Baudelaire plus que jamais « n’importe où hors du monde »
Et dire qu’on en est là : évoquer le génie de Baudelaire en contrepoint de celui de Houellebecq, parler de l’un pour établir des analogies avec l’autre, convoquer à son corps défendant l’ombre tutélaire de l’incontestable poète qui continue à dominer les lettres françaises depuis un siècle et demi pour consolider la réputation de celui que les medias veulent à tout prix nous vendre comme le Grand-Poète-de-son-époque… Quelle misère intellectuelle et quel triste signe des temps ! Il suffirait pourtant d’expédier la chose, et l’Autre autoconsacré par son propre pavé de l’Herne, d’une citation de Baudelaire échappée du Peintre de la vie moderne :
« Il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse, si minime ou si légère qu’elle soit »
Il y a de toute façon une excellente occasion de revenir au patron tout seul, sans un prétexte fallacieux : c’est l’exposition « L’œil de Baudelaire » qui se poursuit jusqu’au 29 janvier au Musée de la vie romantique à Paris pour le cent-cinquantenaire de sa mort. Un petit musée qui ne se pousse pas du col mais qui a un charme fou (surtout à la belle saison quand on peut y déguster d’exquises tartes aux fruits sous la tonnelle dans un petit jardin de roses et de lilas) et tire bien son épingle du jeu malgré ses moyens réduits. Le piquant de l’affaire est que l’une deux salles baudelairiennes a pour cadre l’ancien atelier d’Ary Scheffer, artiste par lui abhorré pour son éclectisme, peintre dont il méprisait la tristesse et qu’il évoquait en chef de file des « Singes du sentiment ».
Tout y concourt à montrer en quoi le poète a pu dire, dans Mon cœur mis à nu, revigorant empilement de ses colères, que la « glorification des images » était son unique et primitive passion. Il est vrai, mais le rappel est utile et c’est l’une des vertus de cette exposition qui n’en manque pas, que le tout premier écrit signé Charles Baudelaire qui fut publié sous forme de livre, n’était pas un recueil de poèmes : conçu dans l’esprit du Diderot qui inaugura un genre littéraire avec la critique d’exposition, ainsi que de Stendhal qui y excella, cet essai était consacré à la critique d’art des expositions de l’Académie des Beaux-Arts et s’intitulait Le Salon de 1845. Et comme ses maitres en la matière, au-delà du compte-rendu ponctuel, c’est bien d’une réflexion critique sur des problèmes d’esthétique qu’il s’agit.
Figure romantique par excellence du poète maudit, il plaide pour une critique poétique, subjective, de parti pris, exclusive mais ouverte contre une critique froide, algébrique, sans tempérament. L’exposition invite à s’immerger dans le paysage artistique des années 1845-1863 parmi les peintres de Baudelaire, les Delacroix, Ingres, Corot, Rousseau, Courbet ou Chassériau, qu’il les ait encensés ou blâmés. Sans oublier Manet bien sûr, avec qui il partageait la passion de l’Espagne et de ses artistes, celui qui incarne la génération montante et la modernité, ainsi que des caricaturistes au premier rang desquels Daumier en ses « vivantes monstruosités » qu’il élève au rang de grand artiste, ce qui était beaucoup plus risqué (et prophétique) que de louer Goya déjà fort acclamé à Paris. De quoi mieux appréhender son éducation artistique et les ressorts de sa sensibilité esthétique.
Volontiers pédagogique mais sans lourdeur scolaire, le déroulé rythmé en quatre temps (Les Phares, le musée de l’amour, l’héroïsme de la vie moderne, le Spleen de Paris ) offre déjà des clés pour déchiffrer les expressions qui jalonnent les écrits artistiques de Baudelaire : « beauté moderne », « conception double exprimant l’éternel dans le transitoire », « beauté interlope », « mérite de l’inattendu », notion d’étrangeté, pourquoi un tableau fait est préférable à un tableau fini, en quoi une œuvre respire l’amour, le romantisme de la couleur et la nature idéale de la ligne, la part de naïveté exigée d’un artiste etc Sans oublier, on s’en doute, « modernité », auberge espagnole si généreuse dans son accueil de toutes les interprétations, déviations, instumentalisations, alors que Baudelaire avait bien défini la mission du peintre de la vie moderne :
« Dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, tirer l’éternel du transitoire »
Baudelaire célèbre en l’imagination la reine des facultés contre le réalisme tenu pour une blague puisque le goût du Vrai ne peut qu’opprimer le goût du Beau, une imagination avec ou sans l’aide des drogues et autres paradis artificiels, son « accélérateur de pouls ». Au fond, Delacroix, représentant majeur du romantisme loué comme un « peintre universel », demeure celui qui domine son panthéon artistique, le peintre le plus proche de son intime inspiration, son frère en mélancolie puisque le poète à l’âme en prostration ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie ; car, comme l’écrivent les responsables de l’accrochage , « Delacroix est comme Baudelaire le représentant ultime d’une époque révolue mais qui demeure, dégagé des stigmates de la nouveauté, la plus pure expression de la modernité ».
« Quel est donc ce je ne sais quoi de mystérieux que Delacroix, pour la gloire de notre siècle, a mieux traduit qu’aucun autre ? C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme ; et il a fait cela, – observez le bien, – monsieur, sans autres moyens que le contour et la couleur ; il l’a fait mieux que pas un ; il l’a fait avec la perfection d’un peintre consommé, avec la rigueur d’un littérateur subtil, avec l’éloquence d’un musicien passionné. »
Se plaignant d’être considéré comme un excentrique, un dandy, un mystificateur, un farouche, il en est pourtant le premier responsable puisqu’il fut l’artisan de sa propre légende. Son musée de l’amour est bien là, entre ses deux extrêmes que sont la Vénus blanche (Madame Sabatier) et la Vénus noire (Jeanne Duval). La génération des poètes de 1860 (Verlaine ans co) avait beau se réclamer de lui, il ne les en a pas moins moins sévèrement jugés. Bien sûr, il est aisé avec le recul d’ironiser sur ses erreurs de jugement, ses louanges à l’art d’un Octave Penguilly L’Haridon, son optimisme quant à la postérité de l’oeuvre d’un Octave Tassaert, ou dans celle d’un Chassériau, d’un Chazal, d’un Catlin, alors même qu’il prenait ses distances avec Courbet ou écrivait à Manet attaqué pour son Olympia qu’il mettait trop d’orgueil à s’en plaindre d’autant qu’il n’était jamais que « le premier dans la décrépitude de votre art ».
A travers une centaine de lettres, articles, tableaux, dessins, gravures, photos, tout est fait pour montrer l’incessante conversation entre les poèmes et les œuvres d’art : influence dans l’association des couleurs (le rose et le noir) ou la conception de l’harmonie etc. Une imprégnation qui n’est jamais traduction ou transposition et dont on dirait qu’elle a pour unique objet de répondre à la question : qu’est-ce que la beauté moderne ? On l’y retrouvera de manière frappante dans ses portraits les plus variés : séries photographiques de Nadar ou Carjat qui nous le montrent tel qu’en lui-même, amer, ironique ; jeune au nez de priseur et aux lèvres impudentes, si Samuel de la Fanfarlo, dans une huile d’Emile Deroy (1844) ; pensif en lecteur absorbé dans un livre dans une huile de Courbet ; jusqu’à son autoportrait dessiné qui n’est pas le moins émouvant. Hostile à la photographie, aux journaux grands format et à la « rancuneuse énergie » de la critique, effrayé par le progrès, la modernité technique, industrielle et archirecturale, il n’en est pas moins fasciné par le nouveau décor urbain, fascination-répulsion pour la ville « grande barbarie éclairée au gaz »
Outre le catalogue de l’exposition (29,90 euros, Paris-Musées), et naturellement l’œuvre même de Baudelaire (toutes éditions), la visite donne envie de retrouver l’un des meilleurs « petits livres » qui lui ait été consacré : celui du baudelairissime Robert Kopp Le soleil noir de la modernité (160 pages, 15 euros, Découvertes/ Gallimard) opportunément réédité dans une édition augmentée. C’est un admirable concentré, en peu de pages mais intelligemment illustrées, de tout ce qu’il y a à savoir en un tel format sur celui qui entreprit de faire de l’or avec de la boue, le traducteur d’Edgar Poe, le dandy sur les barricades de 48, le réprouvé des Fleurs du mal…
Quels que fussent le support et la forme, il cherchait partout la poésie, ne vivait que pour la poésie et avait fait de l’art son idéal, à l’écart de la société, en marge des autres, tel que Courbet l’a représenté dans son grand tableau « L’Atelier du peintre » dans une allégorie de sa vie artistique. Baudelaire s’y tient si loin de tous qu’il manque de sortir de la toile, loin des élus qui « vivent de la vie », absorbé dans la lecture d’un livre, trouble-fête égaré dans le magasin d’images et de signes, ne se soumettant à d’autre gouvernement que celui de l’imagination et se royaumant dans le plaisir aristocratique de déplaire (à condition d’oublier le corps de phrase qui précède la fameuse expression : « Ce qu’il y a d’enivrant dans le mauvais goût, c’est le… »). Qui dira jamais mieux que lui la jouissance qu’il y a à élire domicile dans le nombre ?
En nous invitant à aller voir au-delà du double stéréotype qui lui colle aux basques (poète maudit et provocateur dans la mystification), l’exposition contribue à le présenter comme le polygraphe de la modernité à travers ses critiques (ses comptes rendus des Salons de peinture demeurent une référence pour les historiens de l’art), de quoi enrichir notre image d’un auteur unique et protéiforme, comme ils l’étaient presque tous alors. Son injonction« n’importe où hors du monde » a assigné à la poésie la mission de plonger au fond de l’Inconnu (plutôt que l’Infini, ce fameux ailleurs, mais ça se discute encore) pour en extraire du nouveau. Sa solitude ne peut se comprendre sans une référence au mal romantique de l’Homme Supérieur. Son dandysme prend racine dans le culte de la différence, « stoïcisme aristocratique qui se pare pour se séparer ». I
l s’enivre d’humiliation et non d’humilité. Son orgueil, sa solitude présente, le soutient dans sa haine sauvage contre les hommes. Un orgueil assis sur le pressentiment d’une haute survie littéraire. Que lui importe de n’être pas aimé puisqu’il sera de ceux dont on se souvient, du moins est-il convaincu. Il « sait » qu’un jour les effets de sa contre-littérature, cette poésie d’intimité qu’il interpose entre lui et le public, s’estomperont pour laisser s’épanouir chez les lecteurs son génie profond. Sans conviction car sans ambition, le dilettante appliqué, qui porte haut le dogme de l’Art pour l’Art, ne méprise rien tant que la littérature socialisante. La démocratie peut-être, où des malheureux tombent « comme un papillon dans la gélatine » après s’être pris au piège de la souveraineté populaire, cette « tyrannie des bêtes ». A la suite de Georges Blin, maître de Robert Kopp, il faut lire le drame de Baudelaire comme un mouvement mystique marqué par le refus et l’absence de compromis, et le célébrer pour avoir introduit la conscience de la modernité mais avec une langue classique. Mais de grâce, si c’est pour vulgairement l’instrumentaliser au profit de pâles gloires contemporaines, qu’on lui fiche la paix !
