Le français serait-il plutôt la « langue de Montaigne » ?
Dans un récent dossier, la revue Medium s’était interrogée sur la notion d' »écrivain national » et la pertinence de l’expression « la langue de Molière » pour désigner le français. « La République des livres » s’en était fait l’écho. Retour sur ce débat d’histoire littéraire qui vire au débat d’idées avec Antoine Compagnon, professeur de littérature française au Collège de France et à l’université Columbia de New York, auteur d’essais sur Brunetière, Proust, Montaigne, les Antimodernes et tout récemment d’un Baudelaire, l’irréductible (333 pages, 24 euros, Flammarion)
La République des livres : Pas très ancienne, cette notion d’ « écrivain national », non ?
Antoine Compagnon : Elle date de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècle, du premier romantisme, de l’institution du Panthéon comme monument des grands hommes, et de l’idée que l’âme d’une nation se reflète dans ses arts et sa littérature. Jean-Claude Bonnet l’a montré dans Naissance du Panthéon (1998). Les architectes se mettent alors à graver au fronton des bibliothèques et des universités les noms des grands écrivains : Homère, Virgile, Dante, Shakespeare, Cervantès… On fait de même dans les musées, les conservatoires de musique, les salles d’opéra. L’historien de l’art Francis Haskell a étudié ce phénomène dans un petit livre stimulant, La Norme et le Caprice (1976), sur la formation du canon dans les différents arts et sur son inscription sur les monuments.
Etait-ce typiquement français ?
Non. On retrouve une semblable conception nationale, morale et pédagogique de la littérature dans la seconde moitié du XIXe siècle en Angleterre, avec le poète et critique Matthew Arnold, en Allemagne après la formation de l’Empire, et en France après 1870 dans l’école de Jules Ferry. Quant à l’Italie, elle a tardé à devenir une nation, mais le patrimoine artistique y était déjà un ferment d’unité. La cohorte des écrivains nationaux, c’est un peu l’équivalent du musée, la muséification d’un canon littéraire classique. Avant cela, on ne songeait pas trop à représenter l’esprit de la nation à travers quelques grands écrivains, voire un seul « grand écrivain national » résumant chaque nation européenne.
La notion vous paraît-elle pertinente ?
Elle ne dit pas tout, puisque le grand écrivain se définit justement par le fait qu’il est reconnu hors des frontières et qu’il devient une sorte de produit d’exportation, voire de propagande. Homère et Virgile sont universels, de même que Dante et Shakespeare. Le grand écrivain national représente l’esprit de son pays parce qu’il a acquis une réputation transnationale. Pour qu’un grand écrivain incarne l’esprit de sa nation à l’étranger, il doit y être lu, comme Chateaubriand découvrant une gravure représentant René au fond de la Bohême. La caractérisation du grand écrivain comme écrivain national est donc paradoxale, insuffisante. Il reste toutefois qu’il n’y a de grands écrivains nationaux, c’est-a-dire à prétention universelle, que dans les grandes nations et les grandes langues, qui ont une vocation impériale. Trois textes cernent bien la question : l’article célèbre de Sainte-Beuve, « Qu’est-ce qu’un classique ? » (1850), la fameuse conférence de T. S. Eliot, « What is a classic ? » (1944), et le livre de Frank Kermode, The Classic (1975), sur Virgile comme modèle porté par l’empire romain. On peut en dégager trois critères du classique : l’universalité, l’antiquité au sens de la survie et de la traversée du temps, enfin la maturité, car le classique représente une nation dans sa période la plus accomplie. Il n’est pas sûr que la formule soit attestée en France. L’expression consacrée était plutôt celle de « Grands écrivains français » ou de « Grands écrivains de la France », deux importantes collections chez Hachette, l’une, ancêtre de la Pléiade, donnant des éditions critiques, l’autre des synthèses sur le modèle de « L’homme et l’œuvre ».
Pourquoi ne peut-on se contenter de « la langue de Molière », ni même de la « langue de Voltaire » comme on disait en fait ?
Il existe un problème français singulier, alors qu’il n’y a pas d’incertitude au XIXe siècle sur l’écrivain porte-drapeau des autres grandes langues européennes. Nous n’avons pas encore mentionné Pouchkine, ni Goethe, qui s’imposa vite en Allemagne contre Schiller. Ces grands écrivains nationaux sont sans rivaux et les mêmes noms reviennent partout. En France en revanche, nous sommes confrontés à un embarras de richesses, ce qui peut devenir un handicap puisque il est impossible de déléguer l’esprit de la nation à un seul écrivain, mais ce qui témoigne aussi du caractère exceptionnel de notre littérature. A la différence des autres grandes littératures européennes, qui ont connu des hauts et des bas selon les siècles, qui ont traversé des périodes moins fécondes, la littérature française a pour propriété d’avoir été continue depuis le Moyen-Age et la Renaissance. Elle a produit des grands écrivains à toutes les époques. On ne peut donc pas la résumer en un seul, et c’est sa grandeur. On s’est souvent demandé ce que l’on ferait si l’on ne devait garder qu’un seul nom à graver au fronton auprès des autres grands écrivains européens. Molière ? Oui, mais il s’est illustré dans la comédie, genre insuffisamment noble. Voltaire ou Rousseau ? Oui, mais le consensus n’est pas possible autour de penseurs liés aux Lumières et qui ont annoncé la Révolution. La solution n’est pas facile.
D’autant que l’on voit resurgir aujourd’hui, à travers les débats sur l’identité nationale, une lame de fond anti-Lumières qui rassemble des esprits religieux et conservateurs venus de tous horizons…
J’avais déjà relevé cette tendance en 2005, à la suite de mon livre sur Les Antimodernes, de Joseph de Maistre à Roland Barthes : désormais les antimodernes sont des hommes et des femmes qui défendent l’héritage des Lumières, à rebours de la doxa qui le conteste. Un Baudelaire ou un Cioran pouvait taquiner les Lumières, cela ne portait pas à conséquence ; mais nous vivons aujourd’hui un renversement : être antimoderne, si c’est toujours se porter contre le consensus de ses contemporains, cela impose maintenant de défendre les Lumières. Leur contestation a commencé par la critique de la notion moderne de progrès (technique, scientifique, social), qui a cessé d’être admise (principe de précaution, croissance zéro). Les catholiques du XXe siècle étaient marqués par les idées de l’école républicaine ; ils s’étaient convaincus que l’Eglise avait su profiter de la loi de séparation de 1905. Ce consensus laïc n’est plus le cas, comme en ont témoigné les manifestations d’il y a deux ans. Dire qu’en 1981 François Mitterrand avait été élu grâce aux suffrages des catholiques de gauche, notamment de l’Ouest…
Revenons au cas français du « Grand écrivain national »…
Albert Thibaudet avait bien observé le problème de la littérature française ; celle-ci ne peut se réduire à un seul grand écrivain, parce que les écrivains français vont toujours par deux, comme des couples de contemporains ou de successeurs, mais en tout cas inséparables : Ronsard et du Bellay, Voltaire et Rousseau, Descartes et Pascal, mais aussi Montaigne et Pascal, Corneille et Racine, Hugo et Baudelaire, ou encore, après la mort de Thibaudet, Sartre et Camus, ou encore Duras et Sarraute, ou Le Clézio et Modiano, les derniers Nobel.
Baudelaire et Hugo aussi, une rivalité ?
Certainement, et Baudelaire est même devenu « le » grand poète français, le plus lu, le plus étudié au lycée. Il lui a fallu attendre la Première Guerre mondiale, entre le cinquantenaire de sa mort en 1917 et le centenaire de sa naissance en 1921, pour n’être plus un « poète maudit », mais il s’est bien rattrapé depuis. Aujourd’hui, on lit plus Baudelaire qu’Hugo, et sans doute qu’Apollinaire ; on présente des poèmes du Fleurs du mal plutôt que des Contemplations ou d’Alcools au bac de français.
Vous qui avez consacré des livres à Proust, Montaigne, Baudelaire, vous votez pour qui ?
Dans cette compétition, Gide avait choisi son camp : il votait pour Montaigne. Il s’en était expliqué au début des années trente, lors d’un entretien à Berlin avec un jeune journaliste qui s’appelait Walter Benjamin. Je suis sur la même ligne. C’est d’ailleurs autour d’hommes comme Montaigne que s’est instituée l’idée même de nation. Au XVIe siècle, temps des guerres civiles, il faisait partie de ceux que l’on appelait les « politiques », qui plaçaient l’unité de la nation au-dessus des divisions religieuses. Il était un partisan de l’Edit de Nantes avant la lettre, un précurseur de la théorie du contrat social et de notre laïcité.
Peut-on alors définir le français comme « la langue de Montaigne » ?
Pourquoi pas ? Il pensait écrire dans une langue qui évoluerait si vite que l’on ne pourrait plus lire ses Essais au bout de cinquante ans ; il croyait que le latin, lui, durerait, mais il avait choisi d’écrire pour ses proches, donc en français. Or il a contribué à la fixation de notre langue. Il a aussi été d’emblée un écrivain transnational, immédiatement traduit en anglais. La Tempête de Shakespeare doit beaucoup à son chapitre « Des cannibales », dont le nom de Caliban, anagramme qui en est tiré. Montaigne est pour ainsi dire au départ de la série de tous ces couples de grands écrivains qui s’est perpétuée par la suite. Et puis il représente parfaitement la notion de tolérance, de haine de tous les fanatismes, dont nous avons tant besoin aujourd’hui.
Et Baudelaire, tant le moderne que l’antimoderne ?
Il ne peut pas aussi aisément susciter de consensus. Je m’en suis bien rendu compte lorsque je lui ai consacré une série d’émissions l’été dernier sur France Inter. Le problème avec lui, c’est qu’il parle de choses dans lesquelles nous nous reconnaissons encore. Le monde n’a pas tellement changé depuis Baudelaire en ce qui concerne le grandes questions politiques et sociales : la souveraineté populaire, le suffrage universel, la doctrine du progrès, la foule, l’art moderne. Or, comme on se sent proche de lui, on a du mal à accepter ce qu’il dit des femmes ou de la peine de mort. La familiarité que l’on entretient avec lui rend plus choquantes certaines de ses assertions. Il n’est pas seulement le poète préféré des intellectuels, plus encore que Mallarmé, mais celui qui est le plus souvent choisi par les candidats au baccalauréat. Il incarne la résistance à la modernité dans la modernité sans être académique ni conservateur. Il veut être emporté dans le mouvement sans céder en rien sur son droit de regard, sans renoncer à sa réserve, fut-elle une restriction mentale.
Il me semble que chez tous les vrais modernes, on trouve un élément de résistance. Tout progrès implique un regret. On rencontre une semblable nostalgie tant chez Chateaubriand que chez André Breton.
