de Pierre Assouline

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La République des livres
Caprice d’Echenoz, insignifiance du Kundera

Caprice d’Echenoz, insignifiance du Kundera

Après la petite rentrée, comme on nomme désormais la rentrée de janvier, mars est le rendez-vous des poids lourds. Ils convient de les admirer. Ils ont la carte. Le club est sélect : Kundera, Modiano, Le Clézio y côtoient Carrère, Echenoz, Ernaux, Ndiaye, Toussaint…. Autant d’écrivains que l’on a aimés, et que l’on est tout prêt à aimer encore, mais sans complaisance ni indulgence coupables. Sur la durée, certains (Modiano) sont remarquablement constants dans la qualité ; d’autres, moins. Leurs nouveaux livres sont pourtant loués systématiquement par un effet d’emballement médiatique qui demeure l’un des plus étonnants mystères de la vie littéraire. Comme si l’esprit critique renonçait par principe à s’exercer à de telles hauteurs. Il y a là un curieux phénomène de paralysie par l’admiration. De toutes façons, dès qu’un livre est annoncé comme un événement pour des raisons diverses et variées (l’âge de l’auteur, son métier etc), c’est mauvais signe.

L’écrivain semble le seul artiste à échapper à l’examen critique qui lui signalerait gentiment, mais fermement et publiquement, une perte de valeur, une baisse de qualité, une petite traversée du désert. Les plus grands ont connu ça : Welles, Fellini et même Chaplin, pour ne pas parler des dramaturges et des peintres. Les classiques modernes de la littérature, pour peu qu’ils soient encore de ce monde, semblent immunisés contre ce genre de désagrément. Si l’on en croit la critique, ils ne connaissent pas de hauts et de bas contrairement au reste de l’humanité créatrice. On ne peut même pas dire, comme on le fait parfois avec Philip Roth, que lorsque c’est moins bon, c’est tout de même meilleur que la plupart de ceux d’en face.echenoz par daniel mordzinski

Ils racontent des histoires et manifestement, cela leur fait plaisir. Dommage qu’ils n’aient songé à l’art et la manière de le partager. C’est flagrant avec Caprice de la reine (128 pages, 13 euros, éditions de Minuit) de Jean Echenoz. Sept récits, sept lieux, le tout bien emballé, même si la musique de l’auteur y semble assourdie. Rien de ce qui nous avait récemment enchanté du côté de Ravel et de Courir, ou fasciné avec 14, pour s’en tenir aux souvenirs les plus récents. Une impression de déjà lu, et pour cause, certains de ses textes ayant déjà été publiés ailleurs. Or, comme le savent d’expérience éditeurs et fleuristes, un lien jamais ne suffira à faire un bouquet. Mais surtout quel ennui ! C’est peu dire que l’intérêt y est faible ; on ne voit même pas, à la fin de chaque histoire, pourquoi l’auteur nous a amené jusque là. Pas indigne mais vain. (ici un extrait). A croire que la publication de ce livre obéit à un caprice autorisé par l’auteur à l’éditeur, à moins que ce ne soit l’inverse. Vite, le prochain, le vrai ! Le rapport avec le dernier Kundera, outre le statut d’intouchable et l’ampleur de la déception ? Le jardin du Luxembourg. Ils l’ont en partage.

On le sait que depuis quelques temps, de crainte qu’une ou deux voix discordantes ne se manifestent chez ces incorrigibles français, Milan Kundera préfère publier ses livres d’abord à l’étranger ; c’est ainsi que La fête de l’insignifiance est paru en Italie en « Prima edizione mondiale » comme l’indique fièrement le bandeau d’Adelphi ! Précaution inutile car là-bas comme ici, l’accueil fut et sera kunderolâtre. Des amis se rencontrent et se racontent. Voilà. Il nous ôte le goût de raconter l’histoire, car ce serait aplatir ce qui l’est déjà. Il en faudrait plus pour élever le non-sens au rang d’un des beaux-arts. Par moments, une échappée dans le ton donne l’illusion que l’on est dans une BD filmée par Alain Resnais. De trop courte durée, hélas. Au début, on craint le retour en force de la prostate ; en fait, c’est du nombril en majesté qu’il s’agit, directement, métaphoriquement ou subliminalement. Il y a des histoires de perdrix dont on croit comprendre qu’elles ont faire rire, s’étrangler ou inquiéter Staline, Kalinine, Khroutchev, Brejnev (mais moi, rien, si je puis me permettre). Titres et intertitres déconcertent.

On sent qu’il s’est bien amusé à brocarder ainsi l’esprit de sérieux ; facile de deviner son petit sourire penché sur la page ; pas contagieux, hélas. Peut-être s’est-il joué de nous, comme on peut se le permettre à 85 ans, mais non : La fête de l’insignifiance (144 pages, 15,90 euros, Gallimard) n’a rien d’une PlaisanterieLes personnages, vite guignolisés en pantins pathétiques, parlent d’une même voix. On ne retient rien. Pas un son, pas un trait. Même citer s’avère impossible car rien ne le mérite. A peine des néologismes : « excusard », « conduisible »… Et puis il faut savoir gré à Milan Kundera de déterrer de temps en temps des auteurs français d’autrefois que plus personne ne lit, hélas : la dernière fois Anatole France ; cette fois, Françis Jammes.. C’est tout ? Ah, si, la définition de l’humour comme l’infinie bonne humeur ; sauf qu’à l’examen, l’auteur nous donne lui-même à vérifier, c’est aussi écrit en allemand (unendliche Wohlgemutheit) et c’est de Hegel. Pour le reste, si poussif… Il ne suffit pas de dénoncer la lourdeur de ses contemporains pour apparaître léger. Pesante en est la lecture, heureusement rapide (gros caractères, triple interlignage, peu de pages). Où est passé le rire rabelaisien de Kundera ? (ici dans un Apostrophes de 1984 à lui spécialement consacré)

kunderasollers photo vincent bitaudOn guette la chute, en vain. A la dernière page, rien ne vient. Et l’excipit nous laisse en l’air, pétrifié par le doute tant sur l’auteur que sur le pauvre lecteur : sommes-nous donc si bêtes, comme contaminés par la bêtise dénoncée avec condescendance dans ces pages, que nous n’avions rien vu, rien aperçu, rien compru à la profondeur de cette sotie qui fait le bonheur des critiques (si l’on en croit leurs articles ici ou ) et du public (si l’on en croit l’entrée du roman au plus haut de la liste des meilleures ventes) ? Car immanquablement, à la fin de chaque histoire, on se demande : et alors ? et après ? Rien pourquoi ? « Il est facile à lire mais difficile à comprendre » nous rassure son éditrice espagnole Beatriz de Moura, tout en nous révélant des détails de son prochain livre. Certes… On entend aussi de telles choses à propos de Michel Serres et sa Petite Poucette.

Pauvreté des dialogues, faiblesse du style, sécheresse de l’exposition. La technique narrative chère à Kundera pourtant éprouvée, inspirée de la partition musicale, cette fois rate son effet. Son goût du fragment ici tombe à plat et ne donne qu’une impression de décousu. L’esprit de sérieux a subi en littérature des assauts autrement plus convaincants. C’est à se demander si, après ce quatrième roman écrit directement en français, il ne gagnerait pas, du moins pour sa fiction, à se remettre à sa langue natale, celle qui lui conférait un authentique génie du conte philosophique le distinguant de la masse des écrivains.

