de Pierre Assouline

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Borges sans héritier

Borges sans héritier

A Buenos Aires, après l’avoir longtemps surnommée la hija del Samouraï (ou « la fille du Samouraï »), ce qui avait un petit quelque chose d’affectueusement exotique, on ne l’appelait plus que la viudísima (« la veuvissime »), ce qui l’était beaucoup moins. Le fait est que María Kodama régnait sans partage sur l’héritage de Jorge-Luis Borges. Le grand écrivain argentin l’avait instituée sa légataire universelle. Après l’avoir rencontré à 16 ans puis avoir été son étudiante à l’université, elle avait vécu avec cet homme qui était son ainé de trente-huit années, donnant le bras au plus célèbre aveugle de la littérature contemporaine, lui faisant la lecture, écrivant sous sa dictée, l’accompagnant dans ses innombrables conférences à travers le monde, se faisant sa porte-parole, avant de se faire épouser via le consulat d’Argentine à Asuncion (Paraguay), alors que le couple vivait à Genève, en avril 1986 soit… deux mois avant la mort de Borges. Depuis, elle était la gardienne de son temple. Tous les universitaires et les écrivains qui eurent à le fréquenter pour leurs recherches n’en ont pas conservé le meilleur souvenir. Le fait est qu’elle s’imposait souvent dans les colloques sur l’oeuvre de son mari pour prononcer la conférence inaugurale dont l’insigne platitude contrastait avec la qualité des contributions qui y succédaient.

Elle vient de mourir à 86 ans d’un cancer sans laisser de testament à la stupéfaction des milieux littéraires et éditoriaux. D’autant plus gênant que le couple n’avait pas d’enfants. Dès le lendemain de l’annonce de sa disparition, cinq neveux et nièces de la défunte se sont présentés chez son avocat Fernando Soto afin de faire valoir leurs droits. Une telle précipitation pour récupérer des manuscrits de haute valeur, une bibliothèque d’écrivain, une correspondance sur toute une vie, des droits sur les traductions ainsi que sur les adaptations théâtrales, cinématographiques, musicales, ainsi que la maison abritant le siège de la Fondation Borges et des appartements à Buenos Aires, Paris et Genève, cet empressement donc ne devant manifestement rien à l’admiration pour Le Livre de sable ni même pour un tonton célébrissime qu’ils n’ont guère eu à connaitre, il a tempéré leurs ardeurs extra-poétiques.

Il savait sa cliente coupée de sa propre famille jusqu’à nier son existence. « J’ai mis mes affaires en ordre » avait-elle assuré à son avocat, lequel ne croit pas un instant qu’elle ait rédigé un testament sans passer lui ou par un notaire. María Kodama aurait souhaité répartir l’héritage littéraire entre deux universités, l’une japonaise, l’autre américaine (Harvard ou University of Texas, car l’écrivain y avait enseigné) mais cela reste invérifiable. Si aucun document testamentaire ne surgissait au cours de l’inventaire de ses biens, cela serait un ultime pied-de-nez à cette famille honnie. Et plus encore, ainsi que l’imagine le poète Santiago Llach, comme « une attitude punk signifiant que la veuvissime n’en avait jamais eu rien à f… de tout ça ».

Notoirement procédurière, María Kodama avait récemment attaqué l’écrivain Pablo Katchadjian en justice pour avoir « plagié » L’Aleph en le prolongeant de 5600 mots. Chaque fois qu’un ami de son mari publiait un livre de souvenirs ou d’entretiens en hommage à son génie, elle le dénonçait violemment (Adolfo Bioy Casarès) ou le trainait en justice (Ernesto Sabato). Le moindre hommage était mal vu dès lors qu’il échappait à son contrôle absolu. Au fond, c’était un honneur de faire partie de la légion des proscrits. J’avoue que j’en fus en 2006 pour avoir osé enquêter sur une étrangeté. Ayant constaté que la Pléiade Borges, unanimement saluée pour sa qualité, était introuvable en librairie depuis sept ans, j’avais conclu à l’issue d’une enquête que Maria Kodama s’opposait à sa réédition alors qu’il s’agit de la seule édition au monde de l’œuvre complète. Portée devant les tribunaux, l’affaire révéla qu’elle préparait sa propre édition en espagnol sous l’égide de sa fondation. Le procès eut la vertu, après négociation avec Gallimard, de débloquer la diffusion de cette fameuse Pléiade. Et depuis, il n’y a pas eu d’autre édition de l’œuvre complète de Borges…

Le 27 avril s’est ouverte la foire internationale du livre de Buenos Aires. Son directeur Alejandro Vaccaro, un fervent borgésien, aurait eu à coeur de commémorer le centenaire de Ferveur de Buenos Aires, son premier livre publié. Mais comme Maria Kodama l’avait, lui aussi, poursuivi en justice au motif qu’il aurait profité de l’image de son mari, jusqu’à la dernière seconde, rien n’était moins sûr. Un administrateur provisoire va certainement être désigné pour gérer l’héritage. Si nul n’est légitime, dans dix ans la Ville de Buenos Aires en bénéficiera. Selon la loi argentine, l’œuvre de Borges ne tombera pas dans le domaine public avant 2056.

Post scriptum du 28 juin : La justice argentine attribue l’héritage littéraire aux neveux de Maria Kodama (source A.P.)

(Photos Paola Agosti, 1980 et D.R.)

Cette entrée a été publiée dans vie littéraire.

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1 237 Réponses pour Borges sans héritier

Clopine dit: à

Closer, je ne sais pas trop ce qu’est « la grande littérature », en tout cas je n’applique pas ce terme à mes modestes tentatives. Je suis parfaitement consciente de mes limites (impossibilité d’écrire un roman un peu long, être toujours ramenée au format de la nouvelle, ne pas avoir de « projet littéraire », et devoir faire les plus grands efforts pour traduire en mots mes vagabondages de pensée), mais cependant, je ressens parfois ce que Mac Cullers appelait ses « illuminations », (par exemple quand elle a compris que le héros du Coeur Solitaire était sourd et muet), et c’est juste cela que je cherche. Outre le fait de tenter de comprendre ce qui m’arrive, bien sûr, quand la terre s’ouvre façon gouffre sous mes pas.

rose dit: à

L’histoire appartient à M. Diras.
Si c’est Clopine qui écrit le synopsis c’est son documentaire. Surtout si c’est elle qui a trouvé l’idée.
Elle a trouvé qqu’un pour le lettre en images.

Après, certaines personnes très douées, c’est du trois en un, comme Bergman par exemple.

Ensuite, d’autres personnes s’octroient le taf à elles-mêmes et alors ont un rôle dans le film. Qui est leur film.

rose dit: à

Marguerite Duras.

rose dit: à

le mettre en images

closer dit: à

Je ne suis pas du tout condescendant à l’égard de Clopine, JJJ. J’aurais adoré avoir le talent d’un Vialatte. Mais voilà, je ne suis qu’un « ratiocineur bougon » qui essaye de blaguer de temps à autres…

Samuel dit: à

Pourquoi dans les romans de Tolstoï les jolies femmes ont de beaux yeux noirs « couleur de cassis mouillé » ?

Samuel dit: à

Pourquoi dit-on souvent d’un fou qu’il est « illuminé » ?!

Samuel dit: à

Pourquoi les historiens n’écrivent-ils pas une Histoire universelle du désespoir humain ?

et alii dit: à

besoin des conseils
« Chesterton décéda le 14 juin 1936, laissant derrière lui cette merveilleuse citation : « I owe my success to having listened respectfully to the very best advice, and then going away and doing the exact opposite. » Dans cette dernière, il explique qu’il doit son succès au fait d’avoir fait l’opposé des bons conseils qui lui furent prodigués après les avoir soigneusement écoutés. »
bonne journée

Janssen J-J dit: à

Pourquoi les historiens n’écrivent-ils pas une Histoire universelle du désespoir humain ?

Pourquoi en rajouteraient-ils une couche sur le sujet ? Et pourquoi pas plutôt leur proposer une Histoire universelle des espérances heureusement réalisées ? (HUEHR)

D. dit: à

Je n’aime pas du tout Monsieur Darmanin mais il faut se féliciter de son action ferme à Mayotte.

D. dit: à

Moi aussi je ressens des illuminations.

J J-J dit: à

on ne voit pas le rapport

D. dit: à

Et mon cas n’est pas moins sérieux que celui de Clopine. Ah non.

J J-J dit: à

euh, nos encalminés du moment…

renato dit: à

« … proposé ce lien pour nos enluminés du moment. »

Je suis sans doute un brin stupide, mais pas con du tout.

et alii dit: à

3En 1978, dans le 4ème volet d’une série d' »A voix nue » l’écrivain Jorge-Luis Borges s’entretient avec Jean Daive à propos de certaines de ses nouvelles. Avec un regard lucide sur ses textes de jeunesse, l’auteur argentin évoque la littérature comme « une forme d’étonnement ».
Jorge-Luis Borges entraine ses lecteurs dans le vertige de ses doutes sur le réel. En 1978, il se souvient, au micro de Jean Daive, de certaines de ses nouvelles et les commente.
La nouvelle La Bibliothèque de Babel, sans personnages, dans une bibliothèque infinie avait été écrite comme « une espèce de vengeance ». Travailler dans une bibliothèque de Buenos Aires comme « petit rond de cuir » l’avait, dans sa jeunesse, rendu très malheureux.s
A propos de son style il avoue : « A cette époque-là je voulais des adjectifs » pour attirer l’attention du public.
Il se souvenait de la nouvelle Les Ruines circulaires, écrite dans un style qu’il juge désormais « trop prétentieux » : « Pour cette histoire il faut que tout soit faux, il faut un fleuve infini, un nombre infini de rêveurs, de rêveurs rêvés… »
Il évoque ses influences littéraires : « J’étais un grand lecteur et amateur de romans policiers, j’ai dirigé une collection de romans policiers. « 

et alii dit: à

Il parle de son étonnement permanent, source de création : « Je suis toujours étonné d’avoir un corps, d’avoir une voix, d’être en France, d’être avec vous…tout cela m’étonne (…) La nuit m’étonnera toujours, ce nuage plus grand (…) C’est une très belle hypothèse, que chacun est un magicien…en ce moment vous me rêvez et je vous rêve. que la Terre. »Borges
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-nuits-de-france-culture/jorge-luis-borges-je-suis-toujours-etonne-d-avoir-un-corps-d-avoir-une-voix-d-etre-en-france-d-etre-avec-vous-7094506

morales sed laisse dit: à

Clopine versus Vialatte, mais ce n’est même pas pensable!

