Baudelaire plus que jamais « n’importe où hors du monde »
Et dire qu’on en est là : évoquer le génie de Baudelaire en contrepoint de celui de Houellebecq, parler de l’un pour établir des analogies avec l’autre, convoquer à son corps défendant l’ombre tutélaire de l’incontestable poète qui continue à dominer les lettres françaises depuis un siècle et demi pour consolider la réputation de celui que les medias veulent à tout prix nous vendre comme le Grand-Poète-de-son-époque… Quelle misère intellectuelle et quel triste signe des temps ! Il suffirait pourtant d’expédier la chose, et l’Autre autoconsacré par son propre pavé de l’Herne, d’une citation de Baudelaire échappée du Peintre de la vie moderne :
« Il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse, si minime ou si légère qu’elle soit »
Il y a de toute façon une excellente occasion de revenir au patron tout seul, sans un prétexte fallacieux : c’est l’exposition « L’œil de Baudelaire » qui se poursuit jusqu’au 29 janvier au Musée de la vie romantique à Paris pour le cent-cinquantenaire de sa mort. Un petit musée qui ne se pousse pas du col mais qui a un charme fou (surtout à la belle saison quand on peut y déguster d’exquises tartes aux fruits sous la tonnelle dans un petit jardin de roses et de lilas) et tire bien son épingle du jeu malgré ses moyens réduits. Le piquant de l’affaire est que l’une deux salles baudelairiennes a pour cadre l’ancien atelier d’Ary Scheffer, artiste par lui abhorré pour son éclectisme, peintre dont il méprisait la tristesse et qu’il évoquait en chef de file des « Singes du sentiment ».
Tout y concourt à montrer en quoi le poète a pu dire, dans Mon cœur mis à nu, revigorant empilement de ses colères, que la « glorification des images » était son unique et primitive passion. Il est vrai, mais le rappel est utile et c’est l’une des vertus de cette exposition qui n’en manque pas, que le tout premier écrit signé Charles Baudelaire qui fut publié sous forme de livre, n’était pas un recueil de poèmes : conçu dans l’esprit du Diderot qui inaugura un genre littéraire avec la critique d’exposition, ainsi que de Stendhal qui y excella, cet essai était consacré à la critique d’art des expositions de l’Académie des Beaux-Arts et s’intitulait Le Salon de 1845. Et comme ses maitres en la matière, au-delà du compte-rendu ponctuel, c’est bien d’une réflexion critique sur des problèmes d’esthétique qu’il s’agit.
Figure romantique par excellence du poète maudit, il plaide pour une critique poétique, subjective, de parti pris, exclusive mais ouverte contre une critique froide, algébrique, sans tempérament. L’exposition invite à s’immerger dans le paysage artistique des années 1845-1863 parmi les peintres de Baudelaire, les Delacroix, Ingres, Corot, Rousseau, Courbet ou Chassériau, qu’il les ait encensés ou blâmés. Sans oublier Manet bien sûr, avec qui il partageait la passion de l’Espagne et de ses artistes, celui qui incarne la génération montante et la modernité, ainsi que des caricaturistes au premier rang desquels Daumier en ses « vivantes monstruosités » qu’il élève au rang de grand artiste, ce qui était beaucoup plus risqué (et prophétique) que de louer Goya déjà fort acclamé à Paris. De quoi mieux appréhender son éducation artistique et les ressorts de sa sensibilité esthétique.
Volontiers pédagogique mais sans lourdeur scolaire, le déroulé rythmé en quatre temps (Les Phares, le musée de l’amour, l’héroïsme de la vie moderne, le Spleen de Paris ) offre déjà des clés pour déchiffrer les expressions qui jalonnent les écrits artistiques de Baudelaire : « beauté moderne », « conception double exprimant l’éternel dans le transitoire », « beauté interlope », « mérite de l’inattendu », notion d’étrangeté, pourquoi un tableau fait est préférable à un tableau fini, en quoi une œuvre respire l’amour, le romantisme de la couleur et la nature idéale de la ligne, la part de naïveté exigée d’un artiste etc Sans oublier, on s’en doute, « modernité », auberge espagnole si généreuse dans son accueil de toutes les interprétations, déviations, instumentalisations, alors que Baudelaire avait bien défini la mission du peintre de la vie moderne :
« Dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, tirer l’éternel du transitoire »
Baudelaire célèbre en l’imagination la reine des facultés contre le réalisme tenu pour une blague puisque le goût du Vrai ne peut qu’opprimer le goût du Beau, une imagination avec ou sans l’aide des drogues et autres paradis artificiels, son « accélérateur de pouls ». Au fond, Delacroix, représentant majeur du romantisme loué comme un « peintre universel », demeure celui qui domine son panthéon artistique, le peintre le plus proche de son intime inspiration, son frère en mélancolie puisque le poète à l’âme en prostration ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie ; car, comme l’écrivent les responsables de l’accrochage , « Delacroix est comme Baudelaire le représentant ultime d’une époque révolue mais qui demeure, dégagé des stigmates de la nouveauté, la plus pure expression de la modernité ».
« Quel est donc ce je ne sais quoi de mystérieux que Delacroix, pour la gloire de notre siècle, a mieux traduit qu’aucun autre ? C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme ; et il a fait cela, – observez le bien, – monsieur, sans autres moyens que le contour et la couleur ; il l’a fait mieux que pas un ; il l’a fait avec la perfection d’un peintre consommé, avec la rigueur d’un littérateur subtil, avec l’éloquence d’un musicien passionné. »
Se plaignant d’être considéré comme un excentrique, un dandy, un mystificateur, un farouche, il en est pourtant le premier responsable puisqu’il fut l’artisan de sa propre légende. Son musée de l’amour est bien là, entre ses deux extrêmes que sont la Vénus blanche (Madame Sabatier) et la Vénus noire (Jeanne Duval). La génération des poètes de 1860 (Verlaine ans co) avait beau se réclamer de lui, il ne les en a pas moins moins sévèrement jugés. Bien sûr, il est aisé avec le recul d’ironiser sur ses erreurs de jugement, ses louanges à l’art d’un Octave Penguilly L’Haridon, son optimisme quant à la postérité de l’oeuvre d’un Octave Tassaert, ou dans celle d’un Chassériau, d’un Chazal, d’un Catlin, alors même qu’il prenait ses distances avec Courbet ou écrivait à Manet attaqué pour son Olympia qu’il mettait trop d’orgueil à s’en plaindre d’autant qu’il n’était jamais que « le premier dans la décrépitude de votre art ».
A travers une centaine de lettres, articles, tableaux, dessins, gravures, photos, tout est fait pour montrer l’incessante conversation entre les poèmes et les œuvres d’art : influence dans l’association des couleurs (le rose et le noir) ou la conception de l’harmonie etc. Une imprégnation qui n’est jamais traduction ou transposition et dont on dirait qu’elle a pour unique objet de répondre à la question : qu’est-ce que la beauté moderne ? On l’y retrouvera de manière frappante dans ses portraits les plus variés : séries photographiques de Nadar ou Carjat qui nous le montrent tel qu’en lui-même, amer, ironique ; jeune au nez de priseur et aux lèvres impudentes, si Samuel de la Fanfarlo, dans une huile d’Emile Deroy (1844) ; pensif en lecteur absorbé dans un livre dans une huile de Courbet ; jusqu’à son autoportrait dessiné qui n’est pas le moins émouvant. Hostile à la photographie, aux journaux grands format et à la « rancuneuse énergie » de la critique, effrayé par le progrès, la modernité technique, industrielle et archirecturale, il n’en est pas moins fasciné par le nouveau décor urbain, fascination-répulsion pour la ville « grande barbarie éclairée au gaz »
Outre le catalogue de l’exposition (29,90 euros, Paris-Musées), et naturellement l’œuvre même de Baudelaire (toutes éditions), la visite donne envie de retrouver l’un des meilleurs « petits livres » qui lui ait été consacré : celui du baudelairissime Robert Kopp Le soleil noir de la modernité (160 pages, 15 euros, Découvertes/ Gallimard) opportunément réédité dans une édition augmentée. C’est un admirable concentré, en peu de pages mais intelligemment illustrées, de tout ce qu’il y a à savoir en un tel format sur celui qui entreprit de faire de l’or avec de la boue, le traducteur d’Edgar Poe, le dandy sur les barricades de 48, le réprouvé des Fleurs du mal…
Quels que fussent le support et la forme, il cherchait partout la poésie, ne vivait que pour la poésie et avait fait de l’art son idéal, à l’écart de la société, en marge des autres, tel que Courbet l’a représenté dans son grand tableau « L’Atelier du peintre » dans une allégorie de sa vie artistique. Baudelaire s’y tient si loin de tous qu’il manque de sortir de la toile, loin des élus qui « vivent de la vie », absorbé dans la lecture d’un livre, trouble-fête égaré dans le magasin d’images et de signes, ne se soumettant à d’autre gouvernement que celui de l’imagination et se royaumant dans le plaisir aristocratique de déplaire (à condition d’oublier le corps de phrase qui précède la fameuse expression : « Ce qu’il y a d’enivrant dans le mauvais goût, c’est le… »). Qui dira jamais mieux que lui la jouissance qu’il y a à élire domicile dans le nombre ?
En nous invitant à aller voir au-delà du double stéréotype qui lui colle aux basques (poète maudit et provocateur dans la mystification), l’exposition contribue à le présenter comme le polygraphe de la modernité à travers ses critiques (ses comptes rendus des Salons de peinture demeurent une référence pour les historiens de l’art), de quoi enrichir notre image d’un auteur unique et protéiforme, comme ils l’étaient presque tous alors. Son injonction« n’importe où hors du monde » a assigné à la poésie la mission de plonger au fond de l’Inconnu (plutôt que l’Infini, ce fameux ailleurs, mais ça se discute encore) pour en extraire du nouveau. Sa solitude ne peut se comprendre sans une référence au mal romantique de l’Homme Supérieur. Son dandysme prend racine dans le culte de la différence, « stoïcisme aristocratique qui se pare pour se séparer ». I
l s’enivre d’humiliation et non d’humilité. Son orgueil, sa solitude présente, le soutient dans sa haine sauvage contre les hommes. Un orgueil assis sur le pressentiment d’une haute survie littéraire. Que lui importe de n’être pas aimé puisqu’il sera de ceux dont on se souvient, du moins est-il convaincu. Il « sait » qu’un jour les effets de sa contre-littérature, cette poésie d’intimité qu’il interpose entre lui et le public, s’estomperont pour laisser s’épanouir chez les lecteurs son génie profond. Sans conviction car sans ambition, le dilettante appliqué, qui porte haut le dogme de l’Art pour l’Art, ne méprise rien tant que la littérature socialisante. La démocratie peut-être, où des malheureux tombent « comme un papillon dans la gélatine » après s’être pris au piège de la souveraineté populaire, cette « tyrannie des bêtes ». A la suite de Georges Blin, maître de Robert Kopp, il faut lire le drame de Baudelaire comme un mouvement mystique marqué par le refus et l’absence de compromis, et le célébrer pour avoir introduit la conscience de la modernité mais avec une langue classique. Mais de grâce, si c’est pour vulgairement l’instrumentaliser au profit de pâles gloires contemporaines, qu’on lui fiche la paix !
