Comment dit-on « sisu » en ukrainien ?
Assisterons-nous cet automne à la naissance d’une passion française pour la Finlande ? Ce serait l’effet collatéral du succès d’un roman qui a suscité le plus inattendu des accueils critique et public : Les Guerriers de l’hiver (448 pages, 21,95 euros, Michel Lafon). Sous ce titre de bande dessinée intergalactique se cache l’histoire chez nous méconnue sinon ignorée de la tentative d’invasion de la Finlande par l’Armée rouge en 1939 malgré un pacte de non-agression, et de la résistance héroïque que cette guerre perdue d’avance a suscité. Son auteur Olivier Norek (Toulouse, 1975) s’est emparé d’un sujet ambitieux, complexe et il en fait une histoire remarquablement bien ficelée qui emprunte à plusieurs genres.
On l’a appelée « la guerre d’hiver » car elle commença le 30 novembre 1939, les deux parties ne s’entendant pas sur la création d’une zone tampon pour protéger Léningrad d’une attaque allemande. Indépendant depuis 1917, ce pays frontalier de l’Union soviétique sur une distance de 1340 kms n’avait aucune chance de repousser l’envahisseur. Il tint bon pourtant durant 105 jours. Ses capacités de mobilisation et son armement étaient faibles sinon dérisoires face à ceux de l’ennemi ; mais la topographie de ce pays lacustre, sylvestre et accidenté, la bonne connaissance d’un terrain enneigé et l’habileté de soldats à ski passés maitres dans l’art de se camoufler furent décisifs dans la résistance qui provoqua le fiasco militaire soviétique. Les Finlandais y perdirent l’isthme de Carélie et Vyborg, deuxième ville du pays, ainsi qu’une partie de leur potentiel industriel mais conservèrent leur souveraineté à la suite d’un traité de paix. Grâce au sisu, un certain cran ou l’esprit de ténacité, l’art finlandais du courage et de la détermination, devenu un mythe dans le roman national. On dit même que la Finlande est le pays des trois S : Sisu, Sauna, Sibélius…
Les Guerriers de l’hiver n’est pas un polar mais il en a les qualités. Ce n’est pas non plus un roman historique malgré la solide documentation, l’enquête in situ, les archives sur lesquelles il repose et que le récit sait faire oublier. Rien n’est inventé, ni les personnages, ni les situations, ni les anecdotes. Mais quel formidable metteur en scène, ce Norek ! Sa patte n’est pas sans rappeler celle d’un Pierre Lemaitre. Petit-fils d’un migrant silésien naturalisé français via la Légion étrangère, humanitaire puis capitaine dans la police judiciaire (enquêtes et recherches) dans des vies antérieures, il était connu du grand public pour des romans policiers à tonalité sociétale régulièrement plébiscités et récompensés qui se déroulent en Seine- Saint-Denis où il vit (« Une année dans le 93 équivaut à dix ans dans un autre département” assure l’ancien flic).
Nous sommes entrainés dans cette histoire folle et dure mais authentique sur les pas du personnage principal Simo Häyhä, un paysan que les évènements transformèrent en tireur d’élite surnommé « la Mort blanche ». Il n’est pas sans rappeler l’un des deux héros de Stalingrad, le film de Jean-Jacques Annaud. Après les loups, le voilà chasseur de Russes par moins 40°. Le récit est fluide, prenant, efficace, sans excès dans l’exposition de l’héroïsme. On survit, on se bat, on s’accroche à un contre quatre aux côtés de ces Finlandais assez inconscients pour être courageux face à l’ogre russe. On entend le bruit des pas sur la neige au long de ces 450 pages, « ce crissement meringué », c’est dire si on y est. Bilan : près de 400 000 morts côté soviétique et un peu plus de 22 000 côté finlandais selon les plus récentes recherches.
La Finlande, qui appartient à l’Union européenne depuis 1995, a adhéré à l’OTAN le 4 avril 2023 à la demande de sa population. Impossible de lire ce puissant roman sans penser à un conflit actuellement en cours tant les analogies s’imposent d’évidence. Comment dit-on sisu en ukrainien ?
(« Soldats finlandais à l’assaut de l’Armée rouge, 1939-1940 » ; « Simo Häyhä dit la Mort blanche » photos D.R.)
1 656 Réponses pour Comment dit-on « sisu » en ukrainien ?
Vous rendez-vous compte, Chaloux, que grâce à vous naissent des textes, mêmes courts, d’écrivain français de renom ?
Ils seront conservés et entreront à jamais dans l’histoire de la littérature. Chaloux, vous êtes telle une muse.
IL Y A AUSSI ZITRONE (léon)mais sa carrière est aussi longue qu’héroique;
voir wiki
Cher Paul Edel, nous sommes déjà de vieux amis. Comment pourrait-il en être autrement, après toutes ces années passées à s’entre-étra.ngler ici? Comment un fond d’affection aurait-il pu ne pas s’installer entre nous, y compris dans l’affrontement le plus âpre? Fond d’affection et d’estime, car vous avez la vertu d’avoir lu ce que vous avez lu (impossible de vous prendre en défaut sur ce point) et de ne jamais fanfaronner, vous n’en avez pas besoin. Au contraire, il faut le dire d’une variété de docte â.ne-dinde à casque à pointe, présent en magasin, et dont tout le savoir dépasse rarement la quantité de foin ingurgitée à l’université. Ne parlons même pas de la pauvre créature charentaise, qu’il faut probablement transporter en plusieurs cu.vettes, quand le besoin s’en fait sentir, avec l’aide des pompiers. On toucherait le fond.
Sur les frères Goncourt, je suis d’accord avec vous, leur savant mélange de préciosité et d’or.dure les rend irremplaçables, pour moi fascinants,- et précurseurs ô combien du merveilleux Huysmans. L’on aurait très bien pu citer Germinie Lacerteux, c’est évident. L’on l’a lu, et même je crois bien plusieurs fois. La fille Elisa, Renée Mauperin etc…
Et les Goncourt sont encore si vivants que le rejeton d’une célèbre famille de ce temps-là, que je connais fort bien, se plaint encore des ragots déversés dans le Journal sur sa famille, à chaque fois que je m’amuse à mettre leur nom sur la table.
Pour conclure, je vous assure que je ne rejette ni la légèreté ni l’humour. Je suis un fanatique absolu de Courteline, Labiche, Feydeau, Jérôme-K-Jérôme, Flers, Proust, Dickens etc. Et je vous assure que je ris beaucoup, y compris en lisant les sioux qui postent ici, l’humour involontaire n’étant pas, à beaucoup près, le moins savoureux.
D, quand vous écrivez « muse » je vois « naïade » et s’ensuit que Chaloux ne fait plus du tout l’affaire, il est poilu jusque sur la naissance des mains!
Clopine, vous etes injuste envers PE. J’aime assez ses carnets sauf peut-être le récit de sa rencontre avec une inconnue dans la baie de Quiberon.
@Bloom
a propos de Jean Zay c’est à l’opiniâtreté de sa fille qu’on doit la création du mémorial des camps de Beaune la Rolande et de Pithiviers , ces tristes lieux d’attente dedéportation notamment pour les raflés du 16 juillet 1942
Ce mémorial se trouve à Orleans et y a été réunie et exploitée une trés riche documentation ,admirablement présentée.
Cette institution est désormais completée par un lieu de mémoire, la gare proche, qui a été restaurée , d’ou ces malheureux étaient embarqués certains pour une autre halte à Drancy ,d’autres directement pour Auschwitz
Un souvenir personnel du jour ,où avec d’autres invités, j’ai découvert ce mémorial .,
le Préfet de région, personnage important et tres occupé, y est venu en coup de vent honorer cette rencontre de sa présence, et à l’instant où nous nous sommes vus, surprise! lui et moi avons rajeuni de près de 40 ans ,quand nous nous sommes retrouvés , moi accueillant maternelle et protectrice un jeune collaborateur occupant son premier poste, lui timide et plein de déférente et craintive humilité en face sa première patronne ;l’un comme l’autre nous retrouvions , l’espace d’un éclair, dans une relation inversée de celle que nous vivions ,nous n’étions plus, lui le haut fonctionnaire aux hautes responsabilité et de grande respectabilité ,moi la gentille et inoffensive vieille dame entourée d’autres vieilles dames au même profil attendrissant.
J’ai des yeux de chienne battue, certes, mais ils y voient encore.
B., loin de moi la volonté d’être injuste envers PE. Je serai la première à lui souhaiter de reposer en paix, par exemple. Mais cependant…
« Clopine dit: à
… Ce qui vaut mieux que lieux d’aisance. (notez que, pour Chaloux, on se demande, tant la littérature, pour d’aucuns, semble tenir lieu de papier toilette). »
Aujourd’hui, à Flixécourt, c’est la journée de l’alc.ool de patates. Clopine en a mis plein sa cornemuse. Elle ne reconnait plus les maisons!
Rosanette, je vous rassure tout de suite : vous n’êtes pas attendrissante, parce qu’on sent tout de suite, à vous lire, à quel point vous vous êtes toujours élevée (et élevée est le mot !) contre ce schéma si courant envers les femmes.
D’ailleurs « attendrissante », ça me renvoie moi aux morceaux de viande qu’on tabasse, histoire que ça passe mieux dans l’estomac.
