de Pierre Assouline

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La République des livres
Baudelaire, le grand consolateur

Baudelaire, le grand consolateur

Il n’y a pas à en sortir : Baudelaire (1821-1867) est l’ambassadeur historique de la collection de la Pléiade. Et réciproquement serait-on tenté d’ajouter. L’explication d’un tel privilège ? Il a été le tout premier du temps où Jacques Schiffrin, son inventeur, oeuvrait à peu près seul à l’animer à Paris au début des années 20, quelques années avant que des soucis financiers le pousse à sacrifier son indépendance en rejoignant Gallimard par l’intercession de Gide. Ses deux volumes d’œuvres du poète parurent en 1931 et 1932. Quoique imprimés sur du papier Bible, ils étaient considérés comme des livres de poche, bien plus pratiques que les autres livres pour le voyageur désireux de les mettre dans sa poche avant de prendre le train. Depuis, il y eut de multiples rééditions et cinq nouvelles éditions. Celle qui vient de paraitre en deux volumes sous le titre Œuvres complètes (un coffret de 150 euros) rassemble ses « écrits » sous la direction d’André Guyaux et Andrea Schellino avec la collaboration de neuf experts. Cette édition, la cinquième, est appelée à faire date car elle ne sépare pas poésie et critique comme cela avait toujours été l’usage (dans sa préface Antoine Compagnon se demande à juste titre où ranger les « Journaux intimes » dans une telle classification) mais prend le parti de l’édition chronologique. Des textes à la suite dans l’ordre où ils ont été écrits en commençant par ses tous premiers vers latins de 1836/1837 et en terminant par des poèmes en prose retrouvés dans l’atelier du Spleen de Paris, ce qui est une manière de rendre justice au maitre des études baudelairiennes Claude Pichois qui en avait naguère formé le projet. Il n’y a pas que les Fleurs du mal dont la notoriété dans la durée doit tant à la prescription scolaire, même si cette édition les sert admirablement dans leurs différents états. Toute l’oeuvre de Baudelaire n’a toujours pas fini de dire ce qu’elle a à dire (voir ici les sommaires du volume I et celui du volume II).

La séparation traditionnelle entre les Baudelaire était d’autant plus absurde qu’il était poète en toutes choses et toutes circonstances quel que fut le genre. 3500 pages de Baudelaire dont un bon millier de notes, l’appareil critique propre à la Pléiade, les fameuses notes, notices et variantes, qui a parfois l’allure obèse d’un livre dans le livre mais pas cette fois ; plutôt le style d’un dossier susceptible de nous faire entrer dans l’atelier de l’écrivain. La correspondance utilisée n’a jamais été aussi complète et pour cause puisque les derniers enrichissements, fruits des ultimes trouvailles, y figurent. Qui s’en plaindrait ? Benjamin Fondane disait de Baudelaire, si pressé d’échapper à l’insupportable fardeau du Temps, qu’il était malgré lui porteur d’« une immense armée de spectres ». Proscrit et provocateur jusqu’à la mystification, et même s’il fut le premier responsable de ces stéréotypes qui ne l’ont jamais lâché, le poète demeure avant tout notre grand consolateur fût-ce n’importe où hors du monde.

« Il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse, si minime ou si légère qu’elle soit » (in Le peintre de la vie moderne)

Dans Mon cœur mis à nu, revigorant empilement de ses colères, il avouait que la « glorification des images » était son unique et primitive passion. Il est vrai que le tout premier écrit signé Charles Baudelaire qui fut publié sous forme de livre n’était pas un recueil de poèmes : conçu dans l’esprit du Diderot qui inaugura un genre littéraire avec la critique d’exposition, ainsi que de Stendhal qui y excella, cet essai était consacré à la critique d’art des expositions de l’Académie des Beaux-Arts et s’intitulait Le Salon de 1845. Et comme ses maitres en la matière, au-delà du compte-rendu ponctuel, c’est bien d’une réflexion critique sur des problèmes d’esthétique qu’il s’agit.

Figure romantique par excellence du poète maudit, Baudelaire y plaidait pour une critique poétique, subjective, de parti pris, exclusive mais ouverte contre une critique froide, algébrique, sans tempérament. Ses peintres de chevet s’appelaient Delacroix, Ingres, Corot, Rousseau, Courbet ou Chassériau, qu’il les ait encensés ou qu’il ait pris plaisir à les blâmer. Sans oublier Manet bien entendu, avec qui il partageait la passion de l’Espagne et de ses artistes, celui qui incarne la génération montante et la modernité, ainsi que des caricaturistes au premier rang desquels Daumier en ses « vivantes monstruosités » qu’il élève au rang de grand artiste, ce qui était beaucoup plus risqué (et prophétique) que de louer Goya déjà fort acclamé à Paris. De quoi mieux appréhender son éducation artistique et les ressorts de sa sensibilité esthétique.

Ses écrits artistiques sont jalonnés d’expressions telles que « beauté moderne », « conception double exprimant l’éternel dans le transitoire », « beauté interlope », « mérite de l’inattendu »… Il y explorait la notion d’étrangeté, et se demandait pourquoi un tableau fait est préférable à un tableau fini, en quoi une œuvre respire l’amour, le romantisme de la couleur et la nature idéale de la ligne, la part de naïveté exigée d’un artiste etc Sans oublier, on s’en doute, « modernité », auberge espagnole si généreuse dans son accueil de toutes les interprétations, déviations, instrumentalisations, mais dégagée des stigmates de la nouveauté. Baudelaire avait bien défini la mission du peintre de la vie moderne :

« Dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, tirer l’éternel du transitoire »

Il célébrait en l’imagination la reine des facultés contre le réalisme tenu pour une blague puisque le goût du Vrai ne peut qu’opprimer le goût du Beau, une imagination avec ou sans l’aide des drogues et autres paradis artificiels, son « accélérateur de pouls ». Au fond, Delacroix, représentant majeur du romantisme loué comme un « peintre universel »,demeurait celui qui dominait son panthéon artistique, le peintre le plus proche de son intime inspiration, son frère en mélancolie puisque le poète à l’âme en prostration ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie, le grand traducteur de l’invisible et de l’impalpable. Se plaignant d’être considéré comme un excentrique, un dandy, un mystificateur, un farouche, il en est pourtant le premier responsable puisqu’il fut l’artisan de sa propre légende. Son musée de l’amour se situait entre ses deux extrêmes que sont la Vénus blanche (Madame Sabatier) et la Vénus noire (Jeanne Duval). La génération des poètes de 1860 (Verlaine ans co) avait beau se réclamer de lui, il ne les en a pas moins sévèrement jugés. Bien sûr, il est aisé avec le recul d’ironiser sur ses erreurs de jugement, ses louanges à l’art d’un Octave Penguilly L’Haridon, son optimisme quant à la postérité de l’oeuvre d’un Octave Tassaert, ou dans celle d’un Chassériau, d’un Chazal, d’un Catlin, alors même qu’il prenait ses distances avec Courbet ou écrivait à Manet attaqué pour son Olympia qu’il mettait trop d’orgueil à s’en plaindre d’autant qu’il n’était jamais que « le premier dans la décrépitude de votre art ».

La conversation entre les poèmes et les œuvres d’art fut chez lui incessante. D’où cette influence remarquée dans l’association des couleurs (le rose et le noir) ou la conception de l’harmonie etc. Une imprégnation qui n’est jamais traduction ou transposition et dont on dirait qu’elle a pour unique objet de répondre à la question : qu’est-ce que la beauté moderne ? On l’y retrouve de manière frappante dans ses portraits les plus variés : séries photographiques de Nadar ou Carjat qui nous le montrent tel qu’en lui-même, amer, ironique ; jeune au nez de priseur et aux lèvres impudentes, si Samuel de la Fanfarlo, dans une huile d’Emile Deroy (1844) ; pensif en lecteur absorbé dans un livre dans une huile de Courbet ; jusqu’à son autoportrait dessiné qui n’est pas le moins émouvant. Hostile à la photographie, aux journaux grands format et à la « rancuneuse énergie » de la critique, effrayé par le progrès, la modernité technique, industrielle et architecturale, il n’en est pas moins fasciné par le nouveau décor urbain, fascination-répulsion pour la ville « grande barbarie éclairée au gaz ».

Tous les Baudelaire se retrouvent dans le « tout Baudelaire » de la Pléiade, celui qui entreprit de faire de l’or avec de la boue, le traducteur d’Edgar Poe, le dandy sur les barricades, son engagement républicain dans le lyrisme révolutionnaire de 1848 et sa déception, sa critique de la politique de l’Académie française (à laquelle il ne fut pas moins candidat) et son papier à la fois critique et élogieux des Misérables, le réprouvé des Fleurs du mal, le polygraphe de la modernité à travers ses critiques (ses comptes rendus des Salons de peinture demeurent une référence pour les historiens de l’art- on dénombre plus de deux-cents articles et chroniques entre 1841 et 1866). De quoi enrichir notre image d’un auteur unique et protéiforme, comme ils l’étaient presque tous alors.

Quels que fussent le support et la forme, il cherchait partout la poésie, ne vivait que pour la poésie et avait fait de l’art son idéal, à l’écart de la société, en marge des autres, tel que Courbet l’a représenté dans son grand tableau « L’Atelier du peintre » dans une allégorie de sa vie artistique. Baudelaire s’y tient si loin de tous qu’il manque de sortir de la toile, loin des élus qui « vivent de la vie », absorbé dans la lecture d’un livre, trouble-fête égaré dans le magasin d’images et de signes, ne se soumettant à d’autre gouvernement que celui de l’imagination et se royaumant dans le plaisir aristocratique de déplaire (à condition d’oublier le corps de phrase qui précède la fameuse expression : « Ce qu’il y a d’enivrant dans le mauvais goût, c’est le… »). Qui dira jamais mieux que lui la jouissance qu’il y a à élire domicile dans le nombre ?

