de Pierre Assouline

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La République des livres
Aragon, combien de divisions ?

Aragon, combien de divisions ?

Louis Aragon (1897-1982), combien de divisions ? Cinq Pléiades pour les romans, deux pour la poésie et désormais une pour les Essais littéraires (sous la direction d’Olivier Barbarant avec la collaboration de Marie-Thérèse Eychart et Dominique Massonnaud, 2064 pages, 80 euros, Gallimard), tous les Aragon étant ainsi consacrés sur papier bible en huit tomes. Autant de divisions. Peu peuvent en dire autant. La réunion de son œuvre critique presque complète dans sa dimension littéraire propose un peu d’inédit, quelques introuvables et surtout d’indispensables retrouvailles avec des textes lus, connus et reconnus. Préfaces, chroniques, fragments, articles, et même, convenons-en, des essais en bonne et due forme car ainsi décrétés par l’auteur même quoique d’une veine nettement pamphlétaire tel le fameux Traité du style dont l’énergie étincelle comme en 1928 même si l’effet de souffle d’une provocation surréaliste s’est quelque peu émoussé entre temps.

L’essai littéraire apparait en l’espèce comme un genre un peu fourre-tout, tant et si bien que l’on y aurait volontiers inclus l’un de ses chefs d’œuvre parmi les moins considérés et, partant, comme des plus méconnus : je veux parler d’Henri Matisse, roman qui est tout sauf un roman et qui, à vrai dire, ne ressemble à rien de répertorié sinon à un défi lancé à la biographie ; mais il est vrai que le volume annonce la couleur et que ses maitres d’œuvre ont resserré la focale sur les essais littéraires ce qui permet par exemple de ne retenir que la moitié littéraire de L’Homme communiste à l’exclusion de son autre moitié politique. Parfois, même lorsque l’essai était à dominante littéraire, il a été exclu de la sélection par crainte de demeurer inintelligible au lecteur du XXIème siècle, le cas de Littératures soviétiques (1955) dont la plupart des noms, pour ne rien dire des enjeux et des références, sont désormais inconnus du public, ce qui aurait exigé un appareil critique étendu qui aurait alourdi un volume fort déjà de deux mille pages. Aragon n’était pas seulement très cultivé en grand lecteur vorace qu’il ne cessa jamais d’être, il demeurait particulièrement informé- ce qui rend plus impardonnable encore tout ce qu’il savait du totalitarisme soviétique et qu’il a longtemps tu.

Pas toujours facile de s’y retrouver dans le maquis des réécritures et le souci de contextualisation après coup mais les maitres d’œuvre de cette édition se portent garants de la « stabilité » du sens des textes. Les corrections de l’après coup ne sont pas dissimulées, ni les regrets et repentirs. Encore ne s’agit-il que d’une sélection tant l’auteur fut prolixe. Un tel écrivain décourage l’exhaustivité. Tous ses articles des Lettres françaises sur un demi-siècle ne s’y trouvent pas tant il en a écrit mais Olivier Barbarant, à la tête de cette édition, assume le choix subjectif de la sélection. Au fil des pages, Aragon apparait plus que jamais saisi dans une tension sur une ligne de crête entre deux fidélités : avant-garde surréaliste et réalisme socialiste. Il s’en trouva même pour lui fabriquer un oxymore sur mesure à défaut d’être à sa mesure : « le surréaliste réaliste-socialiste ». Contrairement à Gide, si Aragon n’a pas écrit de Retour d’URSS, c’est que lui n’a pas cessé d’aller et venir dans la patrie de l’avenir radieux. Libre à chacun d’éprouver la sincérité ou la mauvaise foi d’Aragon lorsqu’il se livre à l’autocritique dans Pour expliquer ce que j’étais (1943)

En toutes choses il ne cesse d’écrire en poète puisqu’elle irrigue toute son écriture- et l’on comprend que ce soit difficile à admettre face à certains textes du militant. Mais tous les Aragon en lui sont convoqués dans chacune des lignes qu’il a tracées. Jamais il ne cessa au fond d’être surréaliste, communiste, poète, romancier, essayiste, journaliste. L’œuvre poétique se laissait lire aussi lire aussi en la décryptant comme des Mémoires qu’il se refusait de donner comme telles. Ne prévenait-il pas :

« Tout m’est également parole » ?

Allez ranger, classer après cela… Pas facile d’être éditeur pour la Pléiade avec un auteur qui s’est plu à dynamiter les genres (Le Paysan de Paris est proprement inclassable). Il serait vain, comme ce fut longtemps la règle académique, de le découper en tranches et en autant de périodes successives. La leçon qui se dégage par exemple de Je n’ai jamais appris à écrire ou Les Incipit (1969) n’a rien perdu de sa pertinence ; tout handicapé de l’insurmontable première phrase du roman à écrire y trouvera un signalé service (à la relecture des textes originaux de Blanche ou l’oubli ou de La Mise à mort, par exemple, la chercheuse Julie Morrison avait été frappée de ce que la phrase d’incipit ne soit pas la seule à enclencher l’écriture, chaque parcelle du roman en faisant tout autant, poursuivant une relance sans fin). J’abats mon jeu, réflexions sur les relations aussi complexes qu’ambiguës que le roman entretient avec l’Histoire. Une vague de rêves (1924) résonne comme son propre manifeste du surréalisme. Quant à Hugo dont il se sert (Hugo, poète réaliste) tout en voulant le servir (Avez-vous lu Victor Hugo ?), on dira que le génie national n’en avait pas vraiment besoin même en des temps où une vision marxiste de la société dominait dans l’Université.

« C’est avec les jeunes sots qu’on fait les vieux cons » (Aragon)

Barrès (mais oui ! évoqué même en 1948 comme un « « extraordinaire ouvrier de la prose française » ! ), Lautréamont, Stendhal, Desnos, Châteaubriand y côtoient Desbordes-Valmore, Eluard, Lewis Carroll, Sand et même Christie (parfaitement, Agatha). Une sacrée bousculade à laquelle se mêlent également Colette, Rimbaud, Racine et Guillevic. Sur une durée de plus d’un demi-siècle, différentes visions du monde et conceptions de la littérature s’y succèdent mais in fine, ce qui en fait l’unité et le ciment, c’est bien son art poétique qui ne s’interdit aucune digression, aucune ressource de la liberté de l’esprit, bien loin des dogmes du Parti dont il fut membre du comité central officiellement de 1950 à sa mort. En aura-t-il avalé des couleuvres en se taisant pendant les grandes crises (crimes du stalinisme, complot des blouses blanches, rapport Khrouchtchev, révolte polonaise, insurrection hongroise, révélation sur le Goulag…) et en pratiquant de grands écarts pour soutenir des dissidents soviétiques ou d’Europe centrale. On se demande parfois s’il ne s’appliquait pas à se rendre incompréhensible. Il est vrai que le casier est également lourd qu’il s’agisse du pacte germano-soviétique (et son fameux « Vive la paix ! »), de son rôle au Comité national des écrivains ou de son attitude durant l’épuration. Pas facile avec un écrivain qui plaide pour le mentir-vrai sans jamais sacrifier son souci du réel. On se souvient comment son biographe Philippe Forest a montré ce que le personnage peut avoir de « tordu », cynique et calculateur, joueur fasciné par le pari, accumulant des contradictions qui ajoutent à sa complexité.

« Sa façon simpliste de se référer au marxisme, le ton exalté, lyrique et excessivement enthousiaste doivent s’expliquer par le contexte historique, la personnalité d’Aragon, ce en quoi il croyait. On sait que beaucoup d’écrivains avaient la même optique que lui ou s’en rapprochaient. Plus difficiles à faire comprendre sont les références à Staline qui, pour Aragon, et d’ailleurs beaucoup d’autres, n’était pas le personnage que nous connaissons. Il était l’homme qui conduisait tout un peuple sur la voie révolutionnaire. Ce qui est maintenant présenté comme stalinien avec tout ce que ce mot peut comporter de négatif, était à ses yeux et l’est longtemps resté, la voie révolutionnaire » (Marie-Thérèse Eychart)

Pas sûr qu’on lui rende service, et qu’on rende justice à son œuvre, en louant si souvent sa virtuosité, jusques et y compris dans ses essais. Une anaphore passée à la postérité (« Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant/ Vingt et trois… ») ne suffit pas à faire oublier son appel aux « Soviets partout ! » dans la France de 1934. Mais refuserait-on de lire Flaubert en raison de ses positions politiques sur la Commune, Baudelaire sur le second Empire, Victor Hugo parce qu’en 1832 il était monarchiste libéral etc ? Longtemps, Aragon fut l’alibi pratique d’une droite excipant de son ouverture d’esprit en louant haut et fort son œuvre poétique pour mieux mépriser le reste. François Nourissier, qui fut de ses fidèles, se sentait tenu, lui, de monter au front pour clamer la puissance subversive de Blanche ou l’oubli de « cet aîné magnifique et déroutant ». C’était un duelliste dans l’âme (son père l’amena jeune à la salle d’armes) qui montrait une grande capacité à réagir positivement à l’impossible, quitte à vivre en permanence au bord du chaos. C’est peu dire qu’il aimait foutre le bordel : il n’était jamais meilleur que dans les situations de crise, de débâcle et de débandade.

On trouvera aussi dans cette ultime Pléiade quelques utiles piqures de rappel sur des faits méconnus tout à son honneur. Ainsi sa préface à La Plaisanterie de Milan Kundera, texte et auteur qu’il avait apportés à Gallimard en plein « printemps de Prague » par lui soutenu. Alors, que faire d’Aragon en 2025 ? Le lire, pardi ! Les enjeux liés au communisme ayant été emportés avec l’effondrement du mur de Berlin, Aragon et son œuvre souffrent désormais de l’indifférence, ce qui est pire. Il est temps que le monument sorte du purgatoire. Mais tout est à prendre dans cette « œuvre mosaïque » et les Essais littéraires ajoutent à son génie pour le meilleur et, parfois, pour le pire.

(« Louis Aragon » photo D.R. dessins Henri Matisse, 1943)

Cette entrée a été publiée dans Essais, Histoire Littéraire.

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1 577 Réponses pour Aragon, combien de divisions ?

Pablo75 dit: 3 juillet 2025 à 16h14

C’est grâce aux milliards déposés dans leurs banques des dictateurs, des criminels de guerre et de toutes les mafias du monde, que les suisses vivent bien. Le jour où tout ce beau monde déposera son argent sale ailleurs, les suisses deviendraient des mendiants.
Armand Constant dit: 3 juillet 2025 à 12h42

Tu dis n’importe quoi parce que tu as une vieille image caricatural de la Suisse. C’est un pays qui a une industrie florissante. Regarde ses chiffres économiques au lieu de répéter des poncifs éculés.

Pablo75 dit: 3 juillet 2025 à 16h21

Vu, hier soir sur Arte, »De rouille et d’os » film (2012) de Jacques Audiard avec Marion Cotillard et Matthias Schoenaerts.
Jazzi dit: 3 juillet 2025 à 12h15

J’ai regardé aussi, étant donné que j’avais beaucoup aimé « De battre mon cœur s’est arrêté » il y a 20 ans. Mais je n’ai tenu que 10 minutes, tellement c’était mal filmé (on voit au début marcher dans la rue le héros et d’un coup Audiard nous inflige un gros plan de ses pieds se posant sur le trottoir pendant au moins 20 ou 30 secondes – images tremblantes dignes d’un amateur mal inspiré et choquantes chez un cinéaste expérimenté) et tellement ça sentait « le sujet trop humanitairement correct et larmoyant » comme tu dis (j’avais lu la présentation du film). Et ayant horreur des livres ou des films dont on connaît à l’avance la correction politique ou sociale du sujet et dont chaque page ou chaque image ne fait que la confirmer, j’ai fui vite.

