Baudelaire plus que jamais « n’importe où hors du monde »
Et dire qu’on en est là : évoquer le génie de Baudelaire en contrepoint de celui de Houellebecq, parler de l’un pour établir des analogies avec l’autre, convoquer à son corps défendant l’ombre tutélaire de l’incontestable poète qui continue à dominer les lettres françaises depuis un siècle et demi pour consolider la réputation de celui que les medias veulent à tout prix nous vendre comme le Grand-Poète-de-son-époque… Quelle misère intellectuelle et quel triste signe des temps ! Il suffirait pourtant d’expédier la chose, et l’Autre autoconsacré par son propre pavé de l’Herne, d’une citation de Baudelaire échappée du Peintre de la vie moderne :
« Il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse, si minime ou si légère qu’elle soit »
Il y a de toute façon une excellente occasion de revenir au patron tout seul, sans un prétexte fallacieux : c’est l’exposition « L’œil de Baudelaire » qui se poursuit jusqu’au 29 janvier au Musée de la vie romantique à Paris pour le cent-cinquantenaire de sa mort. Un petit musée qui ne se pousse pas du col mais qui a un charme fou (surtout à la belle saison quand on peut y déguster d’exquises tartes aux fruits sous la tonnelle dans un petit jardin de roses et de lilas) et tire bien son épingle du jeu malgré ses moyens réduits. Le piquant de l’affaire est que l’une deux salles baudelairiennes a pour cadre l’ancien atelier d’Ary Scheffer, artiste par lui abhorré pour son éclectisme, peintre dont il méprisait la tristesse et qu’il évoquait en chef de file des « Singes du sentiment ».
Tout y concourt à montrer en quoi le poète a pu dire, dans Mon cœur mis à nu, revigorant empilement de ses colères, que la « glorification des images » était son unique et primitive passion. Il est vrai, mais le rappel est utile et c’est l’une des vertus de cette exposition qui n’en manque pas, que le tout premier écrit signé Charles Baudelaire qui fut publié sous forme de livre, n’était pas un recueil de poèmes : conçu dans l’esprit du Diderot qui inaugura un genre littéraire avec la critique d’exposition, ainsi que de Stendhal qui y excella, cet essai était consacré à la critique d’art des expositions de l’Académie des Beaux-Arts et s’intitulait Le Salon de 1845. Et comme ses maitres en la matière, au-delà du compte-rendu ponctuel, c’est bien d’une réflexion critique sur des problèmes d’esthétique qu’il s’agit.
Figure romantique par excellence du poète maudit, il plaide pour une critique poétique, subjective, de parti pris, exclusive mais ouverte contre une critique froide, algébrique, sans tempérament. L’exposition invite à s’immerger dans le paysage artistique des années 1845-1863 parmi les peintres de Baudelaire, les Delacroix, Ingres, Corot, Rousseau, Courbet ou Chassériau, qu’il les ait encensés ou blâmés. Sans oublier Manet bien sûr, avec qui il partageait la passion de l’Espagne et de ses artistes, celui qui incarne la génération montante et la modernité, ainsi que des caricaturistes au premier rang desquels Daumier en ses « vivantes monstruosités » qu’il élève au rang de grand artiste, ce qui était beaucoup plus risqué (et prophétique) que de louer Goya déjà fort acclamé à Paris. De quoi mieux appréhender son éducation artistique et les ressorts de sa sensibilité esthétique.
Volontiers pédagogique mais sans lourdeur scolaire, le déroulé rythmé en quatre temps (Les Phares, le musée de l’amour, l’héroïsme de la vie moderne, le Spleen de Paris ) offre déjà des clés pour déchiffrer les expressions qui jalonnent les écrits artistiques de Baudelaire : « beauté moderne », « conception double exprimant l’éternel dans le transitoire », « beauté interlope », « mérite de l’inattendu », notion d’étrangeté, pourquoi un tableau fait est préférable à un tableau fini, en quoi une œuvre respire l’amour, le romantisme de la couleur et la nature idéale de la ligne, la part de naïveté exigée d’un artiste etc Sans oublier, on s’en doute, « modernité », auberge espagnole si généreuse dans son accueil de toutes les interprétations, déviations, instumentalisations, alors que Baudelaire avait bien défini la mission du peintre de la vie moderne :
« Dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, tirer l’éternel du transitoire »
Baudelaire célèbre en l’imagination la reine des facultés contre le réalisme tenu pour une blague puisque le goût du Vrai ne peut qu’opprimer le goût du Beau, une imagination avec ou sans l’aide des drogues et autres paradis artificiels, son « accélérateur de pouls ». Au fond, Delacroix, représentant majeur du romantisme loué comme un « peintre universel », demeure celui qui domine son panthéon artistique, le peintre le plus proche de son intime inspiration, son frère en mélancolie puisque le poète à l’âme en prostration ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie ; car, comme l’écrivent les responsables de l’accrochage , « Delacroix est comme Baudelaire le représentant ultime d’une époque révolue mais qui demeure, dégagé des stigmates de la nouveauté, la plus pure expression de la modernité ».
« Quel est donc ce je ne sais quoi de mystérieux que Delacroix, pour la gloire de notre siècle, a mieux traduit qu’aucun autre ? C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme ; et il a fait cela, – observez le bien, – monsieur, sans autres moyens que le contour et la couleur ; il l’a fait mieux que pas un ; il l’a fait avec la perfection d’un peintre consommé, avec la rigueur d’un littérateur subtil, avec l’éloquence d’un musicien passionné. »
Se plaignant d’être considéré comme un excentrique, un dandy, un mystificateur, un farouche, il en est pourtant le premier responsable puisqu’il fut l’artisan de sa propre légende. Son musée de l’amour est bien là, entre ses deux extrêmes que sont la Vénus blanche (Madame Sabatier) et la Vénus noire (Jeanne Duval). La génération des poètes de 1860 (Verlaine ans co) avait beau se réclamer de lui, il ne les en a pas moins moins sévèrement jugés. Bien sûr, il est aisé avec le recul d’ironiser sur ses erreurs de jugement, ses louanges à l’art d’un Octave Penguilly L’Haridon, son optimisme quant à la postérité de l’oeuvre d’un Octave Tassaert, ou dans celle d’un Chassériau, d’un Chazal, d’un Catlin, alors même qu’il prenait ses distances avec Courbet ou écrivait à Manet attaqué pour son Olympia qu’il mettait trop d’orgueil à s’en plaindre d’autant qu’il n’était jamais que « le premier dans la décrépitude de votre art ».
A travers une centaine de lettres, articles, tableaux, dessins, gravures, photos, tout est fait pour montrer l’incessante conversation entre les poèmes et les œuvres d’art : influence dans l’association des couleurs (le rose et le noir) ou la conception de l’harmonie etc. Une imprégnation qui n’est jamais traduction ou transposition et dont on dirait qu’elle a pour unique objet de répondre à la question : qu’est-ce que la beauté moderne ? On l’y retrouvera de manière frappante dans ses portraits les plus variés : séries photographiques de Nadar ou Carjat qui nous le montrent tel qu’en lui-même, amer, ironique ; jeune au nez de priseur et aux lèvres impudentes, si Samuel de la Fanfarlo, dans une huile d’Emile Deroy (1844) ; pensif en lecteur absorbé dans un livre dans une huile de Courbet ; jusqu’à son autoportrait dessiné qui n’est pas le moins émouvant. Hostile à la photographie, aux journaux grands format et à la « rancuneuse énergie » de la critique, effrayé par le progrès, la modernité technique, industrielle et archirecturale, il n’en est pas moins fasciné par le nouveau décor urbain, fascination-répulsion pour la ville « grande barbarie éclairée au gaz »
Outre le catalogue de l’exposition (29,90 euros, Paris-Musées), et naturellement l’œuvre même de Baudelaire (toutes éditions), la visite donne envie de retrouver l’un des meilleurs « petits livres » qui lui ait été consacré : celui du baudelairissime Robert Kopp Le soleil noir de la modernité (160 pages, 15 euros, Découvertes/ Gallimard) opportunément réédité dans une édition augmentée. C’est un admirable concentré, en peu de pages mais intelligemment illustrées, de tout ce qu’il y a à savoir en un tel format sur celui qui entreprit de faire de l’or avec de la boue, le traducteur d’Edgar Poe, le dandy sur les barricades de 48, le réprouvé des Fleurs du mal…
Quels que fussent le support et la forme, il cherchait partout la poésie, ne vivait que pour la poésie et avait fait de l’art son idéal, à l’écart de la société, en marge des autres, tel que Courbet l’a représenté dans son grand tableau « L’Atelier du peintre » dans une allégorie de sa vie artistique. Baudelaire s’y tient si loin de tous qu’il manque de sortir de la toile, loin des élus qui « vivent de la vie », absorbé dans la lecture d’un livre, trouble-fête égaré dans le magasin d’images et de signes, ne se soumettant à d’autre gouvernement que celui de l’imagination et se royaumant dans le plaisir aristocratique de déplaire (à condition d’oublier le corps de phrase qui précède la fameuse expression : « Ce qu’il y a d’enivrant dans le mauvais goût, c’est le… »). Qui dira jamais mieux que lui la jouissance qu’il y a à élire domicile dans le nombre ?
En nous invitant à aller voir au-delà du double stéréotype qui lui colle aux basques (poète maudit et provocateur dans la mystification), l’exposition contribue à le présenter comme le polygraphe de la modernité à travers ses critiques (ses comptes rendus des Salons de peinture demeurent une référence pour les historiens de l’art), de quoi enrichir notre image d’un auteur unique et protéiforme, comme ils l’étaient presque tous alors. Son injonction« n’importe où hors du monde » a assigné à la poésie la mission de plonger au fond de l’Inconnu (plutôt que l’Infini, ce fameux ailleurs, mais ça se discute encore) pour en extraire du nouveau. Sa solitude ne peut se comprendre sans une référence au mal romantique de l’Homme Supérieur. Son dandysme prend racine dans le culte de la différence, « stoïcisme aristocratique qui se pare pour se séparer ». I
l s’enivre d’humiliation et non d’humilité. Son orgueil, sa solitude présente, le soutient dans sa haine sauvage contre les hommes. Un orgueil assis sur le pressentiment d’une haute survie littéraire. Que lui importe de n’être pas aimé puisqu’il sera de ceux dont on se souvient, du moins est-il convaincu. Il « sait » qu’un jour les effets de sa contre-littérature, cette poésie d’intimité qu’il interpose entre lui et le public, s’estomperont pour laisser s’épanouir chez les lecteurs son génie profond. Sans conviction car sans ambition, le dilettante appliqué, qui porte haut le dogme de l’Art pour l’Art, ne méprise rien tant que la littérature socialisante. La démocratie peut-être, où des malheureux tombent « comme un papillon dans la gélatine » après s’être pris au piège de la souveraineté populaire, cette « tyrannie des bêtes ». A la suite de Georges Blin, maître de Robert Kopp, il faut lire le drame de Baudelaire comme un mouvement mystique marqué par le refus et l’absence de compromis, et le célébrer pour avoir introduit la conscience de la modernité mais avec une langue classique. Mais de grâce, si c’est pour vulgairement l’instrumentaliser au profit de pâles gloires contemporaines, qu’on lui fiche la paix !
L’écrivain Antonio Munoz Molina a visité à Paris l’exposition Baudelaire et il en tire des leçons sur notre regard http://bit.ly/2iLkAWZ
(« Baudelaire par Courbet », vers 1848, huile sur toile ; « Baudelaire par Emile Deroy », 1844 ; « Baudelaire » photographies de Nadar, 1855 D.R.)
1 018 Réponses pour Baudelaire plus que jamais « n’importe où hors du monde »
quand on est dans un quartier ou une rue pour savoir s’il y a eu un événement littéraire dans le coin
..lpédro yest prés a raquer pour une bonne apli baroz..passe en point deux un peu
tu vois baroz..jean marron se rêve fils d’ordure mais d’ordure hinternationale..ça cartonne en point 2
un moment sans venir RDL/RDC.. vous avez la dent dure mais juste, Assouline.
