de Pierre Assouline

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La grande beauté de certains scénarios

La grande beauté de certains scénarios

Les livres sur le cinéma sont le plus souvent décevants- quand ils existent ! Ceci explique probablement cela, et leur médiocrité, leur rareté. Au mieux, un recueil de souvenirs, d’anecdotes, de choses vues et de bons mots correctement mis en forme par un autre que le mémorialiste. Au pire, la même chose sans même le plaisir de lecture tant l’hyperbole et les superlatifs gâchent tout (les Mémoires de Charlie Chaplin pourraient figurer dans une anthologie du ratage : moi, moi, moi et les autres). On connait bien les quelques exceptions qui confirment la règle.

 Les entretiens Hitchcock/Truffaut, un grand livre en effet que ce « Hitchbook » est le plus souvent cité mais il remonte tout de même à 1966. La collection Ramsay Poche Cinéma, dédiée au cinéma que l’éditeur Jean-Pierre Ramsay lança au milieu des années 80, combla les vœux des cinéphiles. Depuis, presque seul Capricci assure l’essentiel du travail et c’est assez remarquable par l’ambition intellectuelle et le champ historique couvert (voir ici). S’il n’évite pas toujours les écueils susnommés, Les Aventures d’un scénariste à Hollywood (Which Lie Did I Tell ? More Adventures in the Screen Trade, traduit de l’anglais par Jean Rousselot, 395 pages, 23 euros, Capricci) a attiré mon œil par le nom de l’auteur, naturellement, dont Jean-Patrick Manchette, passionné par les techniques d’écriture, admirait l’habileté.

Car l’écriture de William Goldman est derrière des films tels que Butch Cassidy et le Kid, Les Hommes du président, Marathon Man, L’Etoffe des héros, Un pont trop loin, Misery, les Pleins pouvoirs, notamment. Un scénariste travaille généralement sur comme, qu’il s’agisse d’une idée originale ou de l’adaptation d’un livre. Goldman reconnait qu’au départ, il ne sait à peu près rien du sujet ou des principaux personnages. Car tout de même, à moins de vivre en ermite sur une île coupée de toute communication, tout Américain avait entendu parler du Watergate ; mais Goldman était de ceux auxquels les noms de Bob Woodward et Carl Bernstein, les deux reporters du Washington Post à l’origine des révélations du scandale, ne disaient rien. Ce qui n’est pas plus mal au fond. De quoi assurer une certaine virginité dans la lecture de l’affaire, un je-ne-sais-quoi de recul et distance qui favorise un regard neuf sur une question rebattue.

Ainsi, la première chose qui frappa le scénariste après examen du dossier fut l’incompétence des cambrioleurs du siège du parti démocrate et il insista sur ce point. Le film respecta à peu près le scénario et il fut un succès ; mais si c’était à refaire, Goldman ne se serait jamais emparé des Hommes du président, le livre. Car tant Robert Redford, qui voulait absolument y coller trois scènes d’amour, qu’Alan Pakula, qui était l’irrésolution même, lui ont faite écrire tant de scènes finalement inutiles auxquelles il n’avait jamais crû qu’il en demeura le souvenir d’un cauchemar. Avec Un Pont trop loin, film de guerre sur la libération de l’Europe en 1944-1945 vue d’un pont stratégique en Hollande, tout avait été fidèlement et scrupuleusement respecté ; mais il y avait tellement de faits, d’évènements, d’histoires à raconter… Au fond une histoire de cavalerie qui arrive pour sauver tout le monde à ceci près qu’elle n’arrive pas à temps et reste bloquée à un km. Bref, un échec, le film aussi. Il était pourtant d’une exactitude exemplaire. Alors ?

« Nous étions trop vrais pour être vrais ».

S’agissant de Misery, l’histoire d’un écrivain immobilisé avec une jambe de plâtre au lit dans sa maison de campagne isolée et tyrannisée par une aide assez sadique (on est chez Stephen King, ça se termine dans une orgie d’hémoglobine), le principal problème fut le choix de l’acteur principal. Nul ne voulait du rôle : ni Pacino, ni Hoffmann, ni Dreyfuss, ni de Niro, ni Hackman, ni Redford, ni Beatty, ni… Jusqu’à ce que James Caan accepte avec un enthousiasme sans mélange. Malgré sa réussite à l’écran, le scénariste est convaincu avec le recul que Richard Gere aurait été le meilleur de tous pour le rôle. Un mystère demeure : pourquoi nul n’avait songé à lui proposer le rôle ?

Le livre fourmille de ce genre d’histoires édifiantes ou plaisantes à lire mais il ne faut pas lui en demande d’avantage. Si bon soit-il, un scénariste n’est qu’un scénariste. En bavardant un jour avec Graham Greene, à l’évocation de son scénario du Troisième homme de Carol Reed, un classique inépuisable, il me lâcha ceci :

« Au début du projet, tout repose sur le scénariste, il est le personnage le plus important, on est aux petits soins avec lui, on ne le lâche pas, on le flatte ; au milieu du parcours, on le bouscule car le temps presse et chacun veut mettre son grain de sel dans le texte ; à la fin, il n’est même pas invité à la projection de l’avant-première ».

On ignore si ce fut le cas d’Umberto Contarella, scénariste de La grande belleza (traduit de l’italien par Anna Colao, 200 pages, 21 euros, Séguier), l’inoubliable film de Paolo Sorrentino (oui, il y a d’autres réalisateurs que Nanni Moretti en Italie). Il n’en est pas question dans ce livre que les deux co-signent, et pour cause : il s’agit du script du film. Mais celui-ci appartient à la catégorie d’exception des textes qui se savourent autant, quoique différemment, à la lecture qu’au visionnage. Il s’agit de bien autre chose que d’un intérieur Jour/ extérieur nuit. C’est très écrit, ciselé même, et on a un plaisir fou à retrouver les saillies de ce séducteur de Jep Gambardella, le dandy qui promène son désenchantement dans les folles nuits de la dite haute société romaine, chroniqueur alimentaire baladant sa nonchalance désabusée de fête en fête peuplées de créatures néo-felliniennes sur fond sonore de Far L’Amore, auteur d’un unique livre par impuissance avouée à aller au-delà tant il est pris dans la tourbillon de la facilité et le piège de la mondanité.

La scène 29, qui se déroule sur la terrasse d’un appartement chic à l’heure d’un cocktail, est un morceau d’anthologie. Long de quelques pages, il réunit plusieurs vieux amis qui se livrent aux délices de la conversation vacharde quand le héros, après un certain nombre de gin tonic, décide de pousser le curseur et, calmement et en évitant toute gajouterie (c’est encore plus terrible sans une once d’agressivité), dit son fait à Stefania, une pédante du parti de la bien-pensance ; la tension va crescendo à mesure qu’il balance sur la vacuité de ses prétendus engagements politiques, sa vie privée chaotique, celle de son mari qui la trompe avec un autre homme, l’échec de leurs vies sur fond de glaçons tintant dans les verres et de musique d’Arvo Pärt, jusqu’à la révélation de trop qui la fait partir la tête basse, elle qui se prétendait « femme avec des cojones » pour exalter son propre courage civique dans l’Italie des années de plomb.