La France est-elle encore une nation littéraire ?Nous sommes sous le coup d’une illusion d’optique qui fait dire à certains qu’il n’y a pas de nos jours de grands écrivains français. Comme s’il y en avait eu des dizaines à chaque siècle ! Je n’ai aucun pessimisme relativement à l’avenir de la littérature dans notre pays. L’attribution du prix Nobel de littérature à Patrick Modiano m’a fait plaisir. J’en ai profité pour lire ou relire plusieurs de ses romans ; non seulement je n’ai été nullement déçu, mais je n’ai aucun doute sur la valeur de cette œuvre.
Ce sont Les Misérables qui ont rendu la France littéraire…Kermode remarquait que la notion de classique était indissociable de celle d’empire, d’imperium. Ce sont les empires qui font les grands écrivains plutôt que les nations. Voyez Kipling. Hugo a été universel dans la mesure où il y a eu un empire français et un empire de la langue française, ce qui n’est plus tout à fait le cas aujourd’hui. On va voir Les Misérables sur Broadway sans savoir que l’œuvre a été écrite en français.
Vous qui avez un élément de comparaison du fait de votre enseignement à Columbia University (New York), avez-vous le sentiment que la France a un souci de la littérature qu’on ne retrouve pas, par exemple, aux Etats-Unis ?
Cette question est inséparable de celle de l’école. Dans le secondaire, la place de la littérature est sans doute moindre aux Etats-Unis, mais elle reste supérieure à l’université. Un enseignement des « humanités » est obligatoire dans nombre de grandes universités américaines, alors que beaucoup d’étudiants français cessent tout contact avec la littérature après le bac. Le jeunes Américains auront lu Homère, Virgile, Dante et Cervantès avant de faire du droit ou de la médecine, alors qu’en France on se spécialise beaucoup plus tôt non seulement qu’aux Etats-Unis mais qu’à peu près partout ailleurs. Celui qui choisit le droit ou la médecine après le bac n’entendra plus parler de littérature. On n’est plus au temps où le latin était indispensable pour réussir en médecine et où les Pléiade s’alignaient sur les murs du cabinet de votre médecin.
Les grands écrivains sont-ils politiquement récupérables ?
Le nazisme a essayé avec Goethe, sans y parvenir. Quant à Montaigne, les fondateurs de la IIIe République, qui le comparaient à Renan pour son scepticisme bonhomme, lui reprochaient son conservatisme, puisqu’il avait été hostile à ce qu’il appelait les « nouvelletés », au premier rang desquelles la Réforme. On se méfiait de son loyalisme monarchique, alors qu’il se situe aussi à l’origine de la pensée libérale. Le reproche ne me semble pas justifié car il est formulé au nom d’un anachronisme : la notion de progrès. Montaigne ne croyait pas au progrès ; il voyait l’âge d’or derrière lui plutôt que devant. Son obsession était la guerre civile, comment l’éviter. Il n’était conservateur que pour prévenir la lutte fratricide. Mieux vaut un tiens que deux tu l’auras !
(« La facade de la Bibliothèque Sainte-Geneviève à Paris, Montaigne, Goethe, Cervantès, Shakespeare et… Dante par Botticelli »)
737 Réponses pour Le français serait-il plutôt la « langue de Montaigne » ?
Effroyable cette ambiance « tout le monde a été contrôlé ».
« Alba, l’échec de l’EN ne date pas d’aujourd’hui. Les profs du public mettent leurs enfants dans le privé ou dans un prestigieux lycée de centre ville, pas dans l’établissement de banlieue ou de province lambda où s’entassent les futurs exclus de demain. »
Bloom, oui l’échec du public est, sinon d’aujourd’hui, en tout cas très récent! Je me souviens parfaitement d’une époque où les parents voulaient à tout prix mettre leurs enfants dans un lycée public, même dans un quartier peuplé de gens modestes, pour bénéficier d’un enseignement de qualité.
Le privé, à l’exception de quelques institutions prestigieuses (généralement jésuites) était considéré comme le refuge des ratés du public.
Ce temps est bien révolu!
Pas la peine de s’envoyer du vieux à la figure c’est tellement évident que ça a du prendre pas mal de temps…
« Les profs du public mettent leurs enfants dans le privé ou dans un prestigieux lycée de centre ville »
Probablement par solidarité avec les patrouilleurs scolaires.
Ce débat est stérile, sinon puéril, croyez-vous qu’un Anglais, un Allemand, un Espagnol, un Italien parlent, respectivement, aujourd’hui, dans la langue de Shakespeare, Goethe, Cervantes ou Dante ?
« le rôle heuristique » DHH
Merci le grec ancien pour comprendre ce terme.
Débat stérile ? Puéril ? …..Attila !
La Maison de retraite Passou : tu l’aimes ou tu la quittes !
« …sur la RDL le jeu du « qui est le plus grand écrivain national » ? C’est quoi ce « patriotisme », cette rage du classement littéraire idiot ? Pourquoi jouer au tiercé avec des écrivains? On joue aux petits chevaux dans une maison de retraite pour savoir de Hugo, de Voltaire, de Molière, de Proust, de Flaubert ou de Montaigne qui est le plus grand!.
Mais savez-vous, chère Christiane, que Paul Edel remonte grandement dans mon estime. Je ne puis que m’incliner devant pareil bon sens, assorti d’une ironie mordante à souhait. Vive Popaul !
Et que penser de l’ éristique de l’ heuristique?
c’est en cela peut-être qu’il est profondément juif sans le savoir. (widergänger)
Non seulement Montaigne était juif mais en plus il était cannibale, et il le savait très bien. Comme dirait le dernier Charlie Hebdo, c’est lui le co-auteur, avec sa petite-fille Marine, de « Pourquoi j’ai mangé mon père ».
Je trouve le texte d’Albert Thibaudet tout à fait remarquable et je ne crois pas qu’il faille se focaliser sur cette expression de « parole gelée ». Elle n’a rien de péjoratif. Thibaudet veut seulement dire que le texte de Montaigne est la transcription d’une parole, gelée pour l’éternité dans une forme écrite qui lui permet d’irriguer les siècles à venir.
Sirius, effectivement, la parole gelée est parole figée par l’écriture.
Pomme vaut pomme à l’oral comme à l’écrit…
Sirius dit: 18 avril 2015 à 10 h 41 min
En effet, Thibaudet utilise cette formule sans avoir besoin de mobiliser le sens originaire que lui donnait Rabelais. Il l’applique aussi bien à Socrate et à tout fondateur de sagesse.
C’est vrai qu’on lit le texte du vieux maître avec plaisir, même si on sourit parfois amicalement devant cette sorte de bonhomie bourgeoise.
Les pensée de MM sur l’institution (instruction) ont été très tôt reçues par les Anglais, comme l’indique Compagnon, grâce à la traduction de Florio, mais il était surtout question du type d’éducation à donner aux fils des grandes maisons nobiliaires (maîtrise des classiques mais aussi de références françaises et italiennes, formation par l’expérience).
Cette pompe républicaine se lit avec plaisir, comme on écoute une harmonie municipale: « Qui lui eût dit que ces paroles gelées seraient un jour des neiges éternelles dont s’alimenterait toute une hydrographie française ne l’eût pas surpris… »
Le texte est très bon, malin, humain. Il est le produit d’une époque où l’existence d’un « peuple français » était tenue comme allant de soi.
à christiane : on ne vous lit plus chez Popaul ? vous êtes fâchés ???
Puis, si on a conduit un étude sur l’évolution de la pomme on pourra faire la différence entre une pomme de l’époque de Montaigne — écrite, donc — et une pomme d’aujourd’hui, mais l’on n’aura évidemment pas l’expérience gustative de la première…
…
…le ronron du tripode,!…à,…10 h O6 min,…
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…je vous fait le change, vous en avez pour votre argent,!…
…vous avez de quoi vous chauffer cet hiver, à poil face au poêle,!…
…sur un miroir enjambé,!…s’agrandir du château bordeaux d’élites à fesses,!…
…manneken pis aux Escort- girls façon toys d’abord,!…au bord’elles à cinq sens les vitesses de ba(i)ses,!…
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…vous posé nue,!…pour un tableau de maître,!…déjà grosse du client,!…
…suivante en ligne,!…respirez dite,…
…Ah,!Ah,!,…encore,!…Ah,!Ah,!…
…Bip,!Bip,!…Go,!…les insertions import//export,…du salami à l’ail de sperme,!…le couloir d’A.D.N.,!…
…
…Oh, ma grand’mère,!…à chaperon-rouge,!…encore si mince, en Escort-Girls du revenu patrimonial,!…
…j’accumule,les dessins par projection,…
…juste, deux trois dessins du paysage-mouvent,…encore une marre à canard, de fonds,!…relevé,!…déjà, à l’attitude mini-jupe,…des images de morts et macabés, pour travaillés et pour descendre du tram, à leurre, sans attendre le terminus à main,!…
…là, bonne après-midi,!…
…etc,!…le pont-joint,!…Ah,!…
…
« …sur la RDL le jeu du « qui est le plus grand écrivain national » ?
Précisément ce n’est plus qu’un jeu.
Il y a un siècle c’était une guerre.
Ce n’est pas un débat universitaire qui s’appuierait sur des vérités, ce n’est qu’une conversation opposant des points de vue particuliers.
Cette conversation ne réunit que des convives.
Elle restera intéressante et amusante aussi longtemps que continuera de se constituer des sociétés se reconnaissant dans un amour commun des lettres européennes.
Le jour où cette conversation s’arrêtera, la table sera remplacée par autre chose. Je ne vais pas gâter cette excellente matinée en essayant d’imaginer par quoi.
c’est en cela peut-être qu’il est profondément juif sans le savoir. (widergänger)
C’est comme widergänger : il est nazi sans le savoir, dis donc.
« Alba, l’échec de l’EN ne date pas d’aujourd’hui. Les profs du public mettent leurs enfants dans le privé ou dans un prestigieux lycée de centre ville, pas dans l’établissement de banlieue ou de province lambda où s’entassent les futurs exclus de demain. »
La vie et la pensée de l’excellent Albert Hirschman (mort il y a deux ans) aura été habitée par la lecture de Montaigne.
(En passant, je ne retire presque rien de la lecture de Steiner, mais beaucoup de celle de Hirschman).
Dans son ouvrage « Exit, Voice and Loyalty », il considère justement le cas de l’école publique.
(En gros, devant une organisation en déclin, qu’il s’agisse d’une entreprise ou d’une nation, l’individu a le choix entre le retrait et l’expression de son insatisfaction: chaque solution a son prix et ne s’exerce qu’en tenant compte de la médiation d’une loyauté. Dans sa vie, AH a préféré la deuxième solution).
