de Pierre Assouline

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La République des livres
Albert Speer, contre-fiction

Albert Speer, contre-fiction

De moins en moins de récits de soi, de plus en en plus de questions sociétales ou morales, une baisse notable du nombre de romans publiés. La rentrée littéraire de l’automne 2024 confirme cette tendance amorcée depuis quelques années déjà. Quant à la présence de l’Histoire dans les romans, elle brille par sa discrétion. Raison de plus pour remarquer la parution du quatrième roman de Jean-Noël Orengo « Vous êtes l’amour malheureux du Führer » » (20,90 euros, Grasset). Ce n’est certes pas la première fois qu’un écrivain s’empare de l’Histoire pour la mettre en scène avec les moyens de la littérature (on peut le feuilleter ici). Les précédents ne manquent pas. On peut continuer à les ranger dans la catégorie fiction, il n’empêche que les faits qui y sont rassemblés ne mentent pas. Enfin, pas toujours. Cette nouvelle tentative se situe dans la veine du HHhH (2010) de Laurent Binet, sur l’assassinat de Heydrich à Prague en 1942, mais sans l’intrusion du récit de soi au sein de l’enquête ; le parti pris formel d’Orengo rappelle également L’Ordre du jour (prix Goncourt 2017) mais sans les libertés contestables prises par Eric Vuillard avec les données établies par l’historiographie.

Albert Speer (1905-1981), architecte-maitre d’œuvre des grandes cérémonies du IIIème Reich, ministre de l’Armement et de la Production de guerre (1942-1945), était le favori du Führer, tant et si bien qu’il passa pour son dauphin et même un peu plus – d’où le (mauvais) titre du roman inspiré de la réflexion d’un officier SS, même si tout y est des aléas d’un couple : lune de miel, crise, réconciliations, retours en grâce. Malgré cela, au procès de Nuremberg, il ne fut condamné qu’à vingt ans de prison alors que son premier adjoint fut pendu. Non seulement il s’en est bien sorti mais pendant un certain temps il a réussi à imposer sa vision de son rôle dans le nazisme.

Même s’il y eut des voix dissonantes, les historiens ont longtemps « décalqué » ses souvenirs. Puis les spécialistes du nazisme ont établi que cet égocentrique préoccupé de se fabriquer une figure morale mentait. On ne peut plus désormais (re)lire ses mémoires autrement que comme l’autofiction d’Albert Speer. Reste à savoir pourquoi pendant tant d’années ses vérités inventées ont pu agir sur tant d’esprits jusqu’à lui permettre de sauver sa peau puis d’installer sa légende ; pourquoi tant de biographies sont faites de paraphrases de ses mémoires jusqu’à le présenter comme « le bon nazi » ; et comment celui qui fut « la tête de gondole d’Hitler » est devenu « la star des médias et des historiens ». Car même s’il y eut des voix dissonantes dans la bataille des récits, longtemps on a considéré comme une source les souvenirs de Speer Au cœur du troisième Reich (1969), dont le titre de l’édition originale allemande était Erinnerungen (Réminiscences). Le livre, qui avait été rédigé sur vingt mille feuilles de papier hygiénique lors de sa détention dans la forteresse de Spandau dont il fut libéré en 1966, connut un succès phénoménal. Les témoins des réunions qu’il rapportait étaient morts. Des rescapés du IIIème Reich dénoncèrent l’ingratitude et la trahison de l’ancien favori du Führer.

Afin de fabuler sur sa fable, Jean-Noël Orengo nomme moins souvent Hitler et Speer qu’il ne les surnomme : le guide et l’architecte. Avant-guerre, le premier se voulait le commanditaire et mécène du second, comme si Jules II avait retrouvé son Michel-Ange. Ecrit au présent sans souci de la chronologie sur le mode d’une conversation avec le lecteur, l’auteur nous fait part de ses étonnements, de ses doutes ; il interprète tant les écrits que les silences de son antihéros. Déconstruction de la reconstruction, passé recomposé après coup puis décomposé, culte du détail qui authentifie l’ensemble, liberté de ton… : une façon décalée de raconter le passé qui vaut qu’on s’y arrête lorsqu’elle est portée par une langue et une écriture. De quoi réactiver le débat à jamais inachevé sur l’apport de la littérature lorsqu’elle s’empare de l’Histoire pour la mettre en scène.

Dans le dernier tiers du roman apparait Gitta Sereny (Vienne 1921- Cambridge 2012), jeune historienne tombée dans les rets de cet homme séduisant, charismatique et manipulateur. Ils se sont écrit à partir de 1977, puis se sont rencontrés. Toute à sa fascination du Mal absolu, elle passa trois semaines avec lui, moins pour l’interroger que pour dialoguer avec cet antisémite mondain non pas hostile aux juifs mais indifférent à leur sort. Et creuser « la » question : que savait-il de la solution finale à l’œuvre ? Sa réponse demeura invariable : il ne la découvrit qu’en 1945 au procès de Nuremberg. Sauf que progressivement, des archives inédites le contredirent. De quoi l’embarrasser sans l’émouvoir car sa capacité de dédoublement lui était une cuirasse. Le romancier nous entraine à observer ce que ce processus, qui va en augmentant avec l’âge, a de passionnant. Car jamais Speer ne dévia de sa formule : « coupable collectivement, innocent individuellement »

Aux yeux du romancier, Albert Speer, son combat avec la vérité (1995) de Gita Sereny est ce que l’on a écrit de meilleur sur Speer car c’est l’histoire de deux personnages : elle, lui et leur relation. Après le guide et l’architecte, la star et l’historienne. La réussite du roman de Jean-Noël Orengo est telle qu’en le lisant en miroir avec les propres livres d’Albert Speer et de Gita Sereny dont il est en quelque sorte le troisième volet, s’impose in fine le titre qu’il aurait mérité tant il inaugure un genre avec une grande pénétration : « Albert Speer, contre-fiction ».

(« Albert Speer en compagnie d’un ami » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 240 Réponses pour Albert Speer, contre-fiction

Jazzi dit: à

« les insomnieux dorment mieux ! »

Mais les insomniaques ont la niaque !

puck dit: à

il y a 2 choses qui terrifiaient Nietzsche plus que tout : le savoir et la vérité, et surtout quand une vérité découle d’un savoir ou d’une connaissance.
c’est pour ça qu’il s’est acharné contre la raison et contre la vérité.

on retrouve la même terreur chez certains personnages de Dostoïevski, comme par exemple Raskolnikov.
Chez ce personnage il n’existe pas un morale universelle pour tous les hommes, mais 2 morales : une pour les hommes ordinaires et une autre morale pour les hommes extraordinaires.
Chez Nietzsche on retrouve la même idée avec la morale des esclaves et celle des maitres.
Chose qu’on retrouve dans le nazisme tel qu’il a été échafaudé par exemple par Carl Schmitt ou même dans la métaphysique de Heidegger avec la notion de l’authentique qui confère un statut supérieur : l’être authentique en opposition à un autre être inférieur (dif entre ontologique et ontique).

on se retrouve avec 2 morales différentes suivant le camp auquel on appartient et pas une morale pour tous comme chez Kant.

sauf que quand on lit bien Nietzsche et Dostoïevski il ne s’agit pas d’hommes ordinaries ou extraordinaires de maitres et esclaves ou d’être authentiques ou inauthentiques ou d’être supérieurs ou inféreiurs etc… mais d’une morale pour la vie ordinaire et une morale pour le tragique !

une vie ordinaire où tout roule comme sur des roulettes, sans encombres, sans embrouilles puis une autre morale qui surgit quand les em.erdes arrivent et qu’elles projette l’individu dans le tragique !

et chez Dostoïevski ces em.erdes c’est pas un accident de la route, non la pire des em.merdes c’est la lucidité : voir le monde et son existence tels qu’ils sont !

comme le dit Pascal : la lucidité plonge forcément l’homme dans le désespoir, d’où le divertissement de l’esprit pour éviter cette lucidité.

un peu comme la Bête dans la nouvelle de James qui tombe sur ce type devant la tombe (ça fait 2 tombes) de cette femme dont il se rend trop tard compte que….

chez Nietzsche et Dostoïevski c’est là que nait cette autre morale, une morale dévastatrice ou le Mal et le Bien n’existent plus, parce qu’à ce moment-là comme dans Hamlet le temps sort de ses gonds.

puck dit: à

oubli : ce long commentaire était dédié à mon frère Samuel et sa haine des ivrognes…

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Oui en effet, insomnieux c’est insolite mais bon.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Qui avons-nous l’honneur de lire derrière ce pseudonyme de « Puck » ?
Un peu de courage ne nuirait pas.

Phil dit: à

Les Allemands ont pillé

moins que les Italiens débarqués avant eux en Grèce, dear Mr Court.
Le fils de Speer fut un architecte honoré à Francfort. Le ministère des finances à Berlin a ses quartiers dans les larges murs de Georing, le budget est mieux maîtrisé qu’en France.

puck dit: à

il y a des passages sublimes chez Nietzsche dans la Généalogie de la morale sur le ressentiment !
le mot qui revient souvent c’est « mendiants », ce mot inclus tous les déshérités, tous les malheureux qui viennent exhiber leur malheur devant les gens heureux pour leur pourrir la vie.
Nietzsche demande pourquoi ces gens heureux sacrifieraient-ils leur bonheur à cause de ces mendiants.
Quand on parle des nazis on pense au camps d’extermination et ces mot résonnent encore plus : de quel droit ces mendiants destinés à leur sort funeste viendraient gâcher mon bonheur ? moi qui appartient à la race des seigneurs je n’ai que faire de leur malheur !

depuis quand les gnes heureux doivent-ils venir demander pardon aux gens malheureux ?

aujourd’hui on dirait : pourquoi les riches qui vivent dans l’opulence avec leur voiture de luxe, leurs hôtels de luxe etc… viendraient-il demander pardon pour leur bonheur, ils appartiennent eux aussi à une race des seigneurs !

voilà ça ce sont les réflexions déroulées par Nietzsche sur la morale : il n’existe pas de morale universelle, mais une morale pour les malheureux et une morale pour les bienheureux.

exactement ce que l’on retrouve chez Dostoïevski dans l’homme du souterran ou quand Hippolyte, ce gamin qui se sait con,damner demande au prince comme mourir avec dignité, le prince lui répond de lui poardonner pour son bohneur et le gamin lui rit au nez !
ce rire c’est le rire Nietzschéen : même moi qui me sais condamné à mourir malgré mon jeune âge je ne cèderai pas à tes histoires de pardon !
Dostoïevski dans cette scène renverse-t-il l’ordre de Nietzsche : c’est le malheureux qui refuse le pardon proposé par celui qui est dans le bonheur.

