de Pierre Assouline

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La République des livres
Avons-nous perdu le sens de la grandeur, Saint-Simon ?


Avons-nous perdu le sens de la grandeur, Saint-Simon ?


Il y a comme cela des auteurs auxquels on fait confiance. De ceux avec qui on s’embarque sans hésiter à chaque nouveau livre en sachant que leurs tropismes ne les éloigneront guère de leurs terrains de chasse favoris, lieux de souvenirs de lecture enchantés. C’est précisément le cas avec Jean-Michel Delacomptée, l’un des auteurs les plus discrets, mais aussi les plus réguliers et les plus fidèles de la collection « L’un et l’autre » jadis fondée et dirigée par J.B. Pontalis et donc Jean-Michel Delacomptée a hérité, laquelle est déjà en soi le label d’une certaine qualité même si ses titres sont  nécessairement d’un intérêt inégal. Aussi, après notamment son portrait d’Henriette d’Angleterre (Madame, la Cour, la mort, 1993), celui de La Boétie (Et qu’un seul soit l’ami, 1995), son Racine en majesté (1999) et son Bossuet (Langue morte, 2009), on se précipite sur son Saint-Simon paru sous le titre programmatique La Grandeur et repris en poche chez Folio (240 pages, 7,20 euros), sans s’arrêter sur son étrange pamphlet, en des terres lointaines où il s’était égaré.

Non une biographie ni un essai mais une sorte de portrait en vérité, un peu dans l’esprit du Saint-Simon l’admirable que donna José Cabanis en 1974 ; il se veut traversée des âges et hommage à ce qui se perd, donc, avant tout, à notre langue. Mais Jean-Michel Delacomptée ne serait pas lui-même s’il n’avait organisé son affaire autour d’un point focal. Non un point de détail mais un moment isolé de manière privilégiée et arbitraire. Toute son énigme se ramasse entre 1739 et 1740 ; le duc de Saint-Simon vient d’achever la Note sur la maison de Saint-Simon, hommage au lignage auquel il se vouait jusqu’alors ; il s’apprête à faire subir le même traitement à la maison de La Rochefoucauld quand il modifie sa route et s’élance dans l’invention de son grand œuvre : les Mémoires, un océan de mots. 2854 pages plus loin, et dix ans après, il en sort ce chef d’œuvre qui nous dit tant de ce temps.L’auteur s’est longtemps demandé quelles raisons avaient profondément motivé ce saut décisif ; de  même, on ne saura jamais vraiment ce qui s’est passé à la charnière de 1908-1909 pour que Proust, grand admirateur de Saint-Simon, passe insensiblement d’un projet de livre mêlant plusieurs genres (essai, souvenirs, récit) à un projet de roman, et de Sainte-Beuve à Combray.

« A partir de quel moment un écrivain, chargé d’un projet longuement fermenté mais qui lui résiste, finit par se lancer et, d’une traite, le réalise ? Par quels méandres, et en quels circonstances, advient soudain ce qui se refusait à lui jusqu’alors ? » s’interroge l’auteur en explorant l’incertaine puissance censée agir son attitude.Saint-Simon_portrait_officiel_1728_détail

Il n’entend pas nous le démontrer mais nous en éclairer par des intuitions, des chemins de traverse, des pistes oubliées qui tiennent le plus souvent à un mot chu et ramassé, ou un détail griffé dans le tissu de sa vie, toutes choses insignifiantes sous d’autres plumes mais qui prennent une allure nettement plus convaincante lorsqu’elles sont gouvernées par un tel souci de la langue. En trois traits, il brosse un portrait : dos rond, oeil de verre, ourlet démesuré des lèvres. Au passage, Jean-Michel Delacomptée nous livre l’argument d’une pièce de théâtre rêvée (avis aux amateurs !) : les trois jours et trois nuits au cours desquelles Saint-Simon, enfermé en huis clos avec le Régent, s’employa à le convaincre de rompre avec Mme d’Argenton qui l’asservissait, afin de reconquérir l’affection du Roi, son oncle. Le Régent, Philippe d’Orléans était son ami d’enfance et le demeura ; il avait d’ailleurs, dès l’entame de son projet, fixé la borne du souvenir à la mort de celui-ci.

Ses goûts comme ses mœurs portaient Saint-Simon à une existence équilibrée et sans excès d’aucune nature. Il subsiste à peine quelques centaines de lettres de son épistolat. On le disait sociable, épris de conversation, passionné de protocole et de rituels, expert en grandeurs d’établissement, ce qui nous vaut de belles pages sur la comédie du tabouret ou le cérémonial public de la chaise percée.  La vraie grandeur selon lui ne devait pas être assise sur la fortune. Le duc n’était guère préoccupé de posséder des biens ou de jouir des plus hautes fonctions ; d’ailleurs, il en refusa maintes fois et des plus brillantes ; on dira que c’est plus facile lorsqu’on est né Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, pair de France, seigneur de nombreux fiefs, duc de Ruffec, comte de Rasse, gouverneur de Senlis, héritier des ville, citadelle et comté de Blaye en Gironde, préférant à tous ces lieux son château de La Ferté-Vidame à vingt cinq lieues de Versailles.

Saint-Simon_manuscritGrand cas est fait de l’ambassade extraordinaire qu’il conduisit en Espagne, sous la Régence afin d’y marier Louis XV, onze ans, à l’infante d’Espagne, trois ans. On ne trouve qu’une seule occurrence du mot « pute » sous la plume de Saint-Simon : « Cette pute me fera mourir » soupirait Marie-Thérèse, reine de France, épouse de Louis XIV, en regardant le Roi s’afficher avec la Montespan. Une édition partielle des Mémoires, publiée avec cette phrase pour titre, a fait un tabac en librairie il y a quelques mois. Au vrai, Saint-Simon piétine la syntaxe comme du bon raisin, avec un amour de la langue qui ne relève pas seulement de l’expertise ; il prend des libertés avec la grammaire ; il ne se relit pas quand bien écrit-il volontiers à la diable ; il ne se pique pas de bien écrire, noircit le papier en toute liberté, mais n’en demeure pas moins l’un des rares mémorialistes à être lu et relu, outre ses informations sur la vie de cour (souvent puisées dans le Journal de Dangeau) et ses anecdotes vachardes (son tableau du règne du Roi-Soleil est le plus cruel des monuments dans une chronique des dérèglements de la cour et du royaume qui n’en manque pas) pour la seule grâce de son style.

L’hommage du portraitiste est à sa mesure car Jean-Michel Delacomptée, qui écrit en parfait accord avec la langue de ce temps, jamais ne verse dans le pastiche ni l’affectation. N’espérez pas trouver dans ce livre une analyse serrée de l’œuvre. Plutôt le reflet d’un instant biographique, mais qui en dit bien davantage en si peu de pages sur l’âme du gentilhomme campagnard de la Ferté-Vidame que tant de thèses obèses. Alors, pourquoi Saint-Simon (1675-1755) est-il passé vers 1739 de sa Note sur la maison de Saint-Simon à ses Mémoires, de la dette aux ancêtres à l’émancipation par le « Je », et de la politique à l’émotion ?

« L’appel de la vérité, je crois. Et la grandeur ».

Voilà tout. Qu’importe au fond la vraie raison si cela nous a permis de méditer sur la perte d’un sentiment, et la manière dont son absence se fait ressentir par nos contemporains. Mais est-ce ainsi qu’un écrivain glisse vers son destin à défaut d’y basculer ? Difficile à expliquer, la grandeur, car, nous prévient Jean-Michel Delacomptée, nous en avons perdu le sens. La France et les Français d’aujourd’hui n’en ont tout simplement plus idée. Il y a quelque chose de vertigineux à placer cette perte de sens au rang de ces hapax de l’Ancien Testament dont nul ne peut assurer avec certitude ce qu’ils ont pu signifier.  Saint-Simon assure qu’en ce temps-là la France « était de tout ». Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?

