Arthur Koestler dérange encore
Tiens, une nouveauté chez Gallimard ! Dans le programme de la rentrée, cela va de soi ; dans le hall de la maison, moins. L’entrée du 5, rue Gaston-Gallimard, anciennement rue Sébastien-Bottin, lieu mythique que la mémoire littéraire a d’ores et déjà inscrit classé monument historique et virtuellement rajouté à l’inventaire supplémentaire, carrefour permanent d’écrivains, d’éditeurs, de journalistes, de libraires, de représentants, ce nœud de la Maison est d’ordinaire décoré de portraits d’auteurs de la dernière rentrée en date. Ils y sont toujours ; mais depuis le début de la semaine, une imposante sculpture trône parmi eux. Cette œuvre sur bois datant de 1994 et signée de Jean-Louis Faure, artiste et petit-fils de l’historien de l’art Elie Faure, appartient au musée Vivant-Denon de Chalon-sur-Saône ; mais jusque là, elle était en dépôt chez son ami Régis Debray. Celui-ci l’a incluse dans Le Stupéfiant image, l’album richement illustré et commenté qu’il publiera en septembre, chez Gallimard naturellement. Il y analyse « la complexité de ses rébus narratifs » et la satire selon Faure “croisement de Raymond Roussel et de Raymond Aron, qui oppose le cocasse au boursouflé et triomphe du cauchemar par le calembour. Il a inventé en quelque sorte le réalisme libertaire.” Le sculpteur est présenté comme un écrivain-ébéniste au motif qu’il accorde une grande importance à l’intitulation de ses oeuvres. Bêtise de l’intelligence était le titre donné par Pierre Pachet et Jean-Louis Faure au livre qu’ils ont concocté autour de celle-ci. Régis Debray, quant à lui, la présente ainsi :
“Les trois protagonistes de l’après guerre, le visage de l’un masqué et cornu comme un démon africain, les deux autres, face à lui, aux visages blêmes et reconnaissables, illustrent un moment emblématique et particulièrement saumâtre de notre histoire intellectuelle : « Jean –Paul Sartre et Simone De Beauvoir refusant de serrer la main d’Arthur Kœstler ». Sous les pieds du trio, un tiroir coulissant, le portrait de Staline. L’anecdote fait fable. Sa morale en résine, laiton, bois peint et Plexiglas nous souffle que la culture aussi peut être un aveuglement”
Jean-Louis Faure a eu pour ambition de fixer ainsi un événement d’une haute portée symbolique dans l’histoire des idées au XXème siècle : « Il s’agissait de montrer le moment exact où toute ambiguïté s’efface au profit d’une confrontation inévitable » est-il précisé dans un cartouche sous l’escalier du hall où l’œuvre interpelle les visiteurs.
Brève explication de texte en forme de rappel historique : en octobre 1946, Arthur Koestler entre dans le cercle de Sartre et Beauvoir à Paris ; évoquant l’épisode dans La Force des choses (1963), celle-ci parle plutôt d’ « irruption » et fait état de sa personnalité « tumultueuse ». C’est le moins qu’on puisse dire s’agissant d’un intellectuel à la biographie mouvementée et à l’intelligence aussi aigue que nerveuse, qui se définit comme le « Casanova des utopies » pour les avoir toutes essayées et être revenu de toutes les formes de messianisme, entré au parti communiste allemand en 1931 qu’il fuit sept ans après au moment des procès de Moscou, porté tant sur l’alcool que sur les femmes (d’ailleurs, d’un certain point de vue, le Koestler de la sculpture donne plutôt l’impression de leur mettre la main aux fesses), absolutiste d’une certaine violence, qui eut l’immense mérite de pousser la gauche à prendre ses distances avec le communisme grâce à son terrible réquisitoire contre la « justice » stalinienne dans Le Zéro et l’infini/ Darkness at Noon (Londres, 1940 puis Paris, 1945). Un livre qui connut un retentissement considérable et lui valut d’être boycotté par l’intelligentsia de gauche en France. Sartre et Beauvoir, qu’il considérait comme des « idiots utiles » instrumentalisés par Moscou, le tinrent dès lors pour un traître et un valet des Américains ; ils lui reprochèrent sa dénonciation du système concentrationnaire soviétique, susceptible de donner des arguments à l’impérialisme. Leur rupture fut consommée en 1949 (Michel Laval a consacré une remarquable biographie à Arthur Koestler. L’homme sans concessions, Calmann-Lévy, 2005). Au vrai, Koestler eut ceci de de salutaire qu’il ne se contenta pas d’alerter : en raison de sa personnalité, il ne cessa dans le même temps de déranger les consciences.
En tout cas, Antoine Gallimard a eu l’idée de demander à Régis Debray de la transférer dans le hall de la maison d’édition. On jugera l’initiative audacieuse, malicieuse ou provocatrice, c’est selon ; n’empêche qu’elle n’est pas anodine chez l’éditeur des œuvres de Sartre et de Beauvoir –mais pas de celle de Koestler ; car si un éditeur de cette importance est par nature porté au consensus, lequel lui permet d’accueillir et de faire coexister pacifiquement des auteurs aux sensibilités différentes sinon hostiles, cette sculpture est tout sauf consensuelle. On ne serait pas étonné d’apprendre qu’elle provoque quelque friction. Parmi les auteurs de la maison, Claude Lanzmann, héritier de la revue Les Temps modernes et veuf Beauvoir/Sartre, devrait en principe s’étrangler de colère. Quant à Annie Cohen-Solal, auteur de « la » biographie de Sartre (1980, Folio), elle publie ces jours-ci un essai Renaissance sartrienne chez … Gallimard ; elle y fait notamment remarquer que le message du philosophe demeure un outil de référence aux intellectuels pour déchiffrer leur époque, un peu partout dans le monde sauf en France « où l’on s’amuse à chercher des poux dans la tête de Socrate ».
Ce vendredi 7 juin, cinquante après la publication des Mots, une « Nuit autour de Jean-Paul Sartre » est organisée à l’Ecole normale supérieure avec force table-rondes, films, concerts, expositions. Ce sera l’occasion de prendre la température du sartrisme ambiant (on lira ici un récent éloge du philosophe) et la mesure de son influence. La lucidité d’Arthur Koestler contre l’aveuglement de Sartre aura-t-il droit à une minute au cours de cette nuit ?
(Photos Passou)
835 Réponses pour Arthur Koestler dérange encore
« tête » ça t’a échappé ou tu parlais de prix du gode ceinture au coup ?..là c’est plus cher baroz..il y a un vache de savoir faire concèptuelle
C’est pas pour moi, mais pour offrir, le boug, c’est joli, et faut que ça soit un peu élastique, pas en bois.
Le bigode de tête va t-il doublement décoincer la bigote ?
vous pensez trop au plumard d’Ulysse !
« . La façon de ce lit, c’était mon grand secret ! C’est moi seul, qui l’avais fabriqué sans un aide. Au milieu de l’enceinte, un rejet d’olivier éployait son feuillage ; il était vigoureux et son gros fût avait l’épaisseur d’un pilier : je construisis, autour, en blocs appareillés, les murs de notre chambre ; je la couvris d’un toit et, quand je l’eus munie d’une porte aux panneaux de bois plein, sans fissure, c’est alors seulement que, de cet olivier coupant la frondaison, je donnai tous mes soins à équarrir le fût jusques à la racine, puis, l’ayant bien poli et dressé au cordeau, je le pris pour montant où cheviller le reste ; à ce premier montant, j’appuyai tout le lit dont j’achevais le cadre ; quand je l’eus incrusté d’or, d’argent et d’ivoire, j’y tendis des courroies d’un cuir rouge éclatant… Voilà notre secret !… la preuve te suffit ?… je voudrais donc savoir, femme si notre lit est toujours en sa place ou si, pour le tirer ailleurs, on a coupé le tronc de l’olivier.
