Biographie avec fourchette et bazooka
Rien n’est précisé sous le titre très bianciottien du nouveau livre d’Alix de Saint-André Garde tes larmes pour plus tard (287 pages, 20 euros, Gallimard). Aucun genre. Ni bon ni mauvais. Disons genre libre. C’est ce qui convient le mieux à cette biographie de Françoise Giroud qui a le mérite de renouveler le genre endormi en lui filant un bon coup de pied au cul. Ce qui est tout à fait le genre de l’auteur. Christine Ockrent et Laure Adler étaient déjà passées par là, donnant chacune leur « Françoise ». En repassant par là, la nouvelle venue s’y prend tout autrement. L’auteur… On connaît déjà ses passions par ses précédents livres : sa nanie, Malraux, les cimetières, les églises, les chemins de Compostelle… Imaginez Calamity Jane avec croix pectorale bien en vue, la curiosité faite femme, une fourchette à planter les fâcheuses dans la main gauche, un bazooka sur l’épaule droite. Dans ses bons jours, elle relève une faute de français chez Baudelaire : ès, contraction de l’ancien français « en les », employé improprement au singulier ; mais quand elle est d’humeur… Elle commence par dégommer ses deux prédécesseurs pour leurs oublis, erreurs, ratages, mensonges, ce qui ne se fait pas tant cela passe pour inélégant, mais c’est ce qui l’excite précisément. Puis elle choisit un parti pris et s’y tient de bout en bout : une enquête, une vraie, mais à la première personne, assez proche du journalisme gonzo dans sa facture, qui ne se refuse rien, mette le pied dans toutes les portes avant même qu’elles ne se referment, insiste lourdement au besoin pour arracher des informations, raconte les dessous des coulisses, les apartés, et par-dessus tout la volonté d’embarquer le lecteur dans ladite enquête en ne lui épargnant aucun détail, aucune surprise, aucun remords, aucun déboire. Autant dire que le voyage est agité car c’est écrit au pas de charge, d’un ton familier, grande gueule et formidablement entraînant.
Françoise Giroud (Lausanne, 1916- paris, 2003), on connaît déjà. Journaliste étincelante, mémorialiste aiguë, portraitiste hors pair, romancière anodine, biographe médiocre, dans cet ordre. Sur le plan professionnel, une force de travail sans égal, un instinct remarquable, une ambition à déplacer les montagnes, une volonté d’en découdre avec la société depuis l’âge de 16 ans où elle commença à travailler pour elle et pour les siens. Sur le plan humain, égoïste, dépressive, suicidaire, mère nulle et grand-mère itou, une certaine méchanceté, un sourire mécanique. Sur le plan moral, une laïque plus laïque que laïque, au point qu’on la présente comme championne olympique d’athéisme. Mais quelle journaliste ! Voilà le tableau.
Toute l’affaire ici contée tourne autour de deux axes : les lettres anonymes antisémites envoyées par Françoise Giroud quand Jean-Jacques Servan-Schreiber, l’amour de sa vie et patron de leur Express, lui annonça son mariage avec une autre ; et la haine de soi. Ce qui, à la réflexion, ne fait qu’un. Car Giroud née Gourdji, d’origine juive turque, pratiqua tout au long de sa vie un déni quasi pathologique de son identité, avec une constance dans la dissimulation de sa judéité, et parfois la revendication de son baptême, qui ne pouvait provoquer qu’un retour du refoulé (un petit-fils rabbin orthodoxe). Le coup de grâce, ce sont encore les Mémoires de JJSS, dans lesquelles le kennedillon ne consacre que quelques paragraphes à celle qu’il appelle délicatement « la femelle de jungle ». Mais là n’est pas l’essentiel : Saint-André a eu l’intuition qu’il fallait creuser ses secrets de famille pour saisir son modèle dans toute sa vraie complexité. Françoise Giroud le méritait, elle qui, par son féminisme, avait libéré une parole et permis à nombre de femmes de s’incarner dans son personnage.
Caroline Eliacheff, pédo-psychiatre et fille de son héroïne, très présente dans le récit, l’accompagne souvent plus qu’elle ne la suit ; si nécessaire, elle lui ouvre des portes, fournit des contacts, procure des sésames ; cela vaut d’être souligné car il est rare qu’un ayant-droit joue le jeu à ce point au risque d’être désagréablement surpris par le résultat. Ce qui ne doit pas être le cas. D’autant que la tête chercheuse a déniché aux archives de l’Imec (Institut Mémoires de l’édition), dans le fonds Giroud naturellement, un inédit du tonnerre Histoire d’une femme libre, manuscrit autobiographique inachevé daté de son suicide raté à la suite de sa rupture avec JJSS et de son renvoi de l’Express (1960) ; non seulement Alix de Saint-André y puise et le cite, mais l’ayant exhumé, elle l’a fait publier ces jours-ci chez Gallimard où il fait un tabac. Plus intéressant sur un plan documentaire que littéraire. Extraits :
« Je suis une femme libre. J’ai été, donc je sais être une femme heureuse. Qu’y a-t-il de plus rare au monde ? Cela est dit sans orgueil, mais avec gratitude à l’égard de ceux qui m’ont aidée à me construire ainsi. Car, pour la liberté, j’avais des aptitudes, mais peu de dons pour le bonheur (…) Choisir sa mort, l’heure et la forme de sa mort, c’est cependant l’expression la plus pure de la liberté. Elle m’a été interdite (…) Le jour de ma naissance, mon père m’a jetée par terre. Il voulait un fils. Il est mort à quarante ans sans que je garde de lui le moindre souvenir. Je vais parler de lui en disant : Mon Père. Mais pas Papa, ce mot-là n’a jamais été dans mon vocabulaire. Je suis là, ma bonne vieille blessure au flanc».
Et plus tard, dans une lettre à son petit-fils :
« Le passé m’ennuie. D’ailleurs, je n’en ai pas. Je l’abolis au fur et à mesure que la vie avance. C’est moi l’auteur de ma vie, tu comprends ? »
Ce journal d’une enquête est foutraque, déjanté, digressif et d’un charme fou, à l’image de l’auteur. Saint-André n’est pas biographiquement correcte et c’est tant mieux. A l’unisson avec son héroïne, elle est de celles qui pleurent rarement car dans leurs familles, on les a toujours enjointes de garder leurs larmes pour plus tard. Elle piétine les codes pour mieux les réinventer. Ce genre qui s’essouffle y trouvera peut-être un second souffle. A la suivre dans les tunnels imposés par son obsession généalogique, on se dit que l’enquêtrice est un peu frappée, avant de se reprendre car le fantôme de la Marguerite, posant sa main baguée sur notre épaule, nous souffle à l’oreille que non, mon petit, pas folle, juste sublime, forcément.
(« Françoise Giroud, avec JJSS et François Mauriac au marbre de L’Express en 1954 », photo L’Express ; Dessin Todd Saint-John)
768 Réponses pour Biographie avec fourchette et bazooka
Vous vous méprenez, JC. Je suis entourée de gays séraphins unis par les liens du mariage.
l’homo ortodoxe…
Orthodoxe grec, exclusivement.
Et ne me traitez pas d’homophobe : l’homosexualité doit rester un vice caché. Franchement … vous jetteriez du riz à deux tordus en habit, ou deux mémères, sortant de la Mairie annexe et s’embrassant sur la bouche façon Honecker/Brejnev ?
C’est malsain, tout ça ! Malsain…
Enfin ! le mariage civil ce n’est qu’un acte notarial passé devant le Maire : dans les fait c’est une union civile même pour les hétéros. Ceux qui veulent plus (par nostalgie, pour ne pas choquer la tantine, pour le plaisir du folklore, par croyance) peuvent passer à l’église tout de suite après, n’est ce pas.
ce n’est pas parce qu’on ne dit pas quelque chose qu’on le cache: il arrie qu’on ne le sache pas , et que ce soit cette ignorance qu’on veuille cacher, parce que l’on considère qu’il y a des questions sur lesquelles il est préférable de ne pas entraver tout avenir par des inventions ou imaginations de l’instant du genre avoir sauté enfant sur les genoux de la begum qui était l’ amix de la famille
agapantier dit: 7 février 2013 à 11 h 17 min
avoir sauté enfant
N’exagérez pas tout de même, HR.
il arrive !
Si le post de blog est un nouveau genre , il n’est peut-être pas plus libre que les autres
C’est malsain, tout ça ! Malsain…(JC)
Je dirai même plus : ça devrait être puni par la loi. Barozzi devrait être en état d’arrestation.
ah mince, je ne connaissais pas cette histoire, merci Alix de Saint-André. jusqu’à vous, j’avais toujours cru que madame Giroud était la fille cachée de Georges Ivanovitch Gurdjieff et de Katherine Mansfield.
Oui, c’est très juste ! Il faut arrêter Barozzi… Arrête Barozzi ! Arrête avant qu’il ne soit trop tard ! Pense à ton âme…
l’homosexualité doit rester un vice caché
Non, JC, il faut les démasquer ! Etaler ça au grand jour. Aller les chercher jusque dans les chiottes, comme dit Poutine. Monsieur Philippe Régniez proposait d’arroser de napalm la gay pride, c’est une solution à envisager.
