de Pierre Assouline

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La République des livres
Totalement Woody sans en perdre Allen

Totalement Woody sans en perdre Allen

Allez savoir pourquoi ! on a toujours interrogé Woddy Allen sur ses rapports avec le cinéma, les enfants, les femmes, les enfants de ses femmes, le base-ball, les ailes de poulet mais jamais sur les relations qu’il entretenait avec la littérature. Or, bien qu’il ait toujours démenti sa réputation d’intello largement due à ses lunettes à monture épaisse, on se doute bien que l’imaginaire d’un tel artiste s’est aussi nourri de livres. Surtout lorsqu’on sait son aversion pour la réalité. Aussi en 2000 lui demandais-je un entretien à ce sujet à paraitre dans le magazine Lire.

Sa maison de production m’accorda royalement une heure lors de son passage à Paris. Passons sur ses tentatives avortées de critique littéraire :

« J’ai pris un cours de lecture rapide et lu Guerre et paix en vingt minutes : ça parle de la Russie ».

Une heure, c’est peu lorsqu’il s’agit de noircir une quinzaine de feuillets. Il me fallait trouver le moyen de vaincre sa réserve, sa timidité, son goût du retrait et d’aller directement à l’os sans passer par le gras des convenances. En chemin pour son QG parisien préféré du côté du faubourg Saint-Honoré (une suite à l’hôtel Bristol), en astiquant mon magnétophone, je me rendis compte que la cassette à l’intérieur contenait un long entretien que m’avait accordé Philip Roth à New York l’année d’avant. Or une ou deux de mes questions concernaient Woody Allen… Au vrai, j’aurais rêvé de les faire dialoguer tant ils ont de points en commun : la judéité, New York, un succès plus européen qu’américain etc ; mais justement, dans ces cas-là, ça marche rarement, les passerelles qui paraissent les plus évidentes car naturelles sautent aussitôt.

Dès que nous fûmes en présence, une assistante nous fit remarquer que nous étions habillés exactement pareils : même marques et mêmes modèles, jusqu’aux chaussettes et aux chaussures, mais pas tout à fait les mêmes couleurs. Ayant en mémoire l’une de ses réflexions métaphysiques (« J’ignore tout de l’au-delà mais j’emmènerais quand même un slip de rechange »), je craignais qu’il voulut vérifier plus avant notre incroyable concordance mais il s’en garda. La glace des présentations était rompue. Mais il fallait se dépêcher d’autant que la foule des confrères piétinait dans le couloir. Nous nous assîmes côté à côte. Je me lançai :

« Vous aimez Philip Roth ? – Bien sûr ! J’ai lu la plupart de ses livres. Pourquoi ? – Parce que lui ne vous aime pas – Ah… ».

Et j’enclenchai le magnétophone à l’endroit précis où l’écrivain m’avait parlé du cinéaste :

« Woody Allen n’existe que par la naïveté européenne. A ce stade-là ça en est touchant. Ses films sont vides, puérils… Pas le moindre embryon de pensée ni d’invention. Sa vision du milieu intellectuel est un cliché risible. Lui-même n’est pas un intellectuel mais un consommateur culturel pour la Fnac… Ne sait rien de la société qu’il évoque… Ne comprend rien à la manière dont vivent les gens car il ne les dépeints jamais… De la caricature ».

A mesure que se déroulait cette crucifixion sur canapé, Woody Allen, accablé, enfonçait sa tête dans ses épaules, triturant nerveusement un élastique ramassé sur la table jusqu’à le faire éclater à la fin. Il le prit dans le nez, ce qui le fit à peine sursauter tant il se trouvait encore dans cette torture il est vrai légèrement perverse. Il refusa de juger celui qui le jugeait, réitéra son admiration inconditionnelle pour le génie du romancier. L’entretien était lancé.

Woody Allen confia s’être mis à la lecture à son corps défendant vers l’âge de dix-sept ans, en un temps où il ne lisait que les satires tordantes de Max Schulman et les polars Mickey Spillane (on le comprend : En quatrième vitesse, grand souvenir entre autres enquêtes de Mike Hammer !) dans le seul but de séduire des femmes. Une activité doublement compulsive. C’est là qu’il s’imprégna à jamais de l’univers et de la grâce de Tchékhov, le maitre auquel il ne cessera de payer sa dette. On évoqua ce que son Intérieurs ainsi que Hannah et ses soeurs devaient aux Trois sœurs, et son September à Oncle Vania, le comique kafkaïen de ses films, la dimension borgésienne de Zelig, puis en vrac au sein de son panthéon littéraire les poèmes d’Emily Dickinson et de T.S. Eliot, le Flaubert de L’éducation sentimentale, le James Joyce d’Ulysse, Tourgueniev énormément, et naturellement Saul Bellow. Malgré cela, tous ses scénarios étant originaux, aucun de ses films n’a trouvé sa genèse dans un livre, ce qui ne l’empêche pas de devoir sa conception du récit à la littérature.

Vingt ans après cette rencontre, comment ne pas se précipiter sur son autobiographie Soit dit en passant (Apropos of Nothing,  traduit de l’anglais (États-Unis) par Marc Amfreville et Antoine Cazé, 540 pages, 24,50 euros, Stock), un passionnant récit au ton si vif, rapide, familier, dont la partie enfance&adolescence ressemble furieusement à un film de Scorcese, sans que cet élan ne se démente au long des 540 pages ! Ses femmes, ses films, sa musique, sa vie, quoi ! Sans oublier, et pour cause, « l’affaire » à laquelle il consacre un grand nombre de pages : l’accusation de « comportements inappropriés » avec la fille de sa compagne (Dylan, 9 ans) lancée par sa compagne Mia Farrow après qu’il eut rompu avec elle, et médiatiquement relayée et amplifiée par le journaliste Ronan Farrow, le fils de celle-ci. Le dossier est accablant pour elle, aisément vérifiable et d’autant plus convaincant que deux enquêtes l’ont déjà blanchi, qu’il rapporte les faits de manière dépassionnée – et que l’humour et l’autodérision n’en sont jamais absents, même là. Mais on s’en doute, il en faudra davantage pour désarmer ses irréductibles détracteurs qui veulent à tout prix le faire passer pour un violeur d’enfants. La critique de Libération est si systématiquement à charge qu’elle va jusqu’à reprocher à l’auteur du livre d’y être « égocentrique », ce qui est assez comique s’agissant d’une autobiographie !

Woody Allen y confie vouloir s’établir écrivain s’il ne pouvait plus être en mesure de filmer – et on imagine à quel genre d’empêchement il fait allusion, lui qui n’a pas pu sortir son dernier film dans son pays et a vu son autobiographie Apropos of nothing honteusement déprogrammée par Hachette USA à la suite d’une campagne de pressions et d’intimidations, avant d’être récupérée in extremis par une petite maison d’édition Arcade Publishing. 

Être Tennessee Williams ou rien ! Voilà le programme le cas échéant pour sa fin de parcours ici-bas. La fiction, il n’en a que pour elle. Car quel que soit le moyen par lequel il s’exprime, la réalité demeure son pire ennemi. Mais s’il réussit à citer deux grands héros de romans dans la toute première phrase (Holden Caulfied et David Copperfield), c’est pour solde de toute compte vis à vis de la littérature, avec sa fascination pour Hemingway lorsqu’il eut le coup de foudre pour sa petite-fille Mariel.

Ernest Hemingway était mon héros depuis que j’avais commencé à lire de la vraie littérature. Je peux ouvrir une page de n’importe lequel de ses livres et la poésie de sa prose me terrasse. Le jour où il s’est suicidé, je ne sais plus qui a appelé qui, mais Louise et moi nous sommes téléphoné pour partager notre chagrin. C’était au tout début de notre liaison. Ensuite, autour d’un verre, nous nous sommes mis à nous raconter de belles histoires de suicide. Elle préférait l’idée de se tirer une balle dans la tempe, moi d’enfoncer ma tête dans le lave-linge en choisissant un cycle complet (…) Le mythe Hemingway était si fascinant… »

Rien d’autre ou presque à propos de la littérature et des écrivains. J’allais oublier, mais pas lui, page 249 : l’éloge d’un certain Philip Roth…

(« Woody Allen au Festival de Cannes » photo Merlin ; « Philip Roth à New York le 15 septembre 2010″, photo Eric Thayer ; Tennessee Williams à Key West, 1981″, photo Nathan Benn ; »Hemingway dans un petit village de pêcheurs à Cuba » photo Alfred Eisenstaedt)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, documents, vie littéraire.

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commentaires

1 552 Réponses pour Totalement Woody sans en perdre Allen

bouguereau dit: à

Voir ses commentaires à propos de la Commune.

ils sont hassez bons pour le temps..quant à lopinion des « défenseur des poves..trés curieux..oulala..boco plus que clopine »..c’est dla bayonnette en réglisse de dlarbin courageux..on peut s’assoir dessus

Chaloux dit: à

J’ai -ou plutôt j’avais, jamais fait les visites- le permis jusqu’à vingt tonnes : de Nota, je vous admire de vivre dans votre cambrousse sans bagnole. Je ne pourrais pas.

hamlet dit: à

et alii, admettez que c’est quand même pas de bol d’avoir un psy ici sous la main et qu’il ne nous serve à rien pour étudier le cas d’une personne qui traite l’autre de « cafard ».

et alii dit: à

C’est un syndrome aussi méconnu qu’étonnant. Le cas d’un Italien présentant un « syndrome compulsif de la langue étrangère » vient de faire l’objet d’une étude clinique dans une revue spécialisée, Cortex . Cet homme de 50 ans est l’un des rares cas de patients atteint par cette anomalie, qui toucherait une soixantaine de personnes dans le monde.

Ce patient italien, baptisé JC dans l’étude clinique publiée par des neuropsychologues de l’hôpital de Varèse (nord de l’Italie), parmi lesquels Nicoletta Beschin, et des psychologues d’Edimbourg, en Ecosse, a connu des complications lors de l’opération du cerveau qu’il a subie en raison d’une malformation vasculaire. Les problèmes rencontrés lors de l’intervention ont provoqué des liaisons vasculaires, qui semblent être à l’origine de son état actuel.

Un jeune Australien se réveille en parlant chinois
A son réveil, ce patient s’est mis à parler français, une langue apprise de manière succincte il y a de cela 30 ans, et qu’il n’avait plus jamais pratiquée depuis. Pourtant, c’est ce langage que son cerveau semble lui avoir imposé après son opération, selon la description faite dans la revue scientifique.
https://www.lci.fr/international/atteint-du-syndrome-de-la-langue-etrangere-un-italien-ne-parle-plus-que-francais-apres-une-operation-1512379.html

Chaloux dit: à

Pour G. Sand et la Commune, voir la Correspondance et Henri Guillemin (commentaires des carnets).

Jazzi dit: à

« égarez-vous dans ces littératures, sans honte et sans reproche »

Je le fais, mais grâce aux traducteurs, et alii !

Là, je dois me replonger dans la Bible. Mais quelle version et traduction choisir ?

hamlet dit: à

je sais pas s’il faut faire trop de pub pour ces cas de gens dans le coma qui se réveillent en parlant une langue étrangère : avec la compétition scolaire actuelle des parents pourraient avoir l’idée de mettre leurs gamins dans un coma artificiel en espérant qu’il se réveille en parlant couramment le chinois.

Chaloux dit: à

Voir aussi les écrivains contre la Commune de Paul Lidsky, (La découverte), un classique, pas toujours convaincant mais à lire néanmoins.

bouguereau dit: à

ça n’apporte rien a laffaire de dédède mon alcolique de larbin..comme si « elle » il faudrait la juger pour atteindre a son oeuvre..viens ici prendre un coup de pied au cul..ou deux pour te donner une colonne vertébrale..fort provisoire..c’est hutopique

et alii dit: à

hamlai, cafard? vous n’allez pas avoir le blues sans nous envoyer quelques-uns des plus beaux selon vous quand même!d’ailleurs je suis sure que renato en connaît!

Chaloux dit: à

Jazzi, la TOB ou la Jérusalem. Les deux c’est mieux.

renato dit: à

Parfois la langue — ou l’a-langue — ne fait que reproduire les borborygme du premier cerveau (ceux du deuxième — le système digestif — étant accessibles sans le secours de la langue.

hamlet dit: à

« Là, je dois me replonger dans la Bible. »

pour la Bible le mieux est d’apprendre l’araméen.

le plus difficile ça va être pour trouver un bon prof.

