de Pierre Assouline

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Pierre Birnbaum, fils reconnaissant de la République

Pierre Birnbaum, fils reconnaissant de la République

« Ca, il vaut mieux ne pas l’écrire… » Prudent, Pierre Birnbaum. On ne se refait pas. Il ne va pas être facile de mettre à nu son rosebud, ce détail invisible et profondément ancré qui le révèle mieux que tout aveu. Né à Lourdes en 1940, il est en quelque sorte un fils du miracle. Pas seulement en raison de la proximité de la grotte de Massabielle : un père juif venu de Varsovie, une mère juive venue de Dresde, des parents maroquiniers arrivés en France en 1933 et qui parlaient allemand à la maison… Pierre Birnbaum est un fils de la République mais un fils reconnaissant, tout à sa dévotion. Il a payé sa dette en publiant des livres de référence sur la sociologie de l’Etat – l’Etat français, cela va sans dire, car il est le seul selon lui à tenir pleinement son rôle. Dans les colloques, il est l’homme de l’Etat fort, qui a permis aux Juifs français de s’intégrer et de parvenir dans les sphères du pouvoir quand leurs coreligionnaires américains durent attendre le « New deal » de Roosevelt dénoncé d’ailleurs comme un « Jew Deal » en ce qu’il permit aux juristes juifs formés à Harvard de dépasser les frontières de leur Etat en accédant à Washington (voir FDR and the Jews de Breitman & Lichtman qui vient de paraître aux Etats-Unis), ainsi qu’il l’a analysé dans Les deux maisons (432 pages, 25 euros, Gallimard, 2012). Au cœur de l’imaginaire politique moderne, les deux républiques, la française et l’américaine, s’offrent comme des voies d’accès contraires au bonheur ; on y trouve des obstacles propres à chacune de leur logique. Dans la première, il n’y a d’identité que nationale dans un espace publique sécularisé; dans la seconde, les identités religieuses s’épanouissent mieux mais leur reconnaissance comme citoyenneté en souffre

Issu d’un milieu peu socialisé, ignorant des réseaux menant aux grandes écoles dont il ne connaissait même pas l’existence, la lecture des Bourgeois conquérants de Charles Morazé le poussa à la fin des années 50 vers Science Po (« Option Service public, évidemment ! ») puis en faculté de droit. Sociologue de formation, historien de profession, il est de ceux qui ont rapproché les deux disciplines jusqu’à la naissance de la sociologie historique. Raymond Aron fut son maître, tout sauf complaisant : quand il l’appelait pour le présenter, il prenait un malin plaisir à prononcer à l’allemande « Monsieur Birnbaôme ! ». Humiliant, mais passons, pas de plainte, il a horreur de ça. N’empêche, c’est déjà dur à encaisser de la part de celui dont on est proche, alors des autres… A sa soutenance de thèse en Sorbonne sur la structure du pouvoir aux Etats-Unis, Georges Lavau devenu plus tard son ami, l’interpella à la surprise générale : « Pouvez-vous nous parler de la structure du pouvoir en Israël ? ». Il ne se démonta pas face au mandarin : « Monsieur, je ne vois pas en quoi cela se rapporte au sujet de ma thèse ». Et après des fiches de lecture pour Pierre Nora chez Gallimard, une carrière universitaire. Nègre d’Aron et Bourdieu pendant un an (« Je rédigeais leurs fiches de lecture mais… ne l’écrivez pas… »), maître-assistant à Bordeaux avec François Bourricaud et Raymond Boudon, maître-assistant à Bordeaux avec François Bourricaud et son ami François Chazel, puis Paris-I, avec ses amphis d’étudiants et ses thésards auxquels il reste si attaché.

Et toujours, l’Etat, l’élite, le pouvoir. Sa spécialité, son étiquette. Jusqu’à la parution en 1988 de Un mythe politique : la « République juive ». De Léon Blum à Mendès France. C’est son outing. Notez qu’il avait toujours été juif ; mais qu’il en ait fait pour la première fois son champ de recherche a modifié le regard des autres sur lui. Certains de ses collègues se demandaient ce qui lui était arrivé alors qu’il avait tant de choses à dire dans son domaine, et l’enjoignaient de « rester avec nous ». En vain. Résultat : lui qui était au cœur de la discipline y participe moins depuis vingt ans. Tant pis pour eux. Pas de plainte : travailler et avancer.

Il aime l’Amérique, laquelle le lui rend bien. Il enseigne aujourd’hui à NYU après l’avoir fait durant sept ans à Columbia. Ah, New York, New York ! Son nirvana. Pas du tout blasé, il s’émerveille encore des lumières de la ville, de l’ouverture des bibliothèques la nuit et de son accès permanent à une banque de données de rêve. C’est d’ailleurs là, à Washington Square, qu’on lui a donné tout le temps nécessaire pour écrire son dernier livre La République et le cochon (Seuil, 208 pages, 18 euros), une analyse du retour en fanfare du porc dans le débat public, de l’enjeu politique du hallal et du cachère et de la nouvelle difficulté à partager la très républicaine « table commune » en consommant d’autres plats que ceux des autres. Les pages sur l’interdiction de l’abattage rituel en Suisse dès 1884 à l’issue d’un référendum et d’un article de la Constitution, puis dans le reste de l’Europe, en Italie fasciste, en Allemagne nationale-socialiste, dans la France de Vichy sont les plus neuves ; d’autant qu’en France, l’alimentation est un véritable marqueur identitaire ; pas seulement ce que l’on mange mais le fait de manger ensemble, la sociabilité du partage de la table. Pour les juifs et les musulmans, le cochon est par excellence la viande de l’Autre. Il symbolise l’ensemble de ce que la cacherout et le hallal rejettent, même si Adolphe Crémieux, président du Consistoire israélite dans les années 1840, mangeait du porc sans état d’âme. Et aujourd’hui ? A ses yeux, l’existence non pas d’une nourriture rituelle mais de menus végétariens à côté de menus volontiers charcutiers, dans les écoles publiques comme dans les banquets, partout où l’on partage la table, permettrait de dénouer les tensions, d’éviter les crispations et de résoudre une question qui n’a pas lieu d’être (il en dit davantage dans une conversation avec Victor Malka sur France-Culture)

Birnbaum se connaît peu de concurrents, en dehors de Maurice Kriegel, car « ces sujets », entendez les rapports entre les Juifs Français et le pouvoir, n’ont pas encore conquis leur légitimité. On lui fait crédit de l’invention de formules-concepts telles que « les fous de la République » et les « Juifs d’Etat » même s’il convient qu’il n’existe pas de brevet Lépine pour ce type de trouvailles. « Si vous pouvez éviter de l’écrire… » Décidément, il est précautionneux. Il n’y a pourtant rien d’extraordinaire à raconter qu’il a toujours reçu des lettres d’insultes anonymes, qu’il admire le Céline du Voyage au bout de la nuit, qu’il place l’Aurélien d’Aragon aussi haut qu’A la recherche du temps perdu. Certes mais… : « On ne va pas se plaindre, non ? On a une chance folle en France. Vous en connaissez beaucoup, des sociétés qui offrent de tels espaces de liberté ? »

Là gît son paradoxe : il n’a pas son pareil pour jeter un pavé dans la mare, mais dans le même temps, il fuit toute polémique. Des exemples ? Dans La France aux Français. Histoire des haines nationalistes (1993, 2006), il avait osé s’attaquer au grand André Siegfried et déboulonner sa statue dans un chapitre où il racontait son cours sur les crânes en 1942 au Collège de France – ce qui avait incité les éditions du Seuil à soumettre le manuscrit à leurs avocats. Evoque-t-on son audace qu’il tempère aussitôt : « J’ai le courage de travailler sur des choses difficiles et de les présenter mais pas le courage de les défendre en public. » Autre exemple : au lendemain d’un entretien télévisé au cours duquel le président Mitterrand avait prétendu sans être contredit que le statut des Juifs promulgué par Vichy ne concernait que les étrangers, il remplit toute la page 2 du Monde pour lui opposer un cinglant démenti textes à l’appui. Mais ne lui parlez pas des intellectuels médiatiques et autres bateleurs d’estrade, il balaie les noms connus d’un revers de main et passe aussitôt à autre chose. A ce à quoi il croit : le travail, la recherche, l’exigence, la précision, la minutie. Le reste n’est même pas littérature. Son imagination de chercheur lui vaut de trouver à chaque fois des angles nouveaux ignorés, oubliés ou négligés par les autres. Mais…

« Ca non plus, ce n’est vraiment pas la peine de l’écrire ! ». En fait, ni prudent ni précautionneux : « Plutôt austère ». A propos, et son rosebud ? Un drôle de mot, juste un mot, énigmatique à souhait, comme il se doit, mais qui dit tout : Omex. C’est le nom d’une commune pyrénéenne, dans la vallée de la Batsurguère. Quand il y vivait, elle comptait quelque 230 habitants. C’était pendant la guerre. Un couple de paysans sans enfant les avaient recueillis, lui et sa sœur. Ils les ont sauvés tandis que leurs parents se cachaient tout près, à Lourdes. Cela dura toute l’Occupation et nul ne les dénonça alors que tout le monde savait. Ce séjour lui fut une école de silence et de discrétion. Il lui en reste l’habitude de s’exprimer doucement. Devant notre perplexité, il fait signe de se rapprocher et, retrouvant sa diction d’enfant, murmure à l’oreille : « Faut paler tout doucement, y a des Allemands patout ». Devenu adulte, il a régulièrement rendu visite à ces héros simples. Il le raconte sans plainte ni larmoiement, mais avec un sentiment de nostalgie mêlé de terreur. Citer Omex, c’est leur rendre hommage. « Et ça, vous pouvez l’écrire. »

(« Square du Vert-Galant, île de la cité, Paris, 1953 » photo Henri Cartier-Bresson ; « Pierre Birnbaum » photo E.mannuelle Marchadour)

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commentaires

738 Réponses pour Pierre Birnbaum, fils reconnaissant de la République

scandale en vue dit: à

d’ue part oui, il y a des photos et ‘pas n’importe lesquelles photos qui soulignet que question politique de « représentation » et de lieux, et de temps
je e me souviens pas avoir vu dans ma jeunesse à Paris des juifs célébrer le rituel de Tachlikh , comme je l’ai vu e plusieurs lieux avec une foule abondante de familles avec leurs enfants .
En ce qui concerne « la sociologie, je rappelle u article d’une sociologue juive :
Dominique Schnapper souligne combien tout juif est une sorte de sociologue spontané, porteur d’interrogation sur le monde qui l’entoure. « Danger encore plus grand pour qui se risque à aborder ce sujet infini : les juifs sont tous des sociologues ou, si l’on veut, la conscience de la judéité constituant une dimension essentielle, parfois unique de la judéité, les juifs développent spontanément des théories sociologiques du judaïsme en général et de leur propre judaïsme. La différence entre cette sociologie spontanée et la sociologie qui se prétend savante est difficile à maintenir. »1 Cette caractéristique constitue pour l’entreprise sociologique à la fois un obstacle, et par l’acuité du questionnement et du regard qu’elle implique, une précieuse source d’information. »
commenter donc cette photo c’est la commenter das sa relation au billet.
voici le lien:
http://ress.revues.org/265

u. dit: à

Tout au fond à droite, sur le dernier banc, on reconnaît bouguereau.