Heureusement qu’il y a encore des gens comme vous, JC. Si on laisse les gens faire l’amour comme ils veulent, la moisissure terminale nous guette.
la fille cachée de Georges Ivanovitch Gurdjieff et de Katherine Mansfield.
Quoi ?! Vous voulez dire conçue en dehors des liens du mariage ? Pourvu que JC ne lise pas ça.
« Et ne me traitez pas d’homophobe : l’homosexualité doit rester un vice caché »
JC
Personne ne vous traite JC, certains constatent c’est tout.
Pouvez-vous nous faire une liste (courte si possible) des vices qui vous semblent affichables ?
Non ! Historien ! Non… !
Il faut conserver la possibilité d’exercer ces amours vicelardes, en secret.
(vous ne seriez pas légèrement fasciste, dites donc !?)
Pour le napalm, je suis d’accord avec Philou : pas d’ostentation ! Vlan, sur les gay pride ! et les prières de rue, s’il reste du napalm…
vices qui vous semblent affichables ?
L’alcoolisme. C’est à peu près le seul.
J’ai lu comme vous la discussion d’hier, Renato.
Un point de vue étayé, art public ou art privé?, avec des citations à l’appui(on pourrait y ajouter le constat de Monsieur Kaepplin, le « vrai » ministre de l’art en France qui constate et énonce lui même ce constat de « glaciation artistique » en France depuis 30 ans, tous pouvoirs confondus.( Désormais il est chez Maeght)et une accusation de réactionnaire de la part de l’autre partie, sans arguments précis.
Il semble que aimer l’art contemporain dans sa diversités et ses multiples découvertes était aussi du côté de a.prive ou a.public?
Et le mariage perdant des institutions publiques dans cette histoire, comme vous même nous l’avez montré excellemment par votre lien pour ce qui concerne le patrimoine du livre.
Je crois que les préjugés sont autant, sinon plus dans le camp de la comtemporéanité à tout va que dans le constat d’une modernité bien tempérée.
Un lien d’actualité sur ce thème :
http://www.laviedesidees.fr/Les-temps-desaccordes-de-la.html
Bien à vous.
même fardée à l’autodérision et la bonhomie, la connerie reste la connerie.
Moi qui vous croyais pédé, JC, les bras m’en tombent.
Moi qui vous croyais pédé, JC
en secret seulement.
Oie blanche, moi qui vous croyait blonde !
Blonde je suis, blonde je reste pour quelques années encore, j’espère.
ous pouvez dîner de votre soap -au -riz- fixette sans moi
Mais vous n’étiez pas invité(e), de toute façon.
CJ, autres vices affichables : humanisme, engagement politique, pratique du mensonge, indignation sélective, cultourisme …
« qui ne pouvait provoquer qu’un retour du refoulé »
Pauvre JC,
vivre ce retour du refoulé en secret lui semble trop dur.
Il l’affiche
Zêtes vraiment homo ?
Oui, vraiment.
Mais en secret, attention ! Je ne voudrais pas avoir l’air d’un socialiss.
Un homo c’est juste un hétéro inversé, JC-CJ !
Pour dissiper les remugles rances du vieux réac obsessionnel, rien de tel qu’un petit coup de la bioluminescence:
« It is now understood that marine phosphorescence – or more properly bioluminescence – is aconsequence of the build-up in the water of minute organisms: dinoflagellate algae and plankton. By processes not entirely understood, these simple creatures ignite into light when jostled. They convert the energy of movement into the energy of radiance”.
— Robert Macfarlane, The Wild Places, 2007. (non traduit en français, malheureusement)
Adieu le fâcheux!
la RdL , le blog le mieux baalkhanisé ?
« that marine phosphorescence »
Toujours bleue pour JC la marine
baalkhanisé – laacanisé
Oh fan de chichoune !
HR c’est Daaphnée (et inversement)
Chachal ne va plus savoir où garer la volvo
Quoi, Passou serait un travelo à faux cils, HR !
(non traduit en français, malheureusement)
« On sait maintenant que la phosphorescence marine — ou plus exactement la bioluminescence — est une conséquence de l’accumulation de minuscules organismes dans l’eau : dinoflagellate algae et plancton. Selon un processus encore imparfaitement compris, ces créatures simples s’allument quand elles sont remuées. Elles convertissent l’énergie du mouvement en énergie de radiation. »
– Robert Macfarlane, Les Lieux sauvages, 2007.
Farewell, old fart !
Grossière erreur de PloomPloom, qui avec son tralala intellectuel confond « Conservateur » et « Vieux ». Peut-il imaginer une nuance de gris ? Non ! Cela, un manichéen idéologique tel que cet infirme ne le peut. Pauvre bougre !
PS En plus il écrit dans la langue de Cameron… l’horreur absolue.
Le petit poujado gesticule et dérisionne pour faire passer son agitprop.
cher jibix
ah , je vois, vous me confondez encore !
mais ce n’est pas parce que vous avez la pssion de la faucille que votre passou ne sait pas se protéger des lanceurs de marteau bourdivins ou duméziliens !
Passou ? Travelo à faux cils ? Pourquoi pas Amadinedjade en drag-queen naine, tant que vous y êtes…
(lequel est un sacré cachotier : il aurait des racines juives)
Ludicrous error by PloomPloom who, with his intellectual frills, mingles « Conservative » and « Old ». Can he imagine a shade of grey ? No ! This, a ideological Manichaean like him can’t do. Poor guy !
PS Moreover he writes in Hollande’s tongue… absolute horror.
votre passou ne sait pas se protéger des lanceurs de marteau
Quelle langue de pute, ce HR.
(je n’ai aucune idée de la façon dont nous allons pouvoir revenir à Francesca Giroud, échappant ainsi aux forces centrifuges de la RdL)
aucune idée de la façon dont nous allons pouvoir revenir à Francesca Giroud
Elle était peut-être lesbienne ?
agapantier dit: 7 février 2013 à 12 h 22 min
cher jibix
ah , je vois, vous me confondez encore !
Aucun risque, HR. La confusion n’est pas possible. Vous êtes unique, rassurez-vous.
« confond « Conservateur » et « Vieux » »
JC, homme de synthèse, réussit une parfaite osmose.
Dans son cas le passage du neocon au vieuxcon se fait très naturellement.
shocking BN sans F ne sait pas lire !
si passou fait le dumezilien sans le savoir ?
« A l’occasion des « Entretiens sur les arts plastiques », organisés par Frédéric Mitterrand debut 2011, et au cours de l’une des tables rondes sur « l’international », animée par Nicolas Bourriaud, on a pu voir Olivier Kaeppelin notre dernier DAP (délégué aux Arts Plastiques, ministre de l’art contemporain en quelque sorte), se lever brusquement en fond de salle et déclarer « L’ État a eu tout faux et devrait tout changer pour favoriser la diversité sans prendre position pour l’évaluation des artistes »
Silence glacial de l’auditoire, bien évidemment, complètement liquéfié (1) par cette déclaration d’un vieux commis de l’Etat au service de l’art Contemporain officiel depuis une bonne trentaine d’années et qui se met à balancer ce qu’il a sur le cœur…Imaginez en effet , qu’au cours d’une réunion du Politburo sous Staline ou Brejnev, tel vieil apparatchik se lève pour lâcher tout de go que le soviétisme « a tout faux », qu’il a détruit l’économie, déshumanisé la société , etc… Eh bien la déclaration de Kaeppelin, c’était un peu le même pavé dans le même vieille soupe : nous avons déshumanisé la création artistique, saccagé les systèmes de reconnaissance, ravagé les critères d’évaluation esthétiques, méprisé 95% des artistes, etc. D’où la grosse tétanie dans l’auditoire de professionnels confédérés de l’AC, qui n’en pensaient pas moins pour la plupart, mais qui n’avaient jamais osé le dire, terrifiés à l’idée de se faire, non pas envoyer au goulag, mais virer de l’organigramme ministériel.
Ambiance de terreur donc à tous les étages de la forteresse « art contemporain », et je vous joins un texte de la journaliste Ariane Warlin 1 sur ce qui se passe au Musée du Louvre en proie à l’art contemporain et récemment investi par Jan Fabre et son gros ver de terre, et actuellement par Wim Delvoye avec un énorme suppositoire en dentelle sous la pyramide d’entrée. Angoisse sourde et non localisable, pire qu’au politburo, parce que, dans ce lieu où tout le monde est subalterne, on ne sait plus qui terrifie qui et d’où vient la menace. ( voir la suffisance, la crétinerie et le cynisme terrifiants en effet de ce Wim Delvoye – fameux inventeur de la machine à merde et de quantité d’inepties porcines ou dentellières – sur : http://www.dailymotion.com/video/xrbb97_wim-delvoye-l-art-et-la-lutte-des-classes_creation#.UQjZSOgsp7w
tiens , je vais faire la langue de pute, système jibix lit la RdL :
donc je lis sur « Bourdieu » disant :
» Quand vous avez parlé de mon travail tout à l’heure, je pense que mon plus grand mérite dans ma trajectoire, ça a été de souvent choisir le moins chic, parce
alix serait-elle la shiksa tongue in the chix à la jibix ?
