de Pierre Assouline

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La République des livres
C’est les vacances, non ?

C’est les vacances, non ?

Vous, je ne sais pas, mais moi, j’ai un mal fou à me débarrasser des livres. Non à les jeter, horresco referens, mais à les donner car je ne suis guère conservateur, ni fétichiste, ni matérialiste. Je demeure convaincu que les livres doivent aller à ceux pour lesquels ils ont été écrits, et comment mieux faciliter le chemin qu’en les semant à tout va. Or lorsque je les abandonne, sur le siège de l’autobus, contre un strapontin du métro, sur un banc public, sur la banquette d’un bistro, je dis bien chaque fois, quelqu’un me le fait remarquer, m’obligeant à le reprendre si je veux éviter d’entrer dans une conversation foireuse ; et si je me suis déjà sauvé, il en est qui courent pour me rattraper : “Monsieur, Monsieur, votre livre !” Et quand il m’arrive, tout en me confondant en remerciements, d’expliquer que j’ai fait exprès, ça vexe, allez savoir où se niche la susceptibilité de nos contemporains.

Voilà pourquoi je me suis réjouis de la lecture de la petite enquête que vient d’effectuer Bristish Airways dans ses avions. Car les avions aussi, j’ai essayé et si ce n’est l’hôtesse, c’est un passager qui me rattrape sur la passerelle ou à la douane. L’enquête de la compagnie britannique concerne ses vols long-courrier à l’été 2014. Chaque année, elle retrouve environ 600 livres et 1400 e-books à bord de ses appareils. Mais quelque chose me dit que, contrairement à moi, une grande partie de leurs propriétaires ne l’ont pas fait exprès.

 1. La Bible

2. Gone Girl, Gillian Flynn (roman policier)

3. Les Séries King & Maxwell, David Baldacci (roman policier)

4. Nos étoiles contraires, John Green (roman)

5. Le capital au XXIème siècle, Thomas Piketty (économie)

6. Tuer Alex Cross, James Patterson (roman policier)

7. Les Luminaires, Eleanor Catton (roman)

8. Flash Boys, Michael Lewis (économie)

9. 50 nuances de grey, EL James (roman)

10. Sherlock Holmes, Arthur Conan Doyle, (roman)

Les biographies les plus laissées à bord étaient celles de Muhammad Ali et moins étonnant en période de Wimbledon, celle de Rafael Nadal.  Pour ceux qui ne veulent pas prendre le risque de perdre leurs livres, British Airways propose une vaste sélection de titres audios dans sa librairie virtuelle à bord. Avec notamment, La dame au petit chien de Tchekhov et Les grandes espérances de Dickens. En anglais, of course. Avec ou sans sous-titres ? On guette leur prochaine initiative destinée à ceux qui essaient désespérément de les perdre.

 (Photo Passou)

 

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commentaires

363 Réponses pour C’est les vacances, non ?

JC..... dit: à

Les livres, c’est facile de les « oublier » si on a pas cassé la tirelivre pour financer leur achat, Messire Passou ….

Sergio dit: à

Faut faire hautement gaffe, parce que si l’agent est périscopique, là comme ça en traversant tout de go c’est le pévé pour piétons à neuf cents euros… Ils peuvent même savoir à quelle vitesse on traverse ! Faut juste être en caponnière avec effet Doppler…

Sergio dit: à

C’est un tout petit texte on va pouvoir s’empogner pour de bon…

MC dit: à

Je crois savoir qu’un Harlan Coben est resté dans un Paris-New York….
MC

tact et dipomatie dit: à

La P de Clèves ne s’oublie pas

rose dit: à

Ben, j’ai cassé la tirelire et j’ai autant de mal que vous passou.
Pire que les jeter écrire au fluo jaune dessus :syncope assurée.
Alors, pour l’instant, c’est statu quo.
Puis, incessamment sous peu, je trierai. Nombre de larmes alors dans ma chaumière.
Aucun livre de cette liste je n’ai lu. En ce moment béni, suis plongée dans Courriers de nuit Guillaumet, Mermoz, Saint-Exupéry Le Roman de l’aéroport ale par Olivier et son frère Poivre d’Arvor.

Puissent être bénis ces gens qui ont choisi le.sujet de diplôme national du Brevet 2014. Grâce à ces gensses, me.suis.trouvé d’autres chez-moi.

rose dit: à

Le roman de l’Aéropostale
Je compte trucider avant la fin de l’été mon correcteur automatique. Je l’entends me supplier tel Hal et je serai inflexible.
Ah le délice en perspective !

Passou dit: à

JC, Imaginez vous que j’en ai beaucoup acheté et que j’en achète encore, certes moins. Mais d’autres dans la même situation préfèrent les garder pour eux. Pas moi. Et en déménageant je me suis séparé comme ça de nombre de livres achetés à 20 ans…

JC..... dit: à

Il m’arrive de prêter des livres de ma bibliothèque à des visiteurs, j’essaie de le noter, considère que si le livre ne reparait pas, c’est qu’il plait et c’est tant mieux !

Souvent, il me manque. Alors, si cela dure, je le rachète. Naturelle, à ce moment précis juste après la livraison, l’ami(e) me le rend. Ainsi, croyant m’être séparé d’un bouquin, je me retrouve avec des jumeaux. Lire est un enfer…

Rafut Leduc dit: à

Moi, je les donne à des libraires d’occasion ou des brocanteurs. Ou j’en remplis une caisse que je dépose sur le trottoir au bas de l’immeuble (ceux-là disparaissent en rien de temps).

Merci à M. Court pour son Harlan Coben que j’ai récupéré dans le Paris-New-York — et que j’ai refilé à un type dans Canal Street.

la plume de ma tante dit: à

le garde-champêtre lit des livres écrits avec de grosses lettres itou…dedans y’a des images de femmes, de singes et de girafes à colorier…il les prête a son camarade MarcelloU (c’est le seul camarade qu’il a) qui les lui rend avec des dessins de zobs partout…et ça les fait marrer tous les deux…

Eric Reine-Hard dit: à

Benitotofacho est un sacré menteur, il a avoué chez Popaul qu’il ne lisait plus depuis » L’amour et les forêts »

Attila dit: à

La Bible et pas le Coran (seulement dans les avions qui explosent en vol ou s’écrasent) !

Sergio dit: à

la plume de ma tante dit: 28 juillet 2015 à 17 h 04 min
des dessins de zobs

Ca c’est oncle Wolf qui le faisait, pour se payer des Winnetou (pourtant on devait bien en abandonner dans toute l’Allemagne, non ?), à ceci près que le modèle étant sa demi-soeur et le téléobjectif une fente dans la cloison, la partie anatomique représentée prend un autre nom…

le roi en jaune dit: à

Ah, quel billet savoureux, goulayant comme un petit vin blanc qu’on boit sous les tonelles, va nous dire Christiâne, aka la mémère douloureuse.

Attila dit: à

« j’ai un mal fou à me débarrasser des livres »

Même les dédicacés, Passou ?

Attila dit: à

« C’est les vacances, non ? »

Pas encore…

Attila dit: à

De ma jeunesse, j’ai gardé l’habitude de travailler double, l’été !

la plume de ma tante dit: à

le seul livre que j’ai sciemment abandonné était un Marc Levy qu’une amie bien intentionnée m’avait offert…comme je changeais de banque, j’en ai profité pour le laisser dans mon tiroir…sinon, je recycle les miens auprès de mes potes ou les offre a des magasins de charité…beaucoup ont établi des dépôts de livres dans les supermarchés…au bureau, les gens ramènent aussi leurs livres et les laissent au salon de l’étage…sinon, comme beaucoup de lecteurs d’un certains âge, j’en achète beaucoup moins qu’auparavant…il me reste quand même une sacrée pile que je me suis promis de lire un jour…

Sergio dit: à

Ha oui c’est le problème j’avais des Flora Groult qu’on sait pas d’où i sortent je les prêtais à tire de bras ils sont tout le temps revenus même après trois décennies… Peut-être qu’en déménageant entretemps…

JC..... dit: à

Lorsqu’il me faudra quitter ce monde -je ne supporte plus de cohabiter la même planète qu’Eric Reinhardt- je brulerai tous mes livres avec les étagères, je ferai cadeau de mon enfer au couvent de nonnes le plus proche, et libèrerai enfin les deux pièces encombrées aujourd’hui !

Finalement, on conserve les livres comme témoignage de la culture acquise, comme preuve de savoir, non ? Pas besoin de preuves !

Et pour rassurer le bolo de passage, je pendrai dans les pièces vides deux écriteaux à la mode de chez nous. En grosses lettres blanches sur fond noir, façon slogan débile Charlie : « JE SUIS CULTIVE »…

JC..... dit: à

Offrir un Marc Levy, c’est un cadeau de rupture de quelqu’un qui a un jugement sûr….hihihi !

Attila dit: à

A Paris, les bibliothèques municipales, c’est bien : on vient d’ouvrir une superbe médiathèque (Françoise Sagan) dans l’ancien hôpital-prison Saint-Lazare, près de la gare de l’Est.