Je ne retrouve pas le passage, mais The Economist dont cet économiste détestait l’ultra-libéralisme) en parle ainsi à l’occasion de sa disparition:
« Mr Hirschman’s most famous book, “Exit, Voice and Loyalty: Responses to Decline in Firms, Organisations and States”, remains as suggestive today as it was when it first appeared in 1970, for managers and policymakers as well as intellectuals. Mr Hirschman argued that people have two different ways of responding to disappointment. They can vote with their feet (exit) or stay put and complain (voice). Exit has always been the default position in the United States: Americans are known as being quick to up sticks and move. It is also the default position in the economics profession. Indeed, when his book appeared, Milton Friedman and his colleagues in the Chicago School were busy extending the empire of exit to new areas. If public schools or public housing were rotten, they argued, people should be encouraged to escape them.
Mr Hirschman raised some problems with the cult of exit. Sometimes, it entrenches the status quo. Dictators may rule longer if their bravest critics flee abroad (indeed, Cuba uses emigration as a safety valve). Monopolies may have an easier life if their stroppiest customers find an alternative. Mr Hirschman got the idea for his book during a ghastly train journey in Nigeria: he concluded that the country’s railways were getting worse because the most vocal customers were shifting to the roads.
Exit may also reinforce the cycle of decline. State schools may get worse if the pushiest parents take their custom elsewhere. Mr Hirschman worried that a moderate amount of exit might produce the worst of all worlds: “an oppression of the weak by the incompetent and an exploitation of the poor by the lazy which is the more durable and stifling as it is both unambitious and escapable.” (Mr Hirschman wrote better in his third language than most economists do in their first.) Exit may also entail costs. If you have invested heavily in a company that starts performing badly, then you may be better off agitating for a change in management rather than selling your shares at a loss.
Mr Hirschman overstated his case (hem). »
La musique, la peinture, les arts et cette infamie que vous appelez « littérature »… tout cela vous éloigne d’Allah, notre dieu !
Repentez-vous mécréants !
Dans la bibliographie qu’il lui a consacrée Jeremy Edelman (elle est sur Kindle) rapporte les raisons de cette amour prolongé de Hirschman pour Montaigne.
If there was one author who captured Hirschmann’s imagination, it was Michel de Montaigne. The highly personal vignettes, meditations, and moral reflections shook Hirschmann to his core. He immediately grasped the power of the essays — Montaigne questioned absolute forms of knowledge by submitting everything to the interrogating eye of the observer, starting by looking at himself, turning himself over and over to capture the multiple points of perspective or the multiple forms of the self. “We are never ‘at home’: we are always outside ourselves,” Montaigne wrote. “Whoever would do what he has to do would see that the first thing he must learn to know is what he is.
Montaigne’s affection for the aphorism, for accumulating quotes, rubbed off on Hirschmann instantly, and he began to stockpile his own, starting with a mantra from Montaigne; “observe, observe perpetually.”
His favorite pastime was rereading Montaigne’s Essais. He told Ursula that “this is perhaps the bedside book— livre de chevet— par excellence, the one that would probably be my choice to take if I had to choose only one book.”
Dans la bibliographie > Dans la biographie
Précisément ce n’est plus qu’un jeu.
Il y a un siècle c’était une guerre. (Bab)
C’est dans « La Vie mode d’emploi » qu’un personnage a été membre, pendant la guerre, d’une organisation secrète destinée à contrer la prétention de Hitler à annexer les écrivains français à la pensée germanique en montrant qu’ils ont tout piqué aux Allemands; l’organisation démontre, bien entendu, que ce sont les écrivains allemands qui ont puisé le meilleur de leur inspiration chez les Français. Quand il découvre ça, Adolf se suicide dans son bunker !
L’art et la pensée seront métissés ou ne seront pas. Pour en revenir aux délires widergängesques annexant Montaigne (après Cervantes) à la judéité, on pourrait aisément démontrer, par exemple, que la musique de Schoenberg, Juif pur sucre, n’aurait jamais existé sans celle de Wagner, antisémite notoire.
«Montaigne est le plus parfait écrivain que le monde ait produit. Je le lis littéralement chaque semaine, à la façon dont les gens lisent la Bible, pas très longtemps ; j’ouvre mon Montaigne, lis une page ou deux, au moins une fois par semaine, pour le plaisir, comme ça. Pour moi, il n’y a pas de plus grande joie au monde. En français, pour le plaisir d’être en sa compagnie. Ce n’est pas tellement pour ce qu’il raconte, mais c’est un peu comme d’attendre un ami, vous savez. Pour moi, c’est quelque chose de merveilleux, de très cher. J’ai de l’affection pour Montaigne. C’est un grand ami de ma vie.»
Orson Welles
Comme l’écrivait Ibn Aragon, si la femme musulmane était l’avenir de l’homme musulman, on pourrait commencer à moins désespérer.
« Il est le produit d’une époque où l’existence d’un « peuple français » était tenue comme allant de soi. »
Babibel
De Dunkerque à Collioure et de Brest à Strasbourg.
Le XVIème était identitaire ou n’était pas.
on espère tout de même que vous ne gonflez pas tout tous tout le temps ainsi
Fatigué des commémorations nationales?
Lassé des concours et des palmarès?
Lançons une souscription pour une Tombe de l’écrivain inconnu!
On ferait tout ça en bloc, comme on amalgame tous les êtres imaginaires le jour de la Toussaint.
Une partie imaginaire quoi.
@curiosa dit: 18 avril 2015 à 10 h 58 min
Non et je le regrette. Il se fait que mes commentaires s’effaçaient aussitôt qu’envoyés. J’ai donc arrêté d’en poster et ce n’est pas très important. Paul Edel a assuré qu’il n’y était pour rien. Cela arrive aussi à d’autres commentateurs mais pas aussi systématiquement… Toutefois je continue à lire ses billets passionnants tout autant que les commentaires des uns et des autres. Ici aussi mais parfois les échanges s’envolent vers un univers ubuesque.
Bon allez Ueda nous avons pris note de votre bilinguisme néanmoins toutefois cependant, une question se pose bien que ne trouvant aucune espèce d’utilité en ce qui me concerne: seriez-vous également bisexuel ou polygame?
oui, christiane, il fait le ménage pour éviter des cinglés comme ce pauvre JC….. qui essaie de s’incruster
De toute évidence Paul Edel est victime d’un robot déréglé, Christiane en dégât collatéral, beaucoup de plaisir à lire sa prose souple élégante douce respectueuse et toujours sans faillir raffinée et sensible.
seriez-vous également bisexuel ou polygame?
Pourquoi cet accès de conformisme?
On ne peut pas être bigame et polysexuel?
Ueda avant que de vous répondre je consulte le dictionnaire pour « polysexuel », si ce mot s’inscrit il cache vraisemblablement des pratiques pour lesquelles je ne puis souscrire, je suis binaire, le bien le mal, l’homme la femme, deux poids deux mesures, no more.
Mais… peut-on être bifrons et polystructuré?
…
…nécessité fait loi,!…
…
… » photogrammétrie, avec deux rien,!…les gestes et mouvements « ,!…
…
…et tout le monde connaît l’usage des toilettes,!…et, massages services internet,!…
…vous êtes verte, et Bio du présent,!…
…au litron, à gamelles,!…
…un présent ad-hoc,!…en liquide,!…
…
…avant, de voir, on s’est ce que s’est,!…
…la pureté des connaissances d’héritiers,!…Ah,!…etc,!…
…
Comme l’écrivait Ibn Aragon, si la femme musulmane était l’avenir de l’homme musulman, on pourrait commencer à moins désespérer.
Malheureusement, la femme musulmanne ( celle qui croit atteindre la « pureté » en se revêtant d’un sac ) n’est qu’une pouffe indigne et son mari, qu’un gros beauf’, soit pervers soit débile ( voire les deux )
A la trappe ces demeurés !
« … et tout le monde connaît l’usage des toilettes… »
C’est fort possible, dommage qu’il arrive de les trouver dans un piteux état, ce qui génère le doute que pas tout le monde connaît l’usage du système en entier…
« A la trappe ces demeurés ! »
A la trappe?
Au sens judiciaire (mais ça voudrait dire avec une cravate au cou), au sens religieux (mais ça foutrait le bordel chez les Trappiste)?
Au sens théâtral alors: les guignols disparaissent de la scène, sous les applaudissements
Mais que les clercs, les da’wa workers, les guerriers, les militantes…
On garde les braves gens!
( Bon, U., Il n’y a pas que chez les musulmans qu’il y a des débiles mentaux.
Je vous l’accorde.
Soyons impartiaux et restons vigilants avec les plus dangereux.
Tiens, au passage, avez-vous remarqué comment ce pauvre type de al-Baghdadi porte sur lui qu’il a une cacahuète à la place du cerveau ? )
Pardon, U. ?
Oui, une olive desséchée, si vous préférez.
Bon, tinalast, tous les tarés ne le portent pas sur eux.
Quoique:
Hitler, si. Avec sa petite moustache d’incontinent.
Mussolini, si. Trop gras des cuisses .
Franco, aussi. Avec son envergure de nain de jardin.
Je cherche des contre-exemples parmi ceux qui ont atteint une certaine notoriété ….
Renato difficile de répondre car vous employez deux vocables issus de registres très éloignés l’un de l’autre, je ne doute pas que nous puissions établir un parallèle entre la formation des sols et la genèse d’une personnalité mais je ne saurai y voir de correspondance avec une figure telle que Bifrons, la structuration plus complexe s’effectue je crois en strates superposées ayant eu à subir de nombreuses modifications elles-mêmes de nature diverse.
« Les couvertures pédologiques (C.P.) sont des formations naturelles dont l’existence et l’état actuel résultent de l’évolution au cours du temps de la partie la plus superficielle de la lithosphère (les roches) sous l’action combinée de facteurs climatiques ou physiques (températures, précipitations, gravité) et de l’activité biologique au sens large (végétaux, animaux, micro-organismes)…….. »
Le refus de Christiane, outre son prénom répugnant, de revêtir une burqa « spéciale scooter » pour une ballade en pinède sous les yeux d’Allah, m’a confirmé que Popaul a bien raison de la bannir de sa maison de retraite : la liberté d’opinion de cette femme est dangereuse.
Louanges à Dieu ! Elles sont de moins en moins nombreuses… Nous vaincrons !
de nota, vous tapez toujours dans le mille. Vous êtes un vrai grand lecteur.
(Quant à ce pauvre Alba, comme on lui a déjà prouvé cent fois qu’il n’avait pas lu la première ligne des livres dont il parle, on l’épargnera pour aujourd’hui).
« Bonne journée »,
et son mari, qu’un gros beauf’ Daaphnée.
Ce qui me gène dans leurs coutumes est qu’elles les autorisent à épouser des enfants et cela ne semble pas leur poser plus de problème de conscience qu’acheter un kilo de semoule chez le détaillant, pourtant ils ont accès aux mêmes savoirs que les non-musulmans. Ils semble qu’ici les mœurs et le droit aient évolué même si il y a peu encore il n’était pas rare que des hommes d’âge mûr concluent union avec de très jeunes filles.
