de Pierre Assouline

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La République des livres
Vie d’Oliver complètement Stone

Vie d’Oliver complètement Stone

Les mémoires de cinéastes qui valent la peine d’être lus sont si rares, et le genre en lui-même si peu pratiqué, que lorsqu’il en est un qui sort du lot, on ne devrait vraiment pas s’en priver. Il est vrai que le plus souvent, ils ne valent pas un clou ; les amateurs n’ont pas oublié la déception qu’a suivie la parution de Histoire de ma vie (1964) de Charles Chaplin, concentré de name dropping. La plupart du temps, pressé de citer les meilleurs, ceux qui nous ont marqué, on se rabat soit sur Un demi-siècle à Hollywood de Raoul Walsh (1976), Roman de Polanski, Ma vie et mes films de Jean Renoir, Une vie d’Elia Kazan et une poignée d’autres où l’on sent la patte du nègre, ou sur les entretiens Hitchkock/Truffaut qui ne sont pas des mémoires (j’avoue ne pas avoir lu Friedkin Connection de William Friedkin paru en 2014 chez La Martinière). Une denrée si rare qu’elle tient sur la page d’accueil d’un site. Autant dire que A la recherche de la lumière (Chasing the Light, traduit de l’anglais par Diniz Galhos, 475 pages, 23 euros, éditions de l’Observatoire) d’Oliver Stone vient à point.

Ce récit autobiographique, au rythme et à l’esprit très gonzo, se distingue d’abord par son écriture, ce qui n’est pas la qualité première des autobiographies ; dans le meilleur des cas, lorsque c’est honnêtement rédigé, on se console en se disant que l’auteur ne prétend pas être écrivain, que ce n’est pas son métier, qu’il ne fait pas semblant au motif que pour une fois, son nom apparait sur une couverture de livre et non dans un générique ou sur une affiche. N’empêche qu’il écrit depuis son plus jeune âge et que c’était là sa première passion, avant même le cinéma, du moins le revendique-t-il (et le soin apporté à l’écriture de ses mémoires rend d’autant plus regrettables les coquilles qui émaillent le texte français). Ce qu’il dit de la guerre est rarement anecdotique, et le plus souvent profond, médité, ouvert sur d’autres expériences et d’autres vécus que les siens. La guerre où la mort est à 360°. La guerre, ce moment de l’histoire d’un pays, où la vérité, irréductible à un rapport, ne se laisse pas découvrir. Oliver Stone a vraiment une vision de ce monde-là car il est vraiment pendant la guerre du Vietnam où il se porta volontaire en 1967 dans l’infanterie puis dans la cavalerie (deux fois blessé, décoré de la Purple Heart et de la Bronze Star) ; elle l’a fait, construit, structuré pour le meilleur et pour le pire ; c’est là qu’il a acquis un nouvel instinct, une nouvelle forme de sauvagerie au cours de ses dix-huit mois d’attente, d’ennui et de combats en regard desquels les cours de cinéma à la fac lui parurent la vraie torture. Si ce n’est les Anciens, c’est la France. En le lisant, on ne risque pas d’oublier qu’il a passé toutes les vacances de son enfance et de son adolescence chez ses grands-parents maternels.

« Pourchasser la lumière : j’ai l’impression que tout au long de ma vie, je n’ai rien fait d’autre que cela

La matrice de son rapport au mensonge est la même que celle de John Le Carré (entre autres !) : les parents, leurs crises larvées, leurs conflits dissimulés, les non-dits de leur séparation puis de leur divorce.

« Nous avions livré bataille contre notre propre corruption, au sein d’un système qui exigeait de chaque homme qu’il mente, ce qui était en un sens une forme de déshonneur. La guerre du Vietnam n’était que l’une des nombreuses manifestations du Mensonge dont j’avais fait l’expérience pour la toute première fois lors du divorce de mes parents »

Au front, il fut mis à l’épreuve de trois formes de mensonge : les tirs amis (accidents, erreurs de bombardements etc), la mort des civils (massacre de My Lai etc) et une technique éprouvée pour faire passer une défaite pour une victoire. Le mensonge, qui se trouve selon lui au cœur de la culture américaine, était alors écrasant. Le respect d’Oliver Stone pour les soldats est inentamé, alors que pour les officiers, c’est au cas par cas. Globalement, il les décrit comme des pros assoiffés de coups d’éclat et de promotions, quand bien même cette folle dérive les conduirait à faire de l’obsession sécuritaire une pathologie nationale. C’est aussi en cela que la guerre du Vietnam l’a fait : il en a tiré une aversion absolue pour l’hypocrisie dans toutes ses déclinaisons, ce qu’il ne peut s’empêcher de dénoncer haut et fort quelles que soient les circonstances dans une totale absence de surmoi, entrainant immanquablement des situations embarrasantes sinon des scandales privés ou publics dont sa réputation, et donc sa carrière, firent les frais. Sa légende négative ne lui a jamais lâché les basques.

