de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Baudelaire, le grand consolateur

Baudelaire, le grand consolateur

Il n’y a pas à en sortir : Baudelaire (1821-1867) est l’ambassadeur historique de la collection de la Pléiade. Et réciproquement serait-on tenté d’ajouter. L’explication d’un tel privilège ? Il a été le tout premier du temps où Jacques Schiffrin, son inventeur, oeuvrait à peu près seul à l’animer à Paris au début des années 20, quelques années avant que des soucis financiers le pousse à sacrifier son indépendance en rejoignant Gallimard par l’intercession de Gide. Ses deux volumes d’œuvres du poète parurent en 1931 et 1932. Quoique imprimés sur du papier Bible, ils étaient considérés comme des livres de poche, bien plus pratiques que les autres livres pour le voyageur désireux de les mettre dans sa poche avant de prendre le train. Depuis, il y eut de multiples rééditions et cinq nouvelles éditions. Celle qui vient de paraitre en deux volumes sous le titre Œuvres complètes (un coffret de 150 euros) rassemble ses « écrits » sous la direction d’André Guyaux et Andrea Schellino avec la collaboration de neuf experts. Cette édition, la cinquième, est appelée à faire date car elle ne sépare pas poésie et critique comme cela avait toujours été l’usage (dans sa préface Antoine Compagnon se demande à juste titre où ranger les « Journaux intimes » dans une telle classification) mais prend le parti de l’édition chronologique. Des textes à la suite dans l’ordre où ils ont été écrits en commençant par ses tous premiers vers latins de 1836/1837 et en terminant par des poèmes en prose retrouvés dans l’atelier du Spleen de Paris, ce qui est une manière de rendre justice au maitre des études baudelairiennes Claude Pichois qui en avait naguère formé le projet. Il n’y a pas que les Fleurs du mal dont la notoriété dans la durée doit tant à la prescription scolaire, même si cette édition les sert admirablement dans leurs différents états. Toute l’oeuvre de Baudelaire n’a toujours pas fini de dire ce qu’elle a à dire (voir ici les sommaires du volume I et celui du volume II).

La séparation traditionnelle entre les Baudelaire était d’autant plus absurde qu’il était poète en toutes choses et toutes circonstances quel que fut le genre. 3500 pages de Baudelaire dont un bon millier de notes, l’appareil critique propre à la Pléiade, les fameuses notes, notices et variantes, qui a parfois l’allure obèse d’un livre dans le livre mais pas cette fois ; plutôt le style d’un dossier susceptible de nous faire entrer dans l’atelier de l’écrivain. La correspondance utilisée n’a jamais été aussi complète et pour cause puisque les derniers enrichissements, fruits des ultimes trouvailles, y figurent. Qui s’en plaindrait ? Benjamin Fondane disait de Baudelaire, si pressé d’échapper à l’insupportable fardeau du Temps, qu’il était malgré lui porteur d’« une immense armée de spectres ». Proscrit et provocateur jusqu’à la mystification, et même s’il fut le premier responsable de ces stéréotypes qui ne l’ont jamais lâché, le poète demeure avant tout notre grand consolateur fût-ce n’importe où hors du monde.

« Il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse, si minime ou si légère qu’elle soit » (in Le peintre de la vie moderne)

Dans Mon cœur mis à nu, revigorant empilement de ses colères, il avouait que la « glorification des images » était son unique et primitive passion. Il est vrai que le tout premier écrit signé Charles Baudelaire qui fut publié sous forme de livre n’était pas un recueil de poèmes : conçu dans l’esprit du Diderot qui inaugura un genre littéraire avec la critique d’exposition, ainsi que de Stendhal qui y excella, cet essai était consacré à la critique d’art des expositions de l’Académie des Beaux-Arts et s’intitulait Le Salon de 1845. Et comme ses maitres en la matière, au-delà du compte-rendu ponctuel, c’est bien d’une réflexion critique sur des problèmes d’esthétique qu’il s’agit.

Figure romantique par excellence du poète maudit, Baudelaire y plaidait pour une critique poétique, subjective, de parti pris, exclusive mais ouverte contre une critique froide, algébrique, sans tempérament. Ses peintres de chevet s’appelaient Delacroix, Ingres, Corot, Rousseau, Courbet ou Chassériau, qu’il les ait encensés ou qu’il ait pris plaisir à les blâmer. Sans oublier Manet bien entendu, avec qui il partageait la passion de l’Espagne et de ses artistes, celui qui incarne la génération montante et la modernité, ainsi que des caricaturistes au premier rang desquels Daumier en ses « vivantes monstruosités » qu’il élève au rang de grand artiste, ce qui était beaucoup plus risqué (et prophétique) que de louer Goya déjà fort acclamé à Paris. De quoi mieux appréhender son éducation artistique et les ressorts de sa sensibilité esthétique.

Ses écrits artistiques sont jalonnés d’expressions telles que « beauté moderne », « conception double exprimant l’éternel dans le transitoire », « beauté interlope », « mérite de l’inattendu »… Il y explorait la notion d’étrangeté, et se demandait pourquoi un tableau fait est préférable à un tableau fini, en quoi une œuvre respire l’amour, le romantisme de la couleur et la nature idéale de la ligne, la part de naïveté exigée d’un artiste etc Sans oublier, on s’en doute, « modernité », auberge espagnole si généreuse dans son accueil de toutes les interprétations, déviations, instrumentalisations, mais dégagée des stigmates de la nouveauté. Baudelaire avait bien défini la mission du peintre de la vie moderne :

« Dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, tirer l’éternel du transitoire »

Il célébrait en l’imagination la reine des facultés contre le réalisme tenu pour une blague puisque le goût du Vrai ne peut qu’opprimer le goût du Beau, une imagination avec ou sans l’aide des drogues et autres paradis artificiels, son « accélérateur de pouls ». Au fond, Delacroix, représentant majeur du romantisme loué comme un « peintre universel »,demeurait celui qui dominait son panthéon artistique, le peintre le plus proche de son intime inspiration, son frère en mélancolie puisque le poète à l’âme en prostration ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie, le grand traducteur de l’invisible et de l’impalpable. Se plaignant d’être considéré comme un excentrique, un dandy, un mystificateur, un farouche, il en est pourtant le premier responsable puisqu’il fut l’artisan de sa propre légende. Son musée de l’amour se situait entre ses deux extrêmes que sont la Vénus blanche (Madame Sabatier) et la Vénus noire (Jeanne Duval). La génération des poètes de 1860 (Verlaine ans co) avait beau se réclamer de lui, il ne les en a pas moins sévèrement jugés. Bien sûr, il est aisé avec le recul d’ironiser sur ses erreurs de jugement, ses louanges à l’art d’un Octave Penguilly L’Haridon, son optimisme quant à la postérité de l’oeuvre d’un Octave Tassaert, ou dans celle d’un Chassériau, d’un Chazal, d’un Catlin, alors même qu’il prenait ses distances avec Courbet ou écrivait à Manet attaqué pour son Olympia qu’il mettait trop d’orgueil à s’en plaindre d’autant qu’il n’était jamais que « le premier dans la décrépitude de votre art ».

La conversation entre les poèmes et les œuvres d’art fut chez lui incessante. D’où cette influence remarquée dans l’association des couleurs (le rose et le noir) ou la conception de l’harmonie etc. Une imprégnation qui n’est jamais traduction ou transposition et dont on dirait qu’elle a pour unique objet de répondre à la question : qu’est-ce que la beauté moderne ? On l’y retrouve de manière frappante dans ses portraits les plus variés : séries photographiques de Nadar ou Carjat qui nous le montrent tel qu’en lui-même, amer, ironique ; jeune au nez de priseur et aux lèvres impudentes, si Samuel de la Fanfarlo, dans une huile d’Emile Deroy (1844) ; pensif en lecteur absorbé dans un livre dans une huile de Courbet ; jusqu’à son autoportrait dessiné qui n’est pas le moins émouvant. Hostile à la photographie, aux journaux grands format et à la « rancuneuse énergie » de la critique, effrayé par le progrès, la modernité technique, industrielle et architecturale, il n’en est pas moins fasciné par le nouveau décor urbain, fascination-répulsion pour la ville « grande barbarie éclairée au gaz ».

Tous les Baudelaire se retrouvent dans le « tout Baudelaire » de la Pléiade, celui qui entreprit de faire de l’or avec de la boue, le traducteur d’Edgar Poe, le dandy sur les barricades, son engagement républicain dans le lyrisme révolutionnaire de 1848 et sa déception, sa critique de la politique de l’Académie française (à laquelle il ne fut pas moins candidat) et son papier à la fois critique et élogieux des Misérables, le réprouvé des Fleurs du mal, le polygraphe de la modernité à travers ses critiques (ses comptes rendus des Salons de peinture demeurent une référence pour les historiens de l’art- on dénombre plus de deux-cents articles et chroniques entre 1841 et 1866). De quoi enrichir notre image d’un auteur unique et protéiforme, comme ils l’étaient presque tous alors.

Quels que fussent le support et la forme, il cherchait partout la poésie, ne vivait que pour la poésie et avait fait de l’art son idéal, à l’écart de la société, en marge des autres, tel que Courbet l’a représenté dans son grand tableau « L’Atelier du peintre » dans une allégorie de sa vie artistique. Baudelaire s’y tient si loin de tous qu’il manque de sortir de la toile, loin des élus qui « vivent de la vie », absorbé dans la lecture d’un livre, trouble-fête égaré dans le magasin d’images et de signes, ne se soumettant à d’autre gouvernement que celui de l’imagination et se royaumant dans le plaisir aristocratique de déplaire (à condition d’oublier le corps de phrase qui précède la fameuse expression : « Ce qu’il y a d’enivrant dans le mauvais goût, c’est le… »). Qui dira jamais mieux que lui la jouissance qu’il y a à élire domicile dans le nombre ?

Son injonction « n’importe où hors du monde » a assigné à la poésie la mission de plonger au fond de l’Inconnu (plutôt que l’Infini, ce fameux ailleurs, mais ça se discute encore) pour en extraire du nouveau. Sa solitude ne peut se comprendre sans une référence au mal romantique de l’Homme Supérieur. Son dandysme prend racine dans le culte de la différence, « stoïcisme aristocratique qui se pare pour se séparer ». Il s’enivre d’humiliation et non d’humilité. Son orgueil, sa solitude présente, le soutient dans sa haine sauvage contre les hommes. Un orgueil assis sur le pressentiment d’une haute survie littéraire. Que lui importe de n’être pas aimé puisqu’il sera de ceux dont on se souvient, du moins est-il convaincu. Il « sait » qu’un jour les effets de sa contre-littérature, cette poésie d’intimité qu’il interpose entre lui et le public, s’estomperont pour laisser s’épanouir chez les lecteurs son génie profond. Sans conviction car sans ambition, le dilettante appliqué, qui porte haut le dogme de l’Art pour l’Art, ne méprise rien tant que la littérature socialisante. La démocratie peut-être, où des malheureux tombent « comme un papillon dans la gélatine » après s’être pris au piège de la souveraineté populaire, cette « tyrannie des bêtes ». Tout entier gouverné par le refus et l’absence de compromis, on ne le louera jamais assez pour avoir introduit la conscience de la modernité mais avec une langue classique. Et puis quoi, comme il disait :

« Débrouillez-vous avec ça ! »

(Photos de Nadar et Carjat; Manuscrit autographe signé des poèmes «Les Deux crépuscules / Le Soir / Le Matin», [fin 1853-début 1854]; caricature de Giraud )

Cette entrée a été publiée dans Histoire Littéraire, Poésie.

