Antoine Sénanque, qualité française
Un mot et une vie bascule. Vraiment ? Disons deux ou trois mots. « Fusain est un con ». Et comme le graffiti est public, il suffit à faire d’un désabusé un désespéré, avant de le faire douter de la qualité de son petit bonheur. S’ensuivent deux mois sabbatiques de la vie d’un quinquagénaire rongé par le doux démon de l’intranquillité. Pessoa en personne ? Pas tout à fait. Il s’appelle Etienne Fusain. Professeur de philosophie en banlieue parisienne, il n’a plus le goût d’apprendre quoi que ce soit aux autres. Transmettre, quelle plaie ! Quant à sa femme… Zéro défaut. Juste une conception peu aiguë de la propreté. Quand il l’embrasse ou la prend dans ses bras, elle prévient : « Attention, tu vas tout froisser ». Du genre à tout essuyer tout le temps. A se laver les mains en permanence. Une phobie du sale, un TOC de l’immaculé sans un pli, un truc de perfectionniste pathologique. Du lourd, quoi. Ce n’est d’ailleurs pas l’asymétrie des couverts qu’elle corrige à table mais justement leur dissymétrie. Elle aussi, une plaie, à mon avis. Etienne souffre en silence. Forcément, un prénom de protomartyr, ça prédispose.
Son ami Larbeau, le médecin-légiste, aussi à l’ouest que lui est au centre, l’emmène en virée pendant quelques semaines pour mieux lâcher prise. Entre eux trône Lily, leur amie de jeunesse, par les deux désirée. Le problème, c’est qu’Etienne vit une forme de fatalité qui l’empêche d’être heureux au présent en l’absence de ses deux amis. Difficile de ne pas entendre dans le fond les trois petites notes de musique pour dire le tourbillon de la vie selon Rezvani, susurrées par Jeanne Moreau dans Jules et Jim. A ceci près que la « Sénanque touch » est un usage permanent et enchanté de la litote. Son imagination est inépuisable dans ce registre. Etienne regrette (240 pages, 18 euros, Grasset) en témoigne avec éclat, mais discrètement. On se dit qu’un tel romancier doit recharger son stylo à l’understatement. Un régal.
Il y est dit d’un homme que son style laisse les nymphomanes indifférentes. Quand un malabar lui met une lame sous la gorge, un autre sent son stoïcisme vaciller. On découvre qu’une femme peut avoir une conception préocolombienne du monde : au-delà de l’horizon de la jeunesse, les hommes tombent dans le vide. On apprend que même le poulpe est aujourd’hui protégé par une directive européenne pour son aptitude à éprouver angoisse et souffrance. On apprend beaucoup de choses en fait, l’air de rien. Après tout, le héros-titre a fait philo. Il assure que le même mot en grec ancien signifie « couardise » et « lucidité » (mais il ne nous précise pas si c’est athymia ou tapeineia). En revanche, sur la question du pipi, il est plus net :
« L’urine est le fluide le plus propre de l’organisme. C’est de l’eau filtrée par le filtre le plus efficace du monde, le rein. Quand tu te laves les mains, le savon plein de staphylocoques en suspension, l’eau à peine potable, polluée par des coprobactéries, et la serviette en culture, t’ensemencent comme un bouillon. J’ai jamais compris ça. On compte 40 millions de micro-organismes par centimètre carré de surface collective. Tu te laves les mains pour les infecter. »
Il y a comme ça des révélations. Quand le narrateur dit qu’il a perdu une seule personne dans sa vie, mais « vraiment perdu, ma mère », avec tout ce qu’on peut entendre dans ce « vraiment », on pense à Blondin évoquant la mort de sa mère : « Un jour, elle a pris feu ». Pour le reste, l’autre Antoine n’aurait pas eu l’imprudence de se mettre les Basques à dos, comme s’y risque cet Antoine-là. S’il jouit d’une maison de vacances au Pays basque, il a intérêt à se faire discret dans le coin. Forcément, il tient ses natifs pour des gens qui tiennent à rappeler obstinément leur statut d’habitants, et méprisent ceux qui viennent vivre chez eux : « C’est étrange, ces gens qui pensent que la terre leur appartient. Alors que depuis des générations, la chose essentielle qu’ils font dessus c’est leurs besoins. » Le style basque ? « L’attachement à son carré ». Quand le vin y est amical, c’est qu’il a du être cultivé hors de ses frontières. N’en jetez plus !
Saint-Jean-de-Luz, Bénarès, Venise : ça voyage. La bâtisse rouge de Malaparte à Capri, c’est la maison où Bardot est plus belle qu’aujourd’hui. Ah, Capri ! Dans ce coin-là aussi, il risque d’avoir des problèmes s’il y retourne. Avec les couples de touristes français : « Les plus jeunes au sourire imbécile et les vieux au sourire vasculaire ». On ne dira pas de lui qu’il aime tous ses personnages. Etienne regrettera peut être mais en attendant, nombre d’entre eux dégustent. On suit les amis d’enfance par leurs bulletins de santé sur les réseaux sociaux. Quant à nos deux amis, Fuseau et Larbeau, ils ont des pensées profondes mais en surface.
A propos, « Etienne regrette », c’est ce qu’on peut lire à la fin sur le ruban mauve d’une couronne mortuaire. On peut le révéler sans dommage car Etienne regrette n’est pas un polar métaphysique. Enfin, pas tout à fait. Les ultimes remerciements donnent le ton, le vrai, notamment ceux adressés à deux inconnus « pour rien de très précis ». Voilà bien l’esprit de la chose et c’est savoureux. Petite réserve : on s’interrogera juste sur l’utilité d’intituler chacun des trente-huit courts chapitres. Il faut faire confiance à l’intelligence du lecteur, à sa perspicacité, ses envies de surprises et son goût de l’inattendu.
Le style est d’une belle clarté, sans afféterie, bien dégraissé, nettoyé sans être aseptisé. La phrase est brève mais jamais sèche. Il y est dit que rien ne s’atténue avec le temps. En tout cas, c’est certainement vrai s’agissant du talent de cet écrivain. Pardon, pas le talent, surtout pas le talent ! « Comme on ne savait pas quoi lui dire on disait qu’il avait du talent. C’est le mot qu’on utilise pour changer de sujet ». Alors disons, non pas le génie, n’exagérons rien, mais les qualités d’Antoine Sénanque à construire son monde intérieur. On retrouve quelques détails médicaux qui font le lien avec Blouse, La grande garde, L’homme mouillé, un zeste de burlesque qui raccorde bien avec l’Ami de jeunesse et l’humour débridé de Salut, Marie ! De roman en roman, une voix s’affirme. Désormais, une page, que dis-je, un paragraphe suffit à nous signaler que c’est du Sénanque (pseudonyme d’un neurologue à ses heures).
La qualité française, on sait ce que ce fut au cinéma, à une époque, du côté de Truffaut, Sautet. En littérature, c’est plus difficile à cerner. Disons : tout ce que le grand roman américain n’est pas. Mais on sait déjà qu’il faudra y inclure Antoine Sénanque et son univers poétique, désenchanté, caustique, gentiment misanthrope, peuplé de messieurs Jadis. Des personnages inactuels produits par notre temps. Oh, rassurez-vous, rien de sérieusement essentiel. Un peu de gravité sous beaucoup de légèreté. Juste un certain charme mais c’est si rare dans ce monde de brutes, vraiment.