Chaloux dit: à

La bousemolle est complètement faite. En fait, complètement défaite.

Clopine dit: à

Principe 1 : ne réclamer la fidélité à son conjoint qu’à condition de gagner au monopolit.

(bon d’accord,je sors)

Ed, par curiosité, il s’agissait de quoi au juste ? Ce n’est pas que je pense qu’il faut vous priver de remerciements, hein (déjà, votre présence ici,avec ce qu’elle implique de rajeunissement de la moyenne d’âge, devrait vous valoir notre reconnaissance) m’enfin je suis déjà accusée tant de fois de manquer de mémoire (alors qu’il s’agit d’attention, soupir)… Merci d’avance.

bouguereau dit: à

Là, je dois me replonger dans la Bible

la jacuzi qu’il aurait dit ton copin dlalourde

hamlet dit: à

Jazzi la Bible ? me dis pas que tu vas écrire le goût de la crucifixion ? ou le gout du miracle ? le gout des 10 commandements ? le gout de l’exode ? le gout de l’Eden ? le gout de la pomme ? le gout de la feuille de vigne ? le gout de l’Arche de Noé ? le gout de Job ? le gout de Judas ? le gout du sacrifice d’Isaac ? le gout de ecclésiaste ? le gout de l’apocalypse now.

et alii dit: à

JAZZI? PRENEZ EN PLUSIEURS DE TRADUC DE « LA Bible »
en vous aidant des cours , même ceux
de ouaknine pour l’hébreu, les racines, etc
pour la littérature « scientifique psy » ,voyez un « professionnel »:il sera ravi et vous aidera

hamlet dit: à

Jésus : une nouvelle marque de planche de surf.

on imagine de suite Jésus marchant sur les vagues la tête en bas.

Jazzi dit: à

Oui, merci, Chaloux. Tu confirmes mon choix, mais je me sers aussi de l’édition en pléiades, pour les notes !

et alii dit: à

jazzi, pour « le tanakh » ne ratez pas les « commentaires »qui souvent fondent survles problèmes des traduction;vous savez bienqu’on ne sait rien de l’histoire de du français sans Rachile français champenois -et que dit RACHI? demandent leslecteurs d’hébreu, et les autres, même ceux de la bible des écrivains;ils ne vous disent pas comment ça travaille dans leur tête

et alii dit: à

Le masculin et le féminin dans l’exégèse de Rachi sur la Genèse
Janine Elkouby
Dans Pardès 200
https://www.cairn.info/revue-pardes-2007-2-page-17.htm
Et que dit Rachi ? » C’est la question rituelle, presque incantatoire, qui a scandé et qui continue de scander l’accès au savoir biblique et talmudique dans le monde juif tout entier.

Patrice Charoulet dit: à

ETES-VOUS RACISTE ? Un peu ? Très ? Pas du tout ?.

Moi, c’est pas du tout, absolument pas. J’abomine tous les racismes. Et depuis cinquante ans.
Parfois, on croit ne pas l’être, mais on est raciste quand même. Si vous vous interrogez, je vous propose un petit test.
Ne le refusez pas !
Vous allez sur mon blog, sur ma page Facebook . Vous allez écouter une vidéo. C’est une jeune femme née au Cameroun qui parle. Elle ne s’appelle ni Rama Yade (qui avait fait Sciences Po), ni Rokhaya Diallo (qui est la Noire la plus invitée dans les débats radio ou TV), ni Rachida Dati, ancienne ministre et candidate à la mairie de Parsi. Ce n’est pas la sœur d’Adama Traoré. Elle parle de ses études, mais elle ne sort pas de Sciences Po, elle n’est pas agrégée de philo, ni docteur ès lettres, je ne suis pas sûr qu’elle ait décroché le bac. Elle dit « François Chirac », elle dit « importateur de cacao » au lieu « d’exportateur de cacao ». Elle commet beaucoup d’erreurs de français. Elle se répète.
Elle improvise. Elle ne lit aucun texte, aucun prompteur. Elle est parfois injuste. Elle généralise à tort parfois.
Mais je trouve cette vidéo épatante. Je rêve qu’elle soit entendue par tous les Français. Au JT de TF1 , de France 2 ,d’ M6, sur toutes les chaînes d’info, à RTL , Europe 1, France inter..
Parenthèse : Sur Facebook, j’ai à ce jour 1291 amis. Parmi ces amis, nombre de journalistes, de communicants, de philosophes, de politiques, dont beaucoup sont réputés. J’ai communiqué cette vidéo épatante,, en message personnel, au plus grand nombre de ces amis.
Résultat des courses : 20 l’ont vue. Cinq , je répète, cinq l’ont approuvée,
Ce matin je remets cette vidéo sur mon mur Facebook, en disant qu’elle vaut le détour. Mais je suis pessimiste.

En réalité, je pense que cette jeune femme « noire de peau » (Nougaro) dit des choses, peu entendues à la radio comme à la télé, peu dites, profondément dérangeantes…Je suis sidéré qu’on n’approuve pas ce qu’elle dit.

Terrible hypothèse aussi  : Parmi les auditeurs de cette vidéo, y aurait-il de des gens qui ne lui pardonnent pas, au fond, d’avoir la peu noire : ? Y aurait-il , parmi eux ,des racistes qui s’ignorent ?

Faites-le test . Ecoutez . Et n’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez sur mon blog ou sur Faceook.

de nota dit: à

Une blague juive
Jésus marche sur les eaux, à ses côtés Pierre nage et lui dit
 » t’es con, elle est bonne! »

Jazzi dit: à

et alii, une question pour vous et pour tous.
J’ai relu dans l’Ancien Testament tous les passages relatifs à l’annonce du Messie par les Prophètes. Notamment le chapitre 53 d’Esaïe. C’est le portrait robot craché de… Jésus ! Comment se fait-il alors que les Juifs ne l’aient pas reconnu et ne le reconnaissent toujours pas ?

Janssen J-J dit: à

t’atin veut vraiment qu’on fasse ami ami avec les sornettes de ses blogs, je vais jamais sur une face de bouque de pcharoulet ni autre… Suis comme de nota, pas besoin d’être confiné d’avoir des smarts et des bagnoles pour savoir si je suis racisssse.
Tout ça est indigne d’un bon prof de français provencial.

de nota dit: à

Jacques, sur cairn,  » le juste souffrant » apportera des éléments de réponse à tes interrogations,

et alii dit: à

jazzi, n’hésitez pas à aller aux rayons bible de POMPIDOU, qui n’a plus si je me souviens bienles livres d’iconographie:ça c’est essentiel aussi, la « transmission de biais » en somme dans les scriptoria;c’est une mine! (je vous le dis parce que j’y ai passé des heures et des heures, et aussi à Forney,pour les « images »;vous vous régalerez

et alii dit: à

et n’oubliez pas la KJV
La Bible du roi Jacques (King James Version en anglais, souvent abrégé KJV), publiée pour la première fois en 1611, est une traduction anglaise de la Bible effectuée sous le règne et à la demande de Jacques Ier d’Angleterre. Elle supplante rapidement la précédente version autorisée, dite Bible des Évêques, d’un caractère trop savant, et devient de facto la Bible standard de l’Église d’Angleterre.

L’appellation alternative version autorisée (Authorised Version) a été longtemps utilisée au Royaume-Uni, l’expression Bible du roi Jacques étant considérée comme très américaine.

D. dit: à

de nota dit: à

Une blague juive
Jésus marche sur les eaux, à ses côtés Pierre nage et lui dit
 » t’es con, elle est bonne! »

Très marrant.

B dit: à

D, la logique mène à tout même à l’humour.

et alii dit: à

VOYEZ AUSSI ZAGDANSKI ? QUI CONNAÏT AUSSIBIEN L4H2BREU QUE O4ENSEIGNEMENT DE LACAN
j’ai regardé une récente vidéo sur la création de l’homme et de la femme;
en voici une ancienne
https://www.youtube.com/watch?v=Hrsao07GBmg

D. dit: à

Il ne serait pas impossible que la viande ou le poisson conserve longuement le coronavirus. Voire pour certains produits favorisent une certaine réplication.
Ce qui expliquerait les très nombreux cas rencontrés dans les abattoirs et les marchés de gros.
Par ailleurs il est extrêmement probable que le virus fraîchement déposé sur une viande, surtout grasse, soit conservé quasiment intact par congélation ou surgélation pendant des mois à minima et certainement des années.

Des dizaines de millions de foyer à travers le monde seraient donc susceptibles de conserver dans leur congélo du coronavirus en parfait état d’être réactivé dès lors qu’il se trouverait à se réchauffer sur une muqueuse humaine.
Je vous suggère donc de vous laver soigneusement les mains après avoir manipulé des produits congelés, y compris leurs emballages, et à bien nettoyer les surfaces sur lesquelles ils auraient été en contact.

closer dit: à

Vous savez très bien que JB ne maîtrise pas suffisamment l’anglais pour lire la Bible de St James! Pourquoi pas lui conseiller la Bible de Luther pendant que vous y êtes?

La Bible de Jérusalem me paraît en effet un bon choix.

Jazzi dit: à

Du fait des deux Yod dans le mot « homme » en hébreux, Zadanski dit qu’il faut entendre l’homme et la femme dans la création de l’homme par Dieu.
Ensuite la Bible nous dit que cet homme-femme non genré partage quatre caractéristiques avec l’animal (l’en-bas) : il mange et boit, il se reproduit, il défèque et il périt.
Mais il partage aussi quatre caractéristiques avec les anges (l’en-haut) : il se tient debout, il pense, il parle et il est doté de discernement et il voit et prévoit (sa mort).
Et là, commence toutes les polémiques…
Car comment peut-on nier avec certitude que les animaux n’ont pas, notamment, la prescience de leur mort ?

Jazzi dit: à

Zagdanski

D. dit: à

L’âne aussi de tient debout.

D. dit: à

Il aurait mieux valu évoquer la bipèdie.

christiane dit: à

et alii dit: « Le masculin et le féminin dans l’exégèse de Rachi sur la Genèse »

Grand merci, pour ce lien, Et Alii.
Aussi troublant qu le poème en 56 pages de Patrice de La Tour du Pin La Genèse où un Dieu à la dérive, murmure ou soliloque…
« En frôlant, de l’agilité d’un chien de mer,
Ces gerçures durcies et ces croûtes d’écume.
Souple et vaguement lumineux, mon beau désir
Me précède ; déjà, d’étranges corps s’allument,
La nuit privée remue de tous ses habitants,
Et moi, un peu hagard, d’un souffle haletant,
Je cours derrière lui, sans pouvoir retenir
Ma passion libre enfin, qui chasse dans le temps.
Car battant aux artères,
Mon cœur impatient qui crève la poitrine,
Cette chaleur d’amour qui devance le cœur,
Et cet éclair coupant qui passe à la chaleur,
Ne transportent-ils pas la semence divine ?
Comme la nuit est chaude
Tout à coup, écumante et grosse des ferments
De ce monde à venir, ventre lourd…
Et je passe
Étouffant mon rayonnement avec ma grâce
Originelle, et mon secret de créateur !
Un sommeil sous une aile obscure… sa douceur !
Un sommeil balancé par le vent… sa berceuse !
Silencieux… mais quel murmure pressenti ! »

Vous posez sur ce blog des paroles immémoriales…

https://www.cairn.info/revue-pardes-2007-2-page-17.htm

christiane dit: à

Jazzi,
pour les rêves ? L’inconscient donne accès à un si lointain passé d »écume et de vent.

D. dit: à

Je t’en ficherais, moi, des gerçures durcies et des croûtes… Non mais des fois…

Jazzi dit: à

Oui, Christiane, c’est ce « lointain passé d’écume et de vent » qu’il faut retrouver dans le rêve de Pablo75 perdu dans une ville inconnue !

Marie Sasseur dit: à

Un 18 juin où tout le monde veut récupérer un héritage, cette info vient confirmer quelques soupçons très légitimes, a propos d’une élection truquée.