Quand revient Annelise Roux? Vos billets et les siens font l’opinion (magnifique mise au point de sa part sur sa page Facebook sur l’Acid de cannes).
Le meilleur ouvrage en cette matière, Pedro, c’est « La litterature à Paris, L’histoire, les lieux, la vie littéraire » par Jean-Paul Clébert.
Baudelaire et ses soeurs, sa relation à Sand:
Pablo, pardon, je veux absolument t’appeler Pedro !
Pablo, pardon
un prospect ça se respecte baroz..t’as pas faux
Jean : « c’est tout de même mon papa » Et il y en a même qui font tout pour qu’on reconnaisse qu’Hitler était leur « papa » !
Moi ce que je cherche c’est un guide à utiliser quand on est dans un quartier ou une rue pour savoir s’il y a eu un événement littéraire dans le coin.
Pablo, puisque vous êtes parisien dans les murs voyez et consultez le blog de Claro( claro toward blog) , il y en a d’autres, qui indiquent régulièrement des lieux de lecture, librairies le plus souvent, en présence ou par l’auteur. C’est une nouvelle façon de faire vivre des espaces dédiés à la littéraure qui malheureusement comme les espèces végétales et animales sont en voie d’extinction.
12h39 pensez-vous qu’il soit parent du grand Almodovar?
Lucy, dans ce genre explicatif, on pourra relire la lettre au père de Kafka .
…
…de toute façons, un homme porte un seul nom,!…
…
…mais, et de combien d’autres noms , il en est issus,!…une infinie écrasante depuis l’éternité,!…mais, si,!…
…
…déjà,…par les noms des grands-parents,!…et des grands parents des grands parents,!…etc,!etc,!…sur nos familles à crédits,!…
…
…en cela, les variations d’A.D.N.,…nos Baudelaire de bistrots,!…nos héritiers-nouveaux,!…un saut de lit, en éprouvettes,!…distributions, t’à du Louis XIII, tout cru,!…du boudoir,!….
…
…à nos goths chrétiens, à nos vandales romains,!…
…
…vous pouvez porter un nom,!…et être encore, plus, moins que quiconque,!…
…
…vos ancêtres, trop juifs sur les bords, mêmes et surtout, sans juifs d’A.D.N,…
…
…à nos familles, trop juifs de surcroit,!…des Hitler en manque,!…
…
…le commerce des élites,!…des fils de foires,!…entre deux viols, en éprouvettes sarrasines,!…Ah,!Ah,!…
…
…à mes ancêtres d’autres noms de dieux,!…
…etc,!…et à mes deux lions ailés d’or sur champ d’azur,!…Go,!…
…suivants,!…what else ?,…Ah,!Ah,!…
…
« pour savoir s’il y a eu un événement littéraire dans le coin. »
Demande à WGG de te parler des cénacles, Pablito, il vient d’acheter le livre !
Mais, et de combien d’autres noms , il en est issus,!
En Espagne le nom de famille se compose des noms des pères,nom du père de la mère et nom du père du père pour en faire un composé qui évolue au fil du temps et des générations, ne reste au bout du compte que le nom des pères des pères sauf à chercher dans le registre de l’état civil celui des mères pour obtenir une filiation complète, c’est cependant mieux qu’en France qui n’accepte que depuis peu que le nom de l’épouse se compose de deux éléments, qu’en est-il de celui des enfants, légalement?
« à mes deux lions ailés d’or sur champ d’azur,!… »
Moi, y a pas plus simple et plus chic, Angelo !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Barozzi
@ Jibé
« Le meilleur ouvrage en cette matière c’est « La litterature à Paris, L’histoire, les lieux, la vie littéraire » par Jean-Paul Clébert. »
C’est le même livre que « La Littérature à Paris » (Larousse) et « Les Hauts lieux de la littérature à Paris » (Bordas) du même JP Clébert?
Oui, tu le trouveras aux puces ou chez les bouquinistes, plusieurs éditions. ça date un peu mais il reste indépassable.
Jibé, comment se fait-il que vous ne soyez pas cité parmi les « Membres illustres » ?
Il faut mourir, au préalable, Lucy ?
…
…tout est bon, même rien,!…Barozzi,!…
…
…des familles,!…choisir,!…le style seigneur, avec deux fois rien,!…
…chacun à sa genèse, s’il en est à survivre,!…pour quelle finalité dans l’éternité,!…
…mystères et boules de gomme,!…
…aucun choix, trop difficile de tout,!…
…mais, vraiment,!…
…
…d’abord être très riche, avant de se marier,!…c’est déjà çà,!…
…
…de toute façon entre filles espiègles et tartes,!…choisir ses espiègles, pour ses tartes aux fruits,!…
…etc,!…sans rancunes,!…
Etonnant personnage que Jean-Paul Clébert, Pablo.
Fils de bonne famille de Neuilly, il s’est engagé à 16 ans dans la résistance et est devenu ensuite clochard : un docteur es-lettres de la rue !
@ Bérénice
Je connais le blog de Claro, mais moi je ne cherche pas du tout les lieux des présentations de livres, mais les endroits de Paris fréquentés par les grands écrivains.
@ Jibé
Ce que je cherche je crois que ça n’existe pas, d’où mon envie de le faire pour les écrivains espagnols et sudaméricains, au moins. Ça serait un livre organisé par rues qui donnerai des indications sur les faits littéraires qui se sont produits en elles. Par exemple, je passe souvent par le début de la rue Vaugirard et je vois l’hôtel où a vécu Knut Hamsun, un peu plus loin le café dans lequel Valéry voyait Verlaine saoul, quelques centaines de mètres après, l’hôtel où Faulkner a vécu 5 mois en 1925 et un peu plus loin le domicile de Zelda et F. Scott Fitzgerald entre avril et octobre 1928. Etc, etc.
Moi, à 16 ans, en 1968, Angelo, je prêchais la suppression de l’héritage et proposais que l’on retire les enfants à leurs parents dès la naissance pour les éduquer collectivement.
Ensuite, à chacun selon son mérite…
Michel Foucault habitait rue de Vaugirard, à la hauteur de la mairie du XVe, Pablo.
Dans mon souvenir, le livre de Clébert répond le mieux à ton attente ?
M. Court pourrait te le confirmer ?
Mais moi je vais plus loin, Pablo. J’ai appris à WGG, que Verlaine et Rimbaud, en septembre 1871, descendaient, bras dessus-dessous, la rue Ramey, en passant sous son balcon !
@ Jibé
Le pire est que je crois que j’ai le livre de Clébert, ou en tout cas un guide littéraire de Paris à la couverture jaune. Mais impossible de savoir où dans mon bordel de livres.
Toi, tu en as beaucoup sur Paris?
…
…à 13 h 17 min,!…
…
…dans la hiérarchie nationale fasciste,!…
…il y a autant ,si pas plus d’incohérences des mérites, que celui, de sa famille de naissance,!…
…l’amour de faire une famille, par l’amour de vivre sein, libre et indépendant de toute chose envers tout ordre établis en tout temps,!…
…et se construire dans l’éternité, contre l’univers entier,!…ni maîtres ni dieux,!…
…l’équilibre dans le néant et le chaos, le plus total,!…la force, en soi,!…
…Barozzi,…cela mon opinion,!…
…sans rancunes,!…
…naître nu, et notre foie, à exister,!…
…etc,!…
Eh non, Jibé, je ne l’ai pas lu.
je crois qu’ils furent nombreux à voir Verlaine saoul, et pas seulement Valéry. Il me semble que c’est arrivé à H de Régnier, liste non limitative.
Ce cirque autour du nouveau Baudelaire quand sort un Cahier de L’ Herne et une édition étudiante de la Carte et du Territoire… Sans commentaires.
…
…en plus, je ne ressent aucune forme de jalousie, envers les héritages d’autrui,!…
…
…j’ai comme un programme, de survie,…envers les milieux qui m’indiffèrent entièrement,!…
…
…je me créer des objectifs artificiels, pour jouer avec le monde,!…passer le temps,!…mais, si,!…
…
…je suis ailleurs, même dans tout milieux,!…c’est incroyable à expliqué,!…
…
…la raison naturelle du respect de tout les états de choses partout pour tout le monde, et aucun but lucratif, mon mérite, me construire tout seul, avec rien,!…
…etc,!…être derrière plusieurs miroirs sans teins ( sans argenture ),!…
…
Je garde peu de livres chez moi, Pablo.
Ci-joint, la liste principale des mes livres sur Paris, à vendre !
Livres sur Paris
Vie et histoire des arrondissements de Paris, éditions Hervas, collection complète de vingt volumes, bon état
Dictionnaire des églises de Paris, Hervas, neuf
Dictionnaire des monuments de Paris, Hervas, tranche abimée
Dictionnaire historique des rues de Paris de Jacques Hillairet, éditions de Minuit, 3 volumes, couverture défraîchie
Paris retraversé, de Jean Mounicq, Imprimerie Nationale éditions, beau livre illustré, bon état
Le Parc des Buttes-Chaumont, Gilles Plazy (auteur) et Arnaud Legrain (photographe), éditions Flammarion, bon état, deux exemplaires
Bagatelle dans ses jardins, beau livre illustré, édité par l’Action Artistique de la Ville de Paris, bon état
La Folie d’Artois, Bagatelle, édité par l’Objet d’Art, beau livre illustré, bon état
Mémoire de tempête, le bois de Boulogne, Alain Froissart (texte) et Philippe Eranian (photographe), le cherche midi éditeur, beau livre illustré, bon état
Le Jardin d’Acclimatation, par Hippolyte Romain, éditions Plume, bon état
Cent jardins à Paris et en Île-de-France, édité par l’Action Artistique de la Ville de Paris, bon état
Paris des Jardins, de Henri Queffélec (auteur) et Hervé Boulet (photographe), éditions Ouest-France, beau livre illustré, bon état
La Belle Epoque des kiosques à musique, de Marie-Claire Mussat, éditions Du May, beau livre illustré, bon état
Jardins de Paris, de Jean-Jacques Lévêque, Hachette, édité par l’Action Artistique de la Ville de Paris, bon état
Les plus beaux restaurants de Paris, par Roger Gain, Gallimard, beau livre illustré, bon état
Le Louvre, Les Objets d’art, par Jannie Durand, éditions Scala, beau livre illustré, bon état
Trésors de la Banque de France, Histoire et richesse de l’hôtel de Toulouse, éditions Hervas, beau livre illustré, bon état
Floralies (Parc Floral de Paris), Flammarion, beau livre illustré, bon état
Les cariatides de Paris, Jacqueline Nebout (auteur) et Magali Chanteux (photographe), éditions Hervas, beau livre illustré, bon état
Les Belles heures des Champs-Elysées, de Marc Gaillard, Martelle éditions, beau livre illustré, bon état
Mémoires de Paris, une anthologie littéraire et photographique, éditions de la Martinière, beau livre illustré, bon état
De l’hospital des Incurables à l’Hôpital Laennec, éditions Hervas, beau livre illustré, bon état
La pierre et le pouvoir, histoire des rapports entre Paris et ses architectes, édition Féau, beau livre illustré, bon état
Hôtel de Ville de Paris, Pierre Casselle (texte) et Françoise Masson (photographies), Imprimerie Nationale éditions, beau livre illustré, bon état
Place des Vosges, par Alain Mazeran, beau livre illustré, bon état
Fontaines de Paris, de François de Buyer (texte) et François Bibal (photographies), beau livre illustré, bon état
Paris, par Ursula von Kardoff (texte) et Josef H. Neumann (photographies), éditions Bucher, en allemand, beau livre illustré, bon état
Les places de Paris, aquarelles de Jean Pattou, éditions Hervas, bon état
Paris, balade au fil du temps, Sélection du Reader’s Digest, beau livre illustré, bon état
Le tour du monde dans Paris, par Nicolas de Bélizal, éditions Hervas, beau livre illustré, bon état
La Cité Internationale Universitaire de Paris, de Bertrand Lemoine, éditions Hervas, beau livre illustré, bon état
Dites-donc Jibé, c’est pas le bon coin ici.
