de Pierre Assouline

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La République des livres
Alexandre Tharaud, du piano comme d’une pure question de désir

Alexandre Tharaud, du piano comme d’une pure question de désir

Il en est des disques comme des livres : l’œil y est de prime abord souvent attiré par l’épître dédicatoire, ou par son absence. Avec le pianiste Alexandre Tharaud, elle éclaire le programme musical, et plus encore l’interprétation car il s’agit d’une manifestation de gratitude. Comme si l’enregistrement (le plus souvent dans l’Espace de projection de l’Ircam qui jouit de parois mobiles et d’une acoustique modulable) devait précisément quelque chose à cette personne en particulier, que son rôle demeure énigmatique à nos yeux ou pas, et qu’il était urgent de s’acquitter d’une dette. Des professeurs et maîtres le plus souvent (Carmen Tacon, Marcelle Meyer), des inspirateurs qui ont éclairé sa vie (Sviatoslav Richter, Glenn Gould, Jacqueline du Pré) ou des inconnus qui lui prêtent leur appartement. On trouve l’explication de cette attitude, et bien d’autres choses tout aussi personnelles, dans Piano intime (180 pages, 17 euros, Philippe Rey), longue et riche conversation qu’a eue l’artiste avec un musicologue de sa génération, au diapason de sa sensibilité, Nicolas Southon.

Alexandre Tharaud relève de la catégorie assez particulière de ces musiciens qui ne possèdent pas d’instrument chez eux. Il avait bien autrefois un demi-queue Bösendorfer surnommé « Bucéphale », du nom du cheval d’Alexandre le Grand ; un fort sentiment l’attachait à la bête, d’autant qu’il posait les faire-part de décès de ses proches dans ses entrailles, sous le couvercle ; jusqu’à ce qu’il décidé de s’en séparer définitivement, quitte à aller lui rendre visite chez son nouveau propriétaire normand et à laisser l’émotion le gagner en lui caressant l’échine. Depuis, il n’a de piano que celui des autres. Volontairement. Pour travailler loin de chez lui, distinguer ses univers, ne pas laisser étouffer par ses livres, ses partitions, ses images familières, privilégier la concentration. Car rien ne vaut d’être privé de l’instrument pour en attiser le désir. Il dispose donc d’un trousseau de clefs ouvrant plusieurs appartements parisiens appartenant soit à des proches soit à des mélomanes de rencontre qu’il connaît à peine. Ils ont en commun de posséder un piano et de vivre dans des lieux inspirants qui dégagent une énergie dont il se nourrit. Autant de claviers où poser ses mains fines, souples et prêtes à toutes les contorsions, étant  entendu qu’on ne joue pas avec ses mains mais avec son corps.RaRFilmMainsJouentLight

On lui demande parfois d’arroser les plantes. L’important est de faire un pas vers un instrument étranger qui en fera autant. Une question de désir, vraiment. Il se sèvre pareillement durant toute une semaine avant d’enregistrer un disque afin de recréer en lui l’envie de jouer. Il y a bien du jeu là-dedans. Scarlatti, l’homme aux quelques six cents sonates, lui a appris qu’il devait aussi s’amuser avec le clavier (jusqu’à préparer le piano au-delà des espoirs de Satie en y glissant, lui, carton, plastique et métal pour rendre justice à son Piège de Méduse !). Et puis quoi : « N’être le pianiste d’aucun piano permet finalement celui de tous »…

Il préfère les pianos modernes, cela dit sans mépris pour les anciens ; nul dédain pour la nostalgie car il avoue ressentir une douce ivresse quand vient l’envahir le parfum entêtant des coffrets microsillons (il quittait l’adolescence lorsque le CD s’imposait). Il est toujours fascinant pour un profane, fut-il mélomane, d’entendre un interprète parler de l’instrument : « un Steinway chaud, au chant boisé et rond … qui a perdu son âme après restauration»… «  des pianos pas assez profonds, pas assez puissants, pas assez intimes… »… « un piano enveloppant »… « un instrument cristallin, boisé, permettant une diction ciselée… ». Pareillement pour le son du studio d’enregistrement : « chaud, précis, intime, qui laisse percevoir les marteaux, tout en conservant un espace large et généreux ». Tout un lexique amoureux, sensuel et charnel, qui rappelle aussi l’art et la manière avec lesquels les œnologues parlent du vin.

Etablir le programme d’un enregistrement, c’est déjà afficher une opinion et un parti pris. On peut venir après des dizaines d’autres lorsqu’on choisit Chopin ou Beethoven, mais à quoi bon ? Si la question de l’utilité se pose, nul doute que le fait d’avoir osé Rameau (les Suites) a incité d’autres à oser par la suite, sans parler d’un public assez éloigné du clavecin qui (re)découvrit ces pièces grâce à ce disque. Il a toujours déchiffré et improvisé, au point de rendre ces pratiques indispensables à son hygiène mentale quotidienne. La concentration est bien sûr essentielle, mais chacun a ses moyens pour y parvenir. Chez lui, yoga, natation, technique Alexander et longue sieste de l’après-midi. Sans oublier la méditation et même au-delà (l’intense lumière des corridors de l’EMI ou « expérience de mort imminente » l’attire) Juste de quoi lui permettre de puiser dans son silence intérieur. Il faut cela pour rendre les Valses de Chopin à leur complexité, donner un aperçu de la richesse de leur écriture et dissiper le lieu commun qui les décrète répétitives.

Il a vite compris que l’admiration pour les maîtres bannissait toute idée d’imitation de leur génie. Rachmaninov est le plus grand interprète de Chopin et basta ! Chopin encore mais n’allez pas croire qu’il le sacralise, il s’en faut. Pas d’héroïsation romantique. Dans sa bouche et par ses mots, le grand homme est prestement débarrassé des falbalas hagiographiques. Nourri de la lecture de sa correspondance, Tharaud l’évoque plutôt comme un homosexuel refoulé, un caractériel du genre raciste, fragile et violent. Ce qui n’entame en rien son engouement pour son œuvre. Il ne s’agit pas de juger le créateur d’un point de vue moral, ce qui ne serait d’aucun intérêt, mais de l’absorber et de s’en imprégner en ne se contentant pas de ne voir dans ses partitions que des notes et des rythmes quand toute une vie s’y déploie.

Alexandre Tharaud va au bout de son désir qu’il pratique l’un ou l’autre de ses métiers. Car ce sont bien deux métiers : enregistrer un disque revient à chuchoter à l’oreille de l’auditeur, donner un concert consiste à s’adresser à celui du dernier rang. Le pianiste, qui joue son propre rôle dans l’inoubliable Amour de Michaël Hanecke, a vécu l’expérience du Festival de Cannes et en a regardé le cirque et les animaux avec des yeux d’ethnologue. Il eut même droit à des questions de personnalités et autres professionnels de la profession qui lui demandèrent très sérieusement tout en le félicitant s’il avait appris le piano spécialement pour le film !

En même temps que ce livre et qu’un nouveau disque ainsi que toute un actualité à la Cité de la musique, Le Temps dérobé, un film documentaire de Raphaëlle Aellig Régnier, lui est consacré (en exclusivité au MK2 Beaubourg, pour l’instant). C’est bien d’une captation qu’il s’agit, mais pas celle que l’on croit. Pas un concert de plus. Plutôt la captation d’un regard, d’un esprit, d’une âme. Non la vision du monde d’Alexandre Tharaud mais sa sensation du monde, ce qui est le privilège des artistes sur les intellectuels. Ce n’est pas seulement un film mais une émeute de notes et de silences, une conjuration d’instants décisifs, un grain de voix. A le découvrir si maître de lui, qui devinerait qu’une telle passion qui couve sous l’intensité ?

RaRFilm:ProfilPianoLightLe voyage, la répétition, le concert, la chambre d’hôtel, la solitude au bout du monde, et le ressac de ce rituel parfois exténuant sont le lot de tant d’interprètes sans que jamais rien n’en affleure publiquement. Il est vrai que, pour le chef d’œuvre ou quelque chose d’approchant puisse éclore, il faut que le travail disparaisse et que jamais on ne sente l’effort. Alors on se laisse convaincre sans peine qu’un Alexandre Tharaud, fait naturellement corps avec la musique. Raphaëlle Aellig Régnier excelle à rendre son toucher, ce qu’il a à la fois de déterminé et d’aérien. Il y faut du doigté dans l’image comme dans le son, et une sensibilité en harmonie avec ces dons techniques. Car ce film a été fait dans une telle symbiose entre la cinéaste et le pianiste qu’il réussit, l’air de rien et sans se pousser du col, à ce qu’une vraie grâce commune surgisse de l’état de grâce dans lequel se déroulèrent leurs rencontres à Paris  et Kuala-Lumpur, Genève et Montréal. Il est vrai qu’ils ont l’intranquillité en partage. « Leur » film donne à voir et à entendre, à regarder et à écouter, ce qui le plus souvent n’est pas offert au spectateur ou à l’auditeur : la part de recréation immergée que recèle toute interprétation ambitieuse, les regards reflétant l’espoir et la tristesse, l’optimisme de l’aube et le découragement d’un soir, les joies et les déceptions, les mots qui ne viennent pas pour dire la chute de l’homme dans le temps. On n’imagine pas qu’un élève du Conservatoire puisse jamais échapper à cette magistrale masterclass à destination de tous et donc de chacun.