JC..... dit: à

Bonne soirée, les petits coquinous, ne soyez pas sages : la vie est courte !

christiane dit: à

« Ah, quel billet savoureux, goulayant comme un petit vin blanc qu’on boit sous les toNNelles »
Pas vraiment.
Je dirai plutôt qu’il est drôle comme un film de Buster Keaton. Il est plaisant de suivre l’homme au livre-boomerang ! Et cela donne envie d’élaborer mille stratégies.
C’est bon de rire !

belle-maman dit: à

(twit)assigné en référé par la belle-mère

elle a raison

christiane dit: à

JC,
vous écrivez : « Finalement, on conserve les livres comme témoignage de la culture acquise, comme preuve de savoir, non ? Pas besoin de preuves !  »
Preuves pour qui ? Vos amis sont-ils ainsi ?
C’est un attachement complexe, une évidence affective peut-être celui du ravissement que l’on a vécu le temps de lire tel ou tel livre. Parfois on n’ose pas les relire de peur de ne plus ressentir l’émoi d’une première lecture. Le livre n’a pas changé, nous oui. Alors, il y a des livres que j’effleure seulement du bout des doigts pour sentir de l’autre côté de la couverture leur poids de mots fidèles.
Parfois aussi, si on a laissé s’accumuler trop de livres, on se sent comme écrasé, comme pris en otage, comme entouré de mots qui chassent le réel.
Une bibliothèque ? Qu’est-ce que c’est au fond ? Un lieu de désirs, de quête. Un miroir. Une régression vers une naissance. Du travail, donc de la solitude. Une jouissance. Une rencontre. Un oubli (un livre nouveau demandant d’oublier le temps d’une lecture, le précédent). Tant d’interrogations pour faire lien entre auteur et œuvre. Une anesthésie…
Alors abandonner ses livres ou les donner c’est comme une révolte parfois, une tentative : vivre sans eux, sans certains. Éprouver ce manque, cette absence. Et puis ils reviennent insidieusement dans la mémoire par phrases, par pages entières, par les mots , par les personnages, la voix (si c’était un journal) et ça serre le cœur, un peu.
Voilà, JC, pour répondre aux questions que vous n’avez pas posées.

rose dit: à

Et tant que nous y sommes, gouleyant. Vient de goulot ; au pluriel des goules => gouleyant. Comme un boulot, des boulets => boule yang, du verbe bouleversé (avoir un taf).

Bonnes vacances,

rose dit: à

des goulées

Evidence. dit: à

à côté de Harlan Coben, sur le siège de meusieu courte : FANTASIA CHEZ LES PLOUCS

rose dit: à

bouleyant
Du verbe bouleyer

rose dit: à

Pour Lévy danse, rare, plouc est un.mot breton qui signifie paroissien.
Vous l’aimez tant à l’employer sans cesse que vous en êtes, las & chienlit !

rose dit: à

Voilà JC pour répondre aux questions que vous brûliez de poser; mais vous n’auriez pas osé.
rose, plouc qui s’assume telle & Guillaume

christiane dit: à

Photo épatante, presque surréaliste.

Attila dit: à

On pense à la mer du nord, Ostende ?

Office de tourisme de Porquerolles..... dit: à

La photographie des sièges de l’équipe de rugby ne vient pas de chez nous, Passou n’ayant jamais obtenu son visa.

le roi en jaune dit: à

Une photo gouleyante, Cricri, tendre et savoureuse comme une escalope au poulet Père Dodu. (oui, moi aussi je suis poète et j’emploie les mots à tort et à travers.)

geo dit: à

Attila, je crois me souvenir qu’il n’y a pas si longtemps vous aviez abandonner toute lecture pour vous contenter du cinéma.

Vrai ou faux?

geo dit: à

abandonné…

tact et diplomatie dit: à

« Cricri, tendre et savoureuse »

Une véritable mère pour les pires

C.P. dit: à

Jacques, moi ce que j’aimais bien quand le tombeau d’Oscar Wilde au cimetière du Père Lachaise n’était pas encore « protégé » comme il l’est à présent, c’était qu’il y avait toujours quelqu’un pour déposer un « Portrait de Dorian Gray ». Puis quelqu’un d’autre le ramassait. Manière élégante de
refiler et de faire lire ?

Chaloux dit: à

Environ 4500 dans l’appartement, 2000 – au moins à la cave, très saine-, quelques centaines ailleurs, j’avoue être incapable de m’en séparer, sauf évidemment les grosses daubes mais je me les fais plutôt prêter. J’ai donné beaucoup de livres mais je m’aperçois que je n’en donne plus, sans doute à cause de prêts d’ouvrages rares ou chers qui ne me furent pas rendus.

Sergio dit: à

Non mais le feu rouge à la vingt-deux c’est comme qui rigole ! Le rouge ça peut être bien mais pas pour les feux…

Attila dit: à

Vrai, géo, mais après une cure de plus d’un an de non lecture, j’ai replongé, notamment par nécessité professionnelle, ma retraite ne suffisant pas à couvrir mes besoins, pourtant modestes…

Attila dit: à

Les bibliothèques sont des cimetières, C.P., et il y a tant de tombes d’écrivains dans les cimetières parisiens où déposer leurs ouvrages…

Juconda del mar dit: à

 » presque surréaliste  » Christiane

En quel sens?
Parce que s’ il s’ agit d’ un faux Magritte, où sont les critères esthétiques de ce peintre instruits en faux?

Juconda del mar dit: à

Il ne peut s’ agir d’ un presque Yves Tanguy.

Juconda del mar dit: à

Ni même d’ un presque Dali.

Juconda del mar dit: à

Peut-être le « Une minute sans danger », 1934 de Meret Oppenheim?

christiane dit: à

@Juconda del mar dit: 28 juillet 2015 à 19 h 32 min
Oui, tout à fait ! Magritte. Des lumières déroutantes (nuit et jour liés), un vide sidérant sauf le bonhomme clignotant. Un film D’Antonioni avec un croisement de rue, désert. Et la mer au loin, derrière les chaises vides comme une impossibilité de distinguer l’horizon, d’aller plus loin.
Ça ce serait du Duras :
« La lumière commence à baisser.
Les premières mouettes quittent la plage, elles partent vers la digue.
Le marcheur ne revient pas sur ses pas(…) il repart derrière la digue. On ne le voit plus.
Le voyageur dit :
– Nous sommes seuls ?
Elle fait signe :
– Non.
Attendent.
Des mouettes continuent à partir dans des éclatements blancs.
Elles partent.
Leur départ se précipite.
Le voyageur dit :
– Vous pouvez recommencer à regarder. »

Voilà, la photo a été prise à ce moment-là !
L’Amour (Un livre raté de M. Duras – une photo réussie de Passou !)

Juconda del mar dit: à

Là, je ne vois pas les mouettes, Christiane!

labat dit: à

la photo fait rêver c’est une photo très réussie

Juconda del mar dit: à

Ce pourrait être tout aussi bien une scène hyperréaliste, mouettes alors!

Juconda del mar dit: à

Faire rêver n’ explique rien de la photographie ni de sa  » presque » qualification.

Attila dit: à

Elle a réponse à tout, Christiane, on ne la piège pas comme ça !

D. dit: à

JC….. dit: 28 juillet 2015 à 17 h 28 min

Bonne soirée, les petits coquinous, ne soyez pas sages : la vie est courte !

JC, vous êtes l’inconséquence-même.
Cette vie terrestre est courte et la vie ailleurs est éternelle. Vous y entrerez dans l’état de sensualité extrême dans lequel vous vous trouvez en ce moment. Cela sera terrible pour vous car vous ne trouverez plus satisfaction. Si personne ne prie pour vous pour que vous vous éleviez, vous serez très longtemps une âme errante en grande souffrance.
Ce que je vous dis est la vérité.

D. dit: à

Et il en sera de même pour Daaphnée, et bien d’autres encor.

Juconda del mar dit: à

La faculté de faire rêver n’ indique en rien la réussite de la photographie.
La minute sans danger de M. Oppenheim me semble très proche sémantiquement de l’ icône du feu rouge. Elle arrête, signale un ordre, évite le danger si on se tient tranquille au bord de l’ image.
Traverser pour marcher dans l’ eau?
( Bon je n’ ai pas trouvé sur google images cette peinture.)Mais elle figure dans des anthologies des peintres surréalistes.

Juconda del mar dit: à

on ne la piège pas comme ça !

Aucune intention de piéger qui que ce soit Attila.
Nous regardons une photographie, nous parlons à son sujet, nous y projetons quelques lumières.
C’ est les vacances bon sang!

de nota dit: à

J’abandonne mes livres dans les boîtes aux lettres. Une fois par semaine, dix livres dans mon sac à dos, je parcours la ville et selon mon bon vouloir, je pousse la porte d’un immeuble,me plante devant la rangée de boîtes aux lettres et, inspiré par un patronyme, furtivement, je fais glisser un livre dans la boîte; le coeur alors me bat un peu, car désormais tout peut arriver, tout va arriver. N’allez pas sourire de mon geste, de ma lubie que vous jugeriez un peu loufoque, mais gracieuse et inoffensive, non, je l’avoue je suis un pervers, un beau salopard, un vengeur froid, impitoyable, je ne suis pas un innocent, les livres ,eux non plus, ne sont pas innocents, même le plus médiocre d’entre eux, je pose des livres comme on pose des bombes, je veux dévaster des existences.
Par exemple, dimanche dernier, j’ai laissé dans la boîte de Monsieur et Madame X « J’adore ce qui me brûle de Max Frisch » j’ai imaginé monsieur relevant sa boîte aux lettres, y trouvant ce livre, interloqué d’abord, assez curieux pour l’ouvrir et en lire les premières pages, premières pages qui racontent l’histoire d’une femme qui abandonne son mari, lasse de sa puérilité, j’imagine ce monsieur bien vite inquiet, se disant  » elle veut me dire quelque chose, avec ce livre, elle veut me dire quelque chose » bientôt, il entre chez lui et brandit le livre sous le nez de sa femme « Tu ne pouvais pas me parler? Tu avais vraiment besoin de me laisser ce livre dans la boîte? » J’imagine tout ce que ce malentendu peut provoquer, la dispute, l’irréparable, la rupture!
Oui, je laisse des petites bombes dans les boîtes aux lettres, des petites bombes qui détruisent les certitudes, « Qui a mis ce livre dans ma boîte, ma femme? un voisin? un ennemi? mon amant? mon père? Pourquoi? »

Je vous l’ai dit, je me venge, je me venge de tous ceux qui affirment qu’un livre ne peut pas changer la vie.

