Ce que résister veut et voulait dire aussi
Le beau mot « Résister » barrait la une de Libération samedi. Il résonne différemment en chacun de nous selon nos valeurs, notre éducation, notre expérience. Nos lectures aussi. Pour moi, c’est Premier combat de Jean Moulin où il ne figure pourtant pas, en tout cas pas suffisamment pour être mémorable, tout en courant dans tous les interstices du texte ; c’est l’un des poèmes du recueil Fugue de mort Paul Celan, celui qui commence par Stehen et invite à tenir autant qu’à se tenir, se dresser, résister ; c’est enfin La chèvre de Monsieur Seguin, au cœur des Lettres de mon moulin d’Alphonse Daudet, admirable invitation à se battre jusqu’au bout quelle qu’en soit l’issue redoutée.
Et ces jours-ci Le Voyant (184 pages, 17,50 euros, Gallimard), lumineux récit dans lequel Jérôme Garcin exalte la haute figure méconnue d’un héros un peu particulier de la Résistance : un jeune aveugle du nom de Jacques Lusseyran. Il avait perdu la vue à l’âge de huit ans, un camarade de classe l’ayant bousculé si fort que la branche de ses lunettes lui fut fatale. Il en développa ce qu’il appelait « le regard intérieur ». Ce qui n’en était pas relevait d’un trompe l’œil. Il détestait la banalité, la frivolité. Il voulait rayonner On pourrait ne voir dans le récit de cette vie à part qu’une illustration du concept de résilience tant ce héros parvient à sublimer sa cécité. On n’ose écrire : son handicap tant il en fait un atout dans la vie, trouvant à chaque fois les mots, notamment dans son livre Et la lumière fut, pour dire combien cela lui est un supplément d’âme, un atout même. On aurait aimé savoir ce qu’en pensait Jean Guéhenno, son professeur en khâgne au lycée Louis-le-Grand, auteur d’une des plus dignes chronique au jour le jour écrite sous l’Occupation (Journal des années noires).
Un visage léonin à la Kessel, une présence charismatique, un grain de voix qui séduit et en impose, une personnalité qui subjugue, un ascendant indiscutable. Et c’est lui, ce fin germaniste qui rêve d’approfondir ses études de langue, de littérature et de civilisation allemandes, qui ne peut marcher dans la rue sans mettre la main sur l’épaule d’un camarade, qui, en 1941 à dix-sept ans, sans rien y connaître mais persuadé d’y voir mieux que d’autres, fonde un mouvement d’adolescents Les Volontaires de la liberté puis entre à Défense de la France du catholique Philippe Viannay et envoie des jeunes gens fabriquer des faux-papiers, d’autres effectuer des repérages sur des terrains d’aviation, ou exfiltrer des aviateurs alliés. Dans le journal clandestin Défense de la France, il signe Vindex. Il y écrit pour ouvrir les yeux de ses compatriotes. Arrêté, incarcéré à Fresnes, il est déporté à Buchenwald qui sonne encore à ses oreilles comme une forêt de hêtres. Jedem das Seine : « A chacun son dû », c’est écrit au-dessus du portail à l’entrée du camp, humour noir local qu’il ne voit pas mais qu’on lui lit. Au camp il apprend à aimer la vie et à détester une langue qu’il chérissait. Désormais il ne parlera plus jamais allemand, même s’il l’écrit encore derrière les barbelés, tous les jours, pour être écrivain public des cartes adressées par les déportés à leur famille.
Après la guerre, il passe une licence de philosophie, soutient une thèse de Lettres sur « Le syncrétisme religieux dans l’œuvre de Gérard de Nerval » aidé dans ses recherches par sa femme qui lit à la Bibliothèque nationale les livres qui ne sont pas en braille. Il aimerait entrer dans la haute fonction publique, passer par l’Ecole normale et l’ENA mais n’en a pas le droit car il est aveugle, en vertu d’une loi signée Abel Bonnard et toujours en vigueur.
« Il ne comprend pas pourquoi, avec la liberté, il recouvre un statut d’invalide que, paradoxalement, la Résistance et la déportation avaient réussi à faire disparaître. La société se reconstruit sans lui, au prétexte qu’il est handicapé ».
Les choses se gâtent dans cette solitude parmi les hommes plus désespérante e que sa nuit. Et malgré l’ardeur et le talent de son biographe à nous le faire aimer, cette dernière partie de son tombeau nous laisse à quai. Il est vrai que, après avoir fondé le groupe Unitiste, secte occultiste et mystique proche de la Rose-Croix, Lusseyran rencontre un certain Georges Saint-Bonnet, gourou qui exerce un véritable empire sur lui et d’autres. J’avoue que là, j’ai pris mes distances avec le héros. Il écrit beaucoup, ne trouve pas d’éditeur mais on sait que nombre d’inédits gagnent à le rester. Il se remarie puis s’exile dans une université américaine pour y enseigner, tombe amoureux d’une de ses étudiantes, ce qui scandalise l’Amérique puritaine du côté de Cleveland, d’autant que les amants s’enfuient face au scandale et se marient au loin. Quant à ses enfants de différents mariages, ils sont « l’angle mort de sa vie », les grands absents de ses textes autobiographiques.
Biographe de Jean Prévost et défenseur de la mémoire de Jean Prévost, l’auteur a voulu faire de Jacques Lusseyran son frère d’armes. Pourquoi pas ? A ceci près que l’œuvre littéraire du premier est sans commune mesure avec celle du second, et que le destin de celui-ci ne serait peut-être pas aussi marquant sans sa cécité. Il est mort à 47 ans d’un accident de la route aux côtés de sa troisième femme. Et pourtant, comme l’auteur, il nous regarde. Du moins Jérôme Garcin s’y emploie. Mais on s’en doute, ce n’est pas pour ses errements théosophiques que l’écrivain s’est lancé sur les traces de cet homme. C’est pour creuser le même sillon de livre en livre, et en confier l’aveu en quelques lignes fichées en haut de la page 180, comme pour mieux explorer les étranges concordances et les résonances inattendues que l’activité littéraire nous réserve :
« Une fois encore, une fois de plus, je pense à mon père, né à Paris quatre ans après Jacques Lusseyran, passé lui aussi par la khâgne de Louis-le-Grand, fou de littérature, amoureux de la langue du XVIIIème, éditeur accompli, mais écrivain empêché, dont la mort accidentelle en pleine nature, au printemps de 1973, à l’âge de quarante-cinq ans, dessine une ligne droite que je n’aurais jamais fini de vouloir prolonger dans des livres brefs peuplés de jeunes morts qui continuent de lire, de vivre, et d’écrire ».
« Résister » court tout le long d’Un Candide à sa fenêtre (Gallimard, 390 pages, 21 euros), deuxième tome des « Dégagements » de Régis Debray, quelqu’un qui prend des notes de manière compulsive. Tout le temps partout en lisant en écoutant. Son petit carnet ne le lâche pas. Quelques lignes suffisent à faire une entrée de cet anti-dictionnaire, pour nous apprendre quelque chose ou pour nous raviver la mémoire, ce qui revient au même car c’est réapprendre que de se souvenir longtemps après :
« Dans les archives de la Commission française d’occupation de la Ruhr (1923), on a trouvé une fiche de police sur Hitler, Adolf, avec ces mots : « seulement dangereux sur le plan intellectuel ». Ces messieurs de la Sûreté n’avaient aucune idée de ce qu’est un intellectuel. »
C’est de la France qu’il s’agit de bout en bout quels que soient le sujet, le thème, l’entrée. Et la formule car on sait l’auteur friand de mots lorsqu’ils se rencontrent pour la première fois et produisent des étincelles de sens. La France vue par un esprit ultra-républicain, ce dont on ne saurait trop le louer en un temps où certains prennent de Gaulle pour un aéroport et où des collégiens de Seine Saint-Denis refusent de respecter la minute de silence à la mémoire des dessinateurs de Charlie-Hebdo « parce qu’on ne les connaissait pas » ou encore « parce qu’ils avaient offensé le prophète ». Tel qu’il l’entend, l’esprit de résistance lui est consubstantiel. De manière diffuse ou plus explicite. Ainsi dans l’évocation de l’ethnologue Boris Vildé, co-fondateur du réseau du musée de l’Homme.
Debray part d’une réflexion de Saint-Exupéry en 1943, selon laquelle une politique n’a de sens qu’à condition d’être au service d’une évidence spirituelle, pour s’interroger sur nos intelligences sans caractère en regard de celle de Vildé, avec son grain de folie dans le sacrifice, qui lisait Pascal, saint Augustin, Bergson à Fresnes à la veille d’être exécuté par les nazis. Cet homme d’origine étrangère, qui chantait la Marseillaise en se dirigeant vers le poteau, appartient-il vraiment à une Atlantide engloutie ? On veut croire que non. Debray n’en observe pas moins que Boris Vildé n’est guère célébré par nos institutions (rues etc) car n’appartenant à aucune religion, aucun parti, aucun mouvement, pas même à une famille d’esprit, il n’entrait dans aucune case. Comme, probablement, bon nombre de ceux dont le nom est inscrit, parmi mille cent autres, sur une plaque commémorative au Mont Valérien :
« Un bon tiers au moins d’étrangers dont à prononcer les noms sont difficiles. Effet d’eau froide sur les passants ».
Plus loin, il rappelle l’importance de la foi catholique dans l’exceptionnel esprit de résistance des Polonais au nazisme. La place du Tout-Puissant dans tous les serments militaires comme dans ceux des agents clandestins. Et Debray de conclure :
« On frémit en pensant aux effets moraux et physiologiques de la déchristianisation de l’Europe sur nos capacités de résistance. Et si la « mort de Dieu » était la mort du type coriace et la prospérité du veule, on aurait l’air fin, nous les nietzschéens de quatre sous… »
Résister, donc. Une simple question de mots ? Mais cela suffit à gouverner et ordonner une vie. On peut résumer un combat en un mot. Y réduire un engagement dans toute son ampleur. Erri de Luca en fait l’expérience depuis quelques temps pour avoir usé et abusé du verbe « saboter ». Un bref texte en est né La parole contraire (La parola contraria, traduit de l’italien par Danièle Valin, 40 pages, 8 euros, Gallimard). Il y met son crédit d’écrivain au service d’une petite communauté montagnarde menacée de désastre environnemental et écrasée par « la violence de l’Etat ».