Si l’on osait, et pourquoi n’oserait-on pas, on dirait que Milan Kundera a eu assez d’ironie, de cette ironie mordante, lumineuse, puissante et si réjouissante qui porta ses livres autrefois, pour nous tendre la perche en suggérant par le titre de cette fantaisie que tout cela est effectivement insignifiant. Cette fable qui se veut le livre du rire mérite l’oubli. Finalement, le plus réussi, c’est le bandeau de couverture : un dessin de Milan Kundera.

(« Dessin de Milan Kundera » ; « Jean Echenoz attend son heure » photo Daniel Mordzinski ;  « Milan Kundera assailli par un groupie » photo Vincent Bitaud)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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commentaires

1 175 Réponses pour Caprice d’Echenoz, insignifiance du Kundera

D. dit: 11 avril 2014 à 9h09

Jacques Barozzi, je fais une cuisine bio, sans préservatif, sans colorant, une cuisine saine, ma vodka est aussi garantie bio.

u. dit: 11 avril 2014 à 9h10

« Sollers a toujours été mal coiffé, ou plutôt « coiffé à la Bazin » : une mèche mal coupée barrant le front à moitié ! » (Cl.)

C’est très juste, c’est à peu près le seul défaut visible de cet athlète complet.

Pour se consoler de l’insignifiance généralisée, votons pour la circulation des looks.
BHL pourrait échanger sa liquette contre la tonsure romaine de Sollers.

— Le hairstyle du premier est une abomination.
Par regret narcissique du thin on top (mais c’est l’âge, mon vieux), il laisse proliférer latéralement une végétation de substitution qui va finir par le transformer en coluche.

(J’ai fini par développer une relation amicale avec mon correcteur automatique.
Là où je parlais du thin-on-top de Lévy, il préfère thon on top.
Là où j’évoque une liquette, il propose que BH échange sa piquette.
Il me précède une fois sur deux.)

berenice dit: 11 avril 2014 à 9h13

l’ oeil sur la main,(je saute sur cette occasion de restaurer le dialogue outre tombe) vous devriez faire attention car si le collage de l’œil sur la main s’avérait défectueux et il ne peut s’agir que d’un collage, d’un montage photo, d’un assemblage illustratif, la nature bien faite nous fournissant la paire au bon endroit, esthétique et pratique comme deux sémaphores deux vigies vigilantes et adaptées à renseigner le marin imprudent qui s’aventure sur la cote accidentée par une nuit de tempête par exemple, méfiez vous donc que cet œil mal placé n’échappe pour tomber au fond d’un récipient attristant comme un tonneau, une tombe, un puits profond au fond hors d’atteinte à moins d’y dépêcher une équipe spéléo, une poubelle mal entretenue et odoriférante, un buisson d’orties, un bouquet d’églantine si touffu qu’il blesserait la main qui y chercherait son bijou disparu.

Jacques Barozzi dit: 11 avril 2014 à 9h14

Après avoir signé le centième commentaire, voilà que c’est au tour du deux-centième. Vais-je avancer de cent en cent ?

u. dit: 11 avril 2014 à 9h17

« Vais-je avancer de cent en cent ? »

C’est ton zèle de géant, Jacques.
Je me sens un piéton.

Clopine Trouillefou dit: 11 avril 2014 à 9h19

De nota : eh oui, rien de nouveau sous le soleil !

« On admire fort ce qui éblouit, et l’art de savoir bien mettre en œuvre de médiocres qualités dérobe l’estime, et donne souvent plus de réputation que le véritable mérite. » (la rochefoucauld)

Jacques Barozzi dit: 11 avril 2014 à 9h19

« La page demandée n’existe pas »

Clopine, vous avez ouvert une maison close !
A Rouen ?

berenice dit: 11 avril 2014 à 9h19

Abdel pourrait tout aussi bien nous faire croire qu’il est chasseur alpin, néo-zélandais ou autrichien, qu’Est-ce qu’on peut savoir de la véracité de l’autoportrait qu’il se plait à écrire, peut-être complète-t-il la galerie des portraits du menteur, sise à Londres, à deux encablures en Eurostar.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 9h23

Je me sens un piéton.

Remarquez si vous adoptez le Li comme mesure, U., la variabilité de la chose donne de l’espoir .. non ?

( plus sérieusement, cette notion m’intrigue beaucoup .. m’en diriez-vous plus, mon cher U. ?)

Leo (Bloom) Pold dit: 11 avril 2014 à 9h24

Probablement parce que ce produit voyage mal et que la date de péremption est trop courte, Bloom ?

Difficile d’être prémptoire à ce sujet, Baroz: j’ai gouté d’excellents calendos achetés chez les frères AlFatah à Lahore, chez les fromagers de Pondichéry, ou au Sofitel So de Bang-cock (dont je recommande le resto qui donne sur le parc Lumpini, tout jaune depuis des mois, non à cause du printemps, mais des manifestants anti Thaksin soeur qui en ont fait leur QG)…L’important, c’est le générateur, la zone électrogène sans laquelle il n’est, sous ces latitudes, aucun plaisir durable.

Clopine Trouillefou dit: 11 avril 2014 à 9h26

Oui, je sais, mon blog est difficilement atteignable. Le truc, si le lien n’ouvre pas, c’est d’aller sur google et de taper « clopine…Net! », et là vous cliquer sur la première occurrence, Jacques.

J’ai une anecdote perso (et familiale) sur les maisons closes parisiennes, mais je ne vous la raconterai que sur mon blogue !

berenice dit: 11 avril 2014 à 9h26

D ne restez pas ainsi avec l’implant descendu au fond de votre orteil car dans ces conditions, vous seriez même recalé pour l’entrée des enfers quoique ce ne soit votre projet, songez à la déconvenue du potentiel admiratif.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 9h26

plus de réputation que le véritable mérite.

Décidemment, Clopine, ce ne sera pas votre candide auto-suffisance qui vous étouffera !

Phil dit: 11 avril 2014 à 9h27

c’est possible, Bérénice. mais il y a des signes qui ne trompent pas: les « perso » et autres « tain »..plus la reluctance against le subjonctif, autant de signes d’un déclassement raffiné au sein de la city.
Le débat du jour consiste à savoir si Sollers ressemble plus à Néron qu’à Tibère. Abdel fournit au gagnant un dividi du Caligula, version uncut de Brass.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 9h29

je ne vous la raconterai que sur mon blogue !

Encore de la pub ?
Le sans gêne de cette femme est sans borne.
Pouah ! Qu’on ouvre les fenêtres !

JC..... dit: 11 avril 2014 à 9h33

Je ne puis m’empêcher, même dans le cocon de l’observatoire parisien du Bullier, de considérer Sollers comme une concubine abandonnée par … feu Mao Tse Dong !

berenice dit: 11 avril 2014 à 9h33

Décidemment, Clopine, ce ne sera pas votre candide auto-suffisance qui vous étouffera !

Si vous le désirez, possible de vous prêter un coussin, ça ira plus vite à l’essentiel.
Les pigeons à l’étouffée également.