Son injonction « n’importe où hors du monde » a assigné à la poésie la mission de plonger au fond de l’Inconnu (plutôt que l’Infini, ce fameux ailleurs, mais ça se discute encore) pour en extraire du nouveau. Sa solitude ne peut se comprendre sans une référence au mal romantique de l’Homme Supérieur. Son dandysme prend racine dans le culte de la différence, « stoïcisme aristocratique qui se pare pour se séparer ». Il s’enivre d’humiliation et non d’humilité. Son orgueil, sa solitude présente, le soutient dans sa haine sauvage contre les hommes. Un orgueil assis sur le pressentiment d’une haute survie littéraire. Que lui importe de n’être pas aimé puisqu’il sera de ceux dont on se souvient, du moins est-il convaincu. Il « sait » qu’un jour les effets de sa contre-littérature, cette poésie d’intimité qu’il interpose entre lui et le public, s’estomperont pour laisser s’épanouir chez les lecteurs son génie profond. Sans conviction car sans ambition, le dilettante appliqué, qui porte haut le dogme de l’Art pour l’Art, ne méprise rien tant que la littérature socialisante. La démocratie peut-être, où des malheureux tombent « comme un papillon dans la gélatine » après s’être pris au piège de la souveraineté populaire, cette « tyrannie des bêtes ». Tout entier gouverné par le refus et l’absence de compromis, on ne le louera jamais assez pour avoir introduit la conscience de la modernité mais avec une langue classique. Et puis quoi, comme il disait :

« Débrouillez-vous avec ça ! »

(Photos de Nadar et Carjat; Manuscrit autographe signé des poèmes «Les Deux crépuscules / Le Soir / Le Matin», [fin 1853-début 1854]; caricature de Giraud )

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commentaires

1 424 Réponses pour Baudelaire, le grand consolateur

J J-J dit: à

REPERAGE DES ERDELIENS GRINCHEUX, DES SNOBS KULTIVARS, DES RALEURS ET DES AUTRES RAVIS DE LA CRECHE…
(Pour l’instant, aucune surprise à l’horizon planétaire de la famille assoulinesque qui se distingue vraiment des 2 miards de téléspectatheures).
———–
@ Je n’aime ni Zizi Jeanmaire et son truc en plumes, ni Johnny Hallyday pas plus que Claude François ou Balavoine, (CT)
—–
-> Vous avez dû pas mal souffrir alors… Pourquoi vous être infligée pareil spectak’ ?
Qui auriez-vous mis à leur place si vous eussiez été à celle de Jolly, sur la Seine à Rouen… ? Bàv,

Bloom dit: à

La fière mongole de Pilatre de Rozier s’était posée sur la Butte au Cailles, à l’endroit où sr trouvait un restaurant épatant lorsque j’y vivais, Chez Françoise, devant le square Bobillot et la piscine de la Butte aux Cailles, qui servit aux jeux de 1924.
Quelle belle voix que celle de Céline Dion.
Même JF Lamour,pas le plus tendre des hommes (il était à Sydney pour la coupe d’Europe monde de rugby) avait des trémolos dans la voix.

Jazzi dit: à

Oui, c’était une belle cérémonie !

Bolibongo dit: à

Pour faire bref, je plussoie au commentaire de Pablo 75 sur la fée fait fête.
Mais un peu longuets certains passages musicaux d’ambiance.

Kilékon dit: à

J J-J dit: à

Moi, j’ai trouvé tout très bien…, à part Macron qui tirait la gueule…

C’est sûr, il manquait à sa place, la mine réjouie de ton pote H. sur sa motossessuelle achetée avec les deniers publics! 🙂

Kilékon dit: à

« n’oubliez pas de nous mettre une nouvelle symphonie »

Allez, JJJ, un coup de H. et ça repart! 😉

Bolibongo dit: à

D’ habitude, j’ aime bien la provoque douce-amère de PH. Katherine, mais hier soir, c’était plutôt gris-souris.

J J-J dit: à

@ ton pote H. sur sa motossessuelle (sic)

dekoi, kill est con ? mon pot.e-au-noir hollandiste, vous voulez dire ?… ayant à gérer les problèmes gynécologiques de sa femme en Corrèze. Tu m’étonnes qu’il avait pas la tête à la fête, ce soir là !

@ Dufy Raoul causait plutôt de la « fée électricité », au palais de Tokyo, si je ne me trompe…

@ la pauvreté de la chanson française ?… (sic) Obligée d’aller chercher ce ringard de john lénone. Pitié pour la playstation britannique, les do-minions !

@ pmp, j’ai adoré la délégation du Lesotho en son magnifique bateau. J’espère qu’elle gagnera beaucoup de médailles !

(à suivre)

Phil dit: à

Jeanmaire est vulgaire, même Clopine bolchevigueuse de Rouen ne s’y trompe pas. Exit Jeanne d’Arc, une vraie Curie. Tableau de la Terreur pour public netflix, la tête perdue dans la Cène de travelos. Reste Céline, indeed, à la proue de la Tour Eiffel comme Titanic avant de verser dans les glaçons.

Chaloux dit: à

Je ne sais pas ce qu’il faut avoir dans les oreilles pour apprécier cette gueularde de Céline Dion. Son succès n’est que la preuve de l’échec de toute éducation musicale.

De Jeanne d’Arc, évidemment, il ne fut pas question.

Macron a été copieusement sifflé. On se demande comment va finir tout cela.

(J’ai trouvé la liste de Charoulet très amusante. Evidemment, ceux qui bouffent à tous les râteliers se proposent).

JC..... dit: à

LOGIQUE FORMELLE

Alors que le bon sens implique tout naturellement le défilé des Nations sportives dans un Stade sportif en ouverture, ces farceurs et farceuses adeptes de la Mère Hidalgo ont cru résoudre les effets de leur gestion calamiteuse en augmentant inconsidérément leur dépenses inutiles.

Raté ! la nation paiera le Woke Circus offert au monde, spectacle d’une bêtise qui deviendra légendaire.

(Scoop : dans sa cabane en planches, le malheureux de Coubertin tourne sur lui même comme une toupie triste.)

Chaloux dit: à

D’après un cliché trouvé sur X, pendant la scène de la Cène, un des travelos, sur la gauche, avait la queue à l’air en (modeste) érection. On se doute bien, depuis le temps qu’on le connait, que Macron adore les œufs olympiques.

J J-J dit: à

@ RBL, J’ai longtemps sévi/servi dans un cabinet d’avocat de la rue Bobillot (de 1982 à 1993)… et je n’étais pas un mongol fier, à cette époque de haut militantisme. Aujourd’hui, il y a une Galaxie qui débouche sur la place de la Bastille, je crois.
Ce matin, j’ai ma verve, mais je dois quitter la rdélie, et comme Cricri P, n’aimerais-j pas prendre toute la place, hein ! (à pluss)-

D. dit: à

J’ai trouvé Céline Dion, pourtant atteinte d’une maladie auto-immune sévère qui la rend raide, bien meilleure que Lady Gaga. Cette dernière étant naturellement et perpétuellement vulgaire.

D. dit: à

La France a donné un bien malheureux message au monde en tout cas. Toute cette lumière etait éminemment luciférienne.

Bolibongo dit: à

En fait la présence de PH. Katerine se justifie à cette mise en bouche des J.O. à Paris.
C’est un grand sportif et un grand patriote du dérisoire comme la fête d’ hier soir.
La preuve.
J’ adooore! 🙂

amplementhttps://www.youtube.com/watch?v=_ZCYRpEgows

D. dit: à

Sifflé sur les postes de télé du monde entier, Macron… quelle honte. Quelle postérité… ses ancêtres portant le même nom, dont beaucoup ont pu se comporter de façon exemplaire, doivent se retourner dans leur tombe de savoir leur rejeton et leur nom sifflé devant LE MONDE ENTIER.

Phil dit: à

Macron, potier du V. avant JC, dédé. Premier portrait d’un satyre en slip à petits pois. Mets tant psychose, dear dédé.

D. dit: à

Que chacun se souvienne bien qu’une société décadente, reniant Dieu ou s’adonnant aux faux dieux et démons, finit toujours balayée par un fléau apocalyptique.

Chaloux dit: à

A propos de la Conciergerie, La Gigi a tout compris, toute seule, évidemment, pas les autres.

L’historien Loris Chavanette a aussi tout compris, mais évidemment pas la même chose. Comme c’est bizarre.

« Loris Chavanette
@LChavanette
·
1h
#Bouc.heron a-t-il voulu célébrer la Terreur ?

@EmmanuelMacron
avait annoncé une évocation de la Bastille pdt la cérémonie

Soit il a été mal informé (?!), soit il a confondu notre fête du 14 juillet avec 93 incarné par la #Conciergerie et l’exécution de #MarieAntoinette ».

Macron fait comme Mélenchon, il drague les banlieues mafieuses.

Chaloux dit: à

Macron fait comme Mélenchon, il drague les banlieues mafieuses.

Ceci est de mon cru par de Chavanette.

Chaloux dit: à

pas de…

Chaloux dit: à

« On peut bien rire de moi,
Je ferais n’importe quoi,
Si tu me le demandais ».

Céline parle au fric.

lmd dit: à

Moi aussi j’ai regardé. Plutôt dans le genre panem et circenses que dans le genre chorégie et il n’y a pas lieu de s’indigner de bouffonneries marrantes. Ceux qui s’imaginent que la «cérémonie» des jeux olympiques devrait être noble, nationale et glorifier gnagnagna ont raison de rouspéter, tant pis pour leur bêtise. J’espère que les apprentis rappeurs de la Belle de Mai se sont dit impeccable, je prends.
Y a que le coup des pianos mouillés qui m’a fait tiquer; mais après tout les fabricants de pianos ont autant le droit de vivre que n’importe qui. (Les fabricants de valise de luxe eux ne perdent pas le nord).

Chaloux dit: à

Oui, n’importe où hors du monde.

renato dit: à

Haydn symphonie 44

La 44 est caractéristique du moment expérimental de Haydn (nous sommes encore dans la période Sturm und Drang,). Le titre, Trauersinphonie, n’est pas de Haydn, et les opinions divergent quant à la pertinence de ce titre, qui est parfois attribué à son prétendu désir de jouer l’Adagio à ses funérailles.

L’œuvre présente des caractéristiques particulières  : construction thématique antithétique ; structure de phrase contrapuntique (avec imitations et resserrement) ; phrase chromatique expressive ; dynamique et rythmes différenciés.
La tonalité en mi mineur est ici une particularité curieuse, tout comme la séquence des mouvements, « rapide — menuet — lent — rapide », qui s’écarte de la coutumière : « rapide — lent — menuet — rapide ». En revanche, les rapports de ton entre les différents mouvements sont habituellement étroits. Comme c’est souvent le cas chez Haydn, le premier mouvement et le quatrième sont en forme de sonate monothématique* ; le menuet est un canon strict exemple de bravoure contrapuntique ; tandis que le mouvement lent, clair et serein, est un mouvement de sonate. Le solo de cor dans le trio du deuxième mouvement ainsi que l’utilisation de violons avec sourdine dans le troisième sont exceptionnels.