1424

commentaires

1 424 Réponses pour Baudelaire, le grand consolateur

rose dit: à

Génial c excessif.
Emma à midi « s’il fallait y retourner cinquante fois, j’irais cinquante fois. »

B dit: à

Un sens de l’humour unlimited. Peut-être commencer ce genre de culture, un semi en petit sachet en boutique sur les quais que vous arroserez régulièrement et vous prendrez les choses d’une façon différente. Les gens de droite sont-ils tous aussi boute-en-train ?

B dit: à

Vous ne votez pas, certes, vos opinions trouveraient à cristalliser en un bulletin que je situé plutôt à droite, me trompe-je?

Pablo75 dit: à

Tu as bu, B?

Pablo75 dit: à

Interviewer: – Lisez-vous vos contemporains?
Faulkner: – Non, les livres que je lis sont ceux que j’ai connus et aimés quand j’étais jeune homme et auxquels je reviens comme on revient vers de vieux amis: l’Ancien Testament, Dickens, Conrad, Cervantès, Don Quichotte – je lis ça chaque année, comme certains lisent la Bible -, Flaubert, Balzac – il a créé tout un univers à lui, un flot de vie qui coule à travers vingt livres – , Dostoïevski, Tolstoï, Shakespeare. Je lis occasionnellement Melville et, parmi les poètes, Marlowe, Campion, Jonson, Herick, Donne, Keats et Shelley. »
Paris Review. Entretien de 1956

Mon père dit qu’un homme est la somme de ses propres malheurs. On pourrait penser que le malheur finirait un jour par se lasser, mais alors, c’est le temps qui devient votre malheur, dit papa.
(Faulkner)

La sagesse suprême, c’est d’avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre du regard tandis qu’on les poursuit.
(W. Faulkner)

Pablo75 dit: à

[Faulkner] … un homme sauvage et solitaire au point de répondre à Maurois qui lui demandait: « Que pensez-vous de Proust? – Je ne sais pas qui c’est »…
(Jean Cocteau. Journal)

B dit: à

Jamais d’alcool, aucune drogue, abonnée aux anxiolytiques. Un régime équilibré, natation en été, rien en hiver, pas de surpoids, emphysème modéré, vie monacale.

Pablo75 dit: à

Moi je ne peux pas passer devant le 42, rue de Vaugirard sans penser à Faulkner (et j’ai fait souvent le traject à pied Chatelet-Gare Montparnasse par la rue la plus longue de Paris (4,3 km) – et l’une de plus littéraires: au nº 4 vécut Verlaine, au nº 8 Knut Hamsun, au 10 Zola, au 42, donc, Faulkner, au 58 Zelda et F. Scott Fitzgerald, au 70 Henri Lacordaire, au 88, la famille de Victor Hugo (lieu de naissance de Léopoldine), au 104 François Mitterrand, François Mauriac, Jean Guitton ou Claude Roy (dans une résidence étudiante des Pères maristes), au 289 Michel Foucault… Sans oublier le compositeur Jules Massenet, qui est mort au nº 48.

https://www.terresdecrivains.com/L-hotel-des-Principautes-Unies

et alii dit: à

En hippologie, le boute-en-train (on dit aussi « agaceur » ou « souffleur ») est un cheval entier (c’est-à-dire non castré) se trouvant dans les haras où on l’utilise en le plaçant à proximité des juments afin de vérifier si elles sont en chaleur et les disposer à l’accouplement qui se fera avec un autre étalon sélectionné.

Si, à l’approche du boute-en-train, la jument tape, rue et s’énerve, c’est qu’elle n’est pas prête. Mais si elle se met à uriner, adopte la position campée et même accepte que l’étalon soit là (et parfois sur son dos), c’est le bon moment pour la conception du poulain. »
« Dans l’industrie bovine, le boute-en-train peut être un mâle castré (un bœuf) utilisé dans les centres de prélèvement de semence afin de provoquer l’éjaculation du taureau reproducteur. L’éjaculat est alors recueilli par un technicien à l’aide d’un vagin artificiel.

De par leur robustesse, les bœufs offrent l’avantage de pouvoir physiquement supporter la monte d’une vingtaine de taureaux par journée de collecte. De plus, l’impossibilité d’une réelle pénétration lors de ces accouplements simulés facilite la récupération de la semence par le technicien spécialisé. Destinés à la filière reproductive et soustraits à la présence de femelles depuis leur naissance, les taureaux ne sont pas perturbés par la présence de ces mâles castrés1. »
wiki

Jazzi dit: à

Quand Emma aime, elle aime, rose !

Jazzi dit: à

Vaugirard la rue la plus longue de Paris (4,3 km) – et l’une de plus littéraires : au nº 4 vécut Verlaine, au nº 8 Knut Hamsun, au 10 Zola, au 42, donc, Faulkner, au 58 Zelda et F. Scott Fitzgerald, au 70 Henri Lacordaire, au 88, la famille de Victor Hugo (lieu de naissance de Léopoldine), au 104 François Mitterrand, François Mauriac, Jean Guitton ou Claude Roy (dans une résidence étudiante des Pères maristes), au 289 Michel Foucault… Sans oublier le compositeur Jules Massenet, qui est mort au nº 48. »

ça mériterait un futur reportage-pélerinage du léZard, Pablo75 !

Chaloux dit: à

@Pablo.
La leçon de piano c’est souvent quelque chose de passionnel. Si ça ne l’est pas, ça n’apporte rien.

D. dit: à

Un régime équilibré

Qu’est-ce donc ? Tout le monde s’obstine à utiliser ce terme qui ne veut rien dire. Équilibré pourquoi ? Équilibré pour qui ?

D. dit: à

Non je dis ça parce que combien de fois j’ai vu des collègues manger « équilibré » une petite salade avec quelques dès de jambons dedans, assaisonnée avec une huile végétale industrielle + 1 yaourt, s’imaginant bien manger, alors que le repas était largemgnt déficitaire en tout, sauf les fibres. Un truc comme ça, temps en tant, pas de problème. Sur le long terme et après la ménopause, ça peut s’avérer catastrophique.

Jazzi dit: à

« temps en tant »

Faut choisir son temps, D. !

B dit: à

Par exemple, D, ce midi j’ai pris trois mini Magnum au chocolat blanc et aux amandes.

MC dit: à

J’ignorais jusqu’a aujourd’hui, cher JJJ, l’existence de ma Bibliothèque Verte de SF, ou du moins, il ne m’était pas venu à l’idée qu’un Frank Herbert, qu’un Van Vogt, qu’un Asimov, qu’ un K Dick enfin puissent en être… une question angoissante se pose; vais -je devoir la reclasser selon vos critères ? Bien à vous. MC

Patrice Charoulet dit: à

PSEUDOS

Depuis que je fréquente la Toile, une de mes aversions est pour les scribouilleurs qui utilisent les pseudos.Je l’ai dit et redit. Des défenseurs du pseudo ont déroulé leurs raisons. Je n’ai pas changé d’avis.
Certains blogs refusent les commentateurs à pseudos. Je les approuve. Certains blogs tolèrent les pseudos. Plusieurs blogs sont envahis par les pseudos au point que l’auteur sans masque passe pour un orginal.
Je connais un blog singulier. Il accepte les pseudos mais refuse le changement de pseudo. Ce choix me paraît judicieux. Pourquoi ?Parce que le commentateur qui change de pseudo comme de chemise est un fantôme insaisissable. Ce changement lui permet, le plus souvent, toutes les vilenies, toutes les turpitudes, toutes les lâchetés.
Je demande à tous les blogs qui acceptent les pseudos , de refuser à tout le moins le changement de pseudo.

MC dit: à

Je ne sais pas si quelqu’un s’en souvient, mais Baudelaire propose tout de même un itineraire spirituel dans les Fleurs du Mal qui est tout sauf consolant, me semble-t-il ….

D. dit: à

Vous devez manger, quotidiennement :
– au minimum 1,5/1000ème de votre poids de protéines PURES. Exemple si vous pesez 60 kg : 120 grammes de protéines PUTES par jour. Selon les aliments, viande, volaille, poisson, oeufs, produits laitiers etc.., ça donne environ 350 grammes/jour de protéines d’origine ANIMALE.
Attention aux protéines végétales qui sont de façon générale en beaucoup plus faible proportion dans les végétaux, même dans les légumineuses et qui, de plus, sont beaucoup moins bien absorbées par le système digestif humain qui n’est pas celui d’un herbivore ou d’un frugivore, mais d’un omnivore à base carnée.
– des acides gras animaux contenant une bonne proportion d’omega 3 (viandes d’animaux ayant brouté, petits poissons gras…).
– un tout peu d’huile d’olive de qualité, et crue.
– un peu de glucides lents, si possible contenant des fibres (lentilles, patate douce…)
– peu ou pas de glucides rapides. Mais ne pas en faire ine interdiction. Donc un peu de fruits ne pose pas de problème.
– légumes cuits + légumes crus (pour la vitamine C + un peu de légumes lactofermentés type archards.)

Le tout en respectant la ration calorique quotidienne nécessaire dépendant du poids, du rapport masse graisseuse / masse musculaire, de l’âge, du sexe, de l’activité.

Faire 2 fois par an ou plus si recommandation médicale unf analyse de sang pour contrôler le rapport LDL/HDL, le cholestérol (un peu n’a aucune espèce d’importance si pas de facteurs de risque et bon rapport LDl/HDL, triglycérides. Verifier le fonctionnement correct des reins et de la thyroïde.

Se souvenir que ne pas respecter les apports nécessaires en protéines et acides gras peut considérablement accélérer l’ostéoporose, qui n’est pas seulement une question de calcium fixé, mais de matrice osseuse protéique.

et alii dit: à

Et si quelque importun venait me déranger pendant que mon regard repose sur ce délicieux cadran, si quelque Génie malhonnête et intolérant, quelque Démon du contretemps venait me dire : « Que regardes-tu là avec tant de soin ? Que cherches-tu dans les yeux de cet être ? Y vois-tu l’heure, mortel prodigue et fainéant ? » je répondrais sans hésiter : « Oui, je vois l’heure ; il est l’Éternité ! »

N’est-ce pas, madame, que voici un madrigal
C.B.

D. dit: à

Gabriel Attal n’aura pas mis longtemps à trahir Macron dont il était pourtant très redevable.
Macron se venge : il l’a banni du dîner des chefs d’État ce soir au Louvre.

rose dit: à

après la ménopause, ça peut s’avérer catastrophique.
Mais D.vous avez eu la ménopause, vous ?

J J-J dit: à

…quelques mises au poing, et toutes amitiés, avant de laisser filer :

@ PC, vous pourrez toujours vous plaindre des pseudos, celzéceux pour qui ils importent ne changeront pas d’attitudes. A quoi bon jérémier à ce sujet tous les deux jours, sauf à démontrer votre stupidité de mûle batarde ?

