
De l’effet pervers en littérature
Pour qui fait profession d’observer la vie littéraire au quotidien, rien n’est réjouissant comme la rencontre inopinée en librairie de deux livres qui paraissent en même temps, sont peut-être disposés innocemment bras dessus bras dessous dans certaines librairies et se parlent à l’insu de leur plein gré, nouant ainsi une discrète conversation dont tout lecteur peut tirer profit. Le cas depuis peu de La nuit sur commande (180 pages, 19 euros, Stock) de Christine Angot et de Déshonorer le contrat (153 pages, 19 euros, Gallimard) d’Antoine Compagnon. Deux essais dont on pourrait penser a priori qu’ils n’ont rien à voir l’un avec l’autre alors qu’à l’examen ils ont tant à se dire.
Christine Angot avait accepté la commande d’Alina Gurdiel et de Manuel Carcassonne, la directrice de la collection « Ma nuit au musée » et le patron des éditions Stock, de jeter son dévolu sur un musée ou une collection (l’ancienne Bourse de commerce investie, c’est bien le mot, par l’homme d’affaires François Pinault il y a quatre ans pour y exposer des oeuvres de ses artistes), d’y passer la nuit à déambuler puis de dormir sur un lit de camp et d’en ramener un livre, le 22 ème de la série. Seulement voilà : qui s’adresse à Angot ne doit pas s’attendre à ce qu’elle fasse autre chose que du Angot sauf à être bien naïf. Trop libre, trop indépendante, trop Angot pour obéir à un autre désir de livre que le sien propre. Ce n’est pas quelqu’un à qui l’on donne une consigne. Encore moins un dispositif d’écriture. Quant à Pinault, s’il en a accepté le principe (après tout, c’est chez lui), et qu’il s’est imaginé que l’écrivaine, comme d’autres de la collection, ferait l’apologie du lieu, sa surprise a dû être aussi grande qu’est haute la verrière de la Rotonde de sa Bourse.
Non seulement Angot est venue avec sa fille Eléonore mais elle n’a pas passé la nuit sur place comme prévu. A une heure du matin, elle en a eu assez et s’est tirée ailleurs. Le musée en question est donc expédié en quelques pages à la fin de son texte, mixtures d’appréciations extraites du Livre d’or et de GPT. Tant mieux parce que ce qu’elle a à dire de l’art et de la littérature mais aussi des mondanités artistiques et littéraires auxquelles il lui est arrivé d’assister sinon de participer, est autrement plus excitant. A Paris, cela va de soi, mais aussi à Châteauroux, Nice, Reims… Car il fut un temps, il y a longtemps, où elle fréquenta ce Milieu, disons plutôt le microcosme de l’art contemporain, jusqu’à devenir l’intime de Sophie Calle, Jean-Michel Othoniel, Christian Boltanski, Claude Lévêque & co, un tout petit monde où l’on brasse souvent des sommes considérables, où des créateurs sont parfois les marionnettes de marchands, galeristes et collectionneurs, où toute conversation de vernissage sur le marché de l’art dévie exclusivement sur le marché au mépris de toute réflexion sur l’art (et dans une ignorance crasse de l’histoire de l’art).
Rejetant le respect des conventions, Angot en fait un récit implacable, une satire tordante mais sans violence ni agressivité car tempéré par l’humour qui explore les rapports de pouvoir et de domination dans un univers où l’argent suinte par tous les pores. Même si le pied-de-nez n’était pas dans son projet, c’est peu dire qu’elle se paie la tête de ses commanditaires même si elle va bien au-delà dans une pure démarche d’écrivaine, rivée à tous moments à son autobiographie pour le moins chahutée (son père, qui l’emmenait adolescente au musée, une fois la nuit venue lui faisait des demandes qui étaient autant de commandes)- et comment en serait-il autrement dès que la célébrité acquise lors du coup de tonnerre de la publication de L’Inceste (1999) a fait d’elle une personnalité invitable et admissible dans ce milieu-là.
La présence de l’étranger y est sollicitée par intermittence avant d’être renvoyée à son statut d’intrus. Piteuse élite qui se donne pour une aristocratie du nouveau goût ! A la place de ses commanditaires, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, on dirait qu’un si spectaculaire retournement, la plus inattendue des (dés)installations de la rentrée littéraire de printemps, était espérée. Il en nait une tension suivie d’un apaisement comme on en rencontre rarement dans les récits de soi. Par facilité de langage, on dirait que cette réussite littéraire est l’effet pervers de ce détournement de commande. Encore faudrait-il s’entendre sur le sens de l’expression, si glissant qu’il parait signifier aujourd’hui bien autre chose qu’il y a, disons, une soixantaine d’années. Toute une tendance parmi les psychanalystes et psychiatres n’a jamais supporté que les Foucault, Deleuze, Guattari, Genet, Lacan entre autres détournent la perversion de son sens classique figé par la nosographie médico-légale et l’esthétisent jusqu’à ce qu’un Barthes définisse systématiquement l’écriture par la perversion, un défi à la Loi- et le contrat comme un modèle vénal inspiré par la prostitution.
Au fond, en pervertissant la commande, Christine Angot a contrefait le protocole qui lui était proposé/imposé. Ce qui nous renvoie à Déshonorer le contrat d’Antoine Compagnon. L’historien de la littérature, qui fut autrefois le jeune assistant de Roland Barthes au Collège de France, y examine de plus près les rapports qu’entretenait l’essayiste et théoricien avec la commande. Chemin faisant, ceux qui connaissent mieux son œuvre que sa biographie, y découvriront nombre de détails édifiants. C’est peu dire qu’il ne dédaignait pas les besognes parasites. Antoine Compagnon parle même de mercenariat, de l’apprentissage nécessaire de l’écriture au kilomètre et va jusqu’à affirmer:
« Qui n’a pas été payé à la ligne ne sait pas ce que c’est qu’écrire »
Procrastinateur, Barthes écrit toujours à la demande de quelqu’un, à son incitation, répondant ainsi au désir d’un autre que lui-même. A la fois peine et bienfait, l’écriture lui est une tâche ; c’est pourquoi il la fonctionnarise. Il a besoin d’un contrat pour s’y mettre étant entendu que cela suppose un don et un contre-don. Sarrasine (1830), la nouvelle de Balzac, fut largement étudiée par Barthes comme l’histoire d’un contrat déshonoré dans une société où il convient de tenir ses engagements là où d’autres tentent de faire un enfant dans le dos. Quand on dit « commande », on entend souvent « commandement ». On dira qu’il avait besoin d’argent et de pouvoir. Et puis quoi, il y a quelque chose de stimulant dans ce type de défi. Or bien après, lorsque Fragments d’un discours amoureux, Roland Barthes par Roland Barthes, Le degré zéro de l’écriture, le structuralisme, la revue Tel quel, l’élection au Collège de France en firent un maitre à penser dans certains milieux, il continua mais avec davantage de discernement ; encore que celui-ci lui fit défaut lorsqu’il accepta par exemple de préfacer en 1976 Clefs pour la science-fiction des jumeaux Bogdanoff ( !) ; pour sa chance, bien que son texte fut livré à temps, l’éditeur lui en préféra un autre de Ray Bradbury…
En réenvisageant Roland Barthes sous ce prisme bien particulier, on découvre un tout autre rapport à l’écriture. C’est à se demander si cet écrivain à la plume étincelante, essayiste d’une intelligence si aiguë qu’elle en était parfois inintelligible hors de son cercle, ne fut pas un romancier raté, avorté, mort-né en raison même de son rapport à la demande extérieure. S’agissant d’une fiction, elle doit venir d’un désir intérieur. Dans l’admiration éperdue et jamais démentie de Proust, Barthes aurait rêvé d’écrire une autre Recherche du temps perdu. Or le problème, c’est que ce désir-là ne se commande pas. Comment peut-on désirer un livre qui vous a été commandé ? On aura beau citer l’exemple de Tristes tropiques, l’analogie ne tient pas : Jean Malaurie ne l’avait pas commandé à Claude Lévi-Strauss pour sa fameuse collection « Terre humaine » chez Plon : il le lui avait juste demandé, et c’est toute la différence. La proposition tombait bien, comme tombaient bien les propositions du même genre qu’Albert Skira fit à nombres de plumes prestigieuses pour sa collection « Les sentiers de la création ». En fait, Roland Barthes essaya d’adopter l’attitude d’Igor Stravinsky tel que celui-ci l’exposa dans ses Mémoires :
« Le truc, bien sûr, c’est de choisir sa commande, de composer ce que l’on a envie de composer et de se le faire commander ensuite »
Toute l’habileté consiste non seulement à persuader le commanditaire qu’il est bien, lui et lui seul, à l’origine du projet puis, une fois signé, de se le réapproprier en le poussant à bout jusqu’à une certaine limite. Sous la plume de Compagnon, on découvre que Barthes a été durant toute sa carrière un grand producteur de préfaces notamment à l’intention des patrons de ce qu’on appelait « les clubs », secteur profitable et prolifique dans l’édition des années 1950 à 1990 : la Guilde du livre (Lausanne), le Club français du Livre, le Club du meilleur livre, le Club des libraires de France, le Grand livre du mois, France-Loisirs…
Après une étude un peu trop technique et inutilement fouillée de ce domaine, l’auteur nous révèle que Barthes était du genre à détourner un peu la commande s’agissant notamment des présentations de classiques : La Bruyère, Chateaubriand etc. Et même de classiques modernes où on le voit traiter avec condescendance L’Etranger avant de prendre de haut La Peste alors qu’il est censé « vendre » Camus au lecteur qui doit être mis en appétit. Ses préfaces aux œuvres de Racine connaitront une certaine gloire car recueillies par la suite avec d’autres textes de lui dans son volume Sur Racine, elles seront à l’origine de la fameuse et virulente polémique Barthes-Picard qui enflammera conservateurs et avant-gardistes durant un an au sein de l’université. Tous les livres de Barthes parus de son vivant ont été écrits à la commande, sauf un : Fragments d’un discours amoureux. Son meilleur livre.