Je vous aurais bien pris l’Hillairet en trois volumes, mais défraichis non merci. Pour qui vous nous prenez ?
@Jibé
Tu les vends sur Le Bon Coin?
D., j’ai aussi une commode Barbès des années 30, en bon état, mais dont je n’ai plus l’usage !
13h17 pouquoi faire? Rencontrer leur fantôme?
Non, Pablo.
Si intéressé, venir chez moi.
Je propose aussi, globalement, le rachat en viager de mes droits d’auteur sur 50 ans. Je désire m’alléger au max !
Sans commentaires.
on l’a échappé belle, quelle ambiance aimez-vous à semer! Vous êtes querelleur, cassant, sans pitié, sans diplomatie, sans indulgence sauf peut-être à mon égard et encore quand je ne vous parle pas dommages et intérêts pour faux et usage de faux, mauvais traiements, abus de confiance et encore moins un pourcentage sur bénéfice du commerce illicite que vous fîtes de mon absence et de mes rêves amoureux pour ne pas évoquer les bas fonds du rêve, sans elle, sans cette indulgence je serais sûrement rangée dans la catégorie des trucs bons à fiche à la poubelle et ce serait traitement silencieux de faveur
Sant’Angelo Giovanni,
‘Tain ! plusieurs miroirs sans « teins » ça va chercher loin.
Un tein vaut mieux que deux tu l’aura
D, bonjour, je m’alimente de pommes de terre en raclette en raison du froid qui sévit ici et si cela continue je crains d’attraper le gros c.ul, c’est une maladie occasionnée par la consommation d’aliments riches en graisse un peu comme la salmonellose sauf qu’après on ne meurt pas mais il faut changer toute une garde robe, passer du 36 au 38 du 38 au 40 jusqu’au 56, que proposez vous pour remédier à ce besoin en calories qui éviterait une prise de poids ?
PS
‘l’aura’ comme « l’aura qui émane d’une statue sumérienne » (Malraux)
Pablo, la question était sérieuse, que vous procure la visite ou la reconnaissance de lieux où vécurent écrivains poètes peintres artistes ? Je ne suis pas occupée par cette même envie.
En revanche je n’ai jamais visité les châteaux de la Loire et c’est un projet qui reste tentant, pour la beauté des lieux, de la région.
les endroits de Paris fréquentés par les grands écrivains.
Ceux qui se produisent présentent l’avantage d’être en vie, vous pouvez entrer en contact avec un littérateur du siècle en marche, qui n’a pas encore certes eu à subir le tri de la postérité.
Bon Pablo, si vous estimez que je sens le pâté, adieu et n’en parlons plus.
le paté la salmoneloz..tu sais hapater le client
une commode Barbès des années 30, en bon état, mais dont je n’ai plus l’usage !
elle doit sentir le paté ta commode baroz
L’écrivain Renaud Camus a donné un certain nombre de livres titrés pompeusement « Demeures de l’esprit », maisons et autres lieux habités par les écrivains. C’est toujours amusant de citer ce Camus sur le prestigieux blog à passou. Ne lui en déplaise (à Camus), il restera dans les annales pour une autre aventure migratoire.
Cependant il est vrai que certains lieux donnent à rêver et sont comme imprégnés par le souvenir d’illustres présence, je pense à cette ville, Pablo, Pézenas, son architecture est telle que d’un balcon bien placé donnant sur les ruelles étroites , le clocher de l’église proche tout en vol de pigeons et colombes et les toits jusqu’à perte de ville, aucune peine à imaginer les calèches, les aristocrates et les suivants de Molière en habits, et en rien je ne suis spécialiste de l’époque ni d’aucune. Souvenirs de l’hôpital de cette charmante bourgade , la connaissez-vous?
pésences, sorry.
Dites-donc Jibé, c’est pas le bon coin ici
surtout il prend pédro pour un con..ça m’plairait pas
14h36 je ne suis pas commerçante.
« Demeures de l’esprit »
bien perché sur une grosse commode
Il ne doit plus y en avoir beaucoup des écrivains rue de Vaugirard http://www.slate.fr/story/66671/vivre-paris-1000-dollars-hemingway
Cette commode était dans ma salle de bain actuellement en cours de réfection, le boug.
Elle a pour moi une grande valeur sentimentale.
Elle me vient de mon premier compagnon. C’était le premier achat de ses parents, des bourgeois de gauche, qui, à leur mariage, sont venus s’installer dans le 20 arrondissement de Paris. Ils avaient manifesté en faveur du Front Populaire et se voulaient conformes à leur idéologie. Tous sont morts et la commode, quatre tiroirs, tout ce qu’il y avait de bon marché à l’époque, et où je rangeais les serviettes de bains et les savonnettes parfumées, a désormais presque un siècle et une patine intéressante.
C’est à contre-coeur que je dois m’en débarrasser, sans pitié !
Je ne prends personne pour un con, le boug…
Les féministes protestent contre Polanski président des Césars :
« L’association Osez le Féminisme a exprimé sa « colère » jeudi en réaction au choix du réalisateur franco-polonais Roman Polanski »
faut mettre une annonce, baroz: commode louis quinze, replomblée en fassbinder. tout seul dans le ranking de l’ibet, ça vous fera du pognon.
Flavie Flament n’a pas encore fait de déclaration, mais certainement n’en pense pas moins. Un gros tollé en perspective que cette nomination délibérément provocatrice.
Le plus troublant est qu’au lieu de se tenir coi, Polanski ait accepté l’honneur, lui qui, à plus de 80 ans, n’a plus besoin de cela pour prouver quoi que ce soit.
Le président des Césars remet lui-même le prix du meilleur film. Scénario catastrophe imaginé par 20minutes :
« Si Roman Polanski décachette l’enveloppe et y découvre Elle [un film sur le viol], cela risque de lui coller quelques sueurs froides. La photo officielle vaudra son pesant de soufre. »
Polanski devrait accepter de se rendre de lui-même aux autorités américaines, afin que la justice puisse passer. On n’imagine pas comment un artiste de cette stature peut vivre ainsi, avec cette épée de Damoclès sur la tête. Cette histoire est son plus mauvais scénario, auquel il devrait enfin trouver une issue normale, que tout le monde attend.
je part pour 10 jours à Puerto Montt avec mon fils; alors pour l’amour de Dieu, soyez sages, ne vous chamaillez pas, n’insultez pas les dames. Habillez-vous chaudement……
salud
Non mais pourquoi il a cet oeil noir comme si lisait un tissu de coups de poignards…
15 h 46 min
snobisme pour cette région australe?
Perso je n’ai rien contre Paul, cependant il commence son nouveau Velbecq/Baudelaire par « Avec certains, la critique littéraire se transforme comiquement en science exacte, ce qui est une grande nouveauté. Donc interdiction de réfléchir et d’émettre des hypothèses.. »
J’aimerais dire ici qu’il va falloir lâcher la grappe aux sciences. Voilà comment émettre une hypothèse en la science exacte qu’est la physique http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/ressource/QShypSol.xml
En voici la conclusion « Si faire une hypothèse, résoudre le problème étudié en tenant compte de cette hypothèse, et enfin vérifier que le résultat obtenu est bien cohérent est une méthode couramment utilisée en physique, c’est parce que les problèmes physiques, le plus souvent, ont une solution unique. Dès que l’unicité de la solution n’est plus assurée – ce qui est le cas de nombreux problèmes de mathématiques, et de quelques phénomènes physiques-, cette méthode n’est plus utilisable. Par exemple, en physique, lorsqu’il y a brisure de symétrie, les équations décrivant le problème admettent plusieurs solutions a priori équivalentes. »
Voili voilou
Et pis c’est pas Janoie Durand, c’est Jannic. Je le sais, c’est lui qui s’occupe de la couronne d’épines du Christ à Notre-Dame.
Pour vous répondre, Bérénice, ajoutez du vin blanc pour fluidifier les globules et faites-vous masser longuement et régulièrement.
Fichez la paix à Polanski, Delaporte, vous êtes ridicule
74 jours 3 heures 36 minutes et 46 secondes
Campanella en pleine forme
…
…Lucy, 14 h 16 min,…
…
…Oui,!…trop de » petits » crimes organisés,!…autour de moi,!…ici,!…
…
…autant vivre à Palerme,!…et voir la mort en face, en plein jour,!…
…
…autant, en emporte le vent, du commerce des immigrants ou exploitée pour son pétrole à Gèla,!…
…
…l’Italie des juifs depuis plus de 150 ans,!…avec son » unité « , à Caribaldi de mon cul,!…
…
…Vive la Sicile indépendante,!…mais si,!…comme l’Ecosse ou la Corse,!…ou la Belgique des lobbyings de l’UE,!…
,,,
,,,les clans des 500 » exploiteurs « , sur l’Europe,!…ils nous veulent que du bien, à nous en mettre du profit bancal,!…
…Ah,!Ah,!…consortium à nous bouffer nos tripes,!…etc,!…
…
…bonne chance & à mieux, à rendre les comptes,!…sur mesures;!…etc,!…
…
Si vous voulez kiffer sur Baudelaire je vous conseil ca https://open.spotify.com/user/claris_maiorum_exemplis/playlist/1D63Ri8JZAt58o0YGucYmC on le trouve sur Deezer aussi
D, vous voulez me transformer en savoyarde, je m’y refuse de plus je ne bois guère plus que quelques cl de vins et spiritueux , je ne participe pas à la réussite que connaissent les ventes d’alcool un peu partout dans le monde.
Delaporte, concernant Roman Polanski , signez la pétition si vous voulez mais vous devriez plus proche de nous dans le temps vous attarder à l’affaire Morandini, simple exemple parmi d’autres et concernant le harcèlement ou l’agression sexuelle de femme ou de mineurs puisque ce genre révolte. Polanski depuis tout ce temps a trouvé à se faire pardonner depuis cette agression, en outre la plainte a été retirée, il n’est pas récidiviste à ce que nous savons., ne pourrait on pas classer définitivement ce dossier et considérer que l’erreur est humaine et pour ne pas revenir sur les circonstances de ce délit scandaleux qui nous vient des années 70, 50ans ont passé depuis.
Delaporte est encore un de ces c.uls bénis qui aiment poursuivre les Juifs jusque dans les chi.ottes pour leur faire rendre gorge.
Armel Le Cléach a gagné le Vendée Globe! Hip hip hip! Hurrah ! Il le méritait talonné qu’il était par le Skipper d’Hugo Boss , le match a été serré jusqu’au bout.
Un matin de grisaille, j’ai cru reconnaître ce champion sur un sentier côtier en Bretagne, jogging obligatoire, habillé comme il l’était avec ces sombres cieux qui présidèrent à cette brève rencontre, il ressemblait à un délinquant, bonnet enfoncé, œil et mine concentrés, le nautisme m’a toujours paru être comme d’autres disciplines moins périlleuses l’alliance de l’intelligence et de la résistance physique et mentale, Un grand bravo pour cette victoire qui vient couronner sa persévérance.
Yess !
Bravo Armel.
Alors qu’il vient de rentrer dans l’histoire en remportant le Vendée Globe, le secret d’Armel Le Cléac’h est sur le point d’être exposé au grand jour… Et cela risque d’en surprendre plus d’un.
Le début de sa grande carrière n’aurait pas commencé en mer, mais… sur la neige ! Tout le monde sait que les deux mondes sont intimement liés et que personne ne se lance en mer avant d’avoir une totale maîtrise de l’Optimist sur neige. C’est donc comme ça que s’entraînait Le Cléac’h il n’y a encore pas si longtemps !
http://www.ledauphine.com/skichrono/2017/01/19/le-secret-d-armel-le-cleac-h-l-optimist-des-neiges
JJJ
Ce soir à la Grande Librairie, sur la 5, Onfray. Je vais l’écouter attentivement et je vous dirai, ici, ce que je ressens…
la vie dans les bois dit: 19 janvier 2017 à 12 h 05 min
Je pars en voyage.