Pablo75 dit: à

« Bref, pas mal d’écritures sur la planche, pas vrai ? (et en arrière-plan, je dois aussi préparer une petite conférence sur Colette, encore un écrivain qui avait le défaut d’écrire sans remettre sur le métier cinquante fois son ouvrage, l’anti-Flaubert en quelque sorte, bref, Colette avait tout pour être honnie d’un Pablo qui cherche avant tout à persuader autrui, quel qu’il soit, de sa soi-disant médiocrité, afin de consoler la sienne).

Et pourtant, rien de tout cela n’est pour moi du travail littéraire. Le travail littéraire, chez moi, s’opère à mon insu : quand je me mets enfin devant mon ordinateur, c’est que j’ai infusé pendant une période qui peut s’étendre à… Plusieurs années…

Ainsi, pour ceux qui trouvent que je ne mets pas assez de sexe dans mes écrits (!!!), et à qui j’ai envie de répondre que la simple description d’une promenade dans un jardin en fleurs est déjà sexuelle, puisque les fleurs, n’est-ce pas… Bref… J’ai le plaisir d’annoncer que j’avance dans un projet de livre qui devrait les émoustiller, et qui pourtant ne comprendra aucune partie de jambes en l’air, ahahah, exprès. »

Pathétique, la mégalomanie de Clopine, qui se prend maintenant pour Colette (puisque Colette ne travaillait pas beaucoup ses textes moi aussi je peux me permettre ce luxe étant donné que j’ai autant de talent littéraire sinon plus qu’elle). Quand on a lu son manuscrit, du niveau « confessions d’ado qui a trop lu Enid Blyton », écrit à la hâte sans la moindre réflexion sur sa forme, et on lit des phrases comme  » Le travail littéraire, chez moi, s’opère à mon insu : quand je me mets enfin devant mon ordinateur, c’est que j’ai infusé pendant une période qui peut s’étendre à… Plusieurs années… », on ne peut qu’éclater de rire devant une telle folie de grandeurs mêlée à une naïveté aussi puérile.

Ma poule, au lieu de perdre ton temps en essayant d’inventer la littérature érotique sans érotisme ou d’écrire « La Pornographie pour les prudes », tu ferais mieux de tenter le coup dans la littérature comique, en t’utilisant toi-même comme personnage, celui d’une mégalomane pathologique qui veut passer à l’Histoire de la Littérature Universelle sans avoir jamais réfléchi deux minutes sur le travail littéraire.

Pablo75 dit: à

En plus de prétentieuse et mégalomane, Clopine est avant tout une inculte qui croit qu’il suffit de lire Proust ou Bourdieu pour avoir de la culture. Sa profonde inculture lui fait dire beaucoup de bêtises. Exemple: « je dois aussi préparer une petite conférence sur Colette, encore un écrivain qui avait le défaut d’écrire sans remettre sur le métier cinquante fois son ouvrage, l’anti-Flaubert en quelque sorte, bref, Colette avait tout pour être honnie d’un Pablo qui cherche avant tout à persuader autrui, quel qu’il soit, de sa soi-disant médiocrité, afin de consoler la sienne). »

Voilà notre mégalomane inculte prise à nouveau en flagrant délit de bêtise crasse: elle confond l’impression de facilité que donne le style de certains écrivains, avec le fait d’écrire facilement. Une fois de plus, une idée d’adolescente aussi immature que vaniteuse. Je pourrais chercher dans mon bordel de livres le pavé « L’art d’écrire » de R.Etiemble, plus de 600 pages de citations des plus grands écrivains sur la difficulté d’écrire. Mais il me suffit d’ouvrir « Un été avec Colette » d’Antoine Compagnon et de lire:

« Vint le jour où M.Rouché me demanda un livret de féerie-ballet pour l’Opéra. Je ne m’explique pas encore comment je lui donnai, moi qui travaille avec lenteur et peine… » (Colette)

«Comment s’y prend-elle? On a cru longtemps au seul merveilleux don. Mais questionnez-la. Elle vous dira comment, et combien elle travaille. Et du vrai travail dont elle souffre – dont elle se libère avec orgueil, avec parfois, comme elle le confiait à un intime, au moment de La Naissance du jour, la satisfaction d’avoir écrit “quelques pages d’anthologie”.»

(Marcel Berger. La Revue mondiale, 15 août 1929).

« Ses lettres à Marguerite Moreno sont des litanies de plaintes. La dernière page du Blé en herbe l’a beaucoup tourmentée […]. La Fin de Chéri, en 1925, lui a coûté : « Cette “Fin de Chéri” sera la mienne, tant elle m’emm… nuie » (LMM, 116). Dans les deux cas, elle s’acharne contre le « cabochon », la « ciselure ». On est déjà fin octobre : « Il faut maintenant que je finisse La Fin de Chéri. Mon Dieu que c’est difficile ! » (LMM, 124). « C’est une lutte si sombre, celle qui use une griffe sur un papier » (LMM, 129). Deux ans plus tard, la souffrance est la même pour La Naissance du jour : « Et le travail ? ? ? Page 27, mon chéri, voilà où j’en suis. C’est terrible » (LMM, 151). Après quinze jours : « Mon travail ? Trente-cinq pages, – et le désespoir » (LMM, 152). « Je travaille ? Oui, si travailler est déchirer ce que j’ai fait la semaine passée et recommencer » (LMM, 153). Colette confie sa souffrance à ses intimes, elle « tire à la ligne », expression qu’elle affectionne (MV, 91 et 96), et elle est son propre bourreau de travail depuis qu’elle s’est affranchie de la tutelle de Willy, mais son idéal, c’est que le labeur, la souffrance ne se voient pas. Sillonnant la France et la Suisse en 1932 pour donner des conférences […] elle dit de son occupation publicitaire : « Ce n’est pas un métier très reposant que je fais. C’est toujours infiniment meilleur que d’être assis devant une feuille de papier, fût-elle bleu turquoise » (LHP, 155).

« Colette publia de jolis « Souvenirs d’un écrivain qui ne voulait pas écrire » dans Le Figaro en décembre 1939 (« La Chaufferette » dans Journal à rebours). Elle y dénie toute vocation d’écrivain :

« Non, je ne voulais pas écrire. […] Cette répugnance, que m’inspirait le geste d’écrire, n’était-elle pas un conseil providentiel ? Il est un peu tard pour que je m’interroge là-dessus. Ce qui est fait est fait. Mais dans ma jeunesse, je n’ai jamais, jamais désiré écrire. Non, je ne me suis pas levée la nuit en cachette pour écrire des vers au crayon sur le couvercle d’une boîte à chaussures ! Non, je n’ai pas jeté au vent d’Ouest et au clair de lune des paroles inspirées ! Non, je n’ai pas eu 19 ou 20 pour un devoir de style, entre douze et quinze ans ! Car je sentais, chaque jour mieux, je sentais que j’étais justement faite pour ne pas écrire. » (IV, 174-175).

Est-ce de la pose encore ? Ou la conscience chèrement acquise de ce que coûte la littérature? »

Tiens, tiens, tiens !!! Colette « encore un écrivain qui avait le défaut d’écrire sans remettre sur le métier cinquante fois son ouvrage, l’anti-Flaubert en quelque sorte »?? « Colette avait tout pour être honnie d’un Pablo qui cherche avant tout à persuader autrui, quel qu’il soit, de sa soi-disant médiocrité, afin de consoler la sienne »?? On est prié, par charité chrétienne, de ne pas éclater à nouveau de rire.

Et c’est cette immense spécialiste du travail littéraire de Colette qui doit faire une « petite conférence » sur elle? Pauvres auditeurs !!!

Décidément son aveuglement de mégalomane immature est inguérissable…

closer dit: à

J’ai mis la barre très haut avec Vialatte, mais il faut bien donner une référence que tout le monde connaît…

Alexia Neuhoff dit: à

« Colette avait tout pour être honnie d’un Pablo qui cherche avant tout à persuader autrui, quel qu’il soit, de sa soi-disant médiocrité… »
Clopine, vous semblez refaire surface, je m’en réjouis. Votre remarque est on ne peut plus pertinente. Vous auriez pu ajouter Colette [en tant que femme] avait tout etc. Car, vous l’aurez noté, dès qu’une femme s’exprime ici, Pablo voudrait nous administrer la preuve que « tiene huevos ». D’autant plus si elle ramène sa fraise et pose les pieds dans ce qui est sa chasse gardée, le monde hispanique, un empire sur lequel il règne mieux que Charles Quint et où le soleil – qui n’est autre que lui – ne se couche jamais.

Alexia Neuhoff dit: à

Pablo n’a pas été à montrer « que tiene huevos ». Logiquement, il donne du « ma poule » à Clopine. Et caquette.

Alexia Neuhoff dit: à

Pablo n’a pas [long]* été à montrer « que tiene huevos ».

Alexia Neuhoff dit: à

Zut ! Pablo n’a pas été [long] à montrer « que tiene huevos ». Avec ces histoires d’oeufs, je m’embrouille.

Patrice Charoulet dit: à

Les raisons de se suicider

Quand j’entends parler de suicide, je veux toujours savoir pourquoi l’on s’est suicidé.
Le cas le plus simple et le plus clair est celui qui , ayant un cancer généralisé et des souffrances
atroces , se tue pour mettre fin à cela. Cela se conçoit.
Montherlant a préparé quarante ans son suicide, en prenant toutes les informations utiles pour ne pas se rater. Il a mis dans sa bouche le revolver dans le bon sens, pour ne pas se rater, après avoir avalé du cyanure. Et il ne s’est pas raté.
D’autre suicides demeurent énigmatiques. Tout ce que j’ai lu sur le suicide de Patrick Dewaere, l’acteur qui a joué dans « les Valseuses » avec Depardieu, ne m’a pas vraiment convaincu. On ne comprend pas.
Parfois, nul ne sait rien sur un suicide. On se perd en conjectures : Maladie, chagrin d’amour,
faillite, prison… ?
Voyant un clip d’une chanteuse oubliée, Teri Moïse, je cherche sur le Net des infos sur elle. La notice m’apprend qu’elle s’est tuée à Madrid dans un hôtel à …43 ans ! On ne va pas jusqu’à nous dire pourquoi. Mystère !

