
Ce dont les Français n’ont plus idée
Il faut autant d’audace, d’imagination, d’inventivité, de créativité et de goût du risque pour rééditer que pour éditer. Mis à part le cas le plus courant de la réédition en format de poche un an après la parution en édition originale, c’est à chaque fois un pari. Comme un défi que l’éditeur se lance à lui-même. Il s’agit le plus souvent de révéler à une, ou parfois deux, générations de lecteurs une œuvre qu’ils n’ont pu croiser en son temps faute de maturité. Les éditions Séguier en donnent un bel exemple ces jours-ci en relançant en librairie sans en soustraire ni y rajouter la moindre virgule La Fausseté des vertus humaines (560 pages, 22,50 euros) originellement publié en 1996 (et la première fois en 1678). Cinquante-six chapitres dans lesquels elles sont pulvérisées après avoir longtemps trompé leur monde sous le masque de l’illusion et de l’hypocrisie, qu’il s’agisse de la tempérance, de la pudeur, du mépris de la mort, de la gravité, de l’indulgence comme de la clémence, de la prudence, de la douceur, de la reconnaissance et même, ô surprise, de la « débonnaireté ». De quoi inviter à faire un pas de côté et à se méfier lorsqu’elles nous assaillent en souriant avec une certaine assurance.
Ce livre peu connu d’un moraliste du nom de Jacques Esprit (1611-1678), académicien qui collabora à l’élaboration de ses maximes par le duc de La Rochefoucauld, régale par son iconoclasme et son irrévérence sans que jamais son style ferme et tenu n’en souffre. Un bonheur n’arrivant jamais seul, cet ouvrage dont la nouvelle couverture reproduit opportunément le tableau de Lorenzo Lippi « Allégorie de la simulation » (vers 1640), est précédé d’un bienvenu « Traité sur Esprit » signé par son exhumateur, l’un des écrivains français les plus intimement familiers du Grand Siècle, Pascal Quignard. Bien davantage qu’une simple préface, l’éditeur nous offre là un véritable essai d’une cinquantaine de pages sur ce biterrois au patronyme prédestiné qui avait nourri la folle ambition de prendre à contre-pied la morale humaniste dans sa totalité. Il voulait être l’opposé de Sénèque-le-sermonneur en posant comme postulat que tout le monde ment et se ment. Dès lors, il est aisé de considérer que nos vertus ne sont que des vices déguisés… Le genre de livres que l’on aimerait offrir en visitant ses amis à condition de s’assurer auparavant de leur absence de susceptibilité.
L’autre réédition que l’on se plait à saluer en cette « petite rentrée » ne nous fait pas quitter l’époque. Hommage à notre langue magnifiée par les gens lettrés sous l’oeil du roi, société de grandeur malgré les guerres, violences et misères, elle nous engage à ne plus éprouver de honte à dire tout haut son goût pour la langue du Grand Siècle. C’est qu’elle se porte mal en nos temps de vulgarité triomphante. Une odeur de naphtaline nimbe le souci de la langue ; il n’en faut pas davantage pour passer pour affecté. Louons donc les éditions du Cherche-Midi d’avoir rassembler dix portraits d’Ambroise Paré à Saint-Simon sous le titre Grandeur de l’esprit français (1380 pages, 39 euros) et la signature de Jean-Michel Delacomptée (1948). D’authentiques tableaux vivants brossés dans une langue splendide, ce qui est bien le moins pour ressusciter La Fontaine, Racine ou Bossuet. Toute autre manière les eut offusqués. Pour la plupart publiés entre 1992 et 2012 chez Gallimard dans la regrettée collection « L’un et l’autre » dirigée par J.B. Pontalis, ils témoignent ce que Delacomptée y a créé son propre genre, ce qui est donné à peu d’écrivains de Tite-Live à Sainte-Beuve en passant par La Bruyère et Mme du Deffand. En effet, ses portraits littéraires ne relèvent pas de la biographie mais de quelque chose d’hybride convoquant une érudition d’historien et une acuité d’essayiste afin de les soumettre aux règles du récit bien tempéré. Il n’est pas de plus bel et de plus savoureux hommage (car il a la dent dure) à l’éclat et l’élégance de la langue française à son meilleur- et il y a une certaine cruauté à faire figurer un tel volume en pleine floraison de premiers romans qui ne peuvent que souffrir de la comparaison. D’autant qu’il est enrichi d’une préface de Chantal Thomas qui rend parfaitement justice à son culte du détail, à sa défiance vis-à-vis du « carcan chronologique » et à la liberté dont il use pour emmener son lecteur dans une autre temporalité. Louons un livre si élevé qu’il nous permet de changer de contemporains. C’est peu dire à quel point ce livre qui en contient tant d’autres est une merveille.
La manière Delacomptée est avant tout une écriture très soignée mais dans la légèreté et la grâce, appuyée sur une connaissance sans faille du milieu, baignée par une puissante imprégnation de l’époque. une sorte de portrait en vérité, un peu dans l’esprit du Saint-Simon l’admirable que donna José Cabanis en 1974, traversée des âges et hommage à ce qui se perd, donc, avant tout, à notre langue. L’essentiel de la vie y est bien mais par petites touches, loin de tout souci d’exhaustivité. S’agissant de Bossuet par exemple, il ressuscite à sa façon l’exceptionnel écrivain, mais ne conservant qu’en arrière-fond l’évêque de Meaux, le conseiller d’État ordinaire, le précepteur du Dauphin, le premier aumônier de la duchesse de Bourgogne, le conservateur des privilèges apostoliques de l’Université de Paris, le supérieur du collège royal de Navarre même s’il lui suffit d’une phrase ou d’un paragraphe pour les faire revenir.
L’oeuvre de Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704) ne souffrait pas la fiction. On y chercherait en vain un roman, une tragédie, un poème. Trop frivole, trop futile. Alors que les Sermons du Carême du Louvre, les Oraisons funèbres, notamment les plus fameuses, celles d’Henriette de France, d’Henriette d’Angleterre ou de Marie-Thérèse d’Autriche, resteront comme des modèles d’éloquence (« Madame se meurt, Madame est morte…« ), et que l’intensité poétique des Élévations sur les mystères marqueront à jamais ceux qui les lurent. Tous les canons du parler y sont contenus. Bossuet était du genre à lire les Pères de l’Église en grec avec la traduction latine en regard afin de la reprendre si elle dérapait. Bien qu’il se situât dans le camp des Anciens dans leur querelle contre les Modernes, il entendait secouer la langue pour lui retirer ce qu’elle pouvait avoir de pétrifié et de jargonnant en dépit de son activisme politique : sa lutte pour « le maintien de traditions authentifiées par leur poussière » et cette idée que la vérité d’un événement tenait à sa proximité avec son origine : » L’ancienneté validait ce que la nouveauté viciait ». Aujourd’hui, un tel écrivain passerait pour « réac » ou même « facho » et serait aussitôt liquidé car tout le monde n’a pas comme Bossuet le caractère si naturellement porté à la controverse, et les armes pour y triompher.
Tout pour la langue, cette langue de feu d’une implacable exactitude, un français d’excellence qui se voulait langue orale pensée par l’écrit, dont tous les aspects retenaient son attention, mais comme il n’était pas qu’un évêque de mots, que dire de sa pensée ? Héraut de la monarchie absolue, catholique dogmatique non moins absolu, négationniste des violences faites aux protestants, théologien obtus. Et prédicateur, ce qu’il faut entendre en conservant à l’esprit que la fonction valait prébendes et que le roi finançait généreusement la chaire. A ses yeux fort raides, tout affaiblissement de l’Eglise faisait le lit des libertins, rien de moins. Il faut comprendre sa haine des Anglicans comme une immense frayeur provoquée par leur refus de l’autorité et l’intense désir de neuf. Même la traduction en français que ceux de Port-Royal firent de l’Ancien Testament lui paraissait trop élégante, c’est dire. Mais que ne lui pardonnerait-on au nom de ses circonstances atténuantes : une vraie nostalgie des temps bibliques, la sincère conviction que la société des hommes des tous débuts était pure de ce qui la souillera par la suite et dont son siècle lui offre le terrible spectacle (les libertins bien sûr mais aussi le théâtre qu’il abhorrait). Et puis quoi, notre jugement sur son intransigeance s’atténue dès qu’on la met en balance avec l’extrême dureté de son meilleur ami, l’abbé de Rancé, qui fonda la Trappe dans la haine passionnée de la vie quand Bossuet, qui y séjournait parfois, n’aurait pour rien au monde renoncé au confort de ses propriétés et à l’affection de sa famille.
Jamais procureur, Jean-Michel Delacomptée a ceci de remarquable que son admiration demeure critique de bout en bout. Il se garde bien de verser dans l’hagiographie. Il s’est glissé en Bossuet comme Bossuet le fit en l’apôtre Paul lorsqu’il eut à composer son panégyrique. Il faut dire qu’avec Bossuet, le dossier est lourd. On ne prend guère partie dans l’hostilité qu’il nourrissait pour Mme de Lorraine, abbesse de Jouarre, la question de l’autorité épiscopale sur son établissement nous atteignant au fond assez peu. Mais dans l’affaire du quiétisme de Jeanne Guyon, autre cas d’insoumission, on se range plus volontiers du côté de M. de Cambrai que de celui de M. de Meaux, avec Fénelon plus naturellement qu’avec Bossuet, le Cygne plutôt que l’Aigle. Dans la violente polémique qui l’opposa au philologue Richard Simon, grand polyglotte et prêtre de l’Oratoire, on ne se sent pas davantage solidaire de Bossuet « crispé sur sa crosse et buté sous sa mitre ».