L’écrivain Antonio Munoz Molina a visité à Paris l’exposition Baudelaire et il en tire des leçons sur notre regard http://bit.ly/2iLkAWZ
(« Baudelaire par Courbet », vers 1848, huile sur toile ; « Baudelaire par Emile Deroy », 1844 ; « Baudelaire » photographies de Nadar, 1855 D.R.)
1 018 Réponses pour Baudelaire plus que jamais « n’importe où hors du monde »
(mais pas lues, inutile de me salir les yeux)
grosse lulu elle est bien comme pédro..elle lit tout pour estraite sa substantifique..que ça a foutre pour parfaire un esquelette de rachot
Votre jugement laisse à désirer, Lucy, à moins que vous ne soyez comme tant de naines cérébrales… féministes impuissantes !
Clopine est plaisante par son comique inné, renforcé par son acquis auprès des ânes écologistes … uhuhu !
La musique adoucissant les mœurs… :
https://youtu.be/4-EGbmg6Xvc
Oh, ben Zut, alors. Je vous répondais longuement, JJJ, et le commentaire a été avalé par le robot. J’espère que Passou le retrouvera au fond de l’étang et qu’il le ramènera à la surface…
La musique adoucissant les mœurs… :
c’est faux..essentiellement pour faire la guerre et faire chauffer la carte bleue au supermarché..et t’emmerder dans les ascenseurs
12.01 Typiquement le genre de questions que je ne me pose pas… Onfray les a ingurgités en tant que philosophes dans son système de rationalité historique judéo-chrétien… Logiquement, on ne peut donc pas le comparer, c’est idiot. Si vous voulez dire : en terme de spéculation sur sa future notoriété et influence par rapport à celle qu’auraient eu les 4 épinglés ?… alors là je pourrais mieux comprendre, mais je n’en sais rien. A quo mesurer cela ? Je n’ai aucune goût ou aptitude pour la divination. Je peux expliquer pourquoi j’apprécie Houellebecq ici et maintenant, mais savoir si c’est un nouveau Baudelaire et enfiler des perles là dessus à longueur de temps, quelle tristesse que cet enc. de mouches) et quele perte de temps…, désolé, je ne sais pas, c’est pas mon métier, ni ma compétence, ni ma manie, ni ma manière de problématiser le monde. Je préfèrerais que vous nous expliquez mieux les ressorts de votre propre questionnement et surtout formuliez vous-mêmes votre conviction, car on se fiche pas mal de celle des autres, et la mienne n’a aucun intérêt.
Jibé dit: 20 janvier 2017 à 12 h 01 min
Onfray est dans la lignée du livre de Pierre Chaunu paru en 1981, La Décadence, Perrin. Et du bouquin d’Oswald Spengler Le Déclin de l’Occident, paru après la Grande Guerre. L’idée de déclin fait son apparition à la fin du XIXè siècle, chez Rimbaud, chez Verlaine qui lui consacre même un poème cité par Pierre Chaunu.
« lassouline doit bien connaite une salle dans son quartier.. »
Passou ne pratique que le jeu de paume, le boug.
Mon opinion était dans la question, JJJ : surenchère…
et têtes de gondoles, qu’est-ce qu’on rigole !
Kss kss, tatie danielle 9h 17 veut pas se regarder en son miroir ?
À force de trop se mirer, elle ne peut plus se voir en peinture.
Vous pourriez aussi préférer un traitement à la Marie Rose, je n’ai pas de problème avec ce que me renvoie le miroir, je connais mes fautes, mais le reste de vos insinuations ne vous donnent cependant aucun droit à consulter l’archive que je conserve de ce qui appartient à mes démarches ayant eu pour but de défendre mon dossier. Allez donc vous rhabiller ou consulter un psychiatre , ce qui en rien n’effacera vos traces sur ce chemin qui est vôtre.
Mais votre plaidoyer pro Onfray est très convainquant, voire émouvant…
Pablo 11h56 pourquoi tant vous obstiner contre WGG, vous ne lésinez pas sur l’insulte vous non plus, c’est la guerre et nous ne sommes pas là pour endurer ce genre d’échanges. Quel mépris, quel acharnement, n’existerait-il aucune autre façon de lui dire votre désaccord? c’est franchement insupportable , vous l’offensez depuis des semaines vous et Chaloux, va pour votre position de grand inquisiteur, pourrait-on espérer en un dialogue constructif et passer à d’autres procédés que ces rixes continuelles,?
JC….. dit: 20 janvier 2017 à 11 h 57 min
« Si les civilisations sont mortelles, leurs idéaux, eux, sont éternels. » (Clopine)
INFIRMIERS, VITE… !!! Une urgence !…. une malheureuse qui croit à des imbécilités…
–
avec tout le respect que je porte à Clopine, sur plusieurs points (qualité de l’écriture, humour, courage, sensibilité), affirmer une telle chose c’est n’avoir strictement rien appris ni compris de l’Histoire.
@ Blabla Widergänger, dit le Sous-homme constipé
« On n’a nullement besoin de toi pour la musique »
J’interprète ça comme un appel pudique à plus de musique… Tu veux un peu de Wagner « maladif » et pre-nazi, mon chou?
Voici l’Ouverture de Tannhäuser que Baudelaire et T. Gautier aimaient tant et que malgré ton âge tu n’as pas encore jamais entendu:
Version du grand Klaus Tennstedt
https://www.youtube.com/watch?v=OQpBQSOOups
JansenJJ
j’ai retrouvé l’émission que j’avais écoutée sur Radio Classique :
https://www.youtube.com/watch?v=4pxrk6Hvnwk
Je n’ai jamais entendu Olivier Bellamy rire autant. Leur dialogue est impayable.
Donc c’était le 17/01/2017. O.B. recevait M.Onfray
La musique adouciront-elles les moeurs érdéliennes ?`
J’ai oublié de dire que Marie Mauté, la mère de Mathilde et belle-mère de Verlaine, avait été l’élève de Chopin et le professeur de piano de Debussy, avant qu’il n’entre au Conservatoire…
adoucira-t-elle
Je me souviens qu’Henri, notre Henri, appréciait beaucoup Onfray, qui le lui avait bien rendu !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Lhéritier
JJJ (suite)
A part cela, je m’étonnais que dans La Grande Librairie, M. Onfray ait utilisé tant de raccourcis, dans une absence totale de nuances, à propos des racines juives du christianisme. Il mêlait un peu tous les genres comme dans un désir de régler des comptes avec le Judéo-christianisme. Il a juste eu le temps de dire que Jésus était un joli conte… Après, le grand silence…
Je vous disais aussi mon émotion à écouter une libraire (il y en a toujours une dans l’émission) évoquer et lire un extrait du beau livre de Charlotte Delbo « Auschwitz et après : Aucun de nous ne reviendra » (Minuit).
Bon, peut-être ressurgira-t-il…
Bonne journée
« Je préfèrerais …/…conviction, car on se fiche pas mal de celle des autres, et la mienne n’a aucun intérêt. » (JJJ)
De ce dernier aveu, certainement du à une absorption élevée d’Anisette GRAS, nous opinons du chef : oui ! la tienne n’a certainement aucun intérêt …uhuhu !
conviction, car on se fiche pas mal de celle des autres, et la mienne n’a aucun intérêt. » (JJJ)
c’est du au fait que 3j a beaucoup trop d’hampathie dans sa petite haine de lui
une absorption élevée d’Anisette GRAS
quant tu sras au cocke..tu fras moins henvie jicé
christiane dit: 20 janvier 2017 à 13 h 31 min
Onfray a SA lecture de la Bible et du judéo-christianisme. Une lecture qui vient après celle de beaucoup d’autres. Pour en avoir un bon aperçu, il faut et il suffit de lire le bouquin publié sous la direction de Jean-Claude Eslin et Catherine Cornu : La Bible, 2000 ans de lectures.
Sur le fond (la fin de la civilisation judéo-chrétienne), je ne pense pas qu’il ait tort. Cette civilisation occidentale a apporté de grandes choses au monde, elle correspondait à une phase de l’histoire du monde en lui donnant du sens et une dynamique de progrès incessant. Elle n’a certes pas dit son dernier mot et mettra encore longtemps à mourir mais il est clair qu’elle n’a plus le vent en poupe. L’islam la remplacera-t-elle ? On peut en douter beaucoup parce que les principes de l’islam feront long feu. On ne tardera pas à s’en rendre compte. L’islam périra bien plus rapidement encore que le judéo-christianisme. L’avenir est à une religion du cosmos qu’évoque Marcel Conche. Mais le projet messianique du Judaïsme perdurera comme il perdure depuis plus de 3000 ans. Et le christianisme reviendra à ses racines juives qui étaient en vérité l’ambition de Jésus. Le grand révolutionnaire qui a tout chamboulé, c’est saint Paul. C’est la religion de saint Paul qui mourra, mais pas celle du Christ.
Je me souviens qu’Henri, notre Henri
le pinard fait beaucoup dfaux amis baroz
henri et onfray
dracul est un pédro sans retenue..sans pyrennées..
Les déclinologues ont tendance à fonder leur théorie contre le christianisme. The Great Gibbon, qui avait plus de souffle que les Zemmour nationaux, voyait la prospérité de la chrétienté grâce aux ruines de l’empire romain. Même Gide entre deux enfilades de petits bédouins tenait le postulat pour abusif.
JIbé, moi aussi j’ai beaucoup aimé Onfray, notamment son athéisme militant, le fait qu’il ne reniait pas son origine, son initiative d’université populaire du goût, ses cours retransmis sur France Cul.
Mais il opère depuis quelque temps (depuis que sa renommé médiatique est acquise, en fait) une analyse de la situation actuelle aux antipodes de sa première ligne de pensée. Certes, le terrorisme de Daech a tracé une frontière avant-après, qui nous empêche de penser le monde « comme avant ». Mais de là à jouer dangereusement, comme Onfray le fait, avec la vague « décliniste » (par exemple, dans 26 minutes sur Arte , il a approuvé sans réserves l’opinion d’un Zemmour sur la vitalité de l’islamisme radical et la possible expansion d’un monde où l’individu cèderait le pas à un ordre social et religieux, en revendiquant une seule différence : lui n' »admire » pas -sic- le courage des jeunes djihadistes. Accablant.), il y a un pas qui s’appelle l’abandon du navire hédoniste.
Or, Henri était hédoniste. Je crois qu’il serait aujourd’hui de mon avis.
D. : merci de votre bonne opinion sur moi, j’avoue que j’en suis très franchement fort surprise. Je pense que ma phrase sur les « idéaux des civilisations disparues » était bien évidemment trop lapidaire et allusive pour qu’on puisse en déduire une quelconque position implicite à l’égard de l’Histoire… Ce n’était certes pas mon propos ! Mais vous conviendrez qu’aucune civilisation ne peut renier l’apport, en positif ou en négatif (mais heureusement, on privilégie généralement les apports positifs, et on se reconnaît dans la démocratie grecque, non dans son usage de l’esclavage, ceci est un exemple !) de celles qui l’ont précédée : c’est l’histoire même de la race humaine (et désormais, de la Terre qui l’abrite !)
