de Pierre Assouline

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La République des livres
Dans les zones grises de la rentrée littéraire

Dans les zones grises de la rentrée littéraire

Et d’abord, afin de dissiper tout malentendu, ce que la zone grise n’est pas : synonyme de flou, confus, vague, insondable, passif… Gris, quoi. En se popularisant, l’expression s’est galvaudée puis dégradée en métaphore. A la lumière des récents débats sur l’inceste et le viol, elle est même instrumentalisée pour désigner l‘incertaine frontière entre la résignation et le consentement. Qu’est-elle alors ? Même si en l’espèce la recherche de paternité est périlleuse, Primo Levi semble bien être le premier à l’avoir utilisée dans Si c’est un homme (1947) puis à l’avoir conceptualisée dans un chapitre des Naufragés et les rescapés (1986) intitulé justement « La zone grise » comme le lieu ambigu censé séparer les opprimés des oppresseurs. Il sépare autant qu’il relie le camp des maîtres et celui des esclaves. C’est le camp du troisième type irréductible à une opposition frontale, tranchée, manichéenne entre les deux catégories. Quelques livres de la rentrée déploient leur histoire dans ce non-lieu.

Ceux qui suivent Tanguy Viel depuis ses débuts prendront ce train et ne le regretteront pas. Ils s’embarqueront dans La fille qu’on appelle (176 pages, 16 euros, éditions de Minuit), titre qui sonne bizarrement au premier abord, moins dès que l’on devine qu’il est la traduction de call girl. Comme dans Article 353 du code pénal, (2017), Tangy Viel a trouvé la note juste et s’y est tenu tout le long autour de quelques personnages : Max, le maire aux grandes ambitions politiques d’une ville de la Bretagne maritime ; son chauffeur qui fut jadis un boxeur ; Laura, 20 ans, la fille de celui-ci. Au sein de ce triangle se tisse un réseau d’échanges tendus et inattendus dont l’objet initial (la recherche d’un logement par la jeune femme) n’est qu’un prétexte à une très sensible exploration des caractères.

C’est ce qu’il dit d’autre que ce qu’il raconte (même s’il maitrise parfaitement son récit) qui fait le prix de ce roman. Une vraie réflexion en filigrane, implicite, esquissée sur l’arrogance du pouvoir lorsqu’il exerce sa domination. On l’aura compris, Laura couche avec le maire dans l’espoir d’obtenir ce foutu logement de la municipalité. Mais c’est évidemment plus complexe car son attitude se situe dans une valse-hésitation où toute la palette du consentement est explorée et circonscrite dans le langage. De quoi produire une tension qui accorde à ce roman sa juste musique.

On retrouve immanquablement les échos ou les accents d’une écriture blanche caractéristique de Minuit, mais Viel a bien son monde propre. Le tout est d’une remarquable fluidité dans la circulation entre les mots et les choses pour produire de la vie, tout simplement. Surtout dans le récit haut en couleurs du combat de boxe (qui vaut bien mais dans un genre différent les comptes rendus que le journaliste sportif Henri Decoin écrivait dans les années vingt et son roman Quinze rounds. Histoire d’un combat que L’arbre vengeur réédite ces jours-ci). Une technique au service d’un styliste : ellipses, images, répétition, précision, suspense, métaphores, monologues intérieurs, économie d’effets, distanciation, sobriété de l’expression dans le plus grand souci du romanesque. Il ne dévie guère de sa ligne depuis le Black Note (1998) et on ne s’en plaindra pas, mais il la perfectionne de livre en livre.

A la lecture des premières pages du Voyage dans l’Est de Christine Angot, (214 pages, 19,50 euros, Flammarion), on se dit : encore l’inceste, décidemment, elle n’en sort pas plus de vingt ans après L’inceste (1999) et tant d’autres textes et prises de parole où elle y est revenue encore et encore et maintenant opportunément à la faveur de récentes affaires. Et puis ça prend, on se rend compte que si la question est bien centrale, il y a aussi bien d’autres choses dans ce roman qui mériterait d’être lu pour lui-même et non à la lumière d’un énième et vain débat sur l’autofiction. Angot y est débarrassée de la violence et de l’agressivité de ses débuts, de la vacuité de certains de ses livres (Pourquoi le Brésil ? Le marché des amants), elle est dans la veine de ses récentes réussites (Une semaine de vacances, Un amour impossible) et ce nouveau livre en est le couronnement. Car la violence ne l’a pas déserté mais elle s’y manifeste autrement, ce qui lui donne une puissance stupéfiante.

Bien sûr, on est en terrain connu, tant l’auteure s’inscrit dans le paysage littéraire depuis longtemps ; on croit même avoir déjà lu le livre : Chateauroux, Reims, Strasbourg, Paris, Géradmer… Dès la première page, en vingt lignes, elle réussit à placer cinq fois le verbe « avoir » à l’imparfait. Angot, quoi. Le ton est donné. Mon père, ma mère et moi, une éducation entre deux langues l’autre étant l’allemand. Son histoire, leur histoire. Comment on vit avec ça quand un père admiré, aimé, dont elle a fait tardivement connaissance (il avait refait sa vie ailleurs) l’embrasse sur la bouche à 13 ans, et durant les années suivantes lui fait comprendre qu’à ses yeux elle est une enfant de seconde zone à qui il assigne d’abord une fonction sexuelle. Fellations, sodomies, cunnilingus. C’est une époque où le mot « inceste » ne figure pas dans le code pénal. Le viol y est bien mais comme délit.

Plus tard, quand elle le confrontera à son crime, il fera comme s’il n’avait fait qu’obéir à son désir à elle. Entre temps, elle aura essayé de se reconstruire, d’avoir des relations avec des garçons, de se marier, d’être mère. Dépressions, anorexie, tentatives de suicide. Elle n’en voit pas l’issue si bien que parvenu à l’âge adulte, elle revoit son père à sa demande à elle après des années de mise à distance et reprend des relations sexuelles. Sans voyeurisme ni exhibitionnisme, dénué de tout pathos, ce roman en état limite permanent, à l’image de ses trois personnages principaux, gagne en intensité lorsqu’elle prend conscience de son impuissance à combattre une autorité et s’incline, perd le contrôle de sa vie, sent son avenir gangrené par « la chose ».

Bien sûr il y a la question du consentement mais comment en parler quand on se sent verrouillée de l’intérieur ? De la page 133 à la page 155, le rythme change avec la tenue d’un journal intime relatant ses premiers essais littéraires, ses envois aux éditeurs, le dépôt du manuscrit à l’esbroufe au domicile niçois de Le Clézio. Avant de revenir à l’inceste : un déni de filiation qui passe par l’asservissement de l’enfant à la satisfaction sexuelle du père ou d’un membre de la famille qui exerce une emprise. Il y a toujours une obscénité à évoquer le plaisir et le consentement même si in fine Angot ose évoquer l’amour qu’elle a ressenti pour lui- et réciproquement. Car si scandale il devrait y avoir avec ce livre, c’est dans l’injonction que nous adresse l’auteure de le lire comme un roman d’amour. Non un scandale de la vérité mais scandale de sa vérité.

C’est si inaudible en nos temps manichéens, binaires, exclusifs que cela ne peut que heurter, révolter même et ce serait tant mieux puisque la littérature, la seule qui importe, a juré de nous troubler. Et comment ne pas l’être face à un tel père amoureux de sa fille… L’écriture, tranchante, saisissante, au cordeau, devrait faire de ce roman l’un des événements de la rentrée, non pour des mauvaises raisons (la personnalité d’Angot etc) mais pour sa force. Le pire malentendu serait de le considérer comme un témoignage opportuniste en résonnance avec l’actualité récente sur un sujet de société (ce qui était bien le cas du livre de Vanessa Springora sans intérêt sur le plan littéraire) ou une forme d’autobiographie et non pour ce qu’il est : une œuvre littéraire qui met à nu la folie d’une femme, ses racines, ses mécanismes. Plus que jamais, il faut séparer un livre du bruit qu’il pourra faire.

Après Perec, on ne peut plus intituler un roman La disparition. Et encore moins Une femme disparait après le film A lady vanishes. C’est pourtant bien de cela qu’il s’agit avec Danger en rive (180 pages, 17 euros, Léo Scheer), titre qui figure sur un panneau de signalisation en route. L’étrange le dispute au fantastique dans cette histoire « à la Nathalie Rheims », et pour cause, qui voudrait faire penser parfois à du Hitchcock revu par Simenon.

De son exil intérieur dans une maison du pays d’Auge, une écrivaine réduite à l’impuissance fuit sa propre vie, s’enferme dans sa mise à distance de la société, à la recherche de la douceur, des instants furtifs, de la beauté des paysages, lorsqu’un harceleur revient bouleverser sa solitude. Rien de sexuel mais une volonté affichée, calculée et fondamentalement perverse de la déstabiliser pour lui faire perdre pied et mettre sa mémoire en miettes. Sa mémoire vacillante, ultime béquille de celle qui a assisté un soir à la disparition d’une infirmière et qui se demande à mesure du récit, si, comme le croit la police, elle n’a pas fantasmé ce dont elle croit avoir été témoin. Une persécution de toute heure qui la pousse à fuir à nouveau.

Le mécanisme est parfaitement mis à nu par l’auteure. C’est si finement, méthodiquement, cruellement raconté que ce ne peut être que du vécu même s’il serait vain d’y chercher des clés. Seuls ceux qui sont passés par là savent que ce mal à l’œuvre ronge, use, traumatise et que parfois, la mort volontaire est la seule porte de sortie pour en finir. C’est peu dire que l’on sort troublé de cette lecture.

