de Pierre Assouline

en savoir plus

La République des livres
Celle qui est ce qu’on veut qu’elle soit

Celle qui est ce qu’on veut qu’elle soit

Soit Eve, une jeune femme dans le Paris d’aujourd’hui, que la perspective de la mort, envisagée avec mélancolie mais sans tristesse, rend de son propre aveu décalée, inactuelle. Plus elle ressent l’absence d’un père de toute façon incertain, et l’abandon d’une mère avant tout soucieuse de son bon plaisir, plus elle se réfugie dans la littérature. Non pour l’écrire mais pour la lire. Des livres jusqu’à plus soif et parfois des manuscrits. Le jour où elle entend sa mère confier à l’un de ses amants de passage qu’il serait temps de l’« initier », on se dit : air connu. Ce n’est pourtant pas ce qu’on croit. Pas vraiment. Pas tout à fait. Si cette histoire est bien imprégnée par le cinéma de Stanley Kubrick, celui de Eyes Wide Shut, c’est surtout par son cérémonial et l’inquiétante étrangeté qui s’en dégage. Mais gardons-nous d’y pénétrer les yeux grands fermés. Ce serait gâcher le plaisir du texte pour n’en conserver que l’ambiance alors que son style et son rythme, le son qu’ils produisent lorsqu’ils sont accordés à un lexique des plus précis, méritent qu’on s’y attarde pour eux-mêmes.

Un conclave de silencieux sexagénaires. On les désigne par le beau mot de Silentiaires. Le silence leur est mesure du temps. Ces taiseux énamourés de la langue française dans ce qu’elle a de plus classique et de plus pur (Bossuet, Fénelon…) s’assemblent deux fois par semaine afin de l’entendre sonner à son meilleur. L’individualisme, l’amour de soi et l’esprit de consommation qui règnent sans partage sur notre société ont perdu cet art si précieux de l’écoute.

Plus qu’une simple lectrice qui lirait un texte ou commenterait l’action hors champ, Eve est leur récitante, autre mot d’un autre temps qu’il faut entendre là dans son acception la plus musicale, comme on le dit d’une partition écrite pour un instrument de soliste ou d’un chanteur interprétant les récitatifs d’une Passion. La suite des aventures de cet énigmatique être de langage l’entraine, et nous avec, dans des cercles tout aussi lettrés mais un peu plus interlopes et licencieux. Son art de manipuler les mots y fait merveille ; l’érotisme affleure sans jamais déborder ; la narratrice y jouit de tout en permanence ; certaines pages semblent imprégnées de la lecture éperdue de Nabokov. Il est pire influence.

Ce premier roman (un peu trop) érudit, truffé de pastiches clandestins, de faux-semblants, de mensonges et de mises en abyme, témoigne d’une telle maturité et d’une si impressionnante maitrise que, depuis sa parution, la rumeur s’interroge sur la qualité de son véritable auteur ; d’autant qu’il est signé sous le pseudonyme d’Eve-Marie Des Places et que le ton en est plutôt désenchanté sinon désabusé. La Récitante (266 pages, 19 euros, Le Cherche-midi) « serait » l’œuvre d’une plume connue et éprouvée désireuse de demeurer dans l’ombre sinon au secret… Un tel étonnement a de quoi étonner, comme si on avait oublié que, s’il est réussi, le premier roman d’un débutant résonne souvent à l’égal d’un coup d’éclat. Et comme si la singularité de cette histoire et celle de sa publication ne se suffisaient pas à elles-mêmes, voilà que le québécois Renaud-Bray, plus grand réseau de librairies francophones en Amérique du Nord, de même que celui du Furet du Nord, proposent comme leurs confrères La Récitante sur leur site de vente en ligne, mais en précisant que la narratrice s’appelle Louise et l’auteure « Louise-Marie Des Places » !

A quoi bon s’échiner à faire la part de l’autobiographie dès lors qu’on ne sait rien de tangible sur sa… signataire. « Je suis ce qu’on veut que je sois » anticipe-t-elle dans une lettre à l’éditeur publiée en liminaire selon un vieux procédé destiné à brouiller les pistes. La belle affaire ! Autant dire : une autodidacte passionnée de littérature et sa Récitante un roman d’initiations car elles sont nombreuses. Qu’importe au fond puisqu’on n’avait pas lu depuis longtemps une première oeuvre qui procure un enchantement si vénéneux.

(« L’inconnue » Photo Passou)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

1177

commentaires

1 177 Réponses pour Celle qui est ce qu’on veut qu’elle soit

Amanda Lire dit: à

Les modérés sont tout de suite pris à parti et éliminés

C’est à cause du ressentiment, Damien!

 » Mais qu’est-ce que le ressentiment ? Selon un schéma de perversion et de renversement des valeurs habituelles, le mal devient le bien, l’impuissance bonté, l’obéissance soumission, la lâcheté vertu, etc. Au paragraphe 10 de la Première Dissertation de la Généalogie de la morale, Nietzsche met en scène une opposition historique de deux morales – la « morale des esclaves » et la morale aristocratique, en introduisant la notion nouvelle de ressentiment, terme emprunté à la langue française car selon Scheler lui-même, le mot allemand der Groll, « colère rentrée » traduit imparfaitement le ressentiment.
Max Scheler propose plusieurs éléments qui définissent le ressentiment comme « auto-empoisonnement psychologique » débouchant sur une déformation ascétique de la hiérarchie naturelle des valeurs. Au départ on trouve toujours une blessure d’amour-propre qui suscite un désir de vengeance immédiate, de représailles fulgurantes. Mais au bout d’un certain temps, après une latence, s’impose un sentiment d’impuissance qui rend illusoire la vengeance. D’autres éléments viennent s’ajouter à cette humiliation : le désir de vengeance se dégrade peu à peu en toute une gamme de sentiments négatifs (nous sommes dans le domaine de l’affectif, de l’émotion) : aigreur, rancune, animosité, envie, jalousie, « mensonge organique » ; à la surface de la conscience règne dès lors la malignité ou plus exactement cette joie maligne appelée Shadenfreude.

Des exemples de ressentiment, fruit de cette rumination malsaine ?
Scheler décline une liste qui pourra faire réagir les lecteurs : outre J.-J. Rousseau – que l’on a pu tenir pour l’incarnation-même de « l’homme du ressentiment », les femmes sont spécialement exposées, mais aussi les Juifs, les prolétaires, les fonctionnaires à la retraite (!), les prêtres – beaucoup plus selon lui que les militaires – ; bref, bien peu de catégories d’individus échappent à cette fatalité. Scheler souligne aussi les réflexes compensatoires de résignation suscités par la divergence entre le désir de posséder quelque chose et le constat d’impuissance à l’obtenir : « Les raisins sont trop verts », dit le renard de la fable, qui nie la valeur de ce qu’il ne peut atteindre et « sauve la face » – tandis qu’un Goethe, par le seul fait de son existence, de sa vitalité, de la prééminence incontestée de ses talents, agace, il est un « reproche éternel » aux yeux de ceux qui n’ont pas son génie et deviennent ses ennemis (Divan, « Livre des maximes »). On aura peu de peine à entendre là l’accusation d’« arrogance » adressée aujourd’hui par le vulgum pecus (« l’homme moyen » selon Scheler) aux élites, aux puissants, aux victorieux… »

https://www.patrickcorneau.fr/2022/05/lhomme-du-ressentiment/?fbclid=IwAR2_3KEBvIcpsEDqltxX6WRBoEITMhjrTSQTJcsKczwMZQt6FjJuLct_Ur4

bouguereau dit: à

Bloom, oui je suiis d’accord Céline abject ! Ignoble ! c’est certain ! pamphlets ignominieux ! Personnage dégoutant !

Alors la grande scène avait commencé. Cramponné aux bras du fauteuil, des Esseintes avait senti, dans la joue, du froid, puis ses yeux avaient vu trente-six chandelles et il s’était mis, souffrant des douleurs inouïes, à battre des pieds et à bêler ainsi qu’une bête qu’on assassine. Un craquement s’était fait entendre, la molaire se cassait, en venant; il lui avait alors semblé qu’on lui arrachait la tête, qu’on lui fracassait le crâne; il avait perdu la raison, avait hurlé de toutes ses forces, s’était furieusement défendu contre l’homme qui se ruait de nouveau sur lui comme s’il voulait lui entrer son bras jusqu’au fond du ventre, s’était brusquement reculé d’un pas, et levant le corps attaché à la mâchoire, l’avait laissé brutalement retomber, sur le derrière, dans le fauteuil, tandis que, debout, emplissant la fenêtre, il soufflait, brandissant au bout de son davier, une dent bleue où pendait du rouge!

Anéanti, des Esseintes avait dégobillé du sang plein une cuvette, refusé, d’un geste, à la vieille femme qui rentrait, l’offrande de son chicot qu’elle s’apprêtait à envelopper dans un journal et il avait fui, payant deux francs, lançant, à son tour, des crachats sanglants sur les marches, et il s’était retrouvé, dans la rue, joyeux, rajeuni de dix ans, s’intéressant aux moindres choses.

une main... dit: à

une science instinctive de la saisie s’est progressivement imposée par son anus,

Mai quel anusement nous dispense le vieux nuselé!

Marie Sasseur dit: à

Marc Aurèle, de l’école stoïcienne , mériterait en effet un billet.

A travers quelques commentaires, on a pu découvrir, effarés, une récupération pseudo guerre de religion, qui est absolument étrangère aux fondements de cette pensée.

Les français sont bien mal lotis en devant composer avec des interprétations mortifères et haineuses, comme celle de Meunier, qui aura réduit cette pensée à une immonde élucubration. Renan avant, avait essayé de faire de Marc Aurèle, un disciple de Jesus, dans sa mystagogie, qui sert a tous ceux qui prônent les origines exclusivement chrétiennes de l’Occident. Et qui défilent aujourd’hui, 1er mai, sous la bannière de leur martyre, qu’ils ont pourtant brûlée.

Fais ce que peux, agis comme tu dois.
J’avais plutôt pensé à JJ Rousseau, mais c’est bien aux Stoïques, que l’on doit cette sagesse.

http://www.menesplet.fr/wp-content/uploads/2015/04/muguet3.jpg

Jean Langoncet dit: à

@debout les moutons dla terre..sur vos 2 pieds..qu’on vous voit le cul qu’on vous voit le con sacrénom

Merci de citer le père Popiełuszko

bouguereau dit: à

cette grosse faignasse de térezoune bulle sur la rdl..elle crève de la teube à msieu courte..si yen a des qui saucisonnent le vendredi saint les catho ont bien ldroit dconchier au 1er mai dans lmuguet

Jazzi dit: à

« Législatives 2022 : comment les négociations entre Insoumis et PS ont viré à la grande confusion »
« Législatives : le PCF juge les propositions de LFI insuffisantes pour un accord »

En France, on a la gauche la plus conne du monde !

