de Pierre Assouline

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La République des livres
De quelques romans de la rentrée (2)

De quelques romans de la rentrée (2)

Francis Bacon a-t-il eu seulement une nourrice ? Et d’abord l’a-t-elle vraiment élevé jusqu’à le suivre dans ses pérégrinations une fois adulte ? A la limite, on s’en fiche ; on n’ira pas vérifier car on y croit dur comme fer dès lors que Maylis Besserie est notre guide. Son roman La nourrice de Francis Bacon (247 pages, 20 euros, Gallimard) clôt une trilogie irlandaise commencée avec Beckett (Le Tiers-temps, 2020), poursuivie avec Yeats (Les amours dispersées, 2022) et achevée là avec Bacon. Car cette écrivaine a vraiment l’Irlande chevillée au corps, à l’esprit, à l’âme. L’écriture en est fine, précise, charnelle, subtile. Le grand peintre y est raconté de l’intérieur par sa nourrice, comme l’indique le titre, encore que le terme de nanny convienne mieux ainsi qu’elle en fait usage en permanence dans le livre. Entre les deux mots, il y a davantage qu’une nuance.

Même en France, dans des familles de la grande bourgeoisie, il y a un attachement de longue durée, disons : de la naissance à la mort, à cette mère de substitution qui est bien davantage qu’une mère nourricière. Besserie donne donc la parole du début à la fin à celle du futur artiste, une anglaise protestante originaire des Cornouailles exilée par nécessité en Irlande chez les Bacon. Elle est épatante par son franc-parler dont se dégage un humour irrésistible, son langage imagé, son esprit cash, l’auteure ayant trouvé la note juste pour les restituer sans forcer la dose de la familiarité. C’est une prouesse d’y parvenir en près de trois cents pages (lire ici des extraits)  ; et quelle idée formidable d’en faire la narratrice exclusive et l’unique point de vue de l’existence hors-norme de ce créateur hors-pair !

Il revient donc à Jessie Lightfoot (mais oui, elle a vraiment existé !) de raconter ce garçon à part dès le début, fouetté au sang dans l’étable pour un oui ou pour un non par son père colérique, brutal, pervers, jamais en retard d’une humiliation, qui ne supportait pas d’apprendre qu’au pensionnat son fils fréquentait plus assidûment les dortoirs que les salles d’études et qui le bannit de la maison de famille à 16 ans après que celui-ci fut découvert atitfé des dessous de sa mère. La nanny le rejoint à Londres, Berlin, Paris et Londres enfin pour vivre avec lui afin de continuer à s’occuper de lui alors qu’il est en pleine ascension malgré une critique hostile que sa peinture, visages et corps tordus dont la douleur explose dans un décor clinique, dérange. Le surveiller, le préserver, le protéger et lui procurer de la drogue et des gays (selon The Times !) sans s’immiscer alors qu’il revient parfois ravagé par l’alcool, le corps meurtri et le visage tuméfié de ses nuits d’orgie dans les bas-fonds.

Son physique est si spectaculaire qu’il est des plus attirants ; ses amants de la bonne société en témoignent, oubliant à quel point son visage est entaché de laideur. Régulièrement, Besserie incruste deux pages qui disent sans appuyer mais avec justesse ce que la violence de sa vie projette de peinture sur ses toiles, ses papes hurlant, ses crucifixions, et l’influence des poèmes de TS Eliot, d’un massacre de Poussin, d’un paysage de Van Gogh, du landau de Potemkine sur son imaginaire traumatisé. Soudain on saisit mieux d’où vient cette vision fracassée de la vie. Tout cela est noué, tressé avec la sensibilité idéale pour cette prise de risque littéraire. En épigraphe figure un mot du peintre lui-même :

« Que reste-t-il à la fin ? Des dents et des os ».

Mais à la fin de cette lecture, il reste des images, des sensations, des convictions et une irrépressible empathie pour le créateur d’une œuvre sans pareille.

Avec un titre comme Veiller sur elle (578 pages, 21,90 euros, L’Iconoclaste), on s’attend naturellement à ce que « elle » soit une femme. Or il s’agit d’une troublante statue. Le sculpteur qui l’a façonnée, un artiste disgracié par la nature, vit parmi les moines afin de la protéger des regards étrangers. En explorant le mystère de cette Piéta si perturbante pour ceux qui croisent son chemin, dans le couvent où le Saint-Siège l’a reléguée à l’abri des regards, le romancier Jean-Baptiste Andrea retrace la relation contrariée de Mimo, l’humble artisan qui l’a sculptée, le seul à savoir pourquoi elle y est enfouie, avec Viola, la fille des riches et puissants aristocrates Orsini, illustre famille princière de l’Italie du Moyen-Âge et de la Renaissance dont la lignée Gravina, la seule non éteinte, est aujourd’hui représentée par le prince Domenico Napoleone Orsini, XXIIIe Duc de Gravina.

L’Italie de la première guerre mondiale aux lendemains du fascisme, disons de 1916 à 1948, avec un certain cardinal Pacelli futur Pie XII en ombre chinoise, est la toile de fond de cette histoire gouvernée par une écriture étincelante (les jurés du prix du roman Fnac 2023 qui viennent de le couronner ne s’y sont pas trompés) et dont la tyrannie faite aux femmes est le fil directeur. S’ensuit un combat de l’art contre la dictature mené par deux êtres que tout oppose, un homme et une femme qui n’auraient jamais dû se rencontrer selon une vision de l’existence pétri par un déterminisme d’airain. Mimo (moins lourd à porter que le « Michelangelo »» dont ses parents l’avait gratifié) Vitaliani, son héros, lui aussi « fait » sa propre chance, conviction ancrée dans l’esprit de Jean-Baptiste Andrea depuis sa jeunesse dès qu’il a vu dans Gilda (1946), Glenn Ford dire à Rita Hayworth :

«I make my own luck ».

  Ni avec toi ni sans toi. Air connu mais pas reconnu lorsqu’il est revisité par un écrivain assez habile pour donner plus de force encore à leur relation amoureuse en lui conservant son caractère platonique. Aussi prenant que poignant (on ne s’extrait pas impunément de sa condition), cette fresque d’un romanesque absolu est portée par des pages d’anthologie, notamment, celles consacrées au rôle de l’aristocratie génoise dans la montée du fascisme ou encore la catastrophe ferroviaire de Saint-Michel de Maurienne qui vit périr 435 permissionnaires français retour du front italien en 1917 lors du déraillement de leur train dans cette commune de Savoie.

« Sculpter, c’est juste enlever des couches d’histoires, d’anecdotes, celles qui sont inutiles, jusqu’à atteindre l’histoire qui nous concerne tous ».

Sculpter, écrire… C’est peu dire que ce roman se distingue par la fête de l’imagination à laquelle il nous convie. Après des années de diète autofictionnelle et nombriliste à laquelle le fiction française nous avait condamnés, il mérite vraiment de sortir du lot.

(« Trois études de Lucien Freud, 1969 », 198 × 147,5 cm, triptyque à l’huile de Francis Bacon, collection Elaine Farrell Wynn, Portland Art Museum ; « Francis Bacon et Jessie Lightfoot », photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

953 Réponses pour De quelques romans de la rentrée (2)

JC..... dit: à

Cher Dédé, chère Marie, la situation de l’ami renato est dramatique, épargnez le !

Il intervient en RdL sur ordre du clan MELONI, sa famille étant retenue sous surveillance à Venise.

Nous devons l’aider à combattre les infiltrés anglophones qui, post Brexit, menacent de mettre Passou en kilt en virant la langue de Molière, Rabelais Montesquieu, Levy et Musso !!!

Serrons nous les coudes plutôt que les fesses….

Patrice Charoulet dit: à

EDITORIALISTE ?