On distingue mal ce qu’il mange, mais ça me semble un défi à toute décence rituelle.

Casse-croûte oui, kashrout non.

Jacques Barozzi dit: à

Le square du Vert-Galant, aménagé sur l’ancienne île aux Juifs, est situé au milieu d’un pont, le pont Neuf, le plus vieux de Paris, et entre deux ponts, on aperçoit au fond le pont des Arts, qui est en fait une passerelle. Par la gauche, où l’enfant va s’enfuir avec le sac de la vieille, il est relié au quai, celui là même qui conduit à Notre-Dame, en passant devant le 36 quai des orfèvres, où l’attend le débonnaire inspecteur Maigret : là est le rosebud de Passou !

scandale en vue dit: à

je ne le lien

renato dit: à

Donc, tout au fond à droite, sur le dernier banc, on peut recenser un Pokémon-bouguereau-mangeant… pour en comprendre la métamorphose il faudrait connaître l’aspect économique…

Jacques Barozzi dit: à

Depuis le pont-Neuf, jadis couvert de maisons, et précédant le palais de Justice, se déploie en toute majesté la place Dauphine, où se trouvait la « roulotte » de Simone Signoret et Yves Montand, surplombant le restaurant chez Paul. Cette place, comme la place des Vosges, est un des premièrs aménagements urbanistiques de la capitale, voulu par Henri IV, dont on peut toujours admirer la statue, qui avait été fondue par les Allemands durant l’Occupation. Sur la rive gauche, le pont fut prolongé par la rue Dauphine, baptisée ainsi en hommage au fils d’Henri IV, qui lui a sa statue au centre de la place des Vosges, ex-square Louis XIII…

Jacques Barozzi dit: à

Fils reconnaissant de la République ou de la Monarchie ?

bouguereau dit: à

mais ça me semble un défi à toute décence rituelle

si que le jardin avait été un pelé du neuftrois on aurait dit un gaulois mangeant un jambon beurre..évidemment lassouline nous fait le coup des images compassées reconnaissante de la république pis tout..mon cul, mon cul voilà tout zouzou
alors dracul..tu crois birnbaum assez con pour ignorer qu’a l’école etc?..lache et faux cul dracul..banal quoi

bouguereau dit: à

Pokémon-bouguereau-mangeant

pour les pokémons faut une franchise renato

Jacques Barozzi dit: à

La convivialité autour d’une table ne peut se faire qu’à travers la même cuisine, laique et républicaine, inviter les religions au menu, c’est le début des divisions…

Jacques Barozzi dit: à

…dès le dessert, c’est la guerre !

Jacques Barozzi dit: à

Tout est bon dans le cochon.
Porkémonement

bouguereau dit: à

les juifs sont tous des sociologues ou, si l’on veut, la conscience de la judéité constituant une dimension essentielle, parfois unique de la judéité, les juifs développent spontanément des théories sociologiques du judaïsme en général et de leur propre judaïsme. La différence entre cette sociologie spontanée et la sociologie qui se prétend savante est difficile à maintenir

supérieurement gr!t..bravo renfield, parfait..vdqs..je te dis pas ce qu’un simmel t’aurait bouffé tout cru, d’un coup, cacheroute ou pas, les vrais appétits ne connaissent pas la lois

renato dit: à

« dès le dessert, c’est la guerre ! »

Là vous êtes optimiste, Jacques, à mon avis les hostilités commencent aux antipasti…

La mauvaise langue dit: à

Non, ça m’est venu par hasard. Tout vient par hasard. Lire Pascal. Mais le hasard qui vient c’est ça précisément le signe de la grâce, lire à nouveau Pascal. Quand le hasard est venu, on appelle ça le destin.

La mauvaise langue dit: à

Je viens de voir quelques Daguerréotypes du Pont Neuf. On a beau dire, c’est quand même très émouvant.

Une devinette : où suis-je ?

Bloom dit: à

quand leurs coreligionnaires américains durent attendre le « New deal » de Roosevelt dénoncé d’ailleurs comme un « Jew Deal » en ce qu’il permit aux juristes juifs formés à Harvard de dépasser les frontières de leur Etat en accédant à Washington

===

Les législations hostiles aux Juifs eurent la vie dure aux US, notamment dans la première partie du 20es. Par exemple, il a fallu attendre 1916 pour qu’un Juif, en l’occurence Louis Brandeis, soit nommé à la Cour Suprême. Depuis, ils n’ont été que 7 à faire partie des 9 (Benjamin Cardozo , Felix Frankfurter, Arthur Goldberg, Abe Fortas, et aujourd’hui Ruth Bader Ginsburg, Stephen Breyer et Elena Kagan).

La mauvaise langue dit: à

Je recommande à tous la cuisine juive marocaine. J’ai jamais aussi bien mangé que dans un restau juif marocain à Beer-Sheva. On en rêve après toute sa vie…

La mauvaise langue dit: à

Ouais et aux dires de Poirier, ça va pas s’arranger aux States pour les Juifs.

bouguereau dit: à

Une devinette : où suis-je ?

sur ton gros cul dracul..cte question

La mauvaise langue dit: à

Une colle :

qui a écrit ? Et de qui est-il question ?

« Il savait qu’il n’avait pas été un saint et que, de toute façon, nul ne pouvait se vanter d’être en état de paraître devant Dieu. Tout juste espérait-il être digne de mériter sa grâce. »

Personne ne trouvera, c’est sûr !

bouguereau dit: à

J’ai jamais aussi bien mangé que dans un restau juif marocain

ça vaut pas un restau juif de sainte menehoud faisants des pieds de cochon dracul..chte dit pas

bouguereau dit: à

menehould dracul..mais tu trouvras jamais tellement t’es con

Jacques Barozzi dit: à

« Une devinette : où suis-je ? »

Au musée Carnavalet, dans la chambre de Proust

La mauvaise langue dit: à

Non

La mauvaise langue dit: à

La citation est un indice. Mais un indice pour vous perdre…

Sergio dit: à

Jacques Barozzi dit: 9 mai 2013 à 15 h 55 min
dans la chambre de Proust

Comme il se levait à seize heures, ça laisse le temps de voir…

Jacques Barozzi dit: à

Au restaurant de la mosquée de Paris

renato dit: à

« Personne ne trouvera, c’est sûr ! »

Étant donné que, « de toute façon, nul ne pouvait se vanter d’être en état de paraître devant Dieu », on s’en fout et pas que peu car il faudrait déjà que Dieu soit en état de paraître devant moi ou n’importe quel autre vivant, humain ou pas humain, sans le masque dont l’habillent ses concierges.

Bihoreau de Bellerente dit: à

Dans quelle mesure doit-on rester fidèle à ses origines, si tant est qu’il faille le rester? Je ne m’habille pas comme on le faisait au XIXe, au XVe, ou sous Charlemagne. Jésus n’a t-il pas dit que le Sabbat devait servir l’humain, et pas le contraire? Cet intégrisme alimentaire cache un malaise identitaire. Il fut un temps où la pire semelle devait céder sa place au plus exquis saumon: vendredi oblige.
Est-on meilleur Juif, meilleur Mahométan, parce qu’on ne mange pas de porc?

bérénice dit: à

Bihoreau les hommes sont mauvais avec ou sans porc ils se réfugient derrière le paravent pour expier leurs péchés, les incroyants ne valent guerre mieux voyez le cas ML qui tiraillé par ses gènes enfouis non reconnus par le service religieux déclare la guerre à tous les musulmans sans compter sans prendre une sur le coin du nez, ce que c’est que de débattre sans fin!

Sergio dit: à

Bihoreau de Bellerente dit: 9 mai 2013 à 16 h 14 min
Est-on meilleur Juif, meilleur Mahométan, parce qu’on ne mange pas de porc?

Non, de toute évidence ; en revanche, pour les questions de silhouette, cela peut provider un coup de main…

Sergio dit: à

bérénice dit: 9 mai 2013 à 16 h 38 min
les hommes sont mauvais avec ou sans porc

Ca dépend y a la colère de la faim…

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…j’ai trouver des différences de mentalité entre nous,…

…il y en a  » des « , qui pensent en  » fourmis  » jeux de domino ,…et certains en  » abeilles  » acrobate 3D ,…
…j’y voie un peu plus clair,…merci,…etc,….bizzz !,…bizzz !,…

bérénice dit: à

Sergio l’escalier élève autant le motif qu’il rend la chute brutale et décevante mais ceux qui occupent l’étage supérieur s’arrangent avec les droits. Ceci dit ne voyez pas qu’il faille désespérer tout à fait.

u. dit: à

Je ne m’habille pas comme on le faisait au XIXe ou au XVe,

La différence entre les deux, c’est la dissimulation hypocrite du codpiece.

bérénice dit: à

u. si ce n’est pas trop demander à quoi faites- vous référence? codpiece?

renato dit: à

Enfin ! bérénice, c’est la braguette version XVe et XVIe siècles, avec mise en valeur de ce qu’elle est censée cacher…

bérénice dit: à

U. surement un indicible détail si j’en crois votre silence

bérénice dit: à

merci renato mais je ne sors plus depuis le XIIIème, je ne pouvais pas savoir!

bérénice dit: à

mise en valeur? Et qui rejoignait l’étui pénien? Si oui quel avantage! un peu l’équivalent du soutien-gorge au masculin?