Rosanette dit: à

@jazzi
Je n’ai pas vu le film de Glazer
Mais ,d’après ce qu’on en dit ,il exploiterait même ressort que le film La Conference ,que vous n’avez pas aimé ,a savoir faire ressentir l’ignoble « banalité du mal « à travers la description d’une scène de la vie ordinaire ,dont le spectateur sait , qu’elle se trouve consubstantielle du crime inouï qu’a été la Shoah,
Et cela je l’ai trouvé parfaitement réussi dans ce film , (je vous en vous devais un compte rendu ;je m’en acquitte)
j’y ai retrouvé parfaitement mis en valeur, dans son réalisme routinier le tout venant de ces réunions interministérielles dont l’objet est de faire entériner un projet déjà ficelé ,en ayant l’air de vouloir recueillir l’avis des administrations parties prenantes, dont on veut simplement acter l’accord et s’assurer de leur participation à sa mise en oeuvre .
Le cinéaste a su faire que cet événement qui se déroule en 1942 ait un air familier et ressemble, par sa chorégraphie , son déroulement et les conflits de boutique qui s’y expriment , à une scène qui pourrait se passer aujourd’hui à Matignon ou a Bruxelles
Tous les tics et les rituels sont la :
Les rivalités entre services , ici les responsables civils qui rechignent a voir les les militaires devenir moteurs du projet et empiéter sur leur pré carré ; le jeune exécutant (Eichmann) homme de base efficace et obséquieux qui a galéré sur la mise au point des aspects techniques du projet ,et qui est ravi et flatté d’avoir été invité à le présenter lui-même sous le regard approbateur et tutélaire de son directeur (Heydrich) qui apprécie sa capacité a répondre à toutes les objections , et aussi à aller au-devant des réticences pour couper l’herbe sous le pied d’éventuels contradicteurs ; il y a aussi le participant qui, ignorant la règle du jeu , tente d’exprimer un désaccord de fond , et qui ,sèchement remis à sa place, finit par avaler la couleuvre d’une acceptation contrite .
Enfin comme il faut que le tableau soit complet et bien ressemblant , il y a ,un peu lourdaud au milieu de ces personnages distingués et diserts , àla fois intimidé et flatté d’être là, un officier de rang subalterne ,invité parce qu’il amené a bien en Lituanie ,à l’échelle d’un village , une opération (que le spectateur imagine) relevant de l’objectif de la réunion et qu’il a paru utile qu’il fasse part de son experience pour éclairer les participants ;et on nous dit qu’il mettra à profit cette aubaine d’une mission dans la capitale pour pimenter son séjour par une virée dans un lieu coquin ,ce bonus classique des déplacements professionnels
Verité de de l’ambiance des pauses des , où l’on parle de manière détendue devant des buffets élégants des mêmes choses qu’autour de la table de reunion, mais avec un autre langage ,dans un autre registre , où l’on quitte une posture en se donnant l’air de livrer le fond de sa pensée , où on évoque la vie personnelle ,ou on met le moment à profit pour approcher celui qui peut vous ménager un RV avec un important ; verité aussi des aparte à deux ou trois participants, qui se mettent d’accord sur une prise de position commune
La mise en images de cette reunion en grand messe technocratique banale est parfaite ; tous affichent un professionnalisme tranquille attachés aux details , s’accordant sur l’impossibilité de poursuivre les executions par balles, car in compatible avec les capacités de production des usines d’armement ,ce qui implique le recours à d’autres méthodes , ou s’inquiétant des problèmes logistiques que posera le transfert vers les camps de populations venues de toute L’Europe .
Car ces gens qui s’entendent a dissequer les aspects economiques techniques et juridiques de leur projet ,dont ils n’abordent jamais le bien fondé mais seulement les modalités de sa réalisation , ne parlent ni d’interdire les pesticides ni de limiter les importations de poulets brésiliens ,mais de mettre au point le plus grand crime organisé que l’humanité ait connue …peut être depuis la guerre de Troie
Et cela le spectateur l’a en permanence en tête , non seulement il le sait ,mais abreuvé d’images et de récits il en connaît l’horreur .
Aussi avec le fauteuil d’observateur de ces échanges polis et tranquilles, que le film lui offre pendant les deux heures où ils se déroulent ,ce film fait mesurer tout ce qu’ajoute à l’énormité du crime la perfection d’une gestion administrative marquée par l’efficacité et l’indifférence

lmd dit: à

Il n’y plus que Charoulet pour écrire des trucs amusants et subversifs. Par exemple le coup des masques, délictueux dans la rue alors qu’ils étaient obligatoires il y a quelques mois. Ou cette idée de mettre le revolver dans le bon sens pour ne pas rater son suicide.

Pablo75 dit: à

Alexia Neuhoff tu as trop bu ce matin. Je suis tellement poli avec les femmes que quand elles sont saoules je fais semblant de ne pas entendre les conneries qu’elles disent.

Rosanette dit: à

De clopine j’avais aimé sa manire enlevée de rendre presents dans ses breves nouvelles, petits croquis ecrits, des instants de vie banals ;le blocage de toutes les caisses à la fnac suite à une mauvaise insertion de sa carte de credit par exemple , ou de la scene a la table familiale en face d’un frere borné qui a garde le vocabulaire et les reflexes de l’appelé en Algérie qu’il a eté
Et qu’avez pensé de ses « choses vues » chez le pharmacien Blaise
Etre romancière certes c’est autre chose , mais il est incontestable que Clopine a cette facilité d’écriture qui vous offre les » mots pour le dire » lorsqu’on a quelque chose a dire
et cela c’est un don relevant de la générosité d’une bonne fée .et malgré tous les efforts en ce sens cela ne s’acquérir

Rosanette dit: à

@M Charoulet
chercher la cause d’un suicide n’a pas grand sens à mes yeux
le suicide c’est la manière dont devient mortelle une maladie qui est inscrite dans les genes et s’appelle la dépression ,ou, pour parler avec le vocabulaire d’aujourd’hui, la maladie bipolaire

Damien dit: à

Le suicide de Teri Moïse est une chose qui m’a beaucoup attristé. Je crois me souvenir qu’elle était en pleine solitude, comme un chanteur abandonné ou un mal-aimé de la variété style Claude François ou Johnny — ce dernier a fait moult tentatives de suicide. Au fond on se suicide parce qu’on est seul. Charoulet, vous êtes sans doute très seul, abandonné de tous, tout comme moi : nous pouvons comprendre cette hantise qui fut fatale à un George Sanders. Celui-là, il s’est tué en Espagne. La fête était finite. Il a pris des médicaments et un cocktail de vodka-champagne. Alors, Tery Moïse ou George Sanders, nous devons bien observé ce qui leur a été fatal — comme à Montherlant, qui ne pouvait plus plaire aux petits garçons. Il avait peur que ça se sache, qu’il était pédé. Quand Pierre Sipriot l’a révélé à Apostrophes, ç’en fut fini de Montherlant. Heureusement, le Romain du quai Conti s’était déjà suicidé. Il est arrivé la même chose à Matzneff, au fond. Mais Matzneff nous a tous blousés : alors qu’il menaçait depuis toujours de mettre fin à ses jours, en réalité il n’en a pas eu le courage. N’est pas Sénèque qui veut ! Sénèque qui, par exemple, disait que si, un jour, il se voyait obligé de travailler, eh bien il se suiciderai. La pensée de Sénèque sur l’euthanasie est obsédante, dans ses Lettres à Lucilius, que j’ai lues dans l’exécrable traduction de Paul Veyne (un écrivain que je n’aimais pas du tout). Après avoir péroré sur de si beaux exemples, Sénèque ou Pétrone, Matzneff est resté tout con. Aujourd’hui, il est trop tard. Son affaire est faite. Car imaginez qu’il se soit supprimé peu avant la parution du livre de Springora, eh bien il eût conservé son aura et son prestige de poète maudit. Il serait devenu un héros comme Maldoror, génie malfaisant. Les nymphettes auraient pleuré sur lui à jamais. On le lirait enfin comme il avait voulu. A lui les gros tirages, de manière posthume, il est vrai. On aurait rejeté dans l’oubli le livre de Springora — et c’eût été dommage, certes, car c’est un magnifique livre. Voilà tout. Vous savez où est enterré Teri Moïse ? Il faudrait aller déposer une rose sur sa tombe, non ? Ou repasser l’une des chansons. Bonne fin de journée, et ne vous suicidez pas… pas encore !!!

morales sed laisse dit: à

nous devons bien observé

Un participe passé à la place d’un infinitif,
la faute habituelle de Monsieur mauvaise langue Alba jadis et naguère …et encore aujourd’hui! 🙂

et alii dit: à

@le suicide c’est la manière dont devient mortelle une maladie qui est inscrite dans les genes et s’appelle la dépression ,ou, pour parler avec le vocabulaire d’aujourd’hui, la maladie bipolaire
voilà une définitio que je crois tres simpificatrice et je doute qu’il y ait beaucoup de psys qui ‘acceptent aujourd’hui après tous les travaux menés, après le costat de Lacan
 » « Le suicide est le seul acte qui puisse réussir sans ratage. Si personne n’en sait rien, c’est qu’il procède du parti pris de n’en rien savoir. » (Lacan, 2001,
https://www.cairn.info/revue-le-journal-des-psychologues-2008-9-page-58.htm

et alii dit: à

définition
constat

et alii dit: à

je me souviens d’un professeur, juriste et théologien, qui enseignait que produire une oeuvre avait à voir avec le suicide

renato dit: à

Sans ratage c’est beaucoup dire : on ne comte pas les tentamen ?

renato dit: à

« théologien » ! Bon, évidemment, vu les conneries qu’ils arrivent à dire, une de plus une de moins ça ne change pas grand chose.

et alii dit: à

mais comme le rappelait cette psy,
. « C’est dire qu’on fera bien de se méfier, là comme ailleurs, là plus qu’ailleurs, du sens commun. »

et alii dit: à

une épouse de mon ex-mari s’est suicidée enceinte de lui, sans donner d’explications
:il a donc contracté un nouveau mariage ;et un nouveau divorce!
après,il s’est mis au sport

Jazzi dit: à

Rosanette, je n’ai jamais dis que je n’avais pas aimé le film La Conférence, seulement que je m’étais plusieurs fois assoupi durant la projection.
Sans doute à cause de ce côté technocratique, qui vous a réjoui.
Je pense que The Zone of Interest est très différent.
Je vous dirai, quand je l’aurai vu, si je suis resté éveillé de bout en bout ou pas…

et alii dit: à

et je me souviens que mon ex-mari me dit qu’il se connaissait en femmes!

Jazzi dit: à

Le léZard a revisité le Tonkin, l’Indochine et certains coins de l’Afrique, sans quitter Paris !