D. dit: 11 avril 2014 à 9h35

Clopine, je ne suis pas un troll, je signe toujours avec le même pseudo.
Tout ce que je dis est vrai, je suis vraiment un scientifique et membre de l’Institut de France. Vous êtes mon aînée, je souhaiterais que vous m’appreniez la vie, nous pourrions faire un enfant ensemble. Je vous livre mon corps musclé, et mon cerveau lessivé.
Nous pourrions ensemble faire de grandes choses, je suis sûr que vous partagez mes visions politiques. Vive le fromage « Lorrain » de Meaux !
Clopine, je vous baise la main gauche et en tout bien tout honneur, vous me biserez ma calvitie.

Clopine Trouillefou dit: 11 avril 2014 à 9h36

Euh, Daaphnée, c’était une citation ; dieu me damne si j’ai pensé l’appliquer à mon propre cas !

… J’ai écouté une émission, sur France Cu, où l’on parlait de l’ambition (à propos de Valls) ; la journaliste citait une recherche scientifique à ce sujet, qui avait démontré que toutes les femmes ayant « réussi » dans des carrières où l’ambition est nécessaire (comme dans la politique), toutes, donc, témoignaient d’une relation valorisée avec un père admiratif.

Peut-être est-ce cela qui me vaut systématiquement la suspicion, l’attribution de motifs avilissants, l’accusation de fausseté. Mon incapacité fondamentale à nourrir une quelconque ambition ; je crois que personne ne peut la comprendre ou l’admettre, mais pourtant, l’ambition m’est pratiquement incompréhensible. Peut-être est-ce cela qui me rend si difficile à croire ? Je suis, d’une certaine manière, amputée. Comme une aveugle qui tenterait de décrire un tableau, et qui donc, se fait moquer.

Clopine Trouillefou dit: 11 avril 2014 à 9h37

D., ah non, pour l’enfant ça ne va pas être possible, la maternité est close. Mais pour vous consoler, je peux vous offrir une tartine avec du miel dessus. La seule chose, c’est qu’il vous faudra d’abord demander la permission à Clopin : c’est lui, l’apiculteur !

berenice dit: 11 avril 2014 à 9h37

Phil tous ces noms que vous me soumettez, c’est très compliqué, que dire? Qu’un temps Sollers réussit à ménager un encrage dans mes jours solitaires un peu comme Westlake, quand je ne savais plus où me poser, j’allais chez l’un d’eux.

Clopine Trouillefou dit: 11 avril 2014 à 9h40

… précision : relation au père dans la petite enfance. Parce que je crois bien que pour Ségolène, ça ne s’est pas trop bien passé, après, avec son papounet…

renato dit: 11 avril 2014 à 9h42

Jamais bien compris : s’il s’agit d’une maison close, comment peut-on l’appeler « de tolérance » ?

Sans oublier que : « … la maison de tolérance sera accessible aux agents de l’administration ; les chambres où se rencontrent filles et clients ne devront pas être munies de verrous et leurs portes seront vitrées… »

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 9h43

Les pigeons à l’étouffée également.

ça pour « étouffer le pigeon », on vous laisse sans façon la coiffe de maître queue, Bérénice !

berenice dit: 11 avril 2014 à 9h43

Clopine ne vous éreintez pas, on trouve toujours des explications psychanalytiques dans un sens et dans l’autre.

berenice dit: 11 avril 2014 à 9h46

ça pour « étouffer le pigeon », on vous laisse sans façon la coiffe de maître queue, Bérénice !
Je vous laisse à vos navigations récurrentes au dessous de la ceinture, raffinée cependant, surement avez-vous à y gagner.

renato dit: 11 avril 2014 à 9h48

Jamais je ne comprendrai pourquoi certains de mes posts sont mis en attente de modération…

Clopine Trouillefou dit: 11 avril 2014 à 9h50

Oui, Bérénice, mais vous savez, on est toujours tenté de se penchez dans la marmite, au-dessus du brouet de la sorcière, pour tenter de trouver une quelconque explication, un quelconque sens, à ce qui nous échappe le plus : l’image que les autres ont de nous. Enfin, soupir. Je ne serais pas étonnée que Daaphnée ait pu manquer de quelque chose dans son enfance. Une petite soeur, venue lui piquer sa place ? Une mère trop brillante ? Parce qu’enfin, son animosité envers tout ce qui relève de son sexe (comme vous et moi) est bien trop systématique pour qu’elle ne soit pas le signe de quelque chose, ne croyez-vous pas ?

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 9h51

relation au père dans la petite enfance.

Ne vous laissez pas enfermer dans ces catégories de psychologie de gare, Clopine.
Entre la pulsion de vie (libido) et la plasticité naturelle du cerveau …. Il existe probablement plus d’exceptions qui échappent à ce schéma simpliste que de personnes qui s’y laissent conformer ..

Curiosa dit: 11 avril 2014 à 9h51

oui, renato, bizarre alors que les posts du boudegras passent comme une lettre à la poste en recommandé !

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 9h54

au dessous de la ceinture

Ah.
Ainsi donc, Bérénice, vous en êtes encore à la « rabattre dans le pantalon » !
D. l’a échappé belle !

Clopine Trouillefou dit: 11 avril 2014 à 9h56

Ce n’est pas un « schéma simpliste », c’est une caractéristique mise en avant lors d’une étude scientifique sur l’ambition chez les femmes. Autrement dit : ce n’est pas moi qui le dis !

berenice dit: 11 avril 2014 à 9h57

Clopine mon idée est qu’elle peut être classée dans la catégorie des perverses narcissiques mais ce n’est pas tout, à cela s’ajoutent d’autres traits d’une personnalité plutôt trouble pour ne pas trop charger, je ne suis pas spécialiste et comme elle le propose si promptement nous n’irons pas verser dans la psychologie de magazine.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 10h01

brillante

Je devrais ajouter, à l’attention de Clopine et Bérénice, qu’en effet une tête bien faite sera toujours préférable à une tête remplie de tout un fatras de lectures mal comprises ..

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 10h06

ça, Bérénice, je doute que ce fil soit le lieu d’étaler vos problèmes de coeur.

berenice dit: 11 avril 2014 à 10h12

Enfin Daaphnée il faut aussi que vous reteniez que l’opinion, la votre la leur la mienne n’est pas indispensable ou obligatoirement prise pour argent comptant ou parole d’évangile, nous avons tous un Panthéon, vous ne figurez pas au mien et je ne figure dans aucun car je ne suis qu’une minuscule consommatrice qui ne crée ni n’écrit, quelle importance et est-il plus important d’être cru ou d’encore croire pour continuer de vivre? Vous pensez-vous aussi agrippante qu’une ronce un barbelé, vous vivez-vous comme un de ces brillants esprits qui éclairent notre nuit et fortifient nos esprits?

berenice dit: 11 avril 2014 à 10h13

D je vous prie, ne garez plus votre Fiat luxe à l’entrée de ma rue, ça me nuit.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 10h18

C’est à peu près le seul défaut visible de cet athlète complet.

Comme quoi « voir » ne constitue qu’une appréhension limitée, et que de l’athlétisme au charme ..