Juconda del mar dit: à

Heureusement que je n’ ai pas balancé dans le métro mon Anthologie plastique du surréalisme, Philipacchi éditeur 1980!

OUI, pourquoi cette exclussion dit: à

Si vous continuez à m’exclure je descends to the GO chez VOUS mon jeune Ami!

OUI, pourquoi cette exclussion dit: à

Bon tout va mieux, je ne peux plus me passer ni de livres ni de votre blog ni de …

Non-exclu, pour le moment... dit: à

Sergio dit: 28 juillet 2015 à 15 h 49 min

C’est un tout petit texte on va pouvoir s’ »empaugner » pour de bon…Go..On commence par qui? Sinon je terminerai bien mon poème de Sainte-Beuve, « LE CENACLE », je suis sûr que cela vous plaira!
Qui est Pour? Qui est Contre,
QUI’POUR? Sergio très certainement.

christiane dit: à

« La faculté de faire rêver n’ indique en rien la réussite de la photographie. »
Ce n’est pas cela, plutôt la silencieuse puissance de certaines photos.
Capa disait à son ami Cartier-Bresson :
« Méfie-toi des étiquettes. Elles rassurent mais les gens t’en colleront et tu ne pourras plus t’en débarrasser. Tu auras celle du petit photographe surréaliste… Tu seras perdu, tu deviendras précieux et maniéré. Continue dans ta voie, mais avec l’étiquette du photojournaliste et garde le reste au fond de ton cœur. C’est ça qui te plaira toujours au contact de ce qui se passe dans le monde. »
Cartier-Bresson L’Oeil du siècle _ Folio-Gallimard 3455 p.229 (Le meilleur livre – pour moi – écrit par Pierre Assouline)

Plus sérieusement dit: à

Oui et non.Je ne partage pas l’idée d’abandonner un livre!
En voici les raisons, qui peut-être ne vous surprendront pas :
1°) Quand j’achète c’est rarement pour rien et encore moins par hasard, surtout un livre.
2°) Je lis d’une façon très technique plusieurs ouvrages parallèlement en y rapportant toutes sortes de notes perso, et parfois en les accompagnants de développés raturés et d’explications de dictionnaires étranges, donc pas question d’abandonner une chaîne,logique, non?
3°) J’aime trop les auteurs que j’achète, c’est un peu comme une femme que l’on paye pour vous distraire, hors de question de l’abandonner ou même de le perdre.
Voyez, comme « NOUS » sommes tous égaux et tellement différents!

Juconda del mar dit: à

 » Méfie-toi des étiquettes. »

Eh bien voilà, nous y sommes Christiane.
Pierre Assouline n’ est pas un  » presque surréaliste »…n’ est-ce pas?
Il est Passou en vacances.

Passou dit: à

Attila de 17.19? Mais ils sont tous dédicacés… Je ne laisse jamais la dédicace.

Plus sérieusement dit: à

Mais, je me demandais, c’est où cette vision photographique au bord de l’eau, dans les studios d’hollywood chewuim-gomme ou encore la photographie du salon de mémé?

Plus sérieusement dit: à

Mais ils sont tous dédicacés… Je ne laisse jamais la dédicace. Sans indiscrétion vous en faites quoi des dédicaces, vous les brulées? ou vous les digérées avec un peu de souvenirs languissants? Curieux tout ça, tout ça! NON?

la vie dans les bois dit: à

Mais, non.
C’est pas les vacances, cet été moins qu’aucun autre.
Le panneau routier, il s’est mis tout rouge warning, d’un coup, et pas par inadvertance, on croirait à un complot.

This temptation of wild wild is so cruel.
Alors je laisserais bien volontiers quelques livres sur la jetée. Par terre.
Pour vacances de coutre durée: Magnus de S. Germain ou Cercle de Haenel
Pour vacances prolongées: Le tunnel de W. Gasss, ou Le temps où nous chantions de R. Powers.
S’il faut faire des cartons, c’est aussi possible.

la vie dans les bois dit: à

pour la courte durée , il y a aussi la délicatesse, de Foenkinos.

christiane dit: à

@Juconda del mar dit: 28 juillet 2015 à 20 h 58 min
Vous avez raison, absolument.
Mais, regardant cette photo, je voyage entre littérature cinéma et peinture. Le mot « surréaliste » revient vers moi. Il est à l’aise dans ma perception des images de ce monde. Surréaliste ne me conduit pas vers telle ou telle toile mais vers un décalage poétique d’avec le réel. Toujours une faille, un indice qui me déporte vers un univers onirique.
Aujourd’hui, deux temps de contact avec le blog. D’abord l’anecdote que j’ai prisée et qui introduit ce livre (digne d’un almanach Vermot : les objets perdus !). Puis retour à la photo, qu’un regard rapide avait installée dans ma mémoire. Y revenant je cherche comme une piste. D’abord cette double lumière que vous avez dirigée si justement vers Magritte. Puis l’atmosphère des films d’Antonioni. Et enfin ces dialogues interminables dans le livre de Duras, jusqu’à supprimer du regard de la femme ce qui aurait pu être indice (mouettes !). Donc oui, mon regard est loin du réel, du moment et du lieu où Pierre Assouline a fait cette magnifique photo. Il est lui. Je suis moi. Vous êtes vous. Un compte pour Un. J’ai beaucoup aimé notre échange.

hamlet dit: à

cette liste de livres oubliés est très parlante, elle montre que vous n’êtes qu’une petite minorité de gens cultivés sur cette planète, nous la majorité, nous sommes des rustres, nous n’avons pas cette sensibilité culturelle qui permet d’accéder aux grandes oeuvres, nous sommes des rustres, des gens bas de plafond, il nous faut des livres simples, simplistes, nous ne pouvons même pas prétendre à une richesse culturelle qui nous permettrait d’échapper à l’ordre des richesses du mondes, celles qui dépendent de l’argent, la culture de l’homme cultivé a plus de valeur que toutes les fortunes, c’est là les dernier message de Shakespeare, dans la Tempête, quand nous lisons cette pièce nous la lisons en sachant que nous sommes des Caliban, et non pas des Prospero, moi je suis Caliban, mon destin est de subir l’ordre des puissants, l’ordre des Prospero, voilà ce que dit cette liste de livres oubliés, cette liste m’appartient, c’est moi Caliban qui ai oublié tous ces livres sur British Airway, comme un bon Caliban je bave d’envie devant la montre à 700 mille euros de Nadal, parce que j’ai rien de mieux à proposer, mon âme ne vaut pas plus que la montre de Nadal, ma seule jalousie me pousse à envier plus la montre de Nadal à 700 mille euros que toute votre culture dont je sais par ailleurs qu’elle vaut plus que la montre à 700 mille euros de Nadal, parce que c’est tout ce que à quoi je peux prétendre de mieux, de posséder une montre comme celle de Nadal à 700 mille euros, je ne suis que Caliban, je ne serai jamsi un Prospero, c’est notre malédiction à nous, les pauvres d’esprit, les appauvris de la culture que de ne pouvoir être jaloux que d’une montre et jamais de la richesse de votre culture, de votre à vous gens cultivés, que riez en voyant ces pauvres Caliban jaloux de celui qui ne possède qu’une montre à 700 mille euros alors que vous, votre culture, votre culture vaut tellement plus, un prix inestimable, le prix de la culture inestimable, ah D., ah Barozzi, Bloom, Alba, Mr Court, christiane, puissiez vous venir en aide, secourir un pauvre Caliban, ah Miranda, Ferdinand, je vous l’implore, puissiez vous venir en aide, secourir, ce pauvre Caliban, ce pauvre être inculte.

Jean-Gérard dit: à

Une fois, j’ai laissé un exemplaire de « la vie de Rancé » sur un banc de métro. En me retournant, j’ai aperçu deux moines mendiants qui se battaient pour se l’approprier. L’un a fini par pousser l’autre sous une rame. A la trappe ! C’était à la station « Filles du calvaire ». Depuis, je m’abstiens.

D. dit: à

Il faudrait qu’en même qu’on trouve un établissement correct pour Hamlet, depuis le temps qu’on en parle.

D. dit: à

Moi je n’achète pas de livres, je les lis sur place dans les librairie, et vous devriez faire comme moi, ça vous éviterait bien des problèmes.

D. dit: à

Je ne vous crois pas, de Nota. Vous dites cela pour faire bonne figure.

hamlet dit: à

vous avez oublié « la vie de Rancé »… Château Brillant ma poule ?

moi Caliban j’ai oublié dans le métro : La Bible, Gone Girl, Les Séries King & Maxwell, Nos étoiles contraires, Le capital au XXIème siècle, Tuer Alex Cross, les Luminaires, flash Boys, nuances de grey, Sherlock Holmes….

hein ma chochotte, toi tu as oubli ton chateaubriand ? ma bibiche ?

et tu ne sais même pas le bonheur d’oublier un Chataubriand dans le métro ?

tu sais quoi ? tu es juste un cocho à qui on fait bouffer du caviar.

