De la commémorationnite au commémorathon
La commémorationnite serait-elle la maladie infantile du présentisme ? Passe encore que nous subissions par rafales livres, émissions, numéros spéciaux sur le sujet en un temps donné. Une telle concentration est préjudiciable à tous et à chacun. D’autant que, se livrant à une absurde surenchère pour être le premier, les magazines s’acharnent à célébrer l’événement l’année précédent la date anniversaire ! Mais doit-on pour autant se résigner en être les spectateurs passifs, sinon les acteurs consentants ?
Dis moi qui tu commémores et comment, je te dirais qui tu es. Nos rituels nous reflètent bien mieux que des discours. Le chapitre « Commémoration » des Lieux de mémoire le montrait bien ; mais publié en 1984, il ne présentait signe d’aucun excès de ce côté-là. Le faux-pas suivi du rétropédalage et du cafouillage du ministre de la Culture en janvier 2011 à l’occasion du cinquantenaire de la mort Louis-Ferdinand Céline, eut au moins la vertu de lancer un débat sémantique sur les infinies nuances séparant les verbes « commémorer » et « célébrer ». On peut prendre acte sans louer pour autant. Encore que sélectionner un événement ou un personnage afin de l’inscrire dans cet inventaire est déjà un choix qui engage. Car dans un cas comme dans l’autre, on distingue.
Le discours prononcé le 7 novembre dernier par le président Hollande, comme un lancement en fanfare de « l’année 14-18 » qui nous attend, fut ponctué de formules lyriques telles que « Commémorer, c’est renouveler le patriotisme » ou « Commémorer, c’est parler la langue des anonymes » et même « Il n’est pas de reconnaissance plus forte que la connaissance ». Autant d’éléments de langage pour la future ligne « Commémoration » qui sera, n’en doutons pas, appliquée jusqu’à la fin du quinquennat. Pour 2014 déjà, il assigne les Français à un rôle de composition qui fleure bon la naphtaline : « Nous souvenir ensemble pour être plus forts ensemble”. On se croirait déjà en campagne. Les commémorations politiques étant par tradition plutôt liées à l’esprit de la fête, cela ne pouvait plus durer ; le devoir de mémoire, avec tout ce qu’il charrie de sombre sinon de tragique, s’est chargé de rétablir l’équilibre des émotions. Après tout, saints ou héros, il s’est d’abord agi de sacrifier au culte des martyrs.
Ce qui nous attend pour cette nouvelle année ? Le retour des fantômes de Charlemagne, Saint-Louis, Christine de Pisan, Calvin, Rameau, Toulouse-Lautrec, Sade, Millet, Jaurès, Péguy, la Pompadour, Duras, Tazieff et Thorez au motif qu’ils sont nés ou qu’ils sont morts. Il y en aura aussi pour de grands moments de l’Histoire : la victoire de Philippe Auguste à Bouvines, la création de la Poste royale par Louis XI, le début de la construction des Tuileries, la création de la Manufacture des tapisseries de Beauvais, la construction de Sainte-Geneviève (devenue le Panthéon), la fondation de la Société Générale et même l’apparition de certaines œuvres telles que le Tartuffe, Les Héritiers de Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron et les Mots de Sartre sans oublier le plafond de l’Opéra-Garnier par Chagall. La liste n’étant pas exhaustive, il y en aura pour tout le monde. On verra bien si les revendications communautaristes s’y feront leur place. Ce sera, à tout le moins, un signe des temps. Car il s’agit bien en principe de consolider un roman national, dont les folios se détachent à l’usure, en dotant les citoyens d’un semblant de conscience commune autour d’évènements ou de modèles.
Tant pis pour les télescopages identitaires que l’épais catalogue des « Célébrations nationales » attribue par avance à « l’espièglerie du hasard calendaire ». Avec Cluny après Cluny (Presse Universitaires de Rennes), l’ouvrage collectif qu’il a dirigé, le médiéviste québécois Didier Méhu a montré pour notre édification que ce qui a été organisé autour du 11ème centenaire de la fondation de l’abbaye dissoute en 1790 fut dénué d’esprit critique, au point de ne pas voir en quoi Cluny n’était que prétexte, comme elle le fut lors de sa reconstruction à des fins patrimoniales. Son appel au pas de côté fut vain. Un exemple parmi d’autres de l’instrumentalisation à l’œuvre derrière bien des tentatives de commémorer.
On ne saurait trop le répéter : la commémoration est un combustible pour la mémoire, non pour l’Histoire. Tout à ses mises en scène, elle s’emploie davantage à panser le passé qu’à le penser. Nombre d’historiens en sont convaincus qui pourtant participent de la fièvre commémoratrice en regard de laquelle la colloquite, autrefois dénoncée par Jacques Le Goff, apparaît comme une affection bénigne. Mais jusqu’à quand vont-ils prêter main forte à une entreprise dont ils ne cessent de dénoncer les effets pervers ? On guette l’heure de l’appel au boycott. Sinon, tout cela finira mal. Les historiens se retrouveront sur un plateau de télévision pour un grand commémorathon- et ils ne l’auront pas volé.
(Photos Henri Cartier-Bresson)
903 Réponses pour De la commémorationnite au commémorathon
Pour l’instant suis chauffée un max par un irlandais Column Mc Cann.
Trois mois en Irlande.
Chez Anne Delaflotte Mehdevi le hic ce sont qq longueurs (on a l’impression d’une copine qui vous raconte votre vie et la sienne deux en un devant une fleur de thé) et le nunc c’est le silence qui l’emmène à la musique : ça c’est top. Tu perds ta voix mais tu peux chanter et là t’es soliste devant Pavarotti qui es tout déconfit (et qui arrête illico de parler de lui en disant « nous »).
c’est pas très envie c’est très vite
scrogneugneu
(enfin, disons très vite parce que très envie)
les châteaux.
Aujourd’hui, ils ont choisi une chambre à coucher que je sais pas pourquoi le lit on aurait pu dormir à douze dans le sens de la largeur sans se bousculer.
D’un château quelque part.
Vers Blois ou en Belgique.
Moi je suis aux manettes eux ils sont aux commandes.
Ils ont compris que je gère à peu près les manettes, dont ils gardent les commandes.
Cela va mal.
S’il n’y avait pas à corriger ces p…… de copie je continuerais.
Je devrai continuer d’oser.
Je suis très douée.
Cela va très mal.
Je devrais continuer d’oser.
Fin de la parenthèse.
La mamy ocelot on dirait qu’elle a le casque du chef des pompiers de Gavisconell sur la tête…
>djedla je vous ai répondu très longuement mon post s’est envolé urbi et orbi.
Sans mon accord.
Désolée demain je bosse, moi à la sueur de mon front, je ne joue pas derrière mon ordi toute la journée, non (quoique) alors je vous fais un résumé.
Oui bien sûr à Monop.
Ai dépensé 346 euros et 89 cents pour deux strings un soutif Aubade et un cure-dent.
Bises.
J’attends des excuses ampoulées et une promesse : « je ne recommencerai plus ».
Pourquoi s’gêner ?
« Les nuits d’une demoiselle »
Que c’est bon d’être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
Quand l’étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit
Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon
Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l’abricot
Je me fais farcir la mottelette
Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette
Je me fais donner le picotin
Je me fais laminer l’écrevisse
Je me fais foyer le cœur fendu
Je me fais tailler la pelisse
Je me fais planter le mont velu
Je me fais briquer le casse-noisettes
Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette
Je me fais reluire le berlingot
Je me fais gauler la mignardise
Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise
Je me fais nourrir le hérisson
Je me fais chevaucher la chosette
je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette
Je me fais gâter le matou
Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres
Le jour ,suis prof. de lettres tout simplement
Paroles: C Renard.
Renard comme le manteau d’la dame.
Tous ces » je me » !
Je verdoie.
rose dit: 9 janvier 2014 à 0 h 31 min
Rose, merci de rappeler qu’il se fait tard et que demain j’ai (encore) une journée très chargée.
Il fait toujours aussi chaud en altitude.