@ MC/ Oui, on est souvent surpris par le dévoilement de son point aveugle. Après quoi, il faut s’en accommode en haussant les épaules avec ironie, comme vous le faites, ou bien en surmontant la dissonance cognitive suscitée par l’extérieur, et gérer sa bibli en faisant passer les étagères du violet au vert voire au rose pour la rafraîchir un brin. En cela, hélas, personne ne peut vous aider.

@ B -< OK pour l'explication de la symbolique du violet, au temps pour moij, je n'avais pas fait le lien avec la réputation cléricale du précédent.

***Pour le "petscan", ils n'ont pas voulu me confier le résultats. Il me faut passer par mon médecin traitant en son cabinet et non au téléphone pour qu'il m'explique le diagnostic…, dès fois que je n'y comprendrais rien… Donc à venir, les rencarts avec lui sont rares… J'essaie de ne pas trop m'inquiéter et de continuer à vivre. Ne vous souciez pas trop de moij, merci, d'autres erdéliens sont bien plus à plaindre, je pense).

@ Bientôt, j'aimerais dire qq mots à l'RDL du Molloy de S. Beckett que je viens de découvrir sur le tard, comme tant d'autres choses. Encore un trou de comblé, mais pour combien de temps ? – Et si je n'en avais rien su, ma vie en eut-elle pris une autre tournure ?… Il se trouve que maintenant, je sais. Alors, à qoui bon se poser pareille question ?

@ franchement, jzmn, si vous avez décidé de me harceler en m'amalgamer à de la racaille politique gauchiste, soit, mais en éprouvez-vous au moins quelque satisfaction personnelle ? Je l'espère, car les temps sont durs à Paris pour les reporters du dimanche. Apparemment, il faut les compenser.
Je vous signale que votre chaine C8 n'en a plus pour longtemps à vivre. J'espère que vous vous en remettrez.

@ Bonne fin de journée à tous.tes,

Bloom dit: à

Pas à dire, même un moraliste anarchisant comme Steinbeck, n’échappe pas au substrat biblique de la littérature US.
Le style des Raisins de la colère est une imitation de celui des Psaumes et le voyage dans leur vieille guimbarde des Joad le long de la road 66 (get your kicks on…) les mène à la Terre promise.
Peros, je trouve que le plus beau chez Steinbeck sont les moments d’intense poésie où l’action des hommes (dont les plans les mieux conçus ne se réalisent pas…) trouve un mirioir symbolique dans la nature, un serpent d’eau gobé par un héron,un vent de sable qui se lève, le hurlement d’un chien au désert…Steinbeck fait chanter l’anglais…

En attendant Molloy, 3J, petite pensée beckettienne – comme dirait l’autre (Estragon?), on trouve toujours quelque chose pour nous donner l’impression d’exister, taï na?

J J-J dit: à

@ En attendant Molloy, 3J,
Excellent, rBl, anéfé, Moloy-Molosse…, il avait juste précédé Godot (1952) en 1951… Bàv, @ pluss

J J-J dit: à

avec deux ailes, pour chacun of course…

Bloom dit: à

Quelques nouvelles du gâte sauce du FSB.

Grâce à de nombreux documents et sources exclusives, « Le Monde » a pu retracer le parcours de Kirill Griaznov, ancienne vedette de télé-réalité, devenu espion russe du FSB, qui se vantait d’offrir aux Français « une cérémonie d’ouverture comme il n’y en a jamais eu ».
(…)
Le reste pour les abonnés.

Les poutinophiles d’ici (monitorés comme il se doit)sont d’inoffensifs millèmes couteaux de la propagande moscovite.

Bloom dit: à

Kirill le Clown

et alii dit: à

Works bearing the phrase “Wish You Were Gay” have been vandalized in Bregenz.

renato dit: à

Le temps étant ce qu’il est, cette expertise de Giorgio Manganelli et sa symphonie de Haydn préférée :
« Je suis toujours extraordinairement fasciné par cette géométrie dynamique du monde de Haydn. Ces sortes d’idées platoniciennes qui sont en mouvement et qui, en tant qu’idées platoniciennes, participent à l’hilarité de l’univers »

https://youtu.be/jK9EPZ3qdgU?si=xumKpLLNJjNYVwFv

et alii dit: à

Exilés brillants
Femmes américaines à Paris, 1900-1939
par Robyn Asleson

Contributions de Zakiya R. Adair, Denean Sharpley-Whiting, Samuel N. Dorf et Tirza True Latimer

Jazzi dit: à

« Je vous signale que votre chaine C8 n’en a plus pour longtemps à vivre. J’espère que vous vous en remettrez. »

Jamais regardée, elle ne figure même pas dans mon bouquet, JJJ.

et alii dit: à

Louise Oligny sera présente au festival Polartifice,
5e festival du roman policier du Touquet-Paris-Plage
les 13 et 14 juillet prochains.
SUR mediapart

Clopine dit: à

Un bouquet, Jazzy ? T’en es là, à attribué un qualificatif bucolique à des pratiques médiatiques mortifères?

et alii dit: à

Des eaux en bouteilles non conformes depuis 15 ans en France
C’est un choc : des milliards de bouteilles d’eau minérale « naturelle » ou « de source » non conformes à la réglementation ont été vendues en France et dans le monde. Un système défaillant de contrôle des bouteilles serait en cause.
https://www.medisite.fr/sante-au-quotidien-des-eaux-en-bouteilles-non-conformes-depuis-15-ans-en-france.5713957.112.html?a=&utm_source=list&utm_medium=email&utm_campaign=base-denvoi-medisite-info&utm_content=2726_20240725

Chaloux dit: à

Je ne sais toujours pas qui est le gars de la deuxième photo en partant du haut.

FL dit: à

« les Fussli datent tout de même de 1784 »

Un est de 1783. Il y en a trois. C’est une commande.

Samuel dit: à

De la vide-bouteille minérale à la dive bouteille rabelaisienne…
Vive Dionysos et Bacchus, nom d’une bouteille !!!

renato dit: à

« Le gars de la deuxième photo » c’est Baudelaire — daguerréotype de 1850.

FL dit: à

 » ‘Le gars de la deuxième photo’ c’est Baudelaire — daguerréotype de 1850. »

Elle est étonnant hein ? Je ne l’avais jamais vue. On le reconnaît pas.

FL dit: à

* étonnante

FL dit: à

La fin de « Macbeth » c’est quand même le débarquement en Normandie, et les Russes allant chercher Arturo jusque dans son bunker berlinois.

closer dit: à

Non, c’est Houellebecq en 1850.

B dit: à

Elle est étonnant hein ?

On dirait un garçon qui s’est échappé d’un vieux western, un vrai cow-boy un peu bourré, non? ( Un peu le cousin de Pablo75) .

B dit: à

Sur le premier portrait il est beau, irrésistible mais terriblement triste seul et lucide, distant. Enfin je le vois ainsi.

rose dit: à

Clopine

On dit un bouquet de chaînes.
Cela n’a rien de bucolique.

Chaloux dit: à

Renato, j’ai vu le verso de ce portrait. Il faut vraiment avoir de reconnaître Baudelaire les yeux fermés.

J J-J dit: à

avoir envie, peut-être ?
avoie envie, sans doute ?
avoir besoin, non ?
le jzmn avait déjà esspliqué la foto 2

J J-J dit: à

le bouquet garni des 24 chaines comprenait l’ha nouna gratos. Je l’avions jamais regardé non plus…, pas comme les 8 millions de crétins qui votèrent gratos pour les zemour-lepènes, victimes de la propagande bolorée, etc.

et alii dit: à

Félix Tournachon, dit Nadar, né le 51 ou le 6 avril 18202,3,4 au 195, rue Saint-Honoré5 (ancien IVe arrondissement de Paris, 1er arrondissement actuel)6,7,8 et mort le 20 mars 1910 dans la même ville2,1, est un caricaturiste, écrivain, aéronaute et photographe français.

Il publie à partir de 1854 une série de portraits photographiques de personnalités contemporainesa.

Surtout connu pour son rôle de photographe, il est originellement caricaturiste et publie ses écrits sous forme de romans, nouvelles9, poèmes en prose, brèves de comptoir, témoignages, plaidoiries ou portraits littéraires. »
« Le pseudonyme Nadar avait d’abord été utilisé par une société constituée autour de son frère cadet Adrien Tournachon sous les formes Nadar jeune et Nadar jne, provoquant parfois la confusion. Un arrêt de la Cour impériale de Paris lui a restitué en 1857 la propriété exclusive de ce pseudonyme, sous lequel il signera ses écrits »wiki

rose dit: à

Nous🐒🐒🐒🐒🐒🐒🐒sommes hors les huit millions de crétins.
Heureux, qui dormons comme des bébés dans le ventre de nos mères et nous réveillons areuh, repus et souriants.
Excellente journée, à Chaloux number one.

Bloom dit: à

Il fallait plaire à James I d’Angleterre ci devant James VI d’Ecosse, FL.
Et bien insister sur la toxicité des sorcières que le souverain combattait par la plume et le feu.
Avec le portier, les sœurs étranges sont les seuls personnages comiques de cette pièce sombre comme une journée d’été calédonienne.
C’est l’écosse qui a le plus fort taux de suicide de Gb, ainsi que le plus grand nombre de toxicos.
En hiver le jour se lève à 11h et se couche à 16h..entre-temps,bien sûr il pleut ou neige et il fait un froid de grouse, – 15 à Ballater, dans les Grampians.
Les basses terres restent vivables…Dumfries ang Galloway, chez R Burns, de des souris et des hommes.

renato dit: à

Après la 101 hors chronologie de hier, la 43, « Mercure ». L’origine du titre est inconnue, on croit qu’il pourrait être dû à une confusion avec la symphonie 50, dont les premiers mouvements ont été utilisés comme ouverture au théâtre des marionnettes, où permis les personnages on trouve Mercure.

Le thème de l’Allegro est très étendu (4 phrases sur 26 mesure), qui semble tourner un peu sans but, et se conclut in fine cadence extrêmement puissante.

https://youtu.be/R_VUIZmBQpM?si=3u7qJEk5pI9921sr

J J-J dit: à

J’ai connu un Ecossais, dit Nadar, qui tenta de se suicider en absorbant du mercure après avoir écouté la 43e symphonie de Haydn. Il en réchappa et fut heureux par la suite de pouvoir écouter l’intégrale des symphonies de ce charmant compositeur. Nous allons bientôt réentrer, heureux et souriants, dans le ventre de nos mères – Bonne journée sportive à tous.tes, avec les compliments d’etalii, r^z, RM et rBl, assurément hors catégorie des 8 millions de pro-fascistes sévissant sur notre sol. Hélas pour ces derniers, bien à plaindre… ils ignorent l’infection qu’ils transportent en eux depuis l’erreur de leur apparition sur terre.

J J-J dit: à

@ Nous🐒🐒🐒🐒🐒🐒🐒sommes… le 26 juillet 2024. 8.41, datons le jourd’hui… Quelle est la signification de ces 7 émoticônes, SVP, rôz ? TBàv2.