« … c’est entre autres pour cette raison que je me suis attiré beaucoup d’inimitié par la suite en critiquant notre façon de vivre. Parce que nous mentons à nous-mêmes, et que nous avons plongé le citoyen lambda dans un état de confusion permanent qui le pousse à redouter que des terroristes se cachent quelque part derrière son barbecue, ou que la Russie soit en train de miner notre « démocratie » par des biais insidieux et des formes de guerre atypiques, ou encore que l’économie chinoise soit en train de nous bouffer tout cru avec des baguettes, cela va de soi. Tout au long des années qui se sont écoulées pour moi depuis 1946, le concert de conneries anxiogènes n’a jamais cessé : pire encore, il n’a fait que gagner en clameur. En définitive, c’est nous nous les dindons de la farce. Les clowns. Et ça n’a vraiment rien de très amusant »

Après la Reine du Mal et la Main du cauchemar, deux films d’horreur qui furent des échecs absolus et faillirent bien l’entrainer au fond à jamais, Salvador (1986) (ici puis ici) est son premier vrai film, entièrement conçu sans le moindre soutien des studios, sans contrat de distribution. Ce qu’il avait pour lui ? Il y croyait à mort et avait réussi à embarquer dans son aventure deux producteurs britanniques indépendants au tempérament de joueurs (un pléonasme, en fait). La référence à la mythologie grecque étant récurrente, on ne s’étonnera pas de découvrir au fil des chapitres qu’Homère est l’auteur le plus souvent cité ; de son propre aveu, « Ulysse et sa conscience supérieure » lui ont inspiré le héros de Platoon (1986), premier film sur la guerre du Vietnam du point de vue des bidasses, On peut d’ailleurs lire tout ce livre comme un prolongement inattendu de Platoon, comme une lumière rétroactive. On le voit écrire ses scènes, inventer le personnage de Chris Taylor, écartelé dans sa double fascination pour Barnes et Elias, dualité simple mais efficace représentant les deux faces antagonistes de son propre caractère à la fois pragmatique et rebelle. Le déclic lui vint dès qu’il en vint à se demander : « Et si l’un des deux personnages finissait par tuer l’autre, comme Achille tua Hector ? ». Dans la vraie vie, il voit l’Amérique d’aujourd’hui pleine de Barnes, un homme guidé par la ruse et les instincts primaires, qui n’éprouverait aucun cas de conscience à tuer les Elias-lanceur-d’alerte prêts à dénoncer les agissements barbares au sein de l’armée tenus pour des traitres. On comprend que le Pentagone, à qui il avait demandé son assistance technique (matériel etc), la lui ait refusée au motif que son projet était « une falsification mensongère de la vie au front ».

Midnight Express est le film qui l’a révélé, du moins comme scénariste. Au départ, ce n’était qu’un entrefilet dans un quotidien relatant l’évasion d’un jeune américain des geôles turques où il croupissait après avoir été condamné à trente ans de réclusion pour avoir essayé de passer un peu de hasch en rentrant au pays. Des producteurs et le cinéaste Alan Parker s’y intéressèrent et commandèrent l’histoire à Oliver Stone, lequel eut de longs entretiens avec Billy Hayes, le héros qui n’avait pas encore écrit ses mémoires. Là encore, comme pour Salvador et Platoon, le récit des embûches, problèmes, obstacles dressés sur la route de la fabrication d’un film qui n’en rencontrera pas moins un grand succès critique et public à travers le monde (le scandale orchestré par la Turquie n’y fut pas non plus étranger, mais il est vrai qu’elle n’en sortait pas grandie même si le film fut tourné à Malte, que le héros hurlait au tribunal que c’était « une nation de porcs », que les acteurs censément turcs étaient en réalité arméniens, suprême injure etc), tout cela est raconté passionnément et en détail par l’auteur. Mais pour Stone, la victoire eut un goût amer car « on » (et au premier chef, le véritable antihéros de ce voyage au bout de l’enfer) lui avait vendu l’histoire d’un jeune américain accompagné de sa petite amie, qui faisait du tourisme en Anatolie et ramenait un peu d’herbe pour payer ses études. Il y a cru et a écrit un scénario au poil -car Stone, outre sa personnalité de cinéaste, n’a jamais cessé d’être, pour lui-même et pour les autres, l’un des meilleurs scénaristes de sa génération. Jusqu’à ce la gloire du film encourage inévitablement Billy Hayes à se faire le VRP de sa tragédie (récemment encore, à 70 ans révolus, cette tournée digne d’un one-man-show était sa principale activité, courant les festivals et les plateaux pour se raconter à la lueur du film dont il fut le conseiller). Stone comprit alors qu’il s’était fait avoir, qu’il avait donné ses lettres de noblesse à un mensonge, une fois de plus, sentiment renforcé longtemps après lorsqu’il découvrit la vérité nue dans un documentaire consacré à Billy Hayes : en fait, non seulement celui-ci était gay depuis sa jeunesse (alors qu’on avait demandé au scénariste de ne pas oublier le rôle attendrissant de la petite amie et de montrer l’acteur Brad Davis refusant l’invitation d’un autre prisonnier sous la douche) mais surtout il avait toujours été un trafiquant de drogue, certes à sa petite échelle, qui n’en était pas à son coup d’essai (son quatrième transport !) lorsqu’il s’était fait pincer à l’aéroport d’Istanbul avec deux kgs de hasch. Une mystification, mais les gens veulent-ils vraiment la vérité ? Stone n’aurait pas probablement pas écrit le même film s’il avait su ; encore que, la pression des commanditaires étant si forte… La conscience, toujours, il y revient inévitablement tant elle le torture et le hante par la voix de Humphrey Bogart dans cette réplique du Trésor de la Sierra Madre (d’après un roman de B. Traven) :

