
Ce dont les Français n’ont plus idée
Il faut autant d’audace, d’imagination, d’inventivité, de créativité et de goût du risque pour rééditer que pour éditer. Mis à part le cas le plus courant de la réédition en format de poche un an après la parution en édition originale, c’est à chaque fois un pari. Comme un défi que l’éditeur se lance à lui-même. Il s’agit le plus souvent de révéler à une, ou parfois deux, générations de lecteurs une œuvre qu’ils n’ont pu croiser en son temps faute de maturité. Les éditions Séguier en donnent un bel exemple ces jours-ci en relançant en librairie sans en soustraire ni y rajouter la moindre virgule La Fausseté des vertus humaines (560 pages, 22,50 euros) originellement publié en 1996 (et la première fois en 1678). Cinquante-six chapitres dans lesquels elles sont pulvérisées après avoir longtemps trompé leur monde sous le masque de l’illusion et de l’hypocrisie, qu’il s’agisse de la tempérance, de la pudeur, du mépris de la mort, de la gravité, de l’indulgence comme de la clémence, de la prudence, de la douceur, de la reconnaissance et même, ô surprise, de la « débonnaireté ». De quoi inviter à faire un pas de côté et à se méfier lorsqu’elles nous assaillent en souriant avec une certaine assurance.
Ce livre peu connu d’un moraliste du nom de Jacques Esprit (1611-1678), académicien qui collabora à l’élaboration de ses maximes par le duc de La Rochefoucauld, régale par son iconoclasme et son irrévérence sans que jamais son style ferme et tenu n’en souffre. Un bonheur n’arrivant jamais seul, cet ouvrage dont la nouvelle couverture reproduit opportunément le tableau de Lorenzo Lippi « Allégorie de la simulation » (vers 1640), est précédé d’un bienvenu « Traité sur Esprit » signé par son exhumateur, l’un des écrivains français les plus intimement familiers du Grand Siècle, Pascal Quignard. Bien davantage qu’une simple préface, l’éditeur nous offre là un véritable essai d’une cinquantaine de pages sur ce biterrois au patronyme prédestiné qui avait nourri la folle ambition de prendre à contre-pied la morale humaniste dans sa totalité. Il voulait être l’opposé de Sénèque-le-sermonneur en posant comme postulat que tout le monde ment et se ment. Dès lors, il est aisé de considérer que nos vertus ne sont que des vices déguisés… Le genre de livres que l’on aimerait offrir en visitant ses amis à condition de s’assurer auparavant de leur absence de susceptibilité.
L’autre réédition que l’on se plait à saluer en cette « petite rentrée » ne nous fait pas quitter l’époque. Hommage à notre langue magnifiée par les gens lettrés sous l’oeil du roi, société de grandeur malgré les guerres, violences et misères, elle nous engage à ne plus éprouver de honte à dire tout haut son goût pour la langue du Grand Siècle. C’est qu’elle se porte mal en nos temps de vulgarité triomphante. Une odeur de naphtaline nimbe le souci de la langue ; il n’en faut pas davantage pour passer pour affecté. Louons donc les éditions du Cherche-Midi d’avoir rassembler dix portraits d’Ambroise Paré à Saint-Simon sous le titre Grandeur de l’esprit français (1380 pages, 39 euros) et la signature de Jean-Michel Delacomptée (1948). D’authentiques tableaux vivants brossés dans une langue splendide, ce qui est bien le moins pour ressusciter La Fontaine, Racine ou Bossuet. Toute autre manière les eut offusqués. Pour la plupart publiés entre 1992 et 2012 chez Gallimard dans la regrettée collection « L’un et l’autre » dirigée par J.B. Pontalis, ils témoignent ce que Delacomptée y a créé son propre genre, ce qui est donné à peu d’écrivains de Tite-Live à Sainte-Beuve en passant par La Bruyère et Mme du Deffand. En effet, ses portraits littéraires ne relèvent pas de la biographie mais de quelque chose d’hybride convoquant une érudition d’historien et une acuité d’essayiste afin de les soumettre aux règles du récit bien tempéré. Il n’est pas de plus bel et de plus savoureux hommage (car il a la dent dure) à l’éclat et l’élégance de la langue française à son meilleur- et il y a une certaine cruauté à faire figurer un tel volume en pleine floraison de premiers romans qui ne peuvent que souffrir de la comparaison. D’autant qu’il est enrichi d’une préface de Chantal Thomas qui rend parfaitement justice à son culte du détail, à sa défiance vis-à-vis du « carcan chronologique » et à la liberté dont il use pour emmener son lecteur dans une autre temporalité. Louons un livre si élevé qu’il nous permet de changer de contemporains. C’est peu dire à quel point ce livre qui en contient tant d’autres est une merveille.
La manière Delacomptée est avant tout une écriture très soignée mais dans la légèreté et la grâce, appuyée sur une connaissance sans faille du milieu, baignée par une puissante imprégnation de l’époque. une sorte de portrait en vérité, un peu dans l’esprit du Saint-Simon l’admirable que donna José Cabanis en 1974, traversée des âges et hommage à ce qui se perd, donc, avant tout, à notre langue. L’essentiel de la vie y est bien mais par petites touches, loin de tout souci d’exhaustivité. S’agissant de Bossuet par exemple, il ressuscite à sa façon l’exceptionnel écrivain, mais ne conservant qu’en arrière-fond l’évêque de Meaux, le conseiller d’État ordinaire, le précepteur du Dauphin, le premier aumônier de la duchesse de Bourgogne, le conservateur des privilèges apostoliques de l’Université de Paris, le supérieur du collège royal de Navarre même s’il lui suffit d’une phrase ou d’un paragraphe pour les faire revenir.
L’oeuvre de Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704) ne souffrait pas la fiction. On y chercherait en vain un roman, une tragédie, un poème. Trop frivole, trop futile. Alors que les Sermons du Carême du Louvre, les Oraisons funèbres, notamment les plus fameuses, celles d’Henriette de France, d’Henriette d’Angleterre ou de Marie-Thérèse d’Autriche, resteront comme des modèles d’éloquence (« Madame se meurt, Madame est morte…« ), et que l’intensité poétique des Élévations sur les mystères marqueront à jamais ceux qui les lurent. Tous les canons du parler y sont contenus. Bossuet était du genre à lire les Pères de l’Église en grec avec la traduction latine en regard afin de la reprendre si elle dérapait. Bien qu’il se situât dans le camp des Anciens dans leur querelle contre les Modernes, il entendait secouer la langue pour lui retirer ce qu’elle pouvait avoir de pétrifié et de jargonnant en dépit de son activisme politique : sa lutte pour « le maintien de traditions authentifiées par leur poussière » et cette idée que la vérité d’un événement tenait à sa proximité avec son origine : » L’ancienneté validait ce que la nouveauté viciait ». Aujourd’hui, un tel écrivain passerait pour « réac » ou même « facho » et serait aussitôt liquidé car tout le monde n’a pas comme Bossuet le caractère si naturellement porté à la controverse, et les armes pour y triompher.
Tout pour la langue, cette langue de feu d’une implacable exactitude, un français d’excellence qui se voulait langue orale pensée par l’écrit, dont tous les aspects retenaient son attention, mais comme il n’était pas qu’un évêque de mots, que dire de sa pensée ? Héraut de la monarchie absolue, catholique dogmatique non moins absolu, négationniste des violences faites aux protestants, théologien obtus. Et prédicateur, ce qu’il faut entendre en conservant à l’esprit que la fonction valait prébendes et que le roi finançait généreusement la chaire. A ses yeux fort raides, tout affaiblissement de l’Eglise faisait le lit des libertins, rien de moins. Il faut comprendre sa haine des Anglicans comme une immense frayeur provoquée par leur refus de l’autorité et l’intense désir de neuf. Même la traduction en français que ceux de Port-Royal firent de l’Ancien Testament lui paraissait trop élégante, c’est dire. Mais que ne lui pardonnerait-on au nom de ses circonstances atténuantes : une vraie nostalgie des temps bibliques, la sincère conviction que la société des hommes des tous débuts était pure de ce qui la souillera par la suite et dont son siècle lui offre le terrible spectacle (les libertins bien sûr mais aussi le théâtre qu’il abhorrait). Et puis quoi, notre jugement sur son intransigeance s’atténue dès qu’on la met en balance avec l’extrême dureté de son meilleur ami, l’abbé de Rancé, qui fonda la Trappe dans la haine passionnée de la vie quand Bossuet, qui y séjournait parfois, n’aurait pour rien au monde renoncé au confort de ses propriétés et à l’affection de sa famille.
Jamais procureur, Jean-Michel Delacomptée a ceci de remarquable que son admiration demeure critique de bout en bout. Il se garde bien de verser dans l’hagiographie. Il s’est glissé en Bossuet comme Bossuet le fit en l’apôtre Paul lorsqu’il eut à composer son panégyrique. Il faut dire qu’avec Bossuet, le dossier est lourd. On ne prend guère partie dans l’hostilité qu’il nourrissait pour Mme de Lorraine, abbesse de Jouarre, la question de l’autorité épiscopale sur son établissement nous atteignant au fond assez peu. Mais dans l’affaire du quiétisme de Jeanne Guyon, autre cas d’insoumission, on se range plus volontiers du côté de M. de Cambrai que de celui de M. de Meaux, avec Fénelon plus naturellement qu’avec Bossuet, le Cygne plutôt que l’Aigle. Dans la violente polémique qui l’opposa au philologue Richard Simon, grand polyglotte et prêtre de l’Oratoire, on ne se sent pas davantage solidaire de Bossuet « crispé sur sa crosse et buté sous sa mitre ».
Jean-Michel Delacomptée n’en a pas moins composé un essai admirable, écrit en totale osmose avec les livres de ce temps-là, leur esprit et non leur lettre, un temps où il se souvient qu’on parlait d’oeuvres et non de textes. A croire qu’il l’a écrit au deuxième étage de la maison de la rue Neuve-Sainte-Anne à Paris où l’orateur sacré vivait lorsqu’il n’était pas à Meaux. On se prend à relire certaines pages, celles sur le salut par le silence notamment, et quelques lignes très personnelles, discrètement autobiographiques, qui sont une clé inattendue. De Bossuet on n’a retenu que la morale sévère. Est-ce ce qui rend pessimiste son inspiré portraitiste qui prévoit qu’en 2027, année du quatre centième anniversaire de sa naissance, il faudra se battre pour rappeler le prosateur qu’il fut et exiger sa célébration ? Inutile d’attendre cette date pour comprendre que sa prose est une langue si classique que les Français l’entendent désormais comme une langue étrangère.