A ce jour, Grande couronne de Salomé Kiner (288 pages, 18,50 euros, Bourgois) est bien l’une des plus secouantes révélations de cette rentrée. Cette auteure a 35 ans, c’est son premier roman. Le sujet est d’un grand classique du roman d’apprentissage : la naissance d’une adolescente à la sexualité, à la découverte du monde, aux rapports humains, les relations avec la mère. Sauf que ça se passe dans la France des années 90 (on y est vraiment, avec la crainte du grand basculement dans la perspective de l’an 2000, ce n’est pas qu’un décor) avant les réseaux sociaux et internet dans la banlieue pavillonnaire du côté du Val d’Oise.

Père absent, mère dépressive, milieu modeste où il faut se débrouiller pour faire semblant d’avoir de l’argent quand on n’en a pas, ce qui ne va pas de soi lorsqu’on est obsédée par les marques en toutes choses (vêtements bien sûr mais aussi sodas, chewing gum, objets du quotidien, etc) et qu’on aimerait tant ressembler aux autres filles. Elle fait la pute pour régler « mon problème avec les marques ». Aussi implacable et cruel que drôle et joyeusement glauque, c’est plein de fantasmes sur la vie ailleurs et autrement, de désirs inassouvis, d’émerveillements et de désillusions. Paris y est mythifié, comme l’est l’idée survendue aux jeunes consommateurs de la réussite en toutes choses.

Le style emporte tout : vif, rapide, culotté et surtout authentique. Quel rythme dans le rendu de l’oralité ! et quelle habileté pour décrire la maladresse des garçons, quelle finesse pour dire la confrontation d’une sensibilité encre enfantine avec des réalités d’adulte. Les émotions jaillissent dans la bouche et les réactions des personnages avant même qu’ils aient eu le temps de les maitriser. La lucidité aigüe de la narratrice tient la cadence sur près de 300 pages. Ca ne sent ni l’imitation ni l’emprunt. On ne voit pas l’effort pour écrire comme on parle. Salomé Kinner a un vrai don d’observation.

De son propre aveu, c’est le chant d’amour d’une adolescente face à la décomposition de sa famille. Mais un chant d’une belle tonicité. Ses personnages ont leur propre langue et elle est bien pendue, les copines comme les deux frères. Chacun sa gouaille, chacun sa colère, chacun son contrôle de la violence. Mais une seule voix en émerge, celle de la romancière installée en Suisse romane et dont le cosmopolitisme irrigue l’écriture : père russe, mère italienne, beau-père américain. Prêtez l’oreille à cette nouvelle voix : même s’il s’en trouvera toujours pour y déceler échos et résonnances de celle du Momo de La vie devant soi, on n’a pas fini de l’entendre.

(Photos Passou, Yann Dissez, Dion, Philippe Conrad, Marie Taillefer)

Cette entrée a été publiée dans Littérature de langue française.

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1 262 Réponses pour Dans les zones grises de la rentrée littéraire

Jean Langoncet dit: à

@on n’a pas fini de l’entendre

Comme on dit en Romandie

D. dit: à

Nathalie Rheims, je l’aime beaucoup.
Quelle femme remarquable, d’une rare distinction, extrêmement fine et intelligente.

puck dit: à

« Laura couche avec le maire dans l’espoir d’obtenir ce foutu logement de la municipalité. »

enfin un livre sur qui aborde la question de l’immobilier.

puck dit: à

« Père absent, mère dépressive….. »

les libraires risquent de perdre leur humour et leur ironie.

D. dit: à

Danger en rive est un titre magnifique.

puck dit: à

« Salomé Kiner est née en 1986 dans le Val-d’Oise. Journaliste, elle vit et travaille en Suisse. »

une journaliste ? comme c’est original et inattendu…

toujours pas de boucher-charcutier en vue ?

puck dit: à

ou de plombier zingueur ?

je donnerais une fortune pour lire un livre écrit par un plombier zingueur.

alors que rien que savoir que l’auteur est journaliste me file de l’urticaire.

D. dit: à

Puck, bien qu’il s’agisse de commerciaux, j’ai une certaine estime pour les bouchers-charcutiers parce qu’ils me fournissent en pâté de foie pour mes pizzas.

D. dit: à

Puck, tu as peut-être raison sur les plombiers-zingueurs parce que la soudure du zinc est une discipline difficile, peut-être davantage que le journalisme.

puck dit: à

après il est certain que les plombiers zingueurs ont moins de temps libre pour écrire un livre, j’en connais un il est débordé : si on a une gouttière qui fuit quand il pleut il faut attendre 6 mois pour intervenir.

alors que les journalistes et les profs de lettres ou de philo ne semblent pas travailler 40 heures par semaine, dommage qu’ils ne sachent pas réparer les gouttières.

puck dit: à

D. la soudure du zinc est bien plus qu’une discipline difficile, c’est tout un art.

tu as suivi des cours de physique des matériaux ? ou de cristallographie ?

D. dit: à

Bon ça va pas commencer, hein, Langoncet ?!

D. dit: à

Oui j’ai fait de la cristallographie à Paris VI durant mes études universitaires. Je me souviens que les TP étaient dans la tour 11. On regardait tout un tas de lames au microscope à polarisation. C’était le bon temps. Je ne savais pas encore que 5 ans plus tard j’apponterais en Super Etendard sur le Foch. Ainsi va la vie.

puck dit: à

D. ignore-les ils n’en valent pas la peine.

tu sais que j’ai bien aimé ta dernière recette.
bien à toi.

puck dit: à

D. j’en étais sûr ! je suis certain que ces études t’ont permis d’approfondir tes connaissances en cuisine.
le Foch ? mazette, tu m’impressionnes.
bien à toi.

D. dit: à

Par contre Puck, je ne comprends pas ta façon de dézinguer les journalistes comme ça d’emblée, à froid.

Marie Sasseur dit: à

Merci Passou, de cette premiere livraison , en 4 nuances de gris.
Je vais attendre le 1er septembre, en fait, pour aller à la librairie.
Non que ce récit d’Angot ne soit pas une nouvelle prouesse, elle reste une grande de l’Uppercut, mais c’est très éprouvant comme lecture. Et puis le père Angot – grabd amateur des finesses de la langue française,
c’est dommage de ne pas le rappeler- n’est pas vraiment un personnage qui inspire l’amour. Il y en a toujours pour confondre amour et viol. Et Christine n’aura fait que ça, finalement, dans sa vie intime. Comme elle le raconte déjà dans  » pourquoi le Bresil »…

Comme vous prenez le lectorat potentiel à rebrousse-poil, Passou, il faudrait vraiment vous tailler un costard, pour vouloir mettre le récit de la soeur de « Victor » Duhamel aux orties, sous un prétexte phallocrate.
Elle a nettoyé Science po, c’est pas rien !

Enfin, on vous pardonnera tout, devant cette constante amitié un peu gaga pour miss Choucroute, toujours aussi border line.
Elle semble avoir arrêté chips pizza- télé, sur le canapé, non?

D. dit: à

Oui, Puck. Je m’impressionne aussi souvent.
J’ai fait tant de choses dans ma vie…mais je ne suis pas là que pour parler de moi.

puck dit: à

D. je ne dézingue pas les journalistes, au contraire je crois qu’ils font un métier essentiel pour notre démocratie.

après c’est vrai qu’ils forcent parfois un peu sur l’aspect « scoop » avec des titres racoleurs du genre « ton père est un salaud ».

mais bon là encore les journalistes sont importants : comme ils dézinguent les salauds ça leur permet de se situer de facto dans le bon camps et du coup leurs lecteurs devient une espèce de commnauté de gens de facto dans le bon camps.

ça c’est hyper important pour le bon fonctionnement des démocraties.

tu sais D., j’aime beaucoup ce que tu écris.
bien à toi.

puck dit: à

D. dit: à

Oui, Puck. Je m’impressionne aussi souvent.
J’ai fait tant de choses dans ma vie…mais je ne suis pas là que pour parler de moi.
 »

c’est dommage, tu mériterais de parler plus souvent de toi.
bien à toi.

puck dit: à

elle est tellement cruche cette Sasseur qu’elle bien capable d’aller dire à Chalandon que le père d’Angot est encore plus salaud que le sien.

entre un père qui abuse de sa fille et un autre père qui torture des gamins devant ses parents pour les faire parler si on commence à faire des compétitions on n’est pas sortis !!!

puck dit: à

l’important, comme dit passou dans son précédent article c’est que les libraires ne perdent pas leur humour et leur ironie.

Marie Sasseur dit: à

Ducon, je lis Angot depuis bien avant que tu n’aies ouvert un bouquin de Chalandon.
Curieux d’ailleurs que tu n’aies pas mentionné d’autres fils qui ont un problème avec  » papa » ou  » pépé », comme Jauffret, Jardin, aso.

Damien dit: à

C’est vrai que le livre d’Angot, que j’ai feuilleté, paraît essentiel : après toutes ces années elle revient sur le thème de son inceste, qui la met au centre des obsessions actuelles, apparues avec la vague #metoo. Si cela pouvait avoir un effet bénéfique, en reconnaissant enfin la condition de victime ! Donc, merci, je vais lire attentivement Angot, à nouveau, autofiction ou pas.

Janssen J-J dit: à

merci Jean L, de vous soucier de me dépuceler, est jamais trop tard pour bin faire… J’avais bin entendu battre un batteur chez les Stones, mais j’ai jamais soucié son nom… Tel un Bilger moyen, jamais vu personne d’autre dans ce groupe que le charismatique Mick Jaja… Ai jamais retenu les paroles d’aucune de leurs chansons, à la différence de celle des Beatles… D’où, une culture rock’n roll 60-80, plutôt défaillante, une honte parmi tous mes cop’s de l’époque… Un peu tard ast’heure pour rattraper et remédier à toussa… C’est pas faute de nous éduquer icite, JL, comme RM le fit naguère durant un an avec bétove… (nb/ j’apprends bcp de choses en ce moment des étonnantes chroniques de Rebecca Manzoni Pop’n co… En revanche, je n’aime pas du tout l’Arménien… – sa voix surtout, elle m’énerve,… j’ai laissé tomber…)?

