Baudelaire plus que jamais « n’importe où hors du monde »
Et dire qu’on en est là : évoquer le génie de Baudelaire en contrepoint de celui de Houellebecq, parler de l’un pour établir des analogies avec l’autre, convoquer à son corps défendant l’ombre tutélaire de l’incontestable poète qui continue à dominer les lettres françaises depuis un siècle et demi pour consolider la réputation de celui que les medias veulent à tout prix nous vendre comme le Grand-Poète-de-son-époque… Quelle misère intellectuelle et quel triste signe des temps ! Il suffirait pourtant d’expédier la chose, et l’Autre autoconsacré par son propre pavé de l’Herne, d’une citation de Baudelaire échappée du Peintre de la vie moderne :
« Il est beaucoup plus commode de déclarer que tout est absolument laid dans l’habit d’une époque, que de s’appliquer à en extraire la beauté mystérieuse, si minime ou si légère qu’elle soit »
Il y a de toute façon une excellente occasion de revenir au patron tout seul, sans un prétexte fallacieux : c’est l’exposition « L’œil de Baudelaire » qui se poursuit jusqu’au 29 janvier au Musée de la vie romantique à Paris pour le cent-cinquantenaire de sa mort. Un petit musée qui ne se pousse pas du col mais qui a un charme fou (surtout à la belle saison quand on peut y déguster d’exquises tartes aux fruits sous la tonnelle dans un petit jardin de roses et de lilas) et tire bien son épingle du jeu malgré ses moyens réduits. Le piquant de l’affaire est que l’une deux salles baudelairiennes a pour cadre l’ancien atelier d’Ary Scheffer, artiste par lui abhorré pour son éclectisme, peintre dont il méprisait la tristesse et qu’il évoquait en chef de file des « Singes du sentiment ».
Tout y concourt à montrer en quoi le poète a pu dire, dans Mon cœur mis à nu, revigorant empilement de ses colères, que la « glorification des images » était son unique et primitive passion. Il est vrai, mais le rappel est utile et c’est l’une des vertus de cette exposition qui n’en manque pas, que le tout premier écrit signé Charles Baudelaire qui fut publié sous forme de livre, n’était pas un recueil de poèmes : conçu dans l’esprit du Diderot qui inaugura un genre littéraire avec la critique d’exposition, ainsi que de Stendhal qui y excella, cet essai était consacré à la critique d’art des expositions de l’Académie des Beaux-Arts et s’intitulait Le Salon de 1845. Et comme ses maitres en la matière, au-delà du compte-rendu ponctuel, c’est bien d’une réflexion critique sur des problèmes d’esthétique qu’il s’agit.
Figure romantique par excellence du poète maudit, il plaide pour une critique poétique, subjective, de parti pris, exclusive mais ouverte contre une critique froide, algébrique, sans tempérament. L’exposition invite à s’immerger dans le paysage artistique des années 1845-1863 parmi les peintres de Baudelaire, les Delacroix, Ingres, Corot, Rousseau, Courbet ou Chassériau, qu’il les ait encensés ou blâmés. Sans oublier Manet bien sûr, avec qui il partageait la passion de l’Espagne et de ses artistes, celui qui incarne la génération montante et la modernité, ainsi que des caricaturistes au premier rang desquels Daumier en ses « vivantes monstruosités » qu’il élève au rang de grand artiste, ce qui était beaucoup plus risqué (et prophétique) que de louer Goya déjà fort acclamé à Paris. De quoi mieux appréhender son éducation artistique et les ressorts de sa sensibilité esthétique.
Volontiers pédagogique mais sans lourdeur scolaire, le déroulé rythmé en quatre temps (Les Phares, le musée de l’amour, l’héroïsme de la vie moderne, le Spleen de Paris ) offre déjà des clés pour déchiffrer les expressions qui jalonnent les écrits artistiques de Baudelaire : « beauté moderne », « conception double exprimant l’éternel dans le transitoire », « beauté interlope », « mérite de l’inattendu », notion d’étrangeté, pourquoi un tableau fait est préférable à un tableau fini, en quoi une œuvre respire l’amour, le romantisme de la couleur et la nature idéale de la ligne, la part de naïveté exigée d’un artiste etc Sans oublier, on s’en doute, « modernité », auberge espagnole si généreuse dans son accueil de toutes les interprétations, déviations, instumentalisations, alors que Baudelaire avait bien défini la mission du peintre de la vie moderne :
« Dégager de la mode ce qu’elle peut contenir de poétique dans l’historique, tirer l’éternel du transitoire »
Baudelaire célèbre en l’imagination la reine des facultés contre le réalisme tenu pour une blague puisque le goût du Vrai ne peut qu’opprimer le goût du Beau, une imagination avec ou sans l’aide des drogues et autres paradis artificiels, son « accélérateur de pouls ». Au fond, Delacroix, représentant majeur du romantisme loué comme un « peintre universel », demeure celui qui domine son panthéon artistique, le peintre le plus proche de son intime inspiration, son frère en mélancolie puisque le poète à l’âme en prostration ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie ; car, comme l’écrivent les responsables de l’accrochage , « Delacroix est comme Baudelaire le représentant ultime d’une époque révolue mais qui demeure, dégagé des stigmates de la nouveauté, la plus pure expression de la modernité ».
« Quel est donc ce je ne sais quoi de mystérieux que Delacroix, pour la gloire de notre siècle, a mieux traduit qu’aucun autre ? C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme ; et il a fait cela, – observez le bien, – monsieur, sans autres moyens que le contour et la couleur ; il l’a fait mieux que pas un ; il l’a fait avec la perfection d’un peintre consommé, avec la rigueur d’un littérateur subtil, avec l’éloquence d’un musicien passionné. »
Se plaignant d’être considéré comme un excentrique, un dandy, un mystificateur, un farouche, il en est pourtant le premier responsable puisqu’il fut l’artisan de sa propre légende. Son musée de l’amour est bien là, entre ses deux extrêmes que sont la Vénus blanche (Madame Sabatier) et la Vénus noire (Jeanne Duval). La génération des poètes de 1860 (Verlaine ans co) avait beau se réclamer de lui, il ne les en a pas moins moins sévèrement jugés. Bien sûr, il est aisé avec le recul d’ironiser sur ses erreurs de jugement, ses louanges à l’art d’un Octave Penguilly L’Haridon, son optimisme quant à la postérité de l’oeuvre d’un Octave Tassaert, ou dans celle d’un Chassériau, d’un Chazal, d’un Catlin, alors même qu’il prenait ses distances avec Courbet ou écrivait à Manet attaqué pour son Olympia qu’il mettait trop d’orgueil à s’en plaindre d’autant qu’il n’était jamais que « le premier dans la décrépitude de votre art ».
A travers une centaine de lettres, articles, tableaux, dessins, gravures, photos, tout est fait pour montrer l’incessante conversation entre les poèmes et les œuvres d’art : influence dans l’association des couleurs (le rose et le noir) ou la conception de l’harmonie etc. Une imprégnation qui n’est jamais traduction ou transposition et dont on dirait qu’elle a pour unique objet de répondre à la question : qu’est-ce que la beauté moderne ? On l’y retrouvera de manière frappante dans ses portraits les plus variés : séries photographiques de Nadar ou Carjat qui nous le montrent tel qu’en lui-même, amer, ironique ; jeune au nez de priseur et aux lèvres impudentes, si Samuel de la Fanfarlo, dans une huile d’Emile Deroy (1844) ; pensif en lecteur absorbé dans un livre dans une huile de Courbet ; jusqu’à son autoportrait dessiné qui n’est pas le moins émouvant. Hostile à la photographie, aux journaux grands format et à la « rancuneuse énergie » de la critique, effrayé par le progrès, la modernité technique, industrielle et archirecturale, il n’en est pas moins fasciné par le nouveau décor urbain, fascination-répulsion pour la ville « grande barbarie éclairée au gaz »
Outre le catalogue de l’exposition (29,90 euros, Paris-Musées), et naturellement l’œuvre même de Baudelaire (toutes éditions), la visite donne envie de retrouver l’un des meilleurs « petits livres » qui lui ait été consacré : celui du baudelairissime Robert Kopp Le soleil noir de la modernité (160 pages, 15 euros, Découvertes/ Gallimard) opportunément réédité dans une édition augmentée. C’est un admirable concentré, en peu de pages mais intelligemment illustrées, de tout ce qu’il y a à savoir en un tel format sur celui qui entreprit de faire de l’or avec de la boue, le traducteur d’Edgar Poe, le dandy sur les barricades de 48, le réprouvé des Fleurs du mal…
Quels que fussent le support et la forme, il cherchait partout la poésie, ne vivait que pour la poésie et avait fait de l’art son idéal, à l’écart de la société, en marge des autres, tel que Courbet l’a représenté dans son grand tableau « L’Atelier du peintre » dans une allégorie de sa vie artistique. Baudelaire s’y tient si loin de tous qu’il manque de sortir de la toile, loin des élus qui « vivent de la vie », absorbé dans la lecture d’un livre, trouble-fête égaré dans le magasin d’images et de signes, ne se soumettant à d’autre gouvernement que celui de l’imagination et se royaumant dans le plaisir aristocratique de déplaire (à condition d’oublier le corps de phrase qui précède la fameuse expression : « Ce qu’il y a d’enivrant dans le mauvais goût, c’est le… »). Qui dira jamais mieux que lui la jouissance qu’il y a à élire domicile dans le nombre ?