Jean-Michel Delacomptée n’en a pas moins composé un essai admirable, écrit en totale osmose avec les livres de ce temps-là, leur esprit et non leur lettre, un temps où il se souvient qu’on parlait d’oeuvres et non de textes. A croire qu’il l’a écrit au deuxième étage de la maison de la rue Neuve-Sainte-Anne à Paris où l’orateur sacré vivait lorsqu’il n’était pas à Meaux. On se prend à relire certaines pages, celles sur le salut par le silence notamment, et quelques lignes très personnelles, discrètement autobiographiques, qui sont une clé inattendue. De Bossuet on n’a retenu que la morale sévère. Est-ce ce qui rend pessimiste son inspiré portraitiste qui prévoit qu’en 2027, année du quatre centième anniversaire de sa naissance, il faudra se battre pour rappeler le prosateur qu’il fut et exiger sa célébration ? Inutile d’attendre cette date pour comprendre que sa prose est une langue si classique que les Français l’entendent désormais comme une langue étrangère.
Autre exemple, Saint-Simon. Notre auteur ne serait pas lui-même s’il n’avait organisé son affaire autour d’un point focal. Non un point de détail mais un moment isolé de manière privilégiée et arbitraire. Toute son énigme (Chantal Thomas utilise le mot en titre de sa préface) se ramasse entre 1739 et 1740 ; le duc de Saint-Simon vient d’achever la « Note sur la maison de Saint-Simon », hommage au lignage auquel il se vouait jusqu’alors ; il s’apprête à faire subir le même traitement à la Maison de La Rochefoucauld quand il modifie sa route et s’élance dans l’invention de son grand œuvre : les Mémoires, un océan de mots. 2854 pages plus loin, et dix ans après, il en sort ce chef d’œuvre qui nous dit tant de ce temps. L’auteur s’est longtemps demandé quelles raisons avaient profondément motivé ce saut décisif ; de même, on ne saura jamais vraiment ce qui s’est passé à la charnière de 1908-1909 pour que Proust, grand admirateur de Saint-Simon, passe insensiblement d’un projet de livre mêlant plusieurs genres (essai, souvenirs, récit) à un projet de roman, et de Sainte-Beuve à Combray. « A partir de quel moment un écrivain, chargé d’un projet longuement fermenté mais qui lui résiste, finit par se lancer et, d’une traite, le réalise ? Par quels méandres, et en quels circonstances, advient soudain ce qui se refusait à lui jusqu’alors ? » s’interroge l’auteur en explorant l’incertaine puissance censée agir son attitude.
Il n’entend pas nous le démontrer mais nous en éclairer par des intuitions, des chemins de traverse, des pistes oubliées qui tiennent le plus souvent à un mot chu et ramassé, ou un détail griffé dans le tissu de sa vie, toutes choses insignifiantes sous d’autres plumes mais qui prennent une allure nettement plus convaincante lorsqu’elles sont gouvernées par un tel souci de la langue. En trois traits, il brosse un portrait : dos rond, oeil de verre, ourlet démesuré des lèvres. Au passage, Jean-Michel Delacomptée nous livre l’argument d’une pièce de théâtre rêvée (avis aux amateurs !) : les trois jours et trois nuits au cours desquelles Saint-Simon, enfermé en huis clos avec le Régent, s’employa à le convaincre de rompre avec Mme d’Argenton qui l’asservissait, afin de reconquérir l’affection du Roi, son oncle. Le Régent, Philippe d’Orléans était son ami d’enfance et le demeura ; il avait d’ailleurs, dès l’entame de son projet, fixé la borne du souvenir à la mort de celui-ci. On le disait sociable, épris de conversation, passionné de protocole et de rituels, expert en grandeurs d’établissement, ce qui nous vaut de belles pages sur la comédie du tabouret ou le cérémonial public de la chaise percée.
La vraie grandeur selon lui ne devait pas être assise sur la fortune. Le duc n’était guère préoccupé de posséder des biens ou de jouir des plus hautes fonctions ; d’ailleurs, il en refusa maintes fois et des plus brillantes ; on dira que c’est plus facile lorsqu’on est né Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, pair de France, seigneur de nombreux fiefs, duc de Ruffec, comte de Rasse, gouverneur de Senlis, héritier des ville, citadelle et comté de Blaye en Gironde, préférant à tous ces lieux son château de La Ferté-Vidame à vingt-cinq lieues de Versailles. Grand cas est fait de l’ambassade extraordinaire qu’il conduisit en Espagne, sous la Régence afin d’y marier Louis XV, onze ans, à l’infante d’Espagne, trois ans. On ne trouve qu’une seule occurrence du mot « pute » sous la plume de Saint-Simon : « Cette pute me fera mourir » soupirait Marie-Thérèse, reine de France, épouse de Louis XIV, en regardant le Roi s’afficher avec la Montespan. Une édition partielle des Mémoires, publiée avec cette phrase pour titre, a fait un tabac en librairie il y a quelques mois. Au vrai, Saint-Simon piétine la syntaxe comme du bon raisin, avec un amour de la langue qui ne relève pas seulement de l’expertise ; il prend des libertés avec la grammaire ; il ne se relit pas quand bien écrit-il volontiers à la diable ; il ne se pique pas de bien écrire, noircit le papier en toute liberté, mais n’en demeure pas moins l’un des rares mémorialistes à être lu et relu, outre ses informations sur la vie de cour (souvent puisées dans le Journal de Dangeau) et ses anecdotes vachardes (son tableau du règne du Roi-Soleil est le plus cruel des monuments dans une chronique des dérèglements de la cour et du royaume qui n’en manque pas) pour la seule grâce de son style.
L’hommage du portraitiste est à sa mesure car Jean-Michel Delacomptée, qui écrit en parfait accord avec la langue de ce temps, jamais ne verse dans le pastiche ni l’affectation. N’espérez pas trouver dans ce livre une analyse serrée de l’œuvre. Plutôt le reflet d’un instant biographique, mais qui en dit bien davantage en si peu de pages sur l’âme du gentilhomme campagnard de la Ferté-Vidame que tant de thèses obèses. Alors, pourquoi Saint-Simon (1675-1755) est-il passé vers 1739 de sa « Note sur la maison de Saint-Simon » à ses Mémoires, de la dette aux ancêtres à l’émancipation par le « Je », et de la politique à l’émotion ? « L’appel de la vérité, je crois. Et la grandeur ». Voilà tout.
Qu’importe au fond la vraie raison si cela nous a permis de méditer sur la perte d’un sentiment, et la manière dont son absence se fait ressentir par nos contemporains. Mais est-ce ainsi qu’un écrivain glisse vers son destin à défaut d’y basculer ? Difficile à expliquer, la grandeur, car, nous prévient Jean-Michel Delacomptée, nous en avons perdu le sens. La France et les Français d’aujourd’hui n’en ont tout simplement plus idée. Il y a quelque chose de vertigineux à placer cette perte de sens au rang de ces hapax de l’Ancien Testament dont nul ne peut assurer avec certitude ce qu’ils ont pu signifier. Saint-Simon assure qu’en ce temps-là la France « était de tout ». Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?
1 345 Réponses pour Ce dont les Français n’ont plus idée
La gigi descend de la fange selon…
Pendant près d’une semaine, à partir du 6 février 2025, Paris accueillera de nombreux évènements visant à renforcer l’action internationale en faveur d’une intelligence artificielle au service de l’intérêt général. Elle sera rythmée par : des journées scientifiques, un week-end culturel, un Sommet international au Grand Palais, de nombreux évènements parallèles, une journée pour les entreprises.
https://www.elysee.fr/sommet-pour-l-action-sur-l-ia
Décidément je be supporterai jamais cette façon américaine de prononcer l’Anglais, qui transforme « water » En « wawdeuw » avec une sorte de coassement vraiment désagréable. Comment en est-on arrivé là ? Il ne se rendent pas compte à quel point c’est laid ?!
Dialogue enjoué hier, à La Grande librairie entre Augustin Trapenard et Jean Echenoz à Propos du roman Bristol dont Passou avait, avec justesse, souligné l’humour irrésistible
Les affirmations et certitudes que vous proferez, Rose, n’ont de crédibles que votre parole soumise à l’autofiction de votre vie répandue ici au rythme de votre inspiration. Vous n’avez pas d’ordre à donner.
Christiane dit: 6 février 2025 à 8h57
D, vous êtes fatigant, horripilant avec vos sentences moralisatrices et vos citations incomprises. Appliquez tout ce fatras à vous-même et foutez-nous la paix. Les endives, les poules, ça passe encore mais le reste est aussi indigeste que la moraline de Rose. La barbe, y la fin, de tous ces fâcheux qui se sentent autorisés à condamner les autres en se prenant pour des saints.
À chacun sa vie.
Loin d’être une sainte.
Assument. Hors déni.
C’est vrai que ce peut être difficile de se voir rappeler ses propres saloperies, dont placer sa mère de force dans un EHPAD.
D.
Tout mon soutien (vous n:en avez pas besoin).
Ses actes, aussi salopards soient-ils, il s’agit de les assumer et pas de tenter de les faire porter par autrui. Cela ne marche pas.
Clopine avait déjà dit que l’on n’avait que mon point de vue.
Oui.
Et ni ragots, ni langue de pute.
L’autofiction, en ayant une brève conversation avec je cuide hier, ai réalisé combien, ce qui est cru/pensé/ inventé sur l’autre, ici, à partir de ce qu’il écrit, est à des années lumière de sa propre réalité.