@Jazzi
Sur ce premier festival de Cannes voulu conçu et préparé par JeanZay ,et qui n’a jamais eu lieu une séquence interessante dans un film de la documentariste Ruth Zylberman consacré a l’été 1939
A partir d’images ,d’archives d’articles de journaux ,d’interviews donnes alors par des figures de la vie politique et de l’intelligentsia, elle montre l’insouciance generaliséee des français de tous milieux tous à leur euphorie du sauvetage de la paix a Munich n’avaient aucune prescience du cataclysme imminent
Ce n’était pas que les maisons. Il y a, dans « en famille », des descriptions d’aumuches, de sirènes, de cabarets… Quand on va à Fléxicourt, ce qui frappe et ramène à Malot, qui l’a si bien décrit, c’est qu’à cette époque, les grands contremaîtres, les directeurs, les puissants, n’hésitaient pas à faire bâtir leurs grosses demeures bourgeoises, hôtels particuliers, petits châteaux, , à proximité immédiate des corons, au milieu d’eux. Aujourd’hui, la fracture géographique est entérinée.
Je dis ça, je dis rien.
Même si les vrais proprios, à l’époque de Malot, étaient déjà tous fourrés dans Paris.
Malot contre Flaubert ? Que nenni. Malot n’est pas Zola, certes ! Il plaide pour un « patronat social », façon Michelin. Mais au moins, lui, il met sa puissance expressive au service d’une description tellement juste que j’ai pu, à tant d’années de distance, retrouver l’odeur d’un livre au cours d’une promenade qui n’était pas consacrée à ça. Ca m’épate encore. Et de lui, et de moi.
Uniquement un pb de transports. Pas d’automobiles, pas d’autoroutes, il fallait être sur place immédiatement. C’est le progrès des transports qui permet au riche de s’éloigner, enfin, du pauvre et de l’univers industriel, quand il existe un espace de fuite à proximité. Et c’est le XIXe siècle qui invente l’escalier se service. Il n’existe pas au XVIIIe, tout le monde prend le même. Voir sur ce point Louis-Sébastien Mercier (que je n’ai pas lu non plus, cela va sans dire).
La semaine prochaine, je vous parlerai d’un livre fantastique, dès que j’aurai mon exemplaire en main. Ah, je vais-t-il en faire, des heureux, et des envieux!
Bref, vous ne savez pas quoi faire, vous les intellos ? Tous à Flixécourt, dimanche prochain ! (même sans cornemuses).
Paul Edel, attention!
Vous risquez le Goncourt si vous persevérez ainsi. Et il se trouvera également peut-être un jour un imbécile de Buvard-et-Perroquet* qui interdira qu’on vous lise.
* 2 pour le prix d’1, laranque permanente.
Pour vous, Clopine et Rosanette, ainsi que 3J et renato, un des centres de grafitti du monde anglophone, absurde comme l’est l’existence, Sein und Zeit:
« Beethoven était tellement sourd que toute sa vie il crut qu’il était peintre ».
(Cette façon de « féminiser » pour rabaisser: LA Gigi…c’t’écoeurant – mais qu’il lutine son tandem un peu plus souvent, ça nous fera des vacances …mais peut-être que…enfin, bref…le pôvre, tout s’explique).
l’arnaque.
Chaloux, d’accord avec vous sur ce points des transports, mais cependant… Vous me permettrez d’y voir le fossé actuel. Les riches, à l’époque, considéraient que la démonstration de leur richesse pouvait s’étaler. C’est qu’elle était relative, par rapport aux corons. Aujourd’hui, la fracture est telle qu’elle n’est plus relative. Juste scandaleuse (à mes yeux).
Pas tout compris, Bloom. Mais je sens comme une bienveillance ? Soyez-en remercié.
Si je vous lis bien, évidemment. Je veux dire que « féminiser », qui veut dire « rabaisser », donner « moins de valeur », est un euphémisme. Mais qu’il me semble que vous voulez lutter contre ce phénomène ? Ai-je bien compris ?
@Bloom
merci de votre post a mon intention sur « Mensch » et son équivalent chinois
Comme vous le précisez Mensch comme d’autres mots yiddish est effectivement entré dans la langue courante new yorkaise ;et ainsi acclimaté probablement a-t-il a perdu toute connotation liée a sa langue d’origine comme certain mots arabes en français ;
j’en ai eu u un jour une illustration éclatante du phénomèneen écoutant une de mes cousines française médecin a new-york et totalement ignorante du monde ashkénaze et de sa langue qui m’expliquait ,en francisant de surcroit le terme américain, qu’un médecin aux Usa doit « schlepper » la clientèle
« (Cette façon de « féminiser » pour rabaisser: LA Gigi…c’t’écoeurant – mais qu’il lutine son tandem un peu plus souvent, ça nous fera des vacances …mais peut-être que…enfin, bref…le pôvre, tout s’explique). »
Venant d’un type obsédé par le fondement, qui ne peut pas écrire deux phrases sans qu’il en soit question (je nous prépare un florilège), ces réflexions paraissent tout de même cocasses. Ah, l’âne-dinde, come on s’amuse avec toi,- et de toi! Mais comme ton écœurement est sélectif. Tu devrais d’abord te l’appliquer à toi-même.
C’est vrai, cette histoire de poils, Chaloux ?
Limace est féminin. Mais une limace n’est pas nécessairement de sexe féminin. Une Girafe non plus. Ni une panthère. Quoique la Gigi ne soit évidemment ni une girafe, ni une panthère.
Non D. Pas de poil sur les mains!
Ben alors, Bérénice ? Vos allégations sont graves.
certains bourgeois parisiens venus de la mittleuropa sont toujours allés avec leur épouse Simone, en train, à Dieppe, c’étati la distance la plus proche à la mer. Durant la 2e moitié du 20e s. Pour s’aérer ses miasmes prolétariens. D’autres s’y sont établis définitivement.
corrector, pas sa faute…, y en a pas.
Une cité ouvrière idéale : les salines d’Arc et Senan
…les dieux faitiches, une contraction de « faits » et « fétiches » (un célèbre mot valise de BL)… une manière pour lui de lutter contre l’iconoclastie pour mieux valoriser le bien-fondé de l’iconodalie (op cit, p. 66). On y trouve en outre un formidable éloge de travail de la cure collective chez l’ethnopsychiatre Tobie Nathan, sur l’autobiographie duquel viens-j de tomber à la médiathèque locale : « Secrets de thérapeute » (l’Iconoclaste, Paris, 2021). Incroyables transversalités hasardeuses, qui m’arrivent très souvent en vieillissant Chère Ch., bien des livres se rencontrent nécessairement à leur insu, matériellement et pas seulement dans la sociologie des associations mentales, comme vous l’aviez justement remarqué icite naguère, mais aussi, ailleurs, souvent. Bàv,
Rosanette, quand vous parlez d’un ancien collègue devenu Préfet de région, je vous lis avec plaisir. Quand l’autre naZe brandit son « D.puTé » en s’imaginant faire peur (meshuge oyf toyt!), je rigole à gorge déployée comme dit l’almanach Verdon.
Perso, je n’ai jamais « visité » les camps français, pas même le Natzweiler-Struthof la dernière fois que nous étions en Alsace. Wagon rouillé mis à part, Drancy, pas loin d’ici, a été invisibilisé comme camp d’internement avant le voyage vers les terres de sang de l’est européen. Ironie surprême, les bâtiments qui le constituaient portent le nom de « cité de La Muette »…
Je ne suis toujours pas allé à Auschwitz pour accompagner des groupes en tant que donateur du Mémorial, tant la Pologne me répugne depuis tout petit.
Je ne connais que Sachsenhausen, où mon nom figure à plusieurs reprises colonnes dans le registre des victimes, avec ceux des familles par alliance. C’était janvier, Berlin était enveloppé d’une épaisse couche de neige, mais je n’avais pas froid, je bouillais, littéralement.
Je lis et relis le journal de prison de Jean Zay et suis pétri d’admiration pour cet homme dont l’intelligence fait honte à ceux qui nous gouvernent depuis trop longtemps maintenant.
J’adore déconner, mais quand on touche à cette période-là, à ces événements-là, à ces gens-là je suis un peu chatouilleux.
Contrairement à ce que suggèrent les images qui nous restent, nombre de gens savaient pertinemment ce qu’il allait se passer, comme le prouve le J’Accuse d’Abel Gance (nobody’s perfect) où l’armée des morts vient stopper celle des vivants.
Seulement, et c’est compréhensible, ils ne voulaient pas y croire. La guerre, c’était à la rigueur pour les « sous-développés », Lybiens, Ethiopiens, Espagnols, mais pas pour les Vrounzais! Les c.ons, comme disait qui vous avez.
Dès 38, malgré Munich, il y avait eu l’Anschluss, le fait qu’en Italie les Juifs soient interdits d’adhésion au parti fasciste (un comble!), et tant d’autres signes que les Anglais ont parfois perçu avec davantage d’acuité que les « iciciens ».
Sans parler de la réponse de Georges Clemenceau, à Wilson lors de la conférence de Paris en 1919.
« Vous cherchez à faire justice aux Allemands. Ne croyez pas qu’ils nous pardonneront jamais ; ils ne chercheront que l’occasion d’une revanche, rien ne détruira la rage de ceux qui ont voulu établir sur le monde leur domination et qui se sont crus si près de réussir. »
Mémoire de poisson rouge, déjà.
Le jeune Autrichien que recueillirent mes grands-parents & qui devint l’ami de mon père, Harry Braunschweiger, parvint à émigrer en Australie. Personne ne se la racontait chez nous même si personne ne pouvait imaginer l’ampleur ce qui allait advenir.
Avez-vous lu l’enquête de Philippe Broussard, (fils du célèbre commissaire) sur le photographe Raoul Minot dans Le Monde? Cette sale époque est loin d’avoir livré tous ses secrets.
Je suis à chaque fois interloqué quand je vois sur les rayonnages de la Bibliothèque américaine les dizaines de livres que des chercheurs anglais ou américains ont consacré à ces années noires et que l’édition française ignore « superbement », qui préfère rééditer des ignobles pour faire du fric et flatter les passions tristes d’influenceurs stipendiés.