( « Qualité française » photo Henri Cartier-Bresson ; « Des étudiants en dentaire manifestant contre les facilités accordées par l’université Fernando Pessoa » photo Boris Horvat)
437 Réponses pour Antoine Sénanque, qualité française
Quel souffle dans la chronique…
Sénanque semble le digne fils d’un Oscar Wilde continentalisé et le pseudonyme, évocation de l’abbaye au milieu des champs de lavande mais aussi du philosophe, est bien trouvé. Qualité française? Ou comment lancer le pavé dans la marre du débat!
Antoine Sénanque. Médecin neurologue
Quand il l’embrasse ou la prend dans ses bras, elle prévient : « Attention, tu vas tout froisser ».
Taffetas, disait-elle, dans Frankenstein junior.
Un livre plein de méchancetés vraies ? Médecins français au tropisme littéraire tiré de l’ennui du scalpel ? pour apprécier, il faudrait réapprendre l’usage de l’imparfait du subjonctif et voyager en carrosse au milieu des campagnes à croquants. Nous y revenons bientôt.
… Il me semble, mon hôte, que Jeanne Moreau sussurre plus le « tourbillon de la vie », de Rezvani, que les « trois petites notes de musique » de Montand.
Mais bon :
« J’ai la mémoire qui flanche
J’me souviens plus très bien
Habitait-il ce vieil hôtel
Bourré de musiciens ?
Pendant qu’il me
Pendant que je
Pendant qu’on f’sait la fête
Tous ces saxos
Ces clarinettes
Qui me tournaient la tête… »
voilà le lien :
Merci Clopine, c’est corrigé…
pour la qualité anglaise, JONATHAN COE : « Expo 58 » et IAN McEWAN : « Opération Sweet Tooth »
Perdre sa mère… Il est normal qu’un enfant enterre ses parents (surtout si ils sont morts…), pas le contraire. Vouloir voir sa mère devenir une pauvre vieille édentée, sénile, voire démente, ou accepter qu’elle meure alors qu’elle est encore belle, choix plutôt simple, non?
Ce qui ne veut pas dire qu’il faille tuer maman dès que c’est convenable, surtout si il y a héritage qui attend. Non, apprécions maman quand c’est encore temps.
de quoi se plaignent les étudiants en dentaire ? et quel rapport avec les aphorismes de M. Senanque ? à son époque (celle de M. Sénanque) rater médecine vous faisait atterrir en dentaire. est-ce une raison de garder une dent contre eux ?
Phil, Ici pourquoi les étudiants manifestent http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0203363409889-etudes-dentaires-nouvelle-offensive-de-fioraso-contre-l-universite-portugaise-fernando-pessoa-655808.php
…
…des amis,…des étudiants,…de classe,…
…
…qui continuent de grandir,…médusés d’expériences à leurs niveaux des cercles,…
…
…presque du,…on n’a pas élever les cochons ensemble,…n’est ce pas!,…
…
…douce France!,…le pays de mon enfance,… » replay « ,…
…Vichy of course!,…etc,…to day!,…
…
merci passou. L’occasion d’aller étudier à Porto est rare, les étudiants devraient plutôt s’en réjouir. Un excellent libraire, escalier ciré et parquet craquant, offre gracieusement un porto à ses visiteurs, ce qui favorise la culture et les caries.
Hélas , si j’ose l’écrire, il n’est pas dit que le roman dure autant que l’Abbaye…Ni qu’il en ait la profondeur…
En lisant ces lignes au sujet de la femme de Fusain, on pense à Janet Leigh, la presque poignardée sous la douche de « Psychose », qui dans la vie passait son temps un plumeau et une balayette à la main, à tout épousseter. On comprend que Curtis ait pris la fuite devant tant de propreté hygiéniste, toujours un peu anti-érotique, à la longue. Source d’inspiration ici, quand on lit que Sénanque se rapporte à certaine qualité française, Truffaut etc, et qu’on sait l’estime dans laquelle ce dernier tenait Hitch?
Sénanque en tout cas a la réputation d’être un fin célinien. D’après ce qui en est dévoilé dans cette note, il ne manque pas non plus d’humour, ce qui n’est jamais désagréable ni si fréquent, de manière réussie. Puis, le nom Fusain en lui-même : à la fois arbuste increvable, vivace, aux belles couleurs d’un vert brillant, vernissé, vif, d’un jaune éclatant, et crayon de dessin produisant le noir le plus profond, trait fin ou plus épais, c’est selon. Donc, à voir?
« Disons deux ou trois mots. « Fusain est un con » »
Heureusement que passou fait littéraire, en comptabilité il aurait difficilement assuré.
Vous me direz que c’est peut-être volontaire, ok je veux bien, mais pourquoi ?
P.S.
La réponse : « pour te faire causer » ne sera pas admise
Encore une pour « causer » :
« Juste une conception peu aiguë de la propreté. »
Vu la suite du billet, ne serait-ce pas « un peu aiguë » ?
Tout ceci étant dit, le billet donne envie.
Evidemment*, Lieberman a raison : il faut qu’Israël réoccupe ce nid de vipères de Gaza.
*rien à dire sur un livre non lu, ce qui n’empêche pas de causer sur les problèmes de ce temps**
**jamais assisté à une telle déliquescence gouvernementale : plus nul, plus mensonger, plus lamentable, est impossible !
Cette déliquescence gouvernementale en France* est si évidente que je ne vois pas comment tout cela tiendra jusqu’en 2017…
*une bonne nouvelle cependant, les jeunes se foutent impérialement de l’utilisation « de classe » de l’imparfait du subjonctif…
En temps de guerre, la place de la littérature est en salle de traitement car il faut qu’il reste au pire des hommes un peu d’humanité.
La « qualité française »… à condition
de ne pas l’entendre trop exclusivement
sous peine de tomber en franchouillardise
frisant le ridicule tant les contre exemples
de notre génie national équilibrent la pesée
de ce dernier et à condition de s’accorder
sur le champ couvert par le qualificatif.
Un peu étrange, l’emploi de l’expression
dans le contexte. Juste dans la mesure
où la définition semble décidément
très arbitraire. Et l’enfer pour
les exclus de ce label ?
Terroiristement.
Polemikoeur
Qualité française ? Passou a répondu :
« Un peu de gravité sous beaucoup de légèreté. »
Chère Clopine,
Je suis bien fâché de vous avoir peinée. Recevez toutes mes plus affectueuses excuses. Tel n’était pas mon propos; écrivain, vous l’êtes autant que vous désirez l’être, tout comme on est saint autant qu’on veut le devenir (dixit Tostoï); c’est un sacerdoce où l’on s’ordonne soi-même, Flaubert vous le dit, qui sait tout : »Les seuls lauriers qui vaillent sont ceux qu’on se décerne à soi-même ». Et il y a tant aujourd’hui d’Octave Feuillet et de Georges Onhet genre moderne dont on aura tout oublié dans vingt ans, tant de pages inutiles célébrées pour et par des gens très bien qui n’y entendent rien, qu’il m’est bien difficile de comprendre quelle stupeur et quels tremblements vous saisissent au seul nom d’écrivain.
Sans compter que vous êtes aussi un extraordinaire personnage, une mine de personnages plutôt, qui ne sonnent pas tout à fait comme vous le croyez car vous êtes plus bourgeoise que vous ne le pensez. Je ne fais que jouer (plutôt maladroitement, c’est visible, et un peu pour mon propre compte) avec cette part qui vous échappe et qui n’est pas sans grandeur, tout en vous combattant franchement quand je ne suis pas d’accord avec ce que vous dictent vos passions. Mais sans aucun désir, je vous assure, de vous blesser.
« Heureux ce de qui les parents meurent jeunes ».
Montherlant,Carnets.
« …ceux de qui »
Bonne soirée,
Frère Chaloux le manipulateur,
Un Je vous salue Marie, deux Ave, trois Pater… pour fourberie modélisée !