« Éliane Houlette, qui dirigeait à l’époque le parquet national financier, évoque des «demandes d’information» incessantes provenant du parquet général, et des pressions pour ouvrir une information judiciaire. »

https://amp.lefigaro.fr/affaire-fillon-la-magistrate-en-charge-de-l-enquete-affirme-avoir-subi-des-pressions-20200618

Jazzi dit: à

« des croûtes… Non mais des fois… »

Pas de quoi en faire tout un fromage, D. !

hamlet dit: à

Jazzi dit: Comment se fait-il alors que les Juifs ne l’aient pas reconnu et ne le reconnaissent toujours pas ?
 »

pour une raison très simple, pour les juifs le Messie ne change pas les individus mais la société, il change radicalement le monde.

2000 ans de christianisme démontrent que Jésus n’ont rien changé du tout, et que le monde d’aujourd’hui est aussi pire que celui d’il y a 2000 ans, sinon plus.

Jésus a juste apporter le Dieu des juifs aux païens sans cet horizon messianique, ce qu’il fait croire qu’ils vivent déjà dans un monde parfait même quand des bombes leur tombent sur la tête (cf Pangloss dans Candide).

hamlet dit: à

l’antisémitisme chrétien vient de là, plus que le fait d’avoir tué le Christ les chrétiens en veulent aux juifs de les avoir floués sur le produit.

bouguereau dit: à

Jésus a juste apporter le Dieu des juifs aux païens

grâce a lui quelques juifs le sont dvenu..la lecture de la bibe était dvenu vite haram pour le charcutier juif moyen..

bouguereau dit: à

l’antisémitisme chrétien vient de là

ce n’est pas le lion qui est l’ennemi de la souris c’est le mulot qui occupe la même niche..et hinversement..révisionnisss

hamlet dit: à

greubou tu pourrais corriger mes fautes quand tu me recopies stp ?

ce serait là un acte charitable.

bouguereau dit: à

c’est l’initiation fait la rligion ancienne..pas le tesque..et les juifs l’ont découvert en même temps que les chrétiens..et quelquefois haprés..lhestoire est tétue..elle a un humour bien plus fou

bouguereau dit: à

la vérité n’est pas un mensonge écrit sans fautes raclure de keupu

Jazzi dit: à

Pas si simpliste, hamlet.

Les Prophètes annonçaient que le Messie libérerait Israël et, partant, le monde tout entier. Après que Celui-ci ait pris sur lui tout le péché du monde, devait s’en suivre une paix universelle…
Pourtant, outre Isaïe, d’autres prophètes ont annoncé dans l’Ancien Testament que le Messie naitrait à Bethléem, d’une mère vierge…
Etonnant, non ?

bouguereau dit: à

en conséquence lire n’est pas une oeuvre pie..
car des connries il s’en ait écrit telment..ça c’est une bonne blague juive

hamlet dit: à

greubou Jésus fêtait la Pâques juive la veille de son arrestation.

et quand on parle des juifs de l’époque faut préciser lesquels : les saducéens, les pharisiens, les esséniens, les zélotes etc….

seuls ces derniers l’ont reconnus parce qu’ils l’ont utilisé comme arme de destruction massive dans leur guerre contre les romains, une espèce d’Obelix.

bouguereau dit: à

Etonnant, non ?

que ça sra plus dur pour les pédés baroz..t’as beau faire..c’est écrit beaucoup plus que ça ne sest dit et vu..que de peine perdue

hamlet dit: à

Jazzi dit: Pas si simpliste, hamlet.
 »

comment ça pas si simpliste ?

quel imbécile peut aujourd’hui peut considérer Jésus comme un Messie ?

quelles seraient les raisons de le considérer comme un Messie ?

si c’est simpliste pour toi alors donne-moi une seule raison ! ou même la moitié d’une !

bouguereau dit: à

Très marrant.

ça sniffe sa blague jésuite à plein blair..les préférées à kabloom.. »ils lisaient beaucoup trop »

Jazzi dit: à

En revanche, hamlet (ne le dit pas à Ed), mais les Musulmans reconnaissent Jésus en tant que prophète !

bouguereau dit: à

quelles seraient les raisons de le considérer comme un Messie ?

..si en attendre un autre c’est la meilleur..qu’est tu veux foutre havec un connard pareil keupu

Jazzi dit: à

« si c’est simpliste pour toi »

Je viens de te dire le contraire, hamlet. Simplet, c’est toi !

Jazzi dit: à

« ça sra plus dur pour les pédés »

On a jamais entendu parler d’une madame Dieu, le boug !

bouguereau dit: à

Je t’en ficherais, moi, des gerçures durcies et des croûtes… Non mais des fois…

c’est de ça qu’elle est nait vineusse dédé..y’a pas que du foutre de poasson dans la mer attation..si t’y mets tes gènes..ça peut lui coller des boutons au derche..halerte à malibou éicétou

Jazzi dit: à

Etonnant cette découverte de la communauté tchétchène, sur le territoire français !

bouguereau dit: à

On a jamais entendu parler d’une madame Dieu, le boug !

et halors..il suffit de commencer baroz..tu écris qu’une telle idée t’as attendu..tu prends dédède en vestale cul nu pour le sus et le vu de tous..et t’encules meussieu courte en cachette..tu vivras plus vieux et plus riche que chirac

christiane dit: à

D. dit: « Je t’en ficherais, moi, des gerçures durcies et des croûtes… Non mais des fois… »

La terre se forme… paysage volcanique…

D. dit: à

Ah, bon. Fallait le dire avant.

bouguereau dit: à

une bonne crème devrait te faire passer les boutons cricri..quant au reste..mon larbin est crédule..tu peux en faire..pas cul nu..les sus et les vus ny gagnrais pas

D. dit: à

Et mon coeur impatient qui crève la poitrine alors ? Faut la recoudre après.

bouguereau dit: à

Etonnant cette découverte de la communauté tchétchène, sur le territoire français !

comme porte parole de la mairie de paris tu frais brouillon..faut pas -trop- mépriser l’ouaille comme dédé..sinon il se rebiffe

et alii dit: à

inversons l’apocope:
Marguerite Duras — nom de plume de Marguerite Donnadieu

Janssen J-J dit: à

@ jzmn, « Vous posez sur ce blog des paroles immémoriales », (?…) mais pas toujours pertinentes, telles la suivante : « il se tient debout, il pense, il parle et il est doté de discernement et il voit et prévoit (sa mort) ».
Or, « voir et prévoir » sa mort pour un être humain n’a pas de commune signification mesurable avec la « prescience » de leur mort par les animaux… si l’on raisonne évidemment dans l’unique cadre de la « rationalité cartésienne », telle qu’exposée par Descola, à côté de bien d’autres… Or vous savez que nos religions « monothéistes », prétendument révélées, se sont peu ou prou rangées et accommodées, au cous du temps, de la supériorité de cette rationalité sur leur « vérité » révélée, par définition indémontrable au regard de la logique de la découverte scientifique popérienne.
Ergo, aucun « animaliste », y compris chez d’estimables philosophes (EDF par ex) n’a réussi à démontrer que la « prescience » de leur mort chez (certains) animaux, équivalait à les mettre sur un exact pied d’égalité, etc… y compris en mobilisant la figure du bon ST F. d’A.

Enfin bref. Je crois que vous avez bien voulu introduire une nouvelle polémique éventuelle avec quelques paroles im-mémorables (sic) ?

bouguereau dit: à

fais pas ton saint thomas dédé..sinon on va penser que tes copines plutonnes c’est pour cacher des hinfirmités

renato dit: à

Selon Pape Luciani : « Nous sommes l’objet d’un amour intemporel de la part de Dieu. Il est pere ; encore plus, il est mère. »

Si on se tient à la chute il faudrait chercher un Monsieur Dieu, plutôt.

bouguereau dit: à

Ergo, aucun « animaliste », y compris chez d’estimables philosophes (EDF par ex) n’a réussi à démontrer que la « prescience » de leur mort chez (certains) animaux, équivalait à les mettre sur un exact pied d’égalité

pour les assureur de boeing..1 américains vaut 6 européens..et je sais pus combien de tchétchéne..ça c’est scientifique

hamlet dit: à

non, s’il faut chercher un véritable Messie apporté par les juifs, plus que Jésus ce serait Marx.

oui, plutôt, pas Pluto le chien de Mickey mais plutôt que Jésus.

et alii dit: à

sur la mort
j’ai un jour dans un séminaire (psy eh oui) dit que l’ home était l’animal qui sait qu’il sait qu’il meut
je ne pensais pas faire une citation célèbre, ni originale, lorsque je fus reprise par le maître qui corrigea « l’animal crève »
je ne retrouve pas maintenant la citation en question (Pascal?) mais je trouve un beau texte pour avancer:Le moi et la mort1
« Jean Paul Richter a raconté dans un texte bien connu de son autobiographie (Selberlebenbescbreibung) l’expérience précoce et indélébile qu’il fit du Moi, de son Moi : « Jamais je n’oublie l’événement personnel que je n’ai encore jamais raconté à personne, lorsque j’ai assisté à la naissance de ma conscience de soi, dont je puis indiquer le lieu et la date. Un matin, tout jeune enfant, je me tenais sur le pas de la porte et je regardais à gauche vers la réserve de bûches, quand d’un coup la vision intérieure « Je suis un Moi » a traversé devant moi comme un éclair du ciel et puis s’est
https://books.openedition.org/pusl/16312?lang=fr

Janssen J-J dit: à

hier soir, j’ai vu un film bien sympa où la môme Viard, nympho et crue dans son langage, avait trouvé la plus extrême jouissance dans l’art de réprimer ses élans à l’écoute d’un chant d’amour auprès d’une morte dont elle interprétait le rôle à la perfection. Il y avait de l’idée, et j’ai constamment pensé à Marie Sasseur (MS). Qee, du moins, sans avoir la beauté ensorcelante de Karine, elle avait dû ainsi commencer sa carrière de vierge morte, et qu’il serait grand temps qu’elle change de registre prépubère, et fiche la paix à Houellebecq en s’énamourant comme une adoloscente de JMG Le Clézio.
Bien sûr, je dis cela en toute amitié policière…, afin de décevoir un peu plus notre ami x, l’internaute hard qui ne s’en laisse point conter.

et alii dit: à

la pensée de Pascal étant:
Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien. Toute notre dignité consiste donc en la pensée.

et alii dit: à

suite :même lien
·l’idée est allée jusqu’à l’indifférence à toutes choses, (le lendemain) Je me suis redressé, à la pensée que la mort est le don d’un monde nouveau et l’invraisemblable anéantissement un sommeil »2.

3En réalité, une terreur panique l’a transi. Sa logeuse Christiane Stumpf est entrée et l’a aperçu debout près de la fenêtre, pâle, les traits convulsés. Elle l’a appelé par trois fois avant qu’il sorte de sa léthargie et, levant la main, remercie d’un geste la bonne femme de l’avoir par son arrivée inopinée sauvé de la démence. Ultérieurement, nous l’avons dit, il a amalgamé au contenu initial, tout intellectuel, des éléments imaginatifs, le lit mortuaire, la main pendante du cadavre, la facies hippocratica, l’œil marmoréen, les cauchemars… Car la Todesvision étend son ombre sur l’œuvre entière, elle est la matrice d’une fantaisie macabre inépuisable. « Jamais je n’oublie le 15 novembre. » Jean Paul est mort la veille du 15 novembre 1825.

et alii dit: à

suite :
Le Moi meurt de se voir mort ; les deux visions se sont télescopées, manifestant l’intime parenté et la quasi identité du narcissisme et de la mort. Le Moi et la Mort sont des miroirs jumeaux. Oté le voile, ils se connaissent dans une sorte d’étreinte incestueuse. La destruction qui en résulte n’est pas forcément, n’est pas seulement la mort physique, c’est aussi la mort mentale, l’hallucination et la démence, image de la mort spirituelle. La folie du bibliothécaire Schoppe alias Leibgeber, extraordinaire personnage du Titan, offre une contre-épreuve à la fascination du rigor mortis et des morts gyrovagues. Il souffre de la psychose du Moi pur, il a la phobie du tête-à-tête solipsiste, il se croit traqué par son Moi qui donne rendez-vous à l’heure de la mort ; il le fuit, il se déguise, il se cache sous des pseudonymes destinés à brouiller sa trace, comme un espion4. En vain ! Il est rejoint par l’ennemi, par le ‘tueur, et le spectacle de son Autre, son double et son Moi, met fin à l’étrange obsession. Il expire apeuré, et Jean Paul lui attribue l’aveu si simple, si énigmatique, du vieux Swift moribond : Je suis moi — enfin sorti du long égarement5. La folie et la mort de Schoppe sont calquées sur la folie et la mort de Swift. Et si tout à l’heure le cadavre était l’horreur et la mort du Moi, dans le cas de Swift-Schoppe, le Moi est le substitut et le sicaire de la mort.

bouguereau dit: à

lhuhunivers..toutes les causes lui sont contnu..deus sive natura c’est du decartes..pas du baruc

bouguereau dit: à

le Moi est le substitut et le sicaire de la mort

gargarisant

Janssen J-J dit: à

j’ai un jour dans un séminaire (psy eh oui) dit que l’ home (sic) était l’animal qui sait qu’il sait qu’il meut (sic)…

Ce faisant nous ne pensons pas qu’il se prenait pour une vache, bien sûr…
Ce qui me parait formidable, ce sont toutes les pensées abyssales et prophétiques que vous auriez prononcés dans tous ces séminaires durant votre Karriaire, mais qui, hélas, n’ont jamais été répercutées, de sorte que non sourcées, nous aurions à les croire plutôt que de pouvoir dûment les vérifier à la BNF.