@ Si je devais choisir parmi les quatre nouveautés passouliennes, Tanguy Vieil…, à coup sûr… ! Je verrai… Pour l’instant, Céline Minard, elle m’intrigue fois pour la 3e celle-là, est complètement barrée dans les Plasmas…, dans la horde des Furtifs annonçant l’à venir… Faudra que j’en reparle à Passoul et à son herdélie (surtout @ SV)…

Bàv,

Marie Sasseur dit: à

#en reconnaissant enfin la condition de victime !

Ce fake aura encore lu Angot de travers. Sans doute un militant EELV…

Jean Langoncet dit: à

J J-J et les wattmen genevois ; c’est un titre prometteur qu’il aurait dit Marcel

Phil dit: à

Votre copine Miss Rheims est-elle dans le besoin malgré son hairdo, dear Passou ? Souhaitons-lui de ne pas finir comme le crypto-sénateur radioaste Elkabbache.

Jazzi dit: à

« Dépressions, anorexie, tentatives de suicide. »

Sans oublier les quelques mois de sa vie où elle avait été lesbienne, Passou !
Bravo pour ce papier de la rentrée, pas gris du tout …

Jazzi dit: à

Je mise sur Angot pour le futur Goncourt…

et alii dit: à

JAMAIS DECUE PAR Tanguy V ;
bonsoir

et alii dit: à

Angot gagne à être écoutée auourd’hui; mais la relire? ça me laisse perplexe; peut-être essaier son nouveau livre, quand même

Jazzi dit: à

« Enfin, on vous pardonnera tout, devant cette constante amitié un peu gaga pour miss Choucroute, toujours aussi border line.
Elle semble avoir arrêté chips pizza- télé, sur le canapé, non ? »

On dirait du Audiard de la grande époque !

Marie Sasseur dit: à

« On dirait du Audiard de la grande époque ! »

Avec un ou deux pétards qui vous rendent nigaud, peut-être.

Marie Sasseur dit: à

Comme de mêler R. Gary , ou P. Levi, à  » ça « .

Enfin, bref.

Janssen J-J dit: à

@ JL //// J J-J et les wattmen genevois ; c’est un titre prometteur qu’il aurait dit Marcel///

Quel rapport au jus’ avec ce lien ?… splikez-moi asap, merci…
https://notrehistoire.ch/entries/EVY7pJwdBGL

@txfl /// JAMAIS DECUE PAR Tanguy V /// Vraiment, &alii ??

Jean Langoncet dit: à

@J’avais bin entendu battre un batteur chez les Stones, mais j’ai jamais soucié son nom… Tel un Bilger moyen, jamais vu personne d’autre dans ce groupe que le charismatique Mick Jaja…

Mais je sais bien, banane. Bon, place à la rentrée littéraire qui démarre ici en un quarteron de généreux retraités

D. dit: à

Qu’est-ce que c’est que ces insolences, Phil ?

Janssen J-J dit: à

…. en revanche, pas de nouveauté littéraire sur le front « nouvelle Mouchette »… chez PE…
(MC/PR prépare assidument son colloque américain s’en suit qu’il ne peut pas échanger trop longtemps avec e/N… – Nous lui souhaitons bonne chance de réussite !)

(cf. Juste 4 nuances de grey… La soirée RDL sera pas folichonne dans la cuisine, ce soir, hein, denise ?)

Jean Langoncet dit: à

Excellent lien D. : « Cet autodidacte au style sobre tranchait avec les déhanchements frénétiques de Mick Jagger ou les pitreries des guitaristes Keith Richards et Ronnie Wood. » Brian Jones et Mick Taylor c’est groupies de sansonnet comparés à ces totems que sont Richard(s) et Wood, toujours debout cinquante ans après la dissolution des Faces

Jean Langoncet dit: à

Nuances et chinoiseries ne se confondent pas toujours, cher hoplite du recoin abyssal que meut un constant esprit de chicane

puck dit: à

Damien dit: à

C’est vrai que le livre d’Angot, que j’ai feuilleté, paraît essentiel : après toutes ces années elle revient sur le thème de son inceste, qui la met au centre des obsessions actuelles, apparues avec la vague #metoo. Si cela pouvait avoir un effet bénéfique, en reconnaissant enfin la condition de victime ! Donc, merci, je vais lire attentivement Angot, à nouveau, autofiction ou pas.
 »

c’est une impression personnelle ou bien les lecteurs deviennent, effectivement, au fil des ans, de plus en plus cons ?

Jean Langoncet dit: à

Enfin, si cela peut vous rassurer, Hitler lui-même focalisait ses obsessions sur les têtes d’affiche des Stones et ignorait jusqu’au nom du batteur du groupe qui en était pourtant le fondement (quel pirouette vont-ils imaginer pour continuer ?)
https://www.youtube.com/watch?v=OF5R-4HA2Zk

puck dit: à

D. tu veux que je te donne ma recette de la soupe au pistou ? c’est une recette familiale jamais divulguée, mais maintenant que je sais que tu as été porte drapeau sur le Foch je sens que je peux rompre avec ce secret de famille et te la donner.

Janssen J-J dit: à

@ Langon-chat
-< c qui, "banane" ? Moij… Joséphine B. ? Fallait oser !
-< un quarteron de généreux retraités ? Comparer Charlie, Keith, Ronnie& Mick à Challe, Jouhaud, Salan & Zeller ! Voui, fallait r-oser !
😉 ???

puck dit: à

« Hitler lui-même focalisait ses obsessions »
 »

Jeannot j’ai comme qui dirait l’impression que Hitler et toi vous partagez quelques obsessions ? au moins une.

tu as deviné laquelle ?

Jean Langoncet dit: à

Le goût des aquarelles figuratives, keupu ? Passion partagée, en effet

Jean Langoncet dit: à

quel pirouette > quelle pirouette ; une tournée est sur les rails

Janssen J-J dit: à

@ hoplite du recoin abyssal ?… déjà lu : c moij ?… Fallait oser les furtifs, josée fine !…
@ Chicane Eider ?… un frangin d’Amadéhusse, qu’il aurait dit jmb… !

puck dit: à

« Le goût des aquarelles figuratives, keupu ? Passion partagée, en effet »
 »

exact !!! je croyais que t’allais donner ta langochat, mais t’es trop fortiche !

Janssen J-J dit: à

@ ou bien les lecteurs deviennent, effectivement, au fil des ans, de plus en plus cons ?

Damien est pas un vrai lecteur de chez nous, hein… Compte pour du beurre, rptv !

@ jzmn, Non, L’angot aura pas le prix goncourt 22. Passoul et Decoin s’y opposeront de toutes leurs forces, je pense.

Jazzi dit: à

Voulez-vous connaître mon actualité de la rentrée ?

Je suis en pleine bataille à Waterloo avec Fabrice Del Dongo…

Jazzi dit: à

Stendahl, c’est la zone claire !

D. dit: à

Oui Puck, je veux bien la connaitre cette recette. Comme cela à chaque fois que je mangerai de cette soupe je penserai à toi.

Jazzi dit: à

RECETTE DE LA SOUPE AU PISTOU

   De toutes les soupes de mon enfance, la plus fameuse et la plus mémorable est, sans conteste, la soupe au pistou. Une soupe d’été, sublime résultat du syncrétisme culinaire entre le comté de Nice et l’Italie. Recette pour six personnes. Dans une grosse cocotte, faites fondre à feu doux dans de l’huile d’olive deux poireaux et un oignon coupés en rouelles, ainsi qu’une gousse d’ail, écrasée vigoureusement d’un bon coup de poing. Ajoutez six gros cubes de petit salé (environ 200 grammes), préalablement ébouillantés durant cinq minutes. Lorsque les poireaux et l’oignon deviennent transparents, c’est le moment de rajouter les autres légumes que l’on avait préparés et coupés en petits cubes : deux carottes, deux pommes de terre, un navet, le tout pelés ; trois petites courgettes de Nice, mais, elles, avec leur peau ; deux tomates ébouillantées, pelées et coupées en gros morceaux et un demi chou vert débité en lamelles. Laissez cuire encore cinq minutes, toujours à feu doux, puis versez alors deux litres d’eau salée et l’équivalent de 100 grammes de cocos frais, écossés. Portez à ébullition, en jetant, un quart d’heure avant la fin de la cuisson, 50 grammes de macaroni. Pendant que la soupe cuit (comptez en tout une heure), on préparera le pistou (de pista, mélangé, malaxé) qui donne toute sa saveur à la recette. Dans un mortier, pilez trois gousses d’ail, puis ajoutez vingt belles feuilles de basilic. Continuez à malaxer l’ail et le basilic, versez ensuite de l’huile d’olive et 100 grammes de parmesan en poudre. Mélangez jusqu’à obtention d’une sorte de pommade verte. C’est le fameux pistou, que l’on versera dans la soupe, hors du feu, juste avant la dégustation !
https://www.lelezarddeparis.fr/les-beignets-de-fleurs-de-courgettes

D. dit: à

Je pense que Nathalie Rheims va me lire ce soir et demander à Pierre Assouline de faire ma connaissance. En ma qualité de mystique catholique je suis en effet le mieux placé pour lui révéler de nombreux mystères. De plus j’aime beaucoup Mylène Farmer, j’aime les chevaux, je suis cheval moi-même, j’aimais Maurice Rheims, j’apprécie l’oeuvre de Bettina Rheims et tout cela est sincère. Alors hein.

D. dit: à

Mais enfin, Jazzi… Tu es un imposteur de la soupe au pistou. C’est celle de mon ami Puck que veux.

Jazzi dit: à

Et les films de Claude Berri, tu les aimes aussi, D. ?