D’accord, d’accord,
n’empêche que le tampon
vous garde le délicieux air
de produit estampillé A.O.C.
qui a glissé de l’authenticité
d’une production artisanale
à une promesse d’ordre
plus commercial.
(Il n’est pas dit que ce soit
le cas de l’objet du billet).
Polémikreusement.
Qu’en pensez-vous, Bérénice, vous qui avez un avis sur tout ?
«Signes encourageants»
L’agent de Michael Schumacher a donné des nouvelles plutôt rassurantes au sujet de l’état de santé de l’ancien pilote allemand ce mercredi matin.
A contrario, l’agent du couple Ayrault-Taubira témoigne des plus grandes inquiétudes, leur encéphalogramme étant bien plus plat qu’à l’accoutumée.
Sénanque !…. son champ de lavandin ….
…
…tout ce qu’il ne faut pas faire pour satisfaire son » Golem » iconoclaste,…
…la Pizza Napolitaine aux » mets « ,…sans » é « ,…
…des hà-rangs,…par deux,…Non,…des en-choix c’est mieux,…de la sauce tomate en coulis,…des tranches de lardons,…pourquoi pas,…du fromage de ma Soeur Suisse,… l’Emmental râpé extra-fin,…
…
…putain,…il nous manque la pâte-molle, pour soutenir ce théâtre sur poêle à four,…
…qui nous fait la pâte mole sue la langue,…une fois, deux fois,…
…Ah!,…la voilà la pâte républicaine,…
…non de Dieu,…ou sont passés mes mets,…
…
…chef!,…ils on hérités d’un » é « ,…de la part des anges,…et » envolés « ,…comme des paroles » émet » d’allez en l’air,…
…
…chef!,…il nous reste la recette sur papier Bible,…tu vois !,…succulents les rêves,…Pardieu,…etc,…
…
Sa sainteté me suppose plus de fourberie que je n’en ai. Quelle époque…
Il faudrait dire un truc sur les prothésistes dentaires, AOC, ou le tourisme dentaire qui se développe en Europe centrale; mais ce n’est pas le sujet.
Les sujet c’est Fusain et le devoir de philo rendu sur un graffiti. Voilà pourquoi Fusain est sensible à ce graffiti.
« Fusain est un aride en collectivité », « frugal en mots »
« Car les mots avaient une valeur calorique dans ces salles où les professeurs se rassemblaient pour grossir. Des obèses autour de lui, des gros de mots, gras de dire, épais de parole »
Chaloux dit: 12 mars 2014 à 21 h 07 min
Sa sainteté me suppose plus de fourberie que je n’en ai
Chaloux se suppose nombre de qualités.
Nous qui le connaissons, nous n’en supposons que très peu (en nous forçant un maximum).
Mais la fourberie, à l’évidence.
Est-ce une qualité ?
Lui seul peut en juger.
En est-il capable ?
Non (cause fourberie)
Je sens que nous bouclons.
Daaphnée a-t-elle un avis ? dit: 12 mars 2014 à 21 h 20 min
Daaphnée va penser que tu es con.
Chaloux dit: 12 mars 2014 à 21 h 37 min
Ne pense pas pour les autres Chaloux, tu seras toujours déçu.
Un avis de façade n’est jamais qu’une façade.
Si tu penses que Daaphnée a un peu de bon sens, comment peux-tu croire qu’elle ne te trouve pas ridicule.
Réfléchis.
Tu as la réponse.
Ou tu penses que Daaphnée est une conne, mais là tu dois régler ça avec elle.
Vous avez tort, j’aime bien Chaloux et je suis très fidèle aux les hommes que j’aime ..
Et toc !
Avec ça, je n’ai encore lu le billet de PA …
L’image des baigneuses me plaît assez ..je pense aux baigneuses de Renoir .. l’homme allongé imaginerait les trois ..
« Chaloux dit: 12 mars 2014 à 20 h 14 min
« Heureux ce de qui les parents meurent jeunes ».
Montherlant,Carnets. »
Heureux ceux, homotopiquement***,
or phoniquement,
fussent plus séant.
Merci pour les oreilles !.
« Ou tu penses que Daaphnée est une conne, mais là tu dois régler ça avec elle. »…
Qui serait assez couillon pour s’y amuser !.
Béhémoth dit: 12 mars 2014 à 22 h 22 min
j’ai corrigé au-dessus.
Moi aussi, Daaphnée, je suis d’une fidélité à toute épreuve.
Vu,
je m’excuse.
…
…çà y est,…çà tourne au baise-main,…
…
…on n’est pas sortis de l’auberge!,…
…
…donc,…nous disions les modèles d’artistes,…des pensionnaires de maison close,…
… » la grâce, la virginité » à portées de mains,…bien rodée,…
…quelle équipée ces fauvistes,…
…d’ou les couleurs stables,…maigres sur gras!,…etc,…
…
…
…franchement,…j’écris n’importe quoi,…
…
…personne pour me contredire,……
…
… << pour éviter les craquelures <<,…toujours peindre,…sur la couche maigre, avec des couches un peu plus grasse,…à chaque fois,…
…de toute façon,…c'est pas pour skier si c'est pas sec,…etc,…
…
Asymétrie, ou achiralité ? Y a une nuance bon Dieu !
Les couverts ça sert à rien…
Faut faire gaffe une phrase sèche ça peut laisser des peaux… Comme le style à écailles tous comptes faits…
…
…mais,…Oui,…
…
…les deux filles au bord de l’eau,…
…
…Lauren Bacall,…et Carole Lombard,…
…
…Oh!,…quelles esthéticiennes du milieu-branché,…etc,…
…
Ah,
« …Lauren Bacall »,
Toujours preneur !.
Avec ou sans chauffeur !!!.
Merdre.
Addiction
Je buvais comme un trou, naguère,
L’alcool me poussait au trépas.
J’ai tout cessé pour te complaire,
Je buvais comme un trou naguère.
Tu me dis : « Bois un petit verre »,
Mais cent kils n’y suffiraient pas.
Je buvais comme un trou, naguère,
L’alcool me poussait au trépas.
Jean Calbrix, le 13/03/14
MUSIQUE : Claude Nougaro
PAROLES : Yorrick Buisson
Ah, Taubira, Taubira
Tout recommencera, tu verras, tu verras
La planque c´est fait pour ça, tu verras, tu verras
Tu couperas le son, t’apprendras ta leçon
Sur le bout de tes doigts, tu verras, tu verras
Tu l´auras, ta maison avec des plantations
Des esclaves à tes pieds, des nègres dévoués
Des hivers décevants, près du chat angora
Et tu t’endormiras, tu verras, tu verras
Ton échec accompli, ta chute réussie
Avec dans tes greniers, plein de photos jaunies
De tes rêves immondes.
jicé Christine T il l’a dans la peau
elle l’a même pas prévenu qu’il était écouté c’est dire si c’est pas malheureux
Marcel, attention : on finit toujours par payer l’addiction.
Chaloux, je vais tenter de vous croire, ce qui est difficile ici, n’est-ce pas ? L’incident est donc clos, excusez ma réaction « épidermique » !
… à la réflexion, je me demande si Antoine Sénanque appréciera vraiment la chronique de notre hôte : elle le célèbre, certes, mais elle le précise tant qu’elle en arrive à le cantonner sous l’étiquette « qualité française », et est-ce vraiment un compliment ? On (les médias) nous renvoie une image de nation sur le déclin, vieillissante, déprimée et pessimiste. A-t-on envie, après cela, d’être accolé à cette identité ?