En nous invitant à aller voir au-delà du double stéréotype qui lui colle aux basques (poète maudit et provocateur dans la mystification), l’exposition contribue à le présenter comme le polygraphe de la modernité à travers ses critiques (ses comptes rendus des Salons de peinture demeurent une référence pour les historiens de l’art), de quoi enrichir notre image d’un auteur unique et protéiforme, comme ils l’étaient presque tous alors. Son injonction« n’importe où hors du monde » a assigné à la poésie la mission de plonger au fond de l’Inconnu (plutôt que l’Infini, ce fameux ailleurs, mais ça se discute encore) pour en extraire du nouveau. Sa solitude ne peut se comprendre sans une référence au mal romantique de l’Homme Supérieur. Son dandysme prend racine dans le culte de la différence, « stoïcisme aristocratique qui se pare pour se séparer ». I
l s’enivre d’humiliation et non d’humilité. Son orgueil, sa solitude présente, le soutient dans sa haine sauvage contre les hommes. Un orgueil assis sur le pressentiment d’une haute survie littéraire. Que lui importe de n’être pas aimé puisqu’il sera de ceux dont on se souvient, du moins est-il convaincu. Il « sait » qu’un jour les effets de sa contre-littérature, cette poésie d’intimité qu’il interpose entre lui et le public, s’estomperont pour laisser s’épanouir chez les lecteurs son génie profond. Sans conviction car sans ambition, le dilettante appliqué, qui porte haut le dogme de l’Art pour l’Art, ne méprise rien tant que la littérature socialisante. La démocratie peut-être, où des malheureux tombent « comme un papillon dans la gélatine » après s’être pris au piège de la souveraineté populaire, cette « tyrannie des bêtes ». A la suite de Georges Blin, maître de Robert Kopp, il faut lire le drame de Baudelaire comme un mouvement mystique marqué par le refus et l’absence de compromis, et le célébrer pour avoir introduit la conscience de la modernité mais avec une langue classique. Mais de grâce, si c’est pour vulgairement l’instrumentaliser au profit de pâles gloires contemporaines, qu’on lui fiche la paix !
L’écrivain Antonio Munoz Molina a visité à Paris l’exposition Baudelaire et il en tire des leçons sur notre regard http://bit.ly/2iLkAWZ
(« Baudelaire par Courbet », vers 1848, huile sur toile ; « Baudelaire par Emile Deroy », 1844 ; « Baudelaire » photographies de Nadar, 1855 D.R.)
1 018 Réponses pour Baudelaire plus que jamais « n’importe où hors du monde »
Christiane, tu es merveilleuse !….
Lorsque tu passeras de vie à trépas -je connais du monde au Vatican- je te promets de faire le nécessaire pour que tu sois béatifiée(entre 6 mois et un siècle), puis sanctifiée éternellement comme …
… SAINTE CHRISTIANE DE LA ERDEELE
Et t’as appris quoi, mon pauvre fou de chaloux ? Te cache pas derrière ton commentaire, petite merdde.
Pourquoi Boudin et pas Manet? Baudelaire est un tordu. https://modedanslapeintureau19emesiecle.wordpress.com/2013/04/17/la-femme-et-la-mer-1850-1920/
J’y ai appris que l’intuition de ma pitié était une bonne intuition.
Pauvre fou ! T’as rien pu y apprendre. T’es juste un gros mytho comme disent les élèves.
Tu te trompes, Blabla, les conversations off sont très instructives.
« On peut déjà établir des parallèles de notre côté au spectacle de la sourde et virile obstination des chaloux et wgg à vouloir remporter chacun la partie, en tuant symboliquement mais définitivement l’adversaire. » (JJJ l’andropause, comme dirait Baliba, le canari du Caire)
Elle n’est ni sourde, ni muette, ni virile, cette lutte ! Virile ? où est le viril dans ce combat par clavier interposé ? la virilité est désormais inséparable du fameux psychothérapeute russe KALACHNIKOV … sinon … amusettes.
Quant à méconnaitre la valeur des entrepreneurs milliardaires comme Trump pour diriger un bac à sable comme les USA, c’est comme imaginer que Passou n’est pas le LOUIS XVIII de la RdL.
Mais si JJJ tremble de frousse, c’est qu’il réussira son pari, notre cher Trump : devenir comme le métis d’Hawaï sur mer, Prix Nobel de la Paix sans rien foultre !
Baudelaire a connu Boudin quand il allait en visite chez sa mère à Honfleur où elle s’était retirée après la mort du général Aupic. Il l’admirait, d’ailleurs l’exposition présente quelques toiles de Boudin emblématiques de son art. Mais déjà dans le salon de la rue Frochot, Mme Sabatier détenait quelques toiles que la critique qualifie déjà de préimpressionnnistes qui ont pu lui en donner comme un avant-goût.
Il n’y a aucune conversation off de la part d’un chef d’établissement, surtout là. T’es un pauvre mythomane qui se prend à ses propres délires. T’as autant de courage qu’une baudruche vide.
Ne cherche pas à savoir qui j’ai au au téléphone. Je ne dirai rien. Mais sache que je sais.
eu au téléphone.
Tu n’es qu’un pauvre type, je ne suis pas le seul à le penser.
T’es juste un gros comique. Parce que si tu savais ce que je sais, tu saurais que tu ne peux rien savoir…
En revanche, il y en a un ici qui sait que t’es un gros mytho, c’est Passou.
Pierre Assouline qui lit tous les posts pourrait surtout dire s’il a jamais lu un mot à caractère antisémite dans les miens. Je peux te dire que cette accusation ne passe pas. Et que sur ce point, malgré son avis, je ne transigerai pas.
T’es juste un antisémite qui s’ignore pour me persécuter de tes commentaires agressifs et débiles depuis tant de temps. T’es un fou d’antisémite, c’est clair.
Blabla, tu es surtout un grand malade.
les efforts de JC l’andouille pour paraître intelligent sont désespérés et désespérants
C’est toi le malade pour me persécuter depuis tant d’années par tes commentaires de MES commentaires. Tu n’existes ici qu’à travers MOI. T’es un vrai fou, un antisémite, un vrai cinglé.
Tu prétends connaître la Sologne alors que n’en connais même pas les contours, tu prétends ouvrir un blog qui n’es toujours pas ouvert depuis tant d’années de promesses vaines, tu prétends avoir envoyé une lettre recommandée pour te plaindre à une administration qui n’en a cure, avoir parlé à un chef d’établissement qui a une obligation de réserve à tout inconnu. Tu nous prends pour qui ? T’es juste infantile, mon pauvre ami. Juste bon à enfermer à Sainte-Anne. En plus tu fais chyer tout le monde ici.
Blabla, le mieux sera qu’on s’explique directement.
…
…je vous le redis,!…vos conversations des épines au quatre vent,…semer, je m’en fout,!…
…
…l’art du copier-coller, pour meubler des sots débiles en paranoïa,!…
…
…déjà, depuis la photographie,!…
…et avant l’ère des connivences,!…fait mon portrait à l’huile,…pas trop chère,!…
…
…ne rien, faire,!…pour ne pas recevoir des cadeaux pour se faire baiser,!…
…Ah,!…non merci, les autres sont meilleurs aux huiles, à photo,!…etc,!…
…j’ai dis çà moi,!…etc,!…
…qu’est ce que je m’en fou,!…
…Cool, Cool, avec tout ou rien,!…
…pour mon plaisir,…
Ah voui, c vrai sa, j’avions oublié qu’la paternité du bac à sable revenait à JC, désolé d’avoir pas consulté son blog, mais parait-il qu’il aurait été explosé à la kalache. Tas raison, l’îlot, pas très viril le différend entre les 2 amoureux transis. Faut pourtant leur faire croire que si, tant qu’ils ont pas officiellement jeté et relevé le gant ni dit sur quel pré et à quelle heure ils alleraient se fout’ réellement sur lag…, hein, les chiens chiens toutous à sa mémère ? Ont guère puq’ des insinuations et des baves de moins en moins dégoulinées : je sais que tu sais ce que je sais que tu sais pas, mais passoulesait, ui, alors attation, na. La tension redescend d’un croc, allez, bisez-vous, les futés… c’est ça, la vraie décadence : tuwois, on va dire, au final, l’androposé, c clair.
La salle Richelieu rénovée à la BNF. Je me souviens m’y être assis quand je faisais mes recherches sur André du Bouchet. Sensation d’une certaine magie du lieu.
» avoir parlé à un chef d’établissement »
Jamais écrit ça. C’est toi qui mets ton chef d’établissement en cause.
Tu m’excuses, maintenant je n’ai plus le temps.
Directement, mon pauvre ami, mais je te mets simplement mon poing dans ta sale gueule de con. Vaut mieux pas… Reste dans ta merdde, comme un gros porc d’antisémite que tu es.
@Widergänger
depuis 2008, printemps où j’ai découvert ce blog de P.Assouline, vous êtes un fidèle intervenant, toujours creusant, pesant, soupesant les informations qui circulent ou dans les billets de Passou ou dans les commentaires. Et pour cela rien ne vous est étranger : livres, internet, voyages, conversations.
Quand vous sondez un texte c’est toujours passionnant.
Et puis il y a votre mémoire, celle d’une lignée que vous ne cessez d’interroger comme si le chemin vers l’origine, au-delà d’elle, était votre unique préoccupation. Di.eu est votre hôte sur fond de décadence de l’époque. On ne sait si vous l’attendez ou si vous le regardez sombrer dans l’indifférence des hommes.
L’art est un de vos chemins. Vous prisez ces lieux où la parole donne équivalence au silence.
Quant aux batailles… Ayant grandi dans les faubourgs où les garçons aimaient la castagne, elles ne m’étonnent guère. Le seul lieu où les uns et les autres peuvent utiliser à profusion les injures que la bienséance et l’éducation leur ont si longtemps interdites. Derrière ces tirs de barricade, une fois les batailles lassées vous retournez à la littérature, Chaloux à la musique et Pablo à son univers baroque.
Quant aux polichinelles, ils disparaissent en riant.
Sans vous et vos chers pugilistes cet espace commentaire se prendrait peut-être trop au sérieux, germanopratin, comme dirait le malicieux JJJ.
Les dames, ici, loin des tapisseries et des quenouilles, sont le velours du blog par leur univers feutré. Quand querelle il y a, c’est une pluie de printemps ou les houles profondes de certaines…
Et près ou loin, le solitaire écrit, neiges de la montagne magique…
Et Annelise hiberne dans un kaléidoscope enchanté.
Bon, un bol d’air pur et froid. Soleil d’hiver.
C’est ça, dégage. Les raclures de bidet comme toi ne font que salir.
Christiane, je m’en passerai bien, je vous assure, si je n’étais pas harcelé pour ce fou depuis des années maintenant.