(Vous n’avez pas de nouvelles du proc’ à qui vous aviez adressé une plainte contre votre ami pour atteinte à votre vie privée, par mésusage d’un réseau social ?
je lis votre réponse demain, je vais dormir)
Méditation sur la douleur causée par la perte de l’être cher (ici, son épouse, l’agent littéraire Pat Kavanagh) le dernier livre de Julian Barnes, Levels of Life est un ouvrage parfaitement inclassable (un essai sur l’histoire des dirigeables, suivi d’une nouvelle sur les amours de Sarah Bernhardt, et d’une réflexion grave et profonde sur le chagrin). On y croise, entre autres, Nadar et le grand Fred Burnaby.
Contre l’oubli, radicalement.
« Il y a un effort sans précédent en faveur du livre et de la lecture car sans les librairies indépendantes, c’est l’ensemble de l’écosystème du livre qui serait atteint dans sa diversité, il y aurait moins d’éditeurs et d’auteurs, moins de choix pour le lecteur et moins de lien social dans les villes », a souligné la ministre, avant de montrer du doigt le grand coupable Amazon. »
Quelle cruche, cette Aurèlie Filipetti !
Les 9 millions d’euros pris dans la poche des contribuables, ceux qui apprécient Amazon et son service, vont aller se perdre dans la poche du CNL, dont le stupide nouveau patron croit que sans les librairies à l’ancienne, il n’y aurait plus d’auteurs (!!!!!), dans la poche d’une vague Association, dans la poche d’un Trouble Institut et d’un incertain Comité d’engagement…. Bonjour la combine !
Si les librairies indépendantes coulent, c’est qu’elles ne sont plus adaptées au nouveau monde de la distribution, aux nouveaux outils d’achat, aux nouveaux acheteurs….
Rien ne sert de les défendre contre la réalité : la réalité gagne toujours ! Voir d’autres exemples où l’Etat incompétent, a tenté de défendre Chantiers Navals, SNCM, et autres boites engourdies …
Va faire comprendre ça à cette gourde…
Rose, vous auriez pu signaler votre transformation à « visée auto-biographique » de la dernière strophe des exploits non-exhaustifs de la demoiselle de Colette Renard, qui chante :
« Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres
Le jour, je baise, tout simplement »
là où vous écrivez :
Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres
Le jour, suis prof. de lettres tout simplement.
Tout de même…. c’était la moindre des choses !
D. dit: 8 janvier 2014 à 21 h 50 min
« Je précise quand même que je ne suis pas « Jeune catholique » bien que je sois jeune et catholique. »
Ce n’était pas idiot ce que vous avez dit hier, Dédé jeune et catholique ! Il est bon qu’il n’y ait pas à ressortir les vieilleries de leur naphtaline, dans ces commémorations stupides de sclérose. L’oubli est salutaire : on oublie les anciennes amours pour en vivre de nouvelles…
Voulez-vous me dire à quoi sert de resservir ces plats froids commémoratifs à la con : à éviter le populisme ? le racisme ? l’antisémitisme ? l’islamophobie ? le dieudonnisme ?
Aucunement ! Tout ça est hyper ringard !
Commémoration ? Piège à cons !
2014 marque le centenaire de la publication de Dubliners, de St James Juice, qu’il parvint enfin à faire publier, à Londres, après 9 années d’efforts et qu’un crétin d’éditeur dublinois, choqué par certaines des situations et expressions contenues dans les 15 nouvelles en ait brulé toutes les épreuves (sauf une). On pense à Lowry et au manuscrit du Volcan.
La meilleure façon de résister à la tentation étant d’y céder, comme l’écrivait le Wilde Oscar, nous n’allons pas nous priver de la musique du verbe joycien:
« Generous tears filled Gabriel’s eyes. He had never felt like that himself towards any woman but he knew that such a feeling must be love. The tears gathered more thickly in his eyes and in the partial darkness he imagined he saw the form of a young man standing under a dripping tree. Other forms were near. His soul had approached that region where dwell the vast hosts of the dead. He was conscious of, but could not apprehend, their wayward and flickering existence. His own identity was fading out into a grey impalpable world: the solid world itself which these dead had one time reared and lived in was dissolving and dwindling.
A few light taps upon the pane made him turn to the window. It had begun to snow again. He watched sleepily the flakes, silver and dark, falling obliquely against the lamplight. The time had come for him to set out on his journey westward. Yes, the newspapers were right: snow was general all over Ireland. It was falling on every part of the dark central plain, on the treeless hills, falling softly upon the Bog of Allen and, farther westward, softly falling into the dark mutinous Shannon waves. It was falling, too, upon every part of the lonely churchyard on the hill where Michael Furey lay buried. It lay thickly drifted on the crooked crosses and headstones, on the spears of the little gate, on the barren thorns. His soul swooned slowly as he heard the snow falling faintly through the universe and faintly falling, like the descent of their last end, upon all the living and the dead. »
(By the way, gale force winds and lashing rains were general all over Ireland yesterday. Begarra, St James Juice…)
Quand je serai dictateur,ça voudra pas rigoler avec les commémorations!on commémore charlemagne?tous les hommes avec une barbe,sade?une partouze républicaine,calvin?une journée rigoriste,la pompadour?toutes les femmes déguisées,tazief?une journée volcanique,thorez?les pauvres pillent les riches!ça voudrait marquer les esprits.
Bloom est un commémorateur né ! Il a besoin de petits cailloux blancs pour trouver son chemin.
(commémorateur/commémoraté ? j’espère ne pas avoir con/fusé entre ces deux termes…)
Achetez vos souvenirs idéologiques centenaires chez …. COMMEMORAMA !
» c’est qu’elles ne sont plus adaptées au nouveau monde » JC
Inutile de fournir le moindre effort pour modeler le nouveau visage du nouveau monde, les multinationales décident mieux que tous pour tous.
La question n’est pas de cesser nos efforts, la question est de ne pas les porter là où il ne servent à rien …
Et où devraient porter les efforts qui serviraient? Puisque vous avez des idées, défendez-les, prenez votre temps.
pas les porter là où il ne servent à rien …
tes gesticulations servent à rien -ah que ferais-tu sans l’exutoire dont tu prends ce blog
Les 9 millions d’euros pris dans la poche des contribuables, ceux qui apprécient Amazon et son service, vont aller se perdre dans la poche du CNL, dont le stupide nouveau patron croit que sans les librairies à l’ancienne, il n’y aurait plus d’auteurs (!!!!!), dans la poche d’une vague Association, dans la poche d’un Trouble Institut et d’un incertain Comité d’engagement…. Bonjour la combine !
excusez ma lenteur mais je ne comprends pas ce que vous écrivez là.
Vous me pardonnerez, mes petits choux, le jour se lève : jogging !
Quel dommage que le génie réel de jc l’indigné ne serve à rien, il serait si utile das les hautes sphères aux commandes du pays comme conseiller ministériel ou président de la république, au lieu de ça il se gaspille sur des blogs, JC c’est la pleureuse éternelle
excusez ma lenteur mais je ne comprends pas ce que vous écrivez là.
c’est pas marrant porquerolles l’hiver y a personne à faire ch..
Peut-on espérer que JC par les chemins n’entreprenne d’édifier les jeunesses de France et de Navarre puis n’aille vomir dans les coins où il n’est pas imaginable de penser et revenir nettoyé, purifier du bel effort, blanc comme boule de neige.
Catholic Church trains more priests to perform exorcisms
http://www.independent.co.uk/news/world/europe/catholic-church-trains-more-priests-to-perform-exorcisms-9046578.html
« revenir nettoyé, purifier du bel effort, blanc comme boule de neige. »
Sûrement!
Puisqu’on parle de commémoration permanente des bonnes décisions : j’ai adoré la réception commémorative en Gare de Rennes de l’excellent Manolete par les « On ne lâche rien ». Ah, les braves gens ! Ils savent rappeler les dates importantes de la République à nos représentants les plus dynamiques. dans le fond, la démocratie se porte bien.
On n’a pas besoin de circulaire anti-quenelles…
Une quenelle ? mais c’est excellent ! C’est une réaction saine de contre-pouvoir démocratique, contre le pouvoir autocratique du système, non ?
Disons l’équivalent d’un : « ma vaffanculo, vai! » bien de chez nous.
C’est sympathique, une belle injure ! Où irait-on sans truculence injurieuse ? Par ailleurs… franchement… il faut vraiment avoir l’esprit mal tourné pour imaginer un lien avec l’antisémitisme.
Ou alors, je suis naïf…
Interdire la quenelle ?