C’est d’une cruauté sans nom, d’une ironie mordante et d’un humour ravageur. De quoi nous envoyer revoir le film quand bien même l’aurait-on déjà vu plusieurs fois. Ne fut-ce que pour ses leçons de vie : il ne faut jamais pleurer à l’enterrement d’un ami car il serait indélicat sinon immoral de voler la vedette à la famille en de telles circonstances… Et que nous importe au fond si Jep Gambardella n’a jamais trouvé la Grande Beauté puisqu’il nous a emmenés à sa quête…

(Dustin Hoffman dans Marathon Man » et « Toni Servillo dans La grande belleza » photos D.R.)

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commentaires

1 179 Réponses pour La grande beauté de certains scénarios

FL dit: à

Tiens à propos de Mme Pingeot, la « Saga » de Dosse relate comment François Giroud faisait des révélations cryptiques en publiant un roman sur la fille cachée d’un président. Roman qu’elle avait publié aux éditions… Mazarine.

Je la croyais pas comme ça Françoise Giroud. Elle baisse dans mon estime. Des commérages.

Et après « Libération » qui nous en fait des tonnes sur le patriarcat.

FL dit: à

Que m’apprend Wikipedia ?

« Françoise Giroud est, selon ses propres dires, un modeste agent de liaison dans la Résistance pendant la guerre. Elle est arrêtée par la Gestapo sur dénonciation et incarcérée à Fresnes de mars à juin 1944, date à laquelle un collaborateur, Joseph Joanovici, la fait libérer. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7oise_Giroud

FL dit: à

Je pense que plus personne ne lit Françoise Giroud.

D. dit: à

Mon hypothèse est qu’il subsiste dans le desert du Taklamakan un ordre secret tengrite qui se cache dans des grottes et ne sirt qu’occassionnelement, et de préférence la nuit, pour célébrer des rites abominables destinés notamment à influencer défavorablement le cours des événements du Terre, et qui envoie régulièrement dans le monde des émissaires des ténèbres, réussissant par la magie à occuper des fonctions-clé dans des domaines variés, tels que intellectuels, politiquesn, financier et industriel.

Bloom dit: à

EN 1942, Faulkner écrivit un scénario de plus de 1 000 pages intitulé « De Gaulle Story » pour un film qui ne vit jamais le jour.
Initialement partisan du film, Roosevelt, dont on connait le manque d’enthousiasme pour l’homme du 18 juin, aurait demandé à son pote Jack Warner de ne pas donner suite au projet après avoir été informée d’une violente confrontation entre Churchill et le chef de la France libre.
« Le texte de ce scénario rejeté ne fait pas vraiment partie de oeuvre de Faulkne, et la France qu’on y découvre est non seulement une France de convention, une France en guerre hollywoodisée, où les bérets sont un peu trop larges et les képis un peu trop hauts et les moustaches gauloises trop bien cirées, mais une France réinventée par quelqu’un qui ne connait pas la France, une France où les paysannes bretonnes ont des cuisinières et dont les villages sont régentés par des ‘constables' »
-André Bleikasten, Faulkner, p. 486.

Jazzi dit: à

B., le maire de Bézier était ce matin, sur BFMTV, plein d’éloges pour Macron, à propos de l’Ukraine.
Et contre Marie Le Pen et Mélenchon.
Eloges aussi au passage pour Gabriel Attal et l’uniforme à l’école.
On dirait qu’il voudrait entrer au gouvernement et occuper la place de l’actuelle ministre de l’éducation, qu’il a vertement critiquée pour n’être pas venue inaugurer la rentrée des classes dans votre bonne ville, pourtant exemplaire à propos dudit uniforme ?
Et notre commentateur politique, Patrice Charoulet, ne nous en dit rien !

Jazzi dit: à

Béziers, sorry !

Jazzi dit: à

Edgar Allan Poe n’est jamais venu à Paris.
N’empêche que sa nouvelle « Double Assassinat dans la rue Morgue » (The Murders in the Rue Morgue) est une petite merveille !

Jazzi dit: à

« les paysannes bretonnes ont des cuisinières

Les filles de ferme, généralement orphelines, ça existait, et pas seulement en Bretagne !

D. dit: à

Dans le cadre de ce conflit qui à l’origine n’implique pas la France, je constate qu’en dépit des apparences, Bérénice, ce n’est pas la France qui décide des orientations et des possibilités, quelqu’en soit la nature. Ce n’est pas non plus la France qui parle par la bouche du PR ou du gouvernement.

Ça n’a pas l’air de vous déranger plus que ça, alors que c’est pour le moins inquiétant. C’est au peuple français et par ses députés élus, de se prononcer sur le long terme sur des sujets aussi graves.
J’ai dit quelque chose d’inexact ? De contraire à la constitution et à son esprit ? Merci de m’expliquer, le cas échéant.

et alii dit: à

Truman Capote (Capote) est un film américano-canadien réalisé par Bennett Miller, sorti en 2005. Philip Seymour Hoffman obtient en 2006 l’Oscar du Meilleur acteur pour son interprétation de Truman Capote dans ce film.

D. dit: à

Toutes les bêtises qui ont été commises depuis 2 ans, additionnées aux autres bêtises, actions opportuniste et très inconséquentes depuis 35 ans, sont en tout cas la meilleure assurance d’avoir pour vos enfants et petits enfants une France russe. HELAS. Car je ne le souhaite aucunement. Mais l’amateurisme permanent psychologique, politique et diplomatique n’est pas gratuit. HELAS ENCORE. Il se paye tôt ou tard.

et alii dit: à

es cinq ans d’enquête et d’accompagnement d’un des criminels en prison (il lui obtient des sursis) par Truman Capote relaté dans son roman De sang-froid à propos d’un riche fermier massacré avec trois membres de sa famille dans le Kansas.

closer dit: à

Cette semaine, JB, le même maire de Béziers disait (sur BFM je crois) que si la Présidentielle avait lieu au jourd’hui, il voterait pour Marine!
Cela n’ôte rien à ses qualités de maire, qui sont grandes si j’en crois tout le monde…Mais il est honnête et sait reconnaître les gestes positifs de Macron quand il y en a. C’est tellement rare que ce n’est pas trop difficile de les repérer.

J J-J dit: à

@ Pas encore vu, JJJ. Dois-je m’en passer ?

Oui, absolument, n’allez pas vous salir, jzmn, on l’a fait pour vous. Bàv,

Janssen J-J dit: à

–> c’est Harper Lee qu’avait fait tout le boulot de cadrage préalable pour Capodi. Voilàj

MC dit: à

« Edgar Allan Poe n’est jamais venu à Paris. ». Il partage cette qualité avec H P Lovecraft, qui, à propos de « la Musique d’ Ulrich Zahn » disait l’avoir entendue « in Paris, with Poe, in a dream » selon Jacques Bergier….

MC dit: à

« Edgar Allan Poe n’est jamais allé à Paris ». Il partage cette qualité avec H P Lovecraft, qui, pour la « musique d’Ulrich Zahn », disait l’avoir entendue « in Paris, with Poe in a dream »….