Sans « la bombe Paxton », qui sait combien de couleuvres il aurait fallu avaler? (Merci de Gaulle et Mitrand).
Je reprends à mon compte la formule de Henri Rousso, né en Egypte comme tant de grands talents (Georges Moustaki, Tobie Nathan, et ma chère Mireille Deloro-Quéré…) qui me semble plus que jamais d’actualité. (Euh…c’est qui exactement Pétain? – député LFI)
Lest we forget.
Quelqu’un parlait d’un rapa… quelque chose qui allait casser des dents. C’est inexact.
Il suffit de demander à ce monsieur chavroux ade retirer son dentier pour ne pas qu’il l’avale.
« C’était janvier, Berlin était enveloppé d’une épaisse couche de neige, mais je n’avais pas froid, je bouillais, littéralement. »
Inéluctablement, c’est le destin de n’importe quelle nouille.
il me semble que vous voulez lutter contre ce phénomène ? Ai-je bien compris ?
—
Parfaitement, Clopine.
C’est un grand classique de la vulgarité. Et il en connait un rayon sur la question, « l’autre ».
@Contrairement à ce que suggèrent les images qui nous restent, nombre de gens savaient pertinemment ce qu’il allait se passer
Rions un peu
Israël: « Le refus du cessez-le-feu vient du Hamas » (Yaël Braun-Pivet)
« Il prolonge la guerre délibérément »: l’ancien Premier ministre israélien Ehud Barak dénonce la stratégie de Netanyahu
Le dimanche 06 octobre 2024
« C’est un grand classique de la vulgarité. »
L’âne-dinde devrait balayer devant sa porte, encore une fois. Je suis en train de préparer un florilège des siennes, mais c’est tellement grossier, ordurier, vulgaire, au niveau du caniveau, que le message ne passera pas.
Archives du grand nord, caviardées pour l’instant, par mansuétude.
Chaloux dit:
(…) G. est un gros naze qui n’a pas deux sous d’intelligence (…).(S’il écrivait des livres, A. avec son bon goût inné, jurerait que ce sont des chefs-d’oeuvre).
Tenez-vous, monsieur chavroux: ne parlez que de littérature (si vous en êtes capable) et cessez d’ennuyer les femmes et hommes de ce blog avec vos remarques insultantes. Surtout les femmes, monsieur chavroux. Surtout les femmes.
C’est bien ce que je pensais. Le message ne passe pas.
Zut alors!
Faut réessayer.
Au bout de 2 fois, c’est le bannissement, si je me rappelle les règles.
Le contrat, le contrat!
Ze fun!
C’est ta prose qui ne passe pas, pas la mienne.
@Clopine :
Hector Malot, ce n’est pas « en famille »,c’est :
« sans famille ».
Hector Mallot a aussi écrit « En famille ».
Vous devriez visiter Drancy. C’est intéressant. On apprend beaucoup.
mais elle avait bien précisé, me semble t il… Ces gens ! à nice et fort de france, tout de même !
Faudrait arrêter de tout casser. Ça commence à bien faire.
@Bloom
évidemment j’ai lu ce feuilleton , puisque, comme tant d’autres aussi réticents que moi sur la ligne de ce journal, je ne peux renoncer a cette lecture quotidienne
Intéressante découverte de ce personnage ,de ce résistant photographique, qui victime de l’arbitraire en vigueur mourra en déportation
Néanmoins j’ai trouvé un peu artificielle la présentation en forme de polar de l’enquête qui a fini par la révélation de identité et du destin de ce personnage modeste et si attachant pour son engagement déterminé et discret .
Vous rappelez ce député qui a à peine entendu parler de Petain , dont il pense seulement que c’est probablement un homme de droite. Mais que dire de Martine Panaud présidente d’un groupe à l’assemblée nationale qui croit que quand Leon Blum est devenu président du conseil en 1936 ,il n’avait occupé aucune fonction politique antérieure?
Sur les années noires en France , la persécution petainiste des juifs et le rôle de son gouvernement dans la Shoah, pendant longtemps c’était une mémoire qui était vivante seulement parmi les familles de victimes.
Autour de moi dans mon enfance on connaissait la déportation avec les images de squelettes en pyjama rayé, mais rien sur les chambres à gaz
les noms d’Auschwitz ,Sobibor Treblinka nous étaient inconnus; on ne connaissait que Dachau , banalisé au point que l’enfant trop maigre que j’étais s’entendait dire quand je ne voulais pas manger ; »on dirait que tu sors de Dachau » .
j’ai je crois écrit ici qu’en février 1958, alors que je participais avec des camarades de khâgne, donc pas des illettrées au vel d’hiv à une manif pour la paix en Algérie ‘à aucune d’entre nous le Vel d’Hiv ne disait quelque chose du crime qui s’y était déroulé
Entre 1975 et 1977 j’ai travaille a ELF Aquitaine dans des locaux de la rue Nelaton construits sur l’emplacement du vélodrome ;j’étais alors encore ignorante de cet événemnt , et c’est sans doute le cas de tous me collègues , car jamais aucun d’eux ,dans nos conversations amicales diverses au bistrot ou à la cantine ne fit d’allusion à ce qui s’était passé à l’emplacement de nos bureaux
Mais il faut reconnaître que dans les dernières décennies la France a rattrapé son retard en matière d’information et de vulgarisation sur ces années noires: manuels scolaires très documentés sur les camps, publications nombreuses à l’intention du grand public de travaux universitaires sur la période (Laurent joly ,olivier Baruch ) alimentation d’une veine littéraire(Modiano,journal d’helene Berr …) voyages scolaires
j’entends parler les journalistes et les politiques sur la guerre à Gaza et au Liban, ils appellent à des négociations, un cessez le feu, ils refusent l’envoi d’armes, ils en appellent à la diplomatie, au dialogue, que camp écoute l’autre, trouve des compromis….
j’entends les mêmes parler de l’Ukraine et ils disent l’exact contraire, si pour l’un ils en appellent à la paix, pour l’autre ils en appellent à la guerre, si pour l’un ils parlent de diplomatie et de dialogue pour l’autre ils l’interdisent, si popur l’un ils ne veulent pas envouer d’armes pour l’autre ils regrettent de ne pouvoir en envoyer toujours plus…
à tout prendre comme il est dit dans le War Requiem de Britten je suis pour envoyé plus d’armes sur tous les frotns, que les bombes pleuvent partout sans s’arrêter, toujours plus de bombe jusqu’à ce que la dernière âme humaine disparaisse de cette terre.
quand cette dernière âme aura rendu son dernier souffle alors le bruit des bombes cessera enfin, le monde retrouvera le calme…
ani ma’amin : personne ne sait d’où vient ce chant, Maîmodides ? mais les paroles disent vrai « je crois » « j’ai la foi », je crois en la venue d’un messie et quand bien il tarde à venir je l’attends et je sais qu’il viendra, il viendra sous la forme de cette dernière bombe qui éteindra le dernier souffle de cette dernière âme sur cette terre, alors la terre retrouvera enfin la paix…
https://www.youtube.com/watch?v=vKkdmDdLY2E&ab_channel=RazdazRecordz%28Official%29
La Direction générale de la police nationale (DGPN), 11 rue des Saussaies, dans le 8e (pas le 18e), c’est quelque chose.
C’est là que l’on fait établir son passeport de service aujourd’hui.
Pendant l’Occupation, c’était les anciens locaux de la gestapo allemande, où des centaines de résistants furent torturés.
@Mais il faut reconnaître que dans les dernières décennies la France a rattrapé son retard en matière d’information et de vulgarisation sur ces années noires: manuels scolaires très documentés sur les camps, publications nombreuses à l’intention du grand public de travaux universitaires sur la période (Laurent joly ,olivier Baruch ) alimentation d’une veine littéraire(Modiano,journal d’helene Berr …) voyages scolaires
Mais il faut reconnaître que dans les dernières décennies la France a rattrapé son retard en matière d’information et de vulgarisation sur ces années noires: manuels scolaires très documentés sur les camps, publications nombreuses à l’intention du grand public de travaux universitaires sur la période (Laurent joly ,olivier Baruch ) alimentation d’une veine littéraire(Modiano,journal d’helene Berr …) voyages scolaires
Et ? A part en faire un argument communautariste, le public a-t-il développé son esprit critique depuis lors ?
La question est aussi posée au français vivant à l’étranger
au > aux ; ils sont quelques-uns
(A ma meilleure connaissance, la France n’est pas une province israélienne ; les propos de certains acteurs politiques français de premier rang sont ahurissants)
Rosanette,
Ecoutez l’émission de P. Boucheron sur France Q. de dmanche dernier à propos de Raoul Minot, vous y trouverez une explication à votre « réserve ».
Sans l’impulsion de Paxton, pas de Laurent Joly et autres excellents chercheurs.
Je tire quelque fierté d’avoir été choisi pat Tallandier pour traduire les passages en anglais du Journal d’Hélène Berr que j’ai lu sous forme de tapuscrit avant tout le monde. Je conserve précieusement la copie de l’introduction manuscrite de Modiano. Le documentaire de Jérome Prieur rediffusé par LCP qui lui est consacré est de qualité.
Je savais dès mes 7 ans que la rue Nélaton c’était le Vel d’Hiv. Peut-être est-ce là la différence entre nos mémoires.
(La dame de LFI, c’est Mathilde P.,mais bon, nothing to write home about…)
@rose dit: à
On peut en vouloir à l’acharnement de Mélenchon et à un de ses affidés qui emploie le terme Intifada au lieu de négociation, cessez le feu, accords de paix.
+ 1
Comme si les tripiers n’étaient pas d’éminents spécialistes des abats issus des décombres et des beaux draps.