D. dit: à

Christiane, dans votre commentaire de 19h 48, il y a 4 fois D, et je ne pense pas que ce soit par hasard.

la vie dans les bois dit: à

à 21 h 36 min
Vous ne faites preuve de quiétisme.

hamlet dit: à

« D. dit: 28 juillet 2015 à 21 h 42 min
Il faudrait qu’en même qu’on trouve un établissement correct pour Hamlet, depuis le temps qu’on en parle. »

d’abord c’est hamlet avec un petit « h » !!!!!!!!!

et en plus je suis déjà admis dans un établissement spécialisé, si c’est le nom que vous donnez mon cher D. aux hôpitaux psychiatriques.

il ne faut pas avoir peur de nommer les choses.

mais là c’est l’été, j’ai eu droit à un droit de sortie, et j’ai aussi droit à une petite connexion internet à laquelle mes enfants me peremmetent d’accéder à condition que je ne dépasse pas la limite imposée par mon médecin traitant qui me traite pour pour ma névrose et ma psychose dépressive.

mais vous voyez mon cher D., cela ne dérange pas d’appeler un chat un chat.

alors de grâce arrêtez avec vos sales hypocrisies bourgeoise d’avoir peur de nommer un fou un fou.

comme dit l’autre, l’existence des soucoupes volantes sont la preuve que les couples d’extra terrestres ne sont pas toujours au top.

vous comprenez D. ? les soucoupes volantes ? comme les assiettes volantes ?

à moins que vous ne soyez pas pas marié ?

D. avez-vous une épouse ?

D. si jeux peux me permettre ,si vous êtes marié, quel est le prénom de votre épouse, et aussi son adresse mail ? que je lui écrive pour l’inviter à prendre un verre ?

rose dit: à

Le feu, la rangée de sièges me font furieusement penser à l’Amérique et Edwards Hop personnes : deux toiles plus précisément celle avec trois pompes à essence rouges alignées et un homme derrière, et celle avec un immense mur blanc qui ouvre straight away on the blue sea.

Le plus dur ce sera de.restzr.sourde aux gémissement, mais je m’entraine et pierre me raisonnera, me donnera les clefs. Me confiera quelque tâche urgente. Plus de neuf ans pour trouver une torche falote ; sache le. Et puis, des l’obtention de la torche tu tomberas en panne de pile. Et là ce sera pire encore. Là où tu crois m’abattre, tu me.construis d’airain.
Quant à d…., pauvrette, son sort sera tragique et pire encore que ce que tu peux concevoir.
J’intercèderai peut être pour elle. Pour toi, que non.

hamlet dit: à

D. je vais vous dire un truc, mi le blog de Monsieur Assouline ke le fréquente depuis un temps où je doute que vous soyez né.

mais vous n’avez pas connu cette époque.
à cette époque les lecteurs étaient des gens fancs du collier et pas des hypocrites comme vous

vous dites que je vous hais, c’est vrai !
je hais les hypocrites comme vous.

depuis que je vous lis vous n’avez jamais écris le moindre mot sincère, vous vous cachez derrière je sais pas quoi.

pour une fois dans votre vie soyez franc b.rdel !

rose dit: à

Edward Hopper

Et, dans le feu de l’enfer, tu seras glacé.
Drôle de destin.

la vie dans les bois dit: à

Non, pour joindre Rancé, le soleil noir, prendre la ligne RER C qui va à Versailles.

Juconda del mar dit: à

« un décalage poétique d’avec le réel. Toujours une faille, un indice qui me déporte vers un univers onirique. »

En fait, c’est vous la mouette qui volez sur les courants d’ air de l’ image.

Juconda del mar dit: à

Edward Hopper

Pourquoi vouloir réduire la liberté de l’image à nos pauvres références personnelles?
Toute l’ histoire de Passou est derrière cette photographie. Vous pouvez en être sûr.

Très sérieusement dit: à

De Nota, bravo, j’adore l’idée de déposer des livres avec préméditations dans les boîtes aux lettres des pèlerins non avertis d’une future lecture qui viendrait changer le cours de leur vie. Carrément GENIAL, bon me voilà occuper pour le week- end prochain, après la messe bien entendu!

Très sérieusement dit: à

Toute l’ histoire de Passou est derrière cette photographie. Vous pouvez en être sûr….Jamais sûr de rien dans la vie, et encore moins dans celle des autres!

Juconda del mar dit: à

La seule figure approximative d’ un être humain dans cette photo, c’ est la signalétique, l’ électronique et elle est au rouge!
Au delà de cette limite vos interprétations ne sont plus valables.

rose dit: à

La méthode Saura à ses travers tout de même. Merci s’en explique dans un courrier du 18 mai 1925 qu’il affranchit lui-même : « Je fais passer cette lettre par ma poste espagnole parce que je me suis aperçu que depuis quelques jours on se permettait de décacheter mes lettres. […]on désire connaître notre mentalité : c’est ce qu’on appelle la « chambre noire ». Ce procédé peu avouable… […].

C’est un procédé ordurier. Le reste est censuré.

la vie dans les bois dit: à

à 22 h 23 min
vos certitudes non plus.

la vie dans les bois dit: à

ma réponse à la joconde.

Juconda del mar dit: à

Sérieusement, Très sérieusement, vous n’ êtes pas sérieux.
Ce dont nous sommes sûrs, c’ est que Passou à une histoire personnelle. Et elle ne s’ est pas faite toute seule, comme son image d’ ailleurs.

rose dit: à

Mermoz

Hopper n’est en rien une de mes références personnelles. C’est le mobilier urbain de cette photo qui me fait penser à lui.
Maintenant je vous emmer.. Baignez et macérez dans votre médiocrité : C ‘est votre biotope. Vous n’en échappez jamais.

Juconda del mar dit: à

vos certitudes non plus.

Je n’ échappe pas à la règle des plurivocités des lectures.
Comme vous dans vos liens échevelés.

la vie dans les bois dit: à

Du mobilier urbain sur la plage ?
A quelle tableau de Hopper cela renvoie-t-il ?
A une pub JCDecaux?

rose dit: à

Et pour en terminer là ce soir, cela fait quelque temps qu’il apparaît que passons est dans la tourmente…Ceci pour ceux qui s’intéressent à autrui.
Armada de nuages gris, ligne orangée de lumière. vive.
Pour l’instant vous vous en êtes pris plein la gueule. Et depuis un moment.

Juconda del mar dit: à

Hopper n’est en rien une de mes références personnelles.

Mais vous vous référez à Hopper pour qualifier cette photographie.
C’ est tout ce que je dis, Rose.
( Et que je redis, Rose )

rose dit: à

Il n’y a pas de plage : accès interdit par un feu rouge. Bande étroite de sable sale coincé entre une route passante et la mer grise et plate.

Ce n’est pas chez moi.
Et le mobilier est urbain.
C’est un succédané. Un ersatz.

Sergio dit: à

Non-exclu, pour le moment… dit: 28 juillet 2015 à 20 h 27 min
s’ »empaugner »

Mais ça peut être permanent ! Un état de grâce un way of life… Ca l’est déjà mais chaque fois on brandit des prétextes comme par hexemple au hasard oncle Wolf qui ressuscite chaque demi-seconde… Non ! Il faut s’inscrire en faux… L’empaugnement, ça doit être purement esthétique !

Juconda del mar dit: à

Pour le dire autrement, Rose, vous établissez une analogie entre le monde pictural figuratif de Hopper et l’ image de Passou.
Déjà que la construction picturale est savamment pensée chez Hopper, pensez-vous que l’ on peut comparer ce travail de patience ( vois ses calques, etc..)à l’ instantanée du cliché photographique même quelque peu médité par son auteur?
Nous avons affaire ici à deux temps très différents, ne croyez-vous pas?

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…je vais vous faire rire,!…

…j’ai la chance, de m’être débrouillé pour acquérir les livres que je désirait lire,…et consulter,!…à mon aise,!…étendu sur mon fauteuil de tout mon long,!…
…et, y prendre des notes, y condenser,et y simplifier, faire des nouveaux livres, par l’assemblage des détails techniques mis à côtoyez,!…

…aujourd’hui,!…je constate, le côté  » perruche « , des livres,!…
…le monde intello, tourne avec des étourderies sans fin, les connivences sans priorités,!…
…le monde, rien de sérieux, comédies et cinémas, tout des  » mise en boîtes « ,!…sacré  » Zeus « , avec ou sans fortunes,!…
…etc,…heureux avec presque rien,!…Ah,Ah,!…

…la meilleure,…avant d’avoir les livres et ma curiosité satisfaite,…comme, si,!…avant je savait déjà tout,…par moi-même,!…
…les livres techniques, une partie de soi-même,!…
…plus rien à acheter, et ne veux rien publier,…l’homme n’est pas assez sérieux, et il s’exploite et se détruit en lui-même,…
…il y a une marge de respectabilité, qui est depuis longtemps transgressé et bafoué,!…
…l’homme d’aujourd’hui ne se respecte plus lui même,!…il fait aussi, du rapide sous cloches de muguets,!…
…l’homme me fait honte,!…dirait Zeus,!…
…et ta soeur,!…etc,!…

rose dit: à

Je ne la qualifie pas.
Je fais un lien.
Et j’ai cité les deux toiles en question.
Ce n’est pas une définition c’est une démarche en étoile. Telle chose te suscite autre chose; et je ne dis pas non plus c’est du Hopper ; non cette plage me fait penser sera à du urbain en rien à une plage. S’il y a quelqu’un ici qui est spécialiste des plages, vous pourriez l’admettre volontiers, c’est bien moi. Qui revendique bien peu de choses par ailleurs et surtout pas des lectures substantielles et compliquées : mais quant à la qualité intrinsèque des plages je touche ma bille. Et là, c’est pas top.
Désolée d’avoir à vous le dire. Croyez-moi.

Juconda del mar dit: à

« que l’ on puisse »…c’ est beaucoup mieux, ça glisse…

Juconda del mar dit: à

C’ est du « presque Hopper » alors?

rose dit: à

Je n’a n’a lyse rien.du tout et par pitié ne venez pas.y rajouter l’esthétique. Et la curiosité me.prend. en face on dirait un espace de.terre . Ce peut être un isthme ou le nouveau canal. de Suez.
Se baigner là jamais.