Chacahl-MS-et autres calvinos, lâchez-moi un brinj, merci, vous dis-je. Vous rehaussez ma fange à votre insu, bien que n’étant pas de mon fan-club, en principles à ficher. A de plus hauts objets élevez vos désirs, songez à prendre un goût des plus nobles plaisirs, et traitant de mépris les merdes et les matières, à l’esprit comme z-elles, donnez-vous tout entières.
Beaucoup de tension sur la RDL aujourd’hui !
Je n’y suis pour rien, au moins, JJJ ?
il est étrange de reprocher à des contributeurs trices de « raconter leur vie » sur ce blog:
est-il possible de formuler une règle (pour ce blog!)
C’est bien l’alexandrin, JJJ.
On y prend racine…
Soleil, quand t’ai-je vu pour la dernière fois ?
raconter une promenade dans une ville -ou ailleurs-n’est pas moins « raconter sa vie » que de présenter des parents et amis de son histoire;
Seigneur surtout pas de règles, nous sommes tous ménopausés, je cuide !
formuler une règle:
on peut par exemple interdire (mais oui, interdire)d’ opiner sur la vie , la personne,l’identité « supposées » du contributeur trice qui s’esrt quelque peu « démasquée » en « racontant sa vie »
Aimable suggestion au ministre de la Justice
Le ministre de la Justice vient de déclarer vouloir s’inspirer du système carcéral italien pour
apporter une modification (mineure) au sytème carcéral français. Elle ne paraît pas mauvaise.
Je lui suggère d’étudier ou de faire étudier le système carcéral japonais pour apporter une très
heureuse…révolution à notre système carcéral. Pourquoi ?
A des années – lumière de ce que nous connaissons, dans ce sytème lointain : zéro téléphone portable chez les détenus, zéro arme blanche, zéro drogue , zéro drone livreur au-dessus de la cour de la prison, zéro viol d’un détenu par un autre, zéro agression d’un surveillant par un détenu. Entre l’ambiance de là-bas et l’ambiance d’ici, c’est le jour et la nuit.
Cette énorme différence mérite qu’on y réfléchisse.
écrire:
https://pbs.twimg.com/media/Fz8ulVyWAAAbEmd.jpg:large
Vous êtes contre le dialogue et en faveur du monologue, je cuide ?
Jazzi dit:Votre commentaire est en attente de modération.
PENSER PARLER ECRIRE
L’un ne va pas sans l’autre, l’autre non plus, spa !?
vérité suite
« LE FAUX NOUS EST INDISPENSABLE
Il est mal de mentir, certes. Les contre-vérités ont des effets néfastes, c’est entendu. Rétablir les faits, effacer les fables, dissiper les illusions, voilà qui est utile et vertueux… tout le monde en convient. Et pourtant, à force de traquer tellement les « fake news », de systématiquement pourchasser les trucages, de démonter les mythes avec obstination, ne risquons-nous pas d’y perdre ? Un monde tout entier véridique, vérifié, objectivé, garanti sans mensonges, ne serait-ce pas, en fin de compte, un monde sans littérature, sans philosophie, sans imaginaire ? »
https://www.lemonde.fr/livres/article/2020/11/13/comment-parler-des-faits-qui-ne-se-sont-pas-produits-de-pierre-bayard-la-chronique-essai-de-roger-pol-droit_6059564_3260.html
Beaucoup de gens n’ont eu d’autre solution que de placer leur mère « de force » dans un EHPAD. A contrecœur.
Des gens qui travaillent, obligatoirement jusqu’à 64 ans, des moyens financiers insuffisants pour organiser une aide suffisante humaine et logistique à domicile.
Tout ce que j’écris ici n’est pas mon cas, je le précise. Mais il n’y a aucune « saloperie » particulière. La vraie saloperie serait le délaissement de vieillard « à domicile ». Ou, beaucoup plus courante qu’on ne l’imagine, le vieillard qui se permet en toute conscience et lucidité et orgueil et égoïsme de se laisser aller, de refuser toute aide proposée, de vivre ainsi comme un demi-clochard, et ajouter dans ses rares conversations avec ses voisins qu’il est délaissé par sa famille. Très courant.
A contrecœur.
Ce n’est pas, hélas, toujours à contrecœur.
Cet accent coassant n’est d’ailleurs pas le fait des américains ruraux, plutôt des classes supérieures des grandes villes de l’Est.
Rose,
Vous mélangez tout. Je ne vous ai jamais reproché le placement de votre mere dans un EHPAD.
J’évoquais votre commentaire de mon échange avec B.
Je parle dautofiction, à votre propos oui. L’idée m’est souvent venue… Vous savez comme je suis réticente à l’épanchement sur des blogs de confidences familiales intimes. Clopine, vous, parfois Jazzi. Ce sont si elles sont réelles beaucoup d’impudeur. Si ce sont des fictions alors tout est permis.
Quant à D, oui, sauf si c’est un jeu un peu équivoque cette loi punitive qu’il assène et commente à longueur de blog est vraiment insupportable et pas du tout dans le sens des écritures. C’est juste une façon de se montrer plus digne que les autres tout en rappelant dans un commentaire plus ancien qu’il n’a besoin de personne.
Bref, je préfère les échanges littéraires, artistiques,cinematographiques…
il est étrange de reprocher à des contributeurs trices de « raconter leur vie » sur ce blog:
est-il possible de formuler une règle (pour ce blog!)
Mais voyons, tout le monde raconte sa vie sur ce blog!
Mille et une manière de raconter,
d’ailleurs.
manières
Vous n’avez pas à nier la réalité de l’Enfer, Christiane, et vous faire ainsi l’avocate du démon.
C’est très grave.
«LE FAUX NOUS EST INDISPENSABLE » (je me cuite)
Exact !!! et pour de Simples raisons, le FAUX c’est le VRAI et le vrai c’est le faux.
13.42 et 13.43 – mais non, pour rien, vous êtes… , jzmn, bien au contraire… Pour l’alexandrin un brin détourné ou « déraciné », voyez Momol, in les femmes savantes. Laissons pisser les énurétiques, ce n’est pas d’leur faute. Hein.
Hupper en serial killeuse !
« Toujours impressionnante dans des rôles de femmes criminelles, l’actrice iconique Isabelle Huppert incarnera prochainement Élisabeth Báthory, une comtesse hongroise du XVIème siècle. Elle aurait été accusée de plusieurs meurtres de femmes et de jeunes filles, et aurait inspiré rien de moins que le vampire Dracula, associant dans l’imaginaire collectif érotisme et morbidité. Le film sera réalisé par la photographe, peintre et réalisatrice allemande Ulrike Ottinger (Aller jamais retour, 1979 ; Freak Orlando, 1981…), figure de l’avant-garde outre-Rhin, qui a coécrit le film avec l’Autrichienne Elfriede Jelinek, Prix Nobel de Littérature en 2004, d’après Variety. »
D,
Vous me faites ch…
@ Mais voyons, tout le monde raconte sa vie sur ce blog! surtout racontpatavi au pseudo qu’on lui envie, rptv, célavi 🙂
Je préférais etalii, je cuide c’est ridicule, mais néanmoins TAF admissible. Je dis ça et j’ai rin dit, ce commentaire n’appelle pas de remarques, même indirectes… Merci pour la défense des combats nécessaires de chacun.e dans nos ehpad mal famées.
Ah vous zaussi, vous nous mettez de « l’iconique » à toutes les sauces !… telle la lea@salamee.fr moyenne, au bagout infernal avec ses dents en avant.
(***Ezrebet Batory, plutôt… vue par Valentine Penrose, me souviens-je, la « gilles de rais des Carpates », comme disait Mimile Cioranescu)
Ce n’est pas moi qui le dit, iconique, d’où les guillemets, JJJ.
C’est un copié/collé sur un site spécialisé.
« Mais voyons, tout le monde raconte sa vie sur ce blog! »
Elle veut bien que l’on raconte s vie, mais elle veut interdire les réponses des autres commentateurs, JJJ.
Elle est pour le monologue et non le dialogue : chacun dans son coin !
précision:
sur le monde
:de Pierre Bayard : la chronique « essai » de Roger-Pol Droit
bpnsoir
Bonjour Rose, à la manière innocente d’une jeune étudiant en sémiologie des années 70, j’essaie de recontextualiser vos multiples interventions matinales , j’essaie de trouver des connections logiques entre vous et cette foutue administration de l’ehpad qui semble aussi déconcertante qu’une basale navale de le Mer Noire en état d’alerte, d’une part, et les « codes » complexes qui régissent les comportements de votre tribu familiale, dont vous nous entretenez de manière à la fois dynamique et métronomique aux aurores et qui m’apparaissent souvent à la manière de « codes » que même le MI6 britannique ne pourrait briser; et donc, donc, oserais-je vous demander :
-Comment se porte votre mère ?
« Il faut dire la vérité à quelqu’un qui va mourir… Il faut qu’il sache la vérité, sans cela il ne pourrait pas dormir… »
Maurice Maeterlinck
bonsoir
« Comment se porte votre mère ? »
Bonne question, Paul !
Et encore merci pour la leçon de sémiologie…
« Il faut dire la vérité à quelqu’un qui va mourir… Il faut qu’il sache la vérité, sans cela il ne pourrait pas dormir… »
et alii connait ses classiques !
C’est bien beau…
-Paul Edel
Sale premier janvier en son EHPAD, enchaîné avec difficile mois de janvier.