Il disait : Pénélope sentait se dérober ses genoux et son cœur ; elle avait reconnu les signes évidents que lui donnait Ulysse ; pleurant et s’élançant vers lui et lui jetant les bras autour du cou et le baisant au front, son Ulysse, elle dit : »
Oui enfin gode-ceinture ça fait un peu celluloïde, packaging, enfin des trucs dégénérés, quoi… Tandis que, corboeuf, olisbos, eh bien, dirons-nous, ça c’est du meuble !
Les commentaires de la RdL me font penser à un alignement de ploucs assis sous l’auvent de la galerie de bois de l’unique magasin du village, échangeant des vannes d’une voix morne tout en taillant dans la rambarde des éclisses de bois pour se curer les dents, en attendant que le soir tombe. Vision faulknérienne à laquelle il ne manque que les glaviots au jus de chique, loupant de peu le bas de la robe de Mrs Littlejohn portant son baquet.
John Brown dit: 7 juin 2013 à 16 h 23 min
il ne manque que les glaviots au jus de chique,
Et surtout le pastaga !
ce qui est étrange , ce sont les deux titres « en concurrence loyale ou non, celui qui s’affiche sur l’ordi est « koestler reste la main tendue chez Gallimard » et le titre de la page
celui qui apparaît est
http://larepubliquedeslivres.com/arthur-koestler-reste-la-main-tendue-chez-gallimard/#comment-59612
loupant de peu le bas de la robe de Mrs Littlejohn portant son baquet
..clopine elle a mieux a faire..elle
corboeuf..et d’où que ça vient ça, cornecul, comme dirait clopine
Pénélope sentait se dérober ses genoux
cornegidouille ! comme dirait..quelqu’un que j’ai connu sur un blog
« Jean–Paul Sartre et Simone De Beauvoir refusant de serrer la main d’Arthur Kœstler »
Ce qu’en italien on appelle une cafonata*, mais c’était tout à fait normal venant de deux ploucs qui savaient pertinemment que leur opinion était un mensonge…
Cela dit j’aimerais bien voir la liste des intellectuels qu’un peu partout dans le monde tiennent encore la potée de Sarte pour un outil de référence…
* une goujaterie
bouguereau dit: 7 juin 2013 à 16 h 47 min
corboeuf..et d’où que ça vient ça
Je crois que c’est plutôt gascon, fin des Valois début des Bourbons.
La Simone elle fait assez île de Pâques…
Tant pour…
http://www.tate.org.uk/art/artworks/gaudier-brzeska-bird-swallowing-a-fish-t00658
Salut Bouguereau, « cornegidouille » est évidemment tout droit sorti d’Alfred Jarry, quand à « corboeuf » je ne l’ai jamais entendu en Bray, que le diable m’emporte ! Par ici, on dit « carte » pour cartable, « de l’autre côté de l’eau » pour désigner Honfleur, « la vaque » pour la vache et « le quin » pour le chien. Et puis il y a aussi le génie de l’obscur quotidien, qui fait par exemple dire à mon voisin, pour dire qu’unetelle n’a guère à s’en faire question sous : « elle a les rognons couverts »… Je suis sur le départ, là, et mon quin me regarde avec des yeux de viau, il a compris qu’il se passait quelque chose… Souhaitez-moi bonne chance, Bouguereau, car je vais visiter Prague alors même que les récentes inondations ont mis à mal la ville. Clopin tente de plaisanter, en disant qu’ainsi nous cumulerons les avantages de Venise et de la Bohême, mais nos sourires sont légèrement jaunis !!!
Cela dit j’aimerais bien voir la liste des intellectuels qu’un peu partout dans le monde tiennent encore la potée de Sarte pour un outil de référence…
Mais il y en a Renato, il y en a ..
la preuve:
Le 7 juin 2013, l’École normale supérieure organise une Nuit Sartre autour de Jean-Paul Sartre, intellectuel global.
http://www.ens.fr/IMG/image/actus/2013/agenda/juin/ENS-NSartre_A4_WEB_01.pdf
« … intellectuel global… »
On peut intituler une rencontre comme mieux nous semble, Daaphnée ; faute de soprano et de ténors on peut même inviter quelques choristes ; après, la réalité de la chose c’est un autre paire de manches…
« Tandis que, corboeuf, olisbos, eh bien, dirons-nous, ça c’est du meuble ! »
Tu cire ton bout de bois à la cire d’abeille ou au jus de cordom, sergio ?
Et tu l’astiques à la main ?
mais nos sourires sont légèrement jaunis !!!
..tu as mieux a faire mais tu viens quand même ici faire envie et te faire plaindre comme une téxanne dans paris en grève..à poil!
Et tu l’astiques à la main ?
entre deux belles cuisses en bas de laine..à la façon de..d’entrechat là..ça y est j’ai oublié le nom
Si tous les gars du monde voulaient se serrer la main…comme disait l’autre, hein.
cette ‘cold shoulder treatment’, ce refus (comme un raffut au rugby), ce ‘cant’ à soi, c’est typiquement gaulois, l’indifférence pour les idées de ceux qui ne pensent pas comme vous, cela vient de loin, l’imbécile de Vercingétorix (qui supprima la démocratie naissante des parlements des chefferies de la Gaule en prétendant tout fédérer sur son nom en était peut-être un digne représentant.) Aujourd’hui encore dans certains milieux « progressistes », pour parler comme la magnifique et très déliée intellectuelle parisienne Anne Hidalgo, lorsque vous ne déclarez pas la bonne feuille de route et n’êtes pas muni des bons papiers, il peut vous en cuire (à feux doux, on n’est plus des monstres.) Les poignées de mais qui finissent le bec dans l’eau sont légions, il suffit d’avoir une jolie collection de mouchoirs en papiers sur soi pour essuyer délicatement le mépris léger et gentiment moite, diriez-vous…Eric Hobsbawm sera toujours plus superbement rebelle (tout en étant parfaitement bien en cour dans tous les salons intellectuels qui comptent, comme celui de la RdL par exemple) qu’un Norberto Bobbio, il faut s’y faire, c’est facile finalement, il faut simplement s’endurcir sans devenir à son tour cassant.
Koestler a raison de souligner que les intellectuels français se sont coupés de tout un pan de la pensée moderne en snobant leurs semblables « anglo-saxons », sous prétexte que leur prétendu formalisme pragmatiste était légèrement superficiel et à bien des endroits tout à fait écoeurant. Pierre-Gilles de Gennes avait publiquement regretté s’être fait un peu avoir en suivant certaines normes idéologiques dans sa jeunesse (il fut momentanément sartrien.) Koestler dérange encore, peut-être bien, mais il est notable qu’un « grand dérangement » (à l’exemple de celui subi par les Acadiens) a bien eu lieu en France dans les années cinquante à quatre-vingt-dix (le tic n’a pas complètement disparu) ; vous étiez proprement exilé de la « famille » quand vous ne pensiez pas dans les cordes de l’habitus intellectuel toléré. Désolé.
« … intellectuel global… »
..c’est ça..tu peux être sur que lasouline va laisser sa bouteille de coca et son gobelet starbuck sur leur tronc commun..qu’il va faire des ronds collants
La Simone elle fait assez île de Pâques…
..ou alors pour faire global faut y planter plein de clous..en inox attation..c’est gallimard..et depuis céline on fait gaffe au tétanosse..et ça fait riche
« nous cumulerons les avantages de Venise et de la Bohême »
Mais à Prague il n’y a pas de gondoles
Clopine
Qu’est-ce qu’on rigole
Qui garde le quin ?