Sergio dit: à

renato dit: 9 mai 2013 à 17 h 04 min
la braguette version XVe et XVIe siècles, avec mise en valeur de ce qu’elle est censée cacher…

C’est encore un cirque, quand ça se coinçait, là-dedans…

bérénice dit: à

quoique verge et testicules aient tout à envier à nos gorges profondes!

Sergio dit: à

bérénice dit: 9 mai 2013 à 16 h 49 min
l’escalier élève autant le motif qu’il rend la chute brutale et décevante

Ha mais là y a pas le choix, à part le Roux-Combaluzier ou alors des roues carrées comme dans les Shadoks…

bérénice dit: à

Ne badinons plus avec vos attributs non littéraires qui ne réussissent qu’à surcharger les pages de vilainie sauf à être marquis

christiane dit: à

@Jacques Barozzi
Vous lisant (dans vos différentes remarques), je pense à un dialogue désopilant sur France-Culture. C’était mardi dernier, dans l’émission « Hors-Champs de Laure Adler (22:15). Elle invitait, ce soir là, Schlomo Sand. Et, apparemment, ils ne se comprenaient pas du tout ! Écoutez. Je crois que vous allez sourire !
http://www.franceculture.fr/emission-hors-champs-shlomo-sand-2013-05-07

Sergio dit: à

« leurs coreligionnaires américains durent attendre le « New deal » de Roosevelt »

Boh les Castellamarais ils ont pas du tout attendu, mais alors aucunement, Lucky non plus…

Les petits comptes de Bloom dit: à

Bloom dit: 9 mai 2013 à 15 h 44 min

Comment faire raconter n’importe quoi à des chiffres.

% de la population juive aux US < 2 %

XXème siècle : Nombre total de juges inférieur à 100(nommés à vie)
Donc 7 juges(2 actuels ont été nommés au XXème) sur moins de 100 vs moins de 2% de la population "actuelle", problème ?

Actuellement 3 sur 9

Naf-Naf dit: à

boudegras = chorée de Huntington verbale !

J.Ch. dit: à

ach ! la compréhension entre les êtres… de quoi sourire en effet

DHH dit: à

ML
vous avez effectivement mangé en israel la seule cuisine comestible
les juifs Ashkenaz en Israel comme en france ont tout pour eux;dans leur grande majorité ils ont mille dons ,ils sont cultivés ,musiciens,ils ont la passion de l’etude,certains sont des scientifiques exceptionnels,mais question cuisine ,c’est la Berezina:peu de varieté ,aucune inventivité ,quelques classiques lourds et insipides comme la carpe farcie et le foie aux oignons
Mais cette cuisine judeomaghrebine traditionnelle que vous avez decouverte en Israel ,mais que vous pouvez continuer à deguster dans maints restaurants parisiens ,c’est un feu d’artifice de saveurs de couleurs,de textures; elle ne se reduit pas au sempiternel couscous comme certains le croient ;elle compense la pauvreté des produits par l’ingeniosité de la preparation .
qui avant d’y avoir goûté peut croire qu’on fait un plat delicieux avec de la rate,une salade splendide avec des oranges ameres,ou qu’on peut cuisiner les coings autrement que pour en faire de la gelée?

scandale en vue dit: à

« Ca, il vaut mieux ne pas l’écrire… » Prudent, Il ne va pas être facile de mettre à nu son rosebud, ce détail invisible et profondément ancré qui le révèle mieux que tout aveu.
mais pourquoi est-ce ce rosebuud que désire P.
Assouline ? le défi ? jeté à qui ?
n’est-ce pas toujours à la mort , et la sienne.
par ce qu’o m’éleva dans une véritable folie de secrets de us et des autres , dont certains disposaient comme leur bien propre, en les « remastérisant », je suis assez allergique aux personnes qui fonctionnent sur le principe de mettre à nu, démasquer , détenir des « vérités » des autres, de leur histoire , alors que je conçois beaucoup mieux les personnes qui ne tiennent pas plus ça à ce que l’on dise qu’à dire .lors- qu’il s’agit de la biographie d’une personne .
Mais cela ne fait pas le miel du journalisme, ni de la critique .

scandale en vue dit: à

qui avant d’y avoir goûté peut croire qu’on fait un plat delicieux avec de la rate
sans doute mais encore y a-t-il des gens auxquels il ne faut pas dire les ingrédients .

scandale en vue dit: à

lourds et insipides
vous êtes trop aimable !

Bihoreau de Bellerente dit: à

Parlant de la Cour suprême étatsunienne, 6 juges sur 9 sont catholiques, ce qui aurait suscité beaucoup d’inquiétude il y a vingt ans à peine. Depuis, les protestants conservateurs préfèrent des cathos conservateurs à des protestants progressistes.

scandale en vue dit: à

il faut dire que les artistes américains surtout excellent à envoyer des photos aguichantes de plats cous comme des oeuvres d’art !

scandale en vue dit: à

conçus

La mauvaise langue dit: à

Laure Adler est excellente dans son entretien avec Shlomo Sand. Elle le pousse dans ses retranchements. Dans sa vision du Proche-Orient, il nie perpétuellement la haine des Arabes à l’égard de l’Etat israélien. Si la paix n’a pas marché malgré la bonne volonté des Israéliens qui étaient même prêts à céder Jérusalem Est aux Arabes, c’est bien parce que les Arabes n’ont jamais voulu la paix avec les Juifs. Tant qu’on n’aura pas pris en compte dans l’équation du Proche-Orient cette donnée de base, on se racontera de belles histoires mais qui n’ont aucun rapport avec la réalité.

Et Laure Adler le met au pied du mur de ses propres contradictions.

DHH dit: à

@scandale en vue 18 h 14

vous ecrivez : »sans doute mais encore y a-t-il des gens auxquels il ne faut pas dire les ingrédients »
votre remarque m’amene à preciser que quand j’ecris « rate » je ne parle pas de la femelle du rat mais de l’organe que les anglais appellent spleen.
neanmoins quand j’en demande chez le tripier ,on me pose toujours la question de savoir si c’est pour un chat et en general j’opine lâchement

La mauvaise langue dit: à

Il est vraiment torturé, ce Shlomo Sand. C’est bien un vrai Juif !

scandale en vue dit: à

on a compris DHH vos sommets de légèreté de supermarché !
et avec la farine azyme, vous dites que c’est pour vos fards ?

scandale en vue dit: à

il y a des gens auxquels on ne fera jamais manger des abats, s’ils e meurent pas de faim .
mais j’ai connu un bon père de famille français , juriste, professeur de fac, qui mettait l’assiette de sa fille par terre, et elle devait la manger par terre les mains attachées derrière le dos : ce que c’est beau l’éducation en matière de manières de table

scandale en vue dit: à

s’ils ne meurent pas de faim

Sergio dit: à

scandale en vue dit: 9 mai 2013 à 18 h 10 min
assez allergique aux personnes qui fonctionnent sur le principe de mettre à nu, démasquer , détenir des « vérités » des autres, de leur histoire

Yes.

Sigismond dit: à

il est vraiment raciste, ce LML, c’est bien un vrai français !

christiane dit: à

Oui, ML, elle est excellente (mais comme le dit J.Ch, un sourire en philosophant sur la compréhension entre les êtres). Si un jour elle vous invite, ML, aie aie aie… Vous êtes encore plus torturé que Schlomo Sand!

bouguereau dit: à

ce keupu..lâche et con

bouguereau dit: à

j’ai connu un bon père de famille français

lire catholique

bouguereau dit: à

Laure Adler est excellente

l’excellence, mais ça se mesure au prorata

scandale en vue dit: à

lire catholique
c’est vous qui le dites! je ne l’ai pas su .
si mauvaise langue est torturé ? ah bon ?
parce qu’il est amoureux d’une poupée gonflable ?

bouguereau dit: à

qui avant d’y avoir goûté peut croire qu’on fait un plat delicieux avec de la rate

n’exagérons rien..mais n’importe quel chef de brasserie le sait..c’est pas cher et ça peut rapporter gros

scandale en vue dit: à

Si mauvaise langue est amoureux d’une poupée gonflable, c’est de la faute à Judith

bouguereau dit: à

qu’on peut cuisiner les coings autrement que pour en faire de la gelée?

aucun mais aucun arabe ne le sait

bouguereau dit: à

c’est vous qui le dites! je ne l’ai pas su

quand tu es dans le doute tu t’arranges pour les autres ne s’abstiennent jamais

renato dit: à

Emerson dit, très justement, que le problème de rendre au monde sa beauté originelle et éternelle trouve sa solution dans le rachat de l’âme. Il dit aussi que la ruine ou le vide que nous voyons dans la nature est dans notre œil.

scandale en vue dit: à

mai on peut recommander à judith le livre de
goody
1982 Cooking,Cuisine and Class: A Study in Comparative Sociology

n. de s. dit: à

Sergio dit: 9 mai 2013 à 18 h 48 min
scandale en vue dit: 9 mai 2013 à 18 h 10 min
assez allergique aux personnes qui fonctionnent sur le principe de mettre à nu, démasquer , détenir des « vérités » des autres, de leur histoire
Yes.

Mais déboulonner, patron?

Sergio dit: à

n. de s. dit: 9 mai 2013 à 19 h 29 min

Mais déboulonner, patron?