Autre exemple, Saint-Simon. Notre auteur ne serait pas lui-même s’il n’avait organisé son affaire autour d’un point focal. Non un point de détail mais un moment isolé de manière privilégiée et arbitraire. Toute son énigme (Chantal Thomas utilise le mot en titre de sa préface) se ramasse entre 1739 et 1740 ; le duc de Saint-Simon vient d’achever la « Note sur la maison de Saint-Simon », hommage au lignage auquel il se vouait jusqu’alors ; il s’apprête à faire subir le même traitement à la Maison de La Rochefoucauld quand il modifie sa route et s’élance dans l’invention de son grand œuvre : les Mémoires, un océan de mots. 2854 pages plus loin, et dix ans après, il en sort ce chef d’œuvre qui nous dit tant de ce temps. L’auteur s’est longtemps demandé quelles raisons avaient profondément motivé ce saut décisif ; de même, on ne saura jamais vraiment ce qui s’est passé à la charnière de 1908-1909 pour que Proust, grand admirateur de Saint-Simon, passe insensiblement d’un projet de livre mêlant plusieurs genres (essai, souvenirs, récit) à un projet de roman, et de Sainte-Beuve à Combray. « A partir de quel moment un écrivain, chargé d’un projet longuement fermenté mais qui lui résiste, finit par se lancer et, d’une traite, le réalise ? Par quels méandres, et en quels circonstances, advient soudain ce qui se refusait à lui jusqu’alors ? » s’interroge l’auteur en explorant l’incertaine puissance censée agir son attitude.
Il n’entend pas nous le démontrer mais nous en éclairer par des intuitions, des chemins de traverse, des pistes oubliées qui tiennent le plus souvent à un mot chu et ramassé, ou un détail griffé dans le tissu de sa vie, toutes choses insignifiantes sous d’autres plumes mais qui prennent une allure nettement plus convaincante lorsqu’elles sont gouvernées par un tel souci de la langue. En trois traits, il brosse un portrait : dos rond, oeil de verre, ourlet démesuré des lèvres. Au passage, Jean-Michel Delacomptée nous livre l’argument d’une pièce de théâtre rêvée (avis aux amateurs !) : les trois jours et trois nuits au cours desquelles Saint-Simon, enfermé en huis clos avec le Régent, s’employa à le convaincre de rompre avec Mme d’Argenton qui l’asservissait, afin de reconquérir l’affection du Roi, son oncle. Le Régent, Philippe d’Orléans était son ami d’enfance et le demeura ; il avait d’ailleurs, dès l’entame de son projet, fixé la borne du souvenir à la mort de celui-ci. On le disait sociable, épris de conversation, passionné de protocole et de rituels, expert en grandeurs d’établissement, ce qui nous vaut de belles pages sur la comédie du tabouret ou le cérémonial public de la chaise percée.
La vraie grandeur selon lui ne devait pas être assise sur la fortune. Le duc n’était guère préoccupé de posséder des biens ou de jouir des plus hautes fonctions ; d’ailleurs, il en refusa maintes fois et des plus brillantes ; on dira que c’est plus facile lorsqu’on est né Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, pair de France, seigneur de nombreux fiefs, duc de Ruffec, comte de Rasse, gouverneur de Senlis, héritier des ville, citadelle et comté de Blaye en Gironde, préférant à tous ces lieux son château de La Ferté-Vidame à vingt-cinq lieues de Versailles. Grand cas est fait de l’ambassade extraordinaire qu’il conduisit en Espagne, sous la Régence afin d’y marier Louis XV, onze ans, à l’infante d’Espagne, trois ans. On ne trouve qu’une seule occurrence du mot « pute » sous la plume de Saint-Simon : « Cette pute me fera mourir » soupirait Marie-Thérèse, reine de France, épouse de Louis XIV, en regardant le Roi s’afficher avec la Montespan. Une édition partielle des Mémoires, publiée avec cette phrase pour titre, a fait un tabac en librairie il y a quelques mois. Au vrai, Saint-Simon piétine la syntaxe comme du bon raisin, avec un amour de la langue qui ne relève pas seulement de l’expertise ; il prend des libertés avec la grammaire ; il ne se relit pas quand bien écrit-il volontiers à la diable ; il ne se pique pas de bien écrire, noircit le papier en toute liberté, mais n’en demeure pas moins l’un des rares mémorialistes à être lu et relu, outre ses informations sur la vie de cour (souvent puisées dans le Journal de Dangeau) et ses anecdotes vachardes (son tableau du règne du Roi-Soleil est le plus cruel des monuments dans une chronique des dérèglements de la cour et du royaume qui n’en manque pas) pour la seule grâce de son style.
L’hommage du portraitiste est à sa mesure car Jean-Michel Delacomptée, qui écrit en parfait accord avec la langue de ce temps, jamais ne verse dans le pastiche ni l’affectation. N’espérez pas trouver dans ce livre une analyse serrée de l’œuvre. Plutôt le reflet d’un instant biographique, mais qui en dit bien davantage en si peu de pages sur l’âme du gentilhomme campagnard de la Ferté-Vidame que tant de thèses obèses. Alors, pourquoi Saint-Simon (1675-1755) est-il passé vers 1739 de sa « Note sur la maison de Saint-Simon » à ses Mémoires, de la dette aux ancêtres à l’émancipation par le « Je », et de la politique à l’émotion ? « L’appel de la vérité, je crois. Et la grandeur ». Voilà tout.
Qu’importe au fond la vraie raison si cela nous a permis de méditer sur la perte d’un sentiment, et la manière dont son absence se fait ressentir par nos contemporains. Mais est-ce ainsi qu’un écrivain glisse vers son destin à défaut d’y basculer ? Difficile à expliquer, la grandeur, car, nous prévient Jean-Michel Delacomptée, nous en avons perdu le sens. La France et les Français d’aujourd’hui n’en ont tout simplement plus idée. Il y a quelque chose de vertigineux à placer cette perte de sens au rang de ces hapax de l’Ancien Testament dont nul ne peut assurer avec certitude ce qu’ils ont pu signifier. Saint-Simon assure qu’en ce temps-là la France « était de tout ». Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?
1 345 Réponses pour Ce dont les Français n’ont plus idée
Mon coiffeur à Milan. GianPo.
https://www.instagram.com/reel/DFu-jw6s7pa/?igsh=MWZ5cmFmdW03djF3Yw==
Une écrit « elle est très belle ». Je la trouve super moche avec son gros tarin. Quand elle se lève, en plus, elle le dépasse de deux têtes.
Non, la fille d’Ariane est une beauté, Marilou.
Et Laurent aussi est une beauté ; sans barbe, cela donnerait quoi ?
Enfin, elle a le droit d’être blonde.
« Tige de jade, mon cul ! »
Comme disait Rimbaud, ce poète-poète dingue, à ce déséquilibré gaga et dopé de Verlaine le malheureux …
Bon week-end, camarades !
À la grosse caisse, c’est moi.
https://www.instagram.com/reel/DFyI7hOqNFJ/?igsh=MTl5N2R2d3U1MG1uYQ==
Personne ne l’emmerde, lui, lorsqu’il raconte sa vie. L’a les yeux bleus, c pour ça.
Y avait pas de violoncelle.
Lors de l’enterrement, j’étais à Serena, au Chili, sur une barquasse, à côtoyer la baleine en Pacifique, avec une très petite fille qui pleurait tellement elle avait peur, pck nous étions tout petits et la baleine très grosse.
Là.
https://maps.app.goo.gl/Nfqmxh6feMdwRMzS9
Avec manchots de Humboldt sur les rochers.
Tzara, je crois, arriva à Paris avec une grosse caisse. L’étonnement de Breton de voir descendre du train un si petit homme avec un si gros instrument.
@ la fiction est plus importante que la réalité.
En l’occurence, l’idée que certains se font de la réalité, qu’ils bricolent, est effroyable, par son inhumanité. Rien à voir avec la fiction.
https://editions-lescalier.com/Lescalier_Extraits/TristanEXTRAIT.pdf
https://editions-lescalier.com/Lescalier_Extraits/TristanEXTRAIT.pdf
(Pardon, ne pas tenir compte du doublon précédent.)
@ la fiction est plus importante que la réalité.
En l’occurence, l’idée que certains se font de la réalité, qu’ils bricolent, est effroyable, par son inhumanité. Rien à voir avec la fiction.
https://editions-lescalier.com/Lescalier_Extraits/TristanEXTRAIT.pdf
Le cinéma c’est la vie, rose et tant qu’Emma peut y aller, il y a encore de l’espoir !
« La Pie voleuse » de Robert Guédiguian, avec Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin est Gérard Meylan.
Tout aussi savoureux est le dernier film du réalisateur marseillais mené par sa troupe d’acteurs réunis autour d’Ariane Ascaride.
Une pie voleuse, aide ménagère au grand coeur, qui aime sa famille et les personnes âgées dont elle s’occupe.
Même si elle prend quelques libertés avec la morale pour satisfaire tout son petit monde au mieux.
Un Guédiguian léger, enraciné et universel, comme on les aime.
Plus pagnolesque que politique, tels les précédents « Gloria Mundi » ou« Et la fête continue » !
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=20614041&cfilm=320510.html
https://www.lelezarddeparis.fr/savoureux-portraits-de-femmes
Au moins, on t’entend. Mais c pas comme l’harmonica que tu glisses dans ta poche.
Les derniers Français de souche résistent encore !
« « Martin », « Bernard », « Thomas » : quels sont les noms de famille les plus portés en France ?
Ils sont notre histoire, nos racines, notre intimité. Apparus au Moyen Âge, nos noms ont bien changé depuis. La France détient même le record mondial de diversité de noms. Un nombre qui continue de s’étoffer, dessinant le visage du pays. » (Le Parisien)
7.59 ils ont dit qu’il avait bien fallu leur donner des noms communs de père en fils, à un moment d’explosion démographique
20.38 « on a donnné des smartphones à tout le monde »… Sauf à moij, dieu merci !