A-t-on envie, après cela, d’être accolé à cette identité ?
au contraire clopine..pense -toujours- au contraire
Cet Antoine Sénanque, c’est Antoine Doinel neurologue ?
http://i-cms.linternaute.com/image_cms/original/1016862-antoine-doinel-le-double-de-truffaut.jpg
L’urine est le fluide le plus propre de l’organisme
mon dieu je crois que c’est la plus belle célébration de 14, combien de poilu on pissé dans la plaie d’un autre, le vieil « homme de cheval » sait encore de quoi ça parle..peux tu comprendes clopine ?
écrivain, vous l’êtes autant que vous désirez l’être
et français..pas bsoin d’être accolé
ce qui est précieuse cranerie du xix devient profession de foi individualiste et stupide du xxi eme..flaubert devait savoir que la seule carotte qu’il avait dans l’cul c’est celle qu’il s’était mite..cheuloux pour ressembler à celui qui sait tout se carre une botte..et tout ça ça fait dexecllent français
Depuis 1148, l’Abbaye de Sénanque
Pour nourrir la discussion
sur l’expression qualité française :
français(e) est-il un qualificatif
plus qualitatif qu’identitaire ?
Pour du matériel, de l’inanimé, peut-être,
mais pour un quelqu’un(e), auteur ou pas,
et le produit de ses couches cérébrales supérieures ?
Les tamponne-t-on comme un jambon ?
(qui peut néanmoins être très noble de confection).
Qualifrançiliexpidelicioussement.
…
…@,…Béhémoth à,…0 h 26 ,…
…
…Lauren Bacall,…et en mieux,…
…
…du même style, ma mère,…hors concours,…
…
…n’enlève rien à la beauté,…des sentiments liés d’amours vivaces,…aux rides des âges accumulées,…
…
…etc,…la beauté oui!,…avec la jovialité intérieure naturelle ! s.v.p.,…merci!,…
…
… j’ai lu l’article tweeté par notre hôte sur BHL. Une expression m’a fortement intriguée : (BHL vivrait) « sa judaïté comme universalisme ».
???
Nous savons que l’église « catholique » se veut « universelle », par son qualificatif même. Que la plus virulent des trois religions monothéiste, au chapitre du prosélytisme, est sans conteste la musulmane. Mais le judaïsme ? A part un mouvement dans les années 40 et 50, qui prônait les conversions, la dualité de ce « concept » (ethnique et religieux) rend problématique, à mon sens, d’y joindre un souci « universaliste ». L’auteur de l’article semble pourtant désigner cet « universalisme de la judéïté » comme étant un des moteurs des actions de BHL. Je n’ai pourtant jamais perçu l' »homme à la chemise blanche ouverte sur un torse viril » comme « missionnaire » du judaïsme ???
La Qualité française ? Passou a répondu dans le billet : « Un peu de gravité sous beaucoup de légèreté. Juste un certain charme …»
L’universalisme de la judéité ? Toutes les religions se veulent, sont universalistes autour de leur propre dieu.
La qualité française, comme le catholicisme, n’a plus tellement la cote. L’industrie du luxe, boostée par des Chinois riches et polluants, fera encore illusion une dizaine d’années, avant que nos amis meurent de cancers du poumon déjà en croissance vertigineuse sous leur nuage de crasse.
C’est probablement le sens du pseudonyme abbatial de cet écrivain médecin qui semble prescrire un retour aux fondements de la société française.
@ Phil dit:13 mars 2014 à 10 h 22: « le catholicisme, n’a plus tellement la cote. »: En Asie, le protestantisme a la cote*, pour le catholicisme, l’Afrique et l’Amérique du du, ne sont pas des régions négligeables.
Quand Clopine, présente les musulmans, comme le groupe religieux le plus actif en prosélytisme, elle fait fausse route, car comme le FN ou autres partis d’extrême-droite nationaliste, elle montre du doigt une minorité d’excités. Dans le passé, je ne vois pas qui des musulmans ou des chrétiens, a le plus tué sous prétexte de distribuer la bonne-parole. Ne pas oublier non plus, que Mahomet n’avait pas en tête de pratiquer le moindre racisme.
La religion catholique, plus universelle que les autres religions même ?
Ah Clopine, qu’il est doux d’utiliser en fin de phrase, le mot « même », sorte de Huldigung à Pierre Assouline.
Le judaïsme est la religion-mère du monothéisme et donc le christianisme, premier groupe monothéiste (il y a un plus grand nombre de chrétiens que de musulmans, dans le monde) passe devant l’islam.
* Je pense à la Corée du sud, à l’Asie du sud-est.
BHL, au contraire de la tornade jaune Mr. Proper, qui rend plus propre, BHL donc, parcours le monde et malgré les bombardements et la poussière, reste propre et soigné, ses chemises de chez Charvet, doivent être faites dans une matière qui fait reculer la saleté.
Amérique du Sud
Ce soir, dans La Grande librairie, sur France 5, il y aura Antoine Sénanque
http://www.france5.fr/emissions/la-grande-librairie/diffusions/13-03-2014_219707
@ la Reine du com
« En lisant ces lignes au sujet de la femme de Fusain, on pense à Janet Leigh, la presque poignardée sous la douche de « Psychose », qui dans la vie passait son temps un plumeau et une balayette à la main, à tout épousseter. »
Et à Marlène Dietrich, qui non seulement faisait le ménage constamment chez elle, mais allait le faire aussi chez ses amis.
EFFET CANNOIS BAROZZI
Elles ont 15 ans, des résultats scolaires convenables et ne sont pas issues de milieux sociaux défavorisés. Trois collégiennes de Cannes avaient décidé l’an passé de devenir escort-girls. Des cadres,des chefs d’entreprise, des rentiers sans amour ont profité de leurs prestations sexuelles hautement tarifées. Trois hommes ont été incarcérés, accusés d’avoir facilité la prostitution des adolescentes.
« Arnaud ready made dit:
Polemikoeur
Qualité française ? Passou a répondu :
« Un peu de gravité sous beaucoup de légèreté. »
« Les Français, comme les Grecs, superficiels par profondeur ». (Nietzsche)
« S’il jouit d’une maison de vacances au Pays basque, il a intérêt à se faire discret dans le coin. Forcément, il tient ses natifs pour des gens qui tiennent à rappeler obstinément leur statut d’habitants, et méprisent ceux qui viennent vivre chez eux : « C’est étrange, ces gens qui pensent que la terre leur appartient. Alors que depuis des générations, la chose essentielle qu’ils font dessus c’est leurs besoins. » »
Je ne connaissais pas Antoine Sénanque, mais en lisant ces mots il est devenu automatiquement mon ami (et celui d’au moins 40 millions d’Espagnols).
« Quand Clopine, présente les musulmans, comme le groupe religieux le plus actif en prosélytisme, elle fait fausse route »
Faux, elle est parfaitement dans le vrai. Le prosélytisme musulman est bien plus important, plus actif, plus soutenu même dévoyé, que celui des chrétiens, même sectaires, ou juif !
la qualité française, soit, mais sans boudegras !
Rabbi Schlomo, vous devriez signer Schlemihl the rabbit !
Un couple se repose dans l’ombre d’un buisson ; plus loin, initiation à l’eau (mère et fille ?) — le titre (Qualité française) se comprend mal car il s’agit d’une image que l’on peut voir partout dans le monde…
Pour faire court, les islamistes font peur et les fous de dieu chrétiens, ont meilleure presse. En Yougoslavie, les deux groupes se valaient bien, en matière d’ethnic clearing.