Bronchite carabinée plus infection qui ont fait monter le taux de globules rouges à 20 000. Je crois que la normale est à 10 000. La cadre de santé a géré de magnifique manière le souci grave de arrêter de s’alimenter.
Et son époux, docteur de l’Ehpad a fait les examens de laboratoire nécessaires et l’a mise sous antibio + perfusion à la cuisse.
À midi, elle a mangé deux càc de maïs et une feuille de salade, un càc de steak haché et quelques frites. Une cac de yaourt, une petite tartine de roquefort, pas de dessert.
Voilà, demain ce sera ou cinéma ou marché obligatoire.
Elle va mieux.
Paul,
Elle a passé un mauvais cap.
Elle le sait puisqu’elle m’a posé la question « est-ce que demain je serai vivante ? »
Elle n’est pas une sainte, et moi non plus.
marche à pieds au soleil. Aujourd’hui, elle n’a pas voulu sortir
désir et déception.
Plaisir déplaisir. Pour ce matin, je n’étais pas serieuse, l’envie d’uriner relève bien sur du besoin physiologique cependant il existe des envies qui s’apparentent à la physiologie et qui pourtant ne devraient relever que du désir.
Rose, il ne faut pas aller trop vite, elle est très âgée et sort d’une maladie, se relève d’un affaiblissement important.
Le désir, le plaisir sont des moteurs puissants. Tesla peut remballer, on veut pas de ses caisses!
Je viens de recevoir un mail d’EDF toute contente de m’informer de la baisse du prix de kWh me concernant.
Avec en même temps une augmentation de 8,69 % de l’abonnement… soit bien au dessus de l’inflation.
Il me paraît indispensable que votre mère boive des Fortimel, ou équivalent, si le médecin ne s’y oppose pas. Son alimentation est très insuffisante. Mais alors, très de très.
@ P.E. Pendant ce temps, j’ai découvert ce petit film sur une déambulation de Cioran autour de chez lui… Il provient d’un certain Bernard Morlino. Eh ben voilà…, il a tout compris du modeste, ce Morlino dans le papier qu’il lui dédie !
https://www.bernardmorlino.com/post/un-reportage-sur-cioran-qui-marche-dans-son-cher-quartier-de-paris
@ 16.10, – ne recommencez pas à la relancer, jzmn.
– Je sais bien que c’était pas vous, iconique… Nico nique Sarko nique, etc… M’enfin, voilà, je ne supporte pas ce terme. Il parait que c’est n adjectif qualificatif…
@ Pmp, ce que je n’avais pas bien compris la première fois : « et son époux, docteur de l’Ehpad ». Mais maintenant, à la deuxième, je comprends tout. Elle ira de mieux en mieux…, de toutes façons, j’en suis sûr. Le printemps tarde que d’arriver.
Paul Edel,
Ai oublié de vous signaler un examen clinique qu’elle a été passer à la Timone, une échographie des organes mous.
Rien à l’examen. Elle n’a pas été attachée au lit trois heures durant car l’Ehpad l’a rapatriée vite fait en ambulance.
—–
Nota : dire ou ne pas dire avant de mourir. Deux écoles s’affrontent.
C’est indicible.
—–
Je ne suis pas supérieure a qui que ce soit. Et ce que je fais pour ma mère c’est la dernière fois que je le fais. Plus jamais pour personne.
Tesla peut remballer, on veut pas de ses caisses.
B.
Nous, on vient de ramener chez Cultura Les aventuriers du rail parce que le trajet était en Amérique.
Ce n’est pas l’adjectif que j’emploierais, JJJ.
Oui, ico-nique-ta-mère !
C’est bien laid…
« Je ne suis pas supérieure a qui que ce soit. Et ce que je fais pour ma mère c’est la dernière fois que je le fais. Plus jamais pour personne. »
Quid de vos filles, rose ?
D.
Vous n’imaginez pas le service rendu. Outre la longue conversation avec C et C et E, c’est parfois la fille cadette qui dit a sa mère « maintenant tu peux crever, on t’a assez vue », je viens de décider, ce jeudi 6 février 2025, que je serai, chez moi, une clocharde céleste.
Chez moi.
Je cuide
Je ne demande pas de règles et pas d’interdits. Ce que j’écris ici est compris partiellement.
Hors ce blog, des gens inventent de manière délirante. C’est leur histoire.
Jazzi,
Mes filles sont un sujet dont je ne parle pas du tout, ainsi que d’un enfant que je chéris tout particulièrement.
Sur le lien avec ma mère : il n’y a aucun rapport entre ce que tu fais a tes enfants et ce que tu obtiens d’eux lorsque tu es vieux. Mon papa avait prévenu ma mère, il y a bien longtemps et elle se gourait totalement.
Il n’y a pas de prêtés pour un rendu, de mérite, de résultats, de retours. Non.
Elle ira de mieux en mieux…, de toutes façons, j’en suis sûr.
J J-J
🤞☀️🍋🟩🍋🙏
Si elle passe ce cap, elle aura passé un sacré cap.
Il faut que jeunesse passe, il faut que vieillesse trépasse et il faut que la mort se dépasse pour que notre vie éternelle soit joie, bonheur et grâce.
@JC….. dit: 6 février 2025 à 5h11
RIVIERA
Le Gros Canard va transformer GAZA en paradis pour touristes friqués…
Cet homme est un génie ! Porquerolles Gaza, voila un avenir pour la population ensoleillée de la Mer Nostre ! Bien meilleur projet que l’escapade en Israel du mois d’octobre. Gaudeamus !
Cet épisode ubuesque met surtout en lumière (sauf pour JiCé semble-t-il) les intentions criminelles des voyous qui dirigent l’Etat d’Israël
des gens inventent de manière délirante. C’est leur histoire.
oui,rose, et même des médecins:^peut-être devriez vous être plus circonspecte;rumeurs ou pas rumeurs quant au « pouvoir médical, à l’autorité médicale » les médecins eux mêmes en sont alertés et inquiétés,surtout apres des « histoires cimme celle du « sang contaminé « ,et celle de Raoult n’aura pas
réduit la question!
voyez en vous même depuis votre jeunesse, où vous avez peut-être joué au médecin;ry bien sur avec vos filles
Intentions criminelles traduites en faits ; les instructions suivent et suivront leur cours par-delà les trumpistes de circonstance
En 1943, la première édition de la thèse de Georges Canguilhem, Le Normal et le Pathologique est publiée. Plus de 80 ans après, quelle est l’importance de redécouvrir sa philosophie ?
Philosophe et médecin de formation, mais aussi résistant sous la France pétainiste, ses activités sont les deux visages d’un même engagement. Dans la préface de son livre crucial, Canguilhem écrit que beaucoup de philosophes entreprennent des études de médecine uniquement pour s’intéresser à la psychiatrie mais pas aux études du corps. Dans « Le Normal et le Pathologique », il postule qu’ il n’existe pas de norme universelle, absolue, car chaque corps possède sa propre norme. Une pensée qui invite ainsi la médecine à mieux prendre en compte la singularité du patient et son vécu.
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-science-cqfd/georges-canguilhem-5206034
Un principe qui vaut aussi pour le secteur du BTP : « Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude »
Je cuide
Je n’aborde quasiment jamais le sujet des médecins.
Tellement à dire.
On dit jeunesse se passe, non ?
Bonne soirée à vous, merci pour le lien sur Normal et Pathologique.
Etre Charlie en février 2025 :
https://www.babelio.com/livres/Enderlin-Le-Grand-Aveuglement/1737742
Etre Charlie en 2025 :
Un Assouline a été annoncé par Marie Sasseur
Né à Langres en 1924, dans une famille modeste, François Dagognet a un parcours scolaire atypique puisqu’il réussit son certificat d’études primaires mais n’ira pas au lycée. Néanmoins, il suivra une double formation universitaire philosophique et scientifique.
Élève de Georges Canguilhem, il devient agrégé de philosophie en 1949, docteur en médecine en 19581. Il possède des connaissances précises et très éclectiques dans des domaines comme la neuropsychiatrie, la chimie et la géologie et s’est employé à réfléchir en philosophe sur les méthodes à l’œuvre dans ces disciplines. Avant d’enseigner la philosophie à l’université de Lyon III aux côtés d’Henri Maldiney et Gilles Deleuze, puis à l’université Paris I, il fut professeur de philosophie au Lycée Ampère de Lyon. Ses nombreux ouvrages traitent aussi bien de l’histoire des sciences, de l’épistémologie, de l’éthique ou de l’esthétique de l’art contemporain.
@Etre Charlie en 2025 :
Un Assouline a été annoncé par Marie Sasseur
En février également ; un fer de lance, le Passou
Ou un pis-aller local ?
Stay tuned…
C’est bon, le Langres.
en 2014 les anglo-américains ont procédé à un changement régime à Kiev pour mettre pouvoir des nostalgiques du bandérisme et du nazisme.
puck dit: 6 février 2025 à 11h10
Toutes les fausses informations que PPPPP (Puck la Pute Payée Par Poutine) répand sur ce site depuis des années sur la Russie et l’Ukraine sont démenties par… Poutine lui-même et ses conseillers dans le livre de Elisabeth Sieca-Kozlowski « POUTINE DANS LE TEXTE » (CNRS Éditions, 2024 – 375 pages, 25 €), un livre dont le sous-titre est « Textes choisis de Vladimir Poutine, de dignitaires et d’intellectuels russes. 2001-2023″, et l’épigraphe : » Les frontières de la Russie ne se terminent nulle part » (Vladimir Poutine le 24 novembre 2016).