J J-J dit: à

@etalii, voici la fiche de culture générale que vous m’avez demandée à propos de Jean VI Cantacuzène, en espérant qu’elle vous sera utile pour votre concours à l’école nationale des Chartres. Bon courage pour la prépa et bien à vous, fort amicalement.
—————-
Jean VI Cantacuzène (grec : Ἰωάννης ΣΤ′ Καντακουζηνός), né vers 1295 à Constantinople, et mort le 15 juin 1383 à Mistra, est un empereur byzantin du 13 mai 1347 au 10 décembre 1354, fils de Michel Cantacuzène (1265-1316), gouverneur de Morée et de Théodora Paléologue Ange-Comnène (1276-1342). Jean Cantacuzène est cousin d’Andronic III Paléologue, qui le crée grand domestique, c’est-à-dire chef des armées, ce qui le place en seconde position dans la hiérarchie byzantine. Le 23 mai 1328, il participe à la prise de Constantinople par Andronic III et à la déposition d’Andronic II Paléologue. Il devient alors, en fait, le premier ministre du nouveau gouvernement, décidant de toutes les nominations et contrôlant les affaires de l’État. À plusieurs reprises il refuse le titre de co-empereur ou de régent, préférant soutenir les droits de l’empereur régnant. À la mort d’Andronic III Paléologue en 1341, il devient régent de facto de l’Empire, malgré l’absence d’instructions de l’empereur défunt. Il se heurte cependant à l’opposition d’une fraction importante de la population de l’Empire et, en particulier, du patriarche Jean XIV Kalékas. Pressé par Alexis Apokaukos de se faire proclamer empereur, Jean Cantacuzène refuse afin de préserver les droits de la dynastie Paléologue et propose de se retirer des affaires ; l’impératrice Jeanne de Savoie le persuade de demeurer à la tête du gouvernement et il part bientôt commander une expédition militaire afin de rétablir l’ordre en Macédoine puis en Thrace. Apokaukos profite de son absence pour persuader le patriarche Kalékas ainsi que l’impératrice que Jean VI Cantacuzène est un usurpateur et un danger pour la paix. Réfugié à Didymotika, il s’y fait proclamer empereur par ses partisans le 26 octobre 13411. La noblesse d’Andrinople annonce alors l’élection de Jean Cantacuzène au trône impérial, provoquant une rébellion populaire. L’insurrection gagne ensuite les principales villes de l’Empire. À partir d’avril 1343, plusieurs villes de Macédoine et de Thessalie reconnaissent Jean VI Cantacuzène comme empereur, abandonnant le parti d’Apokaukos ; alors qu’il s’était jusque-là rallié à ce dernier, le roi Stefan Uroš IV Dušan de Serbie rappelle les troupes qu’il avait mises à sa disposition, l’isolant militairement dans Thessalonique. En 1344, le propre fils d’Apokaukos, Manuel Apokaukos, se rallie à Cantacuzène, suivant en cela l’exemple de Jean Vatatzès, lui-même parent du patriarche Kalékas. Les ralliements s’accentuèrent après l’assassinat d’Apokaukos, le 11 juin 1345. Par ailleurs, un autre grand débat divise l’Église et la société, dans la continuité du schisme Arsénite : en particulier les préceptes et pratiques de certains moines dits hésychastes, en désaccord à propos de la nature divine de la Transfiguration. La société est séparée entre hésychastes et anti-hésychastes ; mais bien que la controverse semble loin du monde de la politique, celle-ci coïncide avec l’explosion de la guerre dynastique suivant la mort de l’empereur Andronic III. Le patriarche Jean XIV Kalékas et le Duc Alexis Apokaukos estiment que les moines hésychastes sont coupables d’hérésie, alors que Jean Cantacuzène considère que la doctrine est parfaitement orthodoxe ; celui-ci peut alors compter sur le soutien inestimable des moines, en particulier du Mont Athos. Le 21 mai 1346, Jean Cantacuzène parvient à s’imposer comme coempereur au terme de la guerre civile : il confirme sa proclamation comme coempereur, aux côtés de Jean V Paléologue, en acceptant de recevoir la couronne impériale à Andrinople des mains du patriarche de Jérusalem, mais il refuse catégoriquement de faire proclamer son fils Mathieu comme empereur associé. Finalement, le 3 février 1347, il entre à Constantinople. Devenu empereur, Jean Cantacuzène prend le titre de Jean VI, montrant ainsi qu’il refuse la préséance de rang sur l’empereur légitime, Jean V Paléologue. Cet arrangement n’est cependant pas du goût de la famille Paléologue, qui persiste à ne voir en lui qu’un usurpateur. Soucieux de ramener la paix dans l’Empire, il accorde une amnistie générale à ceux qui l’avaient combattu, à l’exception de Jean XIV Kakélas qui refusa toujours d’être pardonné comme de lui pardonner et maintint l’excommunication qu’il avait prononcée contre lui en 1341.Il est couronné en l’église de la Vierge des Blachernes par le nouveau patriarche Isidore Ier de Constantinople, le 13 mai 13471. Illustration de la décrépitude des finances impériales, le couronnement ne peut avoir lieu à Sainte-Sophie, trop délabrée, les joyaux de la couronne, gagés à Venise, sont remplacés par de la verroterie et la vaisselle du banquet était en simple terre cuite. Né sous les dernières années du règne d’Andronic III, le mouvement de l’hésychasme s’amplifie sous le règne de Jean VI menaçant l’intégrité de l’Église orthodoxe. Jean VI lui-même soutient les hésychastes qui, menés par Grégoire Palamas, l’avaient soutenu contre Kakélas et Jeanne de Savoie. En 1351, Jean VI fait réunir un concile qui s’ouvre sous sa présidence au palais des Blachernes le 28 mai 1351. Le concile conclut à la conformité de l’hésychasme par rapport à l’orthodoxie. Le tomos contenant les décisions officielles du concile est proclamé en la basilique Sainte-Sophie le 15 août suivant, puis cosigné par l’empereur Jean V Paléologue en février 1352. Le règne de Jean VI est marqué par de nombreux troubles intérieurs, tant sur le plan social que sur le plan militaire :la peste noire s’abat sur l’Empire dès la première année du règne, ravageant notamment Constantinople, aggravant l’état de découragement et d’apathie dans lequel se trouvaient les byzantins après deux guerres civiles ;ses anciens alliés et ceux d’Anne de Savoie (vénitiens et turcs) se font menaçants, notamment Etienne V, tsar de Serbie ;il doit faire face aussi à une opposition populaire et religieuse, et à une révolte des Zélotes à Thessalonique ;en août 1348 les Génois envahissent la Corne d’Or et incendient la flotte byzantine.il doit céder aux Génois Salymbrie et Héraclée en 1352, malgré le concours des Vénitiens et doit faire face à une nouvelle guerre civile, qui l’oppose à Jean V, dès 1351. Il abandonne la division de l’empire en thèmes, et met en place un système d’apanages pour le gouvernement de l’empire ; cette réorganisation correspond à la dispersion des territoires byzantins. Les territoires byzantins sont alors divisés en trois ensembles :a Thrace avec Constantinople, la Morée byzantine (où Jean VI, envoie son deuxième fils Manuel comme despote de Mistra), Thessalonique, qui reste favorable aux Paléologues. La population de Constantinople demeure cependant attachée à la dynastie légitime des Paléologues, et en particulier à Jean V et s’oppose de plus en plus nettement à Jean VI. L’opposition se renforce en avril 1353 lorsque Jean VI fait proclamer coempereur son fils Mathieu Cantacuzène. Ce couronnement provoque l’irritation du patriarche Calliste Ier de Constantinople, qui abdique et est remplacé par Philothée Kokkinos, partisan déclaré de Jean VI. Le 22 novembre 1354, Jean V Paléologue entre à Constantinople, où il est acclamé par la foule. Le 1er décembre suivant, il signe avec Jean VI un accord de gouvernement aux termes duquel les deux hommes exercent en commun le pouvoir, tandis que Mathieu Cantacuzène demeurait empereur indépendant d’Andrinople jusqu’à sa mort. Finalement, le 10 décembre 1354, Jean VI abdique et revêt l’habit monastique en prenant le nom de Joasaph Cantacuzène ; il entre au monastère Saint-Georges-des-Manganes, à Constantinople. Il s’installe plus tard au monastère de la Néa Péribleptos ; il meurt à Mistra auprès de son fils Manuel. Son épouse, Irène, prend également le voile sous le nom d’Eugénie et se retire au couvent de Kyra Martha. Jean Cantacuzène consacrera la fin de sa vie à l’écriture de ses Mémoires, qui sont achevés en 1369.

renato dit: à

Pierre Michon est le lauréat du prix littéraire Giuseppe Tomasi di Lampedusa

Chaloux dit: à

Tous les mots.

Je ne crois pas beaucoup à ce Baudelaire à cuisses de cavalier. C’est une facétie.

J J-J dit: à

L’article louangeur d’Aurore Turbiau sur Monique Wittig (canon braqué) sur la chaine d’EAN, est hélas totalement vide de contenu. Six minutes de lecture intégrale en pure perte ! Passons notre chemin, Ariane.

Bloom dit: à

A noter, les jeux de Paris vus d’Inde, favorablement, comme un coup d’arrêt au gigantisme et au gaspillage somptuaire.
https://www.hindustantimes.com/sports/olympics/why-paris-is-a-different-kind-of-olympics-101721933016409.html

But it’s « l’audace » that could make Paris 2024, what Abhinav Bindra calls, “a benchmark for future Games.” Which in the past had often meant bigger, shinier, more extravagant with gazillon dollar fireworks. But not anymore. The City of Light could show world sport the way.

Damien dit: à

https://youtu.be/G3QNqMpoaTg

Il est pas content, car on ne l’invite plus. Un amoureux déçu, un mal-aimé, fou d’amertume. Il ne se rend pas compte qu’on connaît par coeur ses commentaires, et que ça finit par lasser. C’est le risque d’être toujours conformiste, par rapport à soi-même. Au lieu de se féliciter qu’on lui foute enfin la paix, il proteste. Il aimait cette vaine agitation des plateaux tévé, où les paroles s’oublient dès qu’elles sont dites. Un conseil pour lui : fais de la politique ! Tu as besoin du néant pour exister, voilà ta vocation. Et bientôt il va revenir pour dire qu’on ne lit plus ses livres. C’est la plainte et la complainte. Je dis cela, mais je reconnais que c’est un type qui a des qualités. J’avais assisté à une de ses conférences, il faisait bonne impression. je lui avais posé une question sur le Vatican et la Chine. Il m’avait répondu correctement. Laisse tomber la tévé, ou alors va chez Hanouna, je ne sais pas. Ah oui, il n’a plus de fréquence ? On retire toutes les fenêtres à Bolloré ! Je trouve ça injuste, même s’il y avait matière à en discuter. On ne traite pas comme ça les téléspectateurs, le populo, les électeurs. Les Français ont mis le FDG en tête des élections législatives, et qui est élue présidente de l’Assemblée ? Une macroniste ! Cherchez l’erreur… Bonne journée, et je ne m’intéresse pas du tout au JO. Je relis Kafka, ne vous déplaise.