On peut écrire sans que la plume ne faiblisse que Alexandre Tharaud, le temps dérobé renouvelle le genre du documentaire sur la musique et ouvre une voie. On en connaît certaines images, la plupart des morceaux, plusieurs des situations. Et pourtant, dès lors que tous ces éléments se rencontrent sur l’écran pour la première fois, la note bleue s’insinue, une grâce s’en dégage qui noue la gorge et arrache des larmes.

(« Images extraites du film de Raphaëlle Aellig Régnier Le temps dérobé »)

Cette entrée a été publiée dans cinéma, Musique.

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commentaires

831 Réponses pour Alexandre Tharaud, du piano comme d’une pure question de désir

bérénice dit: à

Chaloux je vous donne raison, je n’écoute plus que du Haendel(toujours la même composition) pour écoper dans cet océan, Thomas Coville loin de toutes critiques littéraires et musicales part pour un nouveau record du tour du monde, aura-t-il pris avec lui quelqu’aliments non lyophilisés insubmersibles, qui d’ici le suivrait?

Jacques Barozzi dit: à

« bonjour les écrase-merdre, poum poum poum, c’est de la musique pour les éléphants d’Hannibal. »

Je comprends mieux pourquoi j’aime Brahms et Wagner !

bérénice dit: à

12h57 la pensée n’influence-t-elle pas la façon qu’on a de ressentir?

Jacques Barozzi dit: à

Remarquez, dans le genre léger et aérien, j’aime aussi Mozart et Michel Legrand !

Jacques Barozzi dit: à

C’est l’histoire de la poule et de l’oeuf : je ressens donc je pense ou je pense donc je ressens ?

Leo (Bloom) Pold dit: à

Grand bonheur que d’être loin des discussions oiseuses sur la distribution des prix, les bons points des uns, les bonnets d’âne des autres. Tout cela a un petit air de communale pas complètement digérée.
On dirait les gamins parlant de la composition de l’équipe de France de foot:
-Tavu, yzont pas sélectionné Zorglub; vazy, ysont ouf!…
– Vazy, eïï, Zorglub sais un mancho, la mort de mèzo..
-Ta gueule, toi, eul’chinois, tè toujours à casser lèzautres…

Bon, c’est pas tout, faut que je me prépare à m’aérer l’esprit au contact de certains des meilleurs écrivains et critiques (ça existe) dont on ne parle pas ici. En particulier un ancien pote à John & Yoko, Malcolm X et S.Carmichael…plus de la première jeunesse, l’ami, mais encore très punchy, cet habitué de la New York Review of Books. Un grand pan de la mémoire des 3 ou 4 dernières décennies.

Good grenouillage, folks!

bouguereau dit: à

Johnny, quand on a réalisé au cours de sa vie aussi peu d’œuvres que toi et moi réunis

..castor et pollusque dans l’caniveau

Service d'urgence dit: à

13:02
Vous auriez deux journées d’études de libres ?

Chaloux dit: à

Service d’urgence dit: 13 novembre 2013 à 12 h 57 min

Très mal lu. Apprends à lire.
Et puis avec quoi ressent-on ? Avec quoi pense-t-on? Quelle est la part irréductible de ce qu’on croit « ressentir » et de ce qu’on « penser ». Tu te fais trop confiance. Pas une affaire d’urgence, une affaire de temps.

bouguereau dit: à

sapré kabloom..toujours a gueuler qu’il est bien l’premier dans son patelin

Service d'urgence dit: à

Un ressentoir ?

Service d'urgence dit: à

Leo Bloom a préféré être le premier dans un clapier que le second dans une porcherie

bouguereau dit: à

Quelle est la part irréductible de ce qu’on croit « ressentir » et de ce qu’on « penser »

..jean marron il en ress sans voix et tout pantelan..le bénart au genoux..les deux mains sur le bozeundeurfeur..c’est son tour !

bouguereau dit: à

je ressens donc je pense ou je pense donc je ressens ?

et qui c’est qui paie les pots cassés qu’elle dit clopine

bérénice dit: à

2 journées de libres? Oui, vous souhaiteriez les instruire? Ce ne serait d’aucun refus.

bouguereau dit: à

Michel Legrand !

haaa..chabadabada..enfin un mélomane!

Chaloux dit: à

Jacques, c’est surtout que ce qu’on « ressent » est conditionné par tant de choses, conditionnement historique, social, références etc., qu’on finit par de demander ce qu’il en reste vraiment. Un peu le sujet du livre que je suis en train de lire « Musique et Société du Second Empire aux Années Vingt » de Michel Faure, Fayard 1985. Comment devient-on ce qu’on devient? c’est un peu la même question. Le livre n’y répond pas plus qu’aucun autre, mais il pose de bonnes questions. Dans une vie d’homme, il semble qu’il y ait au fond peu de place pour ce que nous nommons « individu ».
« On dit ce qu’on ressent », dans ces conditions, me parait hautement improbable.

Paul Edel dit: à

merci Colette, on sent chez vous la force d’une analyse, la puissance d’une argumentation, et votre sens de la liberté critique.

bouguereau dit: à

..t’es la chose a cheuloux jean marron..épicétou

u. dit: à

« Jacques Barozzi dit: 13 novembre 2013 à 13 h 06 min
C’est l’histoire de la poule et de l’oeuf : je ressens donc je pense ou je pense donc je ressens ? »

Il faut toujours poser la question aux intéressés.

Jusqu’ici, l’oeuf n’a pas répondu.
Mais la poule, elle a un sacré ressenti.

Gala, courrier des lectrices dit: à

Dans une vie d’homme, il semble qu’il y ait au fond peu de place pour ce que nous nommons « individu ».

….ON NE RIT PAS !…

bouguereau dit: à

colette..t’es la chose a polo

Femen dit: à

Paul Edel dit: 13 novembre 2013 à 13 h 33 min

Tu fais ton macho, Paulo !

Chaloux dit: à

Gala, courrier des lectrices dit: 13 novembre 2013 à 13 h 37 min

….ON NE RIT PAS !…

C’est à dire, dans la loge, d’où tu m’écris, on peut rire.
Dans les étages, c’est une autre affaire.

Thomas Drelon dit: à

Je me souviens d’Alexandre Tharaud jouer les suites de Rameau au Théâtre du Palais-Royal en 2000/2001… un immense bonheur.
et puis du Bach à l’orangerie du parc de Sceaux, en juillet vers 2004, il s’est mis à pleuvoir, l’homme était transi et nous a transporté!
Tharaud est d’une liberté sur son répertoire! d’une audace et d’une sensiblité! A quand les Lieder ohne worte de FB Mendelssohn? d’autres lieder de Schubert? encore du Couperin et encore du Scarlaaaaaatti… du Cole Porter et du Purcell, du Haydn et encore du Chopin,

C’est la vie sans Tharaud qui serait une erreur!

Merci P.A. pour ce billet et pour cette pénétrante sensibilité!

The man that hath no musicke in himself…

des journées entières dans les arbres dit: à

Observatoire de la pensée, une pétition mais pourquoi ?
Pour manifester un soupçon d’incompétence d’un gouvernement ?, et celui d’absence totale de décisions et de stratégie politique ?

Cela peut se faire sans recourir à des faits de délinquance sur personne, en l’occurence un Ministre.

Et sur la commune dont dépend Porquerolles ils auront fort à faire avec la poèsie. De ce qu’on lit ici, c’est pas gagné :
On peut lire dans la presse qu’un  » baron » de la marine vient d’y installer son QG de campagne.

u. dit: à

« Observatoire de la Pensée dit: 13 novembre 2013 à 12 h 55 min
Sonia Rolland, Ophélie Winter, Mathilda May, entre autres, ont signé la pétition «France, ressaisis-toi!», lancée par l’élu socialiste Steevy Gustave »

L’Observatoire de la pensée pense-t-il?

Dans cette pétition ridicule (mais ce n’est pas grave), on peut voir comment M. Gustave participe au débat sur le pensé et le ressenti:

« Nous demandons que la haine ne mutile plus le corps de la liberté, l’âme de l’égalité et le cœur de la fraternité. »

C’est pas admirable?

Où se situe la pensée, dans le corps, l’âme ou le coeur?

Raul Hispano de Souza dit: à

Pardonné le francese !
Jamel Debouzze a écrit intelligent grosses bêtises : c’est qui lui, connu ici dans France ?
Muchas merci !

Une piste pour la réponse : Chaloux, chez GALA dit: à

« Où se situe la pensée, dans le corps, l’âme ou le cœur ? »

Chaloux dit: à

« Le corps, l’âme et l’esprit, les trois rois de la vie ».
Arthur Rimbaud.

renato dit: à

« Où se situe la pensée, dans le corps, l’âme ou le cœur ? »

Pourquoi ne pas relire « Roberte ce soir » ?

Chaloux dit: à

« Du même désert, à la même nuit, toujours mes yeux las se réveillent à l’étoile d’argent, toujours, sans que s’émeuvent les Rois de la vie, les trois mages, le coeur l’âme, l’esprit. »

Baron Keupu..... dit: à

Ta gueule, guenon !

bérénice dit: à

13h06 je ressens donc je pense, nous sommes souvent submergés par le ressenti, qu’il s’en dégage par la suite une pensée me parait moins sur, nous réagirons, la deuxième partie de votre affirmation me semble plus apte à nous éloigner de l’arc réflexe. Difficile de mettre dans l’ordre du dit ce qui est ressenti éprouvé rencontré et quand aucun langage ne serait acquis pour l’expression ferait de nous des êtres mal dégrossis à la sensibilité inexistante?

