de Pierre Assouline

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Comment dit-on « sisu » en ukrainien ?

Comment dit-on « sisu » en ukrainien ?

Assisterons-nous cet automne à la naissance d’une passion française pour la Finlande ? Ce serait l’effet collatéral du succès d’un roman qui a suscité le plus inattendu des accueils critique et public : Les Guerriers de l’hiver (448 pages, 21,95 euros, Michel Lafon). Sous ce titre de bande dessinée intergalactique se cache l’histoire chez nous méconnue sinon ignorée de la tentative d’invasion de la Finlande par l’Armée rouge en 1939 malgré un pacte de non-agression, et de la résistance héroïque que cette guerre perdue d’avance a suscité. Son auteur Olivier Norek (Toulouse, 1975) s’est emparé d’un sujet ambitieux, complexe et il en fait une histoire remarquablement bien ficelée qui emprunte à plusieurs genres.

   On l’a appelée « la guerre d’hiver » car elle commença le 30 novembre 1939, les deux parties ne s’entendant pas sur la création d’une zone tampon pour protéger Léningrad d’une attaque allemande. Indépendant depuis 1917, ce pays frontalier de l’Union soviétique sur une distance de 1340 kms n’avait aucune chance de repousser l’envahisseur. Il tint bon pourtant durant 105 jours. Ses capacités de mobilisation et son armement étaient faibles sinon dérisoires face à ceux de l’ennemi ; mais la topographie de ce pays lacustre, sylvestre et accidenté, la bonne connaissance d’un terrain enneigé et l’habileté de soldats à ski passés maitres dans l’art de se camoufler furent décisifs dans la résistance qui provoqua le fiasco militaire soviétique. Les Finlandais y perdirent l’isthme de Carélie et Vyborg, deuxième ville du pays, ainsi qu’une partie de leur potentiel industriel mais conservèrent leur souveraineté à la suite d’un traité de paix. Grâce au sisu, un certain cran ou l’esprit de ténacité, l’art finlandais du courage et de la détermination, devenu un mythe dans le roman national. On dit même que la Finlande est le pays des trois S : Sisu, Sauna, Sibélius…

    Les Guerriers de l’hiver n’est pas un polar mais il en a les qualités. Ce n’est pas non plus un roman historique malgré la solide documentation, l’enquête in situ, les archives sur lesquelles il repose et que le récit sait faire oublier. Rien n’est inventé, ni les personnages, ni les situations, ni les anecdotes. Mais quel formidable metteur en scène, ce Norek ! Sa patte n’est pas sans rappeler celle d’un Pierre Lemaitre. Petit-fils d’un migrant silésien naturalisé français via la Légion étrangère, humanitaire puis capitaine dans la police judiciaire (enquêtes et recherches) dans des vies antérieures, il était connu du grand public pour des romans policiers à tonalité sociétale régulièrement plébiscités et récompensés qui se déroulent en Seine- Saint-Denis où il vit (« Une année dans le 93 équivaut à dix ans dans un autre département” assure l’ancien flic).

Nous sommes entrainés dans cette histoire folle et dure mais authentique sur les pas du personnage principal Simo Häyhä, un paysan que les évènements transformèrent en tireur d’élite surnommé « la Mort blanche ». Il n’est pas sans rappeler l’un des deux héros de Stalingrad, le film de Jean-Jacques Annaud. Après les loups, le voilà chasseur de Russes par moins 40°. Le récit est fluide, prenant, efficace, sans excès dans l’exposition de l’héroïsme. On survit, on se bat, on s’accroche à un contre quatre aux côtés de ces Finlandais assez inconscients pour être courageux face à l’ogre russe. On entend le bruit des pas sur la neige au long de ces 450 pages, « ce crissement meringué », c’est dire si on y est. Bilan : près de 400 000 morts côté soviétique et un peu plus de 22 000 côté finlandais selon les plus récentes recherches.

La Finlande, qui appartient à l’Union européenne depuis 1995, a adhéré à l’OTAN le 4 avril 2023 à la demande de sa population. Impossible de lire ce puissant roman sans penser à un conflit actuellement en cours tant les analogies s’imposent d’évidence. Comment dit-on sisu en ukrainien ?

(« Soldats finlandais à l’assaut de l’Armée rouge, 1939-1940 » ; « Simo Häyhä dit la Mort blanche » photos D.R.)

Cette entrée a été publiée dans Histoire, Littérature de langue française.

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commentaires

253 Réponses pour Comment dit-on « sisu » en ukrainien ?

Bloom dit: à

Si Bélius m’était conté, je choisirais l’interprétation de Glen Gould des 3 Sonatines et de Kyllikki…sublime.