Les atroces militantes fantômatiques et en gants noirs, aussi formées à la langue de bois que les anciennes staliniennes, se présentant parfois sur les plateaux pour faire leur agit’ prop.
« C’est pas mon mari. C’est mon choix.
C’est un rapport entre Dieu et moi. Cela relève de ma spiritualité »
(C’est ça, ma poulette…)
Vous savez quoi , U . ?
Formés dans les grandes écoles de l’esprit – Hé oui, PA a eu la riche idée d’en revenir à Montaigne, vive notre Passou .. ! Hé oui, Bourdieu n’oubliait pas ses origines modestes, avec raison également – il ne faudrait pas sous-estimer ce que nous dicte notre instinct, de survie de l’espèce.
A bas, les abrutis .
Ceux qui proclament que l’Islam a 700 ans de retard sur la pensée humaine courante sont des Infidèles, bons à finir en merguez géants.
Daaphnée dit: 18 avril 2015 à 13 h 25 min
« A bas, les abrutis »
Que vous ai-je donc fait, ô gazelle gracieuse ?…
Abu-al-Jissé….. dit: 18 avril 2015 à 13 h 25 min
Ceux qui proclament que l’Islam a 700 ans de retard sur la pensée humaine courante sont des Infidèles, bons à finir en merguez géants.
Anouar Malek ne mérite pas ça:
Chaloux dit: 18 avril 2015 à 13 h 14 min
Quant à ce pauvre Alba, comme on lui a déjà prouvé cent fois
Chaloux fait dans le modeste !!!!!
D’habitude il dit JE quand il croit « matter ».
13h21 « Les atroces militantes fantômatiques et en gants noirs, aussi formées à la langue de bois que les anciennes staliniennes, se présentant parfois sur les plateaux pour faire leur agit’ prop. »
Ce sont celles qui ont les sens à l’air?
Ce témoignage sur la télévision égyptienne Al Mayadeen est assez gratiné
https://www.youtube.com/watch?v=kPWcOhWDtOQ
On va en rester là, wa salama!
(Ce correcteur automatique n’est pas halal.
Il transforme mon « wa salama » en « wa salami ».
Luttons contre les discriminations minuscules!)
« Comment ne pas assurer Pascal Quignard de ma plus sincère et plus profonde admiration, et comment ne pas croire, in fine, que si j’ai osé me diriger vers lui, c’est peut-être parce que j’avais senti, précisément, la chaleur de cette pensée-là ? » (X-pine)
Question :
Qui se cache derrière ce pseudonyme ?
Premier prix
Un semaine en igloo inuit avec Pascal Qu’ignare
Second prix
Deux semaines en igloo inuit avec Pascal Qu’ignare
700 ans de retard
Vous avez quoi, U., au-delà de condamner sans appel des attardés monstrueux, je me dis qu’il y a peut-être des prouesses technologiques – la mondialisation à l’heure de l’immédiateté d’internet – qui sont également monstrueuses.
Avec la cyber-surveillance, peut-être en allons revenir à une communication qui laisserait du temps au temps …
XXXXX( Bon, si vous voulez m’adresser une lettre des plus émouvantes et troublantes, vous savez comment me joindre ..
J’apprécierais que vous m’envoyiez des fleurs, aussi.)XXXXX
enat’orna sabbia dit: 18 avril 2015 à 9 h 59 min
« En voilà un qui nous parle « affaire de cœur » pour se persuader qu’il n’est pas vieux… presque mort »
en plus d’être encore + moche et c..que quand il était moins vieux
(X-pine)
Question :
Qui se cache derrière ce pseudonyme ?
Réponse: la dinde hors catégorie qu’on ne nomme même plus.
J.L.Borges:j’avais peut-être dit que chaque pays choisit d’être représenté par un livre et que d’habitude ce livre ne ressemble pas au pays.
Par exemple, on assimile Shakespeare à l’Angleterre, alors qu’aucune des caractéristiques habituelles de l’Anglais ne se retrouve chez lui, puisque les Anglais sont généralement réservés, peu bavards, et que Shakespeare, par contre, glisse comme un grand fleuve, abonde en hyperboles, en métaphores. Les Allemands, eux, qui sont facilement fanatiques, ont choisi Goethe qui est exactement leur contraire: un homme tolérant, un homme qui va saluer Napoléon quand il envahit l’Allemagne. Il semble que cette contradiction se rencontre souvent.
Osvaldo Ferrari: surtout dans le cas des classiques
Borges: Surtout dans le cas des classiques. Prenons l’Espagne et Cervantes. L’Espagne contemporaine de Cervantes est celle du fanatisme, des bûchers, de l’Inquisition. Et Cervantes, Espagnol lui aussi, est un homme souriant et que l’on imagine tolérant. Quel contraste! On croirait que chaque pays cherche une sorte de contrepoison dans l’auteur qu’il élit. La France, elle, a une littérature si riche qu’elle n’a choisi personne. Hugo, qui pourrait l’être, ne ressemble pas à la majorité des Français.
Extrait de « Nouveaux dialogues avec Osvaldo Ferrari. »
Bravo !
Vous avez gagné !
C’est bien elle qui nous a sorti cette phrase à f.utre le feu au confessionnal de Beaubec !
Quant à ce pauvre Alba, comme on lui a déjà prouvé cent fois qu’il n’avait pas lu la première ligne des livres dont il parle, on l’épargnera pour aujourd’hui) (Chaloux)
Non, mais il a lu les titres; enfin, quelqu’un les lui a lus.
Deux semaines en igloo inuit avec Pascal Qu’ignare
Nooooooooooooooon, tout mais pas ça!
Pitié!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
les Anglais sont généralement réservés, peu bavards, et que Shakespeare, par contre, glisse comme un grand fleuve, abonde en hyperboles, en métaphores. Les Allemands, eux, qui sont facilement fanatiques
Quant aux Français, dont le chauvinisme borné et l’inepte jactance font s’esbaudir tous leurs voisins, ils croient se reconnaître, avec quelque présomption, dans les subtilités d’un Montaigne ou d’un Proust. Comme on peut se tromper sur soi, tout de même. J’ai même ouï dire que Widergänger se reconnaissait en Nerval.
« … tout mais pas ça! »
C’est la rançon du succès!
« les Anglais sont généralement réservés, peu bavards, »
« les Anglais sont généralement réservés, peu bavards, »
Bonjour les clichés!!
« L’Espagne contemporaine de Cervantes est celle du fanatisme, des bûchers, de l’Inquisition. Et Cervantes, Espagnol lui aussi, est un homme souriant et que l’on imagine tolérant. Cervantes, Espagnol lui aussi, est un homme souriant et que l’on imagine tolérant. »
Les habitants ne sont pas ses dirigeants
m…. ô mer derateurs
« les Anglais sont généralement réservés, peu bavards » « Les Allemands, eux, qui sont facilement fanatiques »
ça va les clichés!!
» L’Espagne contemporaine de Cervantes est celle du fanatisme, des bûchers, de l’Inquisition. Et Cervantes, Espagnol lui aussi, est un homme souriant et que l’on imagine tolérant. »
Quel sens de l’histoire!
« Pascal Qu’ignare », excellent, et certainement pas sans rapport avec la forme de son oeuvre.
Les anglais ont un silence bavard. Il m’est arrivé plusieurs fois de déjeuner avec un vrai londonien de tradition, cousin d’une des amies de ma première femme (signé Henry VIII! Hurkhurkhurk…), il ne disait rien mais on n’entendait que lui.
…
…le sens des traces de survie,!…
…
…mais, vous avez plus de cent ans,!…admettons,!…( dans quel institut de beauté , en soit, dis en passant ),!…
…et, elle n’a que la douzaine,…
…Oui,!…mais déjà plus vielle que la mère d’Eve,!…
…
…il y a un âge, pour se rencontrer et un âge ( encore Gougar ), déjà à se bannir,!…
…
…vous êtes fini, pour moi, au moins,!…
…avec ou sans esprits & fortunes,!…
…continuer votre abjectivisme pour pêcher du » gros « ,…
…dans dix ans, nos nouvelles » idems « ,…
…de charmes en chasses d’A.D.N.,!…fée-cons,!…Ah,!Ah,!…
…mes Louis XIV, de génies,…au boulot, la plume en main,!…des générations d’abrutis,!…
…of course,!…Archibald,!…
…
…enfin, mon atelier,! réinstaller » style 1975 « ,!…du boulot sur la planche,!…
…
…à propos, réduire en %,…un papier,!…Oui,!…avec une peinture dessus,!…ou est,!…ma pointe de pinceau,!…avec la loupe 20X,!…sur lunettes,!…etc,!…Ah,!Ah,!…
…
…vous êtes nouvelles, pour des dessins,!…
…vous faîte erreur, en manque de châteaux, domaines et fortunes,!…allez-voir, les lobbying en coeur, des profits d’héritiers!…
…des connivences » juifs-nazis-arabes-barbares,!…
…non-ici,!…c’est latin-grec du terroir, avant Guillaume le con-quérant,!…à deux balles,!…
…les belles poules,…pédigrées pour le sang des chiens, en basse-cour,! d’élite à beaufs errants,!…façon colin maillard,!…
…
…déjà hors normes,!…revenir aux étalages des états,!…avec et contre-tout,!…Ah,!Ah,!…César,!…non, just Charlemagne à deux bouts de ficelles,!…
…encore un noeud,…encore ouvert,!…
…Ah,!…etc,!….
@ du grec…..(18 avril 10 h 30)
heuristique n’est pas de moi ,mais dans la citation des propos de lafforgue .
je n’aurai pas trouvé toute seule pour expliquer ma penseé,ce mot qui qui indique qu’on cherche avec methode, et qu’on aboutit à une solution claire par une demarche efficace .
exactement ce qui se passe devant un texte latin ou grec impenetrable à premiere lecture et qui peu à peu s’eclaire parce qu’on en decrypte la structure par une analyse logique et grammaticale,par le reperage des mots subordonnants ,les fonctions qu’on detecte en identifiant les cas etc…
Et les leçons qu’on tire de ce type d’exercice sont transposables dans tous les domaines ,et procurent un outil intellectuel pour la vie .
Je sens bien que les fleurs de rhétorique ne vont pas suffire.
13 h 31 : JC n’est pas un abruti… non, c’est une ordure
…
…je l’ai, je l’ai,!…la plume aux vents,!…
…Ah,!…parbleu,!…
15 h 00 min
il avait la trouille de finir sur l’échafaud
Chaloux (le correcteur vous appelle Chamonix), je me souviens d’un Londonien attablé en face d’une femme plutôt accorte. C’était un homme qui avait le malheur de ne pas être capable de rire. Il plissait son visage avec une sorte d’inquiétude en disant: « it’s hilarious! »
Je ne pouvais quand même pas rire à sa place, c’eût été de l’indiscrétion
Ueda, à côté de votre lien trouvé celui-ci.
babel oueda dit: 18 avril 2015 à 15 h 16 min
Très amusant. Dans le cas de mon anglais, ce qui m’intriguait surtout, c’était son talent pour suspendre tous les convives à ce silence obstiné, compensé par d’assez nombreuses mimiques qu’il fallait cependant solliciter. J’allais à ces déjeuners comme à un examen, j’en revenais comme du Jugement Dernier, et je dois avouer que j’en garde un souvenir pas vraiment désagréable mais plutôt mitigé.