Passou ne pratique que le jeu de paume, le boug
si tu parles de claques..elle se perdent et depuis longtemps
« Et le christianisme reviendra à ses racines juives qui étaient en vérité l’ambition de Jésus. »
Affirmation très contestable, en contradiction avec tant d’épisodes des Evangiles ! Jésus est en fait le créateur d’une nouvelle religion, qui certes a pris assise sur le judaïsme. On peut s’amuser à remettre ceci en question, par parti-pris idéologique ou religieux, mais ce n’est pas très sérieux scientifiquement.
« Alors dégage et retourne en Espagne »
WG n’est pas ouvert à l’accueil de l’Autre.
Les déclinologues ont tendance à fonder leur théorie contre le christianisme
qu’est tu veux faire l’amérique grite euguine havec des clodos et des galleux
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ta gueule raclure de keupu
Saint Paul a admirablement compris la religion du Christ. C’est pourquoi il en est devenu le principal porte-parole, après l’avoir combattue. Et cela encore mieux que les autres apôtres qui avaient vécu avec Jésus. D’ailleurs, sur son chemin de Damas, Saint Paul a rencontré le Christ, celui-ci lui lui a parlé, sans doute pour lui révéler ce qu’était vraiment la Vérité…
bouguereau dit: 20 janvier 2017 à 14 h 18 min
ta gueule raclure de keupu
ça cause comme donald
Clopine, 14h12
Je ne vois aucune contradiction entre l’hédonisme d’Onfray et ce que vous appelez son déclinisme actuel. L’hédonisme, il le défend toujours. Son déclinisme résulte d’une analyse de l’évolution de notre société. C’est un constat qu’il est difficile de réfuter. Il ne s’en félicite pas pour autant, même si l’on peut déceler chez lui une certaine délectation morbide.
Delaporte dit: 20 janvier 2017 à 14 h 15 min
Tais-toi, tu radotes. Tu refuses de lire ce que Jésus dit explicitement. Tes propos ne reposent que sur tes idées reçues. Bref, t’es un pauvre con comme tant d’autres.
Clopine n’a pas l’air de comprendre qu’Onfray se contente de dresser un constat. Il est toujours aussi hédoniste qu’avant. Il ne s’est pas converti à l’islam. Faut être particulièrement con pour croire ça ! Encore une qui parle sans l’avoir lu !
Onfray élude tout problème, de toute façon, en niant purement et simplement l’existence du Christ. Peu lui chaut que Flavius Josèphe évoque rapidement le nom du Christ Jésus, il n’en a cure. Peu lui importe que des gens se réclament assez vite au Proche-Orient d’une nouvelle religion et qu’ils se fassent appeler chrétiens et que le christianisme des premiers âges est tout de même très proche du Judaïsme. Il croit que l’absence de portrait de Jésus dans les Evangiles soit une preuve suffisante de sa fiction narrative en ignorant toute la tradition juive de l’interdit de la représentation. Onfray a décidé d’être un âne à propos du christianisme et de faire dans la pure et simple dénégation très dans le vent de l’histoire, c’est plus populaire. Mais ça n’augmente pas la puissance de l’histoire de la décadence qu’il veut nous narrer, c’est un euphémisme, et une faiblesse de son ouvrage indéniablement. S’il a raison sur le fond (la civilisation occidentale judéo-chrétienne est en train de s’éteindre), il a tort dans le détail, si tant est que Jésus soit un détail de l’histoire…
Le ridicule des attaques grossières et infantiles de Chaloux et Pablo a l’encontre de WGG a atteint aujourd’hui un sommet avec la publication sous forme de prose versifiée de ce recueil de soi-disant « perles « pêchées au jours le jour dans les post de WGG, dont ils nous offrent ,en les extrayant de leur contexte, un florilege patiemment constitué et destiné a déconsidérer leur auteur
La manière en elle-même condamne des gens capables de mettre tant de sérieux et de precision dans une entreprise aussi misérable, de collection de ce qui a leur yeux relève du scatologique .
En lisant ce texte qu’ils nous proposent, tissu de formules glanées pendant plusieurs jours ,et stockées au chaud pour nous etre resservies aujourd’hui, j’ai pensé a un moment anecdotique dont j’ai été témoin à une réunion de copropriétaires
L’’immeuble que j’habite a la jouissance d’un petit jardin privé ou certains locataires indélicats promènent leurs chiens sans ramasser les déjections qu’y laissent leurs sympathiques compagnons, ce qui régulièrement se traduit par des rappels rageurs mais vains au règlement de copropriété placardés par tel ou tel dans le hall d’entrée
Et voila la suite de l’histoire, qui m’est revenue à l’esprit en face des joutes malodorantes qui ont empuanti la RDL ces jours-ci .
Un copropriétaire, ne reculant devant rien pour alimenter sa quérulence, a recueilli jour après jour des échantillons datés de ces déjections ,qu’il a soigneusement conservés au congélateur jusqu’au soir de l’assemblée générale ,où il les apportés ;il a pu ainsi présenter triomphalement au participants interloqués l’objet du délit qu’il voulait dénoncer. Un peu comme Chaloux et Pablo ont produit sous nos yeux un condensé de la matière écrite par WWG, recueillie au jour le jour et scrupuleusement consignée dans leur tablettes,… à défaut de congélateur .
La fin de l’histoire pour l’auteur de cette édifiante démonstration, c’est qu’elle s’est révélée pour l’assistance plus significative de sa personnalité dérangée que du « scandale » qu’il voulait dénoncer ;et qu’il passe définitivement pour un cinglé .
C’est un peu comme la boutade de Voltaire sur Freron et le scorpion .
Evidemment tout cela n’a rien a voir avec la la RDL car le contexte est different …….bien sur
même si l’on peut déceler chez lui une certaine délectation morbide
que tu le galloches tellement jusqu’aux oreilles qu’il te faut que tu te trolles pour pas te reconnaitre honteux de raclure de keupu
drh n’en a toujours rien eu a phoutre des pyrennées
En plus, l’hédonisme d’Onfray est une exigence, pas un avachissement comme le pense et le croit bien à tort Clopine, qui s’est spécialisée depuis longtemps dans les idées courtes. L’hédonisme d’Onfray, c’est beaucoup moins simple que ne le croient les gens comme Clopine qui ne comprennent rien faute de prendre le temps de penser et de lire.
@DHH,
Ce ne sont en effet que deux gros congélateurs, deux personnages misérables. Mais s’ils continuent à me harceler, je vais leur rendre la vie impossible sur ce blog. À bon entendeur salut !
eu le temps de dire que Jésus était un joli conte
il a clairement dit que Jésus n’avait pas existé, la bataille du Saint Suaire est relancé et quoique la science ait avancé la preuve d’un faux, me semble-t-il. J’avoue que j’ai pris le débat en cours au moment où l’historien revenait sur la défaite des Maures à Poitiers.
La ministre du Droit des femmes s’est même fendu d’un commentaire à propos de l’affaire Polanski :
«Je trouve surprenant et choquant que l’histoire d’un viol dans la vie d’un homme ne pèse pas», a ainsi déclaré Laurence Rossignol.
Polanski a joui très longtemps d’une sorte d’impunité au sein de la société médiatique. Il était protégé. Cette protection, devant l’ampleur du scandale, est en train de se fissurer. Le coup de la présidence des Césars sonne peut-être le glas de cette cavale polanskienne.
drh se précipite pour se compter dans les cinglés..au cas ou c’est à ça qu’yavé rconnaitrait les siens..
relancéE.
Le ridicule des attaques grossières et infantiles de Chaloux et Pablo a l’encontre de WGG a atteint aujourd’hui un sommet (DHH)
Les affrontements entre WGG d’un côté, Chaloux et Pablo75 de l’autre, me rappellent les matchs de catch du temps de mon enfance : ça fait grosse impression mais, pour l’essentiel, c’est du chiqué. Au fait, est-ce que Chaloux a envoyé sa lettre de dénonciation aux autorités ? J’en doute fort. Depuis le temps, on n’a toujours pas réussi à savoir qui avait tort et qui raison. Personnellement, je goûte dans ces échanges répétés d’injures et de coups bas un divertissement sans cesse renouvelé. Merci donc aux pugilistes et que le combat continue !
Le ridicule des attaques grossières et infantiles de Chaloux et Pablo a l’encontre de WGG a atteint aujourd’hui un sommet (DHH)
Les affrontements entre WGG d’un côté, Chaloux et Pablo75 de l’autre, me rappellent les matchs de catch du temps de mon enfance : ça fait grosse impression mais, pour l’essentiel, c’est du chiqué. Au fait, est-ce que Chaloux a envoyé sa lettre de dénonciation aux autorités ? J’en doute fort. Depuis le temps, on n’a toujours pas réussi à savoir qui avait tort et qui raison. Personnellement, je goûte dans ces échanges répétés d’injures et de coups bas un divertissement sans cesse renouvelé. Merci donc aux pugilistes et que le combat continue !
« Tu refuses de lire ce que Jésus dit explicitement. Tes propos ne reposent que sur tes idées reçues. »
Pas du tout, mon pauvre Wgg. Mes propos reposent sur la lecture attentive de la Bible, et la prise en considération de l’histoire universelle de la religion chrétienne. Je sais bien que lire la Bible n’est pas votre fort, Wgg, mais ce n’est pas une raison pour délirer unilatéralement, sans aucun sens de la dialectique.
14h43 quand on connaît les archives reluisantes du renseignement par exemple on a évidemment le droit de chercher à salir Polanski pour une histoire vieille de 47 ans, il y a prescription; les féministes devraient se trouver un autre cheval de bataille , excisions, disparité salariale, harcèlement sexuel dans les ministères, etc etc.
Ah, DHH… Cela s’appelle « l’escalade », voilà tout. Si, comme vous, les estocades entre Pablo75, Chaloux et WGG me lassent, je dois bien reconnaître que je suis parfois fort agacée. par exemple quand WGG, à l’aide d’une de ces cabrioles dont il a le secret, transforme ce que je peux écrire… Je n’ai JAMAIS dit qu’Onfray s’était converti à l ‘islam, par exemple,soupir.
Bref. Le vrai problème, outre le fait qu’aucun sujet n’est indemne et qu’on peut à tout moment tomber dans le registre de l’insulte et de la calomnie, c’est le ralentissement général de la pensée qui en résulte. Si Chaloux (qui a tant de lumières musicales) ou Pablo75 (qui semble connaître à fond les cultures hispaniques) pouvaient avoir un peu de l’élégance dont vous, DHH, êtes tant pourvue, nous n’en serions pas là. (mais encore une fois, WGG joue toujours, surabondamment, le rôle du paratonnerre qu’inventa Franklin, en attirant volontairement la foudre !)
bouguereau dit: 20 janvier 2017 à 12 h 19 min
faire chauffer la carte bleue au supermarché
C’est moins désespérant en chantant…
Heureusement qui mettent pas du raque-N-raule quand même…
Polanski a joui très longtemps d’une sorte d’impunité au sein de la société médiatique
J’ai donné hier soir un lien – article du monde et son arrestation à Zurich en 2013- vous ne pensez pas que cela commence à bien faire? N’aurait-il pas droit à être pardonné pour cette faute dans une vie d’homme, il en est d’autres qui sont impliqués, corrompus et ne sont pas inquiétés, trop puissants, hors d’atteinte,cas trop difficiles et trop risqués pour le MLF? Et n’allez pas penser que je défende la violence .