(« Balloon Dog Magenta » de Jeff Koons, devant le Repas chez Simon de Véronèse et sous le plafond représentant l’Apothéose d’Hercule peint par François Lemoyne, château de Versailles, photo D.R.; Jean-Baptiste van Loo, Portrait de Saint-Simon, 1728, détail, château de Chasnay, collection particulière ; « Manuscrit autographe des Mémoires de Saint-Simon » Bnf, Paris, photo D.R.)

 

 

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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1 249 Réponses pour Avons-nous perdu le sens de la grandeur, Saint-Simon ?


JAZZI dit: à

« Jazzi, (si) tu mets le nez dans les Mémoires, tu sentiras pas mal la merde aussi… »

Oui, WGG, je me souviens du passage où il raconte comment Louis XIV s’est fait violer par un compagnon italien à l’adolescence !
Que celui qui a lu ici Saint-Simon de la première à la dernière ligne lève la main ! Je l’ai lu par bribes, comme la plupart des 5000 lecteurs potentiels, me semble-t-il ? J’ai même cité sa nécrologie de Lenôtre dans mon « Goût des jardins ».

Widergänger dit: à

Il a des modèles comme les Mémoires de Retz. Mais ce qui est important chez Saint-Simon, c’est d’abord ce sentiment de toucher à quelque chose qui a un rapport étroit avec le Diable, avec le Mal en écrivant ses Mémoires. Ce sentiment n’est guère présent chez Retz, dont les Mémoires participent, comme l’a montré Marc Fumaroli, de l’art de la conversation (vraisemblablement avec Mme de Sévigné à l’origine). Ensuite c’est la tension entre l’Histoire et l’expression du Moi, qui était déjà le propre des Mémoires de Retz mais qui, ici, prend une tournure particulière parce qu’il faut affronter le Mal en essayant de ne pas s’y compromettre. D’où une tension toute particulière chez Saint-Simon.

Chaloux dit: à

Mais quel sombre crétin, ce Blabla. Si Saint-Simon a demandé son avis à Rancé c’est qu’il écrivait déjà, c’est une évidence. Il est également évident que Saint-Simon a écrit toute sa vie, et qu’il est rapidement devenu un grand prosateur, il n’est que de lire la lettre au roi, un texte à couper le souffle pour s’en apercevoir.
Mais tu n’as rien compris de ce qu’explique Coirault, sur la composition des mémoires et le rôle majeur qu’y prend la lecture de Dangeau, dans le texte que j’ai cité, parce qu’en règle générale tu ne comprends rien à rien. Et ça c’est profondément TON PROBLÈME de professeur agrégé incompétent et d’épave mythomane.

keupu dit: à

je ne sais pas pour vous, mais pour moi WGG est plus intéressant et intelligent que le Chaloux prétentiard

Widergänger dit: à

Non, il n’est pas devenu tout de suite un grand prosateur justement. C’est la conscience de devoir affronter le Mal qui en a fait un très certainement. C’est ça qui est intéressant précisément.

Chaloux dit: à

Et maintenant Blabla va vous prouver livre en main qu’il n’a jamais ouvert Retz non plus.
tout ce que je peux ajouter, c’est que les gogos volontaires sont impardonnables.

JAZZI dit: à

« Pour s’en rendre compte, Jazzi, il faut le lire ! »

J’y ai surtout vu la limpidité de la langue, WGG. D’où mon étonnement sur la netteté du manuscrit. Pour parvenir à une telle « pureté », ne faut-il pas retravailler sans cesse ses phrases ?

Chaloux dit: à

keupu, je te trouve brutal et insignifiant, mais j’éprouve la plus grande indulgence envers ton goût affectueux pour les vieux messieurs hystériques, tu ne l’as pas choisi. Nous sommes tous faits de lopins, comme disait Montaigne.

Widergänger dit: à

Mais c’est normal. Je suis agrégé de lettres modernes et chaloux n’est qu’un trublion qui n’a même pas sa licence. C’est un dilettante, pas un professionnel. Il n’a jamais affronté les difficultés des concours, la réflexion critique et savante qu’on demande pour devenir professeur. Mais ça fanfaronne ! c’est tout ce que ça sait faire avec l’arrogance des ignares, typique de cette époque de peigne-culte.

Widergänger dit: à

La limpidité de la langue ! Mon Dieu, Jazzi ! S’il y a une langue qui est tout sauf limpide, c’est bien celle de Saint-Simon. C’est une langue baroque à souhait, avec une syntaxe qui parfois tient à peine debout. Mais douée d’une énergie sans pareille, qui lui donne une allure et une élégance extraordinaire. Je crois que c’est le premier grand texte de l’énergie.

Chaloux dit: à

Reste, grosse vache, que tu racontes n’importe quoi à longueur d’année. Mais si c’est pour la science, là, c’est autre chose. Évidemment. Tu devrais d’ailleurs lui léguer -rapidement- ton corps. Sûr qu’ils y feraient des découvertes!

Hurkhurkhurk!

Bonne journée,

closer dit: à

« closer quand tu cites, steplait, tu le fais correctement.
je n’ai pas écrit:
« ces Falachas entourés de peuplades à demi sauvages, »

Toujours aussi aimable LVDB…
Non, je citais ta citation, très chère. J’aurais du le préciser, c’est vrai. Mais de là à en faire un drame…

Widergänger dit: à

Ce qui est étonnant par ailleurs, c’est l’importance que Saint-Simon a eu pour Proust, alors que la phrase proustienne, lascive et comme l’incarnation d’une haute rêverie, est bien à l’opposé de la phrase énergique et orgueilleuse de Saint-Simon.

christiane dit: à

Bien sûr, il y a l’immense mémorialiste Saint Simon, et la superbe collection « L’un l’autre »… mais mais
La photo ? « Balloon Dog Magenta » de Jeff Koons, devant le Repas chez Simon de Véronèse et sous le plafond représentant l’Apothéose d’Hercule peint par François Lemoyne, château de Versailles…
Le billet précédent ? sur Jean-Michel Delacomptée (mis en lien)
Les remarques-cactus de Pat V ?
Alors, pourquoi pas demander à Wiki quelques précisions sur les « vagues scélérates » ?
« Les vagues scélérates sont des vagues océaniques très hautes, soudaines, qui sont considérées comme très rares, même si cette rareté n’est que relative. En effet, les observations ne concernent qu’une très faible partie d’entre elles, compte tenu de l’étendue des océans et de la rapidité avec laquelle les vagues se forment et se défont au sein des trains de vagues où elles se propagent.(…)
Les vagues scélérates se forment sans raison évidente(*). Elles sont souvent décrites comme des murs d’eau qui viennent heurter les navires, contrairement aux vagues « normales » qui montent en pente relativement douce, permettant aux navires de passer par-dessus. Des vagues scélérates ont été observées dans tous les océans du monde, qu’il y ait ou non des courants importants en surface.(…)
Il existerait aussi un phénomène dit des « trois sœurs ». Il s’agirait de trois vagues scélérates successives, et donc d’autant plus dangereuses, car un bateau qui aurait eu le temps de réagir correctement aux deux premières vagues n’aurait que très difficilement la possibilité de se remettre dans une position favorable pour la troisième.(…)
Ainsi, dans un train de houle, la vague scélérate apparaît en empruntant l’énergie contenue dans ses voisines, avant de la leur rendre en disparaissant ou de la perdre en déferlant.(…)
Dans le cas de propagation de vagues dans des directions différentes, il semblerait que certaines circonstances encore mal définies puissent provoquer non pas la diminution, mais l’accumulation des ondes de houle, provoquant une vague scélérate.(…)
Si la vague frappe le bateau par le côté, elle peut le faire chavirer… »
L’océan, cet inconnu…

(*)pas toujours !

Widergänger dit: à

Ce qui est intéressant par ailleurs encore, c’est qu’après Proust, plus aucun écrivain ne revendique ni n’exprime quelque filiation que ce soit avec Saint-Simon. Même Sollers, qui pourtant voue la plus grand admiration à Saint-Simon et a même reçu le prix Saint-Simon au château même du duc. Mais chez les Nouveaux romanciers, rien, pas de la moindre trace de Saint-Simon, alors que Claude Simon relit Proust. Une énigme.