– Deux vieilles pies, plus délirantes, méchantes et menteuses l’une que l’autre, se fâchent et se déchirent à coups de becs sanglants. Adieu hideux ragots de fonds de bouteilles, échangés juste avant d’aller s’abattre, toutes poisseuses et titubantes, en d’effrayants grabats. .
– La Gigi qui insulte tout son monde, s’étonne qu’on lui réponde, et prétend ensuite vouloir se saucider.
Quel cirque!
Hurkhurkhurk!
@ Chaloux
Tu as écouté ces 13 min.
« Laurent Couson, compositeur, analyse les dangers de l’IA musicale »
Se « saucider » désigne évidemment pour une saucisse le fait dé mettre définitivement fin à sa saucitude.
Evidemment … Salut salut les saucettes noires
J’aurais dit saucissitude, Chaloux.
Il fait vraiment partie number one de mon fan-club, çui-là, y a pas à dire… L’amour, le travail et pouis, plus rin (Gobineau). Signalons que G. Canguilhem fut le directeur de la thèse de doctorat de Michel Foucault, à l’origine de son histoire de la folie à l’âge classique, tandis que Ludwig Binswanger fut plutôt l’inspirateur avec lequel il allait lui falloir en découdre pour avancer. Donc, le BP était bien l’oiseau rare qui n’arborait jamais aucun pseudo depuis son perchoir de perroquet, s’étant prétendument assagi. Content de sa trouvaille à la saucisse… Pitoyab’ pantin. J’en voulions point.
Stan Getz sur Mezzo en ce moment, JL. Gutte nacht !
La vieille gigi ne radote pas seulement, elle est à l’agonie et délire follement avant de crever pour de bon. On l’espère bien.
Rose et Christiane faisaient semblant d’être copines mais maintenant elles sont sérieusement vipérines.
Pas du tout, elles le sont toujours… Vous ne comprenez rien aryen.
« Crever pour de bon ». A chacun son tour, pas vrai ?
he bien non, n’allez pas dormir tranquilles, sans oenser qu »un maître ait fini sa vie rudement;
En 1865, Stifter prend sa retraite. Gravement malade, il meurt à Linz en 1868, après s’être tranché la gorge
( trouvé en lisant quelques pages de la règle du jeu)
vipérines.
Je ne suis pas vipérine envers Christiane. Pas du tout.
Ici il n’y a ni copinage ni amitié. Fait pas rêver.
Pas de tendresse non plus.
Aujourd’hui:hui, j’ai cousu des boutons
Un avion de Saint Ex à ma mère, un rose laqué à C au centre de l’étoile de son pull.
J’ai souvenir pour Cioran d’un betasson fonctionnaire qui lui avait coupé les vivres , jugeant que cet étudiant avait passé l’âge de fréquenter le Restau U. Il était très content. Qu’il put exister un Cioran écrivain un peu gêné aux entournures ne lui vint jamais à l’esprit…. Béati pauperes Spiritu … MC
Béati pauperes Spiritu … MC
Je viens de rêver que j’étais milliardaire
Béatitude.
Les voleurs, les menteurs, mes pauvres quoi, iront se faire foutre.
mes !?!
les
« Je viens de rêver que j’étais milliardaire
Béatitude. » (rose)
Chère rose, je suis milliardaire !
Béatitude partagée.
Unité de mesure ?
Le Millième de seconde, d’une vie plutôt aimable.
Pour saluer Montaigne à cheval
Déjà sept ans ! Les anciens « contributeurs » au fil de discussion de la RDL se souviennent peut-être encore de MàC ?
https://larepubliquedeslivres.com/pour-saluer-montaigne-cheval/
Bien sûr ! Qui pourrait oublier Montaigne à cheval ?
Son agrégation obtenue avec son sujet sur les chemins de fer alors qu’il était fou de chemins de fer.
Et puis la greffe du cœur attendue, sans cœur alors que lui avait tant de cœur.
Copinage, et amitié. Non.
Tendresse. Si. Il y en a, on sent qu’elle déborde (d’elle) de partout, c’est clair. Mais il y a aussi trop de pudeur pour oser en faire directement l’aveu. A cause de la haine qui suinte, parfois, et qui empêche, car elle joue son effet toxique. Elle est tellement plus facile à s’écouler.
Mais voyez par ex. le message de cneffpaysages dédié à Màc. Qui n’y sentirait pas un zeste de tendreté partageable dans le for de chacun ?
Il est impossible d’oublier MàC, qu’on l’aime ou non.
RIP, camarade !
N’oublions pas non plus le peintre Giovanni et ses déboires avec la perte de sa carte bleue. Il semblerait qu’il ne s’en soit jamais remis.
—————–
Sant »Angelo Giovanni dit: 11 février 2017 à 22h59
…
…Oui,!…mister,…D,…
…
…vous avez raison, l’ouïe fine, habitué aux sens de la chanson harmonique, trop bien structurée pour bercés nos aïeux,!…
…
…depuis le temps,..il n’y a plus que du décousu, à la mode et Trust C°,…nos adeptes de jeunes,…au solfèges,…
…
…le peu de bon goût qui reste, ne peux être au four et au moulin,!…
…
…nos artistes » fils à papa « ,!…notre préjudice » notable « ,!…
…
…comme, une certaine » justice « , réservé en finalité,…aux commerces » parrainés « ,…
…
…toutes des putes, » raisons sociales et convivialités, ad-hoc « ,!…
…avant, après, les bébés éprouvettes,!…
…etc,!…envoyez,…Ah,!Ah,!…
…la patrie du bon » cul « ,…
…
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Emouvant rappel et émouvant retour vers ce magnifique billet de Passou ce portrait un commentateur qui pendant tant d’années domina le commentarium par son brio et sa culture mais aussi par la sensibilité et la générosité de sa personnalité;
Association rare de qualités tant intellectuelles qu’humaines ,celle qui fait les êtres exceptionnels, ceux allient des qualités qui en général s’excluent
sympa de vous voir papoter sur le fait de savoir si de Bossuet ou Saint Simon lequel était des deux le plus burné, alors que ça y est, nous sommes arrivés à l’aune d’un conflit mondial.
pour ceux qui l’ignorent, ou préfèrent faire l’Autriche en gardant le nez dans ses bouquins, l’Europe vient de décider d’entrer en guerre contre les US pour défendre la souveraineté du Groenland !!!
« faire l’Autriche » est une expression apparue après l’application du statut de neutralité de ce pays durant la guerre froide : pendant que la guerre entre l’est et l’ouest battait son plein ce pays berceau du nazisme préférant regarder ailleurs, d’où l’expression « faire l’Autriche » pour désigner ceux qui préfèrent regarder ailleurs pendant qu’une guerre est en train d’acvlater en l’Europe et les USA pour défendre nos valeurs car c’est en effet la première fois depuis le Kosovo qu’un pays, les US, décide d’annexer un autre pays le Groenland !
Déjà il faudrait instruire les populations sur l’origine de la possession par le Danemark du Gröenland.
Ensuite demander au Danemark ce qu’il en a fait depuis.
Ensuite demander au Danemark ce qu’il comptait en faire, ces derniers temps.
Ensuite, les populations pourraient se forger une opinion convenable sur le sujet. Pas celle d’un énième documentaire partisan d’Arte.
Je me souviens avec émotion de MàC, de Zhou, de Sergio.
MàC brillait d’une lumière toute particulière mais pouvait se montrer très intolérant sur certains sujets politiques ou religieux. Comment ne pas s’en souvenir ?
Montaigneacheval ne tenait pas le doigt sur la couture de son pantalon, plus Mortemart que Bossuet.
Le traité (1814) de Kiel peut très facilement être attaqué. Quant à l’arrêt (1933) de la cpji…il n’a aucune véritable valeur.
Il n’y aurait pas de raisons bien valable pour que le Groenland revienne aux USA. Par contre, il y en a de très valables pour qu’il revienne à la Norvège, très copine avec les USA.
Je ne vois pas pourquoi l’union européenne devrait s’occuper du Groenland et y foutre son merdier désormais traditionnel. Non, vraiment pas. Le der des der en légitimité et compétence, c’est bien l’UE. Ou alors autant refiler le Groenland au Congo.
Merci pour se rappel mémoriel, cneffpaysages.
MàC cristallise autour de lui toute une armée de nos chers disparus.
Au point que nous ne semblons plus être aujourd’hui que l’ombre de la RDL !
Le Danemark dit officiellement qu’il n’est pas à vendre.
Moi je dis officieusement, comme le journaliste John J. Miller : « C’est une honte qu’un pays aussi insignifiant que le Danemark puisse tenir une telle place à propos d’un aspect aussi essentiel pour la sécurité des États-Unis. »
Devinette.
Pourquoi Claire ne peut pas vivre à la ferme ?
« Je me souviens avec émotion de MàC, de Zhou, de Sergio »
Et de tant d’autres disparus de la RDL !
Merci à cneffpaysages pour cet anniversaire posthume…
« Les morts, il faut les enterrer. Les vivants, il faut les réparer ».
Tchékhov (Ce fou de Platonov).
Quand je pense que cette gourde écrivassière de Maylis de Kerangal a piqué le titre de son bouquin merdique au Grand Tchékhov !
On ne lit pas une Kerangal, on la vomit.
J’ai beaucoup aimé Maylis de Kerangal, pmp, elle savait comment s’y prendre pour construire un pont et mobiliser son monde pour secourir à temps le bénéficiaire d’une greffe du coeur, une chance que n’eut pas MàC. Quant au reste, pourquoi vomir ainsi Volodymir ?