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 10h19

ce dessin en tête a la karel appel m’énerve..ça signe la dénégation de lassouline

Vanity Outlet Store dit: 11 avril 2014 à 10h20

 » Mon incapacité fondamentale à nourrir une quelconque ambition »
Nous écrit Clopine.
Clopine, relisez vous, ce n’est pas l’ambition qui vous manque, ni l’incapacité de vous faire valoir, du moins à vos yeux.
Vous êtes follement sûre de vous, de votre physique, de l’authenticité de votre désir d’être humble, de vos jugements sur les autres…
Vous êtes ambitieuse, mais que disait JC à votre propos ? Vous ne voyez pas vos limites ?

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 10h23

Le débat du jour consiste à savoir si Sollers ressemble plus à Néron qu’à Tibère

..s’il était question de choron daccord..à un frère convert bon pour mal négocier le vin de messe..il dort hors les murs

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 10h27

Tout le monde ne peut pas non plus espérer conserver dans son grand âge la puissance créatrice d’un Verdi composant « Falstaff » à 80 ans.

A supposer que ce Kundera soit médiocre comme le laisse penser PA, ce ne seront pas les exemples qui manquent pour constater qu’au fil de la production d’oeuvres, la qualité n’est pas exponentielle !

Bref, ce qui me semble plus intéressant à regarder c’est comment des oeuvres « mineures » mettent en relief et permettent de mieux saisir la force singulière de celles que l’on va qualifier de « chef d’oeuvre » ..

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 10h29

porteur d’un implant en silicone extraterrestre

..t’es comme les autres dédé..tu te mets des trucs étranger dans le cul comme copé..et sur sirius aussi il font fabriquer à chenzène..faux prophète

renato dit: 11 avril 2014 à 10h30

« Ce n’est pas un « schéma simpliste », c’est une caractéristique mise en avant lors d’une étude scientifique sur l’ambition chez les femmes. »

Faut voir l’échantillon, les critères, etc. Enfin, ce n’est pas parce que l’étude est scientifique qu’il n’est pas simpliste…

christiane dit: 11 avril 2014 à 10h30

@Curiosa dit: 11 avril 2014 à 12 h 22 min
Enfin vous ! Comme je me languissais de vous lire ! tant de curiosité intellectuelle, tant de culture littéraire ! Comme j’aime tous les livres que vous avez si bien compris et vos excellentes analyses littéraires. Et puis tant d’honnêteté dans vous jugements toujours équilibrés, fins, étayés. Que serait la RDL sans vous ? Mon Dieu, je n’ose imaginer… Ce serait à désespérer. Continuez, cher ami, à couvrir ce blog de vos commentaires imprévisibles et irremplaçables.
Votre lectrice préférée.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2014 à 10h32

Le bruit, en majeure
partie publicitaire,
autour de la sortie
d’un nouveau modèle,
cafetière, voiture
ou même livre, est
la défaite de tout
ce qui n’est pas
immédiatement
rentable.
La fin du système
industriel, étouffé
par sa propre réussite,
totale et normative !
Logique de croissance :
dissolution dans l’unité
de compte ! Combien ?
Combien… de temps encore ?
Entropophagilement.

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 10h34

comment des oeuvres « mineures » mettent en relief et permettent de mieux saisir la force singulière de celles que l’on va qualifier de « chef d’oeuvre » ..

je ne crois pas dafnoz..depuis l’individualisme gaffer ça entache une image de marque..avant moins..il n’y avait pas « d’oeuvre »

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 10h36

Que serait la RDL sans vous ? Mon Dieu, je n’ose imaginer

on srait a 2-3 posts..

berenice dit: 11 avril 2014 à 10h36

La postérité en marqueur, beaucoup y pensent sans l’avouer, un doute insoluble assaille les créateurs, pour l’architecture c’est plus simple comme rien de ce qui est construit n’est plus assez solide, nos architectes peuvent se soustraire dés à présent du bilan, leur effort ne passera pas les siècles.

u. dit: 11 avril 2014 à 10h40

Quel spectacle agréable que celui de la tête des adversaires de Finkielkraut.

J’ai eu la semaine dernière un moment d’angoisse.
Au même moment, il fallait à tout prix, disait-on, « exfiltrer » M. Harlem Désir.
Mais non.
L’Académie n’est pas à la botte, bon dieu.

L’Académie étant ce qu’elle est et son histoire ce qu’elle fut
il était normal
il était légitime
à l’égard de celui qui ICI
témoigne de ce qu’il est
que l’Académie ait fait ce qu’elle a fait.

(Je ne parle comme De Gaulle qu’un jour sur 365)

berenice dit: 11 avril 2014 à 10h45

allons béré..les nibes et la lipe a maryline dur dur béré..ha!
Bouguereau indiquez à quoi rattacher votre intervention, Maryline oui et après?

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 10h45

..le calçon de zouzou ionisé sous atmosphère protectrice et emballé sous pvc archive, peut durer des miyés d’années

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 10h46

Bouguereau indiquez à quoi rattacher votre intervention

ta péremption c’est ton désarroi..le « solide » l’architecture..tu te sents fragile..c’est ton charme

berenice dit: 11 avril 2014 à 10h47

Oui c’est une archive touffue que celle de MM, son psychanalyste l’a tuer.

berenice dit: 11 avril 2014 à 10h50

Bougue je commence juste de comprendre pourquoi vendre son âme au diable, Faust mais je pensais surtout à revisiter les iles avant que de mourir.

Samu Social Club dit: 11 avril 2014 à 10h51

L’ordre de tirer sur son chèque, c’est peut-être important de le savoir

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 10h51

je ne crois pas dafnoz..depuis l’individualisme gaffer ça entache une image de marque..avant moins..il n’y avait pas « d’oeuvre »

mmm … vous seriez partisan, le Boug’, du « savoir s’arrêter à temps » ?
Peut-être, peut-être …
mmm .. Nous sommes dans une société qui refuse, qui nie le vieillissement, le délitement .. Il y a qqc qui me dérange, là dedans.
L’image, l’image … les apparences ne m’ont jamais beaucoup impressionnée.

Comment dire ? Moi qui suis plutôt fascinée par cet effet du temps qui peaufine les êtres comme les choses ..
J’y – pour en revenir à l’objet littéraire – verrais plutôt comme une brêche qu’on ne sait pas explorer ..

Polémikoeur. dit: 11 avril 2014 à 10h53

L’inconstance de l’étincelle corticale,
quelle révélation !
Non, mais qu’il faille l’ignorer
en adulant la moindre excrétion
prétendument artistique
comme l’achèvement de la création
est une escroquerie, moins intellectuelle
que son génie très pratique et intéressé
arrive à le faire croire.
Les gammes, les brouillons, la sueur,
avant sa distillation par l’achèvement
de l’œuvre, aussi arbitraire soit-il,
ne font jamais que des socles.
Enchimérichement.

Pablo75 dit: 11 avril 2014 à 10h54

@ Leo (Bloom) Pold
« Surgit naturellement l’interrogation qui fâche: perd-on son inspiration quand on vit en France? »

Il y a un cas qui contredit ton hypothèse: celui de Cioran. Chez lui le changement de langue a « amélioré » nettement la pensée…

« Petite rasade de Simon Leys, en guise d’envoi, ça fait toujours un bien fou: « Pour apprécier un texte, relire vaut mieux que lire, et apprendre par coeur vaut mieux que relire; mais on le possède vraiment que si on le traduit. » ».