« La conscience. Quel machin. Si vous vous convainquez que vous en avez une, elle vous harcèlera jusqu’à la mort ! »

N’allez pas croire qu’elle le pousse pour autant à être un rigoureux obsédé de la fidélité documentaire (même si pour Platoon, il a fait transporter de la terre rouge du Vietnam aux Philippines où avait lieu le tournage, détail qui frappa les anciens combattants américains par sa recherche d’authenticité). Il effectue des recherches avec tout le sérieux nécessaire et une fois qu’il a engrangé le fruit, il en fait ce qu’il fait. Pour Salvador, l’un de ses films les moins connus en France (on le trouve désormais sur OCS) mais des plus puissants tant l’action y est condensée, et le jeu de James Woods, John Belushi et John Savage renversants de force, il voulait une charge de cavalerie des zapatistes contre les militaires dans une rue d’un village même s’il savait pertinemment que jamais les rebelles n’avaient chargé à cheval dans l’Etat de Morelos mais… « rien à foutre ! », il la voulait pour des raisons visuelles et dramaturgiques et il l’obtint avec pas moins de soixante-dix chevaux. Et ce n’est pas tout : pour ne pas se voir reprocher d’avoir fait un film à la gloire du communisme et de la révolution, il « inventa », car cela ne s’était jamais produit, une scène où des rebelles du Front de libération exécutent de sang-froid des soldats qu’ils ont capturé à l’issue de la bataille de Santa Ana. « Je pense à présent que cette volonté d’établir un équilibre dans les points de vue était une erreur de ma part » écrit-il. Il faut préciser qu’il ne dissimule rien de ses échecs et de ses erreurs, et il ne se contente pas de les regretter : il les analyse et les dissèque, ce qui rend plus crédible encore l’évocation de ses motifs de fierté (et ses refus, tel celui d’écrire l’adaptation du Mystère Von Bülow ou le scénario de Top Gun malgré le cachet faramineux pour ne pas avoir à glorifier l’armée).

Des projets, il n’en a jamais manqué, pour lui et pour les autres. Il se présente volontiers comme « une fontaine à idées ». Le problème, c’est le temps de les mettre à œuvre, le temps perdu et gâché à lutter contre les producteurs qui n’ont jamais produit qu’un mauvais effet, des réunions interminables, des réécritures sans lendemain, des courses à l’argent, des budgets promis et renoncés. Il est tous ses personnages, il n’en est donc aucun, prenant soin de toujours leur rester extérieur, seul moyen de demeurer libre en écrivain de cinéma, certes chaotique et imparfait, et un parfait inconnu aux yeux de tous, y compris à ceux des gens du métier et des critiques qui le décrivent comme « fou à lier. Il est vrai que politiquement, ses contempteurs lui reprochent d’être passé de sa jeunesse conservatrice et de son vote en faveur de Reagan à son gauchisme actuel qui le pousse à soutenir Bernie Sanders et Jean-Luc Mélenchon. La place manque pour évoquer aussi Né un 4 juillet (1989), Tueurs nés ainsi que ses documentaires contestés sur Arafat et sur Fidel Castro.

Son cocktail préféré, et parfois permanent jour après jour, à le rendre décalqué semaine après semaine, n’est pas la littérature ni le cinéma, adrénalines à haute dose, mais alcool+ cocaïne+ Quaaludes. Accro à cette « sensation » et à son côté répétitif à n’en pas douter jusqu’à craindre de ne plus pouvoir si savoir travailler s’il le mettait à distance. Il dit s’être désintoxiqué, non de la consommation épisodique mais de l’état d’esclave des substances, grâce à une cure mais aussi grâce à l’excellence de la cuisine française lorsqu’il s’installa à Paris pendant quelques temps (il faudra essayer pour voir !)

Ayant connu la guerre, la prison, la vie quotidienne dans la marine marchande et le reste, il avait en lui un réservoir de violence qui ne demandait qu’à exploser. Comment ne pas se sentir bestial quand on a servi « la Bête » au Vietnam ? Il n’en fait pas une excuse à ses excès ni une justification à ses débordements, mais un début d’explication- et cela vaut aussi pour la soif  de brutalité, de sang dans la frénésie d’accumulation d’argent des personnages de Wall Street (1987) qu’il écrivit et réalisa dans le même esprit que Scarface.

Oliver Stone se reconnait assez parano dans son genre, tendance impatient et agressif ; l’envers de cette face incommode, c’est son entêtement, sa pugnacité, son inflexibilité ; seuls ces traits de caractère ont permis à ses films d’aboutir. Au fond, il n’aura jamais cessé de tester ses limites ce qui est toujours édifiant, mais cela dépend avec qui. Lorsqu’il a écrit le scénario et les dialogues de L’Année du dragon (1985), il pouvait se permettre de placer des répliques racistes antichinoises dans la bouche de Mickey Rourke en misant sur le décalage, comme dans Scarface. Sauf que Michael Cimino, s’il est autant dans l’outrance que Brian de Palma, n’a pas le don, lui, de manier aussi l’ironie -ce qui change tout.