JC..... dit: à

« 8 millions de pro-fascistes sévissant sur notre sol. Hélas pour ces derniers, bien à plaindre… ils ignorent l’infection qu’ils transportent en eux depuis l’erreur de leur apparition sur terre. » (JJJ)

Euh, non !…Rien

Chaloux dit: à

Les anglais ont engagé un cuisinier, ils ne veulent plus de la bouffe d’un célèbre groupe de restauration français!
Si les anglais se plaignent, c’est dire ce que les français mangent.

D. dit: à

Moi je leur aurais servi mes endives fourrées aux merguez gratinées à la Béchamel et on en serait pas là.

D. dit: à

Tu sais que je t’aime bien, JC ?

Bloom dit: à

Pour une vision hilarante de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Londres du vendredi 27 July 2012, voir le chapitre 15 du premier roman du Brexit, Middle England/ Le Cœur de l’Angleterre, de Jonathan Coe, LE grand satiriste de l’Angleterre contemporaine, une espèce de Welbeck anglais, débarrassé du côté réac, fuassement nihiliste, sexiste, islamophobe, con et méchant.
(Lequel Welbeck s’imagine dans Sérotonine issu d’une prépa Agro à HIV alors qu’il était avec nous à Chaptal…dans tes rêves, M. Thomas!)

Bloom dit: à

faussement…

Bloom dit: à

Coe a donné une excellente suite à Middle England (Le Coeur de l’Angleterre), Bournville (Le Royaume désuni), qui se déroule dans la localité proche de Birmingham où se trouve l’usine de chocolat Cadbury, fief historique du chocolatier britannique, jusqu’à récemment fidèle aux principes quakers qui inspirèrent cette véritable utopie ouvrière (dans la lignée du New Lanark de Robert Owen, ou du Saltaire de Titus Salt).

Bloom dit: à

A propos du passage de Tounachon à Nadar, ce que j’écrivais il n’y a pax si longtemps:

==Il a été question d’apocope plus haut. Nadar en est une belle. Apparemment, à l’époque où Félix Tournachon s’élançait dans les airs avec ses dirigeables et photographiait le tout Paris de la haute culture, il était à la mode dans les milieux bohème de remplacer la dernière syllabe des noms de familles par le suffixe ‘-dar’. C’est ainsi qu’il devint Tournadar, puis Nadar.==

morales sed laisse dit: à

Bloomier y est-il pour quelque chose en ce qui concerne les attaques contre les TGV bloqués jusqu’à treize heures aujourd’hui?
Sûr, ça casse du faf chez les crypto trotskystes!
Et pour les repas servis en chambre au village olympique, ça bouffe du curé! 🙂

Bloom dit: à

Les couts de la cérémonie d’ouverture beaucoup plus élevés que celle de Londres :

Il s’agit du coût total, pas de celui de la cérémonie, ce qui parait évident vu l’amleur de l’événement.

Bloom dit: à

ampleur

Marie Sasseur dit: à

@(Lequel Welbeck s’imagine dans Sérotonine issu d’une prépa Agro à HIV alors qu’il était avec nous à Chaptal…dans tes rêves, M. Thomas!)
____
Sérotonine est un roman. Le personnage principal a fait Agro comme Houellebecq.
Voir aussi  » un ermite au Nouveau Palace. Michel Houellebecq, étudiant à l’Agro », par son coturne Pierre Lamalattie in L’Herne Houellebecq.
Ils ont tous deux faut leur prépa Agro au lycée Chaptal. A noté que Houellebecq était aussi admissible à Normale Sup, mais il n’aimait pas la géologie , épreuve à l’oral, alors il a zappée.
A noter par ailleurs, sa détestation « géologique » de Robbe-Grillet, lol.

Marie Sasseur dit: à

à noter
il l’a zappée

Marie Sasseur dit: à

Il faut dire que la prépa Chaptal était , de notoriété publique, bien peu cotée.

Bloom dit: à

la prépa Chaptal était , de notoriété publique, bien peu cotée.

Laquelle?

Marie Sasseur dit: à

La prépa aux grandes écoles.

Bloom dit: à

Ca ne veut rien dire. Quelles grandes écoles et dans quelles matières?

Marie Sasseur dit: à

Non mais bloomie, Houellebecq a fait prepa Agro, donc déjà celle-ci.
Quand on se permet d’être approximatif en confondant un auteur et un personnage de roman, on s’arrange pour être exigeant d’abord avec soi-même…

Bloom dit: à

Ca n’y connait rien & se permet de donner des leçons. Combien de prépas à Chaptal fin des années 70?
La malveillance incarnée.

Marie Sasseur dit: à

Bloomie enflé comme un bœuf, lol; il n’a qu’à acheter ce cahier de L’Herne Houellebecq, ou à défaut demander à P. Lamalattie.
Quand on lit si mal Houellebecq, on ne la ramène pas.

Bloom dit: à

Pas sur internet, ergo, la Sycorax de foire n’en sait rien, juste bonne à cracher son encre de vieille sèche.

Bloom dit: à

Allez, quittons la Rance et les rancies.
Quoi de commun entre Toni Morrison, Thurgood Marshall, Zora Neale Hurston, Ta-Nehisi Coates et Kamala Harris?

Marie Sasseur dit: à

Bloomie s’evacue dans l’invective, classique.
On notera que la prepa* agro de Chaptal n’est toujours pas tres bien cotée en 2022

* classes préparatoires aux grandes écoles, et ici scientifiques en l’espèce.

Jazzi dit: à

Oui, oui, l’athlètique léZard a participé à une épreuve olympique, et non des moindres ! La preuve en images…

B dit: à

Il s’agit du coût total, pas de celui de la cérémonie, ce qui parait évident vu l’amleur de l’événement.

Non, lisez l’article du journal Le Monde, il s’agit bien du seul coût de la cérémonie d’ouverture. Pour les jeux, c’est quelques milliards; Sotchi avaient couté à la Russie 37 milliards, à titre de rappel.

B dit: à

Le campus en vogue actuel c’est Saclay.

FL dit: à

« Il fallait plaire à James I d’Angleterre ci devant James VI d’Ecosse, FL. »

Ah vous croyez que c’était pour plaire au roi.

Certains commentaires disent que les relations de Shakespeare et du roi étaient lourdes. Shakespeare l’accusait même d’avoir par ses dons de magiciens levé une tempête contre lui alors qu’il faisait un voyage en mer. Allusion dans « Macbeth » d’ailleurs. « La Tempête » doit tourner aussi autour de cet épisode que Shakespeare avait dû mal à digérer manifestement.

B dit: à

Et pour les jeux d’hiver que même l’Autriche a refusé alors que ce pays est plus prospère que la France au bord de la faillite, mon sentiment bien qu’il nous soit répété que les JO rapportent plus qu’ils ne coûtent est que la France pète plus haut que son cul.

FL dit: à

Le James en question c’est le James de la « King James version » ?

FL dit: à

Pour ceux qui veulent le voir le tableau de Füssli représentant Lady Macbeth somnanbule et folle, il est au Louvre. C’est le seul Füssli qui soit en France. Sinon direction la Suisse ou l’Angleterre etc.

D. dit: à

Non seulement elle pète plus haut que son cil, mais elle est encouragée à le faire par des entités extérieures financières très influentes et puissantes qui ont un grand intérêt à la voire faire faillite le plus vite possible.

D. dit: à

Pour les pauvres naïfs qui n’auraient pas encore compris.

D. dit: à

Il y en a ici plusieurs, hélas.

D. dit: à

Autre chose choquante : le pruix exorbitants des places pour la cérémonie d’inauguration. Entre 900 et 1200 euros. C’est à dire un peu en dessous d’un mois de salaire ou de pension de personnes modestes. Bien sûr, il y a des milliers d’invités par la mairie. C’est exact. Ça ne représente que quelques millièmes du nombre total de places et quelques millièmes de la population parisienne. C’est donc une manifestation extrêmement élitiste parce qu’elle conjugue le caractère exceptionnel et des tarifs inabordables pour la plupart. Elle aussi de facto les personnes âgées simplement parce qu’elle n’ont aucun moyen de circulation et d’accès.
Ce sont des faits incontestables et c’est pourquoi les parisiens sont plus que jamais déçus ou mêmeen colère.

et alii dit: à

Le James en question c’est le James de la « King James version » ?
c’est à Bloom qu’il faut le demander; il connaît bien aussi la KJV

D. dit: à

Elle exclue aussi de facto les personnes agées

Bloom dit: à

Il faut tout de même garder à l’esprit que WS avait (au moins) trois casquettes: dramaturge, directeur de troupe et acteur. La troupe qu’il dirigeait, The Lord Chamberlain’s Men sous Elizabeth I, devint The King’s Men en 1603 lorsque James I monta sur le trône d’Angleterre (et d’Ecosse). Il était leur seul mécène….
« Macbeth » a été représentée pour la première fois en 1606, l’année suivant la conspiration des poudres où, selon la version officielle, les catholiques (Guy Fwakes) essayèrent de dynamiter le parlement où le roi se trouvait en séance solennelle…
Quand on dirige une troupe et un théatre, on essaie d’éviter de se mettrte à dos son sponsor et le monarque règnant, roi d’origine écossaise (fils de Mary Stuart et lointain descendant de Banquo) connu pour ses écrits condammant violemment toute forme de sorcellerie (d’où le ridicule sabbath des Soeurs Fatales /Weird sisters)…
On prend garde aussi de ne pas s’aliéner la faveur royale en écrivant des pièces où échouent lamentablement rebelles ou usurpateurs (Macdonwald ou Macbeth maris et femme).
Necessity has no law…

Bloom dit: à

Oui, ce James-là.
The Authorised Version…chef d’oeuvre.
Avec les oeuvres de WS, le Book of Common Prayer, et les oeuvres de Dickens et de L.Carroll, le socle « canonique » de la langue anglaise.

Omissions et coquilles célèbres:
– l’édition de 1631 fait disparaitre la négation dans un des commandements qui devient « Thou shalt commit adultery ». On l’appelerai la Wicked Bible (Bible diabolique)
– dans l’édition de 1717, on trouve ‘vinegar’ à la place de « vineyard » (vignes) dans une des évangiles…

Bloom dit: à

l’appelera

D. dit: à

Moi, ce soir, je n’allume pas mon poste de télé et je vous invite à faire de même. Prenez un bon livre, de Morand, par exemple.

pourmapar dit: à

Charles BAUDELAIRE

« Alors je rêverai des horizons bleuâtres,
Des jardins, des jets d’eau pleurant dans les albâtres,
Des baisers, des oiseaux chantant soir et matin,
Et tout ce que l’Idylle a de plus enfantin.
L’Émeute, tempêtant vainement à ma vitre,
Ne fera pas lever mon front de mon pupitre ;
Car je serai plongé dans cette volupté
D’évoquer le Printemps avec ma volonté,
De tirer un soleil de mon coeur, et de faire
De mes pensers brûlants une tiède atmosphère. »

Charles BAUDELAIRE – « PAYASAGE »; Tableaux parisiens; In Les fleurs du mal. Éditeur : Auguste Poulet-Malassis, 1857 Littérature et Poésie
———————————————————
Henri Fantin-Latour —Charles Baudelaire, Détail du tableau : «Hommage à Delacroix »,1864
Donation Etienne Moreau-Nélaton, 1906
© Musée d’Orsay, Dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt
https://scontent.fbod1-1.fna.fbcdn.net/v/t39.30808-6/445220331_755636623435741_8726764004643623793_n.jpg?stp=dst-jpg_p526x296&_nc_cat=107&ccb=1-7&_nc_sid=833d8c&_nc_ohc=GKTXcfgyRS4Q7kNvgEfZwJ8&_nc_ht=scontent.fbod1-1.fna&oh=00_AYAP4WfFjIdiiYmx3lCwf4FCqtJNTksJid0Fp50u-rRuww&oe=66A9658E

D. dit: à

Et un peu de Haydn, pourquoi pas.
Il écrit quelques pièces plaisantes. Certaines sonates, par exemple.
Ses symphonies sont plus austères et ennuyeuses, avec un côté mécanique peu plaisant, mais restant écoutables ; je ne vous en recommande donc aucune. Comparativement, Mozart, son admirateur de la génération suivante, a écrit des symphonies beaucoup plus puissantes et émouvantes.

