de Pierre Assouline

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La République des livres
Avons-nous perdu le sens de la grandeur, Saint-Simon ?


Avons-nous perdu le sens de la grandeur, Saint-Simon ?


Il y a comme cela des auteurs auxquels on fait confiance. De ceux avec qui on s’embarque sans hésiter à chaque nouveau livre en sachant que leurs tropismes ne les éloigneront guère de leurs terrains de chasse favoris, lieux de souvenirs de lecture enchantés. C’est précisément le cas avec Jean-Michel Delacomptée, l’un des auteurs les plus discrets, mais aussi les plus réguliers et les plus fidèles de la collection « L’un et l’autre » jadis fondée et dirigée par J.B. Pontalis et donc Jean-Michel Delacomptée a hérité, laquelle est déjà en soi le label d’une certaine qualité même si ses titres sont  nécessairement d’un intérêt inégal. Aussi, après notamment son portrait d’Henriette d’Angleterre (Madame, la Cour, la mort, 1993), celui de La Boétie (Et qu’un seul soit l’ami, 1995), son Racine en majesté (1999) et son Bossuet (Langue morte, 2009), on se précipite sur son Saint-Simon paru sous le titre programmatique La Grandeur et repris en poche chez Folio (240 pages, 7,20 euros), sans s’arrêter sur son étrange pamphlet, en des terres lointaines où il s’était égaré.

Non une biographie ni un essai mais une sorte de portrait en vérité, un peu dans l’esprit du Saint-Simon l’admirable que donna José Cabanis en 1974 ; il se veut traversée des âges et hommage à ce qui se perd, donc, avant tout, à notre langue. Mais Jean-Michel Delacomptée ne serait pas lui-même s’il n’avait organisé son affaire autour d’un point focal. Non un point de détail mais un moment isolé de manière privilégiée et arbitraire. Toute son énigme se ramasse entre 1739 et 1740 ; le duc de Saint-Simon vient d’achever la Note sur la maison de Saint-Simon, hommage au lignage auquel il se vouait jusqu’alors ; il s’apprête à faire subir le même traitement à la maison de La Rochefoucauld quand il modifie sa route et s’élance dans l’invention de son grand œuvre : les Mémoires, un océan de mots. 2854 pages plus loin, et dix ans après, il en sort ce chef d’œuvre qui nous dit tant de ce temps.L’auteur s’est longtemps demandé quelles raisons avaient profondément motivé ce saut décisif ; de  même, on ne saura jamais vraiment ce qui s’est passé à la charnière de 1908-1909 pour que Proust, grand admirateur de Saint-Simon, passe insensiblement d’un projet de livre mêlant plusieurs genres (essai, souvenirs, récit) à un projet de roman, et de Sainte-Beuve à Combray.

« A partir de quel moment un écrivain, chargé d’un projet longuement fermenté mais qui lui résiste, finit par se lancer et, d’une traite, le réalise ? Par quels méandres, et en quels circonstances, advient soudain ce qui se refusait à lui jusqu’alors ? » s’interroge l’auteur en explorant l’incertaine puissance censée agir son attitude.Saint-Simon_portrait_officiel_1728_détail

Il n’entend pas nous le démontrer mais nous en éclairer par des intuitions, des chemins de traverse, des pistes oubliées qui tiennent le plus souvent à un mot chu et ramassé, ou un détail griffé dans le tissu de sa vie, toutes choses insignifiantes sous d’autres plumes mais qui prennent une allure nettement plus convaincante lorsqu’elles sont gouvernées par un tel souci de la langue. En trois traits, il brosse un portrait : dos rond, oeil de verre, ourlet démesuré des lèvres. Au passage, Jean-Michel Delacomptée nous livre l’argument d’une pièce de théâtre rêvée (avis aux amateurs !) : les trois jours et trois nuits au cours desquelles Saint-Simon, enfermé en huis clos avec le Régent, s’employa à le convaincre de rompre avec Mme d’Argenton qui l’asservissait, afin de reconquérir l’affection du Roi, son oncle. Le Régent, Philippe d’Orléans était son ami d’enfance et le demeura ; il avait d’ailleurs, dès l’entame de son projet, fixé la borne du souvenir à la mort de celui-ci.

Ses goûts comme ses mœurs portaient Saint-Simon à une existence équilibrée et sans excès d’aucune nature. Il subsiste à peine quelques centaines de lettres de son épistolat. On le disait sociable, épris de conversation, passionné de protocole et de rituels, expert en grandeurs d’établissement, ce qui nous vaut de belles pages sur la comédie du tabouret ou le cérémonial public de la chaise percée.  La vraie grandeur selon lui ne devait pas être assise sur la fortune. Le duc n’était guère préoccupé de posséder des biens ou de jouir des plus hautes fonctions ; d’ailleurs, il en refusa maintes fois et des plus brillantes ; on dira que c’est plus facile lorsqu’on est né Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, pair de France, seigneur de nombreux fiefs, duc de Ruffec, comte de Rasse, gouverneur de Senlis, héritier des ville, citadelle et comté de Blaye en Gironde, préférant à tous ces lieux son château de La Ferté-Vidame à vingt cinq lieues de Versailles.

Saint-Simon_manuscritGrand cas est fait de l’ambassade extraordinaire qu’il conduisit en Espagne, sous la Régence afin d’y marier Louis XV, onze ans, à l’infante d’Espagne, trois ans. On ne trouve qu’une seule occurrence du mot « pute » sous la plume de Saint-Simon : « Cette pute me fera mourir » soupirait Marie-Thérèse, reine de France, épouse de Louis XIV, en regardant le Roi s’afficher avec la Montespan. Une édition partielle des Mémoires, publiée avec cette phrase pour titre, a fait un tabac en librairie il y a quelques mois. Au vrai, Saint-Simon piétine la syntaxe comme du bon raisin, avec un amour de la langue qui ne relève pas seulement de l’expertise ; il prend des libertés avec la grammaire ; il ne se relit pas quand bien écrit-il volontiers à la diable ; il ne se pique pas de bien écrire, noircit le papier en toute liberté, mais n’en demeure pas moins l’un des rares mémorialistes à être lu et relu, outre ses informations sur la vie de cour (souvent puisées dans le Journal de Dangeau) et ses anecdotes vachardes (son tableau du règne du Roi-Soleil est le plus cruel des monuments dans une chronique des dérèglements de la cour et du royaume qui n’en manque pas) pour la seule grâce de son style.

L’hommage du portraitiste est à sa mesure car Jean-Michel Delacomptée, qui écrit en parfait accord avec la langue de ce temps, jamais ne verse dans le pastiche ni l’affectation. N’espérez pas trouver dans ce livre une analyse serrée de l’œuvre. Plutôt le reflet d’un instant biographique, mais qui en dit bien davantage en si peu de pages sur l’âme du gentilhomme campagnard de la Ferté-Vidame que tant de thèses obèses. Alors, pourquoi Saint-Simon (1675-1755) est-il passé vers 1739 de sa Note sur la maison de Saint-Simon à ses Mémoires, de la dette aux ancêtres à l’émancipation par le « Je », et de la politique à l’émotion ?

« L’appel de la vérité, je crois. Et la grandeur ».

Voilà tout. Qu’importe au fond la vraie raison si cela nous a permis de méditer sur la perte d’un sentiment, et la manière dont son absence se fait ressentir par nos contemporains. Mais est-ce ainsi qu’un écrivain glisse vers son destin à défaut d’y basculer ? Difficile à expliquer, la grandeur, car, nous prévient Jean-Michel Delacomptée, nous en avons perdu le sens. La France et les Français d’aujourd’hui n’en ont tout simplement plus idée. Il y a quelque chose de vertigineux à placer cette perte de sens au rang de ces hapax de l’Ancien Testament dont nul ne peut assurer avec certitude ce qu’ils ont pu signifier.  Saint-Simon assure qu’en ce temps-là la France « était de tout ». Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?

(« Balloon Dog Magenta » de Jeff Koons, devant le Repas chez Simon de Véronèse et sous le plafond représentant l’Apothéose d’Hercule peint par François Lemoyne, château de Versailles, photo D.R.; Jean-Baptiste van Loo, Portrait de Saint-Simon, 1728, détail, château de Chasnay, collection particulière ; « Manuscrit autographe des Mémoires de Saint-Simon » Bnf, Paris, photo D.R.)

 

 

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Littérature de langue française.

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commentaires

1 249 Réponses pour Avons-nous perdu le sens de la grandeur, Saint-Simon ?


Victoria dit: à

naferklt periktaltlan : ma belle maison d’Atlantide.

Janssen J-J dit: à

Je pense que le robot rdl a décidé ce matin de faire le grand ménage et vide grenier. A la bonne heure !

Victoria dit: à

le mot Altlan lui-même, que l’on retrouve aujourd’hui dans des mots comme Atlantique, Atlantisme, qui avait hier donné son nom au géant Atlas et à l’héroïne grecque Atalante, vient d’une étoile, système stellaire d’où sont originaires ceux qui avaient enseigné leurs pouvoirs psychiques aux Atlantes et qui se sont partiellement hybridés avec eux. D’où des gènes atlantes présents en petite quantité chez nombre d’être humains. Dont votre serviteur.

Jean dit: à

Pour avoir le sens de la grandeur, il faut avoir perdu tout sens du relatif. Le sens de la grandeur d’un Saint-Simon se confond avec les oeillères d’un « grand » seigneur qui n’est jamais sorti de son trou.

Pablo75 dit: à

« « Le jeûne rend lucide » (Pablo75). Mort de rire ! T’imagine un peu le « musulman » à Auschwitz, squelettique à force de jeûne, déjà hors de l’humanité  » (Blabla-Widergänger)

Notre gros por.c, pour qui toutes les femmes sont des pu.tes et des trui.es parce qu’aucune n’a jamais voulu de lui et qui est donc réduit à violer des oreillers, a passé sa vie à s’empiffrer de bouffe industrielle pour l’oublier.