(« Roland Barthes dans le rôle de W.M. Thackeray aux côtés de Marie-France Pisier dans Les soeurs Brontë d’André Téchiné, phonogramme D.R. ; « L’Extase de sainte Thérèse, sculpture en marbre du Bernin », 1645-1652, Chapelle Cornaro, Rome, photo Filippo Monteforte)
1 584 Réponses pour De l’effet pervers en littérature
J’ai l’intention d’écrire un petit texte sur cette histoire. Personnage central, une répugnante maîtresse d’école. Suffisamment enrobé, bien sûr, pour être inattaquable. Je ne manquerai pas d’en signaler la publication ici.
(La prose de Clopine, toujours tristement orientée.)
Bolibongo dit: 4 mai 2025 à 12h03
et alii, du calme à l’excès d’enthousiasme,
bien à vous! 🙂
Chaloux, vous sombre dans la folie.cette petite fille tuée par sa mère au pardon de la Courneuve, je ne l’ai jamais eu comme elevey. Si j’ai été présente au procès c’est comme témoin éducation nationale puisque j’étais directrice de l’école où était scolarisée l’enfant depuis un an.et ce n’était pas un internat…
Vous êtes vraiment malsain comme de demander à JJJ des nouvelles de son cancer sur un ton narquois.
Tout ça parce que vous avez honte que je vous rappelle vos questions déplacées vis à vis de Ed. Pauvre type !
sombres – au parc –
sombrez
Le décalage est si fort entre l’image de petite sainte développée pendant ce procès (j’ai relu des articles) et la sotte harpie que vous êtes ici, qu’il ouvre un champ littéraire considérable que je retiens. Vilaine femme aujourd’hui, vilaine femme hier. Il y a longtemps que je vous lis. Ma conviction est faite.
Pour la seconde fois je me suis forcé à lire ce texte de Clopine. Il n’y aura donc pas de troisième fois.
Presque tout ce que je n’aime pas en littérature contemporaine s’y trouve.
Et en plus on raconte qu’elle ne l’aurait pas fait exprès.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2008/04/02/au-nom-de-l-indulgence_1030049_3224.html
Tenez Chaloux, je n’ai rien à cacher !
Et ce n’est pas moi qui ai écrit cet article mais la chroniqueuse judiciaire du Monde qui suivait le procès.
@ 8.27 (Je n’aime vraiment pas votre suffisance).
Et pourtant, je ne suis pas caractérielle ni quelconque. Juste un peu cruche à vinaigre quand je prends mon thé au jasmin. Certains dimanches…
@ 20.21 (« Vous n’êtes pas quelconque, voyons… qui a pu vous dire cela ? »). Caractérielle, oui, un brin, ce qui n’est pas jugement de valeur, juste « fact of the matter », seulement. Sans gravité aucune. On s’en remet aisément et sans remords(dre), SVP.
@ (Le gros Chaloux est insupportable, vaniteux, vulgaire et bête). – On va finir par se demander si les deux ne sont pas les mêmes, sans vouloir les offenser ni l’une ni l’autre.
***Signalons à la grande lectrice qu’elle est hors d’état de cause, de même que ses tomates farcies, bonnes gens.
Ce qui m’importe c’est de sonder votre nature véritable, celle qui fait que tout le monde a fini par vous claquer la porte au nez, le fond de vous-même, cet abominable cloaque que vous exhibez ici depuis vingt ans et qui depuis longtemps me donne la nausée.
« très beau texte »… N’exagérez pas!
« Harpie », Chaloux vous inversez les rôles. C’est vous qui harcelez les uns et les autres, ici. Et moi depuis mon apparition sur ce blog en 2004.
A chaque fois que je vous ai répondu c’était avec votre langage, le vôtre.
MC,
Vous me faites sourire ! Disons que c’est un élément d’une chronique. Il y a eu de sa part quelques pages sympathiques et bien tournées dans sa vie d’avant. Légèreté et humour où se succédaient la cuisine, les bêtes, la cueillette des pommes, les hirondelles… Chronique solaire bien loin des tristes pages qui ont suivi.
J’aurais dû écrire : très belle époque dans les récits de Clopine.
De plus, MC,il ne faut pas oublier que dans la triste époque qui a suivi, elle habitait un immeuble excentré dans la banlieue de Rouen. La scène décrite cible cette impression d’être l’étrangère dans ce quartier où les habitants ont leurs habitudes…
Elle en souffre. Elle le dénonce, retrouvant des accents de solidarité avec les femmes lay où elles sont oppressées par une société patriarcale. C’est une sorte de reportage pris sur le vif. Il atteint son but.
Mon « langage » ne saurait servir de paravent au vôtre. La vérité c’est que vous êtes une femme vulgaire et violente, de plus servile et sotte comme un panier. J’en prends pour seul exemple votre couplet ridicule sur la façon d’écrire de @PA. Comment oser publier de telles sottises? Il faut vraiment être vous pour croire qu’il s’agit là de choses remarquables.
Chaloux -14h33
Ça ne mérite même pas de réponse. Vous désirez. Allez donc voir un psy !
14h53
Il faudrait savoir. Deux registres différents. Un seul dot pour les lire. Un à vous seul adressé. L’autre, je n’ai pas à en rougir. Quand Pierre Assouline écrit des livres ou des articles intéressants je l’écris. Où est le problème ?
dot/sot
Vous êtes multiple dans l’abjection.
La Trouillefou s’est exilée à Amiens?
J’y vais dans la semaine !
Cela me rappelle l’histoire : c’est à Jérusalem dans un bus, sous le soleil. Une dame se met à hurler : « Y a-t-il un médecin dans le bus ? Y a-t-il un médecin dans le bus ? » Un homme encore jeune s’approche d’elle et lui demande : « Que vous arrive-t-il, Madame ? » Elle lui répond ceci : « Dis, ça te plairait pas que je te présente ma fille ? »
JJJ.
Vous vous révélez bizarrement dans ce dernier commentaire. Vous ai-je confondu avec Chaloux dans vos échanges mis en lien ? Vous ai-je dit que vous étiez les mêmes ? Donc je serai Sasseur… C’est la meilleure de la journée. Elle va être ravie !
Sasseur, dont je m’excuse humblement de ne pas avoir vu le dernier commentaire, à moi adressé. Je crois que la monotonie dans l’insulte y est pour beaucoup!
Sasseur, donc, ne parait pas penser à un auteur dont il a été rendu compte ici, Cécile Desprairies, dont le tropisme Vichy est plus développé, etv mieux documenté, que le mien, à qui il est si facile d’attribuer tant de bêtises…
Janssen J-J dit: 11 juin 2020 à 17h28
@ Gigi, je ne te réponds plus. Tu essaies de me faire virer pour éviter que quelque chose n’arrive, mais je ne vais pas tomber dans le panneau.
Celle-là…, je vais me la garder bien au chaud, et la mettre à part, et pas me gêner pour la ressortir à chacune des futures agressions subies par cet invétéré MENTEUR merdeux congénital, qui nous la joue « parano », ast’heure ! »
Vous voyez, JJJ, que votre langage peut aussi ressembler à celui des deux autres sus nommés.
@ »Cela me rappelle l’histoire : c’est à Jérusalem dans un bus, sous le soleil. Une dame se met à hurler : « Y a-t-il un médecin dans le bus ? Y a-t-il un médecin dans le bus ? » »
blague un peu dépassée quand on sait le statut social actuel du médecin face aux zones de désertification médiale.
maintenant je verrai plus une blague genre « y’a-t-il le fils d’un oligarque dans la salle ? » ou limite d’un expert comptable ou d’un investisseur immobilier.
le médecin aujourd’hui c’est l’équivalent de l’ouvrier agricole dans les années 30.
Blaise, c’est balaise !
On en voudrait d’autres de ces chroniques des hauts de Hurle Rouen !
Jazzi – 15h35
Oui.
@ »Vous vous révélez bizarrement dans ce dernier commentaire. »
nous vivons une époque où la révélation bizarre c’est la norme.
du genre notre ministre des armées va fêter avec la première ministre estonienne le 70è anniversaire de la victoire sur le nazisme à Kiev parce qu’ils ne veulent pas aller le fêter à Moscou.
il faut savoir qu’en Estonie, une fois par an ils célèbrent la mémoire d’une division de waffen SS.
en fait on vit dans un monde hyper bizarre.
déjà le fait de ne pas inviter les russes pour l’anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz c’était un truc bizarre vu que ce camp avait été libéré par les russes.
je me demande ce que Musil aurait penser de notre époque.
on pensait que l’ovation faite à cet ancien officier SS ukrainien au parlement canadien c’était juste une boulette, en fait non c’était pas une boulette.
elle n’a pas l’air très en forme ces derniers temps Clopine
Bonsoir cher Damien, que pensez-vous de cette nuit d’Angot ? De mémoire vous aviez été prolixe suite à une de ses prestations télé.
Merci, Chantal. Effectivement, elle a du mal à retrouver loin de sa terre la force qui l’animait.
A l’époque j’avais apprécié le texte de Clopine et je le lui avais dit , en expliquant pourquoi je l’avais aimé
j’avais apprécié tous qu’elle arrivait à nous dire, a nous faire comprendre , avec ses notations séches, scènes disparates croquées sur le vif et procédant d un regard apparemment indifférent et distancié ,celui de l’Etrangère
Saisie par le doute sur la validité de ma lecture, quand j’ai découvert ici les réactions négatives à ce texte, venant de gens connaisseurs de la chose littéraire,j’ai été un peu rassérénée quand j’ai découvert que je n’étais pas seule et que Jazzi partageait mon point de vue ……à moins que la formulation enthousiaste qu’il choisie pour exprimer son sentiment soit ironique et à prendre au second degré ,auquel cas je me retrouverais bien seule .