Avant un débat d’une heure, à la radio, l’animateur indique aimablement le nom et la profession des participants. Je suis un peu surpris d’apprendre que le métier de l’un d’entre eux serait « éditorialiste ».Le nombre des métiers est immense.J’ignorais qu’éditorialiste soit un métier.
Le dictionnaire de l’Académie française, dernière édition, définit « éditorialiste » en ces termes :
« Journaliste qui rédige habituellement l’éditorial d’un périodique » et « éditorial » ainsi : « Article qui exprime, sur une question de fond ou d’actualité, l’opinion de la direction du journal, d’une revue. ».
Autrement dit, le participant du débat était journaliste de profession et non pas éditorialiste. C’est la direction du journal qui l’avait chargé, parfois, d’un certain type d’article. Au vrai , annoncer quelqu’un comme « éditorialiste » est une façon de louer l’invité, qui ne serait pas un journaliste ordinaire, mais une sorte de super-journaliste , de journaliste-vedette.

JC..... dit: à

AUTOPSIE

Cher Patrice, vous pourriez être vétérinaire linguistique, médecin des pauvres comme Destouches, psychiatre pénitentiaire en EAU (Emirats Arabes Unis) tant votre savoir est grand !

Pourquoi vous pencher, exclusivement, sur un cadavre boursoufflé : notre langue, violée par tant de visiteurs ?

renato dit: à

Eh ! JC, vous dites des conneries pour faire votre intéressant ou c’est dans votre nature ?

MC dit: à

On signale le livre de Denis Crouzet sur la genealogie du concept de Renaissance paru l’an dernier. On peut penser qu’il sait ce dont il parle. MC

JC..... dit: à

Les deux, cher renato !

vadeboncoeur dit: à

A propos de la « généalogie du concept de Renaissance » sue ce blog bien nommée :
Bonne journée!

 » Le choix de la Renaissance comme thème du programme des concours d’enseignement offre une utile occasion de réfléchir sur l’usage historiographique de cette notion et sur le malaise qu’il suscite chez bien des historiens.

2
Tous s’accordent pour estimer que cette notion renvoie d’abord à un fait culturel, fait culturel caractérisé en premier lieu par le nouveau regard porté sur l’Antiquité, mais surtout, plus largement, par le sentiment qu’ont éprouvé les lettrés et les artistes à l’aube des Temps Modernes de vivre une résurrection, au sortir de ce qu’ils appelaient les ténèbres gothiques. Les difficultés surgissent lorsqu’il s’agit, en un temps où la primauté de l’économique et du social comme facteur explicatif fait toujours figure de dogme, de se servir de ce fait culturel pour caractériser une période. D’où cette question : est-il pertinent d’utiliser la notion de Renaissance, nécessairement difficile à définir et dont les manifestations apparaissent avec un certain décalage dans les divers pays européens, pour opérer un découpage chronologique et nommer la séquence temporelle ainsi isolée ? C’est autour de cette interrogation que cet exposé tente d’apporter quelques éléments de réflexion. Après un rappel de la généalogie du concept de Renaissance, sera abordé l’examen des problèmes que pose son usage en histoire, avant de passer à l’analyse des ambiguïtés, mais aussi de la fécondité de son contenu. »

https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2002-5-page-5.htm#pa2

vadeboncoeur dit: à

sur ce blog bien nommé

B dit: à

Reste que le concept de renaissance on le doit à Vasari tout comme l’idée qu’en Italie vit le jour quelque chose de cohérent et d’articulé, et pas seulement un rassemblement aléatoire d’artistes au cours de quelques années ; la Renaissance n’a pas été un moment mais un mouvement conscient et structuré, et non un accident ou un coup de chance.

Si vous l’autorisez, Renato, quelques modifications à votre rédaction, ( je supprime les  » que » symptomatiques). Post très instructif quoi qu’il en soit.

Marie Sasseur dit: à

On signale les prochaines journées du patrimoine. Week-end des 16 et 17 septembre 2023.

Le lien cf un post précédent.

« Le mot Renaissance est employé pour la première fois au XVIe siècle par Giorgio Vasari, père fondateur de l’histoire de l’art des Temps modernes, dans le célèbre recueil Vies des plus célèbres peintres, sculpteurs et architectes, pour évoquer le courant artistique apparu en Italie deux siècles plus tôt. »

Là :
https://www.grandpalais.fr/fr/article/la-renaissance

lmd dit: à

Pour les amateurs de littérature heureuse, à propos de l’apparition de la perspective comme façon de situer l’homme dans l’espace, voir le premier chapitre du Piero della Francesca de Roberto Longhi. La chaine que font Masolino, Uccelo, Masaccio, Pierra della Francesca, chacun s’appuyant sur le regard de ses prédécesseurs ; magnifique (à lire en allant voir les fresques sur un grand écran).

renato dit: à

Roberto Longhi, belle culture et belle prose.

JC..... dit: à

Cher lmd, c’est quoi, la « littérature heureuse » ?

Marie Sasseur dit: à

Et les matheux, lmd ? Sans eux, pas de perspective…

JC..... dit: à

Ceux qui maitrisent l’outil plaignent ceux qui l’exploitent sans vergogne…

renato dit: à

Ce n’est pas un hasard si les Italiens ont traduit « rinascimento ». le terme de Michelet « renaissance ». La rinascita de Vasari définit un mouvement historique, le terme de Michelet une approche historiciste.

JC..... dit: à

Question plus abordable :
« Cher lmd, c’est quoi, l’Arabie heureuse ? »

D. dit: à

Si renato mangeait plus de poisson, il réfléchirait mieux. Il y a des variantes de choucroutes alsaciennes où l’on remplace les saucisses par du poisson ou même le chou par de l’endive.

Marie Sasseur dit: à

« Ceux qui maitrisent l’outil plaignent ceux qui l’exploitent sans vergogne »

Je ne chercherai pas à comprendre à quoi répond cet  » aphorisme », toujours est-il que dans ces grands courants artistiques plus ou moins découpés en  » périodes  » sur des bases multi- factorielles, j’ai beaucoup aimé comprendre comment Pontormo, mis à contribution par L. Binet, s’est affranchi de ce diktat un peu, qu’est la perspective.

JC..... dit: à

La puissance étant désormais la capacité à dire avec force, il est clair que l’ami Dédé travaille pour les Services Secrets de l’Endiveland, comme d’autres pour la botte….

renato dit: à

lmd, je vous conseille Anna Banti, la femme de Longhi, surtout son Artemisia.
et de Longhi Caravage et les caravagesques et tout son travail sur le Caravage.

D. dit: à

« L’Etat est responsable de ne pas nous avoir protégés » dit la mère d’un jeube trafiquant de drogue abattu par des rivaux.

Permettez-moi d’avoir un avis très différent. Permettez-moi d’insister pour que l’Etat protège en premier lieu les honnêtes gens des trafiquants.

renato dit: à

Maintenant je me fais expliquer comment réfléchir plus par un poutiniste. Qu’il commence à balayer devant sa porte !

MC dit: à

L’Italie est aux premières loges pour accueillir les grands intellectuels byzantins avant la disparition de l’Empire. Ceci dès les années 1380.
La France, bien partie dans les années 1500, s’offre des guerres de Religion sans merci. Après un court intermède Renaissant, essentiellement represente dans les Collections Royales par Vinci,et Raphael,La paix revenue, viendra le maniérisme, très honnête peinture française qui triomphera à Fontainebleau sous le règne d’ Henri IV. Après ce sera Louis XIII , et l’avènement d’une peinture classique telle que représentée par Vouet et consorts. MC

rose dit: à

Permettez-moi d’avoir un avis très différent : les trafiquants sont là parce qu’il y a des consommateurs.

rose dit: à

MC dit: à
L’Italie est aux premières loges pour accueillir les grands intellectuels byzantins avant la disparition de l’Empire. Ceci dès les années 1380.
La France, bien partie dans les années 1500, s’offre des guerres de Religion sans merci. Après un court intermède Renaissant, essentiellement represente dans les Collections Royales par Vinci,et Raphael,La paix revenue, viendra le maniérisme, très honnête peinture française qui triomphera à Fontainebleau sous le règne d’ Henri IV. Après ce sera Louis XIII , et l’avènement d’une peinture classique telle que représentée par Vouet et consorts. MC

Merci. Super intéressant de brosser comme ça le tableau.