Il n’est donc même pas capable de comprendre que quand on parle de jeûne on parle de privation de nourriture volontaire. Pour un verr.at de son espèce c’est inconcevable de s’arrêter volontairement de se bâfrer, cela ne peut pas exister.

Renseigne-toi, immense abr.uti:

« Pendant le jeûne, la clarté d’esprit s’aiguise et les solutions se trouvent dans la simplicité et la lucidité (moins de place aux mensonges ou à la manipulation de l’ego !). L’individu se trouve enfin face à lui-même, seul responsable de ses actes et peut -avec volonté et discernement- choisir son chemin. Le ressenti de détermination crée une sensation d’unité de Soi, de conscience de Soi entre le corps, le cœur et l’esprit ». (Véronique Lacauste).

Tu as compris que tu as un besoin urgent de faire un jeûne, pour enfin devenir lucide sur tes mensonges et les manipulations de ton ego (même si rien ne pourra jamais te guérir de ta nullité absolue)?

Tu es tellement ignorant que tu ne sais pas que dans la Bible (que tu n’as fait que feuilleter 2 ou 3 fois dans ta vie) souvent on jeûne avant de prendre une décision capitale:

« On trouve les exemples les plus notables de jeûne dans la vie des prophètes. Le ministère prophétique est immanquablement lié au jeûne. Moïse a jeûné pendant 40 jours à deux occasions (Deutéronome 9:9,19). Elie a jeûné pendant 40 jours dans le désert (1 Roi 19:8). Jésus a aussi jeûné pendant 40 jours (Luc 4:2). Daniel a jeûné à plusieurs occasions, et il nous donne le plus d’informations sur les façons de jeûner (Daniel 1:8; 9:3; 10:2,3). Esther a demandé aux juifs de jeûner pour elle en arrêtant de manger et de boire pendant 3 jours (Esther 4:16). David a jeûné fréquemment, pour manifester sa douleur pour ses péchés (2 Samuel 12:16-20; Psaumes 69:11; 109:24). Esdras et Néhémie étaient tous les deux des hommes de jeûne et de prière (Esdras 8:21; Néhémie 1:4). Les juifs observaient des jeûnes réguliers demandés par la Loi de Moïse, et le jeûne semblait être un cri de ralliement pour tout Israël en temps de crise (Joël 1:13,14). […] Le jeûne n’est pas limité à l’Ancien Testament. Les Ecritures nous expliquent qu’Anne ne quittait pas le Temple, mais servait le Seigneur dans le jeûne et la prière jour et nuit (Luc 2:37). Jean le Baptiste et ses disciples observaient le jeûne, tout comme les Pharisiens (Matthieu 9:14). Jésus a dit que lorsqu’ Il retournerait au Ciel, Ses disciples jeûneraient aussi (Matthieu 9:5). Et ils l’ont fait. […] Le jeûne et la prière ont déclenché la première expédition missionnaire de Paul qui allait mettre le monde sens dessus dessous (Actes 13:2,3). Les apôtres jeûnaient et priaient chaque fois qu’ils confirmaient des anciens dans les nouvelles églises qu’ils établissaient (Actes 14:23). Paul recommande que mari et femme s’abstiennent occasionnellement de relations sexuelles, d’un commun accord, pour vaquer à la prière et au jeûne (1 Corinthiens 7:5). Il jeûnait souvent lui-même (2 Corinthiens 6:5; 11:27). »

Ce cré.tin définitif qui passe sa journée à essayer de nous faire croire qu’il est juif, ignore totalement le rôle du jeûne dans le judaïsme. Ça te dit quelque chose, imbé.cile infini, le mot « taanit »? Informe-toi un peu, gros bouffeur de saucisses de Strasbourg:

https://fr.wikipedia.org/wiki/Taanit_(trait%C3%A9)

Widergänger dit: à

Le basque ne serait-il pas la langue des néandertaliens ? Je sens que je vais encore me faire des ennemis…

Widergänger dit: à

Les truisme de la grosse tr.uie.

rose dit: à

évidemment, le jeûne rend lucide, oui. Privation volontaire. Mahatma Gandhi.
rien à voir avec le sadisme de la privation de nourriture dans les camps.
Bloom
je vous réponds plus tard. marché tardif. comme les vendanges.

Widergänger dit: à

Justement, il y a de quoi s’interroger sur la lucidité qu’entraînerait le jeûne au regard de tous ces exemples… Ayons la pensée critique, mes petits chéris, ne nous laissons pas abuser par les truismes…

rose dit: à

c’est en cela que j’ai bcp de choses à dire sur le ramadan versus le carême.
une de mes amies, proche, guérit de l’encrassement morbide, du pancréas, du foie, par le jeûne. elle a vécu une des premières fois une situation « extatique ». cela se fait dans la joie et pas dans la souffrance.
on ne peut pas être juif et penser ceci des femmes.
=> widergänger
vous n’êtes pas juif. il y a un respect infini des femmes chez les juifs.

vous avez tout à apprendre. j’espère Irina tenace. mais pas teigneuse. bonne chance à vous.

keupu dit: à

l’a trop bouffé Pablo75 ou quoi ?

Widergänger dit: à

Restons lucides !

Widergänger dit: à

Vous ne comprenez rien rose.

JAZZI dit: à

« le héros mythique, le héros épique, le héros tragique, le héros romanesque. Le héros romanesque arrive tardivement et se revendique comme individu face à la loi ; c’est ça la grande nouveauté du héros romanesque. »

Et où placer « les mille et une nuits », d’origine persane et remontant au IXe siècle, où l’on voit l’héroïne (romanesque), Shéhérazade, raconter des histoires pour sauver sa peau, WGG ?

et alii dit: à

Ce n’était pas une histoire de décence ni rien ; c’est juste que tout devenait trop compliqué. Heureusement, j’ai rencontré Edgar, et Edgar, comme vous le savez, est devenu président de la République. C’était moi, l’égérie d’Edgar. Mais person…
Ce n’était pas une histoire de décence ni rien ; c’est juste que tout devenait trop compliqué. Heureusement, j’ai rencontré Edgar, et Edgar, comme vous le savez, est devenu président de la République. C’était moi, l’égérie d’Edgar. Mais person…
Ce n’était pas une histoire de décence ni rien ; c’est juste que tout devenait trop compliqué. Heureusement, j’ai rencontré Edgar, et Edgar, comme vous le savez, est devenu président de la République. C’était moi, l’égérie d’Edgar. Mais person…
Marie Darrieussecq truismes

bérénice dit: à

gros bouffeur de saucisses de Strasbourg

ah oui c’est indigeste, j’en suis à accentuer la tonalité grecque de mon régime, tarama, tzatziki, tomates sans concombre, olives et pas de feta parce qu’elle n’est pas géniale ici, huile d’olive pour tout . Des œufs durs, des crevettes d’élevage, un peu de poisson pour ne pas contribuer au dépeuplement des océans quand il est sauvage . Je mourrais vraisemblablement d’autre chose que d’une maladie de surcharge .

Paul Edel dit: à

A propos de « grandeur », notons u’il y a dix ans, jour pour jour, disparaissait le cinéaste suedois Ingmar Bergman.

Widergänger dit: à

C’est le conte, Jazzi. Ce n’est pas le roman.

La structure de Gargantua est mythique dans la mesure où Gargantua correspond exactement à la case du « Fripon » dans la structure des mythes analysés par Marc Augé dans son bouquin, Génie du paganisme. Le mythe est ce qui fonde la civilisation et les différences dans la société nouvelle ainsi créée, ici la société évangélique que Rabelais appelle de ses vœux. C’est exactement ce que fait Gargantua ; les inscriptions à la porte de l’abbaye de Thélème disent précisément les différences à l’intérieur de la société des thélémites. Aucun critique que j’ai lu n’a compris ça, alors que c’est évident pour qui connaît la structure des mythes. Ce qui explique aussi l’énigme finale qui doit rester énigme pour que le mythe fonctionne.

Mais je crois que ça dépasse de loin le cas de Rabelais. Au fond, Rabelais met en dialogue mémoire et histoire, à travers le jeu dialectique entre mythe et société nouvelle. Mais on pourrait tout aussi bien lire une texte structure dans la plupart des romans, structure qui définit la forme romanesque en tant que telle. Chez Claude Simon, par exemple, on trouverait une telle dialectique active notamment dans Acacia entre mémoire et histoire, entre mythe, désir de refondation et histoire, sauf que le mythe ici avorte et ne produit aucune abbaye de Thélème. Ce qui donne ces phrases alanguies, comme sans fin, dans l’inachevé de leur impuissance à refonder quoi que ce soit. Et cette impuissance est le sens même de l’œuvre, car elle est l’impuissance de son siècle.

Janssen J-J dit: à

Mourir un 30 juillet, quelle grandeur cela confère-t-il au juste ? Et pourquoi trier entre
Ingmar Bergman
prince Otto von Bismarck
Pascal Jardin
William Penn
James Aggrey
Anne-Marie Cazalis
Robert William Arthur Cook, dit Robin Cook 4
Maurice Bardèche
Walter Horatio Pater
Rudolf Bultmann ?…
quand on sait à quel point, marie-paule gineste, ma cousine germaine, cancéreuse et décédée dans un accident de circulation à Dachau en Allemagne, n’a jamais eu le temps d’être reconnue par le grand public alors qu’elle était promise à un grand destin littéraire ?