Chaloux dit: 21 janvier 2017 à 11 h 10 min Blabla, le mieux sera qu’on s’explique directement.
Et 5 minutes, plus tard c’est reparti… Donc, c quoi, « sesspliquer directement » au juste ?…
Puisque vous connaissez chacun vos adresses physiques respectives, pourquoi ne pas quitter ce blog et aller vous empoigner directement sur le champ de mars une bonne fois pour toutes ? Et revenir pacifiés si l’un n’a pas estourbi l’autre entre temps ? Pourquoi ce lamentable besoin de vous donner ainsi tous les jours en spectacle, devant vos élèves consternés ?
Et c’est vous qui vous lamentez de ce qu’est devenue l’Education Nationale dont vous prétendez incarner la noblesse face à sa prétendue décadence ! Eh bé…
Manif de 200 000 femmes contre Trump à Washington… Ça commence bien ! Avec sa potiche de femme soumise et insignifiante, Trump est mal parti pour rester quatre années à la MB.
Trump comme Marine Le Pen croient encore au colbertisme. C’est tragique. Le monde est dans l’impasse comme jamais depuis 1945. Trump ne pourra pas rester jusqu’au bout de son mandat.
« Les dames, ici, loin des tapisseries et des quenouilles, sont le velours du blog par leur univers feutré. » (Christiane)
Pas moyen de « voir » ce que cette phrase suggère… !
– Tapisserie ? Pour moi, Bayeux et les boum du lycée où les laides faisaient tache sur les murs… triste à mourir.
– Quenouilles ? Une rime riche me vient immédiatement à l’esprit, en 3D… on se calme !
– Velours ? un tissu qui m’a toujours fait gerber tant il vieillit même Brummel. Excellent pour les Normands sous la pluie.
– Feutré ? me rappelle l’ambiance des hôtels particuliers où sévissent ces raclures qui gouvernent sans pudeur …
Il y a chez Trump le nouveau Médicis ce merveilleux que l’on admire chez Alexandre de Macédoine :
« Pourquoi j’irai m’embberder à dénouer ce nœud à la kron, que je peux couper ? ….
Quant à Mélania, j’en suis fou ! Va t elle accepter une promenade à Porquerolles en scooter connecté ?…. Angoisse !
Il y a chez Trump, le nouveau Médicis, ce merveilleux que l’on admire chez Alexandre de Macédoine
« Pourquoi j’irai m’embberder à dénouer ce nœud à la kron, que je peux couper ? ….
Mémé Lania ? j’en suis fou ! j’adore l’Egypte antique et ses momies …
Trump va finir au bout d’une pic s’il continue.
Le gag de la journée d’hier. Tout s’achète ou pas ?
http://www.huffingtonpost.fr/2017/01/20/michelle-obama-na-pas-pu-cacher-sa-gene-devant-le-cadeau-de-mel/?icid=maing-grid7%7Cmain5%7Cdl1%7Csec3_lnk2%26pLid%3D226897980_uk
Widergänger dit: 21 janvier 2017 à 11 h 52 min
« Trump va finir au bout d’une pic s’il continue. »
Que Mémé Lania finisse au bout de la nostre est mon seul souci géostratégique …
Bon sang ! Je gribouille une bafouille sur mon blog pour témoigner du plaisir que j’ai eu à écouter Répliques, ce matin, et du coup (après avoir écrit), je m’en vais farfouiller un peu sur google…
Et j’apprends qu’Hector Obalk est le fils d’Henriette Walter !
Henriette Walter !
Bon sang de bonsoir ! Fantasme ultime, désir montant telle une bulle de savon, rêve fou : assister à un repars dominical chez les Walter. Entre une mère pareille et un fils de ce type…
(et ça changerait des tristes bas-fonds de la Rdl, pas vrai ?)
PS : je me relis, et me sens injuste. Ces « tristes bas-fonds » m’ont cependant tirée parfois vers le haut, ou au moins m’ont sauvée d’une solitude parfois tristounette, dans mon lointain Bray. Rendons à Pierre Assouline ce qui lui appartient : une cour de récré foutraque, certes, mais où le bac à sable contient de la connaissance, parfois.
Sacrée solitude, hein…. le Bray ?!
Mes chattes ont un bac qui contient souvent de la « connaissance » …. ça se nettoie sans peine, la connaissance fientée !
Et puis, pour Chaloux-Wgg, ça finit par faire vraiment penser à Etienne et Jules, de l’ineffable Riffard :
« Depuis lors, je stipule
Qu’on distingue avec peine
Le contenu d’un Jules
De celui d’un Etienne »
Vous ne voyez pas, Clopine, que vous vous déconsidérez en disant ce que vous dites dans votre commentaire. Vous trouver donc normal que ce cinglé me persécute depuis des années ? Seriez-vous de la même eau que lui ? Je le crains fort…
Hector, Obalk, vous avez des DVD où il explique des œuvres peintes. Feriez mieux de vous occuper de ça au lieu de faire la concierge.
Mais qui est Henriette Walter, Clopine ?
Je regarde sur le net et j’apprends qu’elle fut la plus proche collaboratrice du linguiste André Martinet et qu’elle a écrit La Mystérieuse histoire du nom des oiseaux !
Je combats l’imposture, pas le bibelot grassouillet qui l’éructe.
Melania Trump a offert à Michèle Obama sa pizza pour le déjeuner. Elle lui apportait encore toute chaude, c’est pour ça que Michèle ne savait plus où la poser, ça brûle, une pizza…
Le protectionisme prôné par Trump n’a aucun avenir. Ce pauvre Trump va buter très vite à la dure réalité du monde. Quatre ans de régression sévère qui ne vont en aucun cas humaniser le processus de mondialisation économique et politique inévitable.
« Feriez mieux de vous occuper de ça au lieu de faire la concierge. »
Ne te trompe pas d’ennemi(s), WGG ! Clopine et toi et TKT, jadis, êtes pareillement victimes de la même et unique personne qui, sous divers hétéronymes, vous a pris pour cible. Je est en jeu ici. Depuis pratiquement l’origine de ce blog. Une belle performance littéraire, soit dit en passant. Je n’en ai pas la preuve formelle, mais Passou doit savoir ? Il semble que D., Chaloux, Pablo75, JJJ, JC et tant d’autres soient des émanations, des variantes, d’un seul, pour lequel rose nous a indiqué une identité. Ainsi que de celle de sa compagne, moins prolixe mais tout aussi redoutable. rose ayant un temps convoité celui-ci et se l’étant fait soufflé par l’autre…
Quand je pense que Mme DHH (euheuhahaha) me reproche d’être « ordurier », ça me laisse tout de même rêveur. La Pravda…
Jibé, Hanriette Walter a écrit d’innombrables et précieux bouquins sur l’origine des mots, des langues, c’est une scientifique qui a remué le français dans tous les sens, celui d’ici, de là, de là-bas.
Elle possède la clé de la tour de Babel et, fait encore plus rare, en profite pour en laisser la porte grande ouverte.
Une Grande Dame pour moi. (il y en a peu).
.Henriette Walter ?? génialissime & lisible; bien meilleure que Martinet.Le savoir allié à un remarquable don d’écriture. Quant à Hector, c’était un pur délice de l’entendre commenter la place des seins ,chez la Grande Odalisque de Ingres, ou la longueur de la colonne vertébrale.
C’est bien possible, Jibé. Un fou de troll qui n’a de plaisir que de salir tout ce qu’il touche, faut être complètement cinglé pour passer son temps à haïr comme ça les gens qui ne lui ont rien fait. Une ordure en tout cas.
Jibé, je ne suis que moi-même. Et moi-même devrait déjà se trouver sur l’autostrade malgré mon peu de goût pour les routes d’hiver. (L’idée de DHH selon laquelle je serais aussi Pablo relève de la maison de retraite médicalisée).
A bientôt, nous poursuivrons ces intéressantes conversations dès mon retour.
Paul Auster est un des rares écrivains américains qui lisait et fréquentait André du Bouchet et qui l’a lu avec passion dès le début. Avec ses grands recueils publiés dans les années 60 au Mercure de France : Dans la chaleur vacante, Ou le soleil.
@Clopine 12h55. Je découvre à l’instant que vous avez une connaissance parfaite de l’oeuvre d’Henriette Walter.Disons que j’ai et ai lu les 6/10 ° de ce qu’elle a écrit. A vous le pompon ! et avouez qu’elle est bien plus intéressante que Finki…et même..Onfray !! mais on ne la voit ni ne l’entend sur les Médias. Cachottière avec ça!
Je suis assez d’accord avec Jibé, sur la personne (ou le couple…) qui hante ces lieux en s’amusant à le troller sous diverses identités (doivent établir des fiches ma parole).
On y passe tous, à tour de rôle, et ce doit être un sentiment fort plaisant, quoiqu’immoral, de tirer ainsi les ficelles et de voir les pantins devenir rouges, s’époumonner, tomber la chemise des convenances et rentrer dans l’arène, dévoilant ainsi leur parenté avec les anonymes attaquants.
Sau qu’à ce jeu-là, on se déconsidère, évidemment, dès qu’on emploie les mêmes armes qu’eux : la calomnie, l’insulte, l’allusion graveleuse, la chosification de l’autre, l’aveuglement sur la souffrance morale ou psychique qu’on peut ainsi engendrer, l’exaltation du sentiment de puissance dans l’umpunité…
A mon tour je me suis longtemps débattue. Je ne crois pas cependant être tombée dans l’ornière, à savoir m’être mise à ressembler à ces faux tigres de papiers, méprisables matous de gouttière crevée.
Inutile d’en appeler à leur raison, ou à leur compassion, ou à leur intelligence. IL ne s’agit pas de ça, mais bien, à mon sens, de compensation. Ce doivent être des individus qui se considèrent comme plus brillants que tous, et condamnés à l’obscurité. D’où leur nécessité de rabaisser autrui.
Et ce, petit plaisir suprême, cerise sur le gâteau de la méchanceté, en bousillant le lieu qui leur accorde refuge…
Soupir.