JC, plus j’y pense, plus je trouve que vous devriez signer « Schlemihl-le-goy »
Sur « La grande garde » de Sénanque:
« La Salpêtrière, le bloc, la nuit »
11 mai 2007
http://passouline.blog.lemonde.fr/2007/05/11/la-nuit-le-bloc-la-salpetriere/
Sur « Salut Marie ! »:
Sénanque, l’halluciné sous-équipé.
2 juin 2012
http://passouline.blog.lemonde.fr/2012/06/02/senanque-le-doux-hallucine/
Renato, je ne suis pas d’accord pour votre interprétation de la photo ; elle illustre la « qualité française » parce qu’elle pourrait sortir directement d’un film de Renoir ; le Marcel de l’homme provient, ça se trouve, de la Redoute à Roubaix, les cheveux relevés des femmes me font penser à ceux de Casque d’Or, et la guinguette de Gabin et ses copains n’est pas loin.
“L’Oublieur”, une nouvelle inédite d’Antoine Sénanque:
http://www.telerama.fr/livre/l-oublieur-une-nouvelle-inedite-d-antoine-senanque,108150.php
Ah, le particularismes, quels bibelots ! supposez qu’un spectateur n’ait pas vu les films cités… il ne reste qu’une image sans connotations spécifiques…
Et, pour finir, un peu de polémique, dans cet endroit qui en manque singulièrement… 😉
De l’article d’Antoine Senanque « Merde à l’écologie ! », publié par Le Monde en 2009:
« Le culpabilisateur laïque est la grande figure du monde contemporain. Par un étrange glissement, l’intolérance a quitté sa soutane. Après des siècles de dévalorisation orchestrée par saint Augustin et ses disciples, autour du péché originel qui fit de nous des êtres de faute, nous révélant que le geste le plus anodin, comme croquer une golden dans un jardin, pouvait entraîner une catastrophe collective éternelle, la culpabilité est sortie des églises. Le monde laïque, qui depuis la révolution a forgé son identité dans la lutte contre le satan religieux, a récupéré son arme la plus nocive. La faute individuelle engage le reste du monde. […] L’écologie applique le même système de culpabilisation de l’individu que l’on retrouve partout dans notre société, une vraie pandémie d’hyper-responsabilisation qui écrase l’homme aspirant à l’humilité de n’être toxique que pour lui-même. On le sait, la morale est l’impôt perçu par la collectivité sur la liberté de l’individu. Lorsqu’elle nous force à respecter les Dix Commandements, ça va. Je ne suis pas pour le massacre de mon prochain et le respect du père et de la mère me paraît recevable, depuis que j’ai des enfants. Mais Dieu a-t-il écrit sur les tables de l’Arche d’alliance « Tu ne pollueras point ta planète » ? Non. Donc, pas de zèle. La laïcité se fondamentalise, autour de thèmes qui sont devenus aussi sacrés que les reliques rapportées des croisades : la nature, la santé… Elle a ses adorateurs, elle a ses hérétiques. Son bras séculier s’abat lourdement sur le quotidien de ceux qui n’aspirent qu’à respirer un air qu’elle n’aura pas purifié. Elle a trouvé dans l’écologie son armée d’inquisiteurs, pas plus rassurants que les premiers. Les avez-vous bien regardés, ces protecteurs de notre avenir qui prolifèrent autour de nous comme des mousses, ces flics sans uniforme qui radarisent notre liberté ? »
Il a plutôt une bonne bouille !
http://cafe-powell.com/wp-content/uploads/2014/01/senanque3.jpg
Merci pour le lien, Pablo75, c’est effectivement intéressant. Sénanque s’amuse ! Et il a raison au moins sur un point : ceux que j’appelle « les khmers verts » sont effectivement bourrés de morale jusqu’à plus soif, et culpabilisateurs à 100 %.
Cependant, se démarquer des préoccupations écologiques au motif que la nature nous survivra, qu’elle est la plus forte, me paraît manquer d’objectivité scientifique. Un tantinet.
« Qualité française », accessoirement pour Cartier-Bresson mais surtout pour Etienne Sénanque, renato.
« Les avez-vous bien regardés, ces protecteurs de notre avenir qui prolifèrent autour de nous comme des mousses »
Ils pullulent particulièrement dans le monde médical, il va devoir éviter de se pointer aussi à l’hôpital, le Sénanque !
comme croquer une golden dans un jardin
vade retro avec ta saloperie..l’image de la france c’est un verger à pomme il parait..yen a partout dans le monde..prex..et les illustrateurs la font toujours rouge..reinette cultivar..cox par les brits, la meilleure épicétou
une image que l’on peut voir partout dans le monde…
tada on est au bord du gange..et hors champ y’a ganèche qui flotte..ainsi qu’une tratoria avec filet d’huile d’olive..parmesan etc..comme partout rénato, t’as raison
on trouve encore des belchards mangeabes..quoique là les brits ont fait des cultivars à la gland
« au motif que la nature nous survivra, qu’elle est la plus forte, me paraît manquer d’objectivité scientifique. »
Clopine
La science vient sûrement de démontrer que la nature ne nous survivra pas.
Bravo et merci Clopine pour cette information capitale.
Vous pouvez nous donner vos sources ?
Comme « Khmère verte » vous vous posez là.
..c’est la campagne normande qui a fait l’image de la france..tu devrais t’y approcher et t’y accoler un peu plus clopine..c’est pas mal du tout la normandie tu sais
Vous pouvez nous donner vos sources ?
à chaque source y’avait une femme nue..y’en a moins faut reconnaitre
Pablo75 dit: 13 mars 2014 à 11 h 02 min
« C’est étrange, ces gens qui pensent que la terre leur appartient. Alors que depuis des générations, la chose essentielle qu’ils font dessus c’est leurs besoins. » »
Je ne connaissais pas Antoine Sénanque, mais en lisant ces mots il est devenu automatiquement mon ami.
Il faudra inventer les chiottards biplaces pour que Sénanque et Pablo y soit à l’aise
@Clopine
Merci pour la lecture et le jeux de mollets.
Il faudra penser à réactiver l’axe Bray-Caux.
Boug n’y connaît rien. Il dit que la meilleure pomme est brit. Il n’y connaît rien. Il ne connaît pas la bailleuil !
Non, pour moi, la meilleure des pommes c’est celle-là !
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/cc/Golden_russet_apple.jpg
From Canada…
@ Marcel
« Il faudra inventer les chiottards biplaces pour que Sénanque et Pablo y SOIT à l’aise ».
Tiens ! Le nouveau Gad Elmaleh…
Pablo75 dit: 13 mars 2014 à 12 h 39 min
A ce sujet, Sénanque et Pablo ne fait qu’un.
« la nature nous survivra, qu’elle est la plus forte, me paraît manquer d’objectivité scientifique. Un tantinet. »
Oh, putain de cong, la cruche !!! La Nature nous survivra, c’est une CERTITUDE.
« La science vient sûrement de démontrer que la nature ne nous survivra pas. »
c’est moderne en tout cas what else
Jacques Barozzi dit: 13 mars 2014 à 12 h 36 min
Non, Jacques, la robe ne fait pas la pomme. Dans la pâteuse golden, rien de goûteux, croquant, avec ce petit rien d’acidulé qui est l’apanage de la bailleuil.
@ Marcel
« A ce sujet, Sénanque et Pablo ne fait qu’un ».
Là, tu viens de dépasser Gad Elmaleh.
J’attends avec impatience ta prochaine vanne…
« Cependant, se démarquer des préoccupations écologiques au motif que la nature nous survivra, qu’elle est la plus forte, me paraît manquer d’objectivité scientifique. Un tantinet. »
Ne parlez pas de raisonnement scientifique dans ce cas : vous récitez des mots appris par cœur. Savez vous combien de taux de radioactivité et autres contraintes les insectes et bestioles aquatiques peuvent supporter afin de survivre, eux, à la disparition de la race humaine ?