Pablo75 dit: 20 janvier 2017 à 11 h 48 min
@ Blabla Widergänger, dit le Sous-homme des Chiottes
Celle-là, je ne l’avais pas lue. Il semble que, sur ce blog, les Modérateurs aient fait place aux Immodérateurs : toujours plus !
Delaporte ne connaît visiblement rien aux Evangiles et ils vient se mêler d’en discuter. Il se moque de nous ! Quelle arrogance !
Clopine définitivement un Cas à Part dit: 20
le rôle du paratonnerre qu’inventa Franklin, en attirant volontairement la foudre !)
Le pire hendroit, pour la foudre, c’est… une forêt ? Nenni, un golf !
Comme ça on revient de loin on est champion de course à pied…
« ce que Jésus dit explicitement »
Sur quelle chaîne? Quel link ?
bérénice, on la connaît depuis trop longtemps l’histoire du harcèlement de ce juge américain contre Polanski qui l’a expliqué déjà dans le détail. Ce juge est manifestement une crevure d’antisémite qui en veut personnellement à Polanski.
Et il trouve ici en France d’autres crevures du même tonneau pour reprendre la vieille antienne, tous les frustrés, tous les haineux du genre de Delaporte, Pablo75 et Cie. Tous des râclures de bidet qui poursuivent de leur haine un homme de 84 ans ! Saloperie d’humanité pourrie que ces gens-là ! Même pour les criminels nazis, on ne fait pas ça !
Bérénice, c’est vrai que dans cette histoire, Polanski s’est mis quasi tout seul dans un très mauvais cas, allant presque faire ressembler ce qui lui arrivait au « Procès » de Kafka. Polanski, c’est l’homme pris dans les rets de son propre imaginaire pénitentiaire. Il y a paradoxalement une sorte de fantasme à vouloir dans ces conditions faire que la Justice passe. Ce serait vécu en effet comme une sorte de paroxysme spectaculaire, dont la société médiatique aurait du mal à se relever.
le rôle du paratonnerre qu’inventa Franklin, en attirant volontairement la foudre !)
Sergio, avouez qu’il est mal, on l’imagine en personnage de cartoon tout ébouriffé hérissé et noirci!
Ce soir je me gratine un gros maccherono.
Another « Old Master » linked to Giuliano Ruffini, the Frenchman at the center of an investigation into a series of suspected forgeries, has been declared a fake by Sotheby’s. This time, the auction house has had to reimburse $840,000 to the buyer of a Saint Jerome, which was sold at auction in New York in January 2012 as a work from the circle of Parmigianino.
@14.03 « 3j a beaucoup trop d’hampathie dans sa petite haine de lui » – c peut-être pas cmplmt faux… un poil exagéré quand même. Puis-je à mon tour émettre l’hypothèse projective que vous seriez vous-même dans ces parages là, à sonder ainsi mon âme ?… quand, de votre côté, vous paraissez vouloir à tout prix masquer votre perspicacité par l’entrave d’un éthylisme invétéré ? Je regrette souvent d’avoir à chercher ce que vous voulez dire. Mais je préfère garder cette incertitude à celle de ma conviction, relative à votre frère JC…@13.33,… que la pratique du jogging rend de moins en moins lucide : s’enfonce de + en + à vouloir se donner à comprendre comme plus bête que méchant, c dommage, mais il est objectivement bêta. Cela dit, toujours pas compris c qu’était l’Anisette GRAS, uhuhuhurk ?
@12.33, Oui je vous avais bien compris. Merci pour @12.35.
@13.31, Oui, cette ex-magistrate évoquant Ch. Delbo mérite bien sa librairie, on sent qu’elle est heureuse d’avoir trouvé sa vraie voie, qui n’était pas véritablement celle de juger les siens au nom du code pénal.
BJ à tousses.
Delaporte je ne dis pas qu’on l’accuse de rien comme dans le Procès de Kafka où le coupable n’est coupable que d’exister ( une référence au péché originel?) mais qu’étant donné le demi-siècle qui a passé depuis cette affaire de viol sur mineure de moins de 15 ans on pourrait lui fiche la paix, les associations et personnalités s’emparent de tout et n’importe quoi pour tapage médiatique, être vues, dépasser d’un peu la ligne bleue des Vosges… alors qu’en cherchant un peu on trouverait vraisemblablement nombre » d’intouchables » -à l’envers du système de castes indiennes- qui mériteraient ou auraient mérité d’être un peu plus inquiétés par la justice.
L’affaire Polanski ne s’enterre pas si facilement, Bérénice. La vallée des poupées d’hollywood résonne des échos de ses créatures assassinées, depuis quelques semaines le meurtrier de Sharon Tate se meurt en prison. Polanski s’est engagé sur le boulevard du crépuscule.
Même pour les criminels nazis, on ne fait pas ça ! (Widergänger)
Gzact. Pour certains en effet, il semble que ce « viol » (qui d’ailleurs n’en fut peut-être pas un) est un crime imprescriptible et est donc assimilable à un crime contre l’humanité. La loi française sur la prescription des cas de ce genre est tout de même un peu plus raisonnable que la loi américaine. Rappelons que la « victime » a depuis longtemps pardonné à son « agresseur » et qu’elle a même pris chaleureusement sa défense lors de la sortie du « Pianiste ». Polanski est un artiste de premier ordre qui honore son pays d’adoption, la France. Tous unis contre les boycotteurs !
bérénice dit: 20 janvier 2017 à 15 h 02 min
personnage de cartoon tout ébouriffé hérissé et noirci!
Les combinaisons de moto chais pas si ça fait paratonnerre… Sinon y a encore le coup la foudre de la regarder dans les yeux ! Un regard mauvais comme au Long cours…
Bérénice, sur Polanski, je suis à la fois d’accord et pas d’accord.
D’accord : Polanski a déjà présenté des excuses face caméra, la victime a exprimé son « pardon » et souhaite surtout ne plus entendre parler de tout cela, et on dirait effectivement une sorte d’acharnement (parce que les droits à la prescription existe), et puis à cause du silence sur les autres responsabilités (parce qu’il n’y a pas, à mon sens, que le violeur, mais aussi le milieu hollywoodien et ces « mères » qui semblent, par compensation à leurs rêves irréalisés, prêtes à tout, notamment à emmener -j’allais écrire « livrer » – leur gamine de 13 ans et la laisser passer une soirée hollywoodienne dans une villa, tout cela à cause de la poussière de stars qui s’y dépose. Bref.)
Pas d’accord : les violences faites aux femmes ont été si longtemps occultées qu’il serait idiot de ne pas profiter de la notoriété et de l’attention d’une « affaire » pour continuer de lutter. Considérer Polanski comme une « victime », c’est inverser le débat, et continuer à cautionner le machisme.
(Notez bien qu’ici même, on versait quelques larmes sur ce malheureux DSK, n’est-ce pas… Soupir.)
Clopine, il est victime d’un acharnement médiatisé, lâche et facile.
« il est victime d’un acharnement médiatisé, lâche et facile. »
Nous sommes dans le pur spectacle médiatique, et c’est pourquoi la liberté de Polanski agonise en direct.
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,
Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde!
Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes, ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde.
C’est l’Ennui!- L’oeil chargé d’un pleur involontaire,
Il rêve d’échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère!
Pas d’accord : les violences faites aux femmes ont été si longtemps occultées qu’il serait idiot de ne pas profiter de la notoriété et de l’attention d’une « affaire » pour continuer de lutter.
Il me semble que le lièvre soit bien mal choisi, lire ce qu’en dit Jean, les féministes seraient mieux inspirées à retendre leur drapeau sur des faits plus actuels et qui concernent des petites filles d’aujourd’hui ou la condition réservée aux femmes en 2017, il existe des tas de points de débat contradictoire qui demanderaient à être discuter sérieusement et qui pourraient se passer d’une pub qui cherche bêtement et fort peu courageusement le scandale.
discutés
Comme pour Wagner, on peut apprécier en général l’oeuvre de Polanski, les incontestables talents artistiques de ce dernier tout en ayant la nausée en considérant sa seule personne, à des moments donnés de sa vie.
Epicetou. C’est permis.
@DHH « Un copropriétaire, ne reculant devant rien pour alimenter sa quérulence, a recueilli jour après jour des échantillons datés de ces déjections… »
S’il y a « quérulence », c’est donc que ces « déjections » sont imaginaires. La question est : le jardinet en question est-il ou pas souillé par les crottes de chiens ? Comme votre voisin les a collectées, il n’est pas quérulent.
Bérénice, violer une femme, c’est très lâche et très facile. Et encore, de nos jours, très caché…
Et très très universel…
D j’avais noté votre réserve concernant sa personne, je n’ai pas fouillé dans son passé et hormis l’assassinat de sa première épouse par cette secte sataniste et cette affaire qui continue d’alimenter la chronique je ne sais rien de son itinéraire.
Quand je dis à un certain moment de sa vie, c’est aussi parce que on a pu être admiratif et imoressionné devant le petit Polanski sortant du ghetto de Warsovie.
tout en ayant la nausée en considérant sa seule personne
ola comme tu y vas rotisseur de macarono..ceci dit a 80 ballets quand on a de largent pour faire des fimes..on sourit..on fait des signes de contentment comme la reine dangleterre et hon sla boucle..hon rend service à tout l’monde
Hu hu hu ! Ben renseignez-vous, ma chère.
Aux USA depuis quinze jours (Washington et NY), je viens de me faire tirer des larmes de fou rire par l’accueil du president elect by the leaving president.
L’absolue antipathie qui suintait des regards échangés entre leurs deux grands chevaux de former and new first ladies amplifié par ce cadeau d’une à l’autre qui n’en voulait surtout pas, et avec le ruban kitch qui s’imposait, permettant à Obama de s’extraire de la ligne de présentation offerte aux flashs pour aller ranger cela dans le premier tiroir humain qui se présentât, m’ont tiré des larmes de joie.
Encore mieux que la fuite en arrière de Normal 1er quand il ne raccompagna que du bout des lèvres et des doigts Napoléon 4, sur les marches du palais.
Je n’avais plus autant fou-ri depuis longtemps.
Et à mon avis, ce n’est que le début.
AO
http://cultura.elpais.com/cultura/2016/11/14/actualidad/1479140096_510928.html
Article d’Enrique Vila-Matas publié dans El País sur la même Exposition.
Les combinaisons de moto chais pas si ça fait paratonnerre…
tant qutu kik pas c’est bon..faut pas t’arreter surtout sinon plus rien dla moto et du démon
Je n’avais plus autant fou-ri depuis longtemps.