Merci pour le lien, Qui est excessif?, ça donne envie de voir le travail de Wim Delvoye, vigoureux éléphant dans le magasin de porcelaine du Louvre !
Tout à fait honnêtement, la machine à merdre, cela fait longtemps qu’on en connait les ressorts !
(va savoir pourquoi, je pense à …)
Avez-vous au moins compris J. Barozzi que l’Etat est dans le double-bind du « transgressez-moi » Delevoye?
Bon, il faut que je file. J’ai rendez-vous avec le photographe pour prendre des vues intérieures de l’une des plus anciennes salles de spectacle de Paris, obligeamment mise à notre disposition par son actuel propriétaire. En vue d’illustrer l’un de mes prochains ouvrages : où je fais la chronique de la vie artistique parisienne, depuis Molière jusqu’à Lady Gaga. Extrait :
3e arrondissement
Théâtre Déjazet
41, Boulevard du Temple
Tél. : 01 48 87 52 55
Métro : République
Le théâtre Déjazet occupe l’emplacement de l’ancien jeu de paume construit en 1786 à la demande du comte d’Artois par François-Joseph Belanger, l’architecte du château de Bagatelle au bois de Boulogne.
Devenu un établissement de bains puis une salle de bal, le jeu de paume fut transformé en café-concert en 1842 sous le nom de Folies Mayer, puis en théâtre d’opérettes lorsque le compositeur Hervé en prit la direction en 1853.
En 1859, la célèbre comédienne Virginie Déjazet (1798-1875), racheta le théâtre auquel son nom reste attaché, afin d’offrir au jeune Victorien Sardou un cadre digne de ses productions.
Aujourd’hui, c’est le seul théâtre du « boulevard du Crime » à avoir échappé à la destruction.
Raison pour laquelle sans doute Marcel Carné y tourna en 1945, d’après le scénario de Jacques Prévert, les scènes d’intérieur du film « les Enfants du paradis », magistrale reconstitution du grouillant boulevard du Temple de l’époque et de ses innombrables théâtres populaires à laquelle mis fin les travaux du préfet Haussmann sous le second Empire.
Transformé alors en cinéma, spécialisé dans les films de concerts pop et rocks dans les années 1970, il était destiné à devenir un supermarché lorsqu’il fut fort heureusement réhabilité en théâtre en 1976.
Coluche l’inaugura le 1er février 1977. Mais jugé dangereux par diverses commissions de sécurité, il fut fermé administrativement en novembre 1977 puis de nouveau en mai 1981.
Rouvert depuis octobre 1982, sa programmation s’est élargie aux pièces du répertoire classique et du répertoire contemporain, aux spectacles de danse, aux shows d’humoristes mais aussi aux comédies musicales et aux concerts de variété française : Léo Ferré, Juliette Gréco, Georges Moustaki, Claude Nougaro, Catherine Lara, Véronique Sanson, Sylvie Joly, Elie Kakou et, plus près de nous, Mimi Mathy ou Gad Elmaleh s’y sont produits.
Malgré les mutilations apportées aux lieux à l’occasion de ses diverses affectations, c’est toujours la façade du bâtiment dessiné par Belanger que l’on peut encore voir sur le boulevard. D’après les gravures de l’époque, on reconnaît le même soubassement de pierre à gros bossage et l’avant-corps en légère saillie jusqu’au troisième étage, cerné aux angles par les identiques bossages. Tandis que la salle à l’italienne, de 725 places, avec ses deux balcons en fer à cheval et son décor de lambris dorés sur fond blanc a été rénovée à l’identique.
Cela devrait vous plaire, sans conteste, Jacques!
amateurs d’art ; si
« e chef-d’oeuvre exposé depuis 1995 au musée d’Orsay à Paris porte en lui tout son mystère depuis sa réalisation en 1866. Si le portrait révélé par Paris Match est authentifié,
alors il aura fallu 47 ans avant que le lacaanisme soit dépassé »!
Françoise Giroud, écrivit une biographie de Georges Clemenceau, « Cœur de Tigre », paru en 1995, Plon/Fayard ISBN 2-259-180067-1 (Avec cerise sur le gâteau une dédicace pour JJSS)
Avant l’introduction, Françoise Giroud mit sur une seule page, cet extrait d’une lettre à Georges Wormser par le Général De Gaulle.
Le Général de Gaulle y parle de Georges Clemenceau, mais cela pourrait être appliqué à Françoise Giroud, il suffit de changer le « il » en « elle » :
« Il n’est pas de meilleur moyen de servir sa mémoire que de faire connaître sa vie, son action, sa passion auxquelles je ne crois pas qu’aucune vie ne puisse être comparée.
Il fut à luis seul, et pour ainsi dire en chacun de ses jours, un drame. C’est là sa marque »
Pas mal, la trad, mais:
1.ignite into light = ‘s’illuminent’/’s’embrasent’, plutôt que ‘s’allument'(ce ne sont pas des lampes).
2. contresens sur « radiance », qui est ‘l’éclat’, pas ‘les radiations’ ‘(…)convertissent l’énergie cinétique en énergie lumineuse’.
The Cameron clan is rephrasing its taunts and jibes at the old stick in the mud:
One more howler from PloomPloom who will mistake « Conservative » for « Old ». Are there such things as several shades of grey to such a Manichean as this ideological cripple? Obviously, there aren’t. Poor sod that he is!
PS Not to mention his mumbling away in Le Pen’s lingo…He’s the pits!
Vous parlez tous bien légèrement de l’homosexualité, rappelons seulement que le Catéchisme de saint Pie X définit « le péché impur contre l’ordre de la nature » comme l’un des quatre « péchés qui crient vengeance devant Dieu » avec l’homicide volontaire, l’oppression des pauvres et le refus de salaire aux ouvriers.
JC et PR criant vengeance devant Dieu.
Installation nocturne les 9 et 10 février sur le parvis de Saint-Nicolas-du-Chardonnet.
La présence d’un puma et d’un scooter intrigue fortement TKT.
Doit-il la considérer comme une oeuvre d’art contemporain.
Étranges commentaires sur le goût pour l’ascension sociale, comme si c’était un péché mortel et non, le moyen d’apporter à la société (et à soi-même au passage), une valeur ajoutée.
Je me méfie des gens qui crachent sur le sens d’avoir de l’ambition, surtout quand on a affaire à un homme qui n’est pas heureux avec son grade dans l’EN ou, rêve d’écrire un grand roman, de devenir un AUTEUR.
Puis « Haro sur Françoise Giroud, pour son malaise avec sa propre judéité ».
Au sujet des lettres de F.G. à j.J.S.S.: Blessée à mort, Françoise Giroud, pour faire mal à Servan-Schreiber, l’agresse de propos antisémites. Elle la juive, ce qui prouve bien qu’elle voulait seulement faire du mal*. Ce qui serait intéressant, c’est de savoir qu’elle fut la réaction de l’ancien amant à la lecture de ces lettres un peu folles.
Le fils ou petit-fils devenu rabbi orthodoxe, c’est le problème personnel de l’individu en question. À mon sens, un peu excessif, rabbin aurait suffit, mais au moins il a dépassé la honte de Françoise Giroud, il est bien dans sa peau, bravo !
*J’imagine une dispute entre Magda avec son Dr. Joseph Goebbels de mari, l’insultant de sale nazi. Ou l’ancien étudiant en Lettes, ayant publié sa thèse sur un auteur juif, et la traitant de sale ancienne petite-amie d’un grand sioniste. Imaginons aussi Napoléon inventeur des Bonaparte en tant que Maison Dynaste reprocher à Laetitia, sa maman, ses origines de petite noblesse Napolitaine.
Ou pour l’anecdote traubienne, en faite kronienne, mon père, pourtant un homme fin et cultivé, me reprochant lors d’une dispute musclée, d’avoir un père moins riche que lui.
« péchés qui crient vengeance devant Dieu »
Expression atroce et antichristique.
Malheureuse Eglise.
« celle qu’il appelle délicatement « la femelle de jungle » »
Oh la la, la classe
« Le jour de ma naissance, mon père m’a jetée par terre. »
Et elle a survécu? Et c’est sa mère qui lui a raconté ?( La classe…)
Philippe Régniez, vous remontez dans mon estime, en effet ne pas vouloir payer ses employés, est un péché impardonnable. J’imagine que dans le pays où vous vivez, vous donnez à vos employés, perdus dans les montagnes, des salaires généreux, disons le salaire pratiqué à Santiago du Chili ? Pour le reste, vous devriez regarder vos propres péchés. Quand vous allez à confesse, confessez vous votre site « club des acacia » ? Ou votre curé est lui aussis un catholique d’extrême-droite ?