Le scénario que lui commanda Brian de Palma pour son opéra poudre avec Al Pacino, une version moderne de Scarface (1983) avec des marielitos cubains déchainés à Miami, est aussi un autre grand moment de ses mémoires. Comme on lui laissa toute liberté, lui aussi se déchaina, bourrant les séquences et les répliques de toute l’énergie, de toute la violence, de toute la crasse, de toute la colère et toute la transgression qu’il avait en lui et ne pouvait canaliser (183 occurrences de fuck : Scorcese battu !). Inoubliable Tony Montana dont la cicatrice se balade sur le visage au gré des séquences tout au long du film, le maquilleur ayant du mal à lui garder sa place et même sa forme ! Qu’importe puisque, avec Al « Actor’s Studio » Pacino, on y croit de toute façon comme on croit que l’héroïne lui est vraiment montée à la tête dans ses délires de domination et de puissance alors que, de l’aveu même de Stone, il n’a jamais touché aux drogues et n’y connaissait rien. Pacino, l’acteur qui ne suit que son propre tempo face à l’inertie et l’impassibilité de Palma. Et pourtant à deux ils ont réussi le film-culte le plus électrique qui soit. A trois même car Stone y a eu sa part, non seulement pour écrire le film mais pour protéger ses scènes sur le plateau, empêcher les coupes sombres (quelle épreuve que d’être scénariste du film d’un autre lorsqu’on est également réalisateur !).

Si ce Scarface, épopée d’un seul toute de violence et de transgression dans une Floride où cupidité est vertu, est encore dans les mémoires longtemps après, c’est avant par ses répliques devenues culte, partout citées dans tous les milieux. Stone se livre à ce sujet à une forte réflexion sur le rôle de la critique lorsqu’elle fait intervenir son goût plutôt que son sens de l’analyse ; il lui reproche de faire intervenir dans son jugement l’image qu’elle a du cinéaste (et dans son cas à lui, elle est souvent désastreuse tant ses réactions sont imprévisibles et mènent au clash, ce qu’il appelle « un travers de dramaturge ») aux dépens du contenu du film.

Vivement la suite si elle est de la même encre, avec le récit de l’intérieur  que l’on espère aussi formidablement vivant, de JFK, Nixon, Alexandre, World Trade Center, W, l’improbable président, Savages, SnowdenPlatoon fit du scénariste si recherché un cinéaste à part entière. Les premières projections qui eurent lieu à Manhattan lui valurent d’être saluées fraternellement par les chauffeurs de taxi. D’un vers du fameux poème de Kipling If…, il a tiré une philosophie de la vie relative aux échecs et aux succès : « Deux imposteurs ». N’empêche, cela lui mit du baume au cœur en le ramenant à un vers chu d’un autre poème :

« Je suis devenu un nom »

Par moments, on le sent prêt à échanger toutes les statuettes des Oscars, Golden Globe et Bafta qui trônent sur ses étagères contre le texte original de l’Ulysse de Tennyson. On ne se refait pas. C’est aussi ce qui rend passionnante la lecture d’un livre a priori aussi improbable.

(James Woods et John Savage dans Salvador, Mickey Rourke dans The Year of the dragon, Brad Davis dans Midnight Express, Michael Douglas dans Wall Street, Tom Berenger et William Dafoe dans Platoon, Oliver Stone sur le tournage de Platoon, photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans cinéma.

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1 050 Réponses pour Vie d’Oliver complètement Stone

Marie Sasseur dit: à

Langoncet, fabriquez-vous une poupée vaudou. Et ne regardez pas à la quantité d’aiguilles.
Le grand Charles a le cuir assez costaud, s’agissant de décolonisation.

Car pour le reste, la  » réconciliation  » nationale, c’est pas demain la veille.

« Nous sommes en 1982. L’année précédente, un président socialiste a été élu pour la première fois à la magistrature suprême. François Mitterrand a dû ratisser large pour en arriver là, bien au-delà du « peuple de gauche ». Il est notamment allé pêcher, discrètement, des voix auprès du million de Français rapatriés d’Algérie vingt ans plus tôt. Avec succès : ces hommes et ces femmes ont souvent voté pour lui, sur consigne de leurs représentants. Le nouveau président est désormais bien installé à l’Élysée. Le 29 septembre 1982, les députés socialistes majoritaires à l’Assemblée nationale se voient présenter la facture. Elle est salée ! Et elle ne passe pas. »

https://www.cairn.info/histoire-secrete-de-la-ve-republique–9782707153500-page-100.htm

Paul Edel dit: à

Le poème japonais du dimanche,frères et skieurs:

« Avant le jour
J’ai été réveillé sur ma couche
Par un bruit
C’était la clôture de bambou
Qui se brisait sous le poids de la neige. »
Fujiwara no Norikane,mort en 1165

Marie Sasseur dit: à

Merci Paul, c’est magnifique.

Jazzi dit: à

09 05
Mais par quel bout faut-il commencer à lire ! Les deux ?