Je ne sais pas comment tu fais pour voir autant de films, c’est-à-dire autant de nullités (ils sont très, très rares les grands films – comme les grands livres). Pour aimer celui d’hier il faut avoir une âme de midinette (ou d’homo?).

Pablo75 dit: 3 juillet 2025 à 16h25

Un type vraiment sympathique ce Neruda !
Jazzi dit: 3 juillet 2025 à 8h01

Une vraie ordure morale, comme son admirateur PPPPPPPP (Puck la Pathétique Pute Pétomane Pro-nazie Payée Par Poutine).
Ou comme Céline. Parce que c’est un grand poète (même s’il a écrit trop de vers et beaucoup de très mauvais – toute sa poésie politique).

L’autre jour j’ai lu sur le Net un texte qui citait son très beau vers « ¿En qué idioma llueve? – en réalité « ¿En qué idioma llueve sobre las ciudades atormentadas? » (En quelle langue il pleut sur les villes tourmentées?), vers d’un poème de son livre « El libro de las preguntas »).

Le talent artistique des salopards, un vrai mystère…

puck dit: 3 juillet 2025 à 17h10

pedro, je peux te demander un truc, si nous étions en Espagne dans les années 70 tu m’aurais dénoncé à la police de Franco.

ou au Chili tu m’aurais dénoncé à la police de Pinochet.

et ailleurs partout où on trouve tes amis.

parce que l’expression « vraie ordure morale »

c’était le genre d’expression utilisée par tes amis chiliens quand ils balançaient vivants des étudiants des hélicoptères.

puck dit: 3 juillet 2025 à 17h12

pedro, je peux te demander un truc ?

une ordure morale tu serais capable de la balancer vivant d’un hélicoptère ?

c’est marrant parce que les mecs comme toi je les repère de loin, à l’odeur.

MC dit: 3 juillet 2025 à 17h43

« Le talent artistique des salopards, un vrai mystère. «  Mais aussi une réalité. Cf entre autres, Lully, bien jugé par son temps..,

MC dit: 3 juillet 2025 à 17h47

Qu’on le veuille ou non, Puck, il a existé un mythe de Pompidou créature des Rothschild qui etait assez joyeux…. MC

renato dit: 3 juillet 2025 à 18h24

Un sot a réussi à dire que le mariage de Bezos a contribué à la notoriété de Venise… nous parlons d’une ville de 230 000 âmes qui s’étend sur 430 km2 et accueille chaque année entre 26 et 30 millions de visiteurs, dont environ 13 millions de nuitées sont réservés seulement pour les hôtels.

J J-J dit: 3 juillet 2025 à 18h41

@ 16.42, cessons de laisser défiler les déficits. Chaque enfant qui nait est redevable à l’Etat français d’une dette de 47 000 euros en moyenne qu’il lui faudra bien purger durant sa vie, à moins qu’une nouvelle révolution du néo prolétariat vienne effacer cette dette pesant sur ses frêles épaules, en renversant les régimes qui ont rendu possibles de telles horreurs, D.

Jazzi dit: 3 juillet 2025 à 19h49

« Je ne sais pas comment tu fais pour voir autant de films »

J’aime d’amour le cinéma, qui m’a sorti très tôt d’une réalité par trop contingente et contraignante !
Une drogue dure, dans laquelle je suis tombé dès la prime enfance et dont aujourd’hui encore j’ai besoin de ma dose quotidienne…

renato dit: 3 juillet 2025 à 20h03

Moment obscène aux USA : un groupe d’hypocrites prie pour l’adoption d’une loi qui nuira aux pauvres, aux malades et aux enfants afin d’aider les riches. Il y a aussi le fait, pas hors de propos, qu’au cours du mois de juin, 31 dirigeants d’églises et employés d’écoles chrétiennes ont été arrêtés, reconnus coupables et/ou condamnés à la prison pour des crimes sexuels contre des mineurs.

closer dit: 3 juillet 2025 à 20h24

Rose, Teresina Tua (18566-1956) est-elle de votre famille? Une violoniste italienne pour laquelle Edvard Grieg a composé sa troisième sonate pour violon. « La petite fée au violon sur la colline des trolls », selon lui…

Jazzi dit: 3 juillet 2025 à 20h54

Pourquoi pas aux Halles, entre autres salles, closer et D. ?
C’est la plus grande au monde…

J J-J dit: 3 juillet 2025 à 20h54

Edmée Tetua ? plutôt, non ?
Cette célèbre cantatrice italienne incarnée au cinéma pas Janet Suzman dans le film de Fellini : e la nave va.
,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,

renato dit: 3 juillet 2025 à 21h12

Teresina Tua fut vraiment une grande violoniste, JJ-J, elle a fait don d’un de ses violons (un Stradivari) au Conservatoire de Milan.

Jazzi dit: 3 juillet 2025 à 21h14

La mise en scène de « De rouille et d’os » est parfaite, Pablo75.
Parfaitement minimaliste dans son genre, avec des scènes de sexe et de combats d’hommes remarquablement renouvelées.
Et Marion Cotillard, brut de décoffrage et sans maquillage apparent, est superbement belle.
De plus, c’est tourné dans ma région : Cannes, Antibes, Saint-Laurent du Var, loin des clichés habituels propre à la Côte d’Azur.
Ainsi qu’à Marineland, où l’héroïne a perdu ses jambes suite à un accident provoqué par des orques.
Ironie du sort, ce parc d’attraction, entreprise longtemps flamboyante, est désormais ruiné et fermé par la volonté des ayatollahs verts, laissant sur le bitume (au fond de leurs piscines) quelques dauphins incapables de retourner vivre en mer et dont aucuns autres parcs aquatiques ne veulent…
J’aime le cinéma, qui nous donne une merveilleuse radiographie de l’état du monde, dans toute sa complexité et diversité.

Jazzi dit: 3 juillet 2025 à 21h21

Demain, puck, je vous parlerai du dernier film sorti sur nos écrans, une impitoyable évocation du nihilisme absolu dans lequel le monde est parvenu aujourd’hui…
Terriblement glaçant et désespérant !

J J-J dit: 3 juillet 2025 à 22h26

Aucun lien de parenté avec elle, je pense.
Les « ayatollahs verts », c’est la nouvelle métaphore cinématographique, de gauche à l’extrême droite du spectre, pour diaboliser une cause transpartisane, celle de l’écologie militante active et désespérée, ou quoi ? – Chassons les trolls,
 » » » » » » » » » » » » » » » » » » »

MC dit: 3 juillet 2025 à 22h42

Cher Puck, je ne déforme pas vos propos quand vous dites que l’URSS d’avant était plus libre! Je me permets de les corriger par le cas Plioutch…Lequel n’en serait jamais sorti sans sa femme. Ah, la lettre de Madame Plioutch remerciant Marchais de s’être déclaré pour son mari, ce qui n’était bien sûr pas le cas….

MC dit: 3 juillet 2025 à 22h45

On dit aussi les Khmers verts, et cette innocente blague est passible de la Justice , selon les Intéressés. Pourtant il y a de ça, de même que les Khmers roses naguère,,,,

rose dit: 4 juillet 2025 à 1h07

closer dit: 3 juillet 2025 à 20h24
Rose, Teresina Tua (18566-1956) est-elle de votre famille ?
Je ne crois pas.
À moins qu’une branche de ma famille ait émigré à Turin.
Je suis de Borgo Franco d’Ivrea, au nord de Turin, au-dessus d’Ivrea, au sud du val d’Aoste.
Mon patronyme signifie c’est la tienne.
De là a émigré, pour raison de pauvreté, sans doute mon arrière grand-père paternel. Puisque mon grand-père, toute sa vie, a répété en boucle, Borgo Franco d’Ivrea jusqu’à ce que j’y aille, moi. Son épouse est elle, de Procida, dans la baie de Naples, côté Ischia.

rose dit: 4 juillet 2025 à 1h12

Les parents ont trouvé un moyen de tuer leurs enfants. Ils les laissent sans la voiture, au soleil, lorsqu’il fait 40° dehors. L’enfant cuit. Bravo les parents.

rose dit: 4 juillet 2025 à 1h15

enfants. Ils les laissent dans la voiture, au soleil, lorsqu’il fait 40° dehors. L’enfant cuit. La dernière a neuf ans. C’est au Texas. État de l’Amérique hyper évolué. C’est souvent, mais pas systématiquement, le père. Au Texas, elles s’y sont mises à deux : la mère plus la grand-mère.

rose dit: 4 juillet 2025 à 1h22

C’est un film De rouille et d’os, où on rit, nullissime. Comme son réalisateur qui prouve son inanité et que surtout son patronyme ne lui a pas accordé les dialogues d’enfer de son illustre ancêtre.
Une orque a assassiné une soigneuse dans un parc marin aux États-Unis. Et des groupes d’orques coulent des bateaux au détroit de Gibraltar. Non, elles ne jouent pas. Ce sont des prédateurs.

rose dit: 4 juillet 2025 à 1h28

D’autres notaires très doués, il y en a. Trois viennent d’être innocentés par la justice.
Leur spécialité, les vieilles dames. Un petit achat en viager, vingt huit jours avant le décès et hop, l’héritage. Deux fois d’affilée, quand même. Moi, je mettrai sur ma plaque : NOTAIRE, spécialiste en vieilles dames et en viager.
La justice : oh, les pauvres ! D’honnêtes gens.
Oui.

rose dit: 4 juillet 2025 à 1h31

quelques dauphins incapables de retourner vivre en mer

Qu’est ce qu’on en sait, nous, les hommes ?

rose dit: 4 juillet 2025 à 1h36

J J-J dit: 3 juillet 2025 à 22h26
Aucun lien de parenté avec elle, je pense.

Pourtant, la sœur de mon grand-père, né en 1898, est la seule à avoir émigré dans Marseille dans les beaux quartiers et à avoir consacré sa vie à la musique et à l’art lyrique.

rose dit: 4 juillet 2025 à 1h41

crimes sexuels contre des mineurs.

Il me dit d’emblée « je suis alcoolique » et untel prêtre à dix sept ans s’est marié ensuite avec un beau métis.

Bien membré ai-je pensé avant de lier la chasteté ecclésiastique au désir forcené de cul. Bouffer les enfants, hein. Tout crus. Les dévorer.

rose dit: 4 juillet 2025 à 2h06

balançaient vivants des étudiants des hélicoptères.
Des pères mais c’est vrai, beaucoup de jeunes gens. Au dessus du Pacifique le mal nommé.
Des fils comme en Argentine. Au dessus du désert. Les mères cherchant les os.

rose dit: 4 juillet 2025 à 2h14

Teresina Tua
Son père Antonio ne s’appelle pas Tua.
Sa mère se suicide.
Elle entre dans les ordres. Donne tous ses biens.

MC dit: 4 juillet 2025 à 4h37

Petite remarque; les statues de Bugezud, de Lamoriciere, du Dic d’ Aumalr sur le nord du Louvre n’ont-elles pas été placées par le plus illustre tenant de l’ Algérie Royaume Arabe, Napoléon III, lui-même adversaire du Duc d’ Aumale? Cf la Lettre du Duc à Jérôme Bonaparte. Alors laissez-les tranquilles, cela fait plus d’un siècle qu’elles sont là ! Quant à la fabrication au goût du jour d’ un Louvre Woke, non , non , et non!