Chaloux (le correcteur vous appelle Chamonix)
C’est qu’il doit sentir mon impatience à retrouver ma montagne, dans quelques jours.
15h03 DHH – devrait-on demander à notre président s’il est pourvu du dit outil? Il semble souvent désarmé pour s’attaquer à la montagne d’arguments que lui soumet ce banal accident de phrase qui se présente sous une forme communément désignée par ce terme néfaste et pourtant efficace, mondialisation . Comme nous aimerions taire, rayer, gommer, effacer ce mot.
Chaloux! vous ici! c’est qu’ailleurs personne ne vous retient, mes hommages à Madame.
J’y suis sans y être. Rangement de bibliothèque.
Monthy Python
les amis héréditaires.. extrait :Rencontre avec the French https://www.youtube.com/watch?v=74Im6zOHeow
Avec tous ces esprits grands et qui vous hantent vous habitent il est facile d’imaginer que d’autres que vous la retienne, cet anglais vous a légué son flegme et sa générosité, c’est un bonheur que de lire votre ménage.
retiennent, incorrigeable.
D’ailleurs, est-ce une honte de n’être « retenu » nulle part? tout les contraire, à mon avis.
18 avril 2015 à 15 h 56 min : encore une réflexion de crétin.
18 avril 2015 à 15 h 56 min : encore une réflexion de crétin.
Citation:
« Et tous vont sur la mer de l’être avec ce qui leur a été donné ». Dante.
Je cite de mémoire, bien entendu.
Et pas moyen de prendre emprunter voler extorquer chaparder pour voguer sur cette mer où l’on ne trouve d’ailleurs que ce que l’on cherche ou ce que l’on possède mais dans une tournure qui diffère? Parce que vous entrevoyez par votre longue-vue une possibilité de progrès?
encore une réflexion de crétin.
le crétin est une crétine, ça vous intéresse?
18 avril 2015 à 15 h 56 min : encore une réflexion de crétine.
C’est corrigé; mais ça ne change pas grand-chose.
Et ce ne sera pas même hélas, nous souffrirons par la faute de facteurs exogènes à cette gémellité. Je ne vous remercie de rien, lisez regret.
Babel Oueda si un français « de souche » disait le dixième de ce que dit Anouar Malek dans votre video, il serait traîné illico devant les tribunaux.
Intéressant…
Chaloux dit: 18 avril 2015 à 15 h 35 min
C’est qu’il doit sentir mon impatience à retrouver ma montagne, dans quelques jours.
Oh non !
Pas lui.
Christiane dit: 18 avril 2015 à 12 h 14 min
Il se fait que mes commentaires s’effaçaient aussitôt qu’envoyés. J’ai donc arrêté d’en poster et ce n’est pas très important. Paul Edel a assuré qu’il n’y était pour rien. Cela arrive aussi à d’autres commentateurs mais pas aussi systématiquement…
Il faut trafiquer le trafic ; question préalable, est-ce que le provider de blog de Paul est le même que celui de Passou ? Ce serait intéressant de le savoir. Il a l’air plus stochastique dans son fonctionnement, à un moment je croyais que c’était le fait que deux postent simultanément qui coinçait le bastringue ; puis non…
Il doit y avoir une entropique avalanche de fausses manoeuvres des modos ou pas modos, qui se répercutent à l’envi, pour nous erratiquement, voire bien longtemps après. Dans le détail, tant que ce n’est pas le bannissement IP, tout va bien rien n’est cuit ; restent trois zigotos, le pseudo, l’adresse mail, l’URL du blog s’il y a lieu, de quoi engendrer une bonne combinatoire de confusions et de blacklistage.
Dans mon petit cas miteux, j’ai trouvé par un formidable coup de pot, tellement c’est cocasse : le coupable, c’est mon blog, par je ne sais quel sortilège, ça a dû lui tomber dessus par rebondissements multiples comme au baby-foot ; il est en liste noire comme un nom de bonhomme ! Sinon reste à essayer n’importe quel couple nom-adresse e-mail jusqu’à en tenir un. A priori l’adresse e-mail doit uniquement avoir la tête d’une, mais je n’ai pas regardé jusqu’à quel point. Par exemple :
nom : chmoldu
mail : chmoldu@orange.fr
marchait pour moi, sans préjudice du fait qu’il y probablement un quidam, un vrai vivant, qui s’est déclaré ainsi.
Ca c’est de l’heuristique, alors…
« Lançons la tompbe de l’Ecrivain inconnu! »
(Bab El Oueda)
Excellent!
Mais qui? Elisa Mercoeur, la poétesse favorite d’Auguste Comte?
Charles Guérin, pour ses poèmes qu’un bon tranquillisant nous aurait épargnés?
Charles Le Goffic, pour ses bretonneries versifiées dpnt une innénarrable sur les Bigoudens?
Le bien nommé La
16 h 37 min
vous souffrez de vous retenir de parler au nom de vos maîtres
… extrêmement arrogant, prétentieux et pour tout dire franchement réactionnaire, un réactionnaire de la pire espèce, celle qui se permet de publier son ressentiment d’étudiant raté qui se la joue du bâtiment. Profondément minable et méprisable !
I’a sick of dealing with propaganda.
Lagrange-Chancel et son Amasis, parodie de Tragédie classique? La liste peut etre longue, et on n’a pas abordé le roman!
On relève ainsi un goût prononcé pour les travestissements (La Rose noire [The Black Rose, 1950]) et pour une sexualité trouble, évoquée en rivalité ouverte avec Hitchcock dans L’Attaque de la malle poste (Rawhide, 1951), western « de chambre » à l’action ramassée et aux implications sadiques. Cette sexualité est au centre de Niagara (1953), exercice de « transfert » freudien autour de Marilyn Monroe, garce innocente, et d’un intellectuel impuissant qu’interprète Joseph Cotten : le succès du film estompa ses arrière-pensées. Mais il y a aussi un Hathaway presque théologien, auteur du Fond de la bouteille (The Bottom of the Bottle, 1956) et surtout de la surprenante et très symbolique Cité disparue (Legend of the Lost, 1958). Signataire d’une des meilleures surproductions consacrées au cirque, Le Plus Grand Cirque du monde (Circus World, 1964), Hathaway s’est acheminé vers la retraite avec un ultime film « exotique », Le Dernier Safari (Last Safari, 1958), à tendance démystificatrice, et avec une série de westerns traités dans le mode mineur, mais où ses anciennes et parfois curieuses préoccupations prennent l’aspect de la ballade : Cinq Cartes à abattre (Five Cards Stud, 1967) ; Quand siffle la dernière balle (Shot Out, 1971). Le goût de Hathaway pour les plans (plutôt que pour les scènes) et un certain lyrisme paysagiste s’y libèrent enfin de la convention.
Ceci pour diversion à ce sérieux qui nous accable et nous tue.
Mais un étudiant raté, c’est un gars qu’arrive pas à étudier ! Donc qu’est-ce qu’il fait ? Il cube il bica il penta… Maîtrise à soixante-deux ans doctorat d’état à cent cinq ! Et pendant tout ce temps-là, la vie d’étudiant… Il est même sursitaire Bibel comme dirait Ferdine ! C’est un échec productif… Il bosse jamais !
Jon Stewart quits.
Dommage.
Le petit Journal (qui aura essayé de l’imiter, ainsi que Stephen Colbert) ne lui sera jamais arrivé à la cheville.
Allez, un petit coup de ce « liberal » (au sens américain)
https://www.youtube.com/watch?v=_cgDRjn_oHo
…
…michou parlant de lui dit,…à,…18 h 40 min,…
…
…une série, » pour étudiant raté qui se la joue mieux du bâtiment « ,!…
…à tout, hasard,!…un plus,!…pour vos connaissances,!…
…
… » Fonds de formation professionnelle de la construction « , pratique professionnelle,!…
…
…en plus de tout ce qui à été publier, avant en architecture,!…il faut tomber, sur les publications en cours,!…
….réserver, et s’y abreuver, suivant, ce qui est rester » une part négligeable des connaissances « , pour faire cour en connivences,!…
…à tout hasard,!…savoir, avant de suivre les cours,!…un zèle,…de vérifier,…les profs,!…les profs sont des salauds, aussi,!…côté, héritiers complice à leurres,!…
…eau minérale de source,!…un plus au laser,!…Ah,!…etc,!…
…offshore à leack’s,!…Ah,!Ah,!…
…la technique est tout,( presque ),!…
…etc,!…donner lui, un coup de pouce,!…
…
…à votre extrêmement arrogant, de vos loisirs,!…merci,!…pour lui,!…
…un lèche-cul en moins,!…de sauver,!…
…etc,!…en passant,!…
…
Au bon vieux temps des épiceries conventionnelles les échanges d’amabilités duraient moins longtemps il faut bien le dire.
comment les noms gravés sont-ils classés?
Photos
Vue de loin, celle de Ste Ginette suscite un raidissement.
Pas érotique mais patriotique (mâtin, quelle nation).
Vue de près, on ne sait plus si c’est dans de la pierre ou dans le saindoux.
On se reprend et on admire la lumière rasante, cette obsession des épigraphistes (certains sont humains, j’en ai rencontré).
Ce D.R. n’est pas un apprenti.
(Dominique Régniez?
Ou son collègue, le chevelu impeccable d’un organisme improbable appelé Cevipof?
Cette appellation semble unir la cérébralité de la recherche et le scepticisme du journaliste.
Bof.)
Sergio (Amayerling) dit: 18 avril 2015 à 19 h 13 min
Maîtrise à soixante-deux ans doctorat d’état à cent cinq !
Patron, ne découragez pas la bleusaille.
Les enfants qui naissent sous nos yeux connaîtront le 22ème siècle.
Ce nouveau siècle sera-t-il religieux, comme disait l’autre?
Le général disait de ce surdoué: brumeux avec de belles éclaircies.
Mais ce jour là, Malraux n’avait pas raté son coup.
Ce qui est étonnant, c’est le fait qu’il suscitait alors sourires et haussements d’épaules.
Hélas.
Bon eh bien, à notre tour.
Le 22ème siècle sera sceptique et anti-clérical, insh’Allah.
Comme tout un chacun dit: 18 avril 2015 à 20 h 01 min
La faculté de jugement elle est dehors ou dedans ?
Excellente question si on frappe du poing sur la table et qu’on roule des yeux furibonds.
Il ne faut surtout pas que dans la salle un pignouf lève le doigt pour demander: « …de quoi? »
Oui mais moi, avec trente ans pour écrire trois pages, j’ai mes chances dans Guiness book des ratés !