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…du Hopper,!…Oui,!…juste,…

…il manque, les personnages isolés dans leurs contextes  » limites  » de charmes à la  » Hopper « ,…

…le bar, l’hôtel,…etc,…

la vie dans les bois dit: à

« S’il y a quelqu’un ici qui est spécialiste des plages, vous pourriez l’admettre volontiers, c’est bien moi »

Si vous l’affirmez, rose, c’est que certains vont tomber dans le panneau.

rose dit: à

Certes les époques sont différentes.

Juconda del mar dit: à

« c’est bien moi »

Rose, vous êtes la seule à bien vous connaître, nous vous l’ accordons très volontiers. Vous êtes très anonymes pour nous sur ce blog.

Sergio dit: à

rose dit: 28 juillet 2015 à 22 h 37 min
Il n’y a pas de plage : accès interdit par un feu rouge.

On va pas reculer devant un feu rouge ! D’ailleurs ils avancent pas c’est la terre qui tourne… On le voit bien avec le pendule de Lorenz le pendule avance mais pas le feu rouge…

Faut ruser attaquer là où y en a pas, de feu rouge ; comme Agamemnon, Rommel et l’autre fourbi, là, avec ses éléphants… D’un autre côté mettre ça dans des barges de débarquement à tous les coups ça va chalouper ! Ca passera même pas la barre…

Juconda del mar dit: à

Se baigner là jamais.

Rose, vous pensez à fleur de peau.

rose dit: à

Je connais votre manière à vous de pousser les gens dans leurs retranchements. Puis de les y enterrer vivants. Puis de vous -là votre procédure varie- ou bien acharner violemment ou bien humilier définitivement (et les gens quittent définitivement le blog) ou bien pousser le vice à son acmé ou bien vous gausser intérieurement de ce que vous mettez à jour.

Ensuite, silencieusement, vous vous éloignez dévoré par la tristesse, convaincu de la laideur de l’humain alors que c’est la vôtre que vous projetez sur autrui. Et dans une solitude immense.

Je partage intensément la même solitude : quant au reste, j’ai fait les choix diamétralement opposés aux vôtres, dieu grand merci de m’être remise entre tes mains.
De cette.vision du monde vous ne pouvez sortir que rapetissi.
Que.cela.vous.convienne, soit.votre.karma, vous en avez droit. Que vous osez faire partager cet enfer personnel à une femme qui possède nombre de qualités, c’est impardonnable. Comme Stefano Zweig. Et quand Dominique avait.dit cela il.avait.dit « quand un homme coule/se suicide il.coule seul. Il n’entraîne personne dans son naufrage. » Merci à lui pour cela.

rose dit: à

Oui je pense à fleur de peau. Et voici ce que je pense : su vous.vous accordiez à vous-même plus de tendresse, vous étiez capable de deux choses:
1/ de nous en accorder pck c’est vital la tendresse
2/ d’en accepter de notre part sans vous la jouer vierge effarouché.

Et votre vie changerait.
Lorsqu’on vit avec une femme qui aime immoderement aller à la plage et bien on, l’homme, l’emmène à la plage.

Et les pas qui font des gâteaux de sable avec leurs fils remplissent un acte fondateur de bon augure.

Voilà.
Maintenant, faites chacun d’entre vous ce qui.vous plait.
Mais ceux qui sont malheureux par principe, par posture acquise ou atrophiée, par pitié, personne n’en traînez avec vous personne, personne. Noyez vous tout seul.

Bonnes vacances à tous.

rose dit: à

Si vous vous
etc.

Chaque fois que vous vous adressez à Christiane je tremble que.vous lui fassiez.subir ce que.vous m’avez fait subir à moi le premier janvier 2015.
Croyez-vous que je vous ai pardonné ?
Non.
Ce que vous m’avez fait subir est gravé en lettres de sang dans ma chair.

Sachez-le.

Juconda del mar dit: à

Mais non Rose, je ne suis pas celle/celui que vous croyez.
( Vous devez confondre.)
J’ aime les images, les fabuleuses images et j’ aime les analyser précisément aussi comme s’ il fallait prendre de la distance avec ce qui vous fascine de peur d’ y perdre un peu la vue.

la vie dans les bois dit: à

Dans les avions, Sergio, côté cabine passagers, il est très difficile de lire longtemps avec concentration.
Reste les films sur un écran plus petit que le hublot.
Ou la zique et le hublot…
Lors de mon premier transatlantique, je crois me souvenir que c’était ça, mais c’est pas sûr.
https://www.youtube.com/watch?v=zMuuaJE3OIk

Giovanni Sant'Angelo dit: à


…en tout cas, moi,!…le n’ai rien fait subir,…à personne,…
…ni le 1 Janvier 2015,!…ni à aucun autre moment,!…à quiconque,!…
…je dors tranquille sur mon  » échiquier « ,!…
…etc,!…Go,!…

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 28 juillet 2015 à 23 h 20 min
Reste les films sur un écran plus petit que le hublot.

On peut amener un écran trente pouces, on le plante dans le dossier de devant encore plus haut que le chapeau de la dame, on dénude les fils pour les brancher au bastringue de l’avion… S’il y a des types qui s’agitent à brandir des pétoires on leur dit que c’est pas le moment, que ça va pas commencer, que au contraire c’est le film, qui va commencer, qu’ils descendent immédiatement !

la vie dans les bois dit: à

Ah oui, Sergio, ce serait rudement bien, ça. Cette visite de pré-vol. Virer les fâcheux. Et puis après on pourrait faire « des figures de voltiges bizarres, sans cesse sur le point de décrocher, comme si le pilote cherchait à redresser », mais pour cela Sergio, il faudrait équiper un CAP 231 Mudry ( merci, tout plein, à C. Gailly)

Pour le dernier transat’, Sergio, l’un des films sur le dossier fut  » un monstre à Paris », tout le monde peut rester à bord, alors.

JC..... dit: à

Vos livres sont effroyablement impersonnels ?

Réagissez !

Pour 10 euros, je dédicace vos livres en imitant parfaitement la signature de l’auteur :

« Pour Rirette que j’aime, William Shakespeare »

« A Mimille en souvenir de la nuit du 4 août, sa Momone de Bavoir »

« Sans toi Agnès je ne suis rien, Molière »

Bloom dit: à

Il y a des compagnies aériennes qui ne savent pas ce qu’est un livre.

Passou dit: à

S’il y a un livre que je ne risque pas d’oublier ni d’abandonner dans le métro, c’est bien les « Mémoires d’outre-tombe ». Pour deux raisons : 1. je ne l’ai pas en core terminé, je prends mon temps, ça fait des années que ça dure ; 2. il est dans mon téléphone.

renato dit: à

Dormir c’est encore la meilleure des activités qui nous sont données lors d’un voyage en avion… ou en train…

Une idée comme une autre : dit: à

(…) »L’enquête de la compagnie britannique concerne ses vols long-courrier à l’été 2014. Chaque année, elle retrouve environ 600 livres et 1400 e-books à bord de ses appareils. »…Il existe une méthode douce pour le recyclage des livres. Je l’appelle « Hérisson » ou encore « Eric-Sonne »:
Il s’agit de prendre chaque page du « dit » livre à égarer, de les plier en accordéon de la première page à la dernière, (au passage, si vous aviez manqué le dernier mot, de la dernière strophe, du dernier chapitre, vous y gagnerez dans l’exercice de la mémoire°!°)
Après ce travail laborieux accomplit, vous obtiendrez un volume différent selon le format, le dos carré et les dimensions de la chose dite.
En y ajoutant quelques rubans de couleurs, vous réaliserez une sculpture papier appelée « Oeuvre d’Art » par les tous petits de la médiathèque de mon Village au Clocher Doré.
Voilà, voilà…Amusant, non?
Sinon une méthode plus radicale, que j’ai déjà utilisée si le livre vous hérisses particulièrement, (pour des raisons à courbes variables), je vous recommande de déchirer chaque page du livre en petites lamelles fines, afin que celles-ci deviennent parfaitement illisibles (trempez-les dans l’eau si nécessaire, puis pressez avec vos deux paumes de mains rapprochées, jusqu’à obtention d’une boule de papier, et le tour est joué ou jouet, comme cela vous plaira!

Une idée comme une autre : dit: à

S’il y a un livre que je ne risque pas d’oublier ni d’abandonner dans le métro, c’est bien les « Mémoires d’outre-tombe ». Pour deux raisons : 1. je ne l’ai pas en core terminé, je prends mon temps, ça fait des années que ça dure ; 2. il est dans mon téléphone.
Ouais, moi non plu, je ne risque pas d’oublier « Mémoires d’outre-tombe », ce fut pour moi un désastre à l’épreuve du bac de mon époque (ça date, donc chut..), je ne risque pas de l’oublier!

christiane dit: à

Quel peut être l’intérêt de ce livre qui n’est pas un livre mais une enquête ? Il s’agit donc d’une analyse documentaire réalisée en liaison avec la collecte de livres égarés dans ses avions effectuée par British Airway. (600 livres et 1400 e-books en un été. Pauvres lecteurs !) et qui déclenche, ici, les interrogations des uns et des autres : garder tous les livres lus ? En donner ? En poser discrètement – ou pas – dans des lieux divers. La moisson est riche.
Soudain, les regards s’accrochent à une photo unique posée en avant du billet. Et les livres sont oubliés. Il reste une image forte à contempler, à interroger. Et chacun y va de ses réminiscences, dévoilant ainsi son musée intérieur.
Nous ne saurons jamais pourquoi Pierre Assouline a choisi cette photo pour accompagner ce billet espiègle. (si ce n’est le titre qui lui est donné : « C’est les vacances, non ? » )
Un paysage mouillé paisible et désert un soir d’été ou un matin au bord de la mer pour mouette égarée ou promeneur solitaire ou pas.

labat dit: à

p;assouline se met en vacances : et on le croit ?