Ah qu’en termes galants ces choses-là sont dites!
Ne croyez-vous pas qu’il serait temps qu’ils vous gardent une bonne fois pour toutes!
lv, oui effectivement, Frank Camas est lui aussi un alpiniste chevronné, Thomas Coville également, c’est un de leur terrain d’entraînement qui dit de leur condition physique; un souvenir à propos de Camas en 2010 qui remporta la route du Rhum; un matin j’avais pris en stop au retour d’une nuit de travail en rase campagne un garçon et ce jeune homme avec qu je m’entretenais de cette victoire toute fraîche se mit à faire un parallèle entre cardio training et endurance sexuelle, par prudence j’opinais sans rien ajouter à ces allusions sportives d’un autre type.
Pendant que vous y êtes, emmenez avec vous le morceau choisi.
C’est effectivement une sordide affaire, sur le plan moral, que celle de Polanski. Pour lui, la société, ses proches.
Il n’y a pas de délai de prescription aux US, pour les violeurs d’enfant.
Pour ses films, – une petite préférence pour Tess, une histoire de paysage …- et par respect pour son public, il serait bien qu’il se conforme aux règles de droit du pays où il est accusé de viol sur mineure.
Et puis quoi, naviguer entre France, Pologne et Suisse, c’est pas une vie. Même à 80 balais.
chaloupe, j’espère que vous aviez un peu de monnaie en poche, pour payer le recommandé ?
On veut savoir.
http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne-495/filmographie/
j’ai beaucoup aimé parmi d’autres les derniers, gosth writer et sa Vénus , Carnage, Pirates et bien sûr ceux qui ont précédé, le bal des vampires, Tess ETC.
Comment ne pas être de tout cœur avec Polanski sur ce viol consenti par la mère de la gamine, désormais apte à partir d’un bon pied une fois le tabernacle inauguré par le Maître …uhuhu !
Arrêtez ces commeries !
LVDB, je vous croyais déjà dans l’ambulance. A peine commencée, cette histoire prend de tels développements que je ne veux pas en parler. Mais je vous assure qu’on en apprend tous les jours.
Bon voyage!
Je vais l’écouter attentivement et je vous dirai, ici, ce que je ressens…
_
Nous venons de nous concerter, Christiane et nous considérons que ce n’est pas la peine.
Il n’y a pas de délai de prescription aux US, pour les violeurs d’enfant.
20 ans dans notre bon pays? Avis aux amateurs, qui sait comment évoluent les abusés mineurs et consentants?
chaloupe, ce n’est pas un contre-temps.
Nous sommes nombreux à souhaiter connaître la suite que vous avez donnée à vos accusations, et qui devait se concrétiser par une dénonciation auprès des autorités ad.m.istratives du rectorat, impliquant le ci-nommé widerganger, comme vous vous étiez solennellement engagé à le faire ici- même hier, même si complètement bourré et aveuglé par votre hargne.
Alors chaloupe, où en êtes-vous, ce soir ?
Ce n’est pas un éthylotest.
Avez-vous fait cette dénonciation, oui, ou non ?
Pour l’instant, Polanski reste accusé d’un crime.
Il ne s’agit pas de noyer le poisson.
Relisez ma réponse, je vous ai répondu.
Ce n’est pas clair du tout chaloupe. On ne vous demande pas des insinuations. C’est trop grave, cette affaire.
Alors, est-ce que cette lettre est bien partie ?
Tandis que d’autres bien couverts continuent de braver la neige et les congères, il y a très longtemps dans un procès à Nice des enfants agressés avaient même reconnu parmi les instructeurs ou des juristes, de ceux qui les avaient touchés, alors voyez dans quelles eaux insalubres nous évoluons concernant la protection de l’enfance, entre clergé, enseignants et parents délictueux, à y regarder en plusieurs fois avant d’accorder sa confiance sans compter avec maintenant le web qui véhicule des fichiers à caractère pédo-pornographiques et les réseaux qui représentent un danger pour les plus jeunes avec le risque que présente l’usage de fausses identités pour obtenir des rendez-vous.
Pour l’instant, Polanski reste accusé d’un crime
lv en procureur, un rêve ou un cauchemar?
Je comprends bien que cette affaire Polanski, comme celle assez sordide que racontait l’époux d’ Eva Ionesco, où des allusions étaient faites à propos de Polanski, qui en gros « pouvait aider sa carrière » ne soient pas bien perçues, surtout quand on s’affranchit du droit, si ce n’est d’autre chose, sous prétexte psychosexuel de création artistique.
D’ailleurs Paul Edel utilise beaucoup le psychosexuel, dans sa comparaison, clap/deuxième, Baudelaire/Houellebecq.
Mais je ne pense pas que ce soit pour cela que lui est reproché un » prétexte fallacieux ».
Hélas, serais-je tentée, d’ajouter…
Car d’un sadisme, l’autre, ils se tirent une drôle de bourre, stop: ça veut dire: émulation, les germanos-pratins de la littérature » romantique ».
A bientôt.
A bientôt.
Bon voyage, lv, portez vous mieux. A très bientôt.
Observation de Delaporte:
« Polanski devrait accepter de se rendre de lui-même aux autorités américaines, afin que la justice puisse passer. On n’imagine pas comment un artiste de cette stature peut vivre ainsi, avec cette épée de Damoclès sur la tête. Cette histoire est son plus mauvais scénario, auquel il devrait enfin trouver une issue normale, que tout le monde attend. »
Réponse de Blabla Widergänger:
« Delaporte est encore un de ces c.uls bénis qui aiment poursuivre les Juifs jusque dans les chi.ottes pour leur faire rendre gorge. »
Cela veut dire, donc, que pour notre Grand Admirateur des antisémites Heidegger et Blanchot tous ceux qui poursuivent et critiquent Polanski pour viol sur mineure (justice américaine, féministes, collectifs contre le viol, etc) sont antisémites.
Je crois que la dénonciation la plus urgente qu’il faut faire contre ce Immense Crétin Inguérissable est celle auprès du CRIF. Parce que ce Taré Absolu est un danger publique, un antisémite déguisé en faux Juif qui n’est ici que pour exciter les gens à devenir antisémites en proférant des énormités ahurissantes comme celle qui vient d’écrire à propos de Polanski.
Cela je le pense depuis un bon moment et c’est chaque jour plus clair pour moi. À chaque fois que cette Ordure (autant physique que mentale) parle des Juifs ou d’Israël on dirait que c’est pour provoquer la haine contre eux. Je n’ai jamais vu un Juif se comporter de la sorte et dire des choses aussi grotesques.
Cela me rappelle qu’il y a des années j’écoutais les dimanches vers 15 h un programme dans Radio J (ou Radio Shalom) où les auditeurs appelaient pour commenter la semaine politique; il y avait toujours un ou deux excités du genre Blabla Widergänger qui disaient de telles énormités à faveur des Juifs et d’Israël que le modérateur les coupait tout de suite en laissant entendre que c’était des provocateurs antisémites déguisés en extrémistes.
. Parce que ce Taré Absolu est un danger publique, un antisémite déguisé en faux Juif qui n’est ici que pour exciter les gens à devenir antisémites en proférant des énormités ahurissantes comme celle qui vient d’écrire à propos de Polanski.
Pablo, vous faites erreur, je dirai pour ma part que WGG est un sioniste fanatique, d’autre part que sa soutenance de la philosophie d’Heidegger sans tenir compte de l’enracinement de la pensée puriste des nazis est de l’ordre du déni, du paradoxe et de l’incohérence. Les extrémistes juifs, les ultra nuisent à leur peuple de la même façon que les islamistes nuisent aux musulmans. Cela dit, après lecture du Monde du jour, i semble que l’EI renforce ses positions après la victoire à Alep de l’armée légale et commence à présenter une menace pour l’état d’Israël entre autres.
Bien vu, Pablo, mais le morceau choisi est aussi un homme dans une situation difficile et cela va si loin qu’il serait déclaré irresponsable pénalement.
» je vous dirai, ici, ce que je ressens… »
On ne vous demande pas de ressentir, Christiane, mais de comprendre et de nous dire ce que vous en pensez (d’Onfray).
@ Chaloux
Tu es au courant qu’on a trouvé une nouvelle photo (ou plutôt un nouveau daguerréotype) de Chopin?
C’est saisissant mais j’ai quand même un doute. C’est la grande mode en ce moment, Rimbaud, Flaubert, et même Jeanne Duval.
Cette façon systématique qu’a l’Ordure Heideggerienne de traiter d’antisémite tout le monde (y compris ceux qui critiquent les violeurs d’enfants) ça commence à puer vraiment.
@ Chaloux
Moi il m’a rappelé son portrait fait par Délacroix. L’article dit que tous les experts sont d’accord pour dire que c’est bien Chopin. Et on savait qu’il y avait de daguerréotypes de lui perdus.
@ Chaloux
Quelle photo de Flaubert on a retrouvée?
Il faut arrêter avec cette « affaire » Polanski. La « victime » a depuis longtemps pardonné à son agresseur (depuis plus de quinze ans). Polanski est simplement victime d’un acharnement judiciaire. Selon la loi française, les faits sont prescrits depuis longtemps. Polanski n’a aucune raison, à son âge, d’aller se faire démolir par des juges prévenus contre lui et qui ont juré sa perte.
Ce qui me tiquer, Pablo, c’est que je ne vois pas de portraits existants de cette époque, c’est à dire avant 1850,avec lesquels on pourrait comparer la proximité et même la pénétration psychologique de celui-là. J’ai plutôt l’impression de voir un Chopin 1920 avec des repeints. Mais ce n’est peut-être qu’une impression.
Pablo75 dit: 19 janvier 2017 à 22 h 20 min
Cette façon systématique qu’a l’Ordure Heideggerienne de traiter d’antisémite tout le monde
En un sens c’est pas entièrement faux, dans la mesure où c’est lui-même qui en grossit les bataillons en écoeurant et dégoûtant tout ce qui bouge…
Ceci dit, je suis pas le premier à le raconter…
« Il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse, si minime ou si légère qu’elle soit »
Visiblement, Assouline, à travers cette citation de Baudelaire, vise Houellebecq. Mais je ne vois pas que celui-ci ait jamais dit que tout était laid dans l’habit de son époque. Il peint la société de son temps telle qu’il la voit (et telle qu’elle est, au moins partiellement). Sa peinture est sans indulgence, certes, mais elle ne m’a jamais semblé verser dans un manichéisme caricatural, que sa subtilité et sa complexité récusent.
Ici
http://flaubert.univ-rouen.fr/iconographie/inedit-1846.php
Pablo, aimeiez vous Chopin? Quand j’étais à peine une jeune fille je connaissais un jeune homme qui souhaitait tout entendre tout découvrir à l’exception de Chopin, pour quelles raisons? jamais sues.
Le dialogue Boucheron Onfray était trop court. Il aurait fallu leur consacrer toute l’émission, mener la partie d’échecs à son dénouement. Busnel est un petit joueur. Cela dit, le discours de Boucheron est vraiment remarquable.
Busnel est un petit joueur (chaloux)
________
Et chaloux un gros con !
J’ai suivi l’émission, bien aimé cette intervention à propos du caractère assez paradoxal de Strindberg vis à vis des femmes qu’ils choisissaient libres et brillantes mais qu’il ne put s’empêcher de blesser, la première fort belle qui renonça à l’aristocratie pur devenir comédienne ; pour finir aussi ce dessinateur de talent, j’aimerais bien voir ses planches , Bunesl est limité par le temps , il lui faut en accorder à tous ses invités, Boucheron avec cette expression toujours souriante et cette sensibilité disponible à l’autre si différent.
Bérénice, ce que dit Chopin, il ne faut peut-être pas l’entendre trop tôt.
caractère assez paradoxal de Strindberg
Detambel pense comme un playmobil.
@ Chaloux
J’aurais pas reconnu Flaubert dans cette photo.