L’affaire remonte à 2013 : à la suite d’une interview qu’il avait accordée au Hufftington Post italien; la Lyon-Turin ferroviaire, entreprise française chargée de la construction de la ligne, portait plainte contre lui. Il lui est reproché d’avoir « incité » au sabotage. Erri de Luca, dont la conscience politique est née avec la lecture d’Hommage à la Catalogne de George Orwell, flirta avec la lutte armée dans les années 70/80 lorsqu’il était l’un des responsables du groupe Lotta continua. Et comme il ne renie rien, son livre est lu à la lumière de cette fidélité. On en veut pour preuve le fait que, invité à commenter l’affaire du val de Suse, le procureur général du parquet de Turin renvoie immanquablement Erri de Luca aux années de plomb et à son absence de remords.
Il est vrai qu’aujourd’hui encore, l’écrivain substitue systématiquement l’expression « lutte armée » à « terrorisme », terme qu’il récuse au motif qu’au moment de son enlèvement, Aldo Moro était entouré de gardes du corps armés… Même s’il ne se dit plus révolutionnaire, et repousse toute idée de continuité entre son activisme d’autrefois et son action d’aujourd’hui, il n’en démord pas : « Je referais tout ce que j’ai fait, mais je le referais mieux » a-t-il déclaré au Nouvel Observateur.
Des mots tout cela, et des nuances entre eux ? Certainement mais qu’y a-t-il de plus important pour un écrivain ? Le respecter, c’est le prendre au mot, pour le meilleur et pour le pire mais jamais l’un sans l’autre. Rendez-vous au tribunal le 28 janvier prochain. On voudrait être là pour voir la tête des juges lorsque Erri de Luca leur expliquera que Goethe ne pouvait être tenu pour responsable de la vague de suicides chez les jeunes européens à la suite de la publication des Souffrances du jeune Werther. Ou quand il s’étendra sur les différentes et larges acceptions du verbe « saboter » en italien : entraver, faire obstacle, empêcher…
« L’accusation portée contre moi sabote mon droit constitutionnel de parole contraire. Le verbe « saboter » a une très large application dans le sens figuré et coïncide avec le sens d’ »entraver ».
Lui qui entend refuser les prix littéraires se dit déjà fier de recevoir le prix de la déclaration la plus dangereuse d’Italie. Celui de la parole contraire. Ne lui restera plus qu’à poursuivre l’Etat pour sabotage de sa liberté de parole au nom de l’article 21 de la Constitution. Dans la même livraison du Nouvel Observateur, Michel Houellebecq s’épanche. Comme d’habitude, il dit tout et son contraire. Parfois même dans la même phrase, allant jusqu’à revendiquer sa « neutralité » au motif qu’il n’exprimerait que sa « vision du monde », pas davantage ! Ses thuriféraires, qui refont le coup de la farce et invitent à seulement rire de Soumission, sont rappelés à l’ordre par l’auteur : tout en se voulant comique, il demande à être pris au sérieux puisque lui-même prend tout cela au sérieux. CQFD.
Ce qui nous ramène au « Résister » barrant la une de Libération de samedi. Ce qui s’est passé le lendemain dans les rues de toute la France est le plus cinglant démenti apporté aux prédictions du mage Houellebecq dans son roman et dans ses interviews (mais oui, l’auteur et le narrateur ne font qu’un avec lui, cela fait des années qu’il l’illustre à chaque prise de parole, je n’est pas toujours un autre) ; face à l’islamisme radical etc militant, il voit, annonce, prédit les Français à son image comme résignés, apathiques, soumis. On connaît la suite.
680 Réponses pour Ce que résister veut et voulait dire aussi
Tous les profs persécutés par leur hiérarchie parce qu’ils voulaient enseigner la Shoah le 19 janvier
Trop de commémorations nuisent à la commémoration. Pourquoi pas celle de la mort de Louis XVI le 21 janvier ?
Evidemment, Jambrun, si tout se vaut, autant ne parler de rien.
Cabu
http://media.topito.com/wp-content/uploads/2015/01/Rire_de_tout.png
Le temps des discours s’achève, les caisses sont vides et les spécialites du lifting à la Jack Lang vont devoir lâcher les manettes. sinon va y avoir du mouvement sur le manège tagada.
A l’évidence, Jambrun, vous n’avez jamais vécu dans un pays du Maghreb. Alors abstenez-vous, s’il vous plaît.
10 h 11 : le fait que Trudi von Machin soit débile non plus
Philippe Haut de Chambre dit: 14 janvier 2015 à 10 h 26 min
oui elle se surpasse
Edgard Pisani est en khâgne lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate mais dès le début de l’occupation allemande il rejoint la résistance intérieure française. Les membres du Conseil national de la Résistance le distingue avec la libération de la préfecture de police de Paris.
nouvelles mesures pour la surveillance d’internet : il y en a qui commence à avoir la trouille (suivez mon regard)
femme au volant, la mort au tournant, c’est un titre (breton) de ?
l’exceptionnel esprit de résistance des Polonais au nazisme.
Petit problème de résistance :
Q. – Pourquoi les Polonaises pètent-elles après l’amour ?
( Note- L’esprit de résistance étant un esprit universel, on peut remplacer sans inconvénient les Polonaises par les Françaises, les Arabes, les Juives, les Chinoises ou qui on voudra)
Vous avez trois minutes pour rédiger votre réponse.
Résister pour qui, pour quoi ?
Bien sûr, quand les armes parlent
contre la chair et les personnes,
elle ont l’air d’être bien molles,
la démocratie et la liberté, relatives,
dont nous jouissons momentanément
et par héritage, à condition
d’avoir oublié le prix payé
pour cet héritage, le prix
de notre Histoire !
Il est juste souhaitable
qu’elles soient des drogues
assez puissantes, cette démocratie
et cette liberté, pour qu’y ayant goûté,
il soit exclu de s’en priver, d’en être privés,
quelles que soient les forces contraires
et la détermination de leurs sbires.
Qui est la mer, qui est la digue ?
La mer gagne toujours contre la digue,
question de temps. La fabrique de crayons
ou l’usine d’armement ? La main qui frappe
et la main qui trace, vielle lutte
de l’humanité, de la vie…
Trassamblement.
… vieille lutte…
Coquillageusement.
l’exceptionnel esprit de résistance des Polonais au nazisme.
Petit problème de résistance :
Q. – Pourquoi les Polonaises pètent-elles après l’amour ?
R. – Pour remettre les poils dans le bon sens.
pauledel ferait bien d’ouvrir son guichet à commentarium pour Anita Ekberg.
Phil dit: 14 janvier 2015 à 12 h 43 min
Pour devoir subir la diarhhée porquerollaise, comme ici ?
Vous recevriez chez vous des mecs saouls qui vomissent sur vos tapis ?
La masochisme a des limites.
« Michel Houellebecq, qui a suspendu la promo de Soumission en France pour cause d’émotion, la maintient en Allemagne au festival de Cologne. »
__
Echt kölnisches Wasser, pour atténuer l’odeur du souffre & de la souffrance. Un admirateur saxon s’adresde au Michel national-désocialisé: »Eh, bedit gars, du es passé du bon kodé du Rhein..! Sigmaringen noch einmal, nicht wahr? »
13 h 06 min
Allemagne 100 000 manifestants cntre l’intolérance
J’aime beaucoup, cette histoire d’ Ô de Köln.
La couverture d’Unterwerfung est amusante.
http://www.dumont-buchverlag.de/buch/Michel_Houellebecq_Unterwerfung/15170
pauledel ferait bien d’ouvrir son guichet à commentarium pour Anita Ekberg Phil
No possible, il faudrait faire des seins, improbable de lier les blogs réputés littéraires à ce type de vocation à moins de développer des talents exceptionnels pour la narration qui dans cette ouverture transformerait la femme en poème « Jafa ».
…
…ce qu’il y a de bien, dans le collectivisme,!…c’est la notion de partage, dans la sociabilité,…
…
…dans le sens, de partager, de rendre public, non pas,…ce qui est, et doit rester privé,!…
…
…mais, le superflu,!…de détails, de droits, de richesses, de toute choses,!…
…que de toute façons, on ne pourra pas emporter dans sa » tombe « ,!…c’est clair,!…
…vivre bien, pour soi,…en plus, pour son clan de combinards,!…sans pour autant participer à l’exclusion de tout les autres, ou de profiter de leurs états d’abrutis,!…
…ce qui est souvent, le cas,!…
…
…porter en dérision » les autres « , pour les exclure par prétextes, pour en Stalag 13,…et les porter en servitudes volontaires,!…
…
…exemple, » le myth de Bible d’Adam et Eve, exclu du paradis, par le fait d’avoir manger la pomme de l’arbre du milieu « ,…des combines pour » abuser « ,!…etc,!…
…et rester à se tenir à carreau, soumis à une autorité de clandestins de l’humanisme,!…à perpétuité,!…
…
…savoir arriver à mieux séparer, les sens des propriétés-privés individuels,!…
…d’avec les besoins de sociabilité des » richesses que vous ne pouvez pas emporter dans votre » tombe » en partage et responsabilité,!…et de ce qui est collectif et démocratique,!…l’état c’est tous,!…
…
…Oui,!…les richesses privées, mais pas au détriment de l’unité des nations à vivre en paix dans les libertés,!…
individuelle,!…là,!…
…ramener la pomme à la pomme,!…et la vache au lait,!…et pas des prétextes ou faire un exemple d’autorité d’obéissance » aveugle – soumis « ,!…
…Dieu, qui à écrit la bible, est un » crétin » hors pair,!…etc,!…
…vive Karl-Marx,!…en plus succinct,!…
…envoyez,!…
A propos des résistances:
http://www.limagelatente.fr/la-resistance-des-corps/
…
…bérénice,!…
…une caméra sophistiquée en main, ne fait pas l’artiste à tout moments, pour tout le monde,!…
…
…c’est comme la femme, çà tient plus du vide manipulé que du réel,!…etc,!…
…
Bérénice, Ekberg fait une marianne plus enviable que la barbie dépoitraillée de la caricature proposée au-dessus. C’est là toute la faiblesse, sans être (de)Lacroix, des caricatures.
l’art et la manière? La technique au service de l’art, l’art asservi par la technicité? Un sans mot pour une démo? L’image ou les vacances de l’âme ou tout le contraire, aucun échappatoire, c’est l’interrogatoire!
Certains musulmans de France sont choqués par le soutien officiel à Charlie.
Ils sont furieux, ils sont angoissés.
Pourquoi ne pas encourager une aliyah, vers le Mahgreb?