Tiens, l’hoplite du recoin abyssal reprend du service ; il prétend rebattre des cartes … n’en avoir jamais fini avec rien, ça ce qualifie ? Une pensée pour Georges Steiner à l’heure où règnent les nains haineux de tous ordres
ce > se scusi
Nélaton, ce fut aussi durant longtemps le siège de la DST, avant qu’elle ne soit fusionnée avec les RG et ne fusse transplantér sous un sigle commun dans le fief des Balkaniques, à Levallois Perret. J’ai dû hélas m’y transporter souvent pour le boulot, entre 2000 et 2OO4, sachant fort bien où je foutais les pieds. Les gens du bistrot d’en face où déjeunait tout le gratin secret des keufs de Nélaton, n’étaient pas au courant de l’histoire des lieux… Station Bir Hakeim à Nélaton, à pied A/R durant des mois… Une épreuve quotidienne… Non décidément à Paris, quand on sent l’histoire, ça n’a jamais le parfum qu’y accorde notre flâneur.
Il est des lieux où, décidément, ce n’était pas possible. Du moins, pour moij —
« Non décidément à Paris, quand on sent l’histoire, ça n’a jamais le parfum qu’y accorde notre flâneur. »
Essayez le Pont des Arts. En plus c’est un lieu littéraire.
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/samuel-paty-l-ecole-face-au-terrorisme
@ l’hoplite du recoin abyssal
DirJL, une fois pour toutes, vu ma paraonïa habituelle, j’aurais besoin de savoir si doisj recevoir cette métaphore de manière amicale ou inamicale, bien ou mal veillante, ou rien de tout cela, sinon user d’une charmante métaphore de votre cru, sans réelle portée collatérale. Quelque chose comme votre bon plaisir gratuit, en somme.
Merci de ne pas répondre à de telles futilités, lcé. Bàv,
Une métaphore multimodale, ça vous convient ?
J’ai aimé le pont des Arts quand il fut
couvert de fleurs par le couturier Kenzo et bien moins quand il fut recouvert de porte-clés. Et cet autre pont, dont le nom mé’échappe, quand il fut emmailloté par Christo. Ils avaient de la gueule, je dois en avoir gardé des photos…, notre Jzmn vous documentera sans doute mieux que moij toutes les étapes historiques de la transformation de nos ponts (Euxin ?) Bàv,
Autrement dit, c’est selon ; c’est que nous formons une sorte de vieux couple, vous et moi, sans exclusive
Oui, c’est pas mal… des relents sergiens fractalisés, ça me convient. Des plurivers. Vous n’étiez en rien obligé, du reste, l’ex fan des sixtees des années folles. Merci quand même, le foi au prix du doute, koij. Bàv,
Anéfé, je préfère de loin le nôtre à celui de PE & d’Henriette Chafoin. @ chacun sa chacune, pas vria, hein ? Bàv,
C’était le Pont Neuf, JJ-J.
l’pont des arts:
https://www.youtube.com/watch?v=iWjtota81Xo
Le Pont Neuf
https://i0.wp.com/antinomie.it/wp-content/uploads/2020/06/Pont-neuf.jpg?w=455&ssl=1
était-ce le même pont à la même heure ou un fait exprèsJ.L ET MOI?
(@nos chinoiseries sporadiques
Paul Edel et le goût des « lamelles », c’est une révélation ; la complexité, c’est encore autre chose)
le pont neuf & le pont des arts ? etalii, de koij ?… Et vous, quel est votre vieux coupl’ au just’, en dehors de Lacan, Derriderra-latralala & moij, mes dir-trépassés@wanadoo.fr ?
Bon, la santé, JJJ, rien de trop grave ? Vous m’avez inquiété. C’est que je vous aime bien quand même, moi.
Vos allégations sont graves.
Neanmoins, il y en a sur les bras, je n’ai pas été invitée à vérifier sa pilosité ailleurs mais c’est déjà trop. Je suis lesbienne.
Bon, c’est l’heure du coucher… Demain sera une rude journée de taf. J’espère que les poules sont bien gavées, et à l’abri, en lieu sûr.
Bonne nuit les Petiots, brave docteur !
Ils ont l’air sûrs d’eux maintenant, après tous les tests connus : pas de troubles mnésiques, uniquement des troubles de l’attention qui auraient tendance à s’aggraver, depuis trois ans, à cause de l’addiction à la RDL, entre autres, et le mauvais temps politique et atmosphérique. En rien rassuré, suisj. – Mais vous ? D., vous pouvez l’être, je pense, grâce à votre dieu qui m’épargne peut-être encore un brin. Merci de Le prier beaucoup pour moij, cela me fait sans doute pas mal d’effets positifs, ou du moinss, pas trop néfastes. Bàv,
Et Bloom, il a du poil aux mains ?
Avec plus de 400 ponts enjambant les canaux de Venise, le Pont des Soupirs devrait figurer sur votre liste. Bien qu’il ait été utilisé pour transporter des prisonniers, c ‘est aujourd’hui l’un des endroits les plus romantiques de Venise. En fait, il existe même une célèbre tradition liée à ce pont.
bonsoir
Jeab Langoncet, avez-vous du poil au pieds ?
éminents spécialistes des abats issus des décombres et des beaux draps.
—
L’Eglise (1926), à replacer au cœur du village vrounzais.
« Troisième acte: la S.D.N., à Genève. Bardamu est congédié. Remarquable raccourci des questions d’intérêt mêlées aux trafics d’influence dans un organisme international. Mais ici affleure déjà la paranoïa personnelle de Céline : l’antisémitisme. Ce n’est encore que peu de chose, mais c’est là. La seule fausse note de la pièce. »
—
Michel Cournot, Le Monde, 30 avril 1973.
Un fausse note, qu’y dirait L’Engoncé, ça va pas nous gâter le morceau, hein, mon Bébert. En attendant les symphonies en veux-tu en voilà.
Faut qu’ça saigne!
Boxe
https://x.com/greece_heritage/status/1842985121831628818?s=46
Je ne ferai ni discours, ni commentaires. Et je suis a contrario de ce que j’avais décidé, pour des raisons précises.
Le 7 octobre 2023, une attaque sauvage et barbare a été perpétrée par le Hamas en Israël et a tué de manière atroce nombre de membres de sa population qui vivait paisiblement et/ou participait à un festival de musique.
Tous mes vœux pour que vive Israël désormais en paix.
DISTRACTION MOYEN-ORIENTALE
Si les haineux pouvaient se distraire autrement, là bas et ailleurs, ce serait pour eux passer du règne animal à l’humanité minimale.
On peut rêver sans cauchemarder bêtement, non ?
Irréversible
https://fr.web.img3.acsta.net/r_1920_1080/pictures/19/08/16/20/21/1967000.jpg
N’oublions pas l’assassinat d’Anna Politkovskaya — c’était le 7 octobre 2006 à Moscou.
https://glioplitidiaristotele.blog/wp-content/uploads/2014/09/anna-polistkaja.jpg
(@ JJJ) Aujourd’hui, je préfère me recueillir sur l’anniversaire du jour. Et de prier pour tout le monde, je ne sais qui exactement, craignant des erreurs de cibles désignées.
(@ TFC, etc) « le Pont des Soupirs devrait figurer sur votre liste ». Aucune liste de ponts, je vous en laisse seulement 2 de Paname, que vous pourrez ajouter à vos 200 vénitiens pour aider votre ami Patrice, à proxy du pont de Tancarville, d’après le GPS de la RDL.
Bàv,
Auguste Nélaton, pionnier de la chirurgie esthétique.
Un travail au scalpel.
@ je vous aime bien quand même, moi /
N’ayez crainte, vaisj ne pas mourir tout de suite, contrairement à P Arditi qui s’apprêterait à suivre M Blanc, d’après la dépêche du jour d’une presse pipole bien informée.
(allons voir l’histoire de Jean-Marie, le Tamoul de Pondichéry, un personnage décisif dans la vocation thérapeutique du bon Tobie Nathan. Et gravons dans notre cahier de notes cette forte conviction centrale de notre ethnopsychiatre, lumineuse au mitan de la nuit d’insomnie : « il n’existe pas de maladie mentale, rien que des dispositifs locaux, des arrangements, associant des comportements, des thérapeutes, des rites et des objets ».
Bàv (7.10.24_9.33)
Peut-être comme ça ?
Hélas, la paix n’est pas aimée, renato !
https://www.en-attendant-nadeau.fr/2024/10/07/defense-et-illustration-des-sentinelles-de-linteret-general/
Cessons de haïr les fonctionnaires, ou du moins essayons de comprendre la plupart d’entre eux. Des collègues y aident. Bàv,
*** l’amour n’est pas aimé non plus, HB
@ Louis-René des Forêts, un vieillard au seuil de la mort se morigénant bien comme il le fallut :
« Allons, réveille-toi, secoue ta vieille carcasse et debout sans tarder, sinon prends garde de te rendormir cette fois pour de bon ; enfoui dès lors, claustré dans une nuit perpétuelle, comme il t’adviendra fatalement, mais évite autant que faire se peut d’en hâter l’échéance par apathie ou volonté insidieuse de perdition, ne sois pas le fossoyeur de toi-même dans l’idée puérile de demeurer jusqu’au bout le seul maître de ton destin, ce qui n’est en rien conforme à la vérité, aussi flagrante qu’en soit l’intention ».
Bàv,
Se projeter vers l’avenir, même proche, pour échapper à l’angoisse du hic et nunc…changer d’air, changer d’aire.
Pour ceux qu’intéressent la circulation des savoirs entre France et Asie du Sud, un colloque d’une demi-journée à la Bnf le 15 ocotbre au matin. Possiblité d’y assister à distance.
Mes collègues et copains Sam et Rapha, indianistes hors pair, y partageront leur passion de l’Inde et du Bangladesh.
https://www.bnf.fr/fr/agenda/france-asie-du-sud-une-circulation-des-savoirs
intéresse…
Moi y a pas être bronzé !