Mais… c’est… c’est … comment dire… NAUSEABOND !
C’est tout pour aujourd’hui.
Hors sujet, excusez-moi, mais je voudrais bien une explication : le doodle du jour est censé commémorer la naissance de Beauvoir. Très bien, pourquoi pas ? Je passe donc sur le dessin très approximatif, fait d’après moi d’après photo et raté, représentant le visage de Simone sous une coiffure un peu « floue » qu’à mon sens elle n’a jamais eue, adepte qu’elle était de la rigueur des chignons bas, des chevelures soigneusement repliées et des turbans commode à la fin de sa vie. Bon, ne chipotons pas.
Mais alors, c’est quoi le bâtiment derrière ? L’université ? L’hôtel où elle habitait ? Un des lycées où elle enseigna ? Ou le café du Flore ? Qui a pondu cette bizarre idée de l’associer à un lieu pareil, alors qu’on aurait pu l’illustrer, mon dieu, de vingt autres façons bien plus pertinentes par rapport à ce que la Dame nous a laissé ?
c’est des maisons de marin au bord d’un canal clopine, et les cheveux c’est parce qu’elle en ressort ..
Brel versus Bowie
Clopine, Grâce au prix Goncourt, tardif, Beauvoir avait pu s’acheter un appartement, rue Schoelcher (14e arr.), face au mur du cimetière où elle repose avec Sartre. En fond, on reconnait l’immeuble du boulevard Saint-Germain qui abrite le Flore, à l’angle de la rue Saint-Benoit, où demeurait la Duras, autre voisine (solitaire) du cimetière Montparnasse…
mon dieu 106 ans et cette vieille moustachue fait encore parler d’elle
Mais pourquoi illustrer la vie de Simone de Beauvoir par le simple rappel de l’immeuble qu’elle habita, au-dessus d’un café qu’elle fréquenta ? La plupart des doodles commémoratifs (au fait, nous sommes pile dans le sujet, non ?) associent l’image à la création, voyez-vous ce que je veux dire ? Simone de Beauvoir n’est pas célèbre parce qu’elle a habité ces lieux-là, nom de dlà, mais parce qu’elle était une sacrément bonne philosophe et qu’elle a pondu un bouquin révolutionnaire, le deuxième sexe. La réduire aux lieux, c’est… Si l’idée des auteurs est de rappeler les existentialistes, Saint Germain des Prés, ou le café du Flore, au moins qu’il la représente en train d’écrire à une table, bon sang de bonsoir.
Encore une petite trahison de plus. S’imagine-t-on le doodle d’Einstein le représentant devant sa maison ?
Décidément, pauvre Simone, déshabillée et retouchée au nouvel Obs’, dénaturée et réduite à l’anecdotique par Google.
Oh, je sais bien qu’il « y a à redire » sur le féminisme, les engagements, etc, d’icelle. Mais merdalors. Moi qui ai reçu « l’invitée », « les mandarins » et le « deuxième sexe » comme le désert reçoit enfin la pluie, je gronde, là.
Si toi aussi tu ne te lasse de l’entendre …
Beauvoir n’est pas grand chose. Aussi piètre philosophe qu’Onfray. Sa seule vertu, ses fréquentations et son époque. Elle est oubliée depuis des années, personne ne lui accorde plus la moindre importance.
bérénice dit: 9 janvier 2014 à 7 h 30 min
Inutile de fournir le moindre effort pour modeler le nouveau visage du nouveau monde, les multinationales décident mieux que tous pour tous.
Voilà un très joli condensé de ce qu’est une démocrassie délégative qui donne tout le pouvoir aux oligarques de ce monde. Merci, Bérénice.
Voulez-vous m’accorder cette danse ?
Valse
(pantoum)
Dans cette valse qui nous grise
Tu te moules contre mon corps
Et nous dansons dans l’ombre grise
Vibrant aux sons de doux accords.
Tu te moules contre mon corps
Mon tendre amour, toi, ma promise,
Vibrant aux sons de doux accords
A ces trois temps, tu es soumise.
Mon tendre amour, toi, ma promise
J’aimerais danser pour toujours.
A ces trois temps, tu es soumise,
Irons-nous jusqu’au bout des jours ?
J’aimerais danser pour toujours,
Que rien ne casse et ne se brise.
Irons-nous jusqu’au bout des jours
Dans cette valse qui nous grise ?
Jean Calbrix, le 24 septembre 2005
Pas si oubliée que ça, Miserere, on vient de la voir encore récemment au cinéma…
Marcel,
Je vous demande de vous arrêter !
Jean Calbrix, c’est le pseudo d’Assurancetourix ?
à Miserere : si Beauvoir n’est pas grand’chose, ce qui reste à démontrer et que vous ne faites pas, vous, vous êtes moins que rien , nada et cela se démontre facilement
Tu te moules contre mon corps
quand la mer monte j’ai honte
radio raclure..
J’aime bien Marcel, mais pas ses poèmes.
comme le désert reçoit enfin la pluie, je gronde, là.
et ta femme de ménage feule en string pantère
Ta gueule bouguereau, tu fais ièche à un point que c’est pas permis.
Hier, par exemple, Miserere, en rentrant chez moi à pieds, après avoir vu au MK2 Bibliothèque nationale (13e arr.) la biopic sur YSL, j’ai traversé la passerelle Simone de Beauvoir et contemplé la Seine de part et d’autre…
… quand, soudain, j’ai entendu un air lancinant et lointain qui disait : « Dans cette valse qui nous grise/Tu te moules contre mon corps/Et nous dansons dans l’ombre grise/Vibrant aux sons de doux accords… »
Je viens de finir « mémoire d’une jeune fille (dé)rangée ». Je l’avais commencé en 1963 aux armées, lorsque des camarades de chambrée affiliés à Occident, me l’avait arraché des mains en gueulant « autodafé ! »
Ce bouquin est tout à fait édifiant en ce qui concerne les mœurs de l’époque dans les familles bourgeoises et c’est joliment écrit. Un des passages qui m’a particulièrement ravi, est celui dans lequel elle raconte son encanaillement feint et les risques qu’elle a pris pour satisfaire sa curiosité. Cela étant, elle ne se mouchait pas du pied la Simone, et ses larmoiements n’était que dérisoire comédie.
Irons-nous jusqu’au bout des jours ?
J’aimerais danser pour toujours
Ça me rappelle quelque chose (en mieux) :
ferme ta gueule boudegras, à la niche
C’est aujourd’hui le 500ème anniversaire de la mort d’Anne de Bretagne, et pas un seul bonnet rouge pour le commémorer sur le parvis de la cathédrale Saint-Pierre de Nantes. Tss tss…
…
…avec le temps,…et par certaines contraintes de notre civilisation,…
…l’éducation trop pousser pour certains en nombres et qui de toute façon n’en on pas besoin,…est une charge pour la conscience comme l’église,…
…de la gadoue de droite qui déborde sur les forces vivent des nations,…Stop aux progrès,…des bordels cérébraux,…
…enfin l’éducation en famille,…la famille au chômage,…les prêtres en maîtres-queue,…partout,…télé-discours-bobards-canulars,…diplômés pré-achetés,…connivences d’usure-frite,…retour au Moyen-Âge,…
…
…l’instruction des french’s cow-boy’s me donne le souci, d’abréger leurs peines des convenances,…
…tout le monde à la basse-cour,…chacun y reconnaîtra le sien de semblable à commémorer !
…
…merveilleux ! extraordinaires !
…bouchons-nous du château!, plumes aux vents,…Mistral par ci,…Elysée par là!,…
…
…Presto-Subito-€xpresso,…la Mare-mite à l’Hérault,…Cardinal-Champêtre,…à Go-Go !,…etc,…Bip,…Bip,…
…les valeurs de Moncul !,…etc,…Vive le Roi!,…encore hun de littéraire,…
…
…Salade de fruits! envoyez!
…
Simone, ça rime avec conne, et ça plait aux connes
Le seul truc que j’ai retenu de Simone de Beauvoir, c’était dans je ne sais plus quel spectacle de Savary. Simone était assise devant un petit noir à l’avant-scène Jardin et Jean-Sol assis devant un scotch à l’avant-scène Cour (ce qui, vu les dimensions de la scène de Chaillot, en disait long sur l’état de leur intimité) et elle lui disait : » Vous buvez trop, Jean-Paul ». A quoi l’autre répondait : « Faites pas chier, Simone « .