?? Il est vrai que Paul-Loup S. ne passait pas pour un très bon écrivain
9.45 moij / Il est vrai qu’à quasi 70 balais comme Nico (1955), je n’ai pas eu la chance de devoir porter un bracelet électronique à la cheville. J’ai vraiment raté ma vie, mais je suis encore présumé innocent.
?? Mais voyons, Dexter est toujours parmi nous, discret comme un Phil à la patte. C’est l’un de nos plus fidèles internautes.
Bon, maintenant ça suffit comme ça. Je redescends les filets. Et me replonge dans le dernier Richard Powers, « un Jeu sans fin ». Bàv tous.tes
4.45 (Lorsque un/une me demande de ne rien dire, je suis une tombe. Sinon, je dis bien sûr. Plutôt deux fois qu’une).
Oui, c’est exact, je peux l’affirmer et le certifier, et qu’on ne vienne pas lui chercher des noises. Elle ne trahit rien, à la différence de bien d’autres puants.es qui feraient mieux de se fermer le clapet.
Etrange cérémonie autour du crâne et quelques os du petit Emile, 19 mois après sa disparition…
Est-ce chrétien ou païen, D. ?
« Ce dont les Français n’ont plus idée »
quand j’ai vu ce titre je me suis dit chouette ! il va être question des médias et des réalités du monde dont les français n’ont plus idée à cause des médias…
ben non ! loupé !
faudra qu’un jour un type écrive un bouquin sur l’omerta médiatique, un truc qui n’existe pas aux USA.
exemple au hasard : en novembre 2022 (!) on pour lire dans le NY Times un article que le chef américain des armées qui disait il faut arrêter d’envoyer des armes en Ukraine, ça sert à rien à par entrainer un carnage.
le chef des armées ! un article dans le NY Times !
la semaine suivante dans le même journal la réponse d’Anthony Blinken : pas question d’arrêter d’envoyer des armes il faut que les ukrainiens continuent de se battre.
la semaine suivante une empoignade hyper violente entre le chef des armées et Blinken où l’un dit l’autre de vouloir provoquer un amssacre et l’autre dit à l’un qu’il faut que l’Ukraine doit être l’Afghanistan des russes…
je veux dire c’est pas anodin, un journal comme le le Monde aurait pu en dire 2 mots, ben non ! nada ! l’omerta totale ! le Monde préférait en rester à ses incantations bellicistes.
voilà par exemple un truc important dont les français n’ont plus idée ! un truc d’un autre calibre que Saint Simon ou Bossuet !
« Elle ne trahit rien, à la différence de bien d’autres »
Dire la vérité ou perpétuer les mensonges, qui riment avec tombe ?
Heureusement qu’icite, on est chanceux d’avoir un très grand spécialiste particulièrement neutre et objectif de la géopolitique mondiale réaliste. Que penserions-nous en son absence, pauvre de nous autres ?
9.17 -> qui riment avec « songes », plutôt… Louffiat !
@ le petit Emile…
Pourquoi reprendre ce type de vocabulaire du Parisien libéré pour évoquer un fait divers faisandé dont on n’a rien à f., à la RDL ? – Voilà ce que je ne comprends pas souvent sous votre plume émouvée, jzmn. – Mensonge, vérité… Bah, vous ne savez pas ce que vous dédaignez. Et pourtan vous nous avez si souvent assommé avec le mentir-vrai d’Aragon… Qui n’est plus à l’ordre du jour… Désormais, on n’en pince plus que pour Bayard. Anéfé, ne parlons surtout plus que des bouquins qu’on n’a pas lus. Hein ? et laissons à Passoul le soin de nager à contre-courant… Tiens… à ce propos, voici une nouvelle proposition, jzmn : écrivez-nous donc un prochain « goût des livres qu’on n’a jamais lus »… Vous feriez un carton, pour vous relancer au Mercure… Et du reste, on pourrait vous donner pas mal d’idées, icite, ma soeur et moij par exemple. Hein ? Quid ? Bàv,
encore aujourd’hui les médias français parlent d’Elon Musk qui a dézingué l’USAID, dans le Monde on lit que Musk a supprimé l’aide humanitaire pour les pays pauvres, ce qui est absolument faux, sauf qu’ils évitent de faire la liste des aides qu’il a supprimé.
c’est dommage partce que dans cette liste des dépenses on trouve des trucs très drôles du genre 20 millions pour des opéras transgenres en Colombie, 10 millions pour les lgbq au Nicaragua, 1 million pour des donuts au citron de Starbuck, le top c’est des trucs du genre 20 millions de dollars pour des préservatifs pour l’Afghanistan…
après il y a des trucs moins drôle comme le pognon donné à des médias comme Politico.
on voit que ce pognon c’était juste un truc mafieux.
et voilà ! sauf que là encore les français n’en pas idée parce qu’ils lisent des journaux comme le Monde.
et là on se dit vivement que l’IA remplace les journalistes !
SCOOP GEOPOLITIQUE
Des rumeurs basses, venues de très haut, confirment que Le Gros Canard Blondinet a décidé de virer -par la force de sa bonté- tous les canadiens blancs à GAZA et tous les survivants gazaouis au CANADA, Québec compris.
Merci ZEUS !
(Jupiter Jocris, pantin blafard, prends-en de la graine)
heureusement que l’IA nous a déjà remplacé le monde du puck ! Hein ?
Tiens tiens tiens voilà du keupu et ses frères
« Inonder la zone de merde ! »
La formule est de Steve Bannon, l’ancien stratège en chef de la première campagne électorale de Donald Trump, et tête de pont de l’Alt-Right américaine (extrême droite). En moins imagé : être la voix la plus scandaleuse pour être au centre de l’attention médiatique et des débats politiques.
Mais les faits sont têtus …
Le léZard a vu non sans déplaisir une romance virile en Pays de Loire.
On va pisser un coup et on se calme, JJJ.
A propos de « la gauche », Michel Onfray:
« Au bout du compte, tout ce beau monde finit par voter pour Macron ».
On va pisser un coup
Ipeupa
Cher Lézard, nous pissons joyeusement, nous autres les bolos d’Europe !
L’admirable Gigi, elle, urine !
« un fait divers faisandé »
Vous tirez trop vite et lisez mal, JJJ.
Je ne parlais pas du fait divers mais de l »étrange cérémonie d’aujourd’hui en l’église de Saint-Maximin (Var).
Rituel chrétien ou païen.
« dont on n’a rien à f., à la RDL ? »
De quel droit parlez-vous au nom de tous ?
ouai Jeannot Lapin les faits sont têtus, encore faut-il y avoir accès aux faits.
refiler 20 millions de dollars en préservatifs pour l’Afghanistan ou pour des opéras transgenres en Colombie avoue que comme faits, ça vaut le coup d’être connu.
moi c’est le genre de fait que j’adore, du coup je ne comprends pas que le Monde n’en parle pas, ça égayerait la vie de leurs lecteurs.
comme dit passou « ce dont les français n’ont pas idée… »
tu devrais plutôt me remercier ingrat que tu es !
Moi, je ne m’en fous pas.
Pas plus que de la gamine de 11 ans retrouvée morte ce matin dans un bois l’Essonne.
La France est devenue un jeu de massacre. Il faut destituer Macron, le juger, et passer à autre chose.
Moi j’estime incarner la RDL, à moi seul et sauver son honneur, c’est clair. Les autres grincheux n’en font pas vraiment partie. Pisse à la raie. Je donne toujours de bons conseils et fais des remarques avisées. Beaucoup en profitent sans le dire. Préfèrent lui tomber sur le poil, ça les exonère de ne pas pratiquer leur autocritique.
La moche gigi, comme une guenon, plus elle monte haut sur un arbre, plus elle fait paraître son sale derrière.
Sauf quand Assouline te mouche.
son sale derrière.
Son meilleur résumé.
Enfant assassinée. Même provenance.
les guenons passant « des journées entières dans les arbres » ont toujours le cul propre. Rien à voir avec les barons haut perchés qui croassent mais laissent tomber leur proie, pour peu qu’on les pablotise un brin. Next.
Mais le fait que le projet de Trump, en légitimant la force comme fondement du droit, compromette aussi l’identité démocratique de l’État juif, ne semble pas gêner le clown blanc qui sévit ici avec des post déshonorants.
« Au bout du compte, tout ce beau monde finit par voter pour Macron ».
Au second tour, quand le choix se pose entre un parti plus à droite que la droite traditionnelle et le parti présidentiel, Onfray vote pour le premier, il vote blanc? Est-ce qu’il le dit?
Puck, à propos de L’USAID, j’en suis restée à 3 mois de gel total pour faire du ménage. Le fait est que les aides accordées au LGBT dans les pays pauvres et transition seront supprimés .
Chicago, mon amour, 💗
https://images.app.goo.gl/L4AVt3cw1HnG5QKu5
je n’avais jamais imaguné que les petits singes ‘videos internet) aient tant besoind’affection et de communication
imaginé
mais si j’écrivais « imagynation « ça l’fait?
OEIL POUR ROSE/
https://www.willemsefrance.fr/products/coreopsis-oeil-de-jeune-fille?variant=40868167385224
MAIS VOUS TROUVEREZ AUSSI
OEIL DE PAON
Grandes fleurs de 15 cm !
Ses très grandes fleurs magnifiques de 15 cm de diamètre, au cœur poudré de rouge et de jaune, se déclinent dans de nombreux coloris vifs : rouge, orange, rose, blanc, jaune…
Ses dessins rappellent ceux des plumes caudales du paon. En mélange de coloris.
mon oeil!
Il arrive parfois que, ne croyant pas les récits d’une personne, on lui adresse cette expression : « mon oeil ! ». L’emploi de celle-ci signifie à notre interlocuteur qu’on ne le croit pas. Il s’agirait d’une forme plus concise de « il n’y en a pas plus que mon oeil », datant de la fin du XIXe siècle, et utilisée pour montrer que l’oeil ne perçoit rien, donc que ce que nous dit la personne doit être faux.