Widergänger dit: à

N’oublions pas non plus, Jazzi, que les contes des Mille et une Nuits sont en fait une traduction de Galland et par là tout autant une œuvre importante du XVIIIè siècle. Les Lettres persanes, de Montesquieu n’aurait pas pu voir le jour sans la publication quelques temps auparavant de l’œuvre de Galland, qui est une adaptation au génie français des conts arabes (et juifs). C’est le réalisme enchanté, dont aurait pu se réclamer, bien plus sûrement Gabriel Garcia Marquez pour son fameux roman, au lieu d’aller chercher Virginia Woolf. Quel snob, ce Gabo ! Une vraie Garbo…!

Janssen J-J dit: à

(HM / Moby Dick) Pour si grande que soit la supériorité intellectuelle d’un homme, il ne peut pratiquement et durablement dominer d’autres hommes sans jouer une sorte de comédie toujours un peu vile.

Widergänger dit: à

Scheherazade a aussi eu une influence sur le regard portée sur la femme française, un infléchissement entre le sérail, le boudoir et le salon. La duchesse de Langeais chez Balzac lui doit sans doute quelque chose.

Widergänger dit: à

Dominer intellectuellement d’autres hommes s’appelle être un Maître. On sait ce que la démocratie athénienne fit de Socrate. La condamnation de Socrate devrait nous interroger sur la nature de la démocratie.

Paul Edel dit: à

vous êtes visiblement un homme avisé janssen

rose dit: à

dans la religion juive, nourrissonne, enfant, petite fille, jeune femme, femme, mère épouse, femme ayant un âge certain, dans tous les âges de la vie, immense respect pour la femme et connaissance de sa ^lace au sein de la famille.

rose dit: à

place

rose dit: à

Les Lettres persanes

oublions sous le coude Candide de Voltaire.

rose dit: à

Ce qui donne ces phrases alanguies, comme sans fin, dans l’inachevé de leur impuissance à refonder quoi que ce soit

pas du tout : une des phrases court sur 42 pages.
En cela, il a grande proximité avec Georges Perec, dans l’impossibilité d dire l’horreur, la mort des deux parents dans W ou le Souvenir d’enfance.
L’impossibilité à dire, qui crie dans tout l’Acacia, c’est la mort du père, par l’horreur de la guerre, assis au pied de l’arbre.

On peut également le lier au Dormeur du val de Rimbaud et à la mort du jeune homme qu’était le père d’Albert Camus, tué aussi par la grande guerre, censée être la Der des Der.

Loin de l’impuissance, c’est un grand chagrin que cela dévoile.

bob dit: à

rose
dans le ram ils s’empiffrent le soir, la nuit !!

rose dit: à

et également à Puertochacabuco au Chili.

http://raymad.blogspot.fr/2009/04/puerto-chacabuco-chili.html

tous les parcs d’aquaculture sont dans les fjords du Chili, qui côtoient les glaciers.

attention toutefois aux crevettes bérénice, d’élevage à proscrire, farines animales comme nourrissage, proscrire aussi le panga.

bonne ligne

rose dit: à

bob le ram ?

Delaporte dit: à

« La condamnation de Socrate devrait nous interroger sur la nature de la démocratie. » Wgg

Et la remettre en cause ? Ou penser que, malgré Platon, la condamnation de Socrate aurait eu lieu sous tout régime ? Après tout, le Christ (dont la mort par bien des traits ressemble à celle de Socrate) est bien mort sous l’Empire romain, du fait des sadducéens. Wgg, vous plantez avec vos lieux communs même pas dignes d’un élève de terminale !

rose dit: à

lorsqu’il provient bérénice

(pourquoi sans concombre ?)

rose dit: à

cloué sur la croix me semble plus douloureux que boire de la ciguë, entouré de ses meilleurs disciples.

bob dit: à

rose

le ramadan

rose dit: à

Widergänger dit: 30 juillet 2017 à 11 h 49 min

je commence, doucement, à croire que vous êtes un cas pathologique, et un grand inventeur.

Rien du savant que vous vous prônez d’être…

Et je commence aussi à plaindre Ivanhah. Ne venez pas ici nous pomper l’air, et la sieste, avec votre histoire d’amour qui est du cul. Il n’y a pas de dissociation. Vous êtes un grand ignorant widergänger.

En passant, qui lit Rabelais ?

Moi, je lis Rabelais, autant et plus que Chrétien de Troyes.

rose dit: à

bob

c’est justement ce qui ne va pas dans le ramadan : c’est cet empiffrement du soir. Carême cela dure 40 jours et il y a fin du carême lorsque survient Pâques. Il n’y a aucun empiffrage durant 40 jours d’affilée : cela change tout.

JC..... dit: à

« (HM / Moby Dick) Pour si grande que soit la supériorité intellectuelle d’un homme, il ne peut pratiquement et durablement dominer d’autres hommes sans jouer une sorte de comédie toujours un peu vile. » (Gigi, chargé de la cargaison)

Point de vue stupide, à un niveau très élevé, càd très bas…. Popaul adore : ça le valorise.

JC..... dit: à

RAMDAM

Les saucisses en plastique ne sont pas celles que l’on croit !
(…faites passer….)

Delaporte dit: à

Le professeur Rollin ne fait plus recette. Son humour distingué ne trouve plus de spectateurs, même s’il conserve des adeptes dans les rangs des humoristes. La faute au public, qui veut toujours plus de vulgarité ? Le débat est ouvert, mais presque tranché :

« Le comédien François Rollin a confirmé ce samedi arrêter le théâtre. Malgré une reconnaissance dans le milieu, il ne pouvait plus tenir financièrement. »

JC..... dit: à

Rose,
s’il y a « impossibilité à dire » … fermons nos gueules !

JC..... dit: à

Delaporte, les comiques troupiers ne font plus recette !

Normal….

Delaporte dit: à

« c’est justement ce qui ne va pas dans le ramadan : c’est cet empiffrement du soir. »

Cette manière de jeûner lors du ramadan est normalement proscrite. Le but est de jeûner véritablement, et non de briser le jeune en s’empiffrant sans mesure.
Les trois religions monothéistes préconisent le jeûne, notamment le judaïsme, tout aussi bien, par exemple lors de la fête du youm kippour, l »le grand pardon ». Wgg l’ignore, bien entendu !

JC..... dit: à

« quand on sait à quel point, marie-paule gineste, ma cousine germaine, cancéreuse et décédée dans un accident de circulation à Dachau en Allemagne, n’a jamais eu le temps d’être reconnue par le grand public alors qu’elle était promise à un grand destin littéraire ? » (Gigi, fleur de camping)

Comme nous nous sentons seuls…. sans elle…. uhuhu !

JC..... dit: à

Le jeune, le carême, sont avilissements ignobles, consentis par commodité sociale et non religieuse.

bob dit: à

rose
les trucs religieux, foutaises -les siècles ont passé

bérénice dit: à

La duchesse de Langeais chez Balzac lui doit sans doute quelque chose.

à ce compte là , toutes nous lui devrions quequechose. Si vous expliquiez le raccourci ou la rallonge , je n’ai pas lu les mille et une nuits mais Balzac, oui.

Delaporte dit: à

« Delaporte, les comiques troupiers ne font plus recette ! »

Rollin n’était pas un comique troupier.

bob dit: à

Du sympathique Mick Jagger (sans le reste du groupe?) « England lost » « Gotta get a grip »

bérénice dit: à

Rose, le relâchement après l’effort ressemble fort à la débâcle de violences qui n’est à mon avis pas étrangère aux frustrations imposées par le dogme religieux notamment concernant l’interdit, la restriction sexuels, ça les rend fous.

bérénice dit: à

Et bien qu’il ne soit besoin d’entretenir une foi pour l’être. Symboliquement l’arme est un substitut phallique.

JC..... dit: à

« Delaporte, les comiques troupiers ne font plus recette ! »
Rollin n’était pas un comique troupier.

Une erreur d’orientation…. ?! Pourtant, il avait le don !

JC..... dit: à

Bérénice, Rose, je vous en prie !

Ne mettez pas du sexe partout ! Il y a des agrégés qui passent, ici, mentule en bandoulière, fous de littérature ! ….

Pat V dit: à

Le sens de la grandeur, relisons Pascal.
( Jean dans la matinée )

Oui, mais en conjugaison avec Hobbes…
 » Votre nature est pareille à celle des bêtes  » nous dit Pascal.

rose dit: à

Delaporte dit: 30 juillet 2017 à 14 h 20 min
« c’est justement ce qui ne va pas dans le ramadan : c’est cet empiffrement du soir. »

Cette manière de jeûner lors du ramadan est normalement proscrite.

je ne le savais pas, mais cela semble contradictoire avec le but du jeûne qui est avant tout, méditation et repentance, nettoyage du corps et de l’esprit, purification.

rose dit: à

bérénice

« ça les rend fous »

parce qu’ils n’ont aucune maîtrise d’eux-mêmes, surtout les maîtres.

rose dit: à

bérénice

vaut sûrement mieux les avoir vécues, que lues, les mille et une nuits…

Victoria dit: à

J’ai été choqué que mon Chaloux fasse son Bouguereau hier soir. J’espère que cela ne se reproduira plus. Mon Chal oux est comme un demi-Dieu pour moi. C’est pour cela d’ailleurs que je l’appelle mon Chaloux.

rose dit: à

Delaporte dit: 30 juillet 2017 à 14 h 20 min
« c’est justement ce qui ne va pas dans le ramadan : c’est cet empiffrement du soir. »

Cette manière de jeûner lors du ramadan est normalement proscrite.
je pense à vous, j’ai regardé la carte

ai vu Chandighar l’expérience de Le Corbusier là-bas, et Leh au nord et au Cachemire et au pied de l’Himalaya, et l’orientation sud ouest pour Jaipur, sud est pour Varanasi, plus loin de Delhi, après Agra, à mi-chemin. Ah, quel bonheur fou avez-vous !