Pour démentir cette illégitime suspicion, auriez-vous l’amabilité de bien vouloir donner à la rdl un assortiment représentatif de leur vastitude (un peu à la manière d’un Charoulet qui recopie laborieusement tout ce qui traine ça et là), afin que nous puissions mesurer ou nous figurer la puissance et la profondeur de votre imagination si injustement méconnue.
Merci par avance, chère non-erdélienne, parasitant l’erdélie, telle la nèpe moyenne s’avançant sur son cours d’eau vers sa mort avec la plus extrême lucidité.

Alexia Neuhoff dit: à

Donc Jazzi nous prépare un « Goût de la bible ». Bon courage. Rapprochez-vous donc d’Anne Soupa, excellente bibliste, spécialiste des textes sacrés. Elle vous révélera que la femme n’est pas « issue de la côte d’Adam » (mauvaise traduction de l’A. Testament) mais qu’elle est « à son côté ». Accessoirement, elle postule à la succession de Mgr Barbarin, à Lyon. Vive Anne !

et alii dit: à

suite:
Kojève attire la « dialectique de la reconnaissance » dans le cercle fini de l’auto-suppression et de la liberté. Il se sert de formules frappantes : l’être humain est « la mort qui vit une vie humaine », l’homme est « la mort consciente de soi »13. Chaque pas est une anticipation de la mort, mais projets, décisions, choix, engagements, supposent, pour être tels, la radicalité et l’absoluité de la mort, source et sceau de la finitude. La liberté implique la mortalité, elles sont l’envers et l’endroit : la mort a pour contre épreuve la liberté, la liberté a pour enjeu la (possibilité de la) mort. Libre parce que mortel, mortel parce que libre. Cette interprétation existentielle de Hegel par Kojève a pour corollaire l’athéisme.

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen J-J dit: à
« j’ai un jour dans un séminaire (psy eh oui) dit que l’ home (sic) était l’animal qui sait qu’il sait qu’il meut (sic)… »
Devant un parterre de policiers ! Et le gauchiste de service de s’écrier : « Mort aux vaches ! ».

Janssen J-J dit: à

entre descartes et spinoza, y’a pas pascal, comme auraient dit ma gardienne portugaise et mon ami philippe. Et encore moins mon compagnon antoine.

Janssen J-J dit: à

A côté de la côte d’Adam ?…
Je est une autre, h’alors ? Ne vois-tu rien venir dans la crèche de Lyon, mon Dieuz ?…

hamlet dit: à

« Toute notre dignité consiste donc en la pensée. »

l’homme pense, il en tire même une certaine fierté, la belle affaire, ce fait de « penser » est à l’origine de son manque de modestie.

il ferait mieux de regarder à quoi sa pensée lui aura servi, en vérité à rien, à rien de probant, mais plutôt que faire ce constat l’homme préfère écouter Pascal lui dire qu’il pense.

un drôle d’animal quand même que cet homme.

et alii dit: à

ALEXIA/VOYEZ PAR L0
3Un os dans la traduction. À propos de la côte d’Adam (Genèse 20,21-22)
PAR CLAIRE PLACIAL · PUBLIÉ 12 JUILLET 2012 · MIS À JOUR 12 JUILLET 2012

Un billet de Pierre Barthélémy publié le 11 juillet sur Passeur de Sciences, blog hébergé par le site du Monde, a déjà beaucoup circulé (le 12 juillet en début d’après-midi, c’était l’article le plus partagé du site). Ce billet, intitulé « Quel os Dieu a-t-il vraiment pris à Adam pour créer Ève ? », fait état, sur un ton non dénué d’humour et de prise de distances, de l’hypothèse développée par Scott Gilbert, professeur de biologie au Swarthmore College, avec l’assistance de Ziony Zevit, spécialiste de langues sémitiques. Ève n’aurait pas été créée à partir d’une côte d’Adam, mais à partir du baculum, os pénien que possèdent certains mammifères (dont le gorille) et qui facilite l’érection, mais que l’homme n’a pas, comme on sait ; l’évocation du mot « côte » résulterait d’une erreur de traduction.
https://languesdefeu.hypotheses.org/329

Janssen J-J dit: à

@ le gauchiste de service…

NON, la gauchiste… Effectivement, elle s’est exactement écriée comme vous le dites 🙂 Elle jeta un froid, puis provoqua l’hilarité générale, vu qu’elle était une meuf encore bien minoritaire. L’histoire n’a pas retenu son nom, je suis le seul à le connaître…

hamlet dit: à

la différence entre messianisme juif et messianisme chrétien tient au fait que le second concerne l’individu qui croit en lui, le Christ le sauve, alors que le messianisme juif ne concerne pas l’individu mais le monde humain, en ce sens on peut dire que le christianisme est à l’origine de l’individualisme moderne.

Brinqueballe dit: à

et alii dit: à

ALEXIA/VOYEZ PAR L0
3Un os dans la traduction.

Là, ça donne des épices au blog à Passou et Mimi Pinson ne dit rien?

et alii dit: à

LE MONDE SEMITIQUE sur la cote!
Kramer suggère même de trouver dans ce poème la résolution de l’énigme que pose le passage de la Bible où Dieu crée Ève, la mère de tous les vivants, à partir d’une côte d’Adam (Genèse 2, 21). Dans le poème sumérien, Enki est malade en huit parties de son corps pour avoir mangé huit plantes du jardin de Dilmun. La grande déesse-mère Ninhursag accepte finalement de le guérir et crée à cet effet huit déesses correspondant aux huit maux. La guérison est évoquée sous forme de dialogue :

« Mon frère où as-tu mal ?

– Ma côte me fait mal.

– À la déesse Ninti j’ai donné naissance pour toi ».

Or en sumérien, « côte » se dit ti. La déesse créée pour guérir la côte d’Enki est appelée Ninti, la « Dame de la côte ». Mais le mot sumérien ti signifie également « faire vivre ». Les écrivains sumériens, en jouant sur les mots, en vinrent à identifier la « Dame de la côte » à la « Dame qui fait vivre ». Et ce calembour littéraire, l’un des premiers en date, passa dans la Bible, où il perdit naturellement sa valeur, puisqu’en hébreu les mots qui signifient « côte » et « vie » n’ont rien de commun. (Kramer 1957/1994 : 196-198).

23Les travaux de Jean Bottéro sur l’épopée de Gilgamesh permettent non seulement d’en établir la genèse, mais aussi de dater l’apparition du récit du Déluge. Le récit du Déluge traduit par George Smith provenait de Ninive ; c’était un fragment (le chant XI) de l’Épopée de Gilgamesh.
https://books.openedition.org/septentrion/36907?lang=fr

Brinqueballe dit: à

Je lis : Alexia, voyez par lot, trois annos dans la traduction?
Surréalo-lettrisme?

Brinqueballe dit: à

Difficile à suivre le fil sans perdre Allen.

et alii dit: à

une date demandait jazzi:
il pense en effet que le fait que dans la Bible Eve soit tirée de la côté d’Adam puisse provenir de ce jeu de mot sumérien, qui n’est toutefois plus compréhensible en hébreu. Il faut noter que, de manière indépendante, Samuel Kramer a émis la même hypothèse en 1945.
http://didascale.com/eve-tiree-de-la-cote-dadam-un-jeu-de-mot-sumerien/

D. dit: à

le messianisme juif ne concerne pas l’individu mais le monde humain, 

Pas du tout, hamlet. Et j’aimerais savoir ce qui t’a fait commettre cette erreur ?

renato dit: à

« le Moi est le substitut et le sicaire de la mort »

« Saisir le baiser menteur du Semblant, s’allongez avec lui sur le paillis, respirer son souffle, boire son rot et sa puanteur de prostituée dans l’âme. Ou au lieu de l’attaquer avec rancune et mépris comme dans une mare d’excréments, nier, nier : qui soit Seigneur et Prince dans le jardin de son âme. Des tours fermées s’élèvent contre le vent. Mais aller dans la rancune est une étape stérile, nier les images vaines signifie, souvent, se nier. Revendiquer la sainte faculté de jugement, à certains moments, c’est déchirer la possibilité : comme on déchire une feuille souillée en y lisant l’écriture des mensonges. »

C. E. Gadda.

Jazzi dit: à

Le cimetière des éléphants, une légende, JJJ ?
J’ai encore dans l’oreille le bêlement terrorisé des brebis conduites à l’abattoir, entendu enfant dans le village de mes grands parents.
Il me semblait bien qu’elles avaient vues et prévues ce qui les attendait…

hamlet dit: à

nul né profète en son pailli ki dirait l’pedro l’dé fan soeur des valeures uny vaisselle kom bête au vent, beau de l’air et chaud pin ki dirait l’greubou d’ficelle.

D. dit: à

Commençons par réfuter cette prétendue individualité dans le christianisme.
Les baptisés forment l’Eglise qui est l’épouse du Christ. Nous pouvons tracer l’étoile de David à 6 branches et 2 triangles. Premier triangle Père-Fils-Esprit Saint. Second triangle : homme-famille-Eglise. Le salut divin est donc apporté par la Trinité aussi bien à l’individu qu’à sa famille qu’à l’Eglise. Il est parfaitement admissible en outre d’étendre la famille à la nation.

Jazzi dit: à

« Goût de la bible »

Non, pas vraiment, Alexia N. ! Bien pire…

hamlet dit: à

« Il est parfaitement admissible en outre d’étendre la famille à la nation. »

in gode we trust ki dirè l’jazzi.

Jazzi dit: à

« Il est parfaitement admissible en outre d’étendre la famille à la nation. »

Pourquoi pas à toute l’humanité, hamlet ?
Dieu n’est pas douanier !

Janssen J-J dit: à

Je vous dis juste que la prescience de la mort (chez des animaux) que je ne mets nullement en doute… n’a pas de commune mesure avec la connaissance et la conjuration d’icelle chez les êtres humains…
Ne faites pas semblant de me lire de traviole, jzmn. C’est parfois un brin pénib’…, et on n’a pas toujours envie d’hausser les épaules et de penser : « fuck, bullshit, n’en parlons plus ! » (pourtant, quelle perte de temps !)