Séparés et amis.
allo baroz ? le docteur Barparoz à Venise, c’est de votre lignée ? ( à son époque gala)
Ayant eu affaire à la même situation, je peux témoigner que la bande son est administrée par IODA
IODA (R) Copyright 2012. Written by Michael Jackson and Lionel Richie
les gens comprendront un jour ce que sont les droits réservés.
Ekberg fait une marianne plus enviable
Cherchons blonde à très forte poitrine pour modèle pâte à modeler.
…
…Oui,!…j’écris avec humour s’entend,!..
…
…l’art et la manière,…souvent des concepts » bluff « ,…pour détourner l’objectivité en partage,!…artistes en déshérence,!…
… » beaucoup d’imitations d’art(istes) « ,…
…
…en proie, dans l’enclos pour capturer les loups des affaires,!…
…à sois même, pour séparer le vrai du faux,!…( commerce ou usurpations ),!…en vivre ou en mourir,!…vrais ou faux,!…etc,!…
…
https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=owD0XxoiWro
http://www.liberation.fr/societe/2015/01/13/j-allais-partir-quand-les-tueurs-sont-entres_1180088
…
…non,…moi je n’aime pas les gros seins, c’est trop moue,!…
…je préfère les petits seins bien pointus,!…
…qui vibrent et rebondissent au toucher,!…
…
…deux ou trois expériences d’il y à quarante ans,!…
…c’est dire, mon intérêt pour ces trucs,!…là,!…
…je préfère, faire mousser en racontant des bob’art’s,!…c’est bon,!…elle est toute rouge,!…les yeux fixes,!…éberluées,!…Ah,!Ah,!…etc,!…
…
Phil ne vous inquiétez surtout pas et ne prenez pas Hombrage de ces impertinences, nul n’échappe à la statistique qui dénonce une préférence pour les blondes à forte poitrine, tout un pan de la chirurgie s’effondrerait et le pays sombrerait dans le chaos économique si les hommes dans leur majorité majoritaire réussissait à échapper à cette règle d’or.
Marianne doit être un buste de sa personne
Cela va bas de soie.
juste une histoire de maures et costumes
Décès d’Anita Eckberg, les seins vont au paradis.
pas un seule chaîne pour rediffuser LA DOLCE VITA en hommage ?
sure …et pas en compagnie bas cou
Ce qu’on cache aux Français sur l’échec de l’intégration (bel euphémisme) et la guerre civile à laquelle les islamogauchistes travaillent sans relâche :
http://lmsi.net/Du-droit-de-niquer-la-France
Promenez-vous sur ce site. Lisez « l’analyse » que Pâcome Thiellement fait des attentats contre Charlie Hebdo. C’est à frémir.
N’oubliez pas que les Kouachi, les Coulibaly ne sont pas des exceptions : ils sont légions. Et ce n’est pas Philippe Meirieu qui réussira à leur apprendre les bonnes manières.
Comment fait le patron pour supporter les … qui viennent déverser leur bile et inciter à la haine ! Quelle patience !
regniezmortez le pervers déguisé en adjudant Kronenbourg :
« Promenez-vous »
« Lisez »
» N’oubliez pas que
«
bérénice dit: 14 janvier 2015 à 15 h 05 min
la statistique qui dénonce une préférence pour les blondes
La France recoupée en deux ! Ferroviairement… Quelqu’un a dit qu’au Crazy les blondes prévalaient : c’est une catastrophe ! Pour le coup, là, la mauresque incendiaire, quand c’est bien fait… Mais inenveloppées, naturellement, sans quoi l’on finirait par imaginer que c’est Cristo qui les habille…
Inéducable, ce petit gilou ! Meirieu a encore tout faux…
Tout est affaire de poitrail. Avant le duel il était d’usage de plastronner comme le Président causeur depuis le porte-avions charlie de gaulle. La Ekberg aurait fait une belle figure de proue, comme les aimaient chancel dela culture (à rougiéri). autre chose que le titanic, coulé par les gueulantes de la Dion.
roland dit: 14 janvier 2015 à 16 h 32 min
Comment fait le patron pour supporter les … qui viennent déverser leur bile et inciter à la haine ! Quelle patience !
Non c’est prévu : hon va les mettre dans les caves du Lutetia ; le rab à Sigmaringen…
plus de nouvelles de Zemoumour et de son pote après l’accident de scoutaire hier, boum !
si si Héraclite-Oris, il bénéficie d’une protection rapprochée, 3 policiers qui ont pris des antibiotique préventivement contre le microbe
Les gens disent vraiment n’importe quoi. Il y a 66,3 millions de Français. La prétendue communauté musulmane ferait 5 millions;
la prétendue communauté juive 500 000 Français. Disons, même 1 million. Ça fait 6 millions de Français sur 66 millions. Ça fait à peine 10% des Français et ils osent parler de communautarisme. Il y a l’immense communauté nationale, quelques centaines de milliers de Juifs qui se connaissent et se fréquentent peut-être dans ladite communauté et quelques centaines de milliers pareillement de musulmans. On est très très loin de quelque communautarisme que ce soit en France ! Toute façon, c’est parler pour ne rien dire. Pas plus sourds que ceux qui ne veulent pas entendre. Mais intellectuellement on a sombré mes pauvres petits chéris.
rembobinez-vous la dolché vita, dear wiedergänger. marchello et l’anita causaient pas la même langue mais intellectuellement, ça les pertubait pas.
Fin de l’avant-dernier article de Philippe Lançon dans CH, un éreintement de monsieur le marquis d’Enthoven :
« Ma fonction de critique me l’a rudement appris : l’apparition sur la toile d’enfants libres et sauvages, souvent haineux et maniaques de leur passion, exaspère le professionnel établi. Elle inquiète sa légitimité, ses habitudes, la nature même de son métier. Il faut pourtant l’accepter et s’en réjouir : c’est la vie, la violence spontanée de la vie. La morsure réveille, la révérence éteint : la manière dont Durendal cogne en chambre sur Godard rend mieux hommage au cinéaste que les préciosités indignées d’un Enthoven, perruque au salon ».
Anita, booooooofffffffffffffffffff !
Elle ne m’a jamais vraiment excité, l’Anita…! C’est pas mon époque, pas ma jeunesse. Moi, c’est Sylvia Christel, alors là, ouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii!
Des flics et des militaires partout, ouaissssssssssss ! Superrrrrrrrr ! Ça c’est une démocratie…!
Une émeute de 2HB, comme dirait Passou : mais il n’y a pas que le crayon ! L’aérographe, la bombe…
Alors, là, mes petits chéris, j’ai fait un calcul, hein, je vous le soumets.
Alors 20 flics par djihadiste, qu’il a dit l’autre. Bon,
1200 x 20 = 24 000 flics !
Et nos impôts dans tout ça ? Déjà qu’on en donne pas mal à l’Abbas, là ! Ils continuent de piller l’Occident. Ils n’ont jamais su faire rien d’autre…!
Widergänger dit: 14 janvier 2015 à 18 h 04 min
Ça fait 6 millions de Français sur 66 millions. Ça fait à peine 10% des Français
Dix pour cent, c’est le seuil et il y a crise : c’est là qu’il faut intégrer, ou cela fait des insurrections comme les Noirs aux Etats-Unis en soixante-huit ; ce n’était même que dans les huit pour cent.
Maintenant intégrer, c’est toujours plus facile à dire qu’à faire…
…
…10 millions de Charlie vendus,!…
…
…dans chaque famille, il peux y avoir combien de composants et de membre,…en plus café(s) et hôtel(s),!…
…collectionneurs sur cadres,!…le Picasso Charlie,!…etc,!…
…
Problème n° 1 –
Un agent de police musulman, marié, père de cinq enfants (en bas âge) est en faction devant l’immeuble qui abrite le siège d’un hebdomadaire satirique ayant publié des caricatures du prophète Mahomet. Sans les avoir vus venir, il se retrouve nez à nez avec deux islamistes surarmés qui lui soumettent le choix suivant :
– ou bien il les laisse entrer et faire ce pourquoi ils sont venus et ils lui garantissent la vie sauve.
– ou bien il résiste et ils lui passent sur le corps.
Questions :
1/ Que doit faire, selon vous, l’agent de police ?
2/ Que feriez-vous si vous étiez à sa place ?
Problème n° 2 –
L’employé musulman, marié, père de cinq enfants (en bas âge), d’une épicerie kascher, à l’intérieur de laquelle se trouvent quinze clients (tous Juifs), voit débouler vers lui deux islamistes surarmés. Or il a dans sa poche la clé permettant de fermer la porte du magasin et de baisser le rideau de fer. Il a le temps de la tourner dans la serrure avant que les deux agresseurs soient sur lui. Ils lui soumettent le choix suivant :
– ou bien il leur donne la clé, et ils lui garantissent la vie sauve.
– ou bien il refuse, et ils lui passent sur le corps.
L’employé sort la clé de sa poche. Très près de lui se trouve une bouche d’égout. Il a le choix entre y jeter la clé ou la livrer aux agresseurs.
Questions :
1/ Que doit faire, selon vous, l’employé ?
2/ Que feriez vous à sa place ?
Concentrons-nous sur le problème n° 2 et exerçons-nous à faire varier les paramètres de la situation. Bien entendu, à la fin de l’exercice, les deux questions restent les mêmes.
Exemples de variations :
1/ la place de l’employé par rapport à la porte du magasin. Dans ce cas, remplaçons la clé par un zappeur électronique :
a) L’employé se trouve juste devant la porte.
b) L’employé se trouve à une trentaine de mètres de la porte. Il a vu les agresseurs arriver mais ceux-ci l’ont vu aussi. Il a le temps d’actionner la fermeture à l’aide du zappeur et de tenter de s’enfuir, mais les agresseurs sont à distance suffisante pour tirer sur lui avec de bonnes chances de l’abattre.
c) L’employé se trouve à une centaine de mètres de la porte. Il a aperçu les agresseurs; en revanche, ceux-ci ne l’ont pas vu. Cependant, à cette distance de la porte, il n’est pas sûr que le zappeur puisse la verrouiller.
2/ L’âge du capitaine et sa situation de famille :
a) L’employé, marié, père de cinq enfants, a une trentaine d’années.
b) Il est célibataire.
c) L’employé, veuf, père de cinq enfants (tous adultes et nantis d’un emploi stable), a une soixantaine d’années.