J’ai quand même des choses à dire donc je ne vais pas partir complètement.
Simplement je vais les développer dans un long texte qui tiendra dans un seul message, pour importuner le moins possible.
Mes petits chéris, j’ai le plaisir de vous annoncer que je vous écris depuis mon hamac face à la mer.
100% ça ressemble férocement à un monopole tout de même.
La pensée de l’éminent Georges Steiner se rapproche de plus en plus, en vieillissant, du Reader Digest. C’est la tendance quand un aristocrate de la pensée veut se mettre à portée de la fiente démocratique.
Mon cher Bloom, vous n’y êtes pas du tout. Je connais nombre de collègues qui ont leurs enfants dans des lycées de banlieue. Vous en connaissez la raison ? Eh, tout simplement, parce qu’ils y habitent, mon petit chéri.
Méfiez-vous de votre tendance aux clichés. Déjà que vous êtes doté d’une agrégation d’anglais. Alors n’aggravez pas votre cas… (vous sentez le jeu de mots ? Vous le sentez bien ?)
Avoir sué sang et eau en passant une agrégation, d’anglais qui plus est (heureusement une des plus faciles) pour en arrriver là et penser si mal, mon cher Bloom, c’est vraiment gâcher l’argent du contribuable.
Je ne dis pas que l’Ecole allait bien avant la réforme de la Belle Kacem. Mais quand même ! La Belle Kacem est une arme de destruction massive. Elle a beau hurler (si j’ose dire…!) à la désinformation, elle est bel et bien en train de détruire l’Ecole de la République, la Belle.
Oh et puis pardon de ne pas porter de turban pour qu’on m’aide à froncer des sourcils. Là. Mes amitiés à votre maman.
Si de nombreux profs ont leurs enfants dans des lycées publics, n’est-ce pas surtout parce que leurs salaires ne leur permettent pas de s’offrir le privés ?
Un hamac à Sitges et le reader digest dans la main !
babel oueda dit: 18 avril 2015 à 21 h 41 min
Ce qui est étonnant, c’est le fait qu’il suscitait alors sourires et haussements d’épaules.
Oui, oui, oui… Mais quand même, comment eût-on pu, à cette époque-là, au milieu du feu d’artifice technique la caractérisant, imaginer le déferlement de cet épouvantable obscurantisme religieux mondial, les ligues comme sous Henri III, Montségur, les dragonnades, le tout avec la puissance technique, justement, en question, les processions, les stigmatisés, si ce n’est par ce mouvement de balancier que l’on voudrait inévitable ? Quand il y a des bombes atomiques à la clef, faudrait quand même faudrayer…
Sinon ça va bomber hein ! On le croit pas mais ça va bomber… Et pas des scuds en chiffon…
Le Malraux nuageux, je l’ai découverte il n’y pas très longtemps, mais j’arrive plus à me remembrer où… Un Passou, peut-être ? Il y a tout dans les Passou !
« Javier Marias ne croit pas à l’érotisme en littérature : ça vire très vite à la gynécologie. Ou à l’obstétrique. »
à voir ?
» Quatre fameuses maquerelles pour les femmes et un pareil nombre de mercures pour les hommes n’avaient d’autres soins que de leur chercher, et dans la capitale et dans les provinces, tout ce qui, dans l’un et l’autre genre, pouvait le mieux assouvir leur sensualité. On faisait régulièrement ensemble quatre soupers par semaine dans quatre différentes maisons de campagne situées à quatre extrémités différentes de Paris. Le premier de ces soupers, uniquement destiné aux plaisirs de la sodomie, n’admettait uniquement que des hommes. On y voyait régulièrement seize jeunes gens de vingt à trente ans dont les facultés immenses faisaient goûter à nos quatre héros, en qualité de femmes, les plaisirs les plus sensuels. On ne les prenait qu’à la taille du membre, et il devenait presque nécessaire que ce membre superbe fût d’une telle magnificence qu’il n’eût jamais pu pénétrer dans aucune femme. C’était une clause essentielle, et comme rien n’était épargné pour la dépense, il arrivait bien rarement qu’elle ne fût pas remplie. Mais pour goûter à la fois tous les plaisirs, on joignait à ces seize maris un pareil nombre de garçons beaucoup plus jeunes et qui devaient remplir l’office de femmes. Ceux-ci prenaient depuis l’âge de douze ans jusqu’à celui de dix-huit, et il fallait, pour y être admis, une fraîcheur, une figure, des grâces, une tournure, une innocence, une candeur bien supérieures à tout ce que nos pinceaux pourraient peindre. Nulle femme ne pouvait être reçue à ces orgies masculines dans lesquelles s’exécutait tout ce que Sodome et Gomorrhe inventèrent jamais de plus luxurieux. »
Sade – Les 120 journées de Sodome
Je peux voir concrètement comment notre pays a évolué au sujet de la qualité de l’Education en France.
Une brave mère de famille à Bobigny, d’origine Sri Lankaise, qui a fait ses études secondaires en France me parlait de l’Ecole de la République qu’elle a connu dans son adolescence (disons dans les années 90) avec respect et enthousiasme. Elle a lu les grands classiques avec plaisir, l’Ecole lui a donné accès à la culture française.
Maintenant elle regrette que sa fille, qui est en Seconde dans un lycée de Bobigny, ne soit pas dans un lycée privé. Elle ne croit plus du tout à l’Ecole de la République. Elle constate le niveau catastrophique en français de sa fille.
Dans le lycée de sa fille, on a carrément abandonné les notes. On pratique la notation par compétence avec des lettres. Sur son bulletin, apparaissent des « N » en abondance, ce qui signifie « Non acquis » pour une compétence. La compétence en question (pour ce qui regarde ma matière) c’est savoir expliquer un texte, rédiger un commentaire composé. Sa fille nous explique qu’avec les notes, quand les élèves avaient 5/20, ils déchiraient leur copie ; s’ils avaient 18/20, ils croyaient que c’était arrivé et ne fichaient plus rien… D’où le choix qu’a fait ce lycée de noter par lettre en fonction de compétence. Conséquence : les élèves, dit la mère, se croient en vacances perpétuelles, ils n’ont plus de repère de ce qu’ils savent faire et ne savent pas faire. Le niveau de sa fille en culture générale est en effet catastrophique. Pourtant elle est loin d’être bête. Mais la littérature ça ne l’intéresse pas, elle n’aime pas lire.
Les parents sont dépassés par leurs enfants ; ils n’ont plus la maîtrise de l’éducation de leurs enfants. C’est le plus tragique. L’éducation aujourd’hui, c’est bien davantage les réseaux sociaux, internet, et très peu l’Ecole. L’apprentissage de la culture, des outils de pensée et de compétence de lecture pour permettre aux futurs citoyens de notre pays de devenir capable de maîtriser leur destin, est devenu superfétatoire.
On voit bien l’évolution d’une génération à l’autre. Les parents vivent dans un pavillon de banlieue à Bobigny très confortable. Ils ont bénéficié en leur temps de l’Ecole de la République, ont acquis de vrais compétences de lecture et de pensée qui leur permet d’exercer une profession honorable et de faire partie de la classe moyenne. Mais en l’espace d’une vingtaine d’années, tout a été détruit et leur fille reste étrangère à la culture française et aussi à sa culture d’origine quoiqu’elle soit de la troisième génération d’immigration.
On peut sentir là de très près la tragédie de notre pays qui est réellement en train de sombrer et de se suicider.
On peut écrire, en roulant, sur un réservoir de moto, en pilotant un petit avion, sur une planchette, mais alors dans un hamac ! C’est pas le truc où Goofy reste empaqueté dedans ? On termine étouffé, non ? Après les requins s’amènent, attendent tranquillos la marée haute en prenant l’apéro…
Mais vous pensez que les parents qui mettent leurs enfants dans le privé ont les moyens de le faire ? Vous vous trompez. Nombre d’entre eux se saignent jusqu’au sang pour espérer leur donner une éducation digne de ce nom en les mettant dans le privé.
Des profs mettent aussi leurs gamins dans le privé.
Mais même dans les bons établissements comme le lycée Condorcet à Paris, ça ne fonctionne plus. Une collègue y a sa gamine en Terminale ; elle n’a pas eu de prof d’anglais, gravement malade, depuis deux mois alors qu’elle passe le bac à la fin de l’année. Il n’y a même plus les moyens de trouver un prof TZR pour la remplacer, à Condorcet ! C’est dire si le système va mal. Le recrutement des profs est en berne. Les paroles enjôleuses de la Belle Kacem a ceux qui, à la dernière cession, passaient les concours, est révélateurs de la catastrophe du recrutement. Surtout en mathématiques où plus personne ne veut devenir prof de maths. On les comprends. Pourquoi aller s’emm.rder avec de sales mômes et gagner 1800 €/mois en début de carrière quand on peut gagner le double d’emblée comme informaticien dans une banque ? De toute façon, les élèves arrivent maintenant en 6ème, y compris dans les beaux quartiers de Paris où j’enseigne, sans savoir écrire une rédaction, sans savoir faire une mutltiplication, sans savoir leurs tables de multiplication, sans savoir analyser grammaticalement une phrase, sans maîtriser le passé simple qui est devenu un temps mort. Même en sortant du collège, nombre d’élèves ne maîtrisent pas le système temporel du français. Je le constate chaque année en corrigeant le DNB, c’est de pire en pire chaque année. La France est en train de sombrer, c’est un fait.
…
…du thé, du thé,!…
…mais du thé Giovanni,!…quel délice,!…
…trois grandes tasses,!…
…et encore, une demi-casserole,!…
…le Bordeaux, mais jamais sans mon thé,!…
…
…mais, qu’est ce qu’il a ton thé,!…une expérience de thé à variantes,!…
…secrets et mixtures en somme,!…
…etc,!…
Et dans le privé, ce n’est pas forcément le nec plus ultra. Une autre de mes élèves, en Quatrième dans un collège privé de Courbevoie, n’est pas mieux lotie. La pédagogie y est très négligée. Sa prof de français n’a fait qu’un contrôle en un trimestre. Et faut voir les cours ! Le niveaud e la classe est très faible en français. Mais le prof n’est pas du tout à hauteur des difficultés des élèves. Je lui donne des cours en allemand, en latin et en français. Elle était nulle l’année dernière, mais maintenant elle est première en allemand et en latin. En français, je l’ai empêché de sombrer mais elle n’a que 7,5/20 de moyenne, la seule note qu’elle a eu (une explication d’un texte de Maupassant qu’on avait pourtant travaillé ensemble). Les élèves ne savent plus lire. Je le vois avec mes propres élèves, ils n’ont plus les repères qui leur permettent de comprendre le sens global d’un texte d’un grand auteur du XIXè siècle, à part une petite élite. Mais tout est fait pour cacher aux Français cette très triste réalité.