Janssen J-J dit: à

jzmn @ Dépressions, anorexie, tentatives de suicide…. Sans oublier les quelques mois de sa vie où elle avait été lesbienne
Ceci ayant causé cela très certainement !… (comme aurait dit Dier-Mucchielli pour la surmortalité constatée chez les antivax à comorbidité réduite)…
Ne dévions pas les tramways enjambant les fontaines de Genièvre, pliz… ! BONSOIR, déjà 8 d’engrangées, ça traine pas, hein…

Jazzi dit: à

« C’est celle de mon ami Puck que veux. »

Tu peux toujours attendre, D. !

Janssen J-J dit: à

@ c’est la zone claire
… plutôt la coupe sombre qui Bêle ! Hein ?… En êtes encore là ?

D. dit: à

Oui j’aime braucoup les films de Clzude Berri. Celui que je préfère est peut-être l’un des moins connu : Le cinéma de Papa. Original et drôle.

Janssen J-J dit: à

hamlet dit: à

« La philosophie triomphe aisément des maux passés »
ça faudrait en rediscuter avec Enthoven.
je suis pas certain que ça marche à tous les coups.

Jean Langoncet dit: à

@ça faudrait en rediscuter avec Enthoven.
Du père au fils, les enjeux sont complexes.

D. dit: à

Yves Robert dans le rôle du père est très bon, choix original et judicieux.

D. dit: à

Écraser à coup de poing, j’aime bien. Je vais prendre ta recette, Jazzi.

D. dit: à

Il prend belle figure, ton blog, jazzi. Continue.

Jean Langoncet dit: à

@une gousse d’ail, écrasée vigoureusement d’un bon coup de poing.

Aïe aïe aïe

puck dit: à

D. l’important dans la soupe au pistou c’est de garder à l’esprit qu’il ne faut pas le même temps de cuisson pour chaque légume ! pour certains légumes il faut 45mn et pour d’autres 10 mn suffisent ! si tu as fait de la cristallographie tu vois de quoi je veux parler, encore que je ne vois pas trop le rapport avec la critallographie, mais qu’importe !

Ce que je veux dire c’est qu’il ne faut pas la même durée de cuisson pour faire cuire des cocos et des courgettes, du coup si tu mets tes courgettes en même temps que tes cocos, quand tes cocos seront cuits tes courgettes seront en purée et je sais que ce n’est pas ça que tu souhaites !

Cela étant dit on peut démarrer : tu commences par mettre tes patates coupées en petits morceaux (tous les légumes doivent être coupée en morceau) dans ta marmite sans mettre trop d’eau. Quand tes patates sont cuites tu les esquiches avec une fourchette pour en faire une purée, si tu mets trop d’eau tu vas te brûler les doigts à moins bien sûr de disposer d’une longue fourchette.

bon ensuite tu ajoutes de l’eau, du sel, quand ça boue tu mets d’abord tes cocos (blancs, rouges, bicolores, tricolores… on s’en fout !)

Quelques minutes plus tard (je te rappelle que le but c’est qu’à la fin tous tes légumes soient cuits correctement à l’identique !) tu ajoutes les haricots verts et les écheleurs (haricots plats).

Après quelques minutes de cuisson tu ajoutes tes courgettes, un peu plus tard tes coquillettes ! D. il faut vachement se méfier des coquillettes au début on a tendance à en mettre trop parce qu’au départ elles sont petites et à la fin on ne voit plus qu’elles !

ensuite tu mets tes fromages : roquefort, parmesan, gruyère.

et là tu es bon ! pendant ce temps tu as fait ton pistou : tu sais comment on fait un pistou.

et là il va se produire un truc miraculeux, du genre qui peut inciter un athée à croire en Dieu : en mettant ton pistou dans cette soupe moche, grisâtre, qui ne ressemble à rien, tout à coup elle va devenir belle, magnifique, grandiose ! il y a des gens qui font des milliers de kms pour admirer des temples, des montagnes, la mer etc… à quoi ça sert quand là, dans ta marmite tu assistes à un spectacle aussi sublime que ce moment où tu mets ton pistou dans ta marmite ? le monde est fou…

je pense qu’il doit manquer un ou deux trucs si ça me revient je te le dis.

et alii dit: à

jazzi, décidez vous et choisissez masculin ou féminin;
en principe obélisque est masculin :avait été érigé, en son centre, l’obélisque de Louqsor, offerte au roi en 1831 donc offert
bonsoir

D. dit: à

Merci Puck. Et le pâté de foie, je le mets à quel moment?

Jazzi dit: à

Merci, et alii.

JiCé..... dit: à

Jeudi 26 août 2021, 5h46, 23°, léger vent de NO

VIDE

Impression ressentie à la lecture de ce billet de travail. Pesant.

Pour rien au monde, je n’irai perdre mon temps à lire toute cette mélasse convenue dans ce monde littéraire sans sens, alors que le réel est, lui, si intéressant au delà du canapé freudien où on rabâche, on rabâche, on rabâche…

Je passe. Ciao ! Bonne journée.

puck dit: à

D. dit: à

Merci Puck. Et le pâté de foie, je le mets à quel moment?
 »

tu le mets dans ton pistou à la place des tomates.

rose dit: à

Ai constaté, il y a deux minutes, que, X, Y et Z, lorsque vous vous foutez de la gueule du monde, vous en omettez de vous foutre de la vôtre. Banco.
Y a une troisième voie, patience.

Nota bene, des lentilles corail dans le minestrone de Jazzi, et une serviette plastique sur le clavier de ?, pour la pizza findus décongelée.

Jazzi dit: à

Le léZard parcourt pas moins de deux arrondissements pour vous donner son habituel bouquet de fontaines !

Jazzi dit: à

On compte un garçon pour trois filles dans l’article à Passou.
Après le cinéma, la femme sera t-elle l’avenir de la littérature ?

Jibé dit: à

Garcin parle sur France Cul de Tanguy Viel et de Christine Angot, élogieux, et signale leur point commun: l’emprise.

Pour les amateurs, toute la matinée de Guillaume Erner (environ 7h30 à 8h30) porte sur cette rentrée littéraire.
Pour ma part, comme dit l’autre, j’ai beaucoup de mal avec Angot mais je pense beaucoup de bien de l’écriture de Tanguy Viel. Quant à parler de bouquins non encore lus…
Grande couronne de Salomé Kiner, le billet ci-dessus donne envie. Pas tant le sujet en soi que le style, la drôlerie assumée malgré le sujet, et la finesse de l’approche.
Je vais creuser tout ça.

Jibé dit: à

Jazzi,
vos fontaines: j’ai commencé la lecture, je me promène avec vous et c’est très agréable, et je découvre l’absence, la carence d’imagination des aménageurs parisiens récents.
Z’étiez choupette, enfant, by the way.

Marie Sasseur dit: à

Passou écrit :
« C’est si inaudible en nos temps manichéens, binaires, exclusifs que cela ne peut que heurter, révolter même et ce serait tant mieux puisque la littérature, la seule qui importe, a juré de nous troubler. Et comment ne pas l’être face à un tel père amoureux de sa fille…  »

Je ne suis pas d’accord avec cette  » sensation  » très cynique de l’époque.
Je ne suis surtout pas d’accord avec cette définition de la litterature, ni à cette fonction qui lui est dévolue: troubler.
On voit bien là le gap, entre une volonté pesante ! d’assigner la littérature romanesque à la transgression, ici sexuelle, sous couvert de blanc-seing officiel, votre avis compte!, et l’immense majorité de ceux pour qui la lecture reste avant tout un divertissement. C’est pour ça que le palmarès populaire et celui de la critique autorisée, seront encore aux antipodes l’un de l’autre.

Troublé par un père amoureux de sa fille.
On ne peut pas vraiment considérer cela comme un argument litteraire, c’est une réaction émotionnelle, affective.
Elle est tout à fait acceptable, sauf que non objective.

On pourrait s’attacher à sa « technique » pour densifier une situation, ou délivrer une révélation, au détour d’une phrase ( comment la mère fût « mise au courant », par exemple, dans  » un amour impossible « , ou la nature même d’une relation toxique dans  » Pourquoi le Bresil? »).
C’est cette capacité littéraire que j’apprécie chez Angot.

La dernière fois qu’elle s’est exprimée sur  » des affaires récentes « , c’est a propos de l’affaire Duhamel, sur France Inter et le moins qu’on puisse dire, c’est que sa parole était attendue.
La « différence » entre ces  » scandales », si on peut dire, c’est que l’un a réussi a ne pas se faire voler sa vie par un prédateur, et l’autre non.

Je vais sans doute lire ce livre d’Angot, finalement. Il y a une petite chose qui m’intrigue.

Jibé dit: à

Nombre de critiques offrent de la subjectivité et pas de l’objectivité, beaucoup de réactions émotionnelles et pas rationnelles. C’est leur limite en effet, pour rendre compte de la qualité d’un livre et du travail d’un auteur.
Faut être très distancié pour faire autrement. C’est pourquoi je râle quand je ne vois aucune notation stylistiques, ou de construction de tel ou tel roman. Là, dans ce billet, on a un peu de tout en dose variable.

Jibé dit: à

stylistique, sans s

Jazzi dit: à

Merci, Jibé.

Janssen J-J dit: à

(JE, 26.8.21, @ 9.24)

HYGIÈNE SCIENTIFIQUE

https://www.lemonde.fr/blog/huet/2021/08/25/covid-mensonges-et-sociologie/

/// Or, comme souvent depuis le début de l’épidémie, Laurent Mucchielli ment. Il présente comme des « données », une présentation volontairement fausse de la réalité. Il est en effet beaucoup trop qualifié, intellectuellement, pour être capable de confondre des morts « après vaccination » et des morts « pour cause de vaccination ». Lorsque l’on vaccine trois milliards d’êtres humains en commençant par les plus vieux, il est obligatoire qu’il y ait des morts « après vaccination ». Et même, statistiquement, très peu de temps après. Laurent Mucchielli le sait. Il fait semblant de ne pas le savoir. Il ment.///

Cela s’agite un peu, du côté du CNRS… Mais tout le monde s’en fout…, peut-être que l’évacuation de Kaboul et de la rentrée littéraire, ou diplômes de zinguerie sont plus importants pour le commun des mortels. Comment pourrait-on hiérarchiser les faits disparates ou en interpréter les interconnexions ?