Je rigole. Les réactions contrastées à l’anniversaire de la naissance de Simone ( à chaque jour sa sainte Nitouche ) suggèrent les aléas de la réception des écrivains au fil des générations. Au début des années 60, personne (ou quasi) ne contestait le talent de Simone, et il est vrai que, si on s’abstient de jugements aussi faciles que péremptoires et qu’on fait l’effort d’y regarder d’un peu près, « Mémoires d’une jeune fille rangée » reste un bien beau livre, et l’émotion, quoi qu’en dise Marcel, y est sincère et prenante. » Les belles images » est un roman d’un grand intérêt, pas assez connu, et « Le Deuxième sexe » mérite d’être relu, avec, notamment, son bel éloge de Stendhal.
…
…Oh!…la vache,…etc,…
…
C’est aujourd’hui le 500ème anniversaire de la mort d’Anne de Bretagne, et pas un seul bonnet rouge pour le commémorer sur le parvis de la cathédrale Saint-Pierre de Nantes. Tss tss… (Magnus Pym)
Ils sont en train d’écoper la bouillaque dans leurs caves avec leurs bonnets, ces cons. On ne peut pas être partout.
Merci monsieur Bouguereau
(Jean-Claude Darnal)
Tout près du Cap Gris Nez, quand j’ai fini d’pécher,
Once s’retrouve chez Lèonce, on est onsse
On mesure les poissons en vidant des canons
Et on passe vite le cap, car ça tape.
Bientôt plus d’Cap Gris Nez encore moins d’Cap Blanc Nez,
Ce qu’on voit c’est nos nez tout rouge et
Quand les verres que je lève ôtent le sel sur mes lèvres,
Moi, je pense à Marie qui est partie.
Quand la mer monte, j’ai honte, j’ai honte
Quand elle descend, je l’attends,
A marée basse, elle est partie hélas,
A marée haute, avec un autre.
Lors Le nez dégrisé, je quitte l’estaminet,
Et je regarde en rêvant, le ridens,
L’autre côté de la mer, les collines d’Angleterre.
Mon Dieu qu’l’monde par ici est tout p’tit.
Et à gorge déployée sur le flot déchainé,
Je l’appelle à grands cris: « Viens Marie ».
P’t’ê’ qu’à la molliment, pour pêcher c’est le bon temps,
Mon filet m’la rendra dans mes bras.
Quand la mer monte, j’ai honte, j’ai honte
Quand elle descend, je l’attends,
A marée basse, elle est partie hélas,
A marée haute, avec un autre.
@ da&da : je vois pas le rapport
@ da&da&da : tu es probablement très à droite et tu n’as assurément jamais lu Simone.
C’est à Simone de Beauvoir que je dois d’avoir découvert la Grande Séolane. Simone cul par-dessus tête dans la descente du col d’Allos, c’est une vision qui ne s’oublie pas. Merci, Simone, et bon anniversaire !
Tant de gens qui considèrent que l’humoriste est un dieudionysiaque rigolo ! Manuel s’est tiré une balle dans la poire, bêtement.
…
…ferme ta gueule,…de raclure,…etc,…
…sinon y a le lavemant,…au vinaigre de jean maron,…etc,…
…
…etc,…
Naturellement, dada !
A droite, tous tellement incultes : ils n’ont lu que Mein Kampf, Angela und Kulbuto, Paprika Sex Machine at work.
Dans cette valse qui nous grise
Mon tendre /
amour, toi …; ma promise
J’aimerais danZZer pour touZZours.
A ces 3 Taons, tu es où mise ?
Yrond-nous juSS/qu’au bout des jours ?
J’ai me me me rais danser pour tous…;
Dans cette valse qui nous grise ?Que rien ne casse et ne se brise.
Irons-nous jusqu’au bout des jours
Dans cette valse qui nous grise ? Que rien ne casse et ne se brise.
Irons-nous jusqu’au bout des jours
Dans cette valse qui nous grise ? ne casse et ne se brise.
Irons-nous jusqu’au bout des jours
Dans cette valse qui nous grise ?
…
…&,…encore des boudoirs à tremper à l’€spresso pour Six-mômes,…sans sucre! of course !,…et à la crème!,…elle est gâtée aujourd’hui,…des parrains par ci,…des parrains par là,…
…
…Oui !,…elle reprend du poils de la bête!,…rien que çà!,…etc,…
…
…
…ma mère de ma mère,…qui c’est ce con,…de da&da&da,…
…
…ferme ta sale gueule de raclure,…etc,…
…
…et vas tfaire enculer, etc,…
…
Hors sujet, excusez-moi, mais je voudrais bien une explication : le doodle du jour est censé commémorer la naissance de Toumaï, il y a 7 millions d’années. Très bien, pourquoi pas ? Je passe donc sur le dessin très approximatif, fait d’après moi d’après photo et raté, représentant le visage de Toumaï sous une coiffe un peu « floue » qu’à mon sens il n’a jamais eu, adepte qu’il était de la rigueur des chignons gras, des chevelures soigneusement fixées et des chéchia commode à la fin de sa vie. Bon, ne chipotons pas.
Mais alors, c’est quoi la caverne derrière ? L’université des Primates ? La grotte où il habitait ? Un des trous où il forniquait ses femelles ? Ou le café de Faune ? Qui a pondu cette bizarre idée de l’associer à un lieu pareil, alors qu’on aurait pu l’illustrer, mon dieu, de vingt autres façons bien plus pertinentes par rapport à ce que Toumaï, l’ancêtre de Simone, nous a laissé ?
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€rooo
Mes grands mères étaient féministes bien avant Simone de Beauvoir.
J’ai eu deux grand-mères : l’une s’appelait Simone, l’autre Marguerite.
La première était chauffeur sur la croisette, et jockey.
La seconde vendait des tuyaux d’échappement, et fut modiste.
Ce n’étaient pas des pétasses à café.
Cette commémorationnite aiguë de nos sociétés laïques, organisée autour d’une date historique ou de l’un de nos plus illlustres représentants des arts ou de la politique, qui semble avoir pris le relais des fêtes religieuses scandant jadis notre calendrier chrétien, remonte probablement à un besoin plus ancien de la condition humaine. Il faudrait plutôt voir du côté des ethnologues et des divers cultes des morts ?
Un éternel besoin du sacré ?
Une façon de prendre la mesure du temps passé ?
Beauvoir, pétasse de café, oui ! Ceux qui l’ont lu et se souviennent de ce Canigou rassi vous le confirmeronT
Faut-il en rire ou en pleurer ?
« Un éternel besoin du sacré ?
Une façon de prendre la mesure du temps passé ? »
Manies de vieillards
Baroz
pourquoi ne pas commémorer (sans prêche ni messe larmoyants-abêtissants) ou mentionner des faits importants qui ont marqué l’histoire nationale et internationale surtout si les recherches, incessantes, des historiens permettent d’en savoir plus peu à peu
Commémorons les existentialistes
«Il ne faut plus chercher les existentialistes au café de Flore. Ils se sont réfugiés dans les caves.
Après les caves du Vatican, celles de Saint-Germain-des-Prés. C’est là que les existentialistes, sans doute dans l’attente de la bombe atomique qui leur est chère, boivent, dansent, aiment et dorment désormais. (…) De dix heures à minuit les existentialistes se réunissent au Bar Vert, rue Jacob, où ils gravent dans les WC et la cabine téléphonique des graffiti existentialistes. ni obscénités ni cœurs transpercés de flèches. mais de graves pensées qui, toutes, roulent sur le néant, la tombe, le suicide et Bikini.