« ce que dit Chopin, il ne faut peut-être pas l’entendre trop tôt. »
Tout à fait. Chopin a l’air facile à écouter mais il est très profond. C’est Baudelaire qui a décrit le mieux sa musique en très peu de mots: elle « ressemble à un brillant oiseau voltigeant sur les horreurs d’un gouffre. »
Il a même était question de Beethoven, avec Emmanuel Dongala qui signe « La sonate à Bridgetower ».
@ bérénice
Qui n’aime pas Chopin?
qu’il choisissait, zut!
Vous peut-être , dans une vie antérieure, vous l’aurez oublié.
Chopin restera toujours incompris par les ploucs comme Pablo75.
Chopin, c’est la musique des adieux, du souvenir, du perdu. On n’y entre finalement qu’assez tard. Il disait à ses élèves : »Faites pleurer votre piano ». J’ai aimé Chopin assez tard, vers trente-cinq ans, et Schubert encore plus tard. On n’entre dans la musique, comme dans la littérature, que pas à pas.
Moi non plus, Pablo, je n’y ai pas cru. En cliquant en haut de la photographie, tu peux lire les débats autour de ce « portrait ».
Pablo, quand le morceau choisi sort complètement des clous, c’est qu’on a tapé juste et fort. J’en éprouve une savoureuse satisfaction.
Chaloux dit: 19 janvier 2017 à 23 h 22 min
Chopin, c’est la musique des adieux, du souvenir, du perdu.
_________
Chopin, c’est tout sauf ça, pauvre plouc de merdde. Chaloux n’a aucune sensibilité. Chopin c’est pas fait pour les nullards qui ne comprennent rien au sens aristocratique de la vie chez Chopin.
@obs dit: 19 janvier 2017 à 21 h 34 min
Mais je ne vous demande rien ! je m’adressais à JJJ.
Justement c’est « ce que je ressens » que j’ai envie d’exprimer ! pour comprendre (les livres) il faudrait les avoir lus ce qui n’est pas le cas. Donc, bonne soirée, l’obs.
@JJJ,
ce que je « ressens » donc, face à cette émission… où F.Busnel a donné la parole en premier, à M.Onfray, c’est que ce dernier a eu une façon bien expéditive de résumer l’histoire de la civilisation judéo-chrétienne ! (Décadence/Flammarion).
C’était un empêchement pour chacun des invités (si différents les uns des autres) d’entrer dans quelque chose de sérieux. Tout était rapide, morcelé, compartimenté. Les livres et les auteurs n’avaient aucun rapport les uns avec les autres si ce n’est le choix fait par le meneur de Je(u).
F.Busnel évoquait un débat, quel débat ? quand y a-t-il eu débat ? Chacun des invités essayait, sur fond de chronomètre, de répondre à « la » question de F.Busnel et de dire ce qu’il avait prévu de dire. Puis on les voyait, sages, silencieux, alignés par le mouvement de la caméra, d’abord écouter. Ensuite, Les lèvres s’affaissaient, les regards se faisaient moins attentifs. Ils semblaient s’ennuyer. Ils savaient que leur tour était passé.
Spectatrice, mon regard suivait celui de la caméra et de temps en temps s’attardait sur un moment de parole de l’un d’eux.
« L’Histoire », dans cette édification digne de la tour de Babel devenait très floue. Entreprise humaine fragilisée par leur langage où ils ne s’entendaient plus les uns les autres. Un plateau de confusion où le sourire régnait et où le bavardage, la flatterie (un peu) et la séduction devenaient instruments de promotion de la littérature.
Bien aimé les gravures (sur bois ?) entraperçues du livre de F.Pajak (Manifeste incertain/éd. Noir sur Blanc), la façon dont R.Detambel évoqua les « Trois ex » (Actes Sud) de Strindberg, aimé l’œil pétillant de P.Boucheron qui avait tant à dire (Histoire mondiale de la France /Travail d’équipe/ Seuil) liant le destin de la France au reste du monde, et ne l’a pu vraiment… L’élégance d’Emmanuel Dongala (La sonate à Bridgetower /Actes Sud).
Mais, encore une fois, je ressors déçue de ces 90mn d’une émission qui est plus pertinente quand il n’y a qu’un seul invité.
Voilà, JJJ, mes… sensations !
Joni Mitchell n’est pas poétesse, elle n’est pas romancière, elle n’a pas d’oeuvre mais elle est blonde et elle sait rester dans l’ombre
https://www.youtube.com/watch?v=9gFCm9TVU9I
Quand t’auras reçu un tombereau de merdde sur ta sale gueule de konnard, ce sera encore meilleur ! Pauvre minable ! infantile ! débile ! infâme salopard.
Après Proust qu’il n’a jamais ouvert, Baudelaire qu’il ne connait point, le morceau choisi va se vautrer sur Chopin dont il ne sait rien. Une prodigieuse encyclopédie du néant s’écrit sous nos yeux ébahis, et il faut bien le dire, un peu las.
Mais c’est toi qu’es fétide. La preuve c’est que te sens même plus tellement tu pues la merdde ! Espèce d’étron ramolli fasciste espagnol !
Tout à fait Chaloux. L’Ordure commence à s’étouffer. Un jour il va crever dans son vomi de mots, celui-là. Quel rat infecte !
Chopin c’est pas fait pour des minables insignifiants dans v otre genre, espèce de kul de basse fosse !
Blabla, il faut revenir à toi, et combattre avec des arguments intelligents, pas avec ces insultes qui te déshonorent.
Retourne dans ta merdde, gros konnard ! T’as rien à faire ici sur ce blog. deux verrues qui polluent le blog avec leurs ordures, c’est tout ce que vous êtes.
Chaloux je trouve malsaine votre entente avec Pablo pour ennuyer WGG, qu’est-ce que cela peut bien vous faire s’il se trompe ou si vous avez ce sentiment de détenir la vérité absolue, exprimez le sans violence ni mépris, c’est lassant à la fin, vous cassez l’ambiance pour votre seul plaisir, pervers?
Un peu de belle musique pour désinfecter le blog du vomi de mots puants du type qui « s’est couché tout habillé / avec ses chaussettes » (et sans se laver, bien sûr):
Arturo Cardelús: « Grace » (avec l’auteur au piano)
Une qui partage quelque qualité avec Joni
https://www.youtube.com/watch?v=R96jRnBYymU
Un des plus fantastiques morceaux de Chopin.
J’ai choisi cette version synthétisée parce que les autres jouées par des pianistes m’emmerdent. Tous y compris les plus grands rajoutent ou enlèvent quelque chose.
Cette pièce requière la totale rigueur du synthé pour être appréciée à sa juste valeur.
Mon propre jeu ressemble d’ailleurs fort à celui-ci, mais je ne suis pas encore capable de produire une telle dextérité.
Nina, c’est ma préférée.
Du même Arturo Cardelús (Madrid, 1981): « Con aire de tango ».
Flûte je me suis trompé dans le lien, le précédent étant une version honorable, mais sans rapport avec celle-ci, taillée dans le roc :
Une merveille de Nina Simone: « Bye Bye Blackbird ».
Le piano ne peut souffrir l’approximation et encore moins la mièvrerie, du moins chez moi, en règle générale. C’est une nouvelle école, je le reconnais : celle du synthé, seul capable de produire ce torrent de pureté, rigoureusement exact dans sa force et sa géométrie.
Sachez apprécier.
Sublime à Paris en 68.
https://www.youtube.com/watch?v=To0aHKYsEBQ&index=7&list=PLg4blegEv8ZdK0HcoC7CxT0KO5s3MXfL6
« Delaporte est encore un de ces c.uls bénis qui aiment poursuivre les Juifs jusque dans les chi.ottes pour leur faire rendre gorge. »
Pas du tout, mon pauvre Wgg. Ce que j’ai commenté à propos de Polanski n’a rien à voir avec le fait qu’il est juif. Là ne se situe absolument pas le problème, il faut vraiment être bien à côté de la plaque (comme l’est trop souvent Wgg) pour le croire ou essayer de le faire accroire en vue de je ne sais quel dessein mystérieux et absurde.
Pablo75 dit: 20 janvier 2017 à 0 h 17 min
Géniale…
Bien entendu, cette musique de Beethoven ridiculise toutes les petites merdes de « compositeurs » contemporains de variété qui se dandinent avec suffisance sur des airs d’une pauvreté et médiocrité dépassant l’entendement, je dis bien contemporain, ceux des années 60 à 80 méritaient au moins d’être écoutés.
Oui, la génération actuelle est tout sauf une génération d’artistes. Internet et les jeux vidéos y sont sans doute pour quelque chose dans cette dégénérescence patente des arts.
@ « Tandis que d’autres bien couverts continuent de braver la neige et les congères, »
Tout à fait Tatie Danielle*, le scénario a même fait l’objet d’un roman de Emmanuel Carrère: « la classe de neige », je ne sais pas s’il a fait l’objet d’un film.
L’histoire d’un enfant, citadin, qui est envoyé à la montagne, et son trouble s’installe durablement, lorsque son instinct l’alerte de la présence d’un monstre, dans son entourage.
C’est pour cela aussi, -mais combien d’autres affaires, tous les jours dans le journal, des anonymes-, qu’il serait légitime, qu’une personne aussi médiatique que Polanski affronte son monstre.
(*) pour mémoire:
http://www.clubic.com/technologies-d-avenir/actualite-807400-google-chatbot-parler-naturellement-humains.html
Des « affaires Polanski », il y en a des milliers dans le showbiz, dans les villes, dans les campagnes, dans la brousse, dans les familles, dans tous les milieux …
Si les féministes veulent du grain à moudre pour leur « luttes », qu’elles lâchent les baskets de Polanski, et s’attaquent au problème de fond beaucoup plus grave : une religion se voulant supérieure aux lois de la république qui nie l’égalité entre homme et femme, ici et ailleurs !
Faut vraiment être le dernier des crétins pour vouloir que Polanski soit jugé, connaissant ce qu’est la justice médiatique …
…
…çà, c’est rien,!…
…
…et, mes petites mesurettes, en amont, pour que personne ne demande, plus de crédit,!…
…çà en ajoute, à l’équilibre budgétaire de chacun, sans dépenser les » quatre milliards « , d’Amon, pour la classe moyenne à se lécher les babtnes,!…sur le compte de la sécurité sociale,!…
…
…je ne savait pas, que je valais quatre milliards, avec quelques mesurettes sur le budget de chacun,!…par mois,!…et ses retombées automatiques instantanées,!…
…
…je dis, rien,!…et mes châteaux et industries,!…Ah,!Ah,!…l’état c’est moi,!…etc,!…pour votre bonheur,!…
…Bip,!Bip,!…
…mais, parle Nom de Dieux,!…
…pas assez pris en considérations hélas,!…des titres à convoler à mes noces,!…encore manquant,!…
…etc,!…bon pied , bon œil,!…
@Des « affaires Polanski », il y en a des milliers dans le showbiz
C’est bien pour cela, que lorsque l’une d’elle revient sur le devant de la scène, on peut estimer qu’il serait temps qu’elle soit menée à son terme, judiciaire. Et Polanski est attendu aux US. Depuis tout ce temps…
Car en france, l’affaire Polanski est entendue, depuis longtemps. Au moins depuis que son extradition a été refusée.
Il faudrait voir, mais il me semble que l’arrivée de la gôche Mitterrand n’avait pas fait avancer les choses, sur le plan de la judiciarisation des abus et crimes sexuels sur mineurs. Avec l’affaire Cohn Bandit, déjà, c’était moyen, comme défense.
Certes non, il ne faut pas laisser la défense du respect de l’enfance aux féministes; la plupart de ces nageuses « est-allemandes » confond vitesse et précipitation.
Une voiture bélier en Australie à Melbourne fonce dans la foule : 3 morts dénombrés pour l’instant. C’est la guerre mondiale qui s’annonce.
Delaporte c’est ton commentaire qui est absurde. L’affaire Polanski n’en est plus une depuis longtemps. Seuls les demeurés, les ordures dans ton genre s’en lèche encore les babines. Tu es une sinistre merdde qui n’a aucun respect pour les règles du droit et l’être humain, mais le goût de la persécution ! T’es une simple ordure de fasciste comme Pablo75, Sergio et chaloux. Les quatres ordures du blog.