Le Christ et les apôtres, tous des zomos et la mère àau crhiste, une mère porteuse- alors, PR, hein écrase steup tes obsessions n’intéressent que toi et ton psychiatre. JC le PQ et PR l’ab.uti,deux hommes dans une cellule psy qui arrêtent pas de la ramener
Dans cette histoire, Jean Pierre Colemon, le mariage est perdant pour les institutions publiques parce qu’elles ont peur, et suivent donc la vague. D’autre part, l’État dans les affaires culturels ne devrait être que médiateur non acteur.
Ce n’est un secret pour personne ici que je suis contraire au Ministère de la culture. Je préfère le modèle USA d’Agence pour la culture, avec concours afin de garantir une juste répartition des ressources selon les goûts des divers spectateurs (un travail qui passe en Californie ne passe pas dans le Montana et vice-versa).
Les privés de leur côté peuvent agir par le biais de structures privées sur lesquelles l’État n’a aucun droit, et conduire ainsi leur politique culturelle sans polémiques de sorte.
Or, les États centralisé veulent jouer un rôle qui était compréhensible dans les monarchies absolues, mais pas en démocratie, le nœud est là, pas dans l’action des privés, qui eux mettent en jeu leur pouvoir d’influence seulement parce que la situation le permet.
Pour dire le fond de ma pensée, le Ministère de la culture, partout où il en a un (en Italie par exemple, donc non seulement en France) c’est le dernier reste (ou avatar) de l’État fasciste, et comme il est juste qu’il soit, c’est l’esclave du plus fort.
Mon Cher Thierre, comme d’habitude vous errez au pays des erreurs (sic), il n’y a pas de montagnes au Paraguay, et Club Acacia n’est pas mon site. Contentez-vous d’empoisonner vos prochains avec votre picrate frelaté.
Vices secrets virtus publiques ? c’est l’hypocrisie à l’état pur ça…
Une fois que l’on aura dit que les inversionnés sont voués à la géhenne, mariés ou non, on en aura fini rapidemment avec le mariage sinistre !
Parlons du budget, merdique, de EU, ça c’est le signal de la « mort du rêve » des pères fondateurs…
Il est bon de montrer les véritables enjeux du débat, ce n’est pas une blague.
renato, 14:33
Bravo pour cette définition de tout gouvernement !
« ce n’est pas une blague »
avec des gens comme toi, c’est sûr
Renato, vous savez bien que les USA, sont des états-unis et que Washington, DC, ne peut imposer partout les mêmes lois ou, la même administration. Comme au contraire de vous, je suis Français, j’ai le goût pour un certain centralisme.
Je ne veux par réagir, trop longtemps, sur le commentateur qui signait art privé, art public, pour faire court: Versailles a besoin de visiteurs étrangers, de faire des entrées (un des nerfs de la guerre économique pour faire vivre un musée), les expositions très colorées organisées au château de Versailles, on fait des entrées. Ce serait un nationalisme bleu-marine que de vouloir n’y exposer que des artistes bien Français.
Il n’y avait pas polémique entre moi et ce commentateur anonyme. J’ai horreur des curés qui prêchent en dehors de leur paroisse. Ne pas aimer l’art contemporain, ne me dérange pas, mais vouloir le combattre me semble d’un réactionnaire létal.Cet individu par ailleurs, fait une fixation sur Jeff Koons, alors que Monsieur Pinault collectionne depuis 30 ou 40 ans. Il collectionne depuis le début de sa carrière. J’imagine facilement, qu’il achète les Classiques de demain et les artistes qui seront oubliés. Cela fonctionne ainsi depuis au moins, le 19ème siècle. J’imagine ce tordu de commentateur anonyme, vers 1900, vouloir interdire l’accès aux impressionnistes. D’autre part, vous savez bien comme moi, que les gens qui aiment l’art de leur époque, peuvent aussi aimer les anciens artistes. L’un n’exclu pas l’autre, je dirais même au contraire.
Quand un commentateur lettré, vient ici nous parler en le magnifiant, le peintre nationaliste Hennel, je souris.
il faut lire les lettres qu’elle envoya : elle voulait peut-être seulement lui faire mal , à partir de ce’elle avait compris de son expérience de « ce qui fait souffir un être humain » (pour certai-e-s , ce seront des menaces sur l’éducation des enfants du couple )
donc LUI faire mal( et non faire du mal ).
D’autre traitent aujourd’hui de paranoïaque
en toute naïveté , diront-ils parce qu’ils ne conçoivent pas que de bien plus renommés qu’eux ont déjà porté des appréciations sur des travaux , une démarche de question , de recherches , et de trouvailles qu’ils ont été incapables de penser dans leur aliénation aux concepts.
Mais puisqu’on a retrouvé le visage de l’origine du monde , et qu’on sait maintenant que ce n’est pas un-e erdélien-ne , voguez, amis voguez , il y a heureusement aussi des livres pour vous occuper
Ecoutez, Thierry, racontez vos histoire de gestion de la culture à qui vous voulez mais pas à moi, d’accord ?
Quant à Hennel, ce n’est pas un mystère que certains ont des goûts de… enfin, voyez-vous…
Mon cher Philippi, avouez au moins, que dans le temps, vous participiez au club acacia. Et que vous le regrettez, car bien entendu vos idées sont démocratiques et pour la paix entre les races, l’égalité entre les races et les hommes et les femmes ? Aucun régime politique n’a pu empêcher les homosexuels des deux sexes, de vivre leur vie. Et vous un homme de La Tradition, vous ne pourrez empêcher qu’un couple d’hétérosexuels, de faire aussi l’amour pour le seul plaisir de faire l’amour, c’est à dire du sexe. Retirez aussi vos désirs de napalm, que je prends en partie pour de la provocation.
Et si au Paraguay, il n’y a pas de montagne, j’en prends bonne note. Je dois confondre avec l’autre pays qui se termine en guay, excusez ma gouaille envers vous, cher Phelippi.
Thierry, avec un y, pas un e à la fin. Si vous préférez vous pouvez m’appeler Dietrich ou Dirk.
Je vous souhaite une bonne nuit.
Faites une bise à votre puma de ma part, c’est un très bel animal. Quand j’étais adolescent, les panthères et les tigres, qui cousinent avec les pumas, faisaient de magnifiques manteaux de fourrure. Vive Réveillon !
OK, Renato, OK, pas vraiment une raison de s’énerver.
Restons urbains, ne serait-ce qu’en souvenir de nos « nannies » respectives.
papagantier, je suivrai sur un point, mais en gros sans vouloir m’attarder sur les détails, je dirai qu’il y a loin de la coupe aux lèvres et si vous refusez de voir la vérité nue pourtant aussi patente qu’intransigeante vous retombez de facto dans un instiutionalisme de l’errance avec l’aplomb de l’à-pic si vous me passez cette fantaisie. En tout cas, incapables de penser dans leur aliénation aux concepts, non, non, non, trois fois non.
Bien à vous.
renato dit: 7 février 2013 à 14 h 27 min
Oui, vos remarques sont de bon sens et je les approuve.
Et sans vouloir trop détourner le propos du billet ni relancer le débat, il me semble que « art public et art privé? » n’a jamais revendiqué de l’art Français à la place de Koons, emblématique plutôt de l’A.C.
Mais bon, à lui de relancer le débat et de répondre ( cela en vaut-il la peine?) à ces à peu près qu’on lui oppose!
vous pouvez m’appeler Dietrich ou Dirk.
C’est vrai, Thierry ? Alors je vous appellerai Dietrich. Ça me plaît bien.
ce que dit apagantier mérite d’être relu de près. J’imagine qu’il n’a pas vraiment voulu dire menaces sur l’éducation des enfants du couple parce que ce serait grave. Je vois plutôt entre les lignes une allusion au toujours déjà présent cher à Montillac. Me trompé-je ?
D. Pathos connemara le mieux serait, que vous ne m’appeler pas du tout, OK ?
@ Jean Pierre Colemon dit:7 février 2013 à 15 h 10: Lisez bien toutes les interventions du commentateur apap. Il réclame bien, plus de visibilité pour les artistes Français.
Bon, le sujet de la Note n’est pas les problèmes du sieur apap, ni de son amie la schtroumpfette.
Quand on est une merde dans un bas de soie, l’art sert d’airwick.
Dietrich dit: 7 février 2013 à 15 h 21 min
« D. Pathos connemara le mieux serait, que vous ne m’appeler pas du tout, OK ? »
Ce n’est pas de moi, mais, c’est fort bien vu.
Je dois ajouter que tant que D tient des propos anodins, pourquoi l’empêcher de s’exprimer ?
Je crois que je vais, retourner dans mon studio avec chauffage central à Melun quartier HLM et réviser, ma comptabilité. Aussi je vais me faire, un aligoté avec des saucisse.
merde dans un bas de soie ?
C’est très flatteur, cela est une allusion au Prince de Bénévent.
Je préfère « nouille au gratin », en mémoire de Monsieur Pollès.
Monsieur alain vaDiou, vous achetez vos déodorants chez Aldi ?