D. dit: à

Rose, 23h 12, si c’est moi qui est visé, vous êtes dans un pur délire, simulé ou non.
Je ne devrais même pas avoir à l’écrire, mais c’est tout de même de ma réputation dont il s’agit. Encore une fois, je ne vous connais pas, et tout ce que je pourrais connaitre de vous ne viendrait que de ce que vous avez écrit ici. C’est la même chose avec bien d’autres dont Christiane. Laissez-nous s’il vous plait le plaisir de plaisanter ici à notre aise.

D. dit: à

Renato, je suis déçu. Je n’imaginais pas qu’un être aussi exceptionnel que vous puisse avoir des besoins biologiques tels que le sommeil.

DD dit: à

il est regrettable d’avoir coupé le sifflet au secrétaire de JC, dommage

D. dit: à

En fait si je comprends bien, il faudrait qu’ici chacun lise avec délectation les commentaires autant multiples que souvent dérangeants de Rose mais les miens devraient être bannis.
On me l’a déjà chanté, cette chanson-là.
hamlet a quelque chose de supérieur à vous, Rose : s’il a des comptes à régler, il le fait ici avec une certaine élégance, de la justesse et de l’humour.

D. dit: à

Cela-dit, et si j’ai bien compris, j’apprends à travers les commentaires de Rose qu’elle trouve un refuge en Dieu, et là je lui dis de façon très claire que c’est une très bonne nouvelle !
Simplement, j’aurais aimé qu’elle arrête de me faire jouer ici le rôle du méchant, de l’ennemi, du grand persécuteur parce qu’il en existe sans aucun doute de vrais ailleurs, sans qu’on trouve le besoins d’en identifier ici.

D. dit: à

Cela-dit, Rose, vous avez écrit certaines choses justes dans vos derniers commentaires.
Cela donne à réfléchir. En quelque sorte je serais une personne profondément névrosée qui trouverait ici compensation maladive cherchant à diminuer les autres pour tenter de s’élever, en vain. Cela se doublerait de mythomanie (extraterrestres, précognition du futur de tous les univers, pilote de chasse, grand maître de Kung-Fu, pianiste accompli, nombreuses amitiés nouées avec de grands noms du milieu littéraire).
Vous avez vu juste.

D. dit: à

Au fond, vous m’êtes profondément sympathique, Rose. Je ne vous l’avais jamais dit, mais là je vous le dis. Simplement vous me faites un peu peur. Je vous propose une chose, sincère : je prierai pour vous et vous prierez pour moi.

Faux ou en core pas vrai! dit: à

labat dit: 29 juillet 2015 à 9 h 42 min

p;assouline se met en vacances : et on le croit ?…Je n’en crois ni un
mot, ni même un caractère…Ce Passou nous réserve une botte secrète avant la fin de l’été.
Peut-être celle de Nevers, qui sait?

La fille qui a failli dit: à

Certaines nuits particulièrement désespérées (avant le relâchement soulagé de la renonciation), j’avais imaginé écrire un texte et l’abandonner délibérément dans le train qui me menait, tous les jours, à mon triste bureau.

Cela pourrait faire un joli début de roman, me disais-je. Une fille monte dans un train et y abandonne un manuscrit, qu’un inconnu ramasse et commence à lire, et puis cela lui plaît tant qu’il cherche à retrouver la fille qui l’a écrit, et prend le même train, tous les matins, et tente de deviner qui est l’auteur du livre parmi les passagères régulièeres et quotidiennes.

Ca aurait pu s’appeler « l’abandonné », et évidemment, le hasard aurait été sollicité – qui allait ramasser le livre, serait-il jeté à la poubelle ou recyclé en boîtes à pizza, etc.

« Un lecteur, un lecteur » ! me disais-je vers trois heures du matin, pendant que je me débattais pour ne PAS sauter du lit et aller azertier sans modération. « Mon royaume pour un lecteur, un seul, au hasard Balthazar, le premier venu le dernier reparti, mon âme pour que d’autres yeux que les miens se posent sur mes mots, les soupèsent, les caressent et s’en pénètrent, deux suffiront, juste deux, même louches, même marrons glacés, même avec des lunettes par-dessus mais enfin les yeux d’un seul lecteur, entre Rouen et Le Havre, 54 minutes entre le lecteur et mes mots , il peut s’en passer des choses en cinquante quatre minutes… »

Bref.

Dites, jeunes gens et vieilles barbes de la RDL, je ne suis pas venue pour vous raconter ma vie littéraire et désespérée, mais pour vous dire que je suis en train de lire un texte extraordinaire.

Sisisi.

C’est l’histoire d’un type qui a des problèmes avec les livres.

Alors il fréquente un blog littéraire bien connu (avec des intellectuels de haut rang et d’autres… moins)

Et il se pose des questions.

C’est écrit « au tricot ». Je veux dire que le type qui a écrit ça écrit comme on tricote. Il entortille le lecteur, un rang à l’endroit un rang à l’envers, il tire sur toutes les ficelles, j’augmente et je diminue, il passe du point mousse aux côtes piquées, le lecteur se retrouve tout entortillé.

Et c’est d’une drôlerie irrésistible.

je ne sais pas s’il va m’autoriser à divulguer le nom de son livre et son identité. Je ne suis même pas sûre qu’il ait trouvé un éditeur.

Mais ce dont je suis sûre, c’est que c’est du travail littéraire – qui brûle le lecteur comme les moustiques piquent… Un travail littéraire, comment dire ? Désopilant !

Ce que la « critique littéraire » se prend dans la pomme ! (Presque autant que ce que Foucault se mange en ce moment sur France Cul, de la part d’un certain Onfray, tous les soirs entre 19 et 20…)

Allez, tiens, j’y retourne. Je m’en vais essayer de deviner qui est le « pauvre Yorik » ou qui s’est fichu en colère à propos du Lolita de Nabokov, puisqu’évidemment, c’est de nous tous, nous les rdéliens, dont l’auteur se gausse avec d’autant plus de délectation qu’il est des nôtres (et comment !)

(si l’auteur ne trouve pas d’éditeur, je propose qu’on se cotise tous pour publier ce livre ! On lui doit bien ça !)

chercheur dit: à

Ils avaient une dent contre qui, à Tautavel?

Ueda dit: à

Plus sérieusement dit: 28 juillet 2015 à 20 h 50 min
3°) J’aime trop les auteurs que j’achète, c’est un peu comme une femme que l’on paye pour vous distraire, hors de question de l’abandonner ou même de le perdre.

Enigmatique.
La fille que l’on paye, on n’a pas intérêt à la perdre au plus vite?

Ueda dit: à

chercheur dit: 29 juillet 2015 à 11 h 48 min
Ils avaient une dent contre qui, à Tautavel?

Elle vient d’être restituée à M. Jean d’Ormesson.

Ueda dit: à

de la part d’un certain Onfray, tous les soirs entre 19 et 20…) (clopine)

J’ai vu que le peuple de gauche se voit offrir ce rata DEUX fois par jour.

Pour sa pénitence, hamlet devra l’écouter, lui qui était à deux doigts de dire que Nietzsche, c’est une espèce d’Onfray allemand.

Ueda dit: à

Echange

JC, je suis prêt à récupérer votre Reinhardt que je n’ai pas lu, franco de port.

Offre en échange: « Les derniers jours de Charles Baudelaire » de M. Bernard-Henri Lévy, « L’Après-crise est commencé » de M .Alain Minc (1982), « La Sultana » de Mme Catherine Clément.

DD dit: à

moi je n’échange pas un commentaire de Ueadad contre un autre de Benitotofacho car c’est du pareil au même

Ueda dit: à

et si je me suis déjà sauvé, il en est qui courent pour me rattraper : “Monsieur, Monsieur, votre livre !”

Moi ça m’arrive avec l’argent.

Depuis un jour d’adolescence, je ne ramasse plus la menue monnaie qui est tombée de ma poche. Une inspiration hugolienne m’avait fait décider: c’est pour les pauvres, et les enfants.
Je n’étais pas peu fier d’avoir transformé ma négligence et ma paresse en charité pour le prochain.

Ça manque rarement.
« Monsieur, Monsieur!… »

Et les plaisanteries d’usage: « Ça repousse pas! Ça fait pas des p’tits », etc.
Alors il m’arrive d’y foutre la semelle sur la piécette, pour qu’elle ne roule pas, ne fasse pas du bruit.
Parce que je ne vois pas l’intérêt de se salir le pouce et l’index à récupérer deux centimes d’euros dans la sciure d’une charcuterie de merde…

Le pire, c’est le visage éclairé de celui ou de celle qui la ramasse pour moi, la piécette.
C’est quoi, sinon vouloir écraser ma charité par une honnêteté et une sociabilité de pacotille?
T’en foutrais…

Ueda dit: à

Qui se balade en Inde a rapidement la poche bourrée de papiers sales appelés localement roupies.
Tout homme sainement constitué n’a qu’une idée: se débarrasser le plus rapidement possible de ces ignobles torche-cul.

A un spécialiste de l’économie du développement venu propager son imaginaire savoir-faire, j’avais proposé de complexifier son modèle et d’en tenir compte, en intégrant le fait que la crasse monétaire avait deux effets infinitésimaux: 1) la charité; (2) l’inflation.

Il ressortait de son objection qu’il me considérait comme un cynique et un con.

Comme c’est l’opinion que se font de moi beaucoup de commentateurs, et que c’est les vacances non?, je leur fait don de cette modeste satisfaction!

Chouchou dit: à

(si l’auteur ne trouve pas d’éditeur, je propose qu’on se cotise tous pour publier ce livre ! On lui doit bien ça !) Trouillefou

Le pâté, c’est encore plus gras en été.

Bloom dit: à

J’ai vu que le peuple de gauche se voit offrir ce rata DEUX fois par jour.