Janssen J-J dit: à

et d’ailleurs, jzmn, ce n’est pas à cette aune que Marcel Gauchet fracassa les consciences des années octante avec son premier livre sur « l’individualisme » occidental (tel que ce concept se présente sous votre plume dans une acception vulgarisée et fautive), phénomène parallèle et non causal à notre longue sortie programmée depuis l’origine de la secte dans le « désenchantement du monde judéo chrétien »
(à ne pas confondre avec la thèse d’Onfray sur la « décadence » du christianisme, de ses origines à nos jours)…

Janssen J-J dit: à

@ qu’elles avaient vues et prévues ce qui les attendait (OH !!!)

c histoire d’en rajouter un brin…, hein, jzmnn ! alors qu’on s’en tape des fôtes… mais pas avec vous…
Et lundi prochain, vous allez nous voir quoi au juste, comme film ?

hamlet dit: à

Jazzi dit: « Il est parfaitement admissible en outre d’étendre la famille à la nation. »

Pourquoi pas à toute l’humanité, hamlet ?
Dieu n’est pas douanier !
 »

dis-le à D. c’est une citation à lui Simplet.

hamlet dit: à

D. dit: « le messianisme juif ne concerne pas l’individu mais le monde humain »

Pas du tout, hamlet. Et j’aimerais savoir ce qui t’a fait commettre cette erreur ?
 »

la Bible.

christiane dit: à

« Jamais je n’oublierai cette nuit, la première nuit de camp qui a fait de ma vie une nuit longue et sept fois verrouillée.
Jamais je n’oublierai cette fumée.
Jamais je n’oublierai les petits visages des enfants dont j’avais vu les corps se transformer en volutes sous un azur muet.
Jamais je n’oublierai ces flammes qui consumèrent pour toujours ma foi.
Jamais je n’oublierai ce silence nocturne qui m’a privé pour l’éternité du désir de vivre.
Jamais je n’oublierai ces instants qui assassinèrent mon Dieu et mon âme, et mes rêves qui prirent le visage du désert.
Jamais je n’oublierai cela, même si j’étais condamné à vivre aussi longtemps que Dieu lui-même.
Jamais. »

La Nuit (Les éditions de Minuit)- 1958 – Le premier livre d’Elie Wiesel.
Et, dans la préface de François Mauriac, ces mots :
« […] L’enfant qui nous raconte ici son histoire était un élu de Dieu. Il ne vivait, depuis l’éveil de sa conscience, que pour Dieu, nourri du Talmud, ambitieux d’être initié à la Kabbale, voué à l’Éternel. Avions-nous jamais pensé à cette conséquence d’une horreur moins visible, moins frappante que d’autres abominations, – la pire de toutes, pourtant, pour nous qui possédons la foi : la mort de Dieu dans cette âme d’enfant qui découvre d’un seul coup le mal absolu ? »

(« Je suis l’un d’eux », telle était la phrase lâchée par Elie Wiesel, à François Mauriac, lors d’un entretien… Le manuscrit, écrit en yiddish sous le titre « Et le monde se taisait », traduit en français puis en anglais, fut rejeté par tous les grands éditeurs parisiens, malgré les efforts de François Mauriac, jusqu’au jour où la maison d’édition « Les éditions de Minuit » acceptât de le publier.)

Elie Wiesel était un adolescent lorsqu’en 1944 il fut déporté avec sa famille (après la case « ghetto », le terrible voyage en train jusqu’à Auschwitz-Birkenau, mort de sa sœur, de sa mère… puis la terrible marche de la mort jusqu’au camp de Buchenwald).
La Nuit est le témoignage d’Elie Wiesel : la séparation avec sa mère et sa petite sœur qu’il ne reverra plus jamais, sa rébellion contre un Dieu aveugle devant ce génocide et l’évocation de son père avec qui, dans ce camp, il partagea la faim, le froid, les coups, les tortures, la sélection, le travail et par dessus tout la déshumanisation.)

« Je réfléchissais ainsi lorsque j’entendis le son d’un violon. Le son d’un violon dans la baraque obscure où des morts s’entassaient sur les vivants. Quel était le fou qui jouait du violon ici, au bord de sa propre tombe? ou bien n’était-ce qu’une hallucination?
Ce devait être Juliek.
Il jouait un fragment d’un concert de Beethoven. Je n’avais jamais entendu de sons si purs. Dans un tel silence. […] Il jouait sa vie. Toute sa vie glissait sur les cordes. Ses espoirs perdus. Son passé calciné, son avenir éteint. Il jouait ce que jamais plus il n’allait jouer. […] Aujourd’hui encore, lorsque j’entends jouer du Beethoven, mes yeux se ferment et, de l’obscurité, surgit le visage pale et triste de mon camarade polonais faisant au violon ses adieux à un auditoire de mourants. Je ne sais pas combien de temps il joua. Le sommeil m’a vaincu. Quand je m’éveillai, à la clarté du jour, j’aperçus Juliek, en face de moi, recroquevillé sur lui-même, mort. Près de lui gisait son violon, piétiné, écrasé, petit cadavre insolite et bouleversant. »

Mémoire aussi de ce 18 juin…
La résistance française naît le 18 juin 1940 avec l’appel lancé à la radio de Londres par le général De Gaulle. Contrairement à Pétain, il refuse de cesser le combat et appelle à résister aux nazis. Il est entouré d’une minuscule armée : les FFL (Forces Françaises Libres).

Très peu de gens entendirent cet appel. En 1940, la majorité des français, désespérés, faisaient confiance à Pétain….

D. dit: à

Jazzi, je ne suis pas hamlet.

Il faut que tu comprennes que de façon ésotérique donc naturelle, la justice divine s’applique sur l’individu, mais aussi sur la famille, particulièrement la descendance, sauf si un individu s’en est detourné volontairement. Cette justice est faite de bénédiction ou d’abandon à eux-mêmes des hommes qui se sont détournés de Dieu.
Ensuite cela s’étend à la tribu puis au peuple.
Si l’on prend l’exemple d’un grand-parent rebouteux, donc opérant au nom du diable, la justice divine pèsera sur lui-même, qui n’aura pas accès à son royaume dans l’au-delà, en tout cas pas tout de suite c’est certain, mais également à la descendance sauf si un individu rompt la chaîne en reconnaissant la faute et invoquant le pardon de Dieu. Dieu pardonne toujours à celui qui l’invoque en vérité.
Cela fonctionne aussi pour la bénédiction.
Des parents pieux et saints font descendre sur leur descendance la bénédiction divine sauf si les descendants cassent la chaîne.
Si notre nation est si mal en point c’est que’une immensité de chaînes de bénédiction ont été cassées par l’impiété et l’offense à Dieu.

Dans le cas d’adoptions filiales de coeur -.acceptation parfaite de l’enfant pzr les parents et réciprocité (à distinguer de l’adoption juridique du monde, la justice du monde n’est en aucun cas la justice divine et a fortiori de nos jours !), la chaîne établie avec l’ascendance biologique est cassée et l’enfant s’insère pleinement dans la nouvelle chaîne formée pour le meilleur et pour le pire.
Un mariage opéré sincèrement devant Dieu étend la justice divine à la nouvelle famille. L’époux reçoit les effets de la justice divine de la chaîne dont fait partie l’épouse et vice-versa.

hamlet dit: à

D. dit: « le messianisme juif ne concerne pas l’individu mais le monde humain »

Pas du tout, hamlet. Et j’aimerais savoir ce qui t’a fait commettre cette erreur ?
 »

D. vois-tu mon ami, si tu lis la Bible tu verras que la notion de messianisme ou de messianité est autant d’ordre « politique » que spirituelle.

c’est ce moment où le spirituel est en mesure de modifier l’ordre social.

Benjamin aussi l’a vu comme ça : quelle prise de conscience au niveau individuel permettrait de modifier l’état du monde ?

Benjamin voyait cette prise de conscience comme un « tournant », il nomme « messianisme » ce tournant.

l’erreur couramment faite c’est de considérer ce messianisme sous la forme de la venue d’un seul individu : c’est faux ! et c’est pour cette raison que les juifs ne pouvait pas considérer le Christ comme un sauveur, comme le Messie.

tu comprends D ? le Messie n’est pas une personne c’est un concept d’ordre politique.

relis tous les passages qui font référence au Messie dans l’Ancien Testament et si tu le lis correctement sans tomber dans le piège de prendre le texte à la lettre tu verras que le Messie est plus une idée / notion / concept qu’une personne.

hamlet dit: à

désolé on va encore dire que je donne des leçons mais si on n’a pas compris ça on n’a absolument rien compris !

de nota dit: à

Encore une blague juive!

C’est un juif qui va quémander un emploi à son rabbin. Lequel lui propose de s’installer à l’entrée du village pour attendre l’arrivée du Messie. «Ainsi, dès qu’il arrive, tu préviendras tout le monde.» Au chômeur qui s’insurge de travailler à l’oeil, le rabbin rétorque: «Au moins, tu auras la chance d’avoir un boulot stable!»

Janssen J-J dit: à

(Très peu de gens entendirent cet appel. En 1940, la majorité des français, désespérés, faisaient confiance à Pétain).

Je n’aime pas ces blagues juives. A qui bon les répéter sans cesse ? Elles ne font rire personne.

Jazzi dit: à

« relis tous les passages qui font référence au Messie dans l’Ancien Testament et si tu le lis correctement sans tomber dans le piège de prendre le texte à la lettre tu verras que le Messie est plus une idée / notion / concept qu’une personne. »

Ici, tu as tous les passages concernés, hamlet. On parle bien d’un homme, pas d’un quelconque concept
https://www.jepense.org/annonce-messie-ancien-testament/

et alii dit: à

hamlai, j’ai trouvé ce trio excellent ! merci!

hamlet dit: à

Jazzi : parce que tu lis mal, tu lis trop le texte au pied de la lettre.

exemple : « le messie est appelé l’Emmanuel (“Dieu parmi nous”). »

ce « Dieu parmi nous » tu crois vraiment que c’est un individu ? un individu parmi nous avec un Dieu déjà parmi nous ?

sérieux Jazzi tu crois que les juifs qui ont écrit ce texte étaient assez con pour imaginer qu’un individu pourrait sauver les hommes ?

c’est infantile comme pensée !

c’est juste le niveau zéro de Zorro ! c’est comme croire au père Noël !

les hommes ont déjà tout à leur disposition !

il ne reste plus que quoi ?

qu’à mettre les choses à pratique : c’est ça le messianisme : la mise en application du spirituel dans le politique !

ce qui n’est jamais advenu, et qui adviendra un jour peut-être

dans tous les cas ce n’est plus que l’affaire des hommes eux-mêmes et certainement pas d’un extra terrestre qui viendra les sauver !

on croirait lire du Pablo !

me déçois pas t’es quand même moins con que lui Jazzi !

bouguereau dit: à

d’un grand-parent rebouteux, donc opérant au nom du diable

djizeus était thaumaturge dédé..il est même dit que ça marchait pas a tous les coups..les prophètes des médicastres plus ou moins suxessfoul selon leur cote damour

Jazzi dit: à

« le messie est appelé l’Emmanuel (“Dieu parmi nous”). »

Là, tu lis trop à la lettre, hamlet !
Les prophètes sont la parole de Dieu transmise aux hommes.
Mais le Messie est plus qu’un prophète, c’est le Dieu fait homme.
Ajoute par dessus ça le Saint Esprit, où tu peux toujours recaser tes concepts, et on a déjà dans l’Ancien Testament le mystère de la sainte trinité…

Merci JJJ pour la référence au bouquin d’Onfray. Il entre pile poil en plein dans mon sujet ! Motus…

bouguereau dit: à

on npeut faire oeuvre de modestie avec autant de morgue keupu et en donnant des leçons de connaissance du bien et de mal ‘absolu’ aux autres..sinon grace a sa lignée:espérer ‘pour soi’ un bénéfice en subjuguant les autres..c’est tout simple

bouguereau dit: à

Je vous dis juste que la prescience de la mort (chez des animaux) que je ne mets nullement en doute… n’a pas de commune mesure avec la connaissance et la conjuration d’icelle chez les êtres humains…

si la première proposition est possible..ce quelle laisse supposer dans la deuxième est justement parfaitement incommensurable..au mieux on en saurait-rien- mais au pire elle permet à shautoriser

et alii dit: à

au fait jazzi, vous n’avez pas souligné que zagdanski avait dit qu’il n’était pas observant(pratiquant) si vous préférez;que pour lui le judaïsme, c’était fondamentalement « l’étude » dans toute son amplitude possible

bouguereau dit: à

ce quelle laisse supposer dans la deuxième est justement parfaitement incommensurable

..peut être démontre t’elle même une trouille hintense quelle puisse l’être..doù le déni estrement précipité

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…jeudi 18 juin 2020 à 18 h 38 min.

…outre les mises au point diverses,…et entre la différenciation de la recherche de soi en égocentrisme, d’une part,…et les curiosités de comportement des autres,…d’autre part,!…

…or,il y a un comportement tacite, dans le monde des affaires et les escroqueries – cinéma,…pour faire  » gober « , tout les systèmes et résultats obtenus ou en attentes,…social et ou politique, par la force ‘dites’ des choses,… » romancée « ,…

…c’est à dire, voir venir les dangers d’arnaques; des uns sur les autres,…par simples  » jeux « , du processus des profits escomptés, à court ou à long terme,!…

…et se taire, dans le silence des enjeux  » agneaux « , et des fortunes qui se font et se défont, au court des temps,…en soi prévisibles dans la jungle des profits.