Pour garder les pieds hors de l’eau
Montez au chateau
En pensant à Kafka
Glaglagla !
(tu le connais si intimement que ça le sergio, le boug ?
Jusque dans son art de la lustrine !
Lequel des deux l’a prise dans le cul ?
Vise et versa !)
la France, ou tu l’aimes ou tu la quittes, xlew.m, !
C’est une reine en Europe, sinon la Reine !!
C’est aux autres de venir s’incliner à genoux,
chez nous,
pas Nous !!!
Non d’un quin !
Non d’un quin !
toutafé baroz..et dailleurs on a tout « le continent » pour nous et versa vice..qu’est ce que c’est que ces histoires d’anglosaxon là…des skinhead, épicétou..je donne un joker a akbloom pasqu’il aime l’agité, j’avoue que j’ai un faible pour lui aussi, la vie a souvent tort
C’est choses informatiques que nous avons installées partout chez nous,
elles introduisent des ondes qui nous rendent de plus accro d’elles,
alors que l’on pourrait faire plein de choses plus intelligentes,
mais quoi ?
Z’avez une idée, vous ?
de plus en plus accro,
j’ai fait un accroc à accro, oups !
On dirait que j’ai fumé un joint,
nom de quin !
non, il faut changer la fin précédente :
nom de quoin (c’est pour la rime) !
Jusque dans son art de la lustrine !
hé bien baroz..la laine de nos grand mère me fait bander à coup sur..le passé c’est ça aussi..ça doit être l’électricité statique..tu te souviens baroz : le bic qu’on astiquait au dessus des petits bouts de papiers
« et voilà » comme diraient les américains
Jacky, on pourrait peut-être s’offrir à tendre une belle et sincère poignée de main à la « jeune femme en rouge » de Turquie…
Tu me pousses à l’adultère, xlew.m, !
Après toi,
je t’en prie…
(j’ai beaucoup donné !)
So shocking !
Clopine Trouillefou dit: 7 juin 2013 à 17 h 19 min
« que le diable m’emporte ! »
Je crois que c’est chez Tallemant qu’on trouve cette superbe variante:
« Que le diable m’emporte à travers une grille de carmélite ».
« Que le diable m’emporte à travers une grille de carmélite »
c’est baroz qui avait posté différents culs ayant séjourné sur différentes matières et qui en gardaient comme la mémoire..enfin globalement ça restait un cul clopine, rassurons nous, tousse, la mémoire c’est un artefact d’augmentation du présent..on pourrait croire que les culs ça courent les rues..en vérité c’est exact, mais y’a comme une -nuance- dirait sergio
M. Court,
On peut concevoir que » compraison n’est pas raison ».
Il ne s’agit ni de DSK, ni de G. Sand.
Il s’agit bien d’A. Koestler, dans cet article:
« Dans son ouvrage, Scammell décrit cette vie incroyable dans une écriture simple et sobre qui révèle, comme par contraste, l’extrême fébrilité de Koestler. Cependant, le biographe a malheureusement éludé l’un des plus grands défauts de l’écrivain: son attitude envers les femmes. La première épouse de Koestler l’extirpe des prisons franquistes; mais quand les nazis entrent en France, il l’abandonne pour une autre afin de sauver sa peau. La grave maladie de sa deuxième femme ne l’empêche pas de la frapper à la tête. Et sa troisième femme est en parfaite santé et n’a que 55 ans quand il décide de se suicider, se sachant atteint de la maladie de Parkinson; il la laisse se tuer avec lui. Koestler écrira: «Sans une certaine contrainte initiale, il n’y a pas de plaisir.» Jill Craigie, l’une des meilleurs auteurs féministes de Grande-Bretagne, révèlera après la mort de Koestler comment, un jour, il la tira par les cheveux et l’étrangla avant de la violer. Scammell estime qu’il faut replacer cet événement «dans le contexte», et affirme « qu’il n’était pas si rare à l’époque qu’un homme use de la force pour obtenir une satisfaction sexuelle. » Reste qu’étrangler une femme et l’obliger à avoir un rapport sexuel était, même à l’époque, considéré comme un crime grave. L’excuser n’est pas digne de la part d’un écrivain tel que Scammell. »
Les petites erreurs de français, laissées en l’état, me paraisent provenir de la traduction.
L’auteur de l’article est de langue anglaise.
Il me semble aussi avoir lu que suite à la parution d’une autre biographie, la statue de Koestler avait été déboulonnée dans les locaux de l’univerité d’Edimbourg pour prévenir tout acte de vandalisme de la part d’étudiantes. C’était en 1998.
Après libre à chacun(e) d’en penser ce que bon lui semble.
Dans le « meilleur » des cas, c’est au plus « dérangeant », isn’t it.
Heureusement, cette note n’entre pas dans la rubrique « littérature ».
Je m’excuse, oublié l’auteur de l’article:
Johann Hari est chroniqueur pour le quotidien anglais The Independent.
L’article est sur le site de Médiapart.
Décidement !
ce n’est pas Médiapart, c’est Slate.
Mais que vient faire le cul de Clopine dans le courant des commentaires ?
Prendre un bain ?
Dans le Rhin !
Plutôt dans la Vltava (Moldau).
Il ferait beau voir que sa tête soit à Prague et le reste à Strasbourg.
Vous avez dit Praha ?
Jill Craigie, l’une des meilleurs auteurs féministes de Grande-Bretagne, révèlera après la mort de Koestler comment, un jour, il la tira par les cheveux et l’étrangla avant de la violer. (cité par Des journées…
Rien d’étonnant si un auteur aussi dérangé reste dérangeant.
Jill Craigie, l’une des meilleurs auteurs féministes de Grande-Bretagne, révèlera après la mort de Koestler comment, un jour, il la tira par les cheveux et l’étrangla avant de la violer. (cité par Des journées…)
C’est ce qu’Assouline appelle un auteur intranquille.
Un groupuscule tente d’empêcher une conférence d’Annie Lacroix-Riz :
« Indymedia Lille » publie les éléments suivants :
« Annulation venue d’annie lacroix-riz
Les conspirationnistes n’ont rien à faire
dans les débats sur la Résistance !
Le cinéma L’Univers doit annuler la venue d’Annie Lacroix-Riz !
Dans le cadre d’un week-end (8-9 juin 2013) consacré à l’anniversaire du Conseil National de la Résistance, le cinéma L’Univers, à Lille, organise deux conférences auxquelles l’unique personne invitée est Annie Lacroix-Riz, une historienne et militante du Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF).
Annie Lacroix-Riz et la réhabilitation de la thèse de la Synarchie
Annie Lacroix-Riz s’est notamment fait connaitre à partir de 2006 avec son livre, Le choix de la défaite (Armand Colin). Elle a son petit succès dans le milieu de la gauche alter, mais avec des conférences données en compagnie de Thierry Meyssan, Jacques Cheminade ou Ginette Skandrani, elle s’est également fait une place de choix parmi le gratin du conspirationnisme français.
Annie Lacroix-Riz défend l’idée que la défaite militaire de la France en mai 1940 est le résultat d’un complot préparé pendant près de 20 ans par la Synarchie, une organisation secrète composée de banquiers, de grands patrons (Comité des Houillères, Comité des Forges, etc.), de technocrates, de syndicalistes et de journalistes. La Synarchie avait un intérêt économique à la guerre et à la défaite, et donc mai 1940… c’est elle !