Les réseaux pédocriminels sont très puissants et leurs membres se recrutent surtout dans les milieux politiques, financiers et artistiques. Ils se tiennent les coudes entre eux, les salauds.
Les enfants assassinés, leurs corps martyrisés et jetés dans des endroits souvent éloignés des villes et des cités, sont leurs victimes qui démontrent juste la sinistre partie émergée de l’iceberg.
Il y a des listes de personnalités publiques françaises appartenant à ces réseaux sordides établies par d’anciens hauts fonctionnaires des services de sécurité qui ciruculent sur le net. Jetez-y un coup d’oeil. C’est monstrueux !
Quand l’immonde élite corrompue massacre les innocents…
Oui, B, vous votez pour la destruction du pays, pour une forme d’extrême droite déguisée qui réduira l’Europe en esclavage.
Montaigne
» « Je ne cherche dans les livres que le moyen de me donner du plaisir pour une honnête distraction, ou, si j’étudie, je n’y cherche que la science qui traite de la connaissance de moi-même – et une science qui m’apprenne à bien mourir et à bien vivre. »
Je cuide
Votre premier œil de jeune fille est pour moi la gaillarde, mais qui sait ?
La gaillarde
https://images.app.goo.gl/K841A71Pcgyhing6A
Si vous développez, je comprendrais un peu mieux. Excusez moi mais je rencontre encore des difficultés à opter pour le RN au second tour. Quant à cette fillette, je ne vous pas en quoi Macron devrait être tenu responsable des pédophiles et autres pervers qui sont en liberté, rien ne dit de plus pour le moment qu’un OQTF soit à l’origine de ce drame.
L’enfance assassinée.
« Les enfants assassinés, leurs corps martyrisés et jetés dans des endroits souvent éloignés des villes et des cités, sont leurs victimes qui démontrent juste la sinistre partie émergée de l’iceberg. »
On ne sait pas/ on ne comprend pas, comment cela est possible.
Cela m’est.
Cela l’est, possible.
B, nous tous ici que n’avez pas toute votre tête.
Ne pas voter Macron, ce n’est pas voter RN.
Retailleau avec son programme de culpabilisation est à côté de la plaque tournante du gros business des drogues, il pourrait en effet responsabiliser les consommateurs occasionnels, les autres, les toxicomanes ont besoin d’une prise en charge adaptée, comment croire que sur simple volonté l’un d’eux puisse se sortir d’une addiction pour laquelle de plus n’existe aucun produit de substitution, les mafias saupoudrant le monde. Au USA, outre la cocaïne, les diverses drogues de synthèse, il leur faut contrer la Chine, grande pourvoyeuse de Fentanyl.
Chaloux, oui , quant à la vôtre a t elle été un seul jour bien vissée ?
Vu son patronyme, l’assassin de la petite fille n’est pas originaire du royaume de Suède.
vrai?
aptrs la « vraie image » (veronique)
voici
l’oronge, oui, mais la vraie!qui rime avec songe:
Elle est aussi couramment nommée oronge vraie, par opposition à la toxique fausse oronge, autre nom de l’amanite tue-mouches (Amanita muscaria) dont le chapeau rouge peut prêter à confusion.
Si vous developpiez, votre remarque dee d’extrême droite déguisée ? Je vois simplement que les parts d’extrême droite gagne du terrain en Europe sans avoir besoin de déguisement, aussi la droite tradi tente t elle de satisfaire ceux qui seraient tentés par cette option en proposant des projets qui se rapprochent des projets de ces partis d’E Dte.
Gagnent.
apres
à quand mon vrai ordi?
Chaloux, j’ignorais qu’il ait été identifié. J’ai vu ce matin qu’une fillette avait été retrouvée morte .
ROSE/LA GAILLARDE EST POUR moi une danse:
La gaillarde est une danse de couple à trois temps (en mesure
,
ou
) apparue en Lombardie vers 1480. Face aux basses danses plus solennelles, elle gagne rapidement du terrain et devient une danse de bal très appréciée au XVIe siècle, suivant ordinairement la pavane dans les suites de danses.
Parfois appelée « romanesca » (c’est-à-dire alla maniera di Roma), elle se répand dans toute l’Europe entre 1550 et 1650. Liée au saltarello ancien et apparentée au tourdion, dans une forme plus lente et plus élevée, elle comporte cinq pas (cinque passi) de base : trois « sauts mineurs », un « saut majeur » et une « cadence ». Fabritio Caroso (1581) et Cesare Negri (1604) furent les premiers à la décrire.
B, je ne suis pas votre aide à domicile. Veuillez contacter les services sociaux de votre commune.
Hurkhurkhurk!
et on réserve pour le mot de la fin
brive la gaillarde;
la Foire du livre, est l’une des manifestations culturelles les plus importantes de l’année, le second évènement littéraire français après le Salon du livre de Paris selon la mairie89. La Foire est l’occasion de la remise du prix de la langue française. Elle réunit chaque année des centaines d’auteurs touchant à tous les genres littéraires. Jean d’Ormesson était le président lors de la première manifestation, en 1982. En 2008, c’est Frédéric Beigbeder qui était aux commandes, marquant la volonté municipale de renouvellement et de rajeunissement de cet évènement majeur de la rentrée littéraire. Chaque année, la Foire est ponctuée de spectacles, rencontres, lectures et autres
,
Chaloux, l’âge sûrement vous améliore bien qu’ici rien de cette bonification ne puisse être enregistré. Complément conne votre remarque.
Enregistrée.
Pauvre B, pourquoi vous fournir des preuves que vous seriez bien incapable d’évaluer? Soyons sérieux !
13.58 je ne suis pas votre aide à domicile. Veuillez contacter les services sociaux de votre commune.
et voilà comment les pédocriminels présumés, faits comme des rats, s’en sortent toujours à la fin…
Cela vous étonne, B.?
Mon oeil de Suzanne, etalii & r^z :
https://www.bhg.com/gardening/plant-dictionary/vine/black-eyed-susan-vine/
Soyez série si vous voulez, ce que vous pensez m’indiffère, ce que vous êtes me dépasse, vous avez tout à fait raison, aussi je vous souhaite un excellent weekend en compagnie des gens qui vous meritent.
Serieux.
lecteur
au faiy, Mutiel Barbéry a eu le prix des lecteUrs de la ville de BRIVE
https://fr.wikipedia.org/wiki/Foire_du_livre_de_Brive-la-Gaillarde
*merci, pour me donner l(occasion d’évoquer
L’Histoire « de Suzanne et les deux vieillards » dans la littérature juive [article]
sem-link Israël Lévi
https://www.persee.fr/doc/rjuiv_0484-8616_1933_num_96_190_5792
Muriel Barbery n’est ni Bossuet ni Saint Simon, mais notre siècle s’en contente. MC
Pierre Assouline, merci de bien vouloir calmer le gros étron dés Charentes. Etre bourré n’est pas une excuse.
Suzanne suite
https://fr.wikipedia.org/wiki/Suzanne_et_les_Vieillards_%28Rembrandt%29
MC
merci;
MURIEL était sur la page de la RDL;that’s why
Eh bien la justice en France !
https://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/3963060771986914/lurssaf-devra-payer-56-000-e-a-son-ancien-inspecteur-avignonnais-qui-avait-denonce-des-fraudes
La petite fille, onze ans d’âge s’appelle Louise. À onze ans, on est une enfant.
Croyez-vous que nous pourrions avoir cette leçon ?
Au Collège de France, le metteur en scène Wajdi Mouawad fait couler le sang pour sa leçon inaugurale
Sollicité par l’historien Patrick Boucheron pour intervenir […]
À onze ans, on est une enfant.
OUI. ROSE
Copié/collé sur le Monde.fr
« Au Collège de France, le metteur en scène Wajdi Mouawad fait couler le sang pour sa leçon inaugurale
Sollicité par l’historien Patrick Boucheron pour intervenir «
Merci, je cuide. Sur l’avis du fait divers est écrit une jeune fille, puis une adolescente.
Même lorsque l’on commence a avoir ses règles, on n’est pas encore une adolescente. Treize ans, je dirai.
@puck dit: 8 février 2025 à 11h36
ouai Jeannot Lapin les faits sont têtus, encore faut-il y avoir accès aux faits.
Deux faits établis : Gaza ressemble à un « chantier de démolition » avec 50.000 morts dedans et 2 millions de survivants, et Netanyahu a offert à Trump un « bipeur » en or
@avec 50.000 morts dedans
Dont une majorité de femmes et d’enfants selon l’ONU
Fait établi : la balance commerciale des EU est déficitaire avec le Canada, le Japon, la Chine, l’UE
tpse,avez vous été inspirée en remarquabt que FALCONE
était de Palerme?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Giovanni_Falcone
ZUT
Rose , remarquant
@renato dit: 8 février 2025 à 12h40
Mais le fait que le projet de Trump, en légitimant la force comme fondement du droit, compromette aussi l’identité démocratique de l’État juif, ne semble pas gêner le clown blanc qui sévit ici avec des post déshonorants.
Voulez-vous signifier (l’insinuation ne vous ressemble pas …) que Trump menace la démocratie de l' »Etat juif »
?
la chose qu’il faut bien précisé, parce que dans ces affaires il faut toujours être précis, d’autant que cette précision est assez drôle, du coup une précision c’est important, mais une précision drômle c’est doublement important, donc cette précision drôle c’est que pour faire cet audit des dépenses d’USAID, notre ami Elon a pris une petite équipe de 3 petits génies, des hackers de 19 ans : Elon et ses 3 hackers sont en train de mettre un b.rdel dans l’administration américaine comme ce pays n’en a connu.
les américains ont mis Trump au pouvoir parce qu’ils ne savaient pas où filaient leurs impôts ils ne vont pas déçus du voyage : pendant que nos petits c.ls serrés se lamentent sur l’identité de la démocratie on a 80 millions d’américains qui se bidonnent.
il existait déjà la notion de « transparence » avec Trump on est passé à l’hyper transparence : comment tout savoir sur le deep state.
sérieux qui ne rêvait pas de voir un jour une mise à nu de l’état profond américain ?
on avait déjà eu Assange et Snowden, maintenant on a Elon.
par contre le truc marrant est de voir la peur panique que provoque cette mise à nu de l’état profond américain, même en France.
en fait les gens n’aiment pas la transparence, même ceux qui clament haut et fort leur amour de leur démocratie, ils préfèrent les petits secrets d’état.
les défenseurs de la démocratie et de la liberté de l’UE ont déjà dit que si les élections en Allemagne n’allaient pas dans le sens qu’ils voulaient ils feraient comme en Roumanie et en Moldavie.
c’est fou de voir où ça peut amener l’amour de la liberté et de la démocratie, comme en l’Ukraine : on va donner des armes et vous allez vous faire massacrer dans les tranchées par amour de la liberté et de la démocratie pendant que nous on reste bien au chaud à regarder LCI !!!
c’est magnifique de lâcheté.