JC..... dit: à

Le ramdam marche bien avec ceux à qui c’est destiné, les crédules, ce qui n’est pas bien difficile, avouons le !

rose dit: à

Bloom

je vous ai menti hier. C’est à cause de widergänger, j’ai le tort d’y perdre mon sommeil de ses élucubrations, la femme est une b…p%t;;;

je n’ai pas une jupe soufi : ample blanche, qui tournoie ; j’ai une jupe du Rajasthan, rouge coquelicot, brodée d’embroderies et de miroirs, une jupe superbe : je ne l’ai jamais portée, je l’aie précieusement. Comme l’organza. Idoine. Verbatim.

C’est entièrement de sa faute : je ne mens jamais. Je me suis entraînée, j’en porte le poids.

rose dit: à

14h59 pour Bloom

les autres villes dont vous parlez pas encore vues sur la carte.
Puisque w. nous fout la paix, vais faire la sieste.

à +

Giovanni Sabt'Angelo dit: à


…il y a , tout de même ,…des petits détails nombreux et morphologiques,!…d’une part, et de la personnalité de l’autre qui font un tout  » digest  » ou  » repoussant « ,…

…c’est pas du  » racisme « ,…çà peux coller ensembles pour certains,…
…mais, si on n’a, pas les fortunes, ou les situations pour des maîtresses optimales,…

…autant , ne rien choisir, ou prendre comme femme,!…tout laisser, à tout le monde,!…sans hésiter,…

…comme qui durait, même, si vous êtes la dernière femme au monde,…continuer, avec le zoo libres aux lobbyismes,…entre-autres,…

…donc, à mon point de vue,…je reste loin, de tout compte,!…mes ADN, à choisir d’abord,!…

…pas besoin de gens  » laids « , à fabriquer, les yeux fermés,!…

…il y en à, aussi des belles, plus moches, que les laides, à laisser courir, pour faire du balais , avec lois et ou coutumes d’églises,!…comme faire son Cinéma, de toutes sortes,!…
…je suis trop bien, seul,!…si, si, merci,!…etc,!…

…ma beauté, déjà ma mentalité  » brute « ,…sur ce point,…Go,…des courses à faire,!…
…du caractère avant les propriétés,…

JC..... dit: à

Rosita,
Les femmes qu’on a eu sont toutes des p.utes, celles qu’on a pas eu des pimbêches … C’est pourtant simple pour les hommes.

N’oubliez jamais que, bien avant l’agrégation de lettres, il fallait tuer l’auroch et le ramener à la caverne : on n’est pas, en moyenne, autre chose que des tueurs frustrés.

Delaporte dit: à

« Cette manière de jeûner lors du ramadan est normalement proscrite. »

rose, vous pouvez trouver sur YouTube des vidéos de Tariq Ramadan expliquant cela à ses ouailles, comment jeûner dans les règles lors du Ramadan.

keupu dit: à

les saucisses en plastique ne sont pas celle que l’on croit écrit JC… par contre le andouilles comme lui le sont vtaiment

hamlet dit: à

encore une interview de passou ?

Q: pour vous quelle en est la vraie raison ?

passou : Qu’importe au fond la vraie raison ! si cela nous a permis de méditer sur la perte d’un sentiment, et la manière dont son absence se fait ressentir par nos contemporains !!

Q :Mais est-ce ainsi qu’un écrivain glisse vers son destin à défaut d’y basculer ?

passou : Difficile à expliquer, la grandeur, car, nous prévient Jean-Michel Delacomptée, nous en avons perdu le sens.

Q: et la France dans tout ça ?

passou :La France et les Français d’aujourd’hui n’en ont tout simplement plus idée.

Q: diriez-vous qu’il y a dans ce destin quelque chose de biblique ?

passou, oui…il y a effectivement quelque chose de vertigineux à placer cette perte de sens au rang de ces hapax de l’Ancien Testament.

Q: que cela signifie-t-il ?

passou : nul ne peut assurer avec certitude ce qu’ils ont pu signifier.

Q: oui mais la France ?

passou : Saint-Simon assure qu’en ce temps-là la France « était de tout ».

Q : Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?

passou : vous pouvez répétr la question ?

Victoria dit: à

Honte à la SNCF d’un tel fiasco un week-end de grands départs. Cette entreprise lucrative, autrefois service public, à peu à peu rejoint le niveau du rail britannique : au raz des pâquerettes. Belle image que donne la France…ça valait bien le coup de faire le TGV pour en arriver là.
J’espère qu’au moins le gouvernement aura la décence de demander une enquête administrative.

bérénice dit: à

un demi-Dieu pour moi.

vous devriez en commander un entier, c’est meilleur et vous pourrez ainsi l’absorber, vous l’approprier, faire en sorte qu’il incorpore votre matière spirituelle avec beaucoup plus de gourmandise et de plaisir si toutefois vous vous sentez en appétit et bien qu’il ( chaloux) ne soit assurément du genre saucisse ou andouillette, il faut néanmoins une faim pour parvenir à une fin digne et enrichissante.

Laura Delair dit: à

Victoria, si vous saviez ce que sont les compagnies étrangères, c’est pire

Widergänger dit: à

rose, gardez vos sottises pour vous !

bérénice dit: à

tous les cas, jadis quand il y avait des employés à licencier chez Danone comme partout l’équipe dirigeante pouvait se faire un max de blé en revendant ses actions , ce n’est pas moral mais leur valeur augmente en cas de restructuration , les prévisions de profit optimisées laissent tout le monde d’accord si on excepte les salariés licenciés.

Widergänger dit: à

Delaporte, c’est pourtant la grande question que pose Nietzsche, mon pauvre chéri…! Et Benny Lévy dans son cours, à juste raison. Essayez d’être moins con pour le prochain commentaire.

Widergänger dit: à

Victoria mangeant son dieu chaloux, ça doit bien valoir une bonne andouille !

Janssen J-J dit: à

@un cas pathologique, et un grand inventeur. Les deux sont souvent liés
@une enquête administrative demandée à la sncf, mais pourquoi faire,
@un désagrégé qui passe par là, une quenouille de gabarier,
@faire la sieste tranquille, pour ne pas être agitée par des réponses en attente sur chrétien,
@la solitude de JC sans ginette ? Profonde, s’étendant partout à la ronde
@Le sociologue romp(rai)t le cercle enchanté en essayant de faire savoir ce que l’univers du savoir ne veut pas savoir, notamment sur lui-même (PB) ? Mais bonsang, il n’y a pas que lui, les beaufs de la rdl font la même chose à leur insu.
@demandez lui des interviews fictives, ce sont des modèles du genre,
@des belles, des moches, des laides, à laisser courir, pour faire du balais, avec lois et ou coutumes d’églises, comme faire son Cinéma, de toutes sortes… je suis trop bien, seul, avec mon oreiller
@j’ai ri, on a ri, mais on a ri…
@Ayerdhal ? un seul lecteur ou deux, n’importe où les yeux tombent. Une bonne tête apparemment
http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2015/10/27/mort-d-ayerdhal-flamboyant-artisan-du-renouveau-de-la-science-fiction-francaise_4798053_3382.html

tristan dit: à

 » si toutefois vous vous sentez en appétit et bien qu’il ( chaloux) ne soit assurément du genre saucisse ou andouillette, »…
Y’en a un peu plus, je vous le laisse ? hurkhurkhurk…

bérénice dit: à

Les vêtements Rajput sont effectivement très jolis, chargés de mille petits miroirs et broderies soyeuses et colorées aussi finement travaillés que la pierre en dentelle des palais .

Delaporte dit: à

« Delaporte, c’est pourtant la grande question que pose Nietzsche, mon pauvre chéri…! »

Mais quelle grande question ?

JC..... dit: à

Pauvre JJJ ! Tous ces tiroirs « soigneusement étiquetés @ » et vides de sens….

Janssen J-J dit: à

mais ça c’était avant, six ans déjà, le monde des petits macrons chéris a bien changé depuis, des alliés corrompus ont éclos, la littérature a pris un sacré coup
https://blogs.mediapart.fr/michel-alba

Janssen J-J dit: à

le 5e @ en avait un, fais pas semblant de pas l’avoir vu, mufti, il t’a transpercé la roue libre

Janssen J-J dit: à

tu voulais dire des tiroirs vides de sens mais pleins de tes linges biteux à laver ?

Widergänger dit: à

Delaporte perd la mémoire des commentaires qu’il commente, ça pas pas mieux pour lui. T’es comme JJJ, un peu zinzin.

Janssen J-J dit: à

Enrico Macias est anéanti. Respectons sa douleur.

Widergänger dit: à

Je n’ai jamais contsté le jeûne. J’ai contesté le rapport de cause à effet entre le jeûne et la lucidité. C’est pas du tout la même chose, mon petit chéri ! T’es haineux, c’est tout. Révise tes commentaires.

Delaporte dit: à

Vu ce tweet, à propos du stupide Barbier qui veut qu’on travaille plus, alors qu’il faut enfin abolir le travail une fois pour toutes, afin de libérer l’humanité :

« RT si tu veux que Christophe Barbier travaille un an à l’usine au smic pour voir s’il demande encore une semaine de congés en moins. »

Delaporte dit: à

« Delaporte perd la mémoire des commentaires qu’il commente »

Et vous, vous perdez toute clarté dans votre embrouillamini, si bien qu’on ne comprend plus rien à ce que vous racontez. Ce qui d’ailleurs n’a que peu d’importance…

Widergänger dit: à

Mes commentaires sont toujours très clairs. Ce sont les vôtres, Delaporte, qui écrivez des commentaires où vous ne vous souvenez même plus des commentaires précédents que vous avez postés… Vous devez consulter pour Alzheimer précoce, mon petit chéri !