Pablo75 dit: à

Où l’on apprend sur l’exccccellent (comme disait Coluche) site « Actualitté », que les 16 nommés du Goncourt reçoivent un chèque de … 10 euros.
Soleil vert dit:

Je crois que c’est une erreur du journaliste. C’est le gagnant qui reçoit les 10 €, comme le dit le site de l’Académie Goncourt:

« Symboliquement, le lauréat reçoit un chèque de 10 euros ! »
https://www.academiegoncourt.com/presentation-prix-goncourt

Par contre on apprend (du moins moi) ceci: « Parmi les règles imposées aux membres du jury, ceux qui tiennent une rubrique littéraire dans un média doivent s’abstenir de chroniquer les ouvrages qui figurent dans la sélection, aussi longtemps qu’ils y figurent, afin de ne pas influencer leurs confrères et consœurs, ou affoler les pronostics. »

Mais alors, les chroniques ici de Passou?

B dit: à

D, quand on sait le peu de moyens octroyés pour le controle des cargaisons portuaires, on se dit que les narco trafiquants vont pouvoir continuer longtemps d’endommager la société, de pourrir le terrain . A coté des tonnes qui entrent comme un couteau dans du beurre, deux ou trois flics seront placés en planque pour les petits revendeurs.Il serait utile de mettre en place une politique européenne efficace avec du materiel et du monde, il en manque .

Pablo75 dit: à

le participant du débat était journaliste de profession et non pas éditorialiste. C’est la direction du journal qui l’avait chargé, parfois, d’un certain type d’article.
Patrice Charoulet dit:

Quel enculeur de mouches en plein vol, ce Charoulet….

Dommage que cette activité « bloguistique » ne figure pas comme épreuve aux Jeux Olympiques: la France aurait une médaille d’or assurée !!

Samuel dit: à

Pourquoi les abeilles donnent du miel et les mouches ne donnent rien ?

Soleil vert dit: à

Pablo75
« Je crois que c’est une erreur du journaliste. C’est le gagnant qui reçoit les 10 €, comme le dit le site de l’Académie Goncourt: »

L’erreur vient de moi. Je retourne au congélateur.

Samuel dit: à

Pourquoi Francis Bacon est à la peinture ce qu’Antonin Artaud est au théâtre ?

closer dit: à

Je sais bien qu’il a vécu essentiellement à Rome, MC, mais Poussin, ce n’est pas « Vouet et consorts »…

erratum: Kepel ne prend qu’un « p »

renato dit: à

B, la prohibition USA devrait enseigner aux politiques, aussi qu’aux gens, qu’on ne lutte pas contre ces phénomènes de société comme l’alcool ou la drogue.
Avant la prohibition aux USA, les Anglo-saxons buvaient surtout de la bière et les Latins un vin léger, très peu de femmes buvaient et l’usage d’alcool fort était limité. À la fin de la prohibition, l’alcool fort était devenu une boisson courante et beaucoup de femmes buvaient, surtout des cocktails. Bref, la prohibition ce fut un désastre.
En cherchant, vous trouverez beaucoup de références à ce propos.

Pablo75 dit: à

Qui se promène dans nos villes et villages admirera avec quelle équanimité, quelle héroïque sérénité, et sans rien changer à leurs habitudes, les Français traversent ces temps troublés de rentrée littéraire.

Éric Chevillard

Pablo75 dit: à

Stoïques sous le bombardement, résolus à ne pas céder à la panique, opposant même une indifférence hautaine à ce déchaînement insensé et veillant simplement à se tenir éloignés du front, les Français, répétons-le, donnent au monde une leçon de sang-froid digne des plus grands éloges en ces temps troublés de rentrée littéraire.

Éric Chevillard

D. dit: à

S’il faut mettre en place une seuke politique européenne, que ce soit celle du zéro immigration.

D. dit: à

Pour le bien de tous et en tout premier lieu celui des immigrés eux-mêmes, qui n’ont d’avenir garantissable que chez eux.

renato dit: à

Marc Court, pour le Maniérisme il faudrait voir Histoire sociale de l’Art et de la Littérature de Arnold Hauser.
Cela dit, Raffaello et le premier Michelangelo c’est l’accomplissement de la Renaissance, mais déjà Michelangelo vieux on est dans le Maniérisme. Inquiétude intellectuelle, tentait de codification de techniques des maitres et recherche d’une affirmation personnelle, bien à part, le Maniérisme met surtout en jeu les relations entre artiste et pouvoir. Et c’est sur cet aspect qu’il est intéressant.

D. dit: à

On choisit toujours de devenir trafiquant. Personne ne contraint au départ un trafiquant à trafiquer. Il y consent. Pour son plus grand malheur, certes.

renato dit: à

mais déjà AVEC Michelangelo vieux on est dans le Maniérisme.

renato dit: à

tentait TENTATIVES

D. dit: à

C’est à force de tout excuser, de tout diluer, de tout relativiser, qu’on créée la plus profonde injustice.
En France, consommer, détenir et faire le commerce de drogue est mal et délictueux. Il n’y rien d’autre à dire.
Dites-le svp. Ayez le courage de le dire et de l’écrire. Au lieu d’accuser l’Etat.

et alii dit: à

les mouches donnent des chiures,et les tse tse le sommeil,samuel

et alii dit: à

je suis pour l’immigration ,et D Est sans excuse de s’y opposer

Jazzi dit: à

La vie selon D.

« On choisit toujours de devenir prostitué.e. Personne ne contraint au départ un.e prostitué.e à se prostituer. Il.elle y consent. »

« zéro immigration. »

Mais qui donc va travailler en France !

La sagesse selon Soleil vert, par temps de canicule :

« Je retourne au congélateur. »

Patrice Charoulet dit: à

POLITIQUE

A mes yeux, les choses sont très simples. Nous avons vécu dans une France politique coupée en deux : la gauche et la droite, les socialistes et le RPR-UMP-LR.
Maintenant la France politique est coupée en trois : l’extrême gauche, l’extrême droite et le bloc central. N’aimant pas du tout les deux premiers, je lutte pour renforcer le troisième. Il est incarné en 2023 par le président Macron et son gouvernement. Dans trois ans, je serai aux côtés des successeurs du président Macron, dont je ne connais pas encore le numéro un.

D. dit: à

Beaucoup des gens qui acceptent en 2023 l’immigration en seront les premières victimes. Beaucoup des gens qui acceptent l’immigration en 2023 ont en mémoire des vagues d’immigration passées de la première moitié du XXème siècle, voire un peu celle des années 50 et début 60 ! Bref des événements d’un autre temps vieux de 60 ans au minimum et en moyenne d’un siècle ! Et se disent qu’au vu de l’histoire, ils ont le devoir etc…
Le contexte et les mentalités ont malheureusement RADICALEMENT changé !
Il faut être aveugle, obtus ou malhonnête pour ne pas le réaliser. Dans votre cas je pense à l’aveuglement, sauf votre respect.

D. dit: à

Mais enfin Patrice Charoulet, il n’ y a aucun bloc du milieu. Les divergences entre républicains et macronistes sont considérables, on l’a vu pendant tout le déroulé désastreux de la réforme des retraites. Par ailleurs il y a un petit bloc de gauche non extrême que vous semblez ne pas voir. Vous voyez tout simplement ce qui arrange. Mais le monde politique français n’est pas celui de votre schéma.