L’écrivain Antonio Munoz Molina a visité à Paris l’exposition Baudelaire et il en tire des leçons sur notre regard http://bit.ly/2iLkAWZ
(« Baudelaire par Courbet », vers 1848, huile sur toile ; « Baudelaire par Emile Deroy », 1844 ; « Baudelaire » photographies de Nadar, 1855 D.R.)
1 018 Réponses pour Baudelaire plus que jamais « n’importe où hors du monde »
WWG c’est quand même plus sérieux que le Chaloupet
République de Phiottes : JC PRÉSIDENT
@ Jibé
« On connaissait le contre Sainte-Beuve de Marcel Proust et on découvre ici le, systématique, contre-WGG de Pablo et Chaloux »
Tu es un très mauvais observateur des « évenements » du blog. Tu n’as pas encore compris que c’est toujours Blabla Widergänger qui déclenche les hostilités. Hier c’est son message: « Laissez-le tremper dans son jus. Comme l’autre foldingue de Pablo75. Les deux verrues de ce blog. » Et aujourd’hui: « Pablo75, c’est le mec qu’en connaît un rayon, hein ! ‘Ttention les yeux ! »
Il est tant que tu comprennes qu’il est maso…
Merci christiane pour ce lien vers l’émission de France Cult.
« Ce blog est un ramassis d’homophobe. »
(Nicolas)
Ah bon? C’est qui les homophobes?
Un lien intéressant à ouvrir sous « le musée de l’amour ». Peut-être des réponses pour DHH
Clopine devrait lire le grand article que Baudelaire a consacré au rire dans Le Portefeuille, en date du 8 juillet 1855 : « De l’essence du rire et généralement du comique dans les arts plastiques ». C’est d’ailleurs, comme le signale Alain Vaillant, « le seul essai théorique de toute la littérature française qui soit explicitement et totalement consacré à la question du rire qui est au cœur de l’sthétique baudelairienne comme le montre Alain Vaillant dans son « Baudelaire, poète comique ».
S’il est maso, avoue que vous êtes un peu sado,Chaloux et toi…
Bin Ouellebec, comme dirait Milou, qu’est-ce qu’il prend… Même dimanches et jours fériés ! L’est ficelé, là…
..heureuzment que tu fais rempart de ton corps baroz entre ce pove dracul et ces deux duponts d’escadron dla muerté
c’est comme serdgio faut toujours qu’il prenne la défense des ratés dla création édenté..y’a qu’a splainde a yavé..nous on est pas responsabe ni coupabe
Ah bon? C’est qui les homophobes?
suivez mon rgard
keupu..ta gueule
@ Chaloux
« Il y a des êtres à travers lesquels Dieu m’a aimé », c’est tout ce que je connais du philosophe inconnu.
« J’ai vu la marche des docteurs philosophiques sur la terre; j’ai vu que par leurs incommensurables divagations, lorsqu’ils discutaient, ils éloignaient tellement la vérité, qu’ils ne se doutaient seulement pas de sa présence; et après l’avoir ainsi chassée, ils la condamnaient par défaut. »
(Louis-Claude Saint-Martin)
« Que les hommes son bêtes de se croire en vie! »
(Id.)
« La société du monde en général, m’a paru comme un théâtre où il faut continuellement passer son temps à jouer son rôle et où il n’y a jamais un seul moment pour l’apprendre. La société de la sagesse, au contraire, est une école où l’on passe continuellement son temps à apprendre son rôle et où l’on attend, pour jouer, que la toile soit levée, c’est-à-dire que le voile de l’univers ait disparu. »
(Id.)
« Travaillons à vaincre l’apparence qui nous environne. »
(Id.)
« Pour nous maintenir dans l’ordre de la justice et de la vérité, il faudrait ne jamais oublier que nous n’avons besoin que d’une seule chose sur la terre et que cette chose, c’est la vertu de la force, comme étant la seule qui réponde à notre situation. Nous sentons que la science, quoiqu’utile et satisfaisante, ne nous sauve de rien; nous sentons que les prospérités, les joies, les dons même de l’esprit, ne nous sauvent de rien, s’ils ne sont pas appuyés, dirigés et nourris par l’esprit même de la vérité, de la vie et de la force. Nous sentons, au contraire, qu’avec l’esprit de la force, nous avons tout, parce que nous ne l’avons qu’en étant liés à celui qui a tout, qui peut tout, qui dirige tout et qui est tout et que dès lors nous avons de quoi faire face à tous les événements, à toutes les circonstances, […] cette vertu de la force qui n’est autre que la foi vive et active… »
(Id.)
« Rien n’éclaircit l’esprit comme les larmes du coeur. »
(Id.)
« Qu’y a-t-il de plus beau et de plus grand dans le monde qu’un homme qui s’humilie devant Dieu et qui rend dignement l’hommage intérieur et vivant qui lui est dû? Pourquoi l’homme est-il assez malheureux pour ne pas se livrer exclusivement à cette délicieuse occupation? »
(Id.)
« Rien n’est plus aisé que d’arriver jusqu’à la porte des vérités. Rien n’est plus rare et plus difficile que d’y entrer. »
(Id.)
On ne peut pas comprendre un des poèmes les plus controversés du Spleen de Paris, « Assomons les pauvres ! » sans le relier à ce que Baudelaire appelle le « comique féroce » dans cet article majeur de Baudelaire. Il ne faut pas oublier, comme le rappelle Alain Vaillant, que Rabelais était pour Baudelaire comme pour Flaubert ou Théophile Gautier, le grand écrivain français par excellence, ce qu’il est encore pour Céline. Mais quand j’ai objecté à J.-Cl. Milner qu’il avait oublié Rabelais dans sa Voie française pour définir la paideia à la française, il m’a répondu, méprisant, « Mais qui lit encore Rabelais de nos jours ? » Réponse tout à fait symptomatique de notre époque qui, après Céline, l’a en effet oublié alors qu’il était central dans le Panthéon baudelairien et de son époque. Il n’empêche que Luc Brisson, le traducteur de Platon m’a rejoint pour donner tort à Milner. Rabelais ça compte…!
« il est maso… »
Oui, Jibé, il faut que opères ta révolution intérieure. Nous sommes bons avec Blabla. Je dirai même plus : nous le comblons.
la tienne bouguereau mon larbin
Blabla : »Luc Brisson, le traducteur de Platon m’a rejoint « .
Surement pas pour longtemps.
Mais qui lit encore Rabelais de nos jours ?
milnère dracul est un hymbéciye qui s’autorise à causer comme mon larbin en leur nom à tous..il est légitime
nous nous hon..tant il savent que quand il osent un je ils se voient henflé et crapoteux
@ Jibé
« S’il est maso, avoue que vous êtes un peu sado, Chaloux et toi… »
Nous on aime la boxe dialectique (moi, en tout cas). Et mettre les points sur les i dans les thèmes qu’on connaît bien. Mais je préférerai que Blabla Widergänger ne dise pas des bêtises. S’il n’était pas dans ce blog il n’y aurait aucun « sadique » ici. D’ailleurs, récemment il est parti quelques jours et il n’a pas eu la moindre bagarre. C’est lui qui fo.ut la mer.de dans cet endroit tout le temps.
Bonjour,
Voici « contre Houellebecq » un pense-bête idiot de ma façon qui pourrait bien vous intéresser :
http://academie23.blogspot.fr/2014/04/pense-betes-idiots-par-daniel-cabanis-6.html
Cordialement,
DC
Pour boumou mon pot de chambre, l’enfer c’est les autres. C’est dur, hein, boumou, l’altérité pour un cloporte de ton espèce.
Pablo75 est ce que Baudelaire appellerait sans doute un « comique significatif »…
Qu’est-ce qu’on peut répondre à un pauvre hère comme Blabla qui vous dit qu’il faisait mieux qu Borgès à 17 ans, qui ment tout le temps, qui n’a rien lu mais passe son temps à lire Wikipedia en diagonale pour avoir l’air.
L’air de quoi? Pas bien difficile à trouver.
Chaloux a passé sa journée à ruminer des vengenaces rances contre Widergänger… chaloux c’est un cerveau pris dans l’acide du matin au soir.
pour ne pas désespérer notre climatologue préféré, j’ai nommé le graaaand ML, dont le maître à penser en la matière est d.onald t.rump
faut avouer qu’il s’en donne du mal..chaloux bien poigné c’est l’paradis..mais c’est dsa condition
ça n’empèche pas que t’es con dracul..va pas croire que tu trachètes au prorata..bon y’a baroz qu’est mari de te voir houspillé..c’est une bonne âme baroz..toujours a défende les petits malingres..t’as dla chance
Blabla Widergänger ne parle jamais directement des textes, de son expérience personnelle de lecteur, de ses réflexions et méditations sur un livre ou un auteur. Il commente toujours des commentateurs de commentateurs. Au lieu de lire les livres importants il n’a lu que des articles sur des livres qui commentaient les livres importants.
C’est quelqu’un qui a besoin d’un gourou qui lui explique la réalité pour pouvoir s’en faire une idée. Sinon il ne la voit pas. Il a passé toute sa vie dans l’Éducation Nationale mais il vient seulement de comprendre il y a quelques jours ce qui s’y passe grâce à Zemmour.
Widergänger dit: 18 janvier 2017 à 18 h 06 min
Chaloux a passé sa journée à ruminer des vengenaces rances contre Widergänger
Mais pas du tout, Blabla. Je pense que tu es un pauvre type en déshérence, complètement égaré, mais surement pas un mauvais bougre, et je n’ai rien contre toi. Mais tes sottises à propos de Baudelaire et Proust, cette folie de vouloir régner avec des inepties, des poèmes qu’on n’éditerait pas sur un papier de carambar pour ne pas déprimer les enfants, des explications de texte sans queue ni tête, toute cette esbroufe qui ne trompe personne ça me fait réagir. Sois toi-même, un pauvre type qui ne sait pas grand chose et qui a beaucoup de leçons à recevoir, et tu verras, ça se passera très bien avec moi. Je te le promets.
gazole dit: 18 janvier 2017 à 18 h 07 min
T’as rien compris, mon pauvre chéri ! Il ne s’agit pas de nier le réchauffement climatique, mais de décoréler ce réchauffement à l’activité humaine. S’il y a réchauffement du climat, sa cause n’a rien à voir avec l’activité humaine. La preuve en est que le Groenland fut un jour vert comme son nom l’indique alors qu’il n’y avait pas de gaz à effet de serre produit par l’activité humaine sur terre à l’époque. Trump n’a peut-être pas tort. Et Attali reste sceptique lui aussi, et il est ingénieur polytechnicien. Il ne parle pas dans le vide, comme toi, brave plouc avec la tête farcie de clichés et manipulé par le conformisme ambiant.