Jazzi dit: à

Commerce et montagne, deux mots qui ne vont pas bien ensemble.

Jazzi dit: à

Entre or blanc et pieds noirs, le coeur de Marie Sasseur balance !

Marie Sasseur dit: à

Harceleur analphabète sont des mots qui vont très bien ensemble.

Marie Sasseur dit: à

Il paraît qu’en macronie ils vont lancer une campagne de dépistage dans les écoles et les collèges. Le but de ce traitement administratif de la pedocriminalité est d’avoir le maximum de tests positifs au meetooinceste. Pour distribuer des chèques psy.

Jazzi dit: à

Souvenir souvenir.
Un beau dimanche matin de printemps ou d’été 1962.
J’ai dix ans.
J’accompagne ma mère au marché, sur la place, face à l’église et la mairie.
Soudain je vois une très jeune femme, blonde, moulée dans une robe noire, les bras et les jambes découverts et bronzés.
Belle et hiératique, comme une pleureuse de cimetière, elle attend d’être servie devant l’étal du primeur.
Ma mère qui me voit la regarder de tous mes yeux, intrigué, me souffle discrètement à l’oreille : « Son mari est mort à la guerre d’Algérie ».
Je ne sais pas très bien ce qu’il faut en penser mais je ne retiens que cette image d’une grave et digne beauté !

Janssen J-J dit: à

Il paraît qu’en macronie ils vont lancer une campagne de dépistage (sic)… dans les maternités.
Un nouveau phénomène de société vient en effet d’apparaître, celui des violences obstétricales lors de nos accouchements.
Il faut en finir une fois pour toutes avec ce scandale, et punir les équipes de gynécologie par qui elles arrivent afin de les dissuader de commettre à l’avenir ces violences sur les mamans victimes. Nous serons toujours de leur côté. Il faut faire exploser la chape de silence là dessus.
24.1.21_9.56

Marie Sasseur dit: à

Les corniauds ne comprennent pas le francais

Qu’à cela ne tienne .
T’as chopé l’inceste, t’es malade mon pote.

« Emmanuel Macron annonce que « deux rendez-vous de dépistage et de prévention contre les violences sexuelles faites aux enfants – l’un au primaire, l’autre au collège – seront mis en place pour tous, dans le cycle de visites médicales obligatoires existantes »

Jazzi dit: à

La belle veuve du marché fut comme une hirondelle qui annonçait l’hiver.
En décembre, mon père mourut soudainement !
Cette année-là, nous assistâmes aussi à l’arrivée en masse des familles de « pieds-noirs », telle celle de Jean-Pierre Bacri, que les autochtones accueillirent sans aménité, leur reprochant la flambée des prix et des loyers.
Dans une pinède, près de chez moi, des baraquements furent érigés pour y parquer des « harkis ».
Tandis que de nouveaux mots enrichissaient mon vocabulaire, j’entrai l’année suivante au lycée.
Notre professeur d’Histoire, monsieur Pidancet, fraichement débarqué d’Algérie, ne nous cacha pas sa détestation du général de Gaulle, qui les avait trahi…

Jazzi dit: à

Bien des années après, tandis que j’étais étudiant en droit à Paris, je rencontrai ce vieil original de monsieur Pidancet à la bibliothèque municipale de Cannes. Il me demanda ce que je devenais. Je le lui dis. Et il me répondit fièrement que son fils, le général Pidancet, était alors le gouverneur militaire de Paris !
Ainsi va l’histoire…

puck dit: à

« Ainsi va l’histoire… »

ouai cela dit envoyer aux algériens un juif pied noir né à Constantine pour leur demander de se réconcilier avec la France c’est miser sur un sens de l’humour qu’ils n’ont peut-être pas.

Cela dit le cimetière juif de Constantine est un des seuls à pas avoir transformé en terrain de foot : sinon pas sûr que Stora aurait accepté cette mission réconciliatrice.

B dit: à

Info précieuses, Puck.

Je pensais ce matin à ce Sandro et je me disais que j’aimerais que cet homme éprouve l’envie de me séduire. Bon, il n’est pas interdit de rêver, j’aime les hommes qui ont des cheveux et quoique j’aie ressenti, enfant, une attirance pour Yul Brynner, celle-ci a disparu. Surement un effet pub, les produits capillaires étant vantés sur toutes les chaînes.

B dit: à

Pourquoi ce Sandro s’intéresserait-il à moi qui ne suis rien mais pas un coyotte.

B dit: à

Les appelés voyaient une France qui n’était pas ce qu’elle disait être.

Et qu’était-elle réellement dans cette région colonisée?