3/ Partant de la situation décrite en 2c), on peut ajouter l’une des deux données suivantes :
a) L’employé sort de chez son médecin, qui, au vu de bilans favorables, lui a prédit qu’il vivrait centenaire.
b) L’employé sort de ‘hôpital où on lui a diagnostiqué un cancer.
4/ Le niveau de pratique religieuse :
a) L’employé est un pratiquant régulier, très pieux.
b) L’employé ne pratique pour ainsi dire jamais.
5/ Les relations de l’employé avec certaines personnes se trouvant dans le magasin :
a) L’employé est l’amant de la patronne, avec laquelle il vit une relation passionnée et heureuse.
b) L’employé est l’amant de la patronne, mais il est fatigué de cette liaison qui lui complique la vie, et souhaite en finir.
Etc… etc…
Toutes ces variantes apportées à la situation initiale, et bien d’autres encore, sont susceptibles d’influer sur les réponses aux deux questions. Il est clair que, si l’employé est jeune, marié et père de cinq enfants en bas âge, un cas de conscience risque de se poser à lui. Cependant, si nous plaçons cet employé devant la porte de l’épicerie ( situation 1/a) ), aura-t-il vraiment le temps de se poser ce cas de conscience ? En d’autres termes, aura-t-il le temps de réfléchir et de peser le pour et le contre, ou bien sa réaction sera-t-elle spontanée, irréfléchie (ce qui ne veut pas dire qu’elle ne sera pas la bonne) ?
Reprenons le cas de figure 1/a) // 2a).
Imaginons que l’employé choisisse de livrer la clé du magasin aux agresseurs.
Question. Son choix est-il :
a) moral
b) immoral ?
Ce petit jeu permet de se poser certaines questions en rapport avec la morale , entre autres :
– Nos réactions « morales » sont-elles spontanées ou réfléchies ?
– Existe-t-il des règles morales invariables qui s’imposent sans discussion en toute circonstance, ou bien ces règles sont-elles susceptibles de varier en fonction des circonstances ?
– Dans quelle mesure et au nom de quoi est-on fondé à juger de l’extérieur de la moralité de la conduite d’autrui ?
En conclusion et pour revenir au sujet du billet , la question de la résistance est une question beaucoup plus complexe qu’elle n’en a l’air.
Pas de panique Giovanni, la résistance anonyme s’organise.
Les fichiers p.d.f de Charlie circulent, j’ai déjà celui du 7 janvier 2015. L’important c’est de participer.
En complément de mon message précédent, où j’indiquais à Giovanni que la résistance anonyme était en train de s’organiser, avec des diffusions numériques de Charlie Hebdo, totalement gratuites, -pourquoi aller faire la queue toute la nuit, ou menacer les kiosquiers qui n’ont pas été livrés ?- je voulais signaler aussi que ‘ l’émotion’ a pour corollaire : la décence.
Celle du Canard enchainé était bien vue.
En dehors de Paris, la résistance s’organise un peu différemment.
http://www.20minutes.fr/medias/1516959-20150114-charlie-hebdo-presse-etrangere-publie-couverture-etats-unis-restent-divises
Dans cette affaire de résistance : je suis contre tout, je ne sais pas trop de quel côté Bernard Henri Levy, l’éminent philosophe, a retourné sa chemise.
Qu’entends-je? Le dénommé M’Bala M’Bala aurait été arrêté par la police pour avoir posté un commentaire jugé ‘incendiaire’? Perso, je n’apprécie ni la ‘comedie’ du mec ni les caricatures de Charlie…pas assez subtiles pour mon goût, mais elles ont toutes le droit d’exister sans se faire tirer par les flics ou par des illuminées en manque d’amour…et Moi qui pensait naïvement que la liberté d’esspression c’était aussi la liberté d’offenser…comme quoi hein…faut jamais croire ce qu’on lit dans les journaux…moi-même, j’ai vu ma réponse, pourtant très raisonablement argumentée comme toutes mes réponses hein, aux non-moins incendiaires propos des brigades brunes qui veillent sur le moulin de M. Pierre simplement passée a la moulinette…oui madame…c’est à vous désespérer de Voltaire…
Hello Abdel, c’est intéressant cette question de la liberté d’expression vue en dehors de la France.
J’ai entendu cette question posée à la radio à une personne- un avocat, je ne sais pas trop- qui faisait état, lors de procès à la 17ème chambre, institution judiciaire qui gère les affaires criminelles, la liberté d’expression est d’abord évaluée sur le passif de la personne jugée, physique ou morale. Ensuite il faut discerner les notions d’incitation à la haine. Dans le cas du journal satirique Charlie Hebdo, ( chacun lit ce qu’il veut, je ne lis pas ce journal) il fut « blanchi » lors de procès, car ce n’est pas une mouvance idéologique qui appelle à la haine, ou autre action répréhensible. Ce qui n’est pas le cas du m’bala m’bala.
Ce soir je mange du merlan et des lentilles en accompagnement. Pas banal comme association mais je m’en fous pour tout vous dire.
Phil dit: 14 janvier 2015 à 18 h 13 min
rembobinez-vous la dolché vita, dear wiedergänger. marchello et l’anita causaient pas la même langue mais intellectuellement, ça les pertubait pas.
Impossible de géo localiser ce vaste territoire » Intellect » cependant votre version des choses, de la vie, du territoire apparaît quelque peu fantaisiste ou vous oubliez les frontières qui séparent l’est et l’ouest du nord au sud, c’est suspect, auriez-vous des papiers ?
cas du m’bala m’bala.
D puisque vous en êtes au dessert, je ne sais rien de l’entité citée, s’agit-il d’une personne physique ou morale?
Je me relis, je me fais rire.
Que voulez-vous, on ne se refait pas.
Tiens Wiwi, j’ai vu votre réaction parmi d’autres sur « éducabilité » dans cette recommandation de l’EN. :
« Cette semaine est à mettre sous le signe de l’éducabilité. Il s’agit de prendre le temps de parler, échanger, faire réfléchir en fonction de l’âge des élèves. »
et j’en suis à me demander si dans cette glorieuse institution (!) de l’EN, il n’y a pas plus de demeurés mentaux que d’élèves . Je parle de ces frais moulus sortis de je ne sais où qui pondent l’ « éducabilité » sans s’être demandé à quoi et pourquoi.
Bon, on nous a épargné un ministre tout juste licencié d’Histoire mais je n’ai pas l’impression que la très appliquée Najat qui n’a que l’avantage d’être du Parti, soit capable de plus .
Consternant .
(j’ai lu son discours aux Recteurs:
http://www.najat-vallaud-belkacem.com/2015/01/13/grande-mobilisation-de-lecole-pour-les-valeurs-de-la-republique-discours-aux-recteurs/
une certitude, il ne laissera que le souvenir impérissable de la platitude la plus consternante. )
( chacun lit ce qu’il veut, je ne lis pas ce journal)
Vous faites bien de le rappeler néanmoins voit-on toujours ce qu’on veut? Les revues porno à la portée des enfants sont-elles aussi dérangeantes pour un musulman intégriste que les caricatures pourtant bien rangées au rayon presse? La façon d’exposer peut s’avérer dérangeante.
Cela a été dit sur france culture : ce qui est reproché à m’bala m’bala c’est d’être, somme toute un militant. Donc d’inciter à la haine. Ce qui n’a pas été le cas d’autres qui incitaient au rire. Jaune pour certains qui ont du mal à avaler l
qui ont du mal à avaler la pilule.
Ce qui m’intéresse, outre le fait qu’il faille rendre les enseignants responsables des failles des con-cernés, (mais là je m’y attendais fortement*) ce sont les réactions de certains gosses -hyper intelligents et là je suis sur le c.- dont on découvre soudainement les raisonnements à l’envers. Ils se plantent systématiquement, et leur discours, sous des apparences lénifiantes, est empreint de haine.
(mais là je m’y attendais fortement*) :
dès vendredi dernier,vers 18h30, nous recevions un mail comminatoire nous enjoignant d’axer tous nos efforts sur la maîtrise de la langue.
C’est vrai qu’avant ce mail, comminatoire, je faisais tout, en classe, sauf la maîtrise de la langue : nous jouions, poétisions, théâtralisions, tout ça. Bref, nous prenions beaucoup de bon temps.
Depuis vendredi soir, je panique : va falloir que je change mon fusil d’épaule et que je travaille fissa la maîtrise de la langue. B. de M.
vous ne connaissez pas la suite ?
«I miei valori non sono quelli dell’Illuminismo. Ora, senza andare verso un progetto di fusione grandioso alla Carrère, diciamo che Cattolicesimo e Islam hanno dimostrato di poter coabitare. L’ibridazione è possibile con qualcosa che è davvero radicato in Occidente, il Cristianesimo. Mentre con il razionalismo illuminista mi pare inverosimile».
http://www.corriere.it/esteri/15_gennaio_14/michel-houellebecq-niente-francia-sara-piu-come-prima-si-ho-paura-anch-io-b2efe122-9bb4-11e4-96e6-24b467c58d7f.shtml
S’en prendre, ipso facto, à l’éducation nationale c’est vil.
C’est comme si je m’en prenais, moi aux c. de journalistes qui se font leur beurre sur des évènements tragiques.
Ou bien à la compagnie d’assurances privée qui m’a racolée, le vendredi tragique, pour me fourguer une assurance supplémentaire en cas de mort inopinée. Espérant que ce ne fut qu’accident de calendrier. Et que le mail comminatoire fut un automatique programmé d’avant les attentats et qu’il n’y a nul lien de cause à effet.
Le Point : qui a fait le lit du communautarisme ?
Malek Boutih : Je vais être très clair. On a un problème de ghetto, on a un problème avec l’antisémitisme et on a un problème avec l’application des règles laïques. Quand, dans certaines municipalités, on propose des horaires aménagés pour les femmes à la piscine, c’est déjà un problème. Ça n’est plus acceptable. Quand les parents refusent que leur fille porte un short pour aller au cours de gym, c’est un problème. Un débat politique majeur va s’ouvrir sur toutes ces questions. Les élus locaux corrompus ont pactisé avec les voyous, les salafistes et les communautés pour avoir la paix. Au sein du PS, je serai désormais sans concession avec les élus corrompus qui passent des deals avec les voyous et les communautés par électoralisme. Il faut qu’on fasse le ménage dans nos rangs. Nous ne pouvons plus laisser prospérer les supermarchés de la drogue dans nos cités dont on voit qu’ils entretiennent des filières où gangsters et islamo-nazis se donnent la main. C’est vrai dans les villes de gauche comme dans les villes de droite ou dans les villes UDI qui pactisent avec les dieudonnistes comme en Ile-de-France. Cette affaire traverse tous les partis. Je ne vais pas être gentil au PS. Il faut que chacun nettoie devant sa porte.