Jean Langoncet dit: à

@

Précieuse information, merci closer. C’est le collaro show ici tendance cancel culture ici ; quoi de plus naturel, on est entre partisans (peu nombreux, une « moustiquaire étroite » suffira à les abriter) de zemour de La Télé, c’est bibi qui le dit : “J’ai moi-même une famille nombreuse. J’ai quatre enfants à nourrir” ose Bruno Le Maire – au salaire de ministre – dans un débat sur l’inflation : après l’indécence pornographique, l’indécence politique ! G. Collard

Jean Langoncet dit: à

C’est le collaro show ici tendance cancel culture ici > C’est le collaro show ici tendance cancel culture ici (une pensée en passant pour le Schtroumpf zozoteur)

Alexia Neuhoff dit: à

Pablo75 dit: à

« Alexia Neuhoff tu as trop bu ce matin. »

N’exagère pas, chéri. Je ne bois que tes paroles et on ne peut pas dire que cela me procure la moindre ivresse.

Patrice Charoulet dit: à

à Damien
Montherlant avait consulté Matzneff sur le suicide chez les Romains, qui se targuait d’être expert ra
Matzneff est toujours vivant.
Je note que mon grand ami Cioran (et pourtant!) ne s’est pas suicidé non plus.
Les raisons de se suicider m’intéressent beaucoup, mais je n’ai aucune envie de me suicider. Je pense toutefois que je songerais à me suicider dans le premier cas que j’invoque : cancer généralisé et souffrances atroces. Mais il faut être lucide : quand on est en phase terminale dans un hôpital, il est rare qu’on ait sous la main un revolver ou du cyanure. Et si j’étais dans cette situation , je suppose qu’on me gaverait de morphine.
Il y a quarante ans , j’avais acheté un livre qui avait pour titre « Suicide , mode d’emploi ». Mais j’étais jeune et pleine de belles idées. A 78 ans, je vais tout faire pour vivre jusqu’à cent ans, comme Fontenelle.

Rosanette dit: à

@Et alii
vous ecrivez
voilà une définition que je crois tres simpificatrice et je doute qu’il y ait beaucoup de psys qui l’acceptent ‘de psys qui ‘acceptent aujourd’hui après tous les travaux menés, après le constat de Lacan
Ce que vous ecrivez ne prouve rien ,sinon que les psy ont longtemps, par leur verbiage, maintenu la psychiatrie au stade de la medecine de Molière, considerant les troubles de l’esprit non comme le desordre d’ordre biologique qu’ils sont mais comme des malaises a soigner avec des mots

Jazzi dit: à

« Mais j’étais jeune et pleine de belles idées. »

Charoulet serait donc un transsexuel !

Jean Langoncet dit: à

@comme Fontenelle

Mes devoirs Mon Charoulet du Préau. Merci de cette invitation à faire fi de la triste union des zombies qui sévit sur les réseaux sociaux, ici sur un mode culturel, et d’attirer l’attention sur un sujet de première importance et de saison : les asperges à la Fontenelle ; ça nous changera des endives dont on n’a pas fini de souper jusqu’aux prochaines présidentielles, en France et aux Etats-Unis (au fond les zombies aiment se bercer d’illusions, c’est la raison pour laquelle ils sont dangereux – voyez Poutine). S’agissant des asperges et de la fameuse controverse impliquant l’académicien centenaire, vous êtes plutôt à l’huile ou au beurre ?

D. dit: à

C’est vrai que vous êtes stupide, renato. Je suis d’accord avec vous.

Patrice Charoulet dit: à

« pleine » : cela s’appelle une faute de frappe.

Avant d’acheter le dernier Houellebecq, lisez Montaigne, Scarron, Molière, La Fontaine,Racine, Sévigné, Retz, Fénelon, La Bruyère, Saint-Simon, Voltaire, Montesquieu, Laclos, Chamfort, Joubert, Chateaubriand, Stendhal, Hugo, Baudelaire, Flaubert,Taine, Alain, Morand, Valéry,Montherlant, Chardonne, Colette, Cioran.
Cela va vous occuper quelque temps.
P.-S. HB, quelle sale gueule ! S’il faisait du stop, je ne m’arrêterais pas.

et alii dit: à

rosanette, merci, mais je crains que les femmes qui se prennent pour des médecins et multiplient diagnostics et traitements ne permettent de classer une nouvelle pathologie inconnue encore des toinettes de Molière qu’elles pourront se décerner comme des diplomes de blogs pour intellos et « gogos » erdéliens,alors qu’il y a des « bipolaires » (sic)qui ne savent pas encore que tous les doigts
de pieds sont des orteils mais les mettent en éventail quand on leur parle de tango!
bonne soirée

et alii dit: à

rosanette, voici pour vous lécher les « babines » le
réflexe cutané plantaire ou réflexe de Babinski est un réflexe primitif que l’on recherche chez le bébé par la stimulation de la plante du pied. Normalement, ce réflexe disparaît vers l’âge de six mois environ. Sa présence au-delà de cet âge peut indiquer des troubles neurologiques. Chez l’adulte sain, la réaction normale est plutôt de replier les orteils.

Le signe de Babinski (ou signe de Koch) est la réponse en extension dorsale du gros orteil lors de la recherche de ce réflexe cutané plantaire.

et alii dit: à

Avoir les doigts de pied en éventail »

Cette expression remonte au Moyen-Age. A l’époque, les mycoses des pieds étaient courantes et se soignaient avec des éventails qui étaient utilisés pour écarter les orteils et leur permettre de sécher. Les personnes étaient alors contraintes à l’immobilité et ne pouvaient plus travailler.

et alii dit: à

doigts de pieds en éventail & mettre les doigts de pieds en éventail ; avoir les doigts de pied en éventail ; orteils en éventail ; orteil en éventail ; les arpions en éventail (1928) #locution
Évocation de béatitude, de plaisir, de passivité agréable (sommeil, repos > ; sexualité) ; en paix, tranquille

synonyme jouir

Jean Langoncet dit: à

Bonne soirée à alii Bab et aux panaris en formation incarnée

Clopine dit: à

Bah. Pablo n’a rien compris à ma pensée sur Colette… Rétive à l’écriture, s’y adonnant comme on s’attelle à un boulot alimentaire, anti Flaubert donc je le maintiens … Et le travail qu’elle décrit est partagé par tous ceux qui, de près ou de loin, ont affaire à l’écriture. Ce que je conteste chez Pablo (mais il ne peut pas l’entendre), c’est sa conviction qu’il faut se donner entièrement à la littérature, jusqu’à épuisement, pour « y arriver ». Un masochisme doublé d’un élitisme frauduleux, en fait, visant à légitimer ou non l’impétrant. Le contraire d’une Colette ! Waourf.

B dit: à

Pablo est une espèce d’inquisiteur féroce, le savoir suffit à amoindrir la charge de ses propos en ces temps de radicalités qui exceptée le radicalisme ecologique n’ont aucune légitimité .

B dit: à

Charoulet serait donc un transsexuel !

Jazzi, il m’est arrivé de devoir entendre , je ne sais pour quelles raisons, que j’étais un travello , alors âgée de 18 ans à peu près. Pourtant je ne sortais qu’avec des garçons.

Rosanette dit: à

@et alii
je suis encore plus sotte que vous le pensez ,car ne comprends pas dans vos réponses le pourquoi du lien que vous établissez entre les doigts de pied et ce que je dis du suicide ,même si c’est stupide.
pouvez vous m’éclairer ?
je vous rassure sur mes capacités cognitives :quand j’ai besoin de compter jusqu’à 20 je ne me sers pas de mes doigts de pied

renato dit: à

Vous devriez savoir D. qu’un brin de stupidité est nécessaire à la pensée ; et si vous ne le savez pas tant pis.

et alii dit: à

EXCUSEZ MOI, ROSANETTE, j’évoquais, avec les pieds, l’aspect biologique que vous aviez mentionné; (poétique à l’aventure) et d’un mot l’autre , je suis un peu fatiguée après quelques échanges ( entre autres avec une ex-veuve qui a retrouvé un compagnon il y a peu)
portez vous bien

et alii dit: à

biologique:m’impose de rappeler que « nul ne sait ce que peut le corps » SPINOZA TRES COMMENTE

D. dit: à

Si si je le sais, renato.

et alii dit: à

ECLAIRCISSEMENT
une infirmière ‘ »qui m’a dit un jour qu’elle était bipolaire selon son psy m’ayant demandé je ne sais quoi, je lui ai montré mes pieds, nus dans mes sandales »;et là, elle m’a dit « et les autres » à quoi j’ai répondu que je n’avais que ces deux pieds là et ces orteils et que je n’étais pas un mille pattes

D. dit: à

J’en ai marre de toutes ces pilosité qu’on porte aux nues à la télévision notamment dans les pubs. Ça suffit maintenant. L’homme ordinaire un tant soit peu évolué se rase, à moins qu’il ne s’agisse d’un sage, d’un vrai religieux ou d’un saint. Sinon c’est un barbare décadent. Rien de plus.

D. dit: à

N’est-ce pas, et alii ?

D. dit: à

J’espère en tout cas que Clopine sera choisie comme voix off, parce qu’elle a une belle voix.

FL dit: à

Le passage ci-après de « Femmes » (1983) me préoccupait depuis que j’en ai parlé sur ce forum. C’est la page 201 du Folio. Dans mon souvenir ils sont devant une armoire à glace. J’ai pas le courage de tout lire.

C’est pas mauvais. Mais c’est pas le Marquis. Ça manque de fantaisie.

« Elle veut qu’on fasse l’amour devant le miroir… Je m’assois sur une chaise devant la glace. Elle s’assoit de dos sur moi, fait passer ma queue entre ses cuisses, la branle comme si c’était la sienne […]. Elle se branle… Elle veut absolument voir le sperme gicler [etc.] »

FL dit: à

La mort de Helmut Berger dans Le Monde. Un florilège : « beauté inhumaine », « blondeur satanique », « muse », « Pygmalion ». Aucun poncif ne nous a été épargné.

« Enlevez la mauvaise littérature et ça ira comme ça. » disait Colette à Simenon débutant.

On devrait des conseils similaires dans la rédaction du Monde.

Je rigole mais on a échappé à « égérie ».

rose dit: à

et alii dit: à
ECLAIRCISSEMENT
une infirmière ‘ »qui m’a dit un jour qu’elle était bipolaire selon son psy m’ayant demandé je ne sais quoi, je lui ai montré mes pieds, nus dans mes sandales »;et là, elle m’a dit « et les autres » à quoi j’ai répondu que je n’avais que ces deux pieds là et ces orteils et que je n’étais pas un mille pattes.

Et alii
C’était peut être et les autres chaussures ?

rose dit: à

mais on a échappé à « égérie »
Non pck hey, j’ai ri.

FL dit: à

J’avais bien aimé le film de Bonello sur Saint-Laurent avec donc Helmut Berger en Saint-Laurent vieux.