Prends soin de toi, Blabla, car j’ai bien l’intention de mener cette aventure à ton terme!
A bientôt…
JJJ 10h21
Daa phnée étant votre compagne-telle bérénice et la vie dans les bois, et D. étant vous même tel Pablo et Chaloux et et et etc. je n $ai lien aucun avec Daaphnée et ne tiens pas de blog.
Je ne pense ni l’un ni l’autre de pauvres types.
Constate que vous ne savez cesser. Votre harcèlement est suivi par une flopée d’injures en réponse.
Ce que vous semez ainsi est insupportable : autant que lorsque j’ai des embrouilles avec lvdlb/berenice/Daaphnée qui a ce point commun avec vous elle cherche la castagne.
Moi j’y réponds.
Je me demande si ce n’est pas votre moteur la.castagne.
Christiane 11h22, j’essayais justement d’estimer depuis combien de tps Pierre Assouline donnait ses chroniques RdL..plus de 15 ans un record! Je n’hiberne pas, ai été t occupée par ailleurs dans des domaines parfs proches et parfs éloignés, à battre diverses campagnes à réseaux plus ou moins capricieux.. Luis Bunuel disait « je ne crois pas qu’une vie puisse se confondre avec un travail ». Vrai aussi pour ns, qui émettons billet à destination de nos lecteurs ..Rentrée hier de Bologne où j’ai fait station qqjours ds un sas retour..capsule secouée ms elle n’a pas brûlé en entrant ds l’atmosphère.. N’ai pas cessé d’autre part de lire ici ou chez moi autant que faire se peut, de commenter si besoin.. Vous ai même envoyés voir le film israélien de Polonsky, Assayas, Axelle Ropert, « Ma vie de courgette », le Davy Chou& « Manchester by the sea », « The Fits » (mes trois autres chouchous avec « Lala Land » & Paterson que Passou avait magnifiquement chroniqué…).. le commentarium a joué le jeu, aussi, en suggérant des pistes qui étaient siennes. .Je reviens sous peu ds mes colonnes avec le beau film de Jenkins, bien à vs ts
Face à ça, WGG, il n’y a qu’une seule solution : dit ce que tu as à dire et ignore les commentaires malveillants. Moi, plutôt épargné, voire même complimenté par l’un, je suis régulièrement traité de fiotte par l’autre. Ce qui ne me fait aucun effet ! Le contraire lui ferait trop plaisir…
QUESTION :
« Sau qu’à ce jeu-là, on se déconsidère, évidemment, dès qu’on emploie les mêmes armes qu’eux : la calomnie, l’insulte, l’allusion graveleuse, la chosification de l’autre, l’aveuglement sur la souffrance morale ou psychique qu’on peut ainsi engendrer, l’exaltation du sentiment de puissance dans l’umpunité… »
REPONSE :
« Mais qu’elle est jonne !!!
@WGG 13h . André du Bouchet a écrit dans l’un des 1° numéros de « l’Ephémère »( Maeght) donc vers 1965, un article remarquable sur le peintre Hercules Seghers.
( je pourrais retrouver la date si cela vous intéresse)
Clopine
Je suis d’accord avec vous. Après avoir été épargnée assez longtemps et ai bien courbé l’échine pour cela, j’ai pris votre place dans la hargne de Daaphnée qui hait les femmes ce qu’elles lui renvoient d’elle etc.
Ai pas mal réfléchi : leur jouissance à tous les deux est double et perverse : faire sortir leurs interlocuteurs de leurs gonds et aussi faire jaillir au grand jour le pire de chacun.
Ils rigolent ensuite tous deux.
Ils ne sont cependant pas monstrueux.
« bien meilleure que Martinet »
Oui, mais Martinet, c’est un nom d’oiseau !
Oui, je le connais son article sur Hercules Seghers. Il a été publié dans l’un de ses recueils suivants. J’en parle d’ailleurs allusivement sur mon blog à l’article sur la poésie de Du Bouchet qui est l’article que j’avais publié dans la revue L’Ire des vents, d’Yves Peyré.
« le peintre Hercules Seghers »
Le père de Pierre Seghers ?
Widerganger VS Chaloux ce matin:oublié à quel point c’était gonflant.
Dit sur RDC qu’on apprécie le ménage fait par assouline sur les faux dieux Houellebecq et autres…
Par contre les contributeurs ça ne s ‘arrange pas.
Bien apparenté, mais lointainement !
» Hercule Seghers (vers 1589 – vers 1638). »
Plusieurs constatations:
– Toute cette « pelotera », comme on dit en espagnol, a été provoquée (comme toutes les antérieures) par Blabla Widergänger, avec son message:
« Widergänger dit: 18 janvier 2017 à 18 h 59 min
Ceux qui appellent au boycot de Polanski, ce sont tous les frustrés haineux du genre chaloux et Pablo75 sur ce blog. Ils haïssent l’intelligence, le talent, la bonne humeur. Ils ont un amour prononcé pour la haine. La vie la a humiliés, ils se vengent de leur médiocrité. Très classique. Dans un cas comme dans l’autre L’ANTISÉMITISME se cache derrière mais de plus en plus ouvertement maintenant dans notre pays. »
Sans ces lignes, il n’aurait pas eu de réaction de ma part.
– Son message:
« Widergänger dit: 20 janvier 2017 à 12 h 23 min:
Pablo75 dit: 20 janvier 2017 à 11 h 56 min
On n’a nullement besoin de toi pour la musique, espèce de sous-merdde ! »
a disparu du blog. Blabla Widergänger (qui a tendance à se prendre pour le propriétaire du blog et même parfois de la France entière) doit savoir pourquoi.
– Les propos orduriers et calomnieux de Blabla Widergänger contre Chaloux, grandissent ce dernier, qui est, comme tout le monde le sait ici, quelqu’un de sérieux, d’honnête, de cultivé, qui ne parle jamais de ce qu’il ne connaît pas et qui déteste le mensonge, la mythomanie et l’esbroufe – c’est-à-dire, le contraire parfait de Blabla Widergänger, qui est le Trump du blog (le premier est milliardaire en dollars, le deuxième en con.nerie).
– Les mémères qui défendent Blabla Widergänger oublient qu’il a insulté et provoqué ici tout le monde, comme je l’ai montré dans son extraordinaire « Poème des Dithyrambes ». Ce qui prouve de façon incontestable que c’est quelqu’un qui ne peut pas vivre sans insulter, sans provoquer et sans traiter tout le monde d’antisémite (bientôt je publierai son « Poème de l’Antisémitisme »). Ses supportrices devraient se poser la question de pourquoi il se comporte de la sorte et convenir avec moi qu’il a un grave problème de masochisme.
L’ouvrage de référence en matière d’histoire des mots, c’est l’ouvrage de Georges Gougenheim, Les Mots français dans l’histoire et dans la vie, en deux tomes. Je l’ai dans l’édition de 1983 et 1986 pour le tomes II. C’est le meilleur ouvrage qui soit. Indispensable pour passer les concours.
Clopine
Drôle pcq ce mot de.de considération me trotte ds la tête depuis plusieurs jours. Je les déconsidère au lieu de les estimer ce qui est triste.
Sur la bagarre, au contraire de vous, je trouve cela génial et jouissif parce que j’aime bcp la castagne ; mais comme cela n’est pas ds la direction ds laquelle je désire me diriger, alors je suis fourbue et pense gaspiller mon énergie dans ce combat là.
Pour moi, la castagne est concomitante de l’amour. Mais je crois avoir compris, gloria, que l’on peut vivre l’amour sans la castagne et cela a l’air éminemment chouette. Éminemment.
Donc, in fine, je suis insatisfaite. Préférerai élégance et courtoisie. Et fin de la castagne.
Parti sous la forme chaloux, il revient par la fenêtre sous la forme Pablo75… À coups de pieds dans le culte par la porte, à coups de poings dans la gueule maintenant par la fenêtre…
Il manque une autre constatation, qui résumait ma réponse à DHH d’hier, qui n’est pas passée, malgré plusieurs essais avec des changements de mots. C’est inexplicable, parce que le texte (au ton neutre) disparaît sans passer par la modération.
Cet Hercule-là est quasi abstrait !
http://riowang.blogspot.fr/2013/01/voyage-dhiver.html
déconsidération
Et Christiane a écrit
loin des tapisseries et des quenouilles.
Ne pas considérer le loin des c’est faire erreur interprétative sur ce qui est dit. Une de mes tasses de thé est la polyphonie énonciation. L’autre l’intertextualité. La troisième les figures de style. En exergue, la langue française. Son orthographe. Son évolution. Une autre l’harmonie & le tissage entre Bellas Artes y littérature.
C’est pour cela que je suis ici.
On ne peut que se réjouir de voir Pablo75 censuré de toute façon. Ces commentaires haineux fouutent une merdde du diable sur ce blog. On s’en passe très facilement. Et surtout qu’il me fouute la paix, cet autre gros con.
Oui, Jibé, c’est ce qui intéressait justement André du Bouchet.
Je crains, rose, que WGG aussi aime la castagne !
Faudra pas se plaindre…
Ah, Pablo, c’est un baume de te lire juste avant de partir, après tout ce caquetage : chapons, poulardes etc…
Je veux qu’on sache ce que l’on sait et qu’on se taise sur le reste. C’est ma morale. Elle en vaut d’autres.
(Il est vrai que j’ai toujours apprécié Jibé qui est une vraie nature.)
La fille à la voilette :
Compte tenu de ce que vous dites de vos goûts, vous devriez écouter le Répliques de ce matin. J’ai déjà oublié le troisième larron (outre Obalk et Finkielkraut), mais l’hypothèse olbakienne sur la création d’Adam à la Sixtine est, à mon sens, parfaitement jubilatoire, et vaut d’écouter tout le reste de l’émission.
De toute manière, eu égard au fait que ni l’un ni l’autre ne partira, que chacun se sent dans son bon droit, qu’il n’y a nul juge de paix, vous devriez les deux comprendre que nous, les autres bloggueurs, nous subissons vos lazzis : et cela est totalement insupportable.