La Nature et la Terre survivront quoiqu’il arrive à toutes les folies humaines, bien légères pour ce désert à peine peuplé …
…
…à toute fin utile,…pour en dissiper des malentendus,…s’il en existe à créer,…
…
… » histoire de la tactique amoureuse « , par E.S.Turner, Edition Corréa Buchet/chastel Paris 1955.
…A History of Courting,…traduit de l’anglais par Jacques Boitel.
…
…à se plier en quatre,…Ah!,…Ah!,…Bip!,…Bip,…etc,…
…
Il dit que la meilleure pomme est brit
hof..la cox orange c’est comme ta bailleul une reine de reinette, mais mondial like..comme avec boccace ou chausseur, reusment qu’il y avait les picards
La banane guyanaise est la meilleure du monde, mais il ne faut pas la laisser pourrir.
bien légères pour ce désert à peine peuplé …
..homélie aux asticots
pfiou..grace à jicé et copé françoué n’est pas obligé de parler du chomage..
Au frigo ! la banane …
Comment est-on passé de l’abbaye de Senanque à la salade de fruits, en sautant la case camembert (Chaussée aux moines) ?
en sautant la case camembert
..une invention de femme subjuguée par un curé..hach frankreich
Déambuler dans le commentarium
nécessite le port de croquenots
à semelles écrase-tout en raison
des cambronneries là parsemées.
Egoutuèrement.
grace à jicé et copé françoué n’est pas obligé de parler du chomage..
il l’a fait exprès c’est évident
Pablo75
« J’attends avec impatience ta prochaine vanne… »
ça vaut pas les bagues racistes du frustré de pécul
bLagues
il l’a fait exprès c’est évident
même pas..ça te prouve bien qu’il est de droit divin..et il te guerirait si tu touchait son patalon et que t’avais un peu la foi mécréant
Soit !
C’est une fille.
Bien noté, le gender nouveau !
C’est admis.
Une fois pour toute.
On dira donc que c’est une salope.
Et que tirer à 100.000 donne une idée du nombre de lecteurs étant primo-connards…
c’est génial qu’on voille nico partout rapport aux casseroles
Antoine Sénanque, je trouve aussi qu’il a un vrai style, j’ai beaucoup aimé ces deux derniers Opus ! Il est aussi le seul à proposer une boite à poèmes sur son blog http://www.antoine-senanque.com/2014/01/la-boite-a-poemes/
Très bel article Pierre, merci pour lui !
le droit divin c’est nico- il a pas à être emmerdé par les rouges pour s’être dévoué et avoir tant donné de sa personne
Quatre siècles après la mort de Cervantes, les Espagnols se sont enfin décidés à chercher l’emplacement exact de sa tombe – si elle se trouve, comme le dit la tradition, dans l’église madrilène du Couvent des Trinitarias (les nonnes trinitaires). Si on n’y voit pas de pierre tombale à son nom c’est parce que l’auteur de Don Quijote n’a pas laissé suffisamment d’argent à sa mort pour se la payer.
http://www.lavanguardia.com/libros/20140312/54403008742/espana-busca-restos-cervantes.html
Très bel article Pierre, merci pour lui !
..ils ont bien le droit de s’enculer aprés tout..les encourager serait mal séant..ne rien a dire de particulier voilà le gout français
les Espagnols se sont enfin décidés à chercher l’emplacement exact de sa tombe
viva la muerte c’est pas que l’espagne non plus..on meurt partout..tout un avion même..rénateau a pas tort
on meurt partout
..sans laisser d’adresse je veux dire pablo
@jean claude
Quelles « blagues racistes » de quel « frustré de pécul »?
Rabbi, je vais donc préciser ma pensée. Il est évident que le monde pourra survivre aux catastrophes écologiques engendrées par les hommes (nucléaire, réchauffement, disparition de la biodiversité, etc;). Il y un film d’animation qui est basé sur cette idée » et après ? » (après la disparition de l’homme causée par lui-même) et qui démontre que l’histoire de la Terre continuera. Bon. Mais franchement, profiter de cette certitude pour mépriser la prise de conscience écologique qui, seule, peut garantir à nos enfants un avenir « humain », alors là, effectivement, cela me semble notoirement non scientifique. Parce que ce sont les scientifiques qui tirent la sonnette d’alarme, notamment en ce qui concerne le réchauffement climatique…
Oui, la présence de l’homme sur terre est si fragile qu’une fois la dernière abeille disparue, le dernier homme aura vécu. Et la terre continuera fort probablement de tourner, en prime. Faut-il donc continuer, cyniquement, à détruire les abeilles ?
pablo
celles du c.nnard de porquerolles sur les bananes
Pablo75 dit: 13 mars 2014 à 13 h 37 min
à défaut de chercher l’emplacement des restes des « disparus » du franquisme…
« Parce que ce sont les scientifiques qui tirent la sonnette d’alarme, notamment en ce qui concerne le réchauffement climatique… »
Les scientifiques sont, à juste titre, partagés. Ceux qui imputent à l’homme le réchauffement ne sont pas les seuls à théoriser…
le « frustré de pécul » c’est un des gentils surnoms de JC
En Espagne ils n’ont pas la tombe de Cervantes ou de Lorca, mais ils ont par contre celle de Franco, qui a fait mourir (de dégoût) en arrêt domiciliare Unamuno, en prison (de tuberculose mal soignée) Miguel Hernández et dans l’exil A.Machado, Falla, Cernuda, Salinas, Juan Ramón Jiménez ou Casals entre beaucoup d’autres:
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/a6/Basilique_Franco.jpg
Jacques Barozzi dit: 13 mars 2014 à 12 h 36 min
Z’avez bon Barozzi…la russet est bien la meilleure pomme…j’ai un pommier russet et malheureusement, les ecureuils sont grands fans aussi… ca a cause une Guerre totale entre les ecureuils et moi…m’est Avis qu’ils gagneront…
Les meilleures bananes poussent à Madère et aux Canaries. La qualité française a beaucoup perdu en se laissant imposer la banane dom-tomeuse, plus grosse et de faible goût.
« m’est Avis qu’ils gagneront… »
D’autant plus qu’ils ont la plus belle queue, Abdel !
Aux Canaries, j’y serai le mois prochain, Phil : courte mais ferme !
le lumpenprolétariat picard..! pas mal. viens de lire le twouite de l’Eddy. tant qu’à causer bananes
@ jean-claude
« à défaut de chercher l’emplacement des restes des « disparus » du franquisme… »
Mais ceux-là ne risquent pas d’attirer les touristes et de créer des emplois, comme dit naïvement l’auteur de l’article de La Vanguardia, pour qui visiblement il faut des excuses économiques pour rechercher les restes de Cervantes (« La tumba del escritor universal podría atraer a miles de turistas y crear empleos »).
(A propos du portrait peint par Juan de Jáuregui en 1600 qui accompagne l’article: il n’y a aucune preuve qui soit celui de l’auteur de Don Quichotte – même si Jáuregui était un ami de Cervantes).
oui Baroz, et surtout plus de goût, douces et fondantes. enfin, faut s’y connaître: celles de Santa Cruz de Tenerife bien meilleures qu’à Puerto de la Cruz (Sainte Sroix et Port Croix pour causer comme Sénanque).
La Nature et la Terre survivront quoiqu’il arrive à toutes les folies humaines(Rabbi Shlomo)
» quoi qu’il arrive »
Sûrement. Pour le reste, on en reparlera dans cinq milliards d’années, et même bien avant. Dans 800 millions d’années, ça commencera déjà à sentir fortement le roussi.