Jazzi dit: à

MS, le récit d’Adèle vaut ce que valent les souvenirs…

Pour aider à la culture de Clopine.

Juste après la mort de Musset :

« Dans cette première veillée, vers une heure du matin, on sonna à la porte. J’allai ouvrir, pensant que c’était quelqu’un de la famille.
C’était un tout jeune homme qui sanglotait et qui demanda à voir Alfred de Musset.
– Vous savez sans doute qu’il est mort ?
– Oui, je sais : je voudrais le voir.
Ne sachant à qui j’avais à faire et pour que le jeune homme n’insista point, je lui répondis :
– Non, en ce moment ce n’est pas possible ; la famille en pleurs est réunie dans le salon qui précède la salle mortuaire ; je n’oserais pas vous annoncer, mais revenez demain, à l’heure que vous voudrez ; vous le verrez, je vous l’assure.
Ce jeune homme me remercia de la promesse que je lui faisais et, au moment où il allait se retirer, il me vint à la pensée de lui demander son nom. Il me répondit :
– Je me nomme Villiers de l’Ile-Adam. 
(…)
Le visiteur nocturne ne revint pas le lendemain, mais je n’ai pas oublié le nom de celui qui, à son tour, devait devenir un charmant poète.»
p. 183-184

Jazzi dit: à

Car le « fonds de culture des cimetières parisiens » c’est aussi, entre autres, le cercle des poètes disparus !

Bloom dit: à

Sombre récit, conteur plus sombre…

Paul Edel dit: à

Merci Jazzi pour tes précisions et démarches à propos de ce merveilleux Musset des comédies et proverbes.

Marie Sasseur dit: à

« Le sisu fait partie de la langue finlandaise depuis cinq cents ans. Il désigne littéralement les tripes. »
Du cran et du courage , et de la préparation, y compris pour affronter des amplitudes thermiques et journalières et saisonnières, très éprouvantes.
C’est d’un livre cité dans le bibliographie, oui il y en a une et plutôt fournie, en fin du roman les « guerriers de l’hiver », et présenté ici:

https://www.magtoo.fr/le-sisu-ou-lart-du-savoir-etre-finlandais/

Jazzi dit: à

Villiers de l’Ile-Adam est mort à Paris en 1889 à l’âge de 50 ans.
Il avait donc 18 ans quand il vint sonner en larmes à la porte de Musset.
Et venait de publier ses « Premiers vers ».
Il est mort bien avant Adèle et est enterré au Père-Lachaise, dans la 79e div.
Juste en face de notre gouvernante !

Jazzi dit: à

Non, pardon.
Les « Premières poésies » de Villiers de l’Isle-Adam sont éditées en décembre 1858, il a alors dix-neuf ans.
Elles sont dédiées à Alfred de Vigny, à défaut de Musset, mort l’année précédente ?
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54840d/f9.item

Jazzi dit: à

Les cimetières sont des bibliothèques !
A moins que ce ne soit le contraire ?

Marie Sasseur dit: à

Jazzi dit: à
MS, le récit d’Adèle vaut ce que valent les souvenirs…

Oui, mais d’abord bien lire les « souvenirs »
Il a été précisé dans un commentaire débloqué que là où Adèle indique qu’ils n’étaient que 3, c’était en 1958…
A l’exhumation de Musset et la  » translation  » du père.
Si on lit la lettre mise en lien, c’est évident…

Marie Sasseur dit: à

Et merde, 1858

Marie Sasseur dit: à

@lechouchou

Regrets éternels, certainement, car les intervenants cités sont au cimetière aussi.

Cette fois, je sors !

Et je reviendrai pour la guerre…cette guerre d’hiver, bien sûr.

Finnish
Hyvää iltaa

puck dit: à

«Je n’ai rien contre eux, mais ce sont des Asiatiques. Ils ont une culture et une vision totalement différentes. La différence clé entre eux et nous est l’humanité», v

ça c’est le secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense d’Ukraine, Oleksiy Danilov, qui l’avait lors d’une interview à la télé ukrainienne.

quizz :
maintenant Danilov est ambassadeur d’Ukraine où ?
à Pekin ? non
à New Delhi ? non
à Hanoï ? non
à Oslo ! oui !!

Jazzi dit: à

Oui, MS, Adèle, est sans doute plus précise, et vous plus rigoureuse, que moi.
A un moment donné, elle parle en effet de l’exhumation d’Alfred de Musset et non pas de l’inhumation.
Le transfert dans la tombe actuelle a dû se faire en deux temps.
Je pourrais m’informer auprès de la Conservation, mais je vous engagerais bien volontiers pour m’aider à réunir la documentation !