J J-J dit: à

Ni Thomas Pynchon d’ailleurs, à la différence de Franz Kafka et de William Burrough. Bàv

Bloom dit: à

Apparemment Jules Verne n’est jamais allé dans la lune et n’a pas plongé dans les fonds marins avec un Nautilus, mais ce sont là des ouvrages d’imagination. De Gaulle et la France occupée étiaent bien réels & on ne rigole pas avec la réalité historique, sauf pour de mauvaises raisons.

renato dit: à

[Arioste cité de mémoire : nous, cachés derrière nos illusions ; asservis à la prévalence de la chance et du hasard sur notre capacité à dominer le destin — parce que la folie, la vanité, les illusions habitent la Terre et que la raison est dans la Lune.]

et alii dit: à

T.CAPOTE
Il écrit aussi des scénari de films dans lesquels jouent des acteurs comme Gina Lollobrigida ou Humphrey Bogart. En 1953, il coécrit le scénario de Plus fort que le Diable avec John Huston.C’est en 1958 que paraît le roman Petit déjeuner chez Tiffany qui connaît un grand succès et lui apporte une grande reconnaissance du milieu littéraire. Ce court roman de 120 pages à peine, séduit par son ton nostalgique et son histoire émouvante d’amour déçu, toujours servi par le style si particulier de Truman Capote. Il sera d’ailleurs adapté au cinéma permettant à Audrey Hepburn d’incarner l’un des rôles clefs de sa carrière.En 1966, Random House publie De sang froid considéré comme son chef-d’œuvre. Ce roman est basé sur un fait divers : un quadruple meurtre sur lequel Truman Capote a enquêté avec l’aide de son amie d’enfance Harper Lee. Le livre se vendra à des millions d’exemplaires et apportera la gloire et l’argent à l’auteur.

et alii dit: à

Luc Besson tourne actuellement quelques scènes de nuit pour son nouveau long-métrage. Un film d’horreur dont le titre « Bizutage » est encore provisoire. Le décor idéal, selon le cinéaste.
j’ai tout de suite pensé au lycée Jules-Ferry lorsque j’ai écrit mon scénario, raconte Luc Besson, avant le clap. Ça m’a frappé comme une fulgurance. Il faut dire que j’ai quelques souvenirs dans cet établissement qui est resté dans son jus. »

Des souvenirs qui le hantent, en effet, depuis l’adolescence puisque le réalisateur de « Léon » et du « Cinquième élément » y a passé quelques années en pension. Une période de sa vie qu’il a d’ailleurs racontée dans son autobiographie intitulée « Enfant terrible », parue en 2019. Luc Besson y évoque le bizutage auquel les nouveaux arrivés de la pension columérienne étaient alors soumis. Un rituel qui consistait à se faire raser les parties intimes du corps.
casting de choix. Dans un second rôle, Franck Riester, le ministre délégué chargé du commerce extérieur et de l’attractivité et ex-ministre de la culture et ancien maire de Coulommiers qui endosse le costume du chef d’établissement. Une véritable révélation. « Franck Riester est doté d’un charisme rare, a commenté le réalisateur. Son regard crève l’écran et son jeu d’acteur, à l’instar des hommes politiques en général, est assez naturel. Il peut improviser de façon remarquable. »

À l’affiche également, Guy Drut, ex-ministre des sports et ancien maire de la ville. Ce dernier joue le rôle d’un prof de sport à la retraite qui ne veut pas quitter l’enseignement et vient harceler les lycéens. « Lorsque j’ai
https://actu.fr/ile-de-france/coulommiers_77131/coulommiers-luc-besson-vient-tourner-un-film-d-horreur-au-lycee-jules-ferry_49834782.html

Janssen J-J dit: à

ce matin j’ai dessiné des autruches au crayon, au pastel et à l’aquarelle sur un même support : une horde éloignée de 12 en noir sur une bande horizontale, la même à l’envers juste au dessus, en bleu, afin de les confondre avec la ligne du désert. En haut à droite, l’énorme tête de l’une d’entre elles aux cayons aquarellables, pastel et sanguine, fort bien réussie/ En haut, à gauche, trois têtes d’entre elles, juchées sur leur cou, au crayon de papier B2, de face, de profils gauche et droit. Ces bêtes sont dans l’ensemble très disgracieuses, mais sur ma composition, à force de se concentrer sur elles, on finit par les aimer, elles pourraient d’ailleurs plaire @ certains quidams. Pour l’instant, je ne vends pas, je les donne à tous vent pour peu qu’on m’en félicite… Voilà l’occupation que j’ai trouvée pour me rehausser un brin dans mon EDMM. En dehors de la lecture, elle m’apaise. Je suis mieux heureux, maintenant. Pas vous ? Bàv,

et alii dit: à

un autre lycée jules ferry(oserai-je dire le mien?)
Diane Kurys a mis beaucoup d’elle-même dans Diabolo menthe, notamment ses souvenirs de la scolarité qu’elle passa à Jules-Ferry, de la 6e à la 1re. Sa famille, qui habitait le XVIIIe, l’obligeait vraiment à y aller à pied et elle a réellement eu une prof de maths terrorisée par ses élèves! Cette chronique des années 60 qui raconte la 4e d’Anne Weber (Éléonore Klarwein) a été tournée en août 1977 dans ce lycée construit à la place d’un ancien couvent, ouvert aux garçons trois ans plus tôt. Les images des jeunes filles en blouse beige qui s’éveillent à l’amour et à la politique (les manifestations sur l’Algérie) et la BO d’Yves Simon deviendront cultes (3 millions d’entrées).

une main dit: à

L’eau truche en eau trouble! 🙂

une main dit: à

Pour l’instant, je ne vends pas

Pour l’instant seulement…Mais on ne sait jamais, comme si faire de l’art c’était faire du commerce.
Riche et célèbre, quelle naïveté!
Houais!

Bloom dit: à

Excellente initiative, 3J. Concentration, création, précision du geste…
J’ai passé beaucoup de temps à copier les estampes d’Hiroshige et le stress du boulot s’en est allé loin au-dessus d’un de ses merveilleux pavillons au bord d’un cours d’eau.

Janssen J-J dit: à

Ne me jalousez pas, ça n’en vaut vraiment pas la peine, mano negritam !

et alii dit: à

monument du septième art avec la diffusion à 20h40 de Diamants sur canapé de Blake Edwards, rôle sans doute le plus iconique de la filmographie d’Audrey Hepburn, qui n’en manque pourtant pas. Dans cette adaptation, largement retravaillée, de Petit déjeuner chez Tiffany’s de Truman Capote, Hepburn incarne Holly Golightly, une croqueuse de diamants dont s’éprend son voisin Paul Varjak, interprété par George Peppard. Ce dernier parvient peu à peu à percer la carapace de la jeune femme pour y découvrir ses troubles, la nostalgie de son Texas natal et ses angoisses.Chef-d’oeuvre de sophistication, Diamants sur canapé est entré dans l’histoire du cinéma et bien plus encore par certaines images indélébiles qui reste aujourd’hui durablement associées à son actrice principale : ce plan d’ouverture où Holly contemple la vitrine de Tiffany’s dans sa petite robe fourreau noire créée par son ami de toujours Hubert de Givenchy, mais aussi cette apparition sur le rebord de sa fenêtre où Paul la voit entonner Moon River. La chanson valut d’ailleurs à son légendaire compositeur Henry Mancini l’Oscar de la meilleure chanson, tandis qu’Audrey Hepburn fut nommée à l’Oscar de la meilleure actrice.Tout a été dit sur le tournage mouvementé du film, qui fut par ailleurs l’objet d’un ouvrage de référence, 5e avenue, 5 heures du matin de Sam Wasson. Preuve de l’impact que peut encore avoir

Janssen J-J dit: à

et qui vous dit que « je fais de l’art », ma cochonne, ; cette faculté que vous avez toujours de surinterpréter vos propres fantasmes, c effrayant. Merci rBl, on voit bien que certains comprennent immédiatement les autres, tout en sachant garder la bonne distance… Bon, je sors : mardi, c’est pétanque.