Ce que j’aime surtout dans le prénom Dietrich, c’est l’initiale. A mon avis, ce n’est pas un hasard si Thierry demande qu’on appelle D…
tékaté, c’est toujours de la nuance au bazooka, ça taille large dans le tas!
Et on ramasse le tout à la petite fourchette..
TKT dit: 7 février 2013 à 15 h 30 min
Je préfère « nouille au gratin »
D’accord, si vous y tenez, mais je trouvais que Dietrich était plus joli.
Koons endormi dit: 7 février 2013 à 15 h 33 min
tékaté,
Il préfère « nouille au gratin ». Soyez gentil.
Si Versailles m’était « comté », sur le pas, de ce même crayon, je le ferais Merdoyer!
Le 15 h 26 n’est pas de moi, évidemment.
Voyons Thierry, vous me faite le discours de l’autre qu’en parlant de fédération me disait que l’Europe n’est pas la Suisse en croyant ainsi me donne — que sais-je ? — une leçon de « géopolitique » ? Mais les USA, le Brésil, l’Allemagne, sont des fédérations. Donc si n cause décentralisation, le principe de l’Agence qui est adaptable à n’importe quelle forme, sera adaptable aux Régions et aux Départements.
Donc :
1. l’Agence dispose d’une somme d’argent qu’elle doit distribuer ;
2. chaque Région présente un ou plus projets (selon la quantité d’argent qui lui revient) ;
3. ces projets sont choisis à niveau régionale par des comités représentatifs de la population selon des critères établit par l’Agence.
Si selon ces critères et, supposons, dans la catégorie photo, l’Alsace choisit « Pèche à la truite dans les Vosges », et le Bouches-du-Rhône choisit « Faune de la Camargue », ce serons ces deux projets qui obtiendront la subvention de l’État, e tant pis pour le gars qui travaille sur « son vécu par rapport au cul de sa copine », même si personnellement je serait plus favorable au cul de la copine du gars indépendamment de son vécu à lui, qu’à une truité arquée au but d’un fil (vous savez comme moi que dans la pèche il y a deux cons, un à chaque bout du fil…).
Cela s’appelle démocratie, le reste non car il peut facilement se manigancer : cela dépend du réseau de chacun. Or, que dans le privé chacun fasse jouer son réseau, rien à dire. Mais expliquez-moi où est la démocratie si par le seul fait d’avoir un réseau j’arrive à « imposer » mon travail à un public qu’en gros s’en fout. Et ne me parlez pas d’éducation du public ! éducation à quoi, que dès que le discours devient un tant soit peu technique (métaphasique et existentialismes à la noix bien à part) il faut passer une ½ journée pour expliquer le sens de l’expression « pouvoir une figure » ?
Tandis qu’à travers « Pèche à la truite dans les Vosges », je peux introduire le concept de « pouvoir une figure » et le faire glisser entre les pensées d’un public qui serait, par d’autres biais, réfractaire à ce même concept.
Je souhaite avoir été assez clair.
Si Versailles m’était comté, je le ferais Beaufort ; s’il m’était compté, j’irais jusqu’à dix.
DIETRICH
Variante : DIETER
Fête : le 01 Juillet
Signification prénom : Cette version germanique de Thierry a été longtemps usuelle en Alsace-Lorraine.
Elle est également connue aux États-Unis chez les descendants d’émigrés allemands. Ailleurs, on ne la rencontre que rarement. Dietrich est célébré le même jour que Thierry. C’est également, en Suisse, le jour traditionnel des nouilles au gratin.
« chez Aldi ? »
La nouille exhibe son mépris social.
Ingrédients de la recette Nouilles au gratin
400 g de nouilles 150 g de gruyère râpé 80 g de beurre sel, poivre
Etapes de la recette Nouilles au gratin
|*| Faites cuire les pâtes à grande eau bouillante salée une dizaine de minutes. |*| Pendant la cuisson des nouilles, faites chauffer le four à th. 6. |*| Beurrez un plat à gratin. Couchez-y la moitié des nouilles, puis la moitié du fromage râpé. Parsemez avec la moitié du beurre en petites noisettes. Salez et poivrez légèrement. Remettez une couche de nouilles et une de fromage. Ajoutez sel et poivre. Parsemez de noisettes de beurre et enfournez. |*| Laissez gratiner 15 minutes et servez chaud, dans le plat de cuisson.
Pour en savoir plus : Nouilles au gratin – Recette de Nouilles au gratin – Magicmaman.com
…
…un film à faire,…du genre » La magnifique « ,…Françoise Giroud,…encore la tête à construire des châteaux de sables,…etc,…
…
Ah ! Thierry, c’est le comité régional qui defend le projet lors de la presentation à l’Agence, question de faire la preuve qu’ils savent ce qu’ils font.
Je sens que ueda ne va pas tarder à faire son entrée.
Vous postez trop, renato. Vous passez trop de temps sur ce blog, vraiment.
Je ne comprends pas ces commentateurs qui s’éternisent. Promenez-vous, prenez l’air. Il y a une vie à l’extérieur, croyez-moi.
Ne vous inquiétez pas, je m’occupe de tout, je me charge des commentaires.
Vous pouvez disposer.
Dietrich, vous voulez que j’écrive vos commentaires ? Si cela peut vous soulager, ce sera avec plaisir.
Renato, avec « la pêche c’est deux cons aux deux bouts de la ligne », vous m’avez fait bien rire.
Pour le reste, je veux dire la démocratie en matière de choix artistiques, permettez moi d’avoir un avis contraire.
Regardez un peu ce qu’un public large préfère à la TV, des « reality shows ». Je trouve très étrange, que vous, élitiste en majesté (rien de péjoratif dans ma bouche, au contraire), vous pouviez proposer un programme pareil. Et si l’on allait dans votre raisonnent, vers les lectures, Marc Lévy serait édité par le conseil régional.
D, Dieter se traduit par Didier. La Saint-Didier tombe le 23 mai. Vous avez perdu une occasion de vous taire, ducornaud !
D’autre part, les nouilles au gratin ne font pas partie des recettes de cuisine suisses. Vous devez confondre avec des Rösti. Avec une partie importante de la population, issue de l’émigration italienne, c’est la pasta al dente qui est devenue en quelque sorte un plat suisse.
CQFD dit: 7 février 2013 à 15 h 55 min
« « chez Aldi ? » La nouille exhibe son mépris social. »:
voulez vous dire que les nouilles vendues chez Aldi, représentent le mépris pour les classes laborieuses (ou radines) de la part de cette grande surface d’Outre-Rhin ?
Voyons Thierry, j’ai bien parlé d’exemple. C’est l’Agence qui donne les critères… et puis vous savez, je suis fans de Lady Gaga avec link sur mon blog et abonnement sur twitter, je ne suis donc pas une garantie pour ce qui est du goût des classes aisées… enfin je ne suis que comme un Bill Clinton quelconque…
Jacques Chirac apprécie (enfin appréciait) Lady Gaga. Pour ce qui est de ses costumes, c’est pour moi une Grande.
Bon, je ne compte plus réagir, en dehors de commentaire nous donnant un avis sur Françoise Giroud.
Une Turque chrétienne? On conçoit qu’elle ne revendique pas sa « turquitude »! C’est comme si un juif allemand se revendiquait allemand après le génocide…
S’interroger naïvement sur cette question montre à quel point le martyr des chrétiens arméniens et assyriens sous la férule turque n’intéresse à peu près personne.
IL y a plus d’une femme en cause dans cette biographie de Giroud .
quoi qu’il en soit, je signale à tout hasard, que julia Kristeva est loin d’avoir eu autant de succès que Françoise Héritier, lorsque cette dernière fut invitée à la même tribune , dans une salle où les femmes étaient très nombreuses.
Kristeva a beaucoup parlé du manque de désir des hommes ! Comme si elle n’avait pas constaté que cela aurait une incidence sur les désirs des femmes et leur créativité, comme journalistes, psychanalystes, anthropologues critiques , par « peur » des hommes dans les guerres entre hommes et femmes et de la part de ce que l’on nomme l’ambition , et l’honneur .
si effectivement, c’est au fond la question de bien des commentateurs de ce blog, et peut-être celle de P.Assouline , qui parle beaucoup de « la dette » au sens psychanalytique, , et même tant que tout le blog semble l’attestation de cette reconnaissance de dette (eh oui, puisque nous parlons et que nous écrivons, et qu’il faudrait être vraiment simplet pour ne pas avoir conscience de tout ce que l’on peut faire des prétendus commentaires,) et d’en faire des témoins et de la partager(ce qui fait beaucoup de partenaires quand c’est sur la toile)je ne crois pas nécessaire de préciser encore une fois que peut être érigé, ou identifié en concept bin d’autres mots que haine, amour, ou pli , ou toile , par des philosophes. je me souveins de mon sentiment d’être très bête lorsque j’entendis un philosophe aujourd’hui mort parler de l’enfant comme « problème »: pas « mathème » , ni théorème.