Jazzi dit: à

Céline, c’est la voix du Franchouillard populaire et râleur : le Titi parigot dans toute sa splendeur, il a rien compris le Bloom !

bouguereau dit: à

toutafé..il aurait kiffé le lézard de paris et aurait voté macron baroz

bouguereau dit: à

En France, on a la gauche la plus conne du monde !

tu sais que dze sun a titré « perfidious france » le lendemain du discours de villepin à l’onu baroz

bouguereau dit: à

je vois qu’il a été repris par le guardian..la bibici aussi..c’est une rock song de kabloom

Jazzi dit: à

Céline dénonçait le colonialisme, il ne travaillait pas, comme Bloom, à des accords de coopération (néo colonialisme)…
____________________________

Dans cette colonie de la Bambola-Bragamance, au-dessus de tout le monde, triomphait le Gouverneur. Ses militaires et ses fonctionnaires osaient à peine respirer quand il daignait abaisser ses regards jusqu’à leurs personnes.
Bien au-dessous encore de ces notables les commerçants installés semblaient voler et prospérer plus facilement qu’en Europe. Plus une noix de coco, plus une cacahuète, sur tout le territoire, qui échappât à leurs rapines. […]
La ville de Fort-Gono où j’avais échoué apparaissait ainsi, précaire capitale de la Bragamance, entre mer et forêt, mais garnie, ornée cependant de tout ce qu’il faut de banques, de bordels, de cafés, de terrasses, et même d’un bureau de recrutement, pour en faire une petite métropole, sans oublier le square Faidherbe et le boulevard Bugeaud, pour la promenade, ensemble de bâtisses rutilantes au milieu des rugueuses falaises, farcies de larves trépignées par des générations de garnisaires et d’administrateurs dératés. […]
Le Directeur de la Compagnie Pordurière du Petit Congo cherchait, m’assura-t-on, un employé débutant pour tenir une de ses factories de la brousse. J’allai sans plus tarder lui offrir mes incompétents mais empressés services. Ce ne fut pas une réception enchantée qu’il me réserva le Directeur. Ce maniaque – il faut l’appeler par son nom – habitait non loin du Gouvernement un pavillon, un pavillon spacieux, monté sur bois et paillotes. Avant même de m’avoir regardé, il me posa quelques questions fort brutales sur mon passé, puis un peu calmé par mes réponses toutes naïves, son mépris à mon égard pris un tour assez indulgent. Cependant il ne jugea point convenable de me faire asseoir encore.
« D’après vos papiers vous savez un peu de médecine ? » remarqua-t-il.
Je lui répondis qu’en effet j’avais entrepris quelques études de ce côté.
« Ca vous servira alors ! fit-il. Voulez-vous du whisky ? »
Je ne buvais pas. « Voulez-vous fumer ? » Je refusai encore. Cette abstinence le surprit. Il fit même la moue.
« Je n’aime guère les employés qui ne boivent, ni ne fument… Êtes-vous pédéraste par hasard ?… Non ? Tant pis !… Ces gens là nous volent moins que les autres… Voilà ce que j’ai noté par expérience… Ils s’attachent… Enfin, voulut-il bien se reprendre, c’est en général qu’il m’a semblé avoir remarqué cette qualité des pédérastes, cet avantage… Vous nous prouverez peut-être le contraire !… » Et puis enchainant : « Vous avez chaud, hein ? Vous vous y ferez ! Il faudra vous y faire d’ailleurs ! Et le voyage ?
– Désagréable ! lui répondis-je.
– Eh bien, mon ami, vous n’avez encore rien vu, vous m’en direz des nouvelles du pays quand vous aurez passé un an à Bikomimbo, là où je vous envoie pour remplacer cet autre farceur… »
Sa négresse, accroupie près de la table, se tripotait les pieds et se les récurait avec un petit bout de bois.
« Va-t’en boudin ! lui lança son maître. Va me chercher le boy ! Et puis de la glace en même temps ! »
Le boy demandé arriva fort lentement. Le Directeur se levant alors, agacé, d’une détente, le reçut le boy, d’une formidable paire de gifles et de deux coups de pied dans le bas ventre et qui sonnèrent.
« Ces gens-là me feront crever, voilà tout ! » prédit le Directeur en soupirant. Il se laissa retomber dans son fauteuil garni de toiles jaunes sales et détendues.
« Tenez, mon vieux, fit-il soudain devenu gentiment familier et comme délivré pour un temps par la brutalité qu’il venait de commettre, passez-moi donc ma cravache et ma quinine… sur la table… Je ne devrais pas m’exciter ainsi… C’est idiot de céder à son tempérament… »
De sa maison nous dominions le port fluvial qui miroitait en bas à travers une poussière si dense, si compacte qu’on entendait les sons de son activité cahotique mieux qu’on ne discernait les détails. Des files de nègres, sur la rive, trimaient à la chicote, en train de décharger, cale après cale, les bateaux jamais vides, grimpant au long des passerelles tremblotantes et grêles, avec leur gros panier plein sur la tête, en équilibre, parmi les injures, sortes de fourmis verticales.
Cela allait et venait par chapelets saccadés à travers une buée écarlate. Parmi ces formes en travail, quelques-unes portaient en plus un petit point noir sur le dos, c’étaient les mères, qui venaient trimarder elles aussi les sacs de palmistes avec leur enfant en fardeau supplémentaire. Je me demande si les fourmis peuvent en faire autant.
« N’est-ce pas, qu’on se dirait toujours un dimanche ici ?… reprit en plaisantant le Directeur. C’est gai ! C’est clair ! Les femelles toujours à poil. Vous remarquez ? Et des belles femelles, hein ? Ca fait drôle quand on arrive de Paris, n’est-ce pas ? Et nous autres donc ! Toujours en coutil blanc ! Comme aux bains de mer voyez-vous ! On n’est pas beau comme ça ? Des communiants, quoi ! C’est toujours la fête ici, je vous le dis ! Un vrai Quinze Août ! Et c’est comme ça jusqu’au Sahara ! Vous pensez ! »
(« Voyage au bout de la nuit »)

et alii dit: à

de tres beaux arbres anglais :
Great Trees of Britain and Ireland de Tony Hall (£25) est publié par Kew Publishing le 5 mai. L’auteur est à la tête des collections tempérées – arboretum des Royal Botanic Gardens, Kew .
article et photos sur le guardian
bonne journée

Jazzi dit: à

Et puis Céline il préférait le cinéma à la littérature !
__________________

Ils avançaient les gens vers les lumières suspendues dans la nuit au loin, serpents agités et multicolores. […]
Moi aussi j’ai été me traîner vers les lumières, un cinéma, et puis un autre à côté, et puis encore un autre et tout au long de la rue comme ça. Nous perdions de gros morceaux de foule devant chacun d’eux. J’en ai choisi un moi de cinéma où il y avait des femmes sur les photos en combinaison et quelles cuisses ! Messieurs ! Lourdes ! Amples ! Précises ! Et puis des mignonnes têtes par là-dessus, comme dessinées par contraste, délicates, fragiles, au crayon, sans retouche à faire, parfaites, pas une négligence, pas une bavure, parfaites je vous le dis, mignonnes mais fermes et concises en même temps. Tout ce que la vie peut épanouir de plus périlleux, de véritables imprudences de beauté, ces indiscrétions sur les divines et profondes harmonies possibles.
Il faisait dans ce cinéma, bon, doux et chaud. De volumineuses orgues tout à fait tendres comme dans une basilique, mais alors qui serait chauffée, des orgues comme des cuisses. Pas un moment de perdu. On plonge en plein dans le pardon tiède. On aurait eu qu’à se laisser aller pour penser que le monde peut-être, venait enfin de se convertir à l’indulgence. On y était soi presque déjà.
Alors les rêves montent dans la nuit pour aller s’embraser au mirage de la lumière qui bouge. Ce n’est pas tout à fait vivant ce qui se passe sur les écrans, il reste dedans une grande place trouble, pour les pauvres, pour les rêves et pour les morts. Il faut se dépêcher de s’en gaver de rêves pour traverser la vie qui vous attend dehors, sorti du cinéma, durer quelques jours de plus à travers cette atrocité des choses et des hommes. On choisit parmi les rêves ceux qui vous réchauffent le mieux l’âme. Pour moi, c’était je l’avoue, les cochons. Faut pas être fier, on emporte d’un miracle ce qu’on peut en retenir. Une blonde qui possédait des nichons et une nuque inoubliables a cru bon de venir rompre le silence de l’écran par une chanson où il était question de sa solitude. On en aurait pleuré avec elle.
C’est ça qui est bon ! Quel entrain ça vous donne ! J’en avais ensuite, je le sentais déjà, pour au moins deux journées de plein courage dans la viande. Je n’attendis même point qu’on ait rallumé dans la salle. J’étais prêt à toutes les résolutions du sommeil maintenant que j’avais absorbé un peu de cet admirable délire d’âme.
(« Voyage au bout de la nuit »)

bouguereau dit: à

Ces gens là nous volent moins que les autres… Voilà ce que j’ai noté par expérience… Ils s’attachent… Enfin, voulut-il bien se reprendre, c’est en général qu’il m’a semblé avoir remarqué cette qualité des pédérastes

voilà baroz de fortes paroles d’un bon patron hétéro..himagine seulement le contraire..cette tyrannie..ces abus!..à faire béatifier wenstein qu’elle dirait alesquia

Phil dit: à

Dear Bloom oublie son miroir belle époque pour lire Céline à l’envers, baroz veut renvoyer l’Hidalgo jouer des castagnettes en Andalousie, sasseur communie dans les vieux barbus stohic, le prestigieux passou se décarcasse pour rien depuis quinze ans. État civil, écrivait Drieu.

bouguereau dit: à

C’est ça qui est bon ! Quel entrain ça vous donne ! J’en avais ensuite, je le sentais déjà, pour au moins deux journées de plein courage dans la viande

havec baroz et le multiplesque c’est tous les soirs..la viande comme anesthésié de ce courage qu’on lui donne par devant par derrière..moi je préfère la bravitude que me donne une vraie botte de foin qui me pique le derrière qu’elle dirait bonne clopine

Bloom dit: à

accords de coopération (néo colonialisme)…

Les jeunes Français/es qui apprennent leur métier à Bangalore grâce aux meilleurs informaticiens du monde te sont éternellement reconnaissants de ta vaste intelligence du marché des échanges universitaires internationaux, Baroz.
Au fond, tu n’est qu’un mesquin nationaliste replié sur d’étroits terroirs identitaires. Et une langue de pute.

Jazzi dit: à

« Ces gens là nous volent moins que les autres… »

Le contraire de ce qu’affirme rose, le boug !
Et ce sont ces pseudos gens de gauche qui viennent faire la leçon à Céline : vrai givré mais quelle voix, quelle langue, quel style…

renato dit: à

Les fascistes russes demandent à l’Occident d’agir de manière civilisée en respectant le droit international… et trouvent en Occident des petits dictateurs en puissance pour les soutenir avec l’excuse qu’il faut sauver ce qui peut l’être, mais la seule chose qu’ils sauvent c’est le déshonneur.

Bloom dit: à

D’accord avec vous Paul Edel, Le Voyage fut un tremblement de terre pour les contemporains. C’est un livre qui marque tout lecteur.
Perso, c’est « l’homme Céline » qui m’intéresse davantage, le personnage dans l’histoire, davantage que le génie littéraire.

Jazzi dit: à

Parmi les autres phobies de Céline, la guerre !

« Moi d’abord la campagne, faut que je le dise tout de suite, j’ai jamais pu la sentir.
… Mais quand on y ajoute la guerre en plus, c’est à pas y tenir. »

puck dit: à

bouguereau dit: à

C’est ça qui est bon ! Quel entrain ça vous donne ! J’en avais ensuite, je le sentais déjà, pour au moins deux journées de plein courage dans la viande

havec baroz et le multiplesque c’est tous les soirs..la viande comme anesthésié de ce courage qu’on lui donne par devant par derrière..moi je préfère la bravitude que me donne une vraie botte de foin qui me pique le derrière qu’elle dirait bonne clopine
 »

RUSSIAN DESINFORMATION !!!!!!!!!

puck dit: à

« En France, on a la gauche la plus conne du monde ! »
 »

RUSSIAN DISINFORMATION !!!!!!!!!

Jazzi dit: à

Oui mais nous on a les gauchistes les plus cons de la RDL, puck !

renato dit: à

Pougatchev est encore propriétaire de France soir ?

puck dit: à

quand on pense que les 14 labos militaires américains basés en Ukraine étaient en partie financé par Rosement Seneca appartenant en partie au fils Biden.

qu’en plus ce fils Biden utilisait la position de son père pour récupérer du pognon dont une partie allait dans les poches de Joe, par ex les contrats signés avec la compagnie énergétique ukrainienne Burisma.

qu’un procureur ukrainien a voulu faire un procès au fils Biden pour ses pratiques douteuses, que Zelensky a viré ce procureur en l’accusant de corruption alors que c’était le seul non corrompu dans ce pays.

et maintenant ils nous créent un ministère de la vérité…

la palme d’or de la connerie revient largement à la gauche américaine.

renato dit: à

puck nous fait maintenant de la propagande trumpienne.