Le truc, c’est que je ne crois ni Pablo75 ni Chaloux fous. Egarés par les trolls et sincèrement exaspérés, mais pas fous. Tandis que… (bon, allez, je n’en dis pas plus).
Jibé, je vous imagine frileusement parisien. Je connais votre passion pour cette ville (à mon sens, d’ailleurs, l’hommage constant que vous lui rendez ressemble à une reconnaissance éperdue. Que vous a donc donné cette ville, pour que vous en soyez à ce point devenu le serviteur ? Dire que (là comme ailleurs), je m’en suis sentie si parfaitement étrangère, repoussée dans l’incompréhension, perdue et abasourdie, que je la fuis le plus possible…) ; mais, pour bien apprécier l’hiver, le froid sec, le grand soleil gelé, il faut venir à la campagne, savez-vous ?
Rose, les questions qui sont derrière tout cela sont pourtant fondamentales. Que personne ne les détecte ici -ou presque, Pablo et un ou deux autres, comme Sergio- me semble plutôt préoccupant. Sur le fond de cette querelle, chacun devrait faire son examen de conscience, mais c’est un exercice pour âmes fortes.
polyphonie énonciative.
Et comme j’aime lire, une chance ici est de pouvoir parler de ce qui nous anime en mettant en // notre compréhension des choses. Je trouve cela tout à fait passionnant.
Par contre, que l’on fasse de grandes découvertes, c’est rarement le cas.
Je ne le sais pas Jibé pour autrui. La castagne. Je le sais bien pour moi. Il le dira peut-être.
La liberté m’est chérie.
Non, je n’aime pas particulièrement la castagne. Mais quand on me cherche on me trouve. Ces deux trouduculs n’ont que ce qu’ils méritent.
chaloux se prend pour une « âme forte » comme tous les cinglés qui croient tous être supérieurs comme le dit quelque part Baudelaire. Un sinistre minable antisémite en réalité qui se cache derrière de grands mots qui sont de grands maux.
Chaloux
Vous semblez hors de vous face à une problématique essentielle que vous définissez comme étant celle de l’imposture.
Nombre de fois, ai souligné votre désir de communiquer. Qui n’est pas partagé toujours. Beaucoup de soliloques ici. Avec Christian P. également vous communiquez très bien avant qu’il ne s’absente beaucoup.
Dans un débat d’idées ce qui compte c’est l’argumentation. Or tout est orienté sur « vous avez tort j’ai raison ». Il n’y a donc pas débat cotradictoire.
Ueda nous aurait désamorcé ça en deux phrases. Je pense souvent à lui. Impression d’avoir perdu un ami très cher.
Cette fois, -quel escargot- je suis parti…
Ah… moi j’adore la castagne. C’est mon côté napolitain. Et espagnol.
Crève, raclure de bidet !
Il ne part pas plus qu’il n’écrit de lettre recommandée, pas plus qu’il connaît la Sologne et pas plus qu’il ne connaît Proust ou Baudelaire, ce pauvre bougre ! Un crétin de blog.
Rose, je n’ai plus le temps de vous répondre. Franchement, je ne crois pas être un ogre. On s’est un peu frotté le museau un dimanche sur Balzac avec C.P., mais c’est quelqu’un que je respecte infiniment.
André du Bouchet a aussi écrit des pages très originales sur Baudelaire.
Depuis 48 heures, Blabla a fait très peu de copier-coller -sauf son couplet sur Delacroix qui ne peut pas être de lui-.
Quel style, hein!
Mais elle est encore là cette raclure de bidet ! Il nous colle aux basques décidément !
Clopine, définitivement un cas à part… dit: 21 janvier 2017 à 13 h 32 min
Le truc, c’est que je ne crois ni Pablo75 ni Chaloux fous. Egarés par les trolls et sincèrement exaspérés, mais pas fous. Tandis que… (bon, allez, je n’en dis pas plus).
Oui, clopine sur votre non-dit, c’est aussi mon avis.
Je suis parti !
avec C.P vous communiquiez aussi bien qu’avec christiane. Harmonieusement.
Je n’ai pas honte d’aimer la castagne. Je suis une battante. Je n’ai rien de doucereux. Je sors péniblement de dix ans de dépression sévère qui a fait suite au décès du père de mes enfants + rupture conjugale où mon compagnon a convolé sous d’autres cieux caribéens – ce qui en rien ne gâche mon amour profond pour les Caraïbes. + attaque physique d’un de mes élèves ayant subi outrés sexuels de la part de mon père. Je fais partie des premiers profs qui -oui- sont auréoles de couronnes d’épines. Ce qui ne m’empêche pas plus que pour les Caraïbes, de considérer que j’ai fait le plus beau métier du mode.
Tout ça pour dire que douceâtre et doucereux cela ne m’appartient pas. C’est une erreur interprétative sur qui je suis IRL.
Franchement, la considération pour autrui je trouve cela formidable.
rose dit: 21 janvier 2017 à 13 h 28 min
De toute manière …/… cela est totalement insupportable.
Mais pas du tout !!! Voila de la disputatio, et de la bonne. Que les kouilles molles aillent chez Popaul, l’antichambre de Morphée !
Au milieu d un combat naval à boulets rouges je signale la publication d un très élégant récit de voyage d Olivier rolin » baikal amour « livre de traversée de paysages russes larges qui permettent une belle grande respiration gogolienne.
Je trouve beaucoup de connaissances et de talent à notre Pessoa erdélien. J’ai totalement cru à ses personnages : l’espagnol Pablo, l’asiatique ueda, qu’il a fait mourir, le réac JC, qui a beaucoup d’humour à froid, le facétieux hamlet, etc., etc.
Mais que ne met-il tout cela dans un roman !
Peut-être préfère-t-il nous mettre en scène avec eux ?
Oui, j’aime Paris, Clopine, en toutes saisons. La campagne m’angoisse et la province m’ennuie…
Et si c’est de moi ! Comme tout ce que j’écris ici. Moi et toute la culture que je trimbale derrière moi et dont un malheureux chaloux ni un sbire comme Pablo75 n’ont pas la moindre idée. Et encore moins cette pauvre Clopine qui n’en peut mais et tout aussi mauvaise que les deux autres trouduculs.
Blabla : « toute la culture que je trimbale derrière moi »
Annulaire-index.
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Ah, marcher longuement dans la froidure parisienne puis se réfugier dans la chaleur d’un café, Clopine !
Oui Jibé il est très doué c’est pour cela que je l’aime bien (mon côté, las, coeur d’artichaut, un ce d’orchestre sur la place, un autre ailleurs d’une timidité rare, lui voletant sur d’immenses espaces). Suis toute contente que vous l’aimiez bien aussi. Et Christiane lui est acquise avec une persévérance terriblement impressionnante.
Nota : boulets rouges signifie chauffés à blanc ?
Moi aussi, je dois dire que j’étais un lecteur assidu de la vie du rail parce que ma grand-mère qui était veuve d’un chef de gare le recevait gratuitement chez elle chaque semaine. J’avais la passion des trains, des vrais comme des trains électriques de mon enfance. Je rêve d’ailleurs toujuors de pouvoir m’en construire un immense un jour dans un grenier d’une maison de campagne quelque part.
Quelles sont ces questions fondamentales Chaloux à 13h33 qui êtes parti ?
Widergänger
même passion que berguenzinc qui nous a dit avoir eu l’agreg par le biais de cette passion là.
Quelqu’un a de ses nouvelles ?
Moi aussi je suis une raide dingue des trains et des bateaux à voile.
Pour le paysage russe, rien ne sera plus poétique et plus beau que ceux filmés par Andreï Tarkovski qui, pour moi, est le plus grand réalisateur au monde, celui qui me parle au plus profond de mon âme.
Faut lui laisser le temps de se remettre de sa greffe du cœur. C’est quand même une grosse affaire.
@J.B. @ Clopine. Passionnant article sur Seghers, J.B. Le texte de Du bouchet (magnifiques illus) m’avait incitée à aller y voir de près.. Et nous sommes dans le droit fil du billet, en plus!
Clopine, je n’écoute jamais Répliques, je ne suis pas libre le samedi, et ensuite, il y a plein d’émissions à revoir ou à réécouter.
A vous deux et à ceux que cela intéresse, je conseille de voir, en replay,le film sur Jodorovsky, passé hier sur Ciné qq chose ( 63 sur Orange) . Extra. Le film de Pavich ( ? inconnu) retrace les pérégrinations de Jodorovsky pour choisir les partenaires -acteurs, techniciens- qui l’aideront à » mettre en scène », mettre en images et en mouvements » « Dune » le roman de F.Herbert. Il est aidé par Michel Seydoux ( qui a aimé « The holy mountain » du même Jodo..)Il choisit immédiatement Moebius qui est chargé du storyboard.Et qui accepte illico. Ensuite, qui pour les effets spéciaux, par ex ?? intéressant: il choisit d’abord l' »homme » de « 2001… » le rencontre et …le plante là CAR,dit-il ,il produisait des images, il n’était pas un créateur. On est en plein dans la réflexion de P.A. et de Baud. Il choisit donc Dan O4Bannon…
Impossible de raconter tout, tellement écouter Jodorovsky est passionnant, une vraie et simple réflexion sur l’art & le cinéma. Le recrutement de Dali est jouissif et celui d’O.Welles…..
Il ne reste plus qu’à tourner,tout est fin prêt,manque l’argent, 15 millions de dollars1973).Aucun producteur ne veut s’engager…
Michel Seydoux réalise un livre somptueux qui correspond au projet de Jodo. tiré à 10ex je crois. C’est ce qui reste du « film »..film qui sera réalisé par…vous savez qui…sous le titre « Dune » ..
Jodo (chilien) est cultivé -le mot dans son cas n’est pas galvaudé, et ce film est un remue-méninges et un régal par les images montrées.
**En 1973 ou74, j’étais jeune ! et j’avais vu « la montagne sacrée »( the holy mountain) plusieurs fois. Une expérience magnifique, jamais je n’avais vu cela!! J’aimais Pink Floyd (tjrs) et j’étais allée écouter Sun Ra, ça déménageait!