Voici, relevés au hasard, quelques-uns de ces sombres aphorismes : “Je rêve, jour et nuit, aux animaux de Bikini” – “Quand vous entendez allô, allô ! ne pensez-vous pas à la Seine ?” – “demandez un arsenic-menthe pour apaiser votre soif d’éternité” – “Un existentialiste est un homme qui a du Sartre sur les dents” […]
La cave du “Tabou”, aux environs de deux heures du matin, est une bouche de l’enfer. La taverne est si enfumée qu’on dirait qu’une locomotive vient de la traverser et d’y laisser sa vapeur. Certaines nuits les existentialistes, qu’on n’aperçoit plus qu’à travers un brouillard, se lancent en hurlant dans des jitterbugs et des boogie-woogies forcenés. mais le plus souvent, complètement prostrés, ils restent assis en regardant leur verre d’eau tiède. alors on est frappé de voir leurs jeunes visages si pâles, leurs regards fanés, le découragement de chacun de leurs gestes […]
Quelles sont les ressources des existentialistes ? nul n’en sait rien. ils vendent quelques livres, font quelques dettes, figurent quelque valet de chambre dans une pièce de Sartre… Peut-être, au fond, suffit-il d’être existentialiste pour exister… »
Boris Vian, manuel de Saint-germain-des-Près
Jacques Barozzi dit: 9 janvier 2014 à 13 h 22 min
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Je n’ai pas le cœur à le dire
On ne voit pas le temps passer
Manquait une rime :
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Je n’ai pas le cœur à le dire
On ne voit pas le temps passe
Faut-il en pleurer ou en rire ?
passeR
le doodle du jour est…
Ne cédez pas à la modelite, Clopine, dites plutôt franchouillardement :
le gribouillage du jour est…
De toute façon, à la fin, tout le monde meurt.
Finissons vraiment le travail :
Faut-il pleurer, faut-il en rire
Fait-elle envie ou bien pitié
Je n’ai pas le coeur à le dire
On ne voit pas le temps passer
Jean Ferrat
Col dur dit: 9 janvier 2014 à 14 h 26 min
De toute façon, à la fin, tout le monde meurt.
Oui mais, il y en a qui meurt plus que d’autre
Il y en a qui meurent plus que d’autres
Sur la quenelle.
Geste qui, à l’instar du très phallique poing levé, signifie « je te fous la main au panier ».
Si Valls juge que les phallocrates sont des antisémites, où allons-nous ?
>jc sur votre post de 6h21 je ne savais pas que Colette Renard n’était pas prof de lettres.
Et Colette ?
Sinon bravo JC pour votre post de 7h34 j’l’adore.
(il vous faut une heure dix pour démarrer.).
>Marcel merci pour votre poème pour la valse qui me grise. Waouw !
kicking dit: 8 janvier 2014 à 21 h 53 min
je ne le sais pas de vous. Je ne le sais pas de moi.
Mais si vous le savez de vous, cela me semble suffire.
…
…la statistique des commémorationniteens du string transparent,…presque du plastique à gode-variables,….
…
…Maman,…les piles sont foutues!,…va voir Papa,…en attendant que la recharge fasse le plein !,…Ah !,…tu veux bien!,…en cas de force majeure,…il faut savoir cédez ma petite!,…
…çà va mieux, tu le prend mieux,…tu le maintien bien avec ton string,…
…avec Papa,c’est quand même mieux!,…
…allez va au café t’en monter hun,…en culture!
…
…c’est comme les navets,…une fois dedans tu décide quand et comment tu le cuit,…mais Non,…pas comme hun merlan, un goujon passe encore !…etc,…
…de l’esturgeon c’est pour les grandes !
…
..ferme ta sale de gueule de raclure angèle
Pour son « 106ème birthday » (tu parles d’un anniversaire ! ), Simone de Beauvoir doodlisée par Google en majesté.
Vive le franglais !
…
…le réveil de l’huile d’aube des pines!,…etc,…
…
€ro€ro€ dit: 9 janvier 2014 à 13 h 16 min
La seconde vendait des tuyaux d’échappement
Il en reste ?
l faut savoir cédez ma petite!,
t’est une raclure épicétou..
Il en reste ?
ach sergio c’est pas le tuyaux qui fais l’homme, dirait clopine..jean maron note
>jc sur votre post de 6h21 je ne savais pas que Colette Renard n’était pas prof de lettres.
Et Colette ? (Rose)
Colette a été en effet la prof de lettres de Colette Renard, à l’époque où la malheureuse enfant, abandonnée par ses parents, survivait en poussant la goualante dans les rues de Montmartre. Il s’agissait de leçons particulières, rétribuées moyennant quelques services intimes. Colette Renard apparaît sous le nom d’Irma la Doucette dans « La fin de chérie ». Certains détails du récit entraînèrent une brouille durable entre ces deux monstres sacrés. On lira sur cette question délicate les pages fort éclairantes de Piotr Assoulynitch dans « Colette et Colette » ( Albin Mitchell).
Est-ce que vous te foute de mon gueule, Sergio ?
ouais j’lai vue ce matin la Colette : si jolie quand elle était jeune, avec ses deux longues nattes son ovale parfait et son col blanc amidonné & si vulgaire sur ses vieux jours.
Donc cela colle bien mon adaptation guère licencieuse.
les pauvres gamins des rues, dont jean genet, il leur arrive toujours des bricoles.
En tout cas, la mère gourgandine, on tape son nom images, gougueule et on attrape peur.
Sinon, son mec va, je crois, lui croquer l’oreille. Elle aura beau faire, une oreille en moins.
Big Browser consacre une page à u. :
rose, t’es folle ?
pour clopine
Mme De Beauvoir à sa table de travail. Que dirait-elle d’Onfray ?
>les autres
photographiée par Brassaï au café le Flore
http://nobilityporn.files.wordpress.com/2011/04/simone-de-beauvoir.jpg
…
…Cons-courts limite de raclures,…allez y; hun petit effort,…Si, vous pouvez mieux faire!,…
…c’est quoi une raclure,…James Bond 007 des Nouilles ,…déjà c’est très variable,…il faut savoir bien la prendre,…même si votre chien récidive,…
…etc,…instructions!,…Bip!, Bip!, encore des raclures,…pour mon jardin à papillons!,…etc,…
…
@ rose
en ce temps-là, on avait le droit de fumer, ça changeait tout, la vie avait un sens.
Incroyable
en lien de nouveau avec la famille Hériot fondazteurs des grands magasins du Louvre.
Le fils Auguste Olympe amant de Colette personnage principal de Chéri. dit aussi Auguste II (oisif mélancolique)
Auguste Hériot a servi de modèle à Émile Zola pour le personnage d’Octave Mouret, héros du roman Au Bonheur des Dames (1883)
le père Auguste I son frère Olympe papa d’Auguste II et la mère Cyprienne Dubernet.
En lien avec Félix le sculpteur qui a fait la tombe de Jean le tout petit.
mold rebec dit: 9 janvier 2014 à 15 h 35 min
Est-ce que vous te foute de mon gueule
Oh c’est bien trop tôt pour l’instant on en est à la chatte de Colette qui va bientôt tomber de son balcon…
si pour trouver un sens il falait se mettre à fumer cela se saurait.
Juste favoriser les acquis de la Seita.
Et ses PDG
Bertrand de Gallé : 1988-1993
Jean-Dominique Comolli : 1993-1999 (puis coprésident d’Altadis)
puis Vincent Bolloré
discrets discrets
il fallait se mettre à fumer.
Ou à boire.
Cela se saurait.
Pauvre chatte qui n’a jamais rien fait à personne.
Pendant que sa maîtresse travaille.
James Bond tourné là à Udaipur en Inde au Rajasthan
http://media1.voyages.woopic.com/medias/images/reportages/600×450/James_Bond_Inde_Rajasthan_Udaipur-thumb-940×705-13714-600×450.jpg
Lac Pichola
Octopussy
en ce temps-là, on avait le droit de fumer, ça changeait tout, la vie avait un sens.
on existait
tout ça pour la poule
ou l’oeuf
je sais qui des deux
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/cc/Madonna_Lily_Egg.jpg
la cocotte ; comme Colette.
Non grarrrrr
je sais pas qui des deux
l’œuf ou la poule
me le demande
histoire très compliquée
on va faire une fête pour ton petit, je leur ai dit ce matin cadeaux mille et un ; pour l’australienne S. Dois faire mes cours en anglais et français.
Ai félicité le correspondant qui parle si bien anglais. Un mois avec nous.
J’ai tout dit
far from home
adaptation
congratulation
go back home
tout ça.
On fera la fête la veille de son départ ; j’emmène les fleurs de thé, les autres se débrouillent, aux commandes. Moi aux manettes.
Ce matin ai viré un qui sait jamais la boucler jamais. Lundi je me le chope.
Droit dans les yeux, j’lui dit « c’est moi le prof c’est toi l’élève ».