Grande vérité. Il y a très peu de livres qui résistent à la lecture « à la loupe » d’un traducteur lucide (surtout si c’est un écrivain). Un auteur mauvais est bien plus difficile à traduire qu’un grand (je parle de la traduction du français vers l’espagnol, la seule que je connaisse bien). Un mauvais livre en français « se déglingue » à mesure qu’on le traduit en espagnol (langue beaucoup plus bordélique, beaucoup moins précise que le français). Pour que ça tienne, il faut le « consolider » avec des petites précisions inventées presque à chaque phrase.

Polémikoeur. dit: 11 avril 2014 à 10h59

L’entrée sous la Coupole
d’une menace pour l’ordre établi
est tout simplement impossible,
le reste n’est que Clochemerle.
Médaillezérubancalement.

JC..... dit: 11 avril 2014 à 11h01

« Pierre Herbart, l’orgueil du dépouillement,
par Jean-Luc Moreau, Grasset, 626 p., 22 euros. »

Extrait d’un article du Nouvel Obs, qui pue la mierdouille servile …

Samu Social Club dit: 11 avril 2014 à 11h04

JC….. dit: 11 avril 2014 à 13 h 01 min

« Pierre Herbart, l’orgueil du dépouillement,
par Jean-Luc Moreau, Grasset, 626 p., 22 euros. »

Extrait d’un article du Nouvel Obs, qui pue la mierdouille servile …

J’prône le dépassement de soi, c’est qu’il mouille. Enfin, comme on dit…

DHH dit: 11 avril 2014 à 11h05

@ A toute les femmes de ce blog

Je suis probablement ,et de loin sans doute, la doyenne de vous toutes.
De ma longue experience je tire ce constat qui me semble constituer une verité jamais dementie, du moins à ma connaissance .
Quel que soit le contexte dans lequel on se situe ,famille,travail,cercle amical, univers menager ou mondain, les femmes se vivent toujours, même à leur insu, en situation de competition entre elles .
Les commentaires des blogs sont desormais une nouvel espace pour l’expression de cette constante, et il faut faire avec

Pablo75 dit: 11 avril 2014 à 11h07

@ U

« Soucieux de raviver une relation franco-mexicaine déclinante […] François Hollande ajoute: «Notre relation est devenue plus chaleureuse encore, et je vous propose d’être le cœur avec le cœur, «el corazón con el corazón», pour l’amitié entre la France et le Mexique». »

Ce « el corazón con el corazón » ça ne veut rien dire en espagnol.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 11h08

Ah oui, U., le discours de de Gaulle !
« Traigo a Mejico el saludo de Francia.
Francia saluda a Mejico con amistad
Francia saluda a mejico con confiancia
(…)
la mano en la mano  »

Avec son inimitable accent français, en espagnol et un zeste grandiloquent: la grande classe!

sans blaague dit: 11 avril 2014 à 11h11

« une société qui refuse, qui nie le vieillissement, le délitement .. Il y a qqc qui me dérange, là dedans.
L’image, l’image … les apparences ne m’ont jamais beaucoup impressionnée. »

On vous croit daaphnée on vou scroit
(Comment fait daaphnée pour être encore si jeune d’apparence et d’esporit et si géniale?)

des journées entières dans les arbres dit: 11 avril 2014 à 11h15

DHH qui se lance dans le calcul probatoire maintenant.
Si la vieillerie était gage de sagesse, ça se saurait.

Sinon, j’aime bien ce possible développement du Da Vinci Code, à partir de ce petit bout de parchemin, Jesus dit: ma femme…
C’est Saint Augustin qui est mal du coup, avec sa règle.

Leo (Bloom) Pold dit: 11 avril 2014 à 11h16

« Surgit naturellement l’interrogation qui fâche: perd-on son inspiration quand on vit en France? »

Il y a un cas qui contredit ton hypothèse: celui de Cioran. Chez lui le changement de langue a « amélioré » nettement la pensée…

Je parlais de la France depuis, disons, les années 90, celles du triomphe du libéralisme éco et de Carrefour.
Cioran est arrivé dans les années 40, avec pas mal à faire oublier de ses fréquentations. Avant lui était venu Samuel Beckett, de Foxrock, Co.Dublin, qui a fertilisé la littérature française à grande brassées de génie. Sans parler de son rôle dans la résistance.
Pourquoi ce tutoiement? On a mangé des mangues au St Emimile ensemble?

ramon dit: 11 avril 2014 à 11h16

u. dit: 11 avril 2014 à 12 h 30 min
« Daaphnée, vous qui parlez l’espagnol comme Cervantes, »

u trop nul en espagnol

TKT dit: 11 avril 2014 à 11h16

@ « DHH dit: 11 avril 2014 à 13 h 05 min
@ A toute les femmes de ce blog
Je suis probablement ,et de loin sans doute, la doyenne de vous toutes. »:
HR, qui est souvent une femme, doit avoir dans vos âges.

charles dit: 11 avril 2014 à 11h18

son inimitable accent français, en espagnol
et toi pov’ cloche avec ton inimitable accent français

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 11h21

Ce « el corazón con el corazón » ça ne veut rien dire en espagnol.

On ne le dirait pas comme cela, oui, mais ça ne veut pas rien dire !
Il en appelle à la compassion et il adopte une certaine humilité. Celle de celui qui commet des maladresses – son « mano dans la mano » – celle de celui qui ne vient pas pour faire la leçon aux Mexicains .

C’est sur le fil mais ce n’est pas malhabile, il me semble .. La suite le dira ..

DHH dit: 11 avril 2014 à 11h24

@des journéees …..
je connaissais le calcul des probabilités;mais qu’appelez-vous « calcul probatoire »?

des journées entières dans les arbres dit: 11 avril 2014 à 11h27

Oui, petite erreur de ma part DHH, je ne connais que le calcul des probas, en fait.
Probatoire dans le dico, c’est autre chose.

Clopine dit: 11 avril 2014 à 11h31

Dites donc, c’est en train de me revenir doucement, là, l’histoire de la photo de Béart entrant dans la Méditerrannée (paraît que Paris Match a décuplé ses ventes avec cette couverture-là). Ce n’était évidemment pas sur mon blog, encore moins sur un des sites où je poste parfois des textes « littéraires » (ou à prétention littéraire !) ; c’était ici même, non ? Je crois que je devais avoir mis le lien vers la photo en ligne, et un des petits cochons qui traînent par ici avait répliqué avec un autre lien, qui renvoyait vers un dessin à la Brétécher, où on voyait une femme âgée et alourdie dans la pose de la belle Emmanuelle. Le troll m’avait assimilée au dessin (quel humour !!!). Oui, c’est cela, il y a quelques mois, ici même ! Quelqu’un s’en souvient-il ? Si on avait une indication sur la date, on pourrait aller tout de suite vérifier si je parlais d’une fellation avec mon compagnon, (n’importe nawak). En tout cas, j’ai d’ores et déjà raison : « le délicieux texte érotique », etc., n’a jamais existé que dans l’imagination fêlée de Christiane !

DHH dit: 11 avril 2014 à 11h33

@clopine 13 h 17
elle dit joliment les choses cette chanson,qui me donne raison.
on aimerait bien que le remede qu’elle preconise soit efficace.
En attendant si vous nous concoctiez une strophe supplementaire concernant les rivalités sur blog?
demandez quelques rimes adequates à Marcel

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 11h34

Oh, Charles/Ramon/sans blaague/myriam en a avalé son poncho de chez Tati !
Lo siento mucho !