MC dit: 4 juillet 2025 à 4h40

X. Alfred Andrieux est mort en 1945. Vous avez raison, cette récurrence du prénom chez l’autre est bizarre….Pour le reste, heureux de vous être utile! MC

renato dit: 4 juillet 2025 à 4h58

Correction
Teresina Tua ne donna pas son Stradivari au conservatoire de Milan, mais à celui de Turin. Excusez-moi, etc.

puck dit: 4 juillet 2025 à 8h40

« Qu’on le veuille ou non, Puck, il a existé un mythe de Pompidou créature des Rothschild qui etait assez joyeux…. MC »

ouai c’est vrai.
la femme de Giscard appartenait aussi de la famille Schneider.

des exemples comme ça on peut en citer des dizaines : depuis la révolution française la France a été gouvernée par un petit nombre de grandes familles d’industriels et de banquiers.

puck dit: 4 juillet 2025 à 8h43

c’est comme le truc de la Caverne de Platon : en avant plan on voit une pièce de théâtre donnant l’impression d’une démocratie, mais en arrière plan on voit que c’est tout du flan.

on l’a vu dans les années 80 : les socialistes ont dû s’écraser face à la puissance de cette nouvelle aristocratie.

c’est encore plus vrai aujourd’hui où cette farce démocratique se joue au niveau européen.

morales sed laisse dit: 4 juillet 2025 à 8h57

Que de pleurs pour le pot de départ de Léa Tata Yoyo de France Inter!

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Mimi Pinson dit: 4 juillet 2025 à 9h32

Willy Ronis (Français, 1910-2009), Mimi Pinson, Aubergiste, Paris, 1952

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puck dit: 4 juillet 2025 à 9h41

par contre ce qui a changé avec Macron c’est la façon dont les oligarques ont carrément fabriqué médiatiquement un personnage pour le vendre aux français.

ils ont fabriqué un personnage quasi idyllique, un truc qui n’existe pas dans la réalité, un Sauveur.

en fait en 2016 les médias nous ont pondu une espèce de mix entre Jeanne d’Arc, Jean Moulin et James Bond.

et les français y ont cru, même Macron y a cru.

B dit: 4 juillet 2025 à 10h06

On dit aussi les Khmers verts, et cette innocente blague est passible de la Justice , selon les Intéressés. Pourtant il y a de ça, de même que les Khmers roses naguère,,,,

et les individus sympathisant de la droite qui tendrait à perdre « son traditionnel « , comment pourrait ils être moqués ou raillés?

B dit: 4 juillet 2025 à 10h09

De toutes manières, MC et consort, vous êtes trop vieux pour ambitionner d’assister au délabrement planétaire . Les projections, si l’on s’en tient à certaines rumeurs rendraient littéralement fous les chercheurs scientifiques.

B dit: 4 juillet 2025 à 10h11

La politique de l’autruche reste la seule adoptée pour satisfaire aux exigences de l’industrie, de l’économie, du Capital.

D. dit: 4 juillet 2025 à 10h28

85,75 % de réussite au bac.
Si les sujets et la notation avaient été normaux, pas plus de 65 % auraient eu leur bac.
Seulement voilà, on ne veut pas faire redoubler les médiocres ou encore les dissuader d’avoir le « bac ».
C’est ainsi qu’on remplit ensuite les « écoles d’ingénieur » ou de « commerce », avec des gens insignifiants pour la plupart, sans idées, sans réflexion et incapables d’écrire un mail qui tienne debout.
Pauvre France. Pauvre France.

Phil dit: 4 juillet 2025 à 10h30

La débacle vient souvent plus vite que prévu, dear Bérénice
« deux ans suffirent pour qu’il le suive au tombeau », Chateaubriand

D. dit: 4 juillet 2025 à 10h30

J’ai oublié les écoles de « communication ». D’où sont issus la plupart des petits DRH minables.

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 10h53

Rose utilise souvent ce blog pour s’écrire à elle-même (elle pourrait réunir tous ces textes dans un livre intitulé « Conversations avec moi-même »).

PPPPPPPP (Puck la Pathétique Pute Pétomane Pro-nazie Payée Par Poutine) l’utilise pour essayer de se convaincre, à la fin de sa vie, qu’il n’a pas cru pendant plus de 50 ans, comme un crétin, à une idéologie qui a fait au moins 100 millions de morts.

Mais cela ne marche pas. D’où ses vomissements quotidiens de mensonges sans limites, de plus en plus répétitifs et de plus en plus désespérés. Cela doit être dur d’arriver à la vieillesse en se disant qu’on a raté complétement sa vie et qu’on a été berné par des idées aussi naïves que criminelles.

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 10h56

85,75 % de réussite au bac.[…]C’est ainsi qu’on remplit ensuite les « écoles d’ingénieur » ou de « commerce », avec des gens insignifiants pour la plupart
D. dit: 4 juillet 2025 à 10h28

C’est ainsi qu’à Polytechnique on a dû créer des cours d’orthographe…

Armand Constant dit: 4 juillet 2025 à 11h04

Rater sa vie et mourir au bout du ratage.
Réussir sa vie et mourir au bout de la réussite.
C’est pas franchement folichon comme perspective pareille pour les deux cas.

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 11h15

La poésie de l’acteur Grégoire Leprince-Ringuet distinguée par l’Académie française.

https://www.lefigaro.fr/livres/la-poesie-de-l-acteur-gregoire-leprince-ringuet-distinguee-par-l-academie-francaise-20250704

*

Eurydice

À votre nuit précoce, ô nullement caduques
Ténèbres, celui-là que cernent ces lauriers
M’arrache s’il poursuit ses pas aventuriers
Jusqu’au jour ambitieux où mon amour l’éduque.

Nous marchons. Je retrouve aux pointes des fétuques
La sensibilité de bras suppliciés
De n’épouser jamais que le balancier
Du faisceau de soupçons rassemblés sur sa nuque.

C’est moi pourtant, moi débordante d’abandon,
Mais muettement moi telle criante offrande,
Et d’avance fidèle à toute prévision

Superbe d’une perte immortellement grande :
Je suis la vérité vivante à condition
Qu’un pur aveuglement longuement l’appréhende.

Grégoire Leprince-Ringuet

puck dit: 4 juillet 2025 à 11h25

pedro !!!!! pas la peine de t’énerver mon bébé !

tes discours à Goebbels et ta mentalité à la Goebbels montrent que toi tu l’as réussie ta vie.

en plus t’as du bol : Goebbels est hyper tendance, même ici : sérieux ils t’adorent !

pour pas la peine de te mettre dans ces états : on t’aime !

pas moi, mais tous les autres ils t’aiment !

puck dit: 4 juillet 2025 à 11h33

« 85,75 % de réussite au bac.
Si les sujets et la notation avaient été normaux, pas plus de 65 % auraient eu leur bac. »

ils sont nuls ces gamins, avec tous ces trucs qu’ils regardent sur internet je suis qu’à la question « la Russie va-t-elle envahir l’Europe » ils sont tellement idiots qu’ils sont bien capables de répondre « non ».

puck dit: 4 juillet 2025 à 11h33

pourtant notre camembert président fait des efforts herculéens pour nous convaincre du contraire.

tel Sisyphe Macron montre l’énorme rocher de la menace existentielle russe et arrivé au sommet de la montagne vlan elle retombe en bas en lui roulant sur la tronche…

Macron devrait embaucher pedro pour lui donner des leçons de discours hitlériens qui eux savaient mettre en surchauffe les foules !

puck dit: 4 juillet 2025 à 11h35

sérieux le problème de Macron c’est qu’il ne semble même pas croire lui-même à ce qu’il dit.

alors que pedro déborde de convictions !

sérieux pedro tu sais que tu m’impressionnes.

si ça se trouve t’es le petit fils de Goebbels ?

t’as fait des recherches génétiques ?

D. dit: 4 juillet 2025 à 11h41

Toutes les petites Goebells ont été cyanurées dans le bunker berlinois d’hiver, Punk. Je croyais que tu savais cela.

puck dit: 4 juillet 2025 à 11h42

les anglais viennent de mettre comme patronne du MI6 une meuf dont le grand père était le SS ukrainien qui commandait le camp de Babi Yar.

le type on le surnommait « le boucher ».

le truc hyper drôle c’est qu’elle dit « ah bon ? non j’étais pas au courant que c’était mon grandfather »

alors que le MI6 dit « oui vu le contexte actuel on l’a prise pour cette raison »

je me demande si les mecs ont conscience que le monde les regarde ? en Inde, en Chine, en Russie etc… les mecs entendent des ministres anglais justifiait le fait de prendre comme patronne de leur service de renseignement la petite fille d’un SS ukrainien qui a dégommé 2 millions de juifs !

perso je pense que c’est un tournant dans l’histoire de l’occident.

pour ça je pense perso que pedro est un type qui a de l’avenir.

si ça se trouve ils vont le prendre comme patron de la dgse ?

le petit fils de Goebbels patron de la dgse ? au point où nous en sommes…

puck dit: 4 juillet 2025 à 11h45

« Toutes les petites Goebells ont été cyanurées dans le bunker berlinois d’hiver, Punk. Je croyais que tu savais cela. »

ouai j’y croyais avant de découvrir pedro.

du coup je pense qu’il y a un ou une qui a dû s’échapper avant de prendre son cyanure.

le seul moyen de le savoir c’est demander à pedro de faire un test adn.

mais bon à ce niveau de ressemblance avec son grand père on peut même s’économiser les frais d’un test génétique.

D. dit: 4 juillet 2025 à 11h45

Macron aurait été bien plus heureux star de Cinéma. Il a raté sa vocation et sa vie en entraînant la France dans le gouffre.

rose dit: 4 juillet 2025 à 11h47

Paul, ou l’art de la litote.
« Autre aveu : je me méfie un peu de Dostoïevski qui me donne l’impression de me pousser dans les couloirs dans une clinique mal éclairée , un soir d’orage, avec une aile où les agités Karamazov et le nietzschéen, Raskolnikov exigent pas mal de soins. »

❤️❤️❤️❤️

FL dit: 4 juillet 2025 à 11h50

« les statues de Bugezud, de Lamoriciere, du Dic d’ Aumalr sur le nord du Louvre n’ont-elles pas été placées par le plus illustre tenant de l’ Algérie Royaume Arabe, Napoléon III, lui-même adversaire du Duc d’ Aumale? »

C’est bien possible. J’ai pas vérifié. Mais sur la façade sud, au même niveau, il y a une superbe statue représentant Apollon chevauchant Pégase (hypothèse personnelle) et qui est à la gloire de Napoléon III, protecteur des arts et des lettres.

Jazzi qui aime les hommes nus de Paris devrait s’intéresser à cette statue. Elle est très réussie.

rose dit: 4 juillet 2025 à 11h52

B dit: 4 juillet 2025 à 11h24
Armand, c’est du Coluche, tu bouffes tu bouffes pas tu crèves quand même.

Ben oui, hein. Mais voilà, Armand est constant. (Pas comme K. Benzema qui en est aux petites filles de treize ans).