Comme tout un chacun dit: 18 avril 2015 à 22 h 43 min
Oh et puis pardon de ne pas porter de turban
Et comment on fait, à moto, alors ? Et eux dans leurs Mig ? et les Hindous dans les Rafale…
Alba, arriver en 6e sans maitriser le passé simple est tout à fait normal. Perso, j’ai appris systématiquement le système des temps en français en 4e, grâce à la très compétente et très jolie Mme Petit.
Le passé simple, temps du récit, est un temps mort dans l’usage et la vie. Il faudra qu’il disparaisse.
Les profs n’ont pas été capables de défendre leur métier, ils ont trop peur qu’on leur sucre leur sacro-saintes vacances: deux raisons d’être prof, juillet & août. Et leur arrogance, comme celle que vous affichez, est sans borne. Tout cela sans jamais avoir quitté les bancs de l’école, pour la plupart. L’ambiance d’une salle des profs est un concentré de boferie, de conservatismes & de crispations.
Ici, les profs du Lycée français n’apportent rien à la vie culturelle locale. Les cours terminés, c’est bronzette.
Et vu les petits réacs qui forment l’essentiel des nouvelles recrues (les plus mauvais des étudiants, on leur donne le Capes, carrément) il y a effectivement de quoi être inquiet pour la suite.
L’Hermione prend la mer
L’EN prend l’eau
La France coule à pic
Beaux dimanche en perspective …!
(c’était notre minute d’optimisme exacerbé)
5 h 02 min
tous des c sauf bloom
« dans le privé, ce n’est pas forcément le nec plus ultra. »
certes, mais les beaufs croient que le fric piqué au public pour le privé est une preuve de supériorité
leur sacro-saintes vacances:
c’est bien connu, les profs sont payés à rien fiche. Faire cours, préparer les cours, c’est rien que de l’assistanat épicétout
Faut les envoyer faire attachés culturing
On ne va pas comparer le Secteur Public, par définition collectif et irresponsable, avec l’Entreprise Privée où risques assumés, changement fréquents, adaptation permanentes, responsabilité des managers, assurent une gestion forcément meilleure !
Il faut être co.illons, manipulés, comme des révolutionnaires français à la Saint-Just pour croire en l’Etat tout puissant, assurant réussite, intégration, bonheur progressiste ! …
Les profs ne s’y trompent pas qui mettent leurs propres gosses dans le privé dès qu’ils le peuvent.
Il est grand temps de démanteler EN, pourri par les syndicats et la sclérose de l’Inspection où on colle les plus mauvais de la profession !!!
Je vois cette intervention de U. sous le billet précédent:
« La Ville de Paris va louer au Conseil français du culte musulman (CFCM) les locaux qu’il occupe actuellement pour un loyer symbolique de 100 euros par an, selon une délibération approuvée mardi par le Conseil de Paris. Le PRG, les Verts et le PCF se sont abstenus, l’unique conseillère de Paris PG a voté contre.
La délibération prévoit de louer au CFCM ses locaux de plus de 100m2 à l’angle de la rue de la Croix-Nivert et de la rue Lecourbe (15e arrondissement) pour un loyer annuel hors charge de 100 euros par an, soit une aide en nature de 30.683,14 euros par an. Il se verra aussi remettre gracieusement 90% de la dette constituée par les redevances qu’il n’a pas été en mesure de régler, en 2013 et en 2014. Cette aide représente un montant de 49.216 euros. EELV, le PCF et le PG se sont inquiétés de l’atteinte à «l’esprit» de la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, qui interdit que la République finance les cultes. »
Etonnant qu’en cette période de crise, on ne soit pas plus regardant sur les deniers publics quand -en plus – il s’agit de financer des gens qui prônent :
» verset 34 de la Sourate An Nissâ (« Les Femmes »), qui dit :
(…)Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les.
Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand. »
Que les plus embarrassés des musulmans ( le CFCM ?) se contorsionnent comme ils le peuvent dans le déni des abominations du Coran, c’est déjà pathétique.
Mais que l’Etat ou les collectivités financent la propagation de telles horreurs, c’est proprement scandaleux !
Qui sont ces politiques qui ne savent pas dirent NON ? Des gens qui sont arrivés en politique à force de baisser leur pantalon ???
ils constituent une corporation en butte au mépris, voire à la haine. En même temps, les Français interrogés en masse persistent à penser du bien, globalement, des profs de leurs enfants
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-paul-brighelli/brighelli-salauds-de-profs-14-05-2014-1822609_1886.php
« Qui sont ces politiques qui ne savent pas dirent NON ? Des gens qui sont arrivés en politique à force de baisser leur pantalon ??? » (Daaphnée)
Pour les bien connaître, la plupart ne savent plus où se trouve au juste le positionnement d’un pantalon. Haut ? Bas ? Clientélisme électoral oblige.
Beaucoup d’ailleurs courent tous nus, à la recherche d’une idée, d’un poste, d’un réseau, d’une alliance, d’un privilège, n’étant plus capable de rien d’autre que de vous donner des leçons qu’ils ne s’appliquent pas à eux mêmes ou entre eux !
quel dommage de ne plus lire Christiane chez Popaul alors que JC le Fourbe essaie vainement de convaincre (ses propos ridicules sur Fellini) mais ne fait, comme ici ou chez Sophie, qu’étaler son inculture et son venin
En Espagne, la première traduction complète des « Essais » date de 1899!
En Allemagne, la première traduction daterait de 1753?
En Italie, première traduction en 1633, mais en 1603 en Angleterre.
Messieurs les Anglais ont tiré les premiers.
Je voulais dire, t’as vraiment appris à cacher ton jeu
Et vu les petits réacs qui forment l’essentiel des nouvelles recrues (les plus mauvais des étudiants, on leur donne le Capes, carrément) il y a effectivement de quoi être inquiet pour la suite.
Le fait est qu’avec les nouvelles réformes qui visent à transformer le collège en école primaire d’où on pourra trouver normal – vu qu’on a fini par l’admettre pour ceux qui arrivaient en 6° – que des gamins en sortent à 15 ans sans savoir lire, compter, écrire, le navire sombre définitivement !
Et la « fracture sociale » entre ceux qui, par l’entourage familial, recevront mieux que cette peau de chagrin de « socle commun » compris comme L(E) objectif à atteindre – ce qui dit bien en définitive qu’en l’état du système, il n’est pas possible d’aller au-delà – cette « fracture sociale », donc, entre ceux-là et les plus démunis culturellement est consacrée.
Il fallait bien que de dociles petits ministres encartés viennent se mêler d’éducation et d’enseignement !
» Et vu (…) pour la suite » dixit Bloom
N’avez-vous pas appelé à votre Hollande aux dernières présidentielles, chère Daaphnée ?
à voter
C’est ensuite que vous avez quitté le radeau de l’EN, très chère Daaphnée ?
Ce n’est que votre interrogation.
Pour ma part, j’essaie toujours de saisir les avantages de ce qui se présente .. et d’en éviter les inconvénient. C’est presque un exercice de style ..
Les profs n’ont pas été capables de défendre leur métier, ils ont trop peur qu’on leur sucre leur sacro-saintes vacances: deux raisons d’être prof, juillet & août. Et leur arrogance, comme celle que vous affichez, est sans borne. Tout cela sans jamais avoir quitté les bancs de l’école, pour la plupart. L’ambiance d’une salle des profs est un concentré de boferie, de conservatismes & de crispations. (Bloom)
Br
alba, vous qui tenez à l’orthographe:
la seule note qu’elle a euE
DANS LA FOUL2E /
je n’aurai pas trouvé > n’auraiS
Ce n’est pas la question de Hollande !
Le collège unique est une abherration éducative.
Entre l’ancien système et celui-ci, qui ne date plus d’hier, il y a selon moi à redonner plus d’heures pour les enseignements « fondmentaux » – maths et Français- et à organiser à chaque niveau de la scolarité un autre parcours possible où les gamins en perdition pourraient récupérer en une année probablement, ces bases des enseignements fondamentaux et rejoindre ensuite le parcours du collège qu’ils auront fait en 5 années constructives plutôt qu’en 4 ans d’échec et de souffrance à l’école !
Les profs n’ont pas été capables de défendre leur métier, ils ont trop peur qu’on leur sucre leur sacro-saintes vacances: deux raisons d’être prof, juillet & août. Et leur arrogance, comme celle que vous affichez, est sans borne. Tout cela sans jamais avoir quitté les bancs de l’école, pour la plupart. L’ambiance d’une salle des profs est un concentré de boferie, de conservatismes & de crispations. (Bloom)
Bravo, Bloom ! Enfin une prise de position pertinente sur la question. Quant à moi, les seuls enseignants du secondaire respectables que j’aie jamais rencontrés, ce sont ceux de l’enseignement privé. Les profs de l’école publique, barricadés dans leur mentalité de fonctionnaires accrochés à leurs privilèges d’un autre âge comme des patelles à leur rocher, sont des gens ignares, incultes, méprisables, haïssables. La seule solution pour s’en débarrasser est une abolition du statut de la fonction publique à la française, seule mesure réellement efficace pour virer ce tas de jean-foutre et d’incapables (au fait « jean-foutre » est-il invariable ? J’ai malheureusement appris à lire à l’école publique et ma maîtrise de la langue s’en ressent).
aberration ..
Du temps de l’éblouissante daafdaaf, les concours étaient des vrais concours, le niveau était nettement supérieur
Le collège unique est une abherration éducative. (Daaphnée)
On voit bien que Daaphnée, elle aussi, a appris l’ortograf sur les bancs de l’école de Jules Ferry (pardon, de Camille Sée). Ah là là, quelle misère !
« jean-foutre » est-il invariable ?
Euh… relisez-vous…
Ne garder que les fonctionnaires riches
J’ai malheureusement appris à lire à l’école publique et ma maîtrise de la langue s’en ressent
Tiens, ce sont des gens comme vous qui méprisez l’école de la République qu’on aurait dû en avoir virer pour alléger les effectifs des gamins en difficulté !
, il y a selon moi à redonner plus d’heures pour les enseignements « fondmentaux » – maths et Français- (Daaphnée)
Absolument. Donc supprimer les enseignements inutiles, comme le latin et le grec (et, bien entendu l’hébreu) qui ne sont qu’une perte de temps et dont la disparition permettrait de dégager des heures précieuses pour les enseignements fondamentaux.
« j’essaie toujours de saisir les avantages de ce qui se présente .. et d’en éviter les inconvénient. »
Belle définition de l’opportunisme ou de la collaboration, très douce Daaphnée ?
demain, si rien ne va plus, c’est plus sûr
Comme il fait beau ce matin dit: 19 avril 2015 à 9 h 40 min
licencier les instits et profs, fermer les écoles collègues lycées (et bien sûr universités exactement comme des entreprises asbeen, ça ferait des économies
qu’on aurait dû en avoir virer (Daaphnée)
L’ortograf de Daaphnée ne s’arrange pas. Les lacunes accumulées à l’école primaire, c’est long comme lacunes.