Bill Evola dit: à

Et le toto qui t’envoie un titre de bouquin comme argument à la gueule!
C’est nul!
Sors-moi ton Longhi et je te cracherai mon Buckhard!

rose dit: à

La palme d’or du grand n’importe quoi attribuée à D.

Bill Evola dit: à

Sors-moi ton Michelangelo le vieux et je te renvoie mon Maniérisme à la parmesane!

D. dit: à

Attends, mon Jazzi, avant de retourner sucer tes esquimaux au congélo : le libre arbitre n’est pas une vue de l’esprit mais une réalité. Avec des conséquences temporelles très perceptibles, manifestement, et pas que temporelles.

rose dit: à

Mais alors, les chroniques ici de Passou ?

Elles ont été antérieures à la liste.

D. dit: à

Le grangeon d’oreu décerné à Roseu, pareu la mairie de Marseille, peuchère !

rose dit: à

Bref, la prohibition ce fut un désastre.

Ouais, c’est surtout l’alcoolisme qui est un désastre.

Bill Evola dit: à

Le grangeon est maniériste pas rinascita du tout!

lmd dit: à

Marie sasseur, vous observez « Et les matheux, lmd ? Sans eux, pas de perspective…» La perspective graphique n’utilise pas le calcul mais, cette génération d’artistes voulant disposer de règles de représentation rationnelle de l’espace a conduit des expérimentations très poussées (Uccello) ou formulé des théories transmissibles. Piero della Francesca s’est acquis de son vivant une réputation de mathématicien de premier plan.
Peut-être peut-on évoquer à ce sujet Philippe Descola comparant les modes de représentation de l’espace chez les peintres japonais , chinois, byzantins, flamands….

JC – qu’est ce qu’un littérature heureuse–, le commentaire de renato vous a sans doute déjà répondu, «Roberto Longhi, belle culture et belle prose».

Et une littérature extrêmement malheureuse est ce dont Charoulet inonde abusivement la République des Livres.

renato dit: à

« Sors-moi ton Michelangelo le vieux et je te renvoie mon Maniérisme à la parmesane! »

Un autre diplômé sans compétences est arrivé.

rose dit: à

Dites-le svp. Ayez le courage de le dire et de l’écrire. Au lieu d’accuser l’Etat.

Pareillement pour les poubelles au lieu de s’en référer à L’État :discours de ceux qui ne branlent rien.

renato dit: à

Evola ? Après tout, seulement un moins que rien prend le nom d’un moins que rien comme pseudo.

renato dit: à

Giuliano Montaldo est décédé.

morales sed laisse dit: à

Ballon gonflable.

Montgolfière.

Bloom dit: à

La minute du Père siffleur, dit le ‘pfiffeur’ ou ménétrier:
L’épouse du PR et la reine qu’on sort (de la naphtaline) annonceront un prix littéraire franco-britannique à la BNF lors de la visite d’état du couple royal les 20, 21 & 22 septembre. Un prix des romans d’épouvante?

Bloom dit: à

L’Arabie Heureuse pour les anciens était le sud de la péninsule correspondant au Yémen actuel, moins sèche et désertique que le reste.
Autant dire que, si la beauté fulgurante des paysages et des villes (Sanaa, notamment) demeure, le bonheur, lui, s’en est allé de cet endroit où même Rimbaud fut heureux. La faute à l’Histoire & aux hommes, espèce invasive s’il en est, surtout au volant de SUV.
https://www.lhistoire.fr/carte/%C2%AB-larabie-heureuse-%C2%BB-terre-de-parfums-et-daromates
Aden Arabie, de Nizan, est un des livres les plus importants du siècle passé.

Patrice Charoulet dit: à

Le 49- 3

Rocard avait utilisé 28 fois le 49- 3.

Bloom dit: à

Rocard a fait la paix en Nouvelle Calédone, Rocard a crée la CSG.
Rocard était un homme politique immense auprès duquel les tristes sires actuels sont autant de nains et de naines.
Un cerveau ça sert à réfléchir ou ça se fait sauter.

Bloom dit: à

Calédonie

Alexia Neuhoff dit: à

Patrice Charoulet dit:

POLITIQUE [mais pas que…]

« A mes yeux, les choses sont très simples. »

Il m’apparaît, à travers vos nombreux commentaires, que tout est « simple » à vos yeux. En cela, je vous envie. J’aimerais tant pour moi-même souscrire à une vision binaire, manichéenne du réel, avec les pions blancs d’un côté, les noirs de l’autre, le bien, le beau en vis-à-vis du laid et du mal. C’est un agencement intellectuel totalement erroné au sens où « les choses » sont précisément d’une infinie complexité mais, je le répète, je vous envie.

Damien dit: à

Pas mal : https://youtu.be/TRJV2h6D95o J’aimais bien la chanteuse Rachel Ortas. Il n’y avait pas que ce tube. A l’époque, je ne la trouvais pas assez belle, quand je la voyais danser. Thadée Klossowski a raconté cette odyssée dans « Vie rêvée ». J’ai le volume sous les yeux, et j’ai du mal à accrocher. J’ai feuilleté le nouveau roman d’Eva Ionesco. Elle raconte Simon Liberati, que je préfère à Thadée. Thadée est plus discret, il ne s’épanche pas dans « Match », c’est déjà ça. Alors ce roman ? Très dur ! On en a pas beaucoup parlé. C’est le témoignage déglingué de toute cette époque, avec ses survivants. Il y avait ceux qui allaient écouter Foucault, et ceux qui allaient au Palace ou aux Bains. Le goût de Barthes m’est resté, comme Saint-Simon et les épinards. Allez, bonne soirée !

Marie Sasseur dit: à

@La perspective graphique n’utilise pas le calcul

Et c’est le grand chamane du CNRS, qui vous fait réduire les maths au calcul, lmd ?

Il va falloir faire un stage de géométrie, hein.

Marie Sasseur dit: à

On a déjà dit que toute cette effervescence artistique italienne s’est éteinte à cause de la pax hispanica, sombrant dans deux siècles de disette… Tout comme l’Espagne, qui est d’une pauvreté artistique, à deux ou trois exceptions près, affligeante.
La France en a profité en récupérant quelques génies italiens…
Voilà le tableau. Le mien, en tout cas.

et alii dit: à

SIMPLE
« pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? »

lmd dit: à

Marie Sasseur je n’ai pas dit que les math se réduisent au calcul, mais, parlant de perspective, qu’ Uccello a obtenu des résultat en faisant des épures de folie et je vous ai au contraire dit que P della F était considéré de son temps comme un mathématicien important.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Libellus_de_quinque_corporibus_regularibus
Quant aux stages de géométrie descriptive et de perspective je les ai fait il y après de cinquante ans (!), rabattement dans le plan horizontal suivant la ligne de terre patati patata, encre rouge et encre bleu.

Marie Sasseur dit: à

OK lmd, il y a eu des précédents, on est d’accord.
Mes cours de géométrie ne remontent pas à 50 ans, mais je m’en sers encore assez souvent, des projections, des connaissances qu’il faut en avoir.

D. dit: à

renato dit: à

Giuliano Montaldo est décédé.

–

Et on peu savoir qui sait ?

Samuel dit: à

– Pourquoi aimez-vous les livres ?
– Parcequ’ils sont aimables.

Samuel dit: à

Pourquoi le texte introuvable d’Arthur Rimbaud « La Chasse spirituelle » demeurera pour toujours un document mystérieux ?!

Samuel dit: à

Pourquoi continuons-nous de vivre tout en ignorant le sens de la vie ?

Samuel dit: à

Pourquoi les étoiles sont aux yeux de Goha le simple des trous par lesquels Allah épie les hommes ?