Ce pauvre Joseph est une victime, poursuivie par son dossier de l’Okhrana : chaque fois que ça transpirait un peu plus, crac ! Purge. Mais sinon, le meilleur homme du monde, et le plus charmant compagnon…

bouguereau dit: à

Cooking,Cuisine and Class

toutafé renfield..les abats c’est pas cher et c’est pleine de vitamine..c’est bon uniquement s’il y a un marché : la fraicheur c’est la clef..à l’est les prols ont un truc assez super, c’est la fermentation lactique, le lard fermenté par exemple, c’est pas dégueu du tout, avec de la gnole

mémémémé dit: à

scandale en vue dit: 9 mai 2013 à 18 h 10 min

je suis assez allergique aux personnes qui fonctionnent sur le principe de mettre à nu, démasquer , détenir des « vérités » des autres, de leur histoire

scandale en vue dit: 9 mai 2013 à 19 h 11 min

Si mauvaise langue est amoureux d’une poupée gonflable, c’est de la faute à Judith

mal vu mal dit: à

‘ an evil lung winds ‘

Je n’y arrive pas assez bien tant c’est trop ouf. Qui voudra s’adjoindre à moi pour m’aider (quoi que j’aurais bien ma petite idée). Aucune récompense à espérer.

contre péteur dit: à

Il faut des êtres de certitudes et d’autres, de doute, pour entretenir la discussion.

Toujours à souffler du cul sur la commode le Polémikoeur, il doute de rien

scandale en vue dit: à

les débats sur la filiation sont de ceux qui mobilisent le plus les gens en occident (enfants nés sous X, adoption , PMA,…)tt la question de la rconnaissance avec son avers que l’on dirait l’ingratitude ,, et bien sûr la « dette »,avec le suicide, traversent nos sociétés.
la date à laquelle est morte A.L.Stern est une signature est une des très impressionnantes signatures, sans grandiloquece , à ce défi de notre temps

david dit: à

apropos du bobo shlomo sand ici en israel il se parle a lui seul ses propos sont tournes surtout au publique francais

Virginia L dit: à

La vie nous marque et nous fait devenir. Pierre Birenbaum en est un exemple.

La mauvaise langue dit: à

Et il faut ajouter, david, pour être complet, public français exclusivement antisioniste, propalestinien et un tantinet aussi antisémite…

scandale en vue dit: à

le détail qui me trouble beaucoup à propos du syndrome d’anniversaire -puisque c’est le nom que l’on donne à cette forme si singulière d’attestation psychogénéalogique, c’est que le premier moment de son identification,comme constat, est le fait d’un enfant selon ce que rapporte Anne Ancelin Schützenberger .
il est très impressionnant qu’il se soit tant vérifié dans l’histoire , chez des gens dot les défis n’étaient pas dans les cercles psychalytiques

scandale en vue dit: à

dont (les défis)

abdelkader dit: à

La mauvaise langue dit: 9 mai 2013 à 18 h 24 min
Les palestiniens, c’est bien connus, préfèrent crever dans des camps de refugiés plutôt que sur leur terre ancestrale… ce sont des masos notoires et c’est un fait connu et reconnu par le monde entier…enfin, quand je dis le monde entier, surtout par un p’tit créin d’illuminé qui enseigne la récitation aux élèves de 5eme en ZUP, un faux-juif raciste, malsain et plus sioniste qu’un colon de Brooklyn…
Sinon, sur le sujet de rosebud, j’ ai connue une dame bien comme il faut hein, une qui pétait dans la soie, comme dit mon pote Francis…et elle désignait ainsi son plus petit orifice, …c’est bon, tirez pas sur moi, je sors au resto de toute façon…

DHH dit: à

dans le registre ethnosociopsychologique culinaire, et dans la veine initiée avec le « cru et le cuit » un autre ouvrage interessant ,et celui-là en français :joelle Balhoul:le culte de la table dressée

La mauvaise langue dit: à

Quelle terre ancestrale ? Un fantasme ! Les Juifs y étaient mille ans avant J.-C. Les Arabes l’ont occupée après 632 ! Les Arabes n’ont rien à faire là. Hébron, c’est là que se trouve le tombeau des patriarches. Abraham l’a acheté en son temps pour s’y faire enterrer. Le tombeau de Rachel se trouve aussi dans cette région, la Judée-Samarie. Les terres juives sont là, comme le disait Shlomo Sand dans son entretien avec Laure Adler.

Quant aux prétendus palestiniens, on ne connaît chez aucun peuple des réfugiés qui augmentent en nombre au fur et à mesure que les années passent… En plus, ce sont les Arabes qui sont la cause des réfugiés comme monnaie de chantage à venir avec l’Etat juif. Comment peut-on espérer faire un jour la paix avec des gens aussi menteurs, aussi hypocrites, avec autant de mauvaise foi ?

bérénice dit: à

Les affluents participent de la crue le niveau monte et Troyes sinistrée, jolie ville à colombages, je plains ses habitants.

scandale en vue dit: à

ce que ne sident pas les présentztions françaises
non plus que D.H.H elle même c’est que le titre reprend une trduction en français d’un livre qui fait autorité dans le judaïsme déjà signalé sur le blog de P.Assouline
The Shulchan Aruch (Hebrew: שׁוּלחָן עָרוּך‎ [ʃulˈħan ʕaˈʁuχ], literally: « Set Table »)[1] also known as the Code of Jewish Law, is the most authoritative legal code of Judaism. It was authored in Safed, Ottoman Eyalet of Damascus, by Yosef Karo in 1563 and published in Venice two years later.[2] Together with its commentaries, it is the most widely accepted compilation of Jewish law ever written.

John Brown dit: à

Position réversible : pour le mangeur de cochon, l’Autre, c’est celui qui, pour des raisons religieuses, refuse d’en manger. Dans la culture française, l’interdit sur la viande de cochon et la circoncision sont les marqueurs de l’altérité.

scandale en vue dit: à

les douleurs qui me tordent le cou sont trop violentes et je dois sortir .
donc stop pour moi

John Brown dit: à

Quelle terre ancestrale ? Un fantasme ! Les Juifs y étaient mille ans avant J.-C. Les Arabes l’ont occupée après 632 ! Les Arabes n’ont rien à faire là. Hébron, c’est là que se trouve le tombeau des patriarches. Abraham l’a acheté en son temps pour s’y faire enterrer. Le tombeau de Rachel se trouve aussi dans cette région, la Judée-Samarie. Les terres juives sont là, comme le disait Shlomo Sand dans son entretien avec Laure Adler. (rédigé par LML)

Sur un mur près de chez moi, ce tag : « Palestine, ta terre, tu finiras par l’avoir « . Louons la longue patience du peuple palestinien. Amis du Hezbollah et du Hamas, encore un effort, et l’on verra à qui appartient la terre de Palestine.

John Brown dit: à

 » un faux-juif raciste, malsain et plus sioniste qu’un colon de Brooklyn…  » (rédigé par Abdelkader)

Comme c’est bien dit. Permettez-moi d’ajouter : fasciste et néo-nazi.

n. de s. dit: à

Je pense à un dialogue désopilant sur France-Culture. C’était mardi dernier, dans l’émission « Hors-Champs de Laure Adler (22:15). Elle invitait, ce soir là, Schlomo Sand. (christiane)

Vraiment?
« Je me presse de rire de tout », comme dit l’autre, mais là je suis perplexe.
A cause de l’accent israélien?
A cause des avis (en apparence) opposés? Mais le débat, sans grande surprise, m’a paru tout à fait clair.
Combien de dialogues de sourds, à côté, entre Français!

Sand est discutable au bon sens de ce terme: il y a motif et matière à discussion.
Il y a de la passion bien sûr, mais elle est inévitable sur un tel sujet, comme vous le savez.

John Brown dit: à

« public français exclusivement antisioniste, propalestinien et un tantinet aussi antisémite… » (rédigé par LML)

Heureusement, en effet, le public français est majoritairement antisioniste et pro-palestinien. a noter à ce sujet l’excellente attitude de beaucoup de journalistes, tant de la presse écrite que de la presse audiovisuelle.

u. dit: à

Et merde.
n. de s. > u.
(pardon, patron)

John Brown dit: à

« Les Arabes l’ont occupée après 632 ! Les Arabes n’ont rien à faire là. » (rédigé par LML)

2013 – 632, ça fait tout de même près de quatorze siècles. Et en 632, ça faisait belle lurette que les Juifs n’y étaient plus très nombreux. Les arrangements de LML avec l’Histoire sont sidérants ! Mais l’essentiel pour lui, n’est-ce pas, c’est que le peuple juif dispose de son espace vital ; c’est un des points essentiels de la doctrine non écrite d’Israël depuis sa fondation; et c’est au nom de cette quête de l’espace vital que ce peuple arrogant continue de voler sa terre au peuple palestinien. Mais espace vital, espace vital, ça me rappelle quelque chose … Mais quoi ? ah oui : « Mein Kampf », où avais-je la tête ?

u. dit: à

Mauvaise Langue, mon ami, je suis soudain inquiet

A 18 h 24 min, vous êtes parfaitement discutable, également au bon sens de ce terme (et certes Sand ne répartit pas équitablement sa critique).

Que s’est-il passé à 21h18?
Pourquoi diable, tout d’un coup, ce compte de fée (Abraham l’a acheté en son temps)?

renato a parlé un jour de l’effet litron.
Naturellement, je n’en crois pas un mot.
Une autre exploration historico-littéraire? Pourquoi pas, mais il manquait les guillemets.

John Brown dit: à

 » mauvaise langue est amoureux d’une poupée gonflable  » (rédigé par scandale en vue)

ça ne m’étonne pas de cet impuissant. Et si la hargne de LML avait sa source dans une frustration sexuelle chronique ? LML baise-t-il assez ?  » Assez » est de trop : baise-t-il ? A-t-on suffisamment noté que les accès haineux de LML se multiplient en fin de journée, quand la nuit tombe, quand le poids de la solitude malsaine s’abat sur le bouc nauséabond en manque ?

u. dit: à

Et voilà, je suis placé à côté de John Brown, cet affreux qui vole les goûters, dans une sorte de tir convergent, avec plein de douilles à nos pieds.

Voici un peu de Grand Siècle, qui est au moins une passion commune.