A QUOI SERT LA LITTERATURE ?

SMS @ Je ne suis surtout pas d’accord avec cette définition de la littérature, ni à cette fonction qui lui est dévolue : troubler.
C’en est une définition possible, mais certainement pas la seule… S’agirait-il d’ailleurs chez l’auteur d’une intention de troubler le lecteur ?… La forme et la structure narrative n’auraient-elle pas plus d’impact retentissant à long terme chez le lecteur que le contenu… ? D’aucuns, écœurés par Céline tentent d’en soutenir l’idée… Comme je l’ai dit naguère, ce n’est pas trop mon cas…

[nb / – Trouble dans le Genre, ou – Trouble dans les Andins… Il faut se décider entre Judith et Boris…]

@ jzmn, mettez les bouchées doubles, désormais… Allez finir par noyer le lézard… Mais pourquoi ? on a tout notre temps
(Bàv),

Janssen J-J dit: à

Seulement 2 fontaines dans le Xe, jzmn ?…

D. dit: à

Est-ce que, Jazzi, tu nous parleras aussi des fontaines du passé ? J’aime bien le passé, moi.

Janssen J-J dit: à

@ X Y & Z ( ou E, M & R)… En fait, elle ne parlait pas à sa mère, mais de sa mère à elle-même, à son double ou à son pseudo, parfois à sa fille et à ses 44 enfants, à ses défunts frère et soeur et père, d’autres fois à l’herdélie. C’était comme l’émouvant mystère de la sainte Trinité dans nos évangiles, adressés urbi et orbi. –
= des Bises dans les oreilles, avec ou sans sonotones =.=

et alii dit: à

la première image m’intrigue et je n’arrive pas à la situer

Jibé dit: à

L’idée que la littérature a pour fonction de troubler me plaît beaucoup aussi. Etre dérangé et sorti de soi et de son monde, bousculé d’une façon ou d’une autre, distrait de ses habitudes.
C’est ce qui, en effet, caractérise les oeuvres romanesques en général, d’Angot à Cusset, de Dostoïevski à Céline, de Gracq à C. Simon, de Melville à Kundera, de Kourouma à Ferrante (je cite des noms qui me viennent au hasard).
Un dérangement. Comme il convient de dire depuis quelques temps « une sortie de sa zone de confort ». Les neurones miroirs jouent un rôle là dedans, qu’on soit ou pas empathique avec ce qui se dit, se raconte et se passe. le talent, c’est de mettre en branle le cerveau du lecteur et ses émotions propres et d’y mettre ce trouble, c’est le bon mot – m’évoquant une goutte de peinture échappée dans l’eau .

Jazzi dit: à

« je te donne ce lien précieux »

C’est trop généreux, D. !
Je ne parle que de ce qui est visible, mais j’évoque dans mes notices les fontaines de jadis qui ont disparues…

J’ai d’autres livres sur Paris a intégrer dans mon blog, JJJ.
Notamment l’histoire des jardins, des Tuileries au parc de Bercy.
Oui, seulement deux fontaines dans le 10e et aussi dans le 17e arr.

Jazzi dit: à

Il y a des livres qui font bouger les lignes, mes préférés !

puck dit: à

pour moi la littérature c’est avant tout le style, la forme, la beauté de la langue : qu’importe le sujet, le thème, le contenu… l’important est la façon avec laquelle c’est dit.

non c’est même pas vrai, c’était pour plaisanter, j’aime bien plaisanter avec les lecteurs, surtout ceux qui disent que la littérature a pour fonction essentielle de nous « troubler ».

puck dit: à

parce que dans « troubler » il y a « trouble », ce qui trouble nous rend trouble, comme dans le le bridge over trouble on the smoking on the water et tout ce qui peut troubler l’esprit, à savoir cette inquiétude que la littérature fait naitre en nous en nous montrant un monde qui nous trouble de par sa troublante étrangeté.

puck dit: à

ainsi il est possible, assez facilement, de reconnaitre un lecteur troublé, d’abord à sa démarche, en effet il n’est pas rare que le lecteur troublé titube…

parfois même ce trouble s’abat sur lui bien après la lecture du livre, à un moent où il ne s’y attend pas. Le lecteur qui marchait normalement jusque-là est obligé de s’arrêter et de s’appuyer sur un panneau de signalisation, et ça c’est dans le meilleur des cas, parce que, parfois, quand ce trouble s’abat sur lui, le panneau il le voit même pas et vlan ! il le prend dans la tronche, et là on est obligé d’aller appeler le samu qui l’amène à l’hôpital, et à l’hôpital il chope le covid et vlan ! il meurt dans des souffrances atroces qui viennent s’ajouter au trouble.

puck dit: à

certains livres troublent plus que d’autres, surtout les livres écrits par les journalistes.

exemple au hasard : un journaliste comme Chalandon qui s’est tapé toutes les guerres : le Liban, l’Irak, les enfants soldats en Afrique, les charnier en Bosnie etc etc… quand il va écrire un livre faut forcément s’attendre au pire.

Jazzi dit: à

« la première image m’intrigue et je n’arrive pas à la situer »

Probablement un cinéma, et alii, mais lequel ?

puck dit: à

après faut savoir faire le différence entre ce qui trouble et ce qui choque, c’est facile à différencier en fonction de la quantité d’aspirine qu’on est obligé de bouffer en lisant le livre.

sans compter le traumatisme infligé au lecteur, à tel point qu’il était question, à une époque, de créer dans les librairies et les bibliothèques des centres d’aide psychologique pour les lecteurs.

mais bon ils l’ont pas fait parce que les lecteurs sont assez solides et ils arrivent à encaisser les trucs les plus épouvantables sans broncher.

parfois même il semble assez heureux en lisant ces livres de voir toutes les atrocités auxquelles il a échappé dans sa vie.

D. dit: à

Ce que presque personne ne sait :

En 1963, Claude François a acheté son appartement au 46 boulevard Exelmans, à Paris. Le propriétaire souhaitait le vendre, car sa femme s’y était donné la mort dans la salle de bain.

Seize ans plus tard, Claude François meurt électrocuté dans sa baignoire.

En 1981, le nouveau propriétaire a décidé d’échanger l’emplacement de la salle de bain avec celui de la chambre : sa femme a fini elle aussi par mettre fin à ses jours, dans la chambre.

puck dit: à

exemple au hasard : un livre qui a pour titre « mon père est un salaud » est au final assez réconfortant à lire dans la mesure où cela relativise tous ce qu’on pouvait reprocher à ses parents.

d’ailleurs il n’est pas rare de voir des personnes qui viennent de terminer la lecture « mon mère ce salaud » en se jetant au coup de leur père qui ne comprend pas la raison de cette affection subite.

puck dit: à

« mon mère ce salaud » oupss le lapsus, va falloir que j’appelle ma psy cet am pour avancer le rendez vous.

Jazzi dit: à

« ce que la zone grise n’est pas : synonyme de flou, confus, vague, insondable, passif… Gris, quoi. »

Donc, pour Passou, la zone grise c’est net, précis, clair, actif, lumineux et le contraire d’insondable ?

puck dit: à

D c’est important ce que tu dis : faut vachement faire gaffe à la disposition des pièces d’un appartement avant de l’acheter : si les pièces sont disposées « en T » faut pas acheter !

puck dit: à

d’ailleurs les appartements en T sont en général un peu moins chers au mètre carré.

JiCé..... dit: à

RESUMONS, SEREINEMENT

La littérature ne sert à rien, sauf à lire, çad à perdre un peu de son temps en distractions aussi futiles qu’inutiles.

C’est un truc miteux, inventé par les bourgeois bohèmes de toutes les époques y compris antiques, pour occuper le rien-à-branler de leurs jours de rentier, et de leurs nuits malodorantes !

Heureusement que les jeunes s’en écartent, se pinçant le nez en rigolant !

lmd dit: à

…j’ai toujours vu qu’on serve le pistou à part dans un grand bol, et chacun se sert avec une cuillère pour en mettre à la surface de l’assiette pleine , puis on mélange. Et ça ne trouble pas la soupe.

Jazzi dit: à

Il en existe plusieurs de toutes les couleurs, et alii.
En fin de parcours, je ferai l’historique des fontaines Wallace…

Alexia Neuhoff dit: à

Après des légumes (abandonnés) des jours (entiers sous le soleil estival), des légumes de saison, de grosses légumes (Viel, Angot, Rheims) proposés en ratatouille de rentrée. Derrière le marronnier, Poirier rognonne « littérature à l’estomac ! »

et alii dit: à

Primo Levi, La zone grise. Entretien avec Anna bravo et Federico Cereja, traduit de l’italien par Martin Rueff et Celia Lévi. Préface de Carlo Guinzburg, Payot, janvier 2014.

La zone grise est un volume qui comprend quatre textes, dont un entretien de Primo Lévi avec les historiens Anna Bravo et Federico Cereja. Avec ces textes, nous naviguons dans l’œuvre et la vie de Primo Lévi avec cependant un point de convergence, la métaphore de la « zone grise ».
http://blog.ac-versailles.fr/oeildeminerve/index.php/post/13/03/2014/Primo-Levi%2C-La-zone-grise.-Entretien-avec-Anna-bravo-et-Federico-Cereja%2C-lu-par-Laurent-Gryn
De fait, c’est la possibilité même du témoignage qui est posée de manière radicale par la notion de zone grise. Entre les purs oppresseurs (les SS) et les purs oppressés (les déportés) se dessine un champ ambigu occupé par des prisonniers, qui, d’une manière ou d’une autre, échappent partiellement aux effets d’oppression qui découlent du système concentrationnaire nazi.