Supplication : les parents parlez à vos mômes pitié ! Parlez leur.
Un jour, je vais être entendue. Ils vont se parler.
Courage.
(tu n’as rien à voir avec Colette, rien, de chez rien ; te bile pas baby).
quand j’écris te bile pas baby c’est à moi que je me parle pour m’encourager c’est pastàtoi.
Quand tu ne bois pas, tu ne noies pas ton chagrin dans l’alcool, donc tu as nécessité d’être encouragée.
Cela dit la lunchbox que je possède je ne savais pas comment la remplir désormais j’ai appris : en haut les chapatis, en dessous le riz basmati ou autre en dessous les légumes tout en bas le curry.
Il faudrait avoir le protège lunchbox en tissu.
D’accord.
Ce serait pas mal.
Tu prends la dimension de ta lunchbox et tu cherches la housse. Ou tu la fais. En tweed.
Auguste Hériot a servi de modèle à Émile Zola pour le personnage d’Octave Mouret, héros du roman Au Bonheur des Dames (1883) (Rose)
Il est le père d’Edouard Hériot, qui fut le premier à traverser la Manche en parapente.
Merci, rose, pour le 14 h 57 min
« Ce matin ai viré un qui sait jamais la boucler jamais. Lundi je me le chope.
Droit dans les yeux, j’lui dit « c’est moi le prof c’est toi l’élève »
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=shQhsCo5dlI
>Marcel j’aime bien vos poèmes épicétout
Herriot avec deux r
aux côtés de Zola lors de l’affaire Dreyfus
le même ? la même famille qu’Auguste et Olympe les frères.
Non il meurt sans postérité. Auguste Hériot.
Rien à voir.
Je voudrais compléter ce que dit Rose Certes,Auguste Hériot est une des clés.Mais pour les techniques de vente d’Octave Mouret, et l’extension du magasin, c’est plutôt vers Aristide Boucicaut et Le Bon Marché qu’il faut se tourner.
Bien à vous.
MCourt
Cette famille Hériot est fort intéressante Court.
J’ai trouvé un lien avec Colette Chéri mais aussi avec un personnage de l’Oeuvre. Ai pas pris de notes andouille que je suis.
le nom le plus long
commémorathorio puissance n
Aristide Boucicaut et Le Bon Marché (Court)
Je n’en disconviens point mais Aristide Bourricot est meilleur marché.
@ 9 janvier 2014 à 17 h 56: Les noms les plus longs, que j’ai moi-même observé lors de voyages, sont: En gallois (Wales, langue celtique), en polynésien (Polynésie française ou Nouvelle-Zélande) et en coréen*.
Bien entendu, la possibilité de forger des mots en allemands, laisse assez ouverte la longueur des mots…
* Pas trop pratique, pour prendre le métro à Séoul.
PS: La dame au manteau en fourrure et à taches, ne devait pas savoir, que seuls sont belles les peaux avec des taches rondes et petites. La panthère donne de très beaux manteaux. Chasse aujourd’hui interdite, en 1968, tout était encore permis.
pour la dame, retournez à passouline morand wawa
pour le titre du billet et la date
« 16 mars 2012
Paul Morand, l’immortalité à l’usure
début du billet pour le livre: » Jusqu’où un romancier peut-il pousser son empathie pour son personnage principal lorsque celui-ci fut un contemporain discutable ? La question m’a taraudé tout au long de ma lecture du premier roman de Pauline Dreyfus Immortel, enfin (228 pages, 17 euros, Grasset).
«
>absence planétaire à la brésilienne dit: 9 janvier 2014 à 18 h 34 min
et qu’en avez-vous pensé absencepàlb ?
Question cruciale : sur quelle touche ne faut-il pas appuyer pour que ce que l’on est en train d’écrire ne vienne à disparaître et soit ainsi publié tronqué ? Cela vient d’arriver à absence planétaire et ça arrive tout le temps à New Reader.
D. qui êtes un féru de ces questions, avez-vous une réponse ?
Marcel, ne vous moquez pas de notre ami(e) HR, qui est atteint(e) de parkinsonisme — c’est l’explication de ses difficultés. Plaignons-le(la) et encourageons ses efforts.
continuez, absence planétaire à la brésilienne, nous vous lisons avec intérêt.
Dans « Le coin du critique SDF », Court a enfin trouvé un interlocuteur à sa mesure.
…
…donc vous étiez avec moi,…comme çà a détartré,…au vinaigre d’alcool ( pur ),…
…
…bien tremper 24 h, rien à racler,…il reste de la misogynie,…un fin halo,…etc,…
…
TKT dit: 9 janvier 2014 à 18 h 16 min
Ce commentaire me semble frappé au coin du bon sens.
Les Anglais traduisent ce mot par : issuable media conference’s announcement at a press release regarding the convener’s speech at a secondhand car dealership union’s strike meeting.
En français, on dit simplement : pilou.
pour les conversations des amnésiques
dans sciences et avenir ,un article sur la maladie de Parkinson , où l’on oit la remise en question de l’origine cérébrale (avec la piste de maladie à prion),
sur la princesse épouse de P .Morand
Hélène Chrissoveloni, d’une famille de banquiers grecs de Trieste, épousa un Roumain, le prince Soutzo, se sépara de lui et vint vivre à Paris. En 1915, elle rencontra, à Londres, le jeune diplomate Morand (il était de dix ans son cadet)
http://www.lepoint.fr/actualites-chroniques/2007-01-22/morand-l-abject-nourissier-raconte/989/0/68462
bonsoir et bye bye les obsédés de psa de zinc
Bravo Manuel en tous cas. Tu te laisses pas marcher sur les pieds. Je voterai peut-être pour toi en 2017, si tu rejoins le centre-droit.
Ce que beaucoup ignorent, c’est que le mot français le plus long n’est pas « anticonstitutionnellement » mais « hexakosioihexekontahexaphobie » (29 lettres), qui signifie : peur du nombre 666.
Je suis personnellement hexakosioihexekontahexaphobe.
D. dit: 9 janvier 2014 à 19 h 09 min
Bravo Manuel en tous cas. Tu te laisses pas marcher sur les pieds. Je voterai peut-être pour toi en 2017, si tu rejoins le centre-droit.
Chausse tes lunette D., il y est déjà.
D, votre mot en flamand, me semble être une phrase, le texte était-il écrit sans espace blanc ?
Marcel dit: 9 janvier 2014 à 18 h 45 min
Question cruciale : sur quelle touche ne faut-il pas appuyer pour que ce que l’on est en train d’écrire ne vienne à disparaître et soit ainsi publié tronqué ?
Coriace, en effet, cela arrive à pas mal. Je verrais éventuellement une réponse du HTML à un Ctrl + une touche. Faudrait la repérer à ce moment-là ! Quant au Ctrl, un peu incongru, il pourrait être tout simplement le résultat d’un dérapage à partir du Shift, voisin.
Ah oui, oui, Thierry, c’est un mot sans espace. Un exemple des substantifs qu’on peut construire en afrikaans (non en flamand).
(Eh, entre nous, avoue que je t’épate.)
Jacques Barozzi dit: 9 janvier 2014 à 16 h 44 min
TKT éprouve une admiration secrète pour D.
Mais je l’ai toujours compris ainsi, Jacques. Je suis une sorte d’idole pour lui.
…
…parti de hommes libres comme des planètes,…
…un soleil nous suffit,…
…ne nous marchons pas sur les pieds,…à se faire manipuler les huns contre les s’autres !
…tagata!…tagata!,…
…les centres ou ailleurs des partis à se faire c….. sur la tronche,…
…l’hygiène politique,…
…grand nettoyage des cafards des loges et francs-maçonniques,…des pivots du pouvoir, des lobying’s sur la têtes des citoyens,…des comédiens qui s’emmêlent les torchons avec les serviettes,…
…Stop aux Croisades, pour se faire acheter par l’église,…retrouver vos terres et vos droits,…Haro!,…sur les intérêts mafieux de basse-cour,…à retrouver son connétable-commémorable Bertrand du Guesglin,…
…
…un nouveau parti pour les intérêts de tout les français,…et pas les uns contre les autres !…
…bande d’andouilles endoctrinés!,…à De Guise!,…
…
On va peut-être commémorer plus tard la décision du Conseil d’Etat de ce soir.