Jazzi dit: à

« …lycée jules ferry(oserai-je dire le mien?) »

…lycée Jules Ferry (oserai-je dire le mien ?)

Osez, et alii, mais soignez la rédaction !

et alii dit: à

remarque:
Macha Méril est née princesse Maria-Magdalena Vladimirovna Gagarina en 19401, de l’union du prince Vladimir Anatolievitch Gagarine et de Maria Vsevolodovna Bielskaïa, issue de la noblesse russe, tous deux exilés sur la Côte d’Azur après la révolution de 1917

D. dit: à

Et alii, je m’adresse à vous en tant que spécialiste ; ce n’est pas trop grave si JJJ dessine des autruches moches et qu’il en soit content ? C’est que je m’inquiète, moi.

D. dit: à

Je me souviens que la Princesse Gagarina avait écrit un livre très bien sur les pâtes.

et alii dit: à

même pas spécialiste des non spécialistes!
si eles sont vraiment moches, elles ne s’envoleront pas tres loin
mais que fait-on en autruche ?

Bloom dit: à

La plus charmante et attirante, comédie romantique, 1985 ▪ Réalisateur : G.Bezhanov ▪ En russe sous-titré en français ▪ MERCREDI 28 FEVRIER A 19 H ▪ Rétrospective : films d’amour soviétiques ▪ A partir de 12 ans ▪ Entrée gratuite sur inscription préalable
Date et heure: MERCREDI 28 FEVRIER A 19 H
Entrée gratuite sur inscription préalable ▪ Admission sur présentation d’une pièce d’identité
Nous contacter / annuler la réservation : cscor@ambrusfrance.ru
Adresse : 1, quai Branly 75007 Paris
Web : https://centrerusbranly.mid.ru/fr_FR/home

Offensive de charme vs offensive au sol…
Qui est meilleur au tapis?

une main dit: à

Pour l’instant, je ne vends pas

« je fais de l’art », ma cochonne

Dollars ou du cochon, c’est dur de faire de l’or avec de la m.rde comme dirait Baudelaire! 🙂

une main dit: à

L’eau trucmuche c’est dans la poche! 🙂
L’eau moche c’est dans la cruche.

une main dit: à

Kate et Mandou sont un un bateau… mais jamais elles ne tomberont à l’eau!

D. dit: à

Ceci-dit, j’aime bien Macha Méryl !
Je suis naturellement attiré par la noblesse russe. La Russie n’était-elle pas une grande amie de la France ?
J’ai aussi une attirance pour le prolétariat portugais ascensioné.

D. dit: à

Vous noyez le poussin d’autruche, et alii.

Bloom dit: à

Beaucoup d’autruches sur Robben Island, où Mandela fut prisonnier pendant 18 ans.
Comment sait-on qu’elles sont en chaleur (et donc hyper dangereuse »)?

Bloom dit: à

-reuseS

et alii dit: à

oeuf autruche art:
Elle sculpte des œufs d’autruches et les transforme en œuvres d’art
Sa passion du travail manuel, sa solide formation et le hasard ont poussé Fanny Tripard à se lancer dans la sculpture sur œufs d’autruche. Un travail très minutieux sur des œufs produits à Goux-les-Usiers qu’elle décore de motifs au style tatouage : roses et têtes de mort.
https://www.estrepublicain.fr/culture-loisirs/2021/04/29/elle-sculpte-des-oeufs-d-autruches-et-les-transforme-en-oeuvres-d-art

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

aïeul

« aïeul » a deux pluriels. Il fait « aïeuls » au sens de « grands-parents » et « aïeux » au sens d’
« ancêtres ».
Remarque : «Aîeux » est moins employé que « ancêtres », et prend parfois une valeur d’humour familier.

B dit: à

pourtant exemplaire à propos dudit uniforme

Je ne sais où ont lieu les expérimentations, en tout cas, au centre, pas encore rencontré d’écoliers en uniforme, peut-etre le laissent ils au porte-manteau.

B dit: à

D, je ne suis pas au courant du contexte et des circonstances qui ont présidé au paroles du président concernant l’aide à apporter à l’Ukraine. La France à l’initiative recevait d’autres chefs d’État pour en parler, je crois. Une décision du chef des armées doit elle être approuvée par le parlement, le Sénat?

Bloom dit: à

L’uniforme aide grandement aux progrès en maths et en français, c’est bien connu. Suffit de voir le regard de premier de la classe des soldats qui patrouillent aux abords des sites touristiques ou des agents de la Sécurité du rail dans les trains de banlieue.

Étonnant qu’ils aient commencé par le primaire et non un collège REP+…
« a gimmick » dirait-on à Hartford, Connecticut.

D. dit: à

Merci de ne pas salir l’uniforme et ceux qui le portent, Bloom.

B dit: à

D, pensez vous que le cheque en blanc qu’accordera Trump à Poutine risque de renforcer une alliance tant politique qu’économique qui se profile déjà entre la Chine , la Russie, accessoirement l’Iran, Inde pour la voie du commerce uniquement et que si ces alliances se consolident les USA risque de se retrouver avec une union de taille à les concurrencer tant sur le plan militaire qu’économique?

D. dit: à

Quandnt à vos villes du Connecticut, on s’en bat les couilles. Personne de là-bas n’a aucune leçon à donner à qui que ce soit.

B dit: à

risquent.A moins que tout ce qui se passe actuellement ne soit qu’opportunités éphémères.

D. dit: à

Je n’ai peur ni des chinois ni des russes tant qu’on les respecte.

B dit: à

Bloom, des études ( concernant le port d’une tenue dediee à l’école)ont ramèné une légère amélioration des resultats chez les élèves, tout le monde et tout un chacun ne sortant pas de la cuisse de Jupiter et n’étant pas destine à intégrer l’élite qui vous fait rêver et à laquelle dans une certaine mesure vous appartenez. Entre 90 et 160 pour le QI , il faut menager une place pour chacun . Il n’en reste pas moins des problèmes d’effectifs, d’éducation intra familiale.

Bloom dit: à

Sautez au dessus du Taklamatan, D. ils adorent les uniformes de l’armée du peuple.
Vous libérerez un peu d’espace, à défaut de l’Ukraine.
Join the army, meeting interesting people and kill them….comme ils disent dans le New Hampshire.

