que c’est vrai, cornard ! T’as qu’à le lui demander ! Ça devait être en 2012.

Et toi, immonde fumier, que n’as-tu pas écrit à ce sujet comme insanité à mon égard !

T’es une grosse et immonde merde ! Et Assouline s’est d’ailleurs bien gardé de le dire et de répondre à tes ignominies me laissant sous la pluie de tes ordures ! Et il vient ensuite dire que c’est moi qui profère des insultes… Il manque pas de culot ! Un arrogance sans nom, de petite caste du 16ème arrondissement.

Chaloux dit: à

sous la pluie de tes ordures !

Comme c’est joli. On dirait du Verlaine.

Je te fais faire de grands progrès.

Chaloux dit: à

Pauvre Gigi, ta molle nullité, ton esprit de câpre, me feraient croire que ta maman t’a fait beaucoup de mal. Et quelles références… Magistral… dans le genre derniers soins…

Jean dit: à

Ne te justifie pas, Jean. Il y a toujours eu en toi un expressionniste effréné et légèrement abusif (Chaloux)

Euh… Dans le genre expressionniste, ne trouves-tu pas que Widergänger me laisse loin derrière ?

Du coup, me voilà plongé dans le catalogue de l’expo Emil Nolde au Grand Palais. Quelle puissance, ma doué, et quelle poésie ! Vive l’expressionnisme !

Widergänger dit: à

Pauvre merde !

Chaloux dit: à

Ne compare pas, Jean, tu as beaucoup plus de talent et de suite dans les idées que ce poisson de vase qui n’est pas fou.tu d’aligner trois pages qui se suivent. Tes blogs le prouvent.

Chaloux dit: à

Blabla : »Pauvre merde ! »

Là, tu t’approche vertigineusement de Rimbaud. Imagine, si tu ne m’avais rencontré, tu serais demeuré (c’est le mot) une pauvre face de pion de collège. Et là, tu touches au génie!
Réjouis-toi!

Jean dit: à

“I don’t think we can have a good society if we don’t have good poetry.” —Octavio Paz

Octavio Paz semble se faire quelques illusions sur la capacité de la poésie à changer le monde.

Chaloux dit: à

approches

Jean dit: à

Blabla : »Pauvre merde ! »

Là, tu t’approche vertigineusement de Rimbaud. (Chaloux)

Mais il reste très en-dessous de Jarry.

Chaloux dit: à

… Et quand il aligne trois pages, il y en a deux qui ne sont pas de lui…

(c’est la mère Ubu!).

Janssen J-J dit: à

fruit sec…, tu as trop fréquenté les moralistes aux pusses, ton style s’en est empoussiéré. Muse toi bien, chachale.

Jean dit: à

Quand je regarde cette photo de Michon et de ses deux compères dans « Godot », et que je la confronte avec les extraordinaires figures d’Emil Nolde, je constate que, sauf dans de très rares cas, l’art de transformer l’acteur de théâtre par le maquillage et le costume est resté très en-deçà de ce qu’une telle peinture est capable d’inventer.

Janssen J-J dit: à

un nouveau coupl’ de substitution est né ce soir : jean-brun et chachale. C’était inévitab’ après le silence de pablito57. Et plus personne pour venir en aide à lvdb, ed et gwg. Quelles bérézinades à l’aube de leurs vacances.

Chaloux dit: à

Toi, Gigi, tu as trop fréquenté ta maman. D’où ce style de vieillard-bébé dont, tout comme ce pauvre bouguereau, tu ne saurais te défaire.

Les fruits secs, c’est très bon pour la santé.
Ou on se dessèche ou on pour.rit disait Sainte Beuve. Je me dessèche et tu pour.ris.

Je ne t’envie pas.

Chaloux dit: à

Quand on a bien serré son style, on peut le desserrer.