MC dit: 4 juillet 2025 à 11h54

Pardon, chère B !On ne voit pas en quoi ma supposée vieillesse changerait quelque chose à l’affaire. Ce que je n’aime pas chez les Khmers roses et verts, c’est qu’ils se mêlent de tout sans en avoir les compétences. C’est qu’ils agitent les peurs, sans pouvoir les résorber. Leur fond de commerce est la crainte irraisonnée, leur remède, revenir au Seizième- Dix Septième Siècle moins l’intelligence. Oserais-je dire que nous n’en sommes pas là? Maintenant, on peut toujours considérer la Sardine ou la Panot comme des cerveaux… Mais ca ne nous mènera pas loin. MC

rose dit: 4 juillet 2025 à 11h55

renato dit: 4 juillet 2025 à 4h58
Correction
Teresina Tua ne donna pas son Stradivari au conservatoire de Milan, mais à celui de Turin. Excusez-moi, etc.
D’accord
Faites gaffe pourtant. Cette merveilleuse ville qu’est Turin ! Et quand je pense qu’elle a été nonne à Rome. Pour les cloches sans doute.

puck dit: 4 juillet 2025 à 12h00

« et le nietzschéen, Raskolnikov »

ça c’est ce qu’on appelle un « contresens »

tout ce livre montre une chose : l’impossibilité pour Raskolnikov d’être nietzschéen.

au départ il veut être un être « extraordinaire » (l’équivalent chez Nietzsche du « surhomme »).

au fil des pages Dostoïevski montre que Raskolnikov n’est qu’un homme ordinaire, même Raskolnikov lui-même s’en aperçoit assez vite.

cela fait écho à ce qu’a dû vivre Dosto au bagne, où selon ses propres termes il était entouré d’hommes « extraordinaires » ce qui renvoyait de lui l’image d’un homme ordinaire.

du coup oui c’est un contresens de lecture un peu comme l’autre qui fait un contresens avec l’Idiot, le plus drôle c’est qu’il dit de ce contresens qu’il lui a sauvé la vie.

Paul Edel c’est pareil il a dû construire sa vie de critique littéraire journalistique sur une somme de contresens qui lui ont permis de vivre.

puck dit: 4 juillet 2025 à 12h04

s’il faut chercher des nietzschéens chez Dostoïevski il faut aller voir du côté de Stavroguine ou de Dimitri Karamazov, et dans l’Idiot du côté de Nastasia.

Armand Constant dit: 4 juillet 2025 à 12h05

C’est quand même étrange que certaines gens meurent bêtement, et même comiquement.
Cela enlève à la mort tout crédit sérieux, toute gravité et toute sacralité aussi.
Un moine, sur son lit de mort, convoqua, un jour, ses compagnons de monastère. En voyant leurs mines tristes et affligées il éclata de rire et leur dit ceci : »Moi je m’en vais et vous, vous restez là ».

vadeboncoeur dit: 4 juillet 2025 à 12h15

Oh que vous êtes jolie Mimi Pinson!
🙂
Mais pourquoi donc ce P.ck est si radoteur?

vadeboncoeur dit: 4 juillet 2025 à 12h17

est-il si radoteur?

Il se trompe de blog, il devrait commenter chez Bilger par exemple.

Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 12h27

Heureusement pour lui, Monsieur Cour-bevoie n’a rien d’un chercheur scientifique. Il a juste raté sa vocation de pigiste à Télé-Poche.

Hurkhurkhurk !

@Pablo. As-tu dans ton immense bibliothèque l’histoire et dictionnaire de la police chez Bouquins? Pas encore retrouvé le mien.

FL dit: 4 juillet 2025 à 12h34

Je n’arrive pas à retrouver la source antique qui fait de Pégase le cheval d’Apollon. Ça ne semble pas être dans « Les Métamorphoses ».

B dit: 4 juillet 2025 à 12h42

MC, Mathilde Panot est LFI et bien que je ne suive pas son actualité il ne me semble pas que le motif écologie apparaisse souvent dans ses interventions. Quant à cette catégorie de personnes par vous dépréciée je ne vois pas précisément auxquelles vous pensez. Le GIEC est une coalition d’imbéciles, de débiles mentaux, qui se mêlent de ce qui ne les regarde pas, c’est admis.

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 12h48

@ Rose utilise souvent ce blog pour s’écrire à elle-même (elle pourrait réunir tous ces textes dans un livre intitulé « Conversations avec moi-même »). /// Dieu merci, elle nous en offre chaque jour les bonnes feuilles avant d’aller en publier l’intégralité. Une grande chance pour nous autres, d’en être les gracieux bénéficiaires. Voilà ce que je pense. Merci, r^z.

@ MC – Dans « le » Aubouin, Teyssier & Tulard (dir.), la notice relative à Antoine-François CLAUDE se trouve à la page 613, écrite par le regretté Marcel LE CLERE. Comme vous le savez, les Mémoires de M. Claude furent publiés en 1O volumes entre 1881-1883… Perso, je vous en recommande les plus passionnants, à savoir les 7 et 8e, époques les plus intéressantes de sa carrière. Sans doute m’objecterez vous cette opinion, ce qui est bien naturel. Bàv
(Attention à la canicule qui persiste -> la vieillesse ne fait rien à l’affaire).

B dit: 4 juillet 2025 à 12h49

Et pour ce qui est de nos peurs, inquiétudes, il est vrai que compte tenu de nos pauvres initiatives en matière d’environnement, d’écologie de façon générale et des impératifs commerciaux mis en opposition et dominants, il semble que même les solutions existantes pour redresser la trajectoire sont à des années lumières d’être mises en place pour les raisons que vous pouvez deviner. Les géants ne levant pas le pied comment les autres pourraient survivre à leur concurrence s’ils étaient eux- même décidés à remédier à des déjections de toutes natures?.

renato dit: 4 juillet 2025 à 12h50

« J’irai chercher Teresina. »

À Sondrio, rose, une bibliothèque conserve beaucoup de documents (lettres, photographies) ayant appartenu à Tua.

Patrice Charoulet dit: 4 juillet 2025 à 13h14

De quelques ridicules

Le ridicule de ceux qui ne veulent pas dire leur nom.
Le ridicule de ceux qui ne veulent pas dire leur profession.
Le ridicule de ceux qui ne veulent pas montrer leur tête.
Le ridicule de ceux qui ne veulent pas donner leur mail.
Le ridicule de ceux qui veulent pas dire leur ville.
Le ridicule de ceux qui ne veulent pas dire pour qui ils ont voté.
Le ridicule de ceux qui s’attroupent périodiquement en braillant, en jetant des pierres, en brûlant des poubelles et en agressant des fonctionnaires de police.
Le ridicule de ceux qui lisent un livre en ayant entendu dire qu’il était en tête des ventes.
Le ridicule de ceux qui fument des cigarettes pour être sûrs de choper un cancer.
Le ridicule des alcooliques qui tentent en buvant d’oublier un moment leur désespoir.
Le ridicule qui gens qui viennent vous dire : « Je vis pour mes chiens. »
Le ridicule des gens qui prennent de la cocaïne, du cannabis ou autres produits pour croire quelques quarts d’heure avoir une belle vie.
Le ridicule de ceux pensent qu’ils auront, après la mort, une seconde vie.
Le ridicule de ceux qui recourent à des prostituées.
Le ridicule des couples d’hommes ou des couples de femmes qui veulent absolument avoir un enfant ou plusieurs en achetant une mère porteuse.
Le ridicule des septuagénaires qui font de la trottinette électrique.
Le ridicule des brunes qui se teignent en blondes.
Le ridicule des chauves qui portent une moumoute.
Le ridicule des gens de 130kilos qui trottinent en espérant perdre cent grammes.
Le ridicule des gens qui sont capables de vous parler une heure de suite et qu’on a le plus mal grand à interrompre.
Le ridicule des gens qui vous disent ne pas avoir de télé pour ne pas subir de propagande , alors qu’on a le choix entre plusieurs centaines de chaînes.
Le ridicule des gens qui ont une voiture pour jouer à Fangio.
Le ridicule des gens qui deviennent barbus pour céder à l’épidémie.
Le ridicule des hommes qui se tatouent, portent des boucles d’oreille et/ou une queue de cheval.

Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 13h36

L’affaire des Mémoires de Monsieur Claude dont évidemment, Monsieur Court, chercheur et trouveur dans les pochettes surprises n’a jamais su le premier mot.

« L’éditeur écrit :
« D’épisodes insolites en personnages inquiétants, conjuguant petite et grande histoire, monsieur Claude raconte trente-cinq années de secrets policiers. »

Voilà une affirmation bien surprenante de la part d’une maison supposée sérieuse comme Taillandier / Texto.

En effet, il a été est établi dès la première édition que ces Mémoires étaient apocryphes et que le véritable M. Claude n’avait laissé aucun papier.

On peut suivre « l’enquête » au jour le jour dans l’Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux :

— le 25 août 1881 colonne 520, volume XIV l’intermédiairiste « Doct. By » pose la question :
« Les Mémoires de Claude » – Sous ce titre paraissent en ce moment chez un éditeur de Paris des volumes qui contiennent des révélations, plus ou moins authentiques, sur le Second Empire. Je les ai lus attentivement, et diverses remarques que j’ai faites sur plusieurs points qu’il serait trop long de citer, me font douter de leur authenticité. Si ce n’est pas l’oeuvre du fameux policier bien connu, c’est sans doure celle d’un de ses acolytes, et on y sent fortement la main du « teinturier ». Ainsi, dans le 2e vol., paru récemment, il y a un fac-similé d’une lettre de Tropmann, où celui-ci dit : « Emprassez pien, en attentant que che les emprasse, fos émaples enfants…, etc. » Or, cette manière d’écrire le français peut appartenir à quelqu’un qui veut parodier la prononciation alsacienne, mais a-t-elle jamais été employée par l’Alsacien lui-même, pour lequel les lettres, bien que se prononçant différemment, s’écrivent pourtant de même que pour un Français ? Que pensent de celà les sphinx de l’Intermédiaire ?

— Réponses le 20 septembre 1881 , colonne 602 dans le même vol. XIV :
De Ch. Courbe :
« Il est de toute évidence que le passage cité par Doct. By est l’oeuvre d’un Français. L’Alsacien le moins lettré sachant écrire n’écrit pas plus mal le français qu’un autre paysan de n’importe quelle province. Si une fois ou deux, et ce sera tout, il écrit selon sa prononciation, il n’accumulera pas *six fautes* de ce genre en *deux lignes*. Voilà pour le coup un fac-similé par trop fac-similé, Monsieur Claude !

De « A.B. » :
« Le Figaro émettait dernièrement des doutes très justes sur leur authenticité. S »i un Alsacien sur mille prononce mal, tous écrivent le français mieux que tous les transvosgiens.

De « Un Guépin » :
« Si j’en crois des renseignements qui m’ont été donnés par une personne bien placée pour savoir la vérité, la publication de ces Mémoires serait due à un journaliste parisien. M. Claude n’aurait laissé que peu de papiers intéressants, et l’imagination du journaliset en question se serait donné libre carrière à travers les trois volumes offerts au public. »

Autres réponses le 10 octobre 1881, colonne 520 dans le même vol. XIV,  »
De « La Maison Forte »
« Sous la rubrique ‘Le Forçat Griscelli’, M. A. Ponet, rédacteur en chef de la Comédie politique, de Lyon (dimanche 25 sept. 1881), attribue les « Mémoires de M. Claude » au baron Arthur de Rimini, connu sous le nom Griscelli de Vezzani [auteur de prétendus Mémoires d’un agent secret attaché à la personne de Napaoléon III] […]
M. Ponet dit ‘J’ai comparé ensemble les deux libelles et je suis complètement éclairé : il y a dans les Mémoires dits de M. Claude les mêmes tours de langage, les mêmes imperfections de style, les mêmes idiotismes corsés que dans les Mémoires d’un agent secret’.
Puis l’auteur ajoute ‘Ce sont les mêmes hâbleries, la même hystérie criminelle, les mêmes fanfaronnades, les mêmes naïvetés de création, d’affirmation et d’exposition. Ce sont, de plus, les mêmes faits qui sont narrés dans l’un et l’autre ouvrage’

La question est relancée 8 ans plus tard, en 1889.
Le 25 janvier 1889, colonne 40 dans le vol. XXII, « Messaoud » demande :
« Qui est l’auteur des Mémoires de M. Claude ? On lit dans le « Service de la sûreté », de M. G. Macé, p. 348 :
M. Claude, en raison de son dévouement au
gouvernement impérial, fut arrêté sous la
Commune, et peu s’en fallut qu’il ne figurât parmi
les otages. Il est décédé en 1880 à Vincennes, où il
s’était retiré. On lui a attribué des « Mémoires » qui
ont été édités sous diverses formes, à grand renfort
d’illustrations. Je puis affirmer, moi qui l’ai bien
connu, qu’il n’a laissé ni « mémoires » ni « notes de
police.
Le témoignage de M. Macé fait autorité ; il n’a d’ailleurs été récusé par personne à notre connaissance. Donc : Mémoires apocryphes comme ceux du cardinal Dubois, d’une femme de qualité et de tant d’autres. Mais connaît-on les auteurs, ou du moins les organisateurs de cette entreprise littéraire ?’

La question est de nouveau posée le 10 mars 1889, colonne 155 dans le même vol.XXII
« E.D. » affirme :
M. Théodore Labourieu, romancier de talent, est l’auteur de ce grand succès de librairie.

Deux ans plus tard, le 10 septembre 1891, colonne 673 vol. XXIV
« G.M. » révèle, en réponse aux deux précédents inytervenants (colonnes XXII, 40 & 155) :
La maison Jules Rouff a entrepris cette publication littéraire en achetant le nom aux héritiers de M. Claude, et c’est M. Labourieu qui, sans le moindre document, a écrit les dix volumes.

16 ans plus tard, « R. » repose la question le 30 mars 1907, colonne 447 vol. LV :
De qui sont les Mémoires de Monsieur Claude ? Je doute fort qu’ils soient du policier lui-même.

Réponses le 20 avril 1891, colonne 596 vol. LV :
De « M » :
J’ai entendu dire -je ne certifi rien- que les Mémoires de Monsieur Claude étaient de Théodore Labourieux.

De « Gustave Fustier » :
La revue ‘Le Livre’ a publié dans sa livraison d’avril 1885 (partie rétrospective) un article intitulé ‘La Police par les policiers’. On y trouve le passage suivant relatif aux Mémoires de M. Claude :
Dans la préface de son livre, Vidocq avoue avoir eu un collaborateur, un « teinturier » pour employer son expression. À quels « teinturier » s’est adressé l’éditeur des Mémoires de M. Claude ? Nous l’ignorons. Ce que nous pouvons hardiment affirmer, c’est que le vieux chef du service de sûreté est mort sans avoir laissé, nous ne dirons pas de manuscrit, mais la moindre note qui ait pu servir à fabriquer cette indigeste compilation, dont la Gazette des Tribunaux seule a dû faire les frais. Ce n’est là qu’une spéculation de librairie. Il est regrettable qu’une telle publication ait pu être prise au sérieux par ceux-là même qui devaient être les premiers à la tenir pour mensongère. N’avons-nous pas vu, par exemple, l’abbé Moreau la citer comme une autorité dans ses « Souvenirs de la Roquette » ?
Le Père Claude, comme on l’appelait, fut, il est vrai, souvent sollicité d’écrire, ou plutôt de dicter ses Mémoires. Un jour qu’il était pressé plus vivement que de coutume par un journaliste qui lui offrait 30 000 francs pour avoir le droit de publier ses souvenirs : « Cela me serait impossible, répondit Claude ; je suis un soldat qui a descendu la garde et oublié le mot de passe. »

Réponse d’Eugène Grécourt aux deux précédents (LV 447 & 596) le 30 avril 1907, colonne 644 dans le même vol. LV :
Je ne connais pas l’auteur des Mémoires de Monsieur Claude, mais je crois pouvoir affirmer que le « père Claude », que j’ai personnellement connu, il y a trente ans, ne les a ni écrits ni inspirés.
Ces Mémoires fourmillent, en effet, d’erreurs grossières sur la carrière de l’ancien chef de la Sûreté et ne donnent même pas la date exacte de sa naissance.
D’autre part, ils ont été évidemment rédigés par une personne peu au courant du fonctionnement de la police parisienne, car ils contiennet de nombreux détails sur des faits absolument étrangers aux attributions de M. Claude, et que celui-ci ne pouvait, par conséquent, connaître.
M. Claude est décédé le 3 avril 1880 ; sa veuve est décédée quelques mois après, le 20 novembre 1880, ne laissant que des neveux et des nièces.
Les mémoires n’ont paru qu’en 1881, et n’ont pu être publiés qu’avec l’autorisation de la famille de M. Claude. Il est donc présumable que l’auteur a utilisé quelques notes et renseignements plus ou moins excats fournis par des memebres de cette famille, pour broder une série de romans dont l’invraisemblance saute aux yeux du lecteur.

22 ans plus tard, l’affaire ressurgit, colonne 673 du vol. XCII des 10-20-30 septembre 1929, avec la question de A. Guilleminault :
L’éditeur Rouff a publié de 1881 à 1883 un ouvrage en 10 volumes intitulé « Mémoires de Monsieur Claude, chef de la police de sûreté sous le second empire ». Je demande quelle foi il faut accorder à ces Mémoires ? M. Claude, qui est né à Toul le 17 octobre 1807 serait mort, d’après le Nouveau Larousse, en 1880, à Vincennes. Si cette date de 1880 est exacte, les Mémoires seraient donc posthumes ? Sont-ils apocryphes ?

Réponses aux deux précédents (XCII 644 & 673) colonne 803 dans ce même vol. XCII des 20-30 octobre 1929 :

De Gaston Prinet :
C’est au moins la quatrième fois que cette question est posée dans l’Intermédiaire. de l’ensemble des réponses données il résulte que le policier Claude n’a laissé ni mémoires ni notes de police et que ces Mémoires sont apocryphes.
L’auteur de cette spéculation de librairie serait un romancier du nom de Théodore Labourieu.

De Edmond L’Hommedé :
Le Grand Larousse, t. XVII, 2e supplément, répond à la question que le Nouveau Larousse suggère à notre confrère :
« Les Mémoires de M. Claude (1881-1183) ont paru après sa mort. Sans pouvoir affirmer qu’ils sont entièreme,nt son oeuvre, on peut croire cependant qu’ils ont, au moins, été rédigés sur ses notes… Nous n’oserions cependant affirmer que l’historien puisse s’en servir comme de pièces justificatives incontestables. »

De M. Rivière :
Cette question a déjà été posée en 1907 dans l’Intermédiaire (voir LV, 447, 596, 644). Des réponses faites à l’époque, il ressort qu’on a de fortes raisons de croire que ces Mémoires sont apocryphes. Un intermédiairiste qui signe « M. » cite même comme « teinturier » présumé Théodore Labourieux.

De H.D. :
Cette question a déjà été traitée dans l’Intermédiaire en 1907 (LV 447, 596, 644). Les réponses données ne laissent aucun doute sur le caractère apocryphe de ces Mémoires.

De Aceite :
Au moment de la publication des Mémoires de M. Claude, vers 1880, Vormes, l’un des éditeurs, interrogé par moi sur l’authenticité de ces souvenirs, m’a répondu :
« Ils sont de notre ami Théodore Labourieu et non de l’ancien chef de la Sûreté. »
Labourieux venait journellement dans la maison d’édition en question.

Réponse de « O.M. », colonne 896, dans ce même volume XCII des 20-30 novembre 1929
Dans l’ouvrage de M. Macé, ancien chef de la sûreté, intitulé « Mon musée criminel », Charpentier, éditeur, 1890, on peut lire, p. 62 :
« Les Vidocq, les Coco-Latour et autres malfaiteurs avaient vécu leurs Mémoires, écrits par des romanciers… indulgents, aussi apocryphes que ceux portant le nom de M. Claude, et les notes laissées par mon honorable collègue sont celles que je possède. »

« Archiloque », Babelio.

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 13h49

Quelque précisions sur le rôle du fameux Labourieu dans « les Mémoires » de M. Claude, si nous voulions bien faire les cuistres sous l’ombrelle de Ste Marie-Chantale de Sasseur pour en remontrer au grand journaliste des sombres épisodes de l’histoire de la littérature policière autobiographée par des nègres.
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… il a été est établi dès la première édition que ces Mémoires étaient apocryphes et que le véritable M. Claude n’avait laissé aucun papier. … On peut suivre « l’enquête » au jour le jour dans l’Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux :
— le 25 août 1881 colonne 520, volume XIV l’intermédiairiste « Doct. By » pose la question :
« Les Mémoires de Claude » – Sous ce titre paraissent en ce moment chez un éditeur de Paris des volumes qui contiennent des révélations, plus ou moins authentiques, sur le Second Empire. Je les ai lus attentivement, et diverses remarques que j’ai faites sur plusieurs points qu’il serait trop long de citer, me font douter de leur authenticité. Si ce n’est pas l’œuvre du fameux policier bien connu, c’est sans doute celle d’un de ses acolytes, et on y sent fortement la main du « teinturier ». Ainsi, dans le 2e vol., paru récemment, il y a un fac-similé d’une lettre de Tropmann, où celui-ci dit : « Emprassez pien, en attentant que che les emprasse, fos émaples enfants…, etc. » Or, cette manière d’écrire le français peut appartenir à quelqu’un qui veut parodier la prononciation alsacienne, mais a-t-elle jamais été employée par l’Alsacien lui-même, pour lequel les lettres, bien que se prononçant différemment, s’écrivent pourtant de même que pour un Français ? Que pensent de celà les sphinx de l’Intermédiaire ?
— Réponses le 20 septembre 1881 , colonne 602 dans le même vol. XIV : De Ch. Courbe :
« Il est de toute évidence que le passage cité par Doct. By est l’œuvre d’un Français. L’Alsacien le moins lettré sachant écrire n’écrit pas plus mal le français qu’un autre paysan de n’importe quelle province. Si une fois ou deux, et ce sera tout, il écrit selon sa prononciation, il n’accumulera pas *six fautes* de ce genre en *deux lignes*. Voilà pour le coup un fac-similé par trop fac-similé, Monsieur Claude … De « A.B. » : « Le Figaro émettait dernièrement des doutes très justes sur leur authenticité. Si un Alsacien sur mille prononce mal, tous écrivent le français mieux que tous les transvosgiens. De « Un Guépin » :
« Si j’en crois des renseignements qui m’ont été donnés par une personne bien placée pour savoir la vérité, la publication de ces Mémoires serait due à un journaliste parisien. M. Claude n’aurait laissé que peu de papiers intéressants, et l’imagination du journaliste en question se serait donné libre carrière à travers les trois volumes offerts au public. » – Autres réponses le 10 octobre 1881, colonne 520 dans le même vol. XIV,  » De « La Maison Forte » « Sous la rubrique ‘Le Forçat Griscelli’, M. A. Ponet, rédacteur en chef de la Comédie politique, de Lyon (dimanche 25 sept. 1881), attribue les « Mémoires de M. Claude » au baron Arthur de Rimini, connu sous le nom Griscelli de Vezzani [auteur de prétendus Mémoires d’un agent secret attaché à la personne de Napaoléon III] […]
M. Ponet dit ‘J’ai comparé ensemble les deux libelles et je suis complètement éclairé : il y a dans les Mémoires dits de M. Claude les mêmes tours de langage, les mêmes imperfections de style, les mêmes idiotismes corsés que dans les Mémoires d’un agent secret’. Puis l’auteur ajoute ‘Ce sont les mêmes hâbleries, la même hystérie criminelle, les mêmes fanfaronnades, les mêmes naïvetés de création, d’affirmation et d’exposition. Ce sont, de plus, les mêmes faits qui sont narrés dans l’un et l’autre ouvrage’ – La question est relancée 8 ans plus tard, en 1889. Le 25 janvier 1889, colonne 40 dans le vol. XXII, « Messaoud » demande : « Qui est l’auteur des Mémoires de M. Claude ? On lit dans le « Service de la sûreté », de M. G. Macé, p. 348 : M. Claude, en raison de son dévouement au
gouvernement impérial, fut arrêté sous la
Commune, et peu s’en fallut qu’il ne figurât parmi
les otages. Il est décédé en 1880 à Vincennes, où il s’était retiré. On lui a attribué des « Mémoires » qui ont été édités sous diverses formes, à grand renfort d’illustrations. Je puis affirmer, moi qui l’ai bien connu, qu’il n’a laissé ni « mémoires » ni « notes de police. Le témoignage de M. Macé fait autorité ; il n’a d’ailleurs été récusé par personne à notre connaissance. Donc : Mémoires apocryphes comme ceux du cardinal Dubois, d’une femme de qualité et de tant d’autres. Mais connaît-on les auteurs, ou du moins les organisateurs de cette entreprise littéraire ?’ La question est de nouveau posée le 10 mars 1889, colonne 155 dans le même vol.XXII « E.D. » affirme : M. Théodore Labourieu, romancier de talent, est l’auteur de ce grand succès de librairie. Deux ans plus tard, le 10 septembre 1891, colonne 673 vol. XXIV « G.M. » révèle, en réponse aux deux précédents intervenants (colonnes XXII, 40 & 155) : La maison Jules Rouff a entrepris cette publication littéraire en achetant le nom aux héritiers de M. Claude, et c’est M. Labourieu qui, sans le moindre document, a écrit les dix volumes. 16 ans plus tard, « R. » repose la question le 30 mars 1907, colonne 447 vol. LV :
De qui sont les Mémoires de Monsieur Claude ? Je doute fort qu’ils soient du policier lui-même.
Réponses le 20 avril 1891, colonne 596 vol. LV :
De « M » : J’ai entendu dire -je ne certifie rien- que les Mémoires de Monsieur Claude étaient de Théodore Labourieux. De « Gustave Fustier » :
La revue ‘Le Livre’ a publié dans sa livraison d’avril 1885 (partie rétrospective) un article intitulé ‘La Police par les policiers’. On y trouve le passage suivant relatif aux Mémoires de M. Claude : Dans la préface de son livre, Vidocq avoue avoir eu un collaborateur, un « teinturier » pour employer son expression. À quels « teinturier » s’est adressé l’éditeur des Mémoires de M. Claude ? Nous l’ignorons. Ce que nous pouvons hardiment affirmer, c’est que le vieux chef du service de sûreté est mort sans avoir laissé le moindre manuscrit, mais encore la moindre note qui ait pu servir à fabriquer cette indigeste compilation, dont la Gazette des Tribunaux seule a dû faire les frais. Ce n’est là qu’une spéculation de librairie. Il est regrettable qu’une telle publication ait pu être prise au sérieux par ceux-là même qui devaient être les premiers à la tenir pour mensongère. N’avons-nous pas vu, par exemple, l’abbé Moreau la citer comme une autorité dans ses « Souvenirs de la Roquette » ? Le Père Claude, comme on l’appelait, fut, il est vrai, souvent sollicité d’écrire, ou plutôt de dicter ses Mémoires. Un jour qu’il était pressé plus vivement que de coutume par un journaliste qui lui offrait 30 000 francs pour avoir le droit de publier ses souvenirs : « Cela me serait impossible, répondit Claude ; je suis un soldat qui a descendu la garde et oublié le mot de passe. » Réponse d’Eugène Grécourt aux deux précédents (LV 447 & 596) le 30 avril 1907, colonne 644 dans le même vol. LV : Je ne connais pas l’auteur des Mémoires de Monsieur Claude, mais je crois pouvoir affirmer que le « père Claude », que j’ai personnellement connu, il y a trente ans, ne les a ni écrits ni inspirés. Ces Mémoires fourmillent, en effet, d’erreurs grossières sur la carrière de l’ancien chef de la Sûreté et ne donnent même pas la date exacte de sa naissance.
D’autre part, ils ont été évidemment rédigés par une personne peu au courant du fonctionnement de la police parisienne, car ils contiennent de nombreux détails sur des faits absolument étrangers aux attributions de M. Claude, et que celui-ci ne pouvait, par conséquent, connaître. M. Claude est décédé le 3 avril 1880 ; sa veuve est décédée quelques mois après, le 20 novembre 1880, ne laissant que des neveux et des nièces.
Les mémoires n’ont paru qu’en 1881, et n’ont pu être publiés qu’avec l’autorisation de la famille de M. Claude. Il est donc présumable que l’auteur a utilisé quelques notes et renseignements plus ou moins exacts fournis par des membres de cette famille, pour broder une série de romans dont l’invraisemblance saute aux yeux du lecteur. 22 ans plus tard, l’affaire ressurgit, colonne 673 du vol. XCII des 10-20-30 septembre 1929, avec la question de A. Guilleminault : l’éditeur Rouff a publié de 1881 à 1883 un ouvrage en 10 volumes intitulé « Mémoires de Monsieur Claude, chef de la police de sûreté sous le second empire ». Je demande quelle foi il faut accorder à ces Mémoires ? M. Claude, qui est né à Toul le 17 octobre 1807 serait mort, d’après le Nouveau Larousse, en 1880, à Vincennes. Si cette date de 1880 est exacte, les Mémoires seraient donc posthumes ? Sont-ils apocryphes ?Réponses aux deux précédents (XCII 644 & 673) colonne 803 dans ce même vol. XCII des 20-30 octobre 1929 : De Gaston Prinet : C’est au moins la quatrième fois que cette question est posée dans l’Intermédiaire. De l’ensemble des réponses données il résulte que le policier Claude n’a laissé ni mémoires ni notes de police et que ces Mémoires sont apocryphes. L’auteur de cette spéculation de librairie serait un romancier du nom de Théodore Labourieu. De Edmond L’Hommedé : Le Grand Larousse, t. XVII, 2e supplément, répond à la question que le Nouveau Larousse suggère à notre confrère :
« Les Mémoires de M. Claude (1881-1883) ont paru après sa mort. Sans pouvoir affirmer qu’ils sont entièrement son œuvre, on peut croire cependant qu’ils ont, au moins, été rédigés sur ses notes… Nous n’oserions cependant affirmer que l’historien puisse s’en servir comme de pièces justificatives incontestables. » De M. Rivière : Cette question a déjà été posée en 1907 dans l’Intermédiaire (voir LV, 447, 596, 644). Des réponses faites à l’époque, il ressort qu’on a de fortes raisons de croire que ces Mémoires sont apocryphes. Un intermédiairiste qui signe « M. » cite même comme « teinturier » présumé Théodore Labourieux. De H.D. :
Cette question a déjà été traitée dans l’Intermédiaire en 1907 (LV 447, 596, 644). Les réponses données ne laissent aucun doute sur le caractère apocryphe de ces Mémoires. De Aceite :
Au moment de la publication des Mémoires de M. Claude, vers 1880, Vormes, l’un des éditeurs, interrogé par moi sur l’authenticité de ces souvenirs, m’a répondu : « Ils sont de notre ami Théodore Labourieu et non de l’ancien chef de la Sûreté. » Labourieux venait journellement dans la maison d’édition en question. Réponse de « O.M. », colonne 896, dans ce même volume XCII des 20-30 novembre 1929 Dans l’ouvrage de M. Macé, ancien chef de la sûreté, intitulé « Mon musée criminel », Charpentier, éditeur, 1890, on peut lire, p. 62 :
« Les Vidocq, les Coco-Latour et autres malfaiteurs avaient vécu leurs Mémoires, écrits par des romanciers… indulgents, aussi apocryphes que ceux portant le nom de M. Claude, et les notes laissées par mon honorable collègue sont celles que je possède. »
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AJOUTONS donc pour enrichir les pièces à CE DOSSIER BRULANT, la célèbre controverse de la RDL Intermédiaire en ligne de l’été 2025, opposant les célèbres Vadius & Trissotin exfiltrés de l’infâmant CDBF.
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B dit: 4 juillet 2025 à 13h55

Bàv (attention à la chaleur. Il faut boire beaucoup d’eau durant les exercices intellectuels à la plage

Ta gueule! Veuillez excuser, ma déshydratation me rend intolérante.

B dit: 4 juillet 2025 à 13h59

Franche comme une queue de pelle. J’ai chercher l’origine de ce dicton, il n’y en a pas. Il n’est pas référencé.

Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 14h01

Notons une fois encore que l’intervention du GC n’avait pas été sollicitée.

D. dit: 4 juillet 2025 à 14h01

Le ridicule de ceux pensent qu’ils auront, après la mort, une seconde vie.

En effet, nous n’en n’avons qu’une et elle est éternelle.

puck dit: 4 juillet 2025 à 14h05

JB Botul a bien connu ce Mr Paul, il parle dans son journal d’une soirée passée ensemble la veille de son départ au Paraguay.
Je me demande si BHL ne cite pas ce passage dans son dernier livre dans son chapitre consacré à Botul.

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 14h06

13.55 non ce n’est pas excusable, le message sur Pégase s’adressait à notre amie FL… Qui n’est pas sur la plage, à ce qu’on sache. Hein ?
Heureuses néanmoins, celles qui y sont, à longueur de temps. Attention à ne pas rôtir, et aux concerts risqués de la peau. Comme dirait le précieux Ridicule de service, on ne veut pas être influencé par la pluralité des 100 chaines… qui appartiendront bientôt toutes à Monsieur Bol-d’Orée.
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(les grains de sable dans les smartphones ne sont pas très recommandés non plus), de quoi ?

puck dit: 4 juillet 2025 à 14h06

« Ce soir je me fais une morue »

moi pareil ! la mienne s’appelle Simone, elle s’appelle comment la tienne ?

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 14h11

Quel plaisir de voir PPPPPPPP (Puck la Pathétique Pute Pétomane Pro-nazie Payée Par Poutine) écumer de rage quand on lui met le nez dans son vomi !!

puck dit: 4 juillet 2025 à 14h11

« JB Botul a bien connu ce Mr Paul »

je précise que Mr Paul (Jean-Claude Paul) était le véritable nom de Mr Claude (Jean-Paul Claude), nom d’emprunt qui a été repris par son arrière petite fille Mme Paul qui se faisait appeler du même surnom que son aïeul.

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 14h12

Mais pourquoi donc ce Puck est si radoteur?
vadeboncoeur dit: 4 juillet 2025 à 12h15

Parce qu’à plus de 80 ans, il est gâteux.

puck dit: 4 juillet 2025 à 14h13

« écumer de rage quand on lui met le nez dans son vomi !! »

hého Goebbels on se calme stp.

avec la température qu’il fait tu vas nous péter une durite.

en plus on ne dit pas « écumer de rage quand on lui met le nez dans son vomi !! »

mais « écumer de vomi quand on lui met le nez dans sa rage !! »

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 14h14

Il ne se faisait pas les questions et les réponses. Et ne répondait jamais à la pelle comme le chiouaoua moyen. Pas vrai, jzmn ? Il était bien ce nouveau film sans électricité ?… Comme dans le noir du Camion de MargoDudu ? Hein ?
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Christiane.

Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 14h14

Où l’on peut apprécier définitivement la qualité des affirmations de Môssieur coucourt-bitacée.

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 14h14

@ Pablo. As-tu dans ton immense bibliothèque l’histoire et dictionnaire de la police chez Bouquins? Pas encore retrouvé le mien.
Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 12h27

Non, je n’ai que les Mémoires de Vidocq (pas lues). Et en pdf, téléchargé gratuitement sur archive.org, l’Histoire de la Police de Paris 1667-1844, d’Horace Raisson (1844).

*
J’ai entendu tout à l’heure sur France Musique la Grande Fugue (du quatuor nº 13) de Beethoven. Cela faisait longtemps que je n’entendais pas cette vraie torture musicale. Comment un génie musical comme l’ami Ludwig a pu composer une telle musique aussi peu inspirée, aussi anti-musicale, aussi poussive, aussi étouffante même? C’est l’un des plus grands mystères de l’histoire de la musique, pour moi.

Qu’est-que tu en penses?

Beethoven Grosse Fuge B Dur Op 133 Alban Berg Quartett
https://www.youtube.com/watch?v=13ygvpIg-S0&list=RD13ygvpIg-S0&start_radio=1

puck dit: 4 juillet 2025 à 14h16

« Parce qu’à plus de 80 ans, il est gâteux. »

Goebbels et son éloge de la jeunesse…

il manque juste la musique de Wagner…

tes maitres ont oublié de t’apprendre à respecter les vieux ?

puck dit: 4 juillet 2025 à 14h19

« C’est l’un des plus grands mystères de l’histoire de la musique, pour moi. »

si c’est un mystère pour toi alors c’est un vrai mystère que personne ne peut résoudre.

puck dit: 4 juillet 2025 à 14h21

concernant le mystère de « comment à la fois aimer Beethoven et en même temps aimer balancer des gamins vivants d’un hélicoptère » faut demander la réponse à pedro.

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 14h26

et MargoYouyou t’en penses quoi comme écrivaine, Ma soeur ?… si tu devais les départager avec MargoDudu, veuxj dire ? Sur la playa, histoire de jouer au Jokari, quoi, avant une 4e plongée. Hein ?
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D. dit: 4 juillet 2025 à 14h27

Puck, on ne pète pas spécialement de durites quand il fait chaud. Il est plus probable de griller un trop vieux ventilateur de refroidissement.
Mieux vaut aussi ne pas avoir mis une huile trop fluide dans son moteur, type 0W40. Parce qu’elle sera rendue tellement fluide qu’elle protégera mal les pièces en mouvement et pourra même fuir et diminuer le taux de compression. Autrefois avec les carburateurs il y avait aussi le vaporisateur lock mais c’est fini en principe, depuis les injecteurs.

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 14h28

un vrai mystère que personne ne peut résoudre (sic), mais auquel nous devons croire. Surtout quand il provient de Chaville, éh éh, Hein ? Changer son Fusil d’épaule, Sabastien. S’avaler une queue de pelle en entartrage.
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@ Rebecca M.

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 14h37

Il préférait enduire les murs avec une queue de morue, en l’absence de cageot. Marie, couche toi là sur la serviette et ne bouge pas en attendant mon retour de la baignade ! Fait chaude.

MC dit: 4 juillet 2025 à 14h41

On a lu , version Chaloux, L’ Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux, revue à sa portée comme chacun sait. à
À quoi on peut ajouter le Larousse de Claude Auge, très critique sur les dits Mémoires. Reste que , comme il est dit, ils ne sortent pas de rien, quelque soient les erreurs factuelles qui y sont commises . ( le récit du coup d’état , par exemple) De. Ce fatras, le plus intéressant est le témoignage de Mace, qui occupa le même poste. Sur le fond, tout ce remplissage criant à l’inauthenticité ne répond pas aux questions ; comment un ex-communard peut-il écrire la Vie d’un chef de la sûreté qui ne ménage pas la Commune, et pourquoi? Signalons aussi, dans un volume de Mémoires d’ Estancelin, une Enquete de Claude intitulée un Policier du. Temps jadis. Pour ces raisons, je croirais plutôt à leur authenticité.

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 14h42

@ Vous aurez rectifier de vous-même (sic transit)
Trop tard… WOw25, plutôt, hein ?… Ne vous promenez pas à poil dans le jardin. Le crime d’exhibitionnisme est sévèrement puni par les riverains puritains vigilants de Chaville les Bains.
Fait chaud. Restez chaussé des brandades !

MC dit: 4 juillet 2025 à 15h05

L’Intermediaire des Chercheurs et des Curieux: revue ou des Chaloux discutent avec d’autres Chaloux sur la longueur du jupon de Marie Antoinette au Temple…

J J-J dit: 4 juillet 2025 à 15h08

@ MC 14.41 /// je croirais plutôt à leur authenticité///.
Vous trouvj bien téméraire, sur ce coup-ci.
Labourieux n’était pas vraiment un ex communard… Pas plus que Claude fut un grand partisan (a fortiori artisan) du coup d’Etat de N. le Pequeno.
Bof, ne remuons pas de tels remugles…, tous les prétendus « grands flics » furent de grands mytho durant les deux derniers siècles… Gustave Macé n’était pas très fiable non plus, en dépit des descriptions invraisemblables de ses exploits de « limier » à l’ego surdimensionné. Hein ? D’après ce qu’en rapporte mon ami J-M. Berlière dans la notice qu’il lui a consacrée (op. cit, pp. 754-755). Le portrait que fit Guyot de Macé est plutôt proche de celui d’Andrieux. Ils valent le détour des cacaouettes. Genre : « petit, remuant, myope, bavard jusqu’à l’incontinence, d’une vanité exaspérée ; beaucoup trop occupé de lui pour s’occuper des autres… » (Guyot) et « Dirais-je qu’il aimait trop écrire [ND l’erdélien – au moins 15 bouquins à son actif, autant de bestsellers en son temps]. Dirais-je encore qu’au point de vue de la discipline, il n’était pas toujours d’une absolue correction ? » (Andrieux)… Etc. Aff à suive, lcé.
Glissons dans la piscine, fait encore chaud ast’heure… Hein !
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D. dit: 4 juillet 2025 à 15h39

B., vous êtes sûr que c’est pas OneDrive, le problème ?
Sinon il suffit d’acheter un petit disque dur USB à 40 balles et de déplacer dessus les données que vous consultez rarement mais que vous voulez garder. Voire une simple clé usb 64 Go de bonne qualité si vous ne faites que lire ces données. (les clés USB s’usent quand elles subissent de trop nombreuses opérations d’écriture)
Sinon en Archive définitive c’est excellent.
Vous rangez votre clé dans une petite boîte métallique étanche type boîte de pastilles valda. Elle-même mise dans une autre boîte métallique plus grande type boîte à gâteaux, elle-même mise dans une boîte en céramique réfractaire.
Vous aurez ainsi une double cage de Faraday résistante à la chaleur et au feu. Dans 100 ans, vos données seront toujours là.

Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 15h48

Je ne continue pas à ridiculiser Monsieur court-Pompon. Toute personne sensée se fera son avis. Même pas sûr qu’à Télé-poche, ils l’auraient gardé. Le peu f’intérêt que suscitent ces mémoires apocryphes auprès des historiens, est déjà un indice qu’est incapable de voir notre trouveur de pochettes surprises.

@Pablo. Je ne parlais pas des mémoires de Vidocq, eux aussi sans grand intérêt.

Bien longtemps que je n’ai écouté ces quatuors de Beethoven. Je vais écouter. J’avoue avoir parfois eu un peu de mal avec le dernier Beethoven. C’est ce que je me disais en parcourant les volumes des sonates, assis au piano, il y a quelques jours.

x dit: 4 juillet 2025 à 15h57

#Aragon #La Semaine sainte #analyse des procédés
#Nathalie Piégay

En complément, et aussi en réponse à Pascal Pia — presque un demi-siècle plus tard, et 22 ans après la mort d’Aragon.
Il se trouve qu’ils citent l’un et l’autre dans leurs articles le même bref passage gnomique du roman
• Pia pour reprocher à l’homme et au militant de ne pas s’être montré à la hauteur de la sentence que l’auteur Aragon formule un peu tard

• alors que Piégay analyse le « pivot » que constitue « La nuit des arbrisseaux » et ce qui en découle la rêverie (humaniste) de Théodore Géricault « Un jour de grand vent » (contexte immédiat du passage cité) : changement d’état d’esprit du personnage, du discours et de l’orientation du roman

« Théodore rêvait, c’est vrai. Il rêve. Respecter ses semblables. Rien n’est horrible comme de s’expliquer le comportement des autres par des raisons basses. Il y a des gens bas, sans doute. Mieux vaut se tromper sur leur compte que de donner leurs raisons à d’autres, parce qu’ils ne pensent pas comme nous. »

Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 16h04

Il ne faut pas oublier de lire « Un nouveau cadavre, Louis Aragon », par Paul Morelle qui fut journaliste au Monde ( au Monde, ni à Minute, ni au Crapouillot). Édifiant.

@Pablo. J’ai autant de mal que toi avec ce Beethoven.

puck dit: 4 juillet 2025 à 16h26

« Vous aurez rectifier de vous-même. »

c’est exactement ce qu’avait dit un magazine hollandais : sur un page ils avaient mis les champignons comestibles et la page d’à côté les non comestibles, avec des belles photos etc…

sauf qu’ils avaient inversé les 2 titres…

dans le numéro suivant ils s’étaient excusé et avaient fini par un « nous espérons que aurez rectifié de vous-même »

puck dit: 4 juillet 2025 à 16h32

pedro !!!!!!!!!!! j’ai eu un ami au téléphone, un super musicien, il fait des concerts partout, diriges des orchestres de chambre etc.

j’en ai profité pour lui poser ta question sur le grand mystère de la grande fugue à l’ami Ludwig.

je lui ai dit « j’ai un très bon ami à moi qui se demande comment un génie musical comme l’ami Ludwig a pu composer cette musique aussi peu inspirée, aussi anti-musicale, aussi poussive, aussi étouffante même? »

pedro tu sais ce que m’a répondu mon ami ?

il m’a dit « tu diras à ton que c’est un mystère »

comme toi ! tu vois que t’es super bon en musique pedro !

puck dit: 4 juillet 2025 à 16h47

pedro, après l’ami Ludwig, la fugue c’était pas trop sa spécialité si tu vois ce que je veux dire.

déjà écrire une fugue quand t’es un romantique jusqu’à ras bord c’est risqué.

mais écrire une « Grande Fugue » là c’est comme déclarer la guerre à la Russie, je veux dire c’est hyper sasse gueule.

du genre on sait comment ça commence et on sait pas comment ça fini.

comme tu l’auras remarqué l’ami Ludwig écrit ce truc à la toute fin de son quatuor, tellement à la toute fin que même il l’enlève pour la publier seule, preuve qu’il devait être assez content de lui.

et comme tu l’auras remarqué l’ami Ludwig il écrit cette toute fin de ce quatuor à la toute de sa vie du coup tu peux te dire que l’ami Ludwig il était peut être un peu trop au bout du rouleau pour se lancer dans l’art de la fugue à son âge et sourd comme un pot.

sauf que la fugue chez les allemands c’est un truc qui touche au plus profond de l’âme : un tas de compositeurs allemands se sont vautrés en écrivant des fugues à la fin de leur vie.

tu sais que dans les 3 seules partitions de Bach qui ont été publiés après sa mort on trouve l’art de la fugue, c’est Bach qui le voulait, pour apprendre aux générations à venir de petits allemands à nous pondre des fugues !

donc si tu prends la partition de l’art de la fugue, tu verras qu’entre la 7è et 10è fugue on trouve des phrasés qui ne sont pas loin de ceux qu’on trouve dans la Grande Fugue de l’ami Ludwig !

je sais pas si tu vous où je veux en venir !

et si je te dis ami pedro que ces variations de l’ami Jean Sébastien sont elles aussi assez chtarbées tout autant que ces contrepoints loufoques que l’on trouve chez l’ami Ludwig dans sa Grande Fugue je sais pas si tu vois où je veux en venir !

ami pedro écoute les dernières fugues de l’art de la fugue et ensuite écoute la grande fugue de l’ami Ludwig et là tu verras la Sainte Lumière éclairer ton mystère !

puck dit: 4 juillet 2025 à 16h53

le rapport de l’allemand à la fugue est à peu près le même que celui du néoconservateurs américain au changement de régime : c’est un truc plus fort que lui.

le néoconservateur américain, quand il se lève le matin, avant même que ses pieds touchent le sol, la première chose qui lui vient à l’esprit « quel régime je vais bien pouvoir changer ».

l’allemand c’est pareil avec la fugue !

et ça parce que l’art de la fugue de Bach, dès le lendemain de sa mort on pouvait commander la partition sur amazon.de !

x dit: 4 juillet 2025 à 16h57

#Aragon #La Semaine sainte #fonction du rêve
#Nathalie Piégay « Le “tombeau des songes” »
(article accessible en ligne)

Le rêve nocturne (le cauchemar de Célest de Durfort beaucoup plus tôt dans le roman) comme la rêverie diurne « creuse[nt] la perspective […] Les souffrances de l’épopée burlesque de mars 1815 font resurgir celles de l’épopée napoléonienne. […] donne[nt] du champ, brise[nt] la linéarité » de l’histoire, resserrée sur une semaine.
Dans une autre perspective et s’agissant des personnages, « [le rêve] renvoie à la souffrance qui ne se raconte pas et à la répétition de ce qui ne s’élabore pas en récit. » Aragon baptise « stéréoscopie » cette possibilité d’évoquer « deux images d’un même homme, dot les contours coïncident sans doute, mais qui jouent dans le temps, dans la profondeur de la vie » [J’abats mon jeu, « Secrets de fabrication »], suggérant ainsi « une profondeur mentale ».
C’est « aussi une machine qui complexifie les destins, fait jouer les images contradictoires d’un personnage, décompose les facettes de sa personnalité. » Le « contrepoint de l’action ». (Piégay)
Apparentées aux rêves et à la méthode stéréoscopique parce qu’elles créent de l’incertitude, troublent « le partage entre le vrai et l’illusion, le réel et l’imaginaire, le fictionnel et le biographique » : « les intrusions d’auteur dans la fiction », une forme de métalepse.

Après le récit haletant de « La nuit des arbrisseaux », « la fiction se moque de la fiction, l’invention défait ce qui vient d’être inventé » (Piégay) :

« Rien de tout cela n’a été. Peut-être que tout cela n’est qu’un rêve de Théodore […] mais j’y pense ! Ce n’est pas Théodore […] mort de fatigue, trop mort pour rêver, […] qui a rêvé tout ceci… peut-être est-ce quelqu’un d’autre […] [le] petit Moncorps par exemple. C’est un rêve de collégien. […] Ces enfants ont la tête farcie de littérature. Tout cela, c’est le rêve insensé de Moncorps, qui a lu des romans de Mme Radcliffe, ou quelque chose dans ce goût-là. […]
À moins que… Mais bien sûr, c’est cela, c’est moi. C’est moi qui rêve. […] La joue sur le papier […] Le bras droit replié, la main crispée sur le stylo dont la plume s’est écrasée […] Tout cela, c’est moi qui le rêve. Bien entendu. Parce qu’enfin tout ceci, ce n’est pas la vie de Théodore, c’est la mienne […] Rien de tout cela n’a pu se passer en 1815, voyons. »
(p. 475-476 de l’édition Folio de La Semaine sainte ; je ne cite pas tout à fait les mêmes passages que N. Piégay).

puck dit: 4 juillet 2025 à 16h59

pedro goebbels la question première à se poser c’est « un fugue c’est quoi »

la réponse que tu vas trouver c’est « l’art de la fugue c’est l’art du contrepoint »

et là tu vas devoir te poser la question « le contrepoint c’est quoi »

c’est ce que tu trouves à la fois dans la dernière symphonie de Beethoven et aussi dans les dernières symphonies de Mozart !

et là tu commences à comprendre le rapport de l’allemand à la fugue…

les mecs ils savent qu’ils vont mourir et ils se disent « je dois pondre du contrepoint !!! »

limite chez les compositeurs allemands le contrepoint ça fait partie de leurs dernières volontés !

tu me suis pedro ?

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 17h04

Il ne faut pas oublier de lire « Un nouveau cadavre, Louis Aragon », par Paul Morelle qui fut journaliste au Monde ( au Monde, ni à Minute, ni au Crapouillot). Édifiant.
Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 16h04

C’est vrai qu’il y a ce livre, que j’ai et que j’ai lu il y a longtemps. Il est accablant.

puck dit: 4 juillet 2025 à 17h11

pedro en fait quand tu poses une question en musique il faut toujours remonter en amont de ta question.

exemple : quand tu demandais pourquoi Horowitz n’a jamais enregistré du Bach !

si tu te poses cette question c’est que tu n’as pas compris l’essentiel à savoir c’est quoi ce type musicalement ! je veux dire en concert, en énergie, en spectacle etc… qu’est-ce qu’attendaient ces gens qui allaient l’écouter, tu sais le prix de la place ? tu sais quel boulot il faire à New York, Londres ou Tokyo pour pouvoir se payer une place pour voir son show ?

sérieux ta question est aussi conne que se demander pourQUOI Beyoncé ne chante pas de chants grégoriens dans ses concerts !!!

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 17h21

Cherchant (sans grande conviction) le livre de Paul Morelle dans mon bordel de livres, je trouve le « Dictionnaire des injures littéraires » de Pierre Chalmin et « Le book des vacheries » de Jacques Kravetz. Dans le premier, ce mot de José Artur: « Louis Aragon: l’oeil de Moscou, le con d’Irène, les yeux d’Elsa, les couilles des autres ». Et celui-ci de Dalí: « Aragon: tant et tant d’arrivisme pour arriver si peu ! »

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 17h26

Dommage de ne pas avoir les versions digitales de ces livres pour copier-coller des citations trop longues de Jean Cau, Dominique de Roux ou Rémi Soulié sur Aragon.

MC dit: 4 juillet 2025 à 17h30

« Pablo, je t’avais mal lu. » A-t-il jamais bien lu quelque chose en dehors de ses partis pris? ! JJJ , non Claude n’est pas un mythomane, et Mace non plus. Pas plus que Canler quand il cède à la tentation d’éreinter Vidocq vieillissant. On n’est pas obligé de s’aimer, c’est bien connu. MC

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 17h42

Je trouve aussi le « Dictionnaire de la réplique » sous la direction de B.Antony, où on trouve ces mots d’Aragon: « Relire, étudier Staline, faire passer dans la vie les fruits de cette lecture, c’est pour les intellectuels communistes, comme pour tous les militants, le premier, le plus sacré des devoirs. » (L’Humanité, 19 mars 1953).

Et « Je chante la Guépéou nécessaire à la France… »

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 17h46

Gaston Gallimard sur Aragon: « Il n’a aucune personnalité, il a toujours suivi quelqu’un : Drieu, Breton ou Staline ».

Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 17h48

Que Canler ait raison ou pas, ce n’est pas le problème, pauvre aptère de Coucourge. Il est vraiment l’auteur de son livre, et c’est absolument renseigné, ce qui n’est pas le cas de Claude. Chez Canler rien ne dépasse la vraisemblance, rien ne sent le roman-feuilleton, il ne se met jamais en valeur abusivement. Les Mémoires de M. Claude sont à ranger sur la même étagère que les Mémoires de la marquise de Créqui. Œuvres de ce qu’on appelait des teinturiers.
Il y a décidément des gens dont la face de poussin flétri, le zozotement, et la chemise à carreaux annoncent des déficiences beaucoup plus graves.

Pablo75 dit: 4 juillet 2025 à 17h55

« J’ai toujours aimé les gens pour des raisons qui n’étaient pas politiques… pour leur poésie, leurs écrits, leurs peintures… J’ai admiré Barrès… J’ai pris le goût de Claudel. Dans le cas de Céline, c’est un peu plus complexe car il est difficile de séparer les opinions de l’auteur de ses textes : il y a des choses si intolérables que le livre vous tombe des mains.
Mais initialement, j’ai beaucoup aimé le « Voyage au bout de la nuit ». J’ai même eu d’excellents rapports avec Céline pendant un certain temps… Il m’a fait l’honneur de déclarer qu’il avait appris à écrire en lisant « Le Paysan de Paris ». C’est probablement excessif mais enfin…  »

(Aragon, dans Lui, avril 1974).

Chaloux dit: 4 juillet 2025 à 18h32

Moi aussi, j’admire Barrès. En ce moment, celui de Du sang. Quelle puissance. Je l’ai lu intensément il y a une trentaine d’années, et j’y reviens très impressionné.
Barrès a souffert peut-être plus que les autres de son engagement politique, de ses textes absolument immonde sur Dreyfus, par ses articles de « rossignol du carnage », mais il n’en est pas moins un grand prosateur qui à sa place dans notre littérature, et mériterait une Pléiade.

MC dit: 4 juillet 2025 à 21h00

Que Canler soit l’auteur, je ne l’ai pas remis en question. Si vous saviez lire, vous auriez remarqué que je n’ai parlé que du portrait de Vidocq! Ce n’est pas grave. Ça montre la manière dont vous lisez…. MC

Chaloux dit: 5 juillet 2025 à 4h41

Monsieur Courte-cervelle, je n’ai jamais vu une telle misère et une telle malhonnêteté intellectuelles. Vous êtes un prototype.

MC dit: 5 juillet 2025 à 6h35

Je pourrais vous dire que je n’ai jamais vu un pseudo-chercheur aussi bête et aussi étroit de vues que vous( l’ Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux, il fallait l’oser!), mais ce serait suivre la pente ou vous voulez m’entraîner…. MC

Chaloux dit: 5 juillet 2025 à 6h46

Monsieur Court, je ne vais pas continuer à vous répondre, mais je ne vais pas vous rater. Pas très difficile, vous n’écrivez que des sottises.

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