Bref, chaloux serait un ravi de la crèche si Widergänger était aussi kon que lui… Lui, ça doit être un « comique absolu » dans le classement baudelairien.
boumou qui n’a jamais « poigné » personne mais qui a été dominé par tout le monde s’en donne à cœur-joie par correspondance. La correspondance, c’est le salut des foi.reux. Et même, ça se voit pas trop, hein boumou, mon vieux pot de chambre…
http://edition.cnn.com/2016/01/23/politics/donald-trump-shoot-somebody-support/
Sois toi-même, un pauvre type qui ne sait pas grand chose et qui a beaucoup de leçons à recevoir, et tu verras, ça se passera très bien avec moi. Je te le promets
sapré chaloux..je..je est un brave type..pas du tout une âme de flic
Pablo c’est l’homme du ressentiment qui projette sur autrui toutes ses frustrations de petit bourgeois humilié par la vie. Triste ! Très triste.
Une bonne police c’est l’assurance-vie d’un état.
Et Attali reste sceptique lui aussi, et il est ingénieur polytechnicien
dracul n’a pas une âme de flic..c’est un bon citoyen..trop..réagit dracul
Triste ! Très triste.
Blabla est « triste, très triste », parce que Pablo ne fait pas semblant de lire comme lui. Il lit vraiment. Un monde dans lequel des gens lisent vraiment est inhabitable pour Blabla.
Une bonne police c’est l’assurance-vie d’un état
larbin havec des phantasmes de larbin..c’est dta condition..mais…poigner vilain
boumou, tu n’es qu’un gros foi.reux par correspondance. Triste! Très triste.
chaloux c’est le genre d’imbécile qui croit que répéter mille les mêmes inepties va les rendre vraies… Il croit à la magie, c’est un stakhanoviste du moulin à paroles. Il ne se rend même pas compte qu’il ennuie simplement.
Widergänger dit: 18 janvier 2017 à 18 h 33 min
Il ne se rend même pas compte qu’il ennuie simplement.
Blabla-transfert.
Réponse à une sorte de nouvelle provocation autour de Polanski :
« Appel au boycott après la nomination de Polanski comme président des Césars 2017 »
Les Césars ont-ils besoin d’un parfum de scandale pour rehausser leur crédibilité ? Si tel est le cas, le choix de Polanski comme maître des cérémonies est bien trouvé.
@ » C’est d’ailleurs, comme le signale Alain Vaillant, « le seul essai théorique de toute la littérature française qui soit explicitement et totalement consacré à la question du rire qui est au cœur de l’sthétique baudelairienne comme le montre Alain Vaillant dans son « Baudelaire, poète comique ». » le poltergeist .
Je lis dans ce cahier de L’Herne :Alain Vaillant, professeur de littérature française, Paris Nanterre. Il est spécialiste du romantisme et du XIXème siècle en général.
Il a écrit un article merveilleux de finesse
« Houellebecq, génie du comique absolu », où il ne cesse d’interroger la fraternité entre Baudelaire et Houellebecq. Y compris pour ce qui est de l’art.
Il pointe essentiellement cette forme d’innocence de Michel Houellebecq, entendue comme un regard neuf; la même que l’on retrouve chez les enfants. Sans volonté de convaincre, elle est là.
Ce message pour Paul Edel.
Car pour ce qui est du billet, il n’est pas nécessaire de se battre éternellement contre un tout-sauf-Houellebecq atavique.
Ceux qui appellent au boycot de Polanski, ce sont tous les frustrés haineux du genre chaloux et Pablo75 sur ce blog. Ils haïssent l’intelligence, le talent, la bonne humeur. Ils ont un amour prononcé pour la haine. La vie la a humiliés, ils se vengent de leur médiocrité. Très classique. Dans un cas comme dans l’autre l’antisémitisme se cache derrière mais de plus en plus ouvertement maintenant dans notre pays.
Car pour ce qui est du billet, il n’est pas nécessaire de se battre éternellement contre un tout-sauf-Houellebecq atavique
bien ou mal..polo ou atavique..qu’on cause de lui..mediomme is the massage..c’est la loi d’l’internet robinoud..et lassouline ne sait qu’ça..y’a des gens dont il ne dit rien pour leur plus grand mal
l’antisémitisme se cache derrière mais de plus en plus ouvertement maintenant dans notre pays
c’est mignon dracul..qu’ont telle besoin le talent l’intelligence de la bonne humeur de se tirer du col..thinkovit
Et dire qu’on en est là : évoquer le génie de Baudelaire en contrepoint de celui de Houellebecq, parler de l’un pour établir des analogies avec l’autre, convoquer à son corps défendant l’ombre tutélaire de l’incontestable poète qui continue à dominer les lettres françaises depuis un siècle et demi pour consolider la réputation de celui que les medias veulent à tout prix nous vendre comme le Grand-Poète-de-son-époque… Quelle misère intellectuelle et quel triste signe des temps ! Il suffirait pourtant d’expédier la chose, et l’Autre autoconsacré par son propre pavé de l’Herne
La hargne de cet incipit assez clairement anti-houellebecquien me paraît assez superflue, surtout s’agissant de rendre compte d’une sympathique expo à la manière des guides touristiques de Jacques Barozzi. Que l’on trouve assommant le battage des médias en quête de génies, soit. Mais enfin, il est licite et intéressant d’explorer les affinités entre Houellebecq et Baudelaire et un rapide parcours des ressources disponibles sur internet m’a convaincu que ce rapprochement n’était pas nouveau.Je lirai avec intérêt le « pavé » des Cahiers de l’Herne, auquel « Le Monde des livres » a consacré un article élogieux, et qui n’est pas, que je sache, une entreprise d’auto-consécration. Ce n’est pas à l’aide de quelques furibards anathèmes qu’on se débarrassera de l’oeuvre d’un de nos écrivains contemporains majeurs et qu’on en annulera l’importance. Son cas mérite un examen attentif et, si possible, serein, en y mettant, bien entendu, la dose d’empathie nécessaire à une évaluation éclairée.
Son cas mérite un examen attentif et, si possible, serein, en y mettant, bien entendu, la dose d’empathie nécessaire à une évaluation éclairée
c’est bien dit..et il restera au moins comme les artiss contemporains et les fouteux ou les gladiateurs du temps dla rome hantique..caisse qu’on peut comprende nous de la sueur des survivants de l’arene mis en bouteilles et vendu aux enchères..
Blabla » Ils haïssent l’intelligence, le talent, la bonne humeur. »
Blabla, tu devrais faire animations dans les supermarchés.
Pour le reste, ton post tombe sous le coup de la loi. J’espère que P. Assouline va te faire le cadeau de le supprimer. Sinon, on s’expliquera en direct sur cette question.
Polanski ? Qu’est-ce qu’il a fait, le pauvre, pour qu’on le boycotte ? Trop de talent, sans doute.
une évaluation éclairée
________
On l’attend en vain de jean précisément, qui se contente de reproduire les clichés qu’il avoue lui-même innombrables sur internet.
C’est pas parce qu’on te dit, mon jeanjean que Houllebecq et Baudelaire c’est idem, que faut le croire. La critique est paresseuse, c’est tout. À rapprocher abusivement ces deux auteurs, on se condamne à ne les comprendre ni l’un ni l’autre.
C’est chaloux qui tombe sous le couperet de la loi pour konnerie aggravée, propos rances, débiles, infatués et antisémites. Eh, oui, mon pauvre chéri, t’es simplement une petite merbe !
Alain Vaillant n’écrit absolument pas que Houellebecq et baudelaire c’est idem.
Ce professeur leur trouve en comme une « folie » littéraire.
Je dirais plutôt bien construite.
Folie, du latin folia (feuille) désignait depuis le Moyen-Age une résidence de campagne entourée d’un jardin arboré. – ce que les italiens de la Renaissance appellent villa – : folie Méricourt, folie Regnault. Sous Louis XIII, la folie Rambouillet, rue de Charenton, était célèbre (cf. Châteaux et folies de l’est parisien).
A partir de la Régence le terme désigne à la fois une demeure luxueuse et une « petite maison », où les gens fortunés, aristocrates ou non, recevaient leurs maîtresses et dans laquelle ils faisaient des « folies » (1). Vers la fin du siècle et, plus tard, de la Révolution à la Restauration, le terme désigne de vastes jardins présentant diverses attractions ouvertes au public, des Vauxhalls, terme et concept importé d’Angleterre.
http://paris-atlas-historique.fr/33.html
Blabla, j’ai fait deux copies d’écran que je commence par envoyer au rectorat dès demain matin.
oups, manque une majuscule au » patron »
Alain Vaillant n’écrit absolument pas que Houellebecq et Baudelaire c’est idem.
chaloupe, votre sketche de délation, – comique de répétition, mauvais genre au théâtre-sur la RDL est comment dire: éculé.
LDVB, l’accusation d’antisémitisme est très grave. Je peux plaisanter avec tout sauf avec ça. La lettre partira demain en recommandé avec accusé de réception. Il ne s’agit en aucun cas de délation mais de légitime défense. Je tiens à mon honneur.
l’accusation d’antisémitisme du poltergeist ?
si tous ceux qui sont disparus, morts et enterrés depuis qu’il fait son dieudonné , avaient déposé plainte, les tribunaux seraient encore plus surchargés.
Il a seulement de la chance de ne m’avoir eu comme parent d’élève. Là, oui, on aurait » rigolé ».
LDVB, ce n’est pas négociable. La lettre partira demain.
chaloupe, je ne bosse pas aux PTT; mettez bien vos coordonnées.
Bien sûr, LDVB, dans un recommandé, comment voulez-vous faire autrement? Ça m’ennuie un peu pour lui, mais il faut le responsabiliser. C’est une nécessité qui sera bénéfique pour son avenir.
Heure par heure, comme une fleur qui s’ouvre,
Les vérités fleuriront,
Car le soleil peut pâlir et nous manquer les étoiles;
La Loi de Dieu demeure;
Sa splendeur éclate, son influence croît
Au lent travail de la nature,
Du menu zoophyte aux Grand Maîtres de Tout,
A travers les millions d’années.