*À propos de l’utilisation du terme « forme de sonate » dans cet environnement, il faut tenir compte le fait que ce schéma au sens de modèle standard n’a été utilisé que dans la première moitié du XIXe siècle et ne peut être attribué à la 44 qu’avec des limitations, car il a été conçu comme forme de description des symphonies de Beethoven.

https://youtu.be/h3mYvbGiyL0?si=7vZcOe4QVESLGZfi

Chaloux dit: à

Sur les réalités de la Révolution, et notamment sur les prisons de Paris, les massacres de septembre, un texte admirable par un écrivain né, comme on l’était parfois au XVIIIe siècle, « Mémoires de l’internonce à Paris pendant la Révolution : 1790-1801 ». Autrement dit l’abbé de Salamon. Collection Le Temps retrouvé, 10,20 euros.

Ce matin sur France Inter, du Bouchon content de lui. Cela semble même sa caractéristique principale.

Damien dit: à

Que venait faire cette Cène de drag queen en pleine cérémonie des JO ? Tout ça pour taper encore sur ces pauvres chrétiens, qui n’en peuvent mais. C’est un blasphème, ça aussi. Et un blasphème gratuit, qui ne sert à rien, imposé à des millions d’honnêtes spectateurs qui n’en demandaient pas tant ! En riant gras, chacun se retrouve complice de cette mauvaise action. C’est à l’image d’une spectacle (j’en ai regardé des bribes sur YouTube, qui veut me bloquer parce que j’ai installé un bloqueur de publicité) — où en étais-je ? un spectacle déplorable, avec une Céline Dion fatiguée, une Lady Gaga vraiment nulle, et aussi une Marie-Antoinette outragée, là aussi gratuitement. En France, on a la chance d’avoir eu une Marie-Antoinette, même si on n’est pas royaliste. Pourquoi lui cracher dessus encore ? Tout ça pour complaire à la vindicte de la foule qui, devant son écran de tévé, se pâme de ces images dont on lui dit qu’elles ont coûté des milliards. Où est le sport, là dedans ? l’esprit olympique ? C’était un enterrement de première classe. La France votait aux extrêmes, la démagogie triomphait, le populisme olympique. Moi, j’aurais plutôt distribué cet argent aux pauvres. Et puis, comme disait de Gaulle : « Paris outragé ! » Bon week-end quand même.

Damien dit: à

Les Français sont des passionnés d’histoire. Ils lisent les ouvrages de Petitfils sur les rois de France ou celui de Zweig sur Marie-Antoinette. Ils respectent leur passé. Comment se fait-il qu’on ait impunément souillé cette mémoire et même ce « devoir de mémoire » avec un spectacle sans aucun intérêt et même particulièrement ridicule débile ? Après, on ne va pas s’étonner qu’on supprime l’enseignement de l’histoire au lycée ! Le décervelage éclate sur l’écran de la tévé. Les Français vont pas être contents, encore…

Pablo75 dit: à

Le message de la cérémonie était: Paris est toujours à l’avant-garde esthétique du monde. Et ce message est bien passé. Accessoirement il y avait aussi le message pour les touristes: Paris est toujours la ville la plus belle du monde. Et là aussi, c’est difficile de contredire les images.

(Le couac le plus important de la soirée a été pour moi le choix des oeuvres jouées par Kantorov au piano: vu le climat, il aurait dû se limiter à quelques préludes et fugues du « Clavier bien trempé » – cela m’étonne que personne ait fait celle-là).

Clopine dit: à

J J-J, Brassens plutôt que JeanMaire… Les clichés parisiens de ce spectacle étaient tous, à mon sens, affligeants. On avait l’impression que les créateurs se sont posés la question : « Paris, c’est quoi, pour un touriste » ? Et zou, on y va dans un gigantisme narcissique qui flatte la médiocrité. Le coup des têtes échappées du Louvre et apparaissant à demi dans l’eau est peut-être une exception, sauf que ça n’a pas été remis dans le contexte et donc l’intention n’est très certainement pas perçue par le public. C’est dur parce que le boulot est immense, y’a du taf là derrière (d’ailleurs, ça sent la sueur, ce que la grâce de Découfflé à Alberville a évité), le sac de bonnes intentions était plein à ras bord, mais malgré le travail, l’argent dépensé, la bonne volonté des participants, les prouesses techniques, c’est cependant indigent. Comme est généralement indigente toute pensée d’une classe dominante sur ce qu’elle croit que les dominés désirent. (allons-y sur Dion et Claude François, Lady Gaga, finalement celle qui s’en sortait finalement « au moins prie » c’était Aya… ). On veut épater, et ce n’est que du tape-à-l’oeil, avec une volonté évidente de « choquer le bourgeois » histoire de se prouver à soi-même son indépendance d’esprit. Et on se retrouve à mimer une boîte de nuit branchée parisienne, dans ce qu’elle peut avoir de vacuité morale et de complaisance. Ah là là, évidemment, on va crier au chef d’oeuvre, alors que c’est un ratage presque parfait !!! Mais d’un autre côté, c’est tout le truc, ces jeux olympiques démentiels, à la sauce capitalistes, qu’il faudrait remettre très sérieusement en cause… Car derrière tout ce clinquant, cette « fête », on entend surtout le cliquetis des tiroirs-caisse et l’indicible est là : indicible, oui, car tous ces gens, affublés comme des candidats de télé-réalité, ne veulent pas entendre qu’il est indécent de paraître joyeux, quand il n’y a vraiment pas de quoi l’être…

Jazzi dit: à

On annonce la mort de Charles Juliet, à 89 ans.

Clopine dit: à

… Finalement, je me rends compte que j’ai surtout révisé ma géographie, hier. Je m’ennuyais tellement que j’essayais de deviner quel pays allait arriver après le Lesotho, par exemple, et comme il y avait des pays si « neufs » que je n’avais même jamais entendu leur nom, j’aurais bien aimé en savoir un peu plus.

Pablo75 dit: à

Les clichés parisiens de ce spectacle étaient tous, à mon sens, affligeants. On avait l’impression que les créateurs se sont posés la question : « Paris, c’est quoi, pour un touriste » ? Et zou, on y va dans un gigantisme narcissique qui flatte la médiocrité.
Clopine dit:

Tu devrais te plaindre moins: le responsable de la cérémonie est de ta région !!

L’homme qui a conçu le plus grand spectacle au monde a grandi dans un petit village de Seine-Maritime. La Seine déjà. Mais la grande ville pour Thomas Jolly, c’était Rouen, à 17 km de La Rue-Saint-Pierre, 780 habitants.

https://www.leparisien.fr/jo-paris-2024/dune-enfance-rurale-au-genial-spectacle-sur-la-seine-thomas-jolly-itineraire-dun-grand-maitre-de-ceremonie-27-07-2024-IDVHQFMSIZCPJNWAZJMN7R7C4I.php

Jazzi dit: à

Sans être un touriste, j’ai trouvé que la ville était magnifiée et magnifique…

Chaloux dit: à

Evidemment, ce n’est pas Baudelaire. Comme n’était pas Flaubert, une des dernières trouvailles.

Cette cérémonie était destinée à des gens bankable susceptibles d’apporter et de dépenser leur fric, donc pour la plupart totalement éloignés de toute idée de culture.

Chaloux dit: à

BIS
Evidemment, ce n’est pas Baudelaire. Comme n’était pas Flaubert, une des dernières trouvailles.

Cette cérémonie était destinée à des gens bankable susceptibles d’apporter et de dépenser leur fric, donc pour la plupart totalement éloignés de toute idée de culture.

rose dit: à

Cette cérémonie était destinée à des gens bankable susceptibles d’apporter et de dépenser leur fric, donc pour la plupart totalement éloignés de toute idée de culture.

C’est dit.
Si t’as pas une Rolex avant 50 ans, tu n’es rien.

rose dit: à

Un grand maître de cérémonie.
Un grand chambellan ?
Me suis questionnée qq.minutes sur où ont-ils été chercher ce type ?

MC dit: à

Et personne, Phil, pour commenter l; alerte à la bombe aux Halles vers 18h 18h 30 un peu avant ladite cérémonie? JJJ il faut croire que le Gud s’est musclé vu la manière dont vous en parlez. MC

Claudio Bahia dit: à

J’espère que cette Monstrueuse Parade vous aura plu, car vous avez payé des billions de dolars pour « ça ». Il y avait tout, même la femme à barbe et une bonne grosse obèse en Jesus-Christ. Personnellement j’ai trouvé ce remake de Tod Browning encore mieux que l’original, car en plus il y avait une odeur puissante de wokisme pour napper le tout. Mes compatriotes et moi avons vraiment apprécié ce beau package Culture française et sport français ( selon le discours du chef du CÔTÉ). L’autre discoureur a rajouté une bonne couche de minorités et d’égalités. Bref c’était parfait, et d’ailleurs moi je ne suis allé vomir dans les toilettes que deux fois. Bon circense, quant au panem, il faudra songer à maigrir un peu

FL dit: à

« Il y avait une odeur puissante de wokisme pour napper le tout. »

Les Lois de l’imitation.

puck dit: à

que ce soit pour les JO, l’Ukraine ou pour le « lancement » (comme on lance une fusée) de Kamala Harris dans la présidentielle on voit le rouleau compresseur médiatique se mettre en route.

Houellebecq en parle assez bien dans ses bouquins.

Baudelaire aussi. Dans le dernier message à un ami il écrit « les journaux à grand format me rendent la vie insupportable ! »

et aussi :

« Il est impossible de parcourir une gazette quelconque de n’importe quel jour ou quel mois ou quelle année sans y trouver à chaque ligne les signes de la perversité humaine la plus épouvantable, en même temps que les vanteries les plus surprenantes de probité, de bonté, de charité, et les affirmations les plus effrontées relativement au progrès et à la civilisation. Tout journal, de la première ligne à la dernière, n’est qu’un tissu d’horreurs. Guerres, crimes, vols, impudicités, tortures, crimes des princes, crimes des nations, crimes des particuliers, une ivresse d’atrocité universelle. Et c’est de ce dégoûtant apéritif que l’homme civilisé accompagne son repas de chaque matin. Tout, en ce monde, sue le crime : le journal, la muraille et le visage de l’homme. Je ne comprends pas qu’une main pure puisse toucher un journal sans une convulsion de dégoût(…) »

FL dit: à

« en même temps que les vanteries les plus surprenantes de probité, de bonté, de charité »

Libération, le journal qui vous explique qu’ils sont bons à chaque numéro.