Et à mon avis, ce n’est que le début
J’suis snob… J’suis snob
C’est vraiment l’seul défaut que j’gobe
Ça demande des mois d’turbin
C’est une vie de galérien
Mais quand j’sors avec Hildegarde
C’est toujours moi qu’on r’garde
J’suis snob… j’suis snob
Tous mes amis le sont
On est snob et c’est bon
Kraconvie, pardon.
Clopine
Il avait reconnu les faits
Il n’est plus accusé de viol mais de »relation sexuelle illégale »
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices
glatissants
mon larbin fait l’feldgendarm et toi
le gestapiss keupu..et les cochons sont bien gardés
bouguereau dit: 20 janvier 2017 à 16 h 00 min
« je bois du coca, je déteste ça… »
En fait non, j’adore le Coca mais ne peux plus en boire. Ou pour des occasions particulières, ce midi un ch’ti peut-être.
A vot’santé, donc.
AO
ceci n’est pas un blog de cinéma mais il faut préciser aux insensibles du cinématographe que Polanski est poursuivi par une sorte de damnation depuis Rosemary’s baby.
L’histoire des crottes de chien quérulentes est si bien amenée que l’on imagine l’allure du congeleur à crottes.
Kraconvie, pardon.
Ah merdalors, je ne vous suis pas!
Mais je préfère garder cette incertitude à celle de ma conviction, relative à votre frère JC…@13.33
allah m’a évité jean marron..gloire éternelle à lui épicétou
Cela-dit le coup de la pétition m’a prisque autant choqué que l’acte commis à la fin des années 70.
Que des pétitionnaires, a fortiori des célébrités influentes dans leur domaine, viennent interférer avec le fonctionnement de la Police et de la Justice, ça ça donne véritablement la nausée. Et ça fait peur dans des États dits de droit.
Phil il va vous falloir une once d’âme supplémentaire et discrète pour cAaser la crotte quérulente entre deux petits fours,
Quand on s’intéresse aux victimes âgées de treize ans, bien sûr.
Ecoutez D si on peut sauver les derniers rhinocéros blancs à coup de pétition nous devrions pouvoir sauver la présidence du festival par une contre pétition.
Non mais ça c’est sûr faut violer que celles qui veulent faut pas sortir de l’X. pour comprendre ça… Hau pire on leur demande ! Le temps qu’elles retrouvent la réponse…
L’histoire des crottes de chien quérulentes est si bien amenée que l’on imagine l’allure du congeleur à crottes
pièces produites pour la defense du prévnu dracul..à lapréciation dla cour..j’espère que le trajet est pas trop long
Ecoutez D si on peut sauver les derniers rhinocéros blancs à coup de pétition nous devrions pouvoir sauver la présidence du festival par une contre pétition
béré elle doit changer son joint de four micro onde..ça fuit
Hau pire on leur demande ! Le temps qu’elles retrouvent la réponse…
tu plaides ça et on tles coupe à la tenaille rouillée..et tu meurs du tétanosse dans d’affreuses souffrances
Les USA ne savent pas la chance qu’ils ont. Je ne peux réprimer un sentiment d’envie et de jalousie, parce que nous ici nous avons besoin d’un mec comme Trump et nous ne l’avons pas encore.
Bouguereau, en attendant que la dictature du réseau remplace la dictature tout fout le camp, je vous salue, à plus tard, je sors!
« La ministre du Droit des femmes s’est même fendu d’un commentaire à propos de l’affaire Polanski :
«Je trouve surprenant et choquant que l’histoire d’un viol dans la vie d’un homme ne pèse pas», a ainsi déclaré Laurence Rossignol. »
(Delaporte)
« on la connaît depuis trop longtemps l’histoire du harcèlement de ce juge américain contre Polanski qui l’a expliqué déjà dans le détail. Ce juge est manifestement une crevure d’antisémite qui en veut personnellement à Polanski. Et il trouve ici en France d’autres crevures du même tonneau pour reprendre la vieille antienne, tous les frustrés, tous les haineux […] . Tous des râclures de bidet… »
La ministre du Droit des femmes, Laurence Rossignol, « une crevure d’antisémite » et une « raclure de bidet » !!!
Si des membres de son cabinet lisent ça, Blabla Widergänger va a avoir de problèmes avec la Justice…
@radioscopie
la quérulence est une rage procédurière qui frise la folie et qui peut avoir pour objet soit des dommages réels soit sur des dommages imaginaires
les déjections étant réelles et le comportement du personnage anormalement procédurier ,je maintiens le terme
L’influence bénéfique de l’esprit trumpien s’étend en Europe !
La RdL est animée par ces vérités qui éclatent à chaque instant. Seul quelques adeptes des temps anciens, telle DHH la pauvrette, continuent dans leur courtoises simagrées d’Ancien Régime.
Magasin de porcelaine ? Eléphant ! Pourquoi Eléphant ? Parce qu’un éléphant, ça trumpe énormément (copyright JC 2017)
Le portrait de Courbet, représente Baudelaire dans l’autre monde, découvrant avec stupéfaction les poèmes d’un certain Houellebecq, que la quatrième de couverture présente comme son héritier spirituel.
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/qu%C3%A9rulent_qu%C3%A9rulente/65648
Radioscopie joue à maître capello, cent francs dans le goret pour débouter dhh et la livrer aux vachettes à guy lux
Le portrait de Courbet, représente Baudelaire dans l’autre monde, découvrant avec stupéfaction les poèmes d’un certain Houellebecq, que la quatrième de couverture présente comme son héritier spirituel. (mmmouah)
Avec stupéfaction ? Avec perplexité. Perplexité.
QUITTONS NOUS SUR UN RECTIFICATIF IMPORTANT
« Nous avons la nausée », clame un communiqué d’Osez le féminisme. Claire Serre-Combe, qui en est la porte-parole, développe : « Indépendamment de la qualité de la filmographie de M. Polanski, on ne peut pas passer sous silence le fait que depuis 40 ans il échappe à la justice américaine ».
La rectification est la suivante : la porte parole d’OSEZ LE FEMINISME, la gente Claire Serre Combe, est aussi la porte parole qualifiée d’OSEZ ETRE KONNE, comme son propos le démontre dans son extrême imbécillité…
@radioscopie
soit,….encore que….le terme quérulent vise le caractere anormal du comportement mais ne présume pas de la réalité de son objet faisant grief, auquel il est de toutes maniérés inapproprié comportement
tant pis j’aimais bien ce mot
mais je veux bien le remplacer dans mon^post par « obsession procédurière
JJJ
Il me semble que vous allez aimer l’entretien mis en lien (Bellamy/Onfray). C’est une rencontre paisible où l’un et l’autre sont sincères.
Le reste…
Les crottes de chiens étaient visibles alors que les chiens coupables ne l’étaient pas. vu sous cet angle, il y a quérulence
Je n’arrive pas à retrouver le début de votre intervention DHH, je vous prie de bien vouloir m’en excuser car j’aurais voulu relire l’affaire initiale.
Je me demande si à l’origine dù comportement quérulent il n’y aurait pas réelle injustice, réel dommage, qui, non réparé, pourrait entraîner la pathologie obsessionnelle qui en découle. Parce qu’un comportement a une origine. Toujours.
« Un petit musée qui ne se pousse pas du col mais qui a un charme fou (surtout à la belle saison quand on peut y déguster d’exquises tartes aux fruits sous la tonnelle dans un petit jardin de roses et de lilas) »…
Voilà une charmante description qui me rappelle quelqu’un… s’il n’y avait des parenthèses.
————————————
Mais quelle idée tout de même de comparer Houellebecq à Baudelaire, littérairement parlant ? Quand il fera de telles incipit à ses textes ou poèmes, peut-être réviserai-je mon avis…
… beauté mystérieuse, si minime ou si légère soit-elle …
Au pays parfumé que le soleil caresse…
C’est une femme belle et de riche encolure…
Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre…
J’ai longtemps habité sous de vastes portiques…
Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse…
Lorsque, par un décret des puissances suprêmes…
La tribu prophétique aux prunelles ardentes…
L’attitude quérulente, je me demande si elle peut s’appliquer à ces (ce ?) clients qui collaient un vaca de nez pour que la vendeuse dù supermarché s’en mette sur les doigts. Comportement anormal frôlant l’HP.
Sinon, je peux me positionner : Vénus à la fourrure je déteste. A charge contre Polanski. Film du villas dont la femme est jeune.et en pleine forme. Suzanne et les vieillards. A charge.charge contre les femmes. Faux éloge dithyrambique (me suis déjà exprimée là dessus). Polanski est un marronnier.
Les pardons et excuses ne suffisent pas. A mes yeux c’est honteux de le mettre président du festival. Qu’il vive en Suisse, caché. Qu’il continue de travailler. Nous regarderons ses films. Cela ne nous empêchera pas de garder l’esprit critique.
caca de nez
film du vieillard
Phil dit: 20 janvier 2017 à 18 h 22 min
Les crottes ne sont pas des crottes de chiens mais de nourrains. Le concierge fait un élevage clandestin. Comme il espère décrocher l’AOC « élevé en plein air », il les laisse divaguer la nuit venue. Le voisin procédurier mange strictement hallal (ou kasher).
Sur Houellebecq et Baudelaire, ai trouvé pertinent le // établi par Paul.
Ai cherché les oppositions. Ai trouvé le beau-père. L’argent. La relation aux femmes. Trouve cela passionnant l’étude comparative. Au delà de la chronicité. D’abord parce que cela demande de disposer d’une belle culture. D’envergure certaine. Comme le.vol d’un oiseau lorsqu’il décollé du ciel et voit les choses de haut. C’est l’altitude. Une vision globale et circulaire.
Je leur trouve la même détestation du monde à tous deux et aussi cette façon identique d’être incroyablement en avance sur leur temps. Comme des prophètes.
Ai trouvé aussi le ton du billet académicien.
Baudelaire, lui, est immortel.
Phil, il n’y a peut être pas quérulence mais ces soins mis à conserver tout frais la crotte de chien et ce sur un laps de temps indéterminé sûrement assez long pour qu’il ait recours à l’usage d’un congélateur peut nous laisser statuer sur la santé mentale du plaignant ,son l’obsession de la preuve matérielle qu’il tint à présenter au syndic, il était excédé, son exécration de la déjection canine le fit finalement insensiblement condamner à ne plus apparaître que comme fou aux yeux de toute la copropriété .
aux yeux de toute la copro
t’as pas trouvé le bon join béré
Vénus à la fourrure je déteste.
Les goûts diffèrent, j’ai adoré.
radioscopie, bérénice, il se passe des choses pas claires dans l’immeuble à dhh. dans quelle rue lente se trouve t-il
les chiens coupables ne l’étaient pas. vu sous cet angle, il y a quérulence
dracul est copro il quérule
@rose
mon post de 14 h 34 n’appelle pas un débat sur sur le contenu du concept de quérulence ,terme utilise par moi ,sans doute de manière impropre, pour dire ce que je voulais exprimer , à savoir le comportement d »un obsèdé de la procedure ,acharné à faire fleche de tout bois pour satisfaire envers et contre tout son goût de la chicane
Adaptation réussie et originale de Sacher Masoch , une pointe d’humour, huit-clos pour deux rôles relevés avec éclat, existait-il un précédent qui se soit attaché à cette adaptation ?
en tout cas quand je parlais de combat de clodos qui se jettait leur merde gelé à la gueule j’étais raccord..et si dracul traitait la veille pédro de merde molle..c’était un hindice..