Incidemment, à propos de l' »Etat juif » :
« La population israélienne a dépassé les 10 millions d’habitants en 2024″
Toutefois, l’année a également été marquée par un nombre inhabituellement élevé d’Israéliens – 82 700 – qui se sont installés à l’étranger.
La population d’Israël a dépassé les 10 millions d’habitants en 2024, selon les données du Bureau central des statistiques (CBS) publiées ce mardi. Toutefois, l’année a également été marquée par un nombre inhabituellement élevé d’Israéliens qui se sont installés à l’étranger – 82 700.
La population d’Israël s’élève à 10,027 millions d’habitants à la fin de l’année 2024, dont 7,7 millions de Juifs, 2,1 millions d’Arabes israéliens et 216 000 étrangers. (…) »
et l’autre CDBF qui implore l’aide de Passoul… Pitoyable, vous dis-je !… quand on sait d’où il sort. – ‘Magnifique de lâcheté’, avez-vous dit, pk ? Tchin … à tous les pédocrim des culs de basse fosse, qu’ils aillent se faire rembourser chez le doyen Grouès, par la fondation interposée qui a changé son label, mais pas son combat. La douleur n’a pas de prix, même au civil, contrairement à ce qu’on aimerait vous faire accroire. – Il parait que le marché des Tesla en Europe commence à s’effondrer. Encore une fake new de deep throat, sans doute ! –
@ etalii, un peu de droit civil pour terminer votre journée culturelle, au cazou…
https://www.dictionnaire-juridique.com/definition/pretium-doloris.php
@La population d’Israël s’élève à 10,027 millions d’habitants à la fin de l’année 2024, dont 7,7 millions de Juifs, 2,1 millions d’Arabes israéliens et 216 000 étrangers. (…) »
Source : https://fr.timesofisrael.com/la-population-israelienne-a-depasse-les-10-millions-dhabitants-en-2024-cbs/
Les 250 à 300.000 français vivants en Israël sont-ils comptabilisés comme étant juifs, arabes ou étrangers et, le cas échéant, dans quelles proportions ? L’article source est lacunaire sur ce point
C’est la chimio ou l’affaissement définitif des lobes?
@Les 250 à 300.000 français vivants en Israël
Quoi qu’il en soit, à la dernière élection présidentielle française, une très large majorité de votants aurait élu Zemmour président dès le premier tour ; un trait singulier parmi les français de l’étranger, selon le ministère de l’intérieur
assez d’occas ,et de 2 MAIN merci,JE VEUX DU 9
bonsoir
Les piles, il vaut mieux les acheter neuves, vous avez raison, je cuide ; bonne soirée
PERORER SUR « JE CUIDE » (CUIDER), à la mémoire de MàC sur son cheval d’arçon… (d’après ACS, p. 162 sq)
***CUIDER (sujet) – cogitare -> croire, penser
dériv… : présomption présomptueuse ou orgueil, par excellence
– se croire,
– outrecuidance
***CUIDER (verbe) – prendre sa croyance pour un savoir
– croire savoir
***CUIDER (état et moraline) – aveuglement des fanatiques et parfois des militants (le diable en nous qui arme les bourreaux)
– le contraire de la liberté
***SE CUIDER : se méconnaître, et son contraire socratique,=> se connaître soi-même,
etalii… hein ? Pas vrai ?
«… compromette aussi l’identité démocratique de l’État juif… »
Ouvrir un dico et chercher :
le verbe « compromette » ;
l’adverbe « aussi » ;
le nom « identité ».
surtout les Dures à la Selle, les piles… 🙂
Comme dans les CDBF, elles durent plus longtemps… Bonne soirée, l’épile poils ! (19.59)
(« Duracell Bunny » était le surnom de Sarkosy en des temps pas si lointains)
Merci, renato, je vous invite à profiter de la présence ici de Monsieur Charoulet pour guider vos recherches ; je vous prie de n’en pas rester à une « identité démocratique de l’Etat juif » qui m’apparaît au mieux comme une contradiction dans les termes, au pire comme l’expression d’un cynisme prêt à s’accommoder de tous les crimes, du genre « obtenir la paix par la force » ou encore « le travail rend libre »
Selon le sociologue Zygmunt Bauman, une société liquide est une société où ni le travail, ni l’amour, ni l’amitié ne sont des structures solides. Tout devient éphémère. Que révèle cette théorie sur la société ?
Le « Duracell Bunny »
Va donc te coucher, vieille loque.
Conservez vos invitations et surtout vos interprétations !
@«l’identité démocratique de l’Etat juif »
Ainsi soit-il ; je me contente d’épingler
Je me demande si Monsieur Chatloup n’est pas amoureux de celle qui signe B. (Brigitte ?)
merci de bien vouloir calmer le gros étron dés Charentes,
Je sais qui c’est, maintenant : Monsieur Jeanzèbe.
Dans cette noyade de crème de Golem, une proposition : un Bouguereau
Cette Donna Ricaud-Veyre est sacrément casse-couilles. Je plains son mari Dédé l’Endive !
La Bande de Gaza deviendra selon Trump une nouvelle Riviera !
Et ces ploucs de gazaouis ne sont pas contents ! Ah les capricieux.
J’ai bien vu , Je cuide, étant moins inattentionne que d’aucuns le disent. Et ce n’est , somme toute, pas la pire. Simplement, l’envie me prenait de raccrocher les wagons de première classe St Simon et Bossuet…
Er en comparaison, elle pèse peu.
Vous êtes très drôle, Monsieur le Baron Perché. Je me sens bien avec vous. Continuez, je vous en prie.
Eh puis j’ai un gros faible pour les nobles. Moi même, je suis une Ricaud de Mouthon. J’écris rarement mon nom entier. Mon mari Malo est noble également : le comte Malo Veyre de Stradiole.
Le magnifique château de Stradiole est le fief de cette illustre branche. Une autre branche des Veyre possède le château fort du Ralex.
Rain Trailer, Anne Teresa De Keersmaeker, Paris Opéra Ballet
En attente de modération pour un lien vers l’opéra de Paris c’est le top!
D’ Etienne de Montety,mieux inspiré d’ordinaire. On apprend in Le Figaro Littéraire à propos d’un roman cornélien que les vers qui sont cités « de La Veuve, Heraclius, et Rodogune », sont tirées de « ses pièces les moins connues »! C’est à désespérer le Voltaire du Huron et le Villegier qui monta l’autre à l’ Athénée, sans parler de Corneille lui-même dont la Veuve fut un joli succès….
Mais qu’est-ce qu’il raconte ce folliculaire gothique de MC ?!
On dirait une gargouille pseudo-érudite qui ressasse ses souvenirs moyenâgeux !
En son atelier
https://www.rivagedeboheme.fr/pages/arts/peinture-19e-siecle/william-bouguereau.html
OVALIE, Ô OUI !
L’après midi d’hier fut somptueux d’ovalie télévisuelle sur la Chaine 2. Il pleuvait dehors, ici, le soleil égaré dans des nuages noirs défilant avec force par vent d’est. Que faire ?
Se planter devant l’écran et savourer sur canapé les deux matchs de Rugby à XV du Tournoi des Six Nations, ITALIA-WALES puis FRANCE-ENGLAND.
Bonheur simple. Des milliers de fans assemblés dans deux grands stades bourrés à craquer de mammifères supérieurs, unis dans ce partage qui rappelle à tous que le bon sens visible du vivre ensemble en paix, c’est bien la Sport dehors et pas les pitres de l’Assemblée Nationale, pauvres farfadets de l’ombilic.
Le succès, vite oublié, des JO à Paris n’est pas mort. Le sport est nécessaire aux peuples fatigués par les combats des nombrilistes démocratiques et populaires qui subissent l’ennui du mensonge.
Vive le sport, camarades !
@Mais peut-on partager la nostalgie de l’auteur pour la langue à son meilleur, dans l’éclat et le génie hérités du Grand siècle, sans pour autant regretter Versailles ?
______
Bonjour Passou,
A la lecture, et de votre chute, et du charabia débile de ceux ici qui se réclament de cette coterie à des fins idéologiques bien marquées identitaires et nationalistes, force est de constater qu’ils n’en n’en maîtrisent pas l’expression écrite.
Un pourrissement tout aussi dommageable de cette littérature dite classique se constate dès la restitution qui en est faite à l’école, première prescriptrice de ces textes.
Il est intéressant de lire dans l’article suivant que l’intérêt manifesté par des élèves, ceux qui lisent encore la littérature dite imposée est motivé par autre chose que le texte. Vous souvenez-vous de » L’esquive « ?
« Comment se fait-il qu’on puisse réussir à l’école en lisant peu les œuvres imposées et échouer, parfois, en les lisant beaucoup ? Tout d’abord, parce que lire une œuvre a en effet peu à voir avec la consignation méticuleuse de données narratives, et l’école a tendance à l’oublier. Le lecteur circule toujours de manière singulière dans une œuvre, il y projette son histoire et ses fantasmes, occulte certains détails pour progresser dans sa lecture, retient tel passage plutôt que tel autre. »
https://theconversation.com/ne-pas-lire-les-livres-imposes-au-college-ou-au-lycee-cest-grave-247403
Sauf votre respect, remballez vos vieilleries Passou, on s’en tape, mais grave.
L’assasseure est de plus en plus débile.
Voyez-vous Passou, il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que mon commentaire fasse réagir ce type de » collégien « .
Les autres auront compris mon commentaire sur Ambroise Paré.
Bon dimanche, cher Passou.
Elle doit être laide à faire peur. C’est là tout le secret de son cerveau malade.