Pierre Bergé s’était opposé au film.

D. dit: à

Jazzi, au Festival de Cannes, Ana Biolay, fille de Benjamin Biolay et de Chiara Mastroianni, petite fille de Catherine Deneuve-Dorléac, est considérée sur les réseaux sociaux comme une « Nepo », c’est à dire une fille de… Personnellement je ne m’attache pas à ça pourvu qu’elle ait du talent (en a-t-elle, je n’ai aucun élément pour me prononcer ?), par contre qu’est-ce qu’elle est laide ! Quand on a comme mère et grand-mère des femmes aussi belles et gracieuses, comment peut-on être aussi laide ? C’est mystérieux.

D. dit: à

Il y a cependant eu dans l’histoire du cinéma de nombreux acteurs et actrices dotés d’un physique difficile et qui ont été neanmoins excellents et même pour certains des monuments. Souhaitons-lui ceci. Mais elle part désavantagée, inutile de le nier ou de ne pas aborder le sujet parce que au cinéma le physique est évidemment important.

Jean Langoncet dit: à

De l’utile, de l’agréable et de la supercherie. Voilà un article qui va dans le sens des affirmations de Pédro et des deux poèmes de Borges qu’il a partagés ici (c’est bien entendu très réducteur de ramener l’œuvre de Borges à ces quelques traits – comme on est soi-même on voit les autres, n’est-ce pas rose?) : « La passion d’un auteur pour Israël et le judaïsme mise à l’honneur à Buenos Aires. Jorge Luis Borges, l’un des écrivains canonisés d’Amérique du Sud, a écrit de nombreux poèmes au cours de sa carrière, dont au moins deux portant sur Israël. (…) »
https://fr.timesofisrael.com/buenos-aires-mise-a-lhonneur-de-la-passion-dun-auteur-pour-israel-et-le-judaisme/

Jean Langoncet dit: à

(Les carriéristes apprécieront)

MC dit: à

Sur Colette, ceci: un très jeune homme la rencontre dans les années 1950, Il est très, trop impressionné. Colette sent qu’il se passe quelque chose, alors la Grande Dame de dire , avec son accent bourguignon: «respire, petit, tu m’empêches de travailler! »

et alii dit: à

BORGES BIBLE Précision
Chapitre 24 – Borges et la Bible
de la partie II – Le canon occidental, l’orient, contextes de réception
Publié en ligne par Cambridge University Press : 16 janvier 2020
Il a fait un usage presque exclusif de la Bible protestante, sa préférée étant la Bible King James, publiée en 1611. Dans ses dernières années, Borges a déclaré sa préférence pour le christianisme réformé et il a cité sa grand-mère paternelle. Fanny Haslam, comme exemple de bibliocentrisme protestant.
https://www.cambridge.org/core/books/abs/jorge-luis-borges-in-context/borges-and-the-bible/6A00DFAA8BB1262445E6BE8A11CB825F

rose dit: à

(comme on est soi-même on voit les autres, n’est-ce pas rose?)
Ce n’est pas de moi.
Mais cela me semble très juste, ainsi que « la vie nous apprend à vivre ».
De nature, elle est joyeuse.

rose dit: à

Mardi 23 mai 5h30

JC..... dit: à

MARDI 23 MAI, 6h58

SUICIDE
Mettre fin à ses jours, c’est insulter ses père et mère !

Vous vous rendez compte du travail de votre mère pour vous extirper de son gros ventre ? De l’affection de celui qui l’a engrossée et vous a créé de A à Z ? Amour, estime et respect pour eux ! Pour toutes ces années où ils vous ont tenu par la main, par le cœur, par le porte-monnaie !….

Soyez créatif, salopiot ! Honorez les, toute votre vie… Ne cédez pas à la facilité !

Jazzi dit: à

« qu’est-ce qu’elle est laide ! »

La fille de Michel Simon et de Pauline Carton !

closer dit: à

Ce n’est pas mon type, mais elle n’est pas si moche, loin de là…Bande de jaloux!

Janssen J-J dit: à

… aujourd’hui, 23.5.23, c’est la Saint Didier. Bonjour Didier.

-> GP n° 209 – Je me souviens du jour le plus désastreux de mon existence sociale. Je faillis mourir de honte en ce mois d’octobre 2008, à Montréal. Mais depuis 15 ans, j’ai fini par me convaincre que ce fut sans doute le jour le plus héroïque et courageux de ma vie.

-> Il y a aussi ce fragment du poète Philippe, publié dans un nouveau recueil dédicacé :
[mais le temps est bien trop lisse pour que j’accroche ma voix aux murailles des jocrisses car demain je serai roi de la scène et des coulisses]

-> Hier, vu à la Rochelle, Misericordia de l’italienne Emma Dante, une pièce qui m’a reconnecté et réconcilié avec le monde. Ce matin, elle continue d’infuser sa tendresse et sa générosité. Parfois, le monde est fabuleux, des artistes sont toujours là pour nous bouleverser. Des extraits, lcé, https://www.theatre-contemporain.net/video/Misericordia-EMMA-DANTE-extraits-75e-Festival-d-Avignon
Bone journées à tous.tes,

Pablo75 dit: à

Ce que je conteste chez Pablo (mais il ne peut pas l’entendre), c’est sa conviction qu’il faut se donner entièrement à la littérature, jusqu’à épuisement, pour « y arriver ». Un masochisme doublé d’un élitisme frauduleux
Clopine dit:

Où j’ai parlé de « entièrement », « d’épuisement », de « masochisme »? Tu inventes pour pouvoir opposer quelque chose aux vérités incontestables que je te mets sous le nez (attitude minable de tous les incapables d’argumenter). Quant à « l’élitisme frauduleux », là c’est ton délire idéologique habituel, ton « bourdieusisme » si mal digéré…

La prochaine fois que je trouverai aux Puces « L’art d’écrire » de R.Etiemble, je l’achèterai et te l’enverrai, pour que tu puises apprendre enfin en quoi ça consiste l’activité d’écrire de la littérature – même si la lecture d’un tel livre risque d’être un choc trop brutal pour ta mégalomanie pathologique.

Le Hasard dit: à

 » Si je pouvais de nouveau vivre ma vie, dans la prochaine je tâcherai de commettre plus d’erreurs.
(…) Je serai plus bête que je n’ai été, en fait, je prendrai très peu de chose au sérieux.
(…) Mais, voyez-vous, j’ai 85 ans … et je sais que je me meurs.
 » Instants  » J.L Borgès
Contrition déguisée?…

D. dit: à

Ce midi c’est tête de veau sauce ravigote.

et alii dit: à

au fait à propos de BIOLOGIE?NE PAS OUBLIER LE BIOMIMETISME
Le biomimétisme désigne un processus d’innovation et une ingénierie. Il s’inspire des formes, matières, propriétés, processus et fonctions du vivant. Il peut concerner des échelles nanométriques et biomoléculaires avec par exemple l’ADN et l’ARN, et jusqu’à des échelles macroscopiques et écosystémiques, incluant donc les services écosystémiques.

Il cherche ainsi des solutions soutenables produites par la nature, sélectionnées par de nombreuses espèces, éprouvées par l’évolution au sein de la biosphère1 sur plus de 3,8 milliards d’années.

La biomimétique est un processus créatif interdisciplinaire entre la biologie et la technique, dont le but est de résoudre des problèmes anthropocentriques par l’abstraction, le transfert et l’application de connaissances issues de modèles biologiques. Mettant au point des procédés et des organisations permettant un développement durable des sociétés, le biomimétisme et la biomimétique sont parfois confondus avec la bioinspiration, cette dernière étant un concept plus générique puisqu’elle se définit comme « une approche créative reposant sur l’observation des systèmes biologiques »2. WIKI

D. dit: à

C’est gentil d’avoir pensé à me souhaiter ma fête.

D. dit: à

Évidemment on aimerait en savoir un peu plus concernant Montréal. Si ce n’est pas trop demander.

D. dit: à

Et alii, j’ai expérimenté quelque chose d’extraordinaire concernant les rêves. Vous allez en tomber le cil par terre.

Janssen J-J dit: à

De rien, D.idier… C’est bien naturel entre collègues…
Hélas, pour la révélation de l’anecdote, je ne suis pas encore prêt, mais un jour, je le serai.
J’ai deux options : raconter les faits tels que je les ai consignés à l’époque, et susciter les quolibets… Ou bien, les épurer de façon à me rendre l’image plus flatteuse aujourd’hui…
Mais qui pourra le croire, et pourquoi ici et maintenant ?
(Une contrition déguisée ???? NON POINT),

Samuel dit: à

Pourquoi se donner la mort dans une chambre d’hôtel ?

rose dit: à

Pck tu vis dans une chambre d’hôtel.

Jazzi dit: à

Après les porcs, un nouvel hashtag venu des USA pour dénoncer les fils et filles de !

« Trop, c’est trop. Samedi 20 mai 2023, Coralie Biolay, sœur de Benjamin Biolay, s’est exprimée sur le réseau social Instagram pour défendre sa nièce. Dans un long texte, elle dénonce une « agression gigantesque »

« Ma nièce de 20 ans ne cesse de lire des horreurs absolues la concernant. Outre le fait d’être la fille de et de surcroît n’avoir aucun talent et ne pas avoir à travailler (évidemment !) elle lit qu’elle ressemble à un chien, voire à une handicapée sévère… en d’autres termes, qu’elle est grosse et laide et qu’elle n’a rien à faire dans le paysage cinématographique français », a réagi Coralie Biolay, la tante de la jeune femme, sur Instagram.

Anna Biolay était sur la Croisette aux côtés des acteurs du film Rosalie, réalisé par Stéphanie Di Giusto, dans lequel elle joue aux côtés de son père, le chanteur Benjamin Biolay.
La jeune femme de 20 ans a fait face dans la foulée à une avalanche de commentaires s’en prenant notamment à son statut de « nepo baby », Anna Biolay étant la fille de l’actrice Chiara Mastroianni et la petite-fille de Catherine Deneuve et de Marcello Mastroianni.

Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Le terme, contraction de l’anglais nepotism (« népotisme ») et baby, désigne les « fils » et « filles de » s’appuyant sur la notoriété de leurs parents pour réussir, particulièrement dans le milieu culturel.