Fausse manoeuvre Passou désolée
Mon gros Maccherono est bien tôt à point.
quérulence ,terme utilise par moi ,sans doute de manière impropre
voilà votre honneur..et tu fais cause commune drh a distinguer l’ivraie..tu t’es chté dans l’sac à quérulence
Ah ! Et j’oubliais…
Même si le prophète ne risque pas d’y être !
Ou pas pour de bonnes raisons…
Delaporte dit: 20 janvier 2017 à 15 h 00 min
Bérénice, […] Polanski, c’est l’homme pris dans les rets de son propre imaginaire pénitentiaire.
Franchement, comme cela est dit de manière juste… je vous en remercie très vivement. Et, ce ton aidant, vous me permettez d’affiner ma critique envers le cinéaste.
Le reproche essentiel que je lui fais dans La Vénus à la fourrure, ce n’est pas tant de montrer la femme comme l’être infiniment séduisant qui en serrera l’homme dans ses rets. Non. C’est plutôt le rôle attribué à Almaric qui s’en fait une marque de fabrique. En de l’éternel soumis, ficelé, embringuétat, embrigaďé, et in fine, responsable de rien. Pas même de lui-même.
Où sont renouveau changement évolution ? Non à l’éternel recommencement.
Merci DHH
j’ai pu relire.
Bien aimé le mot quérulent d’où mon intérêt à votre commentaire.
Sur le fond : espère juste qu’il a changé de congélateur, le voisin quérulent.
Sur Chaloux qui est Pablo (et bérénice la vie dans les bois) l’effet escompté n’est pas toujours l’effet désiré.
Par exemple j’aime beaucoup les aphorismes d3 WWidergänger. Je les trouve profondément humanistes et particulièrement optimistes. Ce qui marque une réelle différence avec le.Co c’est chéri de joie tragique.
Pour Pablo qui est Chaloux (comme la vie dans les bois et bérénice) et lui son Tite Live cela témoigne d’une fixation.
Chaloux est à des années lumière de ressembler au portrait hargneux qu’il s’obstine à donner de lui. Homme timide témoignant d’un grand sérieux, il a un coeur pur sous des couches fossiles protégeant ardemment son noyau dur.
D’aucun ne croirait qu’il s’agit là d’un noyau d’oeuf de dinosaure.
Pourtant je sais qu’il l’est.
Il voile sa vie privée plus que de raison. Il communique aisément avec christiane qui revendique son besoin d’élégance et qui marque une fidélité première une constance notoire et un suivi structuré dans la communication.
D’avec Wgg, bug. No lo sé porque. Son perdito. Mas or meno. Solamente sola
Si j’avais été la femme de votre voisin je lui aurais interdit férocement l’accès au congélateur.
Séchées cela aurait eu le même effet. Sans avoir cet effet pathologique.
avec le concept chéri -en tout cas revendiqué – de joie tragique.
Je l’aime beaucoup Chaloux. Pourtant j’ai une dent -à raison-contre lui. C’est un grand sensible. Almaric à côté c’est du pipeau. Y a pas à tergiverser.
« No lo sé porque. Son perdito. Mas or meno. Solamente sola »
Auténticas patadas al diccionario !
Et D. et Daaphnée, rose, idem que Chaloux-Pablo et La vie-béré ?
DHH, en vous lisant j’ai cru à la résurrection de la Pravda. Je n’ai rien posté aujourd’hui, sauf un petit truc vers 9H pour la bonne raison que j’avais autre chose à faire.
Vous défendez Blabla au nom de votre morale. Je le combats au nom de la mienne qui vaut la votre. Que ce type qui ne sait rien vienne baver ses sottises (hier sur Proust et Baudelaire, en m’insultant de surcroit), la plupart du temps un abominable salmigondis faux aux trois-quarts, offense ma morale et je ne suis pas prêt à baisser pavillon.
Pour le reste, que vous approuviez le mépris dont il accable chacun, dans des formules toutes plus sca.tologiques les unes que les autres, relève de vos goûts littéraires que je n’entends pas discuter.
Pour le reste, je suis évidemment tout à fait solidaire de Pablo, qui déteste l’esbroufe et le mensonge. Que ceux qui les adorent ne s’en privent pas, cela ajoute au spectacle. Mais qu’ils gardent pour eux leur morale. Moraux, ils ne le sont pas plus que nous, et même beaucoup moins.
scatollogie: c’était une erreur de blog?
Miss Belgique dans la tourmente après un message raciste posté sur Instragram
POLEMIQUE – Romanie Schotte peine notamment à expliquer l’utilisation d’un émoji en forme d’excrément…
C’est toi qui es un menteur, pauvre konnard ! Salopard de merdde. Tare ta sale gueuule. Et envoie ta lettre recommandée que je connaisse enfin ton nom et ton adresse pour te fouutre derrière les barreaux. Pauvre baudrtuche vide ! T’es simplement un gros con !
Sans commentaire.
Moraux, ils ne le sont pas plus que nous, et même beaucoup moins
Je ne sais si je pourrais fournir l’effort nécessaire et suffisant à vous rejoindre sur l’échelle des valeurs morales, Cher Chaloux cependant vous et Pablo êtes comme deux chiens enragés qui cherchent à exclure WGG en l’attaquant systématiquement, en réponse il vous répond de la même façon injurieuse, spirale. Vous pourriez vous attacher à démontrer toutes vos qualités morales et humaines puisqu’il ne profère que billevesées balivernes et interprétations douteuses qui ne reposent que sur son ignorance, une mythomanie et sa prétention à faire montre d’un savoir qu’il est loin d’avoir acquis selon vous, en montrant votre sens de la pédagogie et en respectant les règles élémentaires qui s’appliquent à la vie en société, pourquoi non ici puisque vous affirmez être moral, pourquoi ce tabassage ? Dans la rue, vous insultez les passants parce qu’ils ne posséderaient pas les mêmes références culturelles , vous vivez dangereusement ou peut on aussi voir ici étalée la preuve d’une lâcheté , iriez vous vous battre pour vos idées?
Une voix de femme comme celle-ci, on en entendra plus les mecs…fermez les yeux, écoutez les vagues qui roulent sur la plage et prenez la main de votre voisine en sirotant votre caipirinha…
@Chaloux@Pablo
Je ne réécris pas l’histoire comme l’aurait fait la Pravda ; Le florilège extrait des posts de WGG que vous et/ou Pablo avez répertorié et présenté en forme de liste versifiée existe bien sur ce fil.
Je ne connais pas WGG .Je ne l’ai jamais rencontré et de lui je ne sais que ce que révèlent ses posts . On peut ne pas aimer sa personnalité telle qu’elle s’y revele ,contester les idées qu’il exprime sur différentes questions de société ou de géopolitique, et aussi rester dubitatif sur la confiance qu’il fait à la pensée bien surestimée de Jacques Attali.
Mais il est des réalités incontestables qui sautent aux yeux à partir de ses post, à savoir : son exceptionnelle curiosité intellectuelle ;l’étendue de sa culture littéraire, l’acuité de son regard sur le devenir de l’école ,et sans aucun doute le fait qu’il est un excellent prof .
Et ne serait-ce que pour ce dernier point, sa personne mérite le respect, et s’y refuser comme vous le faites, en le vilipendant vous et Pablo (si tant est que vous soyez vraiment deux) de manière injurieuse et ordurière, et, qui plus est, lâchement à l’abri de pseudos, c’est méprisable .
DHH, vos yeux fermés refusent de me lire, vous me répondez en conséquence. Dont acte.
Je serais bien incapable de respecter un mythomane, qu’il soit excellent professeur ou excellent garde-barrière. On peut s’ébaubir en lisant des inepties compliquées. Du moins, ne pas y obliger les autres me semblerait une vertu.
Jibé dit: 20 janvier 2017 à 20 h 20 min
Et D. et Daaphnée, rose, idem que Chaloux-Pablo et La vie-béré ?
–
Tiens, un accès de kronite chronique.
Vous me prendrez vos gouttes ce soir, Jibé. Sans faute.
D’ailleurs si j’étais mythomane, Chaloux ne me respecterait pas. Or il me respecte.
Bon, je pars au Kung-Fu.
Phil dit: 20 janvier 2017 à 16 h 17 min
Marrant, Phil, il y a quelques minutes je passais devant le Dakota Building… et hier arpentant les environs, me
disais que les chiens new-yorkais étaient soit d une politesse exquise ou d une constipation certaine.
AO
DHH, votre lecture est perverse.
Chaloux, chacun propose, chacun dispose et personne n’oblige.
Or il me respecte.
sexisme, racisme, sectarisme, esprit de caste, l’embarras du choix.
D je suis sériuse , je suis une prolétaire tout juste dégrossie, résultat de ce côté: arnaque à tous les étages.
sérieuse.
Blabla, tes propos sur Proust et Baudelaire étaient d’une bêtise scandaleuse. Ils ne prouvent qu’une seule chose : que tu n’as jamais ouvert Proust. Pourquoi en parler? Tant que tu ne changeras pas, je ne changerai pas.
Les pseudos, les pseudos, c’est pas si mal… Passeque si y en a un son vrai nom c’est le bourreau de Béthune…
D’autant, que DHH, notre maitresse d’école, nous méprise Pablo et moi sous pseudo…
Parce que vous êtes méprisables, tout bonnement ! Deux sinistres imbéciles, deux pervers narcissiques ! Allez donc chyer ailleurs. On était très bien sans vous. Vous n’apportez que des ennuis dans ce blog. Vos commentaires ne sont qu’un ramassis de stupidités la plupart du temps et de propos rances et haineux. Vous vous levez le matin non avec l’idée d’apporter vos lumières à ce blog mais avec l’idée d’en découdre avec tel ou tel. Vous êtes deux minables, deux hommes du ressentiment, deux frustrés de Brétécher, deux gros cons.
Mes propos sur Proust et sur Baudelaire étaient tout simplement tirés du livre très futé que Antoine Compagnon a écrit sur Baudelaire, pauvre konnard ! (A. Compagnon, Un été avec Baudelaire, éditions parallèles, 2015, que je recommande pour ses citations appropriées et pertinentes).
Trouducul!
Donne les références de pages, ce livre est dans ma bibliothèque.
dear oursivi, sur le marché des bonnes manières à nouveaux riches, la crotte à nouillorque coute aussi cher que le glaviot à singapour.
Les chiens ne doivent pas s’attarder devant le dakota building, quand le diable s’absente Madonna l’habite.
« Cliché de critique ignorant comme chaloux ! Pour Proust, Baudelaire est un classique très éloigné de son temps. D’où le rapprochement avec Racine, alors que son époque le prenait pour un décadent. »
Ceci est absolument faux. Tu l’as déduit bêtement, comme à ton habitude des citations des pages 21 et 22 du livre de Compagnon. C’est la preuve que tu n’as jamais ouvert Proust. Aucun lecteur authentique ne proférerait une ineptie pareille.