Pablo75 dit: 11 avril 2014 à 11h36

@ Leo (Bloom) Pold

« Pourquoi ce tutoiement? On a mangé des mangues au St Emimile ensemble? »

Impossible de trouver en français ce qui me vient spontanément en espagnol: « porque me sale de los cojones ».

Pablo75 dit: 11 avril 2014 à 11h40

@ Daaphnée

Moi je n’ai jamais entendu ou lu en espagnol « el corazón con el corazón » et je ne suis pas sûr qu’un hispanophone comprenne l’expression. Si on lui demande ce qui veut dire « el corazón con el corazón » il va répondre que la phrase est incomplète.

Pablo75 dit: 11 avril 2014 à 11h46

@ Daaphnée

« Traigo a Mejico el saludo de Francia.
Francia saluda a Mejico con amistad
Francia saluda a mejico con confiancia
(…)
la mano en la mano ».

Pas « Mejico », mais México (si on prononce me-JÍ-co aucun hispanophone sait de quoi on parle). Et pas « confiancia » mais « confianza ». Les mexicains ont dû comprendre la dernière phrase comme « une poignée de mains ».

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 11h47

Enfin, Pablo !
Il glisse trois mots d’espagnol dans un discours en français ! Ce n’est pas le problème que cela se dise ou non en espagnol !
Ce qu’il faudrait voir c’est plutôt comment cela aura été traduit sur les chaines TV :
Est-ce que les traducteurs auront capté ou gommé cette maladresse linguistique versus habileté (enfin, dans le meilleur des cas) diplomatique ?

des journées entières dans les arbres dit: 11 avril 2014 à 11h53

Phil dit: 11 avril 2014 à 10 h 40 min
Là encore il manque du sens.
De Olivera radote ?
Le principe d’incertitude n’est pas que celui de Heisenberg.

Mais bon, vous avez trop regardé Derrick, Phil.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 11h54

Pas « Mejico », mais México (si on prononce me-JÍ-co aucun hispanophone sait de quoi on parle). Et pas « confiancia » mais « confianza ». Les mexicains ont dû comprendre la dernière phrase comme « une poignée de mains ».

Pablo, a quien le busca las cosquillas ?

l' oeil sur la main dit: 11 avril 2014 à 11h55

berenice dit: 11 avril 2014 à 11 h 13 min

L’ œil ?
Toute une histoire, voyez Georges Bataille!

berenice dit: 11 avril 2014 à 11h56

En espagnol ou en français ils peuvent bien raconter ce qu’ils veulent, blabla qui se perd au milieu de la mafia. Pas cool ce Mexique et ce n’est pas tout à fait la Colombie, jeter un œil sur ces sociétés refroidit sacrément, y vivre refroidit trop souvent trop d’innocents, purement et simplement.

des journées entières dans les arbres dit: 11 avril 2014 à 11h58

Bérénice, vous faites peine.
‘ttation, j’en connais un qui ne s’est pas lavé les mains pendant au moins 15 jours, d’avoir serré celle d’un mexicain.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 12h00

( 1) L’accent français de de Gaulle, Pablo, n’était pas mal perçu.
2) Le discours de Hollande n’est pas improvisé.
(sauf peut-être au moment où il dit « dans la mano » pour « en » )

berenice dit: 11 avril 2014 à 12h00

Toute une histoire, voyez Georges Bataille!

Où de georges Bataille? son œuvre immense! n’ai feuilleté que le procès de Gilles de R, les larmes d’éros, lu le bleu du ciel ou le ciel est bleu? c’est peu.

Leo (Bloom) Pold dit: 11 avril 2014 à 12h04

ce qui me vient spontanément en espagnol

et moi en italien: « Vaffanculo, testa di cazzo. »

christiane dit: 11 avril 2014 à 12h09

@ mon ami bouguereau
Dans ses critiques littéraires, M-J. Vinciguerra évoque un livre peu connu Minutu Grossu, paru en 1866 aux éditions de la Marge, racontant les aventures d’un personnage légendaire inventé par Don Felice Santini, sous le pseudonyme de Felice Matteo Marchi :
« C’est une étrange figure du paradoxe qui nous rappelle Le neveu de Rameau de Diderot. Incarnation cocasse et railleur du « fol-sage », digne rejeton de Rabelais. (…) Grosso Minuto aurait plu à Jacques Lacan, grand maître-bouffon de la philosophie, jongleur de mots et métaphores.(…)
Grosso Minuto passe de la parole au pet. Le pet, réponse solennelle et sonore à la vanité de tout discours déplacé, qu’il soit d’attaque ou d’apparat. Écho qui renvoie la vanité à elle-même. Pet valant par le non-dit, dans sa déflagration co(s)mique, plus que le mot. En renvoyant l’imposteur à l’âne et au cochon, Grosso Minuto renvoie l’homme à sa vérité première, la Nature. La parole est du côté du mensonge, le pet du côté de la vérité. Certes, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, mais à la sottise peut répondre l’incongruité de « Messire le pet ». (…) philosophie d’un monde à l’envers, démarche qui permet de remettre le monde à l’endroit. (…) Ses mots mettraient à nu bien des faux rois et autres fantoches d’ici et d’ailleurs… »
(billet paru dans Kyrn en décembre 1985)

Polémikoeur. dit: 11 avril 2014 à 12h11

Dommage
qu’Air France One
n’ait pas la capacité
d’embarquer en totalité
la cellule de traduction
du commentarium !
Tous prêts à laisser filer
un poil de déficit en plus
pour offrir à la Ve au moins
l’A 380 qui irait mieux
à son vieux complexe
d’Ancien régime ?
Escadrilleusement.

des journées entières dans les arbres dit: 11 avril 2014 à 12h14

A Diderot on lui fait dire tout et n’importe quoi. C’est bon pour le commerce qui plait aux sottes:

« un sot sera plus souvent un méchant qu’un homme d’esprit. Quand même un homme de génie serait un méchant, qu’en concluriez-vous ? »

Clopine dit: 11 avril 2014 à 12h15

Bouguereau de 13 h 58, vous n’êtes pas très explicite, là. Tenez, vous devriez mettre, je ne sais pas moi, une photo, une image, pour qu’on comprenne mieux le sens de votre pensée littéraire…

Sergio dit: 11 avril 2014 à 12h19

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 9 h 15 min
un nivelle un pétain

Boh c’est quand même pas mal le président du conseil : Briand (!) pour le chemin des Dames, malgré Nivelle qui ne voulait même plus la déclencher, ensuite Pétain-Painlevé pour la résorbtion des mutineries.