De sorte que je serais intéressée par une analyse explicative des faiblesses de ce texte ,que je n’ai pas su voir
Oui, Puck, qu’aurait-il écrit ?
L’attitude adoptée par les intellectuels et les artistes autrichiens de sa
génération était apolitique et pessimiste. La disparition du monde d’hier… Une certaine indifférence faite d’incertitude. Un sentiment d’approcher de la fin. Musil a choisi d’approcher ces questions sans réponse d’une façon littéraire. La vie de son héros, Ulrich, est suspendue dans l’attente. Il refuse de se figer dans une personnalité stable. Il finit par ne plus pouvoir décider.
Oui, il s’agit d’une saynète prise sur le vif, mettant en scène des gens fatigués. J’y apprends que le pharmacien ne parle aux blancs, ce qui m’étonne grandement. Quel traitement réserve-t-il aux juifs? (Une famille juive expulsée d’un restaurant napolitain tout récemment). Tout cela semble aller de soi, y compris pour la narratrice, et ne le devrait pas.
On comprend mieux que les flics se fassent cogner dans les cités.
Tout cela bien dans l’idéologie nébuleuse de Clopine.
« Ça y est » est d’un amateur.
ne parle pas…
Il a placé, au fond de sa pharmacie, faisant face aux deux guichets où les employés s’affairent, trois chaises, comme pour des spectateurs.
–>
Au fond de sa pharmacie, il a placé trois chaises en face des deux guichets, comme pour des spectateurs devant les employés s’affairant.
Etc. Etc.
Il y a toutefois une erreur dans l’article de Pascale-Robert Dinard, c’est le maire qui avait organisé le rassemblement pour se souvenir de la petite Cady, comme c’est lui qui m’avait proposé de faire partie de la délégation qui se rendit dans la Drôme pour l’enterrement.
Vous dîtes défaire passer pour une sainte, ou ça ? Comment cay ? J’ai fait mon devoir, c’est tout en étant présente aux deux procès où je devais représenter l’Ecole et les enseignants.
L’école n’avait d’ailleurs rien à se reprocher. Ses deux institutrices ont été remarquables de patience. De plus, personne ne savait que les deux semaines précédant le drame, la mère avait confié sa fille à une amie ayant besoin d’être seule. Elle venait de la récupérer la veille.
Néanmoins il reste en suspens le fait que personne ne savait qu’elle allait si mal. C’était une personne discrète que l’on voyait rarement.
C’est vraiment horrible, Chaloux, de réveiller ce souvenir triste , uniquement parce que vous ne savez plus comment manifester votre haine. Il s’agit bien de haine et depuis de nombreuses années.
me faire passer – où ça, comment ça ?
Si une personne ayant lu l’article de Pascale-Robert Dinard, ne m’avait demandé si c’était de moi qu’on parlait dans cet article, je n’en aurais pas parlé.
Une jeune mère complètement cinglée qui étrangle sa propre fillette jusqu’à la mort et la directrice d’école, Christiane P., qui la défend et lui trouve des excuses !!!
Putain ! Mais c’est quoi cette sordide
histoire encore ?!
Cela me rappelle le chapitre bouleversant dans « L’Enfant » de Jules Vallès narrant le martyre d’une gamine, Louisette, frappée et violentée durement, sauvagement par son propre père, prof de latin et bon sous tous rapports, qui, sadiquement, après avoir roué de coups Louisette, la petite, l’innocente, l’enferme dans un placard sombre. Elle en est morte.
Et les larmes de tristesse et de révolte du jeune Vingtras qui se promet à lui-même de toujours combattre l’injustice.
Une pensée, des larmes et toute ma vaine révolte pour CADY.
(Quant à toi, Christiane, vieille vipère criminelle, sans coeur ni âme, un jour tu paieras…)
Bernard, ne parlez pas de ce que vous ne connaissez pas. Cette mère aimait sa fille, la gatait et comme on dit les autres témoins qui l’a connaissaient dans la vie, elle ne levait jamais la main sur son enfant. Un acte de folie, certainement. ‘a défendre certainement pas, je n’étais pas son avocate. J’ai juste témoigner de ce que l’on savait ou voyait à l’école. Le fantôme allant à la garderie le soir, on ne voyait pas la maman.
Si elle avait maltraité sa fille avant ce geste terrible, je ne pense pas que les jurés auraient été si cléments et que l’article aurait été rédigé ainsi. La mort d’un enfant est terrible et impossible à imaginer mar une mère aimante . Les psychiatres ont un peu expliqué ce geste de folie. Le reste lui appartient. Ce geste elle le portera toute sa vie.
Un jour vous serez peut-être juré dans un procès d’Assises, vous verrez ce n’est pas simple de juger un être humain.
Le fantôme / l’enfant
par
Tais-toi, Christiane, tais-toi et ferme ta sinistre gueule une fois pour toutes.
Ne m’adresse plus jamais la parole, tu comprends, plus jamais.
Oublie-moi.
Cessez les jugements. J’ai été témoin a décharge dans un procès jugeant un de les élèves qui a violé sa soeur plusieurs années après qu’il ait été dans la classe. Au tribunal, devant lui, sa sœur, ses parents, c’était un moment terrible -au sens de terrifiant.
Je l’ai défendu autant que j’ai pu de ce que je savais de lui. Sur l’affaire, je n’ai rien su.
Arrêtez de juger à tort et à travers.
Et surtout, arrêtez de faire la guerre.
Pour ma part, c’est stop.
il est regrettable que ce blog devienne un tribunal,
ne serait il pas plus « productif », aussi pour christiane de retrendre seule tout par écrit sans se laisser déborder ni par les souvenirs, ni par ce qu’elle pense avoir compris,comme une base de travail
pour y voir plus clair jusque dans l’actualité qui a tant été saisie par les maltraitances :c’est elle qui peut aoorécier ce qu’elle trcherche de la oublicité qu’elle donnera à tels faits, tels actes, tels effets
mes élèves
dans ma classe
à partir de ce que je savais de lui
Ce blog ne peut pas, ne doit pas refléter ce qui se passe à l’extérieur. Il doit, il peut, il est possible qu’il soit une bulle de protection pour tous les gens qui y interviennent.
reprendre
Et alii
Je suis d’accord avec vous.
Néanmoins, ce qui est totalement si istre, c’est de ressortir une affaire qui date de 2004.
Ce week-end guerrier sur la rdl a été odieux.
Mais qui peut s’arroger le droit de juger ?
sinistre
Mais qui êtes-vous pour juger, Bernard ?
Êtes-vous procureur de la République ?
Pascale Robert-Diard.
Ce blog me dégoûte.
Et Pierre Assouline qui laisse faire et nous laisse Christiane et moi nous faire injurier journellement sans intervenir.
permettez moi de redire
« peste soit l’opinion de savoir » si l’on est décidé à juger ou si l’on émet in jugement par nécessité
–>
Au fond de sa pharmacie, il a placé trois chaises en face des deux guichets, comme pour des spectateurs devant les employés s’affairant
Mais pas du tout.
C’est parce que les gens sont crevés et/ou dépressifs, en tout cas exhausted, en anglais.
Les chaises leur offrent un moment de répit.
Et alii
Et aussi l’autre conclusion de la fable de La Fontaine ?
J’ignore la haine mais pas le mépris. C’est du mépris que j’éprouve.
Quand je vois comment la vieille maîtresse d’école a embrayé sur ce que lui racontait la rosse à propos de mon ivrognerie (moi dont le seul vice est l’eau pétillante), je me dis qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans la microscopique cervelle de ce crampon. Cela a duré des mois, des mois durant lesquels elle a affirmé jour après jour connaître quelqu’un qui me connaissait, l’assurant que j’étais alcoolique au dernier degré. Elle avait simplement gobé tout ce que lui avait raconté une autre vieille mythomane. Il y a des années que je la teste et je sais maintenant quelle harpie elle est. De même, insinuer que je pourrais être Ed ( il faut vraiment être totalement à l’Ouest pour imaginer une chose pareille), la discréditer au passage alors qu’elle allait lui faire des ronds-de-jambe sur son blog. Rappelons aussi qu’il fut un temps où Paul Edel qui n’en pouvait plus d’elle lui avait fermement ordonné de lui foutre la paix. Et après avoir bien bavé avec la rosse sur un peu tout le monde, quelles sont maintenant leurs relations?
Tout cela suggère le portrait d’une personne malsaine qui n’a qu’une idée en tête : s’immiscer dans l’intimité d’autrui pour n’en faire ensuite qu’à sa tête (folle).
Elle voudrait être respectée ? Il aurait fallu d’abord être respectable.
Lorsque je suis partie à P. rendre visite à ma maman, en milieu de trajet, et de nuit, j’ai été arrêtée par la gendarmerie à une sortie d’autoroute. Ils m’ont parlé, tout en braquant une lampe de poche sur les fauteuils arrière. Ils cherchaient une petite fille enlevée par sa maman.
Elle a subi le même sort que la petite Cady.
Comment juger et condamner sans savoir des gens sont la misère est telle que les actes commis par eux sont inacceptables ?
Moi je ne suis pas mythomane.
Et, Chaloux, vos délires vous nourrissent.
Je suis out.
Ni haine. Ni mépris. Ni rien d’autre : out of order, je suis.