On croirait entendre parler l’homme du ressentiment nietzschéen. (Je précise que je suis allergique à l’amphigouri onfrayesque).

la plume de ma tante dit: à

‘…Il ressortait de son objection qu’il me considérait comme un cynique et un con…’

c’est un talent assez rare de créer ainsi l’unanimité autour de soi…

Bloom dit: à

Qui se balade en Inde a rapidement la poche bourrée de papiers sales appelés localement roupies.

Voilà un exemple de mépris bien daté. Depuis, il y a eu l’adoption du procédé australien.

Bloom dit: à

C’est Thermidor pour le mollah Omar.
Good riddance!

Ueda dit: à

Bloom dit: 29 juillet 2015 à 12 h 41 min
Voilà un exemple de mépris bien daté.

la plume de ma tante dit: 29 juillet 2015 à 12 h 39 min
c’est un talent assez rare de créer ainsi l’unanimité autour de soi…

Bloom dit: 29 juillet 2015 à 12 h 34 min
On croirait entendre parler l’homme du ressentiment nietzschéen.

Hihihi…
Je vous serre tous les deux sur mon coeur.

(Mais pas mon téton, je ne suis quand même pas la république.)

Bloom dit: à

Vade retro, uédas!

avec tact et diplomatie dit: à

Ueda « me considérait comme un cynique et un con »

Mais non (pas du tout) ((au contraire))

Ueda dit: à

Comme c’est les vacances, cher Bloom, je n’ai aucune envie de vous tirer l’oreille!

Mais quoi, vous connaissez pourtant l’opinion des Indiens eux-mêmes sur leur monnaie –ou gardez-vous en permanence les boules Quies de votre bien-pensance?

That money is dirtier than you think.
Paper currency in India carries a whole bunch of genetic material from micro-organisms—bacteria, fungi and viruses.
Scientists at the Institute of Genomics and Integrative Biology (IGIB) in Delhi recently studied the microscopic environment of Rs10, Rs20 and Rs100 currency notes that they collected from street vendors, grocery stores, snack bars, hardware shops, chemists and such places where one would expect to find money that has frequently changed hands. In their study, published in the international journal PLOS One, they found the microscopic environment—or microbiome—of currency notes to be rife with the DNA of pathogens.

Etc.

La plastification n’est en fait pas pour demain!

Daaphnée dit: à

Le fait est que dans les poches des garçons, il y a toute sorte de choses ..

admirateur éperdu dit: à

Ueda dit: 29 juillet 2015 à 11 h 51 min
chercheur dit: 29 juillet 2015 à 11 h 48 min
« Ils avaient une dent contre qui, à Tautavel? »
« Elle vient d’être restituée à M. Jean d’Ormesson. »

Quelle erreur! Car c’est celle de daaphnée

admirateur éperdu dit: à

« dans les poches des garçons, il y a toute sorte de choses .. »(Daaphnée)

On reconnaît bien là la grande déesse spirituelle

Ueda dit: à

Avant de vous quitter amicalement, Bloom, je vous laisse cette citation de Lu Xun (au moins, vous savez qui c’est), que Simon Leys aimait rappeler.

« Aussi, s’il se trouvait aujourd’hui quelque étranger qui, tout en ayant été admis à s’asseoir au banquet chinois, n’hésiterait pourtant pas à vitupérer en notre nom contre la présente condition de la Chine, voilà ce que j’appellerais un homme vraiment honnête, un homme vraiment admirable ».

Un billet indien crasseux s’appelle un billet indien crasseux.
Ensuite, on voit.

Daaphnée dit: à

Que voulez-vous, faites les offrandes et brûlez l’encens .. !

Ueda dit: à

Daaphnée dit: 29 juillet 2015 à 12 h 55 min
Le fait est que dans les poches des garçons, il y a toute sorte de choses ..

Ne fouillant jamais dans les sacs à main des filles, Daaphnée, je ne saurai pas s’il en va de même de leur côté!

Bloom dit: à

Pas pour moi les vacances, ueda.
Je manie la roupie et me porte comme un charme. Vous avez vu toutes les pharmacies qui encombrent les coins de rue en France? A quand une étude sur les pièces qui trouent les poches et les billets de monopoly que se refile notre population patraque?

Daaphnée dit: à

Vous savez quoi, U. ?
Entre la carte à puce et le papier crasseux, on risque d’en revenir au sel et aux épices ..

Bloom dit: à

Lu Xun a raison: la monnaie n’est pas un sujet d’irritation pour moi, en Inde, la « Weltanschauung » hindouiste et la morgue des riches, en revanche…

rose dit: à

J’adore vous lire : quand on est enc.lé et bien, notoirement, on le reste. Quand cela a été par son papa et bien notoirement, en plus, on est tout cassé en débris millimétriques.
Je vais quand même vous dire la suite et je garde Mermoz et Camus pour plus tard : pkoi je ne vous pardonne pas le premier janvier 2015 ?
Non pas pour le camouflet ; j’ai compris depuis belle lurette que cela vous faisait jouir.
Non : c’est parce que c’en est fini de l’innocence première : ce fut tardif et violent. Tel un viol de fait.

J’ai appris ce qu’était le vice sous votre plume et désormais j’en ai la connaissance et c’est ce fait que je ne vous pardonne pas.

Je tiens encore le secret sur votre identité mais cela ne saurait guère durer.
Quant à vos analyses sur la charité etc.vous avez place me semble-t-il aux restos. du coeur : vous ferez charme aux serveuses un peu décaties (les jeunes ne jetant pas un oeil sur vous, pas même à la fnac) et vous aurez droit à un gros morceau. Peut-être au rata si vous faites profil bas.

Bien à vous,
rose

P.S je suis ravie que mon intervention ai redonné espace à votre poule encagée.
P.P.S J’adore l’argument d’autorité c’est.cui qui le dit qui l’est. Il vous sert tant et plis : alors vous êtes vieux gros et moche. Une connexion essence ? Une Anne Hesse ? Lydie Haute ?
Quel portrait flatteur de.vous dressez vous l’ai !
J’en reste esbaudie.

Nota qui me taraude : et si vous ne buviez pas, si la dive bouteille ne dominait pas votre vie, seriez-vous un autre type ? Moins pauvre ?

la vie dans les bois dit: à

Je ne sais pourquoi est évoqué ici avec insistance le 1er janvier 2015, ni n’ai besoin de la savoir.

Mais il était super bien ce livre d’Olivier Cadiot, pour l’an neuf, lu d’une traite; après une nuit blanche.

Ueda dit: à

Bloom dit: 29 juillet 2015 à 13 h 05 min
Vous avez vu toutes les pharmacies qui encombrent les coins de rue en France?

Une sur deux a remplacé un bistrot.

Je me demande si on a gagné au change.

rose dit: à

C’est le cas de Christine Angot : l’autre jour, je songeais en lisant les derniers échanges ici qu’elle parle de l’attitude du pape qui revendique l’abstinence comme meilleur moyen contraceptif, et même la chasteté, en omettant bellement que le plus sûr moyen contraceptif que son père a employé avec elle c’est la sodomie.
Puis, plus récemment, je pensais à ses larmes après la lecture chez Sauramps. Certes, elle s’exhibitionne salement. Néanmoins, si peu de temps après, elle riait : me suis alors demandé si -in fine- écrire ne représentait pas pour elle la seule bouée de sauvetage accessible devant un tel drame familial. Et si rire ne signalait pas sa satisfaction d’être vivante.
Nuance : lorsqu’elle écrit en se nourrissant de son entourage, elle en.ule à son tour.

Les gens sans mémoire aujourd’hui sont ceux de demain atteints d’Alzheimer
Pauvre Simone.

A bon entendeur, salut.

Roth-Heure dit: à

.

Enigmatique.
La fille que l’on paye, on n’a pas intérêt à la perdre au plus vite?
Ben non, gros malin, si tu n’as plus de tunes de paugnon, d’oseille, de blé, d’argent de liquide, de cash, c’est elle qui t’envoie aux pelottes,NON?OUI? Alors? Quoi? Et toi quoiquoi? (°Ou encore ç°(c)°(°étudeoîs!°)

rose dit: à

>D vous n’êtes pas le seul. Mais je suis très aimée.
En fait, vous vous plaignez încessamment que nous ne sommes pas au niveau, que nous sommes des nabots des nains : c’est.votre argument préféré accompagné d’un rêve insensé que le niveau monte.

Je ne vous l’ai jamais dit.mais c’est le jour : lorsque je lis nabot je ne ris guère. Je soupire lasse. Lorsque je lis votre attente que le niveau monte, je me marre.comme une baleine blanche poursuivie par Achab.

Mais il monte d’évidence le niveau puisque nous serons sous l’eau d’ici peu. Alors pkoi accélérer la.fonte.des.glaciers ? Pkoi ? Je vous le demande ?
Votre voeu inexorablement sera exaucé. Pas besoin que ce soit trop tôt, faudra déménager quelle catastrophe. Et emporter tous ses livres cinquante quatre mille douze emballés un par un dans du papier de soie. Tâche ardue et délicate.