Janssen J-J dit: à

@ PA, Suis en train de lire le rapport Stora, et il n’est pas la caricature que l’on en dit icite, à cause de la citation de Ricoeur en exergue, comme une bonne manière au commanditaire Manu Mac.
La lecutre en ligne donnée par le lien du Figaro n’est pas facile…, mais a le mérite d’être là, merci PA pour nous en avoir donné le lien, à DHH et à moi.
Perso, j’avais laissé un peu tomber BJ depuis son remarquable opus « La gangrène et l’oubli », pris dans d’autres urgences professionnelles et surtout par le mal-être de la décennie de la montée du FIS qui avait séquestré les élections algériennes et perpétré la terreur qui s’en suivit.
J’apprécie la façon dont Stora définit son rôle de « passeur » des mémoires pour justifier de sa propre morale professionnelle : « ce respect obstiné des histoires de chacun, ce va et vient entre soi et l’Autre dans exploration de cette zone à risque, inachevée, emplie de tumultes, qu’est la mémoire, m’a souvent valu critiques et déboires (…). L’installation et la revendication des mémoires parallèles dans le paysage culturel et politique rendent difficile le travail de l’historien. En tant que « passeurs » entre passé et présent, voulant l’échange entre tous les groupes concernés par cette guerre, les historiens se heurtent à ceux qui refusent le regard critique ou à ceux qui renvoient sans cesses aux origines communautaires »…
Cette pétition « professionnelle » contre la mémoire hémiplégique (sic), me convient assez et je voulais la saluer.
Par ailleurs, Stora m’apprend avoir été l’auteur d’un dictionnaire des livres de la guerre d’Algérie où il présenté 2300 des 4000 parus sur le sujet entre 1962 et 2010 (bouquin sorti en 2000)…

Cela me fait penser que notre ami Jzmn est bien gentil, dans le compilage de ses gouts, mais il ne nous a pas encore écrit son « goût de la guerre d’Algérie »… Bon, je ne lui en veux pas, l’histoire critique et ses contraintes n’étant pas forcément sa tasse de thé, ni son métier non plus…

Bon, MS et JL…, je poursuis ma lecture du rapport Stora, avant de me prononcer d’une façon critique plus éclairée sur l’entièreté de son contenu. Merci JL, pour avoir reproduit l’exactitude de la citation Ricoeur en exergue puisée dans la revue Esprit en 1995.
Bien à vous,

B dit: à

A quand une campagne de réindustrialisation ,( verte si possible) efficace. Une campagne juridique contre les licenciements boursiers?

Jazzi dit: à

JJJ, il faudrait commencer par publier un « Goût de l’Histoire ». Pas sûr que je sois bien placé pour cela. Mais Passou, oui !
J’ai essayé d’apporter ma modeste contribution mémorielle au rapport Stora…
La guerre d’Algérie est un sujet épineux. Même ceux qui y ont participé ne veulent pas en (entendre) parler…
Sinon, je ne suis pas un buveur de thé et je n’ai jamais vraiment eu de métier !

Jazzi dit: à

Merci de nous faire un rapport sur le rapport, JJJ. J’avoue n’avoir pas encore eu le courage de m’y plonger.
Peut-être l’objet du prochain billet de Passou ?

Bloom dit: à

J’ai eu le plaisir d’éditer un texte de Benjamin Stora sur les printemps arabes pour une brochure qui accompagnait la conférence internationale que nous avions organisée en Asie en 2012. J’ai ensuite travaillé avec lui lorsqu’il présidait la Cité de l’Immigration pour organiser une résidence de création pour les lauréats du prix de la Porte Dorée. Je déclare donc un intérêt, comme on dit en anglais car je connais l’homme et l’œuvre. Et je recommande à ceux qui n’ont pas encore lu cet ouvrage de référence fondamental qu’est ‘L’Histoire des relations entre juifs et musulmans des origines à nos jours, paru chez Albin Michel, sous la direction de Abdelwahab Meddeb et Benjamin Stora, « une matière pour sortir du désastre », comme l’écrivait le regretté Abdelwahab dans sa dédicace.
On attend des Fouquier-Tinville au petit pied qu’ils exhibent leur production. A défaut, geh kaken à la basse cour qui caquète.

Marie Sasseur dit: à

Si c’est l’histoire juive de la guerre d’Algérie, ça change tout. On va laisser cette affaire aux concernés.

Moi je trouve bizarre que Stora cause du pr Paty, et pas du guide Gourdel, dans son rapport.

Marie Sasseur dit: à

Monsieur le boursouflé, payé avec nos impôts à  » édité « .
Diantre, dans les 60 pages d’annexes de ce rapport de 160 pages ce tout- pour-sa gueule, va bien la retrouver sa brochure…

Marie Sasseur dit: à

a édité.

Pauvre donneur de leçon, immonde.

christiane dit: à

Jazzi,
tu as été de bon conseil. Ce livre de Chantal Thomas (De sable et de neige – Mercure de France) est une délicate traversée de ses souvenirs d’enfance au bord de l’océan. de courtes évocations alternant avec photos, toiles flamandes, estampes japonaises.
Ce livre célèbre la beauté et le silence, l’océan, le sable et la neige.
Pour toi, cet extrait :
« Aucun bruit dans la maison, […] ni dedans ni au dehors. Je me lève pour ouvrir les volets, mais ils résistent. ILS RESISTENT. Il est tombé plus d’un mètre de neige pendant la nuit. Un autre monde ! […]
J’implore pour que la neige continue de neiger. Que tout demeure dans ce temps suspendu, dans la simple magie d’un flocon de neige.
Au début du XXe siècle, dans un appartement de Saint-Pétersbourg, une petite fille russe, Natacha Tcherniak, qui plus tard signera ses livres Nathalie Sarraute, lit et relit son conte préféré :
« De l’autre côté de la Néva gelée, entre les palais aux colonnes blanches, il y avait une maison faite tout entière avec de l’eau que la force du froid avait fait prendre : la maison de glace.
Elle surgissait pour mon enchantement d’un petit livre […] » (suite p. 135).