…les rituels des profits, pousser à la consommation ou à l’abstinence, pour des fables situationniste aux genres, d’Ésope à La Fontaine,…
…les bourses, l’immobilier, tout enseignements mis en exergue en échecs prévisibles,!…
…de l’expression, perdre son temps sur terre,!…ses sueurs et son argent,!…
…Ouroboros et tirer les choses en longueur.
…envoyez,!…

et alii dit: à

Article publié dans le n° 37 du Bulletin de la LFDA, septembre 2002

Les vérités premières étant le plus souvent énoncées les dernières, rappelons quelques notions concernant le rapport de l’animal à la mort.

Étant donné les connaissances actuelles en psychologie et éthologie animales, il semble légitime d’affirmer que les animaux n’ont pas, comme les humains, une représentation consciente de la mort.
, mais ils n’ont pas les moyens « d’imaginer » à long terme ce qu’ils sont appelés à vivre. Ils ne savent pas que leur temps de vie est limité et qu’ils sont biologiquement programmés, comme tout être vivant, et condamnés inéluctablement à une mort certaine.

Par contre tout démontre dans leur comportement que, paradoxalement, ils savent de manière intuitive, peut-être mieux que les humains, que la seule chose qui importe dans la vie c’est de vivre, de protéger leur vie par tous les moyens dont ils disposent, parfois au prix d’une dépense énergétique fabuleuse (l’exemple du vol des oiseaux migrateurs est particulièrement patent).
http://www.fondation-droit-animal.org/97-lanimal-et-la-mort/

bouguereau dit: à

Je n’aime pas ces blagues juives. A qui bon les répéter sans cesse ? Elles ne font rire personne

..rire mais surtout laisser pleurer..il y a un gros bénéfice a prendre..mon avis c’est quil faut longtemps réfléchir avant que de s’en saisir..ça c’est de « l’étude » d’aujourdhui

D. dit: à

Tu dis absolument importe quoi, hamlet.
La Bible est truffée de textes spirituels relatifs au messie. Tiens je te mets le Cantique de Siméon, très politique.

 Nunc dimittis servum tuum, Domine, secundum verbum tuum in pace. Quia viderunt oculi mei salutare tuum, quod parasti ante faciem omnium populorum. Lumen ad revelationem gentium et gloriam plebis tuae Israel.»

bouguereau dit: à

ça nvaut rien de se faire le relai de préchiprécha pseudo scientifique renfield..

Jazzi dit: à

Moi aussi, et alii, je suis un non observant-pratiquant pas du christianisme…
De manière générale, je me méfie des exégètes et des commentateurs. Leurs analyses ne peuvent pas être dépourvues de toute subjectivité et court toujours le risque d’être soumises à l’aune de la bien pensance actuelle…
Je préfère revenir aux textes originels !

et alii dit: à

le boug, vous êtes un pseudo artiste, et n’amusez personne,si c’est votre intention; clopine que vous avez harcelée a su à quoi s’en tenir ; si vous vous imaginez que ça fait humour juif ou seulement juif, vos bredouillements, essayez le sur scène ou sur des sites expressément juifs(il y en a) et vous reviendrez après montrer vos progrès

renato dit: à

Si on se tient à Satie, les animaux ont un art, un musique, etc., mais ils n’écrivent pas des livres.

D. dit: à

Bouguereau, le Christ guérissait évidemment par Dieu. Et ça marchait à tous les coups contrairement à ce que tu dis. Jusqu’à la résurrection de Lazare qui est le don de la vie à un mort, dont seul Dieu est capable.

Un rebouteux est enchaîné par le diable. Qui ne lui rappelle jamais que toute douleur enlevée, par des formules insultant Dieu pour qui sait les décrypter (j’en connais un certain nombre auxquelles j’ai eu accès, elles sont particulièrement « curieuses » et d’apparence anodine, cela fait partie du mensonge, elle renferment pourtant de terribles blasphèmes et des commandements aux forces demoniaques de l’invisible qui évidemment les comprennent), toute douleur enlevée retombera sur un proche au moment où personne ne s’y attend.
Aucune brûlure, aucun zona n’est enlevé sans grave contrepartie, les petites lignes du « contrat ». Et le prince du mensonge utilise tous les stratagèmes pour le faire oublier. Pourtant de générations en générations les rebouteux et leur pauvre clientèle sont régulierement mis en garde par les prêtres. Ils ne sont pas écoutés. L’enfer les attend ou un très long purgatoire.

Jazzi dit: à

Moi j’ai connu et je connais encore des chiens (des chiennes aussi bien) qui regardent leurs maîtres (ou leurs maîtresses) comme Dieu le Père ! Peut-être même bien qu’il y a des animaux qui croient en un Dieu fait Hom(m)e ?

et alii dit: à

jazzi, pour utiliser à propos un texte original pour « la bible » il faut déjà savoir s’orienter dans de nombreuses langues, -et pas seulement ce qu’on nomme l' »hébreu biblique »(puisqu’il y a même de l’araméen »!, et connaître l’histoire des textex, des copies et de leurs traductions; des « savants y consacrent leur vie » ;voyez comme pour l’histoire de côte de la crétion de l’homme, je vous ai sorti l’akkadien que j’avais déjà entendu de F.Malbran et de Bottero , et croyez moi, que l’akkadien, ça requiert une attention à tout pour « reconnaître » l’écriture;c’est du travail qui exige une liberté de regard, de comparaison entre les signes autre que ce qui est manifesté sur la RDL.JE suis passée par là; et ce n’est pas internet pour le peu que je l’ai parcouru et compris qui pourra vous être d’un grand secours

et alii dit: à

d’autant jazzi qu’il est souhaitable de lire et étudier les premiers traducteurs et se débrouiller en anglais et en allemand; mais vous verrez bien vous-même vos forces pour étudier!(libido sciendi)

renato dit: à

Si on flatte un cochon il grimpe dans un arbre.
Proverbe japonais

Marie Sasseur dit: à

Très peu de gens entendirent cet appel. En 2020, la majorité des français, des moutons, faisaient confiance à macron ….

Marie Sasseur dit: à

18 juin 2020, 19h14

et alii dit: à

renato:comment redescend-il de l’arbre?

Jazzi dit: à

Oui, et alii, et j’aurais du mettre des guillemets à originel.
Tout mon effort va consister ici à réunir les plus purs fragments de textes sur le sujet, exclusivement traduits en français : grâce notamment au travail de toute une vie de la chaine des passeurs…

Marie Sasseur dit: à

Le cœur du dispositif macronien: des denonciations, suivies de sanctions, en absence totale de la justice.

et alii dit: à

PAGE ARAMEEN DE WIKI:
C’était une des langues quotidiennes en Judée pendant la période du Second Temple (539 av. J.-C. – 70 apr. J.-C.), la langue parlée par Jésus-Christ4,5, la langue d’une grande partie des livres bibliques de Daniel et d’Esdras, et la principale langue du Talmud6. Toutefois, le judéo-araméen était différent par les caractères et par la grammaire. La longue histoire de l’araméen et son utilisation diversifiée et généralisée ont abouti à la création de nombreux dialectes, parfois considérés comme des langues. Ainsi, il n’y a pas eu une langue araméenne statique, »

Jazzi dit: à

« comment redescend-il de l’arbre ? »

En se laissant retomber sur le cul, et alii !
M’enfin, c’est juste une image…
Flatter c’est aussi caresser, renato.
Caresser votre chien et il vous regardera comme un Dieu ?

Marie Sasseur dit: à

#Il y avait de l’idée, et j’ai constamment pensé à Marie Sasseur (MS). 

Le harceleur avait pris du viagra pour l’aider à « penser ».

Jazzi dit: à

« Le harceleur avait pris du viagra pour l’aider à « penser ». »

S’il a du mal à « penser », il peut pas bien vous harceler, Marie Sasseur, un peu de commisération voyons !

Marie Sasseur dit: à

« «Mal ficelé», «Liberticide», «censure pavée de bonnes intentions» : Après les nombreuses du monde politique, juridique et intellectuel, le cœur du dispositif de la loi contre la haine en ligne, dite «loi Avia», a été censuré ce jeudi 18 juin par le Conseil constitutionnel. »
Figaro
On peut continuer de dauber sur macron, ouf!

Ça, plus les révélations du jour sur une intention , réussie, de fausser les élections présidentielles de 2017, jour où celui qui ne trouvera jamais une légitimité, est parti a Londres retrouver le  » premier cercle » de ses soutiens financiers,
Ça fait beaucoup pour un 18 juin !

Jazzi dit: à

Rudes journées aussi pour Marine Le Pen, Marie !
Il parait que sa tangue sur son propre bateau ?

Marie Sasseur dit: à

Dites, la tafiole, vous bouffez à tous les râteliers, même chez les montretout, c’est votre « goût ». Pas le mien.

D. dit: à

Je ne pense pas que Marine Le Pen puisse diriger la France. Et encore moins Macron, qui de plus est extrêmement mal secondé et entouré. Et continuera à l’être.
Personne non plus chez les républicains ni à gauche ni au centre…
Il manque à la France un vrai guide.

Marie Sasseur dit: à

#Il parait que sa tangue sur son propre bateau ?

La fille du borgne a lancé son appel, le jour où petain a appeler à se coucher. Un appel aux « desesperes » comme la foldingo.

Jazzi dit: à

« Jésus, dont la langue était l’araméen, lisait aussi l’hébreu, mais il n’a jamais écrit sauf avec son doigt, une fois, par terre. Au cours des soixante-dix ans qui suivirent sa disparition, cinq de ses apôtres, dont trois de ses cousins, et quatre disciples, dont trois ne l’avaient pas connu, composèrent en grec les vingt-sept ouvrages qui forment le Nouveau Testament », écrit en introduction du volume de la pléiade Jean Grosjean.
Là, les auteurs sont parfaitement identifiés…

Marie Sasseur dit: à

Personne non plus chez les républicains.

Avec une majuscule. Il y a en beaucoup qui sont concernés.

Marie Sasseur dit: à

Et on a compris que la pleiade avait surtout écrit un nouvel évangile du new age…

D. dit: à

Oui en effet. Les Républicains.
Merci pour cette correction, Marie.

Marie Sasseur dit: à

De rien.

« Les deux patrouilles aériennes militaires, la Patrouille de France (PAF) et les Red Arrows britanniques, participent aux commémorations des 80 ans de l’Appel du 18 juin 1940, acte fondateur de la France Libre. »

hamlet dit: à

Jazzi, la bien pensance de Walter Benjamin ?

non c’est la question, la signification :le Messie Emmanuel, Dieu est avec nous, l’arrivée d’un individu qui dirait « Dieu est avec nous », pourquoi ? la traduction on s’en tape, faut toujours poser la question pourquoi Jazz, est-ce parce que ce n’est pas le cas ? Dieu n’est pas avec nous et grâce à ce Messie il serait enfin parmi nous ? sauf qu’il faut prendre ce mot « parmi » comme « en nous », Dieu est là, mais il n’est pas là, si le Messie fait en sorte qu’il soit parmi nous c’est qu’en vérité il ne l’est pas, où est-il alors s’il n’est pas encore parmi nous, il est ailleurs.
Jazzi il faut bien comprendre ça : on a déjà un Dieu, il faut en plus un Messie ? et là il faut poser la question : mais à combien faut-il qu’ils s’y mettent pour que ce Dieu soit enfin parmi nous.
Parce qu’on a déjà le Christ, et là on ne peut pas dire que le résultat, avec 2000 ans de recul, soit absolument génial, je veux dire il ne serait pas là qu’au final ça ne ferait pas grande différence.
Du coup il en faudrait un plus fortiche que le Christ, qui ferait mieux que lui, pour Dieu finisse par être parmi les hommes ?
ça ne tient pas debout Jazzi ! je veux dire au bout de combien de Messies Dieu va être enfin parmi nous ? 10 ? 100 ? dix mille ?
ça n’a pas de sens, tu comprends.
Pourquoi ça n’a pas de sens ? parce qu’on prend le problème à l’envers ! et voilà ! on peut faire débarquer un million de Messie si l’homme est toujours aussi étanche à la présence de Dieu et ben c’est comme pisser dans un violon.
Sauf que ces types qui ont écrit la Bible il le savaient, ils étaient au courant que les choses marchaient comme ça tu comprends ? Et c’est bien pour ça que les juifs ne pouvaient pas considérer Jésus comme le Messie, pour éviter d’avoir con parce qu’ils savaient bien qu’il n’allait rien change, et effectivement ça n’a rien changé.
Pourquoi ? là encore il faut poser la question du pourquoi ? parce que Dieu a fait l’homme a son image, et tant qu’un ne bronche pas l’autre peut pas broncher, ce qui veut dire quoi ? que si Messie il doit y avoir cela ne peut être que de l’ordre d’une prise de conscience ! un éclair de lucidité qui éclaire la conscience des hommes pour faire en sorte que Dieu soit soudain là parmi eux.
En attendant il ne s’agit de rien d’autre qu’un horizon, une perspective, de ce qu’on l’on appelle le plus souvent une humanité, Dieu a fait l’homme à son image, mais si Dieu n’est pas là cela signifie rien d’autre que cet homme n’est pas encore là, l’humanité est un concept qui n’est pas encore advenu, l’homme se fait une idée de cette humainté, mais tout comme Dieu elle n’est pas là, et quand Dieu sera parmi les hommes alors cette humanité apparaitra enfin, voilà ce qu’est la notion de « Messianité ».
Et ça tu peux chois n’importe quelle traduction, n’importe quel auteur, si tu n’as pas enregistré dans ton cerveau cette vérité tu passeras à côté de toutes tes lectures, et voilà, c’est comme ça et j’y peux rien.