D. dit: à

Pourquoi tu la fermerais pas ?

et alii dit: à

« more geometrico »
Le more geometrico comme dispositif philosophique : Spinoza lecteur de Descartes
Profile image of David PagottoDavid Pagotto
Nous nous prêtons ici à une lecture détaillée des premières pages des Principes de la philosophie de Descartes afin de déterminer la raison d’être de légères réécritures que Spinoza fait subir aux définitions qui figurent dans l’Abrégé. Nous montrons que Spinoza ne se contente pas de répéter Descartes, mais, exerçant rigoureusement le more geometrico, accepte de se plier à la nécessité que cet ordre impose en produisant des affirmations philosophiques nouvelles. D’où nous concluons que le more geometrico, loin de se réduire à un artifice pédagogique, constitue une pratique philosophique à part entière et de nature essentiellement critique parce qu’indépendante de l’expérience commune.
https://www.academia.edu/44777502/Le_more_geometrico_comme_dispositif_philosophique_Spinoza_lecteur_de_Descartes

renato dit: à

Merdre dédé ! j’ai oublié que vous êtes un nationaliste parfaitement ignorant du reste du monde… mais on ne va quand même pas se limiter pour vous. Si cela vous intéresse faites une recherche, di non laissez tomber.

renato dit: à

Incidemment, dédé, « Pourquoi vous ne la fermerais pas ? »

renato dit: à

di > Si

Bloom dit: à

Excellent livre de David Hiockney traduit en francais, « Savoirs screts, les techniques perdues des maitres anciens » à compléter avec ce documentaire de la Beeb:

https://www.youtube.com/watch?v=R-0UXBcjlRY

Du grand art, all the way.

Bloom dit: à

Hockney…A regular splash in Autumn…

D. dit: à

**Introduction**

Le mariage royal est un événement d’importance exceptionnelle, suscitant l’attention du monde entier. Il réunit des invités de haut rang, y compris des personnalités telles que Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. Au-delà de la célébration d’une union, il représente une opportunité unique de favoriser la diplomatie, la sociabilité et la gastronomie. Cette dissertation explorera en détail les différents aspects de ce mariage, de l’importance des invités à la cuisine raffinée, en passant par les défis de la gestion de la sociabilité dans un contexte diplomatique. En analysant ces éléments, nous comprendrons comment un événement aussi grandiose peut être orchestré avec succès tout en respectant les attentes et les préférences des invités de marque.

Si vous souhaitez développer davantage cette introduction ou si vous avez des sections spécifiques que vous aimeriez aborder, n’hésitez pas à les mentionner, et je vous aiderai à construire votre dissertation.

D. dit: à

Bien sûr, voici la suite de votre dissertation :

**Partie 1 : Les Invités**

Le choix des invités pour un mariage royal revêt une importance particulière. Parmi les personnalités de haut rang, Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky se distinguent. Leur présence ne se limite pas à une simple célébration, elle a des implications diplomatiques considérables. La gestion des invités est une tâche délicate, car elle doit tenir compte des sensibilités politiques et des relations internationales.

Pour garantir une atmosphère harmonieuse, il est essentiel de favoriser la sociabilité entre ces invités d’exception. Des stratégies de placement minutieuses et une disposition réfléchie des tables peuvent créer un environnement propice au dialogue et à la diplomatie. La manière dont les invités interagissent entre eux peut influencer les relations internationales, ce qui rend la sociabilité un élément clé de la planification du mariage.

**Partie 2 : La Sociabilité**

La diplomatie est au cœur du mariage royal, et la sociabilité joue un rôle majeur dans ce contexte. La cohabitation de personnalités de renom peut être délicate, mais elle offre également l’opportunité de promouvoir la compréhension et la coopération internationales. La disposition des invités peut être cruciale pour encourager des échanges informels et des discussions constructives.

Les attentes en matière de sociabilité sont élevées lors d’un mariage royal, et il est essentiel de créer un environnement où les invités se sentent à l’aise pour échanger des idées et des opinions. La diplomatie informelle peut souvent avoir un impact plus profond que les discussions officielles. La planification minutieuse de la sociabilité peut contribuer à renforcer les relations internationales.

**Partie 3 : La Cuisine**

Outre la diplomatie et la sociabilité, la cuisine joue un rôle majeur dans l’expérience d’un mariage royal. Le menu, soigneusement élaboré, reflète non seulement les préférences alimentaires des invités, mais aussi l’engagement envers la qualité et la créativité gastronomique. Le choix du hachis parmentier de bœuf de Kobe aux endives et aux concombres témoigne de cette ambition.

La cuisine peut être un élément unificateur, car elle transcende les frontières et les barrières culturelles. Offrir un repas exceptionnel à vos invités est un moyen de créer des souvenirs mémorables de cet événement. L’art culinaire contribue à l’atmosphère raffinée et prestigieuse du mariage royal, soulignant son importance et sa grandeur.

**Conclusion**

En résumé, un mariage royal implique bien plus qu’une simple célébration d’amour. Il s’agit d’une occasion unique de favoriser la diplomatie, la sociabilité et la gastronomie à l’échelle internationale. Le choix des invités, la gestion de la sociabilité et la création d’un menu raffiné sont autant de défis à relever pour créer un événement inoubliable. En orchestrant ces éléments avec succès, un mariage royal peut devenir un catalyseur de relations internationales positives et une célébration de la diversité culturelle et diplomatique.

N’hésitez pas à développer davantage chaque section de la dissertation ou à ajouter des détails spécifiques en fonction de vos besoins.

D. dit: à

Le choix du plat pour un mariage royal est une décision cruciale, car il doit non seulement satisfaire les préférences alimentaires des invités, mais aussi symboliser l’élégance et la sophistication de l’événement. Le hachis parmentier de bœuf de Kobe aux endives et aux concombres a été sélectionné avec soin, en tenant compte des préférences alimentaires de certains invités de marque, dont Vladimir Poutine, qui apprécie particulièrement les concombres, et Volodymyr Zelensky, qui a une affection pour les endives.

Tout d’abord, le bœuf de Kobe est reconnu dans le monde entier pour sa qualité exceptionnelle. Il est réputé pour sa tendreté, son goût riche et sa texture délicate. En choisissant cet ingrédient de premier choix, vous montrez votre engagement envers l’excellence gastronomique et votre désir de faire vivre une expérience culinaire exceptionnelle à vos invités, notamment à ceux qui apprécient la viande de qualité.

L’incorporation des endives et des concombres dans le plat a également été motivée par les préférences alimentaires de certains invités. Les endives, avec leur légère amertume, sont connues pour être appréciées par Volodymyr Zelensky, tandis que les concombres, frais et croquants, sont particulièrement prisés par Vladimir Poutine. Cette attention aux préférences individuelles témoigne de votre souci du détail et du confort de vos invités.

Enfin, le choix du hachis parmentier, un plat classique, mais revisité avec des ingrédients de haute qualité, représente un mariage entre la tradition et l’innovation. Il est à la fois réconfortant et sophistiqué, ce qui le rend approprié pour une célébration aussi grandiose qu’un mariage royal.

En conclusion, le choix du hachis parmentier de bœuf de Kobe aux endives et aux concombres symbolise l’engagement envers l’excellence gastronomique, l’équilibre des saveurs et la fusion de la tradition et de l’innovation. Il satisfait non seulement les normes culinaires élevées de l’événement, mais aussi les préférences alimentaires spécifiques de vos invités distingués, créant ainsi une expérience culinaire inoubliable pour Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et tous les autres convives.

renato dit: à

Poutine est un personnage dégoutant.

rose dit: à

Mokhtar Amoudi vient de gagner le Prix
Envoyé par la Poste 2023.

B dit: à

, la prohibition USA devrait enseigner aux politiques, aussi qu’aux gens, qu’on ne lutte pas contre ces phénomènes de société comme l’alcool ou la drogue.