[ on dit que la montagne sacrée aurait été inspirée à Jodo. par le « mont analogue » de R.Daumal..pour moi, rien à voir.]
On peut encore regarder » l’Incal » de Moebius..
@ Jibé
» Il semble que D., Chaloux, Pablo75, JJJ, JC et tant d’autres soient des émanations, des variantes, d’un seul, pour lequel rose nous a indiqué une identité. Ainsi que de celle de sa compagne, moins prolixe mais tout aussi redoutable. rose »
« Je trouve beaucoup de connaissances et de talent à notre Pessoa erdélien. J’ai totalement cru à ses personnages : l’espagnol Pablo, l’asiatique ueda, qu’il a fait mourir, le réac JC, qui a beaucoup d’humour à froid, le facétieux hamlet, etc., etc. »
Tu délires ferme, Jibé, ce qui m’étonne de toi, d’habitude si modéré et raisonnable (tu es quel signe astrologique, d’ailleurs? Balance?).
@ tous ceux qui pensent la mème chose
Vous me décevez, je vous croyais plus futés, plus fins que ça. Heureusement que vous n’êtes pas policiers ou détectives. Ou éditeurs… parce que vous n’avez aucune oreille littéraire, vous ne reconnaissez pas les différents tons des différents intervenants ici, alors que il est plus que clair que D. ou Chaloux ou JJJ ou JC ont un ton reconnaissable entre mille.
élève ayant subi outrages sexuels de la part e son propre père, le salopard.
Bravo au correcteur automatique.
Jibé nous mettre en scène ou avoir un immense sens de l’égalité ? Écrire « lire permettrait de changer l’homme qui pourrait alors changer le monde ».
Mais ma tendresse va, c’est vrai, à « le sucre d’orge oui, le fouet non ».
Pauvre rose, suis-je.
@ Chaloux
« les questions qui sont derrière tout cela sont pourtant fondamentales. Que personne ne les détecte ici -ou presque, Pablo et un ou deux autres, comme Sergio- me semble plutôt préoccupant. »
C’est exactement ça. La question de l’indifférence face à l’imposture et le mensonge est très grave.
On peut adapter la terrible phrase de Martin Luther King (« Ce qui m’effraie, ce n’est pas l’oppression des méchants, c’est l’indifférence des bons. ») et dire que ce qui est grave n’est pas l’imposture des escrocs mais l’indifférence à l’escroquerie des gens honnêtes.
« Il semble que D., Chaloux, Pablo75, JJJ, JC et tant d’autres soient des émanations, des variantes, d’un seul, pour lequel rose nous a indiqué une identité. »
Absurde Jibé. Vous n’avez aucun sens de la variété d’écriture de tous ces gens. En outre, il faudrait passer 12 heures par jour sur le blog avec une concentration maximale pour remplir tous ces rôles…
« C’est inexplicable, parce que le texte (au ton neutre) disparaît sans passer par la modération. »
Ça arrive Pablo et c’est complètement imprévisible. Il faut systématiquement copier les textes un peu long pour éviter de les retaper…
Merci Widerganger. Cela veut dire que l’opération s’est bien passée.
Pour Tarkovski je vous suis.
Pour le talent créateur de x men (et cui de la bourse de Londres) c’est novateur. Cela sera suivi.
Merci, fille à la voilette.
Rose, vous vous dites « pauvre », mais cependant résiliente, isn’t ,
…
Bibi, la phrase qui m’a pas mal aidée n’est pas le trop fameux « ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort » (contredit par Pyrrhus, entre autres), mais la phrase mal foutue de Sarte : »l’important n’est pas ce qu’on vous a fait, mais ce que vous faites de ce qu’on vous a fait ».
Acceptez-la comme on dit « oui » à l’aspirine que vous propose la collègue compatissante !
Le problème serait d’être certain qu’on a fait le bon diagnostique et qu’on y apporte le bon remède. Quoi de neuf docteur?
@jibé dixit : « Il semble que D., Chaloux, Pablo75, JJJ, JC et tant d’autres soient des émanations, des variantes, d’un seul, pour lequel rose nous a indiqué une identité »
Ah bon ?… martine r., sans doute ?)
@13.05 « Daa phnée étant votre compagne-telle bérénice et la vie dans les bois, et D. étant vous même tel Pablo et Chaloux et et et etc. je n $ai lien aucun avec Daaphnée et ne tiens pas de blog ».
Et non, désolé, rose et jb. J’ai rien à voir avec tous ces gens-là (qui doivent bien se marrer dans leur coin), mais pas obligés de me croire, si ça vous arrange de vous faire des films : JJJ, c’est moi, Diagonal, revenu 7 ans après avoir disparu en 2006 ou 2007, point barre. Est-ce assez clair ? Je le redirai pas deux fois, mais vous pourrez toujours vous y référer. Tout le reste, c’est des complots dans des têtes un peu maladives. Et dafnaée, je sais pas qui c’est, donc c pas rose. Je sais pas qui f… sa merde ici, à vrai dire. En revanche, je veux bien croire que rose n’a pas de blog et a beaucoup souffert dans sa vie privée, comme tout le monde. J’espère sincèrement que ça va beaucoup mieux pour elle, maintenant. BJ à tousses.
En plus, ce sont deux vrais paranoïaques qui voient des mensonges et des impostures partout. Deux dingues authentiques, faut les mettre dans le formole pour les ausculter de près…
Clopine
Lorsque j’aurai acquis la capacité réelle de partager ma vie avec un homme je serai une vraie résiliente.
Suis en chemin. Sur ce chemin.
Avant hier, m’en suis sentie capable.
Mais, les mecs ont des chemins pas plus faciles que les nôtres et la trouille est égale.
Mais -et c’est la première fois, je ressens la possibilité d’une île.
@ Closer
« c’est complètement imprévisible. »
Ça c’est autre chose. Moi qui écris la plupart des textes sur un traitement de texte avant de les coller ici (pour éviter les pertes, justement) je parle du cas où plusieurs fois le même texte disparaît (et même le lendemain), alors que si on colle un autre texte il n’y a aucun problème.
Le récit de voyage d’Olivier Rolin m’a paru intéressant à lire pour les pages offertes gratuitement.
Mais après L’inventaire de Shabtaï, je lis maintenant Ce qui reste de nos vies de Zeuya Shalev.
Dux romans puissants, plus puissants que le Amos Oz, un peu trop convenu à mon goût.
Normal, Pablo75 s’est fait repérer pour sa virulence haineuse. Censure. Normal. On discute aimablement sans ces deux ostrogoths. Ils suffit qu’ils se pointent pour que cet espace virtuel devienne une scèned e guerre. CP avait bien pointé il y a quelque temps l’imbécilité parfaite de Pablo75 à propos de la peinture sur le blog de Popaul. On peut en dire autant su reste. C’est simplement un frustré qui veut se venger de sa médiocrité sur celui qu’il estime supérieur. Amour de la haine et haine de l’amour. C’est classique chez l’homme du ressentiment.
Trump a déjà commencé à gouverner par décrets, et à détruire l’édifice branlant de la démocratie américaine. Première mesure, entre autres : supprimer l’obamacare. A noter que le site officiel de la Maison Blanche prend des allures soviétiques, avec un texte de propagande à la gloire de la première Dame. Et on n’est certainement pas au bout de nos surprises…. jusqu’à la catastrophe finale.
J’ai toujours eu du mal avec Olivier Rolin, auteur à la mode. Je préfère ce qu’écrit son frère Jean Rolin, bien plus original et moins prévisible.
@ Blabla Widergänger
« On discute aimablement sans ces deux ostrogoths. Ils suffit qu’ils se pointent pour que cet espace virtuel devienne une scèned e guerre. »
Non, mon grand con.nard en plus de menteur compulsif et délirant pathologique. Après la dernière branlée que tu as prise ici il y a quelques semaines, tu avais disparu complétement quelques jours. Et le blog est devenu un havre de paix, un lieu de dialogue et d’échange d’informations culturelles, un endroit calme où personne s’est engueu.lé. Dès que tu es revenu, tu as ramené la mer.de avec toi.
Faisons un autre essai: disparaît 10 jours et analysons après les conséquences.
quand on se présente comme homme ,femme, trentenaire ou septuagénaire, professeur, journaliste, ce n’est pas un anonymat absou, si les éléments d’identité sont authentiques, alors qu’is peuvent être des fictions comme le pseudo:
diagnostic une enquête au canada a fzzit apparazître qu’un tiers des patients diagnostiqués comme asthmatiques n’avait pas d’asthme , et n’en a pas moins supporté des médicaments possiblement toxiques tandis que l’on est passé à côté de leur pathologie réelle
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/asthme-un-tiers-des-patients-diagnostiques-n-a-pas-la-maladie_109902#xtor=EPR-1-%5BSEAActu17h%5D-20170119
Pablo75 dit: 21 janvier 2017 à 14 h 12 min
plutôt préoccupant.
Pour moi c’est fort simple, on se trouve en présence d’une sorte de Rapetou, qui a fait son casuel de l’Holocauste, de la Shoah, précisément parce que c’est son vrai casuel, être directeur des camps, une sorte de personnage des Bienveillantes. Et cela bien sûr dans n’importe quel camp, sans jeu de mots, Juif, non Juif, Texan ou même Mahométan, qu’importe le flacon.
Après, le reste, cela peut se discuter, au moins c’est humain, etc. Mais pas le premièrement, dont au reste le reste, toujours sans jeu de mots, d&coule sûrement en bonne partie.
C’est donc une affaire fort sérieuse et non une brève, même longue, de blog. A cet égard je ne peux comprendre que MàC, à qui je repensais justement comme tout le monde, s’en soit entiché et affublé.
découle, Trommelfeuer !
anonymat absolu (etc pour les fautes de frappe)
Mon pauvre Pablo75, faut arrêter de prendre tes désirs pour la réalité. Sauf dans ton cerveau de malade mental, je n’ai jamais pris aucune branlée ici. Faut arrêter de te chyer dessus comme ça, tu fais pitié, comme Sergio, qui montre sa face rougaude d’alcoolique à moto. Tristes sires, autant de merddes patentées.