Utile lien d’Assouline vers l’article de Caviglioli dans le « Nouvel Obs ». L’affaire Bellegueule n’est pas close et le dénommé Louis Edouard va sûrement y laisser des plumes. Tant mieux.
à Pablo75 : je suis un grand admirateurs des écrivains espagnols d’aujourd’hui, connaissez-vous Javier Cercas, Manue Rivas et Antonio Muñoz Molina ?
« Tant mieux. »
En france, on n’aime pas la réussite, Jambon en est ici la preuve !
oui Onésiphore. Mais pas sûr que la phrase de conclusion citée de Musil soit une bonne translation de l’originale (même si la traduction est de Jaccottet). Il faut vérifier la valeur de ce Heimat/patrie.
Faut lotir à Воркута, ça va faire sèchement du beurre…
Jacques Barozzi dit: 13 mars 2014 à 15 h 03 min
En france, on n’aime pas la réussite
Mais si, mais si, voyez ces « goûts » qui se vendent par dizaines de milliers.
Onésiphore de Prébois dit: 13 mars 2014 à 14 h 33 min
Et le bon dieu dans tout ça, il va coller Adam et sa côte dans une fournaise ?
Les baigneuses faudrait qu’on puisse étudier le pixel, parce que là sinon c’est nul et non avenu…
Wouarf, Rabbi. Renseignez-vous un peu mieux, je vous en prie.
Pablo75 dit: 13 mars 2014 à 10 h 56 min
« Les Français, comme les Grecs, superficiels par profondeur ». (Nietzsche)
Guillemets à déplacer:
Les Français, comme les Grecs, « superficiels par profondeur » (Nietzsche)
— « Diese Griechen waren oberflächlich — aus Tiefe! » (Préf. au G.S.)
Les « Français », c’était pas plutôt des foutus « Romains »?
« Renseignez-vous un peu mieux, je vous en prie »
Je ne crois pas que vous ayez la fibre suffisamment scientifique, il me semble, pour affirmer cela autrement que pour des raisons d’idéologie écologiste ! Moi de même. Faisons confiance au débat entre spécialistes, qui apparaissent partagés, ce qui ne m’étonne guère.
Rabbi Shlomo dit: 13 mars 2014 à 16 h 31 min
Faisons confiance au débat entre spécialistes, qui apparaissent partagés
Faut quand même se méfier un brun, parce que rien que pour les pesticides, sans se vautrer dans l’Epinal comme Picsou, ça serait bien quand même oncle Wolf, ses pompes et la puissante chimie tudesque, nullement démantelée quand on croyait, avec en prime la complicité des administrations comme par exemple la nôtre, car bien sûr l’épandage du pognon est aussi conséquent que celui du Zyklon B.
tant qu’on peut pas refaire les divisions c’est qu’on est crédule..chlomo y’est en ligne direct avec yavé..ça se sent
Les « Français », c’était pas plutôt des foutus « Romains »?
je te vois venir..crème normande ou huile d’olive..nietzchle c’est beurre de houille..il fait la gueule faut comprende
Wouarf, Rabbi. Renseignez-vous un peu mieux, je vous en prie
j’ai refait les divisions clopine, t’restes pus beaucoup de temps pour écrire ton bouquin de cul
..aprés tu vas devoir froncer les sourcils pour te souvenir..c’est pas bon
Bouguereau, vous me semblez plus près de Satan que de Yahvé ! Les flammes de l’Enfer vous séduisent à ce point ?
comment saboter la qualité française : bouguereau !
Disons : tout ce que le grand roman américain n’est pas
petit ?
..c’est malin lassouline..et sautet..franchement..
bouguereau dit: 13 mars 2014 à 17 h 01 min
j’ai refait les divisions
Mais y en a combien ? C’est ça qu’on veut savoir !
Bouguereau, vous me semblez plus près de Satan que de Yahvé !
..ho mais chus un entriss attation..mon baratin à saint pierre il est tout fait : les femmes..l’alcool..la société..la litterature..que dostoevski me fait chier..mouftra pas
Mais y en a combien ?
quand on aime on compte pas sergio
Cette phrase est énigmatique:
« Ce n’est d’ailleurs pas l’asymétrie des couverts qu’elle corrige à table mais justement leur dissymétrie. »
(Quel que soit ce qu’elle corrige, elle n’a pas l’air commode.
Enfin, si elle astique, lave et repasse, ça fait déjà le tiers d’une épouse).
Lave, astique, repasse. Il reste deux autres tiers. Lesquels ? Simple curiosité…
Il faut apprendre à bien lire les tesques.
« S’ensuivent deux mois sabbatiques de la vie d’un quinquagénaire rongé… »
« On découvre qu’une femme peut avoir une conception préocolombienne du monde : au-delà de l’horizon de la jeunesse, les hommes tombent dans le vide. »
C’est quoi le lien?
Au jugé: le cycle aztèque de 52 ans.
Ce qui donnerait au docteur une « jeunesse » d’une durée malgré tout appréciable.
Et à la fin du cycle, les femmes basculent aussi, c’est Moctezuma’s Revenge pour tout le monde.
abbi Shlomo dit: 13 mars 2014 à 17 h 34 min
Il reste deux autres tiers. Lesquels ?
Euh… Le rhum ? Présenter des filles ? Ca occupe, ça, finalement…
«Pourquoi être allé « fact-checker » le roman point par point?»
s’il avait ajouté au finiche ça aurait été innocent dans une patrie..en tout cas moi dans ma patrie y’a un truc innocent qui me plait c’est la photo de bellegueule..j’la trouve superaccord..sur que l’éditeur il a fact chécké « il a une tête de ouineur épicétou »
Merdre, Bouguereau. Si je vous fais un article « le désir et moi », sur mon blogue, vous me donnez quoi ? Votre considération ? Mais voyez-vous, je me demande si je veux tant que cela être considérée… Faudrait autre chose, là…
Lave, astique, repasse. Il reste deux autres tiers. Lesquels ? Simple curiosité…
prends ton 12, à 2 coups tation, et regarde sous l’lit chlomo..
Clopine dit: 13 mars 2014 à 17 h 44 min
Si je vous fais un article « le désir et moi », sur mon blogue, vous me donnez quoi ?
Le « désir », ça m’onfre encore trop.
Une page bien léchée sur « Mon cul et moi », et on avisera.
N’éludez pas Clopine ! On ne parle pas de désir, mais de cul …
Je suis d’ailleurs persuadé, Clopine, tant est grand votre charme que ces messieurs, vifs comme dormessons, vous aideront du mieux qu’ils peuvent, dans la mesure de leurs moyens.
Faudrait autre chose, là…
tu fais les questions et les réponses clopine..t’es pas obligé de raccrocher les bidons et dire que t’as été violé par papa et que c’était super (10 pages)..que ta mère te forçait a aller cherche de l’eau dehors cul nu et qu’elle lachait le chien..(3 pages)..la considération n’est pas l’atilla des famille forcément clopine..mais si tu crois que ma considération vaut un artic tapé sur ton apple sur un coin de toile cirée qui sent le choux..même la considération de phil vaut plus cher que ça!
« tapé sur un coin de toile cirée qui sent le choux.. » (b.)
En amour, c’est pas ça la qualité française?
Le Français, c’est un mec qui hésite toujours un peu entre le sexe et le reblochon.
sur un coin de toile cirée qui sent le choux
c’est pas ça..ça peut..mais pas plus d’une page et demi..tu balances le nom de ton voisin au passage..on lui enverra un cubi et un billet de train pour paris à la conférence de presse..