Celui qui se situe dans la zone grise est un privilégié qui ne survie qu’aux dépens du non privilégié puisque les opprimés privilégiés collaboraient objectivement, dans une proportion plus ou moins grande et plus ou moins consciemment et volontairement, du fait même de leur privilège, avec les oppresseurs. Primo Lévi insiste à ce sujet sur l’absence totale d’une solidarité qui lierait les détenus les plus anciens aux nouveaux arrivants auxquels rien n’était dû.

et alii dit: à

La première image m’intrigue, mais ne me trouble pas;je ne la comprends pas, mais cela ne me trouble pas forcément de ne pas comprendre;
j’avais été troublée par un livre de Duras que j’imaginais comprendre;mais lorsque je vis combien j’
avais été troublée , -à ne pas m’habiller convenablement pour sortir dans le village-je fus troublée encore plus

Janssen J-J dit: à

@ mais la poire n’est pas un légume, lucien… On en a pris plein la… euj, dans l’estomac !
@ moij, il m’grise, il m’ébranle, il m’console, il m’harcèle, il m’inter-pelle, il m’émeut, il m’provoque, il m’bouscule, il m’ennuie, il m’troub’, il m’distrait, il m’réconforte, il m’érotise, il m’bouge (dans) les lignes, il m’apprend, il m’refroidit, il m’terrorise, il m’indiffère, il m’agace, il me scie,…
Quand je passe par « toussa » avec un seul, c’est qu’il est réussi… genre Victor Hugo ou Thomas Pynchon… Aucune différence pour moij… les légumes, je les avale tous… même si j’en recrache un bon paquet… Mais d’abord, faut tout essayer, hein ! Jepensevoilà, rptv !

closer dit: à

Un constat terrible me reste de la lecture de Primo Levi, surtout « La Trêve »…Les salauds ou simplement les moins généreux, s’en sortent mieux. On pouvait s’y attendre. Ceux qui partagent leur ration ou leur couverture creusent leur tombe.

Marie Sasseur dit: à

« la première image m’intrigue et je n’arrive pas à la situer »
Un musée. Deux projections photographiques sur un voilage ?, donne à l’ensemble un effet holographique, l’idée un mouvement perpétuel. Il faudrait ouvrir la porte… Je pense à deux sportives, et ça me fait penser que je dois aussi aller aux carrières de lumières.

closer dit: à

La littérature n’est pas faite pour troubler. Elle est faite pour être lue. Lue par ceux qui veulent se distraire, oublier leur galère quotidienne, s’instruire, se cultiver, se faire valoir dans les conversations, ne pas avoir l’air ignorant, rire, remplir un devoir (« je ne peux pas ne pas avoir lu Tartempion »).

Aucun libraire n’a jamais entendu un lecteur lui demander: « qu’est-ce-que vous me conseillez pour me troubler aujourd’hui ? »

Si un livre trouble, c’est par accident. Les lecteurs d’Angot ne la lise pas pour être troublés, mais pour satisfaire leur voyeurisme, fortifier leur conviction qu’il n’y a que le Q qui compte dans la vie (n’est-ce-pas Jacounet?) et que les hommes, spécialement les pères, sont des salauds.

Le style, la qualité de l’écriture sont des adjuvants. Ils aident à faire passer des messages désagréables et à rendre plus délicieux encore les messages qui nous caressent dans le sens du poil.

Marie Sasseur dit: à

D’ailleurs l’une est championne de tennis et l’autre une coureuse de fond.
C’est ma proposition de légende.

Marie Sasseur dit: à

« Les lecteurs d’Angot ne la lise pas pour être troublés, mais pour satisfaire leur voyeurisme, fortifier leur conviction qu’il n’y a que le Q qui compte dans la vie (n’est-ce-pas Jacounet?) et que les hommes, spécialement les pères, sont des salauds. »

Et les lectrices qui aiment leur Dad’ lisent Angot pour comprendre…

et alii dit: à

« J’écris ce que je ne saurais dire »
Primo Levi, Paul Celan : l’écrire jusqu’à mourir
Béatrice Hilfiger
« Depuis Auschwitz, tous les hommes meurent autrement.
1
« L’humanité a eu à mourir dans son ensemble par l’épreuve qu’elle a subie en quelques-uns (ceux qui, incarnant la vie même, presque la totalité d’un peuple promis à une présence perpétuelle). Cette mort dure encore. D’où l’obligation de ne jamais mourir seulement une fois sans que la répétition puisse nous rendre habituelle sa fin toujours capitale [1]
[1]
Maurice Blanchot, L’après-coup.. »
Depuis Auschwitz, tous les hommes meurent autrement.
1
« L’humanité a eu à mourir dans son ensemble par l’épreuve qu’elle a subie en quelques-uns (ceux qui, incarnant la vie même, presque la totalité d’un peuple promis à une présence perpétuelle). Cette mort dure encore. D’où l’obligation de ne jamais mourir seulement une fois sans que la répétition puisse nous rendre habituelle sa fin toujours capitale [1]
[1]
Maurice Blanchot, L’après-coup.. »
Depuis Auschwitz, tous les hommes meurent autrement.
1
« L’humanité a eu à mourir dans son ensemble par l’épreuve qu’elle a subie en quelques-uns (ceux qui, incarnant la vie même, presque la totalité d’un peuple promis à une présence perpétuelle). Cette mort dure encore. D’où l’obligation de ne jamais mourir seulement une fois sans que la répétition puisse nous rendre habituelle sa fin toujours capitale [1]
[1]
Maurice Blanchot, L’après-coup.. »
https://www.cairn.info/revue-le-coq-heron-2003-2-page-140.htm

Marie Sasseur dit: à

D’ailleurs, c’est fait, je l’ai, mon ticket. Et je pars en voyage à Strasbourg avec Christine, tout de suite…

A plus tard.

Jazzi dit: à

« l n’y a que le Q qui compte dans la vie (n’est-ce-pas Jacounet?) et que les hommes, spécialement les pères, sont des salauds. »

Tout faux, closer.
Le cul, c’est important, mais pour moi le coeur prime.
Et mon père n’était pas un salaud.

Alexia Neuhoff dit: à

Janssen J-J dit: à
« Aucune différence pour moij… les légumes, je les avale tous… « [

Les navets compris ? Attention aux f[l]atulences

Marie Sasseur dit: à

Barozzi, vous ne savez toujours pas reconnaitre une vraie saloperie d’homophobe.

D. dit: à

C’est vrai ce que qu tu dis-là, Jicé.

closer dit: à

Cher Jacques, ma taquinerie à ton égard ne concernait que le Q qui semble avoir pour toi une importance peu commune. Evidemment pas ton père dont tout indique qu’il était un homme irréprochable.

Janssen J-J dit: à

@ NA / citez moi des navets à varier entre les immangeables, les indigestes, les flatulents, les comestibles et les suprêmes… J’ai jamais su, a priori, les distinguer… Ce sont des légumes trop sous estimés… Merci pour votre aide, mon Alexianne…
Genre : dans quelle de mes catégorie placeriez-vous les San Antonio, les club des 5, les Barbara Kingsolver, les Guy des Cars, les Puck et les Jean Paulhan ? 🙂 Tchin…

Janssen J-J dit: à

Chez tout/es les erdélien.nes, le coeur prime le cul… Il faut bien que quelque chose les réunisse, hein… la pitié cardiologique, je pensevoilo… Sinon, on se demanderait longtemps de quelle pbmtq serait faite la texture du mystérieux ciment du commentarium de l’RDL..
Bàv austro-hongrois.

Janssen J-J dit: à

escalier @ fatulences… sans L… ? était_ce pour insinuer… : « remarques d’un fat ? »… (d’un fat-na des navets…) Veux-je, AN… ?

et alii dit: à

je vous présente un légume racine : le topinambour.

Il est également connu sous les noms truffe du Canada et soleil vivace.
et pour plaire aux erdéliens,i est coeur et cul:
Le topinambour a un goût qui se rapproche de l’artichaut, d’où son surnom aussi subtil que délicat « cul d’artichaut ».

et alii dit: à

c’est en pensant à CLAUDIO
Le topinambour a une histoire assez particulière : il est originaire d’Amérique du Nord mais il tient pourtant son nom d’une tribu brésilienne.
Peu de temps après l’introduction de ce légume racine dans le pays, 6 membres d’une tribu brésilienne, les Tupinambas francisé en Topinamboux, sont amenés à la cour du roi suscitant excitation et curiosité.

Il n’en a pas fallu plus pour associer accidentellement le nouveau légume racine à cette tribu au charme exotique. Et ainsi fut baptisé le topinambour.

B dit: à

Tous les légumes sont digestes à condition de les faire cuire correctement,au besoin recuire, si vous évitez les vieux navets qui sont des durs à cuire et aux fibres incorruptibles à la cuisson vous ne souffrirez pas de flatulences, idem pour le choux, les lentilles, les cocos grains. Les viandes et l’alcool détraquent plus surement les intestins que les légumes et légumineuses cuits à point. Chacun possède néanmoins une tolérance toute personnelle aux aliments. J’évite les salsifis qui malgré leur texture onctueuse me rendraient malades si j’en consommais. Pour les personnes souffrant d’un problème de gaz en excès ,il y a le charbon sous différentes formes( éviter le coke en stock) qui les absorbe, reste à savoir si leur bilan carbone serait admis par la commission européenne .