La réponse est non ! c’est juste que comme Nietzsche il entre dans un nouvel ordre moral qui est celui de l’existence tragique et son acceptation !

la chose marrante est qu’on voirt que Dostoïevski suit le même chemin que Nietzsche sauf qu’il va plus loin : il ne s’agit plus du seigneur qui refuse de demander pardon au malheureux pour son bonheur, mais au mlaheureux de refuser le pardon du seigneur par refus de son ordre moral !

puck dit: à

Nietzsche est sans doute le penseur le plus russe de la pensée occidentale, ce qui donne cette impression de voir en lui et Dostoïevski 2 frères jumeaux.

d’ailleurs leurs parcours de vie est à peu près le même : au départ tous les 2 croient à la justice et la bonté, ils croient à la raison, à l’humanisme et aux sentiments moraux.

un type comme Tolstoï y a cru jusqu’à la fin de sa vie ! il a cru comme Mélenchon qu’il serait possible de rétablir une équité sociale en changeant la société, et ainsi il y aurait un cycle verteux qui rendrait les hommes meilleurs et ainsi le système s’autoalimenterait. C' »est pour ça qu’on dit qu’il est le père de la Révolution bolchévique.

Sauf que Dostoïevski et Nietzsche cesse d’y croire, ce dernier c’est au moment où il guérit de sa maldie qu’il pensait incurable qui coincide au moment où il se libère de l’emprise de Wagner, et pour Dostoïevski cela arrive au moment où toutes les réformes pour lesquelles il s’était battu sont enfin mises en place.

à partir de là ces deux vont se mettre à haïr ce qu’ils étaient : les bons, les justes, les libéraux, les humanistes, et plus que tout ils haïssent mes progressistes et les romantiques et leur sentimentalisme dégoulinant à 2 balles dont nous ne sommes toujours pas sortis.

c’est d’ailleurs de mettre dans le même sac les progressistes et les romantiques, c’est peut-être vrai après tout on y retrouve la même bêtise.

tous les deux vivent ce moment de lucidité où toute cette mascarade leur apparait comme une énorme farce et une vaste hypocrisie et là tous les deux vont être guidés par leur lucidité vers le tragique qui représente la seule composante morale adaptée à l’existence des hommes.

puck dit: à

l’autre point commun est que tous les deux, Nietzsche et Dostoïevski continuent de croire en Dieu, mais il y croient à leur manière à savoir débarrassé de tous les discours hypocrites sur la bonté et l’amour du prochain qui est exactement le même discours que celui des humanistes.
C’est d’ailleurs marrant de voir qu’au final croyants et athées se sont retrouvés sur un discours absolument identique : les athées se sont réinventés un nouvel évangile qu’ils ont appelé « humanisme ».
On croirait presque un sketch tellement c’est drôle.

puck dit: à

Tout comme c’est marrant de voir que des types comme Speer étaient fans de Nietzsche (à force de se faire bourrer le mou par sa soeur qui n’était pas une lumière).
alors que Nietzsche les aurait détestés, on n’ose même pas imaginé ce qu’il aurait écrit sur un type comme Speer avec ses monuments qui ressemblent à la pâtisserie allemande.

puck dit: à

c’est pour ça que cette inspiration « grecque » c’est tout du flan.
je pense qu’ils étaient plus inspirés par ces gâteaux avec par dessus une tonne de crème fouettée qu’il bouffait quand il était gamin.

il est évident que si on veut faire des trucs comme les grecs il faut déjà commencer par bouffer des plats à l’huile d’olive et pas cette bouffe abjecte que se tapent les allemands.

Phil dit: à

flan

A quelle heure dînez-vous, dear Puck ?

puck dit: à

la bouffe allemande c’est comme Wagner : la seule envie que cela peut susciter c’est celle d’envahir la Pologne.

rose dit: à

C magnifique
il ne s’agit plus du seigneur qui refuse de demander pardon au malheureux pour son bonheur, mais au mlaheureux de refuser le pardon du seigneur par refus de son ordre moral !

Lorsque j’aurais fini Colette et deux trois bouquins, je me jetterai dans Dostoïevski.

Jean Langoncet dit: à

@et alii

Premier ministre : « Le Procureur de la CPI réclame des mandats d’arrêt contre Netanyahou et des dirigeants du Hamas » ; la France a en effet mis un peu de temps à se doter d’un premier ministre, ce qui faisait l’objet de votre moquerie l’autre jour, mais au moins sommes nous tranquilles avec Barnier : ni commission de crimes de guerres, ni conduite d’une politique suprémaciste ethnique et religieuse ne sont à craindre

rose dit: à

sauf que quand on lit bien Nietzsche et Dostoïevski il ne s’agit pas d’hommes ordinaries ou extraordinaires de maitres et esclaves ou d’être authentiques ou inauthentiques ou d’être supérieurs ou inféreiurs etc… mais d’une morale pour la vie ordinaire et une morale pour le tragique !

C magnifique.

Sauf que, se rendre trop tard compte de, cela ne sert à rien.

Jean Langoncet dit: à

(ceux qui veulent de « l’action » dans leur vie de culs bénis savent où se rendre)

Jean Langoncet dit: à

(il n’est jamais trop tard pour mal faire)

et alii dit: à

un peu de temps
excusez moi de vous préciser que je suis française; et que je ne crois pas qu’il soit criminel,sauf aux yeux des erdéliens, de se questionner parfois ;j’espère que les erdéliens vont trouver dans les échanges attendus sur Matignon, Macron et bien sur entre eux, matière à se sustenter les uns les autres,
à tous bonsoir

Jean Langoncet dit: à

… votre manière de questionnement en forme d’effet miroir était tragiquement drôle : au moins, là-bas, a-t-on su se doter d’un premier ministre

Clopine dit: à

Rose, attention. Il y a des maux derrière les mots de Dostoïevski. Je veux dire :les personnages, notamment féminins, chez lui, sont des archétypes, de ceux qu’un type comme lui pouvait élaborer d’après sa propre expérience. Si on prend Dounia (est-ce bien Dounia ? Bah, pas le temps d’aller vérifier, disons la soeur de Raskolnikov),tout va bien, elle est la vertueuse du dix-neuvième siècle, lisse comme une image pieuse. Mais si vous vous attaquez à Grouchenka et à ses face-à-face avec Katia, (dans les frères Karamazov) là, gare ! Malgré tout ce qu’une femme peut penser des écritures masculines qui se sont accumulées sur le sujet, malgré l’invraisemblable montagne de préjugés qu’une situation de dominants-dominées peut générer, il y a une scène d’un tel sadisme entre ces deux femmes,une telle profondeur, un truc jamais vraiment mis au jour avant Dosto, (et jamais effleuré par un Tolstoï,tenez,qui ne fait jamais que peindre toutes les Anna Karénine que dans leurs rapports aux hommes), qu’on touche ici à un mystère de la littérature. Je veux dire que dans cette scène terrible (Katia se  » mettant à nu » devant Grouchenka, et celle-ci s’en repaissant avant de s’en servir pour l’humilier),Dostoïevski a dépassé, et de loin, tout ce que le dix-neuvième siècle a bien pu produire en la matière. Un jour, il faudra bien qu’on en parle… Un peu comme un avocat général prend la parole devant un jury d’assises.A savoir que c’est vrai, parfois, qu’une femme peut en haïr une autre, alors même qu’elles subissent toutes deux une forme d’oppression qui leur est commune. Moi, avant Dosto, je n’avais ja mais lu ça. Les « rivalités », les « jalousies », les « mesquineries »… Mais la haine à l’état pur ? ‘Tain ! Enfin, ce que j’en dis… Faites gaffe.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Certaines mauvaises langues disent que Michel Barnier commence mal et donc finira mal. Ce sont des vilains et des jaloux.

Clopine dit: à

Aïe, je me rends compte que je n’ai certes pas été suffisamment claire… Je voulais dire que… Les rivalités « entre femmes » ont toujours été écrites « par rapport » à leurs relations aux hommes, dans la littérature du dix-neuvième siècle notamment. Parfois par rapport aux enfants (voir la nouvelle de Maupassant sur les deux voisines, l’une cédant son môme contre rétribution des bourgeois l’achetant, l’autre non). Mais là, Dosto introduit une nouvelle notion. La rivalité détachée absolument du « rapport à l’homme », et étant un produit pur de l’antagonisme des parcours de classe. Donc, quelque part,Dosto était féministe, mais « en creux »,par une sorte de mise en abyme vertigineuse quand, étant soi-même fille et féministe, on lit un truc pareil.

Clopine dit: à

Dosto décrivant la haine qui peut exister entre deux femmes, hors de tout rapport, de toute référence, aux hommes. Quel sous-texte à cette scène, qui moi m’a toujours mise si profondément mal à l’aise que j’ai dû la lire il y a bien trente ans, mais que je n’ai si peu pu l’oublier que je m’en souviens encore !!!

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Je vais fêter la nomination dr Michel Barnier à la vodka ukrainienne, avec mon mari, Malo Veyre.

D. dit: à

Après nous nous enverrons en l’air et nous jouirons sans retenue, n’en déplaise à Madame « Rose » dans son Grangeon.

rose dit: à

Clopine

Aux champs de Guy de Maupassant.

Sûre qu’il n’y a pas un homme quelque part ? Le père de l’une, époux de l’autre ?
Vous attisez grandement ma curiosité, dear Clopine.

Clopine dit: à

Ben voilà. La terre connaît le pire, de notre faute , et ce qui faisait l’honneur des vieilles démocraties, appuyées sur l’histoire grecque, vient d’être bradé sur l’autel des possédants, dans notre pays et semble-t-il sur la planète entière ; le bulletin de vote est déchiré, et le capitalisme triomphant chevauche l’humanisme: le mors est si solide qu’importe que les bouches de bonne volonté saignent.