Que proposez vous, rien pour les tonnes distribuées, cocaïne, nouvelles drogues qui sèment autant d’addicts que de consommateurs. L’ addiction est une maladie, et si le commerce du sucre, du tabac, de l’alcool est légal , comme d’ailleurs certains médicaments dangereux il n’est pas pour autant inoffensif. Les entrées et la fabrique de drogues dures et diverses sont en constante augmentation. C’est sûrement lié à la démographie, pour saupoudrer une partie des sept milliards d’humains afin de les soulager de leurs angoisses et d’affronter le réel avec force et courage il est nécessaire de les doper. Après, pour en sortir c’est pas comme on veut quand on veut. Le commerce des drogues finance des causes pour le moins discutables. Ce n’est pas encore la guerre de l’opium mais à mon avis nous ne sommes pas loin d’un problème de santé publique.

rose dit: à

Nous sommes déjà dans un pb de santé publique.
M.A parle de l’effet des médocs sur sa mère. Effrayant.

MC dit: à

En effet Renato , j’avais choisi de n’en pas parler mais il existe un maniérisme italien. Giulio Romano, Michel Ange… le maniérisme alla francese est different, meme s’il intègre parfois certains éléments vus au Palais du Te. Un Antoine Caron, ou tout autre, se situe aux antipodes des Italiens.Closer, je n’ai pas voulu citer Poussin, parce qu’encore actif sous Louis XIV. Par ailleurs,sa carrière romaine et l’épiphénomène de la décoration manquée de la Grande Galerie. Quant à traiter de maniériste un grand peintre classique, ce n’est pas mon genre. Bien à vous. MC

renato dit: à

B, le désastre est très avancé et comme la prohibition enseigne, il sera difficile de revenir de l’alcool fort à la bière légère, il ne sera donc pas facile de passer de la cocaïne à un haschich avec une taux de THC inferieur à l’1%, il faudrait toutefois commencer par prévenir, pour le reste je ne suis pas un politique et concevoir une politique ce n’est pas mon rôle.

renato dit: à

Marc Court, l’on tient Caron pour maniériste, mais il est selon moi trop schématique, comme certains nus de l’école de Fontainebleau, Sabina Poppaea, p. ex., ou Gabrielle d’Estrées et sa sœur. Il me semble qu’ils soient des maniéristes par coïncidence : ils ont agi pendant ce temps. Pour ma part la Charité du Louvre est vraiment représentative du Maniérisme. Mais ça, c’est mon goût et je reconnais que lorsqu’i s’agit de Maniérisme je deviens vite subjectif.

rose dit: à

Prix littéraire Le Monde 2023,
« L’écrivaine Neige Sinno, le 20 juin 2023, à Paris. HÉLÈNE BAMBERGER/OPALE.PHOTO
Pourquoi le cacher ? Au moment de voter pour le prix littéraire Le Monde 2023, nombre de jurés ont confessé avoir été saisis de crainte en découvrant que Triste tigre, l’un des dix livres en lice, portait sur un inceste. Certains ont repoussé au maximum le moment de le lire, d’autres ont fait le choix de commencer par lui pour se délester du poids d’une pareille perspective. « 

D. dit: à

Je suis rentré à Paris et nous sommes en pleine canicule. Pourquoi ? Parce que la température atteint 32 l’après-midi, 34 à 35 dans les « canyons urbain » qui sont légion en région parisienne et surtout, la température redescend peu la nuit, actuellement 27 à presque 22 h ! Et probablement pas en dessous de 21 au plus « frais » de la fin de nuit.
Le tout agravé par une conséquente pollution aux particules fines et à l’ozone.

Les pouvoirs publics et leurs agences ont-il déclenché une quelconque alerte orange ? Point du tout. Cherchez l’erreur.

renato dit: à

Arrivez-vous à faire pipi tout seul ou c’est le gouvernement qui doit vous dire à quel moment de la journée la faire ?

closer dit: à

« et l’avènement d’une peinture classique telle que représentée par Vouet et consorts. MC »

In fine vous parlez de peinture classique, MC. D’où ma réaction.

Damien dit: à

Vous avez écouté la reprise de Leslie ? C’est mieux avec Rachel Ortas, certes. Elle avait du talent, ayant bourlingué jusqu’à New York. Elle était dans le coup. Simon Liberati devrait nous écrire un article dans « Match », du genre : « Rachel Ortas, qu’es-tu devenue ? » Au moins, ça aurait du sens, et de la beauté. Ou Thadée ? Je verrais bien Thadée s’y risquer. Pour changer de Georges Bataille. Thadée-Rachel, le couple littéraire de l’année ! Pas mal ! Il y avait un article dans « Match » sur le livre d’Eva Ionesco, qui notait que le propos n’était pas favorable à Liberati, et le montrait dans des situations odieuses. Liberati pourrait faire un procès ? Je me demande. Mais il en a dit déjà tellement dans ses propres livres. Il ne se protège pas. Exit Rachel Ortas ? Qui ne demande qu’à revenir. Aujourd’hui, Eva est là et occupe toute la place de cette littérature jet set un peu crade. Thadée faisait pareil du reste, avec Loulou de la Falaise, superbe junkie. C’est écrit dans « Vie rêvée » chez Grasset. Je vous le recommande quand même, pour vous améliorer. Les Stones vont sortir un nouvel album ? Je suis curieux. Vous en savez plus ? Bloom, ça vous concerne. On ne va pas demander à Charoulet qui n’en peut mais. Charoulet ! Oui, je m’adresse à toi ! Tu préfères quoi ? Tino Rossi, Rachel Ortas, ou les Stones ? Je donne ma langue au chat ! Bonne nuit. Vous dormez déjà ? A demain.

D. dit: à

Mais ce n’est pas pour moi, renato, c’est pour les personnes âgées comme vous.
Qui croient tout savoir et se déshydratent.

Bloom dit: à

l’alcool est une des pires addiction, parfaitement légale, licite et parfois encouragée. c’est l’enfer pour les alcoolos et les autres, surtout les proches. aucun jugement moral, un fait établi

renato dit: à

Tous les gens de mon âge (ou plus) que je connais savent gérer leur journée, vous devriez donc parler pour vous, D.

Bloom dit: à

addictions

D. dit: à

Vous avez raison, Bloom.

rose dit: à

Ben oui.

William Boquet dit: à

@D. dit: à
Vous avez raison, Bloom.
rose dit: à
Ben oui.

Jubilatoire (sans avoir à écraser l’infâme ; une performance)

D. dit: à

Bloom a raison et moi j’ai raisin.

B dit: à

D, à propos du climat, je suis convaincue que Dieu pour mieux accompagner ces migrants du sud vers le nord a modifié les paramètres.

rose dit: à

5h06, réveillée jeudi 7septembre 2023 depuis 4h53,

rose dit: à

C surtout l’enfer pour la femme.
Il me dit « je suis le chef ».
Taratata. Sa femme l’a quitté. Il picole. Il n’est le chef de rien du tout.
Jubilatoire, non.
Je ne me réjouis jamais du malheur des autres.
P.S : pour lui, pas sûre du tout que ce soit l’enfer, mais pour sa femme, je confirme, cela l’est.

rose dit: à

Accident de minibus dans le Lot-et-Garonne : une mère ayant perdu sa fille dans les mêmes circonstances relance le débat sur les conditions de transport
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Accident de minibus dans le Lot-et-Garonne : une mère ayant perdu sa fille dans les mêmes circonstances relance le débat sur les conditions de transport
L’accident mortel d’Houeillès a eu lieu le vendredi 25 aoûtL’accident mortel d’Houeillès a eu lieu le vendredi 25 août DR

Faits divers, Justice, Lot-et-Garonne
Publié le 04/09/2023 à 13:20 , mis à jour à 15:05
Valentin Vié
En 2009, Nathalie Baldaccini perdait Léa, sa fille de 17 ans, dans un accident de minibus aux Etats-Unis, lors d’une colonie de vacances supervisée par un organisme français. Après l’accident mortel de Houeillès (Lot-et-Garonne), elle veut relancer le débat sur les conditions de transport des mineurs lors des voyages organisés.