Jazzi dit: à

puck, en bon gauchiste populiste de la RDL, fait de la propagande poutinienne, renato.

puck dit: à

France soir ? non, comme les autres médias français ils ne parlent pas du procès qui attend Biden.

on a un président américain qui va bientôt passer en justice avec sur le dos ce qui sera sans doute le plus gros scandale de politique américain que même le watergate à côté c’est disneyland et c’est l’omerta complète : aucun média n’en parle !!!

il n’y a que le Washington Post qui a eu le malheur d’écrire un article il y a 2 mois pour admettre que le contenu du laptop du fils Biden était bien authentique.

ce que Biden savait pertinemment alors qu’il avait dit lors du débat électoral que c’était un coup des russes ! le fbi aussi le savait ils ont étouffé l’affaire ! les médias américains le savaient ils n’en ont pas dit un mot !

sans doute la première fois que la presse américaine et occidentale en arrive à un tel niveau de dissimulation, au final quand ça sortira (parce que la vérité finit toujhours par sortir) il y aura un avant et un après, l’après étant que les gens ne feront plus jamais confiance à ces enfoirés de journalistes.

puck dit: à

« puck nous fait maintenant de la propagande trumpienne »

j’ai effectivement écrit à pas mal de médias pour leur demander pourquoi ils ne parlaient pas de cette affaire qui scandalise une grand partie de la population américaine et qui risque de très mal finir.

les seuls où j’ai eu une réponse m’ont effectivement donné « Trump » comme argument de leur mutisme.

sauf qu’un tel raisonnement pose un très grave problème moral genre sujet bac philo : faut-il cacher une vérité si celle-ci peut avoir des conséquences néfastes ?

la réponse est évidemment non, même si cette vérité fait les affaires de Trump, ou des chinois ou des russes ce n’est certainement pas une raison pour la dissimuler, et tout élève qui répondrait le contraire à cette question se ferait aligner par le correcteur !

sauf que les journalistes pris dans une espèce de folie collective et de peur hystérique des opinions publiques semblent avoir oublié ce principe de l’information journalistique.

renato dit: à

Pour le moment, puck, Trump ne livre pas les documents demandés dans le cadre de l’enquête du procureur général Letitia James sur l’organisation Trump. Donc, et accusé d’outrage au tribunal : il doit payer 10 mille dollars par jour jusqu’à ce qu’il se conforme à la demande d’enquête.

renato dit: à

et > eSt

puck dit: à

autre preuve que cette gauche américaine actuelle est la plus conne de tous les temps : lors qu’une audition parlemntaire Victoria Nuland, la sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques des États-Unis, expliquait que son pays «travaillait avec les Ukrainiens sur les manières d’éviter que les matériaux liés à la recherche puissent tomber aux mains des forces russes si elles devaient s’en approcher» ajoutant : «L’Ukraine dispose d’installations de recherche biologique, et nous sommes assez inquiets de la possibilité que les forces russes tentent d’en prendre le contrôle.»
 »

à ce niveau de connerie je me demande si on peut encore parler de connerie.

renato dit: à

Dans un état de droit, pucky, c’est un tribunal qui établit une vérité, ou alors on laisse champ libre aux fascistes de tous bords.

puck dit: à

« Pour le moment, puck, Trump ne livre pas les documents demandés dans le cadre de l’enquête du procureur général Letitia James sur l’organisation Trump »

ce n’est pas parce que Trump est un délinquant qui devrait être dans une prison ou que Ppoutine est un fou furieux qui devrait être dans un aslie que cela doit interdire de parler de ce clan mafieux que sont les Biden !!!

renato dit: à

On ne peut pas déblatérer à ce niveau de bêtise. Il y a des installations de recherche biologique partout dans le monde… et tout le monde fait son possible pour protéger ses recherches.

Jazzi dit: à

Et sur les Obama, qui se font un tas de fric, il n’y a rien à dire, puck ?

puck dit: à

« Dans un état de droit, pucky, c’est un tribunal qui établit une vérité »
 »

tout à fait ! c’est bien pour cette raison que le procureur du Delaware a convoqué un grand jury pour mettre les Biden en inculpation.

le problème est que ce procureur est sous les ordres du ministre de la justice qui est sous les ordres de Biden.

L’autre problème est que toutes les preuves (accablantes et confirmées par le Washington Post) sont déjà accessibles aux américains, et elles le seront de plus en plus, la dernière en date étant que sur le journal des entrées de la maison blanche il est écrit que Biden a reçu 19 fois des associés de son fils et donc il ne peut plus dire qu’il n’était pas au courant !

soit ce procureur fait son travail jusqu’au bout, soit il ne peut pas le faire et cela se fera après les élections de mi mandat ou au plus tard pour les prochaines élections.

ce quee doivent comprendre les parlementaires américains c’est que plus on retarde l’échéance et plus la bombe qui éclatera sera puissante, parce que s’il faut attendre pour faire mettre à jour la vérité cela ne fera qu’enfoncer un peu plus les institutions américaines.

là encore ce sont des principes premiers du fonctionnement démocratique.

puck dit: à

« Il y a des installations de recherche biologique partout dans le monde…  »
 »

des laboratoires militaire appartenant au Pentagone qui se servent de la population locale pour faire leurs tests ?

vous m’inquiétez, j’espère qu’il n’y en a pas en France.

puck dit: à

« Et sur les Obama, qui se font un tas de fric, il n’y a rien à dire, puck ? »
 »

cela ne fait pas partie des préoccupations actuelles de l’opinion publique actuelle plus préoccupée d’une part par les mensonges et les malversation du clan Biden et d’autre part par sa décision d’ouvrir toutes les frontières : quand on sait que la guerre de la drogue a fait un demi million de morts au Mexique, plus le trafic des êtres humains aux frontières, plus le nombre de morts dû la drogue qui a doublé depuis l’arrviée de Biden : ça ce sont des trucs qui préoccupent plus les américains, même cet acharnement sur l’Ukraine et l’envoi des armes ne fait plus diversion.

mais de ça non plus on ne trouvera aucune trace dans les médias occidentaux.

puck dit: à

la guerre de la drogue a fait un demi million de morts au Mexique : en 15 ans.

renato dit: à

Désinformation bien à part, puck, avez-vous la preuve que les installations de recherche biologique dont il est question appartiennent au Pentagone ?

Vous savez, je suppose, que les travaux d’un un grand jury n’arrivent pas toujours à l’inculpation.

Incidemment, Putin est un criminel, pas un fou furieux.

Bon, maintenant excursion : les Vosges.

bouguereau dit: à

grâce aux meilleurs informaticiens du monde

kabloom..parle « des informaticiens » comme des « comptables » de 1930..grotex

bouguereau dit: à

sauf que les journalistes pris dans une espèce de folie collective et de peur hystérique des opinions publiques semblent avoir oublié ce principe de l’information journalistique

mais keupu « l’information » ça fait dpuis au moins d’avant 1930 qu’elle est bien trop importante pour être laissé aux mains des « journalistes »..ou bien ptête que kabloom va dire que les « meilleurs du monde » sortent d’euxfeurd..et qu’eventuelment dirait ce tartignol de renateau y’a d!pl

Jazzi dit: à

Vu, hier, un délicieux film, qui devrait détendre Bloom !
Entre château et villa sur la Riviera, en costume des années folles, on y apprend que chez les aristo anglais et jusqu’à l’office le mensonge est un art, que les Français sont d’insupportables barbares mangeurs d’ail et le cinéma d’une vulgarité infâme…
Très drôle, parfois émouvant, et so British !
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19595698&cfilm=279664.html

puck dit: à

mais keupu « l’information » ça fait dpuis au moins d’avant 1930 qu’elle est bien trop importante pour être laissé aux mains des « journalistes »
 »

d’accord avec toi greubou, sauf que ce n’est pas dit dans leur narratif comme y disent.

au contraire le journalisme en occident fait croire aux opinions publiques que cette profession est associée au bon fonctionnement démocratique (y’a pas de démocratie sans liberté de la presse…) avec le fameux proncipe de transparence, cette croyance s’est nourrie d’aventure et de valeureux combats genre le « watergate » pour alimenter ce narratif.

aujourd’hui nous arrivons au bout de je sais pas quoi, peut-être le bout du bout…

nos journalistes en sont arrivés à répéter comme des perroquets ce que dit le président ukrainien sans même se poser la question de savoir la pertinence de ce qu’il raconte : si Zelensky le dit c’est que c’est vrai et même si c’est pas vrai comme il est la victime agressée on peut faire comme si c’était vrai… : une vicitme ne peut dire que la vérité même si cette vérité n’a de pertinence que son statut de victime…

les misères d’un pauvre monde où les intellectuels ont été remplacés par des chroniqueurs , des experts et des influenceurs…

greubou dis-moi ils sont passés où les intellectuels ?

D. dit: à

Ce soir je mange du boudin aux pommes.

Jazzi dit: à

« ils sont passés où les intellectuels ? »

Ils se sont recyclés en chroniqueurs, experts et influenceurs, puck !

puck dit: à

Désinformation bien à part, puck, avez-vous la preuve que les installations de recherche biologique dont il est question appartiennent au Pentagone ?
 »

d’après le le Daily Mail, Metabiota travaille en Ukraine pour Black & Veatch (B&V), un entrepreneur américain de la défense ayant des liens avec des agences de renseignement militaire, qui a construit des laboratoires sécurisés en Ukraine.

les américain, qui ont signé en 1972 l’accord sur la non prolifération d’armes biologiques, ne sont pas d’une grande transparence sur les ces labos : pour que Nuland admettent qu’il ne fallait pas que ces labos tombent dans les mains des russes et pour que les américains se magnent de déplacer dans d’autres pays les produits de ces labos on imagine bien qu’ils ne devaient pas y fabriquer que du doliprane et des pilules contraceptives… ou laors il faut me l’expliquer.

là encore c’est ce qui peut bloquer la volonté de faire un procès aux Biden : vu que le fils Biden ainsi que le père et l’oncle sont impliqués dans le financement de ces labos avec un procès ils seraient obligés de faire un compte rendu clair et précis que ce qu’ils faisaient dans ces labos !

et tout le monde devrait vouloir avoir un compte rendu clair et précis de ce que les américains fabriquent dans leurs putains de labos : les chinois l’ont demandé 50 fois à l’onu ! mais l’onu s’en tape.

comme l’a rappelé greubou les américains ont justifié leur guerre en Irak en montrant à l’onu des fioles qui contenait probablement de la lessive : jsuqu’à quel point on va se laisser enfumer par les américains ?

Jean Langoncet dit: à

Non aligné ou désaxé ? Y’ a eu une nuance mais y’ en a plus qu’il dit le général Tapioca

bouguereau dit: à

des fioles qui contenait probablement de la lessive

les présents n’ont pas un instant flippé qu’il puisse la faire tomber pas plus que lui même ne s’est cru assez bête et sincère pour croire que c’était une vrai montre -suffisamment- la stupidité de l’information militaire et surtout la facilité avec laquelle elle est accepté..est il réellement besoin dintellectuels pour nous prévenir de tel bilvesée..puiqu’elle ne s’adresse tout simplement -pas- à lintelligence

bouguereau dit: à

Ils se sont recyclés en chroniqueurs, experts et influenceurs, puck !

..c’est le commerce qui crée une nouvelle fonction et ceux qui font « fonction » ne sont pas forcément des « intellectuels » recyclés baroz..dailleurs si ce mot a été telment galvaudé dans les pays où il n’existait pas ou peu c’est parcequ’il ne comprenait pas leur biznèce modèle..il cherchait la main qui les nourissait..un lobiist est un employé protégé et honnête

Jean Langoncet dit: à

Par Halabja, le gazage des kurdes c’était tout du flan ?

B dit: à

Puck, concernant ces labo chaque partie tire la couverture à soi , selon un article de presse l’ex urss fabriquait dans les années 80 200kg d’anthrax par semaine, ce à quoi les USA ont répondu en développant des labos , partout. Sur un autre registre on ne pourra pas voir que l’allégeance aux russes aura permis aux villageois lambda de prospérer, voire l’aspect des localités actuellement. L’Ukraine ne pète pas dans la soie, c’est un pays pauvre qui jusqu’à présent était sous la critique en raison de son taux de corruption. Ce à quoi je veux bien croire, un des premiers exportateurs de blé qui ne semble pas avoir beaucoup profité de cette manne pour moderniser le pays et faire en sorte que les campagnes aient amélioré leur ordinaire.

B dit: à

L’eau est glacée, bain jusqu’en haut des cuisses, pas plus

bouguereau dit: à

Par Halabja, le gazage des kurdes c’était tout du flan ?

pas de rapport de cause a effet..que des militaires veuille utiliser leur joujou de merde..haprés tout c’est un loby protégé et honnête..mais de voir naitre un relai politique pour non plus se tailler des prébendes à langlaise mais pour dire que la guerre puisse servir à installer la démocratie..c’est là que loxident devient parfaitment toxique..du métanol dans la vodka à poutine..ça rend aveugle qu’il dit tonton

Jazzi dit: à

Fallait le dire que la grande Régine est morte à 11 h ce matin, et alii !
92 ans…

B dit: à

jsuqu’à quel point on va se laisser enfumer par les américains ?