…
…le jeux des auteurs, avec la création artistique, et les acteurs,!…pour les scénarios,!…ne sont pas, des excuses, ou une carte-blanche pour tout se permettre sur tout terrains,!…à toute heures,!…
…c’est un fait,!…
…de là, à faire son globe-trotter, sur petit-bateau disponibles,!…pour se ramasser la liberté totale des mœurs, avec exhibition de godiches à la sortis de son sac,!…d’école,!…à ses amis,!…
…en disant,!…il faut bien çà,!…pour remplacer papa,!…qui est rompus à la besogne,!…entre deux thèses à s’astiquer du gode d’une main, et se taper sur son clavier de l’autre main,!…
…les pupitres à Automatical Love,!…
…les bricoleurs,!…des » qu’il est beau, mon lavabo « ,!…en musique,!…
…la mariée à recoudre, pour faire » vraie « , avec des clito’s, exubérants hors-normes,!…
…elle vous dis, vous êtes le premier,!…vous en avez de la chance,!…
…venez que je vous prenne en mains,!…
…etc,!etc,!…
…tout le monde peut se tromper,!…comme la chèvre, pour attendre le loup au passage,!…t’a la meute gratos, au mariage,!…
…le ridicule judiciaire , non ne tue pas,!…questions de taille, et j’en passe,!…reste à imaginer, la perversité pour remonter son gland à l’ascenseur,!…
…Ah,!Ah,!…attiser les désirs, avec des pots à leurres du presse-papiers encore chaud, à ses cons-fesses,!…etc,!etc,!…
…t’a les traces blanches,!…à la maison blanche,!…la politique du correct con, à méduses,!…selon, que vous êtes puissants et riches,!…passe l’éponge du dédain et mépris,!…objectif du fric, pour des connes en l’air, en sainte ni-touches du cul,!…
…Basta,!…ma fille reste sur son chemin, la bouche béante ouverte,!…et sort t’a langue,!…c’est mieux,!…etc,!…
…les filles à sa mère; les plus a la morale du livre, les ragionamenti de Pierre l’Aretin,!…
…etc,!…encore,!…les concours pour des pudeurs érectiles,!…les moteurs du systèmes,!…pour forcer les accouplements,!…
…jamais, sans fortunes,!…dira t’il,!…
…Oui,!…tout le monde n’est pas un saint en boîte,!…etc,!…
…cadeau bonux,!…le beurre et l’argent du beurre,!…
…
Tout à fait Tatie Danielle*, le scénario a même fait l’objet d’un roman de Emmanuel Carrère: « la classe de neige », je ne sais pas s’il a fait l’objet d’un film
lv, personnellement je vous estime assez mal placée pour aborder honnêtement certains sujets que je ne nommerai pas , pas envie d’avoir plus d’ennuis que ceux que peuvent générer votre « folie » votre jalousie haineuse et maladive; ceci dit chacun son lot et vous pouvez continuer de me gratifier de tous les noms d’oiseaux qui vous plaisent, peu me chaut et si cela trouve à alléger votre Bérézina de quelques grammes de boue , tant mieux, voyez je suis charitable pour ne pas tomber dans la pitié que vous pourriez inspirer tant l’écart entre ce que vous tenez résolument et continûment à afficher et votre réalité dessine comme une zone bien noire et insalubre. Les bourgeois tiennent dans l’ensemble à préserver les apparences plus importantes aux yeux des autres que leur vérité qui dans votre cas ( cas d’école) masquent une misère rare. Si vous le souhaitez, je vous envoie des sucettes et vous pourrez continuer de donner des leçons de bonne moralité avec cet air ingénu qui vous sied.
Bérénice,
Si je prend l’air ingénu, tu me donneras des sucettes ?
Ton Tite
Un sucre d’orge et le fouet si vous restez sage!
« Chi si loda si sbroda »…
Cela dit, « The essence of being human is that one does not seek perfection. » George Orwell
Je vous accorde le rôle de Mathieu Amalric dans la Vénus, est-ce que cela vous tente en revanche je ne sais trop si mon talent appliqué à la scène finale serait suffisant pour faire oublier Emmanuelle à la fourrure.
Smoke Break :
http://blogfigures.blogspot.fr/2012/07/helmut-newton-smoke-break.html
Qui assure la garde du bambin ce week-end?
La différence fondamentale que je vois entre Baudelaire et Houllebecq, c’est celle qui sépare le rôle de l’inspiration dans l’abjection même postulée par Baudelaire comme tant d’autres à son époque (la confession de Stravoguine dans Les Possédés de Dostoïevski qui présente tellement d’analogie avec le troisième chant de Maldoror de Lautréamont comme avec Une Saison en enfer, de Rimbaud, où un Dieu vengeur n’a pas seulement créé le ciel et la terre, l’homme et l’animal, les nations et le progrès mais aussi les camps de concentration et d’extermination, la bassesse, l’abjection, la vengeance, la cruauté — et l’expérience d’une pauvreté intérieure sans précédent, pauvreté en expériences communicables, où l’homme est réduit à son fragile corps humain au milieu d’un champ de forces traversées de tensions économique et politique, de manipulations de la vérité par les discours des États et la dérélliction des images qui empêchent de voir, où l’indifférence a remplacé la cruauté au niveau des individus comme des États, déconnectée de tout savoir totalisant chez Houellebecq comme il ne manque pas de le souligner dès le préambule des Particules élémentaires.
On est passé du récit des Possédés à celui des Dépossédés.
« Un sucre d’orge et le fouet si vous restez sage! »
Pour éviter le fouet … je ne resterai pas sage !
(*) pour mémoire:
http://www.clubic.com/technologies-d-avenir/actualite-807400-google-chatbot-parler-naturellement-humains.html
lv, retour à l’envoyeuse, je n’accepte pas les envois de suspects, pas ouvert, gardez le pour vous rafraîchir la mémoire, la mienne n’est pas sélective mais il y a des limites à ma disponibilité.
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« Wole Soyinka, prix Nobel de littérature, a déchiré sa « carte verte » pour protester contre l’élection de Donald Trump »
Seigneur ! Je t’en supplie ! Fais que le ridicule ne tue pas ce pauvre type …
Que veux-tu, JC, Wole Soyinka et ses acolytes préféreront toujours un président américain qui monte au pouvoir pour ne pas l’exercer à un footeur de merdde promis à un grand avenir dans un monde en pleine déréliction…
Je veux dire que si l’élection US s’est déroulée dans des conditions régulières, un démocrate se doit de respecter la décision populaire : on ne fait pas son boudeur « à l’abri du besoin », comme les artistes du showbiz US s’y livrent actuellement drapé du ridicule le plus malvenu.
Cela les rend aussi grands que Montand, Signoret, Aragon, Danièle Mitterrand, et tant d’autres Sollers prenant fait et cause pour Stalin, Castro, ou Mao Zedong …
Quelqu’un prononça-t-il le nom « Joni Mitchell » ?
…
Une qui n’est pas tombée dans la mayonnaise Dylan…
Et une qui, avec sa manière si particulière de mélanger phrasé « sec » et vibrato, a directement et pour longtemps pris mes nerfs pour des cordes à piano… Je connais l’album « blue » plus que par coeur… (et je n’ai jamais aimé Chopin. Trop long ici d’expliquer pourquoi. Le rapport au piano, sans aucun doute. Justement : la chanson « blue » de Mitchell est minimaliste dans le genre rapport voix-piano. C’est pourquoi.)
Bon, pour Boucheron-Onfray, je m’en vais tenter de voir l’émission indiquée. Mais je crains bien qu’Onfray (qui est en train d’opérer une des plus belles volte-faces crapuleuses de ces dernières années) ne puisse être un interlocuteur vis-à-vis de l’historien. Boucheron est aussi lumineux qu’Onfray sombre, tournant à l’amer, assénant ses convictions comme on mâche, avec une grimace, une tige de chardon-marie.
Kss kss, tatie danielle 9h 17 veut pas se regarder en son miroir ?
À force de trop se mirer, elle ne peut plus se voir en peinture.
« Une qui n’est pas tombée dans la mayonnaise Dylan… »
parole d’experte
Pablo75 dit: 20 janvier 2017 à 10 h 21 min
Va te faire fo.utre ailleurs, espèce de fasciste espagnol qui vient nous faire chyer ici chez nous en France. Retourne dans ta merdde espagnole, gros konnard pourri, inculte et stupide. Tu pollues ici.
Clopine définitivement un Cas à Part dit: 20 janvier 2017 à 10 h 24 min
T’es toujours aussi nulle, ma pauvre Clopine avec tes jugements insignifiants. Tu défendais Onfray quand il écrivait des insanités tirées des pires antisémites qui soient et réputés comme tels. Et maintenant qu’il écrit des livres qui font date, t’es incapable de les lire dans leur profonde vérité. Il faut que tu dénigres ce que toujours tu ne comprends pas. T’es lamentable !
En plus de son impérissable « Poème de la Mer……de », ces deux derniers mois notre Grand Poète Puant qui se couche « tout habillé avec ses chaussettes » a écrit, devant nos yeux ébahis par tant de génie déployé gratuitement, plusieurs autres chefs-d’oeuvre, dont celui-ci en deux parties:
Poème des Dithyrambes
I
« Les remarques de X relèvent vraiment de la çon.nerie pure et simple.
Rarement vu un pauvre en esprit de cette ampleur…
X confirme à chacun de ses commentaires le degré élevé d’imbicilité qui le caractérise.
Une preuve de plus de l’imbécillité maligne de X
Il se moque du monde pour être aussi çon !
X est un ignare satisfait de lui-même. Un imbécile bestial…
Tais-toi donc ! Tu fais honte à ce blog avec toutes tes saloperies stupides.
T’es qu’un sinistre crétin qui ne trompe personne.
ça te mettra peut-être un peu de plomb dans la cervelle, çonnard !
ce pauvre nain intellectuel, ce sinistre imbécile !
Ferme ta grande gu.eule, c’est tout ce qu’on te demande, t’es trop çon ! On n’en fais plus comme toi…
Faut-il est nul et incompétent pour nous sortir pareille sottise !
espèce de nullard confit d’orgueil et de sottise qui n’a que mépris pour les gens de savoir et d’expérience ! Symptôme de cette époque de trouducs prétentieux. Quelle horreur une telle époque !
Il y a vraiment deux grosses buses sur ce blog, X et X. Des minables ! lamentables minables !
T’es qu’une pauvre diable prétentieux et gonflé comme une outre.
Des minables dans ton genre, j’en ai connu plus d’un ici.
Ferme-la, ça vaudra mieux.
T’es gonflé comme une outre d’outrecuidance et de sottises. La seule attitude qu’on puisse avoir à ton égard, c’est le mépris.
tu es trop ç.on pour répondre à tes stupidités dans lesquelles tu te complais depuis maintenant des années.
Je dois dire que j’ai rarement connu un tel ç.on dans ma vie.
Faut être profondément insignifiant comme l’est ce misérable X pour se livrer au genre de blagues de potache auxquelles il se livre maintenant depuis des années avec une constance et une équanimité qui relèvent de l’hôpital psychiatrique… Et je suis gentil en disant ça !
X est un malade mental. quel cinglé il fait. Jamais vu un âne pareil !
Ce qui est sûr, c’est que X n’a jamais eu peur du ridicule
Vos affirmations gratuites, mon pauvre X, ne trompent personne sur votre bêtise en tout cas. Vous êtes ridicule.
Vous êtes un monstre et une ordure.
je n’ai jamais vu des crétins dans votre genre
les ordures de votre espèce on les combat.
Les X et les X ne sont que la continuité de l’extermination nazie. Rien d’autre.
Les X sont des barbares qui devraient d’abord retourner sur les bancs de l’université pour s’instruire.
Ça en dit long sur la médiocrité d’Obama, qui est une véritable mer.de.
tous les çuls terreux incultes et barbares du genre X et X qui ne sont que la canaille d’aujourd’hui.