Clopine dit: à

Le plus triste, c’est que ce spectacle va bien entendu servir les prochaines éditions des Jeux… On va nous vendre, façon tourisme de masse, Los Angeles ou Brisbane, avec les pires clichés… Y rajouter trois stars, des moments « culturels décalés » (ah, la grotesque parodie de Jules et Jim à la bibliothèque, avec en plus un contresens, car dans le bouquin et le film il ne s’agit pas d’un « trouple », bref), des effets spéciaux gigantesques tels qu’on les voit désormais partout et tout le temps, les costumes seront les mêmes (Decoufflé innovait complètement, et là c’est juste une resucée de resucée, le talent en moins), y’aura la même boîte de nuit sensée représenter la « fête », tu parles, , les mêmes références lourdingues accumulées d’un bout à l’autre (les titres des « chapitres » écrits en caractères pseudo-grec navrants, le char grotesque de la ville de Paris, et je te colle Paris capitale de la mode et du luxe, etc.), la même vulgarité des morceaux de variétoche, les mêmes idées « géniales » (« on va casser les codes » devient : « on accumule les clichés » ; on a évidemment pensé à Joséphine Baker et sa ceinture de bananes, mais comme on se veut « inattendu », on va coller à la place lady Gaga et Zizi Jeanmaire et s’admirer se faisant)… Et on va flatter le public en lui magnifiant les poncifs du tourisme de masse… Et donc faire du pognon… Et donc inciter les gens à prendre l’avion pour « profiter » des lichés, et aller danser façon Las Vegas…

Pendant ce temps-là, la planète brûle. Mais la seule chose que les commentateurs avaient à dire, c’était « chez vous, faites la fête aussi, levez-vous et dansez ».

Ah là là.

Phil dit: à

passionnés d’histoire

Les Français, comme le jeune metteur en scène, ont découvert Marie-Antoinette dans le film vuitonneux de Sofia Coppola, inspiré de Lever. Zweig aux oubliettes.

Clopine dit: à

Et mon commentaire est visiblement mis en attente… Bonjour, modérateur inconnu qui a donc peur de mes propos… J’espère qu’au moins tu es payé pour peser mes mots ?

Clopine dit: à

Toujours à l’adresse du modérateur qui retient mon commentaire : je t’explique, j’essayais juste de lister tout ce qui était insupportable hier au soir, à mes yeux, hein, à mes yeux.

puck dit: à

aux US sur 200 médias 193 sont démocrates (comme à Libé des gens bons et biens pour la plupart)

le cas « Kamala Harris » est assez stupéfiant : en une semaine ces médias ont réussi à transformer une VP mise à l’écart une ex canditate qui a fait 0 voix à la précédente primaire démocrate, ces médias l’ont transformée en « sauveuse de l’Amérique ».

Clint Eastwood a fait des films où il montre bien le matraquage versatile des médias.
cf le film sur le type qui a évité un attentat qui passe en qq jours du statut de héros à celui de suspect juste parce qu’il n’a pas le profil du héros (il est gros et il vit chez sa mère).
et un autre film sur ce pilote qui avait sauvé ses passagers en atterrissant sur un fleuve, lui aussi est passé du héros au salaud en quelques jours.

sauf qu’avec Kamala Harris sur CNN ou MSNBC on attenit des sommets que même Clint Eastwood n’a jamais dû imaginer.

puck dit: à

ler plus drôla avec K. Harris c’est que les candidats sont choisis par leur parti avec un vote.

sauf que dans son cas personne n’a voté (ce qui est assez marrant pour un parti qui se dénomme « démocrate »).

en fait Kamala Harris est candidate parce qu’elle a été choisie par George Clooney.

on traite de conspirationnistes ceux qui parle d’état profond.

dans ce cas on voit bien que ce n’est pas le président qui décide de la politique des USA : c’est George Clooney.

les gens imaginaient que l’état profond qui tire les ficelles c’était les think tank, les lobbies, le Pentagone, le complexe militaro industriel ou pharmaceutique, BlackRock, Soros, Wall Street etc…

en fait c’est tout du flan : l’état profond c’est juste George Clooney…

Chantal dit: à

j’ai aussi regardé car j’ai quelque souvenirs de Paris en août des flâneries le long des quais de Seine et l’envie d’une glace Berthillon.
mais j’ai eu l’impression d’être dans une émission de culture box de Daphné Burki, sorte d’aristocrate parisienne branchouille qui a habillé tous les figurants avec des ratés certains, comme si elle essayait de racheter ses ancêtres militaires en jouant la cassure, elle pleurait comme une madeleine à la toute fin du spectacle. C’est ce qui s’appelle liquider son karma.
Je ne suis pas trop fanatique du déluge de lasers et de la Tour Eiffel en boule à facettes. 5 les pauvres oiseaux doivent être durablement traumatisés par tout ce tintamarre) .Mais bon, tout était fait pour procurer un effet boeuf auprès des futurs touristes planétaires auxquels on fait croire que Paris est une fête mais des cars entiers de migrants ont été utilisés depuis des mois pour vider les campements de fortunes des sans papiers dispersés sur tout le territoire français afin de ne pas gâcher la carte postale. Paris était hier soir une sorte de pute racoleuse qui envoyait des je t’aime au monde des VIP. Pleins de bons sentiments, mais il faut débourser pour en faire partie. Bruxelles est en état d’alerte aussi, comme d’habitude on sert de base arrière les hôtels sont pleins de touristes olympiques en transit.

https://www.nouvelobs.com/mode/20240727.OBS91706/ceremonie-d-ouverture-une-fashion-week-olympique-sous-la-pluie.html

C’était bien plus chouette le parcours de la flamme sur la route du sel à hyènes et le campement romain à Olbia qui retraçait de manière instructive pour les jeunes l’histoire des jeux.

et alii dit: à

bon,vous avez retrouvé votre Clopine, et ‘elle, ce n’est pas pour de la domination qu' »‘elle vient ici cherchér à se concilier des filles, ni pour une avoinée ;donc bonnes stories et bonnes consolations

et alii dit: à

bonnes consolations à tous et toutes, y compris votre chère Clopine; je ne suis plus de blog cette saison

renato dit: à

Signé l’acte de donation à l’État de la maison où entre 1951 et 1954, Pasolini vit avec sa mère, et où il commence à écrire son premier roman Ragazzi di vita.
Une fois les nécessaires travaux effectuées, l’espace sera ouvert au public afin de promouvoir la connaissance de Pasolini et de ses œuvres, notamment par le biais de résidences d’artistes et de la promotion de la créativité des jeunes talents.

Marie Sasseur dit: à

Seule note positive, au milieu de cette débauche de drague, de drags,
« Sous les ponts de Paris, lorsque descend la nuit »,
un bateau de migrants olympiens silencieusement fendait l’eau, sous la passerelle Debilly.

Phil dit: à

Louboutin

Indeed. Perdre la tête pour une paire de godasses, Marie-Antoinette influensuceuse olympique.

Clopine dit: à

Merci, ô modérateur, tu vois, ce n’était pas si difficile que ça de poster mon commentaire. (entre nous, je ne suis pas fichée « S ») !!!

Et puis, pour une fois je ne suis pas d’accord avec l’analyse de médiapart. (en gros : bravo pour une cérémonie placée sous le signe de la défense des minorités et résolument anti-extrême-droite, voilà ce que dit médiapart). D’abord parce que les minorités en question n’ont pas à être récupérées dans un show capitaliste à fond la caisse, ensuite parce que ce prétendu « cassage de codes » n’est en réalité qu’une grosse lèche au tourisme de masse, enfin parce que tout ça fait en réalité le jeu du RN (notamment en creusant le fossé entre « l’élite parisienne » et le reste du pays). Politiquement, c’est nul et dangereux, artistiquement, c’est médiocre et « tirant vers le bas », et c’est indigent pour toute conscience morale.

J J-J dit: à

@ Macron fait comme Mélenchon, il drague les banlieues mafieuses. Ceci est de mon cru par de Chavanette. (sic)

Heureusement, le gaulliste Jean-Pierre Chevènement veille aux sauvageons !… Aucun lien à signaler avec la mafia et la caillera des abares et tarbas de nos banlieues populaires. Bàl,

@ CT, vous commencez à me courir 1 brin ce matin avec votre Découfflé que c’était mieux de mon temps (yves)… Or, à son époque, le fric coulait-il pas à flots ? Meuh ??? Montrez-vous au moins cohérente avec votre idéologie anticapitaliste et à lpoa charité aux pauvres de l’Abbé C. Pierre… Il me semble que la seule chose à militer pour vous cohérer serait celle de l’abolition définitive de ces JO, depuis le temps que je vous le dis, les 33e en 100 ans ça commence à suffit, doux Jésus, et que Coubertin et Decoufflé ne furent jamais des féministes philosémites aguerri… Il semblerait même qu’ils aient chacun violenté par mal de gueuses, d’après les rumeurs bien informées remontant à la surface de la Seine. Alors quoi, mettez-vous aux parfums, soyez plus cohérente avec vous même, et anéfé, reprenez la mise à jour de votre géographie, au lieu de jacter sur la Cène des Traviolta, un épiphénomène amusant…
Bouh, vous en verrez d’autres, hein, et des autodafé de 33, dans pas longtemps, marion ! croyez-moij, le monde s’en remettra.
Bàv,

rose dit: à

un bateau de migrants olympiens silencieusement fendait l’eau, sous la passerelle Debilly.

Pas vu.
Pas vu cui qui sortait des égouts non plus.
Ne peut être qu’une référence aux Misérables (où ils étaient à pieds, nuitamment.).

renato dit: à

Signé (le 24.7.24) l’acte de donation à l’État de la maison où entre 1951 et 1954, Pasolini vit avec sa mère, et où il commence à écrire son premier roman Ragazzi di vita.
Une fois les nécessaires travaux effectuées, l’espace sera ouvert au public afin de promouvoir la connaissance de Pasolini et de ses œuvres, notamment par le biais de résidences d’artistes et de la promotion de la créativité des jeunes talents.

rose dit: à

Moi, j’aimerai bien liquider aussi mon karma, mais il est tenace.

rose dit: à

Sur le dessin de Coco, qui c’est qu’il piétine, Macron ?