Jamais compris le succès des Bronzés.
Pour moi, c’est le triomphe absolu de la médiocrité et du mauvais goût.
Tout est con et particulièrement laid dans ce film sans éthique et totalement dépourvu de la moindre esthétique.
On me dira que c’est voulu et que c’est de l’humour franchouillard.
Mais à quel degré ?
Ni au premier ni au second, plutôt au ras des pâquerettes ?
Je connais pourtant de vrais intellos, qui connaissent par coeur les répliques de Jean Claude Duss ou d’autres personnages stéréotypés du film !
Alors que je n’ai jamais pu voir Les Bronzés ou l’un de ses nombreux succédanés en entier.
Toujours par bribes et seulement à la télé.
C’est pour moi du mauvais cinéma populaire français, au même titre que les films des Charlots ou ceux avec Aldo Maccione.
Du lourd, du très lourd…
Et pénible !
Le seul mérite des Bronzés, à mes yeux, est d’avoir permis l’émergence des membres de la troupe du Splendid, qui valent mieux que ça…
Ce qu’il y a de curieux avec Malot, c’est que Madame Dreyfus le choisit comme porte-parole d’ Alfred. Cela en dit long sur sa popularité. Heureusement, il refusa. Conséquence , le J’accuse de Zola, au titre soufflé par Clemenceau.
c’est drôle jzmn, ce que vous dites… Je partage exactement votre sentiment -pour une fois colérique-, sur les Bronzés, un film que de mon côté je n’ai jamais pu supporter, ni jamais vu, hormis qq fragments. A la très grande différence du « Père Noël est une ordure »… Et ce, bien que je ne sois pas de la même extraction sociale que la vôtre. Cela reste un mystère. Bàv,
Les bronzés est un bien mauvais film en effet. Et beaucoup d’acteurs y ont un jeu médiocre. Michel Blanc faisant partie des exceptions.
Viens chez moi j’habite chez une copine, est une comédie boen superieure aux Bronzés.
« La mort est iconophile. »
Dans l’exposition « Proust » de la Bibliothèque nationale les commissaires avaient présenté les photographies de Man Ray et les dessins d’Helleu (tout ça au singulier peut-être je ne sais plus). Proust sur son lit de mort. Une tête de juif errant. Je me demande si les considérations de Proust sur le retour à une apparence juive de Swann à la fin de sa vie ne sont pas des considérations sur l’évolution de son propre physique.
Je sais ce que vous allez me répondre : y-a-t’il une apparence traditionnelle juive ? C’est ce que raconte Proust en tout cas.
Surtout que Proust était catholique.
All We Imagine As Light, très bon film indien de Payal Kapadia où Bombay la nuit ressemble à n’importe quelle autre grande ville indienne si l’on excepte la Babel des langues qu’on y entend (hindi/ourdou, bengali & malayam – cà Pondy on doit ajouter le tamoul).
Magistralement interprété & filmé (m’a fait songer au Ray de Des jours et des nuits dans la forêt), c’est une plongée intelligente dans les nombreuses tares de cette société: précarité existentielle (niveaux 1 & 2 de la pyramide de Maslow), saloperies de la mafia des promoteurs, bureaucratie infernale, relations hindous/musulmans, hommes/femmes, frustration sexuelle, calvaire des mariages arrangés, absence de lieux d’aisance dignes de ce nom, surpopulation et comment y remédier, coût psychologique des migrations interieures et internationales, opposition ville/campagne, béton / nature gétale ou minérale.
De l’humour aussi, type politesse du désespoir…
Trois femmes, trois générations, trois tempéraments solides, trois façons de s’occuper des autres avant de soi (infirmières et cuisinière à l’hopital) qui se libèrent une fois échappées de la grande broyeuse bombayite & arrivées au bord de mer (à Ratnagari entre Bombay et Goa).
Jet de pierre libérateur, rap libérateur.
Maris fantômes…
Autre film puissant, « Santosh », de Sandhya Suri, était constuit autour de deux femmes policères face au castisme, -pierre de touche de la société indeinne qui n’est pas abordé dans All We Imagine…
Les spectateurs occidentaux ont maintenant deux films de référence sur le pays le plus peuplé au monde, tournés par deux talentueuses réalisatrices « desi » (du pays). Mira Naïr (Salaam Bombay) a fait des émules et peut être fière.
A noter, les deux films ont été soutenus par l’Insitut Français, opérateur culturel du MEAE, et présentés à Cannes, Festival conçu par Jean Zay, où All We Imagine a reçu le Grand Prix du jury.
Avec Les Graines du figuier sauvage et Tatami, deux films iraniens absolument géniaux, il y a matière à compenser la petite forme actuelle des cinémas européen et américain…
« Conséquence , le J’accuse de Zola, au titre soufflé par Clemenceau. »
Beau titre. Si ça ne s’était pas appelé « J’accuse » est-ce que ça aurait eu un tel succès ?
Autant de bons films dont j’ai parlé et sur lesquels nous sommes d’accord, Bloom.
https://www.lelezarddeparis.fr/promenades-parisiennes-littérature-cinéma
En tout cas je suis bien content que les Finlandais, comme écrit dans le billet de PA, aient pu donner leur avis sur l’ adhésion de leur pays à l’Otan.
Parce que les Français, eux, n’ont eu aucun avis à donner sur le commandement intégré. N’est-ce pas M. N. Sarkozy ?
D. l’OTAN n’est pas un club de bridge ou un club de tennis où l’on va s’inscrire.
je suis effaré par la légèreté avec laquelle les occidentau prennent tous ces histoires.
d’autant que des think tank néoconservateurs avaient programmé l’entrée de la suède et de la Finlande dans l’OTAN depuis 2019.
on peut trouver ces rapports sur internet comme celui de la Rand Corporation où l’on voit que tout le scénario menant à l’adhésion de ces pays est déjà écrit.
dans ces conditions l’acceptation des populations est plus liée à la propagande mis en oeuvre qu’à la volonté réelle des peuples.
je pense que maintenant il y a une prise de cosncience de ces manipulations des peuples, notamment avec le matraquage médiatique : quand les médias répètent chaque jour que la Russie va envahir la Suède il n’est pas anormal que les suédois veuillent entrer dans l’otan, sauf que personne ne se pose la question de savoir si la Russie a réellement l’intention d’attaquer la Suède.
les américains sont en train d’utiliser les mêmes procédés en Asie, notamment avec les Philipines sauf que leur population est moins apte à tomber dans le panneau et refuse de se le laisser entrainer par les américains dans des aventures dont ils n’ont rien à taper.
tu me suis ? quand on parle de la « volonté des peuples » on ne peut ne pas tenir compte de la manipulation.
… quintessence de la beauferie, à mes yeux, les bronzés… Je supporte pas.
Qu’aucun jury d’automne , de l’académie française à la Fnac ou au Médicis et aux Inrockuptibles
n’ait proposé d’inscrire dans ses listes Christine Montalbetti et son roman « La Terrasse » laisse stupéfait tellement ce roman est bien composé, bien écrit, et sur un sujet parfait:ce que nous rêvons quand nous voyons les autres touristes à une terrasse d’hôtel en vacances.
Je maudis ces jurés.
l’autre point est qu’en face d’un pays nucléarisé cela relativise l’article 5.
exemple : si la Russie veut attaquer la Finlande aujourd’hui il est peu probable que les américains viennent leur porter secours parce que là on entrerait dans un conflit nucléaire, ce que le peuple amércain refuserait.
CN’est-ce pas M. Charles de Gaulle, qui lui non plus n’avait consulté personne pour quitter ledit commandement intégré.
En 1966, la France fut mises devant le fait accompli, parfaitement légal au vu des pouvoirs qui lui étaient conférés par une Constitution taillée sur mesure pour sa longiligne silhouette:
« La France se propose de
recouvrer sur son territoire l’entier
exercice de sa souveraineté,
actuellement entamé par la
présence permanente d’éléments
militaires alliés ou par l’utilisation
habituelle qui est faite de son ciel,
de cesser sa participation aux
commandements “intégrés” et
de ne plus mettre de forces à la
disposition de l’Otan »
Lettre au Président américain L.B.Johnson, 7 mars 1966.
« La France se propose de recouvrer sur son territoire l’entier exercice de sa souveraineté »
Ah ! Charles. Après Winston Churchill le plus grand homme politique qui ait jamais été.
C’est bien écrit en plus.
C’était donc en 1966.
L’année où « Les Paravents » de Genet étaient montés à l’Odéon. Et l’extrême droite qui faisait la claque.
JN Orengo, dont le dernier ouvrage qui, je l’espère, figurera dans le dernier carré d’as du prix des affreux frangins Goncourt, a eu bien raison de renoncer à son livre sur la mafia du sable à Pondichéry.
Le fantôme d’Albert Speer, grand pote de Kniebolo, est moins dangereux que les goondas qui ont lynché au flamboyant le gardien de la villa où il séjournait.
Il y a « Bronzés » et « Bronzés » les amis.
S’il est vrai que le premier, à la plage, est vulgaire et lourdingue, il est impossible de ne pas rire à de nombreuses scènes des bronzés skieurs.
ni vu ni l’un ni l’autre… Tant mieux pour les rieurs, grands biens leur fassent aux côtes, cl. 🙂
De GAULLE et les GAULLISTES, vaste proème ! — Effaçons les sujets qui fâchent et communions avec la nostalgérie qui sied. L’histoire repassera les plats.
Je maudis ces jurés (PE). – Sont-ce les jurés de ces prix qui les inscrivent à l’ordre du jour de leur liste à compète ?… Toujours pas compris comment fonctionnent ces sélections préliminaires. Pourriez-vous nous en éclairer, SVP, vous qui fûtes le bénéficiaire et l’élu de l’un d’entre eux.