Jean-Gérard dit: à

Il y a quelques années, je laissai un exemplaire du « Portier des Chartreux » sur un banc du métro parisien lorsqu’en me retournant, j’aperçus deux moines paillards qui s’en disputaient la possession. L’un poussa sous une rame l’autre qui l’entraîna dans sa chute. C’était à la station « Abbesses ». Depuis, sur le conseil de mon directeur de conscience, je m’abstiens.

concierge de la rdl dit: à

« Nota qui me taraude »

C’est madame De Nota qui va tomber de l’armoire.

rose dit: à

Ce n’est pas le cas de tout le monde. Mermoz à Casablanca avec moi depuis hier au soir à piqué à Thionville la.petite amie de son chef. Lequel s’est vengé dans une remarque.peu flatteuse sur son cv.
Ils sont partis à Paris. Furent fauchés. Elle lui a proposé de faire les grands boulevards pour eux deux survivre. Il a refusé.
L’a très vite larguée.
Sinon tu te te retrouves comme Marlon avec son paquet de beurre.
Faut être un gangster pour vivre avec une pute : Pépé le moko. Sinon bis t’as pas d’av’nir autre que le nez dans l’guidon.

rose dit: à

Aucun risque qu’il se la prenne sur la tête. Mon père Carlus Magnus l’a attachée au mur.
Cessez de vous faire du mouron pour autrui. Faites-vous en pour vous même. Et allez à la plage si c’est votre rêve.

rose dit: à

Je le dis mais j’ose à peine : vivre le nez dans l’ guidon c’est l’enfer. Si t’es pas camé tu tiens pas le coup.

rose dit: à

Merci D de la.question que vous me posez catalyseur extrême, qui me permet de vous signaler que mon ordinateur est en panne et que j’exècre cette situation qui me met dans un état de fragilité excessive. Je suis alors.coupée du monde.ce qui ne me sied pas.

Si vous me dites « ce n’est pas moi » je vous croirais. Si vous mentez comme un arracheur de dents je le saurais..

rose dit: à

Maintenant je vous réponds (à votre angoisse existentielle) :
non je ne vous trouve pas névrosé.
non vous ne diminuez jamais autrui : vous êtes particulièrement d’une patiente rare envers chacun.
non vous ne diminuez pas les autres pour vous relever vous.

Où cela pèche’t-il donc demandez vous anxieux ?
La réponse est dans l’inédit d’Albert Camus.
Ras le Q d’écrire sur mon putain de Samsung galaxie 5 de merde.

Je résume donc (pardonne- moi Albert dès que l’ordi je te cite illico)
cessez les mensonges incessants
cessez les jeux de rôle imbéciles sauf quand ça vous amuse.
cessez de pirater les ordinateurs de tout le monde (vous allez émarger à pôle emploi)

Vous êtes en haut,restez-y.

Et, nec plus ultra, foutez-nous la paix. Nous avons des échelles. Et sommes bien en bas.
Restez dans vos nuages. Nous sommes.heureux sur le plancher des vaches à lire Pearl.Buck et Christian Jacq.
Mentir cela ne sert à rien

Mermoz s’impatiente.

D. dit: à

Rose, je n’ai jamais piraté un ordinateur de ma vie, si c’est cela que vous insinuez. Pour cela il faudrait 1) que je le veuille 2) que j’aie de quoi le faire -ou que je sache le faire 3) que je sache qui vous êtes, tout simplement pour vous atteindre; donc de façon très claire et définitive : NON.
Mes connaissances en informatique sont bonnes, mais datant plutôt d’une autre époque que celle d’aujourd’hui. J’ai fait de la programmation assez avancée, mais dans les années 80 ! L’eau a coulé sous les ponts depuis. En ce qui me concerne je n’ai jamais été piraté et j’espère que cela durer : j’utilise un antivirus, j’analyse mon ordinateur régulièrement avec un logiciel ad-hoc et j’utilise partout des mots de passe forts que je ne mémorise nulle part, je n’utilise pas de services non https sur des réseaux WIFI non sécurisés. Si vous avez été piraté, je vous conseille de faire pareil, ce sont les recommandations les plus ordinaires qu’on puisse faire. Beaucoup de gens négligent tout cela, car c’est contraignant, mais je ne vois pas trop quoi recommander d’autre.

D. dit: à

Maintenant, je vais à la plage. Parce que moi aussi j’aime bien la plage. Surtout l’eau, un peu plus que la plage, mais la plage, pas surpeuplée autant que possible, me convient très bien.

labat dit: à

sua fata habens

Prise de conscience dit: à

rose dit: 29 juillet 2015 à 14 h 51 min
Et, nec plus ultra, foutez-nous la paix.

Sergio dit: à

la vie dans les bois dit: 29 juillet 2015 à 0 h 12 min
« des figures de voltiges bizarres, sans cesse sur le point de décrocher

Mais c’est précisément la cause du conflit qui détrôna le père d’Abdallah, dans Coke en stock ou celui d’avant : Abdallah voulait que les longs-courriers fassent quelques loopings juste avant d’atterrir ; il avait raison, cet enfant…

En revanche j’énergie protestamment avec insurrection quant au choix de l’avion : nous avons en France, avec le béret, les bretelles, la baguette, le saussebaque et j’en passe, un adorable avion de plaisance, called DR 400 (Robin), en bois et toile et qui comme dit la pub est éternel, ce malgré vingt-trois redressements judiciaires, dix-huit banqueroutes, trente faillites ; et qui, je crois, équipe soixante pour cent de notre parc d’aéro-clubs. Incroyable !

Et alors là-dedans on a une version cent ou cent vingt chevaux, bien sûr, mais aussi une cent soixante et même une cent quatre-vingts, ce qui commence à causer (quatre places pour tous les modèles) ; et, bien sûr, les plus puissants sont certifiés voltige…

labat dit: à

la,citation exacte

libelli sua fata habent

Plus rien de cohérent dit: à

Donc, je sors profiter du soleil…See you soon is possible!

Sergio dit: à

Je me demande si c’est cela qu’on appelle la politique de la chaise vide…

Les Yeux Fatigués (de Clopine Trouillefou) dit: à

Ben dites donc, ô vous commentateurs de la ci-devant République des Livres, je vous trouve quelque peu indifférents, voire autistes…

On vous dit qu’un texte écrit par l’un d’entre nous, et non le moindre, est à la fois drôle et étrange, avec une écriture « tricotée » très originale et touffue. On vous souligne le fait que ce texte fait souvent référence à la République des Livres, désignée comme « un blog littéraire très connu », et que les pratiques, échanges, portraits etc. qui s’y déroulent y sont évoqués, avec malice.

Et bien, pas une question, pas le moindre frémissement de curiosité ?

Certes, c’est moi, Clopine, qui vous en parle, et c’est peut-être la raison rédhibitoire à la moindre manifestation d’intérêt. Mais quand même : quel dommage ! N’avez-vous VRAIMENT pas l’intention d’en savoir plus ?

Bon. Tant pis pour vous.

Quant à moi, je sais ce qu’il me reste à faire : communiquer l’olni (ouvrage littéraire non identifié) à notre hôte. Je le connais suffisamment pour savoir que lui, du moins, est un curieux professionnel… (ou alors, il a beaucoup changé).

Allez, je vous laisse entre vous. C’est là, décidément, que vous vous complaisez le mieux. Et c’est peut-être une de mes gloires, d’y être si fort détestée…

Arrêtez de nous bookaguicher dit: à

Bon. Tant pis pour vous. clopine

Attention, Daaphnée va vous faire les poches!

concierge de la rdl dit: à

« On vous dit qu’un texte écrit par l’un d’entre nous, et non le moindre, est à la fois drôle et étrange, avec une écriture « tricotée » très originale et touffue. On vous souligne le fait que ce texte fait souvent référence à la République des Livres, désignée comme « un blog littéraire très connu », et que les pratiques, échanges, portraits etc. qui s’y déroulent y sont évoqués, avec malice. »

Quand ce livre serait publié, peut-on raisonnablement espérer faire un procès collectif à l’auteur pour atteinte à la vie privée, diffamation, etc…, histoire de se faire un peu d’oseille pour partir en vacances l’année prochaine plutôt que de rester chez soi, comme aujourd’hui, à poster sur la rdl, en attendant le journal de 20 heures?

Arrêtez de nous bookaguicher dit: à

avec une écriture « tricotée » très originale et touffue.

C’est pas du Michel Onfray par hasard?

Arrêtez de nous bookaguicher dit: à

avec une écriture « tricotée » très originale et touffue.
Du Lydie Dattas?
Elle dompte avec maestria tout ce cirque.

MC dit: à

Soyons bons pour les animaux littéraires, et renvoyons, une fois n’est pas coutume, à la grandiose description de Clopine à la Montagne décrivant son ascension sur le blogounet chéri de ses lecteurs
MC

Cécile Baie dit: à

par contre on ne trouve toujours rien sur le blog du génial papelardier qui ose signé Mcourt… et pour cause, il n’a rien à dire

Sergio dit: à

concierge de la rdl dit: 29 juillet 2015 à 17 h 39 min
un peu d’oseille pour partir en vacances l’année prochaine

On peut pas savoir s’il y aura une année prochaine… S’il n’y en a pas, du coup on aura trop de galette ce sera l’inflation !

Le Duck dit: à

Quand on pense que la gardienne d’oies était la première à réclamer des droits d’auteur sur « Brèves de blog », on voit bien la dérive capitalistique de l’auto-proclamée écolo brayonne.

Cécile Baie dit: à

quand MCourt va à confesse, cela prend du tsmps car la liste de ses péchés avoués (dont l’orgueil ) est très longue, amen

Miroir, mon beau miroir dit: à

Cécile Baie dit: 29 juillet 2015 à 18 h 34 min

Les Yeux Fatigués (de Clopine Trouillefou) dit: à

17 h 42, tout faux. Onfray a une écriture aussi simple que sa vision du monde (certes un peu manichéenne) ; le contraire de « touffue », quoi.

Le texte dont je parle, qui s’appelle « antimatière », est nourri, lui, de ce « nonsense » dont les anglais ont l’apanage, mais la discrète mélancolie qui le nimbe est bien française, par contre.

Allez, zou, un extrait, juste pour vous mettre sur la piste :

(…) « une chose inouïe vient en effet de se produire, là, sur le stand d’un bouquiniste, il vient d’apercevoir un livre »

(wouarf !)

Chaloux dit: à

Je n’ai pas de rebord à mes épaulettes.

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