La Synarchie, vieille théorie pour fachos d’aujourd’hui
Jouant de son statut d’universitaire (elle est professeure émérite à l’Université de Paris VII), Annie Lacroix-Riz tente de faire passer la Synarchie pour un fait historique, alors que, jusqu’à ce qu’elle la remette à l’honneur, il s’agissait juste d’une théorie conspirationniste oubliée depuis qu’elle avait été en vogue dans les années 40. Annie Lacroix-Riz a une réputation exécrable parmi les universitaires, notamment à cause de sa méthode farfelue : se baser quasi-exclusivement sur des archives policières, qui rapportent certes des rumeurs de l’existence de la Synarchie… Pas besoin d’être universitaire pour savoir qu’écrire l’histoire à partir de fiches rédigées par des gens qui écoutent aux portes, c’est douteux. Et ceux/celles qui veulent lire un travail sérieux sur le mythe de la Synarchie peuvent se référer au livre d’Olivier Dard, La Synarchie. Le mythe du complot permanent (Perrin, 2012).
Le problème, ce n’est évidemment pas qu’Annie Lacroix-Riz soit une mauvaise historienne. Le problème est politique et Annie Lacroix-Riz n’est ni naïve, ni manipulée. Depuis la publication de son ouvrage, elle dénonce inlassablement, tout en faisant le parallèle entre la situation actuelle et celle des années 30, un « complot synarchique » qui serait en cours et elle n’a jamais exprimée de réticences à ce que des conspirationnistes et des fascistes de tous poils agitent ses grotesques travaux.
Aujourd’hui, le choix de la défaite, c’est de laisser se répandre les théories conspirationnistes. Il n’y a pas de complot, mais il y a un bien un monde d’oppressions à renverser ! Dans ce combat, les complotistes n’ont rien à offrir à part des théories fumeuses !
Conspis, fachos, on vous fera taire !
§ Les programmateurs du cinéma L’Univers peuvent être alertés, soit par téléphone (03 20 52 73 48), soit par mail (cinema@lunivers.org et sophiearchereau.lunivers@gmail.com), de notre demande d’annulation de la présence d’Annie Lacroix-Riz lors du week-end sur la Résistance (8-9 juin 2013).
§ Dans le cas où le cinéma L’Univers maintiendrait la présence d’Annie Lacroix-Riz, nous appelons à être présents le samedi à 20h30 et le dimanche à 17h (16, rue Georges Danton) pour informer les spectateurs et empêcher la tenue des événements programmés.
Conspis hors de nos vies !
des antifascistes de Lille » Fin de citation.
++++++++++++++++++++++++++++++++++++ COMMENTAIRE ET APPEL A RESISTER +++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
On ne sait pas bien ce et ceux que représente Indymedia Lille. Il est assez farce de dénoncer Annie Lacroix-Riz comme « facho », alors qu’elle est régulièrement taxée de communisme sur internet, y compris dans son article Wikipedia. Voilà une bien curieuse « facho », qui a réuni il y a quelques années à Lille 170 personnes à l’invitation de plusieurs organisations dont l’UEC (Union des Etudiants Communistes), la même UEC qui l’a invitée au cours des 3 derniers mois à faire des conférences à Genoble, Lyon, Nanterre, Toulouse, parmi d’autres organisations fort variées.
Le 19 mai dernier, aux Glières, Annie Lacroix-Riz participait à un débat dans le cadre du « Forum des Résistances » http://www.citoyens-resistants.fr/spip.php?article266
Sur le fond et la synarchie, Annie Lacroix-Riz a déjà répondu dans un article publié sur le blog d’André Poly
http://www.hervepolypcf62.com/article-mise-au-point-d-annie-lacroix-riz-112396812.html
Cette affaire sent la manipulation à plein nez : un groupuscule ne représentant rien décide de qui peut parler et faire des conférences. Il ne s’agit en fait que de faire taire une pensée qui dérange et qui appelle à réfléchir, sous couvert d’antifacisme.
Nous appelons ceux d’entre vous qui sont à proximité de Lille à venir participer à ces conférences, pour ainsi aider à faire respecter la liberté d’expression.
Vous avez raison John Brown, et encore on n’a pas encore abordé le côté « paranormal » de l’affaire.
Là, ça devient du gâteau.
Bonne soirée.
JB et l’intranquillité, c’est très drôle. La vision de l’intranquillité par le pépé de Provence frustré… Je suis plié en deux !
petit points serrés c’est pour se la jouer rapace ?
habiter au n° 1 de la rue de la Démocratie, à l’angle de l’avenue du Bolchévisme.
C’est plus une adresse mais un cauchemar !
baroz merci de ne pas y ajouter une interprétation, déjà qu’il n’y a plus que des docteurs partout, dans les media old&new, dans les bistros, dans la rue et on en trouve même chez les fonctionnaires et les parlementaires, un nombre inimaginable des guigne-culs, mais que fait la polis ?
Dans la Nuit Sartre, il y a un exposé sur » Sartre contre Flaubert ». Dommage qu’on ne puisse avoir rétrospectivement de la part de Flaubert un « Flaubert contre Sartre », ça eût donné…!
le côté « paranormal » de l’affaire
doit y en avoir plusieurs pour faire global
Mais ils n’attendent plus que vous dans le rôle de Flaubert, ML, courez vite à la rue d’Ulm, c’est pour cette nuit et jusqu’à l’aube. Vous ne pouvez pas vous tromper, il y a de grandes affiches de Sartre, cerclé de lunettes rondes empruntées à Elton John, vertes fluos !
Vous m’y verrez peut-être ?
Il faut aussi noter que d’après l’écrivaine féministe violée, c’était monnaie courante à l’époque !
Là où on ne peut pas suivre Kœstler, c’est à propos de la Treizième tribu :
En 1976, à la recherche de ses origines, il écrit La Treizième Tribu, premier ouvrage qui conteste la thèse de l’expulsion des Juifs de Palestine par les Romains et qui avance l’idée d’une conversion massive de non juifs par des prédicateurs juifs, en Europe de l’est (royaume khazar) et en Afrique du nord (Kabylie). Les idées de Koestler seront reprises trente ans plus tard par l’historien israélien Shlomo Sand dans Comment le peuple juif fut inventé. (Wiki)
Là, c’est n’importe quoi. Touds les historiens sérieux de la Pologne savent que la présence des Juifs immigrés parfois d’Espagne eut lieu très tôt en Pologne. Les Khazars, en réalité, dans leur immense majorité, n’étaient absolument pas juifs. Ce n’est que la haute classe sociale autour du pouvoir qui se convertit au Judaïsme, quelques centaines, peut-être milliers de personnes tout au plus.
il y a de grandes affiches de Sartre, cerclé de lunettes rondes empruntées à Elton John, vertes fluos ! (Baroz)
Quand je vous dis qu’on est dans la France moisie…!
c’était monnaie courante à l’époque !
et depuis c’est devenu main courante ?
L’ouvrage le plus drôle de Sartre, c’est « On a raison de se révolter ». Ça ressemble à du JB quand il est éméché…
Mme Michu dit: 7 juin 2013 à 22 h 53 min
Oh oui, il y plusieurs façon de voir cela.
Je pense par exemple a Gérard Majax qui a permis à beaucoup de -en quelque sorte- recouvrer la vue.
Etonnant, non ?
Ce vert fluo c’est plutôt cyan pastel…
Exact, renato. Ci-joint le modèle de l’affiche. Je l’ai vue in situ avant-hier en passant devant l’Ecole Normale de la rue d’Ulm, admirant au passage le modeste pavillon directorial où Althuser à étranglé sa femme, sans visiblement l’avoir violée.
Ce que Passou ne nous a pas dit
En fin de compte, c’est Jean-Paul Sartre qui est encore dérangeant, pas Arthur Koestler, bien oublié aujourd’hui !