Je ne crois pas qu’on ait effectivement beaucoup à gagner à ce que ce blog devienne un tribunal. Notons tout de même qu’il ne manque pas d’accusateurs publics. Cela dit, on n y prend pas non plus de risques inutiles. J’ai bien aimé, à ce titre, « le petit texte suffisamment enrobé pour être inattaquable » qu' »on » compte tirer de cette affaire, qui est tout sauf nouvelle, et qu’on semble vouloir faire payer ad nauseam à l’intéressée. Dame, c’est le blog de Madame Diard, lequel ne recrute pas d’habitude les Chaloux en instance de naufrage ou les pseudo-Bernards Lhermitte. Il semble se dessiner confusément une analogie de traitement entre, disons l’auteur d’un article, et la prestation de Christiane. Le motif est en gros le même, et il n’a pas un beau nom: la jalousie.Merci Et Alii de votre sage conseil. MC
Merci Rose de vos paroles de sagesse.Puissent-elles être entendues…
Je pense que la vieille maîtresse a espéré un temps que Paul Edel, ébloui par son intelligence exceptionnelle, l’épouserait. Il fallait voir avec quelle impudeur, avec quelle indécence, elle le louait. C’était vingt fois pire que ce qui se passe ici maintenant. D’intelligence, point, et il n’y eut pas de mariage non plus. Mais que de triste misère humaine ( et inhumaine) étalée! Que d’absurdes espoirs déçus!
« Car, pour moi, j’ai certaine affaire
Qui ne me permet pas d’arrêter en chemin.
En toute chose il faut considérer la fin. »
Livre III des Fables de La Fontaine
–
Le renard et le bouc
Je ne délire pas, la rosse, je m’en tiens à la stricte réalité. C’est vous qui déliriez prétendant me connaître…
Je note et renote et alii
« En toute chose, il faut considérer la fin ».
De M.de La Fontaine.
Vous délirez Chaloux.
Beaucoup.
Je stoppe là.
Rose,
Cet homme sous pseudo est bien énervé et raconte n’importe quoi. Cady était une enfant aimée et gâtée par sa mère. Elle venait de recevoir un petit vélo rouge et tous les habitants de sa rue la voyaient pedalait et rire. Elle n’était pas farouche, entrer dans les maisons de la rue. En classe c’était un pitre. Tout l’intéressait sauf apprendre. Assez intenable mais attachante. Mêmes témoignages du personnel de la garderie et du centre aéré.
Reste la mère que l’on connaissait peu sauf aux réunions de travail avec le médecin scolaire, la psychologue et autre personnel. Là elle parlait un peu de ses difficultés.
Que dire d’un acte d’une telle folie ? Je ne suis pas psy. J’ai montré les lettres qu’elle m’envoyait à la psy. Elle se posait beaucoup de questions, ne comprenait pas son geste. Je crois que le procès lui a permis de s’exprimer, d’entendre les experts, les témoins. Enfin bref, je ne sais pas du tout pourquoi Chaloux revient sur cette tristesse.
Quant à Bernard il raconte n’importe quoi et injurié gravement. Je pense que Pierre Assouline lira ce dernier commentaire et prendra les mesures qu’il juge nécessaire. Mais Jazzi avait raisin, c’est bien Chaloux…
Pédaler – entrait –
Et alii,
Sans connaître cette fin de fable, échangions ce matin avec une copine à moi.
Untel, tragiquement décédé à 55 ans. Sans entrer dans les détails, il n’a jamais travaillé de toute sa vie : il est mort un premier mai.
Telautre, tragiquement décédé à 59 ans. Athé, communiste etc.
Il est mort le jour de l’Ascension.
Ah, le mariage avec Paul Edel, maintenant. Il m’aura tout fait ce Chaloux ! Paul Edel va se tordre de rire !
Ben oui, la rosse, vous stoppez là. Que pourriez-vous faire d’autre, à part présenter des excuses?
Cette manie d’amalgamer les intervenants est pathologique. Hier, j’étais Ed (!), aujourd’hui Bernard…
Il fut un temps où il se tordait plutôt de colère. Et comme on le comprenait !
C’est horrible.
Je cesse là.
J’ai récupéré avec grandes difficultés sommeil, équilibre de vie etc.
Ce n’est pas ce blog qui va me déstabiliser : ceci est hors de question.
Les gens capables et courageux, peuvent, ont le choix, de boire un café ici ou là, même brièvement.
Je coupe toute discussion face aux injures : il est hors de question que j’accepte cela.
Je ne nourrirai pas la perversité : niet.
Oui, c’est atroce de raconter autant de conneries à une déficiente mentale!
Je vais vous dire les choses en deux phrases Chaloux.
Chacun, tous, nous avons nos moments de loghorrée, maîtrisée pour la plupart…Vous, je ne compte pas pour assassiner, effectivement l’ette hypersensible si attachant, etc, si vous écriviez sous un pseudo, un seul comme Christiane ou moi, vous seriez ou bien moqué ou bien rejeté ; pour des raisons qui vous appartiennent, vous avez choisi le multi pseudo, qui, selon moi, va bien au-delà de la planque et du « je compte absolument préserver mon anonymat » : vous exprimez ainsi ainsi une palette chromatique d’individus, hommes, femmes, étrangers, proches, lointains, etc..
C’est votre droit.
Puissiez-vous y trouver quelque équilibre, de vie et votre épanouissement.
Pour ma part, je vous demande de cesser de m’injurier.
De mon côté, je vous laisserai vivre votre vie, en vous respectant tout en vous gardant quelque peu à distance pour me protéger moi.
Et alii, cette nuit, j’ai rêvé que tous les commentateurs de la RdL avaient pour mission de produire un prototype révolutionnaire de turboréacteur à double flux. Chacun apportait des maquettes bancales qui se cassaient la figure. D’un seul coup, Pierre Assouline arrivait avec un prototype parfait, génial dans sa conception. Tout le monde était scotché. Je lui disais bravo, c’est exactement le procédé qu’il fallait. Il semblait content, soulagé.
Ma pauvre Rosse, vous délirez totalement, je n’ai qu’un pseudo, le mien. Vous êtes complètement à la masse. Devriez rejoindre votre mère.
Christiane, aimez-vous seulement les huîtres de Cancale ?
D,, j’aime toutes les huîtres, les crabes, les langoustines, les oursins, les crevettes… Bref, un régal !
Au banquet du mariage, il y aurait eu des fruits de mer!
Hurkhurkhurk!
Pas de chance Chaloux, vous êtes à côté de la plaque, je viens de la quitter.
@Rose
: Le jour où Fabrice Luchini a rencontré Roland Barthes
https://www.youtube.com/watch?v=K6m-1u67xP0
@ Vous voyez, JJJ, que votre langage peut aussi ressembler à celui des deux autres sus nommés.
—-
Anéfé, nous sombrons tous apparemment dans les mêmes travers, quand nous sommes à cran… (sauf etalli). Ma légère différence avec vuos, C.P.: ma capacité d’oublier rapidement ce que vous conservez soigneusement de venimeux sur les uns et les autres, ami.es d’un jour, ennemi.es de toujours …
(juste veuxj préciser que je plaisantais quand j’insinuais que vous étiez HC-exChalou, ce que vous avez assimilé à Ma Jeure… Un peu à votre manière… grotesque, quand vous feingez de confondre HC avec Ed).
Bon, tout cela frise le grotesque. Il vaudrait mieux en ricasser, mais hélas, il restera toujours quelque chose en vous de pas clair, comme dirait jzmn. Une forme d’indécence melliflue et sardonique à la fois. Il n’y a pas de tribunal, icite, ni de coupables ni de victimes de harcèlements, de délations, de menaces qui tiennent… vis à vis desquelles P. Assouline devrait sévir. Quelle pitoyable brame dans le désert… Il n’existe que des êtres virtuels à vif, toujours blessés, rarement joyeux. « En découdre, coûte que coudre avec des inconnu.es de la terre entière », se disent-ils…, sera toujours mieux que rien pour me prouver que j’existe.
Bàv ?
Je veux dire demeurer à l’hospice.
Bernard PIVOT, Fabrice LUCHINI et Dany LAFERRIÈRE « La langue française rend fou »
https://www.youtube.com/watch?v=s0ArBW46-oY
La Gigi et sa leçon, fabriquée dans la même matière que lui : le saindoux.
» La Rosse ».Déjà entendu cela chez quelqu’un. (MS!) L’emprunt ne vous grandit pas.
nb / Je n’aime vraiment pas ce sale kon de Chaloup, que je préfère appeler Henriette Chafoin, comme chacun sait, et ce, pour des raisons qui m’appartiennent. Mais je n’ai jamais imaginé qu’il pût avoir de multiples pseudos usurpés chez les un.es ou chez les autres. C’est bien la seule concession que je puisse faire à sa petite personne. Pour le reste, hein…, je ferai comme JJJ le fera toujours avec lui, s’il persiste à ne pas vouloir me f… la paix. Mais ne venez pas me dire que je serais (ou pourrais être) le double d’ henriettechafoin@laposte.net, le naguère célèbre CDBF au CJ pas toujours bien effacé, vu sa notoire persistance en récidives d’insultes incoercibles erga omnes.
Le sein doux ?… ça me va, samovar… !
quand nous sommes à cran… (sauf etalli)
Pck et alii tient la route.
C’est sa vie intellectuelle.
Oui, après m’avoir longtemps agacé, j’ai fini par comprendre que sa folie lui était une droiture non obvie. Elle va, brinquebalante, telle une Antigone de Bauchau « sur sa route ». Rien à voir avec celle de Kerouac, si peu intellectualisée.
Il est parfois instructif d’aller relire il y a dix ans d’ici pour se rendre compte à quel point le méchoui a faisandé, je vous laisse vous peigner les aisselles par temps humide en arrière boutique. Le temps d’élucider l’écheveau .
Je me suis déguotté une petite merveille de cottage le long du canal à Gouarec, je descends le visiter dans la semaine.
Du gras de porc. Encore du gras de porc.
« En découdre, coûte que coudre avec des inconnu.es de la terre entière », se disent-ils…, sera toujours mieux que rien pour me prouver que j’existe.
Non.
Porte à faux.
Ai repéré a minima deux sujets sur lesquels nous aurions pu rebondir.