Chaloux dit: à

« un nouveau coupl’ de substitution est né ce soir  »

Le moins qu’on puisse dire, c’est que tu as manqué le début… Abonne-toi à télé 7 jours…

Janssen J-J dit: à

Toi, chachale, tu as trop fréquenté ton papa. Mais l’est pu là pour te guider, tu le cherches et tu trouves puk le vieux gwg et la jeune Ed pour baliser ta pauvre errance aux pusses. c triss.

Janssen J-J dit: à

Ste Beuve pour un bon mot, ast’heure !…
Quelle caution culturelle, nom de dieu ! la puissance du Calgon littéraire au service de vos sols ! A quand du Nab Anatole France pour se désinfecter la cervelle de tout ce fatras ?

Chaloux dit: à

Oublié de vous dire, que je suis allé sur le site de Gallimard, lire les premières pages du roman (en fait une grosse nouvelle de 110 pages imprimées bien large, -selon Blabla un chef-d’œuvre.
Un chef d’œuvre d’une nullité qui fait pitié, aussi pu.ant que le reste.
A propos de cette femme superbe que le narrateur fait jou.ir comme un dieu :

« Elle vient chez moi pour l’amour, c’est elle qui fixe les rendez-vous, j’ai le divan élargi qu’il faut, elle sait pourquoi et comment elle jouit, c’est rare, et encore le rêve ».

C’est vrai que c’est rare. Il faut dire qu’on se demande un peu à quoi ça sert. A mon âge, qui n’est pas encore canonique mais qui tout de même avance, j’avoue que je ne sais pas toujours comment et pourquoi je jou.is.
Mais là, je ne jou.is pas.
Je rigole, en pensant à ce corniaud déposant ses 110 lamentables pages qui se vendront à peine à 110 exemplaires, sur le bureau de son éditeur.
Aussi en pensant à la tête de Brotin-le-petit, recevant la chose avec le sourire et se disant en lui-même:
– M…, encore un…

Le chapitre aimablement mis à la disposition des populations se termine ainsi:

Il y a dix ans, un cercle de psychanalystes m’a invité à parler. Elle était là, et, d’instinct, on a continué par un verre en tête à tête. La suite a été un rêve, et un rêve qui dure, c’est quand même spécial.

Oui, en somme. C’est comme un cauchemar qui dure. Un néant qui dure. C’est quand même spécial.

Chaloux dit: à

Arrête-toi là, Gigi. Si ta pro.state te laisse un peu en paix, si ça se trouve, tu as encore le temps de te forger un style de grand garçon.

Chaloux dit: à

Du roman de Sollers, ça va de soi.

Delaporte dit: à

Sollers a été abominable dès son roman Femmes, roman misogyne et haineux de l’humanité. Une pensée égoïste, réactionnaire, narcissique s’étalait sans vergogne et donnait déjà envie de vomir. Aucune qualité littéraire, et une plaisanterie qui fit long feu : Sollers écrivain.

Delaporte dit: à

Barthes, pour renvoyer l’ascenseur, a écrit un volume rhétorique sur Sollers, Sollers écrivain. Il aurait tout aussi bien pu écrire sur sa vieille chaussette. Après tout, Diderot n’a-t-il pas écrit un texte fameux sur sa vieille robe de chambre ?

Delaporte dit: à

Tout cela, qui vient d’une époque lointaine, se survit à soi-même de manière lamentable, avec l’appui des journalistes et de la presse putride, en retard d’au moins TROIS générations. Mgr Vingt-Trois aurait dit 23 !

Delaporte dit: à

Barthes ne trouvait pas Sollers sympathique. Il a beaucoup souffert lors du voyage de Tel Quel en Chine, chez Mao. Barthes y décrit un Sollers insupportable, riant bêtement et se croyant intelligent. Cela est à mettre en parallèle avec la découverte de Barthes là-bas : les Chinois n’ont pas de zizi !

Delaporte dit: à

Dans son roman Femmes, Sollers trace un portrait ignoble de Barthes. Car en plus d’être misogyne, Sollers est homophobe !