En 1672, Mme de Sévigné écrit à sa fille:
« M. de Boufflers a tué un homme après sa mort. Il était dans sa bière et en carrosse; on le menait à une lieue de Boufflers pour l’enterrer; on verse; la bière coupe le cou du pauvre curé »

Chez La Fontaine ça devient:
Un mort s’en allait tristement
S’emparer de son dernier gîte;
Un curé s’en allait gaiement
Enterrer ce mort au plus vite, etc
(Le Curé et le mort).

Ne laissons pas les morts nous assassiner, chers amis!

Buona serata

John Brown dit: à

« renato a parlé un jour de l’effet litron. » (rédigé par u.)

L’effet litron ? Sur LML ? Pourquoi pas, après tout. Ce n’est pas incompatible avec l’abus de la branlette. Ah! qui saura dire l’horreur des fantasmes sexuels d’un sioniste ? Mais que dis-je… Il existe des sionistes heureux, et même des sionistes intelligents. Il faut donc incriminer, dans le cas de LML les fantasmes d’un sioniste malheureux et inintelligent … malheureux parce qu’inintelligent. il est vrai que, si je me fie aux scènes du film « Entre les murs », ça ne doit pas être de la tarte tous les jours d’enseigner (quoi,d’ailleurs, au juste ? est-ce que LML est capable d’enseigner quelque chose ?) à des minots de quatrième, pour la plupart issus de peuples qui ont déjà beaucoup trop souffert pour que leurs rejetons supportent qu’un prof blanc, français, de culture approximativement judéo-chrétienne, les fasse chier avec le subjonctif imparfait du verbe « être ». Que je suce, peut-être, à la rigueur, mais que je fusse, va donc, eh, bouffon !

John Brown dit: à

Et voilà, je suis placé à côté de John Brown, cet affreux qui vole les goûters, dans une sorte de tir convergent, avec plein de douilles à nos pieds. (rédigé par u.)

Ah non mais dites-donc vous … je vole à votre secours, et c’est avec ce genre de compliments acides que vous me remerciez ? C’est ça, minaudez, faites votre grand siècle, citez La Fontaine… L’infâme LML eût-il voulu que vous m’assassinassiez qu’il n’en aurait pas été autrement.

John Brown dit: à

Un mort s’en allait tristement
S’emparer de son dernier gîte;
Un curé s’en allait gaiement
Enterrer ce mort au plus vite, etc
(Le Curé et le mort). (cité par u.)

En attendant, c’est sublime. Sublimement naturel et naturellement sublime. Et c’est tout le temps comme ça dans les « Fables »; c’est comme la Bible, on ouvre au hasard et on est sûr d’avoir son compte plein. Lire La Fontaine, c’est savourer le bonheur béat d’être, sinon Français, du moins francophone.

B. dit: à

OK,…
Mais sans les bonnets blancs,
quel intérêt cette photographie ?.

B. dit: à

Yes !
deux petites taches blanches au premier plan,
plaisir : 1953, Un 50/1,4 en argentique,
savoir se promener avec un Leica ou autre,
sous la veste,
et shooter lors le plaisir est !.

Ah que je vous emmerde avec votre nouvelle photographie !.

u. dit: à

« Voici un peu de Grand Siècle, qui est au moins une passion commune. »
Forcément sublime

Vous voyez, John, ça marche!

Bonne soirée à vous

John Brown dit: à

OK,…
Mais sans les bonnets blancs,
quel intérêt cette photographie ?. (rédigé par B.)

Y a pas que les bonnets blancs, intrigants en effet. Y a aussi les deux gros arbres du centre, qui sont en train de se raconter des trucs, on ne sait pas trop quoi mais, manifestement, c’est la grosse poilade.
Dans tous les arts, c’est largement le consommateur qui donne le sens, mais dans la photographie, c’est encore plus vrai, du moins quand l’art de la photographie n’est pas rabaissé au niveau de la grosse manip publicitaire. Cartier-Bresson, c’est l’art très subtil de pousser le spectateur sur le chemin du sens, ou plutôt sur le chemin des multiples sens possibles.

B. dit: à

Heureux le Bonux,
le passou en remerciement,
hors-jeux les crétins !.

Jacques Barozzi dit: à

Christiane, je n’ai pas bien saisi le rapport avec moi ?
Dans le dialogue pénible, pas très drôle, entre Laure Adler, fidèle à la bien pensance france-cul, et Schlomo Sand, j’ai surtout noté qu’il était israéien, y vit, connait le yiddish et l’hébreu et en conséquence sait de quoi il parle, pas elle…

B. dit: à

Combien d’Euros, …
Papier perlé,
sans se faire baiser ???.

Si belle photo,
le tireur avec son papier,
demande !!!

La photographie,
est-ce de l’Art ou du cochon ???.

Sergio dit: à

Ces portillons… Ils seraient quand même pas mal avec le sens interdit de l’autre fois…

B. dit: à

Désolé,
cette photographie,
qu’elle soit de H.C.B,
ou autre,
existe !.

OK, j’affirmerai encore et encore,
que j’aime !!! !! !.

Jacques Barozzi dit: à

Par ailleurs, Laure Adler n’est pas juive, à ce qu’il semble, voilà ce qu’en dit sa fiche Wiki :

« Fille d’un ingénieur agronome, Laure Clauzet est élevée en Côte-d’Ivoire à Abidjan jusqu’à ses 17 ans et passe son bac en France. Elle rentre en France en 1967. En 1968, elle rencontre l’ethnologue Fred Adler qui devient son premier mari et dont elle gardera le nom pour sa vie publique. Elle est mariée au producteur de France Culture, Alain Veinstein. »

La mauvaise langue dit: à

Danny Danon : Nous ne gèlerons pas les constructions en Judée-Samarie
Danny Danon, vice-ministre israélien de la Défense a déclaré que les constructions en Judée-Samarie ou à Jérusalem-Est continueront car le gel des constructions n’a jamais apporté la paix.

La mauvaise langue dit: à

Iran: Un condamné à mort pardonné alors qu’il était déjà pendu
Un Iranien, reconnu coupable de l’assassinat d’un policier, a été pardonné au dernier moment par la famille de la victime alors qu’il avait déjà la corde au cou, a rapporté jeudi l’agence Mehr.
Selon l’agence, la famille de la victime a crié qu’elle accordait son pardon alors que le meurtrier était déjà pendu depuis quelques secondes. Les gens ont accouru pour soutenir l’homme et lui enlever la corde du cou, selon les photos publiées par l’agence. Le meurtrier était pendu publiquement à Machhad (nord-est de l’Iran).

mal vu mal dit: à

— — then there
then there

then thence
daffodils
again
march then
again
a far cry
again
for one
so little (CPB, p. 206)

(—— pour finir encore ——)

Ici
Puis ici

Même ici
L’amaryllis
Encore
Puis juin
Encore
Un hurlement distant
encore
Pour 1
6 petit

Jacques Barozzi dit: à

De quoi rien les collégiens, ML ?

« Votre dernier fou rire ? »

Laure Adler : « Avec mes filles, Léa et Paloma, le soir de la rentrée des classes. L’une imitait son prof de maths, l’autre son prof de français. C’était pas triste ! »

John Brown dit: à

Cette photo, prise par Henri Cartier-Bresson en 1953, représente donc le square du Vert-Galant, dans l’île de la Cité, à Paris.

En fait, elle représente bien d’autres choses, en particulier ce trio du premier plan, vu de dos, les deux enfants en manteau et bonnet blanc, avec leur maman (ou grand-mère ? ou nounou ?) . Ils sont sur le point de pousser les portillons à ressorts de l’entrée et de pénétrer dans ce vaste espace à peu près vide, ce grand V inversé dont la pointe scinde le fleuve en deux bras. C’est peut-être un jour de fin d’hiver, les arbres sont défeuillés, le temps un peu brumeux.

Voilà, pour l’essentiel, ce qu’on peut dire de ce qu’on voit. Bien sûr, l’inventaire n’est pas complet (pourrait-il l’être intégralement ?). Il y a le mobilier urbain, les grilles, les bancs, le panneau d’affichage, il y a les arbres, il y a les ponts dans le lointain, des péniches qu’on devine à gauche (on a envie de dire au Jardin, tant le spectacle est ordonné comme une scène de théâtre, le photographe occupant la position du spectateur installé aux premiers rangs des fauteuils d’orchestre, bien au centre, position idéale pour tout bien voir.

Voilà, on est au théâtre, mais qu’est-ce qui se joue ? Ou plutôt, peut-être, qu’est-ce qui va se jouer ?

L’enfant à gauche (petit garçon ? petite fille ? on ne sait pas trop) fait un peu bande à part. Tandis que sa grande soeur aide sagement l’adulte à passer l’obstacle, lui (elle?) a décidé de s’y prendre tout(e) seul(e). C’est le mouvement délibéré et solitaire de ce petit enfant vers la gauche qui, à lui seul, organise tout l’espace et lui donne sens. Comme si l’espace qui s’ouvre devant eux se trouvait d’un coup partagé entre un espace de l’aventure (masculin ?) à gauche, et un espace de la sagesse (féminin ?) à droite.

Je le vois déjà pénétrant dans l’espace vide (comme dirait Peter Brook), s’engageant dans l’allée de gauche. Echappant au regard de la femme, il se met à courir, rieur, un peu en zigzag, comme font les petits enfants; il passe devant la femme assise sur un banc, il la dépasse, puis soudain s’engouffre dans l’espace entre les deux derniers arbres au fond; le voilà tout seul sur la berge; riant, il court, bras tendus vers le fleuve; puis trébuche, et plouf. L’eau grise se referme sur lui. La femme et la petite fille n’ont rien su de ce drame si bref. Quelques jours plus tard, elle reviendra, seule cette fois, dévorée de remords, se pendre à la fourche de l’arbre du fond, à droite.