Les russes sont des enfants de choeur. Ils ne disent que la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. Comment ce pays, riches en ressources peut il encore tout miser sur son programme militaire et laisser les installations se déliter, des millions de citoyens dans l’oubli côtoyant il est vrai la modernité sophistiquée. La Russie des tsars à côté de la Russie des oligarques. L’une permettant en silence, soumise, docile à l’autre de continuer de s’enrichir sans contre partie. Vous me direz qu’ici ce n’est guère mieux, le fait est que de prisonniers politiques il n’y a pas, que les journalistes ont droit d’expression, les homosexuels de circulation, les infectés au courant soignés et les autres ne sont pas brutalisés par les forces de police.

B dit: à

Au covid.

Jean Langoncet dit: à

@dire que la guerre puisse servir à installer la démocratie

Qui le dit ou qui le dit encore aujourd’hui ? Sûr que Poutine ne fait pas la guerre pour installer la démocratie ; mais pour déloger d’Ukraine les nazis drogués qui l’oppressent depuis 2014 ; il a sans doute dans sa manche le général Tapioca dont rêvent les ukraignos

bouguereau dit: à

poutine s’authorise a faire son pti huttington et il trouve que son bortsch maison est pas plus mauvais que la campbel..que c’est son gout..et qu’il faut un peu de sang dedans pour une bonne liaison..

puck dit: à

@Bérénice : les russes sont ce qu’ils sont, je ne partage pas leur culture, comme les chinois, les afghans, les libyens etc… ils peuvent mettre leurs journalistes et les opposants en prison etc… je m’en fous, ils ne sont pas de ma famille, c’est un autre monde que le mien : ils ont leur vie.

les russes ne nous aiment pas, ils ne nous ont jamais aimés (parfois pour de bonnes raisons), et nous pareil : on ne les aime pas.

par contre l’Amérique, l’occident c’est mon monde, c’est ma culture, quand je vois le comportement des Biden, les hypocrisies des européens et des journalistes j’estime que j’ai le droit de dire que ces gens pourrissent mon monde et le monde où mes enfants vivront !

vous comprenez la différence ?

bouguereau dit: à

Comment ce pays, riches en ressources peut il encore tout miser sur son programme militaire

sans lui il serait dépecé depuis longtemps..une féodalité appuyée par une sorcellerie à l’anglaise..et comme dirait clint..le mérite n’a rien a voir lanedans

Soleil vert dit: à

Les dryades de Christopher Priest n’annoncent pas des avenirs aussi radieux que la rose de Barjavel.

Pensée pour Régine

puck dit: à

si plus tard, un ou deux historiens survivants à l’apocalypse à venir racontent que la guerre nucléaire a été déclenchée à cause d’une hystérie collective provoquée par Donbass et la Crimée notre pauvre humanité paraitra très très conne.

Jazzi dit: à

« ils peuvent mettre leurs journalistes et les opposants en prison etc… je m’en fous, ils ne sont pas de ma famille »

Voilà un sentiment qui ne t’honore guère, puck !

Jazzi dit: à

« notre pauvre humanité paraitra très très conne. »

C’était congénital, puke !

Jean Langoncet dit: à

@il trouve que son bortsch maison est pas plus mauvais que la campbel..que c’est son gout..et qu’il faut un peu de sang dedans pour une bonne liaison..

Ne pas faire passer son bortsch pour un civet. Non sérieusement, Poutine est fondamentalement un pacifiste qui pensait libérer l’Ukraine comme il a libéré la Crimée : sans effusion de sang.
Mais les ukrainiens, ces nazis drogués et sanguinaires vendus aux américains et plus globalement aux occidentaux impies, ne partagent pas le goût de Poutine. Dommage pour lui
Incidemment, le tapioca dans la soupe m’a toujours donné envie de gerber

puck dit: à

« Comment ce pays, riches en ressources peut il encore tout miser sur son programme militaire »
 »

les pays consommateurs de ces richesses natruelles ont financé leur richesse sur la pauvreté de la plupart de ces pays producteurs.

si un nouvel ordre mondial doit advenir de cette guerre il sera fondé sur l’idée que les pays possédant ces richesses possèdent aussi le pouvoir.

ce qui sera un sacré changement de paradigme, avec au passage l’explosion en vol de l’euro (qui a déjà commencé sa chute) et du dollar.

cette guerre marque la fin de la puissance hégémonique de l’occident, d’où sans doute cette peur hystérique de l’occident à voir les russes perdre ce cette guerre, alors que pour les pays du sud ils aiemraient tous voir les russes sortir vainqueur du bras de fer qui opposent aux ricains.

les occidentaux ont une vue trop auto centrée, ils s’imaginent bêtement que le monde entier pensent comme eux pour défendre leurs intérêts.

les pays du sud ont compris depuis longtemps que ce que les mots liberté, démocratie etc… utilisés par les occidentaux ne sont que des attrapes couillons.

puck dit: à

« Voilà un sentiment qui ne t’honore guère, puck ! »
 »

c’est trop dans l’ère du temps d’avoir de tenir des propos visant à honorer celui qui les tient.

les russes, chinois etc… mettent en prison leurs opposants, si cela doit changer cela viendra de l’intérieur de ces pays, et certainement d’un occident donneur de leçons !

à force de vouloir donner des leçons au monde et ne pas accepter l’autre dans toute sa différence l’occident a fini par se couper du monde.

les pensées qui honorent me gonflent à un point que tu ne peux pas imaginer !

puck dit: à

d’ailleurs vous qui vous flattez d’avoir lu Céline je crains que vous ne l’ayez lu sans bien le comprendre avec vos pensées à la con qui honorent.

j’imagine que vous avez été encore une fois subjugués par le style…

B dit: à

les pays consommateurs de ces richesses natruelles ont financé leur richesse sur la pauvreté de la plupart de ces pays producteurs

Il était question de la Russie, il ne semble pas que les pays de l’ OPEP comme d’ailleurs la Russie avec son gaz aient à souffrir de ce commerce. Ne mélangé à pas tout.

B dit: à

La puissance hégémonique, il n’y a plus que vous pour y penser. Cela fait quand même un certain temps que la Chine nous inquiète par sa montée en puissance et à terme je vous rappelle que Xi Jingping ne veut pas simplement vendre mais aussi imposer son modèle de société . Elle n’a pas besoin d’un bras armé mais celle soutient la Russie.

B dit: à

Mélangez, elle pour celle.

B dit: à

Le problème, Puck, c’est que les ukrainiens ont choisi er de l’intérieur, c’est leur extérieur immédiat qui les attaque , impérialisme russe mâtiné répressif, nostalgique. Je ne comprends pas en quoi les despotes gagnent votre admiration. Les dirigeants russes se maintiennent en bridant les libertés, l’expression, en étouffant toutes tentatives d’opposition et en annulant le choix souverain du peuple ukrainien. La Biélorussie vous est sympathique, le Kazakhstan avec leurs admirables chefs d’État aussi indépendants que progressistes?

puck dit: à

B j’ai dit la plupart des pays producteurs : les pays de l’opep et la Russie ça fait peu comparé au total.

concernant l’hégémonie c’est Biden qui l’a dit il y a quelques jours : dans ce nouvel ordre mondial les US veulent conserver leur leadership.

voilà ! c’est eux qui le disent ! et croyez-moi ils se battront pour le conserver ce leadership. et nous nous battrons pour eux, ou avec eux, pour qu’ils le conservent, c’est bien ce à quoi nous assistons actuellement.

parce qu’il faut bien comprendre que les américains ils s’en tapent des ukrainiens, là encore ils l’ont dit (il faut écouter ce que les gens disent) : leur but est d’affaiblir la Russie.

pourquoi veulent-ils affaiblir la Russie ?

les américains ont l’habitude de mentir : exemple pour les 2 guerres en Irak : la première ils l’ont faite suite à un témoignage poignant d’une jeuen femme dont on a sur après qu’elle était la fille de l’ambassadeur du Koweit à NY, et la deuxième avec leurs fioles de lessives dont on a su plus tard que les labos d’armes bactériologiques y’en avait pas en Irak (alors que là en Ukraine on a bien des labos américains : là encore il aurait fallu écouter avant ce que disaient depuis 2014 les chinois et les russes).

voilà à chaque fois ils mentent, donc il n’y a pas de raison qu’ils ne mentant pas encore sur ce coup-là, sauf que les occidentaux les croient encore, alors qu’ils devraient plutôt apprendre à décrypter leurs mensonges : c’est bien une guerre pour conserver une hégémonie.

B dit: à

Même s’il apparait que cette guerre devient un peu celle des USA contre la Russie, vous admettrez que les russes l’ont déclenchée alors qu’ils n’étaient pas en danger . Simplement pour prouver leur supériorité militaire, affirmer une volonté qui leur est propre, imposer un modèle qui est le leur et récupérer des territoires qui jadis étaient administrés et inféodés au PC russe, aux soviets. Territoires convoités pour diverses motifs . Ce n’est pas seulement une croisade culturelle, c’est du vol, de l’envahissement, (de la déportation en plus de dizaines de milliers de gens vers des camps).

B dit: à

Puck, ça vous tente de verser à l’orient, Russie conjuguée à Chine?

puck dit: à

B pour les russes je ne sais pas, je ne les comprends pas, je ne sais pas dans quelle mesure ils pouvaient se sentir en danger (ou humiliés) par la proximité de l’otan à leurs frontières, de voir les ukrainiens se vendre aux américains comme ils s’étaient vendus aux allemands, ou de voir des militaires arborant des drapeaux nazis violer des femmes russes dans le Donbass, on sait que chez eux le passé est très présent. l’erreur serait de les faire raisonner comme nous : ils n’ont pas la même façon de penser et de voir les choses, c’est d’ailleurs l’erreur des journalistes qui imaginent que le monde entier pense comme nous.

c’est là où la présence d’intellectuels nous manque.

une société sans intellectuels est une société qui ne pensent plus pour réagir aux seules émotions.

puck dit: à

ce qui est certain c’est que les russes sont assez fous pour faire de Kiev ce qu’ils ont fait de Marioupol.

Jean Langoncet dit: à

@Merci de citer le père Popieluszko

« La violence n’est pas une preuve de force, mais de faiblesse. Celui qui n’a pas su s’imposer par le cœur ou par l’esprit, cherche à gagner par la violence »
Jerzy Popieluszko

B dit: à

Les labos américains. Certes, pensez vous que Poutine en envoyant remuer Tchernobyl se soucie de la santé des peuples, du nombre de morts immédiats ou à moyen terme? Les armes qu’elles soient bactériologiques, chimiques, nucléaires, à neutron, et je ne sais quoi ne devraient servir qu’à dissuader. Devant une Allemagne qui se réarme, des USA qui livrent, on ne se demandera pas à qui profite le crime mais ce qui est certain c’est que Poutine est responsable de ce qui va suivre. Peut être pensait il rencontrer une Crimée partout, au jeu des manipulations il est aussi très fort. Il voyait encore de l’hystérie à la veille d’envahir l’Ukraine.

et alii dit: à

L’individualisme, l’amour de soi et l’esprit de consommation qui règnent sans partage sur notre société ont perdu cet art si précieux de l’écoute.
voilà qui est caractériser notre temps;mais ce « narcissisme » -pour résumer en « un mot »de notre temps aussi -(« La Culture du Narcissisme : la vie américaine à un âge de déclin des espérances est un livre écrit par l’historien américain Christopher Lasch (1932–1994). Sa première parution date de 1979. L’ouvrage explore les racines et les ramifications d’une normalisation de la pathologie narcissique dans la culture américaine du xxe siècle en se basant sur des analyses à la fois psychologiques, culturelles, artistiques et historiques.
La première traduction française du livre date de 1981, dans une collection dirigée par Emmanuel Todd et Georges Liébert sous le titre Le Complexe de Narcisse1. La préface à l’édition française de 2006 est signée du philosophe français Jean-Claude Michéa2. »
ce narcissisme peut-il ou doit-il être tenu pour responsable d’un perte (de l’écoute) qui en serait l’effet?
CHERS PSYS ET HYPERPSYS, nous sommes :tout ouïe !

Jean Langoncet dit: à

@ce narcissisme peut-il ou doit-il être tenu pour responsable d’un perte (de l’écoute) qui en serait l’effet?