C’est pas parce qu’on te dit, mon jeanjean que Houllebecq et Baudelaire c’est idem, que faut le croire. (Widergänger)
C’est justement parce que je ne le crois pas que l’exploration des affinités entre l’un et l’autre m’intéresse. Entre affinités et identité, la distance est considérable ! Déclarer tout de go que Houellebecq est le Baudelaire de notre temps, c’est idiot. Estimer en revanche que, par-delà la distance du temps, il existe des affinités,et même des points communs, voilà qui mérite, à mon avis, une étude attentive, toute en finesse !
Là, avec chaloux, on est dans le comique houllebecquien, le comique féroce hihihihihihihihi
Il a son honneur à défendre, ce trouduculte, mais il est hypercomique !
Blabla, il faut rire tant que c’est possible. Tu va encore te faire convoquer. Tu riras moins. J’ajoute un page à mon envoi.
Il va bien finir par se retrouver avec la camisole de force, le pauvre !
J’ajoute un page à mon envoi. (le divin chaloux)
_______
Oui, c’est cela, mon petite chéri, un page, avec une belle petite culotte, hein, surtout…!
Il est hyperdrôle, ce soir, hihihihihihihihi…
Copie au proviseur du collège CXXXXXX. Ah, la paperasse.
Le positif, l’émotionnant, le comique dans toute cette polémique entre Baudelaire et Houellebecq, c’est de voir la revêche et stérile LVDLB avoir les yeux de Chimène pour Paul Edel !
Hihihihihihihihi
Oui, c’est la source du second fou rire de ce début de soirée…
Elle aussi. On croit entendre le couinement du robinet de cubi. Les producteurs de vin de table n’ont pas de souci à se faire.
bas rosis, que vous entriez dans l’église « les pieds devant », comme ce souvenir m’est resté d’un commentaire très pertinent, s’avère assez erroné dans le temps.
La queue devant, plutôt.
Et quand on dit « vin de table », on devrait plutôt dire vin de carrelage ou de moquette.
chaloupe, j’espère que la RDL, aura la suite de vos soirées » de lion ».ie imbibées, dans mon bled.
D’ici à ce que demain matin, vous ne soyez qu’un couillon, aux amours tarifés, on verra bien.
chaloupe, on reconnaît bien là votre attitude de petit notaire de province, éméché, qui monnaie son petit plaisir, pour excuser son impuissance.
Ce soir, Blabla va aller se coucher « tout habillé, avec ses chaussettes », comme dans son inoubliable poème. C’est certain.
Et LDBV (ordre contrarié, cas de force majeure) va finir roulée sous son lit comme un vieux tapis.
La lettre du corbeau chaloupe est loin d’être affranchie. Il va cuver.
Un comble, sur le billet du traducteur de Poe.
LVDB, je ne bois jamais d’alcool, un verre de vin de temps en temps, très rarement, jamais d’apéritif, de digestif, rien. De l’eau exclusivement.
De l’eau ferrugineuse. Bien sûr.
« tout habillé, avec ses chaussettes »
Je plaide coupable, on se pèle aussi ici tout seul au fond du lit.
Chaloux j’ai du Champagne, est’ce que vous en buvez?
De plus si vous $etes impuissant ce n’est pas grave, ne craignez pas le reproche, nous parlerons.
Flinguer tous les affreux …
En 1904, raconte Jules Renard, Jarry s’exerce au tir à la carabine dans son jardin et les plombs tombent de l’autre côté du mur, à la grande terreur de sa voisine. « Vous allez tuer mes enfants ! » lui dit-elle. Et Jarry de lui répondre : « nous vous en ferons d’autres, madame ! ».
Ce soir le silence est trop nombreux ; adios
la Vie danslbois cpa faux;: Ouellebec étun pamauvé auteur comique.; le treubeul cékil est pas vendu pour,ilfé tourner laplanchabillé bolo et personne bronche;wig 18.59 sur lboycotte dedpolonski tu charres!; Tvois dlantisemitissm partout,kton obsession legitimaudebut smord la queue;:jvais trepondre ldessus chez Annelise;.;ress calme,tuTfé dumal sans bienfé pour Roman..;
Bérénice, je bois du champagne deux fois par an, avec mon épouse. Pour le reste, ne vous laissez pas embobiner par une vieille poivrote de province. Tout va bien.
à 21 h 24 min
manu, tu peux requépépéter la question in french.
Because, reviens me causer, avec la bouche propre, lorsque tu auras lu cet article d’Alain Vaillant.
LVDB, je vous assure qu’à jeun la prose d’Emmanuel est tout à fait lisible.
Ca a l’air passionnant ce Velbecq, vous l’avez lu?
Rêve
On a faim dans la chambrée –
C’est vrai…
Émanations, explosions. Un génie :
« Je suis le gruère ! » –
Lefêbvre « Keller ! »
Le génie « Je suis le Brie ! » –
Les soldats coupent sur leur pain :
« C’est la vie ! »
Le génie. – « Je suis le Roquefort ! »
– « Ça s’ra not’ mort !… »
Je suis le gruère
Et le Brie !… etc.
Valse
On nous a joints, Lefèbvre et moi, etc.
merci passou pour ce très bel article sur welbec.
chaloupe, entre deux verres, d’eau n’oubliez pas de poster votre lettre. Histoire de voir où vous en êtes. Ne pas le faire réduirait les millions de locuteurs du français auquel s’adresse ce blog à penser ce que vous êtes: un con.
_______________________________
Si la rencontre avec Delacroix sur le plan esthétique a été parfaite, Baudelaire n’a pourtant jamais été admis dans l’intimité du peintre, qui appartenait à une autre génération et à un autre milieu. C’est le contraire qui s’est passé avec Manet. Le poète était suffisamment proche du peintre pour lui emprunter plusieurs fois de l’argent et Manet a non seulement exécuté plusieurs portraits de Baudelaire – dont celui qui représente le poète de profil en chapeau haut de forme est repris dans La Musique aux Tuileries – , mais aussi de Jeanne Duval. Il n’empêche. Lorsque Manet se plaint à Baudelaire, alors à Bruxelles, de l’accueil réservé à son Olympia, Baudelaire lui répond par une lettre qui montre sa totale incompréhension : « Croyez-vous que vous soyez le premier homme placé dans ce cas ? Avez-vous plus de génie que Chateaubriand et que Wagner ? On s’est bien moqué d’eux cependant ? Ils n’en sont pas morts. Et pour ne pas vous inspirer trop d’orgueil, je vous dirai que ces hommes sont des modèles, chacun dans son genre, et dans un monde très riche et que vous, vous n’êtes que le premier dans la décrépitude de votre art. » Persuadé de vivre la fin de la grande poésie, la fin de la grande peinture, Baudelaire appartient à un monde de décadence. La modernité, c’est aussi la disparition du public qui avait encore été celui des romantiques de la génération de Victor Hugo.
http://blog.romanischestudien.de/loeil-de-baudelaire-exposition/
Pat V, quelque chose à redire ?
Et un gros ! Énorme ! Le gros des gros…
penser ce que vous êtes: un con.
vous n’avez pas toujours dit ça, du moins c »était un con satisfaisant ou vous faisiez semblant?
Bonne nuit, Paul Edel.
LVDB, vous pensez si je m’en fous.
https://fr.wikisource.org/wiki/Exposition_universelle,_1855,_Beaux-arts
Bonne et belle nuit ma belle !
@LVDB
Si un homme qui renonce à se défendre est ce que vous dites, comment qualifiez-vous celui qui calomnie aussi gravement et injustement un autre homme? Franchement, si les « millions de lecteurs » de ce blog auxquels vous faites allusion condamnent d’abord le premier, je ne donne pas cher de leur jugement ni de leurs personnes. Ils sont comme s’ils n’existaient pas.
(tout peuple est académique en jugeant les autres, tout peuple est barbare quand il est jugé),
restez au chaud LVDLB !
Même la camarade Onfray s’invite dans le pseudo débat (Décadence, p. 36) : « Personne ne choisit d’être ce qu’il est, car nombre d’individus auraient choisi autre chose que ce qu’ils sont s’ils en avaient eu la possibilité. Baudelaire n’a pas plus choisi d’être poète que celui qui voudrait être Baudelaire n’a choisi de n’y point parvenir. La puissance poétique touche l’un ; elle épargne l’autre »…
Et on se demande qui est le plus à plaindre dans cette affaire-là : Assoul ? Baudelaire ? Chaloux ? Houellebecq ?
Janssen, diriez-vous que vous souffrez davantage de votre bêtise ou de votre bassesse?
Baudelaire critique d’ art..Même s’ il n’ instaure pas le moment inaugural de la critique d’ art, il pose cependant le problème.
A écouter ici :
http://archives.diffusion.ens.fr/data/audio/2011_02_11_brunet.mp3
…
…beau texte » emballage cadeaux « ,!…
…
…il est vrai, que je m’en fout,!…
…
…dire, que nous avons évoluer,…et que, subsiste des lecteurs absents,!…
…
…des considérations sur une doxa des critiques d’il y a seulement 150 ans,!…
…
…et refus de cette modernité de ce passé,!…
…et, puis, on s’étonne, que Bismarck, s’est fait un sandwich à Versailles,!…
…
…la stratégie du beurre à se mettre entre poésies profondes,!…
…
…de la personnalité, et lisait t’il Tolstoï,!…à la FNAC,…de 1850,!…en attente de Napoléon III,!…
…à nos rétrogrades aux poncifs sur châteaux en berne,!…
…
…qu’est ce qui nous attend,…à mieux refaire ses châteaux sur mesures,!…
…une surveillance aux » lasers » croisés,!…touché la tortue,!…
…etc,!…participons,!…Goths,!…
…
…s’en foutre, et dire, qu’il y à moyen, qu’il n’y ait jamais aucun pauvres,!…
…de la, à la Bourse,!…
…mais, que faisons-nous de toutes ces fortunes,!…des bibles » ô’clock « , of course,!…etc,!…
…mentalité, quand tu nous tient, quels miracles d’esprits,!…se sortir des académismes » modernes « ,!…
…toutes ces poupées » morales « ,à gonflés,!…quel boulot,!…de l’aide,!…
…
…alors, juste une demi,!…de bière,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…à leurres,…
NE NOUS FACHONS PAS !
Autant la loi est respectable dans ce qu’elle a de surannée, puisqu’elle est toujours en retard sur la course du monde, autant le blog numérique, qui permet de manier l’insulte aussi fièrement que le paysan conduit son attelage, doit favoriser la grossièreté la plus vulgaire, le mépris le plus clair, le mensonge le plus gros, l’incivilité la plus discourtoise… mais… DANS LA JOIE ET LA BONNE HUMEUR.
N’oublions jamais que nous somme mortels et qu’une journée sans rire, etc,etc … et ne donnons pas de travail à cette race pourrie des magistrats !
barozzi, attelez-vous plutôt à votre goût de la couardise, ce vous sera plus profitable.