À l’évidence, quelque chose n’a pas fonctionné, depuis le début.
Bon dimanche, vieille carcasse à la renverse.
L’huissier véreux a une imagination qui lui ressemble, bien limitée. Tant de balivernes ordurieres masquent mal un déficit de connaissances de ce « papa m’a dit « nourrit par des croyances, toutes plus débiles les unes que les autres.
_____
Marie Sasseur dit: 4 février 2025 à 6h44
Le lien donné sur le livre de J-M Delacomptee » Ambroise Paré, la main savante » est une curieuse defense-illustration de l’autodidacte, patience obligation s’agissant de médecine car il ne causait ni latin ni grec, et quand il s’agit d’un chirurgien il faut y regarder à deux fois, surtout si l’auteur ambitionne de faire entrer son sentiment personnel de l’époque dans laquelle il vit dans celle restituée de A. Paré, ce qui revient à regretter des pratiques d’il y a 4 siècles, Passou, 4 siècles ou les » chirurgiens » étaient aussi barbiers ?
C’est pas du charlatanisme assumé, ça ?
De l’amateurisme dangereux ?
« Paré l’artisan, c’était le contraire de la tendance moderne à morceler l’homme en segments toujours plus fins, décomposé à l’infini par les vertigineux progrès du matériel médical qui risquent, chaque jour davantage, de le perdre dans les expertises qu’ils produisent et l’anonymat qu’ils provoquent. »
Retenons que Delacomptée est plus un fictionneur de biographie.
nourri
Marie Sasseur dit: 4 février 2025 à 10h02
Je commente le billet de Passou, qui nécessite plus de temps que je n’en dispose pour contester tout cet anachronisme moralisateur, et passeiste, hein Passou.
Avec de l’obscurantisme en bonus, comme il revient en force, à dezinguer la science; remember ce sujet de Levi-Straus, au bac philo, qui misait tout sur l’apprentissage et mettait à la poubelle de l’histoire, toute la théorie nécessaire à la pratique.
Alors dire avec Delacomptée qu’avec Ambroise Paré, c’était mieux avant, faut pas exagerer !
Rien à ajouter.
L’assasseure est incapable de voir que son obsession de ruptures est son symptôme.
MC, ne nous dites pas que La Veuve, Héraclius et Rodogune font partie des pièces les plus connues de Corneille!
J’ai étudie Rodogune au Lycée, mais nous étions une exception…
« En attente de modération pour un lien vers l’opéra de Paris c’est le top! »
Oui, moi aussi j’ai eu des commentaires envoyés au purgatoire, sans aucunes raisons, renato.
Le modérateur automatique doit être dérangé ?
@ 6.39 // « force est de constater qu’ils n’en n’en maîtrisent pas l’expression écrite » (sic, nan-nan).
anéfé, cf. la suite…
@ « remballez vos vieilleries Passou, on s’en tape, mais grave ».
Heu ? non, rien…
*** UN DIMANCHE ENFANT PHARE…, il fait gris. Les pédocriminel.les des blogs littéraires vont encore devoir remballer leur marchandise… La petite Machin n’aurait pas été violée par d’affreux arabes suédois… A qui se (dé)fier, hein ?
(HUMOUR NOIR TRES TRISTE. Désolé pour les parents sains…)
Nous pourrions faire un feu de joie avec tous les livres de la BN antérieurs au 20 ième siècle, y ajouter les tableaux du Louvre et d’Orsay et transformer Versailles en lieu d’accueil pour migrants. On a eu bien tord de foutre en l’air des millions pour restaurer Notre Dame; on aurait dû raser les ruines et construire des HLM.
En finir avec l’amour du passé, tuer la nostalgie identitaire et nationaliste, voilà un avenir radieux!!!
avoir tort, sorry
8.06 Je n’ai pas eu la chance d’étudier Rodogune… Mais ce nom m’avait toujours frappé. Je l’avais fait rimer dans l’un de mes fameux poèmes (Belle Rodogune ! ma biche brame au clair de Lune)
De quoi cela cause-t-il, au juste ?
8.23 Cette vulgarité d’écriture n’est pas dans vos habitudes, Cl, ni le contenu de votre message, vous qui aviez jadis montré tant de gratitude envers l’œuvre de François Mitterrand. J’en suis fort étonné, n’auriez-vous pas été trollé, par hasard ?
Tout le monde a connu, connait ou connaitra le purgatoire, jzmn… Y compris Passoul dans ses nombreuses ripostes, très souvent bloquées à son insu. Personne n’y peut rien, les « modérateurs automatiques » (ah, qu’en termes galants ces choses là sont mises !) ont pris le contrôle. Une seule solution : léchons-leur d’abord le cul…, semblerait qu’ils soyent très sensibles à la flatterie ou à la surenchère imaginative dans les invectives. Genre : « gentil modérateur, veux-tu que je te suce la bite ? »… ou bien, « tu l’as vue, la grosse pouffe qui se pique de savoir écrire comme une gorette ? » – Essayer, vous verrez ça marche à donf… Le modérateur, il te les laissera passer sans pb, crois moij. Se laisserait pas dicter sa conduite par un CDBF. Non point, ça ! il est en + très sensible au langage des émoticônes, pas vrai, enkulélé ? si tu y’en mets plein, ça passe 🙂
L’Assasseure avait de gros problèmes avec papa. Pas simple à la maison.
Quant à la Gigi , elle se définit elle-même par ses propos libidineux et obscènes. Suffit de la lire , la pauvre loque, tout ce qui lui reste. La vieille correctrice à dû foutre le camp, l’en pouvait plus de cette vieille chose intégralement molle.
« Les parents sains » doivent être ceux qui acceptent l’assassinat de leurs enfants comme une chose normale, parfaitement intégrée. Pauvre Gigi.
water closet, ce bouffon, sorte de vieux bordella octogénaire, se goure d’église. Notre Dame n’est pas son refuge ni le qg des tradis. Qu’il aille plutôt se mettre à genoux avec les fachos, à st nicolas du chardonnet, bas de casse, là est sa place.
Quant à l’huissier véreux, ce papa-m’a-dit, déjà viré de ce blog pour diffamation publique, il n’y a qu’à considérer ses idoles passées et actuelles, les morand, chardonne, Youyourcenar, Quignard, pour ne pas lui accorder plus qu’il ne mérite, une bonne correction en public.
« Parents sains ».
Je soupçonne l’influence d’un colloque socialiste.
Étant entendu que les parents malsains sont ceux qui ne sont pas prêts à accepter sans broncher l’assassinat et le viol de leurs enfants.-
Je n’ai diffamé personne, j’ai juste voulu savoir. J’y ai beaucoup appris et je ne regrette rien.
On n’arrête plus TTLT
https://tomtomlatomate.wordpress.com/2025/02/09/western-maria-pourchet/
« l’œuvre de François Mitterrand. »
Politique ou littéraire, JJJ ?
Vulgarité d’écriture? Ah bon…
Pour moi c’était juste de l’ironie.
J’aime bien les tomates farcies.
Pas le rugby. Même si je le préfère au football.
« L’œuvre de François Mitterrand ? »
Faire comme Giscard.
Et la Gigi est contente!
Hurkhurkhutk!
Ed, il faudrait que tu montes d’un cran dans la qualité de tes lectures !
DEBAT éventuel @ Ch. P, sur les lectures obligées des djeunes à l’école… (cf. L’intéressant papier signalé à 6.39
Richard Powers raconte dans son dernier roman (Un jeu dans fin, Actes Sud, 2025) que si Rafi et Todd devinrent les meilleurs amis du monde aux destins brillantissimes, c’est d’abord parce que tous deux « fils de pères déconnants et de mères erratiques incapables de maîtriser leur couple » (p. 145), ils devinrent chacun de son côté largement autodidactes, dévoreurs de bouqhuins jamais « conseillés ». Leur statut de parias « fut un gigantesque atout pour leur vie à venir » (id.). « On était tous deux dingues de Tolkien, et de Stars Wars et d’Ursula Le Guin » (id.)…
Powers est un romancier talentueux à l’écoute des mutations et bouleversements de notre mode actuel, et s’il en est souvent accablé, il dépeint cependant toujours des personnages en lutte avec le monde menaçant et avec eux-mêmes, réussissent parfois à redonner de l’espoir insensé, à leur exemple édifiant, à une espèce humaine ayant pris conscience de sa folie destructrice. Ce romancier de 68 ans, sait en outre magnifiquement raconter les troubles intérieurs d’un personnage mentalisant les déboires de sa maladie mnésique, un corps de Lewy à propos duquel chacun pourra se reconnaitre quelque jour, à défaut d’être atteint de la maladie d’Alzheimer (p. 75-76, et autres)
Voici un roman exceptionnel regardant droit devant lui. Je le recommande vivement à celzéceux qui auraient admiré « l’Arbre-monde ». Sinon, passons ensemble notre chemin, si l’on estime qu’un roman n’aiderait jamais son lecteur à vivre mieux durant quelques heures.
@ 9.18, je parlais juste de la bibliothèque nationale (BNF ou BFM – ce n’est pas moi qui l’ai ainsi labellisée…, pas plus que La Pyramide de Giscard, le musée Branly de Chirac ou le Bracelet en Diamants de Sarkozy, et la N6D de Marcon… Meuh,
OK pour l’ironie, Cl…(9.20) Je vous précise qu les « parents sains » (juifs ou arabes, israéliens ou gazaouis) sont ceux qui s’indignent de l’assassinat d’une enfant, dont ils n’auraient jamais eu l’idée de lui faire éprouver le même sort que dans un fait divers survenu dans un pays en paix, quoique menacé par les flux migratoires criminogènes. Du moins j’imagine. Pmp, je ne vois pas très bien ce que le socialisme vient foutre là-dedans, closer.
9.09 Bienvenue, Ed., je vous avais signalée récemment… Grande lectrice… tout le monde n’en peut dire autant, et surtout le démontrer. Sauf erreur, pas de compte-rendu de Michel Onfray sur la vie amoureuse du divin Marquis, chez vous ?… Dieu merci, on en a entendu causer sur d’autres chaines, et cela nous en a rehaussé le niveau général, à n’en point douter. Bonne suite !