Toute photographie ouvre sur de multiples scénarios. Celui-là, plutôt mélodramatique (pas du meilleur goût sans doute) m’a-t-il été dicté par la seule pente souvent sombre de mon imagination ou m’a-t-il été suggéré, plutôt qu’un autre, plus optimiste et plus joyeux, par des éléments de l’image ? Il y a sûrement de l’un et de l’autre. Il est de fait qu’au moment d’entrer dans le square, l’enfant de gauche a déjà échappé à la surveillance, il a déjà pris un chemin divergent, plus aventureux, non balisé par l’adulte. D’autre part, ce n’est pas le portillon de droite qu’il pousse, c’est celui de gauche. Au risque d’être accusé de sinistrose, je rappellerai que gauche se dit en latin sinister, et que, pour l’augure, ce qui est à gauche, qui va à gauche est de mauvais… augure. Roman Polanski en fait une brillante démonstration dans la séquence initiale (lent mouvement tournoyant vers la gauche) de Rosemary’s Baby . Il est clair (pour moi) d’autre part, que l’espace vide du square a une valeur ambivalente : espace libre, qui s’ouvre, accueillant, aux jeux enfantins, mais peut-être piège d’autant plus redoutable qu’il n’y paraît pas, cerné, au demeurant, par l’eau grise, dans cette matinée d’hiver. Comme si l’ambivalence de cet espace n’était autre que celle même du Destin.

Mais, dira-t-on, qu’est-ce qui m’autorise à inventer ainsi un avenir à la scène représentée par cette photo ? Je répondrai : la nature même du geste du photographe. La photographie arrête le temps, le fige dans un instantané. C’est le rôle de l’imagination du spectateur de remettre en marche l’écoulement du temps, un instant artificiellement stoppé. Il y a, pour l’y aider, son imaginaire (le mien par exemple, peut-être un peu plus porté que d’autres à échafauder des histoires sinistres); il y a l’imaginaire du photographe (il n’est pas sûr que Cartier-Bresson n’ait pas mis en scène cette photo, avec l’accord des trois protagonistes; il n’est pas sûr non plus qu’il n’ait pas retouché le cliché ; mais, même s’il s’agit d’un véritable instantané, fixé au hasard d’une promenade parisienne, le résultat n’en témoignera pas moins de son goût pour certaines scènes); et il y a le potentiel d’imaginaire (à peu près infini) contenu dans ce qui est montré, et qui échappe très largement au contrôle conscient de l’artiste ; c’est ce qui fait d’ailleurs la spécificité de l’art de la photographie, encore que beaucoup de photographes, travaillent, en laboratoire, à réduire au maximum cette part de contingence introduite par la représentation photographique du réel, cherchant ainsi à aller aussi loin que possible, à la façon des peintres, dans la maîtrise du matériau de la représentation.

Par exemple, je suis personnellement attiré par les deux gros arbres, au second plan, au centre de la perspective. Il me semble qu’ils se racontent des choses, je ne sais pas trop lesquelles, mais manifestement c’est la grosse poilade. Mon amour personnel pour les arbres en a pour son argent ici, puisque les arbres sont, au moins autant que les humains, les protagonistes de la scène, et que leurs troncs et leurs ramures structurent puissamment l’espace, un peu comme dans certaines toiles de la période figurative de Mondrian.

mal vu mal dit: à

oui d’oncques car ça fait un moment que plusieurs personnes en avaient pris conscience à la lecture de la légende.

B. dit: à

Et Merdre,,
cet espace est clôt !!!.
C’est ainsi que j’ai appris à y marcher,
pour le reste j’ai du grandir avant de faire « Plouf »…
Pour les « ploufs », ma majorité sexuelle y a certes contribué,
mais laissez ces enfants se disturber tant qu’ils le veulent,
le Vert-Galant sera toujours un endroit non suri !.

B. dit: à

Enfin, je l’espère,
en souhaitant que le LML ne le fréquente pas.

B. dit: à

Hey Narvalo,
t’entrave !!!.

mal vu mal dit: à

> cet espace est clôt !!! laissez ces enfants se disturber

Alors là ça serait plutôt espèces des spasmes, si vou voyez ce que je veux dire 😉

B. dit: à

Je veux,
mon n’veux !!! !! !.

mal vu mal dit: à

Quelques principes de communication non négociables chez moi :

1- ce qui n’est pas adressé à un interlocuteur n’est pas acknowledgeable
— ce qui n’est pas acknowledgeable n’est pas opérant
— ce qui, du dit, n’est pas opérant, n’est pas.

2- ce qui, du dit, relève de l’interprétation projective, n’est pas dit
— ce qui est dit mais pas dit n’est pas
— ce qui, du dit, n’est pas, n’est pas opérant.

3- les faits ne peuvent pas être l’instrument du signe

4- On ne se refait pas. On est refait.

abdelkader dit: à

Bihoreau de Bellerente dit: 9 mai 2013 à 16 h 14 min
‘…Dans quelle mesure doit-on rester fidèle à ses origines, si tant est qu’il faille le rester?…
Est-on meilleur Juif, meilleur Mahométan, parce qu’on ne mange pas de porc?’
heu…aucune idée, perso je touche pas au porc, mais j’adore le bacon bio fumé du prince Charlie, surtout un dimanche matin de flemme, avec de la HP Brown Sauce…sinon, en 2013 on ne dit plus Mahométan, je crois que le terme généralement accepté est ‘musulman’ ou alors au lieu de ‘juif’ vous devriez utiliser ‘israelite’, comme au bon vieux temps…sinon, il vous est venu a l’esprit que les gens, en 2013 hein (je ne sais pas comment ca se passe chez vous ni a quel siècle vous en êtes encore) ont le choix de manger ou pas ce qu’ils veulent ? on appelle ca le libre-choix, un truc de base quoi, propre a une société libre…ou vous voulez que tout le monde soit fait au moule ? mange pareil, pense pareil, vote pareil, porte le même uniforme, gauche-droite, gauche-droite, par ici la Pologne…et ce mythique repas communal, a la bonne franquette, il a été servi quand la dernière fois ?

comme me disait un copain polonais qui se souvient encore être envoyé par sa mère pour faire la queue, de longues heures durant, devant le marchand de légumes pour un misérable choux : du temps du communisme il n’y avait qu’une seule variété de choux, a prix abordable, mais il fallait faire la queue toute la journée et maintenant ils ont 57 variétés de choux mais le polonais moyen ne peut pas se les permettre…

B. dit: à

A force,
du LML,
se mettre à niveau,
j’en perds l’O.

Jean Perleau,
OK,
BONUX .

mal vu mal dit: à

Bravo, B., vous avez bien assimilé le point 1.

B. dit: à

Assis millet,
certes,
tout dépend des blés !.

mal vu mal dit: à

> Assis millet, certes, tout dépend des blés !

ainsi que le 2.

B. dit: à

De l’aile de la terre, nous avons entendu des chants :
« La gazelle est au juste. »
Je dis : « Maigriot, moi, maigriot, moi ! Oïe, moi !
Les traîtres ont trahi, et de trahison, les traîtres sont trahis ! ».
Isaïe 24, 16.

mal vu mal dit: à

Ben non, juste y’avait rien, c’est tout.

Gare de Lyon/Bangkok dit: à

Merci pour cette agréable et enrichissante lecture. L’arrière boutique journalistique m’intéresse et intéressera sûrement les journalistes en herbe lecteurs de votre blog. Donc j’espère qu’on aura une réponse. Quand vous citez Pierre Birnbaum :’’ « Je rédigeais leurs fiches de lecture mais… ne l’écrivez pas… », sur quel critère décidez-vous de contrevenir à sa demande ? C’est une information passionnante et je suis content et remercie que vous nous la fassiez partager.
Est-ce une manière de valoriser la probité et la modestie de la personne concernée ? Est-ce un réflexe de journaliste qui ne peut se résoudre à communiquer un scoop (pour moi c’en est un: Raymond Aron et Pierre Bourdieu avaient des nègres)? Merci beaucoup de votre réponse.

scandale en vue dit: à

la phrase la plus étrange de billet, même pour les connaisseursexpert et spécialistes d Assouline et sa collection rosebuddiste-ah j’entends d’ici ricaner un « vous voyez bien que c’est un collectionneur, quoi qu’il dise, plus qu’un symptome, chez lui,une hyperover névrose,comme on dira dans les histoires des », les ans 2022,cette phrase c’est
 » de l’enjeu politique du hallal et du cachère et de la nouvelle difficulté à partager la très républicaine « table commune » en consommant d’autres plats que ceux des autres. »
d’autres plats que ceux de autres ? on penserait que ces autres plats sont « les siens »
ça se complique , qui sont « les autres » au temps des souris , des clics,des chats, et des egotrips et des tripiers pour tchatcher
bonne fin. de semainse .
cette photo m’ remis en souvenir des promenades désolées , avec landau… quad ce n’est plus possible de parler, ni en ut pictura , ni en do comme landau et Dowland ,
http://vocalise.free.fr/m_dowland.html .

scandale en vue dit: à

de quelques Landau
« Lazare Landau est né à Strasbourg en 1928. Il est le fils d’Abraham Landau (1886-1958) et de Leah Landau. Ces derniers se marient d’abord à Sanz (Sanz, yiddish : צאנז Tsanz ), en Galicie, Pologne et de nouveau à Strasbourg, où ils s’installent en 1919. C’est un descendant de Yehezqel Landau (1713-1793), le Noda Biyhudah, rabbin de Prague. Lazare Landau a deux sœurs : Toni et Doris2.
Son père, d’origine hassidique lui parle en yiddish et sa mère en allemand. Il n’apprend le français qu’à l’âge de 6 ans.
Alors que son père prie à la synagogue hassidique Adath Israel de Strasbourg, Lazare Landau choisit d’être membre de la synagogue consistoriale de Strasbourg et en particulier du Merkaz qu’il fréquente pendant soixante-dix sept ans.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Lazare Landau est sauvé par Joseph Storck, proviseur du Lycée Gay-Lussac de Limoges, de 1938 à 1944.
« J’avais 12-13 ans à l’époque. Joseph Storck, qui avait même proposé de m’intégrer dans sa famille pour me protéger, ce que mes parents ont refusé, m’a caché dans un réduit le jour où la milice me recherchait. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lazare_Landau

scandale en vue dit: à

landau?
Au XIXème siècle, une voiture hippomobile à quatre roues à capote fermée de deux soufflets pliants était dénommée <>. Aujourd’hui, nous identifions le mot <> à une voiture à caisse suspendue.

scandale en vue dit: à

et au féminin
Lola Landau (* 3. December 1892 in Berlin; † 3. February 1990 in Jerusalem), actually Leonore Landau, was a German authoress of Jewish origin
as a daughter of the physician Dr. Theodor Landau grows up it in Berlin , between 1910 and 1912 appears first poem publications of it in the citizen of Berlin day sheet. Since 1920 live it

scandale en vue dit: à

landau ?
d’autres
http://www.eilatgordinlevitan.com/krakow/krkw_pages/krkw_stories_landau.htm
Moshe was born in 1917 to Yehuda Leib and Rivka Landau of Krakow. His sister Leah was born 3 years later.
Yehuda Leib was an insurance agent. He would read from the Torah to the members of his synagogue in Krakow. He spoke Hebrew to his son and raised him as a Zionist.
Moshe attended the “Cheder” for seven years and then the “Gimnasia Ivrit” in Krakow.

scandale en vue dit: à

il ne faut pas confondre landau et caddie :
Pour la personne, de l’anglais caddy, lui-même dérivé de l’occitan gascon capdèth, « dernier-né », comme le français cadet, les Britanniques louaient de jeunes Béarnais lorsqu’ils étaient en villégiature à Pau, particulièrement pour le golf.