Bloom dit: à

Il a été question de pacifisme plus haut. Question délicate : préférer la paix à la guerre, bien sûr,un quasi truisme. Mais pas dans tous les cas? Le pacifisme de Jaurès, celui de Romain Rolland, de Tagore, Gandhi et de Giono ne sont pas du même acabit.
On me rétorquera que Giono a vécu la Grande Guerre dans sa chair, ce qui motivera son ultra pacifisme, qui devint ensuite un tropisme vichyiste. Certes. Mais bien d’autres ont connu l’horreur de la grande boucherie et n’ont pas hésité à y retourner quand la patrie était de nouveau en danger.
Je songe à Marc Bloch, par exemple, qui fut « le plus vieux capitaine de l’armée française » en 39-40, puis de devenir un des chefs de la Résistance de la région lyonnaise. Avant son exécution en 1944, il aura eu le temps de rédiger deux livres importants, dont L’Étrange défaite en 1940, ouvrage capital dans lequel il reproche aux pacifistes de voir dans la guerre une histoire de nantis et de puissants dont les pauvres n’ont pas à se préoccuper.
Etrange coincidence, Gallimard publie ces jours-ci un inédit de Giono de 1939, fruit d’une randonnée dans la Drôme (terre de résistance, protestante et antiallemande s’il en est!) dans lequel il écrit en voyant un avion de ligne: « Imaginer la carlingue avec ses passagers, sans doute des banquiers ou des modèles de mode, des mannequins de grand tailleur ou Madame Grünbaum quelque chose ou Madame Rothschild ou des marchands d’huile »…
Nous voilà bien à front renversé : « l’Ensouché » qui soutiendra passivement l’occupation de sa patrie, et « le métèque » qui se battra et sera fusillé pour elle. Et que l’on ne vienne pas me seriner avec « l’air du temps » : nombreux furent ceux qui à l’époque ne firent jamais partie le grand troupeau des antisémites.
Alors bien sûr, la paix plutôt que la guerre, mais quand il le faut, l’impératif catégorique citoyen impose de la faire, la guerre, « sans l’aimer » pour autant.
Je parlerai plus tard d’un autre interné du Fort Saint Nicolas qui me tient tout autant à cœur que Marc Bloch.

puck dit: à

c’est là où l’on voit que les médias ne sont plus là pour nous parler des problèmes du monde, mais en censurant une partie de la réalité ils font désormais eux-mêmes partie du problème.

Jazzi dit: à

Cela dit, 30 personnes c’est rien pour Musset.
La même année, Rachel, morte chez moi au Cannet, où sa belle villa est toujours visible, a drainé 200 000 personnes à son enterrement au Père-Lachaise !

Jazzi dit: à

Bien sûr, Bloom, on ne bâtit pas la paix sur du sable.
C’est le problème actuel entre Israel et le Hezbollah.
Je viens de voir Anne Sinclair sur BFM TV, toujours très belle, et très claire à ce sujet…

puck dit: à

un état où le système médiatique dysfonctionne n’est plus un état de droit.

c’est ce qui est apparu de façon flagrante hier lors du débat entre les deux candidats américains à la vice présidence.

le débat entre les 2 candidats à la présidence sur ABC News avait déjà montré un problème sur l’attitude des 2 journalistes modérateurs.

contrairement à Trump, JD Vance est un type brillant, probablement le futur JF Kennedy des US.
lui ne s’est pas laissé faire par les 2 journalistes de CBS News, quand ils ont parlé de l’affaire de Springfield JD Vance s’est lancé dans une masterclass, du coup les 2 journalistes ont voulu l’interrompre pour repartir sur un autre sujet mais il n’a pas marché, du coup ils ont été obligés de lui couper le micro !

parce que JD Vance expliquait à ces 2 journalistes en quoi leur raisonnement était faux parce qu’ils ne connaissaient rien à rien… et au lieu de le laisser s’expliquer ils ont préféré lui couper le micro !

et ça cela ne correspond pas au fonctionnement normal d’un état de droit !

sauf que les américains n’en sont plus dupes.