John Brown dit: à

Je comprends mieux pourquoi j’aime Brahms et Wagner !

Pourquoi pas. C’est aussi mon cas. Il s’agit pourtant de deux univers musicaux qui, à bien des égards, sont aux antipodes l’un de l’autre, de même que la musique de Brahms est aux antipodes de celle de son ami Schumann. On se rend bien compte, en écoutant la musique symphonique de Brahms et sa musique de chambre, que le projet sans doute le plus constamment poursuivi par ce compositeur était d’écrire une musique qui n’aurait aucun référent extérieur, n’aurait d’autre référent qu’elle-même, et qui susciterait des émotions purement musicales liées à cette musique-là et à aucune autre, une « musique pure », en somme, ce qui n’est pas du tout le cas de la musique de Wagner ni de celle de Schumann. Les quatre symphonies, créées dans les vingt dernières années de la vie de Brahms, illustrent l’écueil qui menace sa musique quand elle n’est pas suffisamment « habitée » : celui de l’académisme.

Chaloux dit: à

Johnny, Puisque tu parles de la musique de chambre de Brahms, écoute-là dans l’ordre chronologique. Tu comprendras -peut-être- plein de choses.(« Académisme » n’est pas « ressenti », c’est un réflexe de chien de Pavlov).
Pour le reste :
Schumann est d’une génération d’inventeurs (Chopin, Liszt, Mendelssohn etc…) telle qu’elle est à peu-près sans exemple. Quelle références peut avoir Schumann avec ce qui est venu avant lui? Schubert pour le côté musique à programme des Landlers et des valses? Le Weber des sonates pour piano, compositeur trop négligé? Et puis quoi?
Qu’est-ce que tu racontes?…

bouguereau dit: à

on peut toujours demander à zouzou de se ressaisir..mais c’est pas grave

bouguereau dit: à

« Le corps, l’âme et l’esprit, les trois rois de la vie ».
Arthur Rimbaud

on dirait du sous blaise..toujours à paraphraser msieu l’abbé çuilà

bouguereau dit: à

une « musique pure »

du toto..totolo de msieu l’abbé..pourquoi pas « immateriel et inéfabe » tant qu’on y est..le plus drole c’est pasque l’oeil est capabe de ne plus faire le lien..bref que l’on puisse écouter les neoils fermés..c’est con quand même
http://www.youtube.com/watch?v=cMVydju5Wmg

Chaloux dit: à

Bouguereau fait son Bouvard et Pécuchet.
En moins bien.

Colette dit: à

merci Paul, les membres du Médicis sont-ils aussi nuls que ceux du Goncourt en 2003 ?

bouguereau dit: à

En moins bien

tu sais j’l’ai déjà dit..je contresigne maupassant et les frères goncourt sur bouvard et pécuchet

bouguereau dit: à

je préfère largement tribulat étranglant parcimonieusement les cygnes pour entendre leur dernier chant..on a dit que c’était lui le héro à venir et jle crois mon cheuloux..pas qu’il te ressemble mais prex

boudegras dit: à

ta gueule bouguereau

u. dit: à

« on peut toujours demander à zouzou de se ressaisir..mais c’est pas grave »

Hein?

bérénice dit: à

colette je n’ai pas lu le 2003 mais je vous conseille le 2005 et le 2008. Ces choix ouvrent tous les ans les fenêtres et les portes aux polémiques dithyrambiques .

bouguereau dit: à

c’est rien zouzou..change pas surtout..

Chaloux dit: à

Le Boug, il ne nous manquait plus que Tribulat, et d’apprendre que tu es un cygne…

bérénice dit: à

Bougue zouzou pose en satatue au beau lieu du Luxeenmourt, fetes pas nation à lui il est en cure de traitement.

Court (qui ne pousse pas Brahms dans les orties.) dit: à

Et le Deutsches Requiem, JB l’assassine aussi?Et les chants sérieux? Et la rhapsodie pour contralto?

Relisons Maurice Yvain:
« Parmi les critiques, rares sont ceux qui peuvent se targuer d’avoir un bagage musical suffisant. dire que Tachaikowsky, c’est de la …, écrire que Saint Saens est aujourd »hui inaudible, autant de procédés commodes pour eux. Ils peuvent maquiller lerur incompétence et paraitre, par snobisme, à la page… »

bérénice dit: à

Chaloux je ne dirai rien de l’exécution mais les cordes sur mon ordi ont été fusillées à moins que ce ne soient les pinceaux?

bouguereau dit: à

..ça cheuloux on le saura à mon dernier chant..chus ptête qu’un vilain canard..j’ai le trac

bouguereau dit: à

Toccata en ré mineur

tvois cheuloux..mfaut les grandes orgues..une grande église frouade à acoustique merdique..bref l’orgue c’est l’instrument du moritouri
l’piano là fait pti bidon

bouguereau dit: à

..l’église s’en ait posé également des questions quand elle a repris l’instrument des jeux du cirque..ça laisse un peu pantois

Jacques Barozzi dit: à

Passou, mantenant que tous les prix sont distribués, et que les assiettes de chez Drouant sont lavées, essuyées et rangées, dites-nous, avez-vous des nouvelles des anciens membres du jury Goncourt : Françoise Mallet-Joris, Daniel Boulanger, Michel Tournier ?
Il n’y a plus qu’Edmonde Charles-Roux qui tienne encore le coup !

Chaloux dit: à

@M. Court, Gavoty en dit autant de tant de critiques musicaux qui n’ont peiné sur aucun instrument et ne lisent pas même la clef de Sol. Le Léon de Mme Bovary en sait davantage, il sait la clef de sol.
Tchaikosvky, c’est un cas très intéressant, pas du tout du sérail, tardif, et presque un autodidacte. Une musique qu’à peu de choses près, je ne connaissais pas et que je ne découvre que maintenant.
Grande nouvelle, que j’ignorais, il a écrit deux concertos pour piano. Ci-dessous le second qu’on joue assez rarement.

http://www.youtube.com/watch?v=qwyK9D9Bli4

Chaloux dit: à

bérénice dit: 13 novembre 2013 à 15 h 09 min

Oui, c’est assez puissant, mais je trouve intéressante cette utilisation du piano en « tout autre ». Pas en orgue, d’ailleurs.

Elena dit: à

Une vieille demoiselle lit consciencieusement le journal au cours d’un voyage en train, jusqu’aux petites annonces — notamment celle de La Maison du piano :
« Occasionissime! Casa del Pianoforte. Pianoforti a coda e verticali delle migliori marche; Blüthner, Beckstein, Steinway… »
Il se trouve que la veille, elle avait été écouter Don Giovanni au théâtre de la Pergola à Florence — audition qui la jette dans un tumulte bienheureux :
La signorina Fufù uscì dall’albergo, traversò Firenze nella luce opaca che segue il crepuscolo e porta tra noi la luce senza vita né speranza dei campi d’asfodelo; arrivò al Teatro della Pergola, fu portata dal fiume degli spettatori dentro una specie di scatola bianca finemente rabescata d’oro […] Era l’interno di una scatola di giochi: di giochi antichi. In questa scatola si entra per giocare e assieme per ricordare: per giocare ricordando, o se più vi piace per ricordare giocando. […] Dal sommo della scatola dei giochi un mazzo enorme e scintillante pende sul capo della signorina Fufù, e ogni suoi fiore è una luce.
Poi il mazzo luminoso si spense, l’interno della scatola dei giochi piombò nel buio, e allora la signorina Fufù si avvide che in quella scatola essa era chiusa due volte, perché intorno a lei si accendevano le barre di una gabbia d’oro.
Era la musica del Don Giovanni […] L’oro a poco a poco la circondò da ogni parte. Essa stessa si trasformò in oro. […] Non l’oro sterile e duro che uccide la ragione dell’uomo e dissangua i popoli, ma un oro duttile e ondeggiante, flessuoso e fecondo, che all’infinito generava altro oro.
[Et toc pour Afanassiev]
Le lendemain de son voyage, elle se rend à l’adresse de la boutique de pianos pour acquérir un instrument. On lui fait parcourir l’enfilade de salles froides qui lui rappellent les musées où l’emmenait son père. On entend dans le lointain la voix d’un piano soigné par un accordeur — opération à cœur ouvert.
Du fond de l’écurie pianistique arrive un homme vêtu de noir à l’onctuosité ecclésiastique: Que désire Madame ? Un piano mâle ou femelle ?
Comment ? L’employé s’explique: dans le jargon des fabricants on désigne ainsi les pianos droits et les pianos à queue. Elle veut ce qu’il y a de mieux. Ils traversent les salles brillantes où flotte une odeur de vernis où reposent des pianos comme des bêtes pacifiques et silencieuses. Il en a de toutes tailles — et en passant le vendeur découvre la dentition de l’un ou caresse les flancs de l’autre. Enfin, l’occasion incroyable: entouré de pianos noirs comme des serveurs en frac se tenait un grand piano blanc tel un cygne parmi les corbeaux. « Notre albinos », de la taille d’une baleine — un piano à queue assez bas sur pattes. Le vendeur y plaque violemment quelques accords péremptoires et s’empresse de rédiger le contrat. L’énorme piano est livré chez la vieille demoiselle, au quatrième étage.
Bonheur et étonnement devant cette créature vivante mais endormie : quand elle s’en approche elle constate que le clavier est chaud et mou. Même chaleur et souplesse pour le reste de l’instrument — les pianos pourraient-ils avoir la fièvre? Et l’instrument lui paraît encore plus gros, plus gonflé qu’au magasin. Pendant la nuit elle a l’impression de l’entendre haleter.
Le lendemain matin elle trouve le piano gisant sur le tapis, les flancs palpitant — et entouré(e) de nombreux petits pianos …
Je ne vous raconte pas la fin de la nouvelle d’Alberto Savinio, La pianessa (dans le recueil Tutta la vita).
[une pure question de désir …]

Chaloux dit: à

Jacques, dans votre discothèque idéale, n’oubliez pas Murray Perahia. Pour tout.