JC dit: à

« Sur un mur près de chez moi, ce tag : « Palestine, ta terre, tu finiras par l’avoir » Louons la longue patience du peuple palestinien. Amis du Hezbollah et du Hamas, encore un effort, et l’on verra à qui appartient la terre de Palestine. »
John Brown, 21:33

Mort….. de rire !
Ce que la lecture peut apporter d’intelligence aux vieilles gens à la dérive ! Esope avait bien raison de dire : « La langue bloguante est la meilleur et la pire des choses. »
Il faut avouer que l’humour antisémite, pris au second degré, est à se tordre… Bravo l’artiste palestinien !

JC dit: à

J’ai trouvé le « rosebud » de Johnnie : un four à chaleur tournante ! Ahahahala ! (est grand, fou-rire normand)

renato dit: à

Pour les italophones :

Tre figli

Tre figli ebrei lasciarono la loro casa, si resero indipendenti e prosperarono.

Quando si riunirono di nuovo parlarono dei regali che avevano potuto fare alla loro madre.

Il primo disse: Io ho costruito una casa enorme per nostra madre.

Il secondo disse: Io le ho mandato una Mercedes con l’autista!

Il terzo disse: – Vi ho battuti entrambi: voi sapete quanto piaccia alla mamma leggere la Torah e sapete che non ci vede molto bene. Io le ho mandato un gran pappagallo marrone che sa recitare la Torah nella sua interezza. Ci sono voluti 20 anni a 12 rabbini per insegnarglielo. Io ho contribuito con 1 milione di dollari all’anno, per vent’anni, ma ne è valsa la pena. Mamma deve solo nominare il capitolo e lui lo recita!

Poco dopo Mamà inviò le sue lettere di ringraziamento.

Scrisse al primo figlio: Maurizio, la casa che hai costruito è così grande. Io vivo in una stanza sola, ma devo pulire tutta la casa.

Scrisse al secondo figlio: Mosè, sono troppo vecchia per viaggiare. Resto tutto il tempo in casa, quindi non ho mai usato la Mercedes.

Scrisse al terzo figlio: Carissimo Manuel, sei stato l’unico figlio che ha avuto il buon senso di sapere cosa piace a sua madre. Il pollo era buonissimo!!!

I.ri dit: à

@ D.H.H. j’ai nettoyé mon ordi au piriform

Dealer marseillais, quarier nord dit: à

@Manuel. J’ai nettoyé mon coin business à la kalach

JC dit: à

Pas besoin d’aller loin pour trouver le « rosebud » de François Fillon : le personnage de Buster Keaton l’a imprégné jusqu’à la moelle…

david dit: à

ne pas accepter certains aspects de la politique israelienne ne conduit pas necessairement aux elucubrations pseudo historiques de shlomo sand.merci aj.brown pour son apport a la solution finale du probleme.ce qu’on voit d’ici on ne le voit sur les bords de la seine.

I.ri dit: à

comme je lis une page aoçat une émission de télévision sur Lee Miller, j’ai le plaisir signaler à D.H.H. qu’elle devint « une émérite cuisinière »
http://www.veroniquechemla.info/

mal vu mal dit: à

avec doigté, ça rapporte plus.

christiane dit: à

@ Jacques
Le rapport ? Cette approche de la « laïcité » (votre point d’accroche dans certains de vos commentaires) où L.Adler se perd car, comme l’écrit LM, S.Sand se place au cœur d’une sacrée contradiction ! Quant au sourire, il naît de cette impossibilité pour les deux débatteurs de se comprendre. Chaque question de L.Adler provoque une réponse de plus en plus alambiquée de S.Sand. Cela m’évoque les explications de W.Allen dans certains de ses films…

John Brown dit: à

« Dans quelle mesure doit-on rester fidèle à ses origines, si tant est qu’il faille le rester?… » (rédigé par Abdelkader)

Dans aucune mesure. Il ne manquerait plus qu’il y ait un quelconque devoir à rester fidèle à ses origines. La vie, heureusement, se nourrit d’innombrables et fécondes trahisons. On choisit de rester fidèle, ou pas. Renier ceux qui vous ont engendré est une façon efficace de revendiquer sa liberté.

John Brown dit: à

« Dans quelle mesure doit-on rester fidèle à ses origines, si tant est qu’il faille le rester?… » (rédigé par Abdelkader)

Birnbaum a choisi d’assumer ses origines, sa judéité. Il s’est construit comme ça. Bon. Mais son choix n’a aucune valeur d’exemplarité. Se vouloir Juif était, dans son cas comme dans tous les cas, est complètement facultatif. Si le Monsieur Klein incarné par Delon avait choisi de ne pas monter dans le train, qui le lui aurait reproché ?

Jacques Barozzi dit: à

Christiane, il me semble que ce qui n’est pas clair, d’après ce que dit S.Sand, c’est le fait que les 25% d’Israéliens non juifs, au sens religieux du terme, seraient des citoyens de seconde catégorie ? La confusion viendrait de ce mélange du religieux et du laic au sujet de la notion de citoyenneté dans un état démocratique ? A cela, Laure Adler ne sait que demander « Pourquoi, pourquoi ? » Et cela tourne assez vite au dialogue de sourds, en effet !
ML dit qu’elle le met au pied de ses contradictions, mais je ne suis pas sûr que ces contradictions soient les siennes propres, mais plutôt celle de l’Etat d’Israél ou des Israéliens eux-mêmes ?

Jacques Barozzi dit: à

Sans parler des contradictions de ML !

Jacques Barozzi dit: à

Quant à Laure Adler, que j’ai fréquentée à ses débuts sur France Culture, on peut se demander si elle comprend elle-même ce qu’elle raconte…

JC dit: à

Heureusement, en Tunisie, ça s’arrange … !

« Un soir de septembre 2012, près de La Marsa, banlieue chic de Tunis, Meriem Ben Mohamed, 28 ans, est violée par deux policiers. Son amoureux, qui l’accompagne, est racketté par un troisième agent. Les deux jeunes gens portent plainte. Mais de victimes ils vont très vite se retrouver en position d’accusés. Meriem et son fiancé sont poursuivis pour attentat à la pudeur. L’affaire, très médiatisée, va mobiliser l’intelligentsia tunisienne et plusieurs ONG internationales. En novembre 2012, Meriem a bénéficié d’un non-lieu. Ses agresseurs devraient être bientôt jugés. Meriem était la semaine dernière à Paris pour promouvoir un livre-témoignage.

Son histoire illustre le poids des traditions et du machisme culturel, mais aussi le conservatisme des islamistes au pouvoir à Tunis et leur ambiguïté en matière de droits de la femme.

christiane dit: à

Jacques,
il me semble que la pensée de S.Sand se place dans cet abandon progressif des générations actuelles à la pratique religieuse. Les gens acceptent de moins en moins, et je les comprends, qu’on les ait placés dans une religion sans leur consentement, par rite social et familial. Peut-être une overdose des guerres menées au nom de Dieu ? peut-être une absence de cette présence dans les moments critiques où tant de croyants ont fait appel à lui ?
Pour Israël c’est une exception car cet état est né d’une religion, d’une foi, d’un Livre – même si S.Sand dit du « Livre » que c’est un mythe, un conte, une affabulation.
Maintenant, si on tourne les yeux vers les sociétés totalitaires on voir que de nouveaux « dieux » sont érigés et provoquent les mêmes adulations…
Il reste « l’éternelle incertitude qui tient notre vie en suspens comme une boule de feu. »

JC dit: à

On peut se demander si avant de parler des contradictions de tel ou tel fort en gueule, de tel ou tel pays du moyen-orient, il ne serait pas utile de parler des siennes propres !

Par exemple, j’essaie de comprendre pourquoi malgré le fait que je sois un féministe pur et dur, je fais semblant si souvent en promenade de subir la (fausse) panne de mon scooter dans une belle pinède accueillante …

Il faut que je demande à HR. Gratuitement, j’espère.

John Brown dit: à

« le fait que les 25% d’Israéliens non juifs, au sens religieux du terme, seraient des citoyens de seconde catégorie ? La confusion viendrait de ce mélange du religieux et du laic au sujet de la notion de citoyenneté dans un état démocratique ? » (rédigé par Jacques Barozzi)

On rappellera à ce sujet que le mariage civil n’existe toujours pas en Israël. Si quelqu’un a des lumières sur le statut des enfants nés en Israël d’une union civile (contractée évidemment ailleurs que sur le territoire d’Israël), elle seraient les bienvenues. On parle beaucoup de l’influence de la charia sur la législation des pays arabes, mais que dire de celle de la religion sur la législation israélienne ? Dans l’état actuel des choses, Israël n’est pas un Etat laïc.