Clopine dit: à

rose, on en parlera plus tard, voulez-vous ? Là, je suis un peu…attérrée… (vu que j’y croyais, moi, à la démocratie).

rose dit: à

D’accord dear Clopine,

rose dit: à

Il n’y eut aucune exagération marseillaise : hier, nous avons vécu un déluge.

rose dit: à

Jazzi
Merci d’y être retourné ; il n’y avait pas ce très gros pot, ni le moyen.
Et pas encore Yann Andréa.

Jazzi dit: à

« Merci d’y être retourné »

Je vais régulièrement au cimetière du Montparnasse, rose.
Cétait mon quartier et mon précédent compagnon y est enterré…

MC dit: à

Ou Clopine, qui n’a pas du beaucoup lire ailleurs, nous pond un Dostoievski à la fois conformiste et féministe, et, s’emmêlant les pieds dans le tapis, en fait Dieu sait pourquoi le créateur absolu de la scène pour femmes pensée sans les hommes. Je ne rappellerai pas qu’un lointain contemporain Rouennais , Pierre Corneille , a écrit de ces dûs
duos de femmes . Il faudrait refaire une éducation manquée et ce serait inutile . Enfin , supposons qu’il est «  des maux sous les mots de Corneille » , comme il en est paraît-il « sous les maux de Dostoievski », et apprécions cette récupération biographique pour ce qu’elle est : un piège que l’on peut tendre devant l’œuvre de chaque écrivain pour l’y faire tomber et le réduire à sa propre compote de fantasmes. Cela évite toujours de penser.

x dit: à

Rosanette, merci de votre réponse.
Je n’aurais jamais eu l’idée de voir le même phénomène de « dérivation linguistique classique » à l’œuvre au niveau lexical et à celui de la phrase…
Sans doute aussi parce que des évolutions antérieures, insoupçonnées, le profane ne connaît que le résultat (en l’occurrence fegato et foie), désormais stable, fixé — alors que le changement présent, perceptible à l’échelle d’une vie, inquiète.
À cette distance et à ce niveau de généralité, le phénomène est « fréquent dans toutes les langues » — votre remarque m’a fait comprendre que je voyais aussi (surtout ?) dans la perte de la double négation un renoncement à une spécificité de l’ordre syntaxique français témoignant d’une attraction anglo-saxonne. (La lecture d’Alain Borer, sans doute.)

rose dit: à

Je ne suis pas catastrophée et ai une furieuse tendance à faire confiance. Un point me ravit, son âge, il a deux fois celui du précédent : et c’est fini les petits poulets de l’année aux hormones ! Fini. Fini.

rose dit: à

devant l’œuvre de chaque écrivain pour l’y faire tomber et le réduire à sa propre compote de fantasmes. Cela évite toujours de penser.

Cela semble très clair. Pour une de mes amies, c’est évident : elle a pris Plotin, et hop la citation d’enfer qui confirme ses choix.
Mais, pourquoi pas ?

rose dit: à

Vocabulaire :
Monstrueux et odieux.
Monstrueux c’est le terme adéquat qui convient au mari qui fait violer sa femme par des centaines d’inconnus.
Odieux s’applique aux enfants qui ayant pillé leur parentèle de leur vivant, s’emploient à lui interdire téléphone portable et argent de poche.

rose dit: à

Hier matin, me suis baignée, pas d’égoût dans la mer.
Des posidonies, un tronc d’arbre massif, un haut/plateau de chaise plastique.
Et quelques accros dans l’eau, délicieuse.

rose dit: à

Avons aussi passé une excellente journée. Melon, pêches sucres comme l’été. Aujourd’hui, je lui emmène des figues qui poussent dans le parc de mon château. Elle va pousser des cris de joie. Qui biche ?
Moi.

rose dit: à

Je savais déjà beaucoup de choses. Tu portes tous tes actes. Parfois, tu t’enferres, profond, profond. C’est un avant-goût du Léthé.

Tu, n’es pas toi.

rose dit: à

In Le Monde.fr
Ils convoquent la Bible !
Avec la nomination de Michel Barnier comme premier ministre, jeudi 5 septembre, le parti Les Républicains (LR) revisite à sa façon la phrase de Jésus dans l’Evangile selon saint Matthieu : « Ainsi les derniers seront les premiers, et les premiers seront les derniers. »

Et voilà, toc. Et retoquent.

Sucrés, les fruits, mais les figues ce n’est plus du fruit. Ma mère, qui les volait enfant, dans le jardin de Mme Gandolfo.

JC..... dit: à

BIENVENUE

Oui ! Sois le bienvenu au bal des louveteaux politiques, Michel ! Le grand méchant loup que tu es en a vu d’autres …

Courage et au travail !

Clopine dit: à

Hélas, j’ai bien peur que tout ce cirque, avec Macron en Monsieur (dé)loyal en même temps qu’Auguste, ne serve qu’à creuser un peu plus la fosse. Je veux dire que le français lambda avait déjà tendance à ne plus faire du tout confiance au système de la représentativité des élus…et que le « tous pourris » du RN recevait une écoute complaisante… Alors j’ai bien peur qu’il n’y ait pas une grande mobilisation samedi. On s’est mobilisés pour éviter la victoire du RN aux législatives. Mais pour sauver un parlement qui ne sert donc plus à rien ? Ça me fait peur. Le découragement va t’il aller jusqu’à désormais hausser les épaules rien qu’à l’idée d’aller voter, vu que le droit de vote est ouvertement bafoué ?

Damien dit: à

Barnier war derjenige, den man nehmen musste, fleißig und bescheiden, aber hinter seiner allzu glatten Oberfläche böse. Er wird… komm schon!… fünf Minuten vor dem Parlament durchhalten, und dann wird es Tadel geben. Er bringt den Stein ins Rollen! Wir träumen: Macron und Barnier und denken, dass wir Jean Castex hatten! Vorher war es Pompidou oder Jobert, der Gelbe Zwerg. Das ist Frankreich… Für mich ist es Descartes, ich bin der Einzige. Und heute Yasmina Reza, die ein neues bewundernswertes und einfaches Buch veröffentlicht. Lesen Sie Reza! Macron zu vergessen, der ein Wahldieb ist. Die Linken haben der NFP die Führung gegeben. Macron antwortet nicht mit einem Dementi, dessen Name Barnier ist – und der nur ein paar Stunden durchhalten wird, wie eine Kröte auf der Autobahn. Habt einen schönen Tag, ihr Schwuchteln!

Damien dit: à

« Aber wenn wir auf ein harmonisches Funktionieren zwischen dem Élysée-Palast und Matignon setzen können, muss Michel Barnier vor allem mit dem Parlament und vor allem mit den Franzosen Blockaden und Missverständnisse vermeiden. » Dixit mein Figaro !

Marie Sasseur dit: à

closer dit: à
« L’expo de Beaubourg sur le Surréalisme mérite la visite. Je n’ai aucune sympathie pour le fatras idéologique du surréalisme,(…) »

____
Je crois que Frida Kahlo avait elle même ère assez surprise de ce mouvement politique parisien.

Merci de nous donner envie de voir le programme des expositions parisiennes d’automne.

Les Nympheas de Monet à l »Orangerie vont donner lieu à des soirées lecture inspirées de ces œuvres.

« Ce cycle d’événements culturels propose des soirées exceptionnelles au public, avec la rencontre d’écrivains et de musiciens devant les nénuphars de Monet, qui favorisent sans nul doute l’inspiration des artistes. Les mots d’auteurs et les sons de compositeurs sortent du néant pour l’occasion, à travers une nouvelle inédite, en résonance avec ce tableau paisible et immersif.  »

https://www.sortiraparis.com/arts-culture/exposition/articles/318247-l-echo-des-nympheas-des-concerts-lectures-poetiques-au-musee-de-l-orangerie

Il faut souligner l’absence remarquable de G. Bouillier, qui dans son dernier opus,  » le syndrome de l’Orangerie » a dabs l’esprit particulièrement détérioré ces tableaux, qui lui ont servi de prétexte pour une une histoire assez sordide, il n’en sort pas grandi. Bien loin de là.

Marie Sasseur dit: à

elle même été

Damien dit: à

„Michel Barnier hat eine mittelmäßige politische Basis. Seine Ernennung erfolgt ausschließlich aufgrund des Willens von Emmanuel Macron. Er sitzt auf einem Schleudersitz und wird schnell herausspringen.“ Das fasst meine Gedanken gut zusammen. – Lassen wir uns nicht entmutigen, ich werde mein eigenes Omelett mit Kräutern und Paprika machen. Sie wissen, dass Paprika in Eiern notwendig ist. Dazu trinke ich einen sehr starken schwarzen Tee, eine sehr starke Mischung. Und dann beginne ich meinen Tag im Hochwald, Bäume zum Fällen … Ich höre auch Haydn, bitte von Neville Mariner. Oder bei den verdammten Ungarn aus … Ich habe seinen Namen vergessen. Bis bald !

Damien dit: à

Antal Dorati !

rose dit: à

? Ça me fait peur. Le découragement va t’il aller jusqu’à désormais hausser les épaules rien qu’à l’idée d’aller voter, vu que le droit de vote est ouvertement bafoué ¿

Je soutiens ce point de vue et me questionne bcp bcp sur ce sujet.
Néanmoins, ne suis pas découragée, loin de là.

Ai eu froid.
Ne tiens pas à oublier les figues. Sinon, pas de cris de joie.

Damien dit: à

Lieber und göttlicher Sasseur: Gibst du Paprika in deine Eier? Wir werden einen Club gründen: den Paprika-Kreis, in dem es keine schrecklichen Jojos wie Macron-Barnier geben wird, Nachahmer der 7 Zwerge.

JC..... dit: à

La souffrance profonde de notre cher Damien me torture : le voilà, nôtre géant trébuchant, sur le chemin de croix de notre chère Clopineuse trainant sa peine à jamais !

Un malheur n’arrive jamais seul, hélas. Prions pour leur salut, camarades humanistes de comptoir… !

Marie Sasseur dit: à

Guten Tag, cher Damien
Ich leider esse kein Ein am morgen.
Für Barnier, Ich habe das strange feeling einen Geist aus dem Schrank kommen zu sehen, in dem ich Erinnerungen aufgeräumt hatte. Aber, Sie sind recht, natürlich.

JC..... dit: à

2024

Triste d’être conduit à causer la langue de nos chers agresseurs teutons, pour rester incompris !