Je ne comprends vraiment pas pourquoi on fait tout un plat de ce que les lettres de Giroud à son ex aient pu….. paraître antisémites, en soulignant autant son ignorance de son ascendance en judaïsme .
mais qu’on ne parle pas de ce qui est apparu : que les hommes juifs ne compreaient rien aux femmes, par delà le couplet sur le fait d’avoir ou de naître femme , dans le judaïsme : je doute beaucoup que P.Assouline
amène les commentateurs, à travers des échanges à dépasser la manière dont ils strucutrent depuis longtemps leur hypocrisie , à la manière de Courbet , par courbettes et goncourbettes, d’une manière qui semble convenir parfaitement à P.Assouline, hélas,trois fois hélas, et même six et sept fois hélas, pour lui aussi.
que peuvent être érigés en concepts …
qu’on m’accorde de signalerr un colloque :
Dimanche 7 avril 2013 à partir de 10 h
L’accent, traces de l’exilau MAHJ
« Après les colloques Shmattes (2004), Panim (2006) et La Force du nom (2009), nous souhaiterions interroger la force des accents. Nous prendrons les langues juives comme exemple de langues de culture et poursuivrons ainsi nos réflexions sur la « route de soi ». L’accent est une trace d’origine – il pénètre la langue, la saisit, lui donne vie, identifie le lieu géographique (imaginaire). À partir de l’accent comme rythme essentiel de la langue et comme « restes de transmission», nous tenterons alors d’entendre ce qu’il en est de ces « traces de vie » que nous proposons de nommer « traces de culture ».
Quelles sont les langues parlées par les Juifs dans leurs déplacements ? Comment ces langues nous habitent-elles ? Quels accents gardons-nous ? Yiddish, judéo-espagnol, judéo arabe…
Quelles sont les différences entre le yiddish poylish et litvish ? Comment le judéo espagnol du nord du Maroc se distingue-t-il du spanyolito de Grèce et de Turquie ? Comment résiste-t-on à la disparition de ces langues ?
Comment les jeunes générations transmettent-elles ou non les langues ou les accents de leurs pères ? Qu’advient-il d’un individu séparé de ses langues, coupé de ses rythmes – ce rythme qui met pleinement en œuvre la musicalité de la langue ?
Qu’en est-il alors des rythmes de certaines langues dans le phrasé, le pensé et le rêvé des langues majoritaires ? Lorsqu’elles ne sont plus directement convoquées dans la vie de tous les jours, ces langues fonctionneraient-elles comme des traces mnésiques, susceptibles d’être réactivées par un ensemble de pratiques, de rythmes et de musiques où elles trouvent autant d’avatars ? »
À propos Thierry, avez-vous lu 1Q84 ? les trois naturellement…
@ erivan dit:7 février 2013 à 17 h 02: Des Juifs Allemands ont passé toute la période de 33 à 44-45, cachés par des amis. Un exemple est Michael Degen, acteur vedette en Allemagne. Caché avec sa mère, il avait 15 ans quand Berlin fut délivré. Je connaissais une famille, dont le père, juif, n’a jamais quitté l’Allemagne. Je ne sais même pas s’il était caché, sa femme était aryenne. Par ailleurs la mère était couturière, donc pas des gens riches. Parler de la judéité du père, patronyme Rubin, était un sujet tabou.
Des Juifs exilés revinrent après 1945 ou 48, peut-être des familles riches qui récupèrent leurs biens. La BRD, à Göttingen, accueillit un grand nombre de Juifs en provenance de Pologne ou de Tchèquie. Arrivés à Göttingen ces gens, recevaient de l’argent pour s’installer et certains devinrent riches, dans le commerce et l’industrie, dans les années 50/60.
Pour aller en Allemagne en 45-48, à moins de récupérer des biens, je dois dire que je ne comprends pas. Mais c’est ainsi. À Francfort sur le Main, certaines familles, riches, revinrent aussi. Parfois de retour des USA.
D’autre part des Juifs Allemands communistes, partirent vivre en DDR. Tout le monde n’avait pas envie de vivre ailleurs, que dans un pays germanophone. Ou, tous les Juifs n’assimilaient pas Nazi et Allemagne, Allemands et Shoah.
Je terminerais en rappelant que tous les pays d’Europe participèrent à la Shoah, plus ou moins sans état d’âme.
Je n’ai peut-être pas bien compris votre commentaire, ou un autre, mais il n’a jamais été question que Françoise Giroud n’ai pas connu son origine juive.
Arrêtons de porter un jugement sur des gens qui se défendent du racisme ambiant et qui, par ailleurs, n’ont pas fait le choix de leur origine.
il n’y aurait pas de juifs, d’Afro-American métis, de Maghrébins honteux, si les gens étaient moins mauvais et surtout, moins cons.
« il n’y aurait pas de juifs, d’Afro-American métis, de Maghrébins honteux, si les gens étaient moins mauvais et surtout, moins cons. »
La phrase est incompréhensible. Qu’est ce que veut dire « moins mauvais », qu’est ce que veut dire « moins cons » ?
HR: Je me suis toujours demandé, par exemple, comment aux USA, dans la deuxième moitié du 19ème siècle, les accents régionaux se sont générés. Pourquoi des nouveaux pionniers, venus de partout en Europe ou ailleurs, s’établissant dans un État précis, adoptent tous un même accent régional, alors que leurs langues d’origine sont si différentes.
Pour le reste de votre question, les fils et filles d’émigrés nés dans un pays, et qui participent à la vie commune avec les autochtones de souche, parlent sans accent. Peut-être que ceux qui vont à peine à l’école, font exception. D’autre part, en Afrique du Sud et en Namibie, tous les locaux parlent le même afrikaans, qu’ils soient noirs ou blancs.
C’est sûr que le débat fait un pas de géant une fois qu’on a prononcé le mot fatal : les racistes sont des cons, les antisémites sont des cons… Oui, et alors ?
@ 7 février 2013 à 17 h 51: je vais donc préciser « si les Autres etc… » Si vous ne comprenez pas mauvais et con, je ne peux rien faire pour vous, apprenez le français.
La notion « d’autochtone de souche », ça ne veut plus dire grand-chose.
Aux Etats-Unis et au Canada, ça ne veut plus rien dire depuis l’origine. En Afrique ça ne veut plus rien dire depuis très longtemps, étant donné que l’immigration étrangère est d’abord inter-africaine. En Europe, ça ne veut pas dire grand-chose non plus depuis très longtemps, sauf pour Le Pen et ses sbires.
« mauvais » et « cons », ça ne veut rien dire du tout !
Toujours aussi abscons ! Quelle est l’idée ?
La phrase de Tkt veut dire que Tkt admet qu’on puisse être et mauvais et con envers les Juifs et les noirs. Voilà exactement ce que ça veut dire. C’est bête comme la plupart des propos de ce que Tkt énonce ici… Le pire, c’est qu’il n’en a même pas conscience. Effarant.
Moins mauvais ça veut dire mauvais tout de même.
Moins con ça veut dire con quand même.
quant à tous ceux qui se plaignent ici, je signale que P.Assouline a recommandé de lire un livre dans lequel l’auteur écrit :
« je recopie la phrase de J.Lacan : »La parole peut très bien jouer le rôle de la charogne.En tous les cas, elle n’est pas plus ragoûtante »
ced qui n’est plus depuis longtemps un secret !
intéressant ce qui à cel est immédaitement enchaîné :
« Avc ce bruque commentaire : » La plupart des chefs d’oeuvre sont des mietes d’autres chefs d’oeuvre inconnus »
Je n’ai rien trouvé d’aussi enthousiasmant dans ce livre que P.Assouline . parce que c’est lui, parce que c’est moi . mais ma déception, je la garde, pour moi.
P.Assouline étant un homme politique à mourir , il n’a pas à craindre que je devienne « fan » de lui; le devenir fan de quiconque n’est pas dans mes cordes . depuis toujours . pouls ceux et celles qui ont essayé ont tôt ou tard déchanté .
l’inverse ne fait aucun sens pour moi … peut-^tre parce que je m’intéresse depuis très longtemps au sens quand on traverse, alors la traversée des fantasmes du maître, vous pensez !
…
…ce blog,…retourne souvent au » monopole » ,…juif,…du matin au soir,…
…
…que reste t’il de la culture,…
…j’arrive au point de non-retour,…
…la culture, la politique, l’administration,…tout,…du moment qu’on ne parle pas de juifs,…
…un bordel de juifs du matin au soir,…
…c’est inimaginable,…allez au diable,…et foutez la paix aux autres ethnie,…enfin, c’est à dormir debout,…
…vous créer une révulsion contre vous-même par cette présence opiniâtre,…
…et du juif par ci,…et du juif par là,…
…vous n’avez pas une grosse tête de bloquer les cultures à vos nombrilismes,…
…
…de victimes-persécuteurs,…
…de victimes persécuteurs,…
…changez de disque pour votre fond de commerce,…abrutis intello’s de mes deux,…
…etc,…envoyez,…
P.Assouline étant un homme politique à mourir , il n’a pas à craindre que je devienne « fan » de lui; (agapantier)
Vous avez le droit de ne pas aimer Assouline, mais soyez au moins poli.