Pablo75 dit: à

Le sens de la vérité, la rigueur intellectuelle, l’honnêteté morale de Widergänger (ou peut-être, plus simplement, la preuve qu’il est en train de perdre la raison):

« Widergänger dit: 28 juillet 2017 à 11 h 48 min
Mais je ne descends NULLEMENT de Lydie Rochefort de Théobon ! J’AI JMAIS DIT ÇA ! »

« Aussi étrange cela puisse-t-il paraître, l’une de MES lointaines ancêtres, Lydie de Rochefort de Théobon, fut une favorite de Louis XIV à la Cour de Versailles. » (Widergänger)

« Lydie de Rochefort de Théobon, l’une de MES lointaines ancêtres nobles du Périgord. » (Widergänger)

« Ainsi, dans MES fameux et sublimes ancêtres d’Al.ba, la branche collatérale de David d’Al.ba, qui était vicomte de Monbazillac (accrochez-vous, mes petits chéris, on est dans la haute !) […] Lydie de Rochefort de Théobon, dont parle avec tant de pittoresque Madame de Sévigné dans ses lettres, qui était d’Al.ba par sa grand-mère, mes chéris ». (Widergänger)

« Ainsi monsieur le duc, vous êtes parent du duc de Saint-Simon. Savez-vous qu’il honore dans ses Mémoires une de MES lointaines cousines, Lydie de Rochefort de Théobon ? » (Widergänger)

« Dont l’une de MES ancêtres du pays du Périgord, dont la grand-mère était d’Al.ba : Lydie de Rochefort de Théobon, dont parle aussi Madame de Sévigné dans quatre de ses lettres. » (Widergänger)

« L’une de ces descendants calvinistes de MA famille de Bergerac est même devenue à la cour de Louis XIV à Versailles la plus intime confidente de la Princesse Palatine et une des très nombreuses maîtresses non officielles du roi. […] Elle s’appelait Lydie de Rochefort de Théobon » (Widergänger)

« mon grand-père Raphaël Al.ba, lui, choisit la France et retrouvait ainsi les lointaines racines françaises de NOTRE famille remontant au 17ème siècle, époque glorieuse où NOS ancêtres, convertis au calvinisme dans le sud-ouest de la France comme de nombreux Juifs d’origine séfarade, avaient eu une cousine devenue une des nombreuses maîtresses non officielles de Louis XIV à la Cour de Versailles, Lydie de Rochefort de Théobon (sa grand-mère maternelle était d’Al.ba et elle a probablement passé une partie de son enfance dans le château de Lespinassat fondé par MES ancêtres […] Mon grand-père ignorait bien sûr tous ces faits de la famille… » (Widergänger)

« Une descendante calviniste de cette branche française, lointaine COUSINE née au château de Lespinassat, Lydie de Rochefort de Théobon, devint Fille d’Honneur de la seconde Duchesse d’Orléans. » (Widergänger)

Et oui, il n’a jamais dit ça…

Widergänger dit: à

J’y peux rien si tu sais pas lire, mon pauvre Pablocito ! T’es con, c’est la conclusion qui seule s’impose.

JAZZI dit: à

Jugeons sur pièce. Oui, WGG, la phrase avance toujours à grand galop, mais ça coule comme de l’eau de roche…

« Le Nôtre mourut […] après avoir vécu quatre-vingt-huit ans dans une santé parfaite, [avec] sa tête et toute la justesse et le bon goût de sa capacité ; illustre pour avoir le premier donné les divers dessins de ces beaux jardins qui décorent la France, et qui ont tellement effacé la réputation de ceux d’Italie, qui en effet ne sont plus rien en comparaison, que les plus fameux maîtres en ce genre viennent d’Italie apprendre et admirer ici. Le Nôtre avait une probité, une exactitude, et une droiture qui le faisait estimer et aimer de tout le monde. Jamais il ne sortit de son état ni ne se méconnut, et fut toujours parfaitement désintéressé. Il travaillait pour les particuliers comme pour le roi, et avec la même application, ne cherchait qu’à aider la nature, et à réduire le vrai beau aux moins de frais qu’il pouvait. Il avait une naïveté et une vérité charmante. Le pape pria le roi de le lui prêter pour quelques mois ; en entrant dans la chambre du pape, au lieu de se mettre à genoux, il courut à lui : « Eh ! bonjour, lui dit-il, mon Révérend Père, en lui sautant au col et l’embrassant et le baisant des deux côtés ; « eh ! que vous avez bon visage, et que je suis aise de vous voir et en si bonne santé ! » Le Pape, qui était Clément X Altieri, se mit à rire de tout son cœur ; il fut ravi de cette bizarre entrée, et lui fit mille amitié. À son retour, le Roi le mena dans ses jardins de Versailles, où il lui montra ce qu’il y avait fait depuis son absence. À la colonnade, il ne disait mot ; le Roi le pressa d’en dire son avis : « Eh bien ! Sire, que voulez-vous que je vous dise ? D’un maçon vous avez fait un jardinier (c’était Mansart) ; il vous a donné un plat de son métier. » Le Roi se tut, et chacun sourit ; et il était vrai que ce morceau d’architecture, qui n’était rien moins qu’une fontaine et qui la voulait être, était fort déplacé dans un jardin. Un mois avant sa mort, le Roi, qui aimait à le voir et à le faire causer, le mena dans ses jardins, et, à cause de son grand âge, le fit mettre dans une chaise que des porteurs roulaient à côté de la sienne ; et Le Nôtre disait là : « Ah ! mon pauvre père, si tu vivais et que tu pusses voir un pauvre jardinier comme moi, ton fils, se promener en chaise à côté du plus grand roi du monde, rien ne manquerait à ma joie. » Il était intendant des bâtiments, et logeait aux Tuileries dont il avait soin du jardin, qui est de lui, et du palais. Tout ce qu’il a fait est encore fort au-dessus de tout ce qui a été fait depuis, quelque soin qu’on ait pris de l’imiter et de travailler d’après lui le plus qu’il a été possible. Il disait des parterres qu’ils n’étaient bons que pour les nourrices qui, ne pouvant quitter leurs enfants, s’y promenaient des yeux et les admiraient du deuxième étage. Il y excellait néanmoins comme dans toutes les parties des jardins ; mais il n’en faisait aucune estime, et il avait raison, car c’est où on ne se promène jamais. »

Widergänger dit: à

C’est la petite fille d’une de mes ancêtres.

JAZZI dit: à

à la manière de Saint-Simon :

« le Roi, qui aimait à le voir et à le faire causer, le mena dans ses jardins, et, à cause de son grand âge, le fit mettre dans une chaise que des porteurs roulaient à côté de la sienne ; et A.lba disait là : « Ah ! mon pauvre père, si tu vivais et que tu pusses voir un pauvre professeur comme moi, ton fils, se promener en chaise à côté du plus grand roi du monde, rien ne manquerait à ma joie. »

bérénice dit: à

Pour ma part, je descends modestement de mes ancêtres. Chaloux.

Lointainement nous tous descendrions d’un arbre pas uniquement généalogique .
Pour détendre l’ambiance orageuse:

https://youtu.be/ZgDpyppaa74

Chaloux dit: à

Vraiment aucune dignité, ce Blabla. N’importe quel être normalement constitué disparaitrait dans un désert, mais lui reste là à fabriquer des énigmes.

Il a lu ce qu’il n’a pas lu, il ne descend pas de ses ancêtres, il n’a aucune orthographe, ne connait pas la moindre règle de conjugaison, MAIS IL ENSEIGNE!

Et Kupu trouve prétentiard de le signaler…

bob dit: à

JC 10h40
« les dragonnades, des broutilles »
des horreurs en plus d’un désastre économique (un donald avant l’heure )

Widergänger dit: à

Cet extrait ne dit rien du reste. La phrase d’ordinaire est faite de rupture brutale, qui donne toute son énergie parfois brutale à la phrase, et qui correspond à un sens de la phrase. C’est comme si d’un seul coup on faisait un saut dans le vide. C’est très puissant comme style.