Le hashtag #nepobaby a fait son entrée sur les réseaux ces derniers mois. Et le New York Magazine a consacré sa Une à ce sujet en décembre 2022. »

Patrice Charoulet dit: à

Langue française

Chacun possède et consulte le Petit Larousse et/ou le Petit Robert. Ces petits dictionnaires répondent à la plupart des questions que l’on se pose.
Depuis le XVII e siècle, il existe aussi le Dictionnaire de l’Académie française. Ce dictionnaire était censé être l’oracle suprême en la matière. Si les éditions Larousse et Robert , qui ont des professionnels nombreux et actifs, publient chaque année une nouvelle édition de leur dictionnaire, il n’en va pas de même pour le dictionnaire de l’Académie. Quelques académiciens se réunissent, certains jours , pour examiner quelques mots et décider ce que l’on écrira à leur sujet dans la prochaine édition . A ce rythme, il ne peut y avoir une édition annuelle.
Le premier volume (A-Enz) de la dernière édition a été publié 1992 . Le deuxième volume (Eoc-Map) a été publié en 2001 . Le troisième volume (Maq-Quo) a été publié en 2011 . On ne sait pas quand sera publié le quatrième et dernier volume.
Ce dictionnaire écrit par des écrivains offre de bonnes réponses aux questions qu’on lui pose. Je conviens qu’on n’y trouvera pas les mots nouveaux. Mais quand on lit un grand écrivain français du XVIe siècle au XXe siècle, et que l’on tombe sur un mot que l’on ne connaît pas ou que l’on connaît peu, le dictionnaire de l’Académie française permet d’y voir plus clair.

renato dit: à

Il faudrait lancer le hashtag #pourrisdedans contre les dénonciateurs envieux.

D. dit: à

Voici : souvent les rêves sont influencés par les sensations extérieures. On a faim en rêve parce que le corps ressent la faim. On étouffe parce que l’on fait une petite apnée.
Or une nuit, j’ai fumé un joint en rêve (pour faire plaisir, je ne me drogue jamais) et j’ai immédiatement plané d’une façon incroyable. Or en réalité mon corps n’était soumis à aucun psychotrope. Tout se passait dans le domaine astral, avec une force incroyable. Ce joint était un joint astral et mon voyage était un voyage de joint astral. Le temps s’était effacé : je fumais dans un présent perpétuel et je ne sais toujours pas ce qui m’en a sorti mais au réveil j’étais en descente et c’était désagréable. C’est la preuve que l’astral peut prendre contrôle du corps physique et en faire ce qu’il veut.

D. dit: à

Concernant la petite Biolay, si la critique ponctuelle du physique d’un personnage public est permise, à fortiori lorsqu’il va ouvertement se placer devant les objectifs du Festival de Cannes, et relève de la simple liberté d’expression de chacun, il ne faut pas accepter le harcèlement, c’est à dire répéter, insulter, se regrouper et s’organiser pour jouir de la situation. Ce que beaucoup n’ont manifestement pas compris.

Jazzi dit: à

L’extinction des étoiles

Alain Delon, 87 ans, et Brigitte Bardot, 88 ans, ne sont pas actuellement en très bonne santé.
La triste mort récente de son supposé fils illégitime, Ari Boulogne, pour l’un, la surexposition avec une série fictive sur France2 et un documentaire annoncé sur TF1 pour l’autre, me font craindre le pire !
Comme si un sort mauvais s’acharnait à vouloir les voir disparaître au plus tôt ?
Les enfants du baby-boom, dont je fais partie, risqueraient alors de se sentir orphelin…

D. dit: à

Du point de vue de la qualité du jeu, Alain Delon m’a toujours plus convaincu que Brigitte Bardot.

Janssen J-J dit: à

@ J’ai mis la barre très haut avec Vialatte,
… ah bon ? ce type qui a massacré Kafka pour des générations de Français… !

@ D. Et si vous écriviez plutôt ceci ? Ce serait plus honnête et l’erdélie commencerait à croire aux endhives du khédive.
________
{une nuit, j’ai fumé un joint et j’ai immédiatement plané d’une façon incroyable. Or dans cet état onirique, mon corps n’était soumis à aucun psychotrope. Tout se passait dans la vie réelle avec une force incroyable. Ce joint était un joint du meilleur afghan, et mon voyage était un voyage de chanvre indien. Le temps s’est effacé : depuis lors, je fume toutes les nuits dans un présent perpétuel }
Bons plants !

Jazzi dit: à

Il y a en effet des relents de racisme, dans ce nouveau hashtag, renato.

Mais est-ce du même ordre que la dénonciation des privilèges des enfants de la bourgeoisie vis à vis des enfants de la classe ouvrière, en matière d’éducation.

Reproche qui a succédé à la critique adressée jadis aux enfants de l’aristocratie sous l’Ancien Régime ?

Jazzi dit: à

La vie n’est pas un dictionnaire, Patrice Charoulet !

D. dit: à

Non non JJJ. C’est pas vrai. Fumette astrale pure. Vous avez l’air de vous y connaître en tout cas. Du charentais label rouge ?

D. dit: à

Un volume qui commence par Maqu, Jazzi. Y’a des oméga 3 dedans.

D. dit: à

J’ai longuement étudié la situation économique, politique et sociale de la France dans un contexte de réchauffement climatique et de désindustrialilalisation. J’en arrive à cette conclusion : il faut déclarer la guerre à l’Allemagne.

Alexia Neuhoff dit: à

J’invite ceux qui parmi vous sont encore sensibles au respect des droits humains à me rejoindre, à 17h, devant l’ambassade d’Iran à Paris ( 4, avenue d’Iéna, 75016 ) où se tiendra un rassemblement destiné à exiger l’arrêt des exécutions et la libération des prisonniers politiques (notamment des otages français arbitrairement emprisonnés).

Alexia Neuhoff dit: à

Iran : au moins 218 exécutions depuis janvier 2023 (ONG Iran Human Rights). Ces exécutions sont liées aux manifestations qui ont éclaté dans ce pays depuis septembre 2022. Inutile d’en rappeler les raisons.
Les manifestant.e.s appréhendé.e.s n’ont pas droit à l’assistance d’un avocat. Ils/elles sont torturé.e.s physiquement et psychologiquement jusqu’à ce qu’ils/elles fassent des aveux publics en s’auto-incriminant.

Jean Langoncet dit: à

Ma parole, il y sont tous …

Pour ceux n’y sont pas : « Après l’exécution le 19 mai de trois jeunes Iraniens en lien avec les manifestations, plusieurs associations appellent à manifester devant l’ambassade iranienne à Paris, le mardi 23 mai à 17 heures, pour exiger l’arrêt des exécutions et la libération des prisonniers politiques.
Près de huit mois après la mort, entre les mains de la police des mœurs, de la jeune Mahsa Jîna Amini, Iranienne d’origine kurde, pour un voile mal porté, les autorités iraniennes continuent de réprimer le mouvement social et politique inédit porté par la devise «femme, vie, liberté». Les Iraniens et les Iraniennes engagé·e·s dans une lutte pour l’instauration d’une société démocratique, laïque et sociale, payent, de leur vie, leurs aspirations en faveur de l’égalité et des libertés.(…) »
https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/rendez-vous-a-paris-pour-exiger-larret-immediat-des-executions-en-iran-20230522_SDLICXGE3NHSDALL5RIGCWTXKY/

Phil dit: à

La mort de Helmut Berger dans Le Monde

Lisez Le Figaro, dear FL, l’époux de Miss Neuhoff, plus vice qu’on tient de nature, a parfaitement replacé Berger dans les limbes de Delon.
A. Biolay dispose ni plus ni moins du charme de Ch. Gainsbourg.

D. dit: à

Ah non, Phil. Alors là pas du tout. Elle est bien bonne celle-là. Ni plus ni moins qu’il écrit en plus…

FL dit: à

Moi j’utilise un Littré électronique. J’adore. Si quelqu’un pouvait nous faire une édition 64 bits. Ça serait parfait.

https://code.google.com/archive/p/dictionnaire-le-littre/

Alors quand je vois Le Robert prendre comme argument commercial qu’ils « updatent » (*) leur dictionnaire tous les ans, je me gausse.

(*) pensée spéciale pour les wokes.

FL dit: à

Ils nous prennent vraiment pour des cruches au Robert.

D. dit: à

De toutes façon les dictionnaires, à part occuper des pensionnés de l’éducation nationale, ça ne sert pas à grand chose. Tout le monde le pense mais n’ose pas le dire. Ni plus ni moins.

FL dit: à

Deuxième édition du Littré. Entre 1873 et 1877. Paul Verlaine était en prison.

FL dit: à

1873-1877 Nietzsche trouvait l’enseignement pesant. Wagner montait le premier festival de Bayreuth. Proust apprenait à parler. Colette apprenait à marcher.

D. dit: à

Je vais me coucher. Ni plus ni moins.

Janssen J-J dit: à

D. dit: De toutes façon, Charoulet ne sert pas à grand chose. Tout le monde le pense mais n’ose pas le dire. Ni plus ni moins.

Vous ne devriez pas dire ça, moi les dictionnaires je les aime pour caler mon lit, avant la grande coucherie. Bonne nuitée !

Jean Langoncet dit: à

(Ne le répétez pas mais le père de cette jolie jeune femme serait membre d’une société secrète fondée sur une filiation paternelle et cachée : The Sons of Lee Marvin)

rose dit: à

Bonjour,

Nous en sommes là.

https://www.instagram.com/reel/CpamW3NMLem/?igshid=MmJiY2I4NDBkZg==

Et là :
Le cour Mirabeau.

Et lâ
Combien d’élèves absents le jour de l’Aïd en classe. La grande mosquée (son représentant) dit stigmatiser : lorsque l’on rencontre tous les jours des femmes déguisées que dit-on nous ? ( Hier robe rouge et voile blanc plus sourire radieux => mieux que le tout en noir sinistre de la ville).

Restitution des œuvres d’art spoliées sous Hitler aux propriétaires juifs.

Une infirmière assassinée à l’arme blanche dans le cadre de son travail au CHU. Une collègue blessée.

rose dit: à

Débat entre Arielle Dombasle et Marcela Iacub :

remarques :

On peut quitter l’Argentine pour émigrer en France ???
Admiration ancrée pour Arielle : sa classe, sa maîtrise parfaite de l’espagnol, sa maîtrise infaillible, sa manière de gérer avec une telle désinvolture son entrée en septuagénaire, bref, sacrée bonne femme, à l’enfance au Mexique. Aura court-circuité la maternité.