On dit que ça rend sourd

bouguereau dit: à

@Merci de citer le père Popieluszko

« La violence n’est pas une preuve de force, mais de faiblesse. Celui qui n’a pas su s’imposer par le cœur ou par l’esprit, cherche à gagner par la violence »
Jerzy Popieluszko

puisque tu te remercies à le citer..fais attention quant a la teneur de la leçon de force qu’il donne..c’est à dire quil la payé de sa vie comme djizeus

bouguereau dit: à

l’erreur serait de les faire raisonner comme nous : ils n’ont pas la même façon de penser et de voir les choses, c’est d’ailleurs l’erreur des journalistes qui imaginent que le monde entier pense comme nous

..bien sûr qu’ils pensent comme nous

et alii dit: à

On dit que ça rend sourd
j’ai appris hier -ou avant hier;c’est tout récent-qu’une femme qui, infirmière en chef avant la retraite, avait été traitée pour une surdité « diagnostiquée par un « ami de la famille » -et non sa mère ou son père-s’était jetée d’un train ; (elle n’en fit pas moins une carrière à l’hosto)

Jean Langoncet dit: à

@puisque tu te remercies à le citer..

C’était une invitation à ton attention. En ce 1er mai elle me semblait opportune

bouguereau dit: à

« ils peuvent mettre leurs journalistes et les opposants en prison etc… je m’en fous, ils ne sont pas de ma famille »

Voilà un sentiment qui ne t’honore guère, puck !

la vérité sort de la bouche de baroz..c’est dailleurs parceque céline ne te considère pas comme de ta famille que tu méprises le style.. qui est lhomme même

bouguereau dit: à

C’était une invitation à ton attention. En ce 1er mai elle me semblait opportune

expliquer c’est déjà pardonner nest pas une phrase de manuel vals mais la substantifique moelle de la philosophie de baruc espinoza..c’est le chemin indispensable pour aller a une table de négociation..les killing room sont pleines de gens comme béré sur de leur bonnes hintentions..sinon comment aurait il la force d’appuyer sur leur bouton

Jean Langoncet dit: à

@fais attention quant a la teneur de la leçon de force qu’il donne..c’est à dire quil la payé de sa vie comme djizeus

Sa mort fut le fait de criminels : un assassinat

Jean Langoncet dit: à

Sur le lien au 1er mai.

Il était une fois Solidarnosc

Trahison du combat des années 1980 [12/02/2022]
Dans un courrier adressé en novembre au président de Solidarnosc, Laurent Berger, secrétaire national de la CFDT, exprimait sa colère. »Nous sommes révoltés de voir en France le nom de Solidarnosc servir d’alibi pour l’extrême droite, une trahison du combat que la CFDT a mené à vos côtés, il y a quarante ans. » Depuis, une instruction au sein de la CES est en cours, des auditions des parties en litige ont lieu actuellement.
https://www.ouest-france.fr/reflexion/editorial/editorial-il-etait-une-fois-solidarnosc-b8e36b52-8b2c-11ec-b31e-819f42e5695c

MC dit: à

« Renan tentant de faire de Marc Aurele un disciple du Christ ».????Je crois qu’il serait bien surpris de lire ça ! Il est vrai qu’il en a lu d’autres.

renato dit: à

Incroyable, blob connait la signification de l’expression « avoir une parole » ! le pauvre Sac à Bière, le rôle de troll insulteur c’est le seul qu’il peut jouer.

renato dit: à

Pour le moment nous avons vu gazer les Kurdes et la rébellion syrienne.
Cela dit, la présence d’un laboratoire de recherche ne justifie pas une invasion en vue d’une prédation.

Gazage des populations bien à part, l’Ukraine a été agressé. Je suppose qu’un type qui se veut bien informé (voir puck) sait que le crime d’agression est l’un de ceux sur lesquels la Cour pénale internationale exerce sa compétence — ce qui devrais produire une réflexion relative au fait que la définition du crime d’agression reste encore un problème diplomatique. Mais demander une réflexion ici ça sert à quelque chose ?

renato dit: à

Demander à puck de ne pas tout mélanger révèle une certaine ingénuité, car il se cache derrière ces mélanges approximatifs d’origine douteuse.

renato dit: à

« L’individualisme, l’amour de soi et l’esprit de consommation qui règnent sans partage sur notre société ont perdu cet art si précieux de l’écoute. »

Voyez plutôt un autre point de vue libre des moralismes vaguement catho-gauchiste en vogue dans les bistros à la page et dans les cantines d’entreprise : The Heresy of Self-Love, où Paul Zweig retrace l’idée du narcissisme en tant que bastion privé contre un monde moderne hostile et mécanisé. Et éventuellement par son biais l’idée du voyage et de l’action, d’Homère à Nietzsche, comme une forteresse mobile contre la réalité déshumanisante — une sorte de narcissisme portable ¬—.

bouguereau dit: à

une sorte de narcissisme portable

que rénateau ait bzoin d’une brouette..c’est son droâ

bouguereau dit: à

« Renan tentant de faire de Marc Aurele un disciple du Christ ».????Je crois qu’il serait bien surpris de lire ça ! Il est vrai qu’il en a lu d’autres.

on va pas tourmenter ses vieux nosses msieu courte..le gras djambon à térezoune..t’en rdemandes..poutine attendra

bouguereau dit: à

des auditions des parties en litige ont lieu actuellement

l’ukraine c’est qu’un tout pti pays de rien du tout de 45 myons d’habitant..des gars faciles comme tout..pas tête de lard..en 6 mois ça fait des supercool d’européens..les polonais sront baba

Jean Langoncet dit: à

@Sa mort fut le fait de criminels : un assassinat

Pourquoi ? Pour ça notamment et sans fignoler comme dit renato

Le 31 août 1980, il se rend, avec la permission du primat Wyszyński, aux aciéries Huta Warszawa, alors en grève. Il y soutient les ouvriers qui font grève, les confesse et célèbre l’Eucharistie en leur intention. Une fois les protestations terminées, il garde le contact avec les travailleurs et participe à leurs rencontres, qui donneront comme résultat un comité de grève, puis la naissance à la Commission syndicale Solidarność des aciéries.

En septembre 1980, il fonde l’une des premières aumôneries du monde ouvrier, inexistantes depuis 1945 en Pologne. Dès l’automne 1980, il se rend maintes fois aux aciéries Huta Warszawa, en tant que conseiller informel de la Commission syndicale Solidarność ; c’est en secret qu’il arrive sur les lieux. Il est élu membre honorifique de Solidarność, par les ouvriers des aciéries et chapelain informel de l’établissement. Le père Jerzy Popiełuszko est devenu l’homme de confiance des ouvriers et le père spirituel du syndicat Solidarność des lieux[1].

Vers la fin de l’année 1980, il initie dans la paroisse Saint Stanislas Kostka des rencontres à caractère éducatif qui se transforment de 1983 à 1984, en une université du monde ouvrier. Ce sont les travailleurs des aciéries Huta Warszawa, de l’usine de tracteurs d’Ursus et les ouvriers des usines Fiat à Żeran (FSO), qui y viennent suivre les exposés d’enseignants universitaires. Dans la chapelle paroissiale, ont lieu des cours d’histoire, droit, économie, littérature, doctrine sociale de l’Église, ainsi que des catéchèses. L’activité déployée par le père Jerzy noue des liens entre divers milieux sociaux, vu qu’y participent des ouvriers d’usines, enseignants universitaires, acteurs et même médecins.

Il est l’un des consultants lors de la création du drapeau syndical de Solidarność, des aciéries Huta Warszawa. Le 25 avril 1981, il organise dans l’église Saint Stanislas Kostka des solennités officielles pour la consécration de l’étendard. Vu l’importante participation de fidèles de tous les milieux à cette cérémonie, l’événement devient une grande manifestation patriotique de toute la société. Le père Jerzy considère sa mission comme une action unissant la société autour des postulats du syndicat Solidarność. Il est l’un des initiateurs de la visite de Mgr Zbigniew Kraszewski aux aciéries Huta Warszawa, le 4 mai 1981. En septembre 1983, il organise le premier pèlerinage du monde ouvrier à Jasna Góra.

Le père Jerzy soutient activement la création de l’Association des étudiants indépendants (NZS). Lors des grèves étudiantes à l’Académie de médecine, il rend visite aux grévistes, avec une délégation de Solidarność des aciéries Huta Warszawa ; il soutient financièrement les grévistes. Dans l’aula de l’Académie de médecine (AM), où se déroulaient les cours magistraux, il célèbre la messe, confesse, et sert comme consultant au comité de grève. Il continue à animer l’aumônerie estudiantine des médecins. En novembre 1981, durant de nouvelles grèves étudiantes, il vient leur rendre visite à l’Académie, confesse quotidiennement et célèbre la messe[1].

Lorsqu’éclate une grève à l’École supérieure des services pompiers à Varsovie (WOSP), il s’engage personnellement à soutenir et aider les étudiants. Dès le 26 novembre 1981, malgré le blocage des lieux par la milice, il arrive à pénétrer plusieurs fois dans l’enceinte du bâtiment de l’École, pour y célébrer une messe, dispenser le sacrement du pardon et soutenir les jeunes en grève. Après la pacification des grévistes par les forces de l’ordre, il aide financièrement les jeunes étudiants licenciés de l’École pour avoir fait grève. Grâce au père Jerzy, le primat Józef Glemp intervient auprès des autorités en faveur des jeunes pompiers, demandant qu’on leur restitue leur droit à l’éducation. L’arrivée du père Jerzy dans l’École des pompiers a été considérée comme une initiative personnelle – l’abbé Jerzy cherchaient de nouveaux lieux pour son travail d’aumônier. (…)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jerzy_Popie%C5%82uszko

et alii dit: à

PIRE QUE SUR LA RDL:
Zwicky a un caractère notoirement effroyable – il aurait traité ses collègues de « crétins sphériques », car il les trouvait stupides sous tout point de vue. Est-ce pour cela que son hypothèse apparemment extravagante ne trouve pas crédit auprès de la communauté des astronomes ? Possible. Surtout, les instruments ne sont pas encore assez précis pour éliminer des erreurs de mesure. Quarante ans plus tard, lorsque l’Américaine Vera Rubin observera une trentaine d’autres galaxies, ses mesures seront bien moins incertaines. Et elle constatera une chose surprenante : les étoiles les plus éloignées du centre de leur galaxie tournent beaucoup plus vite que prévu, et devraient par conséquent en être éjectées… ce qui n’est pas le cas. Là encore, il semble qu’une matière invisible soit à l’œuvre… Débute alors une traque extraordinaire qui mobilise tous les instruments de la planète, les théories les plus originales, sans résultat tangible jusqu’à présent.
Matière noire : être ou ne pas être, éternelle question
https://www.sciencesetavenir.fr/espace/astrophysique/matiere-noire-etre-ou-ne-pas-etre-eternelle-question_162595#xtor=EPR-1-%5BSEAActu17h%5D-20220501

et alii dit: à

En santé : Horizon 2070 : comment le changement climatique augmentera le risque de transmission virale inter-espèces.