Il y a quelques mois, me trouvant dans le magasin de partitions le plus réputé de Paris (à juste titre)en même temps que lui, j’ai été bien surpris de constater que personne parmi le personnel ne savait qui il était…

renato dit: à

Elena,

en lisant Savinio et parfois son frère (‘Hebdomeros’, mais ici et là ‘Monsieur Dudron’), on ne peut ne pas se rappeler la folie, côté père, de l’oncle et de la tante. L’oncle marchait poussant une chaise de peur de tomber dans un précipice. La tante s’agenouillait devant à un fauteuil et se frottait la tête [contre le fauteuil] jusqu’à en perdre les cheveux…

Sergio dit: à

Un piano, mille sabords ! Et pourquoi pas un juke-box ?

keudepelle dit: à

si vous évoquez Gavoty, Chaloux, MCourt va avoir la trique ! (pareil pour Goléa ahahah)

n'importe quel internaute dit: à

ma fatigue ét

JC..... dit: à

« Et alors, que se passerait-il si chacun d’entre nous se jetait en permanence des horreurs de tous genres à la tête ? »

Chère Christiane,
Il me semble que cela est très sain : je le fais le plus souvent possible. Cela détend et permet d’éviter le refoulement idiot. Cela contribue aussi à éviter le dégoulinant bon chic-bon genre, le tout le monde est beau-tout le monde est gentil, le politiquement correct inadmissible.

Si vous aviez approché les cercles de pouvoir vous préfèreriez le « jet » d’horreur » à la « pourriture hypocrite » généralisée, pleine de civilité et de courtoisie simulées…

Dernier point, ce que vous appelez « racisme » n’est que la reconnaissance de critères physiques différents et le droit d’en parler librement : pas de quoi fouetter un chat, une chatte ou tout autre animal simiesque !

A bas les sanctuaires raciaux, religieux sexuels, politiques, stupides habitudes révérées par les faux-culs et les hypocrites… Bien à vous !

Sergio dit: à

Comme dirait Bébel faut apprendre la musique, y a qu’à voir dans le Polanski comment il s’en sort…

n'importe quel internaute dit: à

ma fatigue étant extrême, je me permets d’écrire un voeu que j’aurais fait d’une r&publique des ….nombres dont le propos serait la présentation d’oeuvres ou de « morceaux » dont le nom par lesquels ils sont connus est constitué d’un nombre soit explicitement , – mille et une nuits
la cent unième conclusion – soit par les jeux de sémantique : septante , pentateuque, ou même le nom de nombre comme le nombre et la sirène .
sans exclusion de genre -cinéma, opéra , B.D , chanson,compris donc, et de zéro à l’infini
seraient évités les noms de souverain(LOUIS XI) et les dates de guerre , (14/18) mais non la guerre de trente ans, cent ans

bouguereau dit: à

jicé ubeur alleusse!

renato dit: à

Des journées entières à se plier aux diktats de l’hypocrisie dominante, puis il vient en RdL jouer le transgressif… sous pseudo, naturellement…

renato dit: à

W. H. Auden, The Unknown Citizen

He was found by the Bureau of Statistics to be
One against whom there was no official complaint,
And all the reports on his conduct agree
That, in the modern sense of an old-fashioned word, he was a
saint,
For in everything he did he served the Greater Community.
Except for the War till the day he retired
He worked in a factory and never got fired,
But satisfied his employers, Fudge Motors Inc.
Yet he wasn’t a scab or odd in his views,
For his Union reports that he paid his dues,
(Our report on his Union shows it was sound)
And our Social Psychology workers found
That he was popular with his mates and liked a drink.
The Press are convinced that he bought a paper every day
And that his reactions to advertisements were normal in every way.
Policies taken out in his name prove that he was fully insured,
And his Health-card shows he was once in a hospital but left it cured.
Both Producers Research and High-Grade Living declare
He was fully sensible to the advantages of the Instalment Plan
And had everything necessary to the Modern Man,
A phonograph, a radio, a car and a frigidaire.
Our researchers into Public Opinion are content
That he held the proper opinions for the time of year;
When there was peace, he was for peace:when there was war, he went.
He was married and added five children to the population,
Which our Eugenist says was the right number for a parent of his
generation.
And our teachers report that he never interfered with their
education.
Was he free? Was he happy? The question is absurd:
Had anything been wrong, we should certainly have heard.

n'importe quel internaute dit: à

doivent être exclus tous les titres avec un-e-(et le/la) comme article à l

n'importe quel internaute dit: à

à la différence d’un titre comme « contr’un » évidemment

il a remis ça dit: à

16 h 45 min , pénibles, les effets del’isolement avant le retour de touristes sur l’île –

Chaloux dit: à

« Ce mardi à 22.35 sur Arte, ne ratez pas dans la série « L’Europe des écrivains » l’Italie vue par Erri de Luca et Claudio Magris. »

Oui. Je vous signale aussi sur une autre chaine une émission de la distinguée historienne qu’est Mlle Christine Bravo, « Sous les Jupons de l’Histoire ».
A suivre, une autre fois, je suppose,  » dans le seau de la Révolution »,  » Sous le derrière de Louis XV » et « face au gland de Saint-Louis ».
Si c’est pas pour rendre con…on se demande à quoi ça sert.

JC..... dit: à

Le mariage des invertis, qui autorise l’union du macaque avec le macaque, de la guenon avec la guenon, a réussi a diviser dramatiquement nos compatriotes ayant la triste habitude jusqu’alors de marier de façon orthodoxe un macaque des villes avec une guenon des champs ou l’inverse. Et ainsi, d’avoir des bébés à l’ancienne, càd sans les acheter dans le ventre des pauvresses en mal de devises …

Désastre sociétal majeur, par le refus d’écouter les immenses foules qui y étaient opposées. Ressentiment. Tout le mérite de ce désastre en revient au Génie de la Corrèze et à l’indépendantiste guyanaise, soumis au lobby homosexuel … Il voulait « rassembler », il a divisé plus que ne l’a fait l’Agité de Neuilly, pourtant un sacré spécialiste.

Etonnez-vous de l’explosion du populo en factions agressives, jouez aux surpris à propos des noms d’oiseaux qui volent !

L’avantage de ces histoires de guenon, c’est qu’on ne parle plus de l’emploi, de la croissance, de l’économie, on ne parle plus de la déchirure de la coque qui fait que le navire sombre.

Français, vous êtes inimitables ! Bonne soirée, mes petits choux !

parenthèse dit: à

quelle buse

bernard dit: à

Le pauvre jicé serait perdu s’il ne pouvait râler contre les socialos en priorité !

Elena dit: à

Etonnant quand même — en ce moment ce sont nos pauvres vieux pays fragilisés qui montrent ce triste exemple de régression
http://www.repubblica.it/politica/2013/08/25/news/la_politica_razzista_all_attacco_del_ministro_kyenge-65259183/?ref=search
alors qu’aux States (qui font tjs mieux que nous, c’est bien connu) et plus précisément dans la « big Apple » (pour ceux qui utilisent toujours les sigles à l’anglo-saxonne histoire de faire plus smart — vous savez bien r.o.i., WW II & all that) on élit De Blasio. Vous savez celui qui a fait campagne contre le « stop & frisk » au faciès et dont le fils aîné (métis) a fait un tabac ds le party political broadcast de son père, donnant naissance au slogan « Go with the Fro » (allusion à la coiffure du jeune Dante).
Qq ch m’échappe.