Le portrait de l’ukrainienne dans la nuit au musée de Gallienne avec Coco Chanel et
Et ?
Et, les portraits de quartier en court récit sous forme de nouvelle. En ce qu’ils disent de notre société.
Quant à ce que certains répètent avec obstination, c’est à eux-mêmes qu’ils portent tort. Effet boomerang.
Je viens de lire l’article de Pascale Robert Dinard, il y a des confusions ici qui n’ont pas lieu d’être. Des jugements à l’emporte-pièce qui sont d’une imbécillité notoire, et surtout, à partir de quatre bribes*, une invention de la vie d’autrui disproportionnée. Je ne m’exclus pas de ce que je dis.
* En tout cas, tout ce qui est dit de personnel et de sensible est pris et renvoyé en pleine gueule comme une bombe.
Pascale Robert-Diard
Exemple donné ci-dessus : illustration ci-dessous => folie de et alii ; c’est ne pas la connaître et ne jamais l’avoir rencontrée.
D’où la tonne d’incompréhension totale.
@ Chantal (21.02), drôlement instructif, votre commentarium de 2015 sous Mathias Enard… Ils étaient déjà tous là, à débiter les mêmes conneries… Dix ans plus tard, ont pas pris une ride, et pourtant le monde a c-roulé avec le chat. Eux, ceux qui sont restés, ont pas évolué d’un iota. J’ai ri, Mégérie !… Merci Chantal, inconsolable et gaie.
(nb/ finalement, Gouarec, c’est près de Trieste ?)
Il y avait un troisième sujet, envisageable, et totalement passionnant : un lien, tout a fait incroyable entre une sculpture découverte et inventée par et alii, un d’ici qui aime ce personnage de la Bible, et une qui a eu une conversation avec un membre du corps médical habitant rue Moïse.
Mais,
C’est à côté de Saint Brieuc. Y a les rêves et y a la réalité. Et ceux qui se coiffent les aisselles dans l’arrière-boutique, c’est pour mieux prendre le train de nuit, mon enfant.
21.12, J’aurais bien aimé la connaître et la rencontrer. Je préfère imaginer qu’elle n’existe pas vraiment, c’est toujours ainsi avec les gens dont l’intellect me terrifie. Par exemple, Pascale Robert-Dinard (sic), moi je veux bien, mais il faut rectifier soi-même de temps à autre.
Je n’ai encore rien compris à cette histoire out of order, also ? Mais s’il fallait tout comprendre de l’histoire du petit Gregory…
nb/ Amiens n’est pas dans la banlieue de Rouen. Allez-vous édifier un nouveau blog ?
« Il n’existe que des êtres virtuels à vif, toujours blessés, rarement joyeux. »
Joyeux…bien à part quelques détails insensés (Gaza, Ukraine, Iran, etc.), je suis plutôt joyeux. Quant aux événements virtuels, la bonne nouvelle c’est que les vrais événements ne m’affectent pas, je vous laisse imaginer mes opinions relatives aux conneries et aux harcèlements virtuelles des gens desquels je ne pense pas grand-chose.
Bonne soirée
désolée, je n’ai pas le temps de vous faire des barbapapas,donc c’est au plus simple que j’ai trouvé une hisyoitr d’urgentiste:
Nicolas Bonnemaison[4], un médecin urgentiste accusé d’avoir euthanasié des patients en fin de vie.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pascale_Robert-Diard
bonsoir
histoire
Cela bien à part je suis en train de lire L’uomo cinamatografico, la virtualità del reale nel cinema di Antonioni e Piertangeli (L’Homme cinématographique, la virtualité du réel dans le cinéma d’Antonioni et de Piertangeli).
J’ai soixante-douze ans.
Il m’est parfaitement égal de plaire ou de déplaire.
Une indifférence envers les autres mêlée à une lassitude envers moi-même me laissent toujours de marbre ou plutôt de verre : Transparent à tous et à tout.
C’est au plus haut que je me souviens du livre de cet urgentiste, cela dit pour le pervers et alien qui a voulu réduire l’assistance à personne en danger à sa tambouille d’aliéné.
« Lui a voulu privilégier la réflexion sur le métier grâce au récit de son expérience de jeune médecin urgentiste « lancé dans le grand bain » du secours en montagne. »
On n’y arrivera pas.
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Je me mets de côté.
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Passé la semaine avec un jeune homme de l’Azerbaïdjan, au bord de la lettre Caspienne, il voudrait huit enfants, un groupe de grimpeurs grenoblois dans les Calanques, leur ai parlé d’Annot qui est la reine de la grimpe trad. La mienne, il y a 51 ans. Avec sa voie archi difficile, archi réputée, des kayakistes, dont un dans son van de pompier. Le nombre de vans m’a impressionnée, dont ceux des femmes solo. Avec Fouzia, Khader, Sonia, Odette, Lucinée, Marie et Eryne et Pascal et Maria ♥️.
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Dansl’Ehpad, stupéfaite de découvrir vingt mètres linéaires d’acanthes rasées, en miettes.
Deux dahlias en fleurs, roses et jaunes, etc. Le mort mort. On n’y arrivera pas. Floraison dans le désert.
Vingt mètres linéaires, mon cœur broyé
https://images.app.goo.gl/z7ymXthSSv8YBBb3A
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au bord de la mer Caspienne.
Le long d’un mur
https://images.app.goo.gl/KuAqM1qnkqyGpCn96
réduire l’assistance à personne en danger »21h58
a toutes fins utiles, j’ai envoyé la définition du service public (lien)comme point de départ en soulignant un risque de conflit sur la notion d’urgence, selon moi importante, et argumentant par
l’exemple d »‘urgentisme en médecine
21h58fait son cinéma qui a laissé tout le monde indifférent;nul ne s’y est trompé
o
rose, attention acanthe toxique;on a beau etre robuste, ce n’est pas que de la litterature, les effets
Et alii,
Oui mais le laurier rose aussi et la liste est longue de plantes toxiques.
Tous les jardins des résidents de l’extension sont plantés de lauriers roses
Et alii
Sur la médecine urgentiste, grande et belle conversation samedi 3 mai avec une jeune femme, qui termine dans un mois ses études d’infirmière. Elle fait des vacations d’aide soignante lorsqu’elle peut. Avec, elle devrait se payer le permis, mais avec sa sœur, elles partent en vacances, en Turquie, en Grèce. Le permis attendra. Dès qu’elle sera diplômée, elle sera embaucher aux services des Urgences à la Timone, car elle y a déjà fait un stage.
Hormis la Timone, où elle ira loin, j’ai résolu avec elle le problème de la dame qui gémit, qui crie, qui tape avec sa cuillère au bord de son verre. Elle m’a dit « elle a besoin de compagnie », elle l’a levée et l’a emmenée dans le salon. Des gens en or, comme cela, jeune fille ou pas, il y en a grand nombre.
Bonne journée à vous,
embauchée
Nous avons inventorié également le service cardiologie de la Timone que je classe moi-même cinq étoiles, et qu’elle connaît bien elle aussi.
Elle ne restera pas infirmière. Je lui ai dit continuez, elle l’a déjà prévu.
Morgan et Chana nouvellement arrivés, déjà adaptés, la jeunesse en mouvement.
Je ne sais pas si le 23h25 fait son cinéma, tout le monde aura compris que la non assistance à personne en danger , que J’ai mentionnée concernait la rosse
Elle peut avoir de graves conséquences pour ceux qui connaissent cette personne malade irl. Le mentionnant, je ne m’adressais pas à l’aliéné dont les crises sur ce blog relèvent plutôt de l’urgence psychiatrique.
J’ai trouvé cela il y a six ans sur le lien mis par Chantal ci-dessus :
Chaloux dit: 4 novembre 2015 à 20h38
Postérité : il faut bien que tout soit passé à la moulinette du marketing. Air du temps…
… Île déserte…. En vieillissant, il n’y a rien qui me repose comme un samedi ou un dimanche après-midi, dans une maison silencieuse, au milieu d’un village désert. Il ne se passe rien. Strictement rien. Personne ne viendra. Absolument personne. Pas d’internet, pas de télé, une radio qu’on n’allume plus parce qu’elle grésille. Une pile de livres dans laquelle piocher avant de se décider. Silence de belle au bois dormant. Et même une pointe d’angoisse, d’ennui, pourquoi pas, quand tombe le chien et loup et que le froid de la nuit commence à descendre. L’heure d’allumer le feu. Puis le soir, les ténèbres, une bûche remise de temps à autre dans l’âtre. Pas lu, pas entendu une bêtise de la journée. On est devenu inatteignable. Un vrai samedi d’autrefois durant lequel il ne s’agit que d’exister.
L’heure était 21h38.
Je l’ai su grâce à pmb qui questionne chaloux en fin de billet.
Il y a dix ans.
Non, JJ-J, ce ne sont pas du tout les mêmes et on recommence.
Beaucoup d’absents : Sergio, Diagonal, versus, PMB, Oursivi, JEM etc.
Beaucoup de pseudos éphémères.
Clopine brillante et convaincante en sa défense passionnée de Giono.
Pas du tout le stress actuel, extérieur, qui nous contamine nous, tous, les lecteurs d’Assouline, sur son blog. L’air du temps, tragique. Nous n’en sortons pas indemnes.
… er Odradek…
er > eT
Et Widerganger
Et Clopine
Gouarec est effectivement en Bretagne, mais c’est dans le coin des lacs et des jardins.
Gouarec, c’est la Bretagne centrale, dans le noir six mois de l’année. Il faut supporter.
Pas le type de maison à acheter au mois de mai. Attendre novembre…
Merci pour l’information, c’est surtout la zone inondable qu’il me faudra vérifier. Et puis s’il n’y a pas trop de vélos qui passent devant.
Le coin est bucolique, je ne sais pas si le notaire va répondre, en mai c’est toujours laborieux avec les ponts et les weekends à rallonge.