Marie Sasseur dit: à

 » la production » elle te cause dans le poste.

B dit: à

J’avais prévu d’aller voir la neige dans les Cévennes aujourd’hui. Il en est tombé beaucoup. Projet annulé et reporté à mardi. Lundi, dépistage, jeudi boulot.

Jazzi dit: à

J’en suis ravi, Christiane.
Le nouveau billet est tombé !

christiane dit: à

D’un haïku à l’autre…
Du même livre de Chantal Thomas De sable et de neige, en regard d’une estampe de Hokusai « la maison de thé, petit matin après une chute de neige », ces lignes d’elle :
« Mirages
envols de sable et d’écume
silences et vides ».

Marie Sasseur dit: à

 » signe du dégel… » la France a remis le reste de corps de combattants… P.60

A côté de ces discours et actes étatiques, existent de nombreuses coopérations entre sociétés civiles française et algérienne poursuit Stora.

Hors sol.
Complètement hors sol.

Aucune donnée sur les échanges économiques.
Rien ou presque sur étudiants algériens en France, dont la présence en France n’est pas
une fuite due aux exactions du GIA, et lui est bien antérieure.
Ça aussi c’est de ma production personnelle.

Bloom dit: à

les Cévennes

Excellent vin des Cévennes sur la table ce midi, B.
Beaucoup de tendresse pour le Désert…Quel con, ce Louis 14.

christiane dit: à

Jazzi dit: « J’en suis ravi, Christiane.
Le nouveau billet est tombé ! »
Oui, j’ai vu.

Tu sais, le livre de Chantal Thomas se termine au Japon, fin décembre 2010, par un très beau chapitre : « Le pont qui traverse le temps ». Elle a loué avec son ami Allen une petite maison à Kyoto.
Elle aime s’installer pour écrire dans un de ses cafés préférés, le « Sagan ». Elle écrit : « Sagan veut dire « rive gauche » en japonais ». Elle pense à ce roman Bonjour tristesse car elle se laisse enrober par une certaine tristesse, « ciels gris, et humeur sombre ».
Je pense à cette remarque que tu fis, un jour lointain, ici. Tu regardais Françoise Sagan sortir au volant de sa voiture, de ta fenêtre. Je crois que tu habitais alors dans le même quartier. Tu as écrit des commentaires justes sur son écriture et sa vie.

Marie Sasseur dit: à

Enfin convenons que 2022, c’est l’anniversaire des accords d’Évian et que c’est une échéance présidentielle.
Il y a toujours un électorat à capter.

Reste que oui, l’enseignement de la colonisation française et des decolonisations est un enjeu honorable.

puck dit: à

j’ai relu des extraits de « place de l’Etoile » de Modiano c’est vraiment très nul et c’est pas drôle du tout.

puck dit: à

« la façon dont Stora définit son rôle de « passeur » des mémoires »

ouai on avait déjà les accords d’Evian, comme quoi maintenant les armistices ça suffit plus.

si ça se trouve ç va donner des idées aux vietnamiens et aux sénégalais, camerounais et autres colonisés et faudra leur envoyer des bataillons de Stora.

pas sûr que ça suffise, mais ça donnera du boulot aux historiens.

puck dit: à

Sasseur : j’avais pas vu que tu parlais aussi des accords d’Evian !!!

arrête de répéter tout ce que je dis !

puck dit: à

j’aime bien ça plante le décor :

 »
l’historien Mohamed El-Korso, qui, dans le journal Liberté, explique que « pour parvenir à un véritable dialogue sain et serein, capable de faire avancer les choses, il faudrait que la France reconnaisse de manière claire et franche qu’il y a eu crime contre l’humanité ». « Il s’agit pour elle de faire le même pas que l’Allemagne a fait envers la France, en reconnaissant ses crimes durant la Seconde Guerre mondiale. Je crois qu’il est dommageable que la France qui s’est excusée envers les Juifs ne s’excuse pas auprès des Algériens »
« 

puck dit: à

« il est dommageable que la France qui s’est excusée envers les Juifs ne s’excuse pas auprès des Algériens »

ça donne un aperçu de l’état d’esprit des algériens qui vivent en France. tu m’étonnes qu’ils l’aient en travers.

Jazzi dit: à

« ça va donner des idées aux vietnamiens et aux sénégalais, camerounais et autres colonisés »

C’est la raison pour laquelle le palais de la Porte Dorée, ex musée des colonies, a été recyclé en musée de l’immigration, puck…

Janssen J-J dit: à

Elle répète pas, puck, elle a sa « production personnelle »… tu wois, de tous temps, fait croire qu’elle lit tout… Mais on connaît sa chanson douce. En diagonale approxim, et encore, de 2 ou 3e mains. Et en gueulant un peu fort que le reste, croit donner le change…

Allez, y’a un autre billet de sorti, parait-il…

Marie Sasseur dit: à

B. Stora a fait plusieurs propositions au président pour sa campagne de 2022 et les grandes fêtes de la commémoration.

La seule qui ait un intérêt pour l’histoire: l’accès aux archives.