J J-J dit: à

@ Paris était hier soir une sorte de pute racoleuse qui envoyait des je t’aime au monde des VIP. Pleins de bons sentiments, mais il faut débourser pour en faire partie.

eh Chantal ? vous avez déjà vu des putes racoler sans se faire payer en Belgique, vous ?

@ Merci jzm, oiseuau de malheur… Je crois qu’hélas notre ami Charles Juliet n’a pas survécu à la vision de Céline Dion dans sa cage de fer… J’ai de la peine, maintenant.

puck dit: à

pour punir les allemands pour 14-18 les français ne les ont pas invités aux JO de Paris de 1924 (na!!!).
par contre les alliés de l’Allemagne en étaient.

les allemands ont été autorisés à y revenir en 1928, ce qui leur a permis de les organiser en 1936.

Rosanette dit: à

@clopine
le modérateur a vite compris son erreur et a livre votre commentaire
cette fête dite magique m’a fait le même effet qu’a vous :désordonnée autour d’un narratif inintelligible (du moins pour moi) et un parti pris woke débouchant sur une accumulation des clichés et des mots de la « pensée libérée »

puck dit: à

à noter que les ukrainiens ont participé aux JO de 2016 et 2020 alors qu’ils bombardaient les jardins d’enfants et les écoles dans le Donbass…

Bloom dit: à

Sony nuls ces étrangers leur presse trouve tred majoritzirement que la cérémonie était audacieuse.
Faut bien que les réacs rancis qui n’ont toujours pas digéré 89 se rendent à l’évidence : ce n’était pas pour eux.
La guerre civile vrounzaise, ils s’en tapent. Ils se palrnt devant une ville qui pour une fois mérité son qualificatif de « lumière ».

Rosanette dit: à

@Bloom
mon commentaire a votre intention sur le roman de COE a bénéficié d’une levée d’écrou
il est apparu sous ce fil bien plus haut, a sa place inormale ,sur la page précédente

Bloom dit: à

Sont nuls….

puck dit: à

à noter qu’en 1991 l’embargo des US et GB a provoqué la mort d’environ 1 million d’enfants irakiens ce qui ne les a pas empêchés de participer aux JO de Barcelone en 1992.

alors qu’1 million d’enfants ça fait quand même beaucoup d’enfants.

Bloom dit: à

Excellente nouvelle, P. Boucheron animera une émission hebdomadaire sur France Q à la rentrée.

puck dit: à

depuis 1945 ce sont les USA qui ont remporté le plus de médailles aux JO.

en même temps, depuis cette date, toutes leurs guerres ont fait environ 6 millions de victimes.

je ne dis pas que les 2 soient liés : seuls les complotistes le disent.

Jazzi dit: à

Incroyable renversement des alliances objectives !
Voilà que je me retrouve dans e camp de ceux qui ont bien aimé la cérémonie, avec Bloom, JJJ et Pablo75
Tandis que Clopine copine désormais avec les anti : MC, Chaloux, D. et autres Langoncet !
J’ai pas bien compris où se situe rose et on a pas eu les avis de Charoulet ou renato ?
Vous croyez que Passou m’aiderait à publier mon journal illustré du Paris des JO, aux éditions des Arènes ?
Et qu’il en rédigerait la préface…
https://www.lelezarddeparis.fr

puck dit: à

Pierre de Coubertin, comme son nom l’indique, appartenait à une famille d’aristocrates.

fan de l’Angleterre il est connu pour avoir introduit en France (en dehors de sa charmante épouse) le football, le tennis, le rugby, le volley ball et aux sports anglais, sauf le cricket !!!

beaucoup d’historiens se sont demandés pourquoi Pierre de Coubertin n’a pas introduit le cricket en France ?

à noter que le cricket n’a été présent qu’une seule fois au JO ! en 1900 (ou 1910 ?)

ensuite le cricket n’est jamais plus réapparu aux JO… alors que ce sport est probalblement un des plus beaux sports qui soit avec peut-être le curling !

aujourd’hui de nombreuses associations (dont j’en suis) militent pour le retour du cricket au CIO et dans les JO…

puck dit: à

à noter que Pierre de Coubertin est né à Paris et qu’il est mort à Genève.

ce qui est tout de même très louche.

renato dit: à

Je ne me situe nulle part, Jazzi, je n’ai jamais regardé ces événements et je n’ai pas fait exception à la règle hier.

renato dit: à

La blague de J.D. Vance à propos de K. Harris et les chats vaut bien les regards sinistres que les crétins jettent sur les femmes qui, au lieu de pousser une poussette, promènent leur chien.

Chaloux dit: à

En Lisant Renato, je me demande; « Mais pourquoi ai-je donc regardé cette merbe? ».

Excellente nouvelle, du Bouchon animera une émission hebdomadaire sur France Q à la rentrée. Ceci jusqu’au départ anticipé de Macron, c’est à dire pas longtemps. Ensuite on n’entendra plus jamais parler de lui.

Chantal dit: à

Au lendemain de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques sur la Seine ce samedi 27 juillet, la presse internationale a analysé et commenté la fête qui s’est déroulée pour la première fois de son histoire, hors du stade olympique. En Espagne, le journal sportif Marca parle de « la meilleure cérémonie de l’histoire », en mettant en photo la légende du tennis Rafael Nadal qui reçoit la flamme olympique des mains de Zinédine Zidane. Les Américains ont aussi été émerveillés, le média CNN décrit la cérémonie comme « éblouissante ». Nos confrères du Washington Post raconte que « Paris s’est transformée en une scène spectaculaire et a démontré qu’une réflexion audacieuse pouvait redonner un certain éclat à un événement sportif mondial qui a vu sa popularité chuter ces dernières années », commentent-ils. C’est un , »renouveau triomphal du spectacle des Jeux, coloré, convivial, tape-à-l’oeil et étrange, un mélange dynamique de patriotisme ardent et d’internationalisme clinquant ».

En Italie, le Corriere della Serra a qualifié le spectacle de « nouvelle révolution française », avec « une cérémonie sur la Seine qui rend hommage aux droits et aux libertés ». « Paris est magique », scande en Une le quotidien belge Le Soir, évoquant une « cérémonie grandiose ».

Les Anglais pas tendre avec la cérémonie
« Les Misérables », titre, en français, le Daily Mail avant de tacler : « Quelle catastrophe, la cérémonie d’ouverture vire au chaos: la pluie couvre la musique, les athlètes et les invités du Royaume sont obligés de porter des protections et les spectateurs de se mettre à l’abri. » De son côté, The Guardian évoque « un spectacle fluvial très kitsch ». En Allemagne, le journal Zeit n’a pas été transcendé. « C’était probablement un grand spectacle sur les écrans du monde entier mais nous, témoins oculaires ayant une vue sur la tour Eiffel, n’avons rien fait d’autre que de regarder l’un des 71 écrans géants. »

Enfin, l’Australie a été marquée par la performance de Philippe Catherine. « l’homme nu et bleu a volé la vedette à la cérémonie d’ouverture », écrit The Australian.

Chantal dit: à

comme quoi chacun voit midi à sa porte …

les migrants olympiens sont passés sous le pont pendant que Julie Armanet chantait imagine de John Lennon ….
Je dois vous laisser, je reviens des fêtes de Gand où j’ai bien kayaké et assisté au concert d’André 3000, on prépare les festivités du prochain bicentenaire.

Chaloux dit: à

Je sais tout à coup à quoi m’a fait penser la performance de Yakakamura. A une publicité pour le bœuf. Mangez du bœuf, mangez du bœuf! Il est content qu’on le bouffe, le boeuf, il est content! Mais oui, mangez du boeuf…!

Pablo75 dit: à

Déficit excessif : juste avant l’ouverture des JO, l’UE lance sa procédure contre la France
L’Union européenne a formellement lancé ce vendredi les procédures pour déficits publics excessifs ciblant sept États membres, dont la France. Si la décision de Bruxelles était déjà connue depuis mi-juin, le lancement officiel de la procédure le jour de l’ouverture des JO de Paris n’est pas une bonne nouvelle pour le gouvernement français.

https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/deficit-excessif-a-quelques-heures-de-l-ouverture-des-jo-l-ue-lance-officiellement-sa-procedure-contre-la-france-1003145.html

Jazzi dit: à

Les performances des drag-queens en Cène et de Philippe Catherine en homme nu et bleu s’inscrivaient dans l’esthétique du Satyricon de Fellini !

vedo dit: à

Si je peux me permettre, ne faisant pas partie du groupe ici et n’ayant vu que des bribes de la fête, quelques soient les prouesses techniques, sans doute exceptionnelles, l’intention de départ était ratée. Puisque le sport est une nouvelle religion, et bien c’était le moment le plus important pour en donner vraiment le sens, religuere, réunir tous les hommes. J’aurais voulu que sur ce blog ici-même nous soyons tous, pourtant si insupportables parfois aux un(e)s et aux autres, nous soyons tous reliés en nous réjouissant dans l’humanité d’après les commentaires, c’est raté.
Le soir de la finale Espagne-Angleterre, j’étais à San Lorenzo del Escorial. Je ne connaissais personne autour de moi. Au coup de sifflet final nous nous sommes tous embrassés. Ce frisson d’humanité, je l’avais presqu’oublié.
Dans la 9e, mon passage préféré n’est pas l’hymne à la joie, mais:
« Seit umschlungen, Millionen, diesen Kuss der ganzen Welt ».

puck dit: à

l’ironie de l’Histoire c’est que Pierre de Coubertin était un super fan, non pas de Céline Dion, mais d’un autre grand fléau qu’était la colonisation, il voyait l’utilisation du sport comme moyen de mettre au pas les populations indigènes.

il n’a jamais imaginé une seule seconde que les noirs courraient plus vite que les blancs ce qui serait un jour un élément qui plongerait l’occident dans son déclin.

en fait Pierre de Courbertin est avec Joe Biden un des principaux responsables du déclin de l’occident…

Chaloux dit: à

Wilkie Collins a écrit un grand livre tout à la fois sur les méfaits du sport et le mariage à l’écossaise: Mari et Femme. Le premier roman féministe que je connaisse.

puck dit: à

la chanson Imagine de John Lennon incarne probablement le plus gros symbole de l’hypocrisie du discours occidental…

Imagine aucune possession,
Aucun besoin d’avidité ou de faim,
Une fraternité humaine,
Imagine tous les gens,
Se partageant le monde…

avec le pognon gagné sur cette chanson la femme de John a acheté la moitié des immeubles de Manhattan…

« tous les pays se partageant le monde à égalité » : sérieux on croirait presque entendre un discours de Lavrov à l’ONU sur la multipolarité autrement appelée « démocratie mondiale »

J J-J dit: à

mais moij ai embrassé mon écran de télévision, il était plein de larmes, de sueurs et de pluies… et de ma salive. Vous n’avez pas ressenti mon baiser, véto ? hein ?… puis je suis allé taper sur des casseroles à ma fenêtre… Mais personne ne m’a relayé… Allez donc vous conjoindre à la fraternité, en l’absence de plumages égouttés après ça ! hein

puck dit: à

les américains se foutent des français parce que le spectacle d’ouverture des JO est le moins cher qu’on pouvait faire : il n’a couté que 35 millions d’euros.

alors que pour les JO de Sotchi les russes avaient craqué 120 millions (le prix de 10 lanceurs ATACMS) ! et pourtant c’était des JO d’hiver.