En accueillant cette composition dans son hall d’accueil, l’héritier Antoine, n’a-t-il pas voulu rappeler que la maison Gallimard dans son entité ne serre pas la main de n’importe qui ?
(Ne pas oublier non plus, que la bande à Sartre des Temps Modernes avait permis de faire passer la pillule amère de la NRF de feu-Drieu-la-Rochelle, sans trop de dérangements… Les anciens cadavres bougent encore dans l’auguste maison aux multiples fantômes ressortissants des diverses strates archéologiques du sous-sol de l’ex-rue sébastien-Bottin !)
« … avait permis de faire passer la pillule amère de la NRF de feu-Drieu-la-Rochelle… »
Oui, mais en avalant une pilule autant amère…
59 euros de rabais, sur 6500 cash, vous ne savez pas négocier, D., mais faites néanmoins bien dodo…
…en solo !
‘…les historiens sérieux de la Pologne savent que la présence des Juifs immigrés parfois d’Espagne eut lieu très tôt en Pologne…’
mais il est con…mais il est con… ML devrait demander a notre gracieux hôte comment il a hérité du nom Assouline, un nom berbère, donc qui prédate la présence arabe en Afrique du Nord, car ceux d’entre eux qui vinrent avant ou même après d’Espagne portaient plutôt des noms a résonnance arabe…et bucher un peu sur la Kahina, reine berbère et très païenne de Numidie et son conseil a sa tribu après sa défaite par l’armée romaine… quand je pense qu’il enseigne a vos classes de 6eme en plus et je n’insiste pas sur le reste que d’ailleurs Barozzi a réuni en petite compil pour la postérité…perso, ca me fait plutôt marrer…j’ai d’autres chats a fouetter…je rentre chez moi dans le Yorkshire ce soir et un de mes arbustes a simplement disparu…un Katzura du Japon dont les feuilles a l’automne sentent la crème caramel…je suis dégoûté et pense bien demander a Sherlock Holmes d’investiguer cette histoire scabreuse de plus prés…
sinon, j’ai demande a mon pote Karim la différence entre un coucheur et un violeur et il me fait : 5 ans de prison ferme…
…
…Esther Williams,…Gene Tirney,…Jane Russell,…
…il en faut des matelas,…pour nos mâtes-lots,…
…un repos bien méritez,…
…quel tricheur,…se crâner d’oisiveté,…et déjà au pieux,…
…quel amant à la main tendue cet Arthur à en dégainer l’épée du rocher à Proust et C°,…etc,…de la reconquête,…sans chichis,…
…
…d’entre eux qui vinrent avant ou même après d’Espagne…’
heu…je veux dire avant ou après l’inquisition…you know what I mean…
tentative (puisqu’elle a survécu, et l’a raconté )d’étranglement, ça devrait encore déranger un peu , même si on dirait souvent que rien ne dérange tant un erdélien qu’un autre erdélien , même si aucun des deux n’est dérangé-psychiatriquement parlant
le modeste pavillon directorial où Althuser à étranglé sa femme, sans visiblement l’avoir violée
—–
Allez, on s’en lasse pas, de la philo qui rend fou: « Halte, tu sers top fort »…
« La philosophie très authentique, c’est le moment où la question transforme le questionneur », écrit Sartre, qui décrit l’état d’esprit des normaliens de sa génération, Nizan, Aron et autres, ainsi: « Il fallait bien qu’il y ait quelque chose à conquérir, nous étions affamés comme des loups et rêvions de conquêtes brutales, de viols. »
La matière, qui a réduit l’humain à l’état déchéant de consommateur, a incontestablement gagné son combat sur l’esprit.
DHH dit: 7 juin 2013 à 15 h 03 min
@bloom
j’ai bien compris que vous saluiez ma bonne réponse , mais je ne comprends pas la récompense à laquelle j’ai droit.
qu’est-ce qui vous a fait penser que je n’etais pas hetero et que je pouvais apprecier la perspective que vous m’offrez ?
—
No worries, on a tout en magasin: six apollons merveilleux qui ont fait se pâmer d’aise la féminine audience. Take your pick!
« Il faudra bien une nuit pour comprendre ce que Sartre peut nous apporter, aujourd’hui… »
… qu’est ce qu’ils sont lents pour arriver à pas grand chose….!
« La philosophie très authentique… »
L’adverbe « très » devant l’adjectif « authentique » ? Un vrai styliste ce Sartre — une chose n’est pas plus ou moins authentique : elle est authentique ou elle ne l’est pas, c’est une question d’élégance… mais on ne va pas s’appesantir là-dessus…
Et encore : « Il fallait bien qu’il y ait quelque chose à conquérir, nous étions affamés comme des loups et rêvions de conquêtes brutales, de viols. »
Ça alors ! «ils rêvaient de conquêtes brutales, de viols ! et pour une fois l’autre grand voit juste car avec des antécédent de cet envergure, on ne s’étonne pas que « La matière » ait « réduit l’humain à l’état déchéant (sic) de consommateur » ; qu’elle ait « incontestablement gagné son combat sur l’esprit. »
Le monde est malade… et on comprend aisément le pourquoi…
A la réflexion, ces préoccupations d’un autre âge sont d’un intérêt mineur. Il semble que le présent, le banal et simple présent, soit infiniment plus riche que l’étude des divagations du Jean-Sol, dont la collection d’erreurs grossières recouvre de rares saillies. L’inquiétude nous gagne…
Passou ! Au secours ! ne laissez pas la République devenir un asile de nuit pour vieillards cacochymes, genre Sénat à deux balles … ça commence à sentir l’urine neuronale.
Matinée asiatique avec Sartre, loin de l’ENS, mais au plus près du texte et de ses diamants. A propos du Journal de Gide: « Et on sentait le rôle magique de l’écriture: fixer, graver les formules et les dates, les protéger contre l’oubli, leur donner une sorte de pompe. » Carnets de la drôle de guerre, p. 115.
Je pense à ce que Barthes dit des rapports entre mort et photographie dans La chambre claire.
Quelles riches mines que ces grands-là!
@bloom
merci de cette proposition , qui va droit au coeur d’une vieille dame pour qui ces plaisirs sont rares….. et coûteux
renato, franchement, votre acharnement anti-Sartre est assez « komish ».
Je ne sais pas ce que donne votre italien, mais en français, pour ce qui est du style, vous repasserez. Quand on est ni Conrad, ni Nabokov, ni Todorov, ni Kristeva, Makhine ou Semprun, tous capables d’écrire à merveille en plusieurs langues, mieux vaut s’abstenir, de peur de courtiser le ridicule-qui-ne-tue-pas-mais-quand-même .
Libre à vous de ne pas aimer Sartre (en cela comme en d’autres choses, vous ne vous démarquez pas de la masse bêlante), mais trouvez au moins autre chose que des arguments stylistiques à lui opposer: ce faisant, vous frôler gravement l’insignifiance, mon cher, voire même le procès crypto stalinien (suprême ironie).
renato, qui n’a probablement jamais eu de désir d’absolu, ignore évidemment que dans le paragraphe qui suit celui où Sartre exprime les pulsions barbares de l’élite intellectuelle ivre de jeunesse et de confiance en son intelligence, c’est le temps du choc avec le réel et des désillusions:
« C’est dans ce désordre heureux que s’écoulèrent mes années d’Ecole Normale. Puis vinrent les années sombres. » Carnets de la … p.113
« Un maire des Pyrénées-Atlantiques a informé la préfecture qu’il refusera, tant qu’il sera à la tête de sa commune, de marier des couples de même sexe, estimant que la loi sur le mariage pour tous est «illégitime», une décision suivie par l’ensemble de ses adjoints. »
OH, LA VILAINE !!!