Sergio dit: à

Chaloux dit: 13 novembre 2013 à 17 h 18 min
Sous le derrière de Louis XV

Ha non de ses filles, plutôt, Loque, Chiffe, et Graille… Ou alors du duc de Narbonne !

bernard dit: à

Elena
New York est spéciale

bouguereau dit: à

mes petits choux !

si tu nous imites dracul jamais on te croira libéré jicé..affranchis toi de tes modèles ! grandis..ubeur alleusse un peu

bouguereau dit: à

face au gland de Saint-Louis

excellent cheuloux !..ha si tu faisais dans le simple et à ta portée t’aurais ta chance

bref dit: à

macaque, guenon JC brigue un post de rédac chef à Minute ou bien c’est le roi des c…?

très sérieusement dit: à

jc quel expert et fin analyste politique (quoique copié sur ta madone et raimond et sa bande!) mais avec toi c’est du sérieux et tu devrais te lancer pour la prochaine présidentielle, ça t’occuperait et sauverait la france

u. dit: à

« Français, vous êtes inimitables ! » (JC)

C’est sûr.
En plus c’est nous qui avons le meilleur goût (si on nous mange).
Pas comme ces fumiers de Portugais.

http://h-france.net/fffh/wp-content/uploads/2013/03/TastyFrenchman1.jpg

Elena aussi, elle a lu Hans Staden et son « Warhaftige Historia und beschreibung eyner Landtschafft der Wilden Nacketen, Grimmigen Menschfresser-Leuthen in der Newenwelt America gelegen » de 1557, hein.

bouguereau dit: à

En plus c’est nous qui avons le meilleur goût (si on nous mange)

t’aurais du ajouter dans une feuille de banane zouzou..essaie d’être inimitable comme jicé

Cricri remontée à donf dit: à

MCourt va avoir la trique

Housksa? housksa?? hoUSKSSSSSSA??????????
Par mon chapelet de bique, que le diable me croque si je ne laisse pas mon mol popol pour ce vert écossais!

bouguereau dit: à

mon mol popol

ton ton..laisse en pour les autres

Jean-ollivier dit: à

@ Renato : vous évoquez Maria Tipo, élève² (au carré) de Busoni ; mais ces filiations sont elles pertinentes ? Je crois me souvenir que H. Neuhaus a été le professeur d’Emil Guilels et de Sviatoslav Richter. Les élèves ont suffisamment de personnalité pour que le maître s’efface (Et Neuhaus était un vrai maître, à ce qu’on dit, les quelques bandes radio qui demeurent ne me permettent pas d’en juger).
De toute façon, il y a deux genres de gens qui écoutent la musique, ceux qui vont écouter M. X… ou Mme Y en récital, et puis ceux qui vont écouter une ou des œuvres sans se focaliser sur l’interprète. Personnellement, je pense qu’on entend parfois mieux l’œuvre sous des doigts agiles sans plus, quand la trame sort de « l’image dans le tapis », que par une vedette qui met volens nolens l’œuvre à son service. Mai ce n’est qu’une opinion personnelle.

u. dit: à

« jc quel expert et fin analyste politique (quoique copié sur ta madone  »

La remarque de JC sur l’hystérisation du discours politique autour du racisme/ antiracisme, qui a pour effet de faire diversion et d’empêcher le peuple de discuter publiquement des problèmes essentiels, est fort bien vue.
(Pareil pour les histoires de queue, de « rythme » scolaire, et autres luxes de la culture politique française)

Ensuite, sur le traitement de cet aspect secondaire des choses, je dois diverger un peu.

(remarque pour « bref »:
personne ici ne se dit partisan de Mme Le Pen, et JC pas plus qu’un autre.
On pourrait, bien sûr, on a bien le droit, mais ce n’est pas le cas.
Et « Minute », le savez-vous?, est contre Mme Le Pen.
Si on n’a pas suivi, on ne comprend pas grand chose).

« C’est quoi, zouzou, les problèmes essentiels? »
Eh oh.

— Si je tape « zouzou », le correcteur transforme en « zoulou ».
Accepté.
Mon pourcentage de sang nègre est probablement élevé.

enough is enough dit: à

mais oui bien sûr u et votre ami n’est pas raciste ni hystérique au sujet de la gauche en général et tout est de la faute des socialos et pas de racistes non plus du côté de lpn

Daaphnée dit: à

Heu …
C’est à dire qu’il faut peut-être commencer par
« écouter une ou des œuvres sans se focaliser sur l’interprète »
et un fois qu’on commence à la connaître
 » écouter M. X… ou Mme Y en récital », non ?

Tiens, j’ai écouté les nocturnes de Chopin par Pollini, qui a travaillé avec Michelangeli puisqu’il en a été question ..

FREDERIC CHOPIN – NOCTURNES
http://www.youtube.com/watch?v=V60USaluxGA

Daaphnée dit: à

Saperlipopette U. !
Mais il y en a qui ne vont rien comprendre !
Et jaune à pois noirs, ça fait un peu Marsupilami … Bon, moi je n’ai rien contre ..

Et pour en revenir à cette « hystérisation du discours politique autour du racisme/ antiracisme, qui a pour effet de faire diversion et d’empêcher le peuple de discuter publiquement des problèmes essentiels », c’est vrai que c’est effrayant !
Le problème c’est que dans cette simplification et indigente d’analyse, les uns et les autres se croient, chacun, dans le bon camp. Et ils y croient dur comme fer, les abrutis !
On en a régulièrement ici quelques fiers spécimens ..

Daaphnée dit: à

Cela étant, « empêcher le peuple » ..
mmm .. si ce populo est assez con …. , et c’est le cas, pas besoin de l’empêcher de quoi que ce soit. Il s’empêche bien tout seul !

renato dit: à

Jean-ollivier, Ersilia Cavallo était élève de Busoni, non sa fille Maria Tipo.

comme en 14 dit: à

« dans cette simplification et indigente d’analyse, les uns et les autres se croient, chacun, dans le bon camp. »

hum sans vous ce serait bien pis! heureusement vous êtes là (((((pour indiquer le bon camp ))))) (((hum))) ((mais))) ((((chuuutt)))

Chaloux dit: à

bouguereau dit: 13 novembre 2013 à 18 h 13 min

Le moins qu’on puisse dire c’est que toi tu fais à ta portée, Le Boug…

clothilde dit: à

si ce populo est assez con

ah les gueux, très chère…!

antoine dit: à

u. dit: 13 novembre 2013 à 18 h 51 min

c’est accorder trop d’importance au cinéma à deux balles de l’hystéro de porquerolles qui glande et radote dans sa tour d’ivoire

Daaphnée dit: à

ah les gueux, très chère…!

Mais non, chérie !
Il y a des gueux magnifiques ..

antoine dit: à

l’hystérisation du discours politique autour du racisme/ antiracisme

serait-ce par solidarité que la droite observe le silence face à la recrudescence du racisme

souvenir récent dit: à

le discours de dakar, le discours de grenoble, les transfuges de la droite extrême..:les jc trouvaient rien à redire

Daaphnée dit: à

la recrudescence du racisme

Il n’y a pas de recrudescence du racisme, il y a une inflation de l’intolérance, c’est autre chose. Et les « touche pas à mon pote », « sos-racisme » et autres slogans pseudo-politico-correctes ont bien contribué à cette grande lessive des cervelles qui ne demandent que cela: suivre en bêlant !

Daaphnée dit: à

Tiens, l’un de nos plus magnifiques gueux,
Villon

Le Testament

« EN l’an trentieme de mon âge
Que toutes mes hontes j’eus bues,
Ne du tout fol, ne du tout sage,
Non obstant maintes peines eues,
Lesquelles j’ai toutes reçues
Sous la main Thibaut d’Aussigny…
S’evêque il est, seignant les rues,
Qu’il soit le mien je le regny!
Mon seigneur n’est ne mon evêque;
Sous lui ne tiens, s’il n’est en friche;
Foi ne lui dois n’hommage avecque;
Je ne suis son serf ne sa biche.
Pû m’a d’une petite miche
Et de froide eau tout un été.
Large ou étroit, mout me fut chiche:
Tel lui soit Dieu qu’il m’a été.
Et s’aucun me vouloit reprendre
Et dire que je le maudis,
Non fais, se bien le sait comprendre,
En rien de lui je ne médis.
Veci tout le mal que j’en dis:
S’il m’a été misericors,
Jesus, le roi de paradis,
Tel lui soit a l’ame et au corps!
Et s’été m’a dur et cruel
Trop plus que ci ne le raconte,
Je veuil que le Dieu eternel
Lui soit donc semblable a ce compte.
Et l’Eglise nous dit et conte
Que prions pour nos ennemis.
Je vous dirai: « J’ai tort et honte,
Quoi qu’il m’ait fait, a Dieu remis! »

(…)

La mort le fait fremir, palir,
Le nez courber, les veines tendre,
Le col enfler, la chair mollir,
Jointes et nerfs croître et étendre.
Corps femenin, qui tant es tendre,
Poly, souef, si précieux,
Te faudra il ces maux attendre?
Oui, ou tout vif aller es cieux. « 

kicking dit: à

qui ne demandent que cela

tellement plus facile de choisir un camp que d’en être, aussi..

Kiwi dit: à

Marcel, il y a 12 heures de décalage horaire entre la Nouvelle-Zélande et Paris.

Daaphnée dit: à

« en être » ?
… mmm …
Vous me permettrez de ne pas vouloir « en » être mais de préférer « être », déjà.
D’ailleurs, si ça vous dérange, cela ne changera rien.

kicking dit: à

mais cela valait pour qui se pique de choisir, justement

Elena dit: à

@Bernard 18h 05 — je sais bien (& plus encore après un ouragan et Occupy Wall St.), mais c’était plus fort que moi.

Sur le pb de l’instrumentalisation tactique, voir K. & B. Fields Racecraft: The Soul of Inequality in American Life par ex. (sur la récupération de l’anti-racisme)
Elles font remarquer que
— corriger la proportion black/ white parmi les riches et les pauvres ne combat aucunement la pauvreté mais ne fait que la redistribuer. Et que cela évite de parler des classes sociales.
— le lien esclavage/capitalisme ds l’histoire américaine (un « pur » racisme aurait préféré une patrie Afrikanerrein à l’importation des africains …)
— le fait que l’INSISTANCE sur les disparités raciales coïncide avec la période où les inégalités sociales se sont accrues le plus rapidement (30 dernières années)
Le groupe sous représenté dans les « colleges » et les universités américaines ? Les pauvres.
— l’égalité des chances (equality of opportunity) permet surtout a) de justifier l’inégalité plutôt que de la réduire b) de favoriser (peut-être malgré eux) les employeurs qui ont ainsi accès aux meilleurs toutes origines confondues (plutôt qu’aux médiocres mais garantis les plus blancs) — et c) cerise cynique sur l’apple pie : d’élargir le vivier de recrutement et donc (cf. Gary Becker) de pouvoir faire baisser les salaires.

n'importe quel internaute dit: à

La famille Morand vient de créer une pianiste automate pour le musée du Piano. Une fête sera organisée jeudi soir pour son dévoilement à 20 heures au musée des Automates.