JC..... dit: à

Merci pour vos messages, amis !

Mais je ne puis y répondre étant surchargé de travail ! Le dernier câlin à mon dernier roman… « SERRÔCOQUINE », un chef d’œuvre qui fera de moi en décembre, le nouveau Belbeck !

Joyeux Noel et bon week-end, camarades olympiques !

Clopine dit: à

Ben moi, qui n’aime ni la compétition ni le nationalisme, je ne vais pas regarder les Jeux. Mais la cérémonie d’ouverture, oui… A cause des Jeux d’Alberville, j’étais tombée par hasard sur la cérémonie orchestrée par Découflé et j’avais trouvé ça épatant ! Je me souviens des jeunes filles qui étaient placée juste devant le porteur de drapeau de chaque nation. Elles étaient engoncées dans des bulles transparentes qui les englobaient jusqu’à la taille… Et, quand elles agitaient les bras (ce qu’elles n’arrêtaient pas de faire), des flocons blancs se soulevaient, exactement comme les boules à neige qui, quand on a dix ans, font votre bonheur… Il y avait environ une idée de ce type réalisée toutes les trente secondes. Sans compter les costumes, qu’on aurait tous dit sortis d’une bande dessinée de Moebius !!! Bref, si ce soir c’est la même farine, alors je suis partante pour me taper la crêpe… Même si je me fous complètement des « exploits » et du nombre de médailles…

Clopine dit: à

Là, si j’ai bien compris, ça va être une vraie mise en Seine !

D. dit: à

Je viens d’être appelé par un type qui voulait que je sois le dernier à porter a flamme olympique ce soir. Je n’aime pas ce genre de plaisanterie téléphonique. Je lui ai dit d’aller se faire enculer à Olympie.

Kilékon dit: à

Ben moi, qui n’aime ni la compétition ni le nationalisme

La cleaupeine préfère saboter les trains! 🙂

Kilékon dit: à

La clopeine préfère le nationalisme palestinien.

Elle Hamas la mise!

Patrice Charoulet dit: à

Edouard Philippe, Gérald Darmanin, Bruno Le Maire, Roselyne Bachelot, Eric Woerth, Jean-François Copé, Nicolas Sarkozy, Franck Louvrier, Renaud Muselier,Rachida Dati et quelques dizaines de politiques moins connus, ont compris que la droite (UMP-LR) devait rejoindre la Macronie. On en est toujours là. Centre droit + droite, ce n’est pas vraiment une nouveauté.L’union s’impose, face à la gauche, l’extrême gauche et l’extrême droite.

Clopine dit: à

C’est dingue. Le conseil d’état classifie le RN à l’extrême-droite, et LFI à gauche… Pas à l’extrême-gauche! LFI a retiré ses candidats, au second tour des législatives, en faveur de candidats comme Darmanin ou Borne (qui ont passé ces deux dernières années à calomnier copieusement la France Insoumise, la traitant de « violente » et d' »antisémite »), pour faire (véritablement) barrage au RN. Mais rien de tout cela ne compte, rien n’empêche les moutons bêlant de psalmodier en coeur : « que les extrêmes se joignent » (le nationalisme et la xénophobie placés sur le même plan que les valeurs internationalistes et humanistes), rien n’empêche, in fine, les Charoulet bas de plafond de triompher. Tout ce qui se passe en ce moment est d’une violence symbolique rarement égalée. Certes, le capitalisme dominant explique ce déploiement de violence, au nom de l’intérêt bien compris des maîtres du monde. Mais néanmoins, la seule consolation, c’est que cela n’aura qu’un temps. Les survivants (à la troisième guerre mondiale, à l’écroulement des droits des hommes, des femmes et des enfants, aux dégâts généralisés causés à notre planète), vont forcément inventer un autre monde. Oh, pas tout rose, bien sûr. Mais autre chose. Bien sûr, je ne serai plus là, ni vous, pour le voir. Mais un jour, dans la mémoire collective, il y aura pourtant quelqu’un pour rétablir la vérité… Qui n’est pas la parole de Bolloré… Bref. A part ça, je vous conseille d’acheter un petit livre qui s’appelle « ceux qui restent »…

Clopine dit: à

Par exemple, LFI demande à ce que les athlètes israëliens soient traités comme les athlètes russes. A savoir venir concourir sous bannière neutre. On transforme cette revendication en « appel au meurtre des athlètes israéliens ». C’est dingue. Orwell, au secours.

Rosanette dit: à

@Bloom
J’ai lu -en français-le roman de Coe sur le Brexit ; lecture plaisante d’une œuvre qui exploite avec métier un sujet inattendu ;
Mais on ne peut s’empêcher de se sentir un peu reticent devant une oeuvre dont sautent aux yeux un peu comme chez Houellebecq les recettes de fabrication ,à base de clichés.
C’est comme si pour la mise en place de ses personnages et pour raconter leurs vies qui s’entrelacent autour du Brexit , l’auteur s’était donné au préalable une liste, à introduire dans son histoire, de themes politiques et sociétaux, qui traversent aujourd’hui l’air du temps, ;
il s’est donc arrangé pour qu’on y trouve :
Le petit malin qui va chercher en Irlande à continuer àprofiter des avantages de l’Europe ;
Ceux qui fuyant l’UK du Brexit le Brexit refont leur vie comme hôteliers dans le midi de la France
Le couple d’hommes ,l’intellectuel précaire, universitaire fauché venu d’ailleurs et son compagnon un jeune et riche golden boy
L’esprit Woke, et la gamine riche et gâtée radicalisée
La crispation identitaire de la vieille génération, qui crie à ce qui lui semble une insupportable discrimination positive et qui ne supporte plus la présence des Croates sur le sol britannique.
Et pour faire bonne mesure il a developpé ,deux interminables scènes de sexe, toutes deux trangressives pour faire plus salace , un truc a la houellebecq
Mais l’ensemble est habile se lit sans deplaisir et peut plaire sur la plage

Clopine dit: à

J’ai distribué des tracts, fait du porte-à-porte, me suis usée, des genoux et de la voix, et ça a fonctionné : Bardella n’est pas premier ministre. Ah mais non, les Charoulets, au mépris de l’évidence (Macron n’avait lui aussi qu’une majorité relative quand il a été élu, alors l’argument « une majorité relative signifie qu’on ne peut former un gouvernement » aurait dû s’appliquer à lui ?) continuent leur obtus pépiement de tous petits bourgeois qui ont tellement la trouille de voir que les mots « liberté, égalité, fraternité » pourraient être pris au pied de la lettre… Et menacer leur « supériorité »… C’est dingue.

et alii dit: à

MISE SEINE
FAUT PAS VOUS NOYER!

Bloom dit: à

J’espère qu’il passera, Rosanette.

Clopine dit: à

Euh, Et Alii, faut pas vous exclamer comme ça à chaque fois que vous comprenez un de mes (pauvres petits) jeux de mots. Vous savez, j’en parsème plus souvent qu’à mon tour, et j’ai renoncé à les voir appréciés ici (sont pas compris.). Et puis, je me dis que le véritable drame de la vie d’un Grothendieck, c’est que ce type n’avait pas le moindre sens de l’humour. Bon, Charoulet non plus… Mais ouf ! C’est pas Grothendieck !

Clopine dit: à

Je veux dire « ouf », en pensant à l’espèce humaine, hein. Plus précisément : Grothendieck, lui, avait un cerveau, disons, mathématique ? Charoulet n’a que la caisse enregistreuse de sa petite classe sociale. Nuance !

Clopine dit: à

Car Charoulet a tout enregistré, et ça lui sert à penser. Il a enregistré que quand on est un petit bourgeois, on met plus haut que tout l’orthographe. Qu’on respecte les maîtres, et méprise les gueux. Qu’on a une bonne opinion de soi, avec ses valeurs de fidélité à l’institution du mariage, ses prédicats « quand on veut, on peut », ses opinions toutes faites, son absence totale de curiosité pour tout ce qui n’est pas son habitus. C’est un type qui regarde, par sa fenêtre étroite, la vie de sa rue, pour noter le passage des éboueurs, et s’enorgueillit de respecter, lui, la sortie de son bac jaune, à l’heure dite, ce qui lui permet de fustiger quiconque ne fait pas comme lui. C’est un tel boursouflé assis sur son Bled, insoucieux de la marche du monde, qu’il ignore ceux qui sortent, eux, de leur bleds, n’est-ce pas. Bref, j’en viendrais presque à plaindre Macron, parce que Charoulet représente tellement les macronistes qu’il est à lui tout seul, la démonstration de leur médiocrité.

Jazzi dit: à

« MISE SEINE
FAUT PAS VOUS NOYER! »

Je crains que l’humour de et alii ne soit pas compris ici ?

Bloom dit: à

Quoi de commun entre Toni Morrison, Thurgood Marshall, Zora Neale Hurston, Ta-Nehisi Coates et Kamala Harris?

Sont d’ancien/ne/s étudiant/e/s de Howard University, Washington DC, la « Harvard noire ».
En attendant le Rainbow Sign, Maya Angelou, James Baldwin, Nina Simone et Shyamala & Kamala Harris…

Bloom dit: à

Tant que ne n’est pas la Mouise en Seine…

Clopine dit: à

on verra ce soir, Bloom. Certes, l’art, Molière à Versailles si vous voyez ce que je veux dire, a ses limites politiques, vu qu’il s’agit de démontrer , de désigner au bas peuple ce qu’il convient d’admirer ou pas, mais néanmoins l’art peut parfois « dire des choses ». Dépasser, c’est justement ça qui est rigolo, les limites que le capitalisme lui assigne. Parfois, tu regardes un clown, ce n’est qu’un clown, totalement inféodé au rôle qui est le sien, carpette d’une société injuste, et puis… Il te fait pleurer… Bon, peut-être pas trop à attendre du spectacle de ce soir. Mais comme ce sont mes impôts qui l’ont payé, ce spectacle, je ne vois pas pourquoi je m’en priverais. J’espère qu’il sera bon. Je n’espère pas qu’il viendra cautionner une société dont la férocité m’épouvante. Mais c’est au moins une distraction.