Marie Sasseur dit: à

Je voulais dire que je ne mangeais pas d’oeuf le matin, et puis j’ai fait une faute

Ich leider esse kein Ei am morgen

renato dit: à

Dans n’importe quel pays démocratique où il y a plus de deux partis, compte tenu des chiffres, la solution Barnier serait correcte. Il s’agit maintenant de savoir :
1. — si les parties en présence sont suffisamment mûres sur le plan démocratique pour coexister et agir pacifiquement, et utilement ;
2. — qui votera la défiance, quand et avec qui.

Cela dit :
https://x.com/BBCSport/status/1831593509695930557

Nicephore dit: à

Le génie des alpages tiendra-t’il jusqu’à la prochaine dissolution dans 10 mois ?
La gauche crie au hold-up, mais pourquoi a-t’elle refusé Cazenave.
Au lieu de cela, on a un LR avec la bénédiction de Marine le Pen.

Phil dit: à

j’ai fait une faute.

Il en reste deux pour polir la phrase, dear Sasseur, lieber Damien s’en occupe.
Speer, Hitlers Liebling, le préféré, pas d’histoire d’amour. Mille nuances de gris, en allemand aussi.

closer dit: à

« Und heute Yasmina Reza, die ein neues bewundernswertes und einfaches Buch veröffentlicht. Lesen Sie Reza! Macron zu vergessen, der ein Wahldieb ist.  »

Ich stimme zu!

Marie Sasseur dit: à

@ »Speer, Hitlers Liebling, le préféré, pas d’histoire d’amour »

Exakt. Eine Präferenz, die Göring nicht teilt.

Mimi Pinson dit: à

Erasmo da Rotterdam.

philosophe, humaniste et théologien néerlandais, considéré comme l’une des figures majeures de la culture européenne. »Éloge de la follie  » (1511)

« Tutta la vita umana non è se non una commedia, in cui ognuno recita con una maschera diversa, e continua nella parte, finché il gran direttore di scena gli fa lasciare il palcoscenico. »
« Toute vie humaine n’est rien d’autre qu’une comédie, dans laquelle chacun agit avec un masque différent, et continue dans le rôle, jusqu’à ce que le grand régisseur lui fasse quitter la scène. »
https://scontent.fbod1-1.fna.fbcdn.net/v/t39.30808-6/458600424_1569520353654123_1024234591153934362_n.jpg?stp=dst-jpg_s640x640&_nc_cat=104&ccb=1-7&_nc_sid=127cfc&_nc_ohc=PencpBCq42QQ7kNvgFS8xha&_nc_ht=scontent.fbod1-1.fna&oh=00_AYCmjqpKtI0_KgaYIOkOL0AOOeKLZGEDNvfrAIQeGXuWUQ&oe=66E07BBC

Chaloux dit: à

Il semble que nous ayons hier soir assisté au crépuscule de Macron. Enfin.

Certes pas l’empyrée, mais à chaque jour suffit sa joie.

Marie Sasseur dit: à

Mimi t’es bien gentille, mais aujourd’hui, septembre 2024, je me demande si l’humanité n’a pas encore fini d’atteindre ce qu’aucun animal sur Terre, dans toute l’histoire de l’évolution n’a jamais fait.

Il s’en trouve, comme ex madame Carrère, pour causer dans le journal, de « patriarcat », ajoutant de la sottise woke,
à l’horreur, concernant ce qu’à subi Gisèle Pelicot.

Le lien ne passe pas

Jazzi dit: à

Sur ma naissance

« Vous voudriez peut-être aussi savoir le lieu de ma naissance, car aujourd’hui l’on croit que le lieu où un enfant a jeté les premiers cris est fort essentiel à sa noblesse. Je vous dirai donc que j’ai vu le jour dans les îles Fortunées, pays charmant où la terre, sans être cultivée, produit d’elle-même les plus riches présents. Le travail, la vieillesse, les maladies n’approchèrent jamais de ces campagnes heureuses. On n’y voit croître ni mauve, ni lupin, ni fève, ni toutes ces autres plantes qui ne sont bonnes que pour le vulgaire. Le moly, la panacée, le népenthès, la marjolaine, les roses, les violettes et les hyacinthes y charment de toutes parts l’odorat et la vue, et font de ces lieux charmants des jardins mille fois plus délicieux que ceux d’Adonis. »

(Érasme : « Éloge de la folie », traduit par Thibault de Laveaux, Mille et une nuits 136, p. 20-21)

Jazzi dit: à

A propos de mes anthologies

« Ceux qui publient sous leur nom les ouvrages des autres sont encore plus prudents ; ils usurpent sans peine une gloire qui a coûté beaucoup de peines et de travaux à ceux à qui elle appartient. Ils savent bien que, tôt ou tard, on découvrira leur larcin ; mais, en attendant, ils jouissent toujours du plaisir d’être admirés. Il faut voir comme ils se rengorgent quand on leur donne des louanges, quand on les montre du doigt au milieu de la place publique, et qu’on dit : Le voilà, cet homme admirable ! quand ils voient leurs livres dans la boutique d’un libraire, et qu’ils lisent, à la tête de chaque page, leurs noms avec deux ou trois surnoms ordinairement étrangers et qui ressemblent à des termes de grimoire ! »

(Érasme : « Éloge de la folie », traduit par Thibault de Laveaux, Mille et une nuits 136, p. 111)

renato dit: à

Sans permis, il loue une Lamborghini et tue un cycliste. Il serait bon que toute personne louant une voiture de cette puissance s’assure que le client possède les compétences requises.

Jazzi dit: à

Le wokisme est-il un féminisme ?

Jazzi dit: à

La dignité de Gisèle Pélicot, qui demande que l’on mette fin à la cagnotte ouverte à son profit par Nabila.

Phil dit: à

Les Cannes à rien pour l’école buissonière, dear Baroz ?

closer dit: à

Il nous faudrait une Yasmina Reza justement pour décrire la scène réjouissante et cruelle de la passation de pouvoir hier à Matignon…

Un petit freluquet surdoué de l’Ecole Alsacienne et de l’ENA nous assommant avec 20 minutes de logorrhée auto satisfaite, face à un notable de province septuagénaire, doté d’une expérience politique sans pareil, qui, du haut de ses six pieds et de son visage de romain donne au premier trois tapes sur le museau: « je peux parler deux minutes? », « merci pour les leçons », « j’espère que je pourrai apporter ma contribution » (aux dossiers en cours laissée sur le bureau du PM)!

Pas beaucoup de petits bonheurs en politique en ce moment…Ne boudons pas notre plaisir à ce spectacle divertissant. Il n’y en aura peut-être pas beaucoup d’autres.

Phil dit: à

surdoué de l’Ecole

Ni Ena, ni diplôme de sciencespo, dear Closer, votre enthousiasme pour le vaudeville, sans doute. Pour l’Ecole Alsacienne, graine de Gide.

Nicephore dit: à

Terminé Histoire d’Enfant de Peter Handke.
Livre très court. 100 pages.
Une écriture sèche.Au couteau . Aucun nom propre. « L’hommme, l’adulte, l’enfant ». Comme Duras dans l’Amant.Des moments suprenants :
Des invectives :
« Honte à tes parents ! Face de valet !Idiot indifférent ! Esclave sans loi de tes désirs !Saint Patron de l’Ingratitude ! Veau d’or de toi-même !Grande colonne de sel de la mufflerie !Sans-coeur de tyran !Miracle de paresse !Temple de la veulerie !Siège de tous les péchés !Ramassis de m’inutile !Tortionnaire à la mine innocente !Obstacle aux grandes chose !. »

closer dit: à

Vous avez raison Phil, pas d’ENA pour Attal, mais je vois « diplômé de l’IEP Paris » dans sa fiche wikipedia…

Phil dit: à

Indeed dear Closer, certains sources disent que le diplôme ne fut pas engrangé. Comne les visiteurs de Harvard. Pas de souci, les Affaires étrangères ne demandent pas de diplômes non plus, what else

Kilékon dit: à

Mimi t’es bien gentille

Heureusement qu’elle n’est pas gentille, gentille!

Marie Sasseur dit: à

Heureusement, toi t’es con, et tu le sais.

Kilékon dit: à

« j’ai mis un bon lien sur Germania. »

Encore une auto-satisfaction pour une séance de bondage!

Marie Sasseur dit: à

Bof, un Master en affaires publiques et une formation en droit, à tout prendre, c’est mieux qu’un diplôme d’ecole de commerce, à âge égal, pour entrer en politique, la preuve…

Marie Sasseur dit: à

@gros con, si t’es pas content, passe à autre chose.

Kilékon dit: à

Marie taliban lève le banc!

Marie Sasseur dit: à

A âge égal, un premier ministre c’est pas un conseiller départemental, y’en a qui n’ont pas trop le sens de la compétition…

Marie Sasseur dit: à

j’ai du écraser une autre merde en remontant le trottoir à ragots de la rdl, ou bien.

Kilékon dit: à

Marie crachat, c’est du pipi de chat!

Jazzi dit: à

« j’ai du écraser une autre merde en remontant le trottoir à ragots de la rdl, ou bien. »

…c’est vous qui puez ?
Nr cherchez pas, la deuxième hypothèse est la bonne.

Nicephore dit: à

Jazzi dit: à
« j’ai du écraser une autre merde en remontant le trottoir à ragots de la rdl, ou bien.
Non, c’est le Boulevard Arago…

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Ouh là là. J’ai passé une nuit…mais une nuit…

Jazz dit: à

L’exercice du pouvoir est une chose trop sérieuse pour le laisser aux mains de la gauche !

Marie Sasseur dit: à

« Pour l’Ecole Alsacienne, graine de Gide. »

Niemand pour dénoncer cette grrossseu saloperie du même.

Sans à priori, ni dans un sens, ni dans l’autre, pour une action politique à laquelle il a été mis fin très rapidement, moi je salue le dernier geste du premier ministre sortant, qui aura été de marquer sa détermination contre me harcèlement scolaire.

Mais n’est pas le harcèlement bestial des cancres qui se manifeste ici ?
Pour ma ma part, j’en suis persuadée.