Sergio dit: 11 avril 2014 à 12h24

Clopine dit: 11 avril 2014 à 14 h 15 min
le sens de votre pensée littéraire…

Qu’est-ce qui fait qu’une phrase explose, ou endort ? Le contexte ? Si c’était aussi simple…

Curiosa dit: 11 avril 2014 à 12h30

oh, Christiane fidèle amie de bouguereau qui vous conseille d’aller vous faire enculer, vous me faites rougir trop facilement comme me le reproche mon fiancé, je ne doutais pas de votre perspicacité reconnue ici par tous les habitués de ce blog quant à mes écrits ; je voudrais cependant mettre en défaut votre singulière sagacité en ce qui concerne mon sexe ; dans vos fantasmes vous persévérez à me croire homme (vous pensez à qui, allez savoir ?) alors qu’il n’y a pas plus femelle que moi et pourvue, dit-on, d’attraits faisant bien des envieux, ce que je vous souhaite, mais hélas votre ton grincheux doit en éloigner plus d’un à part vos fidèles amoureux, le distingué bouguereau et l’ineffable jicé ; je vous laisse béate parce que j’ai couture et que je n’aime pas louper ces moments si délicieux… suivez le conseil de bouguereau allez donc vous faire comme il le recommande, moi j’aime bien mais pas tous les jours

Jacques le F dit: 11 avril 2014 à 12h30

Parfois, angoissé, je me pose cette question « Si Clopine ne commentait plus, que deviendrait ce blog? »

Phil dit: 11 avril 2014 à 12h55

Attali qui vante les mérites des séries débilitantes (touite à droite), c’est du gâtisme kounderien ou de la putasserie ?
vous en pensez quoi, Desjournées ?

Sergio dit: 11 avril 2014 à 12h59

Rôôô dit: 11 avril 2014 à 14 h 31 min
paroles, paroles, paroles, qu’elle dit Dalida

Ha le brun il vient au moins de Castellammare… Pire que Luciano…

Ferait beau voir dit: 11 avril 2014 à 13h04

« En tout cas, j’ai d’ores et déjà raison »
Clopine

C’est bien vrai ça !
Et nul ne peut se permettre de douter.

JC..... dit: 11 avril 2014 à 13h05

Il y a un petit quelque chose de faux chez Curiosa : l’ensemble, peut-être…

Qui n'en est pas une dit: 11 avril 2014 à 13h06

Clopine dit: 11 avril 2014 à 13 h 31 min

Elle cherche, elle cherche.
Nuit et jour, Clopin n’en peut plus.
Tout ça pour une pipe.

Pablo75 dit: 11 avril 2014 à 13h08

@ Leo (Bloom) Pold

Tu n’as pas compris mon « porque me sale de los cojones ». L’équivalent en espagnol de ce que tu as écris est: « Que te den por donde amargan los pepinos ».

Curiosa dit: 11 avril 2014 à 13h10

il y a un petit quelque chose de vrai chez JC : facho d’un jour facho toujours

Pablo75 dit: 11 avril 2014 à 13h12

@ Daaphnée

« Pablo, a quien le busca las cosquillas? » [¿ a quiÉn le buscaS…]

À personne, mais je suis un adepte du « las cosas claras y el chocolate espeso ».

Untel dit: 11 avril 2014 à 13h13

JC….. dit: 11 avril 2014 à 15 h 05 min
Il y a un petit quelque chose de faux chez Curiosa : l’ensemble, peut-être…

Vous dites cela parce qu’elle est A Nonyme ?

JC..... dit: 11 avril 2014 à 13h13

J’ai la certitude d’être dans le vrai : Curiosa est dans le faux, en permanence…

Cela nous rend proche.

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 13h25

Dites, Pablo, vous voulez que je vous donne à taper ce que je vous réponds avec le clavier adéquat pour l’espagnol ( de Gaulle, je donnais l’accent au cas où vous n’auriez pas encore compris? Il faut vous donner un mode d’emploi ?
Quant à votre [¿ a quiÉn le buscaS…] , je ne crois pas vous avoir tutoyé .
Epargnez-nous d’ajouter des fautes d’orthographe !
Vale!
Bloom a raison, vous êtes un vrai con !

Sergio dit: 11 avril 2014 à 13h29

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 13 h 58 min
..dailleurs allez tous vous faire enculer

Oui, mais enfin ça ne règle pas le problème du déplacement : qui paye le parcmètre ?

JC..... dit: 11 avril 2014 à 13h31

Pablo serait un vrai con ? Et moi qui ne me doutait de rien …

C’est pas comme pour d’autres qui mémèrisent, en se frappant la poitrine à grands coups de verges. Celles là, on les admire, leur chant victimaire est si beau.

Explication de texte dit: 11 avril 2014 à 13h36

« Il faut vous donner un mode d’emploi ? »

Laissez tomber Daaphnée il est encore plus vaniteux que Chaloux, c’est dire.

JC..... dit: 11 avril 2014 à 13h41

Allez, avant de vous quitter mes petits choux, une dernière blague d’un fasciste bien connu :
« La Démocratie, c’est pour les poux la possibilité d’emmerder les lions »

Rugissement de plaisir dit: 11 avril 2014 à 13h53

JC….. dit: 11 avril 2014 à 15 h 41 min

Je le savais bien qu’au fond de lui-même JC avait toujours su que FH était le roi.

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 13h55

pour qu’on comprenne mieux le sens de votre pensée littéraire…

allons donc..une « pensée litteraire »..à part que ça te trahit comme une vesse..dis voir ce que c’est clopine

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 13h58

nous finir invité comme wayne gacy aux gouter des ptites filles c’est la pensée litteraire de rénateau

Phil dit: 11 avril 2014 à 14h01

oui desjournées, vous avez l’archivette aussi prompte que la blagueuse Christiane.
Les portes capitonnées de la berd, sujet favori d’Abdelkader, qu’est pas encore descendu de son baldaquin aujourd’hui.
Savez-vous que Francis Jammes est encore lu ? (moins que le pullover, mais tout de même)
et grâce à qui ?
vous le donne en mille, à mettre dans votre dictionnaire à multi-entrées: Gide !

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 14h04

Bravant les moqueries de soi-disant intellectuels parisiens, j’ai toujours revendiqué ma passion pour certaines séries américaines

ce djack est un mec plus foutraque encore que rénateau..un culot..une originalité pas popo

Samu Social Club dit: 11 avril 2014 à 14h06

Au fait c’est polémiqueur avec un q comme castoriadis (faire petite mimiques)

sous payé, sous payé

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 14h08

qui paye le parcmètre ?

comme c’est à fin thérapeutique sergio t’y vas en transport médical assis..c’est taxfree

des journées entières dans les arbres dit: 11 avril 2014 à 14h09

Phil dit: 11 avril 2014 à 16 h 01 min

Ce qu’a coûté cette  » blague », effectivement, il vaut mieux avoir de la mémoire …

des journées entières dans les arbres dit: 11 avril 2014 à 14h11

« Savez-vous que Francis Jammes est encore lu ? »
Non Phil,; j’en suis à  » jamais un lien ne fera un bouquet »

berenice dit: 11 avril 2014 à 14h11

Curiosa a couture et Daphnée nous donne un cours d’espagnol, qui le fera pour la viole de gambe quand même ce serait un instrument inusitée? Que dire de plus de l’aimable échange de politesses entre internautes concurrents? Quel bel après-midi! du bleu dans le ciel, le bleu est notre ciel. Ceci dit les attaches espagnoles expliqueraient un des aspects du portrait féminin. Souvent pensé que les espagnols avaient hérité de leurs lointains ancêtres d’un gout certain pour l’or.

Naturalibus dit: 11 avril 2014 à 14h14

Le dernier Kundera est un navet absolu, un roman effroyable de médiocrité! Où est passé le penseur Kundera?