Bloom dit: à

Je regarderai bien sûr aussi, Clopnie car j’ai beaucoup d’estime pour T.Joly et Boucheron est un brillant historien…

Je fais travailler les étudiants sur la cérémonie d’ouverture des Jeux de Londres en 2012, derniers soubresauts du « Cool Britannia » qu’avait brillament mis en scène Danny Boyle (Trainspotting, Slumdog Millionaire, Petits Meutres entre amis…).
Autodérision typically British, quand James Bond/Craig va chercher la Reine à Buckingham avant de sauter en parachute avec son effigie pour aterrir sur la pelouse du stade.
Célébration de l’Angleterre multiculturelle, de la culture populaire anglaise, avec Dizzie Rascal, le jeune rappeur qui crève l’écran et a grandi à quelques centaines de mètres du stade olympique dans l’est de la capitale; avec pour le volet pop music (que l’Angleterre a inventée), sir Paul McCartney de Liverpool gratifiant le public d’un Hey Jude un peu foutraque…
Et puis l’hommage au Barde, oeuf corse, par un K. Branagh déguisé en Isambard Brunel (ingénieux ingénieur) déclamant les fabuleux vers du Caliban de La Tempête:

« Be not afeard. The isle is full of noises,
Sounds, and sweet airs, that give delight and hurt not.
Sometimes a thousand twangling instruments
Will hum about mine ears, and sometime voices
That, if I then had waked after long sleep
Will make me sleep again; and then in dreaming
The clouds methought would open and show riches
Ready to drop upon me, that when I waked
I cried to dream again (..) »

Il y a fort à parier qu’un metteur en scène conservateur réac aurait choisi le passage où John of Gaunt fait l’éloge de « This sceptr’d isle…This England », dans Richard II, paradigme du jingoïsme anglais (non, l’Angleterre n’est pas une île).

Le tout est disponible sur Youtube.

D. dit: à

Tableau de la conciergie avec des « Marie-Antoinette » portant leur tête qui parle : absolument indigne, ignoble, dégueulassen Honte et malédiction à ceux qui ont commis ce tableau en toute connaissance de cause.

Chaloux dit: à

La seule qui tienne la rampe dans cette immonde ripopée, c’est Lady Gaga, par ailleurs une excellente pianiste.

Là encore, comme partout depuis sept ans, on perçoit nettement l’état de confusion mentale où Macron se trouve.

(Yayayakamura est en play-back! Elle est sauvée!)

Chaloux dit: à

Les flots de sang à la Conciergerie c’est la contribution de du Bouchon?

rose dit: à

Yakapakamurana.

rose dit: à

Ouvert actuellement
Recette
Les mieux notés
Synonyme
Def
Boulangerie
Saillans
Résultats pour 12e Arrondissement, Marseille ∙ Choisir une zone
Ensemble de choses disparates, mêlées ensemble; en partic., ouvrage dont les idées manquent de cohérence, de lien, de plan. Quant aux vers, élégie, épitre, ode, épopée, C’était bien la plus orde et fade ripopée Qu’on pût s’administrer comme soporatif (Pommier,Crâneries, 1842, p. 133).
https://www.cnrtl.fr › definition › ri…
Définition de RIPOPÉE – CNRTL

D. dit: à

Rose a disjoncté. Il lui manque une phase.

Janssen J-J dit: à

@ Tableau de la conciergie avec des « Marie-Antoinette » portant leur tête qui parle : absolument indigne, ignoble, dégueulassen Honte et malédiction à ceux qui ont commis ce tableau en toute connaissance de cause. (sic)

T’aurais pas dû regarder la tévé, comle tu l’avais dit. Attention, on est en train de cambrioler tes poules de Chaville. Fais gaffe, ils pourraient même venir te les égorger, les manouches qui rôdent pas loing… Du kalm !.. Et tous ces GLBT et toutes ces femmes célèbres symbolisant la SORORITE. Quell’honte ! Quelle épouque. Que va penser l’univers de ce pays dégénéré qui se les mouille ?
Brrrr.

D. dit: à

Déjà trois souffrances ce soir dans cette cérémonie :
– le tableau ignoble de la Conciergerie. Immonde, proprement dégueulasse, à l’endroit-même où la Reine de France fut longuement détenue avant d’être exécutée.
– allusions et allégeance continuelle et insupportable aux minorités.
– plusieurs Steinway sous la pluie, foutus, claviers trempés.

Rosanette dit: à

une ceremonie d’ouverture un peu déconcertante pour le téléspectateur; car pas tres télégénique , trop éclatée sur le petit écran en tableaux disparates et sans cohérence intelligible

closer dit: à

Cette cérémonie d’ouverture est atterrante de laideur et de vulgarité.
Je m’y attendais un peu mais à ce point…
La pari de l' »effet Seine » est perdu; les malheureux qui ont payé une fortune ne voient rien; les attractions minables genre planche à roulette, vélo acrobatique ou gesticulations baptisées « danse » sont trop lointaine pour 99% des spectateurs…
On a mal pour Alexandre Kantorow et pour son Steinway…

Chaloux dit: à

Je ne crois pas que Kantorow ait joué sur un Steinway, je n’ai pas reconnu la marque, la console du clavier était épaisse et bizarre. Pas un piano de concert, un petit 160-170. Cela dit piano mouillu, piano foutu. Aucun respect pour les instruments de musique. Il fallait s’y attendre.

Chaloux dit: à

Quand on pense que Schubert n’a jamais eu les moyens de s’offrir un piano… Quelle vulgarité…

Chaloux dit: à

Poutine doit bien rigoler!

D. dit: à

Finis gloria mundi.

closer dit: à

Vous avez raison, D. Mais à quoi bon réagir? C’est exactement ce qu’attendent les provocateurs à qui « on » a confié ce spectacle: choquer, faire mal à tous ceux qui ont encore une vision bienveillante, et ne serait-ce qu’un peu traditionnelle de la France, de son histoire et de sa culture. Ces gens sont méchants et médiocres. Essayer de faire comme s’ils n’existaient pas et allez au Puy du Fou (je n’y suis jamais allé mais du coup je suis tenté…).

D. dit: à

Piano mouillu et maintenant piano crâmu.

(c’est nous qui paye, pas grave)

rose dit: à

D. dit: à
Rose a disjoncté. Il lui manque une phase.

Pas du tout.
C mon copiè/collé.

Ensemble de choses disparates, mêlées ensemble; en partic., ouvrage dont les idées manquent de cohérence, de lien, de plan. Quant aux vers, élégie, épitre, ode, épopée, C’était bien la plus orde et fade ripopée Qu’on pût s’administrer comme soporatif (Pommier,Crâneries, 1842, p. 133).
https://www.cnrtl.fr › definition › ri…
Définition de RIPOPÉE – CNRTL

rose dit: à

Ceci étant, je suis sortie de la sàm, en disant révolution et en levant le poing gauche.

Samuel dit: à

Pour les téléspectateurs, une cérémonie d’ouverture de pourriture(s) et de torture.

Phil dit: à

Boucheron l’a poussée loin dans le Mékong, la France d’avant décapitée, le bon peuple douché au rythme d’une danse des bananes sans la dérision de Baker. Comme dirait Simenon, pas une péniche de coulée.

rose dit: à

Je n’ai pas vu le tableau sur M-A.
À la Conciergerie.
Pour les pianos c dégueulasse.
Mais l’autre aux cheveux longs a fait pareil : les pieds du piano dans la rivière. Ai souffert l’enfer.
Seulement dans Oit or Africa, je n’ai pas souffert. Pck ensuite, il lui* met au sec (et les pieds au chaud).
* Le piano.
Remballez vos allusions salaces.

rose dit: à

Out of Africa Julien kekchose. Une coqueluche.

rose dit: à

J J-J dit: à
@ Nous🐒🐒🐒🐒🐒🐒🐒sommes… le 26 juillet 2024. 8.41, datons le jourd’hui… Quelle est la signification de ces 7 émoticônes, SVP, rôz ? TBàv2

Ce sont sept singes.
Si ns ne sommes pas des huit millions d’abrutis, nous en sommes ; pas forcément des bonobos.
JJ-J
Pour le crat, c foutu ; ai été lente au démarrage. Y en a deux dans l’Ehpad qui ne peut devenir une ménagerie.
Et ma mère a adopté une tourterelle turque.

MC dit: à

Il pleut impitoyablement sur Paris. On se souviendra de l’interminable périple de cette Flamme Olympique,´ confiée à tout le monde, c’est à dire à personne, passant partout, c’est à dire nulle part…Et n’oublions pas les alertes ( fausses?) dans les métros….

rose dit: à

C’était bien le 24/07/24.
Ah oui.

rose dit: à

Pour le chat.
Blanc.
Le même que celui de Karl.

MC dit: à

Et le Boucheronnage pèse lourd…

Chaloux dit: à

Sur Twitter, les gens débordent d’esprit, c’est hilarant. Macron va en faire une jaunisse. Et malheureusement, comme d’habitude, c’est la droite qui a raison. Anti-christianisme primaire (cette Cène à travelos), Marie-Antoinette décapitée, tenant sa tête dans ses mains comme Saint-Denis, les flots de sang sur la Conciergerie etc. Tout cela voulu par un crétin qui ne sait rien faire de ses dix doigts sauf préparer des catastrophes (nous y sommes). Bravo aussi à du Bouchon du Collège de France. Imagine-t-on un instant Compagnon ou Waresquiel prêter leur concours à une telle cochonnerie? Non , bien sûr, mais nous avons du Bouchon! Et Macron est sauvé.

Marie Sasseur dit: à

Je m’étonne de l’absence de réaction sur un  » tableau  » de la cérémonie d’ouverture des JO, tourné à la BnF Richelieu…
Slimani, l’idée débile doit venir d’elle, a réussi à transformer le lieu en spot de speed dating qui se terminait dans ce qui devait être une chambre de bonne sous les toits, pour un plan cul à 3, Marivaux revisité…
Après pour le show queer ou Ph Catherine en Dyonisos , nu sous des des fleurs en plastique, fallait être hipster en soirée LVMH, pour apprécier…

Paris ville lumière, un grand bravo aux électriciens. Quel talent.
Et que les meilleurs gagnent.

Bloom dit: à

Les réacs patentés, si prévisibles dans leurs détestations, auront tout de même remarqué que la flamme olympique s’est élevée dans un ballon à partir de l’endroit d’où partit celui des frères Montgolfier en 1783. C’est bien.

Bloom dit: à

Les réacs patentés, si prévisibles dans leurs détestations, auront tout de même remarqué que la flamme olympique s’est élevée dans un ballon de l’endroit d’où partit celui des frères Montgolfier en 1783. C’est bien.

Marie Sasseur dit: à

Dionysos
Ph Katerine

Oui, magnifique final des athlètes français pour allumer la flamme.

Jazzi dit: à

Cérémonie magnifique, mettant en valeur le patrimoine parisien et le savoir faire français, sponsorisé par LVMH.
Belle mise en scène et mise en lumière de la Seine et succession de superbes tableaux jamais trop longs et toujours surprenants.
Certes, j’ai pas trouvé de très bon goût Marie-Antoinette à la Conciergerie.
Il s’agissait sans doute de mettre en exergue les principes de la Révolution française : liberté, égalité, et une fraternité transgenrement transformée en sororité.
Là, je suis moins enthousiaste ainsi que du catéchisme unitaire à travers le sport seriné par le CIO.
Mais n’est-ce pas le but, l’esprit, des jeux ?
Lady Gaga et Céline Dion parfaites.
Macron et Hidalgo discrets.
Et la flamme olympique au-dessus de nos têtes, génial !
Demain, il va y avoir des bronchites…

D. dit: à

Personne n’a relevé qu’il faut écrire :

Finis gloriae mundi (non pas gloria).