Nota ter : Pablo Neruda est chilien. Tout le long de l’Amérique latine, en omettant quelques pays, au Brésil ne sais pas, Paraguay, Uruguay, Colombie, Panama, Costa Rica (centrale incluse), Argentine, Chili, Bolivie, Pérou, et Mexique les nuances de l’espagnol sont multiples. Intonation, vocabulaire, particularités idiomatiques.

rose dit: à

mercredi 24 mai 2023, le printemps pluvieux.
Dans moins d’un mois c l’été.

rose dit: à

Je reprends Gilles Deleuze, j’en suis à Q.

rose dit: à

La réponse de G.D

Furet du Nord
https://www.furet.com › pdfPDF
Pourparlers. 1972-1990

LETTRE À UN CRITIQUE SÉVÈRE. Tu es charmant, intelligent, malveillant, porté

Page 15 pour toi, à partir de C’est Nietzsche.
Bon mercredi

et alii dit: à

 » L’homme n’est pas du genre à jouer un rôle arrêté à l’avance. Le « je » de Miguel Benasayag, « Indien métissé », est en effet multiple, changeant : philosophe, médecin, psychanalyste, pédopsychiatre, militant. « C’est au titre de guérillero que je tiens le plus », avoue sans tarder notre penseur embarqué. Combattant dans la guérilla guévariste en Argentine dès l’âge de 17 ans, torturé, reclus pendant quatre ans dans les geôles de la dictature – où sa compagne a été assassinée –, exilé à Paris depuis 1978, Miguel Benasayag.. »
pilomag bonne journée

rose dit: à

Page 15 sur 22.

J J-J dit: à

@ RPTV (…) « Mais, voyez-vous, j’ai 85 ans… et je sais que je me meurs ». On ne peut pas la refaire. Non, Nul.le ne le peut, surtout le 24.5.23, hein, Sophie P ? – https://www.youtube.com/watch?v=ZfoBOSykHJo

closer dit: à

Selon Marc Lambron ce matin, le dernier livre de Houellebecq est destiné aux suédois…
Je vous laisse deviner pourquoi (facile).

J J-J dit: à

Il va passer sur la télévision ce soir, je suis pas suédois, je regarde pas, je vais au cinéma.

GP n° 210 – Je me souviens des « animateurs » littéraires télévisés suivants, par hordes d’intérêts décroissants : Michel Pollack, Pierre Dumayet, Bernard Rapp, Frédéric Taddei, Bernard Pivot. J’ai oublié tous les autres.

J J-J dit: à

@ bouguereau MAI 22, 2023 À 11:40.. mais sfaire déchirer l’cul ça a jamais tué personne qu’elle dit la grande cathrine à sa cardiologue
—-
Là, j’avoue n’avoir point trop compris l’incise, faudrait se rmet’ dans l’bain d’vapeur… avec l’jmb d’st-malo. Un brin brun.

Damien dit: à

Selon Marc Lambron ce matin, le dernier livre de Houellebecq est destiné aux suédois…
Je vous laisse deviner pourquoi (facile).

Je donne ma langue au chat. Marc Lambron est un petit jaloux. Dans son Journal, il ne savait plus quoi raconter pour tenter de faire son intéressant. Des blagues même pas juives. Par exemple : c’est à l’enterrement de Lagardère, il y a Alain Delon dans l’assemblée. Au moment de se serrer la main, le voisin de la star lui tend la sienne en disant : « La paix du Christ ! » Alain Delon lui répond : « Alain Delon ! » C’est ce qui s’appelle avoir le sens de la réplique. Je vais chercher une blague juive dans les deux tomes parus dans « J’ai lu », avec la tête de Groucho en couverture. En fin de semaine, je rencontre un ami qui a du sang juif, chose qu’il a découverte en faisant un teste ADN. mais il est chrétien. Pour marquer le coup, je lui en raconte une, quand je le vois. Je vous tiendrai au courant, éventuellement. — Ce matin, dès l’ouverture de ma librairie, je vais aller y acheter le petit livre de Houellebecq, dont je ne dis rien avant de l’avoir lu, ou feuilleté. Mais ce n’est pas trop gros, et ça doit se lire gaiement. Houellebecq n’est pas « gay », mais seulement gai. Même si son histoire de film pornographique ne m’attire pas du tout. J’ai l’interview de sa femme chinoise dans Match, aucun intérêt selon moi. Evidemment, il s’est marié à une vraie nymphomane, on n’en attendait pas moins de lui. Une nymphomane chinoise, qui plus est, ça doit être terrible. Pour ma part, je n’ai jamais testé, je dois avouer. Elle a un blog, la Chinoise, sur lequel elle copie des citations. J’aimerais bien la rencontrer, ceci étant, car elle aime bien parler littérature. — Sur ce livre de Houellebecq, suédois ou non, il faudra se demander ce que ça vaut avec un sujet pareil. Il ne coûte que 12 €. Qu’a-t-il voulu faire ? Des mémoires ? Bonne journée, et lisez !

rose dit: à

L’art consiste à libérer une vie puissante qui a été emprisonnée (G-D, R)

closer dit: à

Il paraît que Porquerolles se bunkerise pour se protéger de l’invasion quotidienne de migrants déguisés en touristes…

JC est à la manoeuvre.

Janssen J-J dit: à

Gilles Cantagrel avait écrit un beau livre sur Jean-Sebastien Bach. Mais aujourd’hui, place au jasmin, au seringa, à la clématite et au chèvrefeuille. Tous en floraisons, un chatoiement au portail de l’odorat. Et de surcroît des coeurs de pigeon carmins encore en abondance sur les basses branches, sur les plus hautes, les merles les ont quasiment toutes dévorées. Il faut bien que chacun vive de ses cerises gratuites – Hier, toute une journée de nouvelles plantations. Mon parc paysager en passe de devenir magnifique, et mes aquarelles s’améliorent progressivement. Il y a quand même encore des instants lumineux pour chacun.e

JC..... dit: à

DOUTER

Le mot le plus important qu’une société intellectuelle, organisée/désorganisée en plein effort, doit élever au plus haut rang…

Ne jamais parler de ce que l’on ne connait pas, géographiquement, viscéralement, intellectuellement.

JC..... dit: à

Les souvenirs de Gigi sont épitaphiques ! Tout le monde s’en fout ….

rose dit: à

G-D

On ne croit pas en d-ieu comme on croit en un plat de lasagnes et nous ne sommes pas convaincus. Mais c’est un chemin en marche qui fait que, non, on n’a pas honte d’être un homme.

Le //du style entre le tennis et la littérature, quelle jubilation pour qqu’un qui n’a jamais regardé le tennis.
Notez ce grand suédois aristocrate qui a démocratise le tennis en le mettant à portée du peuple : merci !

Alexia Neuhoff dit: à

Bonjour, cher Janssen. Auriez-vous du sang charentais ? (cf « le sang juif » de l’ami de Damien). Si oui,dites-nous en quoi son hémogramme est exceptionnel.
Les forces de l’ordre ne nous ont pas permis d’accéder à l’ambassade d’Iran mais ne nous ont pas pour autant précipité.e.s dans la Seine.

JC..... dit: à

Connaitre c’est douter, douter c’est connaitre.

rose dit: à

en passe de devenir magnifique, et mes aquarelles s’améliorent progressivement

Bravo Janssen J-J !

rose dit: à

Bravo Alexia Neuhoff pour le sitting proche de l’ambassade d’Iran.

rose dit: à

Tout le monde s’en fout.
Pas du tout.
Pas même des dictionnaires.

D. dit: à

On ne s’en sortira pas sans attaquer un voisin. Sinon c’est lui qui nous attaquera tôt ou tard. On exclut comme d’hab. les Anglais, faut pas jouer avec. On ne va non plus attaquer nos boisins sympathiques comme les Italiens, les Belges et les Espagnols. Donc il reste Allemagne et NL. C’est pas compliqué. Pour des raisons pratiques on ajoute Suisse, Luxembourg et Liechtenstein. On touche pas à l’Autriche parce que là-bas ce sont des potes historiques. Et j’aimerais bien qu’une partie des forces terrestres italiennes poussent par l’Autriche via un corridor Udine-Villach-salzbourg.
Aviano pour protéger l’espace aérien au dessus. Faudrait voir si Pologne et Tchéquie sont intéressés par des morceaux allemands. Et quelles colonies prendraient l’Espagne et l’Italie.

et alii dit: à

biologique:attention:
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https://www.lemonde.fr/sciences/article/2023/05/23/ces-savons-qui-dopent-l-attirance-des-moustiques-pour-les-humains_6174506_1650684.html

 Les femelles moustiques ont besoin de sang pour obtenir les protéines nécessaires à la production d’œufs. Mais les femelles, tout comme les mâles, ont aussi besoin de sucres provenant de plantes pour obtenir l’énergie nécessaire à leur métabolisme. Pour trouver ces ressources, ils utilisent des composés volatils émis par ces dernières. Mais ce qui nous différencie d’autres animaux, c’est que, chaque jour, nous employons des produits cosmétiques ou d’hygiène, comme les savons, et les appliquons sur notre peau. » Des produits destinés à flatter nos narines, exhalant souvent de douces senteurs végétales. « Du point de vue des moustiques, nous sommes donc une ressource qui sent à la fois comme un animal et une plante, poursuit le chercheur. Cependant, l’effet de l’ajout de ces composés émis par les plantes à notre odeur corporelle sur la réponse des moustiques n’avait jamais été testé. »
le monde

et alii dit: à

et maman coud :
c’est lyrique!

et alii dit: à

alors, les points de suture? C’ETAIT LE POINT DE BASCULE 2023

D. dit: à

Tout bien réfléchi c’est moralement irrecevable. Dommage, la victoire était facile. N’y pensons plus et laissons-nous asservir poliment.

renato dit: à

Il faudrait sortir du XIXe, D., car, sauf les sauvages Russes, nous vivons aux XXIe… avec tout ce qui va avec.

Jazzi dit: à

Le léZard a vu au cinéma un conte de fées avec Hitler, Staline, Mussolini, Churchill et Jésus-Christ en Guest star : proprement effrayant !

Phil dit: à

Vialatte…ce type qui a massacré Kafka pour des générations de Français… !

Indeed. Pourtant il a maîtrisé l’allemand avant l’Allemand. Sans doute, mélanges sémantiques dans l’euphorie des nouvelles forces d’occupation.