Bloom dit: à

Meeting interesting people

Bloom dit: à

Damné..meet

D. dit: à

…avec laquelle je suis en désaccord, plutôt.

D. dit: à

Le problème de fond est quand même et toujours Macron. Certains diront que j’y reviens de façon obcessionnelle. Non. J’y reviens de façon objective et raisonnée. On a fustigé Bardella pour ses récents propos (schizophrène, etc…) mais moi je m’interroge vraiment et sérieusement sur la santé mentale de Macron. Depuis longtemps, mais là, plus que jamais.
Nous avons vraiment, depuis 2017, l’homme que nous ne devrions en aucun cas avoir à un tel poste. Un homme faux, menteur, trompeur, irresponsable, instable, capricieux, orgueilleux, brutal ou faible selon les circonstances, soumis comme jamais aux intérêts européens. Quelle erreur, mais quelle erreur de lui accorder confiance, quel aveuglement !

D. dit: à

Connecticut mon cul, oui !

Clopine dit: à

« mieux heureux ». Alors, ça ! Déjà, être heureux, on s’interroge. Mais « mieux heureux », ça bouleverse le concept du bonheur. Notez que l’inverse est parfaitement, lui, acceptable. On peut toujours être plus malheureux que soi. Y’a pas de limite, en la matière. Mais plus heureux que le bonheur, pour l’avoir, fugitivement, vécu, au travers d’instants lumineux mais instantanés (j’en arrive à penser que le bonheur ne se matérialise que sous forme d’étincelles mourant dès qu’elles apparaissent), le bonheur, dis-je, est indépassable. Pas de plus ou de moins.

Pablo75 dit: à

Je n’ai peur ni des chinois ni des russes tant qu’on les respecte.
D. dit en 2024

Je n’ai peur ni des allemands ni des italiens tant qu’on les respecte.
D. dit l’été 1938

Pablo75 dit: à

« Le problème de fond est quand même et toujours Poutine. Certains diront que j’y reviens de façon obsessionnelle. […] Un homme faux, menteur, trompeur, irresponsable, instable, capricieux, orgueilleux, brutal ou faible selon les circonstances… »
D. dit (après correction d’une grosse coquille).

Clopine dit: à

Le bonheur, c’est plus ou moins ce qu’on cherche
J’aime rire, chanter et je n’empêche
Pas ceux qui vont bien d’être joyeux…Bref

D. dit: à

Dis-donc, Pablo, tes propos ont un caractère inamical, ce soir. Tu as mangé un truc pas frais ?

Janssen J-J dit: à

Eh oui, il n’y a bien que sur C News que les autruches s’envolent, merci pour le lien, D.
Une tuerie, cette chaine bolloresque qu’on n’avait encore jamais écoutée avec Sonia Malbrouck en très grande forme. Alors, c quoi, votre « désaccord », avec l’illustration par poutinisme interposé de la théorie bauérienne éclairée (le B-A-Ba d’AB) des terroristes qui font toujours ce qu’ils disent », or, depuis vingt ans qu’ils se préparent à NOUS faire la guerre pour avoir la paix, hein!… Notre patience a ses limites. C’est quoi déjà, la formule latine ? Si vis pacem para bellum ?, tu ne tueras point— Finalement, elles ne volent pas haut ni ne décollent jamais vraiment, nos autruches. Elles font des essais, une fois par semestre.

D. dit: à

Non, finalement je suis d’accord avec Bauer. Je m’étais mal exprimé. Je suis en non-désaccord global avec lui.

D. dit: à

Je sais pas ca que je vais manger ce soir.
Des oeufs, peut-être. Puisque c’est mardi, le jour des oeufs à Dieppe.

Pablo75 dit: à

Dis-donc, Pablo, tes propos ont un caractère inamical, ce soir. Tu as mangé un truc pas frais ?
D. dit:

Les admirateurs éperdus des nazis communistes (comme toi ou PPP) m’insupportent de plus en plus. Si j’étais le propriétaire du blog, cela fait longtemps que tu aurais disparu d’ici.

J J-J dit: à

En désaccord total avec vous sur plus de bonheur en mieux. C un état qui se défend, un savoir-faire plus qu’un savoir-être, pmp, voilà tout.
Nerf Gotton point, chacun met sa muselière en bandoulière à sa porte. Wouarfl, ah ah ah wouah.

D. dit: à

On voit bien qu’il faut aller sur Cnews pour entendre des invités de qualité qu’on ne trouve que peu ou pas ailleurs.

J J-J dit: à

@ Je suis en non-désaccord global avec lui

ah merci, PPP…, là, c’est devenu soudain bcp plus clair.

Claudio Bahia dit: à

D. dit: à
Je me souviens que la Princesse Gagarina avait écrit un livre très bien sur les pâtes.

Sur les pâtes, je ne savais pas, mais Marie Gagarine a surtout écrit un très beau livre de souvenirs de son enfance et de sa vie dans cette région à la croisée de la Bukovine, de la Bessarabie et de l’Ukraine (la province de Podolie). Le titre du livre:
« Blonds étaient les blés de l’Ukraine », la préface est bien sur de sa fille Macha Méril. Il y a aussi des photographies noir et blanc de cette époque.
Nostalgie !! Il a été publié chez Robert Laffont (1989), il coutait 120 FF, TTC; amusant ces anciens prix

D. dit: à

Il est pas bien, ce soir. Où as-tu vu que j’étais admirateur de nazis, à fortiori communistes ?! Ma référence est le Général De Gaulle. Comme nazi communiste, on fait mieux, non ?
Il a mangé un truc pas frais, genre crevette pas fraîche ou chorizo avarié.

renato dit: à

Clopine, vaut pour le bonheur ce qui vaut pour l’optimisme et le pessimisme : l’optimiste croit que les événements négatifs ont des causes spécifiques et que les événements positifs se manifesteront dans tout ce qu’il fait, tandis que le pessimiste croit que les événements négatifs ont des causes universelles et que les événements positifs sont causés par des facteurs spécifiques. Ce qui s’avère toujours tragique lorsque le compte n’y est pas.

J J-J dit: à

un oeuf d’autruche frais, et tu pourrais tenir une bonne semaine sans souci de ta mangeaille du soir. Enfin moij, je dissa, G rindi, hein !

Bloom dit: à

Connecticut mon cul, oui. !

Dites-donc, D. on ne souille pas l’une des 13 premières colonies que nous sommes allés aider militairement à gagner leur indépendance.
Un peu de respect pour votre histoire et pour l’ami américain.
Quant à votre mal séant, on s’en fiche, revenez quand vous serez plus présentable.

D. dit: à

J’ai rien compris à votre truc, renato.
Hou là là… pourquoi c’est toujours si compliqué, avec vous ?

D. dit: à

Lafayette, mes roupètes !

J J-J dit: à

@ Si j’étais le propriétaire du blog, cela fait longtemps que tu aurais disparu d’ici.

C’est assez poutiniste, comme attitude, non ? Heureusement que Passoul, lui, est resté ma-crônien sur sa chaine bollorisée ! Bàv.

D. dit: à

Dans le genre prise de tête, il s’y connait le renato. Ouillouillouille.