Delaporte dit: à

Racontez-nous plutôt cette grande question que vous discernez entre Nietzsche et le jeûne, ça m’intéresserait de savoir ce que vous vouliez dire, si ce n’est pas encore une nouvelle bourde de votre part ! Avec vous, Wgg, c’est aussi gratiné que les perles du bac !

Widergänger dit: à

La question portait sur Socrate et la démocratie . Tu vois bien que t’es con !

Widergänger dit: à

Si, justement, chaloux est du genre saucisse ou andouille. Sacrément même ! Une grosse andouille comme Herr Trippa chez Rabelais…

Delaporte dit: à

« La question portait sur Socrate et la démocratie . »

En effet, mais il me semble avoir noté que sur cette question vous vous plantiez complètement. Je croyais que c’était une chose acquise. Vous voulez rajouter encore quelque chose, pour nous faire rire davantage ?

Giovanni Sabt'Angelo dit: à


…JJJ,…16 h 51 min,…
…’ l’oreiller ‘, c’est pas de moi,!…
…l’idée du rire, ne change rien,…

…j’ai failli, me faire marier, plusieurs fois, et ce n’est, que par la présentation, d’être difficile,…sur le ( tout ),…

…que je m’en suis sortis, sans y entrer,!…
..question, d’ambiance déjà,…et j’en passe, le nivellement des priorités sur le vif, à conformer, etc,…droitures, ruses,sensibilité, pour la femme, de tirer un coup,…faut croire à des essais ?
…sans plus,!…
…chacun, ses vécus, malgré-soi,…de tout , de riens,…
…d’excellents morceaux, par ailleurs,!…
…trop difficile, une forme de malheur, de nos jours,…
…et, puis rester cocufier,…etc,!…
…sans regrets,!…etc,…
…vini, vidi, vinci,…on s’en fout,…

JAZZI dit: à

Tu connais cette thèse, WGG ? Elle est soutenue par des descendants de rabbins qui disent que les Hébreux sont des égyptiens et que c’est en Egypte qu’est né le monothéisme !

En passant dit: à

Wgg confond le jeûne et la notion d’ ascétisme très importante chez Nietzsche.
Quelle brêle mais quelle brêle ce type!

JAZZI dit: à

Si j’ai bien compris, GSA, tu te branles plus souvent que tu ne tires un coups ? Tu vas parfois aux p.utes ?

JAZZI dit: à

WGG, la frontière est parfois mince entre le conte et le roman ? Un coeur simple de Flaubert est-ce vraiment un conte ou déjà un roman court ?

Widergänger dit: à

Non, je ne la connais pas celle-là. Mais la folie rôde c’est certain et la haine contre les Juifs ne tarie pas. Ces rabbins (ou supposés tels, mais j’ai de gros doutes !) oublient simplement l’histoire de Josef !

Laura Delair dit: à

JC c’est Christophe Barbier ou réciproquement ?

Widergänger dit: à

Les autres contes c’est autre chose. Il ne faut confondre les contes arabes qui reposent sur le merveilleux et les contes de Voltaire ou de Flaubert, qui ne sont aucunement des contes merveilleux.

Laura Delair dit: à

c’est vrai, Jazzi, que GSA écrit comme un branleur, bien vu

Widergänger dit: à

On peut rattacher Un cœur simple au genre de la nouvelle, du conte merveilleux aussi à cause du perroquet, du récit court, voire pour certains épisodes comme l’épisode du taureau à l’épopée. Cet épisode est construit d’ailleurs comme une petite épopée et sa conclusion n’a de sens que parce qu’elle prend précisément le contre-pied de la reconnaissance par autrui chez Félicité. C’est ce qui explique que Flaubert précise que Félicité n’en n’a jamais tiré gloriole. Flaubert savait fort bien comment fonctionne le genre épique : le héros attend le moment propice pour agir afin de se faire reconnaître comme héros par les autres, comme l’explique fort bien Marc Augé. C’est le contraire chez Félicité. C’est ce qui fait sa grandeur justement. Elle a agi parce qu’elle a bon cœur sans aucunement chercher quelque reconnaissance que ce soit. Par ailleurs, le conte est écrit comme une hagiographie mais à l’envers. C’est le propre du travail de Flaubert, qui prend un genre de texte, et qui le renverse. C’est pareil avec le roman d’éducation qui n’éduque plus, au titre ironique : L’Éducation sentimentale.

Petit Rappel dit: à

On peut lire sur la privation de nourriture à des fins religieuses un essai traduit de l’américain intitulé « l’Anorexie Sainte. » Je crois d’autre part me souvenir qu’au procès de Rouen, une des premières questions de l’Inquisiteur Beaupère est de demander à Jeanne si elle ne se prive pas de nourriture. Preuve que les dangers de la privation sont excessive sont envisagé, et que ledit jeune ne débouche pas toujours sur une lucidité excessive…

JAZZI dit: à

Intéressant cette notion du « merveilleux » ! Mais ce n’est pas propre à l’Orient, déjà chez les Celtes…

rose dit: à

la rouge du Rajasthan, ne la trouve pas ; brodée et miroirs seulement en bas, pas ample, pas faite pour tourner ; pièce unique, faite main.

widergänger, d’accord

JAZZI dit: à

« Un coeur simple » c’est une grande petite merveille !

keupu dit: à

lucidité excessive écrit MC en plein jeûne

Pat V dit: à

Wgg confond hélas le jeûne et la notion très importante d’ ascétisme chez Nietzsche.

Il existe une variation de la signification de cette notion chez notre auteur. Disons que le prêtre ascète comme le nomme notre philosophe est ( dans sa dernière version ) l’ idéal ascétique moral,  » l’ idéal du castrat « , qui pervertit l’ ascèse ( 1887 ) et la réduit à une volonté de se distinguer des autres hommes, en supportant davantage, par l’ art de la torture, de la tyrannisation de soi, des sévices infligés à soi-même, qui permettent, comme chez le martyr, de s’ évaluer par la seule force de résistance. L’ ascète jouit du sentiment de puissance de se voir à la fois bourreau de soi-même et preuve vivante de la vérité qu’ il porte en lui.
Première annonce d’ une volonté de puissance d’ un type d’ homme qui voudrait ne pas en avoir. Ce sentiment de puissance est le masque de l’ impuissance.
On dirait les linéaments d’ un portrait tout craché de wgg…?

closer dit: à

« La bande-annonce ne donne pas très envie, WGG ! »

C’est le moins que l’on puisse dire Annibal!

Ce trio pontifiant et mortellement ennuyeux donne envie de passer à autre chose immédiatement…

Widergänger dit: à

Utile rappel, en effet, Marc ! Ça évite de tout confondre comme on l’habitude de le faire ici un certains nombre de spécialistes de la confusion tous azimuts… et d’ailleurs eux- mêmes pas mal azimutés…

Giovanni Sabt'Angelo dit: à


…pour, GSA,…ou SAG,…pas vraiment,…

…j’interrompe le plus souvent,…pour ne pas être laisser, dans cet abandon des sens, de tourments,…
…Oui, c’est un art, de se sentir satisfait, avant l’heure,…
…une nécessité,…pratique, pour rester dans s& peau, sans sortir son gland à l’abri,!…
…autre choses,!…Ah,!Ah,!…

JAZZI dit: à

Mais le plus beau livre de contes, n’est-ce pas La Bible ? Pour moi, c’est tout un roman ! Elle nous découvre un monde, clés en main…

Widergänger dit: à

Maios je n’ai jamais parlé d’ascétisme à propos de Nietzsche, mes pauvres chéris ! Ils sont fous ou plutôt ils le font exprès… Ou va se nicher la haine…!

Widergänger dit: à

Oui, en effet, Jazzi. Mais elle n’obéit jamais qu’à la structure mythique de tous les mythes existant sur la terre. Simplement les Juifs qui l’ont écrite étaient particulièrement géniaux et l’ont écrite avec un soin tout particulier.

Mais l’histoire de Jésus, c’est notre mythe à nous occidentaux. Et l’ensemble de la Torah. C’est pourquoi il est si important de la lire et de la méditer. Pour moi, c’est ça Dieu, ce mystère de la Torah qui structure notre rapport au monde à nous occidentaux. Qu’on croit en Dieu ou pas n’est finalement que très secondaire au regard de ce mythe fondateur de la société occidentale qu’est l’ensemble de la Bible.

La structure narrative de Gargantua est exactement la même. Avec sa partie épique (la guerre picrocholine) comme dans l’épopée des rois hébreux. Mais le plus mystérieux, c’est qu’aucun critique savant ne l’a encore compris ! Mais Rabelais cherche à refondre et à refonder la société chrétienne à l’aune de la Réforme évangélique qu’il prônait. Tout ce qu’explique Bakhtine, qui est proprement génial, s’intègre dans cette structure mythique : le bouleversement des signes que Rabelais fait jouer tout autrement que dans l’ancien monde scolastique usé et moribond. La structure mythe de son roman explique absolument tout.

Widergänger dit: à

closer, soyez un peu plus modeste. Dites par exmple que vous êtes trop bête pour prendre plaisir à écouter Benny Lévy, et là on sera tout de même plus proche de la vérité. Parce que ce que dit Benny Lévy est tout à fait passionnant ! Il suffit de lire le bouquin, chez Verdier ! Et la remarquable introduction de Gilles Hanus qui pose le grand problème de l’intrication dès le départ entre le politique et la philosophie grecque, entre le muthos et le logos dans le politique. On en est encore profondément tributaire. Le discours de Macron à l’occasion de l’enterrement de Simone Veil en est l’exemple emblématique.

rose dit: à

Bloom dit: 30 juillet 2017 à 5 h 29 min

soyons lucides, mais restons optimiste ; ce pays ne se débarrassera jamais de ses nombreux atouts, dont la finesse culinaire n’est que partie.