– « Libéral par fatigue et démocrate par raison », se définissait-il. Quid ?
@ »Quand je pense que cette gourde écrivassière de Maylis de Kerangal a piqué le titre de son bouquin merdique au Grand Tchékhov ! »
la littérature française est dans une impasse c’est une évidence.
je veux dire quand on voit à quoi on en arrive pour refiler le Goncourt il est difficile d’imaginer qu’on puisse tomber plus bas.
qu’après les mecs qui refilent le Goncourt essaie d’oublier leurs bourdes en réfugiant dans Saint Simon et Bossuet limite chacun se soigne comme il peut.
voilà ça le constat.
après que des écrivains français puisse aller chercher du côté des russes une source d’inspiration pour régénérer notre littérature c’est presque une bonne nouvelle.
on dit qu’il existe dans la Russie quelque chose de messianique dans la mesure où la temporalité et le mysticisme limite on n’en sait rien, ce qui sûr c’est cet esprit russe représente ce qui peut sauver l’occident d’une forme de dégénérescence.
pour le dire autrement l’âme russe représente dans une certaine manière l’avenir de l’Humanité.
même Elon Musk le dit et Elon c’est pas la moitié d’un imbécile, même qu’il a été diagnostiqué Asperger.
Montaigne à cheval avait plus de talent que Widergranger et D., mais moins d’imagination que Sergio.
« lame russe » !… la grande faucheuse, comme disait l’amoureux de Pouchkine dans son dico.
« Merci à cneffpaysages pour cet anniversaire posthume… »
il va pas nous faire un discours le Stephane Berne de la RDL ?
assurément, ces disparus sont les témoins muets du blogapassou. Ils font partie intégrante du paysage et la vie de la commune s’est organisée depuis des années en son sein… et de son église abbatiale, sa cloche a égrené les heures, marqué au fil du temps les grands événements tristes ou heureux de notre existence. J’entends, d’ici ou là, que notre pays n’aurait plus les moyens d’entretenir notre patrimoine culturel et qu’il conviendrait de sacrifier quelques clochers qui hérissent nos paysages… quand on dépense tant pour y planter des éoliennes sur des socles de béton! Que l’on soit croyant ou non, quelle que soit notre tradition religieuse, ces clochers ont contribué, avec les églises qu’ils coiffent, de forger le visage de la France et de ce patrimoine historique, spirituel, dont nous sommes collectivement et individuellement les dépositaires. Une seule question vaut d’être posée à l’heure où certains aimeraient faire du passé table rase, que restera-t-il de notre pays lorsque nous l’aurons défiguré, quel sera le visage de la France après leur disparition? Il est à craindre que nous aurons alors perdu notre âme, le respect de nos ancêtres et de nous-mêmes, voire notre raison d’être…
Merci de ne pas me comparer à MàC.
Pas du tout la même catégorie en terme d’état de conscience. Intellectuellement il m’était très supérieur dans plusieurs domaines. Évidemment. C’est sans doute ce que vous vouliez souligner.
Pouchkine n’est pas un auteur russe, pas plus que Tolstoï ou Tourgueniev.
Tchekhov est russe, Dostoïevski est russe, Lermontov est russe, Gogol est russe, Nietzsche est russe : Pouchkine n’est pas russe, c’est juste un égaré perdu dans les ténèbres de l’occident.
Je ne veux pas mettre d’étiquettes aux gens, mais il est possible d’affirmer qu’il était un soixante-huitard très cultivé et talentueux. Je ne choque personne ?
D. on t’a déjà comparé à un type qui avait pour pseudo « Dexter » : c’était le plus beau compliment qu’on puisse te faire, mais hélas pour toi c’était te surestimer.
La lame japonaise est incontestablement de meilleure qualité.
La lame japonaise « était » incontestablement de meilleure qualité, car hélas, l’âme japonaise s’est aussi égarée dans les ténèbres de l’occident…
Montaigne était certainement un excellent professeur de collège, manifestement écrasé par l’image paternelle et non dénué de ridicules. D’où un besoin de domination, une violence que je n’ai retrouvés que chez ce pauvre Gloomie-Gloom, ruminant sa grandeur passée et vociférant sans trêve depuis le grenier de sa maison de la banlieue nord. La cour entourant Montaigne, qui l’avait fait roi, peuplée uniquement de profs de collèges eux-aussi, me paraissait un phénomène grégaire assez curieux, mais les corbeaux se regroupent bien sur une race particulière de noyers (grosliers, dit Rabelais).
Notre cher Zhou était un personnage d’une toute dimension, un vrai grand seigneur, avec toute l’immense modestie que cela suppose. Je pense très souvent à lui.
« Je pense très souvent à lui. »
c’est beau l’amour…
j’espère que pedro ne va pas tombé là dessus sinon il va nous faire une crise de jalousie.
Qu’est-ce que ce clown réactionnaire me veut ?
bon puisque l’heure est aux hommages rendus aux disparus j’aimerais me livrer à mon tour à un solennel et ardent hommage :
souvenirs de pedro (c’est le titre).
ô mon pedro, mon ami, mon frère,
toi l’amoureux des belles choses,
toi l’ardent défenseur de la belle musique,
toujours assis au premier rang
pour écouter Boulez
dès les premières notes
ton coeur vacillait
ton âme fléchissait
pour te sauver
fallait-il que tu te précipites
écouter la voix douce
tel un ange venu du Ciel
Jaroussky l’éternel
ah mon pedro
ta nostalgie du franquisme
n’avait pour égal
que ton amour de l’art
ô si tu savais
à quel point tes vociférations nous manquent
ô pedro mon ami
mon frère…
puck parle par prétérition.
Il dit : « il va pas nous faire un discours le Stephane Berne de la RDL ? »
Et aussitôt il le fait avec sa larmoyante évocation des clochers de nos paysages…
Seront-ils remplacés par des minarets ?
Et toi, Puck ? À qui te comparer ?
Ou à quoi ?
Donne-moi une piste. Je sèche.
Moi c’est plutôt le Boug qui me manque, puck.
Toujours drôle et jamais méchant.
un besoin de domination,
PUISQUE CE MOT de domination revient,je voudrais signaler une femme auteur et féministe qui n’aurait pas été encore traduite en français, malgré(ou à cause?) de ce qu’elle a apporté : il s’agit de
CARLA LONZI, « nous crachons sur Hegel » sur quoi je vous mets un article qui m’a emballée:
https://www.trounoir.org/Nous-crachons-sur-Hegel-Autour-des-Ecrits-Feministes-de-Carla-Lonzi
avec une citation pour rose qui exigeait de l’utile!
« Valoriser les moments ‘’improductifs’’ est un élargissement de la vie que la femme propose. »
« Pourquoi Claire ne peut pas vivre à la ferme ? »
Réponse
Parce que la ferme tuerait Claire.
« Et toi, Puck ? À qui te comparer ? »
A Stephane Berne !
et une autre citation :
« L’affirmation de soi de la femme n’implique pas une participation au pouvoir masculin, mais une mise en question du concept de pouvoir. C’est pour déjouer ce potentiel attentat de la femme qu’on nous reconnaît aujourd’hui l’intégration au titre de l’égalité. »
Carla Lonzi Autoritratto, un livre fondamental sur la façon d’écrire sur l’art, mais aussi le préambule à la pratique de l’écoute qui a révolutionné le féminisme de l’autrice.
une référence italienne pour C.Lonzi:
son journal, qui court de 1972 à 1978, et qu’elle publie de son vivant chez Scritti di Rivolta Femminile. C’est un geste éditorial intéressant, comme geste d’inscription dans la culture justement. Quand on lit ce journal, on accède à une parole directe, sans médiations, qui a donné lieu à beaucoup de commentaires, d’analyses, etc. Beaucoup de féministes sont parties de ces écrits à la lisière de l’intime pour construire leur propre lecture et interprétation de Carla Lonzi. Dans le journal, il est beaucoup
merci renato;ça ne m’étonne pas de vous,toujours à la pointe de ce qu’il peut-être important de connaître;
Claire à la ferme, au corps et à l’âme fermes.
Les paysannes d’autrefois étaient des femmes solides, saines, dures à la tâche et fortes avec douceur.
Des femmes prophylactiques aurait dit Baudelaire.
« Et aussitôt il le fait avec sa larmoyante évocation des clochers de nos paysages…
Seront-ils remplacés par des minarets ? »
c’est un copié collé d’un article de Stef.
https://www.lepelerin.com/la-librairie/le-pelerin-et-vous/lettre-de-stephane-bern-a-son-clocher-7133
Autoritratto è sorti en 1969 ma reste utile, je cuide. Il est intéressant de noter que Twombly a toujours répondu par le silence aux questions de CL
Oui c’est vrai, Bouguereau me manque beaucoup aussi. Il m’a déjà traité d’enculé, à juste titre.
Quel dommage qu’il soit parti pour céder la place à un personnage aussi triste et inintéressant que Charoulet…
prophylactiques
–
Pas sûr. Beaucoup puaient du cul.
Certains vont me dire que c’était de la saleté propre.
11.43 Merci de ne pas me comparer à MàC.
Non, à widergangster tout simplement.
*** Charoulet a fait gagner pas mal de dignité au blog de Bilger, c déjassa. Et puis, il a connu Cioranescu à Dieppe, t’imagines-tu la profondeur de leurs discussions ?
12.16 La nourrice montre son sein et le pont s’affaisse. Mais quelle était la question, déjà ?
12.13 « Toujours drôle et jamais méchant » (jean-marcel). Ce n’est pas ce que vous disiez avant qu’il ne soit viré de la RDL comme un mâle propre.