Marie Sasseur dit: à

Once more : a priori

FL dit: à

* D’un autre côté le récit du viol d’Edouard Louis par ce journal

FL dit: à

* hallucinant

Marie Sasseur dit: à

D’un autre côté, je ne vois pas ce qu’il y a de réjouissant à mettre un Joe Biden à Matignon. Sauf pour les vieux.

puck dit: à

Barnier ? dans sa première déclaration officielle il a dit un truc assez intéressant.

il a dit : « il faudra dire la vérité aux français et cette vérité je la dirai !!! ».

(les trois points d’exclamation c’est moi qui les ai rajoutés : je trouve ça plus classieux)

dans cette phrase il manque un « enfin » : « il faudra enfin dire la vérité aux français »

il manque aussi un vestibule (ou un préambule ? je sais plus le mot exact) : « après avoir menti il faudra… ».

ensuite il y a ce mot qui fait peur : « vérité ».

ça fait penser à un toubib qui regarde la radiographie d’un patient et lui « je vais devoir vous dire la vérité… »

ou une gonzesse qui rentre à la maison le soir et dit à son mec : « je vais devoir te dire la vérité… »

ces deux comparaison renvoient :
1/ à une France malade qui n’a plus que quelques semaines à vivre.

2/à des français cocufiés depuis des années qui vont enfin savoir qu’ils ont été cocufiés.

dans tous les cas ce mot « vérité » est hyper flippant.
limite il donne envie de changer de nationalité avant d’apprendre cette vérité.

j’espère qu’il ne va pas reprendre le truc de Lemaire du genre « les russes ont mis l’économie française à genou » comme c’est le cas pour les allemands.

« je vais devoir dire la vérité aux français »… comme entrée en matière le mec il commence fort.

Marie Sasseur dit: à

Il va sûrement dire la réalité du déficit. Il sait compter.

duralex said laisse dit: à

premier ministre sortant

*Je peux dire quelques mots? 🙂

*La réponse au jeune béjaune qui donne des leçons de pratique ministérielle à l’ancien parlementaire expérimenté.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Toute la nuit mon mari Malo m’a baisée en alternant des masques de Macron et de Barnier. J’étais consentante. J’ai joui, mais j’ai joui. Une seule envie : que ça recommence très vite.

FL dit: à

* D’un autre côté le récit du viol d’Edouard Louis par ce journal était tout simplement hallucinant. C’était beau de voir ces gens capables de distance. Des fois on en doute quand on les lit. Mais non : ils en sont capables.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

J’aimerais aussi qu’il me le fasse avec un masque de Zelensky et un marcel Kaki.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Vivement ce soir.

puck dit: à

concernant cette vérité il y a quelques pistes éventuelles :
– après avoir envahi l’Ukraine les russes vont envahir la France
– Léon Marchand va prendre la nationalité américaine ou M’Bappé la nationalité espagnole
– passou va virer Jazzi de son blog
– Angot va recevoir le Nobel de littérature
– la femme de Macron est un mec ou Macron couche avec Attal
– Onfray va devenir ministre de la culture ou de l’éducation sexuelle.
– tous nos ministres seront nommés à la seule condition qu’ils soient nietzschéens

sérieux ça peut bien être quoi cette vérité ?

puck dit: à

la réalité du déficit ?
comme quoi la France n’a plus d’argent pour rembourser sa dette ?
du coup elle va se retrouver en défaut de paiement et l’état ne pourra plus payer les fonctionnaires ?

non c’est pas ça la vérité dont il parle !

parce que ça c’est pas un scoop, tout le monde le sait déjà…

non s’il prend un air aussi sérieux pour dire « il faudra dire la vérité aux français… » c’est que c’est forcément un truc plus grave.

Damien dit: à

Ich lese die Presse und bin fassungslos. Macron hat die Parlamentswahlen verloren, und weiter! er nennt Branier, und alles geschieht, als wären sie die Gewinner. Die Linke muss sich einfach selbst braten, und die RN tut es auch. Ich kann mir nicht vorstellen, dass Barnier den Mindestlohn auf 1.600 Euro festlegt. Wir stecken mitten in einem psychotischen Delirium, finden Sie nicht?

Jazzi dit: à

Pourquoi le léZard ne sors jamais d’une salle de projection avant d’avoir vu la fin du film !

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Monsieur « Puck »,

Sachez que jamais Monsieur Barnier ne laissera en France des fonctionnaires non payés.
A cette effet, des solutions simples et efficaces existent :
– en diminuer considérablement et constamment les effectifs ;
– augmenter leur temps de travail ;
– modifier leur statut afin d’augmenter progressivement mais constamment leur précarité ;
– avoir recours pour des missions non régaliennes aux prestataires de service côtés en Bourse ;
– utiliser l’intelligence artificielle.

Je vous trouve, Monsieur Puck, bien soupçonneux. Quelque chose ne va pas ?

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Vivement ce soir. J’ai hâte.

lmd dit: à

Marie Sasseur, je vois que le champion de l’architecture nazie a inspiré vos commentaire. Mais je ne vois pas ce qui vous a permis de penser que j’accorde «la moindre compétence en architecture de temples grecs à Speer». C’ était la compétence ordinaire de tous les architectes de formation académique à cette époque.
Mais regardons au moins une image de cette fichue imbécillité.
https://www.warhistoryonline.com/wp-content/uploads/sites/64/2015/05/Bundesarchiv_Bild_146-1987-003-09A_Berlin_Neue_Reichskanzlei_Innenhof.jpg

Marie Sasseur dit: à

lmd, salut, j’aurais mal interprété le caractère hellénistique que vous attribuez en priorité à l’architecture du nazi Speer, comme s’il fallait lui reconnaître une compétence en la matière. Ce qu’il n’a pas, à l’évidence.
C’est sans importance, lmd, et je pense avoir fait mon devoir, sur le sujet, pour passer à autre chose.
À l’inverse, le portrait de Boris Lofan , lien ci-avant, me paraît beaucoup moins évident que celui de l’ordure Speer.
Il est bien que les billets de Passou donnent de la perspective…
Sur ce, je vous quitte bon week-end.

Marie Sasseur dit: à

Iofan

MC dit: à

Ou Sasseur se déculotte devant lmd pour pouvoir se rhabiller avec le sérieux qui lui sied….

MC dit: à

Pour mieux

closer dit: à

Les expositions se suivent et ne se ressemblent pas.

Après le Surréalisme, 40 chefs d’oeuvre de la collection Borghese au musée Jacquemard André.
A retenir en particulier un extraordinaire « Moïse brisant les Tables de la Loi » attribué à Guido Reni et deux visages de femmes par Raphaël, le peintre du regard féminin, regard coquin de La Fornarina, regard mélancolique de « La Dame à la Licorne »…
La pub de l’expo fait grand cas du « Garçon à la corbeille de fruits » du Caravage. Je trouve ce tableau maniéré, voire mièvre, ce qui est un comble pour un Caravage!

Y courir!

Marie Sasseur dit: à

Au fait lmd, encore une chose, comme dit Colombo, quand il sant qu’il a ferré un truc, votre histoire de finesse et d’elancement, je traduis votre commentaire d’hier, caractèristique de l’architecture soviétique, ça m’intéresse, si vous avez 5 minutes.
A plus

Clopinec dit: à

Oui, je suis parfaitement découragée.D’un autre côté, parfaitement trahie, n’est-ce pas, sans rire ?

Allons, luttons contre l’envie d’éteindre la lumière, de profiter encore un peu de l’élasticité du matelas, de la douceur des draps, du réconfort de l’oreiller et du ronron du chat, pour juste vivre du temps qui me reste de vivre, sans pensée autre qu’avec un peu de chance, ça ne va plus durer longtemps. Luttons contre ça.(mais quand je pense aux efforts fournis pour éviter Bardella premier ministre, et voici que le capitaine lui confie la barre sans même exiger de lui une autre direction que celle qu’il voudra bien prendre, je veux dire, quand on pense que Macron aurait pu se tourner vers la gauche et qu’il préfère l’extrême-droite, ben y’a de quoi vraiment avoir envie que le vent tourne, et exiger la fortune carrée. Mais là, j’ai comme une faiblesse dans les bras, alors, pour hisser la voile… Ah là là.

Clopinec dit: à

Oui, je suis parfaitement découragée.D’un autre côté, parfaitement trahie, n’est-ce pas, sans rire ?

Allons, luttons contre l’envie d’éteindre la lumière, de profiter encore un peu de l’élasticité du matelas, de la douceur des draps, du réconfort de l’oreiller et du ronron du chat, pour juste vivre du temps qui me reste de vivre, sans pensée autre qu’avec un peu de chance, ça ne va plus durer longtemps. Luttons contre ça.(mais quand je pense aux efforts fournis pour éviter Bardella premier ministre, et voici que le capitaine lui confie la barre sans même exiger de lui une autre direction que celle qu’il voudra bien prendre, je veux dire, quand on pense que Macron aurait pu se tourner vers la gauche et qu’il préfère l’extrême-droite, ben y’a de quoi vraiment avoir envie que le vent tourne, et exiger la fortune carrée. Mais là, j’ai comme une faiblesse dans les bras, alors, pour hisser la voile… Ah là là.

MC dit: à

Barnier d’extrême droite? N’importe quoi.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Crépuscule de Macron ?
Je n’espère pas. Oh que non.
Qu’il monte toujours et encore, toujours plus fort, toujours plus haut, notre Soleil au dessus de la montagne fleurie dans les brumes et la rosée.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Sa vaillance n’a d’égale que sa beauté.

puck dit: à

dear Donna Tello Tella

sachez que quand Monsieur Michel Barnier dit qu’il va dire la vérité aux français il ne s’agit certainement pas pour parler de déficit budgétaire ou de dette publique ou de croissance négative etc…

tout ça c’est acté !
pas la peine d’avoir une boule de cristal pour savoir que d’ici la fin de l’année l’état ne pourra plus payer ses fonctionnaires ! qu’il devra fermer des écoles et des hôpitaux, laisser sortir les criminels des prisons, qu’il ne sera plus possible de prendre de l’a&rgent liquide dans les distributeurs dans la mesure où les banques seront insolvables voire en liquidation, que ce qui s’est passé en Grèce ou la crise de 29 ou de 2008 à côté de ce qui attend la France c’est le paradis !

sauf que ça, tous les gens à peu près attentifs et ayanrt un minimum le sens des affaires le savent.

je veux dire limite on s’en fout ! c’est pas très grave ! la France en a vu d’autres dans son Histoire elle s’en remettra… et puis les français c’est pas des chochottes, on l’a vu durant l’occupation ils savent très bien s’en sortir sans sortir d’argent à la banque…

non, quand Barnier parle de vérité je pense que les journalistes ont mal écrit ce mot, il doit plus s’agir de Vérité avec un grand V, genre une révélation mystique, peut-être une apparition, un truc comme Saint Paul sur le chemin de Damas.

d’autant que Barnier a déjà au moins 75 ans et donc il est assez proche de la mort, du coup m’étonnerait qu’il veuille plaisanter avec des histoires de fermeture d’hôpitaux ou de faillite du système bancaire, mon intuition est que c’est bien plus grave.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Sa beauté n’a d’égale que sa clairvoyance.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Sa clairvoyance n’a d’égale que sa force qui est celle d’un tigre blanc des neiges.