Ai regardé toutes les villes dont vous parlez, sur la carte et leurs provinces d’appartenance.
Mémoire tragique de Bhopal, avec fuite du responsable américain en Floride

haut lieu du journalisme pour Lucknow avec Nehru qui fonde de là l’Herald tribune indien

https://www.google.fr/maps/place/Bhubaneshwar,+Odisha,+Inde/@20.3011504,83.5792307,7z/data=!4m5!3m4!1s0x3a1909d2d5170aa5:0xfc580e2b68b33fa8!8m2!3d20.2960587!4d85.8245398

découvre la proximité de cette ville Bhubaneswar avec la très grande que je ne savais pas se nommer Kolcotta, la Calcuta de mère Térésa

merci de ce voyage sur cartes Bloom

rose dit: à

On dirait les linéaments d’ un portrait tout craché de wgg…?

non, on le voit plutôt bon vivant.

Widergänger dit: à

Je n’en suis qu’au début du commentaire de Benny Lévy. Mais tout ce qu’il dit à propos de la filiation d’Alcibiade dès le début de la prise de parole de Socrate est tout à fait passionnant. Et on voit par là agir l’immense intelligence de Socrate, qui joue avec dix coups d’avance ses coups. C’est proprement époustouflant ! Et le commentaire de Benny Lévy fait très bien ressortir ces enjeux secrets du dialogue. C’est tout simplement un merveilleux commentateur. C’est un enchantement que de le lire ! Vous êtes passé à côté de tout ça, mon brave closer. Pas de quoi la ramener…

Pat V dit: à

L’ idéal ascétique ne donne pas forcément une triste mine, rose. C’ est qu’ avoir un idéal dispense d’ avoir des idées…

Widergänger dit: à

Je suis un homme chez qui s’équilibrent de manière merveilleuse des aspirations contradictoires. Ma chère mère me l’a toujours dit. Et elle a raison. Je suis un bon vivant, c’est vrai, mais je suis aussi par ailleurs un homme introverti qui aime la solitude de la méditation sur soi-même (ça m’a sauvé du gouffre de la crypte de mon père !) et sur le monde. Je suis un être extrêmement complexe mais toujours loyal en amitié comme en amour ; mon grand amour l’a compris et elle le sait, elle est pareille. Et c’est pour ça qu’elle m’aime passionnément. C’est l’amour fou, le vrai.

Widergänger dit: à

Ce qui fait toute la difficulté des dialogues de Platon (c’était déjà le grand problème en khâgne), c’est que tout semble évident et limpide alors que rien ne l’est ! Et c’est ça que permet de comprendre le commentaire de Benny Lévy avec sa vaste intelligence du texte.

Pat V dit: à

 » s’ évaluer par sa seule force de résistance  » mais n’ est-ce pas ce que fait ici même, sur ce blog, notre  » tarentule « , Rose? – le terme est employé par Nietzsche à propos des ascètes – en tressant sa toiles de texticules, unique objet de ses ressentiments?
Cela n’ a rien à voir avec la bonne vivance…

Widergänger dit: à

Non, c’est pas du tout ça ! Moi, je publie ici mes réflexions personnelles sur les œuvres, par pure générosité et aussi dans l’espoir de trouver un jour un interlocuteur valable. J’en trouve un ou deux parfois, comme Popaul ou autre. Les autres n’ont de moi que la vision dont ils sont capables. Et on voit à les lire qu’ils ne sont pas capables de hautes pensées ni de grande générosité. Mais c’est comme ça depuis dix ans, les cons me haïssent. Ils ne savent rien faire d’autres, c’est normal. Ici, il y a juste JC qui m’a toujours compris, du moins qui a toujours compris mes intentions et la profondeur de mes commentaires. Et Passou aussi. Moi, ça me suffit. Les autres… je m’en tappe !

Pat V dit: à

 » dans l’espoir de trouver un jour un interlocuteur valable. »

Rassurez-vous ainsi sans cesse, vous ne le trouverez jamais. Vous êtes d’ une puissance de pensée supérieure…
C’ est ainsi.

Widergänger dit: à

Si si, j’en trouve : Popaul Marc aussi de temps en temps, Jazzi de temps en temps, Ozymandias, et un ou deux autres. Ça me suffit, c’est déjà beaucoup et rare.

Ce que j’aime aussi ici, c’est que c’est le réel. On voit ce que sont les gens ordinaires, ils sont atroces. On le savait, c’est sûr, mais de les voir agir là chaque jour c’est une grande leçon de vie ! On apprend vraiment ce que c’est qu’une certaine réalité. Ça rend plus forte, moins innocent, moins bête, plus prévenu contre le Mal. Ça forge des anticorps. Et moi j’avais besoin de ça, à cause du fantôme d’Auschwitz, je n’avais pas d’anticorps contre le Mal. Ici, je m’en suis forgé. Et c’est très bien comme ça. Avant j’étais Mal armé…

bérénice dit: à

Preuve que les dangers de la privation sont excessive sont envisagé, et que ledit jeune ne débouche pas toujours sur une lucidité excessive…

petit rappel , vous pourriez réécrire svp de façon à ce que ce soit clair ?
Le jeûne est un acte de purification , d’humilité, de repentance . Pour qu’il soit efficace sur le corps il se doit d’être complet, sans apport alimentaire pour une durée variable. Les russes le préconisent , sans quête mystique mais si on n’oublie pas que dans un corps sain se logera plus facilement un esprit sain on n’a plus qu’à ajouter du thé Darjeeling et l’on se rapprochera de quelques centimètres d’une vision proche de l’hallucination cosmogonique.

bérénice dit: à

foutaises.

Widergänger dit: à

Et je rends toujours hommage à Popaul, mais c’est sincère, sans flagornerie déplacée, j’ai compris de l’intérieur Stendhal grâce à Popaul. Et compris pourquoi je ne comprenais pas, et compris en outre que je ne peux pas et ne pourrai jamais en faire ma grille de lecture du monde, et pourquoi. C’est un apport énorme du blog à Passou. Et je l’en remercie au passage d’ailleurs.

Et c’est toujours un grand bonheur de comprendre enfin ce qui demeurait obscur ; on a vraiment l’impression de devenir quelqu’un d’autre, d’avoir progressé dans la jouissance de la vie, en sentant qu’un porte s’ouvre. C’est d’ailleurs ce que j’essaie de faire ici avec mes commentaires, faire que pour d’autres les portes s’ouvrent. Mais la plupart préfèrent la garder fermée… Il manque de la modestie qui m’a permis de savoir écouter Popaul parler de Stendhal.

bérénice dit: à

Avant j’étais Mal armé…

c’est ça avec toutes les insultes que vous expédiez, vous êtes un exemple , au commencement était le Verbe, c’est un objet de méditation.

Widergänger dit: à

Toutes les cultures préconisent des périodes de jeûne. C’est très banal. De là à en faire le garant d’une plus grande lucidité sur les affaires du monde, non. On est dans le délire idéologique. Ou religieux, ce qui revient au même. Pour bien penser il faut avoir bien mangé. Et bien bu ! C’est ce que recommande le médecin Rabelais et l’écrivain Rabelais ! Et le symposium depuis l’Antiquité le recommande aussi. Toute ce qui est grand est sorti du vin et des trippes !

Widergänger dit: à

À vous de choisir, bérénice, de quel côté de la porte vous voulez être, que je vous ouvre généreusement. C’est votre liberté. Mais si vous m’insultez, je n’hésiterai jamais à vous rentrer dedans. Si vous voulez la guerre, vous l’aurez. Moi, ça ne me fait ni chaud ni froid, ça m’amuse. Je n’ai peur de personne ici, et surtout pas des gros cons. La bêtise a quelque chose de fascinant, je comprends Flaubert, là, de l’intérieur. La bêtise c’est en somme comme une espèce de symétrique de Dieu, du mystère de Dieu.

rose dit: à

Pat V dit: 30 juillet 2017 à 19 h 05 min

tarentule, cela convient pour le fil ; sinon, le seul reproche que j’aurais à faire est le non intérêt, souvent, pour le projet, l’idée, l’obsession d’autrui. Je ne relève pas tout, quoique je pense Pat V, néanmoins, il a -double you- souvent une lecture superficielle de ce qui est dit par autre que lui.

Alors que, par exemple, christiane voue un grand intérêt à ce qui est dit par autrui, rebondit, enrichit, élargit le propos. Certes, elle file son fil mais en suivant ceux des autres. Or, il me semble que là est l’art de la conversation, en s’intéressant à ce que dit l’autre et non pas en plaçant ce que soi, l’on veut dire.
Ou tenter de faire les deux ; ( ne suis pas un parangon de vertu).

bérénice dit: à

WGG, merci mais je ne me sens bien que dehors, suis claustrophobe et une porte entrouverte se referme , je suis une no-mad.

Janssen J-J dit: à

-> disons qu’il est généreux… dans les insultes tous zazimuts, c pourquoi nous l’aimons tous, surtout JC qui le comprend en profondeur de fondement.

-> « une nécessité,…pratique, et SAGe, pour rester dans sa peau, sans sortir son gland à l’abri », d’un être non circoncis d’une extrême complexitude, rien à voir avec le grand WW

Jean Langoncet dit: à

Tarentule morale, pour être complet. La tarentelle en épouse la forme affranchie ?

rose dit: à

voilà Pat V, Widergänger dit le contraire de ce que je dis de lui. L’image de soi que l’on projette, l’image de soi que projettent les autres.
Ce qui me passionne tout à fait dans ce blog -outre les parties de rire- j’avoue, je suis coupable, ce sont les reliances. Et concernant ceci une palme pour christiane que je trouve extrêmement généreuse dans le partage avec autrui.
Je visualise cela comme si à plusieurs nous formions ensemble une toile commune : j’apprécie beaucoup ; l’apport de l’un enrichi par l’apport de l’autre avec à chaque fois, des points de vue très variés.