D’après une étude, le déplacement des espèces animales offre de nouvelles opportunités de contagion pouvant atteindre 15000 nouvelles transmissions virales entre espèces de mammifères d’ici à 2070.
Plus ces espèces sont nombreuses et proches de nous, plus le risque qu’un virus se transmette à l’humain est élevé.(sciences et avenir

et alii dit: à

R2GINE avait été dans un couvent et baptisée:ce n’est pas tout à fait une conversion:
sur la conversion
« Conversion, tradition, institution »
j’ai lu un long article sur les juifs de provence convertis; c’est plutôt une pratique d’hommes ;
https://journals.openedition.org/assr/541

Jean Langoncet dit: à

@en 6 mois ça fait des supercool d’européens

Tant de préjugés contenus en si peu de mots et un chiffre tient du prodige

et alii dit: à

Psychanalyse et interprétation. Un retour critique (entretien)
par

Fabien Lamouche Paul Ricœur
« Dans cette conversation inédite de 2003, Paul Ricœur reconsidère la pratique psychanalytique, négligée dans son livre De l’interprétation (1965). La cure lui apparaît comme le lieu d’un passage du conflit des forces à un conflit de sens. Ricœur insiste sur l’émergence langagière de l’appel à l’autre du sujet, où se rencontrent le désir, la souffrance et le sens.
https://esprit.presse.fr/article/fabien-lamouche-et-paul-ricoeur/psychanalyse-et-interpretation-un-retour-critique-entretien-38543

et alii dit: à

ricoeur:
« . Je m’étais donc posé la question : qu’est-ce que la psychanalyse a apporté en propre à notre réflexion sur la culpabilité ? Non seulement je me suis éloigné de la question de la culpabilité, mais surtout j’ai rencontré une question que je ne m’étais pas posée en commençant.

et alii dit: à

Ricoeur
 » l’expression propositionnelle. La philosophie analytique réservait aussi une possibilité de confrontation, lorsqu’à la dictature du propositionnel s’est opposée peu à peu la distinction entre le « locutionnaire », l’« illocutionnaire » et le « perlocutionnaire » ; autrement dit, les implications du sujet telles qu’elles modifient les valeurs de vérité des propositions. C’est le cas de toutes les formes de l’illocutionnaire où ce que je dis produit des situations nouvelles, comme dans l’impératif, dans le souhait, dans l’interdiction. La promesse est peut-être l’exemple le plus remarquable de l’illocutionnaire ; du seul fait que je dise : « je promets », je suis engagé et je suis sous l’obligation de faire. Cette région de l’illocutionnaire permettait donc de redéployer des niveaux d’abord de maîtrise mais aussi de non-maîtrise. Dans son engagement dans l’illocutionnaire, le sujet, même s’il le pense, n’est pas le maître du sens. La prétention (claim) illocutionnaire de ces propositions ne lui appartient pas. Et c’est donc vers la non-maîtrise, la non-représentation que s’est déployée ma recherche ultérieure. »

et alii dit: à

conclusion de l’article RICOEUR
« En dépit de ses faiblesses supposées, De l’interprétation avait au moins retenu de la psychanalyse que toute interprétation de soi est une remise en question : le mouvement allant de la mécompréhension native à la reconnaissance (de soi, de l’autre et de la vérité) passe par un dessaisissement de soi, c’est-à-dire par un abandon préalable de la prétention à dominer le sens. »

rose dit: à

pandémonium c’est l’angliche..mais tu sais bien que yavé parle français.

Heureux comme d.ieu en France.

Jean Langoncet dit: à

@on va pas tourmenter ses vieux nosses msieu courte..le gras djambon à térezoune..t’en rdemandes..poutine attendra

sur le grill qu’il dit cohen aux minets en mocassins qui forment la garde prétorienne de zemour de La Télé
https://www.youtube.com/watch?v=FCTs58AQ-LY

Bonne soirée les fumeux

et alii dit: à

, ils ne sont pas de ma famille »
mais puck n’est pas de la famille des ptérosaures,comme je croyais qu’il l’avait dit?

rose dit: à

Ces étudiants indiens à Dublin, ouverts intelligents courageux venus faire un échange Érasmus de plusieurs mois. Cuisinant indien ds un HI en attendant de récupérer leurs logements en colloc.
Ayant tout quitté familles amis habitudes pour faire un cursus ici et repartir ensuite.
Un enthousiasme communicatif.

D. dit: à

Qu’est-ce qu’on peut bien donc foutre d’un tant soit peu intéressant à Dublin ?! C’est certainement l’un des derniers endroits sinistres où j’irais foutre les pieds. Alors que l’Inde est si belle !

D. dit: à

Il faut dire que je déteste l’Irlande en règle générale. Il y fait un très sale temps et les gens y boivent plus que de raison. L’architecture y est partuculièrement disgracieuse, les paysages d’un ennui à mourir. Je n’y mettrais les pieds pour rien au monde.

et alii dit: à

Le Shinano était un grand navire à tous points de vue. Il mesurait plus de 872 pieds de long et déplaçait 65 800 tonnes. C’était le plus gros porte-avions abattu pendant la guerre parce qu’il était censé être un cuirassé plutôt qu’un porte-avions. Cependant, après sa conversion, il a pu transporter 47 avions. Pas mal pour un ancien cuirassé.
Le Shinano avait une portée de 10 000 milles marins et était destiné à soutenir les quelques porte-avions de la flotte japonaise restants sur le terrain.
Alors qu’il n’allait jamais fonctionner comme un porte-avions à part entière, les planificateurs militaires japonais espéraient qu’il serait capable de transporter des bombes volantes kamikaze efficaces pour entraver les activités américaines dans le Pacifique.
https://medium.com/@grantpiperwriting/the-largest-warship-ever-sunk-by-a-submarine-eb9bd53304ef

rose dit: à

Aujourd’hui, 2 mai 2022, jour anniversaire : cela fait un an que je vis dans mon grangeon.

Pas encore gagné.
Assez d’espace, trop de choses.
Mon petit paradis.
Ai commencé à le vider pour le ranger de fond en comble, je vais vivre dehors six mois. Jardin, citronnier qui porte vingt citrons, clémentinier.

rose dit: à

Qu’est-ce qu’on peut bien donc foutre d’un tant soit peu intéressant à Dublin ?!

Longer la Liffey en allant vers la mer. Y voir les sculptures des émigrés lors de la grande famine (plus de patates 😐).
Visiter le musée/ maison de James Joyce.
Voir l’atelier reconstitué de Francis Bacon.
Visiter le manuscrit de Kells en long, en large, en travers.
Traverser les jardins de Trinity collège.
Entrer dans les églises et leurs cloîtres, ici et là.
Manger un, le jour de l’arrivée et un autre plus tard Fish ans chips.
Relonger la Liffey.
Aller à la grande Poste centrale acheter des timbres.
Un jour rive gauche, un autre rive droite.

rose dit: à

Quoi de plus beau que l’Irlande ? Rien. Nulle part.

rose dit: à

Hier soir, ai téléphoné à ma maman pour m’excuser auprès d’elle. Un brin de muguet, un baiser.
 » Je ne te saoule pas avec toutes mes histoires ? »
Et Céline son antisémitisme, et Marc Aurèle et patin et couffin.
M’a répondu spontanément dans un cri  » ah ben non. Moi j’aime la vie ».
Si c’est pas beau, ça ?

Sinon, programme tout chamboulé pck, le 1er mai à Marseille, y a pas de métro. Ni de bus.
Alors programme classique :
La Bonne Mère.
Le Vieux Port.
Et garé la bagnole rue Sainte juste avant l’abbaye Saint Victor, une bâtisse inouïe.

rose dit: à

Mon Irlande à moi. Verte. Verte. Verte.

JC..... dit: à

LUNDI 2 MAI 2022, 7h13, 15°, beau temps calme et ensoleillé

Retour de jogging au lever du jour.

Retour aussi sur l’exclusion, hier, d’un mécréant membre de l’Institut Bartabacs de Porquerolles, un Cercle intellectuel que les Russes nous envient, où il s’occupait de prospective sociale.

Cette crapule s’est écrié, ravi de son mot d’humour :
« LFI ? mais avec la Mélenche, c’est La France Islamisée ! »

Heureusement qu’un spécialiste en grammaire lui a rétorqué :
« Islamiste, peut être… mais certainement pas Islamisée, ce serait la Révolution Version 2 ! »

Marie Sasseur dit: à

Renan fait des contresens énormes de la lecture des Pensées de Marc Aurèle , et le voit plutôt comme un missionnaire christique.
C’est dire le niveau d’intoxication qui atteint des imposteurs qui défendent les thèses fumeuses de Renan, comme ce Meunier immonde qui réécrit l’histoire de l’histoire, avec des pensées antisémites.

Jazzi dit: à

« Guerre en Ukraine : comment livrer des armes à Kiev sans déclencher la Troisième Guerre mondiale ?
En intensifiant leur aide armée ukrainienne, les pays occidentaux avancent sur une ligne de crête. Et testent les limites de Vladimir Poutine. »

« 1er Mai : vitrines cassées, pompier agressé… des heurts violents en marge du défilé à Paris
La manifestation de dimanche a été perturbée par de nombreux affrontements avec les forces de l’ordre. Les pompiers de Paris ont dénoncé l’agression « sauvage » dont l’un d’eux a été victime. Peu avant 19 heures, 45 personnes avaient été interpellées. »

Il y a de la tension dans l’air, tant sur le plan national qu’international !

Marie Sasseur dit: à

@ » le prestigieux passou se décarcasse pour rien depuis quinze ans »

Personne pour relever ça ?

Débout les lâches irez vous jusqu’à l’ignominie pour ne pas reconnaître ce que vous devez au travail de Passou ?

Moi j’attends l’infect philopede sur le bouquin de Céline a paraître jeudi.
Cette lecture de  » guerre » sera l’occasion exceptionnelle de voir où vous en êtes, intellectuellement.

Jazzi dit: à

Tensions inutiles sur la RDL.
__________________

NAISSANCE ET VIE DU CHRISTIANISME

ERNEST RENAN

Les quatre temps de l’origine du christianisme

En incipit de la Vie de Jésus, Ernest Renan écrit : « L’évènement capital de l’histoire du monde est la révolution par laquelle les plus nobles portions de l’humanité ont passé, des anciennes religions comprises sous le nom vague de paganisme, à une religion fondée sur l’unité divine, la trinité, l’incarnation du Fils de Dieu. Cette conversion a eu besoin de près de mille ans pour se faire. La religion nouvelle avait mis elle-même au moins trois cents ans à se former. » Auparavant, dans son introduction, l’auteur nous rappelle que la biographie de Jésus ne constitue que le premier volume d’une histoire globale du christianisme dont il annonce le programme. Un ambitieux et éclairant programme qu’il mènera à son terme.

« Une histoire des « Origines du Christianisme » devrait embrasser toute la période obscure, et, si j’ose le dire, souterraine, qui s’étend depuis les premiers commencements de cette religion jusqu’au moment où son existence devient un fait public, notoire, évident aux yeux de tous. Une telle histoire se composerait de quatre livres. Le premier, que je présente aujourd’hui au public, traite du fait même qui a servi de point de départ au culte nouveau ; il est rempli tout entier par la personne sublime du fondateur. Le second traiterait des apôtres et de leurs disciples immédiats, ou, pour mieux dire, des révolutions que subit la pensée religieuse dans les deux premières générations chrétiennes. Je l’arrêterais vers l’an 100, au moment où les derniers amis de Jésus sont morts, et où tous les livres du Nouveau Testament sont à peu près fixés dans la forme où nous les lisons. Le troisième exposerait l’état du christianisme sous les Antonins. On l’y verrait se développer lentement et soutenir une guerre presque permanente contre l’empire, lequel, arrivé à ce moment au plus haut degré de la perfection administrative et gouverné par des philosophes, combat dans la secte naissante une société secrète et théocratique, qui le nie obstinément et le mine sans cesse. Ce livre contiendrait toute l’étendue du IIe siècle. Le quatrième livre, enfin, montrerait les progrès décisifs que fait le christianisme à partir des empereurs syriens. On y verrait la savante construction des Antonins crouler, la décadence de la civilisation antique devenir irrévocable, le christianisme profiter de sa ruine, la Syrie conquérir tout l’Occident, et Jésus, en compagnie des dieux et des sages divinisés de l’Asie, prendre possession d’une société à laquelle la philosophie et l’État purement civil ne suffisent plus.
C’est alors que les idées religieuses des races groupées autour de la Méditerranée se modifient profondément ; que les cultes orientaux prennent partout le dessus ; que le christianisme, devenu une église très nombreuse, oublie totalement ses rêves millénaires, brise ses dernières attaches avec le judaïsme et passe tout entier dans le monde grec et latin. Les luttes et le travail littéraire du IIIe siècle, lesquels se passent déjà au grand jour, ne seraient exposés qu’en traits généraux. Je raconterais encore plus sommairement les persécutions du commencement du IVe siècle, dernier effort de l’empire pour revenir à ses vieux principes, lesquels déniaient à l’association religieuse toute place dans l’État. Enfin, je me bornerais à pressentir le changement de politique qui, sous Constantin, intervertit les rôles, et fait du mouvement religieux le plus libre et le plus spontané un culte officiel, assujetti à l’État et persécuteur à son tour. »
(« Vie de Jésus », Introduction)
https://www.atramenta.net/lire/vie-de-jesus/15392/2#oeuvre_page

JC..... dit: à

Ne nous voilons pas la face : nous sommes déjà en pleine WWIII, étant cobelligérants d’un conflit encore plus redoutable que lors de la dislocation de l’ex-Yougoslavie de pépère Tito.

Quand aux agressions des policiers ou des pompiers par des voyous profitant du défilé pour « casser » des « fascistes », ouvrons des auberges de jeunesse à entrée gratuite à ces galopins excités, et un travail aux champs non-rémunéré !

En Guyane…

Marie Sasseur dit: à

Paresseux copier coller d’une « pensée » burger king de Renan, qui était historien comme moi je suis pape.