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 28 juillet 2017 à 12 h 36 min
C’est la petite fille d’une de mes ancêtres.

Sans doute une vieille putain des bas quartiers de Périgueux.

bob dit: à

« Elle devient la maîtresse du roi en 1670. Cette liaison a duré jusqu’en 1672 »
alors qu’il était marié devant dieu, comme dirait D

Widergänger dit: à

Non seulement j’enseigne, pauvre nouille, mais je suis considéré par mes élèves comme un excellent professeur. Et c’est tout ce qui compte à mes yeux ! Peu importe l’avis de la racaille de tous les chaloux, qui n’ont même pas une licence ! Tu piges, les râclures de bidet de ton espèce, j’en ai vraiment rien à cirer.

bob dit: à

 » la petite fille d’une de mes ancêtres. »
On vous avait compris
(chaloux et pablito font rien qu’à vous embêter )

Widergänger dit: à

C’était certainement une bonne putain, puisque le roi y revient en 1676. Elle devait certainement être un très bon coup au lit ! Voire ailleurs que dans un lit…

Pablo75 dit: à

Au passage, on apprend que Blabla-Widergänger est né en 1954 et qu’il a beaucoup commenté sur le blog d’Attali avec le pseudo « Michel1954 ».

Un exemple de ses délires sur son pedigree noble:

« … l’un de MES ancêtres, qui était maire de Bergerac fut anobli en 1638 et bien d’autres qui suivirent. L’un a même été vicomte de Monbazillac, le fameux château avec des vignes qui donnent ce vin blanc liquoreux qui alimentait la table du Pape. »

http://blogs.lexpress.fr/attali/2012/09/24/lexil-exterieur-interieur/

JAZZI dit: à

« Ce qui est étonnant par ailleurs, c’est l’importance que Saint-Simon a eu pour Proust »

N’est-ce pas plutôt la marquise de Sévigné, auteur fétiche de la grand-mère du narrateur, la référence revendiquée par Proust ?

Widergänger dit: à

Le roi avait pour elle la plus grande considération puisqu’il lui a accordé une pension de 4000 frcs, et qu’il l’admettait parmi ses proches à Marly, où elle est décédée. Elle faisait partie des intimes du roi jusqu’à la fin à l’âge de 70 ans. Elle avait le même âge que le roi.

closer dit: à

Annibal, Bloom est beaucoup trop occupé de littérature anglo-saxonne pour avoir ouvert Saint-Simon. Ce faisant il s’est privé d’un plaisir de lecture exceptionnel. Tant pis pour lui.

Aucun doute sur sa place dans la littérature. Un géant sur lequel circulent des clichés absurdes. J’avoue ne pas avoir lu l’intégralité des Mémoires. Mais qui l’a fait ici? J’ai lu des centaines de pages dans deux recueils différents (il me manque l’anthologie racoleuse récente qui met « pute » sur sa couverture).

Le cliché principal est celui qui fait de lui un noble hargneux uniquement soucieux de tabourets, de titres et de préséances. Saint-Simon a des vues bien plus larges et humaines. Il sait reconnaître la vraie valeur des individus indépendamment de leur lignage, il sait reconnaitre la vraie piété de la tartufferie, il sait analyser une situation politique (même s’il se trompe) avec profondeur.

Le réduire à un concierge chafouin, un peu fouille merde comme l’insinue WG, c’est perdre de vue l’essentiel. Saint Simon est grand, non seulement par la langue, mais aussi par la subtilité de ses analyses de la cour, de la société, de l’âme humaine. Ce qui n’empêche pas le lecteur de se régaler de ses anecdotes vachardes et de ses colères…

Chaloux dit: à

Apparemment, quand on lit une phrase de Blabla comme celle-ci : »l’une de MES lointaines ancêtres », il ne faut pas absolument pas lire : »l’une de MES lointaines ancêtres ». Car alors on ne sait pas lire.

Voir ci-dessous!

Widergänger dit: 28 juillet 2017 à 12 h 33 min
J’y peux rien si tu sais pas lire, mon pauvre Pablocito !

Et kupu trouve prétentiard qu’on demande une explication!

Hurkhurkhurk!

bérénice dit: à

J’avoue que je n’ai lu ni les uns ni les autres or donc je ne déclarerai rien de fondamentalement nécessaire. Je vais m’envoyer un petit livre pour faire suite à « La peau et les os » , le wagon à vaches qui m’occupera pour une journée loin des querelles habituelles, l’a lu l’a pas lu, mytho pas mytho . En fait c’est un amusement que de jeter un œil sur le déploiement de l’argumentaire ponctué des mêmes soupçons de malhonnêteté ou de vantardise prétentieuse un peu comme ces tapis mécaniques qui nous conduisent sans qu’il soit besoin de fournir d’efforts en s’enroulant se déroulant dans un mouvement continu pour nous propulser vers l’espace d’une destination choisie .

Widergänger dit: à

Ben oui, et alors ! C’est la plus stricte vérité. Je ne vois pas où est le problème. C’est en 1638 que ma famille a été anobli par Louis XIII, et le premier à l’être était maire de Bergerac et portait bien mon nom. C’est pas un délire du tout !

Widergänger dit: à

Vous montrez simplement que vous ne savez pas ce que signifie le mot « ancêtres ». Vous montrez simplement que vous n’êtes que des ploucs. Mais on le savait depuis longtemps, c’est pas nouveau !

la vie dans les bois dit: à

Et alors closer tu as fait une extraction d’un lien, en m’attribuant cette citation. T’es du genre malhonnête, mais plus encore p’tit con qui insiste.

Il a écrit ses Mémoires à quel âge Saint Simon ?

bérénice dit: à

un très bon coup au lit

WGG, vous vous encanaillez ?! ou je rêve!

rose dit: à

quel haut fait d’armes a fait que votre famulle ait ete annoblie ?
widerganger

Widergänger dit: à

Ce qui est passionnant c’est que cette même famille se retrouve quelques siècles plus tard juifs en Pologne ! Mais ça, ça vous dépasse. Vous êtes bien trop cons pour vous intéresser à un fait pareil. Alors que ça en dit long sur l’histoire de l’Europe.

Chaloux dit: à

Merci Pablo, une oeuvre inédite à décortiquer.
Extrait.
« Je rentre dans les transports en communs à nouveau bondés (bus ou métro), bousculé, avec des gens qui sont comme moi de mauvaise humeur, et d’autres qui crient, et parfois en cours d’année si épuisé, quand je termine à 16h30, que j’ai le cerveau complètement lessivé, anéanti, incapable de quelque activité intellectuelle que ce soit, je me couche sans même avoir le courage de me faire à dîner. »

Pauvre chou.

la vie dans les bois dit: à

Memorialiste, pour Proust, c’est un peu exagéré. Chroniqueur mondain comme Saint-Simon, ça suffit bien.

Chaloux dit: à

Il a écrit ses Mémoires à quel âge Saint Simon ?

Environ 65 ans quand il a commencé.

Widergänger dit: à

rose, votre question montre simplement votre abyssale inculture. Tout le monde est censé savoir que Louis XIII a anobli nombre de bourgeois spécialistes du droit pour construire son administration. La raison n’est pas d’ordre militaire, pas de faits d’armes ! mais de savoir. D’autres membres de ma famille ont été procureurs du roi par exemple. L’un a été vicomte de Monbazillac, d’une autre branche. C’était une famille qui était très en vue dans le Périgord au XVIIè siècle, ma famille. Mais au départ c’était des marranes très probablement, qui se sont implantés à Lespinassat, y ont construit le château qui existe toujours et se sont enrichis par le commerce du vin. C’étaient des vignerons au départ comme tant d’autres.

bob dit: à

il (XIV) était hideux -ah l’attrait du pouvoir

bérénice dit: à

WGG, pour résumer vous êtes un peu juif mais par vos aîeux paternels, un peu noble par Louis XIII, un peu agrégé après avoir déclaré ne pas l’être et vraisemblablement bon prof mais qui attend trop de ses élèves. Vous êtes célibataire, sans enfant même naturel et adepte du vélo électrique en Sologne. Vous lisez la nuit car vous passez beaucoup de temps ici de jour pour divers exposés. Vous avez environ 60 ans et les femmes ne vous intéressent guère ce qui étant donné votre amour pour les Lettres peut se comprendre et bien qu’on puisse manier , si vous admettez la métaphore inappropriée, le sabre et le goupillon.