Elle jouera assise son inlassable mélodie muette au musée du Piano où chacun pourra l’admirer dès jeudi, jour de son dévoilement sur les coups de 20 heures. Pour l’instant son visage est au secret. Un échange de bons procédés entre musées limouxins où celui des automates a créé pour celui du Piano un automate grandeur nature, d’une pianiste. Une jolie rousse du 18e romantique, en costume flamboyant qui interprétera sur des touches en noir et blanc, visibles, une partition imaginaire. Un double hommage voulu par la ville à la musique et au savoir faire d’une famille d’artistes, créateurs d’automates, installée à Limoux depuis 2006 dans leur atelier musée du 4 de la rue Anne Marie Javouhey,à l’ancienne usine Myrys
http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/25/1657530-limoux-pianiste-quitte-automates-musee-piano.html

n'importe quel internaute dit: à

Conçu par la firme américaine Aeolian, ce piano joue seul. De plus, il est équipé d’un système appelé Duo Art, lui permettant de rendre la sensibilité de l’interprète en variant la dynamique du jeu. Les expressions sont spécialement inscrites sur les marges du rouleau de papier. En partie basse, la pompe d’aspiration mue par un moteur à cage, reste très silencieuse.

Les grands interprètes de Paderewski, Saint-Saëns, Ravel aux pianistes de jazz comme Fats Waller et Scott Joplin, ont préféré enregistrer sur cet instrument, plutôt que sur la cire gravée du phonographe naissant.
http://perso.numericable.fr/musicmeca/duo-art.htm

antoine dit: à

daaphnée vous n’avez même pas honte de sortir ces énormités

bref dit: à

u. dit: 13 novembre 2013 à 18 h 51 min
« remarque pour « bref »:
personne ici ne se dit partisan de Mme Le Pen, et JC pas plus qu’un autre.
On pourrait, bien sûr, on a bien le droit, mais ce n’est pas le cas.
Et « Minute », le savez-vous?, est contre Mme Le Pen.
Si on n’a pas suivi, on ne comprend pas grand chose). »

le blog à passou c’est là que se concentrent le plus vaste troupeau des suffisants (et insuffisants) du Monde. Vous pensiez que je ne connaissais pas les frictions entre marine et minute……. vous voyez bien que vous êtes limité, très! mon pauvre u. et compagnie.

u. dit: à

Merci Daaphnée, pour Yo-yo.

Heureusement que l’illustration est une peinture de Lorrain, et non la tronche du grand Ma en concert.

Entendu dans la bouche d’une dame mélomane nippone.
« Je ferme mes yeux, ce grand musicien a une physionomie gâteuse ».
(Ça sentait le dictionnaire).

Le papa de Daaphnée dit: à

Une camomille, Antoine?

u. dit: à

bref dit: 13 novembre 2013 à 18 h 27 min
bref dit: 13 novembre 2013 à 20 h 58 min

« Bref dit », ça me fait poiler, mais c’est moi qui suis con.

Je constate quand même une amélioration dans le style nette 18h et 20h, hourrah!

Bon, ne vous vexez pas, je suis sûr que vous pseudonymisez par antiphrase, vous en savez long, hein.

u. dit: à

Le papa de Daaphnée dit: 13 novembre 2013 à 20 h 59 min
Une camomille, Antoine?

Je ne sais pas qui c’est, Daaphnée, mais un admirateur de Delphine Seyrig devrait être accueilli à bras ouverts.

Dernière vision sur les planches: avec Wilson, pour une histoire de crevettes.
(Sauras-tu retrouver cette pièce? Moi non)

u. dit: à

« dans le style nette 18h et 20h » > « dans le style entre 18h et 20h »

On ne respecte pas mes fautes.
Les fautes d’un jaune.

Nausée a bon,
sombre,
heures,
histoire,
ventre fécond,
raison en sommeil,
ô monstres.

Elena dit: à

Bach Suites pour violoncelle seul
Anner Bylsma ?
Bruno Cocset ?
J.-G. Queyras ?
Marc Coppey ?
Mario Brunello ?

Daaphnée dit: à

Ô nos montres,
U.

Daaphnée dit: à

(nos monstres, l’autre m’a distraite)

antoine dit: à

« Il n’y a pas de recrudescence du racisme, il y a une inflation de l’intolérance, c’est autre chose.  »
On assiste à une recrudescence des insultes racistes, machistes et homophobes, de la bêtise, de la fange de la droite intolérante la plus réactionnaire après cinq à dix années de pourriture et médiocratie, décomplexées, (qui traitent de ‘politiquement correct’ tout ce qui ne s’inscrit pas dans sa petitesse

antoine dit: à

(qui traite de ‘politiquement correct’ …

brièvement dit: à

« personne ici ne se dit partisan de Mme Le Pen, et JC pas plus qu’un autre »
certains tiennent exactement les mêmes propos qu’elle ou minute

« Il y a des gueux magnifiques .. »
oh très chère taisez-vous donc

u. dit: à

antoine dit: 13 novembre 2013 à 21 h 31 min

Belle énergie, Antoine.

Mais il n’y a pas de raison d’être timide avec les épithètes, dès lors qu’on a décidé d’en user (I would prefer not to).

J’ajoute, à votre attention, un p’tit coup de gonflette, hein.
Mais vous saurez bien finir tout seul:

« On assiste à une recrudescence MANIFESTE des insultes racistes, machistes et homophobes, de la bêtise ATROCE, de la fange NAUSEABONDE de la droite intolérante la plus réactionnaire ET LA PLUS FASCISANTE après cinq à dix années de pourriture ABJECTE et de médiocratie IGNOBLE, décomplexées, etc. »

Vous allez voir, qui y prend goût ne s’arrête plus.

C’est ce que certains élus socialistes (bravo) appellent nourrir le débat. On prend le bébé débat sur ses genoux, et on lui colle dans la bouche un sein généreux.

Tiens? Pourquoi qu’il parle plus, le bébé débat?

Antoine Perraud dit: à

Quel beau déroulé (de commentaires).
Le 20 novembre, on me trouvera au théâtre des Champs-Élysées pour écouter le plus grand pianiste vivant (j’aurai lu auparavant Adonis, le plus grand poète vivant de langue arabe). Qui donc ? Je vous le donne en mille, il rend quasiment londonien le public parisien et l’an dernier – 21 novembre, régularité de métronome oblige –, son Beethoven (la sonate Hammerklavier) nous fit pleurer, comme nous arrachera des larmes dans sept jours son Schubert : Григорий Липманович Соколов !

Oremus dit: à

Il ne sert à rien de se le cacher.
Il est bien sûr très dur de regarder la vérité en face,
mais il faut être fort, assumer cette réalité quelques en soient les conséquences :
zouzou est devenu un vrai beauf.
Oh bien sûr il illusionne encore parfois, le verbe est toujours là, quarante ans de dur labeur ne s’effacent pas en quelques semaines, mais les faits s’imposent, les écrits restent, Monsieur Zhu a disparu, nous reste le calamiteux u. admirant son reflet dans les yeux vitreux de Daaphnée et les lunettes à double foyer de Chaloux.
Triste fin.

u. dit: à

« Il ne sert à rien de se le cacher.
Il est bien sûr très dur de regarder la vérité en face » (Oremus)

Comme tu as raison, Prions-ensemble.

Mais quoi.
Peux-tu m’aider?

Où situes-tu la défaillance?
Une dérive politique?

Crois-tu que l’âge (je parle au futur, mais comme toi je veux le regarder en face) mène fatalement à la droitisation, ou y vois-tu au contraire l’occasion d’une liberté nouvelle?
Qu’ont fait nos pères, ces héros?

Penses-tu que nous nous débarrassons progressivement d’un vocabulaire devenu inutile ou que nous cédons au contraire à une sorte de brouhaha qui vient faire écho dans nos crânes?

J’ai assisté à l’incinération de zhu, et observé ses proches qui recueillaient ses cendres dans une urne au Engakuji (c’est un peu le temple de l’éveil originel, si tu veux, Martin y a beaucoup rêvé, on en parle sous le billet suivant) –descendre à la gare Kita-Kamakura, hein, pas à Kamakura. Crois-le ou non, dans cette gare je suis tombé sur un couple de jeunes architectes français qui travaillaient sur « L’ennui ». J’ai eu l’air d’un con parce que « Welt – Endlichkeit – Einsamkeit », ils l’avaient lu!
Tu imagines ma surprise! Ils se rendaient comme moi chez une vielle dame philosophe, sacrés Français!