Bloom dit: à

Trou du ConnectiQt!

Pablo75 dit: à

Ma référence est le Général De Gaulle.
D. dit:

De Gaulle n’aurait jamais, comme toi, voté Le Pen ou fait l’éloge d’un mafieux comme Poutine.

Je ne sais pas si De Gaulle aimait les endives. Si c’était le cas, c’est la seule chose que tu aurais en commun avec lui.

Bloom dit: à

Never Mind the Bollocksré!

renato dit: à

À propos du comportement ignoble de la racaille rouge-brun russe : Oleg Orlov, 70 ans, l’un des plus éminents défenseurs des droits de l’homme en Russie, a été arrêté par le tribunal qui l’a condamné à deux ans et demi de prison :

https://x.com/marcoarchetti/status/1762515878904508826?s=20

Bloom dit: à

Anarchy in the Ruq(i)er!

D. dit: à

Non, c’est une attitude pabloïste.
I monte en pression, il devient tout rouge et puis après ça fait pschitt comme une cocotte minute.

J J-J dit: à

Alain Bauer a dit : « optimistes et pessimistes sont également nécessaire à la société, les uns inventent l’avion, les autres le parachute »… Trop fort, non, comme pensée sur AB News ?
Un œuf d’Autriche n’a jamais fait le printemps (Fabergé).

D. dit: à

Bon eh bien pour plaire à Pablo, je quitte ce blog. Sans autre cérémonie.

MC dit: à

Ce n’est pas Renato mais Bloom qui vous parle D!

D. dit: à

Ecoutez, renato, ne me dites pas qu’on avait rien à reprocher à ce Orlov ?
On ne condamne pas les gens pour rien.n, me semble-t-il.

Janssen J-J dit: à

Gargarine, avait-elle un lien de parenté avec Youri, Claudio B ?
Bonjour, vous avez l’air super en forme depuis le retour de Lula ! Bàv,

Bloom dit: à

Moi je parle au chef des forces armées biélorusses, l’adjuvant D. de Chaville, chef des poules qui veillent sur les endives.

renato dit: à

D., cela fait longtemps que vous dites des choses ici contre le président français et apparemment vous n’êtes pas en prison. Oleg Orlov a été condamné parce qu’il aurait « discrédité » l’armée, ce qui revient à dire qu’il n’y a pas de liberté d’expression en Russie.

renato dit: à

Par ailleurs, D., dans un État fasciste, on condamne les gens pour un rien ey un rien et demi.

renato dit: à

ey > eT

J J-J dit: à

@ Comment sait-on qu’elles sont en chaleur

Il suffit de lire la prose habituelle de ma soeur d’Autriche 🙂

Bloom dit: à

Leur pattes deviennent toutes rouges. Et elles chargent. Du vécu.

J J-J dit: à

@ l’adjuvant D. de Chaville…,
une arpète du BTP maçonnerie en apprentissage géo-politique,

J J-J dit: à

@ Leurs pattes deviennent toutes rouges. Et elles chargent. Du vécu.

Surtout celles qui ont des ergots à l’arrière !

renato dit: à

En fait, D. Ha passé la journée d’hier en jouant le riche… aéroport, privilèges divers… enfin, c’est le fantasme qu’il peut s’offrir.

rose dit: à

Bravo ! Apaisé et un peu plus heureux ! Moi aussi EDMM en progrès.
Faut dire que j’ai rattrapé trois ans de retard.
Mais pkoi des autruches ?

rose dit: à

Capricieux.
Définition d caprice Aix mots fléchés lubie, extravagance.

Bloom dit: à

On va pouvoir envoyer les armes et munitions de Delon à l’Ukraine.
Merci Alain!

Jazzi dit: à

« Mais pkoi des autruches ? »

Parce que JJJ a toujours rêvé de se planter des plumes dans le cul, rose !

rose dit: à

Pfffffff !

et alii dit: à

violence
sur mediapart

Le 13 février dernier, le poète et critique Jean-Michel Maulpoix comparaissait à Strasbourg au côté de son épouse pour « violences réciproques sur conjoint ». Contre l’avis du procureur, elle a été relaxée et lui condamné à dix-huit mois de prison avec sursis. Il n’y aura pas de procès en appel.

Janssen J-J dit: à

@ roz /// les trois autruches ?… en raison d’un séjour inoubliable à Prague sur les lieux de FK, deux jours dans l’hôtel au bout du pont St Charles…
https://www.hotelsprague.cz/three-ostriches_f.php

@jzmn, viens de voir le Molière imaginaire de Py… des plumes dans l’cul, croyiez pas si bin dire… Fort,mitigé suis-je… Les vieilles de Goya, des masques d’Ensor, une atmosphère baroque d’étouffe-chrétien pour une coulisse de la dernière heure du poète officiel, plutôt extravagante. Avec Laffitte et Balibar. Pas de quoi s’échauffer la bile, Vezée. L’avez-vous chroniqué au lézard vert ?
Bàv,

renato dit: à

Que D. et les collaborateurs occidentaux du Kremlin le veuillent ou non, la Russie est désormais un État voyou en marge de la civilisation.

rose dit: à

Non seulement je n’étouffe pas, Jazzi, d’indignation, mais je laisse majoritairement les gens vivre leur vie telle qu’ils l’entendent.
Molière, tel Jean de La Fontaine ont iaissé leurs marques bien gravées. Il a su sûrement eu des amours illicites avec la fille Armande Béjart, qui a succédé à sa mère, mais on n’en a trop rien su, et puis, il a fini sa vie hypocondriaque, ce que je considère plus grave, bien plus, que gay, qui finalement représente un manque pour moi, essentiel, de la femme dans toute sa splendeur…

rose dit: à

Janssen K+J

Y avez-vous dormi ?

Plumes d’autruche : pour faire des chapeaux, ou des éventails pour ces dames ?

rose dit: à

Janssen J-J
Prague Budapest, Sofia, ne connais pas. De manière générale, l’Europe de l’Est.

rose dit: à

deux jours dans l’hôtel au bout du pont St Charles.
Oui. Pardon. Je dors encore.

rose dit: à

Contre l’avis du procureur,
Alors, ce sont les jurés qui ont décidé ?

rose dit: à

Zizi Jeanmaire, artiste de cabaret ; je l’imagine plus -mais pas trop, dans la gravité, plutôt que les billevesées.

rose dit: à

Du champignon de Paris, j’ai trouvé cela dans un com.de Zoé

La Nuit de Mai
Alors s’assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse.

Alors s’assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse.

Et c’était tellement beau que j’ai cherché la suite.
Tous ces enfants étaient des gouttes d’un sang brûlant qui avait inondé la terre ; ils étaient nés au sein de la guerre, pour la guerre. Ils avaient rêvé pendant quinze ans des neiges de Moscou et du soleil des Pyramides ; on les avait trempés dans le mépris de la vie comme de jeunes épées. Ils n’étaient pas sortis de leurs villes, mais on leur avait dit que par chaque barrière de ces villes on allait à une capitale d’Europe. Ils avaient dans la tête tout un monde ; ils regardaient la terre, le ciel, les rues et les chemins ; tout cela était vide, et les cloches de leurs paroisses résonnaient seules dans le lointain.

rose dit: à

C’est de Alfred de Musset. Oui.