Widergänger dit: à

Eh oui, la dure condition du prof de banlieue. Pas de quoi se moquer ! À moins d’êtyre con.

bérénice dit: à

Chroniqueur mondain

je trouve que c’est plus qu’insuffisant à le définir.

bob dit: à

Chaloux dit: 28 juillet 2017 à 12 h 56 min
devriez essayer au lieu de vous moquer

Chaloux dit: à

« michel1954

24 septembre 2012 23 h 57 min

La France est aussi un pays qui hallucine son histoire, qui en fait une histoire glorieuse alors que la réalité est tout le contraire : défaite de 1870, défaite de 1918 sans l’aide des alliés, défaite de 1940, abandon de la France par ses élites à la barbarie la plus sauvage de l’histoire, mensonges de De Gaulle sur la Résistance et mythologie de la Résistance. Il a fallu attendre le dernier discours de F. Hollande sur les lieu maudit du Vel d’Hiv pour la vérité soit enfin dite ! (1942-2012 : il a fallu attendre 70 ans que la vérité sorte de la bouche d’un chef d’Etat français ! Mais quelle honte ! Quelle honte ! Quelle horreur que ce pays !
 »

Il oublie la décomposition du corps enseignant, notamment du sien.
Je crois qu’on n’imagine pas le nombre de posts que ce crétin a laissé sur Internet. Il ne fait littéralement que ça.

Widergänger dit: à

bérénice, et vous un peu con, non ?

Chaloux dit: à

bob dit: 28 juillet 2017 à 13 h 03 min
Chaloux dit: 28 juillet 2017 à 12 h 56 min
devriez essayer au lieu de vous moquer

Que sais-tu de quoi, Bobby la pointure? Reste que j’aimerais bien rentrer chez moi à 16H30.

Widergänger dit: à

Je redirai aujourd’hui exactement la même chose ! Seuls les trouducus comme chaloux peuvent s’en offenser, comme les membres du FN !

JC..... dit: à

« Une nouveauté pour toi, JC, en attendant que Passou en parle ! » (JiBé) : La chambre des époux » d’Eric Reinhardt (Gallimard).

L’immonde merbe de ce gros minable d’Eric, son foret en balcon, je l’ai offert à la fondation « BRAILLE, VAILLE QUE VAILLE ! »

Les aveugles ont été ravis …

Widergänger dit: à

Mais mon père était ouvrier chez Mazda à Courbevoie et rentrait chez lui à 16h30, pauvre con !

Pablo75 dit: à

« Apparemment, quand on lit une phrase de Blabla comme celle-ci : »l’une de MES lointaines ancêtres », il ne faut pas absolument pas lire : »l’une de MES lointaines ancêtres ». » (Chaloux)

Surtout pas, quand Blabla-Widergänger écrit « l’une de MES lointaines ancêtres » il faut lire « quelqu’un qui n’est pas du tout mon ancêtre ».

Thomas Drelon dit: à

La Grandeur… cela me fait penser au bon vieux Bill: « Some are born great, some achieve greatness, and some have greatness thrust upon them. » Dans le Soir des Rois…
Drôle cette histoire d’Ambassade en Espagne, comme Chateaubriand en son temps… « M. de C. devient sourd parce qu’il n’entend plus parler de lui » disait Talleyrand… (aha aha aha…)
« Car après Dieu rien n’est plus grand qu’un roi de France. » disait Joaquim DuB.
Pardon, je fais mon Sollers à citer en rafale, c’est fatigant oui je sais…
Mais la grandeur de la France tient bcp d’une forme de royauté poétique diffuse, toute puissante, courageuse, ombrageuse, défi, champagne, Voltaire – apologie du luxe, apesanteur, et à la fin de l’envoi je touche.
See you folks.
T.D.

JAZZI dit: à

Et ça commence ainsi :

« Je suis né la nuit du 15 au 16 janvier 1675, de Claude, duc de Saint-Simon, pair de France, et de sa seconde femme Charlotte de L’Aubépine, unique de ce lit. De Diane de Budos, première femme de mon père, il avoit eu une seule fille et point de garçon. Il l’avoit mariée au duc de Brissac, pair de France, frère unique de la duchesse de Villeroy. Elle étoit morte en 1684, sans enfants, depuis longtemps séparée d’un mari qui ne la méritoit pas, et par son testament m’avoit fait son légataire universel.

Je portois le nom de vidame de Chartres, et je fus élevé avec un grand soin et une grande application. Ma mère, qui avoit beaucoup de vertu et infiniment d’esprit de suite et de sens, se donna des soins continuels à me former le corps et l’esprit. Elle craignit pour moi le sort des jeunes gens qui se croient leur fortune faite et qui se trouvent leurs maîtres de bonne heure. Mon père, né en 1606, ne pouvoit vivre assez pour me parer ce malheur, et ma mère me répétoit sans cesse la nécessité pressante où se trouveroit de valoir quelque chose un jeune homme entrant seul dans le monde, de son chef, fils d’un favori de Louis XIII, dont tous les amis étoient morts ou hors d’état de l’aider, et d’une mère qui, dès sa jeunesse, élevée chez la vieille duchesse d’Angoulême, sa parente, grand-mère maternelle du duc de Guise, et mariée à un vieillard, n’avoit jamais vu que leurs vieux amis et amies, et n’avoit pu s’en faire de son âge. »

Son père avait 69 ans (1606) quand Saint-Simon est né (1675) !

Chaloux dit: à

15 heures par semaine, si tu es vraiment agrégé, Blabla, et couché tous les jours à 17H30 comme les volailles, catégorie dans laquelle on peut te classer sans hésiter. Tu ne vas pas me faire pleurer.

bérénice dit: à

WGG, si cela vous satisfait je ne possède guère d’arguments pour vous contrarier. On est cependant toujours le con de quelqu’un et bien que la con.nerie n’ait rien à voir avec l’intelligence, c’est une question de mentalité ; il vit hélas des gens supérieurement intelligents affligés d’une couche qu’on ne soupçonnerait pas pouvoir s’allier avec un tel potentiel. Je ne défends aucune prétention, je suis ordinaire .

rose dit: à

widerganger
merci
vous êtes un homme charmant.
mais un.lien mis hier au soir a dit escuyer.
ma question était : comment d’escuyer , sorte de chausse-pied, devient t’on noble, porteur de maroquin, au seuil de la chambre du roi ?

_______
vous m’avez déjà fait le voup de l’ inculture alors qu’à votre savoir manquent l’oiseau de paradis et la cage d’amour et que, deux carottes rapées, une sardine, un oeuf dur et trois olives vertes feraient un bon en-cas piur le soir.

Obstinez-vous, vous avez tort. Je cultive et ardemment.

JC..... dit: à

« les dragonnades, des broutilles »
des horreurs en plus d’un désastre économique (un donald avant l’heure )

Que non ! des façons de faire le fier, le patron, le Putin, le Stalin, bref le chef, quoi !

Dragonnades ? Aucune importance.

On a perdu quelques bons professionnels protestants partis ailleurs… ! et alors ?

Chaloux dit: à

Ce qui est certain, c’est Blabla ne sera jamais aussi fatigué qu’il nous fatigue. C’est notre faute, aussi : passer autant de temps sur des propos aussi insignifiants.

rose dit: à

le coup. ti clavier. ti t’écran.

Widergänger dit: à

Tu sais tout simplement rien des conditions de travail d’un prof de banlieue. À cette époque-là, j’étais certifié, ce qui est déjà bien au-dessus de toi ! Et il m’arrivais d’avoir deux heures supplémentaires pour palier les déficiences du système. Toute chose que tu ignores complètement, pauvre crétin ! Va faire vingt heures par semaine à Drncy ! Je te souhaite bien du plaisir, cornard !

rose dit: à

D’ordinaire, je le suis z’aussi.