B dit: à

A propos des légumes, je garde en mémoire de jardiniers que les plus gros ne sont pas les meilleurs. Faut il décliner à tout le lexique hors maraîchage, vaut il mieux être un gros con qu’un petit ou l’inverse? Une grosse merde qu’une petite ( puisque nous explorons le digestif), un frappe ordinaire qu’une petite, un gros malin qu’un petit malin? Certains termes face au « petit » plutôt méprisant ne supporte que le terme  » grand » , grand seigneur, grand banditisme, grand commerçant, grand parfurmeur, grand artiste, grand musicien etc etc

B dit: à

Angot et le syndrome de Stockolm? Son histoire est compliquée, jusqu’à ce billet j’ignorais qu’elle fût allée à l’age adulte? vers son père et fût demandeuse consentante, peut-être voulait elle comprendre elle même cette différence entre l’abus le viol l’inceste et l’acte auquel il lui sembla consentir, voulait elle en finir de cette façon, poser le point de rupture après comme si cet homme avait été un autre, n’importe lequel qui n’était pas son père. C’est intrigant, il me faudrait la lire. Un psychiatre ou psychanalyste pourrait peut être démonter cette histoire comme on démonterait un mécanisme pour accéder à ses articulations et en comprendre le fonctionnement .

Jean Langoncet dit: à

(Wood dans le groupe en 75, c’est le début de la fin de l’expression de talents et le commencement, concrétisé dans les anneés 80, de la machine à cash avec stadiums géants pleins de …)

et alii dit: à

Elle n’en voit pas l’issue si bien que parvenu à l’âge adulte, elle revoit son père à sa demande à elle
qui est parvenu à l’âge adulte?

Jean Langoncet dit: à

@Poirier

Un pois chiche singulier en son genre

et alii dit: à

Nancy, lui, invente le faire « non transitif », qui ne produit pas une action ou objet déterminé : faire l’amour ou faire défaut, par exemple, si tant est qu’il puisse s’agir d’exemples. Le faire doit aussi porter sur le faire lui-même. Ce n’est pas une coquetterie rhétorique ou un artifice métaphysique : c’est une condition de possibilité pour tenter de penser le ou la politique à venir. Et Nancy se montre particulièrement courageux sur un point crucial : ne jamais céder à la facilité qui voudrait que nos maux soient accidentels. Ne jamais dissimuler les immenses difficultés qui s’imposent ici et maintenant derrière le masque d’une contingence qui se résoudrait dans l’avancée de la grande Histoire. En donnant sa chance à la folie du sens, en jouant avec un nomos ivre, le philosophe du toucher – comme l’appelait son ami et complice Jacques Derrida – prend un risque certain : il ose inclure la production des règles comme l’un des éléments à produire par la partie qui se joue. Le danger est à la démesure de l’enjeu.
https://diacritik.com/2016/10/04/jean-luc-nancy-immortel-et-revolutionnaire/

bouguereau dit: à

Au sein de ce triangle se tisse un réseau d’échanges tendus

.. »noeuds de cravate de notaire »..ha si j’étais éditeur..ça envoirait du paté..mais voilà..le monde il est mal fait

Janssen J-J dit: à

@ l’RDL en général,
Essayons de formuler quelque chose du roman de Céline MINARD, Plasmas, (Rivages, 2021) qui sauf erreur, n’a pas encore été couvert…
Cette romancière m’intrigue de plus en plus depuis son roman western « Faillir être flingué » et son « Grand Jeu » (dans la construction d’un logis sur une paroi alpestre escarpée)… Elle me déconcerte. Quand j’entre en elle, je suis toujours déstabilisé, exaspéré, vexé, j’ai l’impression qu’on me prend pour un abruti qui ne comprend rien à rien, qu’on se ouf de mag’… Il faut dire qu’elle s’exprime à la manière d’un geek ou d’un hacker avec un langage dont je ne pige pas le quart des mots inventés ou tordus, s’agissant du domaine que recouvre des « êtres » réels ou virtuels mis en scène à chaque séquence. Mais je m’entête, vu qu’il y a pas plus buté/bâté que moi, quand on me met au défi… Et voilà ce qu’il en ressort après moultes maturations, de mes entraperçus…
On est dans un univers métamorphique fait des divers bruissements d’une terre encore vivante, ayant apparemment survécu au grand collapsus de la catastrophe climatique. Des êtres vivants plus résistants que d’autres, végétaux, animaux, cellules ou insectes et quelques hominidés augmentés ou diminués ont survécu, terrés, rapetissés ou gigantesques… Ils sont là, sur la terre, au fond des eaux ou en état vaporeux dans ce qu’il reste d’atmosphère respirable…, sans confiance, sans guide, sans recours, sans haine légitime, sans obéissance, sans sommeil… nous avertit l’auteure. Ce sont des acrobates, des mémorialistes de la terre éteinte, des monstres génétiques issus d’une écurie de chevaux sibériens clonés, des poulpes féminins, de grands singes rapides en zoo, ou des petits, apeurés par le plantigrade survivant le plus lent de la création primitive, sans compter ce parallélépipède en aluminium tombé d’une étoile dans une coulée improbable de temps interstitiel (ça vous rappelle rien ?)… Pas des « furtifs » à la Damasio, càd des hybrides cherchant à survivre dans le corps des hominidés, non… mais des êtres post-hybridés, difficiles à décrire autrement que par les métaphores désormais dominantes de l’épistémologie scientifique humains/non humains (Latour, Descola, Stengers, Despret, etc. voyez la veine, quoi !)…
Céline M. pousse sa prose littéraire dosée par la richesse d’un vocabulaire scientifique maîtrisé, dans une quasi veine poétique aux confins d’une SF qui ne dirait pas son nom. Elle nous emmène bien plus loin qu’un Volodine dont l’art post exotique depuis 20 ans fait dialoguer des humains entre eux, les vivants avec les morts les plus obscurs de l’histoire…
J’ai cru retomber de la noyade sur mes pieds de la rive à la toute dernière page, soupçonnant Céline M. d’avoir eu pitié de son erdélien malmené. Merci, chère Céline, si c’est le cas…
« Plasmas » adresse anéfé à l’rdl, comme un message d’espoir. Elle nous avertit qu’il n’y aura bientôt plus de vie humaine sur terre si nous acceptons de nous produire sous les capteurs de bots, de la quitter déserte comme un terrain de jeu, si nous assistons à la chute des oiseaux sans perdre la tête, si nous reprenons seau et pelle pour fouiller dans le puits, si l’on se contente des os sans la chair ou de la gangue sans la graine (extraits)… Alors, que nous resterait-il à faire, hein ?… Céline M. nous donne ces conseils : prendre les singes et les fous comme maîtres à penser ; plonger dans les plantes les mains jointes de devant ; inventer les chevaux et les chiens ; laisser au plus lent des plantigrades le soin de tenir le monde ; s’abîmer dans l’océan pour en renaître peut-être…
Ils me plaisent bien, ses conseils… Ste Céline Minard, la folle, petite Alice en Greta Thumberg ? L’avenir est aux enfants, dit-elle en filigrane de toutes façons !…dans un morceau magnifique… (à venir)… Mais, pour l’heure, @19.57, qui osera me dire n’avoir rien compris à quelque chose de ce petit roman, aux lignes si bougées et tremblées ?… Qui osera se coltiner jusqu’au bout à Céline M., hein ?… Qui prendra le risque de bien vouloir en discuter icite avec moij, un jour ou l’autre ? Or, dans cet espoir…
Bàv,

B dit: à

Et alii, j’ai mal lu ce passage : »Elle n’en voit pas l’issue si bien que parvenu à l’âge adulte, elle revoit son père à sa demande à elle après des années de mise à distance et reprend des relations sexuelles. » Cela ne change pas à mon avis la nécessité d’avoir envie de comprendre aidée d’explications d’ordre psychanalytiques ou psychiatriques bien qu’il soit facile de saisir dans quel eteau se trouve un enfant au prise avec une famille incestueuse. Il ne peut dénoncer sans risquer de perdre des gens qu’il continue d’aimer, ce ne doit pas être toujours le cas cependant. Les contextes sont multiples.

bouguereau dit: à

Seuls ceux qui sont passés par là savent que ce mal à l’œuvre ronge, use, traumatise et que parfois, la mort volontaire est la seule porte de sortie pour en finir. C’est peu dire que l’on sort troublé de cette lecture

lassouline l’aurait bien essayé lgaz mais il s’est raplé quil il se chauffait au fioul..c’est trop salissant

bouguereau dit: à

Et les lectrices qui aiment leur Dad’ lisent Angot pour comprendre…

térezoune elle a trop mal au cul pour écrire un pti paragraphe

bouguereau dit: à

Le style, la qualité de l’écriture sont des adjuvants.

..les quatriéme de couvrante a cloclo ‘sans sulfite ni vazline’..un sérieux concurrent

et alii dit: à

Lisons donc Mascarons de Macron, l’habile ouvrage que Jean-Luc Nancy vient de faire paraître aux éditions Galilée. Car c’est d’habileté dans l’exécution dont il s’agit : « le mascaron, précise Nancy, s’est élevé à la dignité délicate d’un ouvrage de précision et de charme doué d’une expression morale, sociale ou intellectuelle. » Cette définition, on s’en doute, vaut aussi bien pour le livre de Nancy.