Heureuse de vous lire, Annelise. Je pensais que vous écriviez…
A bientôt sur votre blog, donc.
Pour ceux qui aiment cette émission hebdomadaire « Ça peut pas faire de mal », aujourd’hui à 18h10, Guillaume Gallienne lit Lettre à mon juge de Simenon. Les deux émissions précédentes où il lisait des œuvres d’Italo Calvino sont encore accessibles.
Pour ce livre d’Olivier Rolin, une question : ce livre a-t-il un rapport avec Le météorologue (Seuil- 2014) (Alexeï Féodossiévitch Vangengheim) et du voyage de 2010 aux îles Solovki ?
Mais parce que Màc, contrairement à toi, mon pauvre kouillon, il me connaît ! Ça change tout. Toi, mon brave con de Sergio, tu vis dans tes fantasmes, tes ruminations de trouducul. Aère ta chambre, tu verras mieux le cuul du monde…
Widergänger dit: 21 janvier 2017 à 14 h 07 min
mais lui et bouguereau sont une seule et même personne
quant aux pseudos de ueda et cie, le plus marrant c’est D ( jc n’est pas du tout marrant, il rame à reculons sur du sable )
Annelise va revenir?; çassé dlbonne niouse!!:;
Dlpaorte 14.56 chui comtoi;.jprefer dloin le brozeur ké pavanté par popaul;
sur ltwit Polauster, 900 pages?; prolix ,le gus.Djà qu’il avait raconté danzungropavé comment léssou dpapa lui avaient permis dcontinuer ;cébo ,cteu transmission..; ‘Le diable par la queue’.;s’il aime ça ,padraison dlpriver;christine leboeuf l’avé bienfé léchoses .;perso fisikment jprefer Siri;;fisikment only. Sa prose est patérrib.?.;ché actes sud?..;
étudiant sérieux est un génie. Il a tout compris ! Bravo. Et il est sérieux, on ne rit pas.
Widergänger dit: 21 janvier 2017 à 13 h 50 min
Et si c’est de moi ! Comme tout ce que j’écris ici. Moi et toute la culture que je trimbale derrière moi et dont un malheureux chaloux ni un sbire comme Pablo75 n’ont pas la moindre idée. Et encore moins cette pauvre Clopine qui n’en peut mais et tout aussi mauvaise que les deux autres trouduculs.
ML c’est le savoir universel mais grossier et vulgaire: ML est à la culture ce que Trump est à la politique
christy 15.12,sur facebook ,dapréfotos ,ali l’avé plusse l’air dvoyager?..surtout pour la bonnecose;? ;mai chui pa danlsecré dédieu malereuzment;lmystère resstantié .
Ça a un rapport avec sa passion pour la Russie, christiane. Ses voyages sont émaillés de réflexions politiques qui trahissent à la fois son origine sociale et l’époque où il est née. Ses rêves de jeune homme, par exemple de concilier le travail manuel et intellectuel, je ne les ai jamais eu parce que moi je savais ce qu’est le travail manuel par mon père (qui était ouvrier) et ma mère (qui était couturière). Ma hantise quand je suis entré en classe de 6ème au collège, en 1966, c’était de ne surtout pas finir ouvrier en usine comme mon père. J’en perdais même mes cheveux, je pelais, ma mère a dû aller voir un médecin à cause de ça. Mais j’étais premier de la classe ! Olivier Rolin, lui, n’a jamais connu cette trouille-là ! C’est un grand naïf, mais sa naïveté est intéressante. Comme ce qu’il dit sur les gens qui se plaignent aujourd’hui des bienfaits du communisme d’hier sans pour autant être communistes ni l’avoir été. C’est pareil dans l’ex RDA. On leur permettait de supporter l’enfer à coups de mesure sociale pour les endormir. J’ai une amie qui était prof dans l’ex-RDA et qui prétend encore aujourd’hui ne s’être aperçu de rien durant le communisme. La politique du suppositoire à être aveugle et indifférent au voisin et à oublier ça a marché durant toutes ces années.
gazole, lui, il carbure au diesel, c’est poussif… Mets un tigre dans ton moteur ou tu vas geler par les temps qui courent…
Diagnostique number one, Wgg souffre d’un complexe d’infériorité.
Delaporte dit: 21 janvier 2017 à 14 h 48 min
Et il fonce tête baissée pour les énergies polluantes – gaz de sh …etc. (Il a une famille à nourrir, le pauvre)
Nicolas devrait faire psychologue. Il a un grand avenir auprès des singes.
Forcément que la libéralisation du marché a fichu par terre toute l’économie sclérosée dans les pays communistes. Le niveau de vie des gens et les aides sociales s’en sont forcément ressenties. Les gens n’aiment pas la liberté. Il aime la servitude volontaire, comme l’explique La Boétie, le monde ne change guère moralement. La passion de l’esclavage réduit l’humanité à l’absurdité du monde d’aujourd’hui. Les gens haïssent leur libérateur, et ils ne savent que faire de leur liberté tellement ils sont peu mûrs pour elle.
On va voir ce dimanche si Benoît Hamon remporte la mise. Ce serait un mince espoir d’éviter cette horreur de Macron. Mais je crains fort qu’on ne soit macronisés en mai.
Bande Annonce Dr Folamour vostfr 1964
https://www.youtube.com/watch?v=UvAd_dwKRwk
15 h 46 min
les journalistes adorent emmanuel m et répètent que le ps est cuit
« Embaucher américain », « acheter américain » (Trump), c’est marrant comme programme parce que c’est exactement le même programme que celui de Georges Marchais et du PCF de 1980, rapporté par Zemmour dans… Le suicide français… Là c’est le suicide américain… Les USA courent à la catastrophe à à la guerre civile quand les Américains qui ont voté pour Trump vont se rendre compte qu’ils ont été une nouvelle fois complètement floués. Partout déjà dans le monde on manifeste contre Trump. Qu’est-ce que ça va être dans un an ?!
– Les propos orduriers et calomnieux de Blabla Widergänger contre Chaloux, grandissent ce dernier, qui est, comme tout le monde le sait ici, quelqu’un de sérieux, d’honnête, de cultivé, qui ne parle jamais de ce qu’il ne connaît pas et qui déteste le mensonge
Pablo qui de la poule ou de l’œuf, pour le reste entre hommes je peux comprendre cette franche fraternité cependant certaines qualités concédées ne regardent que l’intellectualité et en ne pensant qu’à la sortir pour faire beau puis la ranger dans les rangs d’une bibliothèque. Le fric le cul, Pablo, les deux valeurs de l’action.
Diagnostique number two, Wgg est incapable de rire de lui (cf diagnostique number one)
Wgg se rit de Nicolas, et ça occupê tout son cerveau. C’est dire, car comme chacun a pu s’en rendre compte ici, Wgg a un très gros cerveau !
lvdlb/berenice/Daaphnée: Rose duo daaphnée lvdlb ajoutez la fille à la voilette, mais bérénice même si prétendument téléguidée et simple gadget corvéable et monnayable non, vous faites erreur. Les blogs ont cette particularité qu’ils entretiennent une certaine paranoïa ou déclenche un mécanisme interprétatif, on voit le même sous tous les pseudos, à chacun son délire pourvu qu’il ne soit pas hargneux et retenu par un certain respect de l’interlocuteur, je ne vous ai jamais agressée.
bérénice a un humour très fin.
« JJJ, c’est moi, Diagonal, revenu 7 ans après avoir disparu en 2006 ou 2007, point barre. Est-ce assez clair ? »
Pas vraiment. Veuillez présenter vos papiers, svp !
Toi aussi Emmanuel, tes papiers, svp !
Courbet c’est le jaune des photos avant la lettre… Mais ça rend bien, hein ! On pourrait penser qu’il a une énorme lessiveuse de jaune, et puis il le teinte à la demande…
Sergio, lui, c’est notre nouveau marchand de couleurs…
Bon, je vais faire ma sieste, mes pauvres chéris. Vous me déprimez…
« Tu délires ferme, Jibé, ce qui m’étonne de toi, d’habitude si modéré et raisonnable (tu es quel signe astrologique, d’ailleurs? Balance?). »
Non, je suis verseau ascendant verseau, Pablo. La meilleure façon de me faire cesser de délirer est de nous rencontrer autour d’un verre. Je peux me déplacer. Où, quand, quelle heure ?
Dans une société médiatique où la vanne est la reine, où la méchanceté au quotidien fait recette, ils
i y a quelques jours sur
http://www.huffingtonpost.fr/karine-berthelot-guiet/instagram-cotillard-canet/
« Absurde Jibé. Vous n’avez aucun sens de la variété d’écriture de tous ces gens. En outre, il faudrait passer 12 heures par jour sur le blog avec une concentration maximale pour remplir tous ces rôles… »
C’est ça justement qui est génial, closer !
Au commencement était le mensonge !
http://www.huffingtonpost.fr/2017/01/20/yavait-il-vraiment-moins-de-monde-pour-donald-trump-que-pour-ba/
Ben oui Jibé génial.
« la « glorification des images » était son unique et primitive passion. »
Aujourd’hui, Baudelaire serait critique ciné ?
De même qu’en cherchant bien parmi la population masculine on trouverait quelques khons de belle taille, on en trouve parmi l’honorable population féminine, des thons idiotes !
Un exemple ?…. mais… avec joie !
Une bande de khônasses manifeste aujourd’hui contre TRUMP partout dans le monde, pour ses PROPOS critiquables … Oui, pour ses propos !
Croyez vous qu’il se trouverait une telle bande de ces tartes féminines pour manifester contre les ACTES des islamistes anti-égalité des hommes et des femmes, qui eux écrasent les femmes partout où ils sévissent !!!
Que Nenni, elles ont du jugement les khonnes !
SCOOP
JJJ est un algorithme, non testé…
JC, attendons une année, nous aurons ce temps pour savoir un peu plus au delà du propos ce que vaut sa politique, en évaluer les effets, il y a eu en outre des tas de manif qui ont exprimé la désapprobation d’une partie de l’électorat choqué par son avènement et pas que des femmes, les mexicains les blacks sont aussi des cons si on suit votre pente, les écolo idem. Personne ne sait hormis son esprit d’entreprise rien de lui et de ce qu’il va mettre en place, il inquiète .