Et on ose parler de communautarisme… Les gens racontent vraiment n’importe quoi.
Désormais, ma vie a changé : je sais que espérons, espérons, résistons, indignons-nous mais que les cartables sont remplis de bombes, à ce jour dégoupillées.
Dire tout va très bien -mon c. c’est du poulet, cela fait des années que l’on sait que c’est du bourrage de crâne.
Chez nous, une voiture, dont les occupants ont masqué les deux plaques d’immatriculation a roulé à toute berzingue avec inscription le prophète est vengé. Hélicoptère a pourchassé le véhicule en question. Je ne peux pas vous en dire plus. C’était vendredi après-midi, avant l’attentat Porte de Vincennes.
Un mec m’a dit relax relax.
Je veux bien.
J’ai apprécié le travail journalistique de haute tenue.
Grandement.
Chez nous, une voiture, dont les occupants ont masqué les deux plaques d’immatriculation a roulé à toute berzingue avec inscription le prophète est vengé. Hélicoptère a pourchassé le véhicule en question. Je ne peux pas vous en dire plus. C’était vendredi après-midi, avant l’attentat Porte de Vincennes.
« Abdelkader dit: 14 janvier 2015 à 20 h 07 min
Moi qui pensait naïvement que la liberté d’esspression c’était aussi la liberté d’offenser… »
d’offenser mais pas de pousser au crime.
petite leçon de droit français : « je suis Coulibaly » = « je suis tueur de juifs ».
et quand c’est dit par une personne ayant un certain succès auprès des jeunes musulmans « je suis Coulibaly » = « si vous m’aimez alors je vous incite à faire comme lui »
ça c’est pas vraiment de l’offense.
c’est un peu comme s’il disait dans le contexte : « je suis un tueur de musulmans », ou « je suis un bruleur de mosquée ».
je prends ces exemples parce qu’ils vont vous permettre de mieux comprendre le problème.
sinon faut demander à jambrun c’est un spécialiste de la psychologie morale analytique…
Néanmoins, toutefois, cependant, je tiens à vous dire que je m’insurge contre
1/ ces mots d’une journaliste sur France Culture -hier matin en partant bosser 7h30
« une dispute banale a entrainé la mort d’un lycéen à Marseille à la sortie du lycée.
Elle aurait dit une simple dispute encore je l’aurais entendu. Mais employer le mot banale qui conduit à la mort d’un gosse de seize ans !
« une dispute banale a entrainé la mort d’un lycéen à Marseille à la sortie du lycée.
Elle aurait dit une simple dispute encore je l’aurais entendu.
pardon sur l’aspect décousu de mes coms ce soir mais je suis en attente de modération un com sur deux. Je fais comme vous pourtant.
une dispute banale
Affaire à suivre
jambrun je savais pas que tu étais un spécialiste de la morale analytique…
tu connais l’exemple du train posé par les philosophes analytiques ?
cas 1 : un train se précipite sur 5 personnes (pas des juifs), en appuyant sur un bouton il est possible de lui faire changer de voiepour aller là où ne travaille qu’un ouvrier (pas juif non plus).
cas 2 : un train se dirige sur les mêmes 5 ouvriers, pour l’arrêter on peut pousser d’un pont un type très gros, obèse (pas juif).
intuitivement la quasi totalité des personnes acceptent le cas 1 et refuse le cas 2 !
alors que dans les deux cas on sacrifie une personne.
tu sais pourquoi ?
Najat V-B
Oui, oui, oui…
Question: qu’est-ce qui, dans ce discours provoque, l’incrédulité, la moquerie et chez certains qui sont en première ligne (salut les profs) la désespérance ou la colère?
« Nous devons aussi avoir collectivement le courage, en refusant la facilité polémique, d’analyser la situation en face, de décrire les dérives qui ont fragilisé le projet républicain, y compris à l’école.
Oui, la forme de délitement du lien social au cours des trente dernières années de crise économique et sociale n’a pas épargné l’école.
Oui, le sentiment de désespérance, l’accroissement des inégalités et de la prévalence du déterminisme social, l’incapacité collective à prévenir le décrochage scolaire endémique d’une partie de notre jeunesse, ont entamé la mission d’égalité de l’école.
Oui, les discriminations, l’écart entre les valeurs affichées et les réalités vécues, les replis identitaires, les velléités communautaristes, les logiques d’entre soi ont parfois affaibli son ambition de fraternité. Comment transmettre le vivre-ensemble quand les élèves ne font plus l’expérience de la mixité sociale au sein des écoles et des établissements ? La remise en cause de la place de l’école dans la société, une forme de relativisme ambiant ont contribué à une perte de repères plus globale, interrogeant le sens de l’engagement de la communauté éducative et de ses personnels. »
Réponse partielle.
Le parti-pris: « il n’existe pas à nos malheurs de causes exogènes ».
Conséquence: culpabilisez-vous!
prospero dit: 14 janvier 2015 à 21 h 05 min
« Abdelkader dit: 14 janvier 2015 à 20 h 07 min
Moi qui pensait naïvement que la liberté d’esspression c’était aussi la liberté d’offenser… »
votre commentaire prouve que toutes vos effusion de compassion pour les assassinés de Charlie c’était tout du flan.
sinon vous comprendriez que Dieudonné soit arrêté.
parce que toutes ces histoires ça commence chez Dieudonn et ça finit chez Charlie !
si on accepte l’un il faut prendre le lot entier mon ami le faux cul!
Quand la ministre de l’EN parle de:
« développer l’accès de tous à l’éducation populaire »
On est en droit de se demander s’il – ce « populaire » – ne s’agit pas de finir d’abrutir les jeunes esprits !
Tous égaux = nivelons par le bas par le plus petit dénominateur commun de l’homme cousin du singe.
Très choquant a posteriori la diffusion calomnieuse de la participation à l’attentat d’un autre jeune de dix-huit ans qui était en cours au lycée. Des excuses publiques devraient lui être faites. On devrait rechercher les auteurs de cette sinistre plaisanterie et leur porter tort. Jugement de principe en tout cas.
Il y a les intuitions qui sont parfois toutes justes, le sens du danger sans doute, et il y a salir la réputation d’autrui à tort et là s’agissant d’un jeune, c’est inacceptable.
L’ibridazione è possibile con qualcosa che è davvero radicato in Occidente, il Cristianesimo. Mentre con il razionalismo illuminista mi pare inverosimile
Ça s’appelle une attitude capitularde.
Mais le grand Michel est un maître d’auto-dérision.
Il choisit parfois d’écrire avec sa queue.
Pour les non-idiots.
et quand je pense à tous ces crétins qui vous remerciaient pour votre soutien moral sur ce blog…
tant que les gens joueront les faux culs on s’en sortira pas.
il faut jouer franc jeu… si bien sûr vous en êtes capable?
Horresco referens.
Je frémis, je tremble.
Question: qu’est-ce qui, dans ce discours provoque, l’incrédulité, la moquerie et chez certains qui sont en première ligne (salut les profs) la désespérance ou la colère?
« Nous devons aussi avoir collectivement le courage, en refusant la facilité polémique, d’analyser la situation en face, de décrire les dérives qui ont fragilisé le projet républicain, y compris à l’école.
Oui, la forme de délitement du lien social au cours des trente dernières années de crise économique et sociale n’a pas épargné l’école.
Oui, le sentiment de désespérance, l’accroissement des inégalités et de la prévalence du déterminisme social, l’incapacité collective à prévenir le décrochage scolaire endémique d’une partie de notre jeunesse, ont entamé la mission d’égalité de l’école.
Oui, les discriminations, l’écart entre les valeurs affichées et les réalités vécues, les replis identitaires, les velléités communautaristes, les logiques d’entre soi ont parfois affaibli son ambition de fraternité. Comment transmettre le vivre-ensemble quand les élèves ne font plus l’expérience de la mixité sociale au sein des écoles et des établissements ? La remise en cause de la place de l’école dans la société, une forme de relativisme ambiant ont contribué à une perte de repères plus globale, interrogeant le sens de l’engagement de la communauté éducative et de ses personnels. »
Réponse partielle.
Le parti-pris: « il n’existe pas à nos malheurs de causes exogènes ».
Conséquence: culpabilisez-vous!
La suite, in english, it would be better.
« As the aftermath of the Charlie Hebdo murders continues to unfold, French readers are turning to the magazine’s latest cover star, with Michel Houellebecq’s Soumission racing to the top of bestseller lists at Amazon.fr. But is France’s most celebrated controversialist offering a splenetic vision of the Muslim threat to Europe or a spineless “submission” to gradual Islamic takeover? Actually, neither. It’s much more interesting than that. »
http://www.theguardian.com/books/2015/jan/09/soumission-michel-houellebecq-review-charlie-hebdo
Autre problème pratique.
Vous êtes en 2022.
Le second tour de la présidentielle oppose Marine Le Pen à Mohammed Ben Abbes.
Pour qui votez-vous, attendu qu’un vote blanc serait d’une insigne lâcheté dans un contexte pareil ?
Après mûre réflexion, je crois que je voterai Ben Abbes. Son programme a l’air vraiment intéressant.
Tiens bon, Dédé!
Dissocier unetelle et ses séides de la base, c’est parfois chose utile daaphnée.
Cela permet à la base de se serrer les coudes, surtout lorsqu’elle n’est pas épaulée. Si vous voyez ce que je signifie physiquement. Sinon crayonnez-le, vous verrez l’idée. Et notez, jogguer c’est dangereux.
Voilà, j’ai fini ma journée de résistance.
Bonne nuit.
https://www.youtube.com/watch?v=_ShXHW_FrlM
Enfin moi je juge pas. Mais ce matin j’ai écrit « horrible » sur la copie de x. Et je crains les retombées. J’ai jugé. Puisque j’ai écrit « horrible ».
Pourtant, il fait bien que l’on s’engage souvent. Et que l’on se positionne.
Hier, une m’a fait iech au restau scolaire. Je n’ai pas fait valdinger le poulet et les tagliatelles. Non. C’était bon. Mais je lui ai coupé le sifflet. D’autorité. Sinon, elle me taillait un short. Publiquement.
Valdinguer.