« Il faut que ça cesse. Un nouvel enfant vient de mourir », lance Nathalie Baldaccini, qui a tenu à apporter son témoignage à la suite de l’accident de minibus à Houeillès, dans le Lot-et-Garonne, qui a coûté la vie à un garçon de 12 ans. Ce fait divers a, en effet, ravivé la douleur et la tristesse chez cette mère de famille originaire des Bouches-du-Rhône, qui a perdu sa fille il y a quatorze ans dans des circonstances similaires.

A lire aussi : Accident d’un minibus en Lot-et-Garonne : le conducteur mis en examen pour homicide involontaire et placé sous contrôle judiciaire

Le 22 août 2009, sur une route du Névada aux Etats-Unis, le van de 12 places, qui emmenait un groupe à la Vallée de la mort (Death Valley), a fait une sortie de route. Léa Baldaccini, sa fille de 17 ans, et Orane Pozzo Di Borgo, 16 ans, sont tuées dans l’accident. Comme pour le drame d’Houeillès, c’était une personne en charge de l’animation qui conduisait le minibus et qui a perdu le contrôle du véhicule. Elle constate des similitudes troublantes et pointe du doigt la responsabilité des organisateurs de colonies de vacances.

« Le jeune de 26 ans va devoir porter seul la charge de la responsabilité. C’est injuste. »
« Ce drame est similaire au nôtre à savoir la fatigue au volant, explique Nathalie Baldaccini. Quand j’ai vu ce qu’il s’est passé, j’ai tout de suite compris. Les règles de transport de mineurs sont détournées par les organismes de vacances pour réduire les coûts et augmenter la profitabilité de ces séjours. Le transport des enfants est confié à du personnel corvéable à merci. Du personnel jeune et épuisé qui n’a aucune expérience du transport de personnes et du véhicule classé dans les minibus. Ces séjours sont de vraies aberrations en termes de sécurité. Concernant le drame d’Houeillès, le jeune de 26 ans va devoir vivre toute sa vie avec ce drame sur la conscience et va devoir porter seul la charge de la responsabilité. C’est injuste. »

A lire aussi : Accident de minibus dans le Lot-et-Garonne : deux familles se sont déjà constituées parties civiles

Depuis le décès de sa fille, Nathalie Baldaccini a tout fait pour faire condamner par la justice française (le volet pénal) et américaine (le volet civil) l’organisme qui a chapeauté le voyage organisé de sa fille, ainsi que son PDG. « Pendant quatorze années de procédure, la Justice nous a suivis au civil comme au pénal. L’organisme et son patron ont été condamnés pour homicides involontaires. Nous avons gagné à toutes les instances, mais le PDG a cumulé les appels, ne comprenant pas sa part de responsabilité puisqu’il n’était pas au volant du minibus. Nous sommes allés jusqu’en cassation, nous avons gagné le 4 avril 2023. La justice a établi une chaîne de responsabilités que l’enquête administrative n’a même pas cherchée. Elle dédouanait totalement l’organisme de vacances, seul le conducteur du véhicule était tenu pour responsable. J’ai peur qu’il en soit encore ainsi aujourd’hui. »

« Pour que de telles conditions de transport ne soient plus permises »
La mère de Léa Baldaccini a également été à l’origine d’une proposition de loi « visant à reconnaître un régime spécifique aux personnels pédagogiques occasionnels des accueils collectifs de mineurs, titulaires d’un contrat d’engagement éducatif, notamment au regard des règles d’aménagement du temps de travail ». Elle avait été enregistrée à la présidence de l’Assemblée nationale le 13 juillet 2011.

« J’ai fait cette proposition de loi pour que de telles conditions de transport ne soient plus permises. En vain. Un lobbying incroyable s’est exercé pour que la réglementation de ces séjours n’évolue pas. Il y a des enjeux financiers importants qui expliquent cette levée de boucliers.  »

Deux autres propositions de loi ont été enregistrées : celle « visant à renforcer les conditions de sécurité des mineurs accueillis dans le cadre d’un séjour à l’étranger », présentée par les députés Christian Kert, Richard Mallié et Renaud Muselier, le 1er juin 2011 ; et celle visant à renforcer la protection des mineurs lors des séjours à l’étranger, présentée par la députée Marie-George Buffet, le 10 octobre 2012.

Les obsèques du petit Malik auront lieu mardi 5 septembre
Malik, le petit garçon de 12 ans décédé dans l’accident de minibus à Houeillès, sera enterré à Amiens (Somme), mardi 5 sepembre à 14 h 30. Quatre enfants présents avec lui dans le véhicule accidenté seront présents à la cérémonie funéraire.

L’ASE, c’est le thème central de Les conditions idéales, mais en fait, non. Cela va bien au-delà. La maman de Léa Baldaccini,tuée dans les mêmes conditions en voyage d’agrément aux USA, bataille pour que les conditions changent. Stop à l’omerta. Oui aux changements législatifs protégeant les bébés, les enfants, les ados, les gosses placés à l’ASE, les handicapés, les individus ayant atteint un âge certain.
Stop au culte de l’argent.

rose dit: à

Je n’avais copié/collé que le paragraphe sur Malik.
Je cherche la source.

Autre prix décerné sur la perspective.
Laurent Binet, lauréat du Prix du Roman historique 2023
#PrixAutomne23 – Ce prix honore l’écrivain d’un roman historique destiné à un public adulte. Il sera remis le vendredi 6 octobre à 18h30, salle Lavoisier du Conseil départemental de Loir-et-Cher

rose dit: à

surtout les proches. aucun jugement moral, un fait établi.

Y a la même indifférence envers ces femmes là qu’envers les femmes violées et celles tuées par leurs compagnons.
Ça doit être la continuité de « les putes l’ont choisi, les trafiquants l’ont décidé,’ de l’être, les femmes battues aiment ça, et les élèves harcelés c’est leur choix : comme de se pendre, à 15 ans.
Cela marche mieux que les médicaments.
L’impact de ceux qui sont autour c’est nada.
La loi, que pouic.

rose dit: à

Source La dépêche fr
Article accident de minibus Lot et Garonne.
Sa mère doit s’en foutre à Malik puisqu’elle est stone.

rose dit: à

Celui/celle qui boit, c’est son choix.
À moins qu’il n’ait pas le choix.
Ce qui m’a passionnée dans le roman de Mokhtar Amoudi, c’est la position de l’enfant. La violence intrinsèque qu’il subit, sa mère n’est pas la dernière, il lui dédicace cependant ce roman, à Saad aussi et à sa propriétaire, qu’il le devienne à son tour, je lui souhaite, et comment de tout ce gigantesque bordel, il émerge.

rose dit: à

Il m’a prévenue, et je te remercie de l’avoir fait, m., parce que tu étais seul avec moi, tu me l’as dit.
Je le savais déjà, mais je suis hyper contente qu’il l’ait fait, pck g trouvé cela très respectueux de moi.
Quand la grand-mère sera dcd, ils partiront.
Quitteront la campagne, retourneront vivre en ville. En attendant, cela fait trois ans échus qu’elle a quitté l’Ehpad dans lequel elle a vécu trois ans lorsque son mari est mort. Elle sait la chance qu’elle a de vivre au sein de sa famille : enfants, petits- enfants, arrières- petits enfants, amis, copains. C’est une privilégiée.
Le dimanche, lorsque je ne suis pas à Marseille où ma mère me dit « ils ont oublié que j’existe », je l’emmène à la messe parce que la grand-mère me dit « ce sont des mécréants ».
Des mécréants qui ont une éthique.
Moi, je suis une non mécréante qui a une éthique aussi.
Sans jugement aucun, chacun fait ce qu’il peut.
Mokhtar Amoudi, il a deux points communs avec moi. Le second est qu’il a pu beaucoup.
Sans admiration, juste une constatation.

rose dit: à

: enfants, petits- enfants, arrières- petits enfants, amis, copains. C’est une privilégiée.
C’est un kibboutz.
Une porte le tout, elle le peut. C la première petite fille. Une femme d’exception. Mais le projet est commun et familial.

rose dit: à

je l’emmène à la messe.