Qu’est-ce qu’un mascaron, au juste ? Il s’agit d’un terme d’architecture, nous explique le Littré, lequel renvoie à une « figure de tête faite en caprice, qu’on met aux fontaines, aux portes, aux clefs des arcades ».
https://diacritik.com/2021/03/12/jean-luc-nancy-mascarons-de-macron/
BONSOIR

bouguereau dit: à

Les salauds ou simplement les moins généreux, s’en sortent mieux. On pouvait s’y attendre. Ceux qui partagent leur ration ou leur couverture creusent leur tombe.

c’est ça primo il a dit comme ça que les vivants..surtout goye..rien que des fumiers dlapin..
t’as lair dun bon chiiieeennn
https://www.youtube.com/watch?v=hU2jpUPz_cg

Marie Sasseur dit: à

Ducon, contente toi de ton plasma. Qui fait pas envie..

renato dit: à

Si vous regardez attentivement, Jacques, vous verrez qu’il s’agit de deux situations différentes. Tenez aussi en compte que celle où on voit la mer Adriatique est située à Pesaro, une petite ville (100.000 habitants)

renato dit: à

En réalité, + ou – 95.000

Marie Sasseur dit: à

»Elle n’en voit pas l’issue si bien que parvenu à l’âge adulte, elle revoit son père à sa demande à elle après des années de mise à distance et reprend des relations sexuelles. »

Bien sûr que l’intrigue est là.
J’ai dû a cette occasion vérifier la définition de control freak.

Et c’est ainsi que Christine Angot est un grand ( ecrivain)

Un défi pour un biographe, Passou, vous avez dû y penser. Sinon, c’est pas normal.

bouguereau dit: à

Un défi pour un biographe, Passou, vous avez dû y penser. Sinon, c’est pas normal

sapré dsapré térezoune..ha en voilà une paroisienne de a djongueule

Marie Sasseur dit: à

Ducon, je vais laisser le temps à ceux qui lisent Angot, de se manifester.
J’ai tout mon temps, pour une salade niçoise…

bouguereau dit: à

les accents d’une écriture blanche

ça fait hun peu chiure de mouche lassouline..manque pu que béquette et que ça pue des pieds

bouguereau dit: à

Le style emporte tout : vif, rapide, culotté

la culotte c’est hun un peu comme le sulfite qu’il aurait dit cloclo..

Jean Langoncet dit: à

@le style emporte tout

C’est pourquoi j’ai un faible pour les estaminets où la carte des digestifs se lit sur le pif du sommelier

Jean Langoncet dit: à

@les accents d’une écriture blanche

Rapporté à Watts, qui fut le ciment des Stones du début jusqu’au bout, on pourrait dire que sous son apparente sobriété « so british », il était en réalité mille fois plus rock’n’roll que les deux têtes d’affiche emblématiques du groupe … à l’instar d’un Dylan, sans en avoir le talent

Jean Langoncet dit: à

@C’est pourquoi j’ai un faible pour les estaminets où la carte des digestifs se lit sur le pif du sommelier

Cela dit, on peut aimer la poésie de Bukowski et être rebuté par son nez piqué, et piqué en profondeur

Jean Langoncet dit: à

Savoir surmonter ses a priori. Quand je vois la photo de Tanguy, que j’imagine fournie par son service de presse, j’en conclu que son livre n’est pas fait pour moi. Alors qu’il pourrait être une sorte de Delon des lettres, celui qui n’a pas la gueule de l’emploi

Jean Langoncet dit: à

j’en conclu > j’en conclus

Moralès sed laisse dit: à

En réalité, + ou – 95.000

La ville Renay de Sessendre, c’est pourtant pas Pompéi!

Jean Langoncet dit: à

@Richard(s) a le dernier mot dans cette affaire de taille : cousin minnie says how-dee-licious (la reconnaissez-vous ?)

Saine concurrence oblige : le philosophe Bernard-Henri Levy est actuellement en garde-à-vue après avoir été arrêté en train de s’enterrer vivant au Panthéon (tweets)

bouguereau dit: à

j’imagine fournie par son service de presse

qu’est ce que la gueule et lemploi dun portrait d’hauteur..havant le portraitiss en avait tout lu..il faisait le reflet fidèle de saint roc dans les noeils de son chien

Jibé dit: à

JJJ
je n’ai pas lu Plasmas de Céline Minard mais j’ai lu Faillir être flingué (cette grand mère en train de rendre l’âme à l’arrière d’un chariot, ces dessins sur parois, imaginatif et parodie de western, super) et j’ai lu Le Grand Jeu, beaucoup apprécié aussi, cette confrontation entre une femme accrochée à la montagne, dans une grotte artificielle en forme de cigare, et une autre, petite vieille ridée qui lévite à l’occasion et va lui apprendre la maîtrise des gestes et du souffle -parodie de roman initiatique et vraie réussite du genre. Style net et descriptions impeccables, évocatrices, personnages solides, dans les deux cas.
Si Plasmas, c’est dans la même veine, j’y vais.

bouguereau dit: à

rebuté par son nez piqué, et piqué en profondeur

y rsembe a un dessin de vuillemin..il l’a trop lu

puck dit: à

bouguereau dit: à

Le style emporte tout : vif, rapide, culotté

la culotte c’est hun un peu comme le sulfite qu’il aurait dit cloclo..
 »

t’en as pas marre de te foutre de la tronche des gens ?

journaliste un jour journaliste toujours…

Bloom dit: à

Langoncet, Mick Taylor était bien trop fort musicalement ; Ron Wood ne risquait pas de rivaliser avec le riffeur au bandana. Pour les grosses enceintes, stades, aéroports, primo c’était déjà le cas des Beatles aux US & des festivals et secundo c’est le business model qui change. Perso, j’ai préféré les Stones en 90 au Parc des Princes, que leur concert de m…de 76 à la Villette. Entre parenthèses, Dylan au Stade Yves Du Manoir de Colombes en 1979, piteux, nullissime.

Ces jours-ci, la Ludwig Sky Blue Pearl de 65 de Charlie ‘Dapper’ Watts trône en majesté à Marseille dans l’expo « Unzipped », avec deux magnifiques Zeimatis Custom de Ron Wood et deux curiosités appartenant à Richards, une Ted Newman-Jones 5 cordes et une Maton 1960 de fabrication australienne.
On y apprend que Jagger a écrit les paroles de ‘Sympathy for the Devil’ après voir lu « Le Maitre et Marguerite » que Marianne Faithfull lui aurait donné à lire…
Toujours à Marseille, Jeff Koons au MuZem prend visiblement les gens pour des koons. More dreck, please… devant ces «créations» régressives & scintillantes m’est venu un proverbe chinois: « Le crottin de l’âne brille extérieurement ».

Bloom dit: à

que leur = à leur

puck dit: à

« Rapporté à Watts, qui fut le ciment des Stones du début jusqu’au bout, on pourrait dire que sous son apparente sobriété « so british », il était en réalité mille fois plus rock’n’roll que les deux têtes d’affiche emblématiques du groupe … »

et il y aurait eu mille fois plus mille fois plus de chance de rester un sombre inconnu sans les 2 autres.

sérieux Jeannot tu crois vraiment que Watts aurait pu monter un groupe de rock à lui tout seul parce qu’il était mille fois plus rock ?

quand on commence à te connaitre on comprend mieux tes fixettes, limite on te les pardonne.

Jean Langoncet dit: à

Merci pour cette mise au point qui sent le vécu de l’intérieur, Bloom

Jean Langoncet dit: à

Quant à Rory, pressenti un temps pour succéder à Taylor, otra cosa comme on dit toujours à Oran

Bloom dit: à

Rory, fabuleux dans les arènes de Mont-de-Marsan en 85, Strat écaillée et voix éraillée. Générosité absolue. A millions miles away…

puck dit: à

« Rapporté à Watts, qui fut le ciment des Stones du début jusqu’au bout »

ça non plus c’est pas à mettre à son crédit : ce groupe forme début des années 60 serait mort fin des années 60 que ça changerait pas grand chose tant ce groupe n’aura absolument rien apporté musicalement.

quant à Keith Richards il est encore plus mauvais guitariste qu’Eric Clapton c’est dire.

aucun musicien, ni aujourd’hui, ni demain, ni dans 20 ans se référera à ce groupe de chiotte : personne !

à part peut-être un autre groupe à la con comme Téléphone je ne connais personne qui revendique une influence des Rolling Stones !

ou alors il faut m’en citer un seul ! ou même la moitié d’un !

si des musiciens n’influencent personne c’est qu’il n’ont servi à rien.

puck dit: à

Jean Langoncet dit: à

Merci pour cette mise au point qui sent le vécu de l’intérieur, Bloom
 »

ça c’est pas un scoop : Bloom est incapable de commencer une phrase par « je ».

comme Jacky.

puck dit: à

Bloom est incapable de NE PAS commencer une phrase par « je ».

puck dit: à

les grands musiciens sont ceux qui s’inscrivent dans une histoire et revendiquent leur racine, ceux-là laisseront une trace et marqueront les musiciens qui viendront après eux, ils sont rare et aucun des membres des Rolling Stones n’en fait partie :

https://www.youtube.com/watch?v=X1n6PgSC6IQ

Bloom dit: à

A million

D. dit: à

puck dit: à

Bloom est incapable de NE PAS commencer une phrase par « je ».

Tu es négatif, Puck.
Bloom est capable de commencer une phrase par  » je « .

Jean Langoncet dit: à

@Générosité absolue. A millions miles away…

Le pas de côté, à l’image de Watts, est bienvenu dans cette équation qui pourrait, soyons audacieux, comprendre keupu dans toute sa radicalité

D. dit: à

Ca fait longtemps que tu ne m’as pas appelé connard, Jeannot. Ça me manque.
J’ai besoin d’affection, tu sais.

Jean Langoncet dit: à

@Tu es négatif, Puck.

Ce doit être son jour « feuille » comme on dit chez certains naturopathes ; des initiés

B dit: à

Langoncet, pas lu encore JG mais de la photo j’en conclus que cet écrivain ne passe pas son temps à soulever de la fonte.( il ressemble un peu à E Reinhardt) .
Connaissez vous des écrivains à gros bras?

Jean Langoncet dit: à

Je ne vous ai jamais appelé connard, D. . Une pointure comme vous, une chiure de mouche comme moi ; inimaginable, impensable, connarD

Nabila dit: à

Nan parce que j’en cherche un, c’est pour ma collection.

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