Chaloux dit: à

Barthes n’a pas écrit de livre sur Sollers. Sollers a réuni en un minuscule volume, après la mort de Barthes, les articles que celui-ci lui avait consacrés. Il y a un « Apostrophes » hilarant dans lequel Robbe-Grillet, sous le nez de Sollers furax, en fait la remarque, répondant à Pivot qui vient de lui dire : Barthes ne vous a pas consacré de livre.
Robbe-Grillet y parle d’opuscule.

Delaporte dit: à

Le Seuil a publié « Sollers écrivain » en 1979. Rappelons que Barthes est mort le 26 mars 1980 à Paris. Barthes avait donc sans aucun conteste donné son accord pour ce « livre ». Je n’en sais pas plus, mais j’imagine que Barthes a dû bien rigoler…

Delaporte dit: à

Et Sollers a apprécié ce système qui consistait à publier des « non-livres ». Il en a abusé jusqu’à aujourd’hui…

Delaporte dit: à

C’est normal. Que peut bien publier un non-écrivain sinon des non-livres, afin de faire triompher l’anti-esprit et la non-littérature ???

Chaloux dit: à

Avant, après, peu importe, c’est à l’initiative de Sollers, qui ne proteste pas quand Robbe-Grillet le dit.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…en tout cas, il nous faut, sortir nos épingles du jeux,…en  » catimini « ,…

…la faute à qui,… » tout vas très bien, madame, la marquise,….si, ce n’est,… »,…

…la solidarité entre  » banques « , toutes pareilles,..

…codes et déontologies, pour les nuls,…

…avec, mes petits riens, tout avance,…
…conclusions, l’argent des autres, pour en criminaliser, du monde,…
…vivre, et savoir, jamais assez,!…

…les liens, à ses gages, ses richesses de musées,…en stock,…l’industrie, et sa bibliothèque personnelle, çà se construit, avec, un taux, invulnérabilité,…

…inutile,de s’envoler,…pour en être, la proie, de tirs croisés, en exercices,…

…la sécurité, d’industries, aucune, pour ne pas, se coller, des actionnaires ruffians,…

…des cowboys, pour rien,…
…faite le vous même, vos besoins,…aux papiers fiduciaires, grosses coupures,…
…les bijoux bien, trempées,…etc,…
…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…

Jean-Claude Goering dit: à

On ne m’ôtera pas de l’idée que la libération numérique est une chance inouïe pour la liberté d’expression, excès compris.

La preuve ? Le discours des bisounours de salon qui n’acceptent pas la démultiplication des propos, souvent outranciers, souvent largement au delà du « bien élevé bourgeois »… Castrés castrateurs !

Il est important de rire de tout, sans réserve, sans codification imposée par des révolutionnaires de pacotille qui nous diraient, pompeux, pompants, où est le bien où est le mal !

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…non, mêmes des affabulations, non,…

…rien, ne laisser, aucune trace, de son imagination,…

…rien,…écrire, des nouilles, tout au plus,…etc,…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…la société, à ses  » Opus Dei « ,…quels veinards, suivez les guides,…a ces fureurs,!…Ah,!Ah,!…

…des comptes, pour les nuls, pourvu, que dure, les commandes sur internet, » sécurité « ,…des images, et des produits, sans stock,…vendre, du vent,…
…entre clochers,…etc,…

Jean-Claude Goering dit: à

« Aux petites gens, les petites choses sont grandes … »

renato dit: à

Ferruccio Busoni,
Métamorphoses de Chopin
— La carrière du virtuose —

Pour commencer, l’horaire des trains. S’y retrouver. Le voilà, enfin : page cent trois.
Pas de correspondance. La liaison est-elle donc impossible? Pas de wagon-lit? Amen, ça ne fait rien.
Ensommeillé et transi, j’arrive à onze heures. Un type est là : « La répétition attend ».
« Je n’ai pas encore pris mon petit-déjeuner ». Il me répond : « Désolé, la répétition est publique ».