C’est ma manière a moi d’apporter ma contribution au kibboutz.

rose dit: à

à moi

renato dit: à

Une bonne nouvelle.
Une femme, connue dans les médias, est persécutée par de soi-disant journalistes d’un programme télé trash.
Un jour, elle les trouve dans son appartement et porte plainte.
Procès. Elle gagne. Ils doivent payer des dommages. Ils font appel.
Deuxième procès. Ils sont condamnés à payer trois fois plus, et le juge leur dit d’arrêter de gaspiller l’argent des contribuables en faisant appel sans fondement à la Cour suprême.

Marie Sasseur dit: à

et comment de tout ce gigantesque bordel, il émerge
_____

En survolant ces longs monologues insensés, en émerger relève de l’exploit.
Allô docteur ?

Bloom dit: à

Ca fait 40 ans que les Stones n’ont pas écrit une chanson valable. Le clip que j’ai vu est un affligeant mix d’images de synthèse, de fric & sex-attitude et de vulgarité…La musique est quelconque, Ron Wood étant toujours incapable de taper un solo original, depuis que je les ai vu à la Villette en 1976. Wait & See, je dirais, surtout si McCartney ajoute sa patte (ce sont les Beatles qui ont donné leur premier succès au Stones de Brian Jones, suite à une rencontre inopinée dans Charring Cross, I wanna hold your hand, écrit par Ringo).
Je viens de terminer un livre à ne pas mettre entre toutes les mains des fans des Stones, « Sympathy for the Devil: The Birth of the Rolling Stones and the Death of Brian Jones », de Paul Trynka, bien écrit, où l’on mesure les abysses de vulgarité de certains de ces types qui ne peuvent plus s’empêcher de faire du fric quand ils devraient raccrocher, comme les sportifs, et passer à autre chose. Des pages édifiantes sur Jagger, Jones et le « nankering » de la petite bande, sans parler du reste que je vous laisse deviner…Keith s’en sort un peu moins mal, ce qui n’étonnera personne qui a lu la « Life » de l’homme de Dartford.
Musicalement, je me suis arrêté à « Some Girls » et ai bien apprécié leur concert de 1990 au Parc des Princes, avec un inattendu ‘Ruby Tuesday’ en mémoire du fondateur du groupe, victime d’un ‘mortal splash’.
Je repars à la recherche de la Höfner 500/1 de Paul.

Bloom dit: à

Errata: I wanna be your man (pas ‘hold your hand’), chanson écrite par Lennon, McCartney mais préférée de Ringo ,surnommée ‘Ringo’s song’.

renato dit: à

En effet ce vidéo est une accumulation de poncifs : sonores et visuels.

Bloom dit: à

The UK is to return to the EU’s Horizon science research programme under a bespoke agreement, ending a dispute that led to it being locked out of the scheme for the past three years because of Brexit.
https://www.thenationalnews.com/world/uk-news/2023/09/06/britain-set-to-rejoin-eus-horizon-science-programme-within-days/

A prévoir. On s’en réjouis pour l’avenir de la Recherche, mais tout cela dénote un singulier manque de classe et de colonne vertébrale.
Le Brexit, probablement la pire des erreurs historiques commises par le RU, sorte de variation sur la façon de ne rien régler (partition de l’Irlande, de l’Inde & du Pakistan, retrait de Palestine,d’Afrique du Sud, de Chypre, de Rhodésie…)

Bloom dit: à

réjouit

B dit: à

je m’attendais à une étude de the Lancet , vous etes facétieuse. Hier en rentrant de la plage, merveilleuse en septembre, pas tout à fait déserte, ourlée de vagues porteuses et écumantes, la station radi diffusait un méga tube dans le genre de celui que vous proposez en terme de succès mais disco, j’adore le disco, cela me distrait des cantates de Bach.

et alii dit: à

LA RENTREE?C’EST LA RENTREE POUR TOUS/
À l’occasion des Journées européennes du patrimoine des 16 et 17 septembre 2023, le Collège de France vous ouvrira ses portes pour un itinéraire de visite exceptionnel sur deux sites, de 10 h à 18 h.

La visite du site Marcelin-Berthelot permettra notamment de découvrir, au sein d’un riche parcours de visite, la salle d’assemblée du Collège de France et d’y rencontrer certains professeurs. Les ouvrages des éditions du Collège de France, ainsi que différents objets-souvenirs, seront en vente à la boutique éphémère. Certains seront dédicacés lors de séances de signature.

À quelques minutes à pied, le public aura la possibilité de découvrir l’Institut des Civilisations sur le site Cardinal-Lemoine, récemment rouvert après sept années de travaux. Des mini-conférences données par les professeurs de l’Institut y seront proposées sur inscription préalable.

et alii dit: à

excuses:j’ai la tête un peu ailleurs « vous verrez) en attendant voici à propos de DELEUZE ET Bacon:
Nous avons donc décidé de republier ce livre dans la collection
<>, oü tout livre a pour fonction d’y faire
désordre. Et singuliérement celui-lá. Nous ne pouvons que remercier, vivement, de ce désordre par quoi se fait le plus beau de notre
Ordre, tous ceux qui ont rendu possible cette (re)publication, et qui
nous ont donc permis de faire notre devoir.
Alain Badiou et Barbara Cassin

et alii dit: à

bancs art:
Saviez-vous que Marseille abritait le plus long banc du monde ? Long de 3 km, le banc de la Corniche Kennedy longe la mer et offre une vue exceptionnelle sur la mer Méditerranée et les iles du Frioul, au large de Marseille.images:
« Le concept est artistique et citoyen car les mosaïques sont réalisées dans des écoles, des centres sociaux, et une maison de retraite. Environ 900 élèves ont participé ainsi que trois mamies. J’avais besoin de cet aspect partage et transmission pour mon projet », nous confiait Paola Cervoni l’hiver dernier. Pour cette fois ci, l’association a un nouveau partenaire nous explique l’intéressée « notre premier sponsor est l’entreprise marseillaise « L’esprit Céramique », qui offre à l’association viv’arthe tout le carrelage pour les 77 bancs. Et, en plus les couleurs sont magnifiques .Le manager de cette entreprise sensible à la démarche citoyenne et marseillaise du projet nous a contacté et nous a fait spontanément cette proposition. Nous nous comptons aussi lancer une campagne de crowdfunding à partir de janvier 2019 sur le site de Ulule pour permettre à tout le monde de participer à ce projet. »
je crois que « céramique est le nom du cimetière grec

et alii dit: à

Le cimetière du Céramique est un cimetière antique d’Athènes, situé à l’extérieur du Céramique (en grec ancien Κεραμεικός / Kerameikos), ancien quartier des potiers.

Les tombes sont réparties le long des deux voies qui partent de la porte du Dipylon, percée à travers le mur de Thémistocle : l’une, la Voie Sacrée, qui mène à Éleusis, l’autre se dirigeant un peu plus au nord vers l’Académie.

Ce cimetière a livré une quantité de stèles et autres monuments funéraires, visibles au Musée national archéologique d’Athènes et, sur place, au Musée archéologique du Céramique.

Le site archéologique du Céramique comprend aussi le mur de Thémistocle, le Dipylon et le Pompéion.

poussière dit: à

Pourquoi pas des sous-titres

en direct c’est peut-être trop difficile à mettre en oeuvre

rose dit: à

au Musée national archéologique d’Athènes.

Je l’m bcp
Il est inépuisable.

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