Clopine dit: à

MC, un gouvernement qui ne pourra agir qu’avec l’approbation d’un parti d’extrême-droite, donc précisément qui n’aura voté un budget que si celui-ci convient à Le Pen, et des mesures pour les immigrés approuvées par Bardella ?

N’importe quoi, dans la France de 2024, 25, 26, 27 ?

Oh, vous, vous y serez comme un poisson dans l’eau. Car les poissons avalent tout.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Son soldat Michel a empoigné sa lance ; à bride abattue sur son destrier il le défendra de tous ses ennemis.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Ses hautes oeuvres se manifesteront alors. Quarante neuf et un tiers.

Clopine dit: à

Ca fait des mois que j’essaie… Avec deux-trois commentateurs ici, d’ailleurs un peu plus de commentatrices que de commentateurs, (allez donc savoir pourquoi ! Peut-être parce que le « féminisme » du RN ressemble fichtrement à une régression tout azimut, notamment sur le droit pour une femme à disposer de son propre corps, sans passer par le confessionnal, je dis ça je dis rien) à tenter de faire entendre « une autre voix, une autre voie ». Et là, j’entends les écharpes de soie des nantis venir caresser le cou de la pire réaction.

Bon, au moins, je suis toujours là. Je n’ose penser au nombre de mails que notre hôte a dû recevoir à mon sujet, visant à me faire taire. Donc, tiens, je remercie Pierre Assouline… Même si l’avenir est sombre, et qu’il risque de changer d’avis, puisque je suis d’avis d’essayer, tant que faire se peut, d’enclencher une grève générale dans ce foutu pays.

puck dit: à

en l’état actuel la seule chose qui pourrait sauver la France c’est une guerre, peut-être pas contre la Russie parce qu’on a des précédents qui ne joiuent pas en notre faveur, mais par exemple contre la Suisse.

faire comme les russes en Ukraine : envahir la Suisse pour s’emparer de ses richesses.

en plus la proportion Russie / Ukraine doit être à peu près la même que France / Suisse.

si déjà on arrive à piquer toutes les Rolex de Federer ça pourrait rééquilibrer une partie de notre budget.

qu’est-ce qu’on risque ?

Donna Ricaud-Veyre dit: à

A sa gauche, hordes de vilains et vilaines désoeuvrés.
A sa droite, les justes et leur labeur qui ne sera vain car il le changera en Trésor.

puck dit: à

ou le Luxembourg ?

puck dit: à

sérieux on a à notre frontière deux petits pays qui sont des paradis fiscaux avec des banques bourrés d’argent illicites provenant des cartels et du trafiques d’enfants : si on envahit la Suisse et le Luxembourg et qu’on dévalise leurs banques moralement parlant personne ne pourra nous le reprocher.

c’est le seul truc qui pourrait sauver la France.

Marie Sasseur dit: à

MC dit: à
Ou Sasseur se déculotte devant lmd pour pouvoir se rhabiller avec le sérieux qui lui sied….

Mais de quel droit, cet individu, qui brille sur ce blog par son imposture,
avec des commentaires qui depuis longtemps ne sont plus que les signes d’une déficience mentale , quand ils be sont pas tout simplement effacés car antisémites,
c’est arrivé, bien sûr,
comment ce vieux puceau qui des femmes n’aura jamais vu que le sein de sa nourrice et l’entrecuisse de sa génitrice, quand des commentaires donc ne sont pas virés car antisémites, comment peut-il causer lingerie ?
Il va certainement aux putes, ou plus sûrement il fait ses petites affaires sur des sites porno. Vu sa tronche de cochon, ça ne m’étonne pas.

Marie Sasseur dit: à

Il doit se palucher en lisant mon pseudo, ce vieux dément.

puck dit: à

en plus la Suisse et le Luxembourg ont fait l’erreur de ne pas rejoindre l’OTAN, c’est bien fait pour eux !

puck dit: à

on voit bien en lisant ce blog qu’il y a en France une énorme colère contenue, trop contenue.
une bonne guerre est le meilleur moyen d’expurger cette colère.
parce qu’à tout prendre il vaut mieux que cette colère s’expurge sur les suisses et les luxembourgeois que sur les français eux-mêmes.

puck dit: à

il suffirait de s’inspirer des narratifs utilisés par les néoconservateurs pour faire leurs guerres.

exemple : aujourd’hui ce serait hyper facile de démontrer que les paradis fiscaux représentent l’axe du Mal.

il suffirait de passer en boucle des documentaires sur les crimes des cartels de la drogues et sur les organisations mafieuses qui s’enrichissent sur le trafique sexuel des enfants et dire que la Suisse et le Luxembourg sont les Grands Satan qui servent de refuges financiers à tous ces criminels contre l’Humanité qui se nourrissent du sang de pauvres innocents et hop ! emballez c’est pesé !

Marie Sasseur dit: à

Cela dit Macron a terminé son mandat de gouvernant.
On attend le discours de politique générale, bien sûr, mais Barnier a déjà pris des tics de langage insultants, en parlant des gens d’en bas. D’en bas dans la vallée, faut croire.

puck dit: à

il faut arrêter de monter les français entre eux !
il faut que les français s’en prennent aux suisses et non plus aux français ! je veux dire même s’ils sont bretons comme MC dont j’avoue que j’ignorais totalement cet aspect de sa vie privée, mais ce qui n’en fait pas un criminel, à priori, même si à une époque il allait sur le blog de Clopine sous le nom d’emprunt de Mr Bergeret pour s’y livrer à des pratiques que la morale réprouve…

Marie Sasseur dit: à

Vieux keuf, un commentaire sur cette affaire judiciaire Gisèle Pélicot ?
Je trouve que les commentateurs restent bien silencieux, alors qu’ils sont exemplaires quand il s’agit de dénoncer des barbares étrangers.

puck dit: à

en parlant de pratiques moralement réprouvées j’ai eu des nouvelles de D. !
il m’a envoyé un msg sur Telegram.
ça y est il est parti en exploration.
le problème est qu’en principe ces expéditions se font « sur » la banquise, et pas « sous » la banquise.
mais bon, avec D…

Clopine dit: à

Oui, Puck,comme de m’accuser de mettre des photos de mon jeune fils à l’époque pour « attirer le chaland ». J’ai instantanément cessé de poster le moindre portrait du fiston. Après, ça a été des posts à la fois « humiliants » (« vous n’êtes qu’une ignorante, donc arrêtez de prétendre que vous puissiez dire quoi que ce soit de pertinent sur vos lectures d’Anatole France, de Proust, de qui sais-je, car je vais vous pilonner du haut de mon savoir légitime à Moi »), mensongers, et dont il faisait état sur le blog de Bergeret dans le style « ah, la dernière de cette stupide Clopine, ça fait mon régal, je vais continuer à la harceler car elle le mérite bien, elle est tout ce que j’exècre et ce que l’on va bien continuer à rigoler quand je vais encore l’asticoter », bref, pratiques trollesques qui m’ont atteintes et pour lesquelles il sera toujours impuni.

Mais bon, ici, il y aura toujours un doute… Car des êtres qui veulent démontrer leur supériorité en se revêtant de personnalités doubles, triples, et malfaisantes, ne sont hélas pas si peu nombreuses. Et si un jour on me dit que « Puck » n’est qu’un oripeau de MC, eh bien, je n’en serais pas plus surprise que cela.Heureusement que désormais, je m’en fous un peu. Un peu seulement ? Oui,un peu seulement. Car je pense que la recherche d’une supériorité, le mépris envers autrui, l’absence de toute conscience morale quand il s’agit de discréditer une parole qui ne vous convient pas, sont autant de motif de souffrance pour cet autrui discrédité. Etj’ai de bonnes raisons, comme hier, de haïr la souffrance.

Clopine dit: à

…Alors que,pour compléter mon propos, le père du fiston est un photographe, et que les clichés en question n’étaient pas de simples « selfies », mais de vraies photos,c’est bien pour ça que je les mettais en ligne.Non pour célébrer la beauté d’un fils, mais plutôt pour donner à voir le talent du père. Quoi qu’il en soit du père en question. Comme on peut dire « quoiqu’il en soit de la pourriture morale d’un Céline,il n’empêche que c’était un écrivain »; Thème à décliner à l’infini !

Clopine dit: à

bon, pour alléger l’atmosphère, (car j’ai une gueule de), voici ce que j’ai découvert aujourd’hui sur mes chiens.

Il y a eu Ti’Punch, un border colley sentimental, élevé jusqu’à ses trois mois dans une maison où il y avait trois petites filles à câlins et un canapé, ce dont il a disons largement profité,

Et il y a désormais Pile-Poil, noir de robe et musculeux, nerveux, inquiet et dominateur,qui vous sollicite tant qu’on ne peut que s’attacher durablement à lui, si on ne veut pas l’attacher tout court.

Je les aimes tous les deux, celui qui n’est plus là et celui que j’ai failli ne plus revoir jamais.

Et aujourd’hui, j’ai compris pourquoi ils étaient si différents.

A savoir que Ti’Punch a toujours cru être un être humain. Oh, avec quelques doutes, certes, mais c’était clairement dans sa tête de clebs.

Alors que Pile-Poil,lui, est absolument persuadé que nous sommes tous des chiens…

(bon, moi aussi je vais aller m’occuper de mes poules, tiens, j’en profite puisque je suis extraite, pour un temps, de mes barres HLM).