De Médias citoyens :
COMMENT FRANCE INTER OSTRACISE 70% DES FRANÇAIS –
Le 04 février 2025, dans la matinale de France Inter, Matthieu Noël se défoule – comme il en a l’habitude – sur la seule figure libérale [en réalité, le journaliste économique est social-libéral] de la radio rouge : « Dominique Seux n’est pas malade sur le plan clinique, il est juste de droite ! » lâche l’humoriste, déclenchant l’hilarité dans le studio.
Ce qui serait considéré comme du harcèlement moral dans bon nombre d’entreprises (humilier quotidiennement un salarié pour ses opinions, ses convictions) est dans le cas présent encouragé par les équipes de la radio publique. D’une manière plus générale, ce sont 70% des Français – tous ceux qui ne votent pas à gauche ou à l’extrême gauche – qui se trouvent raillés, stigmatisés voire mis au ban d’une bonne partie des programmes de la première radio de France. État des lieux d’une ostracisation de service public unique en Europe.
L’ENTRE SOI IDÉOLOGIQUE
Pour pénétrer l’idéologie de La France Inter, il faut prêter l’oreille aux remarques, réflexions et blagues échangées durant les émissions. De La Bande originale (11h à 12h30) à La Terre au carré (14h à 15h) en passant par Zoom zoom zen (16h à 18h), Le Téléphone sonne (19h20-20h), Bistroscopie ou Une semaine en France, certaines répliques ou saillies en disent plus long que n’importe quel discours. Pour les animateurs et chroniqueurs qui animent ces programmes, être de droite représente tantôt une insulte, tantôt une maladie honteuse.
Dans cet entre-soi idéologique, les opinions discordantes sont perçues comme des incongruités, voire des hérésies. Il ne s’agit pas seulement d’une préférence politique marquée, mais d’un rejet actif de toute sensibilité qui s’éloignerait du « progressisme » estampillé service public. Rarement invités, systématiquement tournés en dérision lorsqu’ils apparaissent, les représentants de la droite économique, conservatrice ou souverainiste sont priés de jouer le rôle du méchant de service. À défaut d’adversaires en plateau, on les caricature, on les excommunie, et surtout, on s’assure de ne jamais leur accorder un temps de parole équivalent.
LE CENTRE POLITIQUE SE NOMME « MACRONIE »
Dans cet univers où le pluralisme idéologique semble s’arrêter aux nuances de la gauche, le centre politique n’existe qu’à travers le prisme de la « macronie ». Une terminologie prononcée avec une ironie grinçante, souvent accompagné de soupirs exaspérés ou de commentaires dédaigneux. Dans les studios de France Inter, Emmanuel Macron et ses soutiens ne sont ni des réformateurs ni des modérés, mais des opportunistes déconnectés, des technocrates dénués de sentiments voire des traîtres à la nation. La caricature est omniprésente : un monde manichéen où la droite est réactionnaire et le centre, une supercherie idéologique destinée à masquer un ultralibéralisme débridé.
LE DROITISME, UN PÉCHÉ CAPITAL
Les invités venus défendre des idées conservatrices ou économiques libérales sont rares sur l’antenne. Lorsqu’ils sont conviés, ils sont accueillis non pas comme des interlocuteurs sérieux, mais comme des cas d’école nécessitant rééducation ou raillerie. Ils sont la droite rance, archaïque, celle des « vieux messieurs blancs » défendant un ordre périmé. Le traitement diffère radicalement de celui réservé aux figures de gauche, souvent interrogées avec complaisance et bienveillance.
Si l’on osait établir un parallèle, on pourrait dire que pour certains chroniqueurs, être de droite revient à commettre un crime idéologique, un péché capital à expier publiquement. Les blagues de Matthieu Noël, de Charline Vanhoenacker et de beaucoup d’autres humoristes de la station servent d’outil d’humiliation collective : sous couvert de légèreté, elles rappellent aux auditeurs qu’ici, la droite est l’ennemi.
UNE STATION DE SERVICE PUBLIC, MAIS UNE PENSÉE PRIVÉE
Dans ce contexte, la mission de service public de France Inter pose question. Si la station a parfaitement le droit d’avoir une ligne éditoriale, son financement par l’ensemble des contribuables légitime un certain équilibre. Pourtant, à l’écoute de la programmation quotidienne, le biais idéologique est flagrant (nos posts en témoignent plusieurs fois par semaine). Là où la diversité des opinions devrait primer, c’est une pensée homogène et uniformisée qui domine.
France Inter, qui devrait être le reflet de la diversité d’opinions du pays, s’impose comme une forteresse imprenable de la pensée unique. Un bastion où la droite est moquée, le centre méprisé, et la gauche, reine incontestée des ondes publiques. »
@Arcom._fr @datirachida @ndemorand
Pas besoin de te justifier avec des arguments sans queue ni tête, on te comprend très bien à la première lecture, pauvre Gigi.
Le masque et la plume sur Inter en ce moment.
Pas mal.
Inter, c’est devenu très cul, au sens littéral. Mais le neofeminisme de sa dirigé est peut-être imposé.
De sa directrice générale.
les français n’onyt plus d’idée
et les non français?
Edwige (9.O9) … Qui est Jeanne Thomas, au juste ?
Dommage…, vous avez manqué le meilleur de Maria Pourchet, « Feu ».
On l’a lu avec plaisir et par curiosité à l’égard des femmes de votre génération, les quadras… Et puis, on se dit qu’il est inutile d’y revenir, car ce sera toujours un peu la même chose.
Sinon, vous aviez aussi (d’une qualité bien supérieure à mes yeux), dans la même veine que « Western », par la grande et très étrange Céline Minard : « Faillir être flingué » et « Le grand jeu »… Peut-être les aviez vous déjà croqués ?
Le masque et la plume m’a toujours fait gerber. Tous ces ratés qui viennent se tenir le crachoir.
Tout comme La Tribune du disque. Il y quelques années, une cadre haut placée de FMusique s’est mise à baver sur un l’interprète d’une des grandes sonates de Beethoven, disant qu’on sentait très bien qu’il était au bout de sa technique. Elle se disait pianiste et c’était Guilels.
Le petit livre de Michel Onfray sur Émile Chartier est très instructif. Son Journal inédit atteint des sommets, 200-300 euros. Celui d’Alain.
Oh pourtant, Closer, la tirade de Cleopatre de Syrie en vaut bien d’autres, diérèses à l’appui; « Serments fallacieux, salutaire contrainte / Que m’imposa la haine et qu’accepta ma crainte/ Heureux déguisement d’un immortel courroux./ vains fantômes d’ États, évanouissez-vous « .Et je ne vous parle pas d’ Heraclius dont le « Devine si tu peux et choisis si tu l’oses » est resté dans plus d’une oreille attentive depuis sa création… vous donneriez raison à Passou comme quoi nous sommes incapables de concevoir cette grandeur tragique la…. MC
» Les blagues de Matthieu Noël, de Charline Vanhoenacker et de beaucoup d’autres humoristes de la station servent d’outil d’humiliation collective : sous couvert de légèreté, elles rappellent aux auditeurs qu’ici, la droite est l’ennemi. »
Voir la dernière saillie de M. Noël à propos de l’ humoriste (?) barbu qui a fait récemment scandale sur C de la Cinq,- un Dieudonné de gauche? 🙂 – qui restera quoi qu’il en coûte, dans son émission de France Inter : » il est de chez nous! »
Où comment un bon rouge parle très brun.
@ 9.45 déclenchant l’hilarité dans le studio.
C’est Dominique Seux qui est le premier à rigoler des bonnes blagues qu’on lui balance… Elles assurent sa célébirté et flattent son ego (son Echo ?) – Et Rachida qui écoute religieusement Demorand ou Bassou tous les matins, l’est maso ou quoi ?…
Pmp, iécoute France Inter chaque matin, dans la journée France Musique ou Radio Classique, voire Ici La Rochelle ou Nostalgie. Le soir, j’éocute plutôt que je regarde les trois chaines de Mezzo. Et, je lis le Figaro en ligne tous les jours sur l’internet… Le Canard papier, le mercredi… et mon Sud’Ouest, au café…
Anéfé, je suis très orienté et victime consentente de l’honteuse propagande gauchiste du service public dont je ne sais comment me dépétrer… Il est vrai que je ne fais pas bcp d’efforts pour écouter les pubs d’Europe 1, de CBNews ou les sottises populistes d’Hanouna et consorts… Mais je n’aurais point l’idée d’aller y chercher un grand respect de pluralisme politique et de m’en plaindre. Car de fait, « l’empire Boloré » est devenu le nouvel idéologue du « service public »… What else, de quoi se plaint-on, au juste ?
Le masque de ce jour est consacré aux sorties théâtre… parisien. Bon pour qui cherche un bon plan bientôt…
Mais voilà, c’est bien cet auto-centrisme parigot un peu moisi, qui peut paraître assez vain et inintéressant.
Oui, Chartier était un antisémite de première. Autant aller lire les pamphlets de Céline, plutôt que le journal d’Alain, le bon philosophe du bonheur… Où l’on voit de quoi ressortent les conseils de lecture de notre estimé camarade souvent gerbeux (voir généalogie de ce journal). Doit pas avoir l’estomac bin accroché, bonnes gens, le fiston à son papounet. Haleine de phacochère habituelle, meuh. A prévenir lcé… avec de l’acide acétysalicylique en poudre ou en gelule, trois par jour avant chaque repas, si possible.