Je ne suis pas cliente pour vos » oeuvres ».
Pat V, en fait pour se muscler le fessier, essayez l’aérobic.
…
…un thèmr, le crime organisé ,…pour créer de la pauvreté express,!…voyez-vous çà,!…
…
…alors, de tout les gouvernements, passés & présents, je m’en fou,!…
…
…et pourtant, simples, quelques mesurettes, en lois:…en amont, et par ricochets,!…plus aucune misères possibles,!…
…
…ces artistes ils m’étonneront, toujours,!…
…en attente de commander déjà l’Europe,!…
…Ah,!Ah,!…
…concours de lois,…pour deux fois rien,!…
…
…et, pourtant, dirait Archimède,!…la misère, en tout, vous la voulez,…elle vous sert,!…gardez là,!…
…quel monde d’idiots,!…
…
…après, les arts accomplis,!…
…
…occupons – nous, des politiques en cours,!…et leurs disgrâces assurés,!…
…
…sous quelle bannière chevauché,!…la nudité des comptes courants,!…
…
…toujours » riche « , avec des riens qui s’accumulent,!…Pardi,!…
…
…riche avec des riens,!…comme mesurettes,!…
…
…et maintenant, que vais je faire de tout ce temps,!…des Triomphes en l’air,!…Ah,!Ah,!…Bip,!Bip,!…
…les politiciens, quels bandes de salauds,!…en cœur,!…etc,!…
…mesurettes,!…
…comme les pigeons, attendre l’empereur,!…des cons européens,!…mais, si,!…
…Goths,!…
Le refroidissement climatique se confirme ce matin : de —10 à —15 dans toute la partie nord de la France ! La petite glaciation a commencé…
L’impopularité des candidats de gauche à la primaire est patent : 72% des Français disent comprendre la gifle, les jets de farine et autres insultes contre les hommes politiques.
Macron a une longueur d’avance. C’est Macron qui va remporter les élections face à Fillon, c’est plié à mon avis. Le PS va être éliminé au premier tour ! Une gifle de plus…
Il fait 8° sous abri en ce moment, ici !
Cette douce chaleur hivernale confirme le fait bien connu : la civilisation ne pouvait se développer qu’au pourtour de la Mer Nostre, où les cerveaux et les cœurs ne sont pas frappés par la glaciation* nordique !
*nous avons nos idiots, aussi, mais souvent ils montent à Paris, ou Londres, pour « réussir »….
Le Pen, Fillon, Macron en tête pour le premier tour selon le cevipof. Le PS est éliminé. Une crise politique majeure.
C’est clair en effet que la science est née là où le climat en favorise l’éclosion. La Grèce et avant l’Égypte qui a été le campu univresaire du baasin méditerranéeen durant des siècles dans l’Antiquité. Le décollage de la Grèce, c’est l’accès à l’abstraction, qui a tout changé. La capacité à s’abstraire des données contingentes.
On parle déjà des ruines du PS… Benoït Hamon va être promu grand manitou du PS pour reconstruire le PS sur ses ruines. Ça promet… Le PS ne s’en relèvera pas d’ici 20 ans. En étant optimiste. Parce que d’ici 20 ans, il va s’en passer des choses… La planète risque de péter.
« Un an après la mort d’Eugène Delacroix, Alexandre Dumas est invité à rendre hommage au peintre sous forme d’une causerie donnée le 10 novembre 1864 à la Société Nationale des Beaux-Arts 26, boulevard des Italiens à Paris, où sont exposés plus de trois cents tableaux du maître. »
http://www.alexandredumasetcompagnie.com/images/1.pdf/CauserieSurEugeneDelacroix.PDF
A resignaler par ailleurs, un petit roman qui nous fait entrer dans l’atelier du peintre Delacroix, » la beauté m’assassine » de M. Tourneur.
« le campu univresaire du baasin méditerranéeen »
WGG a-t-il été saisi par la glace ou est-il victime du syndrome édélien ?
@ Pat V
je viens d’écouter ce document mis en lien partant des Salons de Baudelaire pour aller vers Beckett et W.Benjamin. Remarquable !
Donc, elle (je n’ai pas retenu qui parlait) situe Baudelaire dans un moment particulier de la critique d’art, à partir du second Salon où il pose la question : « A quoi bon la critique ? ».
Elle précise bien les règles du « jeu » : un genre de discours sur une œuvre, exigeant une forme. Baudelaire défend le droit de sentir et de jouir face à une œuvre saisie dans sa singularité, de laisser ses sentiments aller, d’éprouver la beauté.
La critique d’esthétique devient un domaine de la philosophie, de la littérature, un texte adressé au lecteur dont le but n’est pas d’interroger la vérité ou le fondement d’une œuvre d’art (ex : est-ce que ceci est une œuvre d’art ?) mais de faire lien entre un souci esthétique et la sensibilité.
Ce texte de Baudelaire, qu’elle lit et commente, est amusant, partial, passionné et poétique. Donc la critique d’art selon Baudelaire serait la restitution de l’équivalence d’une œuvre d’art par un texte (tissage avec le sensible – tessiture de l’œuvre… silence de l’œuvre), destiné aux recueils de poésie et aux lecteurs « poétiques ».
Elle laisse alors Baudelaire pour s’aventurer sur les terres de Beckett et de W. Benjamin. Final grandiose : impuissance à dire déployant le silence de la peinture. Écrire l’impossible traduction. On écrit parce qu’on ne peut traduire. Elle termine sue le silence de la peinture de Manet. Point d’orgue magnifique.
Mais qui parle ? Le savez-vous ?
Musée Eugène-Delacroix
6, rue de Furstenberg
Tél. : 01 44 41 86 50
Métro : Saint-Germain-des-Prés ou Mabillon
http://www.musee-delacroix.fr
De décembre 1857 jusqu’à sa mort en août 1863, Eugène Delacroix occupa en partie le premier étage de l’immeuble sur cour : d’anciens communs du prestigieux palais abbatial voisin, datant probablement de la fin du XVIIe siècle.
Un escalier indépendant desservait directement l’appartement loué par Delacroix, qui bénéficiait de surcroit de la jouissance exclusive du petit jardin clos d’environ 500 m2 avec la possibilité d’y construire un atelier.
Cette demeure bucolique, située au cœur de Saint-Germain-des-Prés, et à laquelle on accède depuis la très romantique place de Furstenberg, est devenue un musée national, rattaché au Louvres, en 1971.
Son ancien salon, sa bibliothèque et sa chambre, désormais dépourvus de meubles, s’ornent de gravures, dessins et peintures de l’artiste et de vitrines d’exposition contenant ses divers objets personnels, notamment ceux ramenés de son voyage au Maroc en 1832, ainsi que des documents et autres lettres autographes.
Parmi les tableaux majeurs que conserve le musée, citons la Madeleine au désert, exposée au Salon de 1845, L’Éducation de la Vierge, peinte à Nohant en 1842 ou encore les trois uniques essais de fresques que Delacroix réalisa à Valmont en 1834.
L’atelier sur deux niveau qu’il s’était fait construire, rénové ainsi que l’ensemble du musée et de son jardin en 2012, est le lieu d’expositions temporaires, telles Fantin-Latour, Manet, Baudelaire : L’hommage à Delacroix (2012) ou Eugène Delacroix le plus légitime des fils de Shakespeare (2014).
Mentionnons encore que le musée organise des visites individuelles, des ateliers de dessin pour les scolaires ainsi que divers spectacles et conférences.
Un peu des deux sans doute Jibé…
La base, christiane, c’est quand même Diderot et ses Salons un siècle avant Baudelaire. C’est d’ailleurs par une évocation des Salons de Diderot que commence l’exposition.
On reconnaît dans la prose des Salons chez Baudelaire un travail sur la langue qui rejoint celui qu’il pratique dans sa prose poétique. En réalité, en lisant ses Salons, on se rend compte que la prose cadencée des poèmes en prose du Spleen de Paris est déjà à l’œuvre dès 1845-1846 dans ses articles de journaliste. C’est une des découvertes pour moi de cette exposition. Une autre c’est le rôle des cénacles qui ont pu influencer la pensée de Baudelaire et par rapport auxquels il est nécessaire de penser son discours des Salons. L’exposition ne l’évoque quasiment pas. Mais je m’y suis procuré un super ouvrage sur L’âge des cénacles, un ouvrage savant passionnant.
« Ou un macarono… ? »
Vous parlez des « maccheroni », Jibé, je suppose. Singulier, « maccherone ».
En lisant l’article de Baudelaire de 1855 sur le rire, on se rend compte aussi de l’importance de l’art du mime dans sa poétique. Pas tant le mime à la française, Debureau, que le mime anglais dont il parle abondamment dans cet article. On voit bien le rapport esthétique entre ce qu’il appelle le « rire féroce » et le « rire absolu » et la poétique du poème « Assomons les pauvres ! » notamment. Ce poème me semble directement inspiré de l’esthétique du spectacle anglais auquel il a visiblement assisté et dont il parle dans cet article de 1855. Tout le génie de Baudelaire a consisté à faire la synthèse entre une telle esthétique, les problèmes de son temps (la croyance au progrès, le socialisme, la pauvreté urbaine du prolétariat) et l’art de l’apologue tel qu’il a pu le lire chez Rabelais dont il parle aussi dans ce fameux article sur le rire, avec l’arrière-fond chrétien de sa pensée toujours et une méditation complètement réactualisée sur la charité chrétienne. On a vraiment l’impression d’entrer ainsi dans les coulisses de son travail d’écrivain qui bricole une synthèse avec des éléments très disparates qu’il réussit à faire vivre dans une vision proprement originale et qu’on peut qualifier de baudelairienne du problème de la pauvreté.
L’hyperbole est la figure majeure qu’il utilise dans sa poétique des petits poèmles en prose, et notamment de manière flagrante dans « Assomons les pauvres ! ». Il reprend l’art de l’hyperbole dont il parle à propos de l’art du mime anglais. S’il n’avait pas eu ce modèle en tête, nous n’aurions jamais eu un tel poème qui est un des plus spectaculaires du recueil de poèmes en prose.
Todd Webb :
Todd Webb, 1946 (Renato)
En voilà un, Todd Webb, que la Seconde Guerre Mondiale n’a pas arrangé : quelle platitude !
@Widergänger dit: 19 janvier 2017 à 8 h 18 min
Oui, Les Salons de Diderot je les ai lus. Ceux de Baudelaire, je ne les connaissais pas. Dans cette conférence mise en lien par Pat.V, ils sont évoqués au début mais rapidement elle centre son analyse sur ceux de Baudelaire et en particulier sur celui de 1852. Écoutez, c’est vraiment intéressant et le final vous plaira.