Pauvre type.
Vous êtes un barbare.
Vous n’êtes que des ploucs d’Européens incultes et barbares.
Il y a de sacrées bouses de vache sur ce blog…
X sait même pas lire…
Excellente méditation pour une nouille dans votre genre…!
Ne soyez pas insolante en plus, X
Arrêtez de vous enferrer dans vos commentaires débiles, X
Inutile de vous l’expliquer, X. Je viens de le faire et vous n’y avez déjà rien compris. C’est sans remède. Vous avez des yeux et vous ne voyez rien. C’est tragique.
X est un âne. Et seuls les ânes peuvent lui donner raison.
X suscite le rire et la sympathie. X, le dégoût. »
Poème des Dithyrambes
II
« X est de ces çrétins qui se confortent de l’imbécilité des autres au lieu d’admiration.
X se complaît à chaque article de Passou dans ses exercices de haine. Haineux et un tantinet paranoïaque, il se complaît dans l’ordure. Sombre sire qui défigure gravement ce blog.
Décidément X cherche querelle à tout le monde ici. Il n’est bientôt plus un intervenaute avec lequel il n’ait pas maille à partir.
Incroyable, ce genre de préjugés de la masse !
C’est assez affligeant de voir ça sur la rdl ! Y a vraiment de tout sur la rdl. Même le pire.
Oui, je dirai que c’est même honteux de la part de X d’oser dire des trucs pareils ! Honteux et complètement irresponsable !
Tu es d’une rare bêtise et d’une rare vulgarité, je dois dire. Rare spécimen, qu’il faudrait conserver dans le formol…
Tu vois bien que t’es un gigantesque im.bécile pour avoir écrit le commentaire que tu viens d’écrire.
Bête comme tes pieds ! Mais c’est encore injurier tes pieds…
Ça en dit long sur ton incompétence notoire et même patibulesque… à ne rien comprendre à ce que tu lis.
Tu as la sensibilité d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Et ton derrière fait des ravages…
Y a que sur un blog qu’on peut rencontrer ce genre d’imbéciles.
Pov’ X, va. […] Tu la mérites, ta médiocrité ! Ah, ça, tu la mérites ! Il y a un dieu de la justice en littérature…! Il t’a condamné à la médiocrité. Tu dois être maudit.
En tout cas, X est le plus antisémite du blog.
Dieu faut-il être bête pour en arriver là !
X est simplement un sublime imbécile qui ignore la réalité du monde de l’esprit
Affirmation gratuite, mon brave X. Venant d’un crétin comme vous, c’est un compliment.
ce triste sire n’est qu’une pov’ loque.
Oui, ça oui, je suis très discourtois avec les salauds. Ça s’impose.
Mais il est bête ce X ! C’est incroyable de voir ça
X lit des « insultes » là où simplement wgg argumente contre lui. C’est dire combien X est atteint de paranoïa
X est manifestement trop bête pour se rendre compte de sa bêtise.
Effarant, tant de sottises et de prétention !
Il ne s’agit pas de modestie, pauvre imbécile
Allez vous faire voir !
ce pov’ abruti de X ne mérite que le mépris.
Je ne pensais pas que X était si bête.
Les fumiers de votre espèce
X mérite au moins la camisole de force pour paranoïa aggravée…
tas de brutes épaisses !
Ils n’ont vraiment pas le sens du ridicule, ces pauvres diables.
Ta boferie te perdra.
Vous n’êtes que des brutes épaisses, incultes et médisantes. La racaille, quoi !
le bovin braille. C’est tout ce qu’il sait faire.
On est pris à les lire d’une sorte de compassion qui nous fait presque honte.
En plus d’être c.on, y serait pas un peu paranoïaque le X?
X est encore en train de souiller la Rdl. C’est de plus en plus pénible.
Parler de X de cette manière est absolument immonde.
ses immondices d’imbécile patenté et fier de l’être. Immondices qui polluent ce blog.
Immondices de X hier, immondices de X aujourd’hui.
X, lui, […] il n’y a jamais rien compris.
Nul forfaiture intellectuelle ni mauvais foi de ma part mais au contraire une lecture très rigoureuse de vos dépravations. »
Pablo75 dit: 20 janvier 2017 à 10 h 54 min
Retourne chez toi, tu pollue, grosse merdde ! Dégage de là, tu nous fait chyer. C’est bien tout ce que tu fais ici depuis que tu commentes. Retourne en Espagne. T’as rien à faire ici, on te conchye
ta gueule pédro
et toi haussi dracul..les querelle de vidangeur ça fait pleurer yavé
Tu défendais Onfray quand il écrivait des insanités tirées des pires antisémites qui soient et réputés comme tels. Et maintenant qu’il écrit des livres qui font date, t’es incapable de les lire dans leur profonde vérité.
..non mais franchment dracul
Wole Soyinka et ses acolytes
..assez les cagoules et les croix dfeux
on ne fait pas son boudeur « à l’abri du besoin », comme les artistes du showbiz US
un panzère que se sent menacé pour si peut c’est que c’est une inflatabe hambulance..si la légitimité doutait d’elle pasqu’une corneille passe dans l’ciel..himagine comment il aurait été harrangé note bon roué françoué..t’as raison vive la france
Mais notre grand Producteur de Poésie Pestilentielle ne s’est pas arrêté là. En Plus de son fabuleux « Poème de la Mer……de », et de son fantastique « Poème des Dithyrambes » en deux parties, il nous a écrit en direct ces derniers mois un autre poème prodigieux:
Poème de la Connaissance
« Vous voyez bien que vous voyez le monde uniquement à travers votre petit trou.
X est manifestement un ignare doublé d’un crétin. Top ten de la Rdl des fumistes…
X ne connaît manifestement pas les principes d’incertitude de Heisenberg
Penser comme X mais c’est fou !
Tu lis sans comprendre ce que tu lis tellement t’es bof !
Vous ne comprenez rien et ne comprendrez jamais rien
Mais arrêtez tout, les gars. Vous ne comprenez rien à la logique.
Sont comiques tous les trois avec leur Wittgenstein auquel ils ne comprennent pas grand-chose
Faut être aveugle pour ne pas s’en rendre compte.
Encore un égaré
On n’a vraiment pas de mal à passer pour un maître avec pareilles suffisances
Le ressassement infini [en réalité Le Ressassement éternel], c’est un titre de Maurice Blanchot, mes petits chéris.
Mes pauvres chéris, que de blabla
Que de contre-sens et de confusion dans votre lecture, X
Mais enfin, je ne vous comprends pas !
Les gens aiment bien caricaturer toutes choses. Ça les rassure sans doute. Ça leur donne l’impression de les comprendre à leur propre hauteur d’homme.
X et ses vues simplistes !
T’es pas assez intelligent pour le comprendre mais á un génie de la critique comme moi, je t’assure que c’est l’évidence même !
Mais vous avez la tête où, bon sang ?!
Mais y comprend rien ce pov’ abruti de X
Vous ne savez même plus ce que vous écrivez.
Allez, je vous laisse à vos petites billevesées, mes pov’s enfants… Vous me faites bien rire…
les petits esprits minables comme X qui ne comprennent rien à rien.
j’adore, mon pov’ X contredire les imbéciles de ton espèce qui se la jouent grande gueule et ne comprennent rien à ce qu’ils lisent… Et Dieu sait que tu n’y comprend jamais rien !
Tu lis trop, mon pov’ X et en réalité tu ne comprends qu’à peine 10% de ce que tu lis.
X lui, contrairement aux autres, il a toujours tout lu. Le problème c’est qu’il n’y a jamais rien compris…
Pourquoi remettre toujours en question ces évidences, on tourne en rond.
Je ne discute qu’avec des gens compétents. Les autres, qui ne savent pas de quoi ils parlent, c’est inutile. C’est s’énerver pour rien. Basta, le café du commerce. Lisez, cultivez-vous, posez-vous les bonnes questions. Après vous pourrez parler et tenir lieu d’interlocuteur avec
des gens comme moi qui ont lu et savent de quoi ils parlent. Vos commentaires stupides n’ont absolument aucun intérêt.
Le blog a sans doute été inventé d’ailleurs pour les affligés du bulbe…
C’est pourtant simple à comprendre. Jérusalem est le sommet du monde. Mais c’est un langage que vous ne pouvez pas comprendre.
C’est sans doute qu’il me faut une fraction de seconde pour comprendre ce que toute une vie, toute ta pov’ vie avec ta pov’ tête d’imbécile ne te permettra jamais de comprendre. Tu fais souvent pitié faut dire.
T’es toujours aussi nulle, ma pauvre X avec tes jugements insignifiants.
T’es incapable de les lire dans leur profonde vérité.
Il faut que tu dénigres ce que toujours tu ne comprends pas. T’es lamentable !
Mes connaissances en physique sont réelles. Je sais, je vous choque (sic)…
On est contraint de jouer sans cesse au pédant ici. C’est pénible. »
Visiblement, Assouline, à travers cette citation de Baudelaire, vise Houellebecq. Mais je ne vois pas que celui-ci ait jamais dit que tout était laid dans l’habit de son époque. Il peint la société de son temps telle qu’il la voit (et telle qu’elle est, au moins partiellement). Sa peinture est sans indulgence, certes, mais elle ne m’a jamais semblé verser dans un manichéisme caricatural, que sa subtilité et sa complexité récusent
michel a commencé par le chtulu..et bryamment ! depuis y l’a du mal a paint plus black..sapré jean marron
Et zut alors !
Je n’ai pas envie d’être tutoyée par vous, WGG – et ce n’est pas la première fois que je vous le dis. Si vous pouviez, au moins, garder cette distance…
Je blâme Onfray exactement pour les mêmes raisons qui ont provoqué mon intérêt pour lui : c’est que notre homme abandonne la lumière de l’hédonisme pour, comme Zemmour ou Houellebecq, entonner le chant funèbre du déclinisme. J’ai entendu Onfray décliner la rengaine « toutes les civilisations sont mortelles, la nôtre, qu’on le veuille ou non, expire ».
Ah là là.
Si les civilisations sont mortelles, leurs idéaux, eux, sont éternels. Plutôt que d’accepter passivement ce qu’Onfay appelle « l’énergie » de l’islamisme (il englobe d’ailleurs dans ce terme tout et n’importe quoi, parlant d »‘innombrables » dijihadistes – à mon sens, on peut parfaitement les dénombrer et surtout les différencier de croyants résolument pacifistes, m’enfin passsons) qui serait promise au plus grand avenir, Onfray devrait se souvenir que les civilisations perdurent dans les valeurs qu’elles peuvent transmettre. Que serait notre civilisation judéo-chrétienne, sans les idées qui ont fleuri en Grèce, au cinquième siècle avant notre ère ?
Que la société à laquelle j’appartiens s’écroule et meure sous son propre poids d’inertie, tant pis, bien sûr, mais s’il m’y faut consentir, je le fais volontiers. Mais ne pas lâcher les idéaux qui la sous-tendent, ne pas accepter passivement une idéologie obscurantiste, affirmer haut et fort que, même vaincus par la Barbarie, les mots flamboyants d’égalité (notamment entre hommes et femmes), de raison, de fraternité continueront d’irriguer l’histoire de l’humanité, voilà qui devrait sortir de la bouche de l’ex-hédoniste Onfray.
Et c’est une conviction que je porte, vissée aux gonds des portes de ma si petite vie : ce qui une fois a fleuri, que ce soit le « non » d’Antigone à Créon, le refus de Rose Park de céder sa place assise ou l’affirmation, par Beauvoir, d’une « négation » de l’essence fémninine, pourra être détruit à la surface de la terre ( par exemple en même temps que la publicité p(scandaleuse à mes yeux !) de la Renault Scénic ), mais continuera à germer, par en-dessous.