Widergänger dit: à

Mais un écuyer au XVIIè siècle n’est pas un écuyer chez Chrétien de Troyes, rose ! Vous montrez à nouveau votre ignorance. Le titre d’écuyer est simplement le premier titre dans la noblesse.

rose dit: à

moi c’est vrai, je voudrai bien savoir à quel rang vos ancêtres ont été nobles ? wider.

Chaloux dit: à

« votre famulle  »

Vous avez raison, Rose, Blabla descend d’une grande famulle. Il est l’ami des glands.

Chaloux dit: à

« Le titre d’écuyer est simplement le premier titre dans la noblesse. »

A Versailles, on n’aurait même pas laissé un écuyer curer les fosses d’aisance.

rose dit: à

16 avril 1698
toute fin du XVII ème.
Sr signifie Seigneur ?

est ce que vous dévalorisez vos élèves tout le temps comme vous le faites avec moi ?

Chaloux dit: à

« L’écuyer Blabla entrait librement chez le roy et s’asseyait sans façon sur le premier siège venu ».

M. le duc de Saint-Simon, Mémoires, tome V page 856, Pléiade Coirault.

bob dit: à

JC 13 h 11 min
c’était la terreur

Chaloux d 13 h 04 min
Exténuant, et sans compter les prépas de cours et le temps passé à corriger
Faut arrêter de ch.., tels les beaufs, sur le boulot d’enseignant

rose dit: à

duc c’est au-dessus de comte.

Chaloux dit: à

« Et quand il n’y avait pas de siège libre, c’était tout bonnement les genoux de Mme de Maintenon ».
Idem.

rose dit: à

chaloux
famille ; ne me cherchez pas, d’ordinaire.

Widergänger dit: à

Mais chaloux comme l pablo75, c sont deux vrais bofs.

Chaloux dit: à

Bobby la pointure, il faut simplement changer de métier si c’est si terrible. D’autres l’auront fait avant toi, pauvre crétin des alpes.

Chaloux dit: à

Rose, je ne vous cherche pas, je plaisante avec vous. Je vous trouve d’immenses qualités.

JAZZI dit: à

En somme, littérairement parlant, « Les Mémoires » de saint-Simon, sont en quelque sorte l’ancêtre de « La recherche du temps perdu » mais sans la fiction : une autofiction qui tourne rapidement à l’exofiction ?

Widergänger dit: à

rose, le duc d’Aquitaine ! Ça n vous dit vraiment rien ? Un duc règne sur des régions entières de France, enfin ! Duc et pair de France, non, rien ?!!

rose dit: à

comte, marquis, duc, prince.
voilà.
escuyer n’est pas un titre. c tout en bas.
en charge de l’écu. càd. du boyclier du chevalier. lu ça chez m. Bidon Yann.

nous, ils z’ont oublié de nous anoblir. Nous étions aux champs. Mes ancêtres et moi-même.

JAZZI dit: à

Son père à 69 ans quand il met en route son fils ; ce dernier a 65 ans quand il s’attaque à ses mémoires : l’avenir est encore devant nous alors !

Widergänger dit: à

Chneger de métier, pauvre cornard ! Va chiller ailleurs, petit merdeux !

rose dit: à

chaloux je suis tte recousue pourtant. vous z’aussi.

Widergänger dit: à

Mais absolument , Jazzi ! Et d’autant plus aujourd’hui, où on vit bien plus longtemps qu’à cette époque !

Tu veux épouser et avoir des enfants?

rose dit: à

avez d’immenses qualités.

rose dit: à

widergänger
soyez sérieux : vous descendez du duc d’Aquitaine lointainement ?

JAZZI dit: à

Roi = royaume; prince principauté; duc duché; marquis marche, comte comté, écuyer… cheval !

rose dit: à

vous aussi widergänger vous voulez épouser et avoir des enfants ?

Widergänger dit: à

Les écrivains qui commencent à écrire tard ne sont pas la même catégorie d’écrivain que cux qui meurent jeunes, comme Rimbaud, dit Didier Anzieu. Il a raison. On n’imagine pas du tout Proust écrivant La Recherche à 30 ans, ni Saint-Simon. Il y a en eux une autre profondeur que chez Rimbaud, qui est l’expression d’une jeunesse flamboyante, certes, mais sans toute la profondeur d’esprit des deux autres !

Widergänger dit: à

Oui.

JAZZI dit: à

Mais rose a son rosier !

rose dit: à

non pour marquis

escuyer => écu

le heaume l’écu la lance les éperons et le carapaçon pour le cheval.

JAZZI dit: à

Et empereur empire…

bob dit: à

13 h 23 min
mais je ne suis pas enseignant

rose dit: à

Et bien Widergänger, bravo.
Quoique trouvant que les hommes mettent bien du temps, je suis contente de vous savoir si positif.

oui pour duc d’Aquitaine ou oui pour se marierxet les enfants ?

Widergänger dit: à

Ecuyer c’est la toute petite noblesse de province, des nobliaux de province. Mon ancêtre, Josué de Al.ba, seigneur de Lespinassat, écuyer, ne possédait que son château de Lespinassat, où je vais aller en vacances un de ses jours avec mon épouse et des enfants pour leur montrer d’où ils viennent aussi. Mais ce sera une famille très européenne, polyglotte et ouverte sur le monde.

Widergänger dit: à

Mais je suis très positif. Mon nom indique mon destin, de toute façon. Je l’ai toujours su. C’est en train de se réaliser. Je crois en Lacan.

rose dit: à

et monarque monarchie.

Nous avons deux ducs sur ce blog.
c’est pas beau ça ?

si mon pépé savait ça, il serait content pour moi.

JAZZI dit: à

« non pour marquis »

Comment ça, rose !

rose dit: à

et bien bravo.
Décidez-vous et bonne chance.
widergänger.

Widergänger dit: à

Le premier ancêtre répertorié dans les Jurades de Bergerac était policier de la ville au service des La Rochefoucauld… Il portait une salade sur la tête… ça décoiffe quand on apprend ça !

Widergänger dit: à

Mais c’est tout décidé ! Mon épouse est sublime en plus.

bob dit: à

rose
il paraît que la plupart des européens descendent de Charlemagne un sacré lapin comme dirait le très saint père

rose dit: à

marquis marche, non jazzi

Chaloux dit: à

Des tas gens ont quitté l’enseignement, ou y ont renoncé parce que ça ne leur convenait pas, Blabla. Brillant comme tu l’es, avec ta culture immense, ta fabuleuse faculté d’écrire des chefs-d’œuvre, tu devrais au moins être le patron d’Assouline, que tu as traité il y a quelques jours, de toute ta mythologique hauteur, de tâcheron, sans que d’ailleurs cela fasse réagir quiconque. Or, ce qui t’a manqué toute ta vie, c’est le sens de l’effort, tu es tombé dans l’enseignement comme dans une poche de paresse, toute ta vie tu t’es raconté des histoires, à propos desquelles tu exiges maintenant, en fin de course, que chacun te croie sur parole. Tu fais payer cet engourdissement de toute une vie à tous ceux qui te lisent aujourd’hui, par ta bassesse, ton irresponsabilité d’enseignant, ton incompétence manifeste, ta mythomanie.

Pour ma part, je combats Assouline quand je trouve que c’est nécessaire, mais je respecte infiniment en lui un homme qui a été capable d’un énorme travail, et qui travaille encore certainement beaucoup. Ce que tu n’auras jamais été fou_tu de faire.

JAZZI dit: à

« Mais ce sera une famille très européenne, polyglotte et ouverte sur le monde. »

Tu as renoncé à aller repeupler Israël ?

rose dit: à

Recevez Widergänger l’expression de mes sincères félicitations et les meilleurs voeux de bonheur à tous les deux.

JAZZI dit: à

non quoi, rose ?