Mon fils est occupé à sa thèse. On verra bien.
@ »@ Chantal (21.02), drôlement instructif, votre commentarium de 2015 sous Mathias Enard… Ils étaient déjà tous là, à débiter les mêmes conneries… »
c’est vrai il y a 10 ans tu étais déjà aussi pontifiant, un balais dans le c.l et sûr d’appartenir à une espèce différente de ceux qui disent des c.nneries.
Choose France!
On va voir arriver tous les « fonds de cuve » des universités US (comme dit Ferry) qui accepteront un salaire français parce que personne ne voudra d’eux. Welcome les wokes, la cancel culture et les sensitivity readers!
Première condition à l’accueil de ces exclus: refus absolu des « sciences » humaines; sciences dures et même ultra dures (genre maths) only.
PONTIFICATIONS et CERTIFICATS D’ETUDE
& – Je crois qu’on ne peut pas lutter seul contre la calomnie sur les réseaux sociaux. Notamment quand la célébrité d’un.e internaute sous pseudo est devenue telle à ses propres yeux que la défense de son honneur fait chez iel l’objet d’une obsession et d’une souffrance constantes.
&& – Daniel Cohn-Bendit a dû se rendre à l’évidence à quatre-vingts ans. L’accusation de pédophilie dont il fut l’objet depuis la publication du « Grand Bazar » en 1975* , bien que récemment démentie dans ses mémoires (avec Marion van Renterghem) le poursuivra à jamais. Tout se passe comme si la fibre « libéral-libertaire » intarissable de cet excellent homme forgé un brin provocateur devait constituer la pire des tares dans le contexte furieux de notre triste époque wokiste.
——
* une vengeance de la fille d’Ulrike Meinhoff (2001) relancée par F. Bay.rou (en 2009), d’où la malheureuse riposte de D C-B … « et bien, mon pote, je te dis : jamais tu seras président de la République, parce que t’est trop minable pour ça. Trop minable ! »… Malheureuse, malheureuse riposte ?… Prophétique, peut-être bin plutôt, au regard de la présente complicité du dit 1st minister, dans l’affaire glauquissime dite de la grotte de Bétharam ».
________________
&&& 21.43 (J’ai soixante-douze ans. Il m’est parfaitement égal de plaire ou de déplaire. Une indifférence envers les autres mêlée à une lassitude envers moi-même me laissent toujours de marbre ou plutôt de verre).
1953 – Bien sûr que non ! J’ai le même âge que notre hôte & jzmn réunis, j’ai donc ma fierté et peux m’autoriser à conch.ier tous azimuts sur ce blog, pour tromper mon ennui.
Un aveu pontifiant servant d’exemple édifiant. A tous.tes, Bàv.
@ 6.56, mais non j’y étais déjà depuis longtemps, et j’en racontais tout autant que vous autres, des corneries… Chacun a son style de balai où il peut se le mettre. Le vôtre est pas mal non plus, de style, veuxj dire, sérieux. Bàv
rose dit: 5 mai 2025 à 5h57 Et Widerganger Et Clopine
… et vous r^z, quel était votre pseudo à cette époque ? Vous y faisiez déjà l’apologie de Victor Hugo et de Jean Valjean, je croisj. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvées. Bàv,
Je n’ai jamais changé de pseudo. J’ai dû censurer ce post pck j’avais rencontré Enard à Manosque. Un petit cochon de lait, j’avais pensé non.
Je dois avoir Boussole. Jamais ouvert, j’ai ma mienne.
quelques détails insensés (Gaza, Ukraine, Iran, etc.)
–
Le Yémen, peut-être ? Combien de mort depuis 10 ans au Yémen ?
Moi je sais : 377 000
Les USA ayant joué un rôle clé dans la coalition saoudienne. Soutien de toutes sortes. Dont bien sûr armes et renseignement.
@ D. dit: 5 mai 2025 à 8h15 « Moi je sais : 377 000 »
Et ça vous fait quoi…, au juste ?
Là n’est absolument pas la question.
Environ 10 fois plus de morts au Yémen qu’en Ukraine, depuis le début du conflit. Évidemment, c’est loin. Perdu au sud de l’Arabie. Alors on en parle moins. C’est moins vendeur dans les médias.
Question posée GPT:
Est-ce que les services secrets français se sont engagés à ne commettre aucune cyber attaque ?
Non, les services secrets français ne se sont pas engagés à ne commettre aucune cyberattaque.
La France, comme de nombreux États, a développé des capacités offensives dans le domaine du cyberespace. Cette doctrine est assumée publiquement depuis plusieurs années. En 2019, le ministère des Armées a publié une doctrine de lutte informatique offensive (LIO), précisant que la France se réserve le droit de mener des cyberopérations offensives, notamment à des fins de riposte, de renseignement ou de neutralisation de menaces.
Cependant, ces actions sont encadrées par le droit international et les règles propres à la défense nationale. L’objectif affiché est la légitime défense, la protection des intérêts français, et la prévention ou la réponse à des agressions.
Souhaitez-vous des exemples concrets ou un aperçu de la doctrine française en cybersécurité ?
Oui je veux
–
Voici un aperçu plus détaillé de la doctrine française en matière de cybersécurité, y compris quelques exemples concrets :
—
1. Doctrine française de lutte informatique offensive (LIO)
Publiée en janvier 2019 par le ministère des Armées, cette doctrine affirme pour la première fois publiquement que la France dispose de capacités de cyberattaque, notamment pour :
Neutraliser une menace dans le cyberespace,
Soutenir une opération militaire (ex : désactiver les défenses d’un adversaire),
Répondre à une attaque informatique subie,
Recueillir du renseignement via des moyens techniques offensifs.
Elle est mise en œuvre par le Commandement de la cyberdéfense (COMCYBER), créé en 2017.
—
2. Cadre légal et stratégique
Livre blanc sur la défense (2013) et Revue stratégique de défense et de sécurité nationale (2017) reconnaissent le cyberespace comme un espace d’affrontement à part entière.
La France adhère au droit international, notamment au principe de proportionnalité et de nécessité dans l’emploi de la force.
Elle soutient également l’application du droit international humanitaire en cas de conflit armé incluant des cyberopérations.
—
3. Exemples concrets (ou fortement présumés)
Contrairement à d’autres pays comme les États-Unis ou Israël, la France communique très peu sur ses opérations offensives. Toutefois, plusieurs actions sont soupçonnées ou évoquées :
Opérations de perturbation de groupes terroristes (ex : propagande jihadiste sur le web),
Contre-opérations de neutralisation de ransomwares ou d’attaques attribuées à des groupes liés à des États étrangers (Russie, Chine, etc.),
Participation à des exercices ou opérations de cyberdéfense de l’OTAN, où des moyens offensifs sont testés.
—
4. Exemple fictif illustratif
Imaginons qu’un groupe pirate tente de perturber l’alimentation électrique en France via une cyberattaque. Le COMCYBER pourrait :
Identifier les infrastructures utilisées par l’attaquant,
Pénétrer leur système pour désactiver les serveurs de commande,
Lancer une contre-attaque pour saturer ou neutraliser leur réseau.
—
Souhaitez-vous un résumé visuel sous forme de schéma ou une fiche synthétique PDF ?
Oh ben non. Quand même pas.
je me demande sérieusement si ce blog ne cherche pas à se réserver aux hommes de masculin grammatical;
ce à quoi je ne juerai pas, nimon chat qui m’a réveillée assez tôt en sautant sur le frigo et en mettant sa tête dans le paquet ouvert de friandises;
il semblait déçu de me trouver là:encore un videur?
C EST LA PROFESSION DE VIDEUR QU ON ENSEIGNE sur ce blog?
J APPRENDS SUR INTERNET QUE
Pape François, videur d’un club de Córdoba (Argentine) dans sa jeunesse
Mais qui donc a dit que le mois de mai était jolie !
AUTREMENT DIT
pour savoir faire le plein (comme à Rome, le pape)il faut commencer par être un videur expert
je ne jouerai pas
En France et en Belgique, et bien que des limites d’âges soient requises pour l’entrée dans certains établissements, le videur ne peut pas exiger de pièce d’identité de la part des clients[1]
https://fr.wikipedia.org/wiki/Videur.
Joli, sorry
Les agents et les officiers de police judiciaire peuvent procéder au contrôle de l’identité de tout individu sous certaines conditions définies par la loi.
Sommaire
Quand et où peut-il y avoir contrôle d’identité ?
Quelles sont les personnes habilitées à procéder à un contrôle d’identité ?
Que doit-on faire en cas de contrôle d’identité ?
Que se passe-t-il en cas de refus ou d’impossibilité de justifier de son identité ?
Voir tout le sommaire
Quand et où peut-il y avoir contrôle d’identité ?
Il existe plusieurs types de contrôles d’identité :
https://www.pratique.fr/controle-identite.html
@ »Il m’est parfaitement égal de plaire ou de déplaire »
yep moi pariel, mais il ne s’agit pas de ça.
c’est comme ce monde auquel nous appartenons, ce qu’on appelle l’ouest, ou l’occident etc… il se différencie du reste du monde de par ses valeurs, d’où cette obsession de vouloir défendre ces valeurs quitte à mener des guerres.
ces valeurs n’existent (libérté, justice, démocratie etc..) n’existent que par un discours disant qu’elles existent : le discours sert de preuve.
ce même discours qui valide l’existence de nos valeurs permet aussi de dire qui sont ces autres qui ne partagent pas nos valeurs.
entre parenthèses un truc assez marrant dans ce discours qui définit ces autres on a dit au moment où on a commencé délocalisé notre production en Chine : nous délocalisons la main d’oeuvre, mais bien sûr nous conservons le savoir faire, l’inventivité, la créativité, parce que ce discours définissait ces autres comme moins intelligents que nous.
sauf que ce discours s’est planté : en fait les chinois n’étaient pas aussi idiots qu’on le pensait, du coup ils ont récupéré le savoir faire mais aussi l’inventivité.
résultat de ce plantage : ces chinois sont devenus une « menace existentielle ».
cet exemple est à la fois drôle, mais aussi révélateur parce qu’il montre que ce discours valide l’existence de nos valeurs en même temps qu’il crée des menaces existentielles.
mais bon c’est juste un des aspects rigolos.
donc ce discours prouve à lui seul l’existence de nos valeurs, et ces valeurs peuvent se résumer en une chose : la « droiture morale ».
en fait c’est cette « droiture morale » qui nous distingue des autres qui eux n’ont pas de « droiture morale ».
là encore cette manière d’envisager les choses induit des trucs assez drôles.
exemple : les élections en Roumanie, j’ai écouté une analyse d’un expert qui expliquait que la Roumanie est un pilier important de l’otan, un peu comme le Kosovo : il n’existe que par son importance géographique pour l’otan.