Patrice Charoulet dit: à

CLARTE

La clarté de l expression doit être le principal soin de celui qui parle ou qui écrit. (Vaugelas)
*
Ce que l on conçoit bien s énonce clairement. (Boileau)
*
Notre langue aime la clarté par-dessus toutes les langues du monde.
(Bouhours)
*
Nul écrivain ne doit être obscur. (Bouhours)
*
Il ne suffit pas pour avoir l esprit beau, de l avoir solide, pénétrant, délicat,
fertile, juste, universel ; il faut encore y avoir une certaine clarté que tous les grands génies n ont pas. (Bouhours)
*
Est-ce un si grand mal d être entendu quand on parle et de parler comme tout le monde ? (La Bruyère)
*
La clarté est la bonne foi des philosophes. ( Vauvenargues)
*
Quant au style, il me suffit qu on le trouve clair et simple. (André Chénier)
*
Ce qui n est pas clair n est pas français. (Rivarol)
*
La clarté est tellement un caractère de la vérité que souvent on la prend pour elle. (Joubert)
*
On ne doit écrire que pour se faire entendre. La clarté est la première et la plus essentielle qualité du discours. (Dumarsais)
*
Quand on n est pas intelligible, c est qu on n est pas intelligent. (Hugo)
*
La clarté est la politesse de l homme de lettres. (Jules Renard,1892)
*
Mallarmé, intraduisible, même en français. (Jules Renard, 1898)
*
Il faut parler haut, parler clair. (Clemenceau, 1898)
*
Parmi les styles clairs, il y en a qui ont la saveur de l eau de roche, mais d autres, la fadeur de l eau filtrée. (Alfred Capus)
*
Taine, avant de mourir, demandait à entendre la lecture d’une page de Sainte-Beuve, « afin d’écouter quelque chose de clair! » . (Léon Daudet, 1939)
*
Tout ce qui est clair est vrai. (Montherlant, 1963)
*
La clarté est la forme la plus difficile du courage. (Mitterrand)
*
Vous pouvez me le traduire en français ? ( Yves Calvi, s adressant à un invité de son émission de débat télévisée, qui n était pas clair, 2009)

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Prouâââât….!

Donna Ricaud-Veyre dit: à

J’ai mangé des haricots blancs sauce tomate à midi. Je le regrette.

Donna Ricaud-Veyre dit: à

Avec des haricots verts à l’ail, je n’aurais pas eu ce problème.

MC dit: à

Montherlant m’a l’air de se souvenir de Rivarol: « Ce qui n’est pas clair n’est pas français »…. MC

J J-J dit: à

Il résiste à l’R des ailes, le bougr en 3…, Trouvez pas que ces deux posts ont des relents bien connus, qui sentent toujours autant un brin le moisi des CDBF ?
__________________
Lechouchou dit:
Je vous souhaite bon vent à tous, ce retour était une erreur de ma part! Les intervenants sont devenus trop médiocres. Où sont les Zhou, les Montaigne, il n’y a plus ici que des cinquièmes couteaux, peu aiguisés, c’est le moins qu’on puiss

Rapanui dit: Je n’aime pas polémiquer inutilement et ne répondrai pas au triste personnage qui pour l’instant semble tenu à l’écart de ce forum où les échanges ont retrouvé un ton plus amène.
Profitons de cette ‘fenête d’oportunité’, expression que John Kingdon appliqua à la politique en reprenant l’image de la fenêtre de tir. Voilà l’air assaini et le tir au pigeon terminé.

——–

Clopine dit: à

Quelqu’un pourrait-il dire à Patrice Charoulet que ses citations sont totalement superfétatoires, de nos jours, à une simple recherche sur internet, par mots-clés ? C’est pathétique, vu qu’il n’a que ça à dire ici, pour justifier sa présence au monde, alors qu’un simple clic nous en dit plus; bref.

puck dit: à

bloomy_words_salad elle en pense quoi ton épouse tes thèses raciales des membres du gouvernement ukrainien ? :

« les chinois et les indiens étaient des peuples à « bas potentiel intellectuel.

«Je n’ai rien contre eux, mais ce sont des Asiatiques. Ils ont une culture et une vision totalement différentes. La différence clé entre eux et nous est l’humanité»

à l’évidence si ces « nationalistes » ukrainiens ont le sisu ils n’ont à l’évidence pas le sushi..

rose dit: à

Elle est surtout très intelligente (pas sur tous les plans pourtant).
Et très riche.
Jamais compris comment elle a -comment certaines épouses des violeurs- soutenu ainsi son mari DSK, qui était un porc.

et alii dit: à

ce sont vos intentions, monsieur CHAROULET qui , à travers ces listes sur ce blog, ne me semblent pas claires;ce ne serait pas si grave, à mes yeux, s’il fallait en conclure qu’elles ne sont pas purement française, mais quoi? VOYEZ VOUS UN MOT QUI,tel le sisou finnois serait incomparablement français et pourrait tromper mon désarroi d’avoir écrit ces lignes par défaut?