Jacques Barozzi dit: à

Et JC qui fait de la diversion avec l’Islam !

david dit: à

si la france a mis plus de 200 ans a assoir sa laicite donnez nous du temps pour le faire.et on le fait step by step

Jacques Barozzi dit: à

Tu es au-dela des contradictions, JC, tu t’es autoproclamé roi des cons et on est tous d’accord avec toi.

Jacques Barozzi dit: à

Oui, David, idem pour les générations des divers « printemps arabes ».

renato dit: à

À propos de Laure Adler, reste impressionnante dans sa perfection l’opinion de Godard…

John Brown dit: à

« Tu es au-dela des contradictions, JC, tu t’es autoproclamé roi des cons et on est tous d’accord avec toi. » (rédigé par Jacques Barozzi)

D’abord, il ne comprend rien au rugby, c’est tout dire.

JC dit: à

De même qu’il y a un Prince des Poètes, je suis enchanté, ravi, heureux d’être adoubé Prince des Cons !

Par contre, le titre envié de Roi des Cons ne devrait pas échapper à de très sérieux candidats, ici causant, les inestimables et drolatiques JB….

John Brown dit: à

« si la france a mis plus de 200 ans a assoir sa laicite donnez nous du temps pour le faire.et on le fait step by step » (rédigé par David)

Et elle continue; témoin, la récente loi sur le mariage pour tous, qui n’est qu’une étape : voyez ces fêtes religieuses, chômées chez nous, et qui coûtent si cher à notre économie : Pâques, l’Ascension (l’Ascension !!! Pourquoi pas une fête des ascenseurs !), l’Assomption (l’assomption de quoi, d’ailleurs, au juste?). A dégager, toutes ces vieilleries.

John Brown dit: à

« De même qu’il y a un Prince des Poètes, je suis enchanté, ravi, heureux d’être adoubé Prince des Cons ! »

Empereur des cons ! l’empereur des cons draguant les minettes sur son scooter dans les pinèdes de la Capte (ou ce qu’il en reste), je demande à voir ça !

JC dit: à

« A dégager, toutes ces vieilleries. »

Enfin, une autocritique sérieuse…

JC dit: à

Allons, ne faites pas semblant de croire, cher Brownie, que le poste d’Empereur des Cons n’est pas pourvu…

Lisez la presse, regardez la TV publique, levez la tête vers les sommets…

Jacques Barozzi dit: à

« Jean-Luc Godard chez Laure Adler, venu parler de son dernier film (j’y reviendrai), « Mozart for ever ». Il dit des choses, bien entendu. Il parle du muet, du parlant, du cinéma comme pensée, de la télévision, du monde. Mais ce qui me frappe le plus, c’est le ton, l’extrême lenteur du ton, sa modestie, presque sa prudence, comme si chaque mot comptait, comme s’il fallait le peser, l’évaluer longuement, ne surtout pas le dilapider ni le prononcer à côté — comme si, dans le déferlement de stéréotypes et, donc, de mots idiots qui constituent le bruit de fond de l’époque et de son spectacle, la moindre faute de mot était une faute tout court ; comme s’il n’y avait pas de plus grande urgence, pour un cinéaste d’aujourd’hui, que de sauver les mots et, par voie de conséquence, le sens. Je le regarde. Je regarde où va son regard. Et je m’aperçois que, bizarrement, il ne se pose jamais vraiment sur ses interlocuteurs, ni sur son intervieweuse, encore moins sur les téléspectateurs — quoi alors ? Eh bien, les mots justement. Il ne regarde, au fond, que les mots. Il ne s’écoute pas, mais se regarde parler. J’ai écrit, un jour, que ce timide de génie, cet antinaturaliste qui ne croit aux mirages ni de la « communication » ni de l’« immédiateté » a mis, entre le monde et lui, une caméra. Je découvre, ce soir, qu’il a aussi disposé une fine barrière de mots — et que la préserver, cette barrière, est une autre affaire de morale. »
Bernard-Henri Lévy, Le Point du 30/11/1996

On comprend Pierre Birnbaum, dont Passou nous dit :

« Mais ne lui parlez pas des intellectuels médiatiques et autres bateleurs d’estrade, il balaie les noms connus d’un revers de main et passe aussitôt à autre chose. « 

u. dit: à

@ John Brown

Le portrait de notre ami Mauvaise langue a été fait par La Fontaine d’une manière absolument saisissante dans la fable « L’ours et l’amateur des jardins ».
Relisez cette histoire de l’ours « non moins bon archer que mauvais raisonneur »: c’est un pur bonheur!

u. dit: à

Laure Adler a cette semaine interrogé Vincent Descombes, auteur précisément d’u « Raisonnement de l’ours ».

(C’est un philosophe aussi exécrable à l’oral -il ne sait pas parler– qu’excellent à l’écrit).

Avec Sand, Adler se contente de faire de manière conformiste le travail du journaliste, tel qu’on l’entend chez nous.
Il faut à la fois faire le con pour l’ignorant auditeur (« C’est quoi? c’est quoi? ») et ouvrir tous les parapluies du côté des censeurs (« C’est pas antisémite, d’avoir invité ce Sand? Le CRIF n’en dit pas du bien! On fait quoi, patron? »).

renato dit: à

Plus récente que cela, Jacques — entre le12 et le 16 septembre 2011, c’était à propos de la lecture des journaux…

u. dit: à

@ renato

Comme Marco, le perroquet de M. Régniez, vient régulièrement lire ici les posts, ça va le rendre inquiet.

Il suffit d’un retour de son maître, revenu un peu éméché après une réunion de cagoulards, pour que: hop.

Et tout ça pour notre sainte Mama l’église.

I.ri dit: à

tout sauf complaisant
il a été remarqué dès le XVIII qu’e frace o sseulemet il ‘ayvait aucune complaisace pour les juif mais que surtout les juifs excellaient tout particulièrement dans le bashing- au moins- à l’égard de leur coreligionnaires. je ‘ai pas mes note et ne peux préciser si c’est pour la position peu enviable de « nègre ».
il serait plus intéressant n’importe comment de rouvrir cette question, et appréier dans quelle mesure l’existence de l’ Etat d’Israel a eu une incidence sur cette problématique, la mettre e parallèle avec les questions de femmes , de misogynie et de fécondité.

u. dit: à

@ david

Il faut rester optimiste, c’est sûr.

En attendant, c’est plutôt l’ancien sécuralisme des premiers sionistes qui se trouve déconstruit « step by step ».
Mais Israel est une société plurielle, et le modèle français qui habite Shlomo Sand ne peut pas (ne peut plus?) y être exporté.

I.ri dit: à

qu’e france,non seulement complaisance
apprécier
mes notes
en parallèle
une veuve dont le père yddishophone  » (?) ne revint pas de déportatio, et qui du vivant de son mari avait pris une maison en Israël où un de ses fils est marié, un autre étant en frace, et un autre encore en Amérique ne cessait d’encourager sa belle-fille israélienne à lui donner () d’autres petits enfants
on ne peut pas non plus ne pas se souvenir qu’un homme juif doit avoir-faire- deS enfantS , et de nombreux élèves

rodolphe dit: à

(« ces fêtes religieuses, chômées chez nous, et qui coûtent si cher à notre économie »)
Elles font marcher le secteur du tourisme, restaus compris- pour une fois qu’elles servent à quelque chose!

(« JC qui fait de la diversion avec l’Islam »)
ça lui sert de couverture à ce raciste, nostalgique des colonies il espère cacher son aversion pour les « Arabes », c’est un pervers de première

JC dit: à

Soyons réalistes !

Entretenir l’illusion de l’existence d’un Monsieur Dieu, bon et con à la fois, coûte cher pour les esprits entrainés à l’irrationalité … sans compter l’entretien des batiments : synagogues, cathédrales, églises, temples et mosquées.

On rase tout ce fatras ?….

I.ri dit: à

autrement dit les hommes juifs-à supposer qu’il y ait vraiment des femmes juives-sont pensés comme
père …et comme fils ce qui apparaît dans les noms de ceux qui sont passés dans l’ histoire .
Dans une cérémonie ,dans le judaïsme en l’honneur d’un savant vivant et présent , on adresse des complimente au père de l’homme honoré

JC dit: à

Bonjour rodolphe !
Meilleur souvenir à gérard, edmond, roro, jules, charles, albert, … etc,etc…
Sacrée idée « rodolphe », il me tarde de lire d’autres splendeurs : anne, engerand, érasme, sylvain, elio …

John Brown dit: à

Le portrait de notre ami Mauvaise langue a été fait par La Fontaine d’une manière absolument saisissante dans la fable « L’ours et l’amateur des jardins ». (rédigé par u.)

Le problème avec les « Fables », c’est lorsqu’on en arrive à la distribution. Comment devais-je me distribuer : dans le rôle de l’Ours ou dans celui de son nouvel ami ? Je n’ai su trancher.

I.ri dit: à

exemple extrême dans la nomination
David Ben Gourion (en hébreu : דוד בן-גוריון), à l’origine David Grün ou David Gryn, ( Les mot hébreux Ben Gourion signifient « Fils du Lion ».)

I.ri dit: à

évidemment toute la nomination en ab , abba ,

John Brown dit: à

« On rase tout ce fatras ?…. » (rédigé par JC)

Rasons ! Pour une fois que je suis d’accord avec le Fondu de la Tour…

mal vu mal dit: à

thither

thither
a far cry
for one
so little
fair daffodils
march then

then there
then there

then thence
daffodils
again
march then
again
a far cry
again
for one
so little

(– pour finir encore –)

vicissitude

vicissitude
un hurlement distant
pour 1
6 petit
berce des prés jolie
marche jeudi

puis ici
puis ici

même ici
berce des prés
encore
marche jeudi
encore
un hurlement distant
encore
pour 1
6 petit

u. dit: à

Entretenir l’illusion de l’existence d’un Monsieur Dieu, bon et con à la fois, coûte cher (JC)

Ce n’est pas très équitable de dire cela.
A l’Elysée, on a sérieusement limité les frais de bouche.

JC dit: à

…transfert en frais de cul….

bouguereau dit: à

si la france a mis plus de 200 ans a assoir sa laicite donnez nous du temps pour le faire.et on le fait step by step

petit jean foutre

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