JAZZI dit: à

« Les marches désignent à l’origine de nombreux territoires frontaliers de l’empire carolingien. Par extension, le terme a également désigné une province frontalière, militarisée ou non.
La marche est l’ancêtre du marquisat ou du margraviat. »

Widergänger dit: à

Peut-être qu’un jour, si Dieu me prête vie longtemps, je pourrai racheter le château de mes ancêtres, à Brgerac, le château de Lespinassat, je lui trouve beaucoup de charme en tout cas. Je l’avais montré à Marusa (on y était allés avec la voiture d’une de ses anciennes copines d’Angoulême. Mais elle l’avait trouvé quelconque voire délabré… Moi, il m’avait beaucoup plu. Le château de La Force en revanche est en ruines. Il a été incendié par les révolutionnaires et laissé en l’état.

rose dit: à

mais Chaloux, vous ne savez pas combien, faute de l’avoir vécu combien ce métier d’enseignant est ardu.

on peut être tacheron, je ne l’ai pas lu, et travailler énormément. cela va ensemble, non ?

rose dit: à

jazzi
tout colle bien dans votre liste mais pas marche pour marquis me semble-il ?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…en, plus, j’ai entendu, me dire,…que la ? noblesse,…au temps du XIV,…

…c’était pas, de la noblesse d’épée,…mais,… de tout commerces, qui se voulait valoir et  » luire « ,…juste, en payant, les droits et ses taxes, pour le titre convoité, dans la région,…

…de la noblesse de lèche-culs, sans dignité, ni principes,…la noblesse de n’importe quoi, comme le XIV°? Trust & C°,…

…des volumes, sur cette noblesse,…comme les chevalier de nos jours,…rien, et n’importe quoi,!…suivants,…Ah,!Ah,!…
…etc,…envpyez,!…

…le Tartuffe, c’&tait, probablement, aussi, lui, le roi,…comme usurpateur, autant que sa cour, à faire lers cacas, dans les couloirs de Versailles,….

rose dit: à

je ne sais pas moi marquisat

Widergänger dit: à

Merci, rose ! Pour l’instant elle ne parle que le russe et l’ukrainien et l’anglais. Mais dans la famille on parlera russe, ukrainien, anglais, allemand, espagnol, hébreu et l’italien et le portugais. Et mes enfants apprendront forcément le latin et le grec !

Chaloux dit: à

Rose, je ne suis pas recousu. Rien ne vous indique que je ne connaisse pas ce métier. Quant au pauvre Blabla, il en ira de son mariage comme de son chef d’œuvre, quelques tentatives d’apoulpement, et pfuit…

Widergänger dit: à

Le mot Ukraine vut d’ailleurs dire « Marche ». C’est pour ça que ça va si mal en Ukraine, lieu stratégique de la guerre entre l’est et l’ouest.

rose dit: à

ah d’accord jazzi marquisat, margraviat

JAZZI dit: à

« elle ne parle que le russe et l’ukrainien et l’anglais. »

Tu l’as trouvée sur catalogue, WGG ?

Chaloux dit: à

Il s’est fait harponner par une russe sur un site à la c_on. Trois mois après le mariage, dès qu’elle aura des papiers, elle le plaquera-là, avec des dettes par-dessus la tête. On n’a pas fini de l’entendre geindre. Triste fin d’un triste sire… Quad on est minable, c’est décidément pour la vie.

rose dit: à

Chaloux
bien contente pour vous.
rien c vrai.
mais vous avez l possibilité comme Màc l’avait fait, de le voir en cours.
Là, devant les élèves, on ne peut pas tricher.
Faites ce que vous voulez

Chaloux dit: à

Encore heureux si son grand frère n’arrive pas en même temps qu’elle à l’aéroport… Mais quelle truffe, ce Blabla, quelle truffe sur tous les plans…

rose dit: à

Non. Ça peut marcher mes mariages arrangés. Il faut y mettre du sien, certes.

Widergänger dit: à

J’aimerais bien m’installer ensuite avec toute ma petite famille en Espagne à Sitges. Ce serait l’idéal.

rose dit: à

C’est lui qui y va. Il nous l’a dit.

Widergänger dit: à

J n vois pas ce que mon frère vient faire là-dedans, que je n’ai pas vu depuis plus de vingt ans !

Widergänger dit: à

Pourquoi arrangé ? Passion oui !

Widergänger dit: à

Amour fou ! Grand amour ! délire érotique…!

Chaloux dit: à

Le grand frère de la fille, Blabla, pauvre banane, son mec. Rose, dans ce cas, ça ne peut pas fonctionner. Je ne comprends pas qu’un type même au fin fond de la misère affective la plus noire, puisse se faire avoir par un truc pareil. Tout le monde sait comment et dans quel but ça fonctionne, sauf lui.

rose dit: à

Deux ans pour les papiers Chaloux.
elle peut ramener sa soeur et l’enfant de sa soeur.
c’est vrai qu’il faut payer.
Attention aux maladies.
Ça peut marcher. j’en connais deux qui marchent
une est venue avec son petit.

une autre est décédée ; elle avait un blême avant d’arriver et deux gosses qu’elle a laissé là-bas. Elle a épousé un rustre. Ce n’était pas top pour elle.

rose dit: à

laissés

Widergänger dit: à

Création poétique ! Création sur tous les plans ! Création ! Merveille ! Merveille absolue ! Bonheur, joie, extase !

Widergänger dit: à

Mon Dieu, quelle vulgarité, ce chaloux ! Mais quelle vulgarité !

rose dit: à

si Widergänger va la chercher, il pose ses conditions.

je ne vois pas pourquoi cela ne marcherait pas.

Chaloux dit: à

Passion : Dans ton cas, Blabla, avec tes 63 balais, ton surpoids et tes dents jaunes? Méfiance.

Delaporte dit: à

L’énergie du duc de Saint-Simon passe dans ses volumes de Mémoires, à tel point qu’il donne des idées au quidam d’aujourd’hui. Celui-là croit avoir un ancêtre qui peuple la cour de Louis XIV, celui-là, le même, se décide à se marier et à avoir une grande famille, qui sait, pour pouvoir devenir courtisan sous une nouvelle monarchie. Postérité décrépite de Saint-Simon !

rose dit: à

Chaloux, laisse le rêver, grands dieux.

Widergänger dit: à

Quelle vulgarité !

rose dit: à

Chaloux
HCB s’est marié passé 52 ans. A été heureux jusqu’à sa mort tardive, 98 ans, je crois.

Widergänger dit: à

Quelle haine !

Widergänger dit: à

Moi, c’est prévu que je meurs à 114 ans. Ça me donne de la marge, non !

Chaloux dit: à

Il aura tellement rêvé qu’il en mourra. Croyez-vous, Rose, que ces filles viennent en France pour vivre toute une vie avec une pension de retraité de prof’ de collège et le vieillard qui va avec? il y a toute une organisation mafieuse autour d’elles dans 99% des cas. Blabla en sortira laminé et encore plus idiot qu’aujourd’hui. C’est un suicide, dans le meilleur des cas, car dans le pire on l’aidera un peu à sauter le pas, beaucoup de ces gens sont sans scrupule. Comment quelqu’un peut-il avoir aussi peu d’expérience de la vie? Je ne parviendrai jamais à me l’expliquer. Ou plutôt si, c’est un demeuré.

Chaloux dit: à

HCB?

Delaporte dit: à

« Moi, c’est prévu que je meurs à 114 ans. »

Vous êtes déjà complètement gâteux. Vous croyez que vous irez jusque là ?

rose dit: à

Henri Cartier Bresson
très belle histoire d’amour

rose dit: à

Chaloux

le pognon joue un grand rôle mais il le sait. Autant que vous.

rose dit: à

agrégé hors classe, belle retraite

le vieillatf, s’il est affectueux ?

Widergänger dit: à

Il en connaît un rayon sur la mafia ce pauvre chaloux ! Il connaît rien mais il sait déjà tout. C’est dingue ce genre de cornard…

rose dit: à

vivre seul Chaloux, ce n’est pas une sinécure.