Te servir du nom d’Antoine Compagnon pour couvrir ton ignorance et ta prétention, c’est si l’on ose dire un sommet de bassesse.
Il y a aussi une énorme différence entre Baudelaire et Houellebecq, c’est leur conception du grand artiste. La vision aristocratique de l’art et de l’artiste chez Baudelaire s’oppose point par point à l’admiration de Houellebecq pour l’artiste allemand Joseph Beuys pour qui « tout homme est un artiste ». Pour Baudelaire ce serait le signe même de la « décrépitude de l’art », l’aboutissement de ce que sentait venir à l’horizon dans sa fameuse lettre à Manet.
Pour Baudelaire, si l’imagination était bien la « reine des facultés », il n’empêche que la raison y tenait sa place. Ce n’est plus du tout le cas chez Houllebecq dans un irrationalisme forcené qui confond l’art avec le monde des rêves : « Parce que tout homme, écrit-il dans Ennemis publics, connaît ces moments où il est capable de construire de magnifiques représentations artistiques sans que sa raison y ait nulle place. Il les connaît chaque jour, ou plutôt chaque nuit ; simplement tout homme rêve. » On est en pleine décadence ici. C’est la caricature d’ « Une vague de rêves » d’Aragon, 1924 ! Et pour Houllebecq, Beuys c’est le haut du panier ! Pour le reste : « Cette ambiance de décomposition, écrit-il en 1995 dans un article des Inrocks, de foirage triste qui accompagne l’art contemporain finit par vous prendre la gorge ; on peut regretter Joseph Beuys. » Les images n’imaginent plus rien. Plus aucune positivité, dirait Onfray dans « Décadence ».
Dans l’index du livre d’Antoine Compagnon, Proust entre deux siècles, que j’ai sous les yeux, le nom de Baudelaire couvre plus d’une colonne, 45 lignes de références. C’est le seul. Fauré quinze lignes, Hugo onze, Flaubert sept, Huysmans cinq, Racine douze, Wagner dix.
Pour » un classique très éloigné de son temps », ça fait quand même beaucoup.
Je maintiens que tu ne connais pas Proust. Un amour de Swann à la rigueur, et quarante lignes d’explication de textes. Pas davantage.
Tu peux maintenir tout ce que tu veux comme un robot déco.nnecté de toute réalité. Ça montre juste ta konnerie monstrueuse. En général, tu comprends rien à ce que j’écris tellement t’es obsédé par ta petite personne, ton petit chapeau. T’es un vrai con, très authentique, un spécimen exemplaire à maintenir une éternité dans le formole pour se faire une bonne idée de notre époque.
Tu peux m’insulter de toutes les manières possibles, Blabla, tu as proféré sur Proust et Baudelaire (et surtout ce que est Baudelaire pour Proust) des énormités qui prouvent que tu ne les connais pas davantage l’un que l’autre. Que je sois conservé dans le formol ou dans la cervoise n’y changera strictement rien : tu es un imposteur. Ce que ton fan club de mémés prend pour de « la curiosité intellectuelle » n’est que le fruit lamentable et hâtif d’un exhibitionnisme intellectuel dont tu n’as pas les moyens.
Clopine définitivement un Cas à Part dit: 20 janvier 2017 à 10 h 24 min
Quelqu’un prononça-t-il le nom « Joni Mitchell » ?
…
Une qui n’est pas tombée dans la mayonnaise Dylan…
Ainsi cette outtake, pourtant sertie dans un luxueux coffret, aussitôt reçue et aussitôt remise sur le marché gris d’après Noël … Dylan plus désœuvré que jamais
https://vimeo.com/151958850
…
…Cinéma….& Cow-boys,…main-basse sur l’état, le crime organisé,…les élèves pistoleros,!…délinquant du monde,!…
…le disque,!…
…qui recommence,…
…l’Amérique aux anges du désert pour boissons,!…Ah,!Ah,!…Business plan,!…of course,!…Bip,!Bip,!..etc,!…
…
…que du dédain et mépris,!…aux têtes de lards,!…des bourses,!…
…des Macron qui s’ignorent,!…à l’Optimum de Pareto,!…un disque de merde qui nous revient enchanteur, avec ses K.K.K….amis d’autres K.K.K….
…
…refaire l’histoire du commerce,!…avec ses opprimés et ses oppresseurs,!…c’est court,…à Walt-Disney,!…et plus débile tu meurt,!…après tes leurres, faucons du capital privé,!…
…Bonanza,!…etc,!…en manque d’indiens, les chevaliers teutoniques en boîtes,!…
…America, chacun dans son chez-soi,!…
…en attente d’un tunnel,!…entre l’Alaska et la pointe de la Sibérie,!…
…ou à travers l’Atlantique,!..
…le monde à tout ses Brexits,…
…déjà modéré,!…des Madoff sur W.C.,!…
…etc,!…à nos portefeuilles à mettre aux secrets, même vides,!…etc,!…
…
Évidemment, les insultes permettent de détourner l’attention du vrai problème : Proust et Baudelaire. Tu n’es vraiment qu’une bille. Et on dira que c’est moi qui insulte!
Oui Jibé.
« Parce que tout homme, écrit-il dans Ennemis publics, connaît ces moments où il est capable de construire de magnifiques représentations artistiques sans que sa raison y ait nulle place. Il les connaît chaque jour, ou plutôt chaque nuit ; simplement tout homme rêve. »
C’est surtout une vision du rêve digne de Oui-Oui.
Et à l’origine de Pablo Neruda et de Gabriel Mistral, Tagore R. ai-je lu.
« et expliqué devant tout un amphi à la fac trouducul. »
Je ne connais pas cette fac, mais je veux bien croire que tu l’as faite. Ton côté Diafoirus.
L’écrivain espagnol Antonio Munoz Molina a visité à Paris l’exposition Baudelaire et il en tire des leçons sur notre regard
http://bit.ly/2iLkAWZ
Le paradoxe que souligne Antonio Munoz Molina dans le refus (apparent) de reconnaître Manet comme le peintre de la modernité tient au fait, me semble-t-il, que les images comme La musique aux Tuileries présente la foule avec trop de dignité. La comparaison avec une image analogue de Constantin Guys semble éclairante, où au contraire la foule « Aux courses » est peinte dans des tons évanescents qui font des figures de la foule des sortes de représentations fantomatiques. W. Benjamin met bien l’accent sur cette « société qui n’avait plus aucune sorte de dignité à offrir. » La joliesse du tableau de Manet est donc sentie comme une sorte de mensonge, de « décrépitude » de l’art. Il est en cela significatif que Constantin Guys soit justement d’un « rang secondaire » comme peintre de la vie moderne.
Mais « un classique très éloigné de son temps », ça n’a jamais voulu dire ce que croit ce pauvre idiot de chaloux. Ça signifie, aux yeux de Proust, que c’est un poète classique, plus proche de Racine que de V. Hugo. Tout le monde avait compris ça, sauf cet idiot de chaloux, qui ne comprend jamais ce que j’écris dans mes commentaires et se bat contre des moulin à vent en quichotte de ses haines fantasmagoriques, et de ses vents…
Nous nous lèverons en ce 21 janvier 2017 en rendant un hommage appuyé et sincère à cet honnête homme, assassiné par les crapules révolutionnaires le 21 janvier 1793, notre cher LOUIS XVI, notre bon Roi.
Ces crapules révolutionnaires, idéologues aveuglés par leur foi, loin de répondre aux besoins du peuple plongèrent la Nation dans la Terreur qui fait de Robespierre un tyrannique polpotien, meurtrier de masse avant l’heure !
Tout ça pour quoi, au juste ? Pour aboutir à des monarques républicains comme Sarkozy et sa chanteuse, Hollande et ses actrices, entourés d’une aristocratie sournoise et incapable, résurgence d’une féodalité de privilégiés sans projet, sans cœur, sans âme !…
Seigneur, libère nous de ces faux républicains ! Envoie nous un Donald Trump hexagonal, vite…. on coule… !
Procession I – Hanging Day
A hollow earth
Echoes footsteps of the grave procession.
Walls in sunspots
Lean to shadow of the shortening morn.
Behind an eyepatch lushly blue.
The wall of prayer has taken refuge
In a piece of blindness, closed.
Its grey recessive deeps.
Fretful limbs.
And glances that would sometimes
Conjure up a drawbridge
Raised but never lowered between
Their gathering and my sway.
Withdraw, as all the living world
Belie their absence in a feel of eyes
Barred and secret in the empty home.
Of shuttered windows, I know the heart.
Has journeyed far from present.
Tread. Drop. Dread Drop. Dead.
What may I tell you? What reveal?
I who before them peered unseen
Who stood one-legged on the untrodden
Verge- lest I should not return.
That I received them? That I wheeled above and flew beneath them.
And brought him on his way.
And came to mine, even to the edge
Of the unspeakable encirclement?
What may I tell you of the five
Bell-ringers on the ropes to chimes.
Of silence?
What tell you of rigors of the law?
From watchtowers on stunned walls.
Raised to stay a siege of darkness
What whisper to their football thunders.
Vanishing to shrouds of sunlight?
Let not man speak of justice, guilt
Far away, blood-stained in their
Tens of thousands, hands that damned.
These wretches to the pit triumph
But here, alone the solitary deed.
Wole Soyinka
…
…des épines, des épines,!…sur ce blog,!…
…
…la psy,…pour attendrir ses acquis,!…
…
…tout ces enseignants, en couronnes d’épines,!…
…des épines, pour s »en cabrer,!…les florilèges pour en exister,!…
…
…la vertu des sans grades, laisser pour comptes,!…en arrière-garde des colonnes du capitalisme rétrograde,!…
…je sème à tout vents des épines pour les christs en liberté,!…
…venez, venez, mes petits, goutez de l’art des haines du nombrilisme sur net,!…
…Ah,!Ah,!…
…notre jardins des sans têtes à queues,…
…notre billard du livre cosmopolite à sucettes,!…tout ces goûts aux parfums of courses,!…
…Ah,!Ah,!…etc,!…fraîches les nouvelles,!…
…la chasse,!…S.V.P.,!…Merci,!…vivre avec,…la classe,…hors normes d’endoctrinés,…Académies quand tu nous tient,!…les tiens, les siens, les nôtres,les vôtres, les leurres, en boîtes,!…
…
…les conversations-cargos,…
…
…
…
Un portrait de Manet… (Antonin Proust, La Revue blanche, 1897)
« Chez Manet, l’œil jouait un si grand rôle que Paris n’a jamais connu de flâneur semblable à lui, et de flâneur flânant plus utilement. Dès qu’arrivaient les journées d’hiver, où le brouillard ouate dès le matin la lumière au point que tout travail de peinture devient impossible à l’atelier, nous décampions, courant aux boulevards extérieurs. Là, il dessinait sur son carnet un rien, un profil, un chapeau ; en un mot, une impression fugitive. Et quand, le lendemain, un camarade lui disait, en feuilletant son carnet : « Tu devrais finir cela », il se tordait de rire. « Tu me prends, disait-il, pour un peintre d’histoire ». « Peintre d’histoire » était, dans sa bouche, la plus sanglante injure qu’on pût adresser à un artiste. »
Widergänger dit: 21 janvier 2017 à 2 h 52 min
Non, crétinus, cela signifie que tu n’y connais rien.