ML certains s’écoutent parler, d’autres se regardent écrire! votre prétention à un savoir encyclopédique (Ufologie, maths, littérature, météorologie, contacts avec l’au delà, physique quantique, Histoire ) est carrément pathétique. Il y a une seule chose dont vous ne pouvez vous vanter: le sens de l’humour (ça vous fait au moins un point commun avec Baudelaire!) .
pour ce qui est de votre poésie en devenir je vous rappelle le mot d’esprit de je ne sais plus qui « comme un mauvais homme reste un homme, un mauvais poète reste un poète »
Fr. Hollande brigue maintenant la présidence du Conseil européen. Il s’est sans doute promis de rendre l’Europe aussi impotente qu’il a rendu la France à la tête de la présidence de la république…
En voilà un qui parle sans préalablement regarder.
christiane dit: 19 janvier 2017 à 8 h 02 min
Bonjour Christiane!
Il s’ agit de cours ou de conférence à l’ ENS sur la critique d’ art ( d’ où des allusions à des conférences précédentes et à C. Greenberg )on y apprend aussi le pourquoi de l’ intitulé » Salons » et l’ articulation du couplage antagoniste de moderne et modernisme.
Il s’ agit d’ une Dame Brunet que je ne connais pas.
Je relis avec plaisir aussi le catalogue de l’ exposition BAUDELAIRE au Petit Palais- 23 novembre 1968 – 17 mars 1969 – surtout l’ article de Maurice Sérullaz : A quoi bon la critique?
Bien illustré quoique en noir et blanc ce catalogue est remarquable car il reprend chronologiquement les choix de critiques picturales en fonctions de l’ œuvre écrite et publiée ( poèmes, essais critiques et proses poétiques )de Charles Baudelaire.
( C’ est ce texte que je voulais soumettre hier midi avant le sport…)
Bonne journée.
Les chutes de neige les plus importantes en Italie depuis 50 ans ! Début de la petite glaciation ?
Dans ce catalogue, la lettre autographe de Manet à Baudelaire, le critique ne peut dire ( de façon positive et non pas négative comme on l’ interprète trop facilement )que la « décrépitude de son art « .
La critique, le critique écrit la « décrépance » ( expression de Mme. Brunet ) de l’ art.
Si l’ art s’ écroule devant nos yeux qui le regarde alors il faut le reconstruire par l’ écriture.Par le sonnet nous indique Baudelaire…c’ est ce qu’ ont réalisé dans cette continuité toute baudelairienne les plus grands poètes : Reverdy, Ponge, René Char, André Breton voire Henri Michaux envers lui-même!
Wgg,
votre démonstration est hautement peu scientifique pour ne pas dire ridicule. Avez vous ne serait ce qu’une petite notion de ce qu’est la science et plus précisément la science du climat? Permettez moi d’en douter.
les opa des chieur d’encre sur l’art c’était l’époque..il nous sauvra de tout..dla vérole qu’il a dit nitzlche..m’font penser a ces draculs qui se font des cataplasme de tora au gras dcochon pour sprotéger du froid qui les prend..çui du soleil noir qui les géle et dont y voudrait faire greloter lenviron
Si l’ art s’ écroule devant nos yeux qui le regarde alors il faut le reconstruire par l’ écriture
..ben voyons..grace a nos ptis bras on tiendra mieux sur la croix..aux chiottes
« Ceux qui appellent au boycot de Polanski, ce sont tous les frustrés haineux du genre chaloux et Pablo75 sur ce blog. Ils haïssent l’intelligence, le talent, la bonne humeur. Ils ont un amour prononcé pour la haine. La vie la a humiliés, ils se vengent de leur médiocrité. Très classique. Dans un cas comme dans l’autre l’antisémitisme se cache derrière mais de plus en plus ouvertement maintenant dans notre pays. »
Blabla Widergänger, le trou du c.ul du blog, s’énerve quand on lui met le nez dans ses crottes « lyriques », qui puent la nullité la plus définitive. Il se met alors à aboyer, se compare à Polanski et ose dire que ceux qui le mettent à poil ici (je plains les médecins ou les pu.tes qui sont obligés de le voir nu) sont des antisémites, alors que cette ordure n’est pas juif. Bientôt il va nous raconter qu’il est une victime d’Auschwitz, que son chaos mental pathologique, sa mythomanie maladive, ses mensonges systématiques, sa con.erie inguérissable sont des séquelles de la Shoah.
En voilà un qui parle sans préalablement regarder
ha la chasse à la gueule sauvage c’est bien finitos rénateau..mainan le photographe doit slever à 4 heure du mat pour ête bien sur qu’ait pas personne..j’en connais un qui dmande a ses potes de l’accompagner..pour faire les figurants badeaux dans la rue deserte..dracul y frait bien havec des stalagtite de glace dans sa barbe
alors que cette ordure n’est pas juif
polanski ou dracul..hon voudrait en rire..mais l’coeur y est pas..
Mais il est clair que le mot « décrépitude » sous la plume de Baudelaire n’a pas le sens qu’on lui prête aujourd’hui. La lettre de Baudelaire à Manet est d’ailleurs très ambiguë. Baudelaire a d’abord en tête la décrépitude de l’art en général et ensuite ce qu’il appelle « décrépitude » n’a de sens que dans une vision globale de l’art qui n’a plus pour ambition l’idéal du Beau, du Bien, du Vrai, mais, comme le remarque Passou à juste titre, un monde décadent où le Vrai est devenu le contraire du Beau. C’est de cette configuration générale de l’art dont parle Baudelaire, et dans une telle configuration il estime que Manet est le plus grand peintre. On est donc très loin d’un rejet méprisant de Manet par Baudelaire pour qui le grand peintre restera toute sa vie Delacroix parce qu’il incarne l’idéal qui lui sert de critère pour juger de Manet. C’est aussi en cela que Baudelaire est vraiment une transition entre le monde classique et la modernité. Il est à cheval entre les deux mondes.
pédro mon larbin et dracul en clodo se jetant a la gueule dla crotte gelée..une haleine a couper au couteau sur l’argentique..
« «Quand vous jetez un coup d’œil à l’Europe, vous voyez en réalité l’Allemagne ! L’UE est en réalité un instrument au service de l’Allemagne. C’est pourquoi je pense que le Royaume-Uni a bien fait d’en sortir… l’ouverture des frontières à des pseudo-réfugiés et vrais immigrants économiques dans le contexte actuel de montée de l’islam fascisant et de faillite des régimes de protection sociale est une hérésie » (Donald TRUMP)
Bravo, Donald, t’es le meilleur* !
(*SCOOP : notre cher Donald aurait ajouté off : « quant à Houellebecq nouveau Baudelaire, j’en ai rien à foultre mais je pense que Passou a raison, y vaut rien votre clodo …!)
Todd Webb, 1946 (Renato)
Cette photo est une merbe : j’en juge en homme de goût ! Un goût sûr….uhuhu !
Musée Eugène-Delacroix
vraiment pas terribe jicé..il a du s’y faire chier hautant qu’il le dit..ha moreau y’était hautrement plus péinard..il pouvait vider son pot dchambe sur la tête a degas et dire ‘ha quel sale temps’
Quel robinet à con.neries ce Blabla Widergänge ! Il a une vraie diarrhée mentale et il vient ici tous les jours se vider.
L’UE est en réalité un instrument au service de l’Allemagne
t’es jaloux pasque tu roules en citron cactus qui fume et pas en aodi 250 cv qui évite le hérisson automaticment..chte dis pas cque bojo pense de toi..
Musée Eugène-Delacroix
vraiment pas terribe jicé..il a du s’y faire chyer hautant qu’il le dit..ha moreau y’était hautrement plus péinard..il pouvait vider son pot dchambe sur la tête a degas et dire ‘ha quel sale temps’
Wgg 9h09 , vous savez ce que c’est qu’une « moyenne » ?
http://huet.blog.lemonde.fr/2017/01/18/2016-nouvelle-annee-record-de-chaleur-planetaire/
Camarade Pablo,
Les riches Romains de l’Empire avaient eux aussi des vomitoires semblables à ce blog, vomitorium de prestige. Non pas pour vomir la nourriture, mais pour évacuer la foule qui se pressait aux spectacles de cirque, comme ici …
Pourquoi d’honorables républicains comme nous devraient ils se limiter à papoter comme vieil outil de travail au rebut, bons à se taire sur l’essentiel ?
Vomissons nous aussi notre trop de culture ! Même si Sénèque nous fait la leçon : « Ils vomissent pour manger, mangent pour vomir et ne daignent même pas digérer ces festins qui ont mis à contribution la terre entière. »
Ecoutons Lavande, la voix du GIEC….
le giec..un machin hantisémite comme l’onu
Les Salons de Baudelaire sont inséparables du salon de Mme Sabatier rue Frochot près de la place Pigalle, actif entre 1847 et 1864. C’était un lieu très fréquenté puisque outre Baudelaire qui devint l’amant de la dame Flaubert comme Théophile Gautier l’ont fréquenté, entre autres. C’est un lieu dans le paysage des sociabilités artistiques de l’époque qui hésite entre le salon et le cénacle. On y parle de l’art qui se fait mais aussi de littérature, on joue du piano par une concertiste. Mme de Sabatier des ateliers de l’hôtel de Pimodan, que fréquentera aussi Baudelaire, et se distingue de l’atmosphère plus huppée de l’hôtel de Delphine de Gay/Girardin de la rue Saint-Georges par le ton rabelaisien qu’y fait régner Théophile Gautier. C’est sans nul doute là que Baudelaire pris conscience de l’importance du rire rabelaisien et de ce qu’il nomme son « sens de l’apologue », qu’il développera dans sa poétique du rire.
Je ne l’ignore pas, Lavande. Mais avez-vous pris connaissance des récentes découvertes d’une astrophysicienne britannique sur les deux champs magnétiques du soleil qui aurait une importance non négligeable dans les phénomènes climatiques actuels ? On commence à constater un peu partout sur la planète des températures hivernales plus rigoureuses que la moyenne justement depuis quelques années.
Lavande, vous n’avez pas honte de relayer ce tissu d’ânerie d’un « journaliste » amateur comme HUET, faisant de la politique ?
« Le paradoxe est donc frappant : au moment même où la Nature nous envoie un signal d’alerte sans ambiguïté, spectaculaire même, la plupart des responsables politiques et économiques répondent à la demande populaire tant de moyens de vie que d’un travail pour accéder à ces mêmes moyens par des choix industriels et technologiques pour la plupart fondés sur l’usage des combustibles fossiles. Nier cette contradiction ou espérer qu’elle se résoudra à l’aide de quelques éoliennes – voire de centaines de milliers d’entre elles à l’échelle de la planète – ne permettra pas de la résoudre. »
Huez Huet !
Sylvestre Huet est un mélenchonien déclaré et actif, autant dire un fada à redouter : historien reconverti en scientifique « politique » d’extrême gauche…
Huons Huet !