Au fond, pourquoi les enseignants devraient-ils supporter des gens qui méprisent l’école de la République ? C’est à ces gens-là plutôt de prendre leurs responsabilités, au lieu d’être les éternelles victimes …. de leur pauvre petite vie toute grise ..
ViréS …
Bien, M.MME. On espère d’autres progrès au prochain trimestre.
Belle définition de l’opportunisme ou de la collaboration, très douce Daaphnée ?
Absolument pas, Attila. Il n’y a que vous qui planquiez votre steak sous votre selle ..
ici, on est dans la verbisexagérration
Les profs de l’école publique, barricadés dans leur mentalité de fonctionnaires accrochés à leurs privilèges d’un autre âge comme des patelles à leur rocher, sont des gens ignares, incultes, méprisables, haïssables. (moi)
» Tu disais pas ça quand… », me souffle Josette qui lit par-dessus mon épaule. Non mais, de quoi je me mêle.
ViréS …
Bien, M.MME. On espère d’autres progrès au prochain trimestre. (Daaphnée)
Eh ben, ça ne s’arrange pas. Enfin, d’approximation en approximation, on va p’tête finir par y arriver…
Ça reste accroché…
Il est vrai M.MME, que vos interventions ne brillent pas par leur pertinence.
C’est qu’il en faut des établissements pour bâtir la prose des urbanités du dehors.
Daaphnée a raison : le collège unique, niant la diversité qui nous enrichit, est une immense cou.llonnade ! Un rouleau compresseur gonflable !
Mais, comme il faut être « égalitaire » sinon on tombe dans le facho-racismo-xenophobique … On continue !
Ne jamais changer une équipe qui perd … depuis 70 ans
Le lustre attire les néo, c’est pratiquement certain. Et pas que les poseurs.
c’est bien connu, les profs sont payés à rien fiche. Faire cours, préparer les cours, c’est rien que de l’assistanat épicétout
—
20 ans payé à rien foutre, en ce qui me concerne. D’immenses satisfactions, avec les élèves et les étudiants, le coeur du métier; beaucoup de temps perdu avec l’administration, la hiérarchie et les collègues encroûtés.
– soeur anne, ne vois-tu rien venir?
« Je ne vois rien que la corruption qui soudoie, et l’Hollande qui merdoie. »
Mais, comme il faut être « égalitaire »
C’est à dire qu’il y a un discours inversé et perverti où les notions utilisées aboutissent à leur effet contraire.
Tiens, si vous avez écoutez l’échange Bourdieu/G.Grass retransmis sur Arte, c’était justement le sujet de leur discussion .. Même si Bourdieu tout en appartenant à une « élite » intellectuelle, ne se pose pas la question de la nécessité de la constitution d’une telle « élite » . Il y a là, un paradoxe, à mon sens.
Mais bon, échange très intéressant et Bourdieu est toujours aussi remarquable par la qualité de son écoute, sa rigueur, son intelligence .
http://www.arte.tv/guide/fr/021075-000/gunter-grass-s-entretient-avec-pierre-bourdieu?autoplay=1
tiens, écoutE .. un heeeeeeuuuu pour M.MME.
Si.
10 h 03 : JC le Fourbe de plus en plus inculte se démène et se ramasse, plouf
Hong-Kong star / T’es pas né là où tu voulais / T’as pas la peau qu’il te faudrait / Celle du vrai pays du dollar
@ Sergio (Amayerling) dit: 18 avril 2015 à 16 h 50 min
C’est gentil, merci, mais je ne suivrai pas ces conseils. J’ai une adresse mail et pas de pseudo (que je n’ai pas l’intention de maquiller). Si mes commentaires sont refusés pour quelque raison que ce soit, je laisse faire… justement parce qu’il y a tant d’autres choses à faire. Lire et relire des livres aimés, marcher, penser, peindre (une semaine plongée dans l’art baroque m’attend avec une copiste du Louvre et j’ai besoin d’apprendre), écouter de la musique ou le chant des oiseaux à l’aube ou le silence, m’inquiéter de l’arrosage des plantes sur mon petit balcon, aller au cinéma – ma passion- ou au théâtre, rencontrer les amis, les proches… Les billets (sur les 5 blogs que je suis avec attention) et certains commentaires sont des moments de joie passagère. Joies ou interrogations qui ouvrent à des approfondissements. Parfois, il y a ici ou là une surenchère de culture un peu ostentatoire. Qui a à prouver ses connaissances et à qui et pourquoi ? Parfois, ce sont des rages échangées comme si le monde était trop censuré pour pouvoir être soi-même dans le quotidien.
Tout cela manque parfois de sagesse et d’humour, de sérénité.
J’aime la vacance de ce temps de retraite ouvert la disponibilité. Mais merci encore.
Les faits, rapportés initialement par l’agence Fides, se sont déroulés vendredi 10 avril. Sur le chemin de la mosquée, de jeunes musulmans ont rencontré Nauman. Ils l’auraient alors arrêté, et après avoir appris qu’il était chrétien, ils l’auraient d’abord frappé, avant de l’arroser d’essence, et de le livrer aux flammes, avant de s’enfuir.
……………………………………..
Le 4 novembre 2014, un couple de chrétiens d’une vingtaine d’années avait déjà été brûlé vif, dans un four à briques, par une foule de musulmans, dans un village au sud de Lahore, à l’est du Pakistan.
De toutes façons, Sergio, la donnée de base c’est que Christiane est méfiante, et n’écoute pas les conseils les plus avisés.
N’a t elle pas refusé une chaste promenade en scooter rose avec un sympathique habitant de Porquerolles pour guide !
Bloom dit: 19 avril 2015 à 5 h 02 min
Le passé simple, temps du récit, est un temps mort dans l’usage et la vie. Il faudra qu’il disparaisse.
Ce type est non seulement un caniche mais surtout un simplet et un malade mental. Il veut tout voir disparaître : l’autre jour les libraires d’ancien, aujourd’hui le passé simple. Mais quel couillon. Et dire que ce sont les autres qui sont des « Mengele »… Pauvre gars…
Peut-être que Bloom s’est mis à l’alcool de riz …
Je n’arrive pas à comprendre pour quelles raisons nos chers écologistes, gens intelligents (?), ne protestent pas pour l’arrêt immédiat du trafic de migrants qui pollue en Méditerranée par ses délestages en mer !
Depuis le début de l’année, un millier de noyades, sans compter les 700 d’hier… !
Jamais les mérous vont pouvoir, même aidés de barracudas féroces, nettoyer la Mer Nostre de ces rejets inadmissibles …
Non, je ne crois pas, Daaphnée, « régime crétois », une courgette à la place du cerveau…
Comme tous les esprits faibles, Bloom est surtout un fondamentaliste de ce qu’il imagine être la « modernité », sans voir, à cause des extrêmes limites où est cantonnée son intelligence (on ne peut pas dire « comprimée », à cause du manque de matière), que la modernité c’est tout autre chose.
« Et tous ils voguent sur la mer de l’être avec ce qui leur a été donné… »
Ou fait-il une crise d’urticaire – déplacée – à la vue des Français bérét-jambon-beurre qu’on peut croiser en expat.
Il serait tant qu’il tienne un carnet, à jour, avec aquarelles pour illustrer ..
Et quand je pense que U. fait son paresseux .. Tiens, si Bourdieu était dans le coin, ils se feraient sermonner.
tEMps … tiens, cadeau pour M.MME qui fait sa Josette chez Eugène.
Vous n’y êtes pas du tout mes petits chéris (JC et le divin Bloom qui veut supprimer le passé simple de la lnague française, autrement dit toute la littérature française… l’est complètement marteau, le divin Bloom ; et si c’est pas de l’arrogance de fou furieux ça, je ne sais pas ce que c’est…!).
L’échec manifeste de la démocratisation de l’enseignement n’a pas grand chose à voir avec le diagnostic de ces deux Diafoirus de l’Education. Retournez apprendre le Latin, ça vous apprendra peut-être à penser, mes petits chéris. Et arrêtez de compter sur Monsieur Purgon…
Ah ! Mon bon Passou, tu sais, faut se les faire, tous ces braves Diafoirus. Et si on les invitait à la Casa de Alba, hummm, qu’est-ce que t’en dis ? Mais un jour, faudra que j’y aille en disant que j’en suis un vague descendant… Qui sait? On m’accordera un petit séjour pour se faire pardonner l’expulsion des Juifs de 1492… On peut rêver, non !
arrogance de fou furieux
Nom d’une kippa !
Peut-être que Bloom a mis ses gamins à l’école coranique du coin ..
Un Bloom en errance en Asie !
Widerganger, je ne suis pas ton petit chéri ! Où tu vas, là ? Où tu vas Michel ! Ressaisis toi
Naturellement, je considère mon diagnostic comme excellent, car loin d’avoir perdu mon latin, je jouis de ses bienfaits anciens !
Oh, ça ne m’étonnerait qu’à moitié du divin Bloom ! Un Juif de gauche, c’est forcément coranique quelque part…
Mais non, mon brave JC, tu as tout foiré en ce dia. Tu confonds tout comme tous les braves gens de ton espèce qui ne jure que par le privé. Comme si Condorcet n’avait jamais montré en quoi un Etat se doit d’avoir des services publics. Tu pêches par orgueil, toi aussi !
Bloom a droit à notre respect, notre bienveillance, notre compassion !
En 1918, on rendait hommage aux Gueules Cassées, horriblement défigurés par les blessures matérielles… Blomm est une des nombreuses victimes des guerres idéologiques modernes, dont la pire est bien La Grande Guerre Humaniste, en cours.
Respect aux innombrables Cerveaux Cassés et à l’ami Bloom, durement frappé…
Mais mon grand ! je ne suis pas contre un service public régalien …. mais un service public minimum et bien géré, c’est à dire challengé !
En tout cas, je vous écris depuis mon hamac sur ma gigantesque terrasse face à la mer, sous un splendide soleil de printemps, et je vous emm…ah ah ah…
La France n’a pas su affronter le choc démocratique du tournant de 1974 pour l’enseignement. Personne ne sait en réalité comment le négocier ce virage…
Tes mots sont si vagues, mon brave JC, qu’ils ne veulent plus rien dire. Tu n’as aucune expérience de l’enseignement et tu causes, tu causes, c’est tout ce que tu sais faire !
Quand je constate qu’à Bobigny, en 2de, les élèves sont 30 par classe avec le niveau catastrophique qui est le leur, je dis que c’est une véritable honte pour notre pays ! Le pays montre là son énorme mépris pour eux.
Et qui est ainsi pénalisé ? Les classes moyennes, comme la mère de famille fille elle-même d’immigrés sri lanquais qui a fait confiance à la France pour éduquer sa fille. C’est une situation horrible pour elle. Et la Belle Kacem n’en a rien à cirer !
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