Bloom dit: à

Comme par hasard, Putin et Orban ont conchié la cérémonie.
J’aimerais pas être dans leur camp.

J J-J dit: à

@ l’esthétique du Satyricon de Fellini

Mouais, vous étiez dans la tête de Jolly pour avancer pareille hypothèse, jzmn ?… L’excuse atténuante de foldinguerie, près tout, pourquoi pas ? Je crois savoir pmp que Katrine à poils bleus n’est pas le fantasme type de Jolly Jumper ni d’Olivier Pie. Les dragsgouines, maintenant le monde entier sait ce que c’est, et que c’est pas bien méchant tout compte fait… Même le Vatican les tolère à la Curie… c dire… Voilà un grand progrès civilisationnel… et grâce à ki ? hein !

J J-J dit: à

& l’autre conchie les JO de Paris, mais trouve qu’ils sont pas chers, au regard de ceux de Poutine… Faudrait voirà avoir où situer la barre de la forfanterie… hein, !

puck dit: à

le sport a, en dehors des bienfaits pour la santé de la jeunesse, des bienfaits sur l’inconscient collectif.

exemple au hasard : le curling est un sport où l’on voit des hommes s’activer comme des malades avec un balai dans les mains…

nul doute que ce sport a fait progresser les mentalités sur le partage homme femme de la charge mentale liée aux taches ménagères ?

Jazzi dit: à

Non, non, JJJ, les drag-queens ne sont pas en odeur de sainteté !

« La Conférence des évêques de France a déploré samedi matin, dans un communiqué, « les scènes de moquerie et de dérision du christianisme » au cours de la cérémonie d’ouverture. Une parodie de « La Cène » de Leonard de Vinci a particulièrement choqué les croyants. »

puck dit: à

le sport pose la question des inégalités entre les transgenres.

exemple au hasard : les hommes qui deviennent femmes sont vachement plus avantagés que l’inverse dans des sports comme le saut à la perche ou le rugby, ou même la boxe, le judo, le lancé du javelot ou du disque ou la natation.

il n’y a que pour des sports comme l’équitation qu’on s’en tire à peu près.

c’est même pour que ça s’appelle « équitation », parce que c’est plus « équitable » pour les transgenres.

Bloom dit: à

D’accord avec vous Rosanette, c’est le côté psychologie un peu « light » de Coe.
Ceci dit, il clôt sa trilogie The Rotter’s Club, The Closed Circle et ses personnages sont un peu prisonniers de leurs passif/passé…
Mais je peux vous assurer que lorsque qu’on enseigne la civilisation britannique contemporine, c’est un bonheur de livre à faire lire à des étudiants de 20/21 ans qui leur offre un accès plaisant et crédible à cette réalité anglaise parfois si désarçonnante.
Pour moi, le chef d’oeuvre indépassable de Coe est Testament à l’anglaise, suivi de très très près par La Maison du sommeil, roman singulier sur un phénomène dont j’ignorais l’existence, la narcolepsie. Je garde également un bon souvenir de son 3e roman, Les Nains de la mort, un thriller qui ne ressemble à rien de ce qu’il a fait ensuite.

Bloom dit: à

contemporAine

puck dit: à

soyons sérieux : les moqueries du christianisme c’est peanuts à côté des moqueries des athlètes africains quand ils ont vu la taille du zizi de Philippe Katerine.

sérieux quelle idée ! quand on voit les difficiltés actuelles de l’hégémonie occidentale, là elle en a pris un sacré coup dans l’aile.

Bloom dit: à

Quelqu’un lit-il L’Osservatore Romano ici?
Qu’y dit-ont de l’abbé Pierre?

Bloom dit: à

La scène de la Cène sur la Seine: saine ou pas saine?

Phil dit: à

insane, dear Bloom.

puck dit: à

d’aucuns auront remarqué que les USA n’ont pas défilé à leur bonne place.

le respect de l’ordre alphabétique dans l’ordre d’apparition des différentes délégations démontre en principe le rôle égalitaire des JO où tous les humains sont égaux face au chronomètre !

ce non respect par la France de l’ordre alphabétique concernant les USA pose le problème de la relation entre ces 2 pays face au remboursmeent de la dette publique.

on en avait eu un premier exemple dans le changement d’attitude de notre gérontophile de président au sujet de la Russie, on a eu eu un autre exemple de cette vassalisation lors de cette cérémonie où la France a fait défiler les américains à ses côtés, voire même parfois devant eux !

sérieux la France organise des JO à Paris et fait défiler le drapeau américain à côté ou devant celui de la France alors qu’il devrait se situer à la lettre « U » avant la Zombie et le Zimbabwe : le sud global va encore se foutre de nous.

puck dit: à

les américains auraient dû défiler à côté de l’Uruguay.

d’ailleurs dans tous les JO depuis la Grècve Antique les américains défilent juste après l’Uruguay.

il n’y a qu’à Paris…

le général doit se retourner dans sa tombe.

Phil dit: à

Jules et Jim lu de travers, indeed Clopine. Jules ne baise pas Jim, pas tatravestir.

puck dit: à

à noter que dans « le Consentement » la fille est bien plus vieille que ne l’était Macron quand il a rencontré Brigitte !

et on n’en fait pas tout un plat : encore un double standard…

Bloom dit: à

– La scène de la Cène sur la Seine est-elle saine ou pas saine?

– Je n’ai jamais aimé la môme Piaf, en partie parce que son accent était vraiment trop caricaturalement parigot.
Je n’ai encore moins aimé quand j’ai apprisu qu’elle avait fait le « voyage à Berlin » en 1943 et en 1944, pour « promouvoir la chanson française ».
Pourtant j’ai trouvé l’interprétation de C. Dion d’une intensité rare, quasi-testamentaire…
C’est la musique de Marguerite Monnot qui propulse les paroles de cette chanson, écrites par Piaf.
Audiblement, la jeune chanteuse qui a repris ‘Imagine’ n’a pas travaillé l’anglais avec un « speech repetitor » comme elle aurait dû le faire, car les accents toniques étaient mal placés. C’est dommage car elle possède une voix plaisante.
J’entrevoie une reconvertion possible dans le coaching des chanteur/euse/s français/e/s reprenant des standard en anglais pour l’ouverture des JO….

Bloom dit: à

Bien vu, dear Phil.
Le côte grand guignol a fait office d’humour, une fois Djamel Debbouze (hilarant) disparu.
Ce matin, mon ami Sam remarquait avec justesse que la façon dont il prononçait le surnom de Zidane était à mi-chemin entre « Zizou » et « Jésous »…
Moyennement quoi, on sait à quoi ressemble un demi-dieu, Made in Marseille! (le David peut s’aligner…)

Bloom dit: à

côté…

Bloom dit: à

Les Québecois n’ont pas besoin de coach pour faire swinger la langue française…Classieux.

Paul Edel dit: à

Est-ce parce qu’une vague somnolence m’a pris ou les effets artificiels d’un vieux calva? mais j’ai eu l’impression de voir dans des reflets d’eau trouble des infirmes descendant un fleuve dans une BD de Crumb, quelque chose comme de curieux pillards qui erraient dans une époque introuvable en liberant de curieux instincts cannibales .Je me suis réveillé en entendant Delahousse commenter avec enthousiasme une délégation assez modeste : « C’est toujours un grand plaisir de revoir le Kirghizstan! »
Cette phrase me poursuit.

closer dit: à

La réaction négative de Clopine à ce cirque grotesque, surprenante pour certains, pourrait donner lieu à une étude de sociologie politique.
Clopine est ici à peu près la seule qui soit réellement dotée d’une fibre populaire. Elle est typique des ces anciens électeurs communistes qui sont passés au RN…Sauf que, elle, elle est restée de gauche.

Quand les bobos de gauche s’imaginent que ce spectacle va forcément plaire au peuple de gauche parce qu’il montre majoritairement des gens « racisé », des drag queens, des acteurs au sexe ambigu, des plans cul à trois et que seule la méchante extrême droite va le critiquer on ne peut que se poser la question: « mais comment peuvent-ils être aussi cons? »

Quand Joly nous dit que la pseudo Cène représente la diversité de la France, comment peut-il être aussi con?

Pensent-ils vraiment, ces bobos de gauche parisiens, ou ex parisiens, que l’employé d’un dépôt Amazon, la caissière de super marché d’une sous préfecture, le chauffeur de bus d’une agglo de province, le paysan qui se lève à 5 heures du mat, l’éboueur du 93, se sentent le moins du monde représentés ni m^me concernés par la « diversité » caricaturale et grotesque de Joly?

Ces gens du peuple qui, autrefois aurait massivement voté à gauche et qui, sauf Clopine, votent RN, auraient à mon avis de mauvaises pensées, du style « tout ce pognon insensé dépensé pour nous montrer des bouffonnerie ridicules même pas drôles et d’un luxe absurde ne serait-il pas mieux utilisé ailleurs? ».

Chaloux dit: à

« quasi-testamentaire ».