« Il y a deux roses dans la rose. L’une est tournée vers nous, l’autre vers personne. »
Roger Munier
Merci, cneffpaysages.
Quelqu’un est là…
« Ce n’est pas ce que vous disiez avant qu’il ne soit viré de la RDL comme un mâle propre. »
Je demande à voir, JJJ ?
Vous devez confondre avec un autre.
Le Boug avait habituellement le mot gras mais n’a jamais été injurieux, insultant ou méprisant envers moi.
Plutôt amical, dans mon souvenir…
« Il m’a déjà traité d’enculé »
C’était une ponctuation naturelle et générale chez lui, D.
Mais toujours avec un « K »
« Autoritratto è sorti en 1969 ma reste utile »
Attention à la confusion des langues, renato !
@Pablo
J’ai écouté. On n’aura bientôt plus besoin de personne pour sortir les poubelles Tu penses bien que les musiciens tout le monde s’en fout.
Macron, programmé par ses commanditaires pour vendre et détruire le pays, est déjà en un sens une pré-créature d’ une pré-IA. Je n’ose pas demander au journaliste qui a fait sa promotion en Espagne (et peut-être ailleurs) ce qu’il en pense aujourd’hui.
D’après le NouvelObs en 2011 l’État a versé 1 million d’euros pour des manuscrits évalués entre 200.000 à 300.000 euros. Le NouvelObs se demande s’il n’y a pas eu entente.
Il aurait préempté discrètement… Ça ne serait pas arrivé.
Un dessin de Verlaine a été vendu 600.000 euros en décembre 2024.
Les archives Foucault vendues par Defert en 2013 s’élevaient à 4 millions d’euros je crois.
https://eman-archives.org/Foucault-fiches/prsentation-du-fonds
rose:
De grands espoirs reposaient donc sur le papyrus PHerc. 172, offert à Oxford au XIXe siècle par Ferdinand IV, roi de Naples et de Sicile.
L’IA, dans son état actuel, a toutefois encore des limites. Jusqu’à présent, peu de texte a été déchiffré dans les plusieurs colonnes de textes, si ce n’est le mot écrit en grec ancien διατροπή, « dégoût ».
patientons
https://actu.geo.fr/histoire/percee-historique-un-papyrus-carbonise-d-herculanum-livre-de-nouveaux-secrets-grace-a-l-ia-224549?utm_campaign=pmo_geo_article&utm_content=g-sciences-7&utm_id=67a57b6b7ff19bf3e66b8dea-7&utm_medium=cpc&utm_source=ividence#utm_source=ividence
Jazzi, J’ai interviewé hier Georges-Arthur Goldschmidt à propos de ses deux derniers livres. Avant et après l’émission, il n’a pas cessé de me parler de son fils et de l’hommage de la RDL en l’appelant non pas Jean-Philippe mais « Montaigneàcheval »…
Merci pour l’info, Passou.
Très touchant !
Je croyais son Màc plus âgé. Il n’aurait pas pu avoir 20 ans an 68.
Je retire.
son fils Màc, pardon
Ce soir c’est endives en entrée, plat de résistance, fromage et dessert.
Je sens une carence.
Autoritratto est le titre original d’un livre dont la flegme m’empêche de chercher s’il y a une traduction française, Jazzi.
la littérature française est dans une impasse c’est une évidence. je veux dire quand on voit à quoi on en arrive pour refiler le Goncourt il est difficile d’imaginer qu’on puisse tomber plus bas.
puck dit: 7 février 2025 à 11h30
C’est sans compter avec le génie littéraire encore méconnu de Maurice Desborels, alias PPPPP (Puck la Pute Payée Par Poutine), qui pousse les services secrets russes (en échange d’éloges délirants sur la Russie, l’armée russe et son chef postés sur plusieurs sites « intéllos »), pour le faire connaître en Suède, à fin d’obtenir enfin le Prix Nobel de Littérature…
Encore plus incroyable
https://www.francetvinfo.fr/politique/nicolas-sarkozy/le-bracelet-electronique-de-nicolas-sarkozy-pose-ce-vendredi_7060949.html
Y aurait-il un millionième de millimètre de justice en France ?
À propos de l’armée russe: on savait qu’elle utilisait des méthodes du XIXe siècle (le hachoir à soldats sur le front, qui a scandalisé tant Prigojine à Bakhmout, où la Russie a perdu 30 000 hommes en quelques semaines), mais on ignorait qu’elle adorait les États Unis jusqu’au point d’imiter les tactiques du Far West:
« Après avoir perdu 16.000 véhicules en Ukraine, des troupes russes sont obligées de se déplacer à cheval
La «deuxième armée du monde» perd plus de véhicules militaires qu’elle n’en produit et tous ses soldats ne sont plus en mesure d’être motorisés. »
@Incroyable
Qu’il y ait une justice en France ? Ben non, en France ça n’a rien d’incroyable et ça dure depuis un moment ; y compris pour d’anciens présidents de la République, qui sont des justiciables comme les autres. Et, comme d’autres représentants du peuple qui commettent des délits (RN en tête de liste), ce n’est que mon avis, ils devraient, du fait de leurs responsabilités, être plus lourdement condamnés que les citoyens lambda
Passou qui a interviewé Georges-Arthur Goldschmidt à propos de ses deux derniers livres.
« Avant et après l’émission, il n’a pas cessé de me parler de son fils et de l’hommage de la RDL en l’appelant non pas Jean-Philippe mais « Montaigneàcheval »… »
Je ne sais pas pourquoi, je trouve cette phrase absolument effroyable.
« on dit qu’il existe dans la Russie quelque chose de messianique dans la mesure où la temporalité et le mysticisme limite on n’en sait rien, ce qui sûr c’est cet esprit russe représente ce qui peut sauver l’occident d’une forme de dégénérescence. pour le dire autrement l’âme russe représente dans une certaine manière l’avenir de l’Humanité. »
puck dit: 7 février 2025 à 11h30
Tu as oublié de préciser « l’âme russe blanche ou poutinienne », pas celle des russes de Tchétchénie ou d’autres républiques asiatiques, sur lesquelles la Turquie et la Chine lorgnent de plus en plus (et que la Russie perdra très vite après la défaite en Ukraine).
Et tu as oublié de citer la caractéristique principale de l’âme russe: sa passion pour le vodka.
Alcoolisme en Russie
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alcoolisme_en_Russie
(On pourrait aussi parler de la violence ou de la corruption, deux autres caractéristiques idéales de l’âme russe pour régénérer le monde).
Sur une autre échelle d’application, ceux qui dans les médias à sensations prétendent mépriser et dénier toute compétence à la CPI, sont les mêmes qui multiplient les recours devant elle pour tenter de s’exonérer de leurs responsabilités
« Passou qui a interviewé Georges-Arthur Goldschmidt à propos de ses deux derniers livres.
« Avant et après l’émission, il n’a pas cessé de me parler de son fils et de l’hommage de la RDL en l’appelant non pas Jean-Philippe mais « Montaigneàcheval »… »
Je ne sais pas pourquoi, je trouve cette phrase absolument effroyable. »
effroyable et qq peu faux derche : je ne pense pas qu’à l’époque son père voyait d’un très bon oeil la présence de son fils sur la rdl, à perdre son temps avec une bande d’ignares, mais alors je n’y crois pas le millième d’une seconde.
(Mon petit doigt me dit qu’il y a aussi une justice aux EU)
pedroooo !!!! quelle bonne surprise.
il va comment notre pedro ? ça boume ?
l’histoire de pedro ou du franquisme au bandérisme il n’y a qu’un pas…
juste une question, surtout n’y prend pas mal : ton franquisme tu l’as hérité de ton père ?
ou de ta mère ?
Franco aussi avait interdit aux basques de parler basque et aux catalans de parler catalan.
et s’ils avaient eu une religion différentes il aurait aussi interdit leurs lieux de culte.
la seule bonne nouvelle : il va bientôt y avoir des élections en Ukraine et ton pote Zelinski et sa clique de franquistes ukrainiens vont bientôt dégager.
limite tu pourras y aller les consoler en leur lisant l’histoire des heures glorieuses de Franco.
Je ne pense pas que toutes opinions se valent, j’écris effroyable, et pas « faux-derche ».
Et s’agissant de G-A. Goldschmidt, ses autobiographiqes, moins que toute autre , ne se prêtent à un exercice intellectuel du genre » comment parler des livres qu’on n’a pas lu « .
lus
n’empêche que le fait de dire qu’il voyait la présence de son fils sur la rdl d’un oeil c’est faux derche.
Décidément, c’est fin de semaine
Lire: autobiographies.
si on regarde l’histoire récente les raisons qu’ont les russes et les chinois de ne pas nous faire confiance sont multiples : Serbie, Kosovo, le changement de régime de Kiev en 2014 etc…
mais la meilleure raison c’est la Libye.
au début de l’opération il était question de venir en aide aux populations civiles : les russes et les chinois ont dit ok, mais on ne va pas plus loin.
et quand les choses ont démarré les russes et les chinois se sont rendus compte qu’ils s’étaient faits enflés et que la véritable raison de l’intervention était le changement de régime à Tripoli : ce que ni les russes ni les chinois ne voulaient et la suite ne peut pas leur donner tort.
du coup en Russie Medvedev qui était président s’est fait viré comme un malpropre, et depuis, lui qui était à donf pro occidental, il a gardé une haine féroce contre nous.
et dans la foulée Poutine est revenu au pouvoir : s’il n’y avait pas eu la Libye Poutine ne serait jamais revenu.
quand dans 50 ans les historiens écriront leurs bouquins ils diront que le changement de cap des russes et des chinois n’za pas été le coup d’état de 2014 à Kiev (les russes se contentaient en échange de récupérer la Crimée pour ne pas qu’elle tombe aux mains des américains), mais la grosse bourde de Libye qui est probablement la plus grosse bourde de l’occident.
un journaliste américain (il en reste encore qq uns) explique dans le détail chronologique les raisons de l’annulation de l’élection présidentielle en Roumanie, et c’est très drôle :
Pas un mot ici sur le décès du grand copain de Bernard Pivot, j’ai nommé Paul Loup Sulitzer
C’est triste.