Le culot de HR me sidère. Il n’y a pas si longtemps, elle (il) faisait des déclarations d’amour à peine voilées à Passou, maintenant il (elle) lui crache carrément à la gueule.
L’illustration en tête de billet me plaît ! Kennedy souriant au pognon qui rentre, Giancana signant les chèques mafieux du financement de campagne, Judith Campbell admirant son travail de maîtresse intermédiaire… il y a même le galurin de Jack Ruby sur la table. Merci Passou !
« alors la traversée des fantasmes du maître, vous pensez ! »
dites, apagantier, vous ne trouvez pas que vous y allez un peu fort, là ? si vous avez envie de vous essuyer les semelles sur Assouline, ayez l’élégance de le faire dans un autre blog.
Agent XXX à PC007…venons de localiser le nid de vipères…individus D.,ML, Renato, agapantier et TKT à neutraliser en priorité…préconisons hakking et blitzbugg en offensive immédiate sur site…attendons instructions..stop.
N ‘étant pas un coryphée roudoudou lèche -botte , je vous tire ma révérence . continuez vos salamalecs de bacà sable sans moi. Per
sonne ne m ‘interdira de dire ce que je pense!!
Bonne soirée .
Comment me suis-je retrouvé dans la situation d’être fan de Passou ET de HR, je me le demande encore ! Peut-être une enfance tragiquement heureuse ? Des mariages, tous réussis ? une dégénérescence neurale en fin d’évolution ? Mystère.
Bonne nuit, HRie !
J’aime beaucoup celle-ci :
« je me souveins de mon sentiment d’être très bête lorsque j’entendis un philosophe aujourd’hui mort parler de l’enfant comme « problème »: pas « mathème » , ni théorème. » (agapantier)
très bête lorsque j’entendis un philosophe aujourd’hui mort parler
Je comprends ça. Entendre parler un philosophe mort, ça doit faire drôle.
Bien aimé ce passage (entre autres) dans l’interview d’Eliacheff :
« … Nous vivions dans le même appartement, symboliquement divisé en trois : ma mère à l’entrée, ma grand-mère au milieu, puis les enfants, c’est-à-dire moi car mon frère est parti très tôt en pension. Ma grand-mère recevait dans sa chambre-salon. Elle avait ses jours, comme autrefois, un pour la famille, un pour les invités, des hommes politiques ou des journalistes. C’était une “sage” à qui l’on venait demander des conseils. Elle ne mettait pas les pieds dehors car elle était malade. Son médecin venait la voir presque tous les jours, mais je crois que c’est elle qui le soignait !.. »
@Agent XXX,
-hakkez, blitzkriegez, blitzbuggez sans crainte ! Manuel vous couvre, Le Fromage est partant.
-n’oubliez pas : prise d’ADN
-Agent AAA est mort empoisonné
Evidemment un père qui vous jette à terre à la naissance sous prétexte que vous n’êtes pas un garçon, ça marque. Qu’elle ait eu des allures et des ambitions de garçon raté, ce ne serait pas étonnant donc. Ni qu’elle fût constamment en dépression.
J’entends parfois Héraclite me causer : angoissant.
Rhâââ… pas encore complètement… mort… stop… chiasse d’enfer… stop
« C’est bête comme la plupart des propos de ce que Tkt énonce ici… Le pire, c’est qu’il n’en a même pas conscience. Effarant. »ML.
Voilà pourquoi il chérit l’art contemporain et sa tautologie éculée, l’art c’est l’art, comme son » moins mauvais » et son « moins con ». La redondance, pour être gentil, de son « autochtone de souche » est du même acabit.
Il fait un léger complexe, apparemment.
Madame Giroud collectionnait de l’art de son époque, notamment un peintre Français toujours vivant.
Tiens bon AAA !
On t’envoie Goldmann et Sachs pour la purge… tu vas t’en sortir. Comme le Grec.
ML, voyez vous, depuis que vous avez avoué n’avoir jamais lu des textes, tout en reprochant aux autres (PC par exemple) de les avoir mal lu et de ne rien comprendre: Vos commentaires me concernant, je les relativise à l’aune de votre inconsistance.
pas étonnant donc. Ni qu’elle fût constamment en dépression.
Ugh, Dr. Hémèle a parlé.
Et indigène, autochtone de souche, c’est pas mal comme effet redondant, ML? Malheureusement, l’amoncèlement de mots n’a jamais fait une idée, ni même un concept.
Qu’en pensez-vous?
Tiens bon Thierry, on t’envoie Saladin ZZZ, Mossad ne passera pas !
J’ai compris la leçon, la haine de soi n’est pas recommandable, et j’ai bien raison donc de pratiquer l’amour de moi.
il vient un jour où les gens à recettes super (gars) comme les étymologies et l’acronymie:
il est espéré qu’il y a encore des « médecins » qui savent faire une piqûre , sans se tromper dans le produit injecté, la dose ,etc etc …….
En ce qui concerne les femmes nées dans une famille dont le père supposé est juif, elles ont appris pour beaucoup sous les coups de leur père considéré comme « la crèm des hommes » à l’extérieur mais qui les méprisaient, les filles, et les femmes , même quand , travaillant à partir de dix ou douze ans ,elles sont devenues brillantes dans leur espace d’existence, certaines devenues secrétaires dans des cabinets de ministres après des agrégations aussi (j’en connais)
alors gardez vos images et vos conseils sur la vie des juives comme Giroud
Comme ça, ni épouse ni maîtresse, plus intègre.
HR, êtes vous le visage de la naissance du monde ?
Ça ne veut pas du tout dire que je critique ceux qui ont cru bon d’avoir une épouse. Pour les reste, j’ai du mal à comprendre qu’un homme qui a une femme en veuille encore une deuxième, mais je n’aime pas parler de ce que je ne connais pas.
Insulter HR en disant que son visage est l’Origine du monde, c’est la traiter de femme à barbe.
Du reste, le tableau est un faux.
En tous cas, quand je me rase c’est chaque jour tous les matins du monde, je sais trouver la joie dans l’humilité.
Je n’ai pas besoin de Courbet pour me polluer les nuits.
F. Giroud, quoi qu’on pense d’elle par ailleurs, appartient en tout cas à l’époque bénie où on pouvait être névrosé. Muni d’une bonne et grosse névrose dans ses bagages, on pouvait se catapulter à hauteur du ressort ainsi tendu, selon ses espoirs.
Mais c’est sans doute la dernière représentante d’une humanité en voie de disparition. Mais quand la différence d’un père et d’une mère ne fera plus sens, quand on aura ôté tout sens à la possibilité que l’enfant puisse nommer ses parents (le mariage pour tous n’étant que le début d’un tel processus) ; quand le père ne pourra plus nommer entre toutes les femmes celle qui est la mère de son enfant ; quand la mère ne pourra plus nommer l’homme dont elle porte l’enfant ; quand le nom du père et le nom de la mère auront perdu tout sens pour nommer l’enfant autre que contractuel, alors, comme le dit J. C. Milner dans les Penchants criminels de l’Europe démocratique, l’enfant ne sera plus « enfant de », mais « enfant », enfant trouvé, c’est à dire perdu. Alors quand on se retournera sur sa vie, l’homme des nouvelles Lumières de Taubira et du clonage humain, dans sa plénitude et son universalité d’une raison sans limite (comme disent Finkielkraut et Lacan ensemble), l’homme nouveau ne sera plein que de vide. Il ne sera ni homme ni femme, ni père ni mère ni enfant. Sa seule épouse sera une forme dont il ignorera la loi. Il aura effacé ce que Milner appelle la quadriplicité (masculin/féminin/parents/enfant) grâce à laquelle le nom juif s’est perpétué à travers les siècles et les millénaires, il aura effacé le nom juif de la terre en abolissant la sexualité et accompli le rêve platonicien d’un homme artificiel vivant dans un éternel présent embrassant le grand Vide.
Un père qui laisse vivre un bébé de sexe féminin est « la crèm des hommes », c’est clair ! Dans notre famille, honorable, ce n’est jamais arrivé.
Ce qui est atroce, c’est que ces enfants élus, sauvés, chanceux, fassent ensuite une agrégation : on n’en guérit jamais de cette saleté …
Erreur GPS… avons sauté sur Porquerolles… stop… essuyons feu roulant de scooter… situation désespérée
la photo a été rétrécie? on voyait le chapeau entier au premier plan !qui a mangé le chapeau ?
Nul n’est besoin de tout lire pour pouvoir penser, Tkt. Seul un imbécile de votre dimension peut encore le croire. On voit que vous n’avez jamais passé un concours de l’enseignement…
on voyait aussi les visages des deux hommes derrière giroud
La photo au marbre de « l’Express » pourrait être tirée d’un film américain des années 50. JJSS vous y a un faux air de Cary Grant, Giroud est une doublure d’Ava Gardner et Mauriac se prend pour un agent du FBI. Il n’y manque même pas le chapeau mou. Toute une époque.