Hurkhurkhurk!

et alii dit: à

à P.Edel
quelle chance vous avez eue d’avoir des images et meme des interprétations dans votre somnolence !
il y eut toute une époque où j’étais prise d’un besoin urgent de dormir de sommeils dans lesquels je reprenais mes lectures, les travaillais de commentaires écrits je préférais le jour à la nuit tapissée de reves « normaux », « ‘et ça s’est arreté ,je les regrette, mais je guette maintenant ,un mot qui reste ,une image ;peut -etre faut-il aussi changer de lit pour changer de qualité de sommeil

et alii dit: à

@ tout ce pognon insensé dépensé pour nous montrer des bouffonnerie ridicules même pas drôles et d’un luxe absurde ne serait-il pas mieux utilisé ailleurs? ».
vous avez raison je l’ai ‘entendu !

Clopine dit: à

Merci, Closer. Ce spectacle était effectivement démagogique, et en plus dangereux, offrant un boulevard à l’extrême-droite (notez, on commence à avoir l’habitude à ce que notre société donne les clés à l’extrême-droite) ; comme quoi donner satisfaction aux bobos parisiens, faire mine de « casser les codes », ce n’est pas la vraie solution. On aurait pu rêver d’un spectacle posant des questions. Celui-là ne donnait que de fausses réponses : aller dans des boîtes de nuit, porter des barbes, donner à entendre Johnny, Balavoine, Céline Dion et Lady Gaga, c’est faire la fête. Encore une fois : les dominants croient savoir ce que les dominés désirent. Et donc, tirent vers le bas. Mais comment peut-on être aussi con ?

rose dit: à

…Sauf que, elle, elle est restée de gauche.
Oui.

et alii dit: à

closer, pour les gens qui pensent ainsi, il y a souvent sous cette réflexion « moi, moi moi et moi »
« je ferais, dirais « ( on attend quoi)

Clopine dit: à

« montrer les minorités ». En affirmant que ces minorités sont triomphantes, et que je te mets des drags queens, et qu’on est bien dans les boîtes, et en exaltant cette culture de privilégiés, c’est… Moi je l’ai pris pour une insulte, en vrai. Avec tant d’a priori sur ce que « le peuple d’en bas » est sensé apprécier… Alors oui, y’avait des lumières, des flonflons technos, et, ô suprême insolence, du Balavoine… mais où était Brassens, mordel de berde ?

Clopine dit: à

D’abord, réintégrer vite fait les cérémonies dans les stades, et ne pas faire agence de voyage vendant les JO sur l’autel du tourisme de masse, via des cartes postales débiles de la ville de Paris. Ensuite, être humble : le sport et le spectacle ne peuvent ni être complètement associés, ni représenter un avenir viable. In fine, tenter d’interpeller nos intelligences, au lieu de nous vendre du commerce.

Clopine dit: à

Et je parle même pas de la pub gratuite pour les valises vuitton !!!

Clopine dit: à

Bref, on aurait dit « vous, peuple de France, vous êtes tous des cons », et « regardez comme votre élite est intelligente, raffinée au point d’apprécier, comme vous le faites, Balavoine et Cloclo, dans un discours parfaitement démagogique, mensonger et en vrai méprisant », on n’aurait pas fait mieux. Mais c’est vrai qu’au niveau technique, on sait mettre des loupiotes sur la tour eiffel.

Chaloux dit: à

« Aucun lien à signaler avec la mafia et la caillera des abares et tarbas de nos banlieues populaires. « 

Roséanette dit: à

@clopine
je ne suis pas d’accord avec vous lorsque vous dites que cette fête seraitt ce ,qu’a tort, les bobos imaginent que « le peuple  » peut apprécier .
C’es pire en fait de mépris du » peuple  »
c’est le supposer ignorant de ces « vraies »valeurs culturelles actuelles (wokisme etc..)dont ils se gargarisent, et se donner la mission généreuse et condescendante de les leur faire découvrir
Une posture que Flaubert caricature dans son dictionnaire des idées chic dictionnaire des idées chic

Rosanette dit: à

@clopine
je vous répondais mais ma réponse est pour l’instant retenue au purgatoire .Compte tenue de son caracrtere poli mesuré et insipide elle finira par apparaître et je vous la signalerai;j’exprimais a proposé ce que vous avez écrit un accord de fond sur le mépris du » »peuple » que représente les choix de ce spectacle mais je faisais une analyse différente de ce mépris

Bloom dit: à

« shibboleth », traduit par « mot de passe » dans Le Monde…N’importe nawak, dans le contexte, c’est un « mot d’ordre »…
J’ai retrouvé mon ‘Molloy’, 3J, vous pouvez tirer! (En anglais, mais, bon c’est le même scripteur à chaque fois, un cas peut-être unique au monde).

Bloom dit: à

Incription des Iles Marquises au Patrimoine mondial de l’UNESCO, surf à Teahupoo à Tahiti…

En attendant mon pote ce matin, j’ai fait une brève irruption dans un lieu que je ne fréquente pas d’ordinaire, la Fnac, St Lazare en l’occurence. J’ai constaté que le seul livre consacré à la Nouvelle Calédonie et celui sur une histoire de Tahiti étaient dans le rayon politique étrangère…Tout est dit.

puck dit: à

pas vraiment un cirque grotesque, cela nous donne plutôt à voir un monde différent du vrai monde et un réel différent d’un autre réel.

imaginons par exemple que vous avez des gens, dans une caverne, à qui on montre un jeu d’ombres et de lumières et que ces gens se laissent captiver par ce jeu d’ombre et de lumières au point de ne pas se rendre compte qu’ils sont enchainés…

hé ben là on a un type qui se pointe, il s’appelle par exemple Marcel et boum ! ils délivrent ces gens en coupant leurs chaines et les entraine vers le dehors de cette caverne et là hop ! ils découvrent un autre monde plus réel que l’autre.

voilà ! le monde de paix où nous sommes tous des frères et nous nous aimons tous les uns les autres et le prochain comme nous-mêmes c’est la caverne, limite même Kamala Harris sur CNN elle n’ose pas, en fait si elle ose, mais c’est la seule qui ose.

puck dit: à

limite je préfère Victor Orban qui vient de dire que les russes et les chinois qui ne veulent pas que l’Ukraine entre dans l’OTAN c’est des gens hyper raisonnables et rationnels, et ceux qui veulent le contraire c’est tous des fous furieux pas raisonnable du tout, ni rationnels du tout !

sauf que pendant ce temps il y a toujorus des gamins qui meurent pour rien. alors je sais, on s’en fout parce que c’est pas notre gamin mais le gamin des autres, mais il faut faire comme si c’était nos gamins…

ce qui a changé c’est que les JO pendant la guerre au Vietnam les mecs ils manifestaient contre la guerre, alors qu’aujourd’hui on s’en fout.

puck dit: à

idem pareil pour Gaza…

y’a des trucs c’est même plus grotesque c’est je sais pas quoi plus que grotesque !

D. dit: à

Tu sais que je t’aime bien, Puck ?

puck dit: à

je me permets parce que c’est un blog de littérature où y’a plein de gens qui peuvent prendre un peu de recul parce qu’ils aiment la littérature.
sinon je me permettrais pas.

puck dit: à

et là les mecs ils sont en train d’étendre l’OTAN jusqu’en Asie pour provoquer la Chine…

en fait non : nous ne sommes pas tous des frères !

rose dit: à

Tout le monde ne s’en fout pas.

Claudio Bahia dit: à

Belle victoire indiscutable de la France contre mon pays en basket, et bravo pour la médaille d’or au rugby à sept.
Que cela vous console de hier

J J-J dit: à

@ les dominants croient savoir ce que les dominés désirent.

dans ma somnolence, cette phrase itérative m’obsède la tête. Je la trouve profonde, drôle, mais surtout stupide, à la fin… @ Paul Edel, – je sais pas, vousj… –
(*** t’as déjà vu des do-mi-nos (sic) désirer quelque chose, toij -> ma céline, pré-testimoniale ?) – Hurc,

vedo dit: à

Ah, San Lorenzo del Escorial, quel endroit magnifique! Marche en montagne, piscine et délicieux repas le soir! Je vous le recommande.

et alii dit: à

« ‘et comme le billet le suggère
« « Débrouillez-vous avec ça ! »

J J-J dit: à

@ J’ai retrouvé mon ‘Molloy’, 3J, vous pouvez tirer!
Bon je vais essayer dans pas longtemps, mais je crains que ma soeur ne prépare ses fiches… du coup, mon, innocence et ma naïveté vont en prendre un coup;.. A bien^to… Dites, moi, Rbl, la délégation de l’Irlande était pas mal, hein ? ai-j pensé à vousj…

et alii dit: à

« shibboleth », traduit par « mot de passe » dans Le Monde
merci de nous mettre la puce à l’oreille;
au fond, cela ne me surprend pas!

Jazzi dit: à

« Jules ne baise pas Jim »

Vous teniez la chandelle, Phil ?

D. dit: à

Bien fait pour les Brésiliens qui n’étaient pas du tout à la hauteur.

D. dit: à

Pour moi, tu es comme un frère, Puck.

closer dit: à

L’ordre alphabétique du défilé des délégations se fait selon la langue du pays d’accueil. Il est donc normal que les « Etats Unis d’Amérique » passent avant la France.
Pour Puck, je crois.

rose dit: à

Je ne crois pas. Je dirai quatorze ans
puck dit: à
à noter que dans « le Consentement » la fille est bien plus vieille que ne l’était Macron quand il a rencontré Brigitte !

rose dit: à

Charles Juliet, fais le passage en paix.

Jazzi dit: à

« Pour moi, tu es comme un frère, Puck. »

Siamois ou jumeau, D. ?

Marie Sasseur dit: à

« une Marie-Antoinette outragée, là aussi gratuitement. »

Cher Damien, c’est votre analyse du ‘tableau » qui m’a fait me souvenir que cette conographique n’est pas vraiment une nouveauté. Les decapités portant leur tête portent même un nom.
Les céphalophores.

rose dit: à

Jazzi
Ne me suis pas positionnée.
Je m’en tape comme de l’an quarante. Ai vu un gros homme nu et bleu qui m’a fait peur.
Et des agités en couleurs vives qui sautaient.

Marie Sasseur dit: à

iconographie, lol

et alii dit: à

En direct, JO 2024 : l’escrimeuse française Auriane Mallo-Breton remporte l’argent à l’épée ;

rose dit: à

Il était plus gris que bleu, d’ailleurs.