Tes réflexions me sont précieuses, car je sens chez toi une ancienne sympathie.
Comment te vois-tu, dans trente ans?
Ce n’est pas forcément Slippery Street!
Il me semble (si tu me pardonnes ce cliché) que l’aventure sera au coin de la rue.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…il en reste,…un minimum de sincérité,…

…le T.G.V.,… ne dessert pas les villages et dans les petits recoins,…

…le progrès, l’avenir, l’humanisme,… les tolérances à l’€urope et à ses sables mouvants de gestion,…

…les peuples,…trahis par les élites publiques,…&,…élus responsables,…
…avec comme soucis, nous enfariner pour les huiles & casseroles militaires,…

…comment c’est possible,…tout ces  » quand je serais président,…tu fera comme les autres, ou pire encore « ,…
…ou est la tolérance dans l’humilité du devoir,…

…ou est’on allez cherchez, cette crise,…
…cette zizanie entre français,…
…déjà, que personne ne veut de l’union européenne avec ses avalanches de  » directives « ,…sans fin,…pour le Cinéma à l’€uro=allemand,…la commandature,…à deux balles,…etc,…

…quel bordel,…tout ces politiciens de merde,…c’est effrayant,…encore une couche de français  » rapés  » en fromage, bien moelleux,…etc,…
…envoyez,…

journée de la gentillesse dit: à

Abdel
éviter de contredire, froisser, vexer ce pauvre u., il est comme son compère jc, une des plus grandes voix du blog

journée de la gentillesse prolongée dit: à

abdel
d’ailleurs u. cause bien, abonné à lexpress et au fig mag…

JC..... dit: à

Abdel est une richesse pour le blog, ne lui jetez pas des dattes : souvenez-vous, c’est un « délit » ! Nous sommes tous frères !

« Aimez vous les uns les autres », comme dit le Prophète !

christian dit: à

le racisme est un délit

JC..... dit: à

Bravo, Christian !
Tu as gagné une banane…

gilles dit: à

CNCDH Rapport 2012 …
on constate depuis 2010 que les indicateurs de racisme sont en hausse, que l’intolérance augmente. Le phénomène s’ancre dans la durée, et cette évolution est particulièrement préoccupante

La CNCDH invite, une fois encore, le Gouvernement à ratifier le Protocole n°12
à la Convention européenne de sauvegarde des Droits de l’homme et des
libertés (CEDH) qui interdit de manière générale toute forme de
discrimination. Ce protocole réaffirme l’interdiction générale de
discrimination. …
http://www.cncdh.fr/sites/default/files/dossier_de_presse_cncdh_racisme_2012.pdf

Chaloux dit: à

@OREMUS

Je n’ai pas encore de double-foyers.

n'importe quel internaute dit: à

pour ne pas devenir marteau comme u requin pour des épinettes
« Le premier instrument à corde inventé par l’homme fut
peut-être l’arc du chasseur. Il suffit de pincer la corde en un
point pour obtenir un son. A travers les âges, la corde tendue
est restée l’un des principaux moyens d’obtenir un son, que ce
soit au moyen d’un plectre (sorte de pince) ou d’un marteau.
Le premier instrument dont on puisse dire qu’il est
l’ancêtre du piano est le tympanon, assemblage de lames d’acier
que les jongleurs frappaient avec des maillets et qui ressemble
un peu à un xylophone
Le clavicorde est donc le véritable ancêtre du piano actuel. Mais cet instrument ne possé-
dait pas la force du clavecin, et ne connut aucun succès. Selon les sources, c’est en 1691, 1694 ou
au tout début du 18ème siècle que Bartolomeo CRISTOFORI ( 1655-1731), conservateur des
clavecins et épinettes du prince Ferdinand de MEDICIS, renouant avec le vieux principe du tympanon, invente la mécanique du piano
http://accordeur.pianos.pagesperso-orange.fr/histoire_piano.html

n'importe quel internaute dit: à

telle est mon entente de l’exercice de « commentaires » que j’avoue bien volontiers apprécier les billets mais que je souhaite pas ajouter dans l’espace ménagé ad hoc par le dispositif pensé par P.assouline ce qui ,selon moi, relèverait du genre dit « commentaire ».
En vous saluant tous
Bien à vous

n'importe quel internaute dit: à

Judith Barter, the institute’s head of American art and a co-curator of the show, says that she was surprised to discover that the 19th-century still-life painter John F.

Francis spent his career depicting glasses of wine in his compositions while supporting temperance. A devout Christian, he left money in his will to nephews on the condition they avoided the “sin of intemperance”.

n'importe quel internaute dit: à

et qui va piano
 » Jimmy P., Devereux n’échappe jamais aux interrogations sur son identité : ses origines juives sont d’abord voilées sous son origine « européenne », son accent, dont Devereux s’excuse auprès de Picard (et qu’Amalric a pratiqué, comme del Toro, avec un « coach »). Pourtant, nous dit le film, ce secret est un secret de polichinelle : alors qu’il conduit Devereux jusqu’au piano de la clinique, où celui-ci va s’adonner à sa passion pour la musique, son supérieur, Karl Menninger, explique à Devereux que leur collègue juif, Robert Jokl, l’analyste de Devereux, a joué sur ce piano lors de la partition de la Palestine en 1947.

n'importe quel internaute dit: à

ne pas laisser étouffer par ses livres,
il semble qu’il manque là un pronom : se laisser étouffer ?

des journées entières dans les arbres dit: à

n’importe quel internaute dit: 14 novembre 2013 à 16 h 48 min
merci, vous avez devancé la réponse à une question restée pendante.

n'importe quel internaute dit: à

en avaient faire une icône féministe au sens le plus targe et non sectaire.
au fait, poétique, poétique , ce n’est pas forcément une palimpsestuerie *
palimpsestueur n’est pas mon invention et le titre palimpseste de l’enfance est est de georges Nivat
« L’obsession de la découverte n’est pas universelle » le monde Descola

n'importe quel internaute dit: à

bonnes fêtes les génies
On y voit notamment le piano optophonique de Vladimir Baranoff-Rossiné, un artiste russe qui a longtemps vécu à Paris et que l’on vient de redécouvrir à Moscou où deux expositions lui ont été consacrées ces dernières années.
http://dissonances.pagesperso-orange.fr/Beaubourg.html

n'importe quel internaute dit: à

et un titre pour les censeurs de ce blog
Infiltration homogène pour piano à queue (1966),
Joseph Heinrich Beuys

n'importe quel internaute dit: à

houlala , grande valeur: j’ai dû reprendre u livre de Peter Sloterdijk qui ouvre la voie à une interprétation d’une tablette, (et toute une série que j’avais recherchée) si grossièrement décrite par un professeur spécialiste lorqu’il la déchiffra que ça m’intrigua ,
les enfants du verlan erdélien sont du genre éméché

n'importe quel internaute dit: à

il y a trop de censure sur ce blog et de prétentions « pédagogiques » d’imposteurs sans vergogne en écho aux humeurs et formules de P.Assouline pour son billet

n'importe quel internaute dit: à

Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Par différents indices, les archéologues et les ethnologues essaient de retracer les grandes lignes de ce passé. Et l’un des meilleurs outils reste l’ADN, car il se conserve plutôt bien au cours de l’évolution et permet de remonter la lignée maternelle et paternelle, et de voir et dater d’éventuels mélanges.

Mais il ne constitue pas le seul indice que les spécialistes peuvent utiliser. Une étude menée par Steven Brown, de l’université McMaster (Hamilton, Canada), révèle que la musique, élément culturel universel, pourrait devenir un marqueur fiable de l’histoire humaine au même titre que le langage. Des résultats accessibles dans la revue Proceedings of the Royal Society B.
http://www.futura-sciences.com/magazines/sciences/infos/actu/d/homme-musique-marqueur-fiable-retracer-histoire-humaine-50173/

n'importe quel internaute dit: à

REGARDS SUR LES MUSIQUES DES « ECRIVAINS-MUSICIENS »
par ALAIN KREMSKI

On me demande souvent pourquoi je joue les musiques pour piano composées par les écrivains NIETZSCHE, PASTERNAK, GURDJIEFF, musiques peu connues du grand public, surprenantes et inattendues.
Il ne s’agit pas d’une simple curiosité anecdotique : je ne les jouerais pas si elles n’étaient pas d’abord belles et émouvantes, tout simplement.
Mais elles me fascinent, parce qu’elles font apparaître quelque chose de mystérieux, qui est de l’ordre du destin…
Pourquoi un homme choisit-il, à un moment de sa vie, une voie – la littérature – plutôt qu’une autre – la musique ?
Énigme, à laquelle nous ne saurions répondre…
http://www.hallesaintpierre.org/2013/10/cartes-blanches-aux-ecrivains-fous-de-piano/

des journées entières dans les arbres dit: à

« les enfants du verlan erdélien sont du genre éméché »
Cela a le mérite de l’hypothèse.
L’autre étant que l’agilité des doigts et de la vision, -l’acuité ?-s’en trouve modifiée, voire moins habile.

« il y a trop de censure sur ce blog et de prétentions « pédagogiques » d’imposteurs sans vergogne en écho aux humeurs et formules de P.Assouline pour son billet »

Vous accorder bien volontiers le privilège de l’analyse; qui ne me paraît pas si dénuée de fondement, pour peu que l’on s’entende sur le domaine d’application de  » imposteurs »

« icône féministe au sens le plus large et non sectaire »
C’est le choix de P. Assouline de relayer l’hommage à D. Lessing de J. Savigneau. C’est même un choix réfléchi. Pour qui ne pense les femmes libres tout simplement -qui ne sont pas des fleurs proustiques-, que comme « emmerdeuse », ou « grande gueule ».
J. Savigneau n’a pas caché ses orientations personnelles, elle préfère les femmes, ce n’est pas un secret que de dévoiler ce qui a été divulgué sur la RDL; pour autant « icône féministe et non sectaire » n’est pas dans l’article de Savigneau qui fait bien sentir ce que D. Lessing pensait, des féministes.
Ce que je veux dire, piano, c’est que la moitié de l’humanité, en nombre, ne saurait se résumer en formules lapidaires, pour ses « éléments » les plus remarquables.