Nick Drake s’est suicidé aux somnifères. Il est probablement mort vierge. Pas le genre de musique à mettre en fond sonore lors d’un rendez-vous galant.
Je suis contre l’application de l’arme judiciaire (d’ordinaire si faible) contre Dieudonné.
Son alliance politique avec l’ignoble Soral doit être combattue de manière politique.
Quelle erreur de jugement.
L’accusation de « double standard » retentit de l’Amérique à l’Asie.
On n’avait pas besoin de ça.
On peut pas écrire qu’on s’en fout de Charlie. Ben non. Même si on achète le canard plutôt passque là on se marre bien à le lire. Plus qu’à voir des cardinaux en rond se faire empapaouter mutuellement; pour illustrer la pédophilie d enombre de gens d’église, ô las.
pourtant il faut bien
« Dans le cas du journal satirique Charlie Hebdo, ( chacun lit ce qu’il veut, je ne lis pas ce journal) il fut « blanchi » lors de procès, car ce n’est pas une mouvance idéologique qui appelle à la haine, ou autre action répréhensible. Ce qui n’est pas le cas du m’bala m’bala. »
mon Dieu quelle misère…
si vous ne voyez pas de différence entre ces deux cas alors je pense qu’il est grand temps de faire nos valise et partir vivre en new zeland…
la question est : comment en est-on arrivés à avoir notre jugement déréglé à ce point ?
je regardais le document sur la découverte du camp de Bergen par les anglais, ils ont fait venir des notables allemands qui vivaient alentour : les types disaient aux anglais : « pourquoi vous nous infligez cette terrible souffrance d’assister à ce spectacle… ? « vous êtes des monstres » disaient-ils aux anglais…
et là j’ai compris pourquoi welbec avait plus de succès outre rhin que chez les british…
ce qui est en jeu c’est la liberté d’expression.
C’est à dire qu’il faudrait fermer ta grande gueule sur tout ce qui dérange : les sinécures, les privilèges, les passe-droits et passe moi le plat etc.
Ben non.
Tu te tais, tu meurs.
jambrun je savais pas que tu étais un spécialiste de la morale analytique… (prospero)
Les exercices que l’actualité m’a inspirés me l’ont été tout autant par l’excellent petit traité de Ruwen Ogien, « L’influence de l’odeur des croissants chauds sur la bonté humaine » (Livre de poche).
Tu l’ouvres, tu meurs aussi, tu me diras.
Alors à choisir, puisque tu demandes de choisir, ben tu l’ouvres tu meurs.
Et toc.
rose dit: 14 janvier 2015 à 21 h 10 min
pardon sur l’aspect décousu de mes coms ce soir mais je suis en attente de modération un com sur deux. Je fais comme vous pourtant.
_
Non, vous dites souvent des bêtise, Rose.
C’est pour cela qu’on vous modère préventivement.
C’est à dire qu’il faudrait fermer ta grande gueule sur tout ce qui dérange : les sinécures, les privilèges, les passe-droits et passe moi le plat etc.
Mais enfin, Rose !
Travailler sur les besoins des élèves et des étudiants, très bien . Et ce n’est pas une nouveauté que ce soit indispensable.
Mais ce discours de la ministre, bordel de Dieu !
Aucune hauteur de vue, pas le moindre élan !
Mais c’est pathétique ! Un discours de cheftaine scout !
Minable .
Quelle honte !
En plus de ça, ce que vous pourriez dire en un commentaire, vous le dites en dix.
>D
Mais vous êtes dit pour écrire que je dis des bêtises ?
ou même davantage. vous envoyez tout simplement vos commentaires trop rapidement. prenez votre temps.
Comme vous, je réfléchis, j’écris.
Ne vous énervez pas, Rose.
Daaphnée dit: 14 janvier 2015 à 21 h 13 min
Il arrive, dans certaines circonstances qu’à l’eau plate (Vallaud-Belkacem) on préfère le gros bleu qui tache (JP Brighelli)!
Morte de rire, je suis : il vous a fallu sept cents commentaires d’une lenteur incommensurable pour arriver à écrire
les musulmans mes frères.
En deux on peut l’écrire.
Mes sœurs, mes amis, mes frangines.
Daaphnée, je n’aime pas qu’on écrive Bordel de Dieu, mais la liberté d’expression prévaut sur tout.
…
…la vie dans les bois,!…à 19 h 08 min,…
…
…pas de panique, la résistance s’organise,!…
…
…foutez-vous de ma gueule, c’est bien,!…
…
…vous avez de la chance, que je suis généreux,!…je peux aussi bien, me taire le clavier, et laisser-rouler,!…
…
…la peinture, le graphisme, les arts, même les concepts des banquiers, m’aide à décrire par la plume, ce que je vous transmet!…
…
…mais, vous penser bien,!…que mon esprit est privé,…il n’y a pas de panique,!…
…
…il y a » fracture « , entre religions d’abrutis-soumis,…et la responsabilité avec les libertés de vivre dans la gestion quotidienne du XXI° siècle,!…
…la santé, la sécurité, l’objectivité avant le diocèse des sophistes,!…à se trouver un crétin à écrire, » le monde est dans la foi ou bien il n’est pas « ,!…
…un fromage,!…d’Esope,!…etc,!…
…
Mes frères, mes amies, mes potes.
intuitivement la quasi totalité des personnes acceptent le cas 1 et refuse le cas 2 !
alors que dans les deux cas on sacrifie une personne.
tu sais pourquoi ? (prospero)
Je crois que personne ne sait au juste pourquoi. Il existe plusieurs interprétations. Et si le gros type obèse est Juif, est-ce que ça va changer les résultats du questionnaire ? Imaginons qu’on distribue ce questionnaire dans divers coins du territoire, ou même divers endroits de la région parisienne. Mon dieu, j’en frémis d’avance. A quoi tiennent les critères de la moralité.
Vous voyez deux.
Un
Deux
C’est pas sorcier.
Vous interprétez. Je ne suis pas en colère. Ni énervée. Si j’ai un surcroît, c’est de boulot.
Ni de colère, ni d’énervement.
rose dit: 14 janvier 2015 à 21 h 34 min
Mes frères, mes amies, mes potes.
Fraternité, rose!
Et notre amie Clopine qui ne rêve que nous écraser tous contre sa généreuse poitrine!
On en sort flattés mais écrasés.
Ecrasés mais flattés.
Il ne veut rien dire ce questionnaire.
Tu demandes d’anticiper sur quelque chose où par définition nul ne peut anticiper.
Tu le sais pas ce que tu ferais dans telles circonstances. Comme nul ne le sait.
Prospèro, vous qui avez les connaissances juridiques du roi Solomon, si dire ‘je suis Coulibaly’ = je suis tueur de juifs, que voudrait dire ‘je suis Charlie Coulibaly’? (ce qu’aurait dit M’Bala M’Bala)
Ici l’opinion generale est que c’est un autre ‘double-standard’ (Deux poids et deux mesures)
Écrasés et flattés ??? entre deux gros seins c’est une belle mort.
Fraternité, c’est ce que j’ai fait et dit au boulot. Avec Karim un, avec tous, deux. Un hug géant.
rose dit: 14 janvier 2015 à 21 h 38 min
Écrasés et flattés ??? entre deux gros seins c’est une belle mort.
D’accord.
On peut choisir les seins?
Daaphnée, je n’aime pas qu’on écrive Bordel de Dieu, mais la liberté d’expression prévaut sur tout. (D.)
cher D., il y a deux jurons que j’affectionne particulièrement quand je suis très très énervée, ce sont:
-Bordel de Dieu
-Nom de Dieu
Et je dois dire que Dieu, dans son immense amour, m’accorde qu’ils me procurent un grand soulagement .
La différence (???) entre vous zet moi, est que j’ai admiré que vous y soyiez arrivé à le dire. Même si l’accouchement fut difficile le bébé fut beau magnifique s’est égosillé superbement bien.
Alors que vous n’avez aucune patience.
Être vivant lorsque tout le monde est mort est extrêmement difficile.
C’est être rescapé.
Cessez donc de chercher ailleurs ce que vous avez à la maison.
Heureuses les bobonnes.
Mais vous êtes qui ?
super : toutes mes attentes de modération sont levées. Je pèse mes mots. Choisis mes propos.
Tous égaux: personne ne tient à niveler par le bas. On tient beaucoup par contre à tirer vers le haut.
en attente de modération mon:
« Daaphnée, je n’aime pas qu’on écrive Bor.el de Dieu, mais la liberté d’expression prévaut sur tout. (D.)
cher D., il y a deux jurons que j’affectionne particulièrement quand je suis très très énervée, ce sont:
-B.rdel de Dieu
-No. de Dieu
Et je dois dire que Dieu, dans son immense amour, m’accorde qu’ils me procurent un grand soulagement . »
Dites, Pierre Assouline, savez-vous que le blasphème n’est pas un délit en France ?
Oui ?
Bon, alors n’ayez pas peur !
Gros qi et forte en langues: wiedergg a bon goût avec Sylvia Kristel, le chagrin des Belges.
Vous l’avez déjà dit cheftaine scout pour madame la ministre.
Métaphore : pensez aux harkis. Et voyez ce que cela donne. Le tiraillement atroce style la tour de Londres.
Faut un sacré courage pour affronter la tête haute ce qui se passe.
Commettre des impairs en ces temps c’est aussi prendre conscience de l’énormité de la situation;
A mes yeux, on ne sort pas indemne de multiples années de « c’est pas grave & on s’en fout » ou chacun a tiré abondamment la couverture à lui-même.
On vous le dit, nous, combien on a souffert nous, tout ce temps là, sur le terrain ?
Alors respect, je vous prie.
Le sympathisant de marine le pen relève que Nick Drake (rappel: « Soumission, p. 44 et précédentes) a mis fin à ses jours. Soit. Ce qui n’enlève rien à son talent de jeune artiste disparu trop tôt.
Mais cette considération inactuelle me ramène- j’en étais déjà bien loin- sur une association du billet, Celan/Moulin, qui ne me mettra pas en colère. Non.
Zen attitude; comme le dit le professeur François, il y a une tendance lourde en France, à s’emporter pour un rien.
Vous avez aimé ?
https://www.youtube.com/watch?v=idcaRTg4-fM
où chacun
le + honête ayant été celui qui a dénoncé le mammouth.
Facile après hein de porter jugement ? De tirer son épingle du jeu. De dire je passe. As de pique et roi de carreau.