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 14h22

« La Démocratie, c’est pour les poux la possibilité d’emmerder les lions »

..et faire le morpion c’est une pensée litteraire

Phil dit: 11 avril 2014 à 14h32

ça dépend. Christophe Colomb biographé par Attali a dérapé sec dans l’erratum. Desjournées peut sortir l’archivette.

u. dit: 11 avril 2014 à 14h32

« Le dernier Kundera est un navet absolu » (naturalibus)
Absolu?
On ne trouve pas moins bon?

« un roman effroyable de médiocrité!  »
Ça ça va, c’est nuancé.

Rôôô dit: 11 avril 2014 à 14h34

si y’aurait un con qui stord dans la salle y pourrait calculer Béré qu’elle en veut à donf’

berenice dit: 11 avril 2014 à 14h35

Pablo je me rapproche de vous espérant peut-être l’ami, s’agit-il de chatouilles ou de papouilles, une de mes connaissances souffrait que sa petite fille en fasse une demande excessive.

u. dit: 11 avril 2014 à 14h40

Une « pensée littéraire »

On en trouve aussi chez les notaires.

Un « fauteuil Voltaire ».

Casanova..... dit: 11 avril 2014 à 14h55

Amoureux fou de Bérénice, je redoute ce séducteur de D., capable de me la soulever sous le nez !

Un stratège excité ne peut réussir contre un merlan froid habile et décidé…

Enters Terence dit: 11 avril 2014 à 14h56

Sergio dit: 11 avril 2014 à 16 h 46 min

berenice dit: 11 avril 2014 à 16 h 11 min
qui le fera pour la viole de gambe

Pascal Quignard…

Meuse

berenice dit: 11 avril 2014 à 15h02

Casanova je ne suis pas encore adepte du lit de glace et bordé de persil, après cuisson ne puis-je plus espérer un ou deux quartiers de citron? Un filet d’huile d’olive, quelques grains de baies rouges?

berenice dit: 11 avril 2014 à 15h11

René de Chat’ passons sur la gravité des faits et du propos, êtes-vous un parent de gogo le gorille et dans cette éventualité pourrions-nous annoncer que vous savez danser le chachacha?

berenice dit: 11 avril 2014 à 15h17

Pourquoi ça Sergio? vous entendez que ça tambourine mais vous n’osez ouvrir, la légende du Loch Ness vous hante et lâche vous désertez ce désordre d’automatisme…

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 15h19

A défaut de la pensée on a le catleya…

.. pourquoi pas sur un fauteuil voltaire, n’est-ce pas U. ?

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 15h19

Y aurait pas un mec, enfermé dans les machines à laver, des fois ?

si dafnoz et moi sur la place tiénamen..on sort en combi fluo

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 15h23

J’espère ne pas finir comme Claude François

je suis sûr que sergio brûle de dire « on sait pas peut être que c’était bien » mais il a peur de ses pensée littéraires

berenice dit: 11 avril 2014 à 15h26

Bouguereau l’illustration du courage et de l’engagement, cependant l’image date et depuis plus personne n’a rencontré de chars en rentrant des courses, il n’existe plus aucun motif de révolte puisqu’il n’y a plus de photos, vous voyez bien.

Sergio dit: 11 avril 2014 à 15h26

berenice dit: 11 avril 2014 à 17 h 17 min
ce désordre d’automatisme…

Faut reconnaître que je ne suis jamais entré, en vrai, dans un machin comme ça… Des fois qu’il y en ait une qui me demande de le réparer !

Deneb dit: 11 avril 2014 à 15h26

@ Casanova….. dit: 11 avril 2014 à 16 h 55 min
« Amoureux fou de Bérénice, je redoute ce séducteur de D., capable de me la soulever sous le nez ! »:
Je vous la soulève, la Bérénice, mais en dehors d’elle, rien ne se lève. Je compte à rester pur et flasque.

berenice dit: 11 avril 2014 à 15h27

« on sait pas peut être que c’était bien »
La mort est une finalité…

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 15h29

si dafnoz et moi sur la place tiénamen..on sort en combi fluo

heu … oui ..
(je sens que je vais ressortir toute ébouriffée de cette histoire , moi..)
Mais c’est vrai, le Boug’, il faut bien qu’on en sorte un jour, de cette lessiveuse !

Sergio dit: 11 avril 2014 à 15h29

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 17 h 23 min
de ses pensée littéraires

Je me suis toujours demandé si l’on ne pourrait pas se droguer à l’électricité… Ca serait pas trop cher aux heures creuses…

Casanova..... dit: 11 avril 2014 à 15h31

Chacun dans sa lessiveuse, dans sa grosse machinerie, prisonnier de sa lessive et moi, vieux, dans ma bibliothèque, qui attend …

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 15h32

vous voyez bien.

Non mais, Bérénice !
Vous ne savez pas ce que nous faisions, le Boug’ et moi, dans … Qu’est-ce que vous croyez ?
On ne vous dit pas tout .

bouguereau dit: 11 avril 2014 à 15h35

Je me suis toujours demandé si l’on ne pourrait pas se droguer à l’électricité…

le mesmerisme c’est ça..ha c’est un peu autre chose que la madeleine au beurre..et je ne plaisante pas, valéry soimême comparait la musique de wagner au « gout » de l’électricité..bref comme tous les môme il y avait mis sa langue..il en parle dailleurs comme du « gout moderne » qu’il compare souvent au gout des porcs..le cochon c’était l’avenir sergio et ça le reste..c’est la wurst qui a inspiré werner..c’est mathématique

berenice dit: 11 avril 2014 à 15h36

Daphnée ce que vous faites avec Bouguereau ne m’intéresse pas et quand j’écris vous voyez bien je regarde dans une autre direction que la votre bien qu’elle soit centrale, un trône, lequel? Laissons libre cours aux imaginations, quoiqu’il en soit la panorama ne s’y arrête pas.

berenice dit: 11 avril 2014 à 15h42

Bougue je vous envie de posséder la ressource suffisante à comprendre Einstein cependant le sachant je constate que vous pourriez vous appliquer à écrire en français pour plus de clarté dans l’énoncé. Merci de votre effort avenir quand bien même vous auriez négligé le passé, ce qui est fait n’est plus à faire et encore moins récupérable.

christiane dit: 11 avril 2014 à 15h43

@Phil dit: 11 avril 2014 à 16 h 01 min
Lucidité et humour, votre marque ! et il en faut ici, tant ne voient pas plus loin que le bout de leur nez !

Casanova..... dit: 11 avril 2014 à 15h46

La conversation devenant libertine, lessiveuse aidant, ne feriez vous pas acte honnête de mettre un écriteau d’avertissement pour les Prudes ? Curieusement, j’ai appris qu’il y en avait ici même, chez ce débauché de Passouline…

Daaphnée dit: 11 avril 2014 à 15h46

Daphnée ce que vous faites avec Bouguereau ne m’intéresse pas

C’est ballot, ce serait très instructif pour vous. D’autant que dans le domaine des plaisirs de la vie, vous ne semblez pas avoir beaucoup ..

Casanova..... dit: 11 avril 2014 à 15h50

Ô Bérénice bien aimée !
Combien j’aimerai vous parler d’Einstein, de sa capacité à sortir des schémas de son époque, plutôt que de se servir de mathématiques puissantes, domaine où il se faisait aider par des amis….

N’écoutez pas D., c’est un merlan froid qui vous glacera le cœur si vous l’approchez de trop près.

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