Allons-y, donc. Je cours hors de l’hôtel, l’adjoint me reçoit sur un ton aigre-doux : « Vous êtes en peu en retard ! Mademoiselle a chanté ses morceaux depuis un moment déjà ».
Je me précipite au piano. Mes habits de voyage, je les porte encore. Mes mains sont froides.
Maintenant, c’est fait. Malheureusement, le critique était là : trop vieux pour sortir le soir.
Qu’importe si le soir ça fonctionne à merveille ? La critique se fait à partir de la répétition.
Seulement, pas de bis, car il est déjà tard et la gare assez loin. Encore trempé, j’atteins mon coupé.
« Messieurs, en voiture ! » et le train est déjà en branle. Et encore une fois on part sans dîner, et demain matin la répétition est à dix heures.

renato dit: à

« Faut être un triple con comme renato pour aller penser que le pouvoir serait incapable de réfléchir à la violence ! Il ne fait que ça, le pouvoir ! pour s’en prémunir, se sachant précaire, incertain et fragile. Il verrait, ce pauvre imbécile, s’il n sait pas réfléchir à la violence s’il y avait un soulèvement populaire contre le cyniques qui nous gouvernent. »

Merci pour le con, venant de vous c’est un compliment.

Cela dit, le pouvoir pratique la violence, mais il est incapable de conduire une réflexion sur la violence. Puis, vous pensez ce que bon vous semble, heureusement vos opinions laissent le temps qu’elle trouvent.

renato dit: à

Si quelqu’un ne veut pas voir la publicité il peut installer Adblock plus !

Jean dit: à

Il est important de rire de tout, sans réserve, sans codification imposée par des révolutionnaires de pacotille qui nous diraient, pompeux, pompants, où est le bien où est le mal ! (Jean-Claude Goering)

Décidément, les interventions de JC Goering suscitent de ma part une adhésion sans réserve.

Jean dit: à

Décidément, les interventions de JC Goering suscitent de ma part une adhésion sans réserve. (moi)

Une petite réserve tout de même : à « rire DE tout sans réserve », je préférerais un simple « rire sans réserve ».

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…un manque de boureaux ,!…avisés notoires,…

…non, pas, des J.C.,…des Zorro,…de romans,…
…à laisser, faire, des disproportions du capitalisme, à couper, ces têtes,…

…c’est trop, flagrant, la mise, à mort, de ce système,…qui privilégie la seule richesse, aux détriments, du salut public,…

…tout les responsables actuels, qui s’enrichissent, sans la nécessité absolue, pour vivre,…la mise à mort légale obligatoire,…Juda et les banquiers compris avec,…

…des emplois, des places libres pour ces bourreaux, illico-presto,….
…du tac, au toc,!…suivant,!…

Janssen J-J dit: à

… ce matin, le très fin Bernard Guetta a fait ses adieux à france inter. Expliquait ne plus rien comprendre à la géopolitique d’un monde qu’il fallait entièrement repenser.
Heureusement qu’icite, beaucoup savent quoi en dire, hein… des intelligences supérieures.
https://www.franceinter.fr/emissions/geopolitique/geopolitique-02-juillet-2018
BJ à toussent, chachal et wiwi surtout.

Giovanni Sant'Angelo dit: à

…pour en préserver, la dignité humaine, dans sa fange, les Dieux, même s’ils existent, n’en feront, rien,…
…c’est aux hommes, d’être des hommes, dans toutes les vacuités, des destins,…

…les dieux, ne bougeront, aucun doigt,…

…vivent,les dieux, plus fainéants que les hommes, etc,…
…et, mon pied au cul,…

Janssen J-J dit: à

Bonjour GS’A, zêts en forme, ce matin. Pensez-vous que les dieux savent où va s’échouer notre monde ? Est-il préférab’ de leur botter le cul, plutôt que de le leur demander ?