C’est l’analyse de DHH, sobre et concise, faite il y a quelques jours, que je retiens de la situation.
honnête
Simplifions, donc : heureuses bobonnes.
Hello la vie, comme disent les anglishes: take a sledgehammer to crack a nut…
Et si c’est pas clair, je dirais que ce jeune artiste, Nick Drake, a payé vraiment cher son désir de Liberté, avec une aile, en majuscule.
Hello, Abdel, yes, remember…
On vous le dit, nous, combien on a souffert nous, tout ce temps là, sur le terrain ?
Alors respect, je vous prie.
La picole à jeun, ça sert à rien.
enfin, vous lirez mon 22h01, lorsque cela sera passé par l’aval du très haut.
Je disais simplement que ce jeune artiste avait payé très cher son désir de Liberté. Cela gène-t-il quelqu’un ?
Il faut bien.
Tailler un short : faut dire que faut pas dire ce que l’on pense. T’es pas d’accord tu te la boucles. Alors qu’au contraire, il faut (daaphnée reste calme trois verbes falloir je sais je sais)il va falloir que tu mettes en cohérence vraiment ce que tu penses et ce que tu fais.
Cela tu ne l’approuves pas => tu n’y participes pas. Hé hé.
(et karim tu l’aimes bien => facile le hug rose avec un que tu aimes bien)et le nougat noir hein pour lui (qui t’a fait être accusée de le soudoyer alors qu’il t’a juste branché le magnétoscope antique sur la télé antique passque toi la techno tu vas prendre des cours basiques pour éradiquer tout piratage outrancier). Il aurait partagé t’aurais pas été accusée de le soudoyer. Toi qui ne soudoies jamais personne, espèce d’incapable.
Pardon pour Celan , mais vraiment pas un exemple à suivre …
Le jour où je picole pinpin, tu seras moine.
Il faut en revenir de Celan. Ce que j’ai fait. Sans aucun problème.
Il faut être dans certains dispositions d’esprit pour écouter Nick Drake, vous êtes décidément une âme vulgaire, la vie.
Il semble surtout que Nick Drake pour Houellebec représente un certain type d’homme occidental dévirilisé et suicidaire ouvrant la voix à l’homme nouveau mahométan. En effet, vous aurez noté que le narrateur ne consomme pas après sa rencontre avec Myriam…
Ils ont tous payé très cher leur désir de liberté. Tu peux disserter là-dessus et même philosopher. J’arrête là.
Sujet.
Mourir pour des idées d’accord mais de mort lente.
Qu’en pensez-vous ?
Qu’en savez-vous ?
Y 21 ans j’ai pas eu le temps de le savoir m’sieur.
y 23 moi non plus m’sieur.
Manouchian Michel
je n’en veux pas au peuple allemand. Marie-toi Mélinée, fais des enfants.
Il y a des journalistes qui acceptent de démonter la rhétorique des sympathisants de marine le pen comme mortez.
Pour moi c’est du temps perdu.
Drôle comme tu ramènes tout à l’alcool alors que tu bois bien moins qu’avant.
Qu’en sais ?
Rien.
Je suppute.
Bonne soirée à tous, fraternité
qu’en sais-je ?
pfff
Sur cette affaire des caricatures de Mahomet, il me semble que les positions d’un Ruwen Ogien en matière de morale pourraient être éclairantes. Si l’on place l’affaire sur le terrain de la morale et si l’on considère qu’est moral tout acte qui ne porte aucun tort à autrui, qui ne lui fait pas du mal, on peut se demander si caricaturer Mahomet est un acte moral ou non. Mais dans ce cas, il faut prendre en compte les souffrances psychiques qu’on peut infliger à autrui. Dès lors la question de savoir si caricaturer Mahomet est compatible avec la morale dès lors que l’acte moral est défini comme tout acte sans conséquence nuisible pour autrui, cette question n’est pas aisée à trancher.
Mais « représenter Mahomet », est-ce seulement concevable ? On sait qu’il n’existe actuellement dans la tradition iconographique musulmane aucune représentation du Prophète. En a-t-il existé à date ancienne ? Personne n’en sait rien mais c’est peu probable. Dès lors, personne ne peut dire à quoi ressemblait Mahomet; ainsi, pour un dessinateur qui prétendrait « représenter Mahomet », il n’existe aucune représentation à laquelle se référer. J’ai acheté, par solidarité avec les journalistes de Charlie Hebdo et pour quelques autres excellentes raisons le dernier numéro du journal, avec sa première page montrant un personnage barbu et enturbanné sur fond vert. L’image est sans légende. Si le dessinateur ne l’avait pas expressément désigné comme Mahomet, rien n’indiquerait que c’est le cas. J’y ai vu, pour ma part, une sorte de bigot musulman, mais pas le Prophète. Si le référent d’une photo peut être aisément identifié, il n’en va pas de même d’un dessin, surtout d’une caricature, et s’il n’existe aucune image antérieure à laquelle se référer, le référent devient introuvable. Tout tourne autour de l’ambiguïté et de l’impropriété de l’expression « représenter untel ». Le dessinateur de Charlie Hebdo n’a pas « représenté Mahomet », il s’est représenté Mahomet, ce qui ne revient pas au même. La notion de référent me paraît de nature à éclairer ce débat : le dessin qui orne la Une du dernier numéro de Charlie Hebdo n’a d’autre référent que lui-même. En revanche, quand Plantu (par exemple) caricature François Hollande ou Sarkozy, ses dessins ont bien un référent qui leur est extérieur et auquel ils renvoient. On peut dire que Plantu « représente Hollande et Sarkozy » ; en revanche, il est impossible aux dessinateurs de Charlie Hebdo de « représenter Mahomet ». Ils se bornent à montrer un personnage barbu et enturbanné, aux allures plutôt comiques, mais qui n’a strictement rien à voir avec Mahomet, personnage jamais représenté et irreprésentable.
Un Lichtenberg pour la nuit
« N’est-il pas étrange que les hommes combattent si volontiers pour la religion et vivent si peu selon ses principes? »
Bonne nuit, mes p’tits loups, le pire n’est pas certain.
culpabilisez-vous!
Hors de question.
Je laisse cela aux politiques.
Je vous plussoie jambrun.
Je doute que ce soit mahomet passque dieu ne pleure pas et là, il pleure. Mais ce ne sont pas des sanglots : une seul larme coule sur la joue, lentement. Et si c’était de la glycérine ?
JB, ce qui est surprenant c’est que les récits sur Mahomet ne manquent pas. Sa vie romancée, notamment.
http://www.jolpress.com/marek-halter-khadija-mahomet-islam-femmes-musulmanes-religion-article-825358.html
Enfin, vous me direz tout cela n’est pas très fiable…
Trudi Braut von Apfelkorn und Sauerstoff dit: 13 janvier 2015 à 11 h 45 min
Ca dépend. Vous savez vider les lave-vaisselles?
non.
Je jette par la fenêtre toute vaisselle sale.
Désolée. Je ne fais pas l’affaire.
Pierre Mortez dit: 14 janvier 2015 à 22 h 10 min
« Il faut être dans certains dispositions d’esprit pour écouter Nick Drake, vous êtes décidément une âme vulgaire, la vie.
Il semble surtout que Nick Drake pour Houellebec représente un certain type d’homme occidental dévirilisé et suicidaire ouvrant la voix à l’homme nouveau mahométan… »
Et Gainsbourg, z’en pensez quoi, Vot’Imminence?
22h26 vous me faites sourire, dans ce grand aquarium surpeuplé, vous continuez d’être un objet d’observation intéressant.
Et Gainsbourg, z’en pensez quoi, Vot’Imminence?
Il a commis un requiem qui soulage même si ce n’est pas sexuel.
J’imagine que le professeur François va rire aux éclats de cette histoire de bonhomme de neige, fabrication made in Arabie Saoudite.
Il y a des résistants parmi eux.
http://www.liberation.fr/monde/2015/01/13/la-fabrication-de-bonhommes-de-neige-sacrilege-en-arabie-saoudite_1179819
Diagonal dit: 13 janvier 2015 à 10 h 52 min
Pfff pffff
ce soir émission sur France culture paroles ouvertes ou libérées sur l’avortement vers 18heures par là.
Nulle religion, nul dogmatisme, toute laïcité : à toutes voiles.
et bé : p. de douleur des hommes et des femmes et de chacun. Tout sauf de la tarte ces paroles. Et celle qui a dit : » j’ai pas le droit, mais ma dernière est trop petite elle a deux ans, je lui dis pas, mais je peux pas je peux pas.
C’est quoi le boulot qu’il faut faire là ?
Et » j’ai rompu avec lui, mais j’ai repris. Mais j’ai repris la pilule après avoir repris la relation alors là je sais pas je croyais qu’il y avait un temps de.
De je sais pas quoi.
Je pense que l’éducation nationale est entièrement responsable.
O ben oui.
Et tac prends toi ça dans les gencives.
De toutes façons j’étais sûre que nous y aurions droit.
Et cela ne loupe pas.
Salut à tous.
Et fraternité.
Non mais les gros ça flotte, et en plus la couche de graisse les protège du froid significativement plus longtemps que les hautres…
Mais si c’est le viaduc de Viorne c’est embêtant parce qu’en dessous y a pas d’eau y a encore des rails…
Le désir de liberté, je vous le dis, se paye toujours trop cher.
Non mais si hon dit : « Par la barbe du Prophète », on le représente, ou on le représente pas ? C’est limitigieux, hein…
…
…mais, enfin, nous sommes chez-nous occidentaux,!…nous décrivons le reste du monde comme nous voulons,!…dans nos concepts et nos frontières,!…
…
…pourquoi, sommes nous espionner de ce que nous pensons avec notre judicieuse liberté,!…nous imprimons pour nous,!…ce que nous croyons des » autres « ,!…
…on peux encore écrire, ce qu’on veux chez nous,!…enfin,!…
…Alors, aux autres autochtones du monde,…en quoi çà vous regarde,!…nous somme nous,…nous n’avons pas de compte à vous rendre de nos caprices des Dieux chez-nous,!…
…vous n’avez pas, à projetez de nous conquérir avec vos prétextes de maîtres à esclaves-soumis-lèche-culs,!…
…Oh,!…Persécuteurs,!…vos Victimes sont livrées pour vos exactions,!…en soumises implorées,!…
…elle est ou la pomme avalée de l’arbre du milieu, pour faire un exemple,!…
…
…en tout cas,!…être un sage grec, philosophe, ou mathématicien, trouvé et appliqué les sciences pour nous sortir de la misère en tribut,!…
…pour en arriver à se plier à des dogmes de soumissions stupides, c’est vraiment, du Stalag 13 juifs-nazis-arabes,!….