Merci bien par avance. Bàv,
Une malédiction, Paul Edel ? Ou un système bien huilé ? Ne répondez pas. Vous avez été prix Goncourt non pour votre talent, non pour votre succès (qui se souvient d’un seul titre de vous ayant rencontré un quelconque lectorat nombreux ? Bah ! C’est d’insuccès qu’il faudrait parler ), mais juste que vous avez été au coeur d’un système qui, à l’époque, était tellement scandaleux qu’il a dû, de lui-même, se réformer un tant soit peu, il y a dix ans environ, ou quinze. Vous êtes l’image même de ces Goncourt de l’entre-soi, qui sciaient la branche sur laquelle ils étaient assis, tant ils tiraient sur la corde. Certes, cela s’est un tantinet amélioré… Mais pourtant, si l’on ne déterre pas les racines, elles forment des rhizomes, pas vrai ?
Et notre hôte a donc une responsabilité dont j’espère qu’il est conscient, aujourd’hui, non dans une « république des livres », titre en forme de voeu pieux, mais comme acteur d’une possible réforme. Bah, en est-il lui-même persuadé, entre dîners bourgeois et culture littéraire, prétexte à domination ?
Va savoir…
@Fl : ce que vous dites de De Gaulle sur l’OTAN se vérifie aujourd’hui avec la Finlande : dès que ce pays a signé son entrée les américains leur ont fait signer des accords donnant leur autorisation d’accès sans restrictions à toutes les bases militaires situées en Finlande.
ce changement d’état d’esprit des finlandais comme acceptant d’être soumis au Pentagone contredit totaliment ce que dit passou des finlandais dans son article.
passou fait un énorme anachronisme sur la mentalité des finlandais parce que les historiens aiment bien mélanger les époques quand le résultat est conforme à l’idéologie qu’ils défendent.
Je dis ça, je dis rien. Ahahah. Signé Clopine Trouillefou.
CLOPINE vous parlez avec aplomb de ce que vous ignorez. Avant mon Goncourt j zi vendu certains titres. Maus surtout viuw ignorez su étant critique littéraire au Journal Le Point j ai ignoré les romans et textes des jurés Goncourt oi j ai même contesté certains de leur choix.trouvez une seule critique où j encense l un de leurs romans..
Vous racontez n importe quoi avec un aplomb qui me sidère vraiment.ma position de critique littéraire indépendant me mettait surtout en position défavorable mais évidemment vous connaissez le monde parisien bien mieux que moi sans jamais y avoir mis lrs pieds.pathétiques sont vos refrains de haine.
Que vous arrive-t-il ? Vous aurait-il à ce point blessée ? Est-ce la même qui signe trois fois de suite SCT ? En quoi le système était il plus pourri à l’époque qu’aujourd’hui ? A l’habitude, vous êtes beaucoup plus claire, même au regard de « chienne battue » (sic). Une nouvelle page viendrait-elle de se tourner ?… Il s’en passe des choses étonnantes en ce bas monde. Je dis ça, j’ai rien dit. Hein ?
le ne dis rien non plus:
sauf que
jen’ai pas dami dit patrice;,et que j’aime beaucoup
« faire le pont »
« « Faire le pont » consiste à ne pas travailler 1 ou 2 jours ouvrables compris entre un jour férié et un jour de repos hebdomadaire ou un jour précédant les congés annuels (Code du travail, art. L. 3121-50). Aucune disposition légale n’impose à l’employeur d’accorder un pont. »
je suis trop fatiguée maintenant pour suivre;bonne journée
ah, mais PE vient de poster. Il ne semble pas bien vous comprendre non plus. Il parle de refrain de haine. Incroyable !
@Je maudis ces jurés.
Tout ça pour un post en terrasse.
Est ce bien sérieux, lire la vie des autres, regarder vivre les autres.
Voyeur.
C’est pas une sisu attitude, ça.
Merci à O. Norek, pour ce roman, qui fait une trace , la sienne, dans la littérature » blanche ».
… mais vous avez pété les Plombs sous le pont des soupirs de Venise, ou quoij ? Vous nous prenez pour le Giacomo Casanova du coin ou quoi ? Allez dormir, ma fille. Vous ne tenez plus debout ! Bàv,
Critique littéraire est un bien grand mot, disons journaliste rubrique livres, c’est plus raccord.
pont ukraine guerre:
A l’ouest de la percée ukrainienne surprise dans l’oblast de Koursk, trois ponts surplombent la rivière Seïm. Ils relient les localités de Glouchkovo, Zvannoïe et Karzyh au reste de la Russie. Trois points de passages importants pour l’armée russe et sa logistique de guerre. Tout cela, les commandants ukrainiens le savent.
En l’espace de quatre jours, les 16, 17 et 19 août 2024, l’armée ukrainienne les a détruits à l’aide de missiles à longue portée. Une tactique qui permet d’isoler les troupes russes stationnées dans cette partie de l’oblast frontalier.
Le Monde a analysé les images disponibles dans cette zone. Une fois authentifiées, elles permettent de comprendre la stratégie utilisée par l’Ukraine dans cette offensive en Russie. »
https://www.lemonde.fr/international/video/2024/08/23/l-ukraine-detruit-des-ponts-en-russie-voici-pourquoi_6291701_3210.html
Oui Clopine votre mauvaise foi mêlée â tant d ignorance me fait bondir.
en l’occurrence si j’ai bien suivi, c’est d’une voyeuse dont il est question, non ?
@ Critique littéraire est un bien grand mot, disons journaliste rubrique livres
… c’est surtout qu’on n’a toujours pas bin compris la différence, ni plus que cette autre entre le CL « indépendant » et le CL « dépendant » (incorruptible vs corrompu… sans doute par les bakchichs fournis par les éditeurs à ces jurés-ci, allez savoir ?).
Nous aimerions savoir, en sirotant à la terrasse de st malo, le cas échéant (lcé)… A la RDL, nous autres les ignorantins, on aurait besoin parfois d’un peu de calme pédagogie sur ces épineux sujets…
Voilà qui ressemble davantage à l’idée que l’on peut nourir d’un forum sur les livres, la littérature et le monde tel qu’il godille vers des horizons incertains. Infiniment plus plaisant que les régurgitations fétides de certains mauvais coucheurs.
Il semblerait qu’on ait réglé son compte au sieur chavrou(x). Que le bougre pointe le bout de son museau, et ma totokia entrera illico en action.
Kukioa te taua ia Rapa Nui!
Les couilles sur la table.
Une spécialité d’Amin Dada :
Dégueulasse, le post de Clopine sur Paul…
On dirait que ça chauffe!
Ben, « haine », comme vous y allez, Paul Edel. S’il y a quelqu’un qui lutte contre les passions tristes, au fil de nuits mauvaises, c’est moi. Arrêtez de bondir. Vous risqueriez une mauvaise chute. Et à votre âge !!!
Clopine est en pleine déprime?
Ai commencé le livre de Eduardo Halfon, la Tarentule.
Pas acheté pas fini.
Suis allée dans la pièce préférée de ma librairie préférée Le Bleuet pour acheter Marguerite Yourcenar.
Cinq folio.
Ai attaque par Souvenirs pieux.
Du coup, me reviennent en boucle, l’amour distribué au kilogramme par mon papa et ma mère, leur soutien inconditionnel et la demande de mon père à mon encontre lorsqu’ils devinrent vieux ; sur son agenda personnel de 2018. Etc.
« S’il y a quelqu’un qui lutte contre les passions tristes, au fil de nuits mauvaises, c’est moi. »
La seule à le croire !
Clopine, ce qui me frappe chez vous, c’est votre aplomb pour balancer des méchancetés et perfidies sans fondement, surtout depuis votre rupture, et ensuite vous faire passer pour une victime et finir par ricaner ah ah ah.C’est votre paradoxe, prendre la position de la victimaire,trtes à la mode, et ricaner d’autosatisfaction. Et dire que j’ai pris le temps de lire attentivement vos textes, d’en acheter (« petites histoires familiales et nombreuses »), de dire ceux qui me plaisaient et même de vous donner conseils et des adresses de bons éditeurs parisiens.
Marie Sasseur oui je fus « journaliste rubrique livres », au « Point »- ça s’appelle en bon francais être « critique littéraire » ; Et alors ? Qu’est-ce qui vous gêne ?Passer son temps à recommander des romans, et essayer de faire connaître des inconnus, c’est tout à fait agréable. Être journaliste -même des chiens écrasés- est un métier étonnant,on ne s’y ennuie pas. On m’a aussi demandé de faire des « papiers d’ambiance » , de la critique dramatique .En période électorale je multipliais de portraits politiques, de Chirac à Bayrou en passant par l’extraordinaire Michel Rocard, qui reste mon meilleur souvenir.Enfin, je termine ma carrière au Point en multipliant les nécros d’écrivains et d’hommes politiques, avec l’inquiétude, étant donné mon âge- que je décède avant mon modèle.Ce qui n’est pas arrivé.
@Marie Sasseur oui je fus « journaliste rubrique livres », au « Point »- ça s’appelle en bon francais être « critique littéraire »
Non.
Paul Edel
Longue vie à vous !
« Passer son temps à recommander des romans, et essayer de faire connaître des inconnus, c’est tout à fait agréable. »
C’est tout à fait exact, d’ailleurs si on vient sur ce blog c’est bien pour ça.
L’occasion de redire merci !
Indeed beaucoup de propos désagréables sur le prestigieux blog à passou. Dame Clopine mal lunée pour débarquer Paul Edel, dear Bloom qui fait en boucle le procès de Nuremberg de la littérature française, Riom(s) ensemble, et tutti sasseur, des blattes errantes as usual. Ni grand, ni moyen, l’orient d’ici n’est pas terrible, allures de camp libanais.
c’est bien pour ça.