Clopine, vous perdez votre temps avec la valetaille ! Laissez tomber les vieux schnocks qui tiennent à peine debout
..évidemment on peut demander à baroz de faire le loumpène déshonoré qui fait du barouf..mais si l’obs découvre le poteau rose ?
..c’est pas un article qu’il faut clopine..mais tout un bouquin..eddy c’est pas un faignant lui..prend exemple !
c’est un engagement de tout ton être qu’il faut..c’est ça la litterature clopine..pas un succés facile avec bouguereau
u. dit: 13 mars 2014 à 17 h 58 min
Le Français, c’est un mec qui hésite toujours un peu entre le sexe et le reblochon.
Bien sûr ! Avec le bleu d’Auvergne on n’hésite pas…
“Laissez tomber les vieux schnocks qui tiennent à peine debout”
Curiosa, mon frère, tu manques de charité envers nos aînés.
Nos pères…
Putain qu’est ce qu’ils ont bu.
On est des petites natures.
Une page bien léchée sur « Mon cul et moi »
et zouzou lui donne le coup de main..tu vois ça s’écrit tout seul
JC, enlève tes papillotes.
Un mataf c’est le crew cut, ou rien.
Bien sûr ! Avec le bleu d’Auvergne on n’hésite pas…
il n’y a pas a choisir..le saucisson le kil et le fromage ne font pas de miettes au lit..
oui, u. ceux qui ont des chaussures à bascule en permanence comme le bougros et son pote Goering
Tout petit déjà, quand je voyais sur la carte la tache rose des régions viticoles… ou quand on me faisait calculer des histoires d’hectolitre…
Je me disais putain…
On lorgnait vers l’Italie, des fois qu’elle nous dépasse dans le championnat producteur consommateur importateur exportateur…
Le monde, l’univers entier voyait en nous des Number One.
Plus tard, on s’est incliné devant les images de ces petits râblés moustachus, noirs de crasse mais blagueurs, qui tenaient bon dans les tranchées.
La Via Sacra, c’était une vaste artère qui perfusait tous ces braves bougres.
Ces pères-là, ça peut être des pères d’adoption.
C’est pas par le sang que ça passe, ces choses là, c’est par le pinard. Et tous les symboles qui restent attachés au pinard.
Le coup de folie héroïque… L’histoire de cul vécue à l’arrière… La langue verte ou parfois étrangement châtiée qui nous parvient au travers de leurs témoignages… La foutue langue française…
Ils sont loin de nous, c’est sûr.
Et pourtant!
J’ai un pote, qui s’appelle presque Karim, il s’est littéralement (littérairement) donné ces pères, c’est son choix.
Ça lui permet de les moquer, bien sûr.
On lève le coude ensemble, et on parle persan (en tous cas, pour nos voisins, c’est du persan).
Be Khoda!
Buona serata.
@ J.Ch.
« je suis un grand admirateur des écrivains espagnols d’aujourd’hui, connaissez-vous Javier Cercas, Manuel Rivas et Antonio Muñoz Molina? »
Oui, bien sûr – surtout le dernier. Et aussi Rafael Chirbes, Juan José Millás, Antonio Orejudo, Enrique Vila-Matas, etc, etc.
@ u.
« Guillemets à déplacer:
Les Français, comme les Grecs, « superficiels par profondeur » (Nietzsche) ».
La citation du « Gai Savoir » est la plus connue, mais il y a quelques mois, si mes souvenirs sont bons, j’ai lu celle que je cite dans l’un des 3 ou 4 volumes que j’ai de l’édition Colli-Montinari des « Fragments posthumes » – à moins que ça ne soit dans les « Fragments posthumes » du « Gai Savoir », que j’ai aussi. Je vais essayer de la retrouver.
oui, Pablo, « dans la grande nuit des temps » est un véritable chef-d’œuvre
« Antoine Sénanque », ça sent tellement le pseudo qu’on en rit.
Sénanque le premier, probablement.
Si j’étais neurologue, et auteur de manuscrits comme notre amie Clopine, j’aurais choisi comme pseudo Senancour.
Un petit?
Non, un grand quand il était lu par un lycéen (putain, que j’ai lu, que j’ai lu, tout et n’importe quoi).
« Oberman », bien sûr.
Mais j’ai plus tard découvert qu’il avait écrit un abrégé de l’histoire de la Chine.
C’est que ça se vendait?
Mais il était moins riche que MM. Lenoir ou Droit (RP)…
L’Orient sonnant et trébuchant…
C’était un type fragile, mais avec de multiple talents.
On le connaît à Genève, ils ont eu une école critique sensible à ces choses-là (Poulet, Raymond…)
(M. Court? Vous le lisiez aussi?)
A l’esprit de Senancourt, je lève ma coupe.
La dernière, car il m’a été interdit d’en lever une deuxième tout seul.
Ugh.
je regrette d’ailleurs que notre hôte ne soit pas plus curieux de littérature étrangère
On ne parle pas de désir, mais de cul …
Changer de verbe serait encore mieux.
les « Fragments posthumes » du « Gai Savoir », que j’ai aussi. Je vais essayer de la retrouver.
Le fantôme de l’Alba Troce est dans la place !!!
Le fantôme de l’Alba Troce est dans la place !!!
Le Pinard…
Oui beaucoup d’images de guerre ont été reconstituées (les chars de Rommel au travers des Ardennes, etc… et pire, on n’imagine pas!); Propagande et « Holywood »
Certaines peuvent être vraies; espérons-le
Pour 14/18 je garde le souvenir de trains spéciaux transportant des « foudres » gigantesques (comme si c’était des chars, etc..)
Il faut avoir vécu dans les très grands froids, avoir vu canette de bière et gourde alu éclater, pour connaître le bonheur d’avoir du vin…
Il n’est nul pays où le vin est moins cher qu’en France et si bon; compte tenu de sa qualité minimum. On a reproché à la France d’avoir planté de vignes en Algérie, alors que les musulmans n’en buvaient pas… Outre que l’Algérie ne fut pas toujours musulmane, c’est bien un tort de ne pas en boire.
En Suisse par exemple (où l’on en boit pas mal, et où il est très cher), le vin est interdit dans les relais autoroutiers, etc… et la jeunesse se drogue affreusement avec l’aide des « chances » étrangères (on connait le refrain dernièrement avec Oban »a, trouvant -sans aucun prosélytisme of course- le vin pire que les drogues « douces », ou avec l’homme aux chemises Charvet (très beau magasin)qui ne boit jamais d’alcool pour mieux écrire!…)
Je faisais remarquer un peu tout cela à un gendarme qui me proposait un « alcooltest », et m’avouait ne pas boire d’alcool, en ajoutant que ça rejoignait l’interdit qui se répand peu à peu autour du Porc (délicieux, la meilleure viande pour la santé) dans les cantines de France et de Navarre.
bouguereau dit: 13 mars 2014 à 19 h 28 min
Le fantôme de l’Alba Troce est dans la place !!!
Hot.
Fuckin’ hot.
Après ça, on parlera de Femens tronçonneuses ou de Riot pussies…
Camarade bouguereau, vous faites oeuvre d’historien.
« c’est un engagement de tout ton être qu’il faut..c’est ça la litterature clopine.. »
Bouguereau a dû envoyer un CV à Mous Deux !
mais quel con…
Bouguereau, journaliste à Mou De…
J’ai laissé se faire le commentaire toute la journée et le fait est que comme d’habitude ça vole au raz des violettes.
Cela-dit les protagonistes habituels pourront toujours se convaincre qu’il n’en est rien, n’est-ce pas Bouguereau ?
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