« en cela comme en d’autres choses, vous ne vous démarquez pas de la masse bêlante »
Masse bêlante, je te hais !
(tu m’es si proche…)
Bloom dit: 8 juin 2013 à 8 h 48 min
On ne peut qu’être d’accord avec vos remarques, bravo!
Je répète, afin que le petit Bloom comprenne : « une chose n’est pas plus ou moins authentique : elle est authentique ou elle ne l’est pas » ; elle ne sera non plus « très authentique » car cela donne la possibilité que dans certains cas la même chose soit « peu authentique ». Ce qui se comprend bien si l’on prend comme exemples les cas banals d’un tableau ou d’une signature. Pigé ?
…
Ouiiiii, Bloom, oh ouiiii !
On ne peut qu’être TRES d’accord avec vos remarques, bravo!
Oh oui, donne m’en des arguments philosophiques,oh oui!
Avec ton masque africain sur le crâne, bloom, oh oui!
Nous demandons la dissolution des Jeunesses Sartriennes, groupuscule coupable de faire perdurer des mensonges historiques criminels.
Jean-Paul ! Jean-Paul…! Aaaah ! Si Momone te voyait dans cet état priapique existentiel, elle n’irait pas sous-traiter sa libido à Chicago !
AFP dit: 8 juin 2013 à 8 h 51 min
Envoyez-lui la police à cette extrémiste!
Il n’y a pas qu’en banlieue que l’insécurité règne!
La « vilaine » extrémiste se nomme Jean-Michel Colo, maire (divers droite) depuis trente et un ans du village d’Arcangues, où est enterré Luis Mariano…
Envoyez l’armée ! les gens de droite, nous le savons, n’ont pas de conscience, donc pas d’objection à émettre s’il faut marier carpe et lapin, brebis et lapine.
Moi, je ne lui serrerai pas la main, encore un comparse à Koestler!
( Quel beau village, Arcangues, et bonne cuisine!)
Entre les Appolons jaunes pour lesquels une vieille dame indigne ne dit pas non, et le vol du Katzura du Japon, que le caniche d’Abdel retrouvera à l’odeur dans un jardin voisin cet automne, le roman de la nuit erdélienne fut plein de sexe et de suspens et pas seulement sartrienne.
Entre la collection Harlequin, la collection policière jaune et la NRF, le lecteur-narrateur de la section commentaires peut s’adonner à un très authentique pas de côté comme les aime Passou !
Ils ne vont quand même pas mettre Pierre Mauroy au Panthéon !
Attendent encore en magasin VGE, Chirac ou Rocard…
La politique ne se ferait-elle plus qu’au cimetière des idéées mortes et des désillusions ?
Pendant ce temps-là, D., tel la comptabilité en partie double, se ruine pour un bon matelas à deux places pour lui tout seul !
Abdel,
Voilà un début de réponse à une question existentielle :
http://lariviereauxcanards.typepad.com/la_riviere_aux_canards/2008/03/laffaire-du-sic.html
« Nelson Mandela hospitalisé dans un état grave »
Hommage global en perspective…
La matière, qui a réduit l’humain à l’état déchéant de consommateur, a incontestablement gagné son combat sur l’esprit
le fétichisme de la marchandise n’est pas « la matière »..l’agité n’aurait jamais écrit une phrase comac..
Encore un peu et Bloom va nous parler du monde sans Dieu, le boug !
« François Hollande au Japon
Son superbe lapsus saluant « le peuple chinois » »
Mais pourquoi n’a-t-il pas fait appel à Bloom ?
Encore un peu et Bloom va nous parler du monde sans Dieu, le boug !
..pasque dans son bled pourri ya même pas de magazin versatché il en veut à la terre entière..c’est pas de notre faute merde
Le fait qu’un gars qui signe Bloom ait prit Bloom comme pseudo c’est un outrage à la mémoire d’Italo Svevo (pseudo d’Ettore Schmitz, l’Italien Souabe…).
Son superbe lapsus saluant « le peuple chinois
dracul a raison faut pas croire chlomo sand baroz..c’est bien des chinois..les japonais de souche on été esterminé
Hommage global en perspective…
essaie de faire une statue bien chromo et mets des clous dedans dans ta vitrine de librairie dans le marais ..tu vas voir comment que tu vas dérouiller baroz
des journées entières dans les arbres , ‘…Les bols sont taillés dans une seule pièce de bois…ca m’a l’air d’etre le travail d’un bon et honnete ebeniste…admiration…
@Barozzi, rassurez-vous…je viens de retrouver mon Katzura après enquête approfondie auprès du jardinier qui s’occupe de mon parterre en mon absence …il l’avait replanté ailleurs parce qu’il gênait un rosier a coté et a oublié de me le dire…faut dire que je suis vachement soulagé…z’imaginez un peu en gros titres a la une du journal local…’scandale dans le Yorkshire ! un arbuste Katzura disparait…proprio offre récompense pour son retour…la maffia locale et le milieu coupe-gorge du jardinage soupçonnés’…
Je me souviens que dans les années 60 il y avait à Milan un magasin apprécié par les gens d’extrême droite (surtout des nostalgiques), où l’on vendait des bibelots kitsch visuellement très proches du machin exposé chez Gallimard. Doit-on y voir un signe quelconque, un aveu même ?
Certainement, renato.
Doit-on y voir un signe quelconque, un aveu même ?
tu connais pas l’artisanat africain pour dire une telle connerie..la mode chez les brocs c’est toute la bande a tintin sur sa table basse..chus sur que lassouline en a au moins un tournesol senegalais sur sa table de chevet..
Moi, j’ai un petit Abdallah. Je sais pas pourquoi, c’est mon préféré.
moi je voudrais un cerceuil ganéen en forme de blonde a forte poitrine..ça srait bon pour mon karma
Koestler, Althusser, le club d’élite des étrangleurs de femmes.
Hé ! bouguereau ! je cause d’une époque où l’artisanat africain n’était pas mentionné dans le catalogue des choses qu’un gars était tenu d’exposer chez soi pour être classé ‘smart’.
Matinée asiatique avec Sartre, loin de l’ENS, mais au plus près du texte et de ses diamants. A propos du Journal de Gide: « Et on sentait le rôle magique de l’écriture: fixer, graver les formules et les dates, les protéger contre l’oubli, leur donner une sorte de pompe. » Carnets de la drôle de guerre, p. 115. (rédigé par Bloom)
Franchement,l’enthousiasme de Bloom me paraît disproportionné. Plutôt banales, ces notes du Jean-Sol, non ?
John Brown a dit sa connerie de 11 h 15 min à 11 h 18 min, avec un brin de retard, donc. Cela dit, nous sommes tranquilles pour la journée…
Pour le kitsch à tendance brune, voir le catalogue de la boutique des horreurs de l’éditeur uruguayen, renato !
les années 60 ? mais tu débarques renato..
« les années 60 ? mais tu débarques renato.. »
C’est de ma faute si tu es en retard de plusieurs avions ?
Oui, JB, plus banal tu meurs, même le critique littéraire de Voici ou Gala n’oserait pas !
je voudrais un cerceuil ganéen en forme de blonde a forte poitrine.
Et voilà, il ne manquait plus que le Boug’ vire transsexuel un jour de grand vent !
Ach, la mère d’ma mère ! dirait son papounet.
(Il est fragile ce garçon.
Grande gueule mais fragile, en définitive ..)