Non.
Le philopède cause de blattes, il a un vocabulaire prestigieux, puisé aux meilleures sources littéraires, ce délinquant.
Ce gnome édenté et inculte n’a plus que ce mot de valet de ferme pour lancer quelques insanités : prestigieux.
On eût apprécié qu’il utilisât la même prévenance pour ses « propres » commentaires plutôt que des borborygmes militants d’ ultra droite ddélinquante.
On cherche encore un commentaire littéraire de ce délinquant.
Peine perdue.
Marcel Proust
de la futilité des femmes
« Je fus surpris qu’à ce moment où ma grand-mère était si mal, Françoise disparût à tout moment. C’est qu’elle s’était commandée une toilette de deuil et ne voulait pas faire attendre la couturière. Dans la vie de la plupart des femmes, tout, même le plus grand chagrin, aboutit à une question d’essayage. »
(« Le Côté de Guermantes », Pléiade II, page 631)
La littérature n’est pour ce cancrelat qu’un prétexte.
Clopine s’essaie à être méchante.
C’est réussi !
Bloom dit: à
JN Orengo, dont le dernier ouvrage qui, je l’espère, figurera dans le dernier carré d’as du prix des affreux frangins Goncourt
Vous l’avez lu ?
Riom(s) ensemble, c ki ?
Elle avait l’air pourtant pas mal, cette histoire. Merci pour le résumé, je la lirais bien. Bàv,
____
(MT) En 1984, deux jeunes frères exilés aux États-Unis retournent au Guatemala, au cœur de la forêt de l’Altiplano, participer à un camp de survie pour enfants juifs où les envoient leurs parents afin qu’ils n’oublient pas leurs racines. Mais un matin, les enfants, réveillés par des cris, découvrent que le camp s’est transformé en une chose bien plus sombre.
Les raisons et les ramifications de cet épisode de l’enfance du narrateur ne commenceront à s’éclaircir que des années plus tard au fil de rencontres fortuites – à Paris avec une lectrice de Salinger devenue avocate, ou à Berlin avec un ancien instructeur en chef du camp, aux yeux d’un bleu changeant, qui se promenait avec un serpent dans la poche et une énorme tarentule sur le bras.
Entrelaçant passé et présent, réalité et fiction, Eduardo Halfon tisse un récit foisonnant de symboles pour toucher du doigt les fondements de son identité : le cadre strict et rigoureux de la religion juive et le giron enveloppant et maternel du Guatemala.
@ de la futilité des femmes
N’en profitez pas, jzmn, maintenant qu’elle est à terre, salaud !
Inyenzi, évitons SVP ce terme injurieux ayant justifié le génocide tutsi… Personne ne le mérite ici. (P)leurons ensemble, bien plutôt.
@ quand on parle de la « volonté des peuples » on ne peut ne pas tenir compte de la manipulation.
14e porte ouvertement enfoncée de la journée (du tragique erdélien, par delà le Mallet Lebien).
ah oui, celui des bronzés au ski… ? Meuh,
alors, ce 3e tome de la corrèsp de Morand/Chardonne, où en êtes-vous ? On attend votre critique littérale, depuis pas mal de temps, dirfil Opatte ? Hein, ne décevez pas le Prestigieux blog à Ma soeur. L’a raison. Merci pour elle, de rien.
Vous l’avez lu ?
—
Pas encore, mais tous les autres, oui (« La Fleur du Capital », kapital!). Je le ferai quelque soit l’issue du scrutin, soyez-en sûre!
Dear Phil et ses orients de pacotille, ses bagatelles pour ancien cagoulé démasqué, errant dans les décombres d’un monde d’avant un certian monde d’avant, eine Unterwelt die aber sehr schlecht richt.
quelle que soit…allons!
exemple au hasard : durant plusieurs mois tous les médias sans exception ont dit et répété la chose suivante : « après l’Ukraine s’en prendra au reste de l’Europe ».
la première a avoir lancé ce slogan c’est la néoconservatrice américaine Hillary Clinton lors de sa venue en Europe.
tous les médias ont repris ce même refrain à tel point qu’on pouvait facilement imaginer les russes entrer dans Paris.
ça c’est ce qu’on appelle chez nous du « narratif » et chez les autres de la « propagande ».
quand on parle de la « volonté des peuples » on ne peut ne pas tenir compte de ce type de manipulation.
« après l’Ukraine la Russie s’en prendra au reste de l’Europe »
quand on parle de la « volonté des peuples » on ne peut ne pas tenir compte de ce type de manipulation par le mensonge.
Le prix Goncourt récompense distingue, un roman et non une œuvre.
Et sérieux si me Speer d’Orengo va en 1/2 finale, c’est que les autres sont encore plus mauvais.
Ou pour faire plaisir à l’Allemagne, alors…
https://www.livreshebdo.fr/article/lallemagne-devient-le-40e-choix-goncourt-international
Pour voir qui verra l’ensemble de son œuvre distinguée cette année, ce sera jeudi 10 octobre. En Suède.
le Speer
« Pour voir qui verra »
Que c’est mauvais, ok
au début de cette vidéo on peut par exemple entendre le belliciste néoconservateur français Raphaël Glucksmann reprendre à son compte cette manipulation pondue par les bellicistes néoconservateurs américains visant à forger la volonté des peuples par la manipulation et le mensonge :
3j sur ce coup tu aurais mieux fait de la mettre en veilleuse parce que je suis comme un chien avec son os : je ne le lâche pas !
c’est ça qui est bien avec les crétins dans ton genre : il recrée de la motivation…
richt
riecht, dear Bloom, if I may. Lu l’opus trois depuis belle lurette, dear jjj, quelques lettres bien senties envoyées par l’aîné au Kadett rescapé des procès auraient plu au landerneau ici-bas. Seulement voilà, le verdict, vers dicte, fut donné au tome 2. La santé de sasseur semble vous occuper, futes-vous son abbé Pierre en débandade ?
@Riom(s) ensemble, c ki ?
Un cousin de Jean-Baptiste Botul ?
Les contes (tales, Märchen) de Puck, sont presque du niveau des aventures de Blake et Mortimer, la ligne presque aussi claire, mais en noir et blanc.
dans cette petite vidéo la phrase du néoconservateur français qu’il faut retenir est la suivante :
« si l’Ukraine s’effondre c’est notre sécurité qui est en jeu ».
cette affirmation est intéressante à plusieurs titres et il faut la dérouler de plusieurs manières c’est ce que je vais m’efforcer de faire pour 3j.
Est-ce ce site a vraiment besoin d’une police politique, de plus exercée par un voire deux cré.tins?
Est-ce que…
En troquant le sable pour le béton, Jean-No a joué à qui Speer gagne.
Glusckmann : « si l’Ukraine s’effondre c’est notre sécurité qui est en jeu »
d’abord c’est exactement le genre de phrase qui peut pousser le peuple finlandais à avoir envie d’entrer dans l’otan.
Par l’odeur attirée, la sangsue est revenue s’aboucher.
« Chaloux dit: B… a fini par (…) se fâcher avec A, parce qu’il a compris qu’il n’aurait jamais le talent de ses ambitions littéraires (…) Ensuite A. est allé s’oublier dans des gay-pride, par exemple à celle de Madrid, parmi les travelos brésiliens et les Vénus à dos velu qui vous sourient avec leurs dents en or à 15 carats (or turc). Depuis qu’il sait que j’ai percé son horrible secret, il me hait. »
Mais tout le monde vous hait, sieur chavrou.
Glusckmann : « si l’Ukraine s’effondre c’est notre sécurité qui est en jeu »
cela signifie : nous n’avons pas le choix il faut envoyer des armes à l’Ukraine et si nécessaire sacrifier les ukrainiens jusqu’au dernier.
déjà on mesure le niveau de cynisme et de lâcheté de ce genre de phrase : si la sécurité de notre pays était effectivement en péril nous enverrions nos gamins se battre pour la défendre, et certainement pas les autres pour le faire à notre place !
dans cette affaire ukrainienne c’est probablement l’aspect des choses le plus ignoble !
je pense que rarement dans l’histoire de notre continent des gens, comme le fait là
glusckmann, se sont abaissés à une telle ignominie !
Je suis allée à la librairie l’autre jour, il fallait que je me procure un récit, un roman plutôt, car cité dans la bibliographie de Norek. Tellement peu demandé que dans la 1ere librairie, il me fut signifié que le seul exemplaire indiqué en stock sur leur site avait été retourné la veille, certainement pour rejoindre un grand entrepot où sont stockés les invendus, ou comme ce fut le cas pour celui-ci : pas demandé depuis des lustres.
Mais j’en ai profité pour feuilleter le Speer d’Orengo. Marketing impeccable, pas eu besoin de chercher, il vous agressait immédiatement. Alors ? Ben rien, déjà tout commenté le sujet ici.
Ma patience fut récompensée dans la seconde librairie et j’ai pu repartir satisfaite.
Je vous en dirai plus bientôt à vous,
Passou, qui avez lu ce roman de Norek, injustement écarté de la liste Goncourt, à croire que l’intelligence et l’effort de lecture est devenue un luxe.
La grammaire chez moi est devenue un luxe….lol
Glusckmann : « si l’Ukraine s’effondre c’est notre sécurité qui est en jeu »
une chose que Glucksmann a oublié c’est qu’au 2è mois de ce conflit des accords avaient été trouvés entre ukrainiens et russes.
ces accords ne visaient à faire effondrer l’Ukraine.
ces accords comprtaient 2 choses : le respect des accords de Minsk 2 (autonomie et non pasindépendance du Donbass) et la neutralité de l’Ukraine.
les ukrainiens ne perdaient aucun territoire en dehors de la Crimée qui faisait l’objet d’un moratoire sur 20 ans.