Marie Sasseur dit: à

« Devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale consacrée à «l’indépendance du pouvoir judiciaire», le 10 juin, Éliane Houlette a révélé avoir subi «la pression du parquet général» au début de l’affaire Fillon, en février 2017, selon des propos rapportés par Le Point. Aussitôt l’article paru, mardi dernier, François Fillon l’a envoyé par SMS à plusieurs soutiens, voyant là, «la confirmation des accusations qu’il avait portées à l’époque contre le pouvoir mais qu’il n’avait pas pu prouver», explique un proche. »
Figaro

Comme quoi , tout arrive.

hamlet dit: à

W. Benjamin, sinon on comprend pas pourquoi les juifs ont inventé le marxisme, le socialisme, le communisme, pourquoi à New York les intellectuels juifs étaient soupçonnés d’être des traitres au capitalisme, jusqu’à l’arrivée de couillons comme Woody Allen, pourquoi ? parce que le Messianisme est avant tout une idée politique, et même la Bible est un livre politique, même les Evangiles, le Christ était un révolutionnaire marxiste, pourquoi ? il faut relire les textes d’Esaïe et les autres, leur seule préoccupation c’est quoi ? la justice et l’équité.
Dieu sans justice et équité ça équivaut à du boudin aux pommes, et rien d’autre. Il faut bien comprendre comment tout cela fonctionne.

Sauf que tu ne le comprendras pas Jazzi parce que tu n’as aucune conscience politique, et sans conscience politique il ne peut pas y avoir de conscience religieuse.
C’est pour ça que tu parles de « bien pensance actuelle » : le fait même de le dire prédit que tu passeras à côté de ta lecture.
Pour lire la Bible il faut commencer par être marxiste, c’est pour ça que tous les juifs sont marxistes, mêmes les banquiers et les vendeurs de fringues, c’est une obligation, c’est le péage d’entrée, sinon vaut mieux oublier parce qu’on comprend rien à rien.

hamlet dit: à

pareil pour les rabbins c’est pareil ! si un rabbin n’est pas marxiste c’est forcément un mauvais rabbin, on peut prendre le problème dans tous les sens : si un rabbin n’est pas marxiste c’est pas un bon rabbin.
alors qu’un curé on s’en fout qu’il soit de droite ou de gauche, un rabbin non, c’est juste pas possible, même si voter à droite c’est trahir le Christ.
Bible sans conscience politique n’est que ruine de l’âme.

Jazzi dit: à

Marie Sasseur radote et hamlet est parti en sucette !

Jazzi dit: à

« Pour lire la Bible il faut commencer par être marxiste »

Et pour être chrétien, aussi, hamlet ?

Pour ça, tu attendras mon prochain goût du Kapital, chaque chose en son temps !

Marie Sasseur dit: à

La tafiole, lui, ça le laisse amorphe,
ce scandale d’État. Encore un !
Devrait faire comme Passou , mettre des google glasses, en attendant que ça passe. Ou fumer un petard de plus, au point où il en est de sa vie de merde, le bas rosi.

Affaire Fillon : l’ex-procureur national financier assure avoir subi des « pressions »Éliane Houlette a été longuement entendue le 10 juin par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale consacrée à « l’indépendance du pouvoir judiciaire ».

Par Marc Leplongeon
Modifié le 17/06/2020 à 18:36 – Publié le 17/06/2020 à 18:33 | Le Point.fr

En plus c’est un torchon qui s’y colle.

Chaloux dit: à

Jazzi, fade-toi la pléiade des premiers écrits chrétiens.Tu vas voir comme c’est simple de « revenir aux textes »…Là tu racontes vraiment n’importe quoi.
Jette un coup d’œil sur Jésus et l’histoire de Charles Perrot.

Clopine dit: à

Pour une fois je suis d’accord avec Hamlet. Il vaut bien mieux avoir quelques notions de marxisme (au hasard, tenez « la religion est l’opium du peuple »), pour lire la bible, et aussi un peu d’opinions littéraires sur le style (Nietzsche ne me contredirait pas !), sans compter un certain goût pour les mythes, légendes et contes de fées, pour lire la bible.

Sinon, on risque de croire à ce que dit ce bouquin rafistolé, et là…

Désastre. On invente un paradis pour consoler la mort, un dieu pour penser à votre place,on accepte de mourir pour ça, et on devient Marc Court d’idées.

Je vous laisserais bien imaginer, mais hélas. Pas besoin. On nage dedans.

et alii dit: à

je me demande quand même si, quand ilm’a éaté fait tels et tels reproches avec pour argumentque je ne connaissais pas tels contributeurs, trices, il ne fallait pas entendre l’expression française « connaître bibliquement » que j’ai lue sur la RDL;
je pense qu’i faudrait dénoncer cette expression en vérifiant l’usage des autres langues sur le temps;
c’est une proposition de pétition qui, je trouve, honorerait la RDL

Marie Sasseur dit: à

Pourquoi Passou est aux abonnés absents… strange tout de même.
Un anniversaire , en dizaine, c’est important, non ?
Bon ok, celui qui souffle les bougies today est l’un des pires imposteurs de l’histoire de France, mais faut pas bouder. Se tromper, ça arrive.
Sur tout ce qui est important, c’est plus rare !
Alors je comprends que la rdl passe cet anni avec un père incestueux…

Sans moi.

« Dès la déclaration de la guerre en septembre 1939, elle se présente volontairement au ministère des Affaires étrangères et est affectée à Londres au sein de la « mission française de guerre économique » que dirige l’écrivain et diplomate Paul Morand. En juin 1940, au moment de la bataille de France, elle décide qu’elle ne reviendra pas en France une fois l’armistice signé.

Le 17 juin, elle est sollicitée par Geoffroy Chodron de Courcel, un ami de jeunesse, qui est alors officier d’ordonnance du général de Gaulle, arrivé le matin même à Londres, pour effectuer des travaux de secrétariat : sa première tâche sera de taper à la machine le texte de l’appel du 18 juin 1940[2]. Elle raconte dans son autobiographie : « Je me suis retrouvée devant une machine à écrire, alors que je tapais fort mal, et devant des feuilles manuscrites très difficiles à déchiffrer. J’étais installée dans une chambre, à côté de la salle à manger. Le Général s’est absenté une partie de la matinée. Il est sorti pour déjeuner. Mon vrai travail a commencé vers trois heures. Je m’applique laborieusement à lire un texte finement écrit et surchargé de ratures. Je dois le recopier, au propre, à la machine […]. Ces mots vont constituer une page d’histoire. Je ne le sais pas encore. Pourtant j’ai l’obscur pressentiment de participer à un événement exceptionnel […]. Je n’ai pas entendu l’appel ce soir-là ! »[3]. Elle reste ensuite au service des FFL comme secrétaire du général. »
Wiki

Janssen J-J dit: à

@ MS, arrêtez de harceler Passou, et de lui demander de se prononcer sur tout et n’importwak. Ecrivez-lui à son adresse perso pour lui faire part de vos condoléances attristées du gaullisme !

@ bouguereau : « peut être démontre t’elle même une trouille hintense quelle puisse l’être..doù le déni estrement précipité » –
ce que j’en comprends, c’est que la conscience de la finitude chez les êtres humains les a dissociés des animaux à l’âge axial, et que l’invention des « religions » et des rituels mortuaires destinés à conjurer l’angoisse de la mort ont rendus les deux espèces vivantes incommensurables les unes les autres… Cela n’autorise aucunement à inférer plus qu’une projection anthropomorphique de notre angoisse « humaine » de la mort, sur celle des animaux, laquelle n’est pas mesurable ni préhensible à notre aune… (Le lien d’etalii à ce sujet sur « l’intuition » animale de la mort ne m’a pas vraiment convaincu… L’intuition, tout comme la prescience, ne sont pas des concepts vécus, même émotionnellement, par les animaux… Ou alors il faudra pour me le démontrer se lAver de bonne heure).
Bon, je sais pas si c’est ce que vous vouliez dire, bouguereau, pardon si je vous ai pigé de travers, c que n’êtes pas toujours facile d’accès, et votre propos était sans doute moins banal et plus profond que mes apparentes certitudes)…
Bàv, épices et tutti frutti.

rose dit: à

merci christiane

« Mémoire aussi de ce 18 juin…
La résistance française naît le 18 juin 1940 avec l’appel lancé à la radio de Londres par le général De Gaulle. Contrairement à Pétain, il refuse de cesser le combat et appelle à résister aux nazis. Il est entouré d’une minuscule armée : les FFL (Forces Françaises Libres).

Très peu de gens entendirent cet appel. »

Il y eut Romain Gary, Joseph Kessel et son neveu Marice Druon et Antoine de Saint Exupéry et tant d’autres têtes brûlées !

Jazzi dit: à

« Il y eut Romain Gary, Joseph Kessel et son neveu Marice Druon et Antoine de Saint Exupéry »

Trois de vos écrivains préférés, rose !
Est-ce un hasard ?

Jazzi dit: à

« L’intuition, tout comme la prescience, ne sont pas des concepts vécus, même émotionnellement, par les animaux… »

Vous en avez parlé avec Georges, JJJ ?

Jazzi dit: à

André Malraux :

« — Il y a le 18 juin à sa date, et le symbole qu’il est devenu pour et par la continuité d’une action. A sa date : il ne s’agit pas d’un discours mais d’un appel. Il ne faut pas oublier l’atmosphère du moment. La débâcle de l’armée française. Toute la France jetée sur les routes. La veille, 17 juin, Pétain a prononcé à la radio de Bordeaux les mots décisifs : «C’est le cœur serré que je vous dis aujourd’hui qu’il faut cesser le combat».

L’appel du 18 juin annonce, avec ceux qui vont le suivre immédiatement, la création d’une légion française, la volonté de poursuivre la guerre aux côtés des Alliés en ne livrant ni l’Empire ni la flotte.

C’est cela, au fond, qu’on attendait, explique André Malraux : la formation d’une unité de volontaires français qui combattraient dans l’armée anglaise jusqu’à la victoire finale; le refus d’admettre la fatalité. C’est comme cela que l’appel fut d’abord interprété et rapporté : un général français, dont on n’a pas très bien compris le nom, mais dont on a vaguement retenu qu’il a été membre du gouvernement (il le suggère : «Moi qui vous parle en connaissance de cause»), a invité, à la radio anglaise, tous ceux qui voulaient encore se battre à se joindre à lui.

Pourtant, je ne crois pas que son action soit là.

Le général de Gaulle n’est pas un politicien. Mais il n’est pas non plus le général Anders. Dès le premier discours, celui du 18 juin, le destin de la France est en cause. Son destin, non le courage d’une poignée de combattants.

L’appel apporte une affirmation, presque une révélation, qui légitime ce qu’espèrent et n’osent espérer presque tous les Français, même ceux qui sont alors fidèles à Pétain : «France n’est pas morte». L’essentiel est là, «les prophètes d’Israël ne font nullement des prophéties : ils proclament ce que leurs auditeurs portent en eux, mais ignorent ou n’osent pas reconnaître». Ainsi de Gaulle révèle-t-il ce que beaucoup, à la fois, espèrent et n’osent espérer. Il s’agit moins de former un corps de bataille que de témoigner, moins de prophétiser la victoire finale que d’affirmer une réalité présente. «La France n’est pas morte». Une idée toute simple, perceptible pour tous.