Qui est rétréci?
Soit c’était pas Staline, et alors je ne vois pas pourquoi.
Soit c’était Staline, et la photo ne date pas de 1954.
Toute une époque.
Vous n’étiez pas né, Onésiphore.
« les lettres anonymes antisémites envoyées par Françoise Giroud quand Jean-Jacques Servan-Schreiber, l’amour de sa vie et patron de leur Express, lui annonça son mariage avec une autre »
Moralité : on ne couche jamais avec le patron.
en ce qui concerne le tableau supposé de Courbet, j’avoue que j’aimerais beaucoup qu’il soit de Courbet et qu’on prouve qu’il est un gragment de même taleau que ce que l’on connaît comme « l’origine du monde »; ça ferit de la ba taille,, de l’argumentation dans tous ses états, de la passion à vif …. ah que ça me plait cette histoire
C’est Giroud et JJSS qui ont été recrutés pour un western.
Le type au milieu, c’est un copain de passage qui jouait Ramsès dans un péplum.
Tenez bon Saladin ZZZ !
vous savez bien qu’à Porquerolles, isle où les iguanes sont vivaces, les conservateurs tirent sur tout ce qui bouge … on vous envoie Le Brillan. Puis on s’explique à la morgue, sur le continent.
un frag !!frag!!!ment
« Dans ses bons jours, elle relève une faute de français chez Baudelaire »
Voilà une femme qui me plaît. quand il s’agit de défendre le bon usage, pas de quartier !
« Moralité : on ne couche jamais avec le patron. »
Il FAUT coucher avec le patron, mais c’est sans espoir…
« assez proche du journalisme gonzo »
C’est quoi, « gonzo » ? C’est quoi ce français ?
manque même pas le chapeau mou
..ma mère.. jean maron si on mettais les gode dans les oreille vontraube serais sourd..sinon pour le trou dballe tu fais comme dracul tu met une gouce d’aille..ca aide a pousser, dirait phil..hurkhurk
Je suis plus intelligent qu’Einstein et je n’ai pas inventé la relativité. Je suis plus juif qu’Abraham. Je suis plus, plus, plus, et plus est moins. Je suis donc moins que plus.
J’ai passé tous les concours de saut à la perche et le métro m’a empêcher de devenir le doyen futur de la Sorbonne.
Je pense donc je suis et même dans mon sommeil, je pense mieux que quiconque. La dimension de mon intellect, de ma culture, de mes névroses, voila à quoi vous tous, vous n’atteindrez jamais le sommet. Je ne suis pas humble et comment le serai-je ? Vous êtes tous des cafards, des limaces dures, des escargots sans antennes, des poules sans dents, des moutons à 5 pattes, des escaliers à colimaçon. Je suis La Mauvaise Langue, le phénix de l’internet et depuis ma terrasse ensoleillée, je vous crache dessus.
On s’absente quelques instants, et on s’en donne à gogo ici !
Je vous ai tous trouvé à la hauteur, c’est intéressant ce que vous avez dit. Il faudrait militer ardemment pour que Passou prenne la tête d’une commission de réforme du ministère de la culture. Mais qui nommer aux arts plastiques, renato ou TKT ? Les deux, peut-être ! Le système de décentralisation-fédération proposé par renato est excellent sur le papier. L’élitisme demandé par TKT pourra être recomposé au niveau régional, avec les seigneurs redescendus de la cour sur le terrain, et le tout permettra de faire remonter à Paris les oeuvres des diverses écoles locales en place des moins bonnes de la capitale. C’est de ces diverses écoles que s’est constitué notre patrimoine culturel national : l’art français.
C’est quoi, « gonzo » ?
Merde, là t’accuses ton âge, Johnny.
La mauvaise langue dit: 7 février 2013 à 19 h 28 min
Beau texte, superbe s’il est sincère.
Merci.
« depuis ma terrasse ensoleillée »
Euh…
Comment ça , Le Boug’ ?
« Pousser » … dans quel sens ?
j’essaie d’imaginer et je ne vois plus que les pieds du diablotin qui dépasseraient ..
Non ?
il ne suffit pas de penser non plus pour devenir ce que je suis, un grand névrosé.
Mais qui nommer aux arts plastiques, renato ou TKT ?
tss tss, renato ministre de l’Intérieur, TKT aux transports.
je vous crache dessus.
Tsss, Oh le malpoli, oh le malpoli !
« L’art français »
Jacky, tu dékronnes.
GRAND névrosé.
Megalo, en plus.
les pieds du diablotin qui dépasseraient
c’est pour la gégène dafnoz..tu pédale pour faire des éclair et tu dit que c’est dracul qu’a pété..c’est humain..vdqs
La mauvaise langue dit: 7 février 2013 à 19 h 28 min
Dans un premier temps, ML regrette le temps béni ou un névrosé comme lui pouvait encore faire carrière, et ensuite il nous annonce l’arrivée de l’homme nouveau né des cendres du dernier juif : super !
Et Régniez qui nous dit qu’il ne blague pas ! Sérieux ? hihihi !
( c’est vrai, Ueda, que Mauriac fait tout parcheminé .. des fausses dents en plus, il aurait pu jouer Dracula !
On galèje, on galèje …
)
Je n’ai jamais couché avec quiconque, être névrosé ne servait donc à rien. Et ces rabbins qui ne veulent même pas de moi.
Je suis perdu dans ce monde où le mariage pour tous est un affront.
XXXX[ Dites, le Boug’, quand même …. En physique, vous devez avoir des lacunes ]XXXX
A propos de fausseté (dents de Mauriac), on attend une photo, de moins de trois mois, du visage de l’Origine de Daaphnée …!
Mais qui nommer
tkt aux renseignements généraux, renato aux collectivités territoriales, chargé du désenclavement de l’alsace
on attend une photo, de moins de trois mois, du visage de l’Origine de Daaphnée …!
le petit chat est mort, paraît que ça commence à se voir.
Ueda, vous êtes trop gentil d’attendre un quelconque commentaire. Ce que je dirais avant tout de cette photographie, c’est que ce choix s’agissant d’un article sur Françoise Giroud relève d’une certaine cruauté, puisque qu’elle concerne surtout le grand insecte religieux, qu’on imagine achevant de découper au chalumeau littéraire, avec une patience, une méticulosité, une plénitude d’expert, on ne sait quelle victime (l’assassinat par « la conscience », feutré, doucereux, implacable). Il y aurait en effet tant à dire de Mauriac si on avait le temps de le relire. Léon Daudet, immense mémorialiste prétendait que « les anges de Mauriac ont des ailes en veau froid ». On pourrait commencer par là, ou par son curieux et assez abominable texte sur Proust à propos de qui il affirme par ailleurs qu’il donnerait toute son oeuvre pour avoir écrit une page de La Recherche. Mauriac est intéressant surtout il me semble par ce fait assez rare qu’il se trahit surtout dans l’éloge. Et l’abominable chaudron aux sorcières Mauriacien en vaut certainement d’autres plus exposés (l’arrière-fond, pas les actes, par lesquels et surtout aux périodes crise, il a su demeurer exemplaire). Reste qu’il y a beaucoup de raisons de le lire ou le relire. Avec cette réserve qu’un homme qui est devenu à peu près exactement ce qu’il entendait devenir ne peut être envisagé qu’avec distance et incrédulité. (Je censure ici une comparaison avec Aragon qui me semble une figure vraiment détestable, ce qui n’est pas le cas de Mauriac).
Quant à Françoise Giroud, la seule question que je me pose la concernant, c’est : a-t-elle une Correspondance ? Voyez comme George Sand est sauvée (pour reprendre un mot de la rhétorique de sacristie Mauriacienne) par la sienne. Mais ceux qui ont vécu dans ce que nous croyons ou ne croyons pas être « la pleine lumière » ont rarement grand-chose à monnayer passée l’extinction des feux.
(JC, telle la fleur ..
je ne peux pas mieux vous dire)
ta gueule keupu
Daaphnée, pour votre information, je n’ai aucune lacune en physique, dans les deux sens. Contrairement à d’autre.
s
Agent XXX à PC007…bien reçu, Chef!…dispositif en embuscade…déclenchement au 500ème commentaire des vipères (ça va donner grave!…pardon Chef, je m’égare!)…heu, Chef, y’a aussi un « JC », un « Staline », un « JJS »S, un « Passou » : on en fait quoi?…même traitement?…à vous!
..ma mère..arète ton char chalou..si tu veut troncher la dafnoz faut que tu réfléchis..avec mauriac ta toucher le fond mais cui que tu vise..cfdt
« Quant à Françoise Giroud, la seule question que je me pose la concernant, c’est : a-t-elle une Correspondance ? »
Chaloux, vous êtes le Colombo des hôtes de ces bois…
Chaloux dit: 7 février 2013 à 20 h 09 min
Ueda
oui,Francoise Giroud a une correspondance pour Lisieux et trouville à 21h22
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