Jazzi dit: à

ERNEST RENAN

L’enfance de Jésus 

« Jésus naquit à Nazareth, petite ville de Galilée, qui n’eut avant lui aucune célébrité. Toute sa vie il fut désigné du nom de « Nazaréen », et ce n’est que par un détour assez embarrassé qu’on réussit, dans sa légende, à le faire naître à Bethléhem. Nous verrons plus tard le motif de cette supposition, et comment elle était la conséquence obligée du rôle messianique prêté à Jésus. On ignore la date précise de sa naissance. Elle eut lieu sous le règne d’Auguste, vers l’an 750 de Rome, probablement quelques années avant l’an 1 de l’ère que tous les peuples civilisés font dater du jour où il naquit.
Le nom de Jésus, qui lui fut donné, est une altération de Josué. C’était un nom fort commun ; mais naturellement on y chercha plus lard des mystères et une allusion à son rôle de Sauveur. (…)
La population de Galilée était fort mêlée, comme le nom même du pays l’indiquait. Cette province comptait parmi ses habitants, au temps de Jésus, beaucoup de non-Juifs (Phéniciens, Syriens, Arabes et même Grecs). Les conversions au judaïsme n’étaient point rares dans ces sortes de pays mixtes. Il est donc impossible de soulever ici aucune question de race et de rechercher quel sang coulait dans les veines de celui qui a le plus contribué à effacer dans l’humanité les distinctions de sang.
Il sortit des rangs du peuple. Son père Joseph et sa mère Marie étaient des gens de médiocre condition, des artisans vivant de leur travail, dans cet état si commun en Orient, qui n’est ni l’aisance ni la misère. (…)
La maison de Joseph ressembla beaucoup sans doute à ces pauvres boutiques, éclairées par la porte, servant à la fois d’établi, de cuisine, de chambre à coucher, ayant pour ameublement une natte, quelques coussins à terre, un ou deux vases d’argile et un coffre peint.
La famille, qu’elle provînt d’un ou de plusieurs mariages, était assez nombreuse. Jésus avait des frères et des sœurs, dont il semble avoir été l’aîné. Tous sont restés obscurs ; car il paraît que les quatre personnages qui sont donnés comme ses frères, et parmi lesquels un au moins, Jacques, est arrivé à une grande importance dans les premières années du développement du christianisme, étaient ses cousins germains.
Marie, en effet, avait une sœur nommée aussi Marie, qui épousa un certain Alphée ou Cléophas (ces deux noms paraissent désigner une même personne), et fut mère de plusieurs fils, qui jouèrent un rôle considérable parmi les premiers disciples de Jésus. Ces cousins germains, qui adhérèrent au jeune maître, pendant que ses vrais frères lui faisaient de l’opposition, prirent le titre de « frères du Seigneur. » Les vrais frères de Jésus n’eurent d’importance, ainsi que leur mère, qu’après sa mort. Même alors ils ne paraissent pas avoir égalé en considération leurs cousins, dont la conversion avait été plus spontanée et dont le caractère paraît avoir eu plus d’originalité. Leur nom était inconnu, à tel point que quand l’évangéliste met dans la bouche des gens de Nazareth l’énumération des frères selon la nature, ce sont les noms des fils de Cléophas qui se présentent à lui tout d’abord.
Ses sœurs se marièrent à Nazareth, et il y passa les années de sa première jeunesse. Nazareth était une petite ville, située dans un pli de terrain largement ouvert au sommet du groupe de montagnes qui ferme au nord la plaine d’Esdrelon. La population est maintenant de trois à quatre mille âmes, et elle peut n’avoir pas beaucoup varié. Le froid y est vif en hiver et le climat fort salubre. La ville, comme à cette époque toutes les bourgades juives, était un amas de cases bâties sans style, et devait présenter cet aspect sec et pauvre qu’offrent les villages dans les pays sémitiques. Les maisons, à ce qu’il semble, ne différaient pas beaucoup de ces cubes de pierre, sans élégance extérieure ni intérieure, qui couvrent aujourd’hui les parties les plus riches du Liban, et qui, mêlés aux vignes et aux figuiers, ne laissent pas d’être fort agréables.
Les environs, d’ailleurs, sont charmants, et nul endroit du monde ne fut si bien fait pour les rêves de l’absolu bonheur. Même de nos jours, Nazareth est encore un délicieux séjour, le seul endroit peut-être de la Palestine où l’âme se sente un peu soulagée du fardeau qui l’oppresse au milieu de cette désolation sans égale. La population est aimable et souriante ; les jardins sont frais et verts. Antonin Martyr, à la fin du VIe siècle, fait un tableau enchanteur de la fertilité des environs, qu’il compare au paradis. Quelques vallées du côté de l’ouest justifient pleinement sa description. La fontaine, où se concentraient autrefois la vie et la gaieté de la petite ville est détruite ; ses canaux crevassés ne donnent plus qu’une eau trouble. Mais la beauté des femmes qui s’y rassemblent le soir, cette beauté qui était déjà remarquée au VIe siècle et où l’on voyait un don de la Vierge Marie, s’est conservée d’une manière frappante. C’est le type syrien dans toute sa grâce pleine de langueur. Nul doute que Marie n’ait été là presque tous les jours, et n’ait pris rang, l’urne sur l’épaule, dans la file de ses compatriotes restées obscures. Antonin Martyr remarque que les femmes juives, ailleurs dédaigneuses pour les chrétiens, sont ici pleines d’affabilité. Aujourd’hui encore, les haines religieuses sont à Nazareth moins vives qu’ailleurs.
L’horizon de la ville est étroit, mais si l’on monte quelque peu et que l’on atteigne le plateau fouetté d’une brise perpétuelle qui domine les plus hautes maisons, la perspective est splendide. »
(« Vie de Jésus », Chapitre 2)
folio classique 618
https://www.atramenta.net/lire/vie-de-jesus/15392/2#oeuvre_page

Marie Sasseur dit: à

Bien raciste en plus, le Renan..

Marie Sasseur dit: à

Renan a voulu réécrire son évangile, so what ?

Jazzi dit: à

ERNEST RENAN

La mort de Jésus

« Comme la cohorte avait déjà en réserve deux voleurs qu’elle devait mettre à mort, on réunit les trois condamnés, et le cortège se mit en marche pour le lieu de l’exécution.
Ce lieu était un endroit nommé Golgotha, situé hors de Jérusalem, mais près des murs de la ville (…)
Le condamné à la croix devait porter lui-même l’instrument de son supplice. Mais Jésus, plus faible de corps que ses deux compagnons, ne put soutenir le poids de la sienne. L’escouade rencontra un certain Simon de Cyrène, qui revenait de la campagne, et les soldats, avec les brusques procédés des garnisons étrangères, le forcèrent de porter l’arbre fatal. (…)
On arriva enfin à la place des exécutions. Selon l’usage juif, on offrit à boire aux patients un vin fortement aromatisé, boisson enivrante, que, par un sentiment de pitié, on donnait au condamné pour l’étourdir. (…)
Jésus, après avoir effleuré le vase du bout des lèvres, refusa de boire. Ce triste soulagement des condamnés vulgaires n’allait pas à sa haute nature. Il préféra quitter la vie dans la parfaite clarté de son esprit, et attendre avec une pleine conscience la mort qu’il avait voulue et appelée. On le dépouilla alors de ses vêtements, et on l’attacha à la croix. (…)
On commençait par la dresser  ; puis on y attachait le patient, en lui enfonçant des clous dans les mains ; les pieds étaient souvent cloués, quelquefois seulement liés avec des cordes. Un billot de bois, sorte d’antenne, était attaché au fût de la croix, vers le milieu, et passait entre les jambes du condamné, qui s’appuyait dessus. Sans cela les mains se fussent déchirées et le corps se fût affaissé. D’autres fois, une tablette horizontale était fixée à la hauteur des pieds et les soutenait. (…)
Un écriteau, suivant la coutume romaine, était attaché au haut de la croix, portant en trois langues, en hébreu, en grec et en latin : LE ROI DES JUIFS. (…)

L’atrocité particulière du supplice de la croix était qu’on pouvait vivre trois et quatre jours dans cet horrible état sur l’escabeau de douleur. L’hémorragie des mains s’arrêtait vite et n’était pas mortelle. La vraie cause de la mort était la position contre nature du corps, laquelle entraînait un trouble affreux dans la circulation, de terribles maux de tête et de cœur, et enfin la rigidité des membres. Les crucifiés de forte complexion pouvaient dormir et ne mouraient que de faim. L’idée mère de ce cruel supplice était, non de tuer directement le condamné par des lésions déterminées, mais d’exposer l’esclave, cloué par les mains dont il n’avait pas su faire bon usage, et de le laisser pourrir sur le bois. L’organisation délicate de Jésus le préserva de cette lente agonie. Une soif brûlante, l’une des tortures du crucifiement comme de tous les supplices qui entraînent une hémorragie abondante, le dévorait. Il demanda à boire. Il y avait près de là un vase plein de la boisson ordinaire des soldats romains, mélange de vinaigre et d’eau, appelé posca. Les soldats devaient porter avec eux leur posca dans toutes les expéditions, au nombre desquelles une exécution était comptée. Un soldat trempa une éponge dans ce breuvage, la mit au bout d’un roseau, et la porta aux lèvres de Jésus, qui la suça. On s’imagine en Orient que le fait de donner à boire aux crucifiés et aux empalés accélère la mort  : plusieurs crurent que Jésus rendit l’âme aussitôt après avoir bu le vinaigre. Il est bien plus probable qu’une apoplexie ou la rupture instantanée d’un vaisseau dans la région du cœur amena pour lui, au bout de trois heures, une mort subite. Quelques moments avant de rendre l’âme, il avait encore la voix forte. Tout à coup, il poussa un cri terrible, où les uns entendirent : « Ô Père, je remets mon esprit entre tes mains  ! » et que les autres, plus préoccupés de l’accomplissement des prophéties, rendirent par ces mots  : « Tout est consommé  ! » Sa tête s’inclina sur sa poitrine, et il expira. »
(« Vie de Jésus, ch XXV »)

On connait les mots de Taine à propos de la « Vie de Jésus » de Renan : « Il met un roman à la place de la légende. » Alors, légende, histoire ou roman ? Difficile à dire en l’absence de certitude concernant les témoins ! Ernest Renan, précisant : « Les disciples avaient fui. Une tradition néanmoins veut que Jean soit resté constamment debout au pied de la croix. On peut affirmer avec plus de certitude que les fidèles amies de Galilée, qui avaient suivi Jésus à Jérusalem et continuaient à le servir, ne l’abandonnèrent pas. Marie Cléophas, Marie de Magdala, Jeanne, femme de Khouza, Salomé, d’autres encore, se tenaient à une certaine distance et ne le quittaient pas des yeux. S’il fallait en croire le quatrième Évangile, Marie, mère de Jésus, eût été aussi au pied de la croix, et Jésus, voyant réunis sa mère et son disciple chéri, eût dit à l’un : « Voilà ta mère », à l’autre  : « Voilà ton fils. »

rose dit: à

Des pensées antisémites.

Pourtant, se laver les pieds dans un tube pose par terre devant l’évier de sa cuisine.

rose dit: à

un tub

Marie Sasseur dit: à

@ Il met un roman à la place de la légende. » Alors, légende, histoire ou roman ? Difficile à dire en l’absence de certitude concernant les témoins ! 

Faut pas rire.

Marie Sasseur dit: à

2 mai , bonne fête Boris

« Knèze Boris Ier, Knyaz Tsar Boris Ier, le Baptiseur, aussi appelé Boris-Mihail (Michel), en bulgare : Борис I (Михаил), ou Bagoris / Bogoris ou Buric (?-7 avril ou 2 mai 907) est le souverain de la Bulgarie de 852 à 889 et son premier monarque chrétien. Lors de son baptême en 864, Boris est baptisé Michel en l’honneur de son parrain, l’empereur byzantin Michel III. »

Ne pas confondre avec Boris

« Boris et Gleb (russe : Борис и Глеб ; ukrainien : Борис і Гліб, Borys et Hlib) sont les premiers saints canonisés de la principauté de Kiev (Rus’ de Kiev) en 1072. Ils sont fêtés le 24 juillet[1]. »

Source: Wikipédia

renato dit: à

Si un jour un traducteur livrera une version française de La strada sognata de Valeria Della Valle, n’ayez pas peur de mal dépenser vos sous, c’est un livre qui vaut le détour.