JAZZI dit: à

En effet, « Le Banquet » des Grecs, « La Cène » des Chrétiens…

rose dit: à

des tripes

mais non ; c’est tout à fait faux.
Bien manger, bien boire, bien baiser et on dort.
Repus et complètement abrutis.

C’est tout le contraire d l’éveil.

rose dit: à

L’hubris grec tue. Contrairement à la modération. Tous les excès de gras d’alcool de came réduisent l’espérance de vie. Suffit de voir les gens secs, comme ils sont vifs. Les gros comme ils sont mous.

rose dit: à

eh bien merci.

des gens atroces

mon pépé, il est duc mais pas éduqué, que fais-je ?

Widergänger dit: à

En princip, bérénice, quand on ouvre une porte dans ce cas c’est toujours pour ouvrir vers de vastes horizons, pas pour enfermer les gens dans une pièce étroite.

Benny Lévy ouvre de vastes horizons en commentant Platon. Encore faut-il être capable de l’entendre.

Autrefois ceux qui ne l’entendaient pas auraient dit : Ça me dépasse. Mais peut-être qu’avec un peu d’effort je peux arriver à comprendre. Aujourd’hui, ceux qui ne l’entendent pas, disent : Oh, c’est vraiment de la merde, Benny Lévy, quel con ! Quel ennui !

C’est le progrès de l’époque qui veut ça…

Chaloux dit: à

Pour la garde de la grosse généreuse des collèges (car au fond il ne s’agit que de cela, c’est ce qu’il quête auprès de de nous tous), relayez-vous, sinon vous arriverez sur les genoux en septembre.

Bonnes vacances…

rose dit: à

le nombre de compliments pris en rafale par wider sur ce blog, effrayant, lui est parfait, les autres des tartes. En fréquentant des tartes, on se trouve plus que parfait. C’est simple (passé), pour nous, les imparfaits.
Au futur du conditionnel.

Janssen J-J dit: à

« elle file son fil mais en suivant ceux des autres ». Bien vu. Et c un bel hommage.
Mais lui, ça n’a jamais été tàut à fait sa cup of tea, ou son schéma : il a seulement besoin des cons pour se persuader d’être un flobère pécuche de boulevard, d’une part et de l’autre, constamment se justifier de ses propres compétences pour se persuader qu’elles sont bien là, rassurant sa pauvre estime de soi. Dites-moi que vous m’aimez comme juif hanté par Auschwitz et la littérature française, et croyez en ma supériorité existentielle, voilà tout ce que je vous demande, à ce moment là, vous commencerez à compter à mes yeux. On voudrait bin, mais on n’est pas sourds et pas saouls, hélas, et comme dirait Marc, c’est un peu court 😉

Widergänger dit: à

Marc Augé montr très bien que le christianisme correspond à la structure de tous les mythes.

Cela ne veut pas dire du tout que Jésus soit un imposteur. Pas du tout. Mais il a simplement incarné la structure de tout mythe en y adhérant pleinement pour fonder une société nouvelle. Il n’y a pas de doute la dessus. Il croyait absolument à tout ce qu’il dit, il croyait incarner le messie tel que la Loi de Moïse le définit. Et quand il exprime sa détresse d’être abandonné de Dieu, c’est une vraie détresse. Il est clair qu’il n’est pas et n’a jamais été le fils de Dieu. Mais il avait le génie d’incarner le messie. C’était un être d’exception, un très grand homme. Nietzsche compare d’ailleurs Jésus et Socrate, ce n’est pas pour rien. Il y a une grande analogie entre les deux. Ils sont morts l’un et l’autre pour des raisons analogues qui révèlent beaucoup de choses sur notre monde, et sur les relations qu’entretienne Athènes et Jérusalem au moins depuis Alexandre mais comme le suggère Attali depuis bien plus longtemps que cela.

Widergänger dit: à

Mais je n’ai nullement besoin des autres pour croire à ma supériorité intellectuelle. Je sais que je suis bien supérieur à beaucoup. Je suis sans doute l’être le plus sensible ici, et le plus intelligent. C’est évident. Pas besoin d’être grand clair pour s’en apercevoir. Mais, hélas, cela ne me confère aucune supériorité existentielle…! J’aimerais bien !

Widergänger dit: à

…grand clerc clair…

bérénice dit: à

WGG c’est self service, on prend ce qu’on veut ou ce qu’on peut comme vous le pensez, je ne vois pas ce qui devrait me lier à vous par un engagement quelle qu’en soit la nature, vous êtes libre d’écrire ce que bon vous semble et je reste libre d’accepter ou de refuser les arguments mis à disposition; une remarque: je ne vous ai jamais insulté, la réciproque invalidée.

Chaloux dit: à

Non, je crois que c’est beaucoup plus simple. Un pauvre type qui ne s’est construit aucune vie et qui préfère affronter un mépris quasi général plutôt que son puits de solitude, d’autant plus profond pendant les mois d’été, ce qui explique qu’il soit encore plus insupportable pendant cette période. Une toute petite misère de rien du tout.

Widergänger dit: à

« les autres des tartes » (rose dixit)
______________

C’est le constat en effet qu’il faut tirer de vos commentaires… dans l’ensemble. Mais comme vous êtes « tartes », vous ne pouvez pas vous en rendre compte. Seul celui qui peut, grâce à son intelligence, avoir une vue en surplomb sur vous, est à même de le comprendre.

Widergänger dit: à

Voilà, je viens de recevoir une lettre très tendre de mon amour en russe, qui est présentement en vacances avec ses parents. Et ça vaut tout l’or du monde, vous savez, mes petits chéris qui me haïssent avec une telle constance que c’en est touchant… Elle, elle me comprend, et sait qui je suis. C’est tout ce qui compte ! Et ce n’est plus un rêve !

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D’une femme inconnue et que j’aime et qui m’aime,
Et qui n’est chaque fois ni tout à fait la même,
Et m’aime et me comprend.

Car elle me comprend… etc.
(Verlaine)

Widergänger dit: à

Je n’insulte que ceux qui m’insultent, bérénice. Autrement je n’ai pas à me défendre.

Widergänger dit: à

Sauf sur un blog. Ici, même Einstein aurait eu besoin de s’auto-proclamer devant le déni délirant des certains…

Chaloux dit: à

Pauvre blabla, poire de toi-même, il est tout à fait naturel que tu deviennes la poire de quelqu’un d’autre. Au fond, tu n’attendais que ça. Soit, mais pas d’agonie interminable ( et minable, c’est le mot), SVP. Fais vite!

rose dit: à

JJJ,
et comme dirait Marc, c’est un peu court

ne me sens pas concernée par ses dévalorisations perpétuelles, et pas plus par sa supériorité intellectuelle assumée. La grandeur, à mes yeux réside dans la discrétion la modestie et un certain retrait. Il ne participe pas au tricotage commun, au tissage serait plus juste.
Il bosse en solo, à côté, à part. Il a son fil.
Suis souvent en désaccord avec lui.
Mais ai lu ceci ce matin de amadou Hampâté Bâ
Si tu penses comme moi, tu es mon frère. Si tu ne penses pas comme moi, tu es deux fois mon frère, car tu m’ouvres un autre monde.

Oui, il a besoin de beaucoup de place et il s’intéresse peu aux autres.

Pour tout vous dire, nous, je nous trouve de très bonne composition.

rose dit: à

Je vais prendre un peu de recul

bonnes vacances à tous

wider, ce que vous dites de moi ne m’intéresse pas. Pas un poil.

Widergänger dit: à

Je m’intéresse pas peu aux autres, rose. Je m’y intéresse pas du tout, ici. Ailleurs, c’est très différent.

Chaloux dit: à

Un de ces jours, elle va monter te baffer… On fera un reportage…

Widergänger dit: à

Mais tant mieux, rose ! Tant mieux ! Mais tout ce que vous dites habituellement de moi est ridiculement idiot…!

rose dit: à

Parce que, on a beau être de bonne composition, à la longue, cela fatigue. 3000 ans qu’Attali nous l’a dit et on n’a rien compris.
Faut y pas être bouchés quand même !

Widergänger dit: à

Je vais déménager pour m’installer avec ma femme.

Widergänger dit: à

C’est pareil avec moi, rose. Vous ne comprenez jamais rien à ce que j’écris…

Chaloux dit: à

Cette histoire d’ukrainienne, j’espère sincèrement qu’elle est vraie. Ce sera notre vengeance… Hurkhurkhurk!

Pat V dit: à

rose dit: 30 juillet 2017 à 20 h 08 min

Oui, il y a comme un puissance de l’ impuissant ( l’ idéal ascétique ) chez le monologueur agrégé au blog d’ ici, son bloc, son rocher comme la moule a le sien. I am a rock, i am a loser pour paraphraser Simon and Garfunkel. Il lance des perches, sans arrêt, c’ est certain mais dans ses escobarderies, il les lance à lui-même, il n’ a pas besoin d’ interlocuteur sinon pour l’ écouter, seulement pour l’ écouter.Il est décalé mais pas dans ce décalage génial que l’ on peut trouver chez les créateurs d’ art singuliers ou les fous de littérature. Il est dans le ressentiment au sens du mot dont l’ emploie Nietzsche. Il n’ écoute personne et n’ ouvre jamais au dialogue.Il est au fond peu rassuré sur lui-même, n’ est jamais sorti de son microcosme et son entre-soi scolaire ( il parle que de cela ) – il n’ est pas le seul – et sont sympathiques uniquement ceux qui l’ approuvent.
Vous, vous êtes un peu dans la déjante avec ce que cela peut avoir d’ agaçant, mais vous faite court et ça passe.
Mais je ne vais pas faire trop long.
A plus.