..des années que jean marron veut voir catalogué son chalet de necessité dans marie claire..mais nibe !..c’est tropavantgarde son chalet kitch..c’est un fait
c’est un fait trés authentique que t’étais peut être un gros buveur de bière de munchen dans une vie antérieur dafnoz..comme je m’améliore j’ai bien droit a une promotion..on peut pas me refuser ça pour la prochaine
« je voudrais un cerceuil ganéen en forme de blonde a forte poitrine. »
Pour la remplir à l’intérieur pas pour prendre sa forme extérieure, Daaphnée, un fantasme « de conquêtes brutales, de viols », propre à l’hétéro de base sans doute ?
John Brown,
on connaît les premiers troubles psychiatriques d’Althusser dès l’époque de sa captivité au Stalag de Schleswig. Ce n’est donc pas un hasard si en 81 il bénéficie de l’article 64 du code pénal —par lequel on reconnaît qu’il était en état de démence au moment des faits.
De mon point de vue (très anglo-saxon) l’état de démence n’explique rien, mais pour la Justice française il n’y a ni crime ni délit…
Ou un retour dans l’origine du monde, peut-être ?
Le boug, il a dû trop visionner Le Grand Bleu !
« de conquêtes brutales, de viols »
c’est un fait que l’élite des porteurs de valise de femmes coupées en morceaux à la consigne de la gare de perpignan a présceance sur les étrangleurs..jean marron ne peut disconvenir qu’a élite..élite et demi
« il n’y a ni crime ni délit »
Et l’asile plutôt que la prison.
Carcéralement
Tataratata, Jacounet !
Quoique .. votre « fantasme de conquête brutale » voire totale .. se fondre totalement dans le corps d’une femme .. mmm …
Ne serait-ce pas plutôt un peu régressif .. le corps de sa maman .. ?
La question serait: s’y fondre avec douceur ou brutalité ?
Bon, le Boug’, allongez-vous et parlez-nous un peu de votre maman ..
Avec toi, c’est plutôt et litre et demi, le boug !
Quelle matière aurait la particularité de transformer l’humain à l’état de consommateur déchu, elle serait unique? matière à penser; l’esprit peut exercer son activité sur tout ce qui se propose l’abstraction même constitue une matière à réflexion, les objets nos choix dans la multitude et la façon dont nous les consumons aussi.
@Bloom, je suppose que si vous aviez signés Simha
parce que c’était votre premier prénom usuel, cela eût été retenu contre vous et dérangé certains erdéliens, même si par délicatesse pour leurs velléités « Egée moniques » vous aviez tombé l’ H en Sima
bonne journée
Un jour Lacan a surpris sa fille, gamine, les deux pieds nus dans l’une de ses paires de godasse et marchant avec un grand air d’importance : il en fut traumatisé, Daaphnée !
La mère du boug fut probablement une brunette à modeste poitrine et l’ébéniste de son bled n’était pas africain ?
Josef Sima :
« Y a-t-il une littérature de l’insomnie, un type de fiction qui lui soit plus adaptée ? Réponse d’Antonio Munoz Molina. »
Demandons l’avis de C.P. l’insomniaque ?
[( remonter à l’enfance, ?
non, il me semble, Jacounet, que c’est plus simple et plus immédiat .
le Boug’ , ce grand enfant, a fait une méga crise d’angoisse de la cinquantaine …la question des pannes, tout ça, tout ça ..
Bon, mais n’en disons pas plus, soupe au lait comme il est, il va se vexer .
chuuuuuuuuuuut !)]
Il n’y a aucun hasard quand un groupe de fachos s’attroupe pour « casser » ses adversaires politiques et parvient à tuer l’un d’eux.
« Une information judiciaire pour « homicide volontaire » a été ouverte samedi visant le principal suspect, Esteban, dans l’enquête sur la mort de Clément Méric qui a été provoquée par les coups qu’il a reçu aux visages et non par sa chute, a annoncé le procureur de Paris, François Molins. »
Pour être tout à fait honnéte, Daaphnée, il faut reconnaitre que les antifascistes sont allé les chercher sur leur propre territoire, sans avoir mesuré la haine mortelle de leurs adversaires.
Le pauvre Méric, agneau sacrificiel, en a fait les frais.
Et l’abruti meutrier a définitivement gaché sa vie.
Navrant…
Mettons son chapeau à honnête !
Mettons son chapeau à honnête !
Mettons son chapeau à honnête !
Mettons son chapeau à honnête !
Honnête avec chapeau !
ça déconne un peu beaucoup…
Je me souviens quand les disques platines étaient rayés.
Flaubert tel que vous ne l’avez jamais lu proclame la publicité de la biographie de Michel Winock.
A quand la Bible, dans les nouveautés de la rentrée littéraire ?
Jacques Barozzi dit: 8 juin 2013 à 11 h 51 min
La mère du boug fut probablement une brunette à modeste poitrine et l’ébéniste de son bled n’était pas africain ?
On ne touche pas à la maman du boug’ sinon les coups vont pleuvoir.
Barre au zizi peut-il tomber encore plus bas ? Malheureusement c’est encore possible.
Jacques Barozzi dit: 8 juin 2013 à 12 h 50 min
Je me souviens quand les disques platines étaient rayés
N’est pas Perec qui veut.
« il faut reconnaitre que les antifascistes sont allé les chercher sur leur propre territoire »
Si tel avait été le cas ce serait de toutes les manières, un bien mauvais argument pour dé-responsabiliser des assassins !
Mais ce n’est pas le cas. Lisez l’article.
Ne vous amusez pas à aller vous défendre contre des provocateurs de gauche homo de 60 kg ! Les cons manipulés vous accuseront d’homicide volontaire !!! Une bagarre qui dégénère, un mort, et hop ! Homicide volontaire… Stalinien, le proc, légèrement flop en plus …. qu’est ce qu’on se marre ?!
13h33
Le facho de la rade n’est pas rassasié de sang, .
si vous aviez signé (sans s à la fin je n’avais pas relu- et me bagarrais avec l’ordinateur )
Il y a 20 ans on se bagarrait avec la machine… maintenant ce n’est qu’une excuse pour justifier ses manques…
Il ne s’agit pas de déresponsabiliser qui que ce soit, Daaphnée, j’ai entendu le témoignage d’un camarade de Méric, militant antifasciste comme lui, avouer qu’ils avaient « interpelé » le grpoupe de skinheads dans le magasin.
Là où vous voyez une victime, j’en vois au moins deux. Des gamins de plus ou moins 20 ans confrontés à des pulsions ou convictions, généreuses pour l’un, haineuses pour l’autre, et en fin de compte tragiques…
je ne m’excuserais certainement pas auprès de erdéliens incapables de concevoir leur outrecuidance a’il y alors qu’il y a en ce moment un billet de C .Hagège qui devrait tempérer les prétentions de bien des erdéliens à se manifester en arbitre des langues .
pour les durillons , voyez un spécialiste en ingénierie:
http://www.zeutch.com/wp-content/uploads/2013/06/cherry-pitters.jpg
« N’est pas Perec qui veut. »
Ne pas prendre un hommage pour une tentative d’usurpation d’identité, Vynile !
Il n’est pas bon mon Je me souviens ?
Pourquoi ?
Comment ?
etc…
Hé ! bouguereau ! je cause d’une époque où l’artisanat africain n’était pas mentionné dans le catalogue des choses qu’un gars était tenu d’exposer chez soi pour être classé ‘smart’. (renato)
En attendant le flamboyant cercueil, une smart doll du Japon pour l’anniversaire de bouguereau.
Chère ambre, qu’est-ce qu’ils vous ont fait les erdéliens, que vous cuisinez à toutes les sauces à longueur de billet ?
(Assez étrangement, ça répond à ton fantasme de blonde à forte poitrine, bouguereau., qui l’eut cru?)