à partir de la signature de ces accords la Russie en avait fini de ce conflit.
mais Gluksmann et sa clique ne l’entendaient pas de cette oreille : lui et sa clique ont empêché les ukrainiens de signer et ils ont pris ce conflit à leur compte.
du coup si aujourd’hui l’Ukraine s’effondre la responsabilité en incombe à ce cher pacifiste Glucksmann et sa clique !
nous sommes ici sur un blog littéraire avec des gens qui soit disant savent lire et comprendre ce qu’ils lisent.
un blog tenu par un so called « historien » pour qui la Finlande est entrée dans la l’otan par la volonté (éclairée) de son peuple et qui serait sensé nous balancer des faits.
mais en fait non : vous n’êtes pas des manches que pour ce qui concerne les livres ou le cinéma, vous êtes des manches pour tout le reste !
comment demander à des gens de savoir lire et comprendre ce qu’ils lisent dans un livre ou ce qu’ils voient dans un film alors que vous n’êtes même pas comprendre des trucs gros comme un camion dans le monde !
si on voulait être gentils on mettrait ça sur le compte de votre âge avancé, mais en fait non : vous avez toujours été des manches et des hypocrites !
« quand on parle de la « volonté des peuples » on ne peut ne pas tenir compte de la manipulation. »
vous en êtes le parfait petit échantillon !
@ les crétins dans ton genre : il recrée de la motivation
Serviteur, le chrétien… Suisj là pour ça, tel le bon Jézu de Naze Arrête /// Remotiver et réouvrir les portes enfoncées ayant tendance à se refermer. Leur permettre de se ressaisir, aux peuples manipulés par le mensonge russe et la propagande américaine. Bàv, urct !?
Ta gueule keupu-Katioucha !
Glusckmann : « si l’Ukraine s’effondre c’est notre sécurité qui est en jeu »
l’autre chose ignoble dans cette affirmation c’est les premiers mots « si l’Ukraine s’effondre ».
ce type est bien placé pour savoir les conséquences liées à la déstabilisation de pays qui ne sont pas intrèsequement « stables ».
le WSJ vient d’écrire un article très intéressant sur ce que ce type appelle l’effondrement de l’Ukraine, l’auteur de cet article dit que comme l’Ukraine n’était pas un pays stable au départ cet effondrement est en train de se manifester par la montée en puissance d’extrême droite et la prise en maisn du pays par les plus extrêmistes !
exactement comme en Syrie avecd Al Quaida ou comme en Libye ou comme en Afghanistan : l’effondrement provoque toujours la montée en puissance des plus extrêmistes !
selon l’article de ce type dans le Wall Street Journal on commence à le voir dans la façon de recruter, d’envoyer des gamins au front sans formation ou de traiter ceux qui essaient d’échapper au recrutement etc.
l’effondrement c’est que l’Ukraine aujourd’hui c’est Berlin en 1945 !
si nous étions des vrais démocrates soucieux des droits de l’homme c’est la seule chose qui devrait le plus nous soucier !
des types comme Glucksmann et sa clique avec leurs slogans visant à faire peur se sont comportés comme ce que l’humanité peut produire de plus ignoble juste parce que c’est un russophobe slavophobe ! son père c’était la Georgie et lui il se tape l’Ukraine !
et comme ses penchants l’entrainent vers le bataillon Azov il a fait de Kiev un Azovland !
@ futes-vous son abbé Pierre en débandade
bien vu, l’Abbé C., oui je fûtes… j’avions bin ressayé de la tringler, mais c’te fois, l’a foiré. Les meufs sont pu ce qu’elles z’étiant.
Z’ont un choeur de Pierre, man’nan… toutes des Copines, sont. Bon, je sorj 🙂
@ PC c’est-i bin français, c’te double négation interro négative : « on ne peut ne pas tenir compte de la manipulation » ? Rin compris malgré le déploiement glucksamnien/// Il est vrai qu’on n’est pas trop fort en géopolitique moralo e-réaliste post moderne et post prandiale. Urct. Bàv,
Je dirais que Paul Edel est certes un brin donneur de leçon, parfois, mais que c’est quelqu’un de vraiment sympathique et qui n’est pas rancunier (moi non plus), toujours ouvert au dialogue, cultivé comme personne, avec qui il est vraiment possible d’échanger sur la littérature (sauf sur Yourcenar, évidemment: beaucoup de gens peinent à comprendre et apprécier cette littérature française écrite si loin de la France,s’en préoccupant si peu,- et même la dédaignant, ce qui peut choquer certains esprits). Bref, quelqu’un de très bien. Je sais que nos échanges ont pu être assez âpres dans un autre temps, mais j’ai vieilli sous le harnais et désormais je le comprends mieux et ne l’en estime que davantage.
Tout mon soutien.
riecht, dear Bloom
—
Richtig, Genosse Phil. Mein Grüsse an die Frau
Paul Edel, vous avez bien du mérite de supporter stoïquement cette folle-dingue de Clopine. Vraiment.
Tout mon soutien aussi à dear Phil qui ne mérite pas d’être traité de cette façon.
Bientôt ce nigaud de vertu de Patabloum, dont les amalgames soulignent toute la bêtise, viendra nous réciter son poème préféré d’Aragon:
« Il s’agit de préparer le procès monstre
d’un monde monstrueux
Aiguisez demain sur la pierre
Préparez les conseils d’ouvriers et soldats
Constituez le tribunal révolutionnaire
J’appelle la Terreur du fond de mes poumons
…
Je chante le Guépéou (2) qui se forme
en France à l’heure qu’il est
Je chante le Guépéou nécessaire de France
Je chante les Guépéous de nulle part et de partout
Je demande un Guépéou pour préparer la fin d’un monde
Demandez un Guépéou pour préparer la fin d’un monde
pour défendre ceux qui sont trahis
pour défendre ceux qui sont toujours trahis
Demandez un Guépéou vous qu’on plie et vous qu’on tue
Demandez un Guépéou
Il vous faut un Guépéou
Vive le Guépéou véritable image de la grandeur matérialiste
Vive le Guépéou contre Dieu Chiappe et la Marseillaise
Vive le Guépéou contre le pape et les poux
Vive le Guépéou contre la résignation des banques
Vive le Guépéou contre les manœuvres de l’Est
Vive le Guépéou contre la famille
Vive le Guépéou contre les lois scélérates
Vive le Guépéou contre le socialisme des assassins du type
Caballero Boncour Mac Donald Zoergibel
Vive le Guépéou contre tous les ennemis du prolétariat. »
(« Prélude au temps des cerises » dans Persécuté-Persécuteur, Ed Denoel, 1931)
Quel Tartuffe, ce chavroux!
Cruellemennt isolé, à la recherche de soutiens, il joue la comédie du repenti,
Jusqu’où s’abaissera-t-il?
Il y a fort à parier que le flagorneur descendra très bas. C’est là son genre.
… Et fera la campagne de Glucksmann…
Hurkhurkhurk!
Certes, je ne risque pas de me laisser impressionner par une scribouillarde brabançonne, li.bi.dineuse à l’envers, qui a moins de vocabulaire que mon chien.
L’automne 2024 est arrivé sans prévenir. Qu’en sera-t-il du prix Goncourt ?
CERISE? PONT
En 70 av. J.-C., le général romain Lucullus en guerre contre Mithridate, roi du Pont (de Pont-Euxin, ancien nom de la Mer Noire) découvrit dans cette ville une nouvelle variété de cerisier et l’introduisit à Rome.
EYKiraz et j’ai découvert qu’il était d’origine arménienne, mais surtout que son pseudonyme voulait dire en turc « cerise ». Joli. Mais je suis tombé aussi sur des pages sur la Turquie comme celle-ci : « Les cerises sont d’ailleurs originaires de Turquie, comme le motcerise, qui vient du turc kiraz. »
Laissons le sot à ses délires. Il tombe dans tous les panneaux. Une vie entière consacrée à l’erreur.
Le hyèneux ricane et ne dédaigne pas un petit susucre bien qu’il lui préfère le goût du sang.
Nous allons bientôt décarviader pour que tout le monde garde bien à l’esprit ce qu’a fait le fat.
« Ta gueule keupu-Katioucha ! »
Jeannot Lapin c’est le pote à il a ri :
https://www.youtube.com/watch?v=csSph593QcE&ab_channel=SkyNewsAustralia
Rosanette, vous qui avez le bottin complet, dites- moi : Hanna Assouline, est-ce la nièce de notre hôte ? Arte rend compte, ce soir, d’un documentaire pacifiste. Internet parle de « banquiers », richissimes. Quid ?
Dans mes habitudes de lecture, lui, p. ex., est un critique littéraire :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dante_Isella
Bien entendu, j’en lis aussi d’autres, can il est possible de trouver quelque chose d’intéressant, pas toujours mais assez souvent.
Clopine a besoin d’un prêt.
«… j’en lis aussi d’autres… »
Lui, par exemple :
@Pablo, si tu passes par-là.
J’ai trouvé par hasard ce superbe enregistrement du 4e concerto de Saint-Saens que j’adore. Il est joué sur un Erard de 1874. Je trouve qu’on y entend très bien l’apport énorme du piano moderne, et en même temps le fait qu’on a perdu un petit quelque chose, tout de même.
https://www.youtube.com/watch?v=vhdQkGaGTqY&ab_channel=LesSi%C3%A8cles
…je ne connais guère de plus beau passage, en littérature, que celui de Nabokov décrivant le nom de « Lolita », avec dentale etc. Mais il y a un pendant : icelui de Romy Schneoder disant « David ». Au cinéma. quelle horreur, quelque part.
Je ne connais, et je suis sincère, rien de plus bouleversant que la diction de Romy Schneider disant « David ». je voudrais être sûre de ne pas être la seule.
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