L’opération lancée par Valls contre l’infect Dieudonné était une erreur.
Il ne faut pas interdire ces spectacles (ou ces meetings, comme on voudra), ni ceux qui seraient du bord adverse.
Mais on est maintenant dans l’après-coup.
Une pensée qui restait à l’état gazeux et suscitait des ricanements d’origine très diverses va se solidifier en idéologie (et une idéologie, ça n’a pas besoin de théorie compliquée, seulement de slogans et de gestes rituels).
Il était évident que l’assemblage hétéroclite des fans de Dieudonné ne pouvait être réuni ensemble, malgré leurs différences (parfois incompatibles) que par un motif, le « motif juif », le « machin » juif.
C’est le liant, la glue qui fait tenir ensemble ces ressentiments hétéroclites.
Retirez cette épingle, et les morceaux de cette triste défroque tombent par terre.
Les amateurs de provocs humoristiques resteront, et les ex-gauchistes « anti-sionistes » comme les fascistes anti-sémites « canal historique » comptent pour du beurre.
Ce qui est en question, c’est la bataille pour le contrôle politique de la « jeunesse issue de l’émigration ».
Cette jeunesse est largement d’origine islamo-africaine.
Elle n’avait pas de canaux pour exprimer sa colère, Dieudonné lui offre sur le plateau un MPNO, un mouvement politique non identifié.
Rien ne dit pour autant qu’il l’emportera!
La décision de limiter la liberté d’expression est juridiquement aberrante.
Mais si c’est le début d’un combat ouvert dans l’arène politique contre l’idéologie moderne qui repose par excellence sur l’identification du sioniste et du juif (c’est-à-dire l’idéologie islamiste, qui favorise cette confusion dans des pays voisins du nôtre), eh bien, ce sera regarder la réalité en face, au lieu d’espérer que tout s’arrangera tout seul…
(Je sais, je sais, des forces israéliennes ne sont pas innocentes dans ce chaos anti-républicain (« rejoins-nous, la France est trop dangereuse, la génération de tes parents s’est trompée, fais enfin ton aliya, on a besoin de toi »…), mais c’est secondaire.)
Bon, c’est hors-sujet, mais il arrive que l’écoeurement l’emporte.
A bientôt!
Bon mais Valls il va pas mettre de contrôle technique moto, corboeuf ?
Vous pourriez expliquer ça plus clairement, u., rien compris à votre com ?
L’opération lancée par Valls contre l’infect Dieudonné était une erreur.
une faute..on est pas dans l’aprés coup msieu zouzou..prends les politiciens que pour des cons..ils roulent pas que pour eux cte blague
baroz il est comme dans l’histoire des juifs à la terrasse d’un bistrot de buoénos aérésse..se demandant si c’est bon pour eux si la ville a battu sanpolo 5-0
chtavourais baroz que j’ai lu qule début dson post..pour ça que j’ai tout compris
msieu lassouline si ça continue jvais causer avec ton blaze aussi..et dire des conneries passible
??ha jme souviens d’un dtes posts disant « pas de pitié pour les usurpateurs »..tauras pitié..d’avance
C’est le liant, la glue qui fait tenir ensemble ces ressentiments hétéroclites.
Retirez cette épingle, et les morceaux de cette triste défroque tombent par terre.
bon tu vois baroz je fais un effort et je lis plus avant..
esplication évidemment controuvé..nul..c’est l’contraire
Bon, c’est hors-sujet, mais il arrive que l’écoeurement l’emporte.
le début vaut la fin zouzou..pour l’entre 2..
toi eznfiels tu as déjà fait de l’usurpation de pseudo..alors chus ni psy ni philiosophe mais.. camembert!
..et puis l’usurpation de pseudo n’est pas si grave..sauf que quoi..usurpé par une raclure..on a sa fierté merde
lassouline va l’être par un « petit célinien »..qui va le soigner
« La princesse Soutzo en son âge d’or »
voilà la légende.
Toutefois, je ne poursuis pas la lecture des commentaires de ce billet du 16 mars 2012; plus interessant est le point de vue de F. Nourrissier.
(merci)
…il reste de la misogynie,…un fin halo,…
Cher Giovanni, que vous êtes beau dans votre habit de soldat, j’en tremble face à tant de beauté dans l’arène.
Pour le machisme, pas trop de soucis à se faire, rampant il triomphe d’autant mieux et merci les copines.
Le vertige des mots magiques, harcèlement, stalking, que des mots excitants aussi, pervers-narcissique, etc… De quoi faire plus d’effets au mémères que le vieux Détective et même pas la peine d’aller en chercher sous la Croix du Sud pour se travestir et mieux dissimuler l’explosif. Quel Bazaar!
ayant déjà dit les limites que je trouais à ces échanges sur blog, serait-ce seulement d’un lien de lecture, je prends congé de tousavaux de S et de P.Assouline en avouant que j’ai lu et apprécié en général et en particulier les travaux de S.
Tisseron sur le sujet de ce billet et ai pour vous trouvé un lien à penser comment vous panser (on panse les chevaux d’ailleurs)
ce blog avec les histoires de « recettes » et de modèles, -certes ces derniers discutés par des historiens de haute volée comme C.Ginzburg et comment il se posa des questions sur son travail!- a trop tourné au how to sur lequel un philosophe recommandé par votre Virgile passouline a été dument interprété d’une manière qui ne l’a ostensiblement pas troublé !):
le lien donc de Tisseron
-que j’ai entendu aussi en colloque
http://mediologie.org/cahiers-de-mediologie/07_monuments/tisseron.pdf
Bon, je n’ose une redite, à la manière de.
Il y a un livre à vous (tous là, qui ont de la morale qu’une idée historique trop trop vague…) recommander chaudement.
Je ne vous en dis pas plus.
N’oubliez pas de composter votre billet.
ps: Rose, et alors le proc’, il a vous a répondu, concernant votre problème de communication avce votre ami sur un blog ?. A-il motivé ses avis ?
pps: soca picq 9 janvier 2014 à 0 h 08 min
Trop gentil.
http://www.youtube.com/watch?v=SALgXnL61gY
Flûte alors, on arrête pas d’effacer mes commentaires qui sont pourtant extrêmement intéressant.
Je vais peut-être saisir le Conseil d’État.
excuses :mais je n’ai pas du tout fait attention en écrivant : et n’ai pas du tout l’intention de me concentrer pour ces échanges
voici la citation que j’ai trouvée, avec de très beaux commentaire-dans la traduction dans une plaquette recommandée par P.Assouline.
toutes les recettes »…. »engendrent, à mesure qu’on les suit comme des recettes, des caricatures ridicules de l’homme »
Sergio dit: 9 janvier 2014 à 19 h 21 min
Merci Sergio. Je vais faire des essais. On verra bien quel ctrl x fait partir le message.
Question subsidiaire : quel crtl y fait partir Valls ?
On commémorera le 9 janvier 2014. Le Conseil d’Etat vient de faire jurisprudence sur la condamnation des intentions supposées.
A quand la transformation de la République française en Texas ?
l’une des qualités du texte de Tisseron sur le thème du billet que j’ai envoyé en lien , c’est aussi qu’il réfute cette opinion qui a cours qu’on ne peut pas « expliquer » du tout
Je suis très embêté avec le contrôle tecnique, Sergio parce qu’avec mon 103 je passerai pas, le compteur de vitesse est mort et il a pas de clignotants, j’indique la direction avec mes bras.
Si Valls met le contrôle tecnique je suis foutu de foutu.
Par contre je l’ai jamais boosté. là-dessus je suis clean de chez clean.
…
…Mme Michu,…9 Janvier à 20 h 39 mn,…
…
…les partis en coupe,!…
…
…Oh!,…grands Dieux, mon » machisme ciné = crédibilité « ,…pour en rire,…
…Giovanni,…l’homme = légion,…
…&,…plan Marchall,…et plan Robin des Bois,…mysticisme édulcoré et l’€urope en bouteille en Stalag 13,…
…
…Général,…Oui!,…les Biberons se rebellent,…c’est Athéna!,…elle débute à l’espagnol,…elle prend tout de Go!,…etc,…
…
abus du mot hommage par les journalistes, donc de ceux qui parlent selon leur modèle
Arthurs: un poster officiel illuminé par le sourire d’Ellen DeGeneres
sur hommagite : des distinctions lexicales qui peuvent irriter des « profanes » ne sont pas sans intérêt, même dans la langue quotidienne ,dans cerains contextes, par exemple dans la parentèle.