JC..... dit: à

« Paresseux copier coller d’une « pensée » burger king de Renan » (Soeur Marie des Entommeures)

Magnifique, cette trouvaille, le concept ‘Pensée Burger King’. J’adore….

Bloom dit: à

Pour saluer Michel Vinaver, conscience politique et sociale et auteur d’une œuvre essentielle et singulière – en plus d’être le père de la sublime Anouk Grimberg.
Avec sa disparition et celle de Régina Zylberberg, c’est une partie de la mémoire et de l’identité plurielle de ce pays, qui s’en va.
Pays chaque jour un peu plus orphelin de ses talents.

« Pendant des années, il aura été cadre puis PDG de Gillette France en même temps qu’il composait l’une des œuvres les plus importantes du théâtre contemporain. D’« A la renverse » à « Par-dessus bord », il a décrit avec un regard acéré la position de l’homme dans le champ économique. Il est décédé dimanche à 95 ans. » Le Monde.

Jazzi dit: à

« Magnifique, cette trouvaille, le concept ‘Pensée Burger King’. J’adore…. »

D’autant plus que cela te donne l’occasion de faire le cornichon, JC !

« Pendant des années, il aura été cadre puis PDG de Gillette France en même temps qu’il composait l’une des œuvres les plus importantes du théâtre contemporain. »

Mais son théâtre n’était en rien rasoir, Bloom !

Bloom dit: à

Reggiani a cent ans. Joyeux anniversaire au grand Serge.
« Tu peux sourire, charmante Elvire, les loups regardent vers Paris… »
(a la télé russe, cartes a l’appui, on montre avec fierté qu’il suffit de 2OO secondes a un missile maison pour atteindre Paris, 22O pour Londres et seulement 18O pour Berlin. Du coté des aïeux bessarabiens, on racontait comment on avait échappé aux loups qui avaient pris en chasse la carriole familiale)

JC..... dit: à

« D’autant plus que cela te donne l’occasion de faire le cornichon, JC ! » (Jazzi/JB)

Je n’ai pas besoin d’une « occasion » pour faire le cornichon, je le suis, nuit et jour !
JC = Jacques le Cornichon.

La rumeur, elle, dit que nuit et jour
JB = Jacques le Bénédictin

renato dit: à

Il n’y a pas de limites au pire : Lavrov :
1. « Juif Zelensky ? Hitler l’était aussi » ;
2. « L’Italie en première ligne face à Moscou » ;
3. « Certaines déclarations d’hommes politiques et de médias italiens sont allées au-delà des bonnes normes diplomatiques et journalistiques ».

Et toujours dans le style « il n’y a pas de limites au pire » : Vyacheslav Volodine « Les leaders des États européens dirigés par l’Allemagne peuvent entraîner leurs peuples dans d’énormes problèmes. Ils entrent dans le conflit en fournissant des armes à l’Ukraine. Tous les chefs d’État qui ont décidé de fournir des armes doivent être traduits en justice en tant que criminels de guerre ».

Bloom dit: à

Dans la série ‘dérivation giboyeuse’, le verbe « macroner » qui, en russe, signifie beaucoup parler, écouter avec un air de commisération appuyé…et ne rien faire.

rose dit: à

Copie/collé Bloomie !

renato dit: à

Toujours Vyacheslav Volodine a déclaré que Moscou devrait reproduire symétriquement le gel des avoirs russes par des « nations hostiles » en confisquant leurs avoirs situés en Russie, à savoir les entreprises.

Ça c’est bien, on n’aura pas à détruire des moyens de production afin qu’ils ne tombent entre des mains hostiles, les Russes s’en chargeront de par leurs pratiques managériales.

pourmapar dit: à

en plus d’être le père de la sublime Anouk Grimberg.

Qu’est-ce que vous trouvez sublime, la femme, la comédienne ou l’artiste?
Anouk à enfin trouvé son papa?

renato dit: à

Macroner, ce n’est pas russe, Bloom, mais, selon la presse, ukrainien : macronete, se montrer inquiet d’une situation, mais ne rien faire.

une main... dit: à

« macroner »

Qu’est-ce qu’ en dit le leader mêle en con?

Qui a la définition de mélanconner?

Damien dit: à

Aucun de vous, c’est la honte, n’a su orthographier correctement le nom de l’actrice Anouk GRINBERG (avec un « n », svp). En effet une remarquable actrice, fille d’un père illustre. La notice Wikipédia d’Anouk Grinberg explique les origines familiales, c’est assez intéressant pour être recopier et ça donne ceci :

« Son arrière-grand-père paternel, Maxim Vinaver (1863-1926), a joué un rôle éminent en tant que juif et dirigeant du parti libéral des cadets en Russie. En 1919, il fuit la révolution bolchevique et se réfugie à Paris avec sa femme Rosa (1872-1951) et ses trois enfants : la future radiologue Valentine Cremer (1896-1983), le futur professeur d’université Eugène Vinaver (1899-1979) qui émigre en Angleterre à la fin des années 1920, et la future avocate Sophie Vinaver (1904-1964).

« Son père, l’écrivain, auteur de théâtre et ancien PDG de Gillette Michel Vinaver, de son vrai nom Michel Grinberg, est le fils de Leon Grinberg (1900-1981) et de Sophie Vinaver. Né à Paris en 1927, il s’exile avec ses parents aux États-Unis en 1940. »

Bref, une belle famille, avec de nombreux talents qui se sont distingués dans divers domaines. Michel Vinaver, qui vient de casser sa pipe, était donc un grand dramaturge, mais aussi un type assez original, ami de Camus, et qui travaillait chez… Gillette. Nul n’est parfait !

DHH dit: à

@MSasseur

En survolant le commentarium j’ai cru me reconnaître dans « la vieille doyenne qui ne comprend rien au film »
Si c’est bien le cas ,comme en termes choisis ces choses là sont dites!
Etre vieille ne me pese pas c’est un statut que j’assumme mais je détesté qu’on m’en parle de manière dévalorisante, comme associée a une incapacité intellectuelle.
sous la plume de l’universitaire de haut rang cumulant diplômes et doctorats que vous prétendez être. c’est minable
l’elegance eût été , avec moi comme avec d’autres ici, ne pas écraser de votre suffisance tout ce qui n’approche pas de votre niveau d’intelligence, de savoir, de statut universitaire et d’épaisseur de la couche de vos peaux d’âne accumulées ,

bouguereau dit: à

rénateau et kabloom sur fond vert..éventuellement sur d!p l..en formation serré dans le ciel ukrainien..macron surclassé rentre à la base qu’il dirait serdgio

une main... dit: à

La mélanconnie, c’est avoir rêvé d’être premier ministre?

bouguereau dit: à

« Magnifique, cette trouvaille, le concept ‘Pensée Burger King’. J’adore…. »

D’autant plus que cela te donne l’occasion de faire le cornichon, JC !

le lézard se désolidarise quelquefois du groupe..prend de l’altitude..et passe entre les jambe de larc de triomphe..ça sert a rien mais c’est pas mal

pourmapar dit: à

ami de Camus, et qui travaillait chez… Gillette. Nul n’est parfait !

Damien, sortez un peu de votre coquille! 😉

Vous en connaissez d’autres, amis de « grands écrivains », philosophes où je ne sais quoi, et qui travaillent dans le privé?
J’en connais des tas.

bouguereau dit: à

La mélanconnie, c’est avoir rêvé d’être premier ministre?

il va finir patron du burger king..djeust call me majesté et rentr’içi brave type qu’il va dire a jicé

bouguereau dit: à

qui travaillent dans le privé?
J’en connais des tas.

pour keupu les hintello c’est comme les ptis oiseaux a djizeus..ni ne sème ni ne moissonne

Marie Sasseur dit: à

La doyenne, comme elle s’est intronisee sur ce blog, me fait rire. Surtout les effets produits par le mensonge amusant de Damianus.

Quelques minutes seulement après qu’une amie m’a raconté le dimanche épouvantable passé avec une personne âgée d’une méchanceté maladive.

Amanda Lire dit: à

qui travaillait chez… Gillette. Nul n’est parfait !

En voilà un qui n’était pas un rond-de-cuir de la pensée!

bouguereau dit: à

je me bornerais à pressentir le changement de politique qui, sous Constantin, intervertit les rôles, et fait du mouvement religieux le plus libre et le plus spontané un culte officiel, assujetti à l’État et persécuteur à son tour

c’est l’menu double tchiz a la mélanche..qu’il y ait un pastis havec et c’est un nouveau concèpe qui va faire un malheur..jicé tapra pus dans la caisse..il sera autorisé a finir les verres..la vertue..enfin

pourmapar dit: à

un rond-de-cuir de la pensée!

Effectivement Amanda, être diplômé n’est pas forcément et uniquement un signe d’intelligence.

bouguereau dit: à

Damianus

les rimes riches à térezoune

bouguereau dit: à

DHH dit: à
@MSasseur

toutafé comme meussieu courte..dis moi qui tu hantes..

Amanda Lire dit: à

Voui, pourmapar.
Des rouge-brun diplômés il y en a des tas qu’y se mêlent en cons!

bouguereau dit: à

fais pas ta morpionne amanda..sinon jicé te mettra pas dcornichon

Marie Sasseur dit: à

Je n’ai rien compris à la généalogie Grinberg/ Vinaver.

bouguereau dit: à

terezoune apprend qules hintello sont con et sousdiplomé et bien payé..elle postule..manque son linkedin pour esploser rénateau

Marie Sasseur dit: à

Dans le journal ils reportent que Michel Vinaver a mis en scène la saga Bettencourt, mère/fille.
Mais ceux qui  » saluent « , en sauront certainement plus sur le PDG de Gillette ?

MC dit: à

DHH , vous avez tiré dans le mille, et de son point de vue à elle, ça ne se pardonne pas! Bonne journée. MC.

Rose. Il y a aussi à Dublin cette formidable collection de livres et manuscrits tes anciens ,constituée autour des années 1920 par un irlandais dont le nom m’échappe. Bien à vous . MC

Marie Sasseur dit: à

Le dément est content.
Heureux !

Tout lui échappe.

MC dit: à

manuscrits anciens.

Marie Sasseur dit: à

Ce vieux dément est bien à court d’argument, pour se résoudre à applaudir aux élucubration s désopilantes, de la  » doyenne » acariâtre.

Comment pourrait-il en être autrement.
Toutes ses falsifications révisionnistes et débiles, sont démontées les unes après les autres. Nul besoin d’être  » étudiant à vie », pour ce faire.

renato dit: à

Mélanconner, s’appuier pour le troisième tour sur la technique « black bloc » (ce qui pourrait permettre à son groupe d’apparaître comme une masse unifiée).

Phil dit: à

Je n’ai rien compris à la généalogie Grinberg/Vinaver

Saprée « terzoun », incapable de circonscrire le problème. un second couteau, you are.

Jazzi dit: à

Anouk Grinberg, qui n’est pas la fille de Jean-Claude Grumberg l’auteur dramatique de « L’Atelier », mais de Michel Vinaver, doit sa notoriété à son ex mari, Bertrand Blier, qui en fit la vedette de plusieurs de ses films…

« Fille d’intellectuels de gauche, vivant du côté du jardin du Luxembourg, Anouk-enfant prétendait aller aux manifs quand elle allait au catéchisme. «A la maison, c’était tabou d’aimer le bon Dieu. Fallait tout réfléchir et pas prier.» » (Libération)

MC dit: à

« Tout lui échappe ». Non .Outre le fait que la datation des textes a progressé depuis Renan, et qu’on ne peut le suivre sur ce point, lui connaissait un nombre de langues anciennes ou vous auriez eu bien du mal à le suivre. Et ses hypothèses de tr il ne sont pas toutes farfelues,Les quelques scories qu’on trouve par ci par là n’amoindrissent pas l’édifice. Encore faut-il le lire. À propos, son Marc Aurèle est à portée de main, mais je vais résister à la tentation . Trop de choses à faire pour vous prêter du temps..,,, MC

Marie Sasseur dit: à

Je n’ai rien compris à la généalogie Grinberg/Vinaver.

L’infect philopede, plutôt que de se masturber le seul neurone qui lui reste, de nature antisémite, pourra utilement lire cette notice Wikipedia :

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Maxim_Vinaver

Damien dit: à

« Surtout les effets produits par le mensonge amusant de Damianus. »

Ah bon ! J’aurais fait un mensonge amusant ? Lequel, chère Sasseur ? Tout ce que je raconte est véridique, vérifié, estampillé… Je me suis promis récemment de vire sans mentir, comme le père de Simon Liberati.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

*