Dans l’histoire comme dans la religion, la complexité n’a pas de valeur : les choses capitales sont simples. Le génie, c’est d’isoler l’essentiel. Regardez les proclamations de Napoléon – pas celle d’Egypte, avec les quarante siècles qui vous contemplent, – cela, ses grenadiers s’en moquaient; celles de la campagne d’Italie : «Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde». Le discours de Clemenceau : «Je fais la guerre». Cela suffit. Ce que dit Jeanne d’Arc – pas à son procès, mais au début de l’aventure. Et Danton. Et Saint-Just. Et Gandhi. «Si l’on résumait les Evangiles, une page suffirait».

Le 18 juin, il s’agit de rendre confiance. Il répète trois fois : «La France n’est pas seule». Son argumentation acharnée : «Nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force mécanique supérieure» n’est pas destinée qu’à cette fin. Il faut maintenir dans la lutte l’Empire et la flotte pour y maintenir la France. «Il faut qu’il y ait une espérance». Si cette guerre est une guerre de trente ans (depuis 1914), la défaite n’est qu’un épisode. Il prophétise (il ne cessera de prophétiser) la victoire, mais ce qu’il veut, dès le 18 juin, c’est d’abord délivrer la France de son propre abandon. Idée importante, fondamentale. »

D’où la profondeur de son conflit avec Vichy : pour lui, Vichy, c’est l’abandon. Des années durant, il défendra la France contre cet abandon. La France combattante. La Résistance.

Jazzi dit: à

André Malraux :

« Il y a le 18 juin à sa date, et le symbole qu’il est devenu pour et par la continuité d’une action. A sa date : il ne s’agit pas d’un discours mais d’un appel. Il ne faut pas oublier l’atmosphère du moment. La débâcle de l’armée française. Toute la France jetée sur les routes. La veille, 17 juin, Pétain a prononcé à la radio de Bordeaux les mots décisifs : «C’est le cœur serré que je vous dis aujourd’hui qu’il faut cesser le combat».

L’appel du 18 juin annonce, avec ceux qui vont le suivre immédiatement, la création d’une légion française, la volonté de poursuivre la guerre aux côtés des Alliés en ne livrant ni l’Empire ni la flotte.

C’est cela, au fond, qu’on attendait, explique André Malraux : la formation d’une unité de volontaires français qui combattraient dans l’armée anglaise jusqu’à la victoire finale; le refus d’admettre la fatalité. C’est comme cela que l’appel fut d’abord interprété et rapporté : un général français, dont on n’a pas très bien compris le nom, mais dont on a vaguement retenu qu’il a été membre du gouvernement (il le suggère : «Moi qui vous parle en connaissance de cause»), a invité, à la radio anglaise, tous ceux qui voulaient encore se battre à se joindre à lui.

Pourtant, je ne crois pas que son action soit là.

Le général de Gaulle n’est pas un politicien. Mais il n’est pas non plus le général Anders. Dès le premier discours, celui du 18 juin, le destin de la France est en cause. Son destin, non le courage d’une poignée de combattants.

L’appel apporte une affirmation, presque une révélation, qui légitime ce qu’espèrent et n’osent espérer presque tous les Français, même ceux qui sont alors fidèles à Pétain : «France n’est pas morte». L’essentiel est là, «les prophètes d’Israël ne font nullement des prophéties : ils proclament ce que leurs auditeurs portent en eux, mais ignorent ou n’osent pas reconnaître». Ainsi de Gaulle révèle-t-il ce que beaucoup, à la fois, espèrent et n’osent espérer. Il s’agit moins de former un corps de bataille que de témoigner, moins de prophétiser la victoire finale que d’affirmer une réalité présente. «La France n’est pas morte». Une idée toute simple, perceptible pour tous.

Dans l’histoire comme dans la religion, la complexité n’a pas de valeur : les choses capitales sont simples. Le génie, c’est d’isoler l’essentiel. Regardez les proclamations de Napoléon – pas celle d’Egypte, avec les quarante siècles qui vous contemplent, – cela, ses grenadiers s’en moquaient; celles de la campagne d’Italie : «Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde». Le discours de Clemenceau : «Je fais la guerre». Cela suffit. Ce que dit Jeanne d’Arc – pas à son procès, mais au début de l’aventure. Et Danton. Et Saint-Just. Et Gandhi. «Si l’on résumait les Evangiles, une page suffirait».

Le 18 juin, il s’agit de rendre confiance. Il répète trois fois : «La France n’est pas seule». Son argumentation acharnée : «Nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force mécanique supérieure» n’est pas destinée qu’à cette fin. Il faut maintenir dans la lutte l’Empire et la flotte pour y maintenir la France. «Il faut qu’il y ait une espérance». Si cette guerre est une guerre de trente ans (depuis 1914), la défaite n’est qu’un épisode. Il prophétise (il ne cessera de prophétiser) la victoire, mais ce qu’il veut, dès le 18 juin, c’est d’abord délivrer la France de son propre abandon. Idée importante, fondamentale. »

D’où la profondeur de son conflit avec Vichy : pour lui, Vichy, c’est l’abandon. Des années durant, il défendra la France contre cet abandon. La France combattante. La Résistance.

Clopine dit: à

N’allez pas croire que je sois morbide, m’enfin, s’il y avait une chose dont j’étais absolument, intimement, profondément persuadée quand j’avais vingt ans (et dont l’idée ne me quitte guère ces jours-ci) , c’est qu’il n’y aurait absolument personne à mon enterrement, puisque ni les chats ni les chiens ne sont autorisés à participer à cette sorte d’évènement. Cette interdiction animale vient évidemment d’une crainte : « des fois qu’ils pissent sur les tombes », bien sûr, « à défaut de cracher »…

Mais en réalité, plus que le pipi du toutou sur ma tombe, , à vingt ans, j’ avais déjà eu ma part du crachat de mes congénères, n’est-ce pas…

Je suis un petit peu plus optimiste aujourd’hui.

Y’ aura peut-être une dérogation, et les quatre pattes pourront m’accompagner ?

Je verrais ça avec plaisir. J’y pensais, en remplissant les gamelles du soir. Je suis sûre que,s’ils le pouvaient, tous les animaux qui ont rempli ma vie m’accompagneraient à leur tour, quand il s’agira d’abandonner ma dépouille. Car eux, au moins, ne m’ont jamais jugée, ni même n’ont pensé à le faire.

Jazzi dit: à

« L’Appel du 18 joint est initialement un manifeste appelant à la légalisation du cannabis en France, publié le 18 juin 1976 dans le quotidien Libération.

En 1993, le Collectif d’information et de recherche cannabique ressort le texte de l’appel pour en faire une pétition ; depuis, il organise annuellement des rassemblements, le 18 juin, pour interpeller l’opinion publique et relancer le débat sur la prohibition du cannabis. »

Qui signe ?
Marie Sasseur peut-être ?

l’ombelle des talus dit: à

À la demande générale, une pensée pour Félix :

« (…) L’effondrement de juin 1940 et l’occupation de Paris stupéfient le gouverneur Éboué qui, refusant l’idée de l’armistice, câble, dès le 29 juin, au gouverneur général Boisson sa détermination à maintenir le Tchad dans la guerre. Félix Éboué dont les convictions humanistes et républicaines sont aux antipodes des valeurs du gouvernement Pétain prend contact avec le général de Gaulle dès le début du mois de juillet. (…) »
https://www.ordredelaliberation.fr/fr/compagnons/felix-eboue

frantz dit: à

Rose, Saint-Exupéry n’a jamais été gaulliste, bien au contraire. En juillet 1940, il se réfugie à New-York. Patriote, certes, mais il met sa notoriété au service d’un dénigrement systématique de de Gaulle et de la France Libre, confortant Roosevelt dans sa méfiance envers de Gaulle. Quand il arrive à Alger en mai 1943 pour reprendre le combat, c’est comme Giraudiste et dans l’aviation américaine.

Janssen J-J dit: à

@ Vous en avez parlé avec Georges,
Qui est Georges, jzmn ?… Mon coq ?… Bien sûr que oui et non, je n’entretiens hélas aucune illusion sur ma basse-cour. Monique viendrait-elle à crever sur le champ que si non la laissions en plan, son amie et Georges, son protecteur ne seraient pas long à venir la picorer puis la déchiqueter sans aucun état d’âme « apparent »…

@ CT, il n’est pas interdit de se faire enterrer ou brûler avec son chat et son chien, d’après la législation française. Rien à voir avec des craintes de salissures. Les fascistes dans les cimetières juifs le sont souvent infiniment plus… Et pour ma part, j’ai pissé sur la tombe de Ph. P. dans l’île d’Yeu. J’étais très en colère et n’en fut pas fier. Or, mon chien, un berger allemand, à cette époque, ne crut pas devoir m’accompagner dans cet acte…

@ Des chiens « hurlent à la mort », dit-on, quand ils souffrent de comprendre que leur maître vient de mourir ou va mourir. Mais en réalité, cette métaphore constitue encore une lugubre projection anthropomorphique. Ils craignent simplement de n’être plus nourris comme auparavant, voire plus nourris du tout, et de recevoir en tout cas moins d’affection. Ils protestent et se lamentent. Mais ne pleurent pas leur maître… On n’a jamais vu d’animaux se laisser dépérir sciemment pour accompagner leur maître dans la mort et lui rendre courage pour affronter ce moment difficile. Il suffit qu’un substitut se présente à la place du maître pour s’en apercevoir. C’est bien souvent parce qu’il n’en est pas de disponible que l’aquoibontisme SEMBLE être l’attitude du vieux et patient chien Argos… etc,

Clopine dit: à

J J-J, Ph P ???

(‘tain, j’adore cette dernière « question » . On se croirait en pleine cryptogamie, et je défie quiconque, n’ayant pas accès à nos échanges, d’y comprendre goutte !)

hamlet dit: à

Jazzi je ne vois pas ce que viennent faire les sucettes là-dedans.

la question est simple, tu parlais de Messie et Bible.

je t’ai donné ma réponse simple : dans la Bible le Messie n’est une personne, mais une idée – – une notion – un concept – un horizon – une perspective etc…

toi tu me dis non le Messie c’est une personne.

j’imagine que tout le monde est d’accord avec toi !

voilà, après c’est comme dit Pablo : moi je suis un inculte et je suis face à des gens hautement cultivés, donc je m’incline.

et voilà, je veux pas de problème de sucette.

Jazzi dit: à

« que viennent faire les sucettes là-dedans. »

Tu commençais à dire que tous les Juifs sont des marxistes, hamlet. Sous-entendu des matérialistes… Si je ne t’avais pas un peu redressé, ça aurait fini en pamphlets de Céline !

Pisser sur la tombe à Pétain, c’est un peu puéril, Clopine. D’ailleurs, JJJ n’a pas l’air d’en être très fier…

Jazzi dit: à

« Qui est Georges, jzmn ?… Mon coq ?… Bien sûr que oui et non, je n’entretiens hélas aucune illusion sur ma basse-cour. »

Pauvre basse-cour, qui finira dans vos casseroles, JJJ !
En a-t-elle la prescience ?

et alii dit: à

« Je pensais trouver à Londres l’Église, et j’ai trouvé la Synagogue ! », s’est exclamé de Gaulle en 1941 dans la capitale britannique où il avait trouvé refuge pour organiser les réseaux de la Résistance française à l’occupant nazi après son fameux « Appel du 18 Juin » 1940 lancé sur les ondes de la B.B.C. émettant de l’autre côté de la Manche.
bonsoir

D. dit: à

voilà, après c’est comme dit Pablo : moi je suis un inculte et je suis face à des gens hautement cultivés, donc je m’incline.

En effet on ne peut pas exclure ça hamlet. On a essayé à plusieurs d’amener progressivement cette idée, avec toute la délicatesse que ça exige pour ne pas causer de vexation. Ce n’est jamais agréable et nous en avons conscience.

D. dit: à

Le Messie, c’est une personne, hamlet. Un sauveur. Avec une majuscule. Pas n’importe lequel : celui qui a reçu l’onction. Le seul, le promis de Dieu. Qui, sans vouloir me mettre à sa place, nous parle plus de spiritualité que de politique. À priori.
Et le messianisme c’est le courant qui porte le concept. Ce n’est pas si compliqué.

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