puck dit: à

bloomy_words_salad tu sais c’est quoi le problème de Gandhi ?

c’est qu’il appartient à un peuple à bas potentiel intellectuel, si on en croit Mr Podoliak.

en fait ça ne sert plus à rien de parler de Jaurès et des autres…

la seule chose qu’il faut retenir c’est que nous appartenons à une civilisation qui autorise certaines personnes à dire que la différence entre les asiatiques et nous c’est qu’eux ne sont pas des humains.

fin de l’histoire !

dans 100 ans quand des historiens autres que Mr passou et ses confrères actuels qui ne brillent pas par leur courage se pencherons sur notre époque c’est la seule chose qu’ils retiendrons de nous !

que nous avons toléré des gens que nous n’aurions pas dû tolérer ou pour le dire autrement nous avons misé sur le mauvais cheval.

pourquoi ? parce que comme l’a dit notre premier ministre à son jeune prédécesseur nous sommes des irresponsables, sauf que là c’est moralement bien plus grave que les déficits budgétaires.

et alii dit: à

françaises

puck dit: à

pencheronT retiendronT

puck dit: à

ça remonte à quand la dernière fois que l’on a refusé à un peuple son humanité ?

de traiter un peuple comme n’ayant aucune humanité ?

et ce type est maintenant ambassadeur d’Ukraine en Norvège.

sans doute parce que ces « nationalistes » ukrainiens se considèrent eux-mêmes comme appartenant à la race supérieure des « scandinaves ».

et alii dit: à

au fait, puiqu’il s »agissait plus haut de Belgique,des événements sur le blog jorion à propos dIA,un « festival des libertés!
ps://www.pauljorion.com/blog/

Rapanui dit: à

je reviendrai peut-être causer de sujets de littérature mais je ne répondrai plus au reste.

Rassurez-vous, personne ne vous croit. Vous êtes bien trop bouffi de vanité et d’immaturité.
Insoutenable lourdeur du non-être…

Highlander dit: à

Puck, vous n’arrêtez jamais, c’est ça ? 60% des interventions ici portent votre signature et devinez quoi ? J’ai des gros doutes que vous faites partie du Conseil russe de Sécurité, quelque chose dans le genre, juste un peu en dessous de Medvedev. J’ai tapé dans le mille, ou tout juste ?

J J-J dit: à

@ je reviendrai peut-être causer de sujets de littérature…, à Kandara

INUTILE…, vous ne faites guère le pois littéraire, vil rapace nul ! accrochez-vous al’Boucheron, plutôt, l’a plus d’allure !… Bonsoir

Rapanui dit: à

J’ai des gros doutes que vous faites partie du Conseil russe de Sécurité
, ou tout juste?

Pour citer Yves Calvi, vous pourriez réécrire cela en français, svp?
Même au Luxembourg, nous ne massacrons pas la syntaxe d’une façon si… barbaresque. Cela me rappelle le comédien qui dans son sketch parlait le français avec un fort un accent anglais pour faire accroire qu’il était un sujet de sa gracieuse majesté.
On n’est pas au music-hall ici, dame!

Jazzi dit: à

Votre aérophagie s’est calmée, Donna Ricaud-Veyre ?

J J-J dit: à

@ Quelqu’un pourrait-il dire à Patrice Charoulet que ses citations sont totalement superfétatoires,

Charoulet ! vos citations sont totalement superfétatoires. Voilàj.

Jazzi dit: à

Moi j’aime bien les citations de Charoulet.
Il nous évite un travail de compilation…

rose dit: à

On n’est pas au music-hall ici,

Quasiment.
L’Alcazar, l’opérette.

J J-J dit: à

@ 60% des interventions ici portent votre signature

L’est trop fort ce puckt, qui se prend pour le mont Tagnard. Le n’a fait que 60% de l’ascension, little gamer.

@ jzmn : il semblerait que la mère de Rimbaud aurait payé l’édition d’Une saison en enfer sur du papier à emballer la viande !

Bàv,

J J-J dit: à

Anne Sinclair a vaillamment défendu son homme dans l’épreuve, ce fut tout à son honneur. Aujourd’hui, elle serait plus heureuse avec l’intellectuel Pierre Nora. Fermons la page.

MC dit: à

Je ne trouve pas que ces citations soient «  superfétatoires », comme le dit la divine Clopine, que Musset indispose. Ce n’est pas non plus mon goût, mais je lui reconnais au moins un droit, celui d’exister…

et alii dit: à

« Cette obscure clarté qui tombe des étoiles ».

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