Jardinier de D. dit: à

Je sui le jardinnier de D. et je dément formelement les propaux de selui qui sait cri puk.

et alii dit: à

C’est une proposition toute récente, qui émane de la fraction allemande de la Jeunesse Étudiante Catholique Internationale (KSJ) : écrire le Nom du Très-Haut suivi d’une « astérisque d’inclusivité »1. L’objectif : forger “une nouvelle image de Dieu*” qui, en lieu et place de la représentation classique d’un « vieux Blanc à la longue barbe sévère », substitue une imagerie ouverte à la « diversité de Dieu* ».
¨PHILOMAG

et alii dit: à

l’utilisation de l’astérisque trouve son origine dans la religion chrétienne elle-même. C’est le pape Urbain VIII qui, au XVIIe siècle, introduit l’astérisque dans le canon typographique de la liturgie des Heures. Son rôle n’est alors, évidemment, pas de marquer l’indistinction du genre de la personne divine : au beau milieu du chant liturgique ou de la psalmodie, cette astérisque introduit une respiration inédite, qui se glisse parfois au beau milieu d’une phrase. L’astérisque endossera, par la suite, différents rôles : symbole suspensif (pour censurer un terme vulgaire), renvoi textuel (à une note de bas de page), marquage d’emplacement générique (« champ libre », « case à remplir »). Et, depuis les années 2000, également marquage de « l’inclusivité » linguistique,
PHILOMAG

renato dit: à

et alii, Pape Luciani (Jean-Paul I)au cours de l’Angélus du 10 septembre 1978, a déclaré : « Nous sommes l’objet, de la part de Dieu, d’un amour éternel : (Dieu) est père, plus encore est mère ».

Chaloux dit: à

C’est la poule et les poussins de Saint François d’Assise.

Samuel dit: à

Les radotages stériles de ce pauvre sénile de puck ne concernent personne mais consternent tout le monde.

renato dit: à

Et à un moment arriva Speer

En 1912, Walter Gropius adhère au Deutsches Werkbund, association fondée en 1907 pour rapprocher architectes et industriels ; en 1919, le Bauhaus voit le jour à l’occasion du renouveau de l’école des arts appliqués, il s’agit d’une école publique destinée à promouvoir « une nouvelle construction de l’avenir qui réunirait toutes les disciplines, architecture, sculpture et peinture, et qui s’élèverait un jour vers le ciel des mains de millions d’ouvriers comme le symbole clair d’une foi nouvelle » (Gropius).

En vue de la fonction formative, l’organisation des cours théoriques (théorie de la forme, de la couleur, etc.) et des ateliers (architecture, graphisme, photographie, tissage, etc.) est organisé selon un modèle dont le but est une nouvelle unité entre les arts et l’intégration du progrès industriel. Toutefois ce qui élevait vraiment cette alternance tout compte fait traditionnelle entre théories et pratique, c’était le cours propédeutique : un cours qui n’était pas destiné à donner des compétences, mais plutôt à développer les aptitudes et la personnalité des étudiants en les préparant à l’étude d’une discipline.

Cette première période finit en 1924, car le gouvernement nationaliste nouvellement élu réduit de moitié les fonds publics sur lesquels reposait le Bauhaus, ce qui conduit à la fermeture de l’école. L’histoire du Bauhaus ne s’arrête pas pour autant, car la ville de Dessau l’adopte en tant qu’école municipale, subventionne sa réouverture et son déménagement en 1926 dans le nouveau bâtiment conçu par Gropius, qui deviendra l’emblème de l’école.

Suite à ce déménagement, le Bauhaus subit des modifications : moins de cours d’artisanat, un département d’architecture renforcé, et un statut universitaire. Se rappeler qu’à partir de la fin des années 1920, le mouvement moderne connaît une forte accélération : commencent à se tenir les congrès internationaux d’architecture moderne ; réalisation du Weißenhof de Stuttgart ; Alexander Klein codifie le logement pour le niveau minimum d’existence ; après une série d’expériences radicales sur les maisons minimales, Le Corbusier réalise la Villa Savoye ; Mies van der Rohe construit le pavillon allemand à l’Expo de Barcelone, et ainsi de suite.

En 1928, Gropius démissionne pour poursuivre son activité professionnelle et Meyer prend la relève. Inévitablement, la nouvelle direction apporte des changements considérables : d’une part, la tendance au fonctionnalisme s’accentue, ce qui entraîne sans une augmentation des commandes, d’autre part, le caractère politique de l’école s’accentue, avec une augmentation des cours économico-sociaux au détriment des cours pratiques et opérationnels. Seulement, les thèses nettement marxistes de Meyer ne laissent pas le gouvernement indifférent, ce qui impose son renvoi en 1930, mettant fin au deuxième Bauhaus.

Malgré les tentatives du maire de Dessau de faire revenir Gropius à la tête de l’école, Ludwig Mies Van der Rohe en devient le directeur et la troisième période s’ouvre sans interruption.

Nouvellement réorganisée et dépolitisée, l’école prend une orientation plus architecturale — liée à des projets industriels —, réduisant considérablement ses ambitions sociales : et la nouvelle empreinte fonctionne effectivement. Les objets emblématiques du Bauhaus sont en effet nés à cette époque : des pièces de mobilier et de design couramment produites encore aujourd’hui et recherchées comme objets de collection lorsqu’elles sont originales.

Un héritage de résultats plutôt que de méthodes : le style du modernisme a survécu à sa culture (la tentative ratée de renouveler son style conduira à la diaspora architecturale du postmodernisme), et le style est devenu le problème du Bauhaus. En effet, bien que les régimes aient entretenu une relation ambiguë avec le modernisme — appréciant manifestement ses tendances fonctionnalistes et industrielles — à partir de 1930, les ministres nationaux-socialistes de l’intérieur et de l’éducation ont entamé une lutte contre ce qu’ils considéraient comme inutilement moderne.

Les financements diminuent et en 1932, le maire de Dessau doit fermer définitivement le Bauhaus. Beaucoup ont tendance à attribuer au Bauhaus un rôle de résistance au nazisme, alors que les faits sont différents, puisque dans les faits, Mies van der Rohe a cédé à toutes les exigences du parti national-socialiste.

La dernière incarnation du Bauhaus, l’école que Mies a fondée en 1933 à Berlin en est la confirmation. Cette école publique, financée par des frais de scolarité élevés et les brevets du Bauhaus, n’a vécu qu’un an avant d’être désignée par la Gestapo comme bolchevique. Mais elle renaît bientôt sous une forme nouvelle et privée, conforme aux directives d’Alfred Rosenberg (le tout nouveau ministre de la culture) : du renvoi de personnalités gênantes (Kandinsky) à l’expulsion des enseignants et des étudiants juifs, de l’embauche d’enseignants appartenant au parti à un programme d’études orienté dans un sens national-socialiste.

La relation entre le modernisme et le nazisme, qui concerne également d’autres maîtres tels que Le Corbusier et Philip Johnson, se termine, une fois de plus, par des questions de style. En 1935 Albert Speer devient l’architecte du Reich et convainc Hitler de retrouver la splendeur impériale et la dimension vernaculaire : l’architecture minimaliste de Mies n’a plus aucune chance, et le Bauhaus doit fermer. L’activité professionnelle de Mies diminue à tel point et en 1937 il décide de s’installer aux USA.

https://lesempio.blogspot.com/2012/04/walter-gropius-bauhaus.html?q=Bauhaus

renato dit: à

et en 1937 > QU’en 1937

poussière dit: à

Marie Casseuse il y a peut-être ici des personnes qui ont été droguées pour être violées et qui trouvent vos incessants cris bien vains.

poussière dit: à

Mais que dire ? à qui ? je ne prétends pas avoir connu l’enfer de cette femme. J’ai gravé pour toujours le souvenir d’un éclat de rire quand je bus mon verre. Puis le noir. Le réveil ensuite – si on peut dire – dans le brouillard, faible au point de ne pouvoir que péniblement murmurer des « non ». Pas envie de raconter en détail d’autant plus que ce souvenir je l’avais enfoui pendant longtemps jusqu’à vivre une expérience déplaisante bien plus tard où il a émergé. Le doute de savoir s’il était vraiment seul parce qu’enfin il a bien fallu me porter depuis ce salon aux murs couverts de tableaux jusque dans cette chambre où des « jouets » était alignés sur des étagères, ce miroir… mais je ne pesais alors pas lourd. Que dire ? alors que l’on m’a fait dans l’horreur qui suivit des années après avant tout bien fait comprendre que moi je ne comprenais rien à rien… Face à des actes aussi odieux il faut s’appliquer à considérer les faits, leur horreur. Mais faire du miel à tout prix, franchement !

rose dit: à

Cela s’appelle la mémoire traumatique.
Hier, ma mère, à table, m’a révélé un secret de famille. Dont j’avais idée par les confidences de l’aînée des quatre filles.
Concombre, moules à la crème, frites. Le jeune cuisinier me regarde, et me demande si c’était bon. Non, répondis-je en levant le doigt, ce n’était pas bon. Terrorisé, il insiste. Pas bon ?

Non, surenchéris-je. Pas bon, c’était dé-li-ci-eux. J’insiste. En coupant le mot. Puis je lui demande la recette. En plus de la crème, il a mis du céleri. Coupé fin, fin.
Emma n’est pas contente, parce qu’il n’a pas mis les coquilles des moules.

rose dit: à

Odieux ne convient pas. Le mot choisi est monstrueux.

rose dit: à

Il ne s’agit pas là de faire du miel et d’en tirer quelconque gloire, mais de dénoncer haut et fort ce qui est inacceptable.
On avance dans le violence faite aux femmes. On avance en parallèle dans la misère sexuelle. Bien sûr que l’on se tape les excès de tel et untel, mais derrière l’arbre, ce procès en est le témoin, se cache la forêt.

rose dit: à

la violence.

Les enfants.
Derrière la forêt, se cache la jungle.
Dans mon sac à main, j’ai un Opinel. Le type de la surveillance me dit pour le saucisson. Je ne sais pas de quoi il parle. Il insiste, vous ne le laissez pas ? Je demande mais quoi ? Le truc pour le saucisson ? Alors je me souviens et je le sors. Alors je m’insurge et je lui réponds mais pas du tout, c’est pour les champignons.
G dû aller le récupérer et l’autre nullité s’est sauvée dans sa smart. Innocente aux mains pleines elle n’a pas fini de trinquer, le goût de l’argent.