Je vais relire plus attentivement votre lien de 17H09

Mais je voulais vous faire part de ce que j’ai entendu l’autre jour, sur la route, à retracer.

« Au début de l’expérience vous avez un groupe de robots qui sont tous en train d’émettre aléatoirement du son tout en s’influençant légèrement les uns les autres.

Au bout d’un certains temps les robots accordent en quelques sortes leurs violons et se mettent à produire un nombre de sons définis. De l’émission aléatoire de son naît une production organisée.

Dans les tous premiers échanges sonores de ces robots, dès qu’un son est (par hasard) émis un peu plus que les autres, il est amplifié par la communauté de robots qui se met à le répéter de plus en plus. S’il on refait l’expérience une deuxième fois les robots s’accordent sur un autre groupe de son.

En répétant cette expérience un grand nombre de fois, les scientifiques ont pu établir des statistiques. Ils se sont rendus compte par exemple que la plus part du temps les robots s’accordent sur un groupe de son comportant cinq voyelles. C’est aussi le cas pour les langues parlées dans le monde. La plus part des langues humaines comportent cinq voyelles. »

http://www.franceinfo.fr/sciences-sante/info-sciences/comprendre-l-apparition-du-langage-1214347-2013-11-15

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rappel
De de sa mère, Fanny Segal, pianiste, dotée de l’oreille absolue, Stanley Goldstein-Cavell acquiert le goût et le don de la musique4. Il suit une éducation musicale. En 1943, il est réformé malgré sa volonté de s’engager dans les forces armées américaines à cause d’un accident à l’oreille.
En 1947, il reçoit le diplôme de Bachelor of Arts in Music à Berkeley. Mais peu après avoir été admis à Juilliard, il renonce à ses études de musique pour commencer un cycle de philosophie à l’UCLA. Il entame une éducation philosophique dont il témoigne en critiquant une certaine forme de professionnalisation de la philosophie dans le contexte culturel et politique de ces années 1950-60.

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sectaire ?
je n’ai pas encore lu celui dont je découvre la critique avec
« Green, dans ces entretiens, réfère souvent de cette manière à Lacan : en soulignant l’importance de son apport, ici, au sujet de sa formulation de ce qui échappe au langage, tout en s’en écartant vivement. Il mentionne même qu’à peu de choses près, seuls les auteurs qui, comme lui, se sont détachés de Lacan, ont proposé des contributions intéressantes.
http://www.nonfiction.fr/article-6778-desendeuiller_le_langage_par_la_parole_analytique.htm

n'importe quel internaute dit: à

au caVous me faites penser à un souvenir personnel et je n’avais fait encore fait ce rapprochement

Ma mère jouait du piano et que de fois l’ai-je entendu dire, quand elle avait un air dans la tête et ne pouvait dormir, qu’il fallait qu’elle se lève et le joue pour en être délivrée.

Je pense que c’est un peu ce que j’ai fait.s où il me serait reproché d’être hors sujet (!) je souligne dans l’entretien de Green
« 

n'importe quel internaute dit: à

excuses
au cas où il me serait reproché
bonsoir

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The Piano as a Typewriter
Sep. 19, 2013 — It is quite simple for pianists like the Chinese virtuoso Lang Lang: Whether it is music by Mozart, Rachmaninoff or Tchaikovsky, they can play the piano quickly. Saarbrücken researchers transferred this skill in piano playing to text entry by developing a computational approach that assigns words and letters to notes and chords. In this way experienced as well as hobby-pianists can enter text as fast professional typists.

n'importe quel internaute dit: à

et dans le même article c’est précis plus de 10 puissance 48
. There are more than 1048 possibilities in mapping the 26 letters of the English alphabet to the 88 keys on the piano keyboard.
« Our approach ensures that frequent letter sequences are translated into melodic
structures that are well known and can therefore be played quickly by a pianist, » said Feit. In this way,

http://www.sciencedaily.com/releases/2013/09/130919085432.htm

des journées entières dans les arbres dit: à

« je n’ai pas encore lu, -ni ne le lirai, je dois avouer- celui dont je découvre la critique avec » vos liens: A. Green.
(Tout comme je découvre qu’il existe une école parisienne de psychanalyse psychosomatique).
Sur la notice médicale marketing bien ficelée, il manque peut-être quelques indications sommaires, que chacun peut se faire, également:
La composition: psychanalyse sans divan et sans lacan
Les indications thérapeutiques: pathologies borderline ou plus récemment « désespoir qui affleure »
Les effets indésirables: accoutumance à la croyance, recours à d’autres thérapies folkloriques en cas d’échec, de toute façon inévitable.

C’est en lisant votre lien de 23h11 que je fais le rapprochement avec cette nouvelle peu reluisante:
« La science menacée par une bulle spéculative de l’édition ?’
In Le Monde Science du 11/11/2013.

Bonne journée Dr Lecter.

« Dans l’air clarifié,
quand déjà la consolation de la rosée
descend sur la terre,
invisible, sans qu’on l’entende,
car la rosée consolatrice porte
des chaussures fines, comme tous les doux consolateurs —
songes-tu alors, songes-tu, cœur chaud,
combien tu avais soif jadis
soif de larmes divines, de gouttes de rosée,
altéré et fatigué, combien tu avais soif,
puisque, dans l’herbe, sur des sentes jaunies,
les rayons du soleil couchant, méchamment,
au travers des arbres noirs, couraient autour de toi,
des rayons ardents et malicieux. »
F. Nietzsche.

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Polish Concert Pianist Builds a ‘Viola Organista’ Based on a 500-Year-Old Sketch from Leonardo Da Vinci
http://www.thisiscolossal.com/

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Les noms des notes de musique dans la musique occidentale suivent deux grands systèmes selon les pays. La notation est basée soit sur les sept premières lettres d’un alphabet, soit sur les notes « do ré mi fa sol la si » inventées par Guido d’Arezzo. En orient, le système chinois Jianpu est majoritaire.
sur wiki
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9signation_des_notes_de_musique_suivant_la_langue

n'importe quel internaute dit: à

le morceau amazing grace en jian pu sur wiki
pour les nombres , voir « esthétique du temps au
Japon » de Buci- glucksman

n'importe quel internaute dit: à

remarque sur le « piano » de leonardo
Imitations have survived, the earliest of which made by Spanish monk Raymundo Truchado in 1625. It is now in Brussels’ Musical Instruments Museum
soit 46 ans après la mort en 1579 de Francesco Melzi,

n'importe quel internaute dit: à

un exemple d’un champion de l’ascétisme
 » Un exemple : dans les conservatoires de musique en Allemagne comme en France, il n’y aura bientôt plus d’Européens, car ils ont trop de mal à rivaliser avec les performances des jeunes Chinois ou des Coréens. L’Europe risque son élimination dans la concurrence mondiale, et pas seulement en musique. »
http://www.lepoint.fr/grands-entretiens/peter-sloterdijk-plaidoyer-pour-l-ascese-10-03-2011-1305314_326.php

n'importe quel internaute dit: à

une remarque intime avec mes excuses
il m’est impossible d-e m-‘expliquer pourquoi je n’aime pas ce billet, et.qu’il m’est si insupportable, non au point de dédaigner le pianiste , mais enfin, en billet, pour moi, ça ne passe plus , sans doute pour des raisons « intimes » »

n'importe quel internaute dit: à

et sans doute cela passe-t-il d’autant moins qu’il est demandé des commentaires

n'importe quel internaute dit: à

d’ailleurs, même s’il faut le lire en appréciant un coefficient de théâtralité professionnelle du critique-écrivain qui s’y connaît en « hypocrisie » du milieu (!!voir m je ne trouve pas la formule « en voilà une  » à propos de Lessing bien heureuse .

n'importe quel internaute dit: à

sur doris lessing mag lit
« d’un milieu littéraire qu’elle jugeait décevant, voire hypocrite.

n'importe quel internaute dit: à

sur doris lessing
le mag litt l’écrit dans la psychologie commune
 » Certes, Doris Lessing s’est toujours tenu à l’écart d’un milieu littéraire qu’elle jugeait décevant, voire hypocrite.  »
ce n’est peut-être pas la manière la plus heureuse de formuler cette question aujourd’hui entre personnes assez prévenues pour ne pas être « déçues »

Rocco Siffredi dit: à

« Vous êtes épuisant et pénible, Dr Lecter, mais des fois ça fait du bien ! »

Je sais, je sais !

n'importe quel internaute dit: à

Est-ce bien Baudelaire caché dans le fond de cette photo inédite ? En tout cas, il en a l’air.
qui ça il ?pourquoi pas ça ?
ou « on dir

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on dirait bien que c’est C.B
ayant relu -et pris avec moi- Rosebud , avec en couverture du photographe que P.Assouline aime bien présenter dans ses billets, je dois dire que
le coup de l’inspiration non plus (précédemment doris lessing prédentée comme grande gueule!) ça ne passe plus du tout , le recyclage des « formules -jeu  » surtout quand les souris- pour l’ordinateur- sont des porsche !

n'importe quel internaute dit: à

présentée !
pourtant je n’ai pas une porschtml

n'importe quel internaute dit: à

le rôle de P.Assouline dans la comédie du regroupement familial, c’est « le rival éternel »

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