10.22 Baddou Ali, sorry… Que je le préfère à Nico Demorand, du reste.
Si l’on veut être ironique, closer, il faut être circonstancié, sinon ce n’est que de l’humour, qui n’est pas toujours chic-élégant-côtelette. Par exemple : « Dans les années qui suivirent immédiatement l’invention de Gutenberg, l’art de l’imprimerie se répandit rapidement en Italie ; rien qu’à Venise, il y avait plus d’imprimeurs-éditeurs que dans le reste de l’Europe. Imprimer des livres et les vendre semble plus pertinent pour expliquer la fortune de l’humanisme à Venise qu’acheter et vendre des soies et des épices, au mépris de toutes les sornettes pseudo-humanistes claironnées par des chacals intellectuels et des bonimenteurs contaminés par les absurdités idéologiques et les préjugés qui ont fleuri au XXe siècle — politiques, sociologiques, etc. —. Enfin, Venise était un environnement où l’on pouvait adapter une histoire… un peu comme Londres dans les années 1960… comprendre la comparaison n’est pas strictement nécessaire… Comme il y avait des imprimeurs-éditeurs, les livres étaient imprimés à foison. Le résultat de toute cette impression ? L’accès à un mode de vie, certes, mais aussi beaucoup de bibliothèques dont le ministère de la Culture doit s’occuper… comme s’il n’y avait pas déjà assez de vestiges d’un passé plus que mouvementé… ne nous attardons pas à les énumérer… Et les coûts ? C’est un casse-tête, car plus les coûts sont élevés, plus la marge bénéficiaire est faible : entretien des musées, bibliothèques, églises, places, bâtiments historiques, jardins, ruines ; œuvres plus ou moins importantes collectionnées par des excentriques aimant la solitude (un de mes amis, historien, a trouvé un Poussin mal protégé de l’humidité dans un village reculé des Apennins ligures) ; des livres rarissimes produits sur commande peu avant le XVIe siècle, ou si l’on préfère dans les dernières années du XVe, par des évêques fous qui n’étaient pas assez hérétiques pour être envoyés aux infidèles ; des incunables conservés dans les sacristies de petites paroisses assiégées par les rizières — inutile de dire que le papier et l’humidité ne font pas bon ménage —. Et les travaux publics ! Il faut des années pour construire quelques mètres de métro, car on peut trouver soit une carrière de gorgonzola, soit quelque chose d’incroyablement ancien qu’il faudra restaurer et préserver… et ainsi de suite… Bref, l’entretien de tout cela est trop coûteux pour qu’en vaille la peine, pas étonnant que certains considèrent le patrimoine culturel comme une malédiction. »
« La Pyramide de Giscard, le musée Branly de Chirac… »
Non, la Pyramide c’est encore Mitterrand, JJJ, tout comme l’opéra Bastille.
Giscard, c’est le musée d’Orsay.
Ic, c’est pas le masque et la plume !
C’est le masque et la grenade.
Demander à une radio de service publique d’être vraiment pluraliste ce n’est pas donner quitus à d’autres service d’ informations privés.
Arrêtez donc JJ-J de nous faire la leçon.
Comme j’écoute uniquement la radio publique, ce matin même, la journaliste – Madame Bécard ?, à neuf heures, parlant de la non adoption des motions de censure au parlement, s’est quand même payé le luxe de descendre le Premier Ministre Bayrou, taxant cet acte parlementaire d’échec d’ une politique que l’on ne peut nommer…
Plutôt que d’informer, cette « journaliste » juge et donne son avis.
J’ai étudie Rodogune au Lycée, mais nous étions une exception
Je confirme, c’est qui quoi que ce Rodogune? Je garde le souvenir de beaucoup d’ennui en cours de français passée la troisième, il me semble avoir gardé la même pro qui ne parvenait pas à passionner ses troupes ni meme à les motiver ou insuffler l’amour des belles lettres. Je crois avoir commencé à lire après 20 ans, sans rien comprendre, il s’agissait de lire le plus de pages possibles. Puis avec intérêt, un attachement au style plus qu’au contenu, ensuite j’ai du forcer quelques serrures et me voilà éprise de Claude Simon mais il est vrai que le cimetière n’est très éloigné de ma propre fin. C’est tout de même un bon résultat, non?
Il s’agit du livre de Michel Onfray, non du Journal d’Alain. Cette pauvre Gigi ne sait jamais ce qu’elle lit. Les lobes ont dû encore se dégonfler de trois bons centimètres.
G. Sand était-elle pianiste? etc.
@ »De Médias citoyens »
quand Julain Assange entre dans la danse : wikileaks révèle de l’USAID servait à financer 4.000 médias et plus de 9.000 journalistes à travers 30 pays etc…
à ce niveau il faut trouver un autre mot que celui d’ingérence…
il parait qu’à une époque il existait des journalsites indépendants, animés par leurs convictions, aujourd’hui le meilleur des journalistes n’est guère meilleur que le pire des influenceurs.
Benesteau /// Mensonges freudiens (2002)
Je découvre l’existence de cet auteur clinicien, et ne me souviens pas si Onfray s’en était inspiré…
En dehors de feu l’idolâtre et très impartiale Mme Roudinesco-Macchiocchi, quelqu’un l’a-t-il lu, et si oui, qu’en a-t-il pensé ? Je n’arrive pas à m’en faire une idée précise, faute d’être un familier, mais aurais plutôt tendance à le suivre. La fiche wiki retraçant les polémiques suscités n’aide pas trop à y voir clair.
https://www.persee.fr/doc/bupsy_0007-4403_2003_num_56_467_15267_t1_0732_0000_2
Ic, c’est pas le masque et la plume !
sans l’ Arnaud vivant, heureusement! 🙂
Le nouveau « président » syrien, ancien jihadiste de Daesh recherché par la CIA, sera bientôt accueilli par Trump à Washington ! LA consécration !
Le jihadisme mène à tout, même à la Maison-Blanche !
Ils sont forts ces Amerloques.
les types voulaient faire croire que l’USAID était une organisation qui servait à financer la vaccination en Afrique ou l’aide aux pays pauvres, alors qu’ils sont en train de découvrir que ça cachait le plus gros système de corruption de l’histoire des US.
chaque jour de nouvelles corruptions apparaissent au grand jour qui vont de la femme évêque catholique qui a fait un sermon anti Trump le jour de son élection (50 millions de dollars) à la famille Bien (1 milliard de dollars) en passant par tout un tas de trafiques montrant que lezs pires régimes bananiers sont plus sains que ce pays.
Et, je lis le Figaro en ligne tous les jours sur l’internet…
Moi aussi!
Je ne lis plus Le Monde ( 40 ans d’assiduité rompue).
.)
Mais le seul hebdomadaire que j’achète : FRANC TIREUR!
Et encore je ne suis as entièrement d’accord avec tout ce qu’ils disent.
FRANC TIREUR!
JJ-J, à lire notamment le très instructif article sur le glissement rédactionnel vers l’ hannounesque, déjà en germe bien planté avec Ardisson et Taddéi.
10.43 Arrêtez donc JJ-J de nous faire la leçon.
M’enfin quoi ?, chacun fait la sienne, et vous le premier puisque vous le revendiquez dans votre pseudo. Un comble (en chien !)
10.46 Ah bon ? Rodogune était un garçon !…
Et le sed, vous en faite quoi le Gige?
3J, j’exprime ma totale ignorance, inutile de relever pour vous fiche de moi, je le fais assez bien sans vous.
Rien n’est plus drôle que le malheur, surtout en politique. Les humoristes de pacotille peuvent toujours la ramener avec leurs blagues à deux balles, jamais ils n’atteindront le degré absolu du comique , le nec plus ultra de la farce qu’on trouve chez les Maîtres du monde.
Il paraît qu’en 1945, Harry Truman avait donné le feu vert à l’armée américaine de larguer les deux bombes atomiques sur Hiroshima et Nagazaki pour faire rire les japonais, trop coincés du cul à son goût !
Je voulus en avoir le cœur net, MC, et j’ai vu que Rodogune était une princesse de Parthes. Ouf, mes vers sont sauvés. Merci bien à vous,
https://theatre-classique.fr/pages/programmes/edition.php?t=../documents/CORNEILLEP_RODOGUNE.xml
Bon, je sors, je suis invité à déjeuner chez mon beauf… Je n’ai pas pu décliner. Va encore y avoir de l’Hanouna dans l’air. M’enfin, comme il fait de la bonne bouf… Et c’est dimanche !… Bises à CT.
Mais non je me fiche pas… C’est que vous m’aviez foutu le doute, hein… B. Je savais pas non plus, avant d’aller voir le ou la Rodogune, quoi, merdr’alors. C’est point grave, voyons donc !
Il doit y avoir un malentendu JJJ. Dans mon texte de 8h23, je ne parle pas de « parents sains », ni d’immigration, ni de socialisme…
« André Comte Sponville a toujours professé un intérêt pour Alain, qui n’est pas dénué de critique, mais qui est orienté par la volonté de comprendre, qui était, pour Alain, le fondement même de la culture philosophique. »
Pour rappel , »
Rodogune, Princesse des Parthes » est prisonnière à la Cour de Cleopatre de Syrie, qui règne à travers ses deux fils. Très belle figure de la Libido Dominandi, elle les joue l’un contre l’autre, et , bien que mère, en empoisonne un. Le très beau vers « Sauve-moi de l’affront de tomber à leurs pieds » en dit beaucoup sur cette figure que la Comédie Française ne daigne plus jouer, et que B semble ignorer. Mais ce n’est pas parce qu’il n’est plus enseigné que Corneille est illisible, sauf à lire la même bêtise sur Saint Simon ou Bossuet! Il faut au contraire lire ce qu’on n’enseigne plus….. MC
Et Saint Simon, et Bussy, et Sevigne, et Louis XIV…. MC
@ »ancien jihadiste de Daesh recherché par la CIA, sera bientôt accueilli par Trump à Washington »
en Syrie les djihadistes étaient recherchés par la CIA pour leur faire passer des entretiens d’embauche.
Pour changer un instant des semeurs de barbarie et autres paltoquets
Suisse: une votation pour que l’économie ne consomme pas plus que les limites naturelles terrestres
« Celui qui croit à une croissance infinie dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste ». Signée de l’économiste Kenneth Boulding, cette phrase reflète un peu le sens du texte soumis au vote des Suisses ce dimanche 9 février : les électeurs doivent dire s’ils acceptent ou non de limiter la taille de l’économie à ce que peut supporter la planète. (…)
Hé la gigi, TU agaces tout le monde, TU fourres ton nez partout et TU colles ton cul contre les autres sans rime ni raison, sans honte ni retenue comme un étron. Bref, TU fais chier.
la video que j’ai trouvée ce matin, la voici, pour Derrida !
à plus tard
https://www.youtube.com/watch?v=bv_R2tpj_tY
bonne journée
On pense au calvaire enduré par les collègues de la Gigi. Une personnalité ignoble.
La majorité des Cantons a rejeté l’initiative pour la responsabilité environnementale.
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