Bon week-end
Une réflexion lucide sur la peinture de Manet et son accueil par le public ?
(Georges Bataille, Manet, 1955)
« Le nom de Manet a dans l’histoire de la peinture un sens à part. Manet n’est pas seulement un très grand peintre : il a tranché avec ceux qui l’ont précédé ; il ouvrit la période où nous vivons, s’accordant avec le monde qui est maintenant, qui est nôtre ; détonnant dans le monde où il vécut, qu’il scandalisa. C’est un soudain changement qu’opéra la peinture de Manet, un renversement acide, auquel le nom de révolution conviendrait s’il n’en découlait pas une équivoque : le changement à vue de l’esprit dont cette peinture est significative diffère au moins pour l’essentiel de ceux que l’histoire politique enregistre. […] Jamais avant Manet le divorce du goût public et de la beauté changeante, que l’art renouvelle à travers le temps, n’avait été si parfait. Manet ouvre la série noire ; c’est à partir de lui que la colère et les rires publics ont aussi sûrement désigné le rajeunissement de la beauté. D’autres avant lui avaient provoqué le scandale ; l’unité relative du goût de l’époque classique était alors touchée : le romantisme l’avait brisée, qui avait suscité des colères ; Delacroix, Courbet et, très classique, Ingres lui-même avaient fait rire. Mais l’Olympia est le premier chef-d’oeuvre dont la foule ait ri d’un rire immense. »
Intéressants tes témoignages, Christiane, sur le travail et l’influence de Manet dans la peinture. Tu aurais quelque chose sur l’homme intime ?
« Tiens, un accès de kronite chronique. »
La Kronite est une maladie dont vous êtes le virus principal et exclusif, D. Et vous en connaissez les conséquences : la disparition de celui qui en est atteint…
Hervé Gauville, critique d’art dont on peut lire les chroniques dans le quotidien « Libération », écrit celle-ci en juin 2000 :
http://next.liberation.fr/livres/2000/06/29/manet-avait-quelque-chose-de-baudelairien_328923
Reprends-toi, chaloux. Tu as perdu toute dignité avec ta lettre recommandée que tu n’enverras jamais et tes commentaires insignifiants qui me rendent malgré toi un hommage permanent et appuyé. Tu fais vraiment pitié. Et en plus tu ne connais même pas les frontières de la Sologne où tu prétends avoir pourtant longtemps habité… T’es bon pour la camisole de force.
Merci à christiane qui nous a trouvé une excellente documentation sur Manet.
Il y a une chose que Baudelaire n’avait pas saisi dans la modernité, c’est le rôle de la citation. La modernité ne commence pas en 1860 mais à la Renaissance et elle est inséparable de la citation. Rabelais par exemple est illisible sans recours à l’idée de citation. La guerre pichrocoline est une citation amusée du genre épique et des chansons de geste du Moyen-Âge, etc. Ce n’est pas seulement l’Art pour l’Art, c’est aussi l’Art par l’Art.
Christiane, sur l’homme Manet, ce livre paru récemment en folio, qui pourrait t’intéresser ?
http://www.babelio.com/livres/Chauveau-Manet-le-secret/679240
Blabla, un écrivain qui trace sa lignée à la limite du plaidoyer pro domo (dans le cas de Proust : Baudelaire, Racine etc.) ne peut pas considérer que le plus proche de lui soit « très éloigné de son temps ». C’est une hénaurmité. Toutes tes prestations à la fac trou.duc.ul ou ailleurs n’y changeront rien. Tu ne connais ni Proust ni Baudelaire.
Quant au reste, tu n’es qu’un petit personnage soutenu par un quarteron de mémés qui se croient très morales mais ont fait ton malheur et et favorisé ton effondrement intellectuel.
« ta lettre recommandée que tu n’enverras jamais »
Ce que j’ai appris en téléphonant pour savoir où l’envoyer …
Jibé,
pas de correspondance de Manet (à part sur la Commune de Paris) mais des toiles… Quelle femme a-t-il peinte si souvent ? La ténébreuse et solitaire Berthe Morisot. Seule femme exposée au Salon des Impressionnistes. Rares sont les femmes qui à l’époque évoluèrent au côté des peintres. Elle, Mary Cassatt, Eva Gonzales…
En regardant un des portraits qu’il a fait d’elle -« Femme au bouquet de violette »- on ressent tant d’émotion face à ce beau visage tragique tout en clair-obscur, au regard si sombre.
Comme vous l’avez écrit, Manet est un bourgeois né dans l’Hôtel particulier sis au 5 rue Bonaparte à Paris. Mère monarchiste et musicienne, père, républicain rigide. Il a dû se battre pour faire de la peinture, sa vie. Dandy, mondain, discret, éloigné des impressionnistes qui étaient pourtant ses amis, il suivit une recherche singulière, comme ce petit joueur de flûte (Son fils ?) tout en aplat, sur fond uni. Il épousa la tendre Suzanne Lennof. Et ce filleul…, Léon, sera élevé comme son fils.
Mais c’est Berthe Morisot qui sera son obsession… E.Degas les avait présentés l’un à l’autre. Avec sa sœur, elle étudiait Fantin Latour au Louvre en s’essayant à des copies. Elle aussi avait renoncé à une vie bourgeoise pour peindre. Au XIXe siècle : quel courage !
Mais Manet ne trahira pas sa femme (conventions de l’époque). Berthe posera pour lui. Il la peindra… Ils échangeront aussi beaucoup de conseils sur leur travail respectif. Ils s’admiraient, se comprenaient. Aucun journal intime, aucune correspondance ne laissera de trace de cette fascination réciproque. Seules les toiles…
Un amour secret ? il suffit de regarder les toiles où elle est son modèle…
Elle finira, bien tardivement, à épouser un Manet : le frère, Eugène…
Elle peindra alors sa fille, Julie, avec tant de tendresse…
C’est étrange, « J’y régalais Baudelaire de la vue de mes ciels au pastel » dit Boudin http://www.musees-honfleur.fr/eugene-boudin-1824-1898.html
Il faut lire le Journal de Delacroix pour mieux comprendre les enjeux de la modernité. Delacroix comme Baudelaire vivent dans leur art respectif l’agonie de l’idéal et exprime la mélancolie qui en résulte. Ils sont, chacun à leur manière, les témoins de cette tension extrême dans l’histoire de l’esthétique. Chacun en tire une leçon pour lui différente.
Quand Delacroix privilégie une résistance ambiguë où la mémoire tente de sauvegarder ses prérogatives face à la montée de l’instantané et de l’inachevé, du fragmentaire et du transitoire, face au morcellement du monde qui fait le fond de la vision moderne du monde, Baudelaire accompagne cette agonie de l’idéal en créant tout un système d’opposition (Spleen et idéal, etc.). Il invente même une poétique du rire qui accompagne d’un œil critique le rire de la foule que signale G. Bataille à propos de Manet.
À la fin de sa carrière, Delacroix ne voit plus dans l’ébauche d’un tableau ou une esquisse un simple problème technique préparant l’inspiration poétique et l’exigence de poésie que doit réaliser la toile au bout du compte, il considère désormais que le non-fini de la toile dans son ébauche même doit appartenir à l’exigence poétique. D’où la tentation de l’inachevé dont résulte ce déplacement de l’esthétique. On le voit à l’œuvre dans l’exposition par l’esquisse pour Le Sultan du Maroc dont la toile achevée est présentée au Salon de 1846.
C’est aussi ce goût pour l’inachevé qui fait le lien chez Baudelaire avec le pouvoir qu’il accorde à l’imagination. Il le souligne lui-même dans certains propos comme dans le Salon de 1859 : « je me rappelle avoir vu dans les ateliers de Paul Delaroche et d’Horace Vernet de vastes tableaux, non pas ébouchés mais commencés, c’est-à-dire absolument fini dans de certaines parties, pendant que certaines autres n’étaient indiquées que par un contour noir et blanc. » Mais il opposera le rôle de l’esquisse chez Delacroix à ce qui ici est compris comme une simple « route à parcourir » qui « doit couvrir une certaine quantité d’espace en un temps déterminé. » Au contraire, le principe de la peinture à ses yeux comme aux yeux de Delacroix repose sur l’idée que le germe, le noyau, la source de l’idée poétique donne d’emblée naissance à un rayonnement. On voit bien naître ici l’idée que l’œuvre parle aussi de l’histoire de sa création.
@23.09 la crotte à nouillorque coute aussi cher que le glaviot à singapour.
Désolé de revenir sur ce jour fondateur US, qui va conditionnerpas mal de nos bavardages RDL durant quelques années… en reposant cette question : comment a-t-on pu en arriver là ? Vu dans le journal que des politologues de Harvard, penchés sur les effets du populisme politique et de l’entrée en ère de « post-vérité », avaient proposé une explication à partir du sentiment de trahison (thème littéraire souvent traité ici, mais pas dans cette optique), genre : quand les électeurs on confiance dans les candidats, ils ont intérêt à voter pour le plus compétent, le mieux à même de gouverner. Quand ils ne leur font pas confiance, ils ont intérêt à voter pour le moins compétent, car il sera le moins susceptible de les trahir, à supposer qu’il en soit capable. Voter pour l’incompétent, c’est s’assurer contre le risque d’être trahi, même au prix d’une gouvernance moins efficace.
Cette hypothèse n’est grossière n’est pas totalement idiote, quand il s’agit de sonder (d’expliquer ?) les effets cristallisés d’une attitude possiblement commune chez des électeurs au moment où ils mirent leur bulletin dans l’urne… Quant à l’éventuel regret des conséquences de leur geste qui pourrait les assaillir bientôt,une fois de plus constaté avoir été les cocus de la farce, on pourra toujours trouver d’autres explications de la trahison de l’incompétent gagnant dans de nouveaux mécanismes de dénégation collective… L’incompétent va devoir se creuser la tête pour persister dans la post vérité et continuer à leur faire croire qu’ils ont eu raison de le soutenir.
On peut déjà établir des parallèles de notre côté au spectacle de la sourde et virile obstination des chaloux et wgg à vouloir remporter chacun la partie, en tuant symboliquement mais définitivement l’adversaire. Spectacle d’un profond ennui, en vérité, qui confine au grotesque depuis la menace de porter le différend en justice ! Car qui nous parle toujours ici de gamins dans un bac à sable ? Sauf erreur, je ne crois pas que ce soit le « club des mémères ». Auraient plutôt tendance à vouloir les calmer en les sortant du bac, avec une bonne paire de baffes à chacun.
En matière de blogs chez les sévissants, si j’ai bien compris, il n’y aurait plus que ceux de : Sergio, Scriptalia, Polémiqueur, Closer, Jacques Barozzi, Dafnaée-rose, Paul Edel, Clopine Trouillefou et Chaloux (avorté). Pardon pour ceux que j’aurais oublié. Veuillez nous rectifier, merci.
BJ à tousses.
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