Victoria dit: à

Widergänger dit: 28 juillet 2017 à 13 h 46 min

Peut-être qu’un jour, si Dieu me prête vie longtemps, je pourrai racheter le château de mes ancêtres, à Bergerac, le château de Lespinassat …………….

….il oublie complètement qu’après Macron et ses copains Attali, Merkel, Junger et Cie, son épargne aura disparu et sa pension mensuelle de fonctionnaire fondu comme neige au soleil.
Tout au plus pourra-t-il racheter la plaque de cheminée, en économisant longtemps.

Chaloux dit: à

Vulgarité?

Un seul conseil, Blabla, maintenant que tu es en retraite, tu sors dix minutes pour t’acheter une ramette de papier, des cahiers et des crayons neufs, tu commences vraiment à écrire ton livre, et tu oublies cette histoire. Même raté, il ne te tuera pas. Un homme de ton âge, de ta corpulence, de ton apparence, ne peut susciter aucune passion amoureuse chez une femme jeune normalement constituée. Encore aurais-tu de gros moyens, physiques et financiers, tu pourrais tout te permettre. Mais dans ton cas il y a forcément un loup, et ce loup va te mordre au sang.

Widergänger dit: à

En retraite je gagnerai plus que chaloux avec son bastringue…!!!!

rose dit: à

il est lucide mais je pense que vous aussi Widergänger.

Chaloux dit: à

Rose, vivre seul vaut mieux que de vivre avec un démon dans la maison.

Victoria dit: à

Quant à Lespinassat, une famille Britannique séduite tant par la campagne environnante que par les résultats à long terme du Brexit en fera son affaire.

rose dit: à

Chaloux
nanmého ?

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 28 juillet 2017 à 14 h 19 min
En retraite je gagnerai plus que chaloux avec son bastringue…!!!!

Hurkhurkhurk!

Widergänger dit: à

Je voulais voir ce que ça provoquait, je suis servi. Non, mais regardez-les tous se ruer sur la bête pour la dévorer. Ah ! on a vraiment affaire à la pourriture, hein ! Sacrée pourriture !

rose dit: à

les africaines sont terribles les thaïlandaisrs aussi. les russes ça va.

Widergänger dit: à

…un démon à la maison… hihihihihihihihihi…!!!!!!!! Mais un vrai taré ! Que de haine ! Mais c’est drôle de voir ce déchaînement de haine !

Chaloux dit: à

Rose, tout ce marché est régulé à 99% par la mafia russe. Blabla a déjà parlé de tout ça il n’y a pas longtemps. Suis persuadé qu’il nous fait marcher. Bien trop trouillard pour s’engager dans un truc comme ça.

Pablo75 dit: à

Mais c’est quoi cette histoire de Blabla-Widergänger avec une fille de l’Est qui sent l’arnaque à 2.000 kms de distance?

rose dit: à

widergänger

vous êtes tjrs le + à poil ici et tjrs à dire je voulais voir ce que ça provoquait.
vous n »avez pas autre chose à foutre ?

Widergänger dit: à

Elle n’est pas Russe, mais Ukrainienne. Elle est jeune et vient d’une excellente famille bourgeoise et intellecttuelle de Kiev. Rien à voir avec la maffia, dont ils sont des victimes comme tant d’autres ukrainiens, hélas !

rose dit: à

modérée à .24.
bon

à plus.
wider nous occupe. il sait faire.
je le comprends que l’on se méfie des filles russes. des babas yagas.
Après on tombe amoureux.
Après, on est foutue.

Widergänger dit: à

Ah, voilà cette grosse merde de Pablo75 ! Je suis curieux de voir toutes les horreurs qu’il va nous sortir…

rose dit: à

en Afrique, une se sacrifie dans la famille.

Chaloux dit: à

Et elle n’a rien trouvé de mieux qu’un vieux machin comme toi?

rose dit: à

il edt tombé amoureux à 52 abs jazzi.

Widergänger dit: à

Ah, il sont comiques ! S’ils savaient les pauvres !

Widergänger dit: à

C’est comme avec els poissons, on peut leur faire régurgiter toute leur bile. Et noire qu’elle est leur bile ! noire et pleine de haine et d’ordures.

Widergänger dit: à

Ah ah ah ah ah ah aaaaaaaaahhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!

rose dit: à

jazzi je suis allée la voir, la tombe de HCB. ne l’ai pas trouvée , pensais qu’elle était dans sa propriété.

Chaloux dit: à

En fait la vie amoureuse de Blabla, c’est aller das les cinés P. du boulevard Rochechouart Pom_per du gros séné_galais, tout son quartier est au courant, j’ai fait mon enquête l’an dernier.

Pat V dit: à

Bien trop trouillard pour s’engager dans un truc comme ça.( en parlant de wgg)

Mais oui, il lui suffit d’ exhiber jouissivement ses texticules et d’ astiquer avec perversité ses escobarderies, tout agrégé sur ce blog!

Pablo75 dit: à

Moi ce que j’aimerais savoir c’est comment il va pouvoir « honorer » son « épouse » et avoir plein d’enfants alors qu’il est devenu impuissant à force de se bran.ler…

Pat V dit: à

 » tout agrégé qu’ il est sur ce blog « …

Widergänger dit: à

Là, c’est faux ! Y a pas que les sénégalaises ! Faut arrêter ! chaloux il fait de très nombreuses enquêtes, il enquête auprès d’un collège où je n’enseigne pas, il enqueêtes aup^rès de putains que je ne fréquente pas. C’est un vrai gestapiste.

Pablo75 dit: à

Quand « l’épouse » verra Blabla-Widergänger à poil et bavant d’envie, elle aura une syncope, dont elle ne se relèvera pas…

Widergänger dit: à

Je vois que a cabnaille se défoule comme prévu. Et c’est pas triste ! On voit de quoi ils sont capables, hein, tous ces frustrés… Quelle vulgarité !

Chaloux dit: à

Pas sénégalaisES. Encore une fois tu as mal lu.

Widergänger dit: à

Pourquoi « verra » ?

Pablo75 dit: à

« C’est comme avec els poissons, on peut leur faire régurgiter toute leur bile. » (Blabla-Widergänger)

Les poissons ne rigolent pas comme nous.

Chaloux dit: à

Pablo, Blabla sera peut-être autorisé à suc… le grand frère avant que celui-ci n’em_paffe sa petite sœur! Tu vois le tableau!

Widergänger dit: à

Ils paraît que si justement ! Et spécialement des trouducus comme Pablo75, qui les fait le plus rire depuis qu’il a assimilé Garbo à Virginia… le fou rire ne les quitte plus.

Chaloux dit: à

Widergänger dit: 28 juillet 2017 à 14 h 40 min
Pourquoi « verra » ?

C’est vrai. Avec verrat, tu ne fais qu’un voyage.

Widergänger dit: à

Quelle vulgarité !!!!!!

Widergänger dit: à

Mais ma cousine russe de Pskov s’appelait Vera Al.ba justement. Une belle fille mariée avec un ingénieur. Elle est décédée en 1985 à St Pétersbourg. Très émouvant d’y aller et de voir où elle habitait.

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

« Blabla sera peut-être autorisé à suc… le grand frère avant que celui-ci n’em_paffe sa petite sœur! Tu vois le tableau! »

Ah, tout s’explique… De toute façon il est profondément maso, donc ce qui l’attend le rend euphorique.

Chaloux dit: à

Oui, Pablo, mais seulement s’il est poli et qu’il paie bien. Sinon, ce sera tintin!
Tu imagines? devoir cracher au bassinet pour suc… son beau-frère?

Widergänger dit: à

Des nazes ! gros nazes ! mais comiques. Très comiques. Ils se sont montrés tels qu’en eux-mêmes. La vulgarité même. Vulgarité crasse même ! Beurkkkkk !!!!! Ils font honte au genre humain.

Pablo75 dit: à

@ Chaloux

De toute façon Blabla est un pervers. Tout lui plaira. Comme le fait ici intellectuellement, il cherche à se vautrer dans l’ignominie.

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