« … qu’est-ce qu’ils vous ont fait les erdéliens, que vous cuisinez à toutes les sauces à longueur de billet ? »
Il se pose en maître à penser mais personne ne le suit, ce qui est cause de névrose chez ce pseudo penseur…
Le sinistre Althusser, stalinien de choc, assassin de sa femme, n’échappa aux assises que grâce à la complicité de la mafia de ses petits copains de l’ENS . Ah! elle est belle, l’intelligentzia frantsouèze ! France moisie !
u., ce prototype doit mieux correspondre au boug, cliquez sur la vidéo !
ça y est, JB a été vampirisé par ML !
Jacques Barozzi dit: 8 juin 2013 à 14 h 04 min
Il n’est pas bon mon Je me souviens ?
Non.
Pourquoi ?
les « disques platines », un souvenir ?
De quoi, de qui ?
Vos autres interrogations sont sans fondement (!)
@Barozzi 8 juin 2013 à 14 h 06 min
vous avez surement compté en vus comptant pour combien ?
ça vous dérange tant que ça que j’ai entendu Hagège alors que la RdL n’existait pas: une rencontre au collège de France
renato dit: 8 juin 2013 à 14 h 10 min
Il se pose en maître à penser mais personne ne le suit, ce qui est cause de névrose chez ce pseudo penseur…
Plus réaliste vu la féminité de H.R.
Hé ! John Brown ! l’article 64 du code pénal de l’époque n’est pas le résultat d’un complot de la mafia de l’ENS.
en vous comptant !
autant que je m’en souvienne, il y avait dans cette rencontre Vernant,
Pourquoi les opportunistes sont-ils des faux-cul ?
On ne va pas non plus pleurer toutes les larmes de notre corps parce qu’un petit con de gaucho s’est fait cartonner pour le compte : il y a d’autres urgences. Pendant que nos mous politiciens y vont de leur larme, l’islamisation ne rampe plus, elle galope, foulant aux pieds les racines judéo-chrétiennes de l’Europe. Et ça ne fait que commencer, mes petits chéris. Mais bien entendu, vous vous en foutez, tas de larves.
« … alors que la RdL n’existait pas: une rencontre au collège de France »
Oui, d’accord, au Collège de France ! Hi, hi, hi ! etc.
Moi, de toute façon ,je m’en tape : je lis Henri Thomas . Autre chose que le Koestler de service. Mais qui lit Henri Thomas aujourd’hui ? pas vous, bien entendu ! Bande d’ignares!
on ne va pas non plus pleurer toutes les larmes de notre corps parce que John Brown est déjà mort cérébralement
et cette rencontre sauf erreur était sous l’égide de « raison présente »
http://www.legrandsoir.info/dernier-numero-de-la-revue-Raison-Presente-sur-le-theme.html
ça sent l’usurpation sur la rdl.
pas vous, bien entendu ! Bande d’ignares!
..oui mais on est tes petits chéris
Miroir, mon beau miroir dit: 8 juin 2013 à 14 h 18 min
le fait est que vouloir infliger l’illusion d’être « un penseur » (rien que ça ) dans un commentaire sur la RdL relève surement d’une pathologie mais est-ce une pathologie rare ?et y a -t-il des psychopathologies rares ? et veuves comme il y a des maladies orphelines ?
(personnellement je ne sais pas)
il y a des des médicaments orphelins!y en a-t-il de veufs
Vous avez un bien joli prénom, Ambre.
une smart doll du Japon pour l’anniversaire de bouguereau.
merci..on dirait l’éve future..le monde hantaï m’interesse et il y a de fameuses idées..mais ça laisse..comment dire.. »trop réveur »..dans le sens chaloux du terme
Il y a de bon qu’il (ou elle) sait que son cas relève surement d’une pathologie…
ce prototype doit mieux correspondre au boug
l’anglais me plait bien baroz..j’ai toujours été fasciné par les « types » nationaux qui n’ont pas à voir avec la « race »..d’où ça vient c’est tout une enquête..du vrai profiling quoi
Plutôt que Hagege au Collège , parlez moi de Tanger, ambre ? B
mais J .Barozzi, Tanger n’est pas le fil rouge de ce billet c’est votre rêve éveillé, d’autres diraient fixation je ne m’y connais pas particulièrement dans les psys ni dans les skis
essayez une autre rue !
La mère du boug fut probablement une brunette à modeste poitrine
toutes les mêmes..sauf
« blonde a forte poitrine »..les mots et les expression ont cette faculté quelquefois de se présenter a ton entendement avec une forme qui est différent de leur sens..c’est une définition de l’idiotisme qui en vaut une autre..les être et les choses n’y échappent pas non plus..et je ne suis que trés peu steindahlien
>Tanger n’est pas le fil rouge de ce billet
Tes angoisses non plus, péteuse.
La préface de Hagège contient des choses intéressantes sur le roumain (et son rapport au français et au grec), grâce à l’auteure du livre, mais quel style de prof !
Epouvantablement lourd et, à l’occasion, complaisant.
(Al hajjâj الحجاج, c’est pas le pèlerin?
Pélerin des langues?)
Pas besoin de pathos, le boug, on connait tes goûts !
http://farbror-sid.se/home/images/2012/08/eve-meyer-1955-by-russ-meyer.jpg
Hagège, c’est le linguiste médiatique qui se présente sur les plateaux TV les cheveux teint en noir de jais ?
Bingo, selon le « web des juifs tunisiens »
« Nom patronymique d’origine arabe, ayant pour sens textuel le pelerin assidu, celui qui effectue le commandement du Hadj, le pelerinage a la Mecque que tout bon Musulman doit faire au moins une fois dans sa vie. Il peut paraitre bizzare que des Juifs, qui non seulementne sont pas tenus a ce commandement mais a qui l’entree meme de la Mecque est interdite, aient pu adopter un tel patronyme, s’ils ne lui donnaient un autre sens.
Effectivement le mot haj etait compris comme synonyme de voyage d’agrement. Significativement il y avait un proverbe qu’on invoquait pour encourager quelqu’un a joindre l’utile a l’agreable « minha haj oumnha ziara » – qui signifie: « ce sera en meme temps une visite touristique et un pelerinage » (chez les Musulmans les mots avaient le sens contraire haj: pelerinage et ziara le tourisme). »
http://harissa.com/Genealogie/hagege.htm
Merci, u. et HR pour vos liens sympas.
(Il y a d’autres hypothèses).
teints, car, même s’ils se font de plus en plus rare, il en a plus d’un !
C’est bien lui, Jacques, intelligent et savant, mais terriblement ramenard.
Non mais Flaubert il nous brouille l’écoute !
Nous demandons la dissolution du Parti socialiste pour incompétence dans tous les domaines !
Ils annoncent du mauvais temps sur Porquerolles, ceci expliquant sans doute cela ?
l’écoute ou l’entendement, sergio, sois précis !
Il est né à Carthage, Hagège, où il n’y a que des ruines somptueuses et quelques villas, tout autant !
en matière de « lapsus » c’est le monde qui a vaincu l’Armada :
« du célèbre navigateur russe Ivan Fredorovitch Kruzenshtern »
i y autant d’Alfred que de Freud dans ce « fredor » quant à l’étoile!
j’ai quand même trouvé , bin que je n’aie pas à fonctionner en correcteur :
Adam Johann, baron von Krusenstern1, également connu sous son nom en russe d’Ivan Fiodorovitch Krusenstern (Иван Фёдорович Крузенштерн),
et en profite pour vous signaler
« http://issuu.com/bnustrasbourg/docs/tresorsrusses »
bon week end
« Une bagarre qui dégénère, un mort, et hop ! Homicide volontaire… »
Un assassinat bon enfant?
Un assassinat est un meurtre commis avec préméditation.
835
commentaires