ça c’était la première partie de l’analyse de l’expert.
et dans sa deuxième partie il a passé son temps à critiquer les ingérences de la Russie en Roumanie.
je veux dire cette ingérence parait logique puisque le type a expliqué que ce pays n’a d’intérêt pour nous que parce qu’il est annexé par l’otan.
en fait non : son analyse trouvait normale cette présence de l’otan qui menace la Russie et anormale l’ingérence russe pour y mettre fin.
pourquoi ? à cause justement de notre droiture morale que les russes n’ont pas.
du coup comme nous avons ces valeurs de droiture morale nous pouvons colonisé un pays pour y mettre des bases de l’otan pour menacer un pays qui n’a pas le droit de réagir parce qu’il ne possède pas nos valeurs de droiture morale.
donc tu vois que la question n’est pas juste de ce qui plait ou déplait.
« L’université californienne Stanford vient de publier des enregistrements inédits de l’ancien chef de la Gestapo de Lyon, Klaus Barbie. Ils ont été recueillis en Bolivie par un journaliste allemand en 1979 et évoquent longuement le sort de Jean Moulin. »
Pas grand chose de neuf dans lesdits enregistrements. Mais bon! Stanford a aussi acheté la Collection Roxelane Dubuisson, léguée initialement à Carnavalet, et d’une toute autre envergure s’agissant de Paris.
@ D. et etalii / Venez écouter le 18 mai Luc Julia, avec moi, et ma jeure, aufameux lieu germanopratin du rassemblement des spécialistes du divin Divan.
https://www.lisez.com/livres/ia-generatives-pas-creatives-lintelligence-artificielle-nexiste-toujours-pas/9782749183497
Bàv, on y pourra se débattre…, plutôt qu’avec des robots. Je pense.
« Donald Trump annonce des droits de douane de 100 % sur les films produits à l’étranger
Le président américain a affirmé dimanche que « l’industrie cinématographique américaine est en train de mourir ». »
On va lui réexpédier Tom Cruise, invité vedette du prochain festival de Cannes !
« La Peste n’est pas un roman c’est une chronique : c’est ainsi du moins qu’elle s’appelait au début. Ceci veut que tous les objets ordinaires du roman, l’homme, l’amour ou la souffrance sont ici vus à travers la transparence et l’éloignement d’une histoire collective, parcourue au jour le jour sans jamais se laisser pénétrer d’une signification proprement historique. » Roland Barthe, « La Peste/Annales d’une épidémie/ou roman de la solitude », février 1955, « Club »
Traduisons-le : ce pauvre Camus est un peu bas de plafond et est incapable de voir la main de la dialectique à l’oeuvre derrière les phénomènes. Il n’aurait pas sa carte au parti communiste.
Elle a du chien, votre Roxelane Debuisson, MC.
Un vrai plaisir de l’entendre se raconter !
Jzmn, la connaissait-il ?
Bàv, merci.
Camus à l’époque va très mal. Et participer au déchaînement contre lui franchement c’est petit.
Pourtant le pauvre Barthes lorsqu’il aura contre lui la fine fleur de la Presse française dans l’affaire Picard en 1965/1966 n’appréciera pas non plus.
Il aurait pu avoir un peu plus de compassion pour Camus dix ans auparavant.
« Un rire perce la bande-son. Glaçant. Klaus Barbie disserte sur la mort de Jean Moulin, le ton tranquille, comme on parlerait de la météo. Au milieu de la discussion, le « boucher de Lyon » évoque un croquis qu’aurait réalisé le résistant français lors d’un interrogatoire, avant de mourir. Sa femme l’a détruit depuis, dit-il. L’ancien chef de la Gestapo de Lyon rit, cynique : « Ça aurait coûté 50 000, 60 000 dollars aujourd’hui. » »
(Passou, un p’tit billet ? Vous avez déjà tant fait pour l’honneur de Jean Moulin… please.)
Mais que représente Barthes par rapport à Camus, au regard de l’Histoire politique et sociale, et de « l’histoire littéraire », franchement, Fl. ?
@ Passou, un p’tit billet ?… please
Ne soyons pas indécente en +, ma Jeure !
A la soupe, c’est l’heure !——–
« Stanford a aussi acheté la Collection Roxelane Dubuisson, léguée initialement à Carnavalet, et d’une toute autre envergure s’agissant de Paris. »
pourquoi, cette incroyable collection échappe à Carnavalet, où elle avait toute sa place légitime, MC !
lundi matin:
Scénario pour une émancipation écologiste
Un lundisoir avec Alessandro Pignocchi
https://mail.google.com/mail/u/0/#inbox/FMfcgzQbfBqKSJTDnrGmcrDsBmFxBSNt
D’un autre côté Barthes Il a gardé un intérêt pour Marx jusqu’à la fin de sa vie. Dans « Soirée de Paris » il dit regretter qu’aucun Karl Marx ne vienne donner un portrait socio-économique de l’Iran en 1979 au retour de Khomeini. Il fait référence au « 18 Brumaire de Napoléon Bonaparte ». De mémoire.
(En prime un article très intéressant sur les publications posthumes de Barthes.)
* D’un autre côté Barthes a gardé un intérêt pour Marx jusqu’à la fin de sa vie.
@ 9h52, ferme ta gueule et oublie moi.
C’est à Passou que j’écris d’un pays lointain:
« Elles sommeillaient depuis des lustres dans une bibliothèque privée, au sous-sol d’un centre des impôts, à Hambourg. Consacrées aux dirigeants du IIIe Reich, les archives de Gerd Heidemann, ancien reporter de l’hebdomadaire Stern, grande figure du journalisme allemand d’après-guerre, ont été mises en ligne par la Hoover Institution, à l’université Stanford (Californie), à quelques jours du 80e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. »
MC,
Ils te servent à quoi tes vieux grimoires qui sentent le remugle ?
À te torcher le cul avec ?!
MC, Moisi-Cul !
Janssen JJ,
Sérieusement, tu fais comment pour rester constamment scotché à la Rdl ?
Toujours collé à ce blog, jour et nuit.
T’as pas de femme ? Pas d’enfants ? Pas de petits-enfants ? Pas d’amis ?
Non ?!?!
Mais c’est pas possible bon sang !
T’es vraiment un cas qui dépasse l’entendement !
Christiane a dit que tu as la cancer, c’est vrai ça ?
Si t’es cancéreux, je vais te laisser tranquille, pas mon genre d’emmerder les malades.
« Sérieusement, tu fais comment pour rester constamment scotché à la Rdl ? »
C’est l’hôpiD.al qui se fout de la ChariD.é !
et alors, nous du sud?
LUNDI MATIN(et Libé)
Dans le dernier Libé des écrivains, l’autrice Esther Teillard signait un article à propos des Parisiens qui débarquent à Marseille prennent leurs clics et une claque. Il a suscité beaucoup de critiques et un peu d’ironie. La mère d’un ami, marseillaise, y voit surtout du mauvais travail. [2]
Les venants, c’est le surnom que donnait Hadrien Bels aux Parisiens fraîchement installés à Marseille dans son roman Cinq dans tes yeux (l’Iconoclaste, 2020). Les venants ? Ces ménages de moins de 40 ans, designers, graphistes, cultureux, en quête d’espace et de soleil. Marseille, eldorado post-Covid, nouvelle destination à la mode des startupers parisiens depuis le confinement, environ 1500 départs au compteur (PopFlux) : prix de l’immobilier bas, excellente qualité de vie. Les quartiers d’Endoume et de Longchamp, pôles favoris des venants. Le week-end, il y a les Calanques, la traversée du Mucem, les bars de Saint-Victor, les restaurants éphémères rue Sainte. Une gentrification notable qui transforme les quartiers populaires du centre-ville en une extension du Xe arrondissement de Paris : mêmes adresses, mêmes gueules. Or, un nouveau phénomène fait ricaner les Marseillais. Les venants repartent depuis peu, terrorisés par la ville, mal accueillis, humiliés par leurs tentatives ratées d’assimilation
vous voyez qu’il y a un zest d’hostilité dans notre monde
sur LUNDI MATIN
Feu et flammes
Histoire de l’autonomie allemande
Grâce aux éditions La Tempête, il est enfin possible de lire — et de voir, grâce aux très nombreuses photographies contenues dans l’ouvrage — une histoire de ce mouvement explosif, écrite par un militant de la première heure.
Feu et Flamme, de Geronimo, est un livre qui ne se satisfait pas d’un discours objectif et neutre, mais analyse de l’intérieur les forces et les faiblesses de l’un des mouvements révolutionnaires les plus radicaux d’Europe. Son titre est une reprise d’un slogan utilisé dans les manifestations autonomes de l’Allemagne de l’Ouest : Du Feu, des flammes pour cramer cet État et ses prisons.
Dis donc le Jazzi, on t’a pas sonné alors mets-la en veilleuse veux-tu.