…
…il ne faut pas me parler, de religions c’est de la merde d’église, pour profiter des crédibilités commerciales pour esprits débiles,!…et je reste succinct,!…
…etc,!…
Ok: je le concède j’ai bu un café passé 16h. Je suis hyper speedee.
Des retombées ou des représailles ?
Relax rose : fini le café.
LA philarmonie a été inaugurée aujourd’hui. Dommage que ce soit dans un quartier moche.
Sont pas prêt de m’y voir. Pourtant j’aime la musique classique, mais pas n’importe où quand même.
C’est d’ailleurs pour cette raison que je n’ai jamais mis les pieds à Bastille et que je n’y mettrai jamais les pieds. Mitterrand m’était plutôt sympathique mais j’étais jeune. Avec le recul je trouve qu’il a fait plein de conneries.
« Abdelkader dit: 14 janvier 2015 à 21 h 38 min
Prospèro, vous qui avez les connaissances juridiques du roi Solomon, si dire ‘je suis Coulibaly’ = je suis tueur de juifs, que voudrait dire ‘je suis Charlie Coulibaly’? (ce qu’aurait dit M’Bala M’Bala)
Ici l’opinion generale est que c’est un autre ‘double-standard’ (Deux poids et deux mesures) »
oui, je connais l’opinion bien générale.
« deux poids deux mesures » c’est aussi l’argument que reprennent les gamins pro-Dieudonné dans les écoles, beaucoup sont comme Dieudonné des « Charlie Coulibaly » en oubliant de dire qu’ils sont plus « Coulibaly » que « Charlie ».
d’ailleurs cette opinion générale sait bien le sens l’expression « je suis Charlie Coulibaly ».
vous même connaissez bien le sens de cette expression, vous connaissez Dieudonné, vous connaissez son historique, ses propos haineux et révisionnistes.
mais ça vous le savez et c’est parce que vous le savez que le défendez avec votre « deux poids deux mesures ».
l’idée même de comparer l’équipe de Charlie à Dieudonné démontre, non pas la confusion des esprits, mais l’esprit mail de l’opinion générale.
quand je pense que vous versiez des larmes de crocodile à la mort des Charlie, nous savions vous et moi que c’était du flan…
« deux poids deux mesures » : welbec a raison, je crois que notre combat républicain contre tous ces enfumeurs qui ont appris à manier la réthorique du pire est perdu d’avance.
il y avait 2 réactions possibles après l’attentat contre Charly : mettre Dieudonné dans un avion et le renvoyer au Cameroun ou en Iran, ou bien tomber dans le piège du « deux poids deux mesures », c’est cette dernière option qui l’emportera, contre tous ces enfumeurs notre combat était perdu d’avance.
La vie, malheureusement c’est cette vision saoudienne tartuffierre du monde qui est en apogée dans le monde musulman en ce moment…ce vendredi, le blogueur saoudien Raif Badawi recevra sa 2ème tranche de 50 coups de fouet des 1000 qui lui ont été imposées pour avoir osé bloguer un message libéral…son avocat a lui aussi été condamné à des années en taule…cette vision de l’islam est franchement diabolique…et sert à préserver le status Quo qui protège cette maffia princière qui se partage le butin pétrolier du royaume…et pourtant…tout le monde prétend ignorer ce qui se passe…l’argent n’a pas d’odeur…comme disait Brel, pas d’odeur me monte au nez…
Pour moi la Villette, c’est des abattoirs et la Bastille une prison. On pourra dire tout ce qu’on veut c’est comme ça.
La musique ça se fait à Pleyel, à Gaveau, à Garnier, au Théâtre des Champs Elysées, bref, là où ça vibre en harmonie, pas chez le populo socialo.
« Abdelkader dit: 14 janvier 2015 à 22 h 33 min
« Pierre Mortez dit: 14 janvier 2015 à 22 h 10 min
Il semble surtout que Nick Drake pour Houellebec représente un certain type d’homme occidental dévirilisé et suicidaire ouvrant la voix à l’homme nouveau mahométan… »
Et Gainsbourg, z’en pensez quoi, Vot’Imminence? »
mon Dieu quelle misère…
Prospère, essayez de répondre a ma question, au lieu de pisser dans le sable…que voudrait dire ‘Charlie Coulibaly’?
« Abdelkader dit: 14 janvier 2015 à 23 h 07 min
La vie, malheureusement c’est cette vision saoudienne tartuffierre du monde qui est en apogée dans le monde musulman en ce moment…ce vendredi, le blogueur saoudien Raif Badawi recevra sa 2ème tranche de 50 coups de fouet des 1000 qui lui ont été imposées pour avoir osé bloguer un message libéral… »
il faut lui envoyer Dieudonné pour le défendre.
non ?
Eh…on peut pas tous être le roi Solomom hein…
« Abdelkader dit: 14 janvier 2015 à 23 h 12 min
Prospère, essayez de répondre a ma question, au lieu de pisser dans le sable…que voudrait dire ‘Charlie Coulibaly’? »
dans la bouche de Dieudonné ?
pourquoi vous me posez des questions alors que vous connaissez la réponse ?
ou alors si vous ne savez pas lire je ne vois pas pourquoi vous venez sur un blog de littérature.
vous êtes vraiment un sacré faux cul vot’imminence.
Oui, c’est assez ça, discours de cheftaine scout. Et dans les établissements, des dames patronnesse à la direction. Tout ça vous donne 17 morts. Game over. Triste pays !
Manuel Vals s’offusquait que dans certains quartiers on ne pouvait plus enseigner la Shoah. À Drancy, quand j’y enseignais, j’étais le seul de tous mes collègues à le faire à la date anniversaire de la « libération » du camp d’Auschwitz. Résultat des courses, mes élèves (en majorité d’origine maghrébine) ne trouvaient pas « ça » normal…! Ils se sont plaint à la direction de l’établissement. Ils ont prétendu que j’humiliais mes élèves. Le chef d’établissement a écrit une lettre au Recteur disant que j’étais Juif et en gros que je traumatisais mes élèves et que j’étais raciste. Comme je l’ai très mal pris, j’ai reçu un blâme de mon administration. Tous les parents me sont tombés dessus (une seule mère de famille, d’origine marocaine, m’a défendu auprès des parents), toute mon administration m’est tombée dessus, mes collègues ne m’ont pas défendu, sauf un, d’origine portugaise (qui était agrégé de portugais et avait souffert de la dictature salazariste et donc qui était capable de se mettre à ma place et qui savait fort bien que je suis un militant anti-raciste pour avoir défendu les sans-papiers dans la lutte contre le gouvernement). Voilà, c’est comme ça qu’on a fabriqué des Coulibaly, qu’on les a caressé dans le sens du poil pour avoir la paix, qu’on a persécuté les braves types comme moi qui ne faisait que son devoir de prof. Voilà ce qu’il en est en France de la réalité de nos banlieue derrière le discours de cheftaine de Najat. Sinistre pays !
Ici c’est Amnesty International qui essaye de sauver sa peau…sans jouer les tue-joies, je crois qu’un peu de respect pour quelqu’un qui risque fort de perdre la vie, est de mise ici…vous avez mangé un truc qui vous contrarié?
Quelles sont les qualités intrinseques d’un Hamlet ou d’un Prospero, telles qu’imaginees par le Grand Will, que vous pensez avoir?
si vous comprenez ce que signifie l’expression « je suis Charlie Coulibaly » dans la bouche de Dieudonné, au lieu de venir sur un blog de littérature allez plutôt là :
http://www.arsenal.com/home
« Abdelkader dit: 14 janvier 2015 à 23 h 12 min
Prospère, essayez de répondre a ma question, au lieu de pisser dans le sable…que voudrait dire ‘Charlie Coulibaly’? »
dans la bouche de Dieudonné ?
pourquoi vous me posez des questions alors que vous connaissez la réponse ?
ou alors si vous ne savez pas lire je ne vois pas pourquoi vous venez sur un blog de littérature.
vous êtes vraiment un sacré faux derche vot’imminence.
ce qui expliquerait vos larmes de crocodiles en apprenant l’attentat contre Charlie.
La gauche collabo, encore.
http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/14/polemique-dans-la-famille-charlie-hebdo_4556428_3224.html
l’avantage de lire le grand Willy c’est qu’à force de voir les personnages se travestir pour dire le vrai ou le faux on finit par repérer les faux derches au premier coup d’oeil.
« Trudi Braut von Apfelkorn und Sauerstoff dit: 14 janvier 2015 à 23 h 25 min
La gauche collabo, encore. »
le mot « collabo » convient-il bien ?
Que pensez vous savoir de mes sentiments? Z’etes voyante en plus de prophète? Mme Soleil Solomon? J’ai un abonnement au stade d’Arsenal et pas besoin de vous pour m’indiquer l’adresse de leur blog…je suis en train de vous dire que vu d’ici, le traitement de Dieudonne par la police est un double standard…le Telegraph, qu’on ne peut accuser d’être pro-musulman, a remarqué que le dessinateur Sine fut licencie par Charlie Hebdo pour un dessin sur Sarko junior, qu’ils avaient trouve antisémite…
Ce qui est étrange. C’est que la meute de rôtweilers soit descendue sur le moulin de la RdL en meme temps, même Son Imminence Brune…la mante religieuse, un qui se fait appeler Propsero et qui lit dans les pensées, le garde champêtre (mais lui, il fait la garde depuis un bout de temps)la jambe brune..tain…Perso, je garde ma distance…heureusement qu’il y a la Manche hein…
prospero dit: 14 janvier 2015 à 23 h 25 min
l’avantage de lire le grand Willy c’est qu’à force de voir les personnages se travestir pour dire le vrai ou le faux on finit par repérer les faux derches au premier coup d’oeil.
Z’avez du voir de bien médiocres mises en scène…j’ai du voir Hamlet
plus d’une douzaine de fois et rien ne se révèle au premier coup d’œil, à moins que l’on soit un peu dense ou que ce soit une version Sésame Street…
Tout à fait, prospero, il convient tout à fait à tous ces connards qui vont nous faire le coup du respect, de la non-stigmatisation et tutti quanti.
Mon pauvre abdelkaderounet, vous v’là parano maintenant. Remarquez, ça va bien avec antisémite.
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