A quoi peut encore servir la COP 21 ?
par Jacques Attali
Peut-on raisonnablement espérer qu’après tant d’échecs, une nouvelle conférence internationale, à Paris, en novembre prochain, réussisse à maitriser le réchauffement climatique ? De fait, c’est très mal parti :
D’abord, aucun consensus n’existe sur les mécanismes en cause : pour certains, le responsable est surtout le soleil et nul n’y peut rien. Pour d’autres, ce sont les activités humaines, et en particulier l’émission de gaz à effet de serre ; et on y peut beaucoup. Pour d’autres enfin, la température mondiale n’augmente plus depuis plus de 10 ans, le pire est passé et il est inutile de s’en préoccuper.
Ensuite, aucun consensus n’existe non plus sur la nécessité d’éviter ce réchauffement, s’il a lieu : Pour certains, le changement climatique ne doit pas servir de prétexte pour ralentir la croissance, car celle-ci est plus que jamais nécessaire à la lutte contre la pauvreté et le désordre politique ; plus même, ce changement serait bienvenu parce qu’il rendrait cultivables et habitables de vastes étendues aujourd’hui gelées, au Canada et en Russie. Pour d’autres au contraire, ralentir le réchauffement serait fondamental car il constitue une menace pour la vie même : une augmentation de 2°C entrainerait une hausse très significative de la fréquence et de l’intensité des cyclones , des sécheresses des inondations et entrainerait l’extinction de 20 à 30% des espèces animales et végétales.
Alors, qu’en attendre ? Pour les diplomates et les négociateurs actuels, il faudrait y décider de renoncer volontairement à extraire, par un rationnement autoritaire ou par une taxe sur les émissions de CO2, 80 % du charbon connu, la moitié du gaz et le tiers du pétrole. Cet objectif est complétement illusoire et il faut cesser de prétendre qu’on va l’atteindre : Personne ne se résignera jamais à conserver sous ses pieds de tels trésors d’énergie sans jamais les utiliser.
Pourtant, si elle reste sur sa trajectoire actuelle, cette conférence produira, au mieux un vague communiqué moralisateur promettant de réduire significativement les émissions de CO2 d’ici à 2050, date à laquelle tous les négociateurs seront depuis longtemps en retraite, pour le moins. Avec peut être, au mieux, en annexe, un petit financement pour des innovations.
Pour réussir vraiment, la COP21 doit dès maintenant changer totalement d’objectif et de mode de négociation. Elle doit devenir une conférence de lancement d’une économie positive mondiale, c’est à dire une économie au service des générations suivantes. La présidence française doit énoncer clairement, et dès maintenant, que son but ne sera pas de négocier des normes ou des quotas, totalement irréalistes. Mais d’orienter les entreprises et les consommateurs vers de nouvelles façons de produire et de consommer. Et pour cela, de rassembler des financements massifs pour des projets très concrets, faisant par exemple basculer les transports automobile et aérien vers des sources d’énergie électrique d’origine nucléaire ; organisant le transport à longue distance de l’énergie solaire produite avant la tombée du jour en Grèce vers l’Allemagne et du Moyen Orient vers l’Inde ; incitant au développement des technologies d’économie d’énergie et de substitution de l’information à l’énergie, ( telle l’imprimante 3D et l’économie collaborative) . Autrement dit, plus généralement, comprendre que l’altruisme est la meilleure façon de lutter contre les émissions de CO2.
Plus encore, la présidence française devrait avoir dès maintenant le courage d’anticiper sur son échec, prendre acte de ce qu’elle ne pourra sans doute pas imposer une réduction des émissions mondiales de CO2 et concourir au développement des techniques de sa captation : le transformer en carbonate, par une réaction avec une solution basique ; développer des forets sur terre et des phytoplanctons dans la mer, capables les unes et les autres d’absorber le CO2 par photosynthèse. Et plus encore même, oser imaginer comment réfléchir les rayons solaires pour les empêcher de participer au réchauffement, en modifiant le pouvoir réfléchissant des surfaces terrestres, en envoyant des miroirs dans l’espace et en augmentant la brillance des nuages en leur injectant des sels marins.
De magnifiques chantiers, si on ose passer d’une écologie punitive à une économie positive.
Je me permettrai désormais de vous appeler, chère Lavande, …. Mélenchonette !
A titre de réciprocité, vous pouvez m’attribuer le sobriquet qu’il vous plaira d’utiliser à mon sujet. Annelise, duchesse de l’écran noir, romantique romancière dont je suis fou amoureux, a réservé « Gros porc » !
Votre imagination y pourvoira.
Sondage cevipof sur ce que pensent les Français des hommes politiques :
Le constat est lourd :
89% pensent que les hommes (et femmes) politiques ne se préoccupent pas des attentes des Français ni de ce qu’ils pensent.
82% sont convaincus que les promesses ne seront pas tenues.
75% pensent qu’ils sont corrompus.
70% trouvent qu’il n’y a pas beaucoup de démocratie en France, qu’elle ne fonctionne pas bien.
67% considèrent que les responsables politiques se s’intéressent qu’aux riches et aux puissants.
40 % éprouvent de la méfiance envers les politiques
28 % ressentent du dégoût.
L’idée que des variations de l’activité solaire puissent expliquer le changement climatique en cours est très répandue dans la blogosphère climatosceptique. Un petit nombre de travaux ont en effet été publiés ces dernières années, proposant un lien entre l’envolée récente des températures et les fluctuations du Soleil. Cette théorie, qui ne remet pas en cause la réalité de l’effet de serre, s’est avérée invalide et n’a plus cours dans la communauté scientifique compétente. Pourtant, l’idée n’était pas absurde. En voici l’histoire.
http://www.lemonde.fr/cop21/article/2015/10/15/hoax-climatique-2-le-rechauffement-c-est-a-cause-du-soleil_4790439_4527432.html#Bb3O0GbXmt7y8XFw.99
Il ne faudrait pas que chaloupe pense que sa soirée d’ivrogne , reste lettre morte. Et la notre , du temps perdu. J’espère qu’il va trouver le chemin de la poste.
On va tâcher de faire en sorte qu’il ne trouve pas un prétexte d’alcoolique anonyme, pour faire comme si.
Il n’empêche que le Groenland a bien existé à un moment où il n’y avait pas d’activité industrielle sur terre. C’est une preuve irréfutable que l’activité humaine à elle seul ne peut expliquer le réchauffement climatique. JC a raison.
Donald Trump nomme un pro-OGM comme secrétaire à l’Agriculture (lesoir.be) Quelle imagination…
« l’activité humaine à elle seul ne peut expliquer le réchauffement climatique. »
alors pourquoi se géner comme dirait donald
Ce midi, l’Institut donne comme conférence scientifique, sous le haut patronage de Sylvestre Hué :
« L’anisette GRAS est elle un facteur de réchauffement climato-sceptique ? »
Art poétique
De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
Il faut aussi que tu n’ailles point
Choisir tes mots sans quelque méprise :
Rien de plus cher que la chanson grise
Où l’Indécis au Précis se joint.
C’est des beaux yeux derrière des voiles,
C’est le grand jour tremblant de midi,
C’est, par un ciel d’automne attiédi,
Le bleu fouillis des claires étoiles !
Car nous voulons la Nuance encor,
Pas la Couleur, rien que la nuance !
Oh ! la nuance seule fiance
Le rêve au rêve et la flûte au cor !
Fuis du plus loin la Pointe assassine,
L’Esprit cruel et le Rire impur,
Qui font pleurer les yeux de l’Azur,
Et tout cet ail de basse cuisine !
Prends l’éloquence et tords-lui son cou !
Tu feras bien, en train d’énergie,
De rendre un peu la Rime assagie.
Si l’on n’y veille, elle ira jusqu’où ?
O qui dira les torts de la Rime ?
Quel enfant sourd ou quel nègre fou
Nous a forgé ce bijou d’un sou
Qui sonne creux et faux sous la lime ?
De la musique encore et toujours !
Que ton vers soit la chose envolée
Qu’on sent qui fuit d’une âme en allée
Vers d’autres cieux à d’autres amours.
Que ton vers soit la bonne aventure
Eparse au vent crispé du matin
Qui va fleurant la menthe et le thym…
Et tout le reste est littérature.
Verlaine.
Y’a même les glaciers qui ont fondu.
Tromperie 8
« Le GIEC reconnaît enfin qu’il y eut des périodes chaudes avant l’ère industrielle »
« Après l’avoir occulté dans les rapports précédents, le GIEC reconnaît enfin que des régions ont été aussi chaudes au Moyen Âge qu’en fin de XXème siècle. Il tempère cette affirmation en insistant sur le caractère régional, et non global, du réchauffement médiéval constaté. Il n’est pas étonnant que l’on ne puisse disposer, pour le Moyen Âge, d’observations couvrant la totalité de la planète. Néanmoins, des études locales réparties sur tous les continents et océans, attestent d’un net réchauffement médiéval (ainsi que du refroidissement du Petit âge glaciaire). Ce réchauffement a été estimé de 1°C supérieur par rapport la moyenne des températures de 1880 estimée pour la planète. Il fut même plus important lors de l’Optimum holocène il y a 7 000 ans, période pendant laquelle pratiquement tous les glaciers ont disparu [13]. Le CO2 présent au cours de ces périodes n’avait bien évidemment aucune origine anthropique. 36 études scientifiques ont été recensées, en ce sens, par le magazine CO2 Sciences. La formulation du GIEC selon laquelle « ces périodes chaudes régionales ne se sont pas produites, selon les régions, de façon aussi cohérente qu’au 20ème siècle » ne doit pas induire en erreur : ce qui est qualifié de manque de cohérence résulte du fait que pour un bon nombre de régions on ne possède pas d’observations scientifiques relatives à l’époque médiévale. Observons également de nos jours que si les glaces en Arctique fondent (bien que s’étant en partie reformées en 2013), les glaces en Antarctique ont augmenté. »
Notre analyse :
Le Collectif utilise, ici encore, la technique consistant à jeter le discrédit sur l’honnêteté intellectuelle des membres du GIEC : pendant des années, on nous aurait caché des choses et, aujourd’hui, on les reconnaîtrait enfin.