Et le reste, mon dieu, le reste, sera enterré avec les rotomontades de tous les WGG du monde…
Le bon grain de notre civilisation, lui, ne peut mourir sous les coups de boutoir d’idées obscurantistes. (et dieu sait qu’en Israël par exemple, on sait de quoi on cause quant aux idées obscurantistes…)
Et bientôt je publierai son fantastique « Poème de l’Antisémitisme », écrit aussi ces deux derniers mois (on imagine la somme de poésie invraisemblable qu’on pourrait découvrir si on relisait attentivement son « Oeuvre complète bloquesque »).
Le bon grain de notre civilisation, lui, ne peut mourir sous les coups de boutoir d’idées obscurantistes
ta boudeuse havec une fleur de chardon au bec était plus gironde bonne clopine…
Et pour ceux qui doutent encore du génie absolu du Sous-homme des Chiottes, alias Blabla Widergänger, quelques uns de ses merveilleux aphorismes, récoltés uniquement entre ceux qu’il a pondu ces deux derniers mois (c’est dire le génie du mec !!):
– « l’ombre des pyramides n’existe que parce que le soleil brille ».
– « La seule solution au conflit, c’est de supprimer le conflit. »
– « C’est le réel qui est drôle, même le plus tragique qui soit. »
– « l’amour, le vrai, est fadasse et sans intérêt… »
– « Tout ce qu’on peut dire c’est que Borges est un mauvais poète. Ses poèmes ne valent pas un pet de lapin. »
– « La langue française nous aide à bien mourir. »
– « Mais non ! L’avortement n’est pas une douleur du tout. J’ai eu une amie qui s’est faite avorter. Cela ne l’a pas traumatisée du tout »
– « Attali prône depuis des années de détourner les 50 milliards dévolus aux syndicats pour les donner aux chômeurs »
– « Si les fabricants de téléphone portable n’ont plus personne pour les acheter tellement les clients potentiels se sont raréfiés, les riches aussi deviendront pauvres. »
– « Pour ce qui est de l’aviron, c’est la mécanique des fluides qui permet de mettre la glissade de la pelle en équation. On appliquera l’équation de Bernouilli. »
– « Mais la modernité est par nature une impasse. Elle doit se renouveler sans cesse sous peine de n’être plus la modernité. Elle est donc forcément une impasse et une puissance de dépassement des impasses qu’elle produit en même temps. »
– « Oui, je pourrais vous le faire comprendre très simplement en utilisant le langage de Nietzsche. »
– « Oui, je pense en effet que nombreux sont les lecteurs de Stendhal qui croient avoir compris Stendhal et qui n’en ont en réalité rien compris. Je dois dire pour ma plaidoirie que je n’ai jamais été de ceux-là. J’ai toujours su de manière très consciente que je ne comprenais pas Stendhal. mais je ne comprenais pas ce que je ne comprenais pas. »
-« si je ne peux pas sentir Stendhal, c’est en raison du fantôme d’Auschwitz. Mais c’est tout ce que je peux dire de concret et de
compréhensible pour le commun des mortels. »
– « il s’agit de devenir ce que je suis, à quoi fait obstacle justement le fantôme d’Auschwitz. Il s’agit de tout un travail intérieur de remodelage de mon être qui doit à la fois tenir compte de la réalité incoutournable du fantôme d’Auschwitz et de réussir à en surmonter l’obstacle pour devenir ce que je suis. »
– « Nietzsche n’est pas nietzschéen et ne peut pas l’être. »
– « Je n’avais de sensibilité que pour Flaubert, parce qu’à cause du fantôme d’Auschwitz, j’étais malade de la vie. Mais maintenant, je crois que je suis entièrement guéri, j’ai gagné en bonne santé. »
– « L’exacerbation des émotions et des passions, qui caractérise la musique de Wagner, a manifestement quelque chose de maladif, de pathologique. Le nazisme a des rapports évidents avec une telle pathologie. »
– « Quant à Wagner, je comprends fort bien qu’il soit interdit en Israël. C’est Wotan vu à travers Bollywood, et aussi Watan. Musique hystérique qui transforme celui qui l’écoute en écorché vif. La mort d’Iseult a quelque chose de grandiose et de pathétique à la fois. Le pathétique poussé à ce degré, c’est du vice. Quand je l’entends, je ne peux m’empêcher de voir des images d’Hitler vociférant à son pupitre devant la foule captée, capturée, avec ses gestes hystériques qu’on lui connaît. »
-« Wagner ça fait musique de film de Bollywood, comme je l’avais dit. De l’art vraiment dégénéré pour le coup, pour ne pas dire nazi avant l’heure. »
– « Je peux à l’occasion trouver du plaisir à écouter le prélude de Lohengrin dirigé par Karajan sans pousser des cris d’hystérie. Mais je ne peux m’empêcher de penser aux six millions de morts désormais en l’écoutant. »
-« on connaît quand même très bien la musique à partir d’un certain âge. »
– « Non, rien de ce que j’écris ici n’est faux. Et quand bien même d’ailleurs ce serait faux, ce n’en serait que mieux. »
Et Oswald Spengler à écrit Le Déclin de l’Occident au sortir de la Grande guerre !
Des insultes… Quand lama fâché, lui toujours faire ainsi.
(on n’est pas forcé d’aimer les lamas)
@23.37, Toujours aussi courageuse dans la persistance de vos promesses, Ch., malgré les quolibets ! Notez que je ne vous avais rien demandé. Personnellement, je n’attendais rien de ce « débat » Onfray/Boucheron. Et tant pis pour eux s’ils s’y sont bien vite ennuyés, en effet, car ils venaient faire leur promo et se devaient d’assurer le minimum syndical, comme on dit. Busnel était aux anges d’avoir les stars du moment qui firent semblant de se quereller pour lui faire plaisir, bien qu’ils ne crussent pas eux-mêmes en sa nécessité, vu qu’is n’étaient pas en guerre (la scientificité de « l’historien » de Boucheron contre « l’essayisme » du philosophe gratté, renvoyant le premier aux innombrables erreurs factuelles de son bouquin collectif – tu penses bien que le fougueux avait préparé sa tactique de contre-attaque, et que le doux n’allait pas persister…). « Bonne guerre » et règle du jeu habituelle de l’acceptation de la frustration réciproque… et, nous autres, on n’avait certainement pas envie de compter les points entre eux. La mienne de frustration était liée à ce qu’Onfray n’ait pas vraiment pu développer sa chute : « il nous reste à mourir avec élégance »… J’entendais bien ce qui suivait : « … à nous autres, qui appartenons à cette civilisation judéo-chrétienne dont je décris l’épuisement total »… Mais cela lui a tout de même permis de « placer » l’argument du 3e tome à venir, « Sagesse », qui apparemment, sera inspirée des conduites de vie des philosophes romains, etc. Etant pour le moment plongé dans Décadence, non seulement ce passage télévisé ne m’a rien appris, en dehors d’une petite distraction, mais je dois bien reconnaître que le propos général du bouquin me déçoit quand même, vu qu’il est loin d’être neuf… En effet, il reprend des pans entiers de son traité d’athéologie, de ses visions de l’islam, de son argument de Cosmos, sa propre ontologie matérialiste, etc. Bref, il recycle beaucoup… Et pourtant, je ne bouderai jamais mon plaisir de lire Onfray, car il a d’abord cette faculté de me faire rire aux éclats à cause de l’aisance et de la fluidité de son écriture au service de thèses iconoclastes qui fleurissent toutes les trois pages. J’éprouve d’intenses moments de jubilation avec Onfray, qu’apparemment personne n’avoue jamais, et peu m’importe de le suivre dans ses exagérations et outrances, je le fais avec indulgence, car il parle intimement à mon besoin de coudre des savoirs épars trainant dans ma tête. Et c’est très agréable, même si je ne les retiens pas, faute d’avoir engrangé et agencé les mêmes éléments de savoir. J’adore par exemple des phrases couperet de ce calibre : « Rien ne permet de savoir ce qu’il en a été du prépuce de Paul lui aussi sectionné. Si j’étais psychanalyste, ce qu’à Dieu ne plaise, (c drôle, non ????), je ferai (sic) de cette opération chirurgicale un traumatisme inducteur de la théologie pauliennne ; cette coupure l’aurait marqué à vie, elle aurait fait bouillir son complexe de castration jusqu’à lui sectionner métaphoriquement les génitoires (…). Mais dieu merci, je ne suis pas psychanalyste ». (p. 72)… J’ai beau me dire qu’il invente ou imagine ce Paul de Tarse qu’il éprouve le besoin rétrospectif d’accuser toutes nos misères jusqu’à aujourd’hui, la manière dont il me parle de « l’avorton » reste d’abord et avant tout des plus désopilantes. Il y a un humour corrosif chez Onfray qui, je pense, l’aide à faire passer ses idées, un procédé magnifique et génial. Si j’admire la façon dont il agence ses idées, rassemble son immense érudition, propose constamment des hypothèses (pas toujours nouvelles), si je suis sensible à la façon dont il les défend avec aplomb sans jamais se laisser impressionner par ses contradicteurs (souvent maniérés à force de pinailler sur des détails), c’est évidemment lié à son caractère sanguin, très visible en public autant que dans ses bouquins. En cela, il est d’un bloc et ne joue pas à être autre chose qu’en conformité avec ce qu’il pense et ce qu’il croit être. Que voulez-vous ? Je me sens beaucoup de sympathie avec ce gars-là, avec son approche existentielle du monde, son immense curiosité, sa sagesse, et sa faculté à apparaître pour beaucoup de gens, je crois, comme un compagnon de consolation dans cette petite portion de monde vivant, en ce moment précis de notre histoire anthropocène. Sans doute aussi quelque chose de très semblable lié à nos conditions et itinéraires respectifs… Je conçois fort bien qu’en face d’un phénomène public pareil, s’il n’y a pas d’abord cette immédiate sympathie, on n’ait pas vraiment d’autres moyens que de tout prendre ou de tout jeter… J’ai choisi la 1ère option depuis que j’ai persisté à le lire, sans être très convaincu au départ, car il se trouve que ce philosophe graphomane m’aide à vivre. Et ils bien rares ceux qui vous font rire sur les sujets les plus austères et tragiques qui soient, ne le pensez-vous pas ?
Pablo75 dit: 20 janvier 2017 à 11 h 42 min
Tout ce que tu publies ici n’a jamais eu le moindre intérêt. T’es un gros con pourri de sottises et de frustrations. Alors dégage et retourne en Espagne. Tu nous fais chyer ici.
@ Blabla Widergänger, dit le Sous-homme des Chiottes
Tu n’as vraiment pas de coeur, mon chou: je fais la pub de ton Oeuvre et tu m’insultes. Je montre à tout le monde que tu es un Génie (constipé, mais génie quand même) et tu t’étrangles en écumant de rage et en risquant un AVC.
Tu as si mal au c.ul?
Un peu de musique pour calmer Blabla Widergänger, dit le Sous-homme des Chiottes, avant qu’il ne s’effondre foudroyé par un infarctus et doive pourrir assis sur son WC, ce que son talent littéraire infini ne mérite pas:
Arvo Part – Festina Lente (for strings and harp)
« Si les civilisations sont mortelles, leurs idéaux, eux, sont éternels. » (Clopine)
INFIRMIERS, VITE… !!! Une urgence !…. une malheureuse qui croit à des imbécilités…
c’était la manzonification de fil, aujourd’hui!
infirmier infirmier..faut sortir ton larfeuille jicé..l’obamaquère c’est finit
Puisqu’on est dans la surenchère avec Houellebecq/Baudelaire, JJJ, à qui donc faut-il comparer, associer, Onfray ? Voltaire ou Diderot, Sartre ou Camus ?
le numérique ne vous suffit pus les gars..faut vider vos querelles a coup d’orion sonnant et trébuchant..mon larbin s’est défilé mais peut être qu’un combat dracul pédro est possibe..lassouline doit bien connaite une salle dans son quartier..
c’est l’histoire qui se répète en comédie baroz..les hommes c’est en comique
Presque la seule chose sensée au milieu du tas de saletés que j’ai survolées (mais pas lues, inutile de me salir les yeux) ce matin :
« Des insultes… Quand lama fâché, lui toujours faire ainsi. »
Merci Clopinetintinesque
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