NOn, mossieuûu bouguereau ,je n’ai jamais usurpé personne et je
vus enmmerde, vous pouvez aller vous faire enc***er tout seul!
intentions supposées.
« intentions supposées. »
on n’avait pas la moindre idée de la teneur du meeting…
sur quenelle
pour ceux qui ne dédaignent pas un commentaire d’un philosophe digne de ce nom
http://www.philomag.com/blogs/philosopher/quenell
vous insistez djedla pour le procureur de la république, pourquoi.
Une phrase m’a étonnée dans ce très long courrier – mais vous confondez il s’agit du piratage de ma boîte mel, pas d’un pote de blog – c’est quand il m’écrit Madame vous pensez peut-être savoir qui commet cette intrusion. Si cela vous occupe à ce point, c’est que vous avez des raisons sérieuses, je peux alors aller chercher ce courrier.
Mais pourquoi ?
Vous demandez baratin ou pas ?
Ce n’en est pas.
J’ai même eu très peur lorsque j’ai reçu ce courrier.
…
…Mme Michu!…harcèlement, stalking,…des mots magiques,…
…et ta soeur, elle est tombée sur sa tête,…
…
…d’une vie béa,…à souffrir les bêtises subies,…en victimes d »une civilisation » obscure « ,…
…tient, v’là!,…que je tient mon » persécuteur « , de première!,…Mme Michu!,…l’habitude des syndic’s à faire du fromage, ou du beurre et l’argent du beurre colonial!,…en saindoux!,…
…çà va pas la tête!,…votre enfoirée!,…
…t’a perdue au Lotto cette semaine!…
…distanciation,…nous somme sur un blog français ici,…ne mélangeons pas les pinçeaux!
…à la vache qui rit!,…etc,…de Honfleur!
…expédiez!,…
@D : C’est vrai que ça rigole pas, finalement, ces trucs…
http://www.youtube.com/watch?v=a7ubYLnFS10
Sinon pour ma Yam on a prévu… de mettre un fil de fer au guidon pour bloquer la poignée, donc limiter la puissance ! Après c’est vite démonté, forcément, pas de carte à changer…
Oui mais il y a de l’orage quelque part. Quand la fontaine fait une espèce de bruit comme du silence, et que j’ai mal à l’épaule, il y a de l’orage et des éclairs de chaleur.
Vous voyez le topo?
Tant mieux pour vous.
Suis vannée, je vais dormir.
http://www.fabula.org/atelier.php?Nos_mots_et_les_leurs
«Nos mots et les leurs. Une réflexion sur le métier de l’historien, aujourd’hui», par Carlo Ginzburg.
Enregistrements vidéo de la conférence «Our Words, and Theirs» ici et là.
sur fabula
Le point de vue de Y. Michaud n’est pas à dédaigner.
Il est juste dommage que sa conclusion dans cet chronique de Philo Mag relève bien d’une « abduction » rhétorique … ou d’un sophisme ?
« L’abduction démarre avec un fait surprenant. »
http://crg.polytechnique.fr/fichiers/crg/publications/pdf/2013-05-09-1773.pdf
la quenelle dieudonnesque est devenue par abduction, effectivement, politique, quelles que soient les intentions de ceux qui la pratiquent, outre les antisémites, racistes, et xénophobes, mais tous partisans de la rhétorique de Dieudonné.
Valls – ses conseillers juridiques- ne s’y est pas trompé, en déclarant, dans l’attente de la décision du Conseil d’Etat, dans un extraordinaire moment de tension, parant finalement à toute éventalité : il y a la politique, et il y a le droit.
Dieudonné et Valls sont en politique.
Laissons leur ce ring.
rose dit: 9 janvier 2014 à 22 h 50 min
vous insistez djedla pour le procureur de la république, pourquoi.
Pourquoi ?!
mais Rose vous souffrez d’une degénérescence quelconque de votre outil informatique qui ne vous permet pas de faire un reward, sur vos interventions récentes sur ce blog, assez longues et certainement pénibles pour vous, mais pas que ?
J’essaie simplement de comprendre pourquoi vous nous les avez infligées.
Et Rose, si ce n’est pas assez clair, votre vie privée ne nous regarde pas.
Si ce n’est en plus , qu’elle ne parait pas si interessante que ça.
Oh dites donc, Des journées vient d’employer le mot ‘abduction’. Il fallait le faire.
J’ai personnellement été abducté en 1974 dans un petit hameau du Cantal à l’âge de 16 ans. Je l’ai su bien plus tard sous hypnose. J’ai eu la vision d »une immense soucoupe aux parois intérieures lisses et blanches et d’une blonde aux formes sublimes qui vint pratiquer sur moi des expériences incroyables avant de se saisir d’une sorte de pistolet muni d’une immense aiguille très fine qui m’injecta un implant dans l’avant-bras gauche, lequel allait migrer tout seul des années plus tard dans une dent de sagesse provoquant une douleur qui conduisit à son extraction par une fausse dentiste membre de la CIA qui continue de me surveiller étroitement une histoire finalement assez banale.
sauf il elle s’est exprimée sous le pseudonyme bouguereau, ce qui est bien sûr impensable. Mais j’aime bien énoncer toutes les hypothèse; n’oublions pas que je suis un champion des techniques hypothéticodéductives enseignées dans les États-major, qui consistent à émettre tout un tas d’hypothèse de la plus farfelue à la moins farfelue et d’écrire pour chacune ce que l’on devrait observer ou non.
Vous pouvez vous amuser à faire pareil, ça prend du temps mais vous serez pas déçu du résultat.
Prenons par exemple l’hypothèse HZ-748-230105 dont l’énoncé est « Thierry a un bichon ».
Que devrait-on alors observer:
– Thierry
– Un bichon
– Des gens qui parlent de Thierry et de son bichon
Qu’observe-t-on dans la réalité :
– Thierry
– Un bichon
– Des gens qui parlent de Thierry et de son bichon
Matching : 100 %
Conclusion : Thierry a un bichon.
C’est de cette façon-là que je sais tout sur tout le monde ici et depuis bien longtemps.
Je peux vous faire un exemple avec u. si vous voulez, mais il faudrait me le demander explicitement, je voudrais pas paraître embêtant avec mes histoires.
« Oh dites donc, Des journées vient d’employer le mot ‘abduction’. Il fallait le faire. »
Oui, enfin, D. il fallait surtout suivre la démonstartion en X, Y Z de Y. Michaud, dont je vous donne ici extrait ( je ne vais plus faire votre domestique -mot à la mode- bien longtemps encore, remerciez notre contributeur brésilien de cette passe !)
« Anelka fait une quenelle mais comme X, Y, Z qui sont racistes font de même, alors il est encore plus vraisemblable que Anelka fait la quenelle parce qu’il est raciste. Le pire, c’est que l’abduction se renforce elle-même : Anelka devient une exemplification de plus de la proposition générale et s’accuse ainsi lui-même. »
J’ai rien compris à votre exemple, Des journées.
On a manifestement pas été à la même école.
D., inutile de me tenir la jambe …
je n’ai pas non plus compris la conclusion de Y. Michaud.
Demain est un autre jour,
« pansez l’histoire », un vrai remède de cheval, je vous dis.
…
…tient un post, que je voulait vous envoyez,…
…pour mettre le Cantal, le Texas, et la C.I.A.,…en dérision,…à été,…envoyez aux » oubliètes « ,…Merci!,…Google mafieux mondialiste !,…la démocratie à la pensée unique,…U.S.A.,…K.K.K.!,…etc,..
…
…
…comme dirait la pyramide,…je me trompe, ou on me tronque,…
…faut voir en 3D,…géostationnaire!,…avec Loly-prote du saindoux!!,…
…
Avec toutes ces commémorations je réalise que l’Europe ne fut jamais aussi creative artistiquement que just avant la guerre de 14…ce qui me fait penser (oui ca m’arrive encore quoique de plus en plus rarement) que la créativité artistique est peut être un précurseur à l’horreur…oui, je sais à cette heure-ci, je devrais pas avoir toutes ces pensées négatives, cela me donnera que des cauchemars…
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