J J-J dit: à

@ Pour moi, tu es comme un frère, Puck.

alors, enkulez-vous comme chez les De Villiers, c’est de saison, hein !

et alii dit: à

Judo aux JO de Paris 2024 : Shirine Boukli offre la première médaille à l’équipe de France en décrochant la médaille de bronze
Sortie en quarts de finale par la triple championne du monde en titre, la judokate française s’est remobilisée, samedi, pour parvenir à se hisser sur le podium et offrir une première médaille à la délégation tricolore.

Phil dit: à

teniez la chandelle

Il suffit de lire Hessel, Franz, et les carnets de HP Roché, dear Baroz. Monogamie troublée d’une autre époque que la nôtre, convertie en « trouple » par des faux amis ou mauvais lecteurs. Vous n’êtes pas de ceux qui font des « Lunettes d’or » un roman « gay ».

Janssen J-J dit: à

@ Rbl, et d’abord, pourquoi chez Beckett, l’Odibil est-il un anagramme de Libido ?
Est-ce con-sciemment ou in-con-sciemment qui’i len fit cet usage ?

J J-J dit: à

Vous n’êtes pas de ceux qui font des « Lunettes d’or » un roman « gay ».
__________
@ fil vs jzmn / Pouvez-vous nous éclaircir sur cette gaypride littéraire, merci ! On n’y voit goutte, car nous n’avons visiblement pas chaussé les mêmes lunettes vuitton,

Jazzi dit: à

Dans querelle de Brest du grand Fassbinder, Phil, on retrouve Jeanne Moreau en sandwich entre son mac et l’amant de celui-ci, de même qu’entre Depardieu et Dewaere dans Les Valseuses de Bertrand Blier.
Le trouple, c’était sa spécialité à la Jeanne !

Phil dit: à

Certes Baroz, « la Jeanne » tournait comme manège, les Amants etc..mais Truffaut n’a pas fait du Fassbinder

J J-J dit: à

elle sortait de prison, jeanne momo, tirait un dernier coup et se suicidait. C’était triste, mais miou-miou jouissait enfin avec le jeune militaire un peu demeuré pendant que les autres cons restaient tout penauds à s’empogner…
Le trouple, c’est avant tout une histoire de frigidité entre deux amants échaudés non consentis.
Sam Beckett, qui adorait les jeux de mots toujours possibles avec les métaphores de la langue française : « cela a-t-il vraiment de l’importance de quelle main on s’asberge le podex ? » (et, vaz’y Molloïe, Rbl). Aplusse,

et alii dit: à

libido
anagramme ?
ou histoire de palindrome?

Pablo75 dit: à

L’ordre alphabétique du défilé des délégations se fait selon la langue du pays d’accueil. Il est donc normal que les « Etats Unis d’Amérique » passent avant la France.
closer dit:

Si les Etats Unis sont passés à la fin c’est parce que les prochaines J.O. auront lieu à Los Angeles (ça a été expliqué à la TV).

MC dit: à

Assez d’accord avec Clopine dans cette condamnation globale de la cérémonie, et, en partie, de l’idéologie qui l’a sous-tend. Une caricature d’ état bienveillant qui n’est qu’Orwellien essaie de diffuser un message qui s’effondre lamentablement. Merci Boucheron! Un retour à l’humilité s’imposerait en effet. N’en déplaise à JJJ et quelques autres. Accord aussi avec Damien, ayant reçu de Fort loin cette appréciation sur la Cène; «  le probleme, c’est que la seule religion qui rend possible ce genre de choses est le christianisme » . Permis donc de casser, de tuer, de déformer. Peut-on imaginer la même chose avec l’ Islam ou le Bouddhisme? MC

Pablo75 dit: à

Je ne m’indigne pas, car l’indignation est le fait des âmes fortes ; je ne me résigne pas, car la résignation est le fait des âmes nobles ; je ne me tais pas non plus, car le silence est le fait des grandes âmes. Or, je ne suis ni fort, ni noble, ni grand. Je souffre et je rêve.

Fernando Pessoa. « Le livre de l’intranquillité » (l’un des livres les plus importants du XXe siècle, soi dit en passant).

et alii dit: à

il me semble qu’une fete comme celle que la France vient d’offrir au monde fait autant pour son prestige
que les rencontres entre les politiques où ils s’arrachent de petits traités entre les nations;

et alii dit: à

La devise des Jeux olympiques (« Plus vite, plus haut, plus fort ») a été soufflée à Pierre de Coubertin par le prêtre dominicain Henri Didon (1840-1900). Yvon Tranvouez publie sa biographie (Cerf, 2024), celle d’un religieux libéral qui n’a pas peur de vivre la condition moderne.

et alii dit: à

Reportage. Créée pour les JO de Rio en 2016, cette délégation permet aux athlètes réfugiés du monde entier de participer à la compétition, sans avoir à représenter une nation spécifique. »‘express

rose dit: à

Mélanchon est d’accord avec Pablo 75 : n’aime ni la Cène ni Marie Antoinette, Didon.
Je biche grave.

Moij. n’aime pas la compétition sauf sur Duolingo où cà m’plait de finir dans les trois gagnants.
Bon dimanche !

renato dit: à

Haydn symphonie 45, Les Adieux

Le premier mouvement s’ouvre d’une manière typique de l’époque Sturm und Drang.

L’œuvre présente quelques caractéristiques expérimentales typiques de Haydn : la tonalité de fa mineur est inhabituelle, des dynamiques différenciées, des syncopes, des dissonances.

Le deuxième mouvement est excessivement long et plutôt monotone.

Dans le menuet, en fa dièse maj, la cadence de chaque section est faible, ce qui crée un sentiment d’incomplétude.

Comme le titre l’indique, dans l’Adagio final, les instruments s’arrêtent progressivement de jouer, selon l’ordre suivant les: premier hautbois et deuxième cor, basson, deuxième hautbois et premier cor, contrebasse, violoncelles, violons dans la rangée, seuls restent les altos et les violons du premier pupitre avec sourdine qui complètent l’exécution.

https://youtu.be/NeMzBPFhaX8?si=xH82QKdi8Ss-E603

Jazzi dit: à

«le probleme, c’est que la seule religion qui rend possible ce genre de choses est le christianisme »

D’où son génie, comme disait l’autre !

Jazzi dit: à

A force de vouloir à tout prix être d’extrême gauche, Clopine se retrouve à l’extrême droite !

JC..... dit: à

JEUX OLYMPIQUES 2024 PARIS

Personne ne pourra oublier le ridicule merdique de ce qui fut proposé par les conswoke parisiens boboïdiques, au premier jour ce ces jeux mondiaux !

IRRESPECT INSANITE MEDIOCRITE

restera la devise de cette nation française, passant si naturellement de l’arrogance à l’imbécilité la plus basse ….

Marie Sasseur dit: à

Allo, non mais allo quoi.
Je me demande qui a eu cette idée folle de décréter que ce simulacre de banquet en fashion week, un des  » tableaux  » de la cérémonie des JO était de nature  » blasphematoire « .
La trouvant perso de mauvais goût, je ne vous pas ce que ce banquet de Platon, avait de si ob-cene.
Encore une cabale de la curaille de la messe en latin, relayée par les évêques de la fille aînée de l’église, cette catin, qui au lieu de faire de la propagande d’extrême-droite , devraient commencer par arrêter d’outrager sexuellement la jeunesse.
Merci cher Damien de votre provocation amusante.

Bloom dit: à

Vous donnez quel sens à état orwellien, et à orwellien tout court d’ailleurs, MC?

Bloom dit: à

Et si vous appliquez ce terme à l’état en France, quel terme employriez-vous pour la Chine de Xi, la Russie de Poutine, la Corée de Kim, l’Iran des mollahs & la Syrie d’Assad?

Phil dit: à

cabale de la curaille

baisons l’e-conne à Damien

Marie Sasseur dit: à

Le philopède, lui est obscène. Infect vieux vicieux.

Bloom dit: à

Ce sont les JO de LA en 2008 qui ont fait appel pour la première fois à des sponsors car ni l’état de Californie, et encore moins l’état fédéral, n’ont souhaité donner un traitre cent à son organisation.
D’où le Vuitton LVMH…
Quand la puissance publique se retire, le fric est aller chercher ailleurs avec les exigences qui vont avec…
Quand je suis allé chercher Peugeot comme sponsor principal du festival du film français en Australie, ils ont exigé que leur logo apparaissent en plein milieu de l’affiche du festival… J’ai bien tenté de négocier sur le format de la chose, mais on m’a fait comprendre que c’était ça où bye bye la somme rondelette qu’il mettait dans la corbeille (qui a au final bénéficié aux 9 AF du pays qui organisaient l’événement aves les distributeurs locaux).
Quand l’état se retire, aux States ou chez nous (zéro subventions aux AF), il faut soit ne faire que des activités du niveau d’un patronnage, soit consentir à avaler certaines couleuvres.
Qui n’a jamais été impliqué dans l’organisation & la mise en oeuvre d’événements culturels d’ampleur a la chance de n’avoir pas connu ce type d’affres éthiques…

Marie Sasseur dit: à

Pauvre Passou, des années à promouvoir la littérature, les arts, et la culture pour voir une bande de vieux tarés incultes, des branleurs, des imposteurs, des bestiaux imbéciles,
faire une propagande de talibans, à la moindre évocation d’un festin.
Horreur Horreur Horreur.

Phil dit: à

baisons l’e-conne à Passou

Bloom dit: à

3J, j’ai jeté un mol-oeil à mon Beckett, et ai trouvé une autre version de l’anagramme li-bout-du noeud. O-b-idil, et non O-d-ibil. En tous cas cela est très voulu et procède du grand bonheur que Sam le facécieux éprouvait à jouer avec les langues (italien compris), comme vous le dite Zabonne et Scient.
Ci-dessous le lien d’un bon article en anglais sur le bilinguisme de Molloy.
https://ora.ox.ac.uk/objects/uuid:2366de91-ff9b-4fb4-bcdf-3d774f476db4/files/sm039k527f

Marie Sasseur dit: à

Si le mécénat privé est le logo des  » affres éthiques  » qui affectent les affreux de l’economie sossialiste dirigée , souhaitons au cheval d’argent qu’il lui pousse des ailes.

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