D. dit: à

Cette cérémonie était chronométrée de main de maître, et techniquement excellente, y compris sa captation et retransmission. En événementiel, ça mérite une médaille d’or.
Quant au contenu, au fond : du beau caca, la plupart du temps. J’ai honte de ce que doivent penser des centaines de millions de téléspectateurs étrangers restés indemnes du wokisme.

Marie Sasseur dit: à

sponsorisé par LVMH.

Le cheval d’argent, c’est sûr.

Marie Sasseur dit: à

Amateurs d’assassin’s creed, le porteur mystère et masqué de la flamme n’était pas non plus Arsène Lupin, ni Vidocq.

Il s’agit de Simon Nogueira, freerunner.

Jazzi dit: à

« Le cheval d’argent, c’est sûr. »

Et surtout la palette-armoire Vuitton sortie de la Samaritaine !

« Simon Nogueira, freerunner. »

Epatant !

Jazzi dit: à

la mallette !

Jazzi dit: à

« Cette cérémonie était chronométrée de main de maître, et techniquement excellente »

Oui, malgré la pluie intense !

Jazzi dit: à

Soyez reconnaissant aux pauvres Parisiens (du mois ce qui n’ont pas fui la capitale) qui ont a supporter les nombreux désagréments qu’exige cette mise en scène en plein air et fait honneur à la France entière !

Jazzi dit: à

du moins

vedo dit: à

Pour un Steinway (de NY cependant) bien trempé, je connais. Le bois résiste bien, mais après quelque temps, il faut changer les feutres qui se décollent.

rose dit: à

Je trouve tout ce tralala excessif.
Je songe à cette somme donnée dans sa totalité aux écoles de Port Saint Louis du Sénégal et à toutes les études que ces petits auraient pu accomplir jusqu’au bout, pour la plus grande fierté de leurs parents et de leurs maîtres.

Enfin.
Cérémonie pluvieuse, cérémonie heureuse.

Pablo75 dit: à

La cérémonie: parfois trop longue, parfois pompeuse, parfois démagogue avec son wokisme naïvement provocateur qui ne scandalise personne… Mais quelle réussite technique sous la pluie, quel boulot derrière une telle organisation, quelle maîtrise des réalisateurs TV, quelle énergie chez tous ces jeunes danseurs… Sans parler des quelques bonnes idées esthétiques (à côté d’autres d’une vulgarité rare). J’ai bien aimé Jakub Jozef Orlinski, le meilleur contre-ténor actuel, chantant Rameau (mais pas ce qu’il a écrit de plus beau) et profitant du fait qu’il est aussi danseur de « breakdance ».

Le pire de tout: la nullité de l’Hymne olympique (composé, selon Wikipédia, par 2 grecs à la fin du XIXe siècle), qui se veut grandiose et n’est qu’impuissante. On est loin de de celui de la Champions League (Haendel) ou des plus beaux hymnes de pays: l’anglais, l’allemand, l’américain, le russe. Ou de celui de l’Europe (la 9eme de Beethoven – qui aurait été l’idéal pour des JO universels).

J J-J dit: à

Moi, j’ai trouvé tout très bien…, à part Macron qui tirait la gueule… Notamment, la critique impitoyable des sanguinaires de la Terreur dont personne n’a compris l’allusion ; l’apologie des femmes fortes, les somptueux effets de pyrotechnie de la tour eiffel, la flamme d’amélie mauresmau, le défilé de mode sur le pont, cette laidie gaga que je n’avais jamais vue de près, en zizi jeanmère affriolante et… Céline, revenue de son enfer de Dion-Bouton, majestueuse en édite piaffe, tout ce rose bonbon tagada, et cette dignité du cheval volant sur les flots, cette garde nationale désemparée par des envahisseuses dégingandées sur le pont des arts, une garde se mettant à swinguer départie de sa rigueur, le discours de Tony, bref, la France qui se chamialle mais sait se resouder pour des Jeux à l’avant garde du monde, une nouvelle fois… -> Londres peut aller se rhabiller. Tout m’a plu, la pluie qui donnait une touche de piano baroque à ce je ne sais quoi et presque rien à celzéceux qui avaient soif derrière leur télévision ou smartphones… c’est la France généreuse et métissée qui montre la voie à suivre vers les valeurs culturelles de la néo-gauche, fière de ses femmes fortes et combattives, de la^ promotion de ses minorités ethno@raciales et genrées, une france dépoussiérée des ses miasmes et jonquilles rancies, une France libérée que le monde entier va désormais devoir apprendre à suivre en son nouveau mot d’ordre de ‘liberté ‘égalité ‘fraternité ‘sororité, et ‘solidarité… Le savoir-faire des sacs Vuitton surtout…, et la Joconde enfin remise à sa juste place, jetée à l’eau par d’aimables bestioles animées… sans compter sur les nouvelles caméras anti-pluie révolutionnaires d’Antenne 2, surtout…
Une réussite magnifique, avec en perspective une nouvelle averse de médailles pour la France avec des morceaux de tour eiffel incrustées.
Passionnante et jolly soirée, oui, en vérité, propre à faire enrager tous les réactionnaires des extrêmes de l’erdélie. Un moment d’extrême communion avec lemonde qui va nous faire sortir de la crise et assécher la dette de nos finances publiques. Merci Mme H, surtout.
Bonne fin de soirée, euh…

J J-J dit: à

@ un Steinway bien trempé,…
euh, c’était pas du clavier bien tempéré, pour sûr.
Oui, Pilatre de Rosier. Et donc, cette flamme en mongole fière va survoler la capitale durant tous les jeux ? Eh bé !… 2h 10 du mat et on n’est pas encore couchés. Hein ?

JC..... dit: à

OUVERTURE JO 2024

Agitation sans aucune valeur ! Aucun sens, aucun respect pour les vertus olympiques, juste de la merde mouillée et un hommage à la fée électrique, toute puissante. Bref, un scénario de con woke pour les cons woke, bobos irrécupérables !

Présentons nos excuses aux sportifs du monde réel, ignorés par les agités du ciboulot responsable de cette médiocrité !

Jazzi dit: à

Beau compte-rendu, JJJ.
Mais il n’était pas nécessaire de tirer la couverture à gauche.
Un peu de hauteur, svp.
Macron ne tirait pas la gueule, il se voulait olympien !

Jazzi dit: à

Moi j’ai bien aimé les danseurs de Notre-Dame et les funambulistes du Pont-Neuf, Pablo75.
Sans oublier l’hommage au cinéma.

Jazzi dit: à

« propre à faire enrager tous les réactionnaires des extrêmes de l’erdélie »

Oui, car il faut bien reconnaitre que cette cérémonie marque le triomphe du capitalisme bien tempéré…

B dit: à

Jakub Jozef Orlinski

Quelle voix, il n’en fait pas des tonnes , je l’aime beaucoup, merci Pablo de le remarquer entre tous.

Phil dit: à

Personne pour saluer le tableau le plus réussi du jour, « La bataille du rail » de Clément, révisée par les héros du pays. Comme dit dédé qui veille au grain mourant, la France perd son latin.

B dit: à

un hommage à la fée électrique, toute puissante.

il vous faudrait reconnaître que c’est une bonne solution quand la pluie interdit la pyrotechnie, c’est frustrant d’ailleurs et j’imagine que les gens auraient préféré de loin lever le nez pour des feux d’artifice plutôt que pour cette pluie généreuse.

B dit: à

les héros du pays. WANTED!

recherchés par toutes les polices et services de renseignement pour remise de médaille.

Marie Sasseur dit: à

Un film d’animation, cette cérémonie, avec des minions.
Il y en a qui n’ont aucun humour, ils ont vu dans ce show promotionnel pour les touristes, un concours Eurovision.

Oui, mais c’est Céline qui a gagné.

Phil dit: à

c’est Céline qui a gagné.

Toutafet. Seulement une question de genre, histoire de femmes à barbe.

Clopine dit: à

Je l’ai trouvée trop « m’as tu vu », moi, la cérémonie. Et la sortir des stades était-il une bonne idée ? Bon, c’est vrai que je n’aime pas Paris tant que ça, alors ce défilé clinquant de poncifs parisiens … Non, décidément, j’en reste à Decoufflé. Et hier, c’était pas Decoufflé mais Boursouflé !

Clopine dit: à

Je n’aime ni Zizi Jeanmaire et son truc en plumes, ni Johnny Hallyday pas plus que Claude François ou Balavoine, je me demande encore pourquoi j’ai dû subir Philippe Katherine sous fleurs plastiques, bref, ces « audaces »qui n’en sont pas, ce « choix esthétique de la vulgarité », cet interminable défilé de mode avec ces tenues moches et vulvaires, ces « bonnes intentions » repérables à dix kilomètres, bref, d’un côté c’est réussi puisqu’il s’agit de vendre Paris, mais de l’autre qu’elle pitoyable image !

Marie Sasseur dit: à

Le grand consolateur…

« Partout s’étalait, se répandait, s’ébaudissait le peuple en vacances. C’était une de ces solennités sur lesquelles, pendant un long temps, comptent les saltimbanques, les faiseurs de tours, les montreurs d’animaux et les boutiquiers ambulants, pour compenser les mauvais temps de l’année.

En ces jours-là il me semble que le peuple oublie tout, la douleur et le travail ; il devient pareil aux enfants. Pour les petits c’est un jour de congé, c’est l’horreur de l’école renvoyée à vingt-quatre heures. Pour les grands c’est un armistice conclu avec les puissances malfaisantes de la vie, un répit dans la contention et la lutte universelles.(…)

https://www.poesie-francaise.fr/charles-baudelaire/poeme-le-vieux-saltimbanque.php

J J-J dit: à

@ ce matin, on va passer aux choses sérieuses : le tir à la fée carabine à Châteauroux. Hélas, j’ai du y annuler ma présence, alors que c’est le sport que j’aime le plus au monde, car mon train est en panne. Il parait que le GUD a saboté les lignes entre La Rochelle et Châteauroux, et mes pneus ont été crevés. Quels farceurs, les types de la grande Manoucherie !— Néanmoins, je continue à tirer ma couverture à gauche, en dépit des grincheurs.

nb/ Quelqu’un peut-il m’éclairer sur la sortie inaugurale d’un rafiot des fameux d’égouts de Paris. Un coin d’oeil à Victor hugo, peut-être, rôz ?…
nb/ c’était qui, au juste, cette transgenre à barbe blonde en postiche ?
nb/ comment cette nullité de filip katherine a-t-il pu devenir une telle célébrité mondiale ?
nb/ Jupiter grimaçant sous la pluie ? Un roi soleil qui se meurt progressivement.
(commentaires à suivre)

Cher RM, n’oubliez pas de nous mettre une nouvelle symphonie. On est presque déjà à la moitié. Merci

Bàv, le 27.7.24@9.32

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*