Emma et moi ne cessons de rire. J’ai fait connaissance avec Jean, son copain, son bon ami serait plus juste. Il prend soin d’elle et elle de lui, plus précisément de son basilic.
Voilà, elle me l’a écrit au scrabble.
Jean.
Homme.
Maire.
Loi.
Foi.
Nid.
Dans le désordre.
Mais après évêque.

Quant à moi, sidérée non stop, ai compris que même nue et crue, elle serait encore Néfertiti. La tête haute et droite.
Je lui ai montré l’opinel, lui ai raconté diverses choses et lui ai dit là, la carotide.

Elle m’a dit oui. Alors que la grande solitude de l’Ehpad, c’est derrière elle. Elle a Jean, qui a Emma.
Les enfants, protection absolue. Je ne peux qu’espérer que, lorsque la condition des femmes se sera améliorée, le sujet se portera haut et fort sur les enfants.

Avec ce mari, cette espèce d’horreur ambulante, je l’ai expliqué à ma mère, se soulève ce point, Émile Henry et tant d’autres, du non arrêt d’un acte délictueux s’il n’y a pas intervention de la loi.
Merci au vigile qui a surpris cet individu en train de photographier sous les jupes des filles dans un grand magasin dans le Vaucluse. Merci à lui.

rose dit: à

Le Temps, ce grand seigneur.
Merci à lui.
Com.effacé – sur que dire, rien, à qui, personne, suite à une manoeuvre malencontreuse en cherchant Yourcenar.

rose dit: à

éclat de rire.
Je te le montrerai mon opinel.
Le gars, il l’avait caché quand je suis sortie pour me le piquer.

Marie Sasseur dit: à

Je n’ai pas compris si poupou ? a des acouphènes, s’il participe a in concours de littérature chemsex, s’il me confond avec Nabilla,

Ou s’il pense que Gisèle Pélicot et vraisemblablement sa fille, sont justes à passer sous silence ?
Non.

Mon pseudo c’est Marie Sasseur, pas Marie, ni dans la vie.

JC..... dit: à

CHANGER POUR QUE RIEN NE …

La Fondation Abbé Pierre change de nom. La cocotte minute a explosée plusieurs décennies après les actes délictueux du Saint Homme, adepte des papouilles pédagogiques religieuses.

Enfin ! …. une décision courageuse que tout le monde attendait.

La Fondation Abbé PIERRE s’appellera désormais la Fondation Abbé LUBRICQ.

Marie Sasseur dit: à

Das Staatliche Bauhaus in Weimar entstand am 12. April 1919 aus der Vereinigung der Großherzoglich-Sächsischen Hochschule für Bildende Kunst in Weimar und der 1915 aufgelösten Kunstgewerbeschule Weimar.[7] Auf Vorschlag Henry van de Veldes, des bisherigen Direktors der Großherzoglich-Sächsischen Hochschule, wurde als dessen Nachfolger Walter Gropius ernannt. Dieser gab der neuen Schule ihren Namen.

https://de.m.wikipedia.org/wiki/Bauhaus

Marie Sasseur dit: à

Saviez-vous que le Bauhaus était né à Weimar en 1919 ? Des artistes et visionnaires de différentes disciplines et nationalités s’y sont en effet réunis pour redéfinir le monde de l’art, du design et de l’artisanat. L’héritage impressionnant du Belge Henry van de Velde, considéré comme le grand-père du Bauhaus, peut en outre être admiré à Weimar.

https://www.lalibre.be/network/entreprises/2024/05/13/weimar-sur-les-traces-du-celebre-designer-et-architecte-belge-henry-van-de-velde-WZ2SLRUMNVETZLTEUK53OPALWA/

Marie Sasseur dit: à

@La Fondation Abbé PIERRE s’appellera désormais la Fondation Abbé LUBRICQ

lol

On ne lit plus non plus les nombreux qui se sont précipités au chevet d’ Henri Grouès sur ce blog, regrettant tout ce foin, un pauvre vieux, qui réclamait un bisou, sur don lit d’hôpital…

Un prédateur sexuel, qui pendant 50 ans oui, 50 ans, a bénéficié de complicités.

Jazzi dit: à

« Saviez-vous que le Bauhaus était né à Weimar en 1919 ? »

Oui, tout a été très bien expliqué par renato, MS !

Jazzi dit: à

« Mon pseudo c’est Marie Sasseur »

Non, plutôt Samie Raseur ou Rassie Sameur ?
Au choix !

JC..... dit: à

La Nature, qui anime parfois chez l’homme quelque protubérance érectile, aura toujours plus d’importance pout cet animal fin et subtil que les élucubrations divines créées de toute pièce par des fadas ayant subi une insolation violente en plein désert !

La légende religieuse cèdera le plus souvent et la nature reprendra ses droits, comme prévu !

Ainsi soit il.

MC dit: à

Nous avions déjà propose Masseur Suri, ou Rimas Seur Su, Jazzi…Clopine, inutile de me refiler les frusques de Bergeret,et maintenant celles de Puck.! Merci de vous delivrer par avance de cette obsession. MC

poussière dit: à

concours de chemsex ? jamais voulu essayer le GHB ou le GBL. Acouphènes ? j’ai passé sur les somatisations lors du massacre qui suivit plus tard. Bref. Le silence ? si seulement.

poussière dit: à

et les index qui pointent la tempe j’en pense désormais que cela affiche le suicide de sa propre humanité

poussière dit: à

monstrueux, rose, oui, sur ce bon week-end

honneur de blog dit: à

Oui, tout a été très bien expliqué par renato, MS !

Un copier/coller du web qu’il attribue sans lien à un de ses blogs amasseurs ( esempio)!
Ce texte n’est pas de lui! 🙂

poussière dit: à

Le silence ? si seulement.

Là je fais référence au jeu de massacre tardif.

L’écoute du témoignage de cette dame est important. Sa force est impressionnante.

lmd dit: à

Marie Sasseur, avant de passer à autre chose, vous avez interprété : je ne n’ai pas envisagé une
«histoire de finesse et d’élancement»; mais peut-être une architecture (hellénistico-nazie) plutôt horizontale et une architecture stalinienne se développant verticalement (et sans guère de finesse).
Je vous propose de ne pas confondre architecture stalinienne et architecture soviétique et je précise que le livre que vous avez évoqué (et que j’avais signalé) à pour titre Cosmic Communist Construction Photographed.(CCCP !). Il présente des constructions des années 1970 et 1980, avec une diversité de formelle sans limite qui leur donne (deux ou trois décennies plus tard) un caractère quasi utopique.

Vous ajoutez (sans doute pas à mon intention) «Saviez-vous que le Bauhaus était né à Weimar en 1919 ? ». Poursuivez vos investigations du coté de l’histoire de l’art moderne. Je vous propose un jalon  (maintenant que vous causez en allemand) : https://www.bauhandwerk.de/artikel/bhw_Haus_Lange_und_Haus_Esters_in_Krefeld_wieder_eroeffnet-3397840.html:
Les maisons Esther et Lange à Krefeld (Ludwig Mies van der Rohe 1930). J’ai visité ces deux maisons, à la recherche de l’espace –Vide– d’Yves Klein).

Je regarde régulièrement les Colombo à la télé en me demandant chaque fois ce qui fait leur identité si manifeste ? Sans doute le choix des acteurs, on reconnait l’assassin dès le premier plan où il apparaît.

Marie Sasseur dit: à

Merci poussière, des lors qu’il s’agit de dire, pour ses faits qui nient l’humanité, j’estime que dénonciation et le taire vont de pair. Ça doit venir d’un semblant de responsabilité sociale, on ne se refait pas…
Pour l’affaire Gisèle Pélicot, savez vous que trois femmes, qui allaient faire du shopping des essayages, lui ont, pour finir sauver la vie ?

Un petit geste, des fois, c’est presque rien, c’est juste vital.
Bon week-end à vous.

Marie Sasseur dit: à

Des faits

Marie Sasseur dit: à

Oui, lmd, c’est fastidieux de vous relire.

Et je renonce, car effectivement, on peut avec des restes, faire du hachis parmrentier.

Non, ce message sur le Bauhaus ne vous était pas destiné, et la courte présentation est extraite du le lien. Que je vous invite à ouvrir, et a lire, jusqu’au bout…
Surtout pour ceux qui ont compris que René raconte à peu près n’importe quoi dans un assemblage approximatif sur la « maison la construction », et en aucun cas sur la construction de la maison…

Pour l’architecture en URSS, avant Staline, voir cette innovation, le constructivisme.

Sur ce je suis attendue.

Bis bald

Marie Sasseur dit: à

Beaucoup trop vite écrit, mais pas le temps.

Jazzi dit: à

Le léZard est allé lézarder en Corse, non sans violence, sur les pas d’un cinéaste et d’un écrivain, prix Goncourt 2012, tout deux insulaires…

MC dit: à

Marie Sasseur est attendue, ce qui explique qu’elle ne s’explique pas! Malheureux LMD…

FL dit: à

Ça m’a échappé mais il y a un dessin dans Charlie-Hebdo qui a beaucoup fait réagir dans les milieux chrétiens.

Mais pourquoi des chrétiens achètent-ils Charlie-Hebdo ? Ça paraît fou.

Le blasphème est toujours aussi mal vu qu’au temps de Nietzsche.

(Il était athée virulent. Et matérialiste aussi étonnant que çà puisse paraître. Enfin au sens philosophique je veux dire.)

FL dit: à

Ce doit être le même garçon qui sert de modèle au Caravage dans « L’Amour vainqueur. » Peint donc à l’époque où Shakespeare est en pleine effervescence créatrice.

Ça émouvait beaucoup le Caravage manifestement.

Mais est-ce si différent du Ninetto Davoli de Pasolini ?

FL dit: à

Et matérialiste aussi étonnant que çà puisse paraître.

Mais après tout le système de pensée derrière « La Naissance de la tragédie », c’est que les mêmes causes ont les mêmes effets. Sociologiquement c’est impeccable.

Ça pourrait être du Marx. (Bon soit les modes de productions ne l’intéressent pas beaucoup. Ni la dialectique. Mais c’est la seule différence.)

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