Alfred de Musset, La Confession d’un enfant du siècle, 1836
> Texte intégral dans Gallica, bnf

rose dit: à

Alors s’assit sur un monde en ruines une jeunesse soucieuse.

rose dit: à

Comme c beau et que cela vaut le coup d’être répété.

rose dit: à

Tirer au Glock.
Je découvre.
Hier, ai fait une réflexion à ma mère sur ce que nous vivons : elle m’a répondu avec un à-propos et un point de vue personnel sidérants.

rose dit: à

Mon com préféré chez Anthony Delon de Catherine fecour
« Votre sœur n’a pas la lumière à tous les étages ».
Trop bien.

Pourtant, elle va bien, m’a dit Emma hier. Et aussi que les enfants sont comme les parents les ont faits. Ce qui n’est pas louangeur pour eux, hein les parents de Jacques Mesrine ?

et alii dit: à

Langue française
monsieur P.C.
pourquoi n’y a-t-il pas un couplet pour le pluriel de filleul, celui de glaieul et celui de tilleul?

Janssen J-J dit: à

ce matin, petite anicroche entre P Servent et H Vedrine, chez la grande Léa. Des gens très civilisés : l’heure est grave.
L’idée qu’il faille aller bouter le voyou de l’Est en envoyant des troupes à l’Ukr. plutôt que de mettre l’OTAN à l’épreuve, s’inflitrer progressivement dans les consciences européennes de nos experts du Figaro et de la Sté d’AB. Brefl, il faut enfin changer de logiciel et ne plus se laisser intimider… Il est sûr qu’on peut toujours aboyer pour faire peur au Gremlin, avec nos armes et nos troupes accompagnant notre dissuasion nucléaire et enfin reprendre la main sur ces couards de boches !
Vivement l’arrivée des Trump aux States et aux Le Pen pour nous régler tout ça !… pas des voyous, ces gens-là, ça va mal barder, croyez-moi, hein !
(et des écureuils, pas comme des écurieux…)
Faites plutôt confiance à la raison stratégique de Madame Michu. A la fin, c’est toujours elle qui gagne. Elle continue à faire des enfants, coûte que coûte, même si elle croit pas que c’est pour alimenter la chair de nos canons.
Bàv (JE / 28.2.24 @ 9.12 -< attention, il vous reste encore un jour sur quatre, demain, pour changer votre logiciel géopolitique).

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

moelleux

A la radio comme à la télé, on entend souvent le mot « moelleux » mal prononcé. Le début ne se prononce pas mouè, mais comme le mot «moi ».

Janssen J-J dit: à

@ un manque pour moi, essentiel, de la femme dans toute sa splendeur (r^z)

Il est certain que ce monde là serait plutôt pauvre et bien peu attrayant, quoique joyeux et gai, parait-il. Où seraient les papas poules pour nous en consuoler ? Bàv, maman N.

(***Aujourd’hui, j’esquisse son visage de jeune fille, quand elle était très belle, peut-être reconnaîtra-t-elle son portrait si j’y mets tout mon amour enfui ? – Bon, je sors déhors un brin avec mon plumeau, ah ah ah ah… = sarcasmatique / 9.30).

J J-J dit: à

@ moij -> prononcez : « moué-je ».

Bloom dit: à

moelleux nœud (moi, le nœud)

Édifiant documentaire sur l’Autruche nazie sur LCP. Lors du débat, deux commentateurs sur trois assez prompts à noyer le poisson sur les responsabilités. Aucune allusion à l’absence de travail de mémoire comme celui entrepris en RFA (pas en RDA, oeuf -d’autruche- course).

J J-J dit: à

Je vais bientôt fermer ce blog. Un peu de lassitude. et l’envie d’un printemps et d’un été de silence. (Qui l’a dit ? qui l’a fait? qui y a sérieusement pensé ?) – Nous serions tellement plus heureux, tous, si nous n’avions pas la RDL, marie ma sœur serait effacée à jamais de la surface de la terre, vu qu’elle n’a pas fait son blog… du reste, elle ne saurait pas comment y cracher son venin, faute de commentateurs/trices. Voilà bien son point aveugle, quant à moij, juché sur le vieux koffret, je n’en ai pas du tout. Je vois tout. Cessez de nous la harceler, bordel : elle skie de ses 2 jambes !

J J-J dit: à

moij, le neu-neu 🙂

renato dit: à

Une pincée de stupidité est nécessaire à la pensée, JJ-J.

Rosanette dit: à

@Bloom
excellent documentaire e effet sur le tour de passe passe réalisé par l’Autriche après guerre

En offrant l’Anschluss à une population autrichienne enthousiaste ,Hitler n’imaginait pas qu’il leur conférait un brevet différé de victime du nazisme
Ce que la nomenklatura autrichienne a largement exploité ,et avec indécence, au point de générer à partir de suppôts du régime ,des figures mondialisées, glorieuses et respectées (un prix Nobel ,un premier ministre, ancien secrétaire général de l’ONU un chef d’orchestre archi célèbré

Alexia Neuhoff dit: à

Je ne savais que l’académie françouèse avait été délocalisée à Dieppe. Il est vrai qu’on y pêche la coquille.

Patrice Charoulet dit: à

L’info selon CNews.

Le dimanche 25 février 2024, CNews examine les causes de mortalité sur Terre. 3 :le tabac (6 millions de morts). 2 : le cancer (6 millions). 1 : l’IVG (73 millions).
Cherchez l’erreur !

et alii dit: à

Le 13 mai 1938, L’Os à Moelle fait son apparition dans les kiosques et reçoit immédiatement un accueil triomphal. L’esprit loufoque créé par Pierre Dac a trouvé avec ce journal une tribune à sa mesure. Jusqu’en juin 1940, tous les vendredis, Pierre Dac et ses complices commentent l’actualité, publient des recettes absurdes, des petites annonces délirantes, des entretiens farfelus, ou des grands reportages saugrenus même s’ils évoquent en filigrane ;les préoccupations de tous face à la guerre qui s’annonce. Cette anthologie regroupe le meilleur

Patrice Charoulet dit: à

Erratum

…le cancer (1O millions)

MC dit: à

Qui est Marie Sasseur??????
MC

et alii dit: à

langue françazise et famile suite:
Le 13 mai 1938, il fonde L’Os à moelle, organe officiel des loufoques, une publication humoristique hebdomadaire au nom inspiré par François Rabelais et par son père boucher (le mot loufoque vient de l’argot des bouchers, le louchébem, et signifie fou)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Dac

et alii dit: à

famille

Janssen J-J dit: à

l’erreur, c le coup de l’industrie du tabac et la cancer pulmonaire qui en est souvent un produit sanitaire dérivé. L’IVG, voilà la solution pour des millions de femmes en détresse que l’on empêche d’avorter après avoir été dument violées. Bien des vies épargnées à tous ces êtres humains qui n’auront au total pas eu la malchance de naître dans ces conditions.
(Tous les arguments des mâles hostiles de Dieppe seront toujours nuls et non avenus, tant qu’ils voudront bien représenter l’AF).
!