closer dit: à

Voilà un témoignage qui va intéresser WG en particulier:

« « J’ai été inspectée en ce début juin, pour un rendez-vous de carrière, la mission centrale des Inspecteurs dans le cadre des PPCR (Parcours Professionnels, Carrières et Rémunérations), dans une REP difficile, avec des 5e qu’il m’aura fallu canaliser durant 10 mois, avec lesquels (pour les 2/3 d’entre eux) j’ai dû batailler pour obtenir un « bonjour », « au revoir », pour qu’ils aient une feuille et un stylo, pour qu’ils daignent prendre ledit stylo pour écrire sur ladite feuille, dont les copies, quand elles ne sont pas blanches, ressemblent à des gribouillis d’enfants de 7 ans (et encore) n’offrant ni majuscule, ni ponctuation, et dont les mots s’enchaînent sans cohérence.
Je croyais avoir bien fait mon travail, et puis…
L’inspecteur, grisonnant et jovial, me rassure dès son arrivée, et m’assure qu’il est là pour conseiller et aider les professeurs à s’améliorer, certainement pas pour « casser ».
J’ai choisi de faire cette heure de cours sur la distinction entre les propositions indépendantes et subordonnées.

A lire aussi: Brighelli, une classe de sixième et les ayatollahs de la salle des profs

Mon Power Point est au poil et les exercices progressifs. La veille, nous avions, à base d’observations, écrit l’introduction du cours et défini ce qu’était une proposition. Je démarre donc par quelques rappels en les faisant pratiquer au tableau. Ils ont retenu. Victoire.
Le cours se déroule dans un grand calme… ils ont fini, au fil de l’année par comprendre que travailler se faisait dans l’écoute. Ils participent, lèvent la main, vont au tableau, et apprennent à comprendre l’enjeu d’une proposition, et à les analyser avec rigueur. Ils ont compris. Et en plus, ils se comportent comme des élèves modèles, chose rare que je ne savoure que depuis un mois ou deux.
Durant les exercices en autonomie, je circule pour aider les élèves. L’inspecteur aussi. (???)
Je donne quelques applications à terminer pour le lendemain, qui me permettront de passer à des exercices plus complexes d’écriture.
L’envie d’exploser de rire et de fondre en larmes
L’entretien peut ensuite démarrer avec ce bonhomme enthousiaste, qui a bien meilleure mine que moi — je me fais la remarque intérieure que nous n’avons clairement pas passé la même année. Je suis éreintée, et je lui dis dans le couloir qui nous mène au bureau de l’entretien.
Cet entretien sera une véritable épreuve pour moi. Tout du long, j’oscillerai entre la stupéfaction, l’envie d’exploser de rire et de fondre en larmes en même temps de désespoir. Comment a-t-on pu en arriver là ?
« Commençons par parler de votre cours en lui-même »… La première partie de mon cours sur le repérage des propositions, et la compréhension d’une « indépendante » était lourde et peu utile. Il aurait fallu…

>>> Lisez la suite de ce témoignage sur le blog de Jean-Paul Brighelli <<<

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…J J-J, à 12 h 05,…entre hommes et dieux, c’est pas mon problème,…
…j’ai, juste, mon droit, à exister, avec les dignités, normales,…

…si j’ai des excès, elles sont à distribuer, à partir de quelles normes,…pour ne pas, les éteindre, et vivre tranquilles,…

…mais, en avoir de trop, les laisser pour quels mérites et pour qui, cet engouements aux autres en pauvreté,…
…le profit aveugle, stop, aux hémorragies sociales gratuites,…etc,…

zerbinette dit: à

Quel bien cela fait de lire Passou dit: 1 juillet 2018 à 20 h 53 min:  » pour le reste, je ne sais pas trop, je zappe de plus en plus.

Janssen J-J dit: à

@ GS’A. Merci d’avoir répondu à mes questions, je m’efforce de toujours comprendre les collègues… Et là, votre réponse est des plus lumineuses.
BJ à vous !