Widergänger dit: à

Ben des vengeances comme celle-là, on en redemande…! Mais mon pauvre chaloux, elle est d’une beauté sublime ! Et très intelligente ! Un trésor absolu. Et à mes côtés, elle va devenir hypersavante. Mais elle est déjà très mature malgré son jeune âge. Très douée en plus. Elle parle déjà trois langues. Dans un an, elle en parlera quatre.

Widergänger dit: à

Mais c’est vous qui devriez vous rmettre en question, si je ne veut pas dialoguer avec vous. Il m’arrive de dialoguer avec bien d’autres ici. C’est vous qui êtes en cause, pas moi. Moi, je suis un être très généreux, très ouvert, et il le faut ne serait-ce que pour vous répondre ici, à toutes vos misérables injures, débilités de toutes natures. Comment serait-il possible de dialoguer avec des énergumènes comme vous ? C’est impossible. Vous êtes méprisables, c’est le seul sentiment que vous m’inspirez pour la plupart. Le mépris, un énorme mépris.

bérénice dit: à

21h20 vous vous surévaluez , charitable? non ce n’est pas vous. Si vous cessiez les hurk hurk , très désagréables quand on connaît la grimace associée. N’en rajoutez pas, à cet âge est-ce qu’on change les poutres faîtières d’un individu?

bérénice dit: à

Pour la charité il faudrait pouvoir retrouver cet extrait vidéo face à ces pauvres élèves qui ne pigeaient rien et vous en face de faire comme si c’était d’une évidence simpliste.

Delaporte dit: à

« Mais c’est vous qui devriez vous rmettre en question, si je ne veut pas dialoguer avec vous. »

Le problème, Wgg, dont vous n’êtes pas conscient, c’est que c’est vous qui commencez par insulter les autres, en éructant de manière obscène. Vous ne suivez pas la célèbre maxime : connais-toi toi-même ! Vous êtes une caricature de vieux prof sordide. L’Ukrainienne ne va pas rester longtemps avec vous, simplement le temps de se poser et de voir où elle peut aller !

rose dit: à

Pat V
Il n’ écoute personne et n’ ouvre jamais au dialogue

c’est cela.
wider

Moi, je suis un être très généreux, très ouvert,

ben non
vous êtes très radin, très fermé et très ch….. Ce n’est pas que je ne comprends rien, c’est que je m’imm…. royalement et que vous faites des contresens énormes : le dernier dans l’Acacia de Claude Simon auquel vous n’avez rien compris. Et Rabelais, la pauvret, vous le maltraitez : c’est un parfait iconoclaste, un jouisseur un moqueur un incongru, un tonitruant et vous en faites une sardine congelée.

Parfois, je ne comprends rien et si j’y trouve de l’intérêt je fonce. Pas quand on est au pensum : jamais quand on est au pensum ; j’ai besoin d’apprendre de manière heureuse, moi môssieur. Pensez-y pour Petrouchka.

rose dit: à

m’emm…

Widergänger dit: à

rose, vous êtes tout simplement nulle ! Ce que je dis d’Acacia, recoupe ce qu’en dit très justement Marc Augé. Vous êtes une vraie et authentique nullité en littérature. C’est clair.

Pat V dit: à

Rose, vous avez remarqué qu’ il s’ adresse à moi par le pluriel?
Il n’ écrit jamais en face,( sauf quand il insulte ou déploie sa grossière misogynie ) en ce qui concerne ses interlocuteurs mais aussi aux sujets des libellés de Pierre Assouline.

Il est déjà difficile de développer ses idées à propos des posts de Pierre Assouline pour ne pas avoir à surmonter ses digressions et hors sujets récurrents. Cela fait au moins quatre post dans lesquels il nous ramène RABELAIS COMME UNE FOUACE sous son aisselle.
Cela en est devenu un pain vraiment rassis.

Jean dit: à

Mais elle est déjà très mature malgré son jeune âge. Très douée en plus. Elle parle déjà trois langues. Dans un an, elle en parlera quatre.(Widergänger)

La question n’est pas de savoir combien de langues elle parle. La question est de savoir combien de choses elle sait faire avec sa langue.

Widergänger dit: à

Delaporte est de toute façon tellement idiot que ce n’est même pas la peine de lui répondre. Un type qui est capable de nier la réalité à ce point ne mérite aucun débat. Aucune déontologie, même élémentaire. JC l’avait qualifié tout de suite, avec son flair habituel.

rose dit: à

Widergänger dit: 30 juillet 2017 à 22 h 06 min

c’est clerc, wider, le coq
je sors le tarot

Giovanni Sabt'Angelo dit: à


…moi,!…je crois, que je suis bien, comme je suis,…que mieux, autrement,…

…pour ce que je vaut, suivez mon panache blanc,…Henry IV, il ma semble,…

…je devient, malade , à suivre, tout ces monologues des vagins,…c’est bien fait,…entre branleurs d’hérissons,…
…etc,…

Widergänger dit: à

Tout à fait Jean. Bien vu… Je crois que c’est au-delà de ce qu’imagine chaloux…ce gros cochon ! c’est dire…! Je suis son Maître et son initiateur…

Widergänger dit: à

rose, je ne vous en vaux pas, vous êtes bien gentille. Mais question littérature, vous êtes complètement à la ramasse. On ne peut pas dialoguer avec vous. Vous n’avez pas la culture qu’il faut. Votre inculture est abyssale. Et puis, vous ne comprenez rien. Enfin, bon, j’arrête…

Chaloux dit: à

L’essentiel est de savoir si elle va supporter le léger arrière-goût de venaison.

Widergänger dit: à

J’ai eu aussi une collègue comme amie, en fait j’en ai eu deux mais à quelques années de distance. Toutes deux très sensuelles, c’était très très hard, parfois dans les endroits les plus insolites, très excitant… hummmmm….!!!! Je me souviens en particulier d’une cabine téléphonique… dans l’escalier aussi… c’était merveilleux. Je ne vous parle pas du reste, la pudeur l’interdit…

rose dit: à

Pat V

je l’ai déjà dit, et la lèche ce n’est pas mon truc
un fait bcp plus d’efforts que l’autre pour communiquer avec ; un ne fait aucun effort ; on ne s’occupe que de celui-là. C’est nul. Remettons-nous en question.
28 ans de patience avant d’aligner la dernière baffe ; est-ce mieux une oreille arrachée sur le gravier ?
Ce jour-là, pas le choix ; le bouchon était vraiment très loin et j’ai essayé de la stopper, dans la rue, elle a continué ; n’empêche que j’ai alors appris le lien très fort entre les p%tes et les proxénètes, pour ne pas dire intime : une grosse p%te est un beau proxénète. Et je crois bien qu’elle est p%ute parce que fondamentalement elle est proxénète.

J’aimerai, in fine, comprendre les choses sans en arriver à de telles proximités, mais aider, non, je ne monterai pas pour lui.

Qu’il déménage avec Borisanovitcha, et mais se fera-t’on à autant de tranquillité ? L’angoisse m’étreint.

Widergänger dit: à

Non non, l’une s’est ensuite mariée et a eu un garçon qui doit être grand à présent. L’autre était très jeune aussi. Et absolument ravissante. Et elle aimait ça !

rose dit: à

wider

parlez-en avec ma prof de fac. de l’Acacia et vous verrez bien que ce que je dis, je l’ai étudié, en long en large et en travers.
Et si vous êtes infoutu de comprendre le chagrin gigantesque qu’éprouve un enfant désormais élevé par s amère seule parce que son père est mort à la guerre, on dit « Mort pour la France », c’est moi qui 15 ans avant tout le monde amenait mes élèves aux monuments aux morts par respect pour les poilus etc. et avant que l’on nous le dise surtout, moi je l’avais compris tout de go, si vous êtes infoutu de comprendre que si la mère aussi disparait, l’enfant alors est perdu, alors, mon pauvre widergänger, je ne peux rien pour vous.

Sur Saint Simon, je me la boucle, ignorance oblige : toutefois, sur Chrétien de Troyes, Rabelais et Claude Simon je persiste et signe vous n’écrivez que des balivernes quand ce ne sont pas de grossiers contresens ; je vous en ai donné quatre exemples tout à l’heure. Vous ne portez strictement aucun intérêt aux arguments que l’on vous oppose. Vous suivez votre route, vous enferrez, faites du hors piste ; si vous vous prenez un poteau, ce ne sera pas faute de vous avoir prévenus. Ceci dit avec toute la sympathie imbécile que je vous porte.

Widergänger dit: à

La première m’appelait Mardoché et s’occupait de moi tout le temps même dans la rue… Une relation débridée, mais hyperexcitante.

Widergänger dit: à

Vous l’avez sans aucun doute étudié, rose, mais vous n’en avez rien compris ! C’est ça le problème avec vous. C’est comme avec Yvain. Vous dites en plus sur les autres des trucs ignobles sans vous en rendre même compte. Après vous vous étonnez du retour du bâton. Posez-vous des questions.

Widergänger dit: à

Vous êtes une brave femme rose, mais vous ne comprenez vraiment rien à la littérature. Rien de rien.

Janssen J-J dit: à

@Ceci dit avec toute la sympathie imbécile que je vous porte.

ah non, là ça va trop loin dans l’insulte, rose. S’en remettra jamais d’un outrage pareil ! j’sus pu d’accord.

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