J J-J dit: à

@ Qui est Marie Sasseur??????

Une guenon de race anne-do, dégringolée des branches d’araucaria, désespérément triste à mourir, eutrophisée dans le lac de Walden, miraculeusement rescapée du darkweb Wador, récupérée de justesse par ses potes Tesson et Le Tellier, avec la gueule bien amochtée.
Comme quoi, avec aile, une pensée de sagesse est toujours nécessaire à la stupidité ambiante.
Bàv, PR/MC, c’est l’heure d’aller turbiner !

Bloom dit: à

Rosanette, Le Lièvre aux yeux d’ambre / The Hare with Amber Eyes, d’Edmund de Waal règle définitivement son compte à la version victimaire de l’Anschluss.
Que cette ordure de Karajan ait été encensée par les médias français grand public (Grand échiquier & Radioscopie de Jacques Chancel) en dit long sur l’efficacité des tours de passe passe de l’après-guerre.
Il a fallu l’affaire Waldheim et la montée du vote Haider pour que le monde prenne la mesure de la réécriture de l’histoire autrichienne.
Et pourtant il y avait la dénonciation percutante et sans appel de l’œuvre de Thomas Bernhard…

Janssen J-J dit: à

@ JPS (89 ans) (GP, n° 230 : Je me souviens de ma première manif neu-neu sur la campus de Talence un le 1er avril, contre une réforme de Giscard. Nous avions confectionné des pancartes bien sympathiques pour son ministre : « SOISSON D’AVRIL, SOISSON DEMISSION ! » Il était flanqué d’Alice Saunié-Seïté à cette époque (?). Quant à savoir de quoi il s’agissait au juste, là, je cane un brin, jean-françois (berge) !… Bàvous,

rose dit: à

chef d’orchestre archi célébré autrichien : Gustave Mahler Rosanette ?

Marie Sasseur dit: à

Dis le vieux keuf, modère un peu ton imagination, tu excites le macaque, dont on ne te remerciera jamais assez d’avoir posté la vidéo YouTube sur la rdl. Quelle horreur, soit dit en passant. On comprend mieux.
Il faut bien que tes saloperies servent de temps en temps.

et alii dit: à

de quoi il s’agissait au juste
juste pour « faire avancer le schmilblick »!

Bloom dit: à

chef d’orchestre archi célébré autrichien : Gustave Mahler Rosanette

Mahler était juif et est mort en 1911.

Herbert von Karajan, copain de J. Chancel.

Le Nobel, c’est Konrad Lorenz, archi nazi
Le secrétaire de l’Onu, Kurt Wadheim

Jazzi dit: à

Un film documentaire tellement délicat que le moins disant, ici, est le mieux que le léZard puisse en dire !

racontpatavi dit: à

Au moins une fois par semaine j’envoie une carte postale à Josette à son ehpad car il devient très difficile de pouvoir la joindre par téléphone.
Elle est bien aidée, merci pour elle.

Rosanette dit: à

l’Os a moelle a probablement l’organe de presse qui faisait campagne pour le Parti d’en rire ,créé par son directeur

de Pierre Mac ce générateur d’absurde avec des mots ordinaires
« un homme politique qui n’est pas cru est cuit »

« Le bac(d’autrefois), c’est comme la lessive :on mouille, on sèche, et on repass »e

Pablo75 dit: à

A la radio comme à la télé, on entend souvent le mot « moelleux » mal prononcé. Le début ne se prononce pas mouè, mais comme le mot «moi ».
Patrice Charoulet dit:

C’est quand le FSB (ancien KGB) lit les posts de Charoulet qu’il se dit que la France est prenable, que pendant que les Français enculent des mouches en plein vol, on peut faire n’importe quoi dans ce pays sans que personne s’en rende compte.

Par exemple, infiltrer La République des Livres avec deux génies de l’espionnage comme PPP (Puck la Pute de Poutine) ou D., déguisé en mangeur compulsif d’endives.

Pablo75 dit: à

Qui est Marie Sasseur??????
MC dit:

Le dernier volume de la série « Martine dans… », s’intitule « Martine dans La République des Livres ». Voilà une piste sérieuse pour savoir qui est derrière « Ettassoeur ».

J J-J dit: à

@ machinette de Gueugnon /on ne te remerciera jamais assez d’avoir posté la vidéo YouTube sur la rdl/

p/ info -> elle doit me confondre avec elle-même, non ?, lui-l…, ne met jamais de youTube, comme rznet’e, le sait pas trop comment ça marche. hein !

@ mac:in / Est-ce que PPP – puck et JC, c’est pareil… ? Vu que chez Edel, l’ex JC à la mentule béante de Pqrl se couche en Bretagne, désormais.

@ Pierre Mac (Orlan) avait moins d’humour que l’autre… Pour sûr.

Patrice Charoulet dit: à

à Monsieur Pablo75

Je viens de mettre ici « L’info selon CNews ». Ce faisant, ai-je sodomisé les diptères ?
je continuerai sur ce blog littéraire à écrire des remarques sur la langue française, malgré vos railleries.

Marie Sasseur dit: à

Petit coup de gueule.
Ça faisait assez longtemps que je n’étais pas allée au ciné, je mets cela sur cette longue période covid, dont on mesure encore assez mal les conséquences, le succès de ce film prise de tête, un séjour confiné des bobos à la neige, multi primé et largement surévalué, en est une…

Non, pour la reprise, il fallait du grand, du grand format, du spectacle, du grandiose.
Le genre dit de science-fiction , entendu dans ses déclinaisons space opera, heroic fantasy , se prête bien aux effets spéciaux permis par le cinéma.

Et puis ce qui est présenté comme représentantatif du genre, Dune, de F. Herbert, avait tout pour plaire:
Je n’étais pas allée au bout du bouquin tellement ça m’avait ennuyée,
j’avais raté l’épisode 1,
il faisait mauvais temps ce jour là,
j’avais promis une expérience aussi dingue que celle de star wars, pour ne pas y aller seule.

Erreur.
Sur la forme.
25 euros la place pour être secoués comme des pruniers en format 4D X, à faire sauter tous le pop corn hors du seau,je déconseille aux vieux de tenter le truc…c’est peut-être pour ça que ce blockbuster de D Villeneuve n’a pas eu d’echo sur ce blog. Un trip comme dans une attraction de parc de loisirs, ou un visionnage dans un coucou hors d’age sur un vol Alger Bamako, par gros temps.
A chaque rafale tu bondis sur le siège à chaque coup dans la tronche, tu prends un uppercut dans le dos, ça crame à l’écran, et le souffle de l’air chaud te revient dans la nuque. Tu ressors essoré.

Sur le fond.
Je n’étais pas allée au bout du bouquin de Herbert, et si le scénario est conforme au bouquin, j’ai compris pourquoi.
Pourquoi ce film gris, tout est si gris
mon dieu, violent, étouffant,
pourquoi une histoire aussi pauvre nécessitait autant d’effets parasites.
Parce que j’y ai vu la résurgence d’un messianisme abrahamique, un néo monothéisme qui ne ne se développe que dans le désert, où il n’y a pas de place pour l’imagination et le rêve.
Horrible.

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