En 2007, le GIEC publiait son quatrième rapport d’évaluation dans lequel il était dit que : « Les changements dans les glaciers sont évidents dans les données de l’Holocène, mais ces changements sont dus à d’autres processus que le recul de la fin du XXe siècle. Les glaciers de plusieurs régions de l’hémisphère nord se sont retirés en réponse à la chaleur régionale renforcée par la force orbitale il y a entre 11 000 et 5 000 ans et ils étaient plus petits qu’à la fin du XXe siècle (voire même inexistants) à certains moments il y a 5 000 ans. L’actuel retrait quasi-mondial des glaciers de montagne ne peut pas être dû aux mêmes causes, parce que la diminution de l’ensoleillement estival durant les quelques derniers milliers d’années devrait être favorable à la croissance des glaciers » . etc
http://www.iew.be/spip.php?article6105
…
…mais, votre Eugène Delacroix,!…
…
…( c’est pas le fils…à papa » interposé « ,…au blason à ( trois éléphants ), çà trompe énormément,…à pots de vin du Tsar, ( documents mis à jour, avec la transparence en Russie ),!…),!…
…le machin rusé,!…diplomate des quatre saisons sur tranches à pizzas,!…
…le papa à Delacroix,…Talleyrand,…de qui Napoléon disait, la chaussette de merde,!…
…voilà que çà nous fait, de grands » artistes » en connivences « ,!…moderne royaliste de souches patriotiques à régimes,!…
…etc,!…Ah,!Ah,!…c’est beau la France,…des polyvalents toutes Bourses,!…
…du Tsar à vider,!…etc,!…
…allez suivant, les pâquerettes,!…
…
10h53 est-ce ce qu’il faudrait appeler un lien de causalité issu d’un manuel de logique inversée, si vous pouviez développer?, cela ne vous vaut rien de lire Zemmour , avez vous entendu cet astronaute décrire la planète vue d’en haut, avez vous lu les relevés d’archive depuis qu’on l’a créée, la population mondiale en 2050 aura triplé en 1 siècle et demi, même si nos productions n’étaient pas si polluantes et si peu responsables, rien que de la démographie et de ce qu’elle suppose en besoins et rejets peut laisser supposer que notre empreinte n’est pas sans conséquences sur l’environnement qu’elle soit ponction, transformation, rejets, exploitation et innovation dangereuse ayant généré des accidents dont la Terre porte la trace irréversible.
22.47. Souffrir de bêtise et de bassesse ?.
Oui, c’est cela. Allons porter plainte contre la bassesse et la bêtise qui sévissent sur ce blog, au moyen d’une lettre recommandée avec A/R chez le procureur du coin. Car l’intelligence, mariée au bon droit, méritant d’être enfin reconnues par la justice, et à n’en point douter, cette plainte va y prospérer. Elle dissuadera pour longtemps les bas et les bêtes de revenir danser ici. Au risque de vous sentir bien seul pour vous conforter en intelligence et hauteur de vue, sans plus aucun poète pour vous faire rire.
Certes, Giovanni, Delacroix faisait des tableaux sur commande.
What else ?
…
…comme qui dirait,!…bizarre, ses survivance d’ancien régimes tronqués,!…
…
…et Sant’Angelo dei Lombardi, ou de Muxaro,!…ou encore Sant’Angelo – Impèriali,!…
…
…çà nous en fait des crottes à cheval,!…
…
…inverser, les statuts nobiliaires,!…
…en France dans ma jeunesse, je signait Santangelo, Oui,!…sans virgule,!…
…
…l’administration, à pots de vin,!….
…what else ?,!…
…les dignités européennes d’enculés,!…
…Ah,! Ah,!…etc,!…
…
« Oui,!…sans virgule,!… »
L’apostrophe, en l’air, n’est pas une virgule, plus terre à terre, Angelo !
De la musique avant toute chose
Messire Giovanni , Vôtre Honneur d’Agrigente, je vous conseille de ménager votre monture. Vous faites du sur place.
« Vous faites du sur place. »
Mais c’est pour mieux t’admirer, LVDLB !
De l’influence de la douleur dans l’oeuvre de Baudelaire:
http://celis.univ-bpclermont.fr/IMG/pdf/Makki_Rebai_-_Ecriture_et_pensee_de_la_douleur.pdf
« Musée Eugène-Delacroix
vraiment pas terribe »
Dans le genre sinistre, il y a la maison d’Hugo, place des Vosges,
Dans le genre champêtre, celle de Balzac, rue Reynouard.
…
…sans en remonter, des à Malte,!…
…
…quels faveurs, la misère des exclus en Belgique,!…tous des grands Huns, téléportés par Charlemagne,!…et ces francs ou ils sont,!…je cherche encore, les Clovis à assassiner leurs barons en fêtes,!…
…la belles famille solidaire,!…Ah,!Ah,!…
…etc,!…qu’est ce que çà peut faire, des chefs illégitimes,!…dans la doxa romaine,!…rien, des pantins à marionnettes en plus ou en moins,!…Ah,!Ah,!…
…je suis, nous somme des moins que rien,!…à les Louis,…Ah,!Ah,!…
…what else ?,!..
barozzi, de la même manière que l’on supporte les mauvaises vapeurs éthyliques de chaloupe, qui provoquent par effet placebo, thèse d’un universitaire grenoblois, des réactions légitimes: ça me saoule,
de la même manière donc , les effets de vos joints, ne se font pas attendre. Entre un alcoolo et un camé, i prefer not to.
« Entre un alcoolo et un camé, i prefer Paulo ! »
LVDLB est amoureuse ?
Nicolas dit: 19 janvier 2017 à 11 h 01 min
dans quelque temps donald le varois http://www.terraeco.net/IMG/jpg/ZOOM-REISER4.jpg
@ Jibé
Ton futur Guide littéraire de Paris est organisé par écrivains ou par quartiers-rues?
. Entre un alcoolo et un camé, i prefer not to.
La coco c’est quand même autre chose, cancérogène cependant à la longue, on voit avec le recul l’hécatombe de morts un peu prématurées chez les stars qui peuplèrent le firmament des années 60/70.
Faites tourner votre pétard, barozzi. Sans moi. Je pars en voyage.
Au fait, il me semble que Paul Edel, gravement mis en cause, recidive dans l’outrage. Une folie !
Jibé, est-on jamais plus épris du sentiment et du transport qu’il procure que de l’être qui l’inspire, came pour came faut trouver l’arbre!
..ces deux pognes de pti branleur à peine au repos..le bodler d’émile est trés tête à claque..
Plutôt par bistrots, Pablo !
« Pour l’heure, les deux jeunes-hommes en sont encore aux confidences. C’est pour prêcher la croisade contre une bourgeoisie satisfaite d’elle-même, un Dieu stupidement encensé par la foule, une famille encroûtée dans ses préjugés et une littérature cousue main qu’il est venu à Paris. Pas moins ! De quoi électriser son mentor, sur lequel l’élève commence à affirmer sérieusement son ascendant. Dès lors, Paul devient tout à la fois le guide, la nounou et le bon toutou chargé de mener à bon port son aveugle-voyant de maître. Sans oublier au passage les nombreuses escales où étancher leurs soifs ! Au Bobino, rue de Fleurus, au Cluny, boulevard Saint-Michel, au Tabourey, rue de Vaugirard, au François 1er, à la Taverne du Panthéon, à la Vachette, à la Rotonde, au Café Rouge, au Soleil d’or, ou encore au Procope, entre autres cafés et brasseries du Quartier latin et alentours. A ceux-là s’ajoutent encore ceux de la Butte Montmartre, des Grands-Boulevards ou des quais de la Seine… Complices en ivresse, Verlaine et Rimbaud ne retournent à leur niche dorée de la rue Nicolet que pour y cuver leur absinthe. Et encore, parfois, trop ivres, il leur arrive de découcher. Au café, on parle politique, littérature, on refait le monde, on y croise ses alter égos, célèbres, tel Barbey d’Aurevilly, ou en devenir, comme lui. »
Je pars en voyage. C’est Baudelairien , une invitation?
Dans le genre champêtre, celle de Balzac, rue Reynouard
elle est mignonne..hon dirait un peu un faux de cuisiniss de zone commercial..havec une sortie de secours qu’on voudrait prende
« L’anisette GRAS est elle un facteur de réchauffement climato-sceptique ? »
est elle une factrice..cause la france
Je me suis replongé dans la lecture de René Char <3
Avec Rimbaud la poésie à cessé d'être un genre littéraire, une compétition. Avant lui, Héraclite et un peintre, Georges de La Tour, avaient construit et montré quelle Maison entre toute devait habiter l'homme : à la fois demeure pour le souffle et la méditation. Baudelaire est le génie le plus "humain" de toute la civilisation "chrétienne". Son chant incarne cette dernière dans sa conscience, dans sa gloire, dans son remords, dans sa malédiction, à l'instant de sa décollation, de sa détestation, de son apocalypse. "Les poètes, écrit Hölderlin, se révèlent pour la plupart au début ou à la fin d'une ère. C'est par des chants que les peuples quittent le ciel de leur enfance pour entrer dans la vie active, dans le règne de la civilisation. C'est par des chants qu'ils retournent à la vie primitive. L'art est la transition de la nature à la civilisation, et de la civilisation à la nature." Rimbaud est le premier poète d'une civilisation. Non encore apparue, civilisation dont les horizons et les paroles ne sont que des pailles furieuses. Pour paraphraser Maurice Blanchot, voici une expérience de la totalité, fondée dans le futur, expiée dans le présent, qui n'a d'autre autorité que la sienne. Mais si je savais ce qu'est Rimbaud pour moi, je saurais ce qu'est la poésie devant moi, et je n'aurais plus à l'écrire…
@ Jibé
Ce n’est pas un vrai guide alors, mais plutôt une histoire des bistrots littéraires.
Moi ce que je cherche c’est un guide à utiliser quand on est dans un quartier ou une rue pour savoir s’il y a eu un événement littéraire dans le coin.
René Char ne parle pas de Velbecq. J’ai trouvé une occurence dans La bibliothèque est en feu « On ne peut pas commencer un poème sans une parcelle d’erreur sur soi et sur le monde, sans une paille d’innocence aux premiers mots. »
D’une part l’innocence du poète ça ne me parle pas. Si quelqu’un a quelque explication je suis preneur.
D’autre part j’ai lu ce matin un article des plus instructifs http://m.slate.fr/story/134093/fukuyama-fin-histoire il en parle de ca Velbecq?
Pablo,
http://plumes-des-achats.com/2016/02/18/desormais-une-application-mobile-dediee-au-monde-des-achats/
lol
répète haprés le poéte nico..il a toujours bon..passé l’anisette et les vents crispé du matin..flanelle redite et ourlet
Sur le fil précédent, j’ai cité un poème de Houellebecq pas piqué des hannetons sur son père. Il commence ainsi : » Mon père était un con solitaire et barbare « . Réaction indignée de Chaloux, qui trouve le poème ignoble et s’exclame en substance : on n’a pas le droit de parler ainsi de son père ! Quoi qu’il ait fait, c’est tout de même votre père. Je songe à un fils d’Adolf Hitler ou de Klaus barbie qui se dirait : faut quand même que je ne dise pas trop de mal de papa, c’est tout de même mon papa.
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