Je me souviens d’avoir lu les Essais avec grande fascination fiévreuse… Et plus encore, ultérieurement, le journal du voyage… Car je tenais le mien, celui de mes voyages par tous moyens de transport disponibles, dont surtout les marches à pied… J’étais resté fasciné par son séjour à Rome et par ce qu’en racontait son secrétaire, notamment quand il assista à une fameuse cérémonie de circoncision…
Bref, il « aurait voulu passer sa vie le cul sur selle ». IL s etrouve que ça lui faisait du bien, et surtout il y voyait un moyen de transport bien pratique.
Je n’ai jamais compris pourquoi Jean-Philippe Goldschmidt avait endossé ce célèbre pseudonyme mais qu’importe…
Je constatais juste que pour Jean Lacouture, ce qui le fascinait le bordelais était d’imaginer que Montaigne méditait sur son cheval et agissait sans relâche pour le salut du royaume déchiré, le retour de la paix, de la tolérance et du bien public.
Quant à Gaspard Koenig, juché sa jument Destinada, son souci était de chercher, sur ses traces, une nouvelle forme de liberté dans un monde devenu oppressant, une exigence politique impliquant selon lui, de voir émerger « de nouveaux barbares… et j’espère en être un » ajoutait-il. Il n’avait hélas pas la trempe ni le courage ni la vanité d’un Sylvain Tesson (5 mois suffirent à GK pour nous trousser sa petite leçon de morale empirique).
Quant à Comte-Sponville, le casanier contemplatif, il avoue n’avoir jamais réussi jamais à lire le voyage en entier, ou plutôt « je n’ai jamais essayé » (p. 608)… très lassant ». Un peu d’honnêteté, quoi. Mais ce « penseur amoureux » de MdM pensa néanmoins quelque chose du voyage, ouf : « ce que j’en retiens : contemplatif ou globe-trotter, nul n’a jamais voyagé ni séjourné qu’ici et maintenant » (p. 612). Assurément, voilà un André en « panseur » abyssal.
JPG avait gardé son mystère… Il fut sans doute le moins m’as-tu-vu de de ces trois-là. Et son père lui rendit un bel hommage dans ?… – Aimant, plutôt, et voilà tout. Comme nous l’aimions et l’admirions, à nos modestes niveaux erdéliques.
@Décidément, c’est fin de semaine
A la camarilla d’ici-bas : repos !
rectif de fin (19.16)…
Aimant, plutôt qu’effrayant, et voilà tout.
Autoportrait, trouvé sur l’hommage à MàC
https://youtu.be/EpEdDXBqa5Y?feature=shared
« Je ne sais pas pourquoi, je trouve cette phrase absolument effroyable. »
Essayez de savoir pourquoi vous la trouvez effroyable, Miss Sasseur ?
Moi je la trouve touchante.
1/ Touchante, parce que le père trouve un peu de consolation à son chagrin en constatant que son fils étaient aimé sur la RDL.
2/ Touchante, parce que le père ne parle pas de Jean-Philippe (ça, c’est son drame intime) mais de « Montaigneàcheval », reconnaissant ainsi le personnage de son propre roman que s’était créé son fils.
3/ Touchante, parce qu’elle témoigne du fait que pour Georges-Arthur Goldschmidt la fiction est aussi importante, sinon plus, que la réalité.
4/ Touchante, pour des raisons personnelles…
son fils était…
@reconnaissant ainsi le personnage de son propre roman que s’était créé son fils.
https://editions-lescalier.com/Lescalier_Extraits/NapoleonEXTRAIT.pdf
Le problème de fond, c’est qu’on a donné des smartphone à tout le monde.
C’est un cataclysme. Internet aurait dû rester fixe et cher.
Quand dans les transports en commun je vois ce que 95 % des gens font de leur smartphone, j’ai honte pour eux et pour l’humanité, de façon plus large.
Et je pense que c’est pareil pour vous, renato. Ne dites pas le contraire.
Je reviens à St Paul St Louis. Oui, Église Jésuite , d’autant que le Lycée Charlemagne s’est installé dans de leur Maison professe. Il reste quelques vestiges, moins qu’ à H IV, dont un bel escalier. Que la tombe de Bourdaloue se trouve dans l’Eglise n’étonnera personne. Mais tombe ou cénotaphe?
Dis-moi, Puck, tu vas reste stoïque combien de temps à te faire traiter de P^5 ainsi ? C’est admirable.
Il est rigolo ce Jazzi avec ses « touchante » !
Je suis assez tolérant, D., et ce que les autres font avec leur smartphone plutôt qu’avec leur corps ne me concerne pas. D’ailleurs, j’ai cultivé la distraction : dans la rue, je suis championne olympique de la discipline. Il est vrai que nous passons à côté de beaucoup de choses… par distraction ou simplement parce que nous ne voulons pas penser plus que nécessaire, etc. Par exemple, le système solaire n’est pas une bagatelle, mais si je l’imagine dans sa position au sein de la Voie lactée, il le devient, et la Voie lactée apparaît aussi comme une bagatelle si je continue à regarder son environnement… il ne faudrait jamais oublier que nous ne pouvons pas le regarder de l’extérieur.
D a honte pour l’humanité, de façon plus large !
Et de façon plus étroite, il a honte pour lui-même !
Ce bougre de Renato qui prend toujours au sérieux ce clown de D !!!
Marre-toi avec les marrants, Renato, et laisse tomber ton masque de sotte gravité.
La longue brièveté de la vie ne nous laisse pas beaucoup d’occasion de rire. Alors rions un peu avant de mourir beaucoup.
Vous manquez d’humour, baron, et n’avez aucune idée de ce qu’est l’ironie, ce qui vous donne un air sympathique et amusant.
championne > champion
…d’occasions…
ABC Girl, New York
📷Helen Levitt, circa 1939
https://smartcollection.uchicago.edu/objects/25406/abc-girl-new-york
Décidément je ne comprends plus ce Michel Onfray. Devenu depuis des plombes un vria facho parmi les sujets politiques qu’il promeut, il s’en prend toujours à la gauche de manquer à ses devoirs éthiques, genre sa timidité sur les questions de torture du Hamas… Mais bon sang, qu’il soit un peu cohérent avec lui-même !… et s’adresse plutôt aux « siens » devenus, plutôt que d’en appeler aux mannes de Beccaria, Alleg, Foucault ou Badinter… Mais c’est quoi cette girouette, au juste ?
* des manuscrits évalués entre 200.000 et 300.000 euros
Mais un Murillo parti à 333000 Euros. Ceci équilibre cela?
Non, je ne suis pas tenue au secret professionnel.
Lorsque un/une me demande de ne rien dire, je suis une tombe. Sinon, je dis bien sûr. Plutôt deux fois qu’une.
Vu hier La pie voleuse avec Emma.
À ce passage magnifique elle a crié « C’est la vie ». À la fin. elle m’a dit « si ton père avait voulu me quitter, je lui aurai attaché les pieds à la table.
Choisi avec hésitation, apprécié sans modération.
L’histoire se tient.
Ce sont des vieux qui vieillissent chez eux -« ah non, il est hors de question qu’une auxiliaire de vie dorme dans le lit de papa ». Comment je me fais baiser sans vaseline par ma fille et ma tutrice (c’est un trans. ? me questionne t-on).
Non, elle ne dort pas Ariane, chez ses vieux. Mais c’est quand même la silver économie, comme en EHPAD. T’es vieux et un clochard céleste, tu n’intéresses personne.
Le pitch est sympa.
La fille est aussi allumée que sa mère, et jolie comme un cœur.
Le fils est aussi touchant et faible que son père – magnifique Jean Pierre Daroussin, et il m’a confirmé combien les enfants souffrent des déboires de leurs parents, plein pot.
Les scènes de cul sont sublimes, encore. Encore, te dois-je.
Ariane est définitivement polyandrie : trois hommes, elle a, dans sa vie.
L’Estaque mise à l’honneur. La plage de mon enfance. Corbières. Pour le film, ils ont enlevé tous les noirs et tous les arabes.
Le cinéma l’Alhambra, mon mien.
La pâtisserie Plauchud, en haut de la Canebière.
Bon film. Pour les vieux.
Nota : en rentrant en prison, scène ubuesque. Qq.mots avec ma mère « elle ne le sait pas, parce qu’elle ne veut pas le savoir ».
Je ne suis plus là. Je ne souffre pas. Ce n:est pas mon histoire.
Hier midi, elle a mangé une grosse moitié du filet de saumon et la totalité de la polenta crémeuse.
Elle tousse encore pas mal, toux sèche. Et se mouche aussi. On bataille vers le printemps.
Les langues de pute et faiseuses de ragots sont derrière moi.
Encore te dis-je, crénom.
Tige de jade.
Ne dois rien à personne. Moi-je.
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