Non mais…
@ ferme ta gueule et oublie moi.
PAS QUESTION !
Passoul == répondez-lui pour une ouaf, y compris avec le gpt, soyez charitab’, l’y verra que du euf !
@ De quoi, punckt ?… Christiane aurait un cancer ?
T’as pas de femme ? Pas d’enfants ? Pas de petits-enfants ? Pas d’amis ?
PERSONNELLEMENT? JE PENSAIS QUIL EST IMPOSSIBLE? ARRIVEE A MON ÄGE de nouer dans une rencontredes liens affectifs, de plus que sympathie,sans mensonges
pour , dieu seul sait pour quoi;
et je constate en moi, qu’avec ROSE,depuis notre rencontre improblable, nous arrivons à nous parler
sincèrement, sans sacrifier à « notre vérité »comme elle s’est construite, et se construit encore,et cela encourage à tenir le coup »nous disent parfois nos médecins »laisser nos désirs se manifester:
c’est quand même une chance
Non, juste des hémorroïdes (actuellement en crise), un glaucome et des démangeaisons.
Christine Angot, le complet contraire de ce qui a été annoncé ici : ni vieille, ni laide…
rose dit: 4 mai 2025 à 11h14
Pas laide Angot ??? Moi j’ai rarement vu une femme aussi peu bandante (pour le dire clairement). C’est simple: elle n’a rien d’attirant. Yeux minuscules, oreilles de diablesse, bouche laide, dents horribles, nez comique, profil atroce… Un vrai laideron.
(Ça sera pour moi toujours un mystère le jugement des femmes sur le physique d’autres femmes, leur si suspecte indulgence).
« Mais que représente Barthes par rapport à Camus, au regard de l’Histoire politique et sociale, et de « l’histoire littéraire », franchement, Fl. ? »
c’est sûr que c’est pas pareil.
perso j’aime pas les 2 mais pour des raisons différentes, du coup c’est vrai que c’est pas pareil.
j’aime pas Camus parce que franchement Camus c’est… comment dire… Camus c’est Camus.
je veux dire l’étranger, la peste, l’homme révolté etc… c’est lourd.
par contre Barthes j’aime pas parce que Barthes c’est comment dire… Barthes franchement c’est Barthes.
je veux dire Barthes c’est le degré zéro de l’écriture, c’est les mythologies, l’empire des signes, c’est lourd…
après passou il dit que ces bouquins sont nuls parce que c’était des commandes.
Camus aussi c’était des commandes non ?
encore une question d’urgence:
À Vitrolles, la mairie se contente de réparations d’urgence face aux nids-de-poule et au bitume abîmé, faute de moyens
Et alii
C’est d’autant plus une chance notre rencontre improbable que cela se passe dans des conditions difficiles.
Rose est moche donc elle ne voit que les femmes aussi moches qu’elle.
Les jolies femmes sont aussi lointaines à ses yeux de vieille grenouille laide que des blanches et belles colombes volant dans un ciel inaccessible.
l’étranger :
« Il y a des choses dont je n’ai jamais aimé parler. Quand je suis entré en prison, j’ai compris au bout de quelques jours que je n’aimerais pas parler de cette partie de ma vie. »
« Un moment après Marie m’a demandé si je l’aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire ; mais qu’il me semblait que non. Elle a eu l’air triste »
« D’un côté elle était invraisemblable. D’un autre, elle était naturelle »
« J’ai fini par ne plus m’ennuyer du tout à partir de l’instant où j’ai appris à me souvenir. »
« Dans les premiers jours où elle était à l’asile, elle pleurait souvent. Mais c’était à cause de l’habitude. Au bout de quelques mois, elle aurait pleuré si on l’avait retirée de l’asile. Toujours à cause de l’habitude. »
et je n’ai pas pris les extraits les plus nuls.
Pour certains hommes, les femmes doivent être hypersexualiseées pour être bandantes.
Pour d’autres, amen, non.
Ce point ne se discute pas, comme les goûts et les couleurs.
« L’asile est à deux kilomètres du village.
J’ai fait le chemin à pied. J’ai voulu voir
maman tout de suite. Mais le concierge m’a
dit qu’il fallait que je rencontre le directeur.
Comme il était occupé, j’ai atendu un peu.
Pendant tout ce temps, le concierge a parlé
et ensuite, j’ai vu le directeur : il m’a reçu
dans son bureau. »
sérieux ?
« Pour certains hommes, les femmes doivent être hypersexualiseées pour être bandantes.
Pour d’autres, amen, non.
Ce point ne se discute pas, comme les goûts et les couleurs. »
c’est aussi un extrait de Camus ?
de quel livre ?
Rose et et alii,
La laide et la bête !
Un triste conte de vieilles fées pour enfants moches !
«… se contente de réparations d’urgence face aux nids-de-poule… »
Il me semble que ces travaux incombent au département, et alii — les trottoirs aussi.
Pour certains hommes, les femmes doivent être hypersexualiseées pour être bandantes.
rose dit: 5 mai 2025 à 11h58
Il y a quelque chose d’encore plus grande que l’ignorance des hommes sur la sexualité féminine: l’ignorance des femmes sur la sexualité masculine.
l’ignorance des femmes
peste soit l’opinion de savoir Montaigne,qui n’a pas dédaigné cette question
Très drôle, Maurice Desborels se moquant de Camus…
Pas jolijoli le prestigieux blog à passou quand ça cause encore Angot, what (else). Ce nanard nouveau survenu, dédé travesti ou sasseur en traite ment ? Etalli fait dans le bitume
Le meilleur de Camus c’est ses « Carnets » (3 vols):
« Ce que l’homme supporte le plus difficilement c’est d’être jugé. De là, l’attachement à la mère, ou à l’amante aveuglée, de là aussi l’amour des bêtes.
Sur tous les chemins du monde des millions d’hommes nous ont précédés et leurs traces sont visibles. Mais sur la mer la plus vieille, notre silence est toujours le premier.
À partir de Colomb, la civilisation horizontale, celle de l’espace et de la quantité, remplace la civilisation verticale de la qualité. Colomb tue la civilisation méditerranéenne.
Vieillir c’est passer de la passion à la compassion. »
« Vieillir c’est passer de la passion à la compassion. »
Hélas, il n’a pas eu l’occasion de vieillir, Camus !
Petit bouquet du mois de mai.
Edouard Boubat Lellah’s hands, France 1948.
« peste soit l’opinion de savoir »
Et alii radote !
Pas un jour sans qu’elle ne nous le redise.
Elle veut pas savoir mais elle s’informe inlassablement : pas de lien mais des liens, sinon rien…
Hélas, il n’a pas eu l’occasion de vieillir, Camus !
Jazzi dit: 5 mai 2025 à 12h28
Peut-être 46 ans c’était assez pour lui, puisqu’il a écrit:
Nous vivons trop longtemps.
(A. Camus. Carnets)
phil, tres important le bitume ,d’un point de vue culturel et de la paix/RAPPELEZ VOUS L4ARCHE DE NO2
Genèse 6, 12-20
. Fais-toi une arche en bois de cyprès. Tu la diviseras en cellules et tu l’enduiras de bitume à l’intérieur et à l’extérieur.
Le bitume
une affaire pour mac à dames
« Que d’efforts démesurés pour être seulement normal! Et quel plus grand effort encore pour qui a l’ambition de se dominer et de dominer l’esprit. […] De lui-même, l’homme est porté à se diluer.
J’ai toujours eu l’impression d’être en haute mer: menacé au coeur d’un bonheur royal.
Il faut mettre ses principes dans les grandes choses. Aux petites, la miséricorde suffit.
Cette incertitude sacrée, dont parle Melville, qui toujours tient en suspens les hommes et les nations. »
(A.Camus. Carnets).
Peut-être que les « Carnets » de Maurice Desborels sont plus intéressants que ceux de Camus (même si ce qu’il écrit ici est d’un niveau catastrophique).
D4AILLEURS? CE N4EST PAS DE MA FAUTE SI A LA PAGE BITUME DE WIKI SI RICHE, l’arche de Noé n’est pas mentionnée; je l’ai donc appris autrefois!
il est vrai qu’on parle d’alliance Noachique!
mais sir bla toile, vous pourrez trouver
Les alliances noachiques (1/3) : introduction et contexte
Il n’y a aucune raison de donner un sens symbolique au bitume. Il a de tout temps été utilisé pour rendre étanche les coques de bateaux. De nos jours on l’utilise très fréquemment pour étanchéité les fondations de bâtiments ou bien toits plats, extrêmement courants dans le monde entier. Il s’agit là de protéger de l’eau les précieuses Tables de la Loi.
étanchéifier
mais sur la toile
Et alii
Noé et
Le canoë kayak aussi on l’enduit de bitume pour le réparer.
Ceux qui descendent le Yukon jusqu’au détroit de Béring le savent bien. S’il est fait en bois de bouleau.
Pourquoi à l’intérieur ET à l’extérieur ? Sans doute parce que le bois absorbant une substance sur une seule face travaille et se gondole. Il faut donc enduire les deux côtés.
C’est bien connu des artistes peintres qui aprêtent les supports en bois des deux côtés. Ce qu’il est inutile de faire avec une toile.
Peste soit l’opinion de savoir.
Cela s’appelle calfater. Je l’ai déjà dit. Cela marche aussi pour les voiliers en bois.
Depardieu tourne un nouveau film.
Grâce à l’amitié d’une femme…
C’est pas beau !
Qu’est-ce qu’elle en dit, Marie Sasseur ?
https://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=1000142374.html
Il ne gondole pas. Il se fend. Parce que le bois travaille. Et la faille est dedans dehors.
excuses D, mais dans le récit de « la genèse », Noé n’a pas connaissance des « tables de la loi » comme vous dites!mais causez , j’ai autre chose à faire que de me mêler de vos histoires!
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