Janssen J-J dit: à

@ les hémorroïdes sociales gratuites (???), ça n’existe pas. Elles sont la rançon douloureuse du capitalisme constipé, à mon avis !

renato dit: à

Une participation aux bénéfices publicitaires du blog ?! et pourquoi au juste ? parce que Machin se projette dans la scène du monde comme Superstar du Commentaire ? c’est désagréable à lire, d’accord ; mais ça nous renvoie à quoi, ça ? à l’avidité ? à la vanité ? Ah ! la vanité des ratés : ils ont besoin de l’approbation sociale, mais ils n’arrivent pas à coucher sur le papier quelque chose qui vaille la peine. Les voilà donc que remplis d’aigreur, ils nous bassinent avec des approches critiques mal digérées et des exercices d’admirations aussi que de mépris mal placés. J’admets, parfois le monde met en jeu des mécanismes cruels, mais ce n’est pas une bonne excuse pour s’éloigner à chaque instant de la zone d’où sortent les œuvres. Cela étant donné, sont-ils vraiment victimes de la cruauté du monde ; ou simplement aveuglés par leur vanité, se heurtent-ils au paradoxe de vivre ? comment répondre s’ils sont infoutus de produire un livre, même mauvais ? nous pourrions nous contenter d’une bagatelle de bonne facture, parce qu’un vrai bon livre ce serait trop demander ; mais puisque leur calebasse est constamment occupée par le souci de se persuader que dans un monde plus juste ils auraient leur chance, ils se bornent à imaginer qu’ils pourraient écrire un truc. Entre-temps nous, en voyant qu’ils dissipent le peu de talent que la nature leur a donné en se perdant en futiles constructions livresques, on se sentirait presque coupables de leur impuissance. Ici j’aurais voulu composer un flashforwards afin d’ouvrir à des possibilités — la vie : les évènements s’enchainent, l’entrainent —, pour après revenir au présent et introduire un sujet relatif aux qualités de l’écrivain, et les clichés accessoires ; mais ça aurait été superflu, car l’on peut trouver un tas d’anecdotes édifiantes dans les pages d’information culturelle des journaux. Puis je me suis dit que dans son rôle de branche sèche, la figure du Raté est un composant constitutif du déclin de la vieille Europe mourante, de son inanité ; que quelqu’un écrira un essai là-dessus — l’on écrit des essais sur tout en n’importe quoi, désormais — ; et je suis passé à autre chose.

Jean-Claude Goering dit: à

Bonne nouvelle !

Deux petits nouveaux, deux Ratés d’envergure internationale, viennent enrichir une liste déjà longue des ratés assouliniens verbeux à souhait.

Bienvenue à Gigi et renato !

renato dit: à

Tiens ! le pseudo-scientifique brait encore.

Jean-Claude Goering dit: à

Comment un Raté pourrait il susciter la colère chez un scientifique de haut rang, fierté de ses proches, gloire de son île, ami de ses banquiers, nourricier du déficit de l’Etat ?!

L’ambition chez les limaçons reste limitée…

Il nous faut néanmoins l’encourager !

renato dit: à

Si vous écrivez ça pour me vexer, le pauvret, vous portez un admirable coup d’épée dans l’eau.

Jean-Claude Goering dit: à

Je refuse de porter le moindre coup d’épée dans l’épais de la moindre bedaine !

Chaloux dit: à

« On ne badine pas avec les romans à clefs. »

Ceci me chagrine énormément. Dès mon arrivée à la campagne, dans quelques jours, j’avais l’intention d’entreprendre la rédaction d’une sorte de récit à clefs dont certains anciens ou actuels intervenants de la RDL seraient, horr.iblement, les reconnaissables serrures. J’avais même trouvé un titre : Trousseau.
Je vois qu’il va falloir que je change mon fusil d’épaule. Ah, mais je ti.rerai quand même!

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