Plusieurs concernent les sépultures et les cimetières.
L’une est presque aussi inhumaine que le traitement qui leur a été infligé à leur arrivée en France:
 » Voir avec les autorités algériennes  » pour permettre aux Harkis et leurs enfants de retourner en Algérie.

Marie Sasseur dit: à

 » Voir avec les autorités algériennes  » pour permettre aux Harkis et leurs enfants de retourner en Algérie.

Incomplet: retour pour les vacances.

Marie Sasseur dit: à

@Et en gueulant un peu fort que le reste, croit donner le change…

Je vais te donner une info confidentielle.
Palestro ne fait l’objet d’aucune ligne dans le rapport Stora.

christiane dit: à

Puck dit : « Christiane je ne raille pas C. Thomas, je l’aime bien. j’ai juste voulu rappeler cette reine est responsable (avec d’autres) de la Révolution, de la Terreur et ses massacres. »

Je découvre votre réponse, Puck. Si je vous ai copié ce long extrait du livre de Chantal Thomas, c’est pour vous inciter à rechercher d’où vous viennent ces images de Marie-Antoinette. Livres ? Films ?
Cette année 1792 n’en finit pas d’être interrogée. Encore hier, sur la chaîne Histoire un très intéressant entretien (avec documents et reconstitutions virtuelles du Palais des Tuileries, du Louvre et de cette semaine où tout a basculé pour la famille royale. Je n’ai aucune nostalgie de ces journées sanglantes où on tuait dans la terreur des victimes même si la souffrance du peuple m’importe.
Merci pour votre réponse.

Sant'Angelo Giovanni dit: à

…Sant’Angelo Giovanni Janvier 2021 à 3 h 51 min

…candidat en médecine,  » la prétoire pour le droit de cuissage du toucher vaginal « , à se demander qui viole qui,!….elles doivent avoir des profondeurs rupestres,…les vierges de Lascaux,…
…tout en familles mormons,!…la noblesse de la nuit à jours, ils se ressemblent tous,!…comme des  » petits lapins en cages « , ou belles comme des poules, me direz-vous,!…le même sort que les éperviers dressés,…
…une fois le bonnet enlevé, sus sur la proie à occire en vol,!…
…des droits de chasses par commis d’entreprise, aussi,!…
…terrains de chasse de s’apostiller, pour glander de l’infraction mineure,!…
…l’éducation des bêtes ; le miroir des réflexions  » lazer « ( jeux de miroirs accélérés ) ), comme l’image vignette photo-tridimensionnel en couleurs des billets de banques,!…
…bientôt des cartes bancaires dites de courtoisie à l’Europe des petits châteaux féodaux
…grand-père attend de tirer son cou, avec l’apprentie mariée toute confuse d’être dé-vote de curiosités à la Pierre Louïs,…
…c’est de niveau avec la traite des blanches ou commerces d’organes,!…
…je ne suis pas donneur, de spermes, pour retrouver, la même têtes partout,!…
…en plus avec des mormons au lapins à éperviers mouvement moindre, tout qui se fiche s’agite, c’est serré la circulation, de l’air, pas de quoi en faire un roman, traverser la rivière de galet en galet, et voir les vaches paître, avant l’abattoir,!…
…les amants lesquels,?, du profit du Christ, facile, ou autre croix pattée, trouvée, ramenée, sécurisée, on ose même plus faire pipi, et dire que je fumais du tabac jadis,…
…aujourd’hui, il faut se cacher ou vivre d’imagination, pour ne vivre que de tabac de cuba,!…
…de toute façons, tout le monde, se complais à comparer,…retrouvons un instant, m’à réflexion d’un prof de moral,…etc,!…à qui je répondis, en répondant à sa question,…comment était Louis XVI,…avec sa vie,…plutôt comme le général Placide,!…
…trop laisser faire, les tapis sur les tapis, tout était luxures et profits à la danse,!…douche,…évaluation,!…vivre à s’exclure,!…Bingo,!…du Napoléon avant Bonaparte, pour se faire limer sur toutes les batailles,!…un plus pour libérer l’Europe des tyrannies démocratiques à deux-têtes,…
…et la bataille du Covid-19
…pile je gagne, face tu perd,…
…libérer de la servitude,!…aux armes citoyens,!…tous vaincus par l’argent, la plante tentaculaire qui dévore ses proie comme des mouches emprisonnées dans ses griffes de satins,!…
…la comédie, Astérix le gaulois en Gillet Jaune,!…se refaire une santé, pour resté,…
…tous saints tous bourbons,!…moi, le premier,!…
…Victor Hugo, à sa mode de ses misérables,!…à vignerons,!…

…la vigne comme aux vaches, la succion du lait automatique sur place,!…etc,!…

…ne pas se tromper de stratégie industrielle pratique, au dessus des jeunes  » coqs  » de famille, comme la crème fraîche de la bouteille de lait, nectar fabuleux, pour son café au pain et beurre…
…etc, les rationnements,!…voir venir, prévoir, la bête l’état, pour toujours plus de profits,…
…le château en Espagne,!…etc,!…Boa – Boa,!…

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