Damien dit: à

la conscience humaine se combinant ici à l’intelligence artificielle

Jazzi, ce n’est pas tout à fait ça. L’animation informatique est au service exclusif d’un scénario né d’une intelligence humaine. C’est Sokourov qui fait parler tous ces fantômes de l’histoire. Pigé ? A part ça, votre résumé est correct. Je vous précise que j’ai vu ce film deux fois, et que j’en suis sorti littéralement fasciné. J’invite tous les internautes en perdition qui hante ce blog à y aller. Ils ne seront pas dépaysés, tant nous ressemblons tous à ces âmes perdues. Mère Clopine, sorte de Mussolini des ordinateurs, la petite Alexia, ce clavier infime, et les autres, et moi et moi et moi, comme le chantait Dutronc…

Alexia Neuhoff dit: à

M. Charoulet sera d’accord avec moi, les dictionnaires fournissent la définition des mots qui représentent un être, un objet, un concept réels, existants. Mais peut-être pas partout. J’apprends qu’une enseignant de primaire a été suspendue de son poste pour avoir donné à ses élèves (CM1) la définition du mot « homosexualité ». Cela s’est produit dans une école française, à Kénitra, au Maroc. Une école où elle professe, sans histoire, depuis une trentaine d’années. Deux parents ont porté plaine devant la justice pour apologie de l’homosexualité. Ce mot figure dans les dictionnaires et décrivent une réalité. On peut supposer qu’elle n’a fait que répondre à une question d’élève et qu’elle a recouru à son Petit Robert ou autre. Au Maroc, c’est dangereux . Et l’accusation grave : le Petit Robert ou autre ne précise pas que l’homosexualité est une atteinte à la religion. Des tas d’autres parents, d’anciens élèves de cette institutrice lui ont apporté leur soutien et demandé sa réintégration. L’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE, ministère des affaires étrangères) fait la sourde oreille.

Janssen J-J dit: à

@ Les souvenirs de Gigi sont épitaphiques ! Tout le monde s’en fout ….

Mais pas moij, car j’aime beaucoup les épitaphes, et m’en suis d’ailleurs souvent régalé au cimetière de la presqu’ile de Giens, à « l’entrée » de Pkl. L’une d’entre elle, dédiée aux trois fils d’une famille assassinée par leur père, n’est pas piquée des verbes !…

@ Je ne puis hélas que proposer du sang catholiques saintongeais, aussi lointainement que remonte les ancêtres de mes parentèles, plutôt endogamiques dans l’ensemble, toujours nés en cette contrée (sauf à avoir, pour une branche voyageuse, migré en Nouvelle France au XVIIe, où l’on retrouve encore quelques-uns de mes patronymes, à peine déformés, bie plus qu’en ancienne France). Rien d’exceptionnel, voyez, mais nous en sommes toujours à douter pour mieux connaître les faits du passé et programmer ceux de l’avenir. Merci pour votre courage et ténacité protestataires d’hier, j’étais de bon coeur avec vous, croyez le bien, mais ignorais que vous n’ayiez pu atteindre l’ambassade.
***Il faut dire qu’avec messieurs Darmanian & Nunez, ce n’est pas toujours facile, la prétendue prévention du désordre public a toujours bon dos, quand il s’agit de mettre en balance le principe de « liberté de manifester » (?) et par diplomatie réaliste, de vouloir se concilier les faveurs d’un odieux régime autoritaire théocratique totalement pourri par la tête.

rose dit: à

N’y pensons plus et laissons-nous asservir poliment

D.

Une ancienne prof d’allemand en reconversion m’a dit récemment qu’apprendre l’allemand était destiné à la réconciliation des peuples.

rose dit: à

La petite Biolay

Oui, le tapis rouge est déroulé sous ses pieds sans qu’elle ne lève le petit doigt (de pied).
Est-ce un cadeau ?

Sa beauté ?
Je lui trouve le portrait craché de son père avec quelque chose de sa grand-mère.

Elle est un peu grasse. C’est le point commun des petites jeunes filles avant qu’elles ne découvrent l’amour et les joies de la sexualité. Et des mémés lorsqu’elles ont surcompensé dans la gastronomie familiale à base de sauces.
Miserere

Ceci posé, elle a dix neuf ans, qu’on la laisse tranquille.

rose dit: à

Quelques points de suture :

Boris Karloff ?

rose dit: à

cimetière de la presqu’ile de Giens, à l’entrée

Saint John Perse non tout de suite à droite ?

rose dit: à

Je ne comprends pas le lien avec épitaphe : un souvenir est obligatoirement dans le passé.
Deux questions se posent à moi : pckoi cui-,ci s’est-il imprégné et pas l’autre ?
Est-il constitutif de notre moi (moi/moi) ou pas ?

Jazzi dit: à

« L’animation informatique est au service exclusif d’un scénario né d’une intelligence humaine. C’est Sokourov qui fait parler tous ces fantômes de l’histoire. Pigé ? »

Oui, Damien, mais grâce à la maîtrise d’une intelligence technique, Sokourov fait revivre sous nos yeux des morts et s’animer des images figées.
Génial !
Raison pour laquelle j’ai mis Staline, Hitler et les autres au casting…
Sinon, sur le sens, tu n’as rien de plus à dire ?

et alii dit: à

rose vous avez confondu BORIS KARLOFF ETCARL ORFF/
ASSEZ DE Carmina BURANA;
plutôt PREVERT !c’est plus printanier

rose dit: à

révélé par le quotidien Le Monde de Denis Masseglia envoyé à Brigitte Henriques en janvier 2022 dans lequel l’ancien professeur de physique suggère un montage pour la prise en charge de ses frais pour son rôle «d’ambassadeur» et de «président honoraire», mission confiée après son départ. Dans ce courriel, consulté par l’AFP, l’ex-président suggère de scinder en deux ses frais, pour ne pas susciter «l’incompréhension» de la Cour des Comptes.

In le monde.fr

Inquiétude de la Cour des Comptes ?

Et concernant le salaire du PDG de la MAIF = soixante SMIC, pas d’inquiétude ?

In fine, le salaire d’une directrice d’Ehpad privé = douze fois le salaire d’une aide-soignante, pourquoi se plaindre ?

rose dit: à

Et alii
J’m tant Carmina Burana !
Mais non, points de suture => Karloff, Boris de son prénom.

D. dit: à

En respectant une ration calorique quotidienne adaptée, les sauces ne font pas grossir contrairement à ce qu’on essaye de nous faire croire depuis trop longtemps.
Ce sont les glucides en excès qui font grossir. Et ils comprennent les glucides en excès…en sauce.
Par contre les sauces familiales pouvaient présenter l’inconvénient d’être faites avec des graisses dangereuses telles que la margarine ou autre cochonneries dérivées contenant des acides gras hydrogénés qui bien qu’étant végétaux sont très dangereux pour la santé en raison de la facilité avec laquelle ils se déposent dans les vaisseaux.
Les glucides lents ou rapides pris en excès provoquent un pic d’insuline favorisant le stockage des graisses. Et favorisant à la longue la survenue de diabète de type 2.
Les sodas, les gâteaux. Notamment industriels. Mais pain, pâtes, pommes de terre aussi, tout est question de quantité. Attention aussi aux fruits en excès parce qu’ils contiennent du fructose qui va direct dans le foie pour faire du fois gras. Cela comprend aussi les fruits secs. Les fruits sont donc à la fois intéressants pour la santé (fibre, vitamines, minéraux) et mauvais à cause du fructose et de leur acidité déminéralisante. Les personnes consommant principalement des fruits s’exposent à de sérieux problèmes de santé. L’homme n’est pas un frugivore, faut-il le rappeler. Même il y a 2 millions d’années, il n’était pas frugivore mais déjà omnivore, contrairement à une multitude d’autres primates frugivore presque exclusifs. Le métabolisme de l’homme n’est pas adapté à une consommation principale de fruits.

et alii dit: à

O.K.,rose;
« Pourriez-vous, s’il vous plaît, vous débarrasser de tout ce que j’ai écrit jusqu’à maintenant et qui a malheureusement été publié par vous ? Avec les Carmina Burana commence le catalogue de mes œuvres ! »
voyez vous même pour présenter les burana!

Damien dit: à

Sinon, sur le sens, tu n’as rien de plus à dire ?
J’en ai déjà parlé ici. C’est un film qui donne envie de se plonger dans l’histoire du XXe siècle, qui nous vit naître. Les inepties proférées par Hitler, etc. dans ce film de Sokourov sont à même de nous faire réfléchir sur la catastrophe européenne que personne n’a su éviter, la Shoah, Yalta, etc. Depuis 1945, c’est l’enfer.

D. dit: à

Mon petit déjeuner que je recommande :

– 2 oeufs bio ou plein air bleu-blanc-coeurd à la coque (pas au plat dans une huile végétale).
– 2 ou 2 mouillettes de vollkornbrot BIO passés au grille-pain et tartinées d’un très bon beurre de pâturage.
– quelques noix
– 1 yaourt de qualité avec quelques morceaux de fruits et pas plus
– Un morceau de fromage
– thé ou café mais mieux : chicorée ou café-chicorée. Un peu de lait dedans pour ceux qui l’aiment et le digèrent bien (C’est mon cas).

Avec ça vous tenez tranquillement jusqu’à 13h sans aucun besoin de collation intermédiaire. Vous apportez peu de glucides, des protéines, des fibres, des antioxydants, quasiment aucun acide gras néfastes et au contraire beaucoup d’acides gras bénéfiques.
Vous ne grossirez absolument pas avec ça.

rose dit: à

Tu vas voir qu’ils ne retourneront pas au front.

D. dit: à

Un type de petit déjeuner néfaste car cadencé et/ou déséquilibré :

– thé
– pain ou biscotte avec confiture
– fruits

Damien dit: à

Vous ne grossirez absolument pas avec ça.
Le fromage et le beurre font grossir.

Janssen J-J dit: à

@ Saint John Perse non tout de suite à droite ///
oui, mais pour les trois fils, c’est 4e rangée à partir de la gauche, 2e sépulture : « ci gisent trois frères d’excellente famille, tombés au chant d’honneur de leur goélette. Un seul être vous manquent (sic) et tout est dépeuplé. Petite fauvette, viens chanter de temps en temps pour ne pas nous oublier ! ».

@ tout dépend de l’heure à laquelle on prend son brekfeust,

@ moij, auraisj pas confondu carl orff qui n’était pas recousu, lui. Pmp, j’efface rien, ça non, même pas les bandanages,

@ pas compris l’hypothèse de l’allemand avant l’Allemand, alors qu’il était tchèque d’austrohongrie à l’origne, et bien français l’Alexandre… Lequel, chamboulifié par la merveilleuse Occupation pétainiste, peut-être ?

Janssen J-J dit: à

@ Je suis sans doute un brin stupide, mais pas con du tout.

Je le pense aussi : la connerie n’est jamais stupide, on le sait bien, tous.tes, sauf un.

Janssen J-J dit: à

ils ne veulent pas rétablir l’ISF pour sauver la planète, ont d’autres solutions moins cruelles pour les fortunés du mérite vert,

J J-J dit: à

pourquoi, sam, dès lors qu’on ne veut pas s’engager dans une discussion un rien profonde à partir de filomagre, préfère t on évoquer la composition de son petit déjeuner du brexit ?

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