Béré,
Il n’y a aucune raison de s’inquiéter pour nos chers amis/ennemis américains, au contraire, toute âme de raison invite à se réjouir !
RE SCOOP
Passou,
après avoir défendu la grandeur de Baudemou contre les rictus de Houlemec, est tragiquement dépressif : on lui demande de comparer les 8 ans de Hussein Omama aux 5 ans de la Rhollande franzouèze.
Dépression de notre taulier ….
Envoyez vos fleurs à l’adresse suivante :
Messire Passou, Pavillon des Critiques, Hôpital américain de Neuilly/Verge.
Le complexe de WGG (wagon gabarit gringalet qui voudrait devenir locomotive)
Ce complexe est fréquent mais nous étudierons ici celui de ML, car la matière est particulièrement fournie. Le problème de ML c’est qu’il veut devenir grand et qu’il n’y est pas encore arrivé, il a une haute conscience de sa valeur mais il craint que les autres n’en aient pas autant conscience donc il vous assomme avec ses « premier de classe », ses diplômes etc… alors que ce ne sont pas les diplômes qui aident à avoir de bons rapports avec les autres. Il vous inonde de ses commentaires comme si sa valeur se payait à la ligne. Il est si peu sûr de lui qu’il ne supporte pas les critiques et qu’il se met à aboyer. C’est le complexe du petit chien, comme il n’a pas la bonne taille, il essaie d’aboyer plus fort que les autres. Malheureusement cela ne s’arrange pas avec le temps, depuis qu’il sévit sur les blogs, ici et ailleurs. Mais il faut dire qu’ici il s’ébroue d’autant plus vivement qu’il a trouvé des répondants.
Chers amis, soyez compatissants, ne répondez plus à ses provocations sinon il ne pourra jamais grandir.
JC , à priori, je ne partage pas votre avis .
Pablo vous êtes tellement bien placé pour écrire ces mots à 14 h 12 que j’en viens à douter. Êtes vous en toute conscience ?
Je lis ceci chez un auteur bien vivant (p. 599). « La philosophie de l’histoire est vieille comme la philosophie. J’ai consacré une partie de mon doctorat de 3e cycle à Spengler. Mais le Déclin de l’Occident est trop mécaniste pour moi, bien que son vitalisme me convienne : une force athée fait l’Histoire, c’est évident, et elle est pour moi initiée bien avant l’homme (en l’occurrence par l’effondrement d’une étoile…), mais elle ne fait jamais l’histoire selon un canevas qui se répèterait scrupuleusement dans toutes les civilisations. En gros, tout vie, de l’étoile à la civilisation, en passant par l’homme, suppose naissance, être, croissance, puissance, acmé, dégénérescence, sénescence, déliquescence, décadence et mort, mais pas dans le de détail ».
Je tombe là-dessus, le même jour, chez un autre être vivant, 20 janvier 2017 à 12 h 27 min « Onfray est dans la lignée du livre de Pierre Chaunu paru en 1981, La Décadence, Perrin. Et du bouquin d’Oswald Spengler Le Déclin de l’Occident, paru après la Grande Guerre. L’idée de déclin fait son apparition à la fin du XIXè siècle, chez Rimbaud, chez Verlaine qui lui consacre même un poème cité par Pierre Chaunu ».
La question pour moi n’est pas de savoir qui a « raison ». La question est de savoir comment, mieux que le 1er qui est censé savoir de quoi il cause, le 2e a raison de penser ce qu’il pense du 1er et comment il te le vend. Sans autre commentaire, on voudrait pas s’acharner, ni plomber la soirée.
Vient de me procurer Poésie de Velbecq, putain c’est lourdingue, j’suis dég, qu’est c’qu’il faut pas faire pour la poesie.
Rose, Pablo est un grand bavard cependant il devrait adoucir sa texture pour ne pas nuire à sa propre intelligence, c’est sûrement quelqu’un qui utilise les cordes pour faire entendre sa sensibilité, les mots écrits lui vont moins bien.
En gros, tout vie, de l’étoile à la civilisation, en passant par l’homme, suppose naissance, être, croissance, puissance, acmé, dégénérescence, sénescence, déliquescence, décadence et mort,
JJJ, c’est que Michel Onfray déclarait l’autre soir, le détail en moins; de qui est cette page 599?
Dépression de notre taulier ….
un vieux truc pour relancer les tournées de la maison gras pasqua..t’es refait
On ne peut commencer un poème sans une parcelle d’erreur sur soi et sur le monde, sans une paille d’innocence aux premiers mots. Char
J’ai trouvé page 176 https://www.erudit.org/culture/liberte1026896/liberte1456461/60316ac.pdf
l’onfray c’est le donald de la philo..qu’il tue un parlestinien a main nu et il devient copain havec dracul..
le 2e a raison de penser ce qu’il pense du 1er et comment il te le vend
c’est onfray qui fait son pasqua en dépression..dracul drague la patronne qu’est raccord..il paye une tournée..vdqs
Sergio, lui, c’est notre nouveau marchand de couleurs…
une yam et un vélo électrique..les gonzesses hésitent pas longtemps
Au commencement était le mensonge !
yavé y rsembe plus a trump qu’obama..y’a pas photo baroz..dailleurs chte rappelle que moïse était patron dla nra
Bouguereau, jeune il n’avait besoin que de lui, cela suffisait, un charme fou et discret.
Il aurait de quoi être dépressif, Passou.
Bilan, provisoire, d’un président normal : ça commence par un ministre du budget, avec des comptes en Suisse, où il blanchissait l’argent des laboratoires pharmaceutiques et finit avec une ministre de l’éducation nationale, qui sème les fautes d’orthographe, et une ministre de la culture, qui l’accompagne sur l’enregistrement d’une émission de Michel Drucker !
Pour moi c’est fort simple, on se trouve en présence d’une sorte de Rapetou, qui a fait son casuel de l’Holocauste, de la Shoah
dracul a fait pablo cocu..c’est un fait certain..y’a pas d’fumée sans feu au cul
18h50 JJJ, excusez-moi mais je n’avais pas saisi, c’est Onfray, il ne copie pas mais est-il influencé, il arrive que les cheminements recoupent d’autres qui les ont précédés, l’idée n’est donc pas nouvelle et les circonstances y prêtent.
« dracul a fait pablo cocu »
Avec bérénice, le boug ?
Bouguereau, ne donnez pas dans le mauvais genre, on ne rigole pas avec la Shoah et vos histoires de feu et de fumée sont assez mal venues.
je lis je lis..jle crois pas..mon larbin et pablo en escadron 4 par 4 armé jusqu’au dent prétabondir..mon larbin menaçant..de lettres de coups d’fil..hencore le foireux..j’ai du me frotter les noeils..sale cleps
Jibé, c’est faux! il prêche le faux pour savoir le vrai, ces histoires ne se sont chronologiquement pas enchevêtrées, la femme ne naît pas infidèle, elle le devient.
vos histoires de feu et de fumée sont assez mal venues
tu sais cqu’il a dit au juge bodler..quelquechose comme ‘que vos allusion syphilitiques vous reste sur la conscience’..au sujet du spline..ha le spline..t’as dla chance ça se soigne aujourdhui béré
Avec bérénice, le boug ?
..béré était déjà plombée..sic transit
« la femme ne naît pas infidèle, elle le devient. »
Et chez l’homme, bérénice, l’essence précède l’existence ou pas ?
Aujourd’hui, Baudelaire serait critique ciné ?
certainement ! sinon quoi d’autre pour être la star des cours de récré..
Pas de bol pour CB, il a été atteint très jeune ce qui d’ailleurs a vraisemblablement modifié sa perception, sa sensibilité. Le sida remplace mais comme car glass, on répare, on contient il y a cependant de rares résistances aux traitements, du moins en existaient, je ne sais pas trop ce qu’il advient des personnes traitées actuellement. Dans ce domaine j’ai rencontré une fois un jeune homme sympa qui attendait que les labos trouvent une nouvelle molécule, il était sur le fil d’une impasse thérapeutique et cela devenait urgent, année 95/98.
Jibé je ne peux pas afficher de thèse ou de synthèse mais ne pourrait on pas voir que l’existence révèle l’essence, que l’une sans l’autre ne pourrait fonctionner.
Sur les murs nulle abomination artistique. Relativement au rêve pur, à l’impression non analysée, l’art défini, l’art positif est un blasphème
JJJ – 18h13
Eh bien, vos deux « vivants » ne sont pas gais ! Prévoir est-il un acte de connaissance ? On connaît ce qui a été (et encore…) ou ce qui est (si on a de bonnes lunettes), mais non ce qui sera, inconnu, inconnaissable.
Bien sûr les Cassandre et les oracles teinteront l’avenir d’espérance ou de désespérance. Déclin ? pourrissement ? ou surprise imprévue, imprévisible. Tout dépend des pions avec lesquels on joue, selon que l’on choisisse les blancs ou les noirs. Les théories mécanistes de la philosophie de l’Histoire manquent de hasard, de désordre, jouent trop sur la répétition.
L’esclavage n’a-t-il pas été aboli ? n’a-on pas vu se consolider la protection de l’enfance, des femmes, des réfugiés, et la lutte contre la misère, les maladies ? Oui, bien sûr pour chacun de ces exemples, des contre-exemples !
JJJ,
après Houellebecq et Onfray, j’ai envie de soleil, de rires, de chants d’enfants, de liberté, de création, de solidarité, de révolte.
Vous souvenez-vous du final de ce beau western « Le train sifflera trois fois » ? du regard triste de Kane (Gary Cooper) qui sait, abandonné de tous, qu’il va mourir seul et de ces deux anges qui viennent à sa rencontre et qui font mentir la chanson « Si toi aussi tu m’abandonnes, il ne me restera plus personne » ? d’abord l’enfant qui n’a pas peur de la mort, venu dont ne sait où, puis sa femme qui elle a moins peur de la